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Il y a 2 ans et 152 jours

Massia-Laboratoire, découvrez les nouveautés

Massia-Laboratoire, logiciel de contrôle qualité des matériaux de construction d’Arcade. Arcade, éditeur de logiciels, propose dans sa gamme Massia le logiciel de contrôle qualité des matériaux de construction Massia-Laboratoire. 2022 a vu arriver des nouveautés de taille dans Massia-Laboratoire, dont en particulier concernant le contrôle des bétons : Le traitement des formules : Cette fonctionnalité permet de modifier en lot des quantités de constituants en valeur ou en pourcentage. Elle permet également de créer en lot des nouveaux bétons cibles en remplaçant des constituants depuis une formule existante. Chaque modification donne lieu à un recalcul du contrôle de conformité avant validation. Le bilan carbone des bétons : Cette fonctionnalité permet de calculer le poids carbone des bétons départ centrale à partir du poids carbone des constituants du béton et de leur transport. La nouvelle norme EN 206 : Incluant le contrôle du taux de substitution des granulats recyclés, la nouvelle classification des bétons et les nouveaux seuils de contrôle. Pour en savoir plus sur Massia-Laboratoire, visitez le site web : www.arcade.fr ou contactez le service commercial : a.ladet@arcade.fr – Tél. 04 67 77 52 50. Arcade, éditeur de logiciels Fort de 30 ans d’expérience, Arcade conçoit, développe et commercialise des logiciels répondant aux besoins métiers dans le domaine des granulats, bétons, enrobés, construction routière, recyclage, laboratoires, bureaux d’études. Ces logiciels sont destinés aux professionnels de la production, de la mise en œuvre, du traitement des matériaux de construction pour les applications telles que gestion commerciale, ADV, laboratoire, performance, environnement, sécurité, foncier, maintenance.
Il y a 2 ans et 166 jours

A La Défense, la plus grande tour de bureaux d'Europe économise l'électricité

"L'efficacité énergétique, ça fait trois ou quatre ans qu'on en parle", explique le directeur technique Ludovic Levavasseur, 52 ans qui accompagne le changement, déjà bien engagé avec près de 40% de consommation en moins entre octobre 2021 et octobre 2022.Invisible sur la facture, car le prix du kWh a augmenté en parallèle, la baisse va continuer, assure-t-il, notamment grâce aux milliers de détecteurs de présence implantés progressivement dans les 170.000 m2 de bureaux.Heure par heure, jour après jour, ces automates communiquent avec l'ordinateur d'une modeste pièce aveugle du sous-sol où Nicolas Puype, 42 ans, surveille. Salarié du prestataire de maintenance Engie Solutions, il est depuis trois ans le "manager énergie" du bâtiment.Six à 7.000 personnes travaillent dans les sept bâtiments de Cœur Défense, avec une tendance à la baisse liée au télétravail.Sans les voir, Nicolas Puype assiste au ballet de leurs arrivées et départs, instantanément transmis au système de gestion technique du bâtiment (GTB)."Je sais presque tout ce qui se passe, sans me déplacer, je n'ai même pas besoin de caméra", confesse l'automaticien qui va jusqu'à deviner quel train les gens ont emprunté pour gagner le quartier d'affaires.Sur ses écrans, les ascenseurs montent, les lumières s'allument, les ventilo-convecteurs démarrent, et la courbe de consommation électrique grimpe, puis s'effondre en fin de journée.Quand un bureau est inoccupé, il est automatiquement éteint.Nicolas Puype ne dicte pas la température, pas plus qu'il ne la règle à distance, mais il a l’œil.Sur un écran à sa droite, toute la production d'énergie est synthétisée, la moindre anomalie signalée. Des graphiques en couleurs se superposent, la consommation du jour, celle de la veille.Tous les capteurs de Cœur Défense, et les ordinateurs que Nicolas Puype surveille, ont une mission finalement simple: ne chauffer, n'éclairer que lorsque que les travailleurs sont présents. "Si déjà vous ne consommez que ce que vous devez consommer, vous êtes tranquilles", commente Thierry Chambon, directeur général d'Energisme, société qui vend un logiciel de maîtrise d'énergie.Tout électriqueLe gratte-ciel, reconnaissable à ses deux tours de 40 étages aux bords arrondis culminant à 161 mètres et à ses baies vitrées formant un damier blanc changeant, est occupé à 80%.Impossible par définition d'y arrêter le chauffage ou la climatisation, ni bien sûr d'ouvrir les fenêtres.Pour respirer, il faut pulser de l'air neuf, chaud ou froid selon la saison, alimenter 42.000 points d'éclairage, 76 ascenseurs, 11 escalators, 14.000 stores, plus de 8.000 ventilo-convecteurs, etc.Tout est électrique. Des groupes électrogènes de sécurité démarrent en cas de coupure. La facture électrique est donc le deuxième poste de dépenses pour la tour, après la sécurité et la sûreté incendie.Et à l'heure où les tarifs s'envolent, l'homme de la situation, c'est M. Puype : "Ici c'est un paquebot. Une fois que ça dérive, pour rattraper c'est un peu tard, c'est pour ça que je surveille au jour le jour", dit-il.En 2021, l'immeuble a remplacé ses six groupes froids à récupérateurs de chaleur. Un matériel qui produit tout le chaud et le froid dont la tour a besoin, le réseau urbain ne servant qu'en appoint.Ces équipements dataient de l'inauguration en 2001. Neufs, ils sont plus performants et c'est cet investissement qui a permis la spectaculaire baisse de consommation électrique de l'an dernier.Pour l'an prochain, la baisse attendue, de 10 à 15%, sera moins facile: "On va essayer", assure Frédéric Galvez, directeur général adjoint Property Management chez BNP Paribas Real Estate qui gère 2.000 immeubles en France, dont Coeur Défense.Reste l'isolation. "Ce serait un investissement colossal, monstrueux, coûtant presque le prix de l'immeuble (acheté 1,8 milliard d'euros en 2017, ndlr)", dit-il. "Cela obligerait à déposer toute la coque, à faire sortir les locataires et laisser le propriétaire sans revenu pendant le chantier".Pour l'heure, la tour réfléchit plutôt à s'équiper en photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 167 jours

Management de l’Énergie : la meilleure énergie est celle que l’on ne consomme pas

Que ce soit pour gagner en compétitivité ou pour répondre aux enjeux de la transition énergétique, les acteurs industriels ou tertiaires ont tout intérêt à s’appuyer sur un système de Management de l’Énergie optimisé.Qu’est-ce que le Management de l’Énergie ?Le Management de l’Énergie, ou Energy Management, est une démarche qui fait partie des actions concrètes qu’une entreprise peut mettre en place pour réaliser un projet d’efficacité énergétique.Cette démarche appelle à une expertise liée à la gestion de la donnée et à un ensemble d’expertises métiers en maîtrise de l’énergie appliqué au bâtiment. C’est cette synergie entre les deux métiers, couplée à un puissant outil de pilotage des consommations énergétiques, qui forme le Management de l’Énergie.Aucune réglementation n’oblige les entreprises à initier ce type de démarche : Le Management de l’Énergie est une démarche volontaire et proactive des organisations. Seules les organisations soumises au Décret Eco Energie Tertiaire (appelé également Décret Tertiaire, qui découle d’une directive européenne) se verront obligées de réduire leurs consommations énergétiques avec un objectif à 2030, 2040 et 2050. Pour autant, toute entreprise est concernée par le Management de l’Énergie.Les 3 étapes clés pour entamer une démarche de Management de l’ÉnergieToute démarche de Management de l’Énergie repose avant tout sur une gestion rigoureuse de la donnée. La première étape consiste donc à la collecter correctement via plusieurs sources, de la plus accessible à la plus complexe. Pour collecter des données plus précises, il est nécessaire de systématiser l'instrumentation de la collecte de manière à avoir une vision plus fine et plus fidèle du fonctionnement du bâtiment, mais également d'identifier les postes de consommations les plus énergivores.Pour une analyse efficace et pertinente, les facteurs d’influence, également appelés facteurs d’intensité d’usage, ne doivent pas être négligés lors de la collecte des données de l’activité. Cela consiste à prendre en compte toutes les données qui influent sur l’activité de l’entreprise : la météo, les horaires d’ouverture, le niveau de production, l’occupation des sites, etc. Un suivi de la consommation rapporté aux facteurs d’influence permet ainsi de repérer rapidement les dérives énergétiques (production lumineuse énergivore, fuite d’eau, mauvaise isolation thermique…).La deuxième étape clé consiste à traiter la donnée. Un logiciel de management de l’énergie, aussi appelé EMS pour Energy Management Software, permet le traitement et la mise à disposition de l’information récoltée. L’entreprise peut ainsi mettre en place des tableaux de bord de suivi des KPI sur son patrimoine, mais également des alertes. Au-delà du traitement de la donnée, l’EMS rend visible les anomalies, permet d’en analyser les causes et facilite la planification des tâches et actions de performance énergétique.Une fois la donnée collectée, centralisée, fiabilisée et rendue visible, il est nécessaire de l’exploiter, l’analyser et la valoriser. C’est le rôle de l’Energy Manager. L’expert se base sur l’outil pour réaliser les analyses et conseiller le client quant aux actions à mener pour atteindre ses objectifs de réduction de consommation énergétique. Ce n’est réellement que, lors de la phase d’analyse, que les premières économies sont générées et que le client commence à voir un retour sur investissement.Un cycle d’amélioration continue se met ainsi en place au sein de l’organisation du client afin de pérenniser les actions de performance énergétique mises en place et ainsi constamment trouver des leviers d’optimisation.Réconcilier réduction de la facture d’énergie et accélération de la décarbonation de l’entrepriseLes démarches de Management de l’Énergie ont un coût à la fois matériel, logiciel et humain.Elles nécessitent l'installation d'équipements intelligents (GTB, plan de comptage, etc) permettant la collecte des données, l'utilisation d'un logiciel de pilotage pour centraliser et mesurer le profil de consommation de l'entreprise, ainsi que la mise à disposition d'un Energy Manager permettant d'exploiter les données collectées.Quel intérêt dès lors pour une entreprise de se lancer dans l’aventure ?D’abord, le Management de l’Énergie est un très fort levier d’économies. Combiné à la Gestion Technique du Bâtiment, l’Energy Management permet :d’optimiser au maximum les dépenses énergétiques,de mettre en place des actions concrètes qui aboutissent à de véritables économies financières,et donc à l’entreprise de gagner en compétitivité.En moyenne, déployer une démarche de management de l’énergie permet de réaliser 5% d’économies d’énergie, ces économies pouvant atteindre les 15% dans le cadre d’un bâtiment vétuste et n’utilisant pas de GTB.La mise en place d’un système de Management de l’Énergie répond aussi à des préoccupations environnementales. Les entreprises font l’objet d’une double pression pour réduire leur empreinte énergétique. D’un côté, les entreprises sont soumises à de nouvelles obligations réglementaires en termes d’émission de gaz à effet de serre et de décarbonation. De l’autre côté, les consommateurs prennent de plus en plus en compte les enjeux environnementaux lors de leurs décisions d’achats et valorisent les entreprises éco-responsables.Avoir une vision globale de la consommation énergétique de son activité permet d’avoir un suivi de son empreinte environnementale et de suivre une trajectoire énergétique précise. Ainsi, l’entreprise réduit son empreinte énergétique tout en renforçant ses engagements RSE.Ces engagements peuvent être partagés via des rapports, des communications externes et des tableaux de bord diffusés en interne avec une estimation des économies d’énergie réalisées.Aujourd’hui le Management de l’Énergie s’adresse aux collectivités, PME et aux grands groupes, sans distinction de secteur d’activité. Tout réside en réalité dans la capacité des organisations à fédérer, autour d’une ambition claire, toutes les parties prenantes dans le but d’agir dans la même direction. Il ne faut pas non plus négliger l’apport d’un accompagnement externe qui pourra s’engager sur des objectifs contractuels. Il est grand temps de prendre des engagements concrets et forts, à la hauteur du défi à relever.Tribune de Christophe Constant, Directeur Général d’Helexia France (Linkedin).
Il y a 2 ans et 170 jours

Hager lance quadro evo, un nouveau système de distribution d'énergie

Elle illustre la volonté de Hager d’adresser des projets de plus grande envergure, en offrant aux professionnels de nouvelles façons de concevoir et d’installer une distribution électrique. Pour réaliser son nouveau tableau général basse tension, Hager s’est appuyé sur ses plus de 65 ans de savoir-faire dans la fabrication d’enveloppes d’armoires électriques. Bien qu’elle conserve l’ADN des enveloppes Hager, cette évolution de la gamme quadro voit 80% de ses composants intérieurs renouvelés. Des performances accruesLa structure mécanique robuste de quadro evo permet d’atteindre des performances plus élevées : le nouveau système d'équipement interne offre une résistance aux courts-circuits jusqu’à 85 kA, une protection contre les chocs IK10 et une protection contre l’eau et les poussières IP55, les nouveaux supports de jeux de barres offrent une stabilité accrue jusqu’à 4000 A, quadro evo permet de répondre à des indices de service jusqu’à 233 et d’assurer une continuité de service en toute sécurité lors des interventions, la maintenance ou les évolutions du tableau.Une mise en œuvre facilitée Avec quadro evo, tous les éléments sont conçus pour un assemblage simple et rapide : la structure interne des cellules de quadro evo a été conçue pour offrir plus d’espace de travail à l’installateur, le nouveau système de supports et de profilés universels permet une plus grande modularité, un nouveau système de kits de montage, plus simple et plus précis, permet également le positionnement et la mise en œuvre plus rapides des appareils.Grâce à ces nouveautés, mais aussi grâce aux vis accessibles par l’avant, les évolutions ultérieures et la maintenance seront facilitées.Une compatibilité avec l'écosystème HagerPour la distribution électrique principale, quadro evo peut embarquer des boîtiers moulés intelligents h3 et h3+ jusqu’à 1600 A.quadro evo peut également être associé au logiciel Stream, pour assurer la surveillance des consommations multi-énergies sur un ou plusieurs sites. Intégré dans un écosystème de comptage et de mesure énergétique, il répond parfaitement aux exigences du Dispositif Eco Energie Tertiaire (décret tertiaire) qui s’appliquent dès 2021. Enfin, le logiciel Hagercad.T évolue avec quadro evo pour rendre les phases de configuration, de conception et de chiffrage plus aisées, rapides et précises. Pour quels projets ?Le système permet la réalisation d'équipements de distribution basse tension pouvant aller jusqu'à 4000 A en forme 4b, pour des applications tertiaires : locaux commerciaux, hôtels, bâtiments administratifs, publics ou privés, industriels, hôpitaux, infrastructures routières et ferroviaires. quadro evo est adapté à la réalisation des TGBTs mais aussi des tableaux divisionnaires. Le système de distribution d'énergie quadro evo est un ensemble d’appareillages de puissance testé et certifié selon la norme IEC 61439-1 & 2.
Il y a 2 ans et 174 jours

fabline la demarche de reynaers aluminium pour la productivite des industriels

Certains professionnels de la menuiserie aluminium ont pu découvrir le dispositif à l’occasion du Mondial du Bâtiment. Lancé par Reynaers Aluminium, FABLine est une panoplie d’outils et de services visant à améliorer la gestion et la productivité d’un fabricant du secteur en quatre temps : analyse des ateliers, paramètre logiciel, liaison logiciel-machine, et achat des machines et équipements d’atelier.
Il y a 2 ans et 174 jours

un premier outil de modelisation acoustique pour la fenetre bois

Piloté par l’UFME et conçu par le société I.NOV, le projet de logiciel sortira d’abord pour la fenêtre bois avant de s’ouvrir à d’autres matières.
Il y a 2 ans et 174 jours

Démarche RSE récompensée : le groupe RECTOR LESAGE obtient le label engagé RSE de l’AFNOR, niveau confirmé

Le groupe Rector Lesage vient d’obtenir le label Engagé RSE, au niveau confirmé (3ème niveau sur une échelle de 4), de l’AFNOR. Rector est ainsi le premier industriel du secteur du béton à s’inscrire dans cette voie. Cette distinction crédibilise et récompense l’engagement fort du groupe dans sa démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises, commencée depuis 2021, sous l’impulsion de la nouvelle génération d’actionnaires et de la Direction. Sous l’impulsion actionnariale, la direction du groupe a créé fin 2020 un Comité de Pilotage RSE lui confiant notamment la mission de définir les 4 piliers fondateurs de la démarche RSE du groupe :  décarboner les produits et les activités, limiter son impact sur l’environnement et préserver la biodiversité, assurer la sécurité et le bien-être au travail, maintenir son ancrage territorial. Afin de mieux la structurer et la crédibiliser, Rector a créé une Direction RSE et a décidé de s’engager dans le processus de labellisation « Engagé RSE de l’AFNOR » qui repose sur la norme ISO 26000, norme en vigueur en matière de RSE. Pour préparer l’audit de labellisation de l’AFNOR en juin 2022, Rector Lesage s’est fait accompagner par le CERIB pour constituer l’ensemble documentaire et rédiger son premier rapport RSE. « Label Engagé RSE » de l’AFNOR, une évaluation du niveau d’avancement de Rector sur tous ses axes RSE  Le « label Engagé RSE » de l’AFNOR est structuré en 5 indicateurs de moyens (vision et gouvernance, mise en œuvre, RH, modes de production et ancrage territorial) et 3 indicateurs de résultats (environnementaux, économiques et sociaux). Au travers de chacun d’eux, les 4 axes de la démarche RSE de Rector ont été explorés et évalués au siège du groupe et sur 3 sites de production (Mulhouse, Couëron et Ravel) en incluant des interviews auprès d’une trentaine de salariés et des parties prenantes externes (fournisseurs, clients, actionnaires, …). Des initiatives concrètes pour faire de la RSE un projet d’entreprise La stratégie RSE de Rector se déploie sur la base d’une démarche d’amélioration continue. Elle implique aussi un vaste programme d’appropriation de celle-ci et des objectifs qui en découlent auprès des managers puis des collaborateurs. Les actions déjà entreprises par le groupe sur les 4 axes de la démarche ont permis d’atteindre le niveau confirmé du Label Engagé RSE de l’AFNOR. Parmi celles-ci, citons : Décarboner les produits et les activités Axe prioritaire de la stratégie RSE du groupe, il vise à mettre sur le marché des gammes de produits moins carbonés, à développer et promouvoir des modes constructifs plus vertueux et à réduire les émissions de CO2 directement liées à ses activités. La priorité de Rector a donc été de réduire l’empreinte carbone des bétons en substituant les clinckers par des laitiers de haut fourneau, en utilisant de l’acier recyclé à la place d’acier primaire et en optimisant l’énergie en phase de production. C’est ainsi que Rector a développé sa gamme de prédalles et prémurs RSOFT Bas Carbone. Un autre axe de réflexion a consisté à concevoir une solution de plancher qui permet plus de sobriété à l’échelle du bâtiment et donc une réduction de l’indice carbone du bâti par surface de plancher. Le système plancher dalle Caméléo, qui permet de s’affranchir de mètres linéaires de murs porteurs et de poutres tout en favorisant l’intégration de façades légères tels que des panneaux de façade bois , en est le parfait exemple. Offrant plus de modularité, cette solution permettra par ailleurs une modification d’usage du bâtiment plus facile et plus sobre après sa première phase de vie. Concernant ses activités, Rector a lancé un vaste programme de rénovation des systèmes de régulation énergétique de ses étuves. En permettant le contrôle en temps réel de la performance de chaque résistance et de chaque zone de chauffe de l’équipement de production, il est possible de mieux contrôler l’efficience électrique de celui-ci. Rector a ainsi constaté une réduction pouvant atteindre jusqu’à 50% des puissances nominales sur les étuves des sites concernés. En parallèle, le groupe projette l’installation de 80 000 m2 de panneaux photovoltaïques sur 5 de ses sites de production qui permettront de couvrir près de 90% de ses consommations électriques sans augmenter les surfaces imperméables. Limiter son impact sur l’environnement et préserver la biodiversité Un levier d’action pour améliorer la performance environnementale de son activité est de s’approvisionner autant que possible en matériaux recyclés (vs matières vierges) réduisant ainsi la pression sur la ressource naturelle. A titre d’exemple, 100% des entrevous en plastique et 90% des aciers passifs utilisés dans la fabrication des bétons armés sont d’origine recyclée, tout comme 100% des emballages carton des Box. Au-delà des bassins de décantation dont 100% des sites Rector français sont équipés, l’entreprise a défini une politique « eau » ambitieuse visant notamment à réduire les consommations d’eau et la production d’effluents. Dans ce cadre, ce sont d’ores et déjà 86% des sites qui recyclent les eaux de lavage des machines à béton. Assurer la sécurité et le bien-être au travail En plus des actions déjà engagées depuis plus de deux ans, Rector a mis en place trois jours de télétravail par semaine pour les postes télétravaillables et sur la base du volontariat. Pour les salariés qui ne peuvent pas en bénéficier, un jour de congés supplémentaire leur est alloué en compensation. En parallèle, Rector a poursuivi ses actions pour réduire la pénibilité des taches des opérateurs (réduction de moitié du poids de certains outils permettant de vérifier la qualité du béton, par exemple). Maintenir son ancrage territorial Outre ses sites industriels implantés au plus proche de ses fournisseurs de granulats et de ciment favorisant les circuits courts, Rector mène des actions de mécénat participant à l’attractivité du territoire. Ainsi, Rector vient de signer une convention avec le Centre national de Réadaptation de Mulhouse qui permet à des personnes ayant subi un accident de se former à un nouveau métier. Parmi les formations proposées, une est dédiée à l’apprentissage de logiciels utilisés par les Bureaux d’Etudes de Rector qui accueillera des stagiaires.  « L’obtention du label Engagé RSE de l’AFNOR au niveau confirmé n’est pas une fin en soi. Rector agit avec humilité et détermination. Nous ne comptons et ne devons pas nous arrêter là » conclut Cécile Roland, nouvelle Directrice RSE de Rector.  Reflet de la volonté du groupe de placer la RSE au cœur de sa stratégie, Cécile Roland est arrivée en Février 2022 pour structurer et formaliser la politique RSE de l’entreprise jusqu’à sa mise en œuvre opérationnelle. Cette démarche vise à rendre l’entreprise plus durable et responsable tout en se préparant à répondre aux enjeux de la nouvelle directive CSRD. Celle-ci rendra obligatoire, à horizon 2030, pour toutes les entreprises – à l’exception des micro-entreprises – le déploiement d’une stratégie RSE et la déclaration de leur performance en la matière. A propos de Rector Lesage Créée en 1953, Rector Lesage est une société familiale spécialisée dans le domaine des produits préfabriqués en béton pour le bâtiment, elle développe et commercialise des systèmes constructifs pour le gros oeuvre des bâtiments. Elle est leader en France dans le domaine des planchers en béton précontraint pour les maisons individuelles ou groupées. Rector Lesage est présente sur tout le territoire français et en Europe avec ses 25 implantations et près de 1 000 salariés. https://www.rector.fr/
Il y a 2 ans et 174 jours

Baromètre Inies : Toujours plus de données

Actuellement, la base Iniès totalise 3 190 Fdes représentant 676 086 références commerciales. [©ACPresse] Propriétaire et gestionnaire de la base Inies, l’Alliance HQE-GBC vient de publier le Baromètre 2022. Celui-ci présente les chiffres et l’ensemble des points d’évolution de la base. Incontournable pour la réalisation des Analyses de cycle de vie (ACV) des bâtiments dans le cadre de la RE 2020. La base Inies enregistre, cette année encore, une augmentation du nombre de données, consultables gratuitement. Outil de référence pour l’application de la RE 2020, la base permet à tous les acteurs de la construction d’évaluer l’empreinte environnementale des bâtiments neufs. Elle est aujourd’hui la plus grande base de données environnementales des produits et équipements de la construction (Fdes, PEP Ecopassport, DED et DES). Et s’impose comme la seule source de données aussi riche en Europe pour permettre d’alimenter les logiciels d’ACV Bâtiment. + 29 % de Fdes dans la base Inies Ainsi, au 31 août 2022, la base Inies comptait un total de 5 389 données. En hausse de 28 % par rapport au baromètre 2021, dont : • 3 190 Fdes (+ 29 % par rapport au 31 décembre 2021) représentant 676 086 références commerciales ; • 599 PEP (+ 14 % par rapport au 31 décembre 2021) ; • 1 495 DED, dont 1009 produits de construction et 486 équipements ; • 105 données conventionnelles, dont 33 lots forfaitaires et 72 données conventionnelles de services (DES) ; • 343 organismes déclarants de Fdes et 51 organismes déclarants de PEP. Dont 100 nouveaux déclarants de Fdes et 5 pour les PEP depuis 2022. Cette très forte croissance du nombre de déclarants témoigne de la démocratisation de la réalisation des déclarations environnementales accompagnant la RE 2020. Du retard dans les fondations et les réseaux en béton Il faut rappeler que la base Inies fournit les informations nécessaires pour le calcul de l’impact environnemental global du bâtiment. Ainsi, elle va au-delà de l’indicateur carbone et intègre aussi des informations sur : • Le stockage du carbone biogénique présent dans l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments ; • La quantité de matériaux issus de ressources renouvelables, recyclées ou recyclables qui leur sont incorporées pour l’économie circulaire ; • Des informations sanitaires pour renseigner sur la contribution du produit à la qualité de l’air intérieur du bâtiment. C’est la prise en compte de l’ensemble de ces indicateurs qui permet d’évaluer la performance environnementale et sanitaire du bâtiment. Malgré la progression constante de la base Inies depuis bientôt 20 ans et une forte mobilisation des fabricants, certaines données manquent encore à l’appel pour la RE 2020. Afin d’encourager les industriels à fournir les déclarations environnementales de leurs produits, la base publie dans son Baromètre 2022 la liste prioritaire des familles de produits et d’équipements pour lesquelles les déclarations sont manquantes. Pour les familles qui concernent notre secteur d’activité, il faut noter le manque de données des fondations préfabriquées en béton. Et des réseaux d’évacuation et d’assainissement en béton. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 176 jours

Dans un lycée breton, la chasse au kilowatt est déclarée

Passé le portail et les drapeaux breton, français et de l'UE, un regard attentif dans le hall permet de remarquer que les horloges électroniques ne sont pas en fonction dans ce lycée moderne, construit en 2005."On a coupé 21 horloges qui fonctionnaient 24/24H et 365 jours par an pour une consommation de 11 watts chaque jour, soit une économie de 800 euros par an", détaille Guillaume Talon, agent de la région encadrant les personnels de maintenance.Dans les couloirs, la minuterie a été modifiée et l'éclairage s'éteint désormais au bout de trois minutes, contre cinq auparavant.Avec la hausse vertigineuse des coûts de l'énergie, chaque kWh est soupesé, avec comme principal objectif de disposer d'une température n'excédant pas 19°C dans les classes et 16°C dans les espaces communs comme les couloirs ou les toilettes.Aussi, avec l'aide d'un logiciel, chaque radiateur est équipé de têtes thermostatiques qui viennent fermer l'arrivée d'eau chaude quand la température atteint le seuil limite.Pour aider les établissements à réguler leur température et réduire la facture de gaz et d'électricité, des techniciens-conseils et des Équipes mobiles d'assistance technique (EMAT) interviennent pour prodiguer leurs précieux conseils, comme le fait Laurent Descieux.Dans la chaufferie, depuis septembre, "on a joué sur les différents circuits pour que les chaudières démarrent en décalage" alors qu'auparavant "elles démarraient d'un seul coup, faisant un appel de consommation importante", explique cet agent de la région chargé des installations thermiques dans plusieurs lycées rennais.Et chacun, dans cet établissement qui accueille quelque 1.100 personnes par jour, tente d'apporter sa pierre à l'édifice, comme l'explique Thierry Glo, responsable de la restauration."On essaye de faire des économies d'énergie à notre niveau, notamment le matin en n'allumant pas les machines trop tôt comme on faisait bêtement avant, ou ne pas laisser les lumières dans les frigos sans qu'il y ait quelqu'un dedans", dit-il, privilégiant en outre des menus consommant moins d'énergie, comme des pommes de terre au four plutôt que des frites.Écharpe en coursEntre deux sonneries pour rentrer en classe, les lycéens disent largement comprendre ces mesures."C'est mieux pour l'écologie d'avoir une température plus basse et du coup de consommer moins d'électricité et d'énergie", estime Johanna Moreau, en seconde. "Plus de gens mettent des manteaux et gardent leur veste quand ils s'assoient, moi je mets un sweat en plus".Louise Chauvel, en première, qui fait partie de la quarantaine d'éco-délégués du lycée, garde l'écharpe en cours. "Il y en a qui râlent car il fait froid mais c'est accepté par la plupart des gens car ils comprennent l'enjeu écologique et économique".Malgré cette somme de petites économies, les coûts devraient tout de même s'envoler avec des augmentations "par trois sur l'électricité et un peu moins fortes sur le gaz", rappelle Stéphane Perrin, vice-président en chargée des finances de la région Bretagne.En 2021, la facture énergétique des 115 lycées publics bretons affichait 14,5 millions d'euros, dont huit pour le chauffage. En 2022, le surcoût est estimé à... 28,5 millions (25 millions pour l'électricité et 3,5 millions pour le gaz).En fonction des lycées, la région et ses équipes se fixent comme objectif de réaliser entre 15% et 20% d'économie d'énergie.Certes, "il faut faire face à l'urgence et l'augmentation des coûts, mais il faut aussi garder la capacité à investir, la rénovation des lycées est le premier budget d'investissement de la collectivité. Ce qui compte surtout c'est le travail de fond" pour améliorer la performance thermique des établissements, assure M. Perrin.
Il y a 2 ans et 176 jours

Concevoir l'aménagement intérieur en toute simplicité avec les nouveaux configurateurs Rauvisio & Rauvolet

Configurateur Surfaces RAUVISIOAvec le configurateur de surfaces REHAU, il est possible d’assembler des façades sur mesure, avec plaquage laser selon les goûts des clients, en seulement 4 étapes : choisir le matériau et le décor / Saisir les dimensions / Sélectionner un partenaire commercial / Définir l’adresse de livraison.Exceptionnel, ce service propose de choisir entre plusieurs types de surfaces polymère : RAUVISIO brilliant SR, RAUVISIO noir, RAUVISIO crystal et RAUVISIO wave et des bandes de chant RAUKANTEX Pro (sans joint). Facile à utiliser, la bande de chant correspondante au panneau est automatiquement sélectionnée par le logiciel.Unique, le configurateur permet de visualiser l’image du décor sur la totalité de la façade. L’agencement des composants avec des décors tendances tels que le bois ou le marbre est alors possible. Le décor obtenu est régulier et ininterrompu sur les différents éléments de la façade. Pour faciliter la mise en œuvre, le configurateur propose l’option d’éléments livrés prépercés. Les gabarits de perçage des fabricants de ferrures sont enregistrés dans le logiciel et facilitent ainsi la planification du projet.Configurateur Rideaux d’armoire RAUVOLETInnovant, ce configurateur offre de multiples possibilités d’aménagement. Cuisines, salles de bains, bureaux… il est possible de configurer sur mesure les systèmes de rideaux d’armoire dans toute la maison. Horizontal ou vertical, tout est possible ! Personnalisable grâce à l’impression numérique, le client peut réaliser ses propres rideaux d’armoire avec ses images, photos ou logos et les intégrer ainsi à son intérieur.Comment ça marche ?Sélectionnez le type d’armoireEntrez les cotes intérieures de l’armoireSélectionnez le système de guidageSélectionnez la baguette poignéeSélectionnez le sens d’enroulement / le type de rideauSélectionnez la lame et son colorisSélectionnez les accessoiresLes avantages en brefPourquoi choisir un projet sur-mesure avec REHAU ? Pour créer un projet unique, clé en main et rapidement ! Tout au long du projet, REHAU accompagne le client : envoi rapide d’un échantillon du produit exact souhaité, création flexible du projet car la commande peut se faire dès une pièce seulement, la configuration à faire sur le portail REHAU se fait en très peu de clics, les panneaux et systèmes de rideaux d’armoire arrivent prêts à poser sous un délai plus court.Combinés, ces 2 configurateurs offrent donc la possibilité de créer son « package de solutions d’agencement » puisqu’ils proposent à la fois du rangement avec les systèmes de rideaux d’armoire, des façades décoratives et du plan de travail : il est désormais possible grâce à REHAU d’avoir une vraie harmonie du design sur tous les produits.Grâce à ses 2 configurateurs les agenceurs, décorateurs, architectes… gagneront du temps lors de la conception de leurs projets. REHAU présente dans ces 2 outils une gamme complète de systèmes de rangement, de plan de travail, de surfaces de meuble design et personnalisables pour satisfaire tous les goûts et envies de chacun.
Il y a 2 ans et 177 jours

Le 1er outil numérique de modélisation acoustique de la fenêtre bientôt disponible

L’UFME ambitionnait de mettre à la disposition de la profession les informations scientifiques et techniques permettant d’évaluer, avant sa fabrication, les performances acoustiques des fenêtres fabriquées en France. Trois ans plus tard, la thèse aboutit au développement, en cours, du premier logiciel de simulation et modélisation acoustique de la fenêtre.Mesurer les performances acoustiques sur la table de dessin : une économie environnementale et financièrePlus qu’une avancée scientifique pour la filière, il s’agit de la concrétisation d’une recherche qui fera prochainement de la fenêtre le premier élément de l’enveloppe du bâtiment à disposer d’une modélisation acoustique intrinsèque. S’inspirant des domaines automobiles et aéronautiques, le logiciel permettra aux industriels de bénéficier d’une estimation de l’affaiblissement acoustique atteinte par une fenêtre dès sa phase de conception, quelle que soit sa composition (dimensions et vitrage). Cette simulation minimisera au maximum l’éventuel écart d’affaiblissement acoustique estimé par rapport à l’essai en laboratoire.Cet outil numérique constituera un gage de gain de temps et d’économies pour les fabricants de fenêtres en bois qui :éviteront la fabrication d’un prototype qui, après des essais coûteux, ne correspondrait pas aux exigences d’affaiblissement acoustique recherchées,réduiront leur impact environnemental en termes de matières pour la fabrication du prototype et de transports en réduisant les allers-retours vers les centres d’essais.Il permettra aussi aux prescripteurs, bureaux d’études d’intégrer le confort acoustique dans leurs projets de construction ou de rénovation des bâtiments grâce à l’estimation de l’affaiblissement acoustique des fenêtres.Une première version disponible fin 2023L’outil, financé par le CODIFAB, à la demande de l’UFME, l’UMB-FFB et la CAPEB, est réalisé par Arnaud Combes, gérant de la société I.NOV, mandaté en 2021 pour travailler sur ce projet de digitalisation du calcul d’affaiblissement acoustique des fenêtres bois. Ce logiciel devrait voir le jour au dernier trimestre 2023 avec la mise en ligne d’une application dédiée à la fenêtre bois, la plus complexe à calculer de par ses variations structurelles, ainsi que sur des modèles XXL. Elle sera ensuite déployée sur les fenêtres PVC, aluminium et mixtes bois-PVC/Aluminium, ainsi que sur les ensembles complexes. Si le développement de cet outil numérique reste ardu, il est indispensable que l’interface soit simple et claire pour l’industriel utilisateur.« L’outil est en phase de réglages et de tests afin d’offrir aux industriels l’outil le plus ergonomique. Nous effectuons des expériences acoustiques pour modéliser la fenêtre en 3D et nous permettre de paramétrer le plus précisément possible. Il suffira ensuite à l’utilisateur de renseigner le type de modèle, les dimensions, l’épaisseur du dormant, la largeur, le type de vitrage… pour découvrir quel niveau d’affaiblissement acoustique sera atteint. Cette simulation pourra venir compléter celle sur la partie thermique afin d’ouvrir la voie au développement d’un nouveau produit en toute sérénité. » - Arnaud Combes, gérant de la société I.NOV.Arnaud Combes, I.NOVUn expert choisi par l’UFME pour ses connaissances solides dans l’univers de la menuiserie et en matière de développement de logiciels de calculs. Diplômé de l’école d’ingénieurs ESME Sudria et de l’université Panthéon-Assas (Master Management et Nouvelles Technologies), il a par exemple :géré une équipe de développeurs sur différentes applications dans le domaine de la fenêtre et du vitrage (Groupe Saint-Gobain en 2013),créé son entreprise I.NOV SARL, au sein de laquelle il a développé l’application « Fenêtre sur Mesure ». Commercialisée depuis 2018, elle est destinée aux installateurs de fenêtres pour les aider à la prise de côtes sur chantier. Depuis plus d’un an, il continue à l’améliorer et la personnaliser,travaillé au sein de l’entreprise familiale Menuiseries Combes pour les accompagner dans l’évolution du système d’information et la transformation digitale.* L’UFME (Union des Fabricants de MEnuiseries) représente la filière des portes et des fenêtres. Comptant 154 adhérents répartis sur l’ensemble du territoire national, elle a pour vocation d’accompagner et de défendre les intérêts des concepteurs, fabricants et installateurs de menuiseries, ainsi que les professions complémentaires à ces métiers. Composée de trois commissions (technique, sociale & formation et communication), l’UFME s’attache à représenter les intérêts des professionnels de la menuiserie en encourageant la promotion de menuiseries françaises de qualité, en proposant une offre de formations étoffée et en s’impliquant dans le suivi actif des grandes thématiques techniques. Par son dynamisme et l’expertise de ses membres, l’UFME participe aux débats d’actualité autour du secteur de la construction et de la rénovation des logements. www.ufme.fr – www.choisirmafenetre.fr** Thèse effectuée au sein du LMSSC (Laboratoire de Mécanique des Structures et des Systèmes Couplés) du CNAM, par la doctorante Chaïma SOUSSI, avec le soutien financier du CODIFAB.Résultats de la thèse accessibles sur le site du CODIFAB : https://www.codifab.fr/actions-collectives/developpement-de-modeles-numeriques-pour-levaluation-des-performances-vibro-acoustiques-de-fenetres-2837.*** Le CODIFAB, Comité Professionnel de Développement des Industries Françaises de l’Ameublement et du Bois, a pour mission de conduire et financer, par le produit de la Taxe Affectée, des actions d’intérêt général en faveur des fabricants français de l’ameublement (meubles et aménagements) et du bois (menuiseries, charpentes, panneaux, bois lamellé, CLT, ossature bois, …). Le CODIFAB fédère et rassemble 4 200 PME/ETI et plus de 15 000 artisans, représentés par leurs organisations professionnelles : Ameublement Français, UFME, UICB, UIPC, UIPP, UMB-FFB, UNACMA-CAPEB, UNAMA. Les actions collectives ont pour objectif d’accompagner les entreprises de création, de production et de commercialisation par : une meilleure diffusion de l’innovation et des nouvelles technologies, l’adaptation aux besoins du marché et aux normes environnementales, la promotion, le développement international, la formation, et par toute étude ou initiative présentant un intérêt pour l’ensemble de la profession. www.codifab.fr
Il y a 2 ans et 180 jours

Sogelink repositionne son offre autour d'une nouvelle identité visuelle

Avec un nouveau logo, une offre simplifiée et un nouveau site vitrine, le leader européen de la Construction Tech a souhaité́ renforcer son positionnement autour des besoins de ses clients, sur l'ensemble des processus de construction avec une promesse : « Make Construction Simple ».Créé en 2000, Sogelink a considérablement accéléré son développement ces dix dernières années avec une stratégie d'acquisitions ciblées et une croissance organique soutenue. En effet, depuis 2012, ce sont près d'une dizaine d'entreprises qui ont rejoint le groupe et presque autant de nouvelles solutions qui ont vu le jour pour répondre aux enjeux des acteurs du BTP.Leader sur l'ensemble de ses marchés, grâce à des solutions de référence telles que DICT.fr, Covadis ou encore Mensura - le groupe se développe en affirmant son expertise. Cette année, Sogelink s'est d'ailleurs hissé à la 21ème place du Truffle1001, classement des éditeurs de logiciels français, récompensant ainsi la stratégie menée par le groupe ces dernières années.C'est aujourd'hui sous un nom unique « Sogelink » et avec une offre adaptée aux besoins de ses clients à chaque étape d'un projet de construction, que le groupe franchit une nouvelle étape. Un seul nom pour le groupe et une nouvelle identité visuelleAprès plusieurs mois de travail, Sogelink dévoile sa transformation. Le groupe a opté pour un univers et des formes sobres et modernes, s'inscrivant dans les codes actuels de la Construction Tech. Il s'agit aussi pour Sogelink de réunir ses différentes entités (Sogelink, Geomedia, Geomensura, Bloc in Bloc, ILTR) sous une seule et même bannière.Pour Fatima Berral, CEO de Sogelink : « Nous voulions un logo simple et accessible mais pouvant suggérer bien plus qu'il n'en paraît, comme les solutions proposées par le groupe. Notre logo peut ainsi avoir différentes lectures. Certains retrouveront le « S » de Sogelink, d'autres verront les codes hexagonaux de Geomedia et Geomensura2 ou encore des cubes sur différents plans, en référence à nos solutions 3D et BIM. Ce logo fait finalement écho aux différentes facettes de notre groupe. Quant à la baseline « Make Construction Simple », elle vient désormais affirmer la promesse que nous faisons à nos clients depuis plus de 20 ans : simplifier leur quotidien, au bureau et sur le terrain avec des solutions logicielles innovantes, intuitives et connectées s'appuyant sur le meilleur de la donnée et de l'intelligence géographique. Le choix de l'anglais est naturel dans un contexte de développement du groupe à l'international. »Une offre répondant aux enjeux des acteurs du BTP à chaque étape du processus de constructionUne des motivations de ce rebranding est la volonté de Sogelink de simplifier l'offre et l'expérience client. Avec un site unique www.sogelink.com et une offre consolidée, le groupe adresse aussi bien les bureaux d'études, entreprises de travaux publics, géomètres, topographes, collectivités, que les exploitants de réseaux ou encore les bailleurs sociaux, établissements de santé et entreprises de désamiantage.Pour Fatima Berral : « Nous avons un portefeuille produit très riche, résultant de notre travail en R&D mais également de nos acquisitions stratégiques. Il est donc essentiel pour nous d'apporter à nos clients davantage de lisibilité sur l'accompagnement que Sogelink peut leur proposer à chaque étape de leur projet. »Les offres de Sogelink ont en effet été pensées pour couvrir les besoins des différents acteurs du secteur de la construction autour des études de projets (VRD, ingénierie, gaz, électricité, télécommunications), des déclarations de travaux (DT3, DICT4), des travaux topographiques, de la gestion du domaine public, du risque amiante, de l'exploitation des réseaux mais aussi de l'expertise de la propriété foncière ou encore du suivi des diagnostics immobiliers.Les clients historiques du groupe seront bien sûr en terrain connu car toutes les solutions phares de Sogelink comme DICT.fr, Covadis, Mensura, Amiante360, GeogexFR CAD, Littéralis, Land2Map sont bien sûr présentes à l'appel.Fort de plus de 37.000 clients, 220.000 utilisateurs et un chiffre d'affaires consolidé de 130 millions d'euros, Sogelink se positionne aujourd'hui comme le nouveau leader européen de la Construction Tech. Le groupe compte atteindre les 220 millions d'euros de chiffre d'affaires à horizon 2025 en faisant notamment levier sur ses récentes acquisitions, Locatiqs et Focus Software, respectivement aux Pays-Bas et en Norvège.
Il y a 2 ans et 183 jours

Locken Smart Access un logiciel pour paramétrer et gérer l’ensemble des accès

Spécialisée depuis près de 20 ans dans le développement de solutions de gestion des accès personnalisés et de services à valeur ajoutée, LOCKEN a notamment mis en avant sa solution LSA (Locken Smart Access) particulièrement adaptée aux grandes infrastructures et aux entreprises composées de sites dispersées. En effet, le logiciel Locken Smart Access (LSA) est le cœur des solutions de contrôle d’accès développées par Locken. Simple et sécurisé, il gère, à partir d’une même interface, l’ensemble des solutions proposées par Locken : clés électroniques, mécaniques, solutions smartphones, badges, …Multi-technologies & multi-environnements, le logiciel LSA permet de renforcer la chaîne de valeur des entreprises, de paramétrer et gérer l’ensemble des accès. Le logiciel LSA peut être utilisé tel quel, mais aussi s’intégrer au système d’information de l’entreprise. Il reprendra alors automatiquement des informations comme le statut contractuel des intervenants, la prévention des risques au travail, ou les consignes à transmettre en cas d’incident. Dans certaines entreprises, cette solution de gestion des accès contribuera à l’amélioration du niveau de service en s’intégrant aux données préexistantes, celles par exemple des Responsables Sécurité ou des Ressources Humaines.Un logiciel sécurisé et personnalisableLe logiciel de contrôle LSA permet de configurer les accès sur mesure. Dans sa version « Plug & play », il couvre la totalité des besoins des utilisateurs. Sur mesure, il répond aux attentes spécifiques de chaque entreprise. Le logiciel LSA peut alors s’interfacer avec le système d’information de chaque client et intégrer des fonctionnalités avancées comme la visualisation graphique ou la validation instantanée des demandes d’accès. Ainsi, avec l’appui des experts Locken, chaque entreprise peut disposer d’une solution entièrement adaptée à ses besoins.Un logiciel de gestion des accès convivialLe logiciel LSA, est un logiciel de gestion des accès de nouvelle génération qui bénéficie des dernières avancées en matière d’ergonomie et d’affichage. La cartographie – ou mapping – est l’une des fonctionnalités phare de la solution : les points d’accès positionnés sur une carte Google facilitent la visualisation et le suivi des activités. Interactifs et liés, ils permettent au gestionnaire de naviguer et d’ouvrir de nouvelles pages donnant accès à davantage d’informations. Entièrement personnalisable, la représentation graphique peut se conformer à l’univers visuel et aux besoins de chaque entreprise.Focus : les composantes de la solution Locken La solution de contrôle d’accès développée par LOCKEN repose sur les éléments suivants : Un logiciel de gestion LSA - Locken Smart Access -Une application mobile MyLOCKEN Une gamme de produits incluant une clé électronique à induction sans contact certifiée ATEX et une gamme complète de cylindres et de cadenas électroniques. Des services additionnels standards ou personnalisés.
Il y a 2 ans et 189 jours

Place à la couleur au nouvel Espace Social Commun de Rennes grâce aux tuiles émaillées d’EDILIANS

Porté par la volonté commune du Département d’Ille-et-Vilaine, de la ville de Rennes et de la Caisse d’Allocations Familiales, le nouvel Espace Social Commun (ESC) finit de voir le jour au nord de Rennes, dans le quartier de Maurepas. Celui-ci vise à centraliser dans un lieu unique un ensemble de services publics destinés à soutenir les habitants et à faciliter leurs démarches administratives. Lauréate du concours lancé par le département, l’agence d’architecture Beal & Blanckaert a souhaité conférer à ce nouvel établissement une échelle humaine. L’objectif est double : marquer le quartier de Maurepas d’une nouvelle institution majeure, tout en reflétant l’ambition publique initiale, synonyme d’accueil et d’accompagnement. Un pari réussi grâce à une décomposition de l’ensemble en quatre grandes maisons, rythmées en toiture et en façade par des tuiles émaillées Stretto Huguenot d’Edilians. UN PROJET COMPLEXE FIDÈLE À LA DIVERSITÉ ARCHITECTURALE DU QUARTIER Pour Beal & Blanckaert, l’enjeu majeur était de « donner une échelle humaine à cette réalisation afin d’éviter l’effet d’un établissement trop imposant » dans un quartier emblématique du renouvellement urbain rennais. D’où l’idée de « décomposer le programme en plusieurs maisons pour lui donner un caractère résidentiel tout en unifiant le tout à l’aide d’un matériau que nous souhaitions vibrant » explique Antoine Beal. Répartis sur une parcelle de 2.000 m2, les quatre pavillons de 2 à 5 étages, symbolisant la pluralité des services de l’ESC Simone IFF, se composent d’une structure poteau- poutre béton avec des façades à ossature bois revêtues de tuiles terre cuite. Au-delà de répondre à l’une des exigences du cahier des charges du département qui souhaitait une construction bas-carbone, le choix de l’architecte d’intégrer de la tuile en bardage et en toiture permet de jouer sur une colorimétrie bâtiment par bâtiment et ainsi de « concilier en même temps unité et diversité ». LA STRETTO HUGUENOT ÉMAILLÉE POUR CRÉER UNE MATÉRIALITÉ CHATOYANTE Ayant déjà expérimenté la tuile terre cuite en bardage, c’est tout naturellement que l’agence Beal & Blanckaert s’est intéressée une nouvelle fois à ce matériau. Par sa grande dimension (265 x 370 mm) et sa compatibilité de mise en œuvre sur tous les types de toiture y compris en faible pente (environ 75% à l’ESC Rennes), ainsi qu’en bardage, la tuile Stretto Huguenot s’est imposée. « Mais plus encore ce sont la large palette de teintes personnalisables ainsi que la qualité des émaux développés par Edilians qui ont définitivement séduit aussi bien l’architecte que le maître d’ouvrage », souligne Eric Lebeau, Directeur National de la Prescription. En effet, pour différencier les maisons, chacune possède une tonalité légèrement différente. Cette variation chromatique, réalisée de façon aléatoire à l’aide d’un logiciel spécifique paramétré de manière fine par les architectes, s’exprime au travers de 13 coloris parmi lesquels 3 nuances de verts, 4 rouges, 3 bleus. Afin d’éviter une uniformité totale en toiture et de respecter les contraintes budgétaires du chantier, à cela s’ajoute une déclinaison de 3 blancs à raison de : 20% de tuiles émaillées monocuisson, en Blanc Platine, fabriquées dans l’usine Edilians de St Germer de Fly, et 80% de tuiles double cuisson de la gamme Ultra dans une variation de blanc chaud et froid. Placées principalement en couverture, ces tuiles émaillées blanches présentent un avantage certain en termes de luminosité et de pouvoir réfléchissant en ayant un impact positif global sur le confort et l’efficacité énergétique du bâtiment.Assurant une continuité d’une façade à l’autre, cet effet de pixellisation, qui part d’une teinte très foncée au sol pour se dégrader progressivement vers les blancs, offre ainsi cette matérialité chatoyante à l’échelle du piéton voulue par l’architecte. UNE GESTION MAÎTRISÉE DE L’ÉNERGIE GRÂCE À UNE CENTRALE PHOTOVOLTAÏQUE SOLAIRE MAX Pour contribuer à atteindre l’objectif de performance énergétique de -30% attendu par l’ESC Rennes, 100 tuiles Solaires Max 16 cellules ont été installées directement sur les liteaux d’un pan de toiture de l’un des pavillons. En coloris rouge, elles s’intègrent en toute discrétion aux tuiles Stretto Huguenot et permettent une production énergétique optimale à raison de 59 Wc par tuile, soit près de 6000 Wc. De quoi contribuer à rendre l’espace social plus autonome en énergie ! UNE PROUESSE TECHNIQUE DE L’ÉTUDE À LA MISE EN ŒUVRE Si l’ESC Rennes constituait un véritable défi au niveau esthétique quant au choix des couleurs, il l’était également d’un point de vue dimensionnel. Raison pour laquelle, afin d’éviter toute mauvaise surprise sur le chantier, un important travail d’approche technique et de calepinage a été réalisé très en amont par l’agence Beal & Blanckaert et sa cheffe de projet Hélène Verniers, en fonction de la spécificité de chacune des façades. En étroite collaboration, l’architecte, l’entreprise de pose Loire Atlantique Toiture et Eric Martinat, Directeur Développement Produits d’Edilians, ont ainsi étudié : l’implantation précise des tuiles en façades afin de faciliter leur mise en œuvre et de minimiser le travail de coupe en jouant sur les tuiles et demi-tuiles, l’habillage de la façon la plus discrète possible autour des menuiseries, le traitement des points singuliers pour répondre notamment à la demande de l’architecte en ce qui concerne l’écoulement des eaux pluviales. Une fois achevé cet accompagnement personnalisé, la mise en œuvre des 2.700 m2 de tuiles émaillées Stretto Huguenot dont 1.100 m2 en façade s’est effectuée sans encombre grâce au plan de calepinage minutieusement préparé par l’architecte imprimé en très grand format. Ainsi, pour chaque façade, Loire Atlantique Toiture a trié les tuiles par coloris puis, rangée par rangée dans le bon ordre, avant de les poser à joints croisés, avec un pureau de plus ou moins 14 cm. Quant aux tuiles Solaire Max, même si leur installation constituait une première pour l’entreprise « cela s’est très bien passé. La pose est très simple, de même que le raccordement électrique Plug & Play. C’est presque un jeu d’enfant finalement ! Et ce d’autant plus que nous avions bénéficié au préalable d’une formation technique d’Edilians sur le site pour nous expliquer le fonctionnement », détaille Romain Rouaud qui a repris l’entreprise familiale depuis 5 ans. Le résultat est à la hauteur des enjeux : « l’entreprise Loire Atlantique Toiture a vraiment effectué un travail impeccable. Une mise en œuvre aussi soignée d’un produit noble tel que la tuile, c’est véritablement de l’art » déclare Eric Martinat, enthousiaste. Une composition artistique tant dans la palette de coloris que dans la qualité de finition qui interpellent les habitants du quartier de Maurepas qui confient « trouver cela vraiment très beau ». A propos d’EDILIANS : Leader français de la toiture en terre cuite (9 appellations terroir, 96 modèles et 380 coloris de tuiles) et pionnier de la tuile solaire photovoltaïque universelle depuis 2002, Edilians crée des solutions toitures innovantes au coeur de l’éco-habitat. Edilians fait partie d’Edilians Group : 1700 collaborateurs 400 M€ de CA en 2021 16 sites industriels (France et Europe) 7 marques commerciales edilians.com
Il y a 2 ans et 189 jours

Novade annonce l'intégration avec Autodesk Construction Cloud

Cette intégration supprime les barrières entre les différentes équipes d'un projet de construction en permettant l'échange des données entre les plateformes Novade et BIM 360 de la suite Autodesk Construction Cloud.« Cette intégration entre Novade et Autodesk marque le début d'une longue série de relations entre Novade et différents acteurs technologiques. Notre but est de proposer un véritable écosystème connecté pour le secteur de la construction ». Explique Denis Branthonne, CEO de Novade. « Les entreprises technologiques doivent évoluer avec leur temps - nos clients veulent que leurs données se déplacent de manière transparente entre leurs systèmes et leurs applications. Plus nous pourrons aider l'industrie de la construction à éliminer les frictions liées à la donnée, plus vite l'industrie réalisera sa transformation numérique ».Novade digitalise tous les processus de construction sur le terrain tels que les inspections de sécurité, les fiches d'accueil, le suivi qualité ou les journaux de chantier. Autodesk BIM 360® est adopté par de nombreux acteurs de la construction à travers le monde et facilite la collaboration entre les équipes d'un projet, de la conception à la construction jusqu'à l'exploitation et la maintenance du site. Ces deux outils ont largement été adoptés par les plus grandes entreprises de la construction et de services ainsi que par les promoteurs immobiliers à travers l'Europe, l'Asie et le Moyen-Orient.En connectant les plateformes Autodesk et Novade, les utilisateurs peuvent désormais partager les données collectées sur chantier avec Novade, directement avec les utilisateurs sur BIM 360. De même, les utilisateurs de Novade sur le terrain peuvent désormais travailler avec les dernières versions des plans issus de BIM 360 et ainsi éviter les problèmes liés à l'utilisation des mauvaises versions.« Les projets de construction évoluent rapidement, les équipes sur le chantier et celles dans les bureaux doivent rester synchronisées pour s'assurer que tout le monde travaille sur des données à jour » déclare James Cook, responsable des intégrations chez Autodesk Construction Solutions. « En permettant aux clients d'échanger toutes les données et les documents du projet entre la plateforme de management projet BIM 360 et l'application terrain Novade, les équipes bureau et chantier peuvent renforcer la collaboration et minimiser les erreurs de communication et la ressaisie ». Tiong Seng, un des leaders de la construction à Singapour, est l'un des premiers à adopter l'intégration Autodesk de Novade. Colin Tan, Directeur Général de Tiong Seng Contractors Pte Ltd, déclare : « Pouvoir partager des informations entre nos logiciels existants est essentiel pour réduire les contraintes de notre industrie. Mes équipes disposent désormais d'une visibilité complète sur les projets ainsi que sur l'avancement, qu'elles soient sur site ou hors site, avec un accès au suivi qualité et sécurité en temps réel ».Pour permettre aux entreprises de la construction d'optimiser facilement la quantité colossale de données qu'elles collectent et gèrent, les entreprises technologiques cherchent des moyens de synchroniser, de partager et de rendre accessible leurs données.Pour résoudre ce problème, Novade a récemment lancé Novade Connect, un ensemble d'intégrations logicielles permettant une connexion « plug and play » avec les leaders du digital.
Il y a 2 ans et 190 jours

Logiciel CAO alternative N°1 à AutoCAD : consultez la dernière brochure et les vidéos de ZWCAD

Récapitulatif des points forts de ZWCAD :Des licences perpétuelles, par code, dongle ou réseauUn format natif DWG (y compris AutoCAD 2023)Un outil CAO léger et plus rapide qu'AutoCADUne interface standard, Classique ou Ruban, mode clair ou sombreDes APIs pour développer ses propres outils (LISP, VBA, .Net, ZRX)30 jours d'essai gratuitsUne hotline gratuite et illimitée même pendant votre essaiUne version gratuite pour vos petits projets, utile si vous avez besoin d’ouvrir des fichiers DWG régulièrement.Maîtrisez vos coûts avec la licence perpétuelleEn opposition avec le modèle par abonnement d’AutoCAD, ZWCAD est disponible en licence perpétuelle. Le fonctionnement est simple, vous achetez un logiciel à vie sans avoir à payer les mises à jour chaque année. Vous pouvez cependant, lorsqu’une mise à jour apporte des fonctionnalités utiles pour votre activité, décider de prendre une mise à jour.Pour ceux qui le souhaitent, ZW France propose la « souscription » afin d’avoir un logiciel toujours à jours. ZW France a comparé le budget sur 5 ans antre ZWCAD et AutoCAD avec et sans la souscription :Fonctionnalités CAO DAOUtilisez les commandes classiques :Décaler, Ajuster, Raccord, Copier, utilisez des hachures, réalisez des cotesAjoutez des annotations, du texte, des repères, des blocs, des attributs de blocsGérez vos calques…Vous pouvez utiliser des Lisps comme des macros sur ZWCAD StandardAvec ZWCAD version Pro, utilisez des applicatifs métiers comme AutoFluid pour la gestion des fluides, Spatial Manager pour le géoréférencement, Geogex by COVADIS pour le foncier, Aplitop pour la topographie, etc.ZWCAD comprend la quasi-totalité des fonctionnalités d’AutoCAD. Pour comparer les 2 solutions et les versions, ZW France vous invite à regarder le comparatif entre les fonctionnalités d’AutoCAD et de ZWCAD. Ressources : documentation et vidéosConsultez la dernière brochure d’information sur ZWCAD en cliquant ici !Découvrez des tutoriels, vidéos des nouveautés et interview sur Batinfo ou sur la chaine YouTube ZW France.
Il y a 2 ans et 191 jours

Baromètre 2022 de la base INIES : toujours plus de données environnementales pour accompagner la RE2020

INIES, base de référence de la RE2020Entrée en vigueur depuis janvier 2022, la RE2020 est une étape majeure dans la décarbonation du secteur de la construction française. Son objectif est d’améliorer la performance environnementale des bâtiments neufs afin de diminuer leur impact sur le climat.Outil de référence pour l’application de la RE 2020 la base INIES permet à tous les acteurs de la construction d’évaluer l’empreinte environnementale des bâtiments neufs. Elle est aujourd’hui la plus grande base de données environnementales des produits et équipements de la construction (FDES, PEP Ecopassport®, DED et DES) et s’impose comme la seule source de données aussi riche en Europe pour permettre d’alimenter les logiciels d’ACV Bâtiment.Conscient de leur rôle central pour la mise en application de la RE2020, les fabricants de produits de construction et d’équipements se sont d’ailleurs une nouvelle fois engagés activement dans une démarche volontaire des déclarations de leurs solutions, 100% vérifiées, numérisées puis mises à disposition gratuitement..Ainsi, au 31 août 2022, la base INIES compte un total de 5 389 données (en hausse de 28% par rapport au baromètre 2021) dont :3 190 FDES (+29% par rapport au 31 décembre 2021) représentant 676 086 références commerciales599 PEP (+14% par rapport au 31 décembre 2021)1 495 DED dont 1009 produits de construction et 486 équipements105 données conventionnelles dont 33 lots forfaitaires et 72 données conventionnelles de services (DES)343 organismes déclarants de FDES et 51 organismes déclarants de PEP (dont 100 nouveaux déclarants de FDES et 5 pour les PEP depuis 2022)Cette très forte croissance du nombre de déclarants témoigne de la démocratisation de la réalisation des déclarations environnementales accompagnant la RE2020.Côté famille de produits et équipements, le Baromètre 2022 INIES donne une vision précise des différentes familles représentées. Tout comme dans le Baromètre 2021, on note que l’isolation enregistre toujours le plus grand nombre de FDES (1202), devant le secteur des produits pour le cloisonnement et les plafonds suspendus (493) et ceux pour la structure/maçonnerie/gros oeuvre/charpente (356), secteur qui occupe la troisième place exæquo avec les revêtements de sols et murs/peinture/produits de décoration (356).Pour les PEP, les appareillages d’installation pour le secteur des réseaux d’énergie électrique et de communication dominent toujours le classement côté équipements avec 313 documents renseignés et vérifiés, suivis par les équipements de génie climatique (146) puis ceux dédiés à la sécurité du bâtiment (41).Il est important de rappeler que la Base INIES fournit les informations nécessaires pour le calcul de l’impact environnemental global du bâtiment. Ainsi elle va au-delà de l’indicateur « carbone » et intègre également des informations sur le stockage du carbone biogénique présent dans l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments ; la quantité de matériaux issus de ressources renouvelables, recyclées ou recyclables qui leur sont incorporées pour l’économie circulaire ; des informations sanitaires pour renseigner sur la contribution du produit à la qualité de l’air intérieur du bâtiment. C’est la prise en compte de l’ensemble de ces indicateurs qui permet d’évaluer la performance environnementale et sanitaire du bâtiment.INIES : les nouveautésPour permettre à tous d’accéder facilement à la base de données INIES, un nouveau site a été mis en place depuis fin 2021. Ce dernier s’est enrichi de 5 nouveaux motions design à vocation pédagogique. Des courtes vidéos sont accessibles dans l’objectif de partager, de façon simple et ludique, les informations clés concernant la base INIES, les FDES et les PEP.Concernant les équipements du génie climatique, la base de données de déclarations environnementales du programme PEP a été entièrement repensée et offre désormais une nouvelle interface d’enregistrement et de consultation avec de nouvelles fonctionnalités.À la demande des spécialistes de l’ACV bâtiment en charge de contrôler la qualité des ACV de bâtiments, une nouvelle interface à été mise à disposition afin de faciliter le contrôle du calcul de la contribution des composants du bâtiment selon la RE2020.Les données manquantes pour la RE2020Malgré la progression constante de la base INIES depuis bientôt 20 ans et une forte mobilisation des fabricants, certaines données manquent encore à l’appel pour la RE2020.Afin d’encourager les fabricants à fournir les déclarations environnementales de leurs produits, la base INIES publie dans son Baromètre 2022 la liste prioritaire des familles de produits et d’équipements pour lesquelles les déclarations sont manquantes.#FaistaFDESAppuis de baieBoisseaux et Conduits de fumisterieCharpentes aluminium et bétonComplexes de doublage : plâtre + polystyrène extrudéColles (charpente, réparation), masticsCuves et réservoirsÉviers, lavabos et receveurs de douche en matériaux de synthèse et acier inoxydableEscaliers et mains courantesÉléments de couverture en petits et grands éléments : PVC, bois, fibre ciment, pierre, zinc…Fondations bois massif et préfabriquées bétonIsolants acoustiques pour cloisons : fibre de coton, de lin, laine de mouton, laine et fibre de boisIsolants thermiques et acoustiques : laine, liège expansé, sous-vide, verre cellulaire, chenevotte, perlite…Isolation répartie non porteuse : torchisGaines et fourreauxGarde-corps en bois, PVC, polycarbonate…Membranes pour façade légère : parevapeurMousse PUPlafonds suspendus / plafonds tendus PVCPortes bois reconstitué, portes PVCProduits de finition/décoration : plinthes, papiers peints, pierres naturelles…Primaires de préparation de supportProduits d'étanchéité et d'imperméabilisation pour murs enterrésRéseaux d’évacuation et d’assainissement (acier, béton, PE)Réseaux adduction gaz (PE, acier)Système de drainage (PVC et PP)Tomettes en terre cuite#FaistonPEPBatteriesBlocs multiprisesCaissons de ventilation, centrale doux flux, filtresChaudières gaz, fioul, hybrideCoffrets VDI, coffrets étanches, connectiqueCogénérateurs photovoltaïques, convertisseurs, régulateursCoudes et accessoiresCheminent de câbles : goulottes, boîtes…Convecteurs, unités de confortDiffuseurs d’air : terminaux, entrées, bouches d’extractionDisjoncteurs divisionnaires, fusibles, interrupteurs, variateurs, délesteurs, minuterieFibre optiqueFils et Câbles non isolés ou chauffants, câbles Haute tensionMatériels d’éclairage : encastrés, appliques, projecteurs, luminaires/bornes extérieurs…Motorisations d’ouverturePoints d’accès wifi, répartiteursSystème de désenfumage (grilles, volets, caissons…)Systèmes de diffusion sonore : sonnettes, haut-parleursSystèmes de sécurité incendie, éclairages de sécurité et vidéosurveillanceLa base INIES regroupe :les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour les produits de la construction ;les Profils Environnementaux Produits (PEP) pour les équipements électriques, électroniques et de génie climatique.des données environnementales par défaut (DED)des données conventionnelles de service (DES).Télécharger le Baromètre INIES 2022
Il y a 2 ans et 192 jours

Orne : Guibout Matériaux inaugure sa centrale BPE rénovée

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. L’acquisition de leur première centrale à béton permet à Guibout Matériaux de produire chaque année 20 000 m3 de béton. [©Guibout matériaux] Fondée en 1867, à Flers, l’entreprise Guibout Matériaux, spécialisée dans la distribution de matériaux de construction, continue son essor. Forte de ses six points de vente dans l’Orne, la Mayenne et le Calvados, la société a inauguré, le 22 septembre 2022, sa centrale à béton rénovée. Acquise en mai 2020, l’unité Guibout Béton est située à Messei, à 5 km au Sud de Flers. « C’est un nouveau défi pour notre société, déclare François Guibout, président de l’entreprise éponyme. Nous avions déjà notre unité de préfabrication, à Magny-le-Désert, mais elle ne faisait pas de BPE. Nous avons appris que Norma Béton, un acteur historique du BTP local souhaitait vendre son activité. Après de longues réflexions, nous nous sommes dit que c’était une parfaite opportunité de renforcer la complémentarité et la synergie de nos activités. Nous nous sommes donc lancés dans cette belle aventure ! » Plusieurs séries de travaux ont été réalisées durant ces deux ans, afin de mettre en conformité cette centrale. En tout premier lieu, l’accueil clients des bureaux a été déplacé au plus près du site de production et des locaux sociaux ont été créés. Par la suite, plusieurs cases à granulats ont été rénovées. Lire aussi : OMG, nouveau malaxeur italien Plus récemment, 4 bassins de décantation pour le traitement des eaux de process ont été installés par Eiffage. S’ajoute à cela un système de recyclage des eaux décantées. Il est utilisé pour le nettoyage des toupies, de la piste et du malaxeur OMG à doubles arbres verticaux, d’une capacité de 1,5 m3. Concernant les outils informatiques et téléphoniques, une modernisation a été opérée. Guibout Matériaux est passé au logiciel de Command Alkon. Grâce à ce dernier, l’industriel produit en moyenne chaque année, 20 000 m3 de béton. La zone de chalandise couvre 50 km autour de la centrale. Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Retrouvez nous sur tous nos réseaux sociaux en cliquant ici !
Il y a 2 ans et 195 jours

swedish wood accede au dictionnaire de donnees define

L’organisation industrielle Swedish Wood va pouvoir accéder au dictionnaire de données Define. Élaboré par le fournisseur de logiciels norvégien Cobuilder, cet outil va permettre à Swedish Wood de fluidifier les collaborations au sein de l’industrie et simplifier la circulation d’informations concernant les produits du bois.
Il y a 2 ans et 197 jours

Semaine de l'industrie : des usines pour décarboner la planète ?

Au cours de la "semaine de l'industrie" qui a débuté ce lundi, de nombreuses visites d'usines, forums des métiers, escape game, job dating... sont prévus dans toute la France entre industriels et collégiens, lycéens ou étudiants pour découvrir des métiers auxquels ils n'auraient pas pensé."On a un peu plus de 7% de chômage et on n'arrive pas à recruter, c'est un grand paradoxe français", a dit le ministre de l'Industrie Roland Lescure sur Europe 1 lundi, avant de se rendre chez le motoriste aéronautique Safran à Créteil qui veut faire découvrir les avancées en matière de décarbonation de l'aviation."L'industrie, c'est 18% des émissions de CO2, mais 100% des solutions pour dépolluer les transports notamment", a-t-il ajouté, en référence aux travaux menés pour développer des batteries ou voitures électriques qui n'émettent pas de CO2, des trains à hydrogène ou des moteurs d'avion verts.La semaine de l'industrie s'adresse majoritairement aux jeunes de 11 à 17 ans et à leurs enseignants ou responsables de formation, mais aussi "aux demandeurs d'emploi intéressés par une carrière ou une reconversion dans l'industrie", précise Bercy dans un dossier de presse, évoquant les 4.500 événements gratuits organisés (), relayés par des influenceurs sur les réseaux sociaux comme TikTok ou Loopsider.Le gouvernement souhaite "lutter contre les idées reçues" en soulignant que les deux axes prioritaires des industriels français en ce moment sont "la transition écologique" et "l'innovation et la digitalisation", alliés aux enjeux de souveraineté pour relocaliser des productions sur le territoire national.Les exemples sont à foison, d'Anaïs, conductrice de ligne agroalimentaire à Loudéac qui alimente et programme des machines automatisées, à Pauline, technicienne méthodes en électronique pour l'aéronautique et l'aérospatial à Fougères, qui teste des composants électroniques sur maquette ou sur des logiciels de simulation, et participe à des essais de prototype.Dans l'est, une visite est organisée sur le site de Storengy, spécialisé dans le stockage souterrain de gaz naturel, et en développement de projets de géothermie, d'hydrogène et de biométhane. L'entreprise Sogefa invite enseignants et élèves à visiter son unité de valorisation des déchets. Et en Bourgogne, un festival de la transition écologique et numérique est organisé pour les jeunes et demandeurs d'emplois. Un effort particulier est fait pour attirer les jeunes filles, qui représentent moins de 30% des salariés de l'industrie. L'association "Elles bougent" organise plus de 120 événements avec 62 entreprises et établissements partenaires, dont une visite de Framatome au Creusot, la présentation du métier d'usineur et montage d'appareil de voie sur le site de Vossloh à Reischoffen, ou encore une session "découverte des métiers de l'ingénieure" àl'école Sigma de Clermont-Ferrand.
Il y a 2 ans et 198 jours

Paiements, préconstruction, main d'oeuvre : des innovations sur la plateforme Procore

Procore, fournisseur de logiciels de gestion pour la construction, a dévoilé le 9 novembre des innovations qui s'appuient sur l'analyse prédictive afin de gagner en efficacité pour résoudre certains des défis du secteur.
Il y a 2 ans et 203 jours

Flir One Edge Pro, la première caméra infrarouge mobile véritablement sans fil

Contrairement aux modèles précédents, la FLIR ONE Edge Pro nouvelle version n'a pas besoin d'être matériellement connectée à l'appareil mobile auquel elle est associée, et ne se décline pas en plusieurs modèles selon les divers systèmes d'exploitation, ce qui lui confère une flexibilité maximale pour les inspections thermiques.« La FLIR ONE Edge Pro est la caméra mobile thermique-visible la plus polyvalente et la plus sophistiquée à ce jour, grâce à son format amovible, conçu pour offrir une prise en main des plus confortables. Elle offre une flexibilité nettement supérieure en rendant inutile l'emploi de ports de connexion ou de systèmes d'exploitation spécifiques », déclare Chris Bainter, vice-président du marketing et du développement commercial chez Teledyne FLIR. « En plus de la nouvelle conception matérielle, Teledyne FLIR fournit plus d'outils logiciels pour permettre aux utilisateurs novices et non formés d'effectuer des inspections thermographiques, de traiter les images obtenues et de créer des rapports. Parmi les utilisations courantes de la caméra figurent notamment l'inspection des bâtiments, la réparation automobile et les applications de maintenance industrielle. »Conception flexible et cependant robusteConforme à la norme « RESNET » et à la certification IP54, la FLIR ONE Edge Pro dispose d'un système d'attache à ressort conçu pour permettre aux opérateurs de fixer la caméra sur de nombreux modèles de téléphones mobiles et de tablettes. Grâce à la connexion Bluetooth et Wi-Fi combinée, les utilisateurs peuvent utiliser l'Edge Pro jusqu'à 30 mètres de distance de leur appareil mobile, ce qui leur permet d'inspecter efficacement les endroits difficiles d'accès ou de conserver, selon les situations, un périmètre d'intervention sécurisé.Dotée d'une caméra thermique Lepton® radiométrique d'une résolution de 160 × 120 associée à une caméra à lumière visible, la FLIR ONE Edge Pro offre une qualité d'image et des capacités de traitement garantissant d'excellents résultats. Outre VividIR, un système de traitement qui associe plusieurs images pour générer une image finale d'une plus grande netteté, MSX® permet de combiner les caméras entre elles. La fonction brevetée MSX d'amélioration de l'image superpose le détail des contours (fournis par la caméra visible) sur l'image thermique sans sacrifier les données thermiques, et optimise ainsi la netteté et le rendu de l'environnement pour faciliter la prise de décision.La FLIR ONE Edge Pro possède également une batterie d'une autonomie supérieure à celle des générations précédentes de la FLIR ONE et un témoin de charge clairement visible, ce qui la rend parfaite pour les inspections un peu plus longues (restaurations après sinistre, inspections d'habitations, audits énergétiques et diagnostic des équipements industriels).Un plus grand nombre d'images et de rapportsPour le stockage dans le cloud, le traitement des images et la création de rapports, la FLIR ONE Edge Pro dispose d'un vaste ensemble de logiciels Teledyne FLIR, parmi lesquels Tools Mobile, Ignite cloud et le logiciel de bureau FLIR Thermal Studio. Les utilisateurs peuvent ainsi partager facilement les photos thermiques Edge avec les clients et les intégrer de manière fluide dans les rapports professionnels.De plus, les développeurs d'applications ont accès au kit de développement logiciel (SDK) FLIR ONE pour créer des applications personnalisées, exclusivement utilisables avec la FLIR ONE Edge Pro.La caméra est disponible sur commande au niveau mondial depuis le 10 novembre.
Il y a 2 ans et 204 jours

Le cahier des solutions

Bati Média & Planète Bâtiment présentent : Le Cahier des Solutions. Weber / Gamme Tradical et béton de chanvreUne offre enrichie Depuis le 1er mai 2022, suite à un accord signé avec le groupe belge Lhoist, Weber commercialise, en exclusivité sur le territoire français, les produits Tradical à base de chaux aérienne. Entre ces produits qui viennent enrichir la gamme Georges Weber et l’offre « bétons de chanvre » que le fabricant entend développer, ce dernier assoit davantage son expertise en restauration patrimoniale. Mélange de chanvre, de chaux et d’eau, le béton de chanvre, biosourcé, présente des propriétés isolantes et peut être utilisé en neuf comme en rénovation, y compris en préfabrication. Matériau de remplissage, il s’utilise notamment dans les systèmes constructifs poteaux-poutres, qu’ils soient en bois ou en béton. L’occasion pour Weber de se positionner sur l’enveloppe avec une solution durable et légère ! Avec le couple Tradical Thermo + Chanvribat, conforme aux règles professionnelles, il ajoute à sa gamme une solution béton de chanvre de hautes performances (temps de prise, lambda, etc.) reposant sur une formule brevetée. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Weber Photo : Isonat Isonat /DuoprotectIsolant rigide en fibres de bois Sous forme de panneau rigide, l’isolant Duoprotect est composé de fibres de bois issues de plaquettes des scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. Biosourcé, le produit présente la résistance mécanique la plus élevée de la gamme rigide d’Isonat, tout en offrant des performances thermiques intéressantes. Pour exemple, sa conductivité thermique est de 0,046 W/(m.K). En outre, il assure une bonne isolation acoustique, notamment aux impacts de pluie, ce qui le rend pertinent en isolation de toitures inclinées par l’extérieur. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Schöck / Rupteurs Rutherma Impact carbone minimum, performances maximum Assurant les liaisons structurelles dalle/façade, dalle/balcon, dalle/loggia, dalle/éléments saillants de l’enveloppe et refend/façade, les rupteurs Rutherma, types DFi, DFi/ VM, Ki, DB, D et RF, développés par Schöck sont désormais couverts par une nouvelle Fiche de déclaration  environnementale et sanitaire (FDES), valide jusqu’en avril 2027. Une pole position pour cette gamme qui affiche le meilleur impact carbone du marché des rupteurs de ponts thermiques linéiques, avec une valeur de 12,2 kg.eq.CO2/UF. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Forbo Flooring Systems Photo : Schöck Rutherma DFI Forbo Flooring Systems / Marmoleum MarbledEloge de l’écoconception Dès son élaboration, la collection de revêtements de sol Marmoleum Marbled de Forbo est, comme tous ceux de la famille Marmoleum, un hymne à la nature. Elle se compose, en effet, de matières premières naturelles, renouvelables pour la plupart – huile de lin, résine de pin, farine de bois (certifiée PEFC et issue de forêts gérées durablement), pigments et charges  minérales –, sur un support en toile de jute. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com VisionAIR / Ciment CalciaDes ciments moins carbonés Grâce à des formulations variant la proportion de clinker et d’ajouts, Ciments Calcia propose VisionAIR, une gamme de ciments à l’empreinte carbone moindre (jusqu’à – 40 % de CO2). Des solutions moins carbonées pour une performance optimale des produits mis en œuvre, garantissant ainsi qualité et pérennité des ouvrages. À disposition, quatre produits livrés en sacs : Baticia, un ciment pour béton destiné à tous les usages du bâtiment ; Forcia, un ciment pour béton adapté aux milieux agressifs ; Flexia, un ciment pour mortier de montage avec air entraîné ; Poncia, un mortier de montage à base de pierre ponce pour blocs béton et briques, qui permet de supprimer la quasi-totalité des ponts thermiques. Autres choix durables du fabricant, des sacs en papier kraft sans traitement de blanchiment, des encres à l’eau avec des pigments de grade alimentaire et des colles à base d’amidon. En outre, VisionAIR décline des solutions dédiées aux applications BPE de type fondation, voile, plancher, et Préfa pour les bétons précontraints avec démoulage immédiat ou différé. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Calcia Photo : Hörmann Hörmann et Tubauto Engagement environnemental Leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l’industrie, le tertiaire et l’habitat, le groupe Hörmann s’est engagé, depuis des années, dans la sauvegarde du climat et de l’environnement. À l’heure de la RE 2020 et de la réduction des émissions de carbone, il est déjà opérationnel avec des solutions neutres en carbone sur ses portes d’intérieur et dans son offre promotionnelle Europa Promotion. L’usine de production Tubauto, propriété du groupe allemand depuis 1991, lui emboîte le pas, opérant elle aussi sa transition environnementale. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com   Knauf Lightboard Horizon 4Plaque de plâtre allégée… comme son empreinte carbone Knauf innove avec Knauf Lightboard Horizon 4, première plaque de plâtre à quatre bords amincis pour plafonds, plus légère et plus facile à poser qu’une plaque standard. La formulation de son cœur de gypse permet, en effet, un gain de poids de près de 25 % – de quoi faciliter les chantiers au quotidien. Cette solution, unique sur le marché français (sous Atex du CSTB), est adaptée à la réalisation d’ouvrages de plafonds et rampants intérieurs, dans tous types de bâtiments (hors locaux humides). Autre argument fort, son empreinte environnementale allégée, qui séduira à coup sûr les maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Photo : Seigneurerie Seigneurerie/PhylopurPeinture biosourcée Composée d’alkyde d’origine végétale en phase aqueuse à 97 %, cette peinture biosourcée permet de répondre à tous les chantiers engagés dans une démarche environnementale. Dénommée Phylopur, elle propose aux professionnels des performances d’esthétique et d’application en positionnement haut de gamme. Déclinée en impression et finition mate et soie, elle est blanche de base et peut se teinter dans toutes les teintes pastel. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Viessmann / Vitodens SEChaudière auto-adaptative gaz à condensation Dévolue aux ménages modestes et d’une qualité éprouvée, la nouvelle chaudière auto-adaptative gaz à condensation Vitodens SE, signée Viessmann, garantit un haut confort en chauffage comme en production d’eau chaude sanitaire. Adaptée aussi bien à la construction neuve qu’à la rénovation, cette chaudière, avec échangeur de chaleur instantané intégré, est dotée d’une étiquette énergétique A. Elle couvre une plage de puissances allant de 3,2 à 25/29 kW (double service, chauffage et production d’eau chaude sanitaire à micro-accumulation : 15,4 l/min selon EN 13203). Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Viessmann Photo : Alkern Alkern et RE2020 Cap sur la performance environnementale L’engagement d’Alkern pour améliorer l’impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d’euros ont été investis sur les sites d’Izeaux (38) et de Mouy (77) : d’une part dans une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d’autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100 % minérale Airium, soit des blocs 100 % recyclables, sans étape de tri. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Veka / Veka RecycleEn avance sur le recyclage L’innovation passe par l’environnement et, en la matière, Veka anticipe régulièrement les réglementations. Pour preuve, le groupe affiche aujourd’hui une moyenne de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés, un pourcentage à comparer à la moyenne nationale située à 8 %, ou encore aux objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025. En 2022, l’industriel va encore plus loin avec la solution Veka REcycle. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Veka Photo : Kemica Coatings Kemica Coatings / Souplethane 5Résine d’étanchéité biosourcée Cette PME française développe des résines d’étanchéité et de revêtements de sols biosourcées et innovantes, destinées aux secteurs de la construction et du génie civil. Ainsi sa gamme de résines vertes et durables Souplethane 5, qui couvre une quinzaine d’applications dans le secteur du bâtiment et bénéficie des qualifications du CSTB. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Xella Ytong / Compact 20Construire malin avec le béton cellulaire Dédié à la construction de maisons individuelles, qu’elles soient de plain-pied ou à étages, le bloc Ytong Compact 20 permet d’alléger l’isolation du bâti en parois verticales, voire de plancher bas, et de gagner en Shab par rapport à d’autres matériaux de construction. Il se positionne donc comme la solution la plus économique, tout en respectant les différents indicateurs de la RE 2020. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Xella Ytong Photo : Onduline Onduline FlexoutuileUn matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture Onduline Flexoutuile contiennent environ 50 % de matières premières recyclées. En outre, leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Sans oublier les émissions de CO2 réduites grâce au poids allégé des matériaux, ce qui limite l’impact du transport. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Saint-Gobain Glass Première gamme de verre bas carbone C’est une étape essentielle pour la construction durable que Saint-Gobain Glass franchit avec cette gamme de verres présentant la plus faible empreinte carbone du marché. Une première dans l’industrie, obtenue grâce à une production qui associe un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin), l’utilisation d’énergie renouvelable ainsi qu’un effort important en recherche et développement. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com   Photo : Saint-Gobain Glass Photo : Cem’In’Eu Cem’In’EuCiment bas carbone Cem’In’Eu investit pour produire un ciment à base de pouzzolane, une matière première naturelle extraite localement. Son utilisation permet de réduire fortement le pourcentage de clinker et représente donc un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments produits, en vrac comme en sac. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Sika / Sikadur -31+Adhésif structural « Développement Durable » Dernier arrivé dans la gamme des solutions « Développement Durable » développée par le spécialiste de la chimie de la construction, l’adhésif structural Sikadur -31+ offre de meilleures performances, tout en affichant une technologie et un mode d’application plus vertueux. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Sika Photo : Milliken Milliken & Company / Revêtement de solsEn route vers la neutralité carbone « Notre programme M/PACT prouve que les revêtements de sol peuvent satisfaire les attentes de design et de performance, tout en tenant compte des enjeux environnementaux », souligne Jim McCallum, vice-président exécutif de Milliken & Company. Plus concrètement, les matériaux non essentiels sont éliminés des produits, tandis que ceux issus du recyclage sont privilégiés. Privilégiés également, l’approvisionnement régional et la production locale, afin de limiter l’impact du transport. De même, l’industriel s’efforce de réduire sa dépendance au pétrole. Les revêtements de sol présentent une traçabilité intégrale des produits. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Solar-Paint / SolarcoatLa peinture de toit qui rafraîchit PME toulousaine, Solar-Paint a mis au point, en partenariat avec son fournisseur ariégeois Maestria, la solution Solarcoat, une peinture à l’eau qui intègre des ingrédients naturels et des matières recyclées, telle la brisure de verre. Simple, peu coûteuse et durable, cette peinture de toit blanche présente un taux de réflexion solaire supérieur à 92 %, ce qui permet d’abaisser de 5 °C en moyenne la température intérieure des bâtiments. Et donc de limiter le recours à la climatisation en période estivale. À la clé, des économies d’énergie ainsi qu’une amélioration du confort et du bien-être des occupants. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Solar-Paint Photo : Kompozite Deep Tech / KompozitePlateforme d’aide à la conception bas carbone Destinée aux architectes, bureaux d’études, constructeurs et maîtrises d’ouvrage, la plateforme Kompozite, développée par la startup Deep Tech, leur permet de prendre rapidement et efficacement des décisions complexes en termes de construction durable. La solution applique au secteur du BTP, des techniques de design génératif, bien connues dans les secteurs de l’aéronautique ou de l’automobile. Plus clairement, le logiciel compile les données pour générer des solutions constructives optimisées en fonction des contraintes spécifiques de chaque projet, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Immoblade / Vitrages de protection solaireEconomies d’énergie toute l’année Réduire l’empreinte carbone des bâtiments en diminuant leurs consommations d’énergie liées à la climatisation et au chauffage. Telle est l’ambition d’Immoblade, qui conçoit, fabrique et commercialise des vitrages de protection solaire uniques sur le marché. Efficaces toute l’année, ces derniers ne nécessitent aucune maintenance. Leur dimension innovante réside également dans leur capacité à laisser passer les apports solaires en hiver et à les bloquer l’été. Et ce, sans nuire à la visibilité des occupants ni à l’aspect architectural des bâtiments. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Immoblade Photo : Rector Rector / Box Rupteurs EquatioUne gamme réduite mais performante Dans le cadre de sa démarche RSE, Rector, fabricant d’éléments en béton précontraint et béton armé, a ajusté le contenu de ses Box, afin de réduire les pertes et déchets sur les chantiers. À disposition : Box vide sanitaire, Box étage & toit terrasse et Box sous-sol & toit-terrasse. De même, les cartons utilisés sont recyclés et recyclables. Moins de références à stocker, un design revu, un code couleur pour une meilleure lisibilité sur le parc de stockage : le fabricant a également pensé à ses clients distributeurs. Complète, compacte et pratique, la nouvelle gamme de Box de rupteurs Equatio illustre sa volonté de proposer aux professionnels de la construction des solutions adaptées à leurs besoins. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Knauf Ceiling Solutions / Plafonds AdagioPerformance acoustique et graphique Réflexion de la lumière, confort acoustique, durabilité et flexibilité de design… La nouvelle gamme minérale de plafonds acoustiques Adagio, de Knauf Ceiling Solutions, répond aux plus hautes exigences. Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline en quatre solutions : Adagio Acoustic+, Adagio Alpha+, Adagio Db+ et Adagio HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm). Chacune peut se poser seule ou être combinée selon les effets recherchés, soit un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Ceiling Solutions Photo : LG LG / ERV résidentielleConfort intérieur et économies d’énergie Complète, la nouvelle solution de ventilation (ERV) résidentielle est équipée d’une filtration en plusieurs étapes, pour un air purifié et un environnement agréable. Elle est, en outre, compatible avec l’application LG ThinQ™. L’expérience utilisateur s’avère confortable, avec une surveillance en temps réel des niveaux de poussières fines et de dioxyde de carbone, ainsi qu’une commande à distance intuitive. Grâce à l’échangeur de chaleur de LG, cette solution garantit une circulation de l’air efficace, tout en réduisant de manière significative le gaspillage énergétique. En effet, elle permet de récupérer jusqu’à 85 % de l’énergie du chauffage en hiver et 83 % de l’énergie du refroidissement en été. Soit une consommation minime en fonctionnement, ce qui réduit d’autant les factures d’électricité de l’utilisateur, tout en gardant un environnement de vie plaisant. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com  Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Le cahier des solutions est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 204 jours

Qualité de l’air et efficacité énergétique, l’inséparable duo

Ventiler est impératif pour garantir la qualité de l’air intérieur, mais cette fonction est consommatrice d’énergie. Les récentes normes internationales ambitionnent d’améliorer la gestion des installations. Exploitants de parcs immobiliers et bureaux d’études thermiques le savent : le chauffage, la climatisation et la ventilation concentrent la moitié des dépenses d’énergie d’un bâtiment, et environ 30 % tiennent aux systèmes de ventilation. Soit 15 % des charges totales d’un bâtiment. Pour faire circuler l’air dans les réseaux de diffusion et d’extraction, les ventilateurs doivent combattre trois principales sources de pertes de charge : en premier lieu, le linéaire du réseau de gaines (± 40 %) ; en deuxième lieu, les filtres (± 30 %) ; en troisième lieu, les batteries chaudes et froides placées au centre des centrales de traitement d’air (± 20 %). Ce classement souligne l’importance à accorder aux filtres. La formule de calcul pour déterminer leur consommation d’énergie est connue des prescripteurs et exploitants. Elle est résumée par : 1 pascal supplémentaire de perte de charge est égal à 1 euro dépensé en plus. Ce lien entre la filtration et les coûts d’exploitation d’un bâtiment est désormais un sujet technique. Qualité de l’air et filtration Deux raisons à cela. La première concerne la prise en compte de la qualité de l’air qui s’est accrue au cours de la décennie écoulée. En témoigne le travail de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a établi que la pollution de l’air était responsable de 7 millions de décès chaque année de par le monde. La seconde provient de la révision des normes internationales des produits de filtration depuis le milieu des années 2010. Elles prennent en compte les deux notions d’efficacité de filtration et de maîtrise des consommations. En témoignent leurs étiquettes de classement Eurovent. Bernard Reinteau  Indispensables à la ventilation, les filtres constituent le deuxième poste de perte de charge d’un système aéraulique, d’où l’intérêt de leur choix et de leur exploitation.Photo : Camfil « Filtrer efficacement et à coût maîtrisé est possible. » « L’innovation technologique parvient à faire face au double défi de la qualité de l’air et de la maîtrise des consommations d’énergie. Ce sujet fait l’objet de travaux de recherche et développement depuis plusieurs années, et les industriels sont parvenus à mettre au point des médias filtrants à la fois performants et d’une très faible perte de charge. À tel point qu’il est aujourd’hui possible d’abandonner les classiques « préfiltre + filtre » pour ne retenir qu’un seul filtre. Les bureaux d’études et les exploitants de bâtiments équipés de centrales de ventilation verront immédiatement le bénéfice qu’ils pourront tirer de cette innovation : la filtration sera d’un niveau élevé, les consommations d’énergie pratiquement réduites de moitié et le coût de remplacement sensiblement diminué. » Michel Duclos président , Association des ingénieurs et techniciens en climatique, ventilation et froid (AICVF) Photo : AICVF Solution n° 1 Trois évolutions importantes pour des normes en phase avec le sujet énergétique :    Capacité de filtration. Les classes G4 à F9 de l’ancienne norme EN 779 ont laissé place, en août 2018, à la norme internationale ISO 16890 et ses 4 classes : grossier (ou coarse), ePM10, ePM2,5 et ePM1, plus proches des réalités physiques de la filtration. Ventilation des bâtiments non résidentiels : l’EN 16798-3 d’août 2017. Ce référentiel « croise » les standards de l’OMS et les nouvelles classes de filtration de l’ISO 16890. Ce qui permet d’indiquer les solutions de filtration minimales pour obtenir la qualité de l’air intérieur requise selon la qualité de l’air extérieur et la catégorie d’usage des locaux  : à occupation permanente, temporaire, sans occupation… L’association Eurovent détaille l’application de cette norme dans sa recommandation dite 4/23 de novembre 2020. Limites d’usage des filtres à la norme ISO 16890 selon la norme EN 13053 de 2019 qui recommande, selon ce référentiel : – un filtre ISO grossier doit être changé dès que sa perte de charge dépasse de 50 Pa sa perte de charge initiale, ou atteint trois fois sa perte de charge initiale – on retient toujours la plus faible valeur ; – un filtre ISO ePM10, ePM2,5 ou ePM1 doit être changé dès que sa perte de charge dépasse de 100 Pa sa perte de charge initiale, ou atteint trois fois sa perte de charge initiale – on retient toujours la plus faible valeur.  Les nouvelles générations de centrales de traitement d’air d’une capacité de 15 000 voire 25 000 m3/h sont équipées de moteurs à commutation électronique plus sobres en énergie.Photo : France Air Solution n° 2 Préparer une stratégie de filtration Les concepteurs et exploitants ont en main tous les leviers pour gérer au plus près les consommations d’énergie dues à la ventilation et éviter leurs dérives. Deux critères apparaissent prépondérants : Le rendement du moteur du ventilateur. Les développements techniques récents orienteront les achats vers des versions à commutation électronique, donc basse consommation et à haut rendement. Ces moteurs équipent en standard des centrales de traitement d’air jusqu’à 15 000 m3/h. Le choix du filtre. Depuis l’application des nouvelles normes internationales, l’émulation anime les acteurs que sont AAF (American Air Filter), Camfil, Freudenberg ou Titanair. AAF met l’accent sur l’audit des installations et une analyse fine du coût global de l’installation. Le suédois Camfil travaille tous les types de média filtrant, fibres synthétiques et fibres de verre, développe des profils de poches coniques ou de cadres de dièdres favorisant l’écoulement et conçoit ses produits selon un principe de coût total optimisé ; les équipes commerciales disposent aussi d’un logiciel de sélection des produits au regard de la maîtrise des charges. Freudenberg, moins présent en bâtiment et plus orienté vers l’industrie, présente des gammes en fibres synthétiques et organiques. Titanair vient d’être récompensé par l’AICVF pour la création de sa fibre GreenTex à très faible perte de charge initiale – 53 Pa pour un 3 000 m3/h – qui permet, sur 6 000 h, de réaliser plus de 50 % d’économie d’énergie.    Les fournisseurs de filtres répondent à la double demande d’amélioration de la filtration et de réduction des pertes de charge. Titanair propose une microfibre synthétique d’une perte de charge initiale deux fois inférieure à celle observée sur des produits pour un même usage.Photo : Titanair En septembre 2021, l’OMS a publié sa révision des valeurs guides de la qualité de l’air extérieur : Pour les particules d’une taille minimale de 10 µm, ou PM10, la moyenne annuelle doit être de 15 µg/m3 et la pointe moyenne sur 24 heures de 45 µg/m3 ; Pour les particules d’une taille minimale de 2,5 µm, ou PM2,5, la moyenne annuelle doit être de 5 µg/m3 et la pointe moyenne sur 24 heures de 15 µg/m3. À noter que les valeurs guides des particules les plus fines et les plus dangereuses pour l’organisme, celles de 1 µm dites PM1, font toujours l’objet de débats. Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Qualité de l’air et efficacité énergétique, l’inséparable duo est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 204 jours

Bâtiment bas carbone, les start-up se mobilisent

En France, le secteur du bâtiment est celui qui consomme le plus d’énergie parmi tous les secteurs économiques : 70 millions de tonnes d’équivalent pétrole. Cela représente 43 % de l’énergie finale totale (source Ademe). Motivées par cette réalité, les start-up se mobilisent pour apporter des solutions cherchant à réduire l’empreinte carbone. Elles proposent des solutions novatrices pour développer de nouveaux modes de conception, de construction et d’exploitation pour des bâtiments décarbonés. Découvrons trois solutions soutenues par Constructech Club. 1/ Kompozite, plate-forme pour la conception et la construction de bâtiments bas carbone   Kompozite compile les données des matériaux de construction pour générer des solutions constructives optimisées en fonction des contraintes spécifiques de chaque projet, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. « À travers notre solution, les architectes, les bureaux d’études, les constructeurs et la maîtrise d’ouvrage peuvent prendre rapidement et efficacement des décisions complexes pour la construction des bâtiments durables, nous précise Damien Cuny, CEO de Kompozite. Notre solution permet de prendre des arbitrages techniques très rapidement en phase conception, appel d’offres ou chantier. » Kompozite permet d’augmenter la pertinence des matériaux mis en œuvre, notamment en termes d’empreinte carbone ; de maîtriser les contraintes réglementaires et les risques d’assurabilité liés aux matériaux ; et de diffuser l’innovation matériaux, notamment bas carbone. Seules quatre données sont nécessaires pour lancer la création d’un projet : adresse, emprise, destination et environnement. Une fois le projet créé, l’utilisateur peut bénéficier de l’ensemble des fonctionnalités de Kompozite, dont les principales sont :   Un moteur de recherche de produits classés par familles ou techniques : pour connaître l’impact carbone de n’importe quel matériau tout en précisant ses conditions d’utilisation ; Un générateur automatique de combinaisons de matériaux les moins polluants et adaptés aux contraintes de l’utilisateur ; La visualisation des données à l’échelle du bâtiment : donne accès à certaines statistiques telles que la répartition de l’impact carbone par lots ou un calcul de carbone biogénique. 2/ Teamoty Recycle, pour optimiser la gestion des déchets sur les chantiers   Teamoty Recycle est un logiciel qui permet de gérer et de tracer le tri des déchets de l’ensemble des entreprises d’un projet de construction. « Digitaliser le tri, c’est s’assurer de la traçabilité des déchets, c’est favoriser un tri sélectif, et faciliter la gestion des projets », nous explique Fabien Font, CEO de Teamoty Recycle. En France, chaque année, ce sont près de 46 millions de tonnes de déchets qui sont créées par le secteur. Autant de déchets qui doivent être triés pour répondre aux nouvelles réglementations et aux enjeux du changement climatique. » La mise en œuvre d’une filière à responsabilité élargie des producteurs (REP) pour que les industriels du secteur financent la collecte et la valorisation de ces déchets, dite filière « PMCB » pour produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment, initialement prévue pour janvier 2022, a été repoussée d’un an, mais ses contours sont déjà fixés. Ainsi, Teamoty Recycle permet d’ores et déjà aux acteurs du bâtiment d’être en conformité et de gérer le tri des sept flux à la source, c’est-à-dire sur le chantier. Le principe de Teamoty Recycle est simple et comporte quatre étapes : le responsable de déchets sur chantier déclare les bacs sur la plate-forme en les identifiant à l’aide d’un QR code ; il peut attribuer les bacs aux différentes sociétés (une signature ou photo sera nécessaire pour valider l’attribution) ; il définit ensuite si le bac est à trier ou non et en vérifie l’état avant de l’orienter vers la dernière étape : le tri ou le vidage. À l’issue de ce processus, le bac sera remis dans le système d’attribution. 3/ Optimiz Construction, les meilleures pratiques pour le poste de ferraillage En France, chaque année, c’est 10 fois le poids d’une tour Eiffel de treillis soudés qui est jeté : au mieux, ces chutes sont mises à la benne ; au pire, elles sont laissées dans la dalle de béton ! Optimiz Construction aide les entreprises de gros œuvre à gagner 20 % de performance sur leur poste de ferraillage en optimisant les matériaux et la mise en œuvre. Dès la phase de préparation du chantier, via son application web d’optimisation de découpes, Optimiz Construction permet aux conducteurs de travaux ou aux chefs de chantier de commander jusqu’à 25 % de treillis soudés standards en moins sans remettre en cause la solidité des structures. Durant la phase d’exécution, l’équipe de ferraillage dispose d’un plan de découpes optimisé et d’étiquettes générées automatiquement par l’application web. Cette approche, inspirée du Lean Construction, permet de gagner en efficacité sur le poste de travail et de réduire considérablement les déchets. S’inspirer des meilleures pratiques chantier et simplifier leur mise en œuvre, voilà la recette de Marion Malandain,CEO d’Optimiz Construction, pour se réapproprier le savoir-faire du poste de ferraillage. La solution permet à la fois des performances environnementales, avec la réduction des déchets, de l’empreinte carbone et des rotations de bennes, des performances économiques, avec la réduction des quantités de matériaux standards à commander et du temps de mise en œuvre sur le chantier, et des performances applicatives avec la simplification des plans de pose et la réduction de la découpe chantier et des déplacements. Bilan du Club Avec l’entrée en vigueur de la RE 2020 en 2022 et la mise en place de REP bâtiment en 2023, la réglementation se durcit pour contraindre le secteur de la construction à construire plus durable. La bonne nouvelle : les start-up françaises répondent présent quand il s’agit de créer des solutions innovantes pour réduire l’empreinte carbone dans tout le cycle de vie du bâtiment. À propos de Constructech Club J’ai créé Constructech Club dans l’objectif de favoriser le développement économique des métiers du BTP par l’innovation. Mon équipe et moi accompagnons les chefs d’entreprises et les directions opérationnelles des TPE et des PME du secteur dans le processus d’identification et d’adoption des solutions technologiques pour améliorer la productivité et la rentabilité de leurs entreprises. Nous avons été sélectionnés par BPI France et par France Num dans le cadre du plan France Relance pour accompagner 1 500 entreprises du BTP dans leur transformation numérique. Diana Gonzalez Pour plus d’information rendez-vous sur le site de Construtech.club Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Bâtiment bas carbone, les start-up se mobilisent est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 204 jours

Avec quadro evo, Hager s’ouvre de nouveaux horizons pour adresser des projets jusqu’à 4000 A

Hager lance quadro evo, un système de distribution d’énergie, permettant aux tableautiers, aux installateurs et aux bureaux d’études de répondre à des projets jusqu’à 4000 A. Il illustre la volonté de Hager d’adresser des projets de plus grande envergure, en offrant aux professionnels de nouvelles façons de concevoir et d’installer une distribution électrique. Pour réaliser son nouveau tableau général basse tension, Hager s’est appuyé sur ses plus de 65 ans de savoir-faire dans la fabrication d’enveloppes d’armoires électriques. Bien qu’elle conserve l’ADN des enveloppes Hager, cette évolution de la gamme quadro voit 80% de ses composants intérieurs renouvelés.Des performances accruesLa structure mécanique robuste de quadro evo permet d’atteindre des performances plus élevées :– le nouveau système d’équipement interne offre une résistance aux courts-circuits jusqu’à 85 kA, une protection contre les chocs IK10 et une protection contre l’eau et les poussières IP55,– les nouveaux supports de jeu de barres offrent une stabilité accrue jusqu’à 4000A,– quadro evo permet de répondre à des indices de service jusqu’à 233 et d’assurer une continuité de service en toute sécurité lors des interventions, la maintenance ou les évolutions du tableau. ©Hager Une mise en œuvre facilitéeAvec quadro evo, tous les éléments sont conçus pour un assemblage simple et rapide :– la structure interne des cellules de quadro evo a été conçue pour offrir plus d’espace de travail à l’installateur,– le nouveau système de supports et de profilés universels permet une plus grande modularité,– un nouveau système de kits de montage, plus simple et plus précis, permet également le positionnement et la mise en œuvre plus rapides des appareils.Grâce à ces nouveautés, mais aussi grâce aux vis accessibles par l’avant, les évolutions ultérieures et la maintenance seront facilitées. ©Hager Une compatibilité avec l’écosystème HagerPour la distribution électrique principale, quadro evo peut embarquer des boîtiers moulés intelligents h3 et h3+ jusqu’à 1600 A.quadro evo peut également être associé au logiciel Stream, pour assurer la surveillance des consommations multi-énergies sur un ou plusieurs sites. Intégré dans un écosystème de comptage et de mesure énergétique, il répond parfaitement aux exigences du Dispositif Eco Energie Tertiaire (décret tertiaire) qui s’appliquent depuis 2021.Enfin, le logiciel Hagercad.T évolue avec quadro evo pour rendre les phases de configuration, de conception et de chiffrage plus aisées, rapides et précises. ©Hager Pour quels projets ?Le système permet la réalisation d’équipements de distribution basse tension pouvant aller jusqu’à 4000A en forme 4b, pour des applications tertiaires : locaux commerciaux, hôtels, bâtiments administratifs, publics ou privés, industriels, hôpitaux, infrastructures routières et ferroviaires. quadro evo est adapté à la réalisation des TGBTs mais aussi des tableaux divisionnaires.Le système de distribution d’énergie quadro evo est un ensemble d’appareillages de puissance testé et certifié selon la norme IEC 61439-1 & 2.
Il y a 2 ans et 208 jours

CEME utilise Fieldwire pour coordonner efficacement ses projets entre le terrain et le bureau

CEME en chiffresCollaborateurs : 700Projets : 1600Secteurs d’activité : génie électrique, climatique et maintenanceAvant FieldwireAvant d’utiliser Fieldwire pour suivre leurs projets, Lucas Sabrié, performance manager, estime que CEME n’avait peu, voire pas, de contrôle opérationnel de l’activité.Au début, les techniciens sur le terrain étaient réticents à l’idée d’utiliser le logiciel Fieldwire, par crainte que l’utilisation de l’application génère une plus grande charge de travail sur le terrain et au bureau.Finalement, les équipes terrain ont peu à peu réalisé que Fieldwire leur évitait d’oublier des éléments importants dans les tâches du quotidien : photos, procédures, documents de chantier…Avec FieldwireCEME a créé une centaine de projets sur la plateforme Fieldwire. Paul Teyssier, project manager, peut ainsi suivre toutes les tâches des techniciens sur les 2 ou 3 chantiers qu’il suit en parallèle. Il vérifie sur le logiciel les formulaires au fur et à mesure pour être sûr que rien n’a été oublié. En cas d’oubli ou de défaut, il peut communiquer en temps réel avec le technicien sur le terrain, qui corrige l’erreur, met à jour le formulaire instantanément et peut fermer la tâche directement.Grâce à l’utilisation du logiciel Fieldwire par les chargés d’affaires et les techniciens, Lucas Sabrié, performance manager, peut récupérer des données pour alimenter des tableaux de bord et suivre ainsi l’activité opérationnelle. Ils ont ainsi pu établir une cartographie de leurs projets : tant en termes de régions qu’en termes de types de chantier. Il a ainsi les cartes en main pour définir les axes de développement et sa feuille de route.Le verdictAprès la phase d’apprentissage pour maîtriser les formulaires et les taches sur l’outil, Kevin Raveaud estime que Fieldwire lui fait gagner énormément de temps au quotidien.“C’est un gain de temps complet” souligne Kevin Raveaud, technicien terrain.Selon Paul Teyssier, avec Fieldwire toutes les informations sont centralisées et accessibles à tous, ce qui rend la collaboration beaucoup plus facile. L’utilisation de Fieldwire leur a ainsi permis de réaliser des interventions plus efficaces et de diminuer le nombre d’allers retours sur le terrain.“Tout ce qu’on avait mis en place avant est enfin regroupé en un seul outil.” explique Paul Teyssier, project manager.Maintenant que le logiciel de suivi de chantier Fieldwire a été adopté par les équipes CEME, elles ne peuvent plus s’en passer et le project manager va encourager tout le monde à l’utiliser !
Il y a 2 ans et 209 jours

La découpe mobile automatisée arrive en France

La découpe mobile automatisée arrive en France chez NOMAD ROBOTICS pour libérer les employés du travail fastidieux et épuisant de la coupe des carreaux La découpe mobile automatisée arrive sur le marché français. Nomad Robotics propose assurément la solution plus performante d’entre elles : le Cut’nMove. Autonome, intuitif et adaptatif sont les principaux caractères de cette solution. Elle propose un système entièrement équipé qui permet de s’adapter à vos besoins. En bref, le Cut’nMove c’est : Un système entièrement équipé Un Software intuitif Une augmentation de la productivité Une découpe adaptative Nomad Robotics, expert et distributeur en solution robotiques, à destination de la construction, lance cette solution robotique. Le Cut’nMove est la solution robotique mobile révolutionnaire de découpe mobile automatisée, elle vient révolutionner le quotidien de nombreux projet de construction en accélérant considérablement les tâches compliquées et supprimant des tâches répétitives voir dangereuses pour les salariés. Pourquoi le Cut’nMove plutôt qu’un autre ? Cut’nMove est une plateforme technologique révolutionnaire qui amène les robots directement sur le chantier de construction. Alors que la plupart des projets de construction nécessitent l’aide humaine, le Cut’nMove vient automatiser les découpes de pavés, qui sont des tâches compliquées lorsqu’on utilise la méthode traditionnelle.  Avec sa petite taille, son boîtier pour remorque de voiture et ses commandes faciles sur iPad, Cut’nMove est le robot coupeur de carreaux agile et mobile qui va révolutionner le pavage et le jardinage paysager. Cette solution est en réalité un système complet permettant de s’adapter à une multitude de situation grâce à sa technologie révolutionnaire. Sa plateforme robotisée de coupe de carreaux est hébergée dans le châssis d’une remorque de voiture, le Cut’nMove est mobile et se transporte facilement d’un chantier à un autre. Le système est équipé d’un robot 6 axes connecté au cloud pour une liberté de coupe totale. Le robot est monté avec une lame diamantée, qui peut typiquement couper des carreaux de béton, céramique, granite, brique, marbre, pierre naturelle et bien d’autres. La taille de l’objet peut aller de 10 x 10 cm à 60 x 80 cm et de 4 à 16 cm d’épaisseur. Un générateur embarqué est présent sur la solution, cela augmente sa capacité d’automatisation et prouve encore une fois que le Cut’nMove est autonome grâce à l’alimentation électrique autonome. L’aspirateur complète le système afin de gérer les découpes de carreaux lourds en diminuant considérablement les particules de poussières. De plus, la solution est équipée de la mise à niveau automatique qui permet le déploiement de celle-ci sur des terrains irréguliers. L’ensemble du système est commandé par une interface iPad facile à utiliser. Vous n’avez plus besoin de former vos salariés pendant de longues périodes, l’IPad est un outil de la vie de tous les jours. Pour utiliser le Cut’nMove, il vous suffit de l’accrocher à votre voiture, de le déployer et de couper, il n’a jamais été aussi facile d’effectuer ces tâches compliquées. Une utilisation simplifiée, au service de besoins changeants Cut’nMove décharge le travail de coupe des carreaux et permet de se concentrer sur l’artisanat du pavage. En automatisant le processus de coupe, il peut être réalisé en toute sécurité par une seule personne alors qu’un travail de pavage nécessite deux personnes avec la méthode traditionnelle. Cette solution permet donc de doubler votre productivité. Grâce à l’interface IPad, l’environnement de travail de vos salariés sera plus ergonomique, changeant ainsi l’image entière des chantiers. Cut’nMove vous permet de créer facilement des conceptions avancées, accélérant ainsi considérablement les tâches compliquées. Enfin, c’est un procédé sûr et silencieux qui encapsule la poussière, l’eau et les particules dans son environnement fermé, augmentant la sécurité du travail à des niveaux sans précédent, réduisant le niveau de bruit au travail et éliminant les particules de poussière provenant de la coupe processus. Pourquoi a-t-il été créé ? Cut’nMove est une solution robotique mobile révolutionnaire, la première en son genre, pour la découpe adaptative sur site de tuiles de construction. Nous avons créé Cut’nMove pour libérer les paveurs du travail fastidieux et éprouvant de la coupe de carreaux et permettre la création de motifs de carrelage avancés en appuyant simplement sur un bouton.  Il fonctionne en synchronisation avec un processus de pavage conventionnel, automatise le processus de coupe et vous permet de doubler la quantité et qualité de travail dans le même temps. Comparaison de la méthode traditionnelle au Cut’nMove Avec la méthode traditionnelle, les risques étaient nombreux : Nombre de particules de poussière élevé (14,4 mg/m3 en moyenne) Niveaux sonores élevés > 110 dB  Inconvénients pour les citoyens  Mauvaise ergonomie  Risque de blessures liées au travail Avec le Cut’nMove, les risques sont considérablement réduits : Moins de particules de poussière provenant de la coupe, en moyenne 0,212 mg/m3 Faibles niveaux sonores
Il y a 2 ans et 209 jours

Elcia valorise deux tonnes de matériaux de son stand à Batimat

L'éditeur de solutions logicielles pour les acteurs de la menuiserie affiche 4 tonnes de CO2 évitées grâce à la revalorisation de son...-Stores et fermetures
Il y a 2 ans et 210 jours

Batimat 2022 : Interview de Nicolas Mellin Directeur Commercial chez Sage et Bertrand Micas, Soserbat

Nicolas Mellin nous invite à découvrir Batigest et Batigest Connect, logiciels phares de Sage, ainsi que plusieurs nouveautés et la collaboration de Sage avec Soserbat, sur son stand à BATIMAT 2022.
Il y a 2 ans et 211 jours

TotalEnergies vs Greenpeace : La comptabilité carbone sous le feu des projecteurs

L’épisode TotalEnergies s’ajoute à d’autres épisodes récents - Coupe du monde 2022 au Qatar, Apple, Amazon - lors desquels les calculs carbone publiés par les organisations sont remis en cause. Cela vient nous rappeler que la pratique de la comptabilité carbone a encore du chemin à parcourir en termes d’harmonisation et de transparence.Rappel des faitsAprès étude du bilan carbone de TotalEnergies et en le comparant à celui de son concurrent Shell (beaucoup plus élevé que celui de TotalEnergies) Greenpeace a décidé de recalculer le bilan carbone 2019 du pétrolier français.Résultat : 1637 millions de tonnes de CO2. 4 fois plus que les 469 millions de tonnes CO2 calculés par TotalEnergies.TotalEnergies déclare se conformer à la méthodologie du GHG Protocol. L’entreprise admet elle-même faire des exclusions, mais semble se défendre en disant qu’elles sont légitimes.Ce que ni Greenpeace ni TotalEnergies ne disent clairement, c’est que la différence de calcul est expliquée en grande partie par l’exclusion d’une activité de TotalEnergies du périmètre de calcul.En l’espèce, TotalEnergies déclare dans un article des Echos ne pas inclure l’activité de trading qui consiste à acheter et revendre sur le marché, des barils produits par d’autres. Total s’en était d’ailleurs bien sorti en 2020 en plein Covid grâce aux bénéfices de l’activité de trading : acheter des barils à prix bas, les stocker, puis les revendre sur des contrats futures au-dessus du prix d'achat.Ces émissions exclues par Total comptent théoriquement dans les catégories 1 et 11 du Scope 3 :Catégorie 1 : “Purchased goods and services”. On compte les émissions liées à la production de ces barils achetés.Catégorie 11 : “Use of sold products”. On compte les émissions liées à la combustion des barils vendus.La méthodologie est donc claire sur le fait que ces émissions rentrent dans le Scope 3 de TotalEnergies.En effet, l’entreprise achète des millions de barils produits par d’autres et les revend pour faire des bénéfices. TotalEnergies pourrait décider de faire du trading sur d’autres actifs. Mais en choisissant de développer une activité de trading massive sur le pétrole, TotalEnergies facilite les émissions liées à la production et consommation de ces barils. Ne pas l’inclure dans son bilan carbone reviendrait à occulter ce pan de son activité pourtant important dans son plan d’action pour le climat.Renforcer la crédibilité de la comptabilité carboneUn enjeu majeur se pose derrière cette guerre des chiffres : Comment renforcer la crédibilité de la comptabilité carbone ?Harmoniser les pratiquesIl existe aujourd’hui deux grandes méthodes de calcul des émissions carbone avec en l'occurrence la méthode française Bilan Carbone et la méthode internationale GHG Protocol. Ces méthodes, toutes deux qualitatives et se reposant sur des travaux de recherches importants, peuvent avoir des approches différentes selon les émissions analysées.Mais au-delà du choix de la méthode, l’exemple TotalEnergies le montre très bien ici, c’est la compréhension et l’usage de la méthode en elle-même (ici GHG Protocol) qui pose problème. Le même cas de figure a eu lieu récemment après la publication d’un rapport de Carbon Market Watch remettant en cause le bilan carbone calculé par les organisateurs de la coupe du monde de football 2022 au Qatar. Ou encore au sujet d’Apple qui oublie de comptabiliser une partie de son Scope 3.Face à ces polémiques, les professionnels de la comptabilité carbone se doivent d’agir collectivement et rapidement afin d’harmoniser les différentes pratiques. Le diable se cachant dans les détails, les méthodologies doivent évoluer vers un cadre pratico-pratique plus poussé pour éviter ce genre de situations.Ces professionnels, qu’ils travaillent dans les grands cabinets de conseil - EY, KPMG, Deloitte, dans les cabinets spécialisés - Carbone 4, South Pole, Ecoact - ou au sein d’éditeurs de logiciels de comptabilité carbone doivent venir en aide aux organismes en charge de mettre à jour et compléter ces méthodologies : l’ABC (L’Association pour la transition Bas Carbone) et le GHG Protocol.C’est précisément le sens de l’initiative d’Open Carbon Practice, communauté créée le mois dernier à l’initiative de Sami. Elle regroupe plus de 200 praticiens de la comptabilité carbone et focalise son travail autour d’un wikipedia de la comptabilité carbone - le Plan Carbone Général - pour détailler et harmoniser chaque méthode et sous-méthode de calcul par catégorie d’émissions.Apporter plus de transparence dans les calculsAutre problème soulevé par cet épisode : le manque de transparence dans les méthodes utilisées lors de la réalisation d’un bilan carbone. Il est en effet impossible de comparer des différences entre des résultats sans connaître les méthodes utilisées au préalable. Greenpeace et son cabinet partenaire (Facter X) ont par exemple dû se contenter d’hypothèses afin de calculer les émissions du groupe français.Il est essentiel que les acteurs de la comptabilité carbone se mettent en marche afin de rendre publiques les méthodes qu’ils utilisent ce qui permettrait une meilleure transparence des résultats des entreprises.Du côté des acteurs de la comptabilité carbone, certains l’ont bien compris. C’est par exemple le cas de la société française Sami qui a décidé de rendre sa méthodologie interne totalement open-source.Certaines entreprises font aussi le choix de la transparence dans le résultat de leur empreinte carbone et des méthodes utilisées. C’est par exemple le cas de la société Amazon qui détaille les émissions de ses différents scopes ainsi que la méthodologie utilisée.Le point de départ vers la réduction des émissionsIl est important de rappeler que l’objectif derrière la réalisation d’un bilan carbone est la réduction de ses émissions. Or sans une bonne mesure, il devient très difficile de se fixer les bons objectifs de réduction mais aussi de pouvoir s’étalonner par rapport aux autres entreprises de son secteur d’activité.Il est donc urgent que les acteurs de la comptabilité carbone travaillent de concert afin de rendre la pratique plus harmonieuse et surtout plus transparente, sans quoi les données carbone publiées par les entreprises seront accueillies avec de plus en plus de méfiance par les citoyens.Tribune de Tanguy Robert, CEO chez Sami (Linkedin).
Il y a 2 ans et 212 jours

Comment garantir une construction connectée pour les acteurs du bâtiment ?

La construction connectée permet de connecter digitalement les équipes, les processus et les informations tout au long du cycle de vie d’un projet de construction de bâtiment.  En connectant et en intégrant les flux de travail et les données liées au projet, les informations circulent de manière transparente d’un système à l’autre. La collaboration fluide entre les parties prenantes d’un projet commun est alors garantie, ainsi que l’accès à des données fiables et à jour. Découvrez comment garantir une construction connectée pour les acteurs du bâtiment dans cet article !  Le BIM, solution pour une construction connectée Si la modélisation est clé en BIM, l’aspect “Information” de cet acronyme est très important. Bien que souvent mis en second plan. Pourtant, il permet de créer une communication entre les acteurs d’un même projet de construction digitale. Et ça, c’est important. L’information doit être démocratisée, compréhensible pour tous les acteurs, y compris pour ceux qui ne sont pas experts BIM. Et pour aller plus loin encore, une fois le BIM implémenté, la solution est de connecter les différentes interfaces de logiciels BIM de chacun (Revit, Archicad, Rhino…) pour garantir une interopérabilité.  L’interopérabilité en BIM, quésako ? L’interopérabilité en BIM est la capacité pour un logiciel Revit par exemple, de fonctionner avec un logiciel Rhino sans restriction d’accès ou de mise en œuvre. Comme un portail de voyage vers une autre dimension, mais pour le BIM ! De cette manière, chacun peut travailler avec l’outil BIM qu’il ou elle préfère. Et ainsi, garantir que les informations et modèles soient correctement échangés sans pertes d’informations.  C’est notamment possible avec les visionneuses IFC comme BIMData.  Cet outil permet un échange de données pour collaborer facilement avec tous les acteurs d’un projet commun.   BIMData et BIM&CO, via sa solution Onfly, se sont d’ailleurs associés pour garantir un accès au BIM à tous. Ce partenariat permet d’accéder à ses données en un clic, de les sélectionner et visualiser plus simplement en 2D et 3D. Aussi, il devient possible de les structurer et partager afin de mieux collaborer avec toutes les parties prenantes de vos projets. Découvrez-en plus sur l’accès au BIM pour tous, avec BIMData et Onfly de BIM&CO, en visionnant notre événement réalisé à ce sujet ! Construction connectée et transformation digitale : homonymes ou voisins ? On l’aura compris, le BIM est le secret pour arriver à une construction connectée. Mais quant au concept de « transformation digitale”, s’agit-il de la même chose ?  Bien qu’il s’agisse de termes qui se ressemblent, nous sommes navrés de vous annoncer que non, ce n’est pas la même chose. Explications. La transformation digitale ouvre la porte à la connexion. Les acteurs de l’AEC (architectes, ingénieurs et constructeurs) peuvent être plus ou moins digitalisés, mais cela ne signifie pas qu’ils soient connectés les uns aux autres. Certains vont travailler chacun de leur côté avec leur logiciel BIM, avec leurs informations, mais… sans les partager. Si certains n’en ont pas les moyens techniques, d’autres ne sont tout simplement pas prêts mentalement à partager leurs informations sur un projet. Cela crée alors des données BIM en silo. Alors, disons que la transformation digitale correspond plutôt au voyage mené pour atteindre une construction connectée pour les acteurs du bâtiment.  Il s’agit pour les acteurs d’un même projet de construction, de connecter leurs systèmes, dans un emplacement partagé, centralisé et cela grâce au digital. Le bonus : si une entreprise de construction ne s’y connaît pas énormément en digital, elle peut quand même mener à bien un projet avec un bureau d’études qui a un niveau plus élevé dans ce domaine. Via un emplacement commun, tout le monde a accès au même niveau d’information. Cela va encourager les acteurs moins digitalisés à se jeter dans le bain. Plutôt sympa, non ? Oui mais… Comment s’y prendre concrètement ? La transformation digitale pour atteindre une construction connectée Avec des solutions comme Onfly de BIM&CO, il est possible de réaliser cette centralisation et ce travail commun sim-ple-ment. Onfly est une bibliothèque commune de contenus BIM pour partager et centraliser ses informations, données et objets BIM. Découvrez dans notre livre blanc les 10 étapes simples pour créer votre propre bibliothèque d’objets BIM ! Découvrez la suite dans notre article de blog !
Il y a 2 ans et 212 jours

Hiboo désormais disponible sur l’App Marketplace de Procore

Ce partenariat offre aux utilisateurs la possibilité de suivre et de réduire les émissions de carbone liées à l’utilisation des équipements. Hiboo collecte plus de 60 sources de données provenant de tous types d’équipements et les transforme en informations exploitables. Grâce à cette intégration, les utilisateurs de Procore peuvent désormais accéder aux données de leur parc matériel et les visualiser directement dans Procore. Cette intégration favorise le développement durable en permettant aux utilisateurs de Procore de mesurer, d’analyser et de reporter les émissions de CO2 des matériels de chantier. Elle aide également les utilisateurs de Procore à maximiser la productivité et l’efficacité de leurs matériels en suivant leur utilisation et leurs activités. Pour Clément BÉNARD, CEO et cofondateur de Hiboo : « Notre vision chez Hiboo est d’aider les acteurs de la construction à utiliser les données émises par les matériels dans les outils et logiciels qui font sens pour eux. C’est pourquoi nous sommes heureux de rejoindre la Marketplace de Procore. » Pour Kris LENGIEZA, VP, Global Partnerships & Alliances de Procore : « Notre partenariat avec Hiboo élargit et améliore considérablement la gestion des équipements de construction pour nos utilisateurs. L’intégration maximise la productivité, l’efficacité et la durabilité de chaque équipement impliqué dans un projet de construction. »
Il y a 2 ans et 216 jours

Assa Abloy annonce l’acquisition d’Alcea et renforce sa position sur le marché des infrastructures critiques

ASSA ABLOY développe son activité Critical Infrastructure avec l’acquisition d’ALCEAASSA ABLOY a récemment annoncé avoir reçu l’ensemble des approbations réglementaires nécessaires permettant clôturer l’acquisition de la société française ALCEA. La fusion des opérations d’ALCEA dans l’activité Critical Infrastructure d’ASSA ABLOY Global Solutions peut désormais se poursuivre.Pour Jorma ISSAKAINEN, vice-président Senior de l’activité Critical Infrastructure d’ASSA ABLOY Global Solutions : « Grâce à l’acquisition d’ALCEA, nous complétons notre offre logicielle et concrétisons ainsi notre stratégie autour des solutions centrées sur le contrôle d’accès. Notre objectif est de renforcer notre expertise et de devenir le leader mondial dans les environnements de protection des infrastructures critiques. »Pour Pascal LENGLART, Fondateur d’ALCEA : « ALCEA a été fondée en 1995 et emploie aujourd’hui 120 personnes. Il était important pour ALCEA, et donc pour ses clients, que la motivation première de cette acquisition soit la dimension industrielle du projet. »Pour Bruno ALSINA, Directeur des opérations d’ALCEA : « Nous sommes ravis que les solutions, relations et services d’accompagnement que nous avons développés avec nos clients s’inscrivent dans la continuité et bénéficient de la dynamique d’un des principaux groupes de sécurité au monde. »ALCEA, le concepteur français de solutions de sûretéALCEA, qui réalise un chiffre d’affaires de 20 millions d’euros, est un fabricant de logiciel de supervision de sûreté et de matériel de commande électronique associé. ALCEA propose une offre complète et évolutive pour répondre aux besoins de sécurisation des sites publics comme privés.Pour Dominique JARDIN, Directeur d’activité Critical Infrastructure France chez ASSA ABLOY Global Solutions : « ALCEA dispose d’une forte expertise en matière de contrôle d’accès, notamment dans les secteurs des télécommunications et des transports. Cette expertise s’inscrit parfaitement dans l’offre que nous proposons à nos clients. Grâce à cette acquisition, nous proposons désormais une offre complète et sur-mesure pour répondre aux besoins des infrastructures critiques. »La solution de surveillance ALWIN, le produit phare d’ALCEAALWIN est une solution de supervision sûreté et le produit phare d’ALCEA. Cette solution est certifiée par l’Agence Nationale de la Cybersécurité en France (ANSSI). Le système ALWIN est un logiciel modulaire et ouvert qui pilote différents dispositifs : des accès, des caméras de surveillance, des capteurs de détection d’intrusion. La solution ALWIN intègre déjà les solutions Aperio et CLIQ d’ASSA ABLOY et prochainement ABLOY BEAT.ExpoprotectionALCEA et Critical Infrastructure participeront à la prochaine édition du salon Expoprotection, du 15 au 17 novembre à Paris, porte de Versailles.
Il y a 2 ans et 217 jours

Découvrez l’interview de la Directrice Générale de Quarta au Congrès des Géomètres Experts

L’entreprise Quarta réalise de nombreux projets fonciers, de copropriété, d’aménagement… et utilise le logiciel de CAO ZWCAD depuis plus de 2 ans. Performance, développement, engagements RSE et utilisation du logiciel ZWCAD au sein de QUARTA : vous en saurez plus dans cette interview.
Il y a 2 ans et 217 jours

SoPump vise l’international

Morad Houmir, fondateur et président de SoPump, sur son stand à Bauma [©ACPresse] Ils étaient aux anges, les petits jeunes de SoPump. Sélectionnés par les organisateurs de Bauma et invités à y exposer, parmi une cinquantaine de start-up venues du monde entier. « C’est l’occasion pour nous de nous faire connaître en dehors des frontières françaises et de nous ouvrir à l’international, explique Morad Houmir, fondateur et président de SoPump. Nous avons la volonté de nous développer sur certains marchés européens, pour commencer. » Au programme, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie. Ceci, en plus de la Belgique où la start-up est déjà présente. « Nous avons aussi été sollicités par les Canadiens… » En France, le logiciel de SoPump gère plus de 800 opérations de pompage de béton chaque jour et quelque 400 machines y sont connectées. « Cela représente environ 50 entreprises réparties entre la France et la Belgique. » Ainsi, SoPump facilite le travail des pompistes au quotidien, en particulier pour ce qui touche la facturation. Et plus largement, les tâches administratives, souvent très chronophages. En finir avec d’administratif La société de pompage-type cliente de SoPump est soit un créateur qui ne veut plus de papier et qui mise sur la dématérialisation. Ou alors l’entreprise à la tête de 6 à 8 machines, qui arrive à saturation, côté administratif. Le 3e profil est la société possédant plus de 40 pompes et qui passe plus de 10 j/mois à faire de l’administratif… SoPump espère beaucoup d’un développement à l’international. D’autant que le potentiel est immense et l’approche assez différente de la France. « Dans notre pays, on facture une mise à disposition et un volume pompé, mais sans contrainte de temps, explique Morad Houmir. Ailleurs, on facture un volume et une durée d’utilisation de la pompe. Résultat, dans certains pays, on arrive à 5 ou 6 pompages par jour, contre 2 en France… » Un exemple à suivre, peut-être pour accélérer le développement du pompage en France. Et optimiser l’utilisation du matériel mis à disposition des chantiers ?
Il y a 2 ans et 218 jours

Des lieux froids, voire glacés, comme autant d’igloos chics

Avec ‘Des Années ‘70 aux Confins des Années 2020’, l’architecte Michel Kada’an Bourdeau revisite pour Chroniques comment l’architecture et la pratique des hommes et femmes de l’art ont évolué en quarante ans à peine. Deuxième partie (II/IV)* : Des lieux froids, voire glacés, suspendus en dehors du temps. Informatique, PC, logiciels, d’abord en 2D puis […] L’article Des lieux froids, voire glacés, comme autant d’igloos chics est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 222 jours

Linkeo lance un nouveau modèle de site dédié aux agences immobilières

Fondée en 2000 par Ludovic Jaffrès, Linkeo guide les TPE et PME dans leur transition numérique. Grâce à un réseau d'une vingtaine d'agences implantées partout en France, elle mise sur un accompagnement personnalisé et s'adapte aux problématiques locales.La société développe des offres sectorisées pour répondre au plus près aux besoins des professionnels à travers des solutions digitales complètes : création de sites web, référencement, photos et vidéos, community management, click and collect ou encore agenda en ligne.Une prestation globale à destination des professionnels du secteurPlus qu'un simple site internet, il s'agit de proposer une vitrine permanente, où mettre en valeur les biens proposés. Grâce à un référencement optimisé et une visibilité accrue, cette prestation confère aux agences de nouveaux mandats.Les sites immobiliers développés par Linkeo sont connectés aux logiciels de gestion utilisés par les agences par un système de passerelle. Les éléments modifiés sur les logiciels le sont automatiquement sur les sites.Les agents ont la main sur toutes les autres mises à jour du site après une courte formation avec leur contact Linkeo.L'objectif est qu'ils soient autonomes sur leur site pour gagner en efficacité, se dégager du temps et se concentrer ainsi sur leur cœur de métier.Le secteur immobilier se digitalise et les chiffres en attestentLes particuliers sont 46% à déclarer utiliser davantage le digital dans leurs projets immobiliers.* La crise sanitaire a aussi mis au goût du jour de nouvelles pratiques comme la visite virtuelle. Ainsi, 35% d'entre eux anticipent déjà une diminution des visites en agences privilégiant internet dans leurs recherches de biens.*Devant s'adapter les agents immobiliers n'ont d'autre choix que d'accélérer leur digitalisation, et les agences de webmarketing comme Linkeo sont là pour les accompagner dans cette voie.En fonction de leurs besoins, de leurs objectifs et de leur budget, les agences ont le choix entre trois packs : essentiel, expert et premium.Les conseillers Linkeo locaux sont disponibles pour toutes demandes de renseignements ou démonstration.Sources : *https://www.journaldelagence.com/1192259-comment-le-digital-fait-evoluer-le-metier-dagent-immobilier
Il y a 2 ans et 224 jours

Salon IBS, Hager présentera sur son stand ses solutions dédiées à la gestion intelligente des bâtiments et à la mobilité électrique.

Intégrateurs, bureaux d’études et gestionnaires de bâtiments découvriront les dernières nouveautés de Hager pour mieux appréhender la gestion des énergies et piloter de manière plus efficiente leur consommation. Bornes de charge witty et gestionnaire witty park local La mobilité électrique représente un nouveau poste de dépenses de plus en plus important au regard de la consommation générale d’un bâtiment. Pour répondre à cette problématique, Hager présente deux nouveautés sur son stand : sa borne de charge witty park 1.6 json, ainsi que son nouveau gestionnaire de puissance de charge pourgrappes de bornes.La nouvelle borne witty park 1.6 json est compatible avec la norme ISO 15-118, qui s’appuie sur le protocole de communication OCPP. Ce protocole normé a pour vocation d’enrichir et de simplifier considérablement les échanges entre le véhicule électrique et la borne de recharge, pour rendre les opérations de recharge plus optimales, efficaces et fiables.Disponibles en monophasé comme en triphasé et réglables de 2,3 à 22kW, ces nouvelles bornes communicantes sont adaptées pour recharger l’ensemble des véhicules du marché. Elles répondent principalement aux besoins du secteur tertiaire, où l’utilisation des bornes est partagée : commerces, collectivités, parkings publics…Les deux références sont certifiées ZE et EV ready 1.4. Le gestionnaire witty park local* proposé par Hager permet de répartir de manière uniforme l’énergie disponible sur le réseau aux différents véhicules en charge sur le site. Grâce à une interface simple à utiliser, l’utilisateur peut superviser très simplement son parc de bornes. Il peut ainsi suivre et gérer son parc, suivre les charges en cours, grâce à un affichage clair et un fonctionnement intuitif. Cette solution permet aussi de limiter l’abonnement électrique et lisser les pics de consommations tout au long d’une journée. (*Egalement appelé LLM (Local Load Manager)) Stream, pour visualiser les consommations d’énergies multi-sites Le logiciel Stream permet de monitorer la production et les consommations multiénergies de plusieurs sites, y compris dans des villes ou des régions différentes. Il offre également à l’exploitant la possibilité d’afficher l’impact carbone d’exploitation du bâtiment, ainsi que son évolution. Ceci permet de se conformer aux exigences du décret tertiaire. Facile à installer et à configurer, Stream s’exploite au quotidien depuis une tablette ou un PC standard. L’utilisateur a la possibilité d’adapter ses tableaux de bord à ses besoins et ainsi, de disposer de ses données essentielles en quelques clics. Un autre atout de Stream est sa capacité à évoluer au rythme du bâtiment. Le remplacement d’un composant (serveur agardio.manager ou compteur par exemple), son paramétrage et sa configuration s’effectuent en quelques minutes, directement depuis le logiciel stream. Les licences sont dimensionnées selon le volume de données collectées et peuvent être adaptées en fonction de l’évolution des besoins. Stream s’inscrit dans l’EMS Hager (Energy Management System), qui s’articule en 3 niveaux : un premier niveau de terrain avec des appareils de mesure et des capteurs énergétiques, un deuxième niveau concentrateur avec des dispositifs de collecte des données et de centralisation (agardio.manager). Stream constitue le troisième niveaude management, un outil logiciel qui permet de visualiser et d’exploiter de manière personnalisée ces données. Salon IBS les 8 & 9 novembre 2022Paris Porte de Versailles – Pavillon 5.1.Stand Hager A08Plus d’informations, hager.com/fr Partager la publication « Gestion intelligente des bâtiments et mobilité électrique sur le stand Hager au salon IBS »
Il y a 2 ans et 224 jours

3 exemples d’outils numériques indispensables à l’organisation de l’entreprise 

Les pratiques managériales et organisationnelles en entreprise n’ont jamais été aussi bouleversées depuis l’avènement d’Internet. Effectivement, de nombreuses entreprises ont, avec brio, réussi à effectuer leur transition numérique. Désormais, ces dernières se sont totalement adaptées à ce nouvel environnement et ont développé de nouvelles compétences ainsi que de nouveaux modes de fonctionnement. Découvrons ensemble les principales modifications entraînées par la transition numérique des entreprises.  Les logiciels de gestion des ressources humaines et de paiement  Parmi les nombreux logiciels disponibles, qu’ils s’adressent au service marketing, comptables, ceux ayant le plus bouleversé les entreprises restent les logiciels réservés aux services des Ressources Humaines. Outre les logiciels de paiement comme Payfit, qui facilitent grandement le travail des gestionnaires de paie, de nombreux logiciels de ged (ou Gestion Électronique des Documents) permettent de trier, de stocker et d’extraire plus facilement des dossiers et des informations.  Ces logiciels de paiement ou de gestions électroniques représentent un gain de temps considérables pour les ressources humaines et autres services de gestion. Ils évitent de laisser s’entasser des dossiers interminables et permettent un accès plus rapide aux informations voulues. Enfin, les bases de données de salariés et d’employables, à l’image d’un réseau social professionnel comme LinkedIn facilitent, là encore, le travail des chasseurs de tête.  Les logiciels et applications de gestions de projets  La deuxième grande modification impliquée par la transition numérique des entreprises est l’apparition de multiples logiciels de gestion et de suivi de projet. Nous pouvons par exemple citer Monday, ClickUp, Zoho, Asana ou encore Trello.  Ces logiciels de gestion de projet permettent d’organiser l’ensemble d’une entreprise, d’un service, ou d’une équipe autour d’un projet particulier. Il est alors beaucoup plus simple de savoir qui fait quoi, depuis combien de temps le projet est-il lancé et dans combien de temps le projet doit-il être terminé. Ces logiciels ou applications sont de formidables outils de management, car ils permettent de structurer un projet, de l’étaler sur le temps et de suivre son bon déroulement. C’est non seulement un gain de temps pour le manager et ses équipes, mais également un moyen de créer des rapports afin que les clients aient une visibilité sur l’avancement de leur projet.  Dans la majorité des entreprises, particulièrement dans les agences, ces outils sont tout simplement indispensables au bon fonctionnement de l’entreprise. Leur efficacité est telle qu’on se demande bien comment on pouvait y arriver avant.   Quand le travail s’invite à la maison : comment le numérique a sauvé les entreprises ?  Le dernier changement provoqué par le virage des entreprises concernant le numérique porte évidemment sur le télétravail. Difficile de ne pas aborder cet aspect, tant il aura été essentiel ces 3 dernières années. Avec la pandémie de covid19, le travail à la maison, qui était jusque-là un privilège réservé à certains employés s’est totalement démocratisé, confinement oblige.  C’est notamment grâce à des nombreuses applications dédiées à l’organisation des entreprises et à la communication, comme Slack, Zoom, Teams, Discord, que ce système a pu être mis en place dans de nombreuses entreprises.  Même si le confinement est terminé et que le gros de la crise sanitaire semble être dernière nous, le télétravail s’est bien installé, et ce, de manière durable dans de nombreuses entreprises. Pour certains, il s’agit d’un moyen de permettre de concilier vie professionnelle et vie personnelle. Pour d’autres, il s’agit d’un moyen d’être plus productif. Enfin, à l’heure où les mots transitions écologiques sont sur toutes les lèvres, il s’agit également d’un moyen de ne pas polluer en prenant sa voiture. Une mesure bienvenue quand les prix de l’essence à la pompe ne font qu’exploser depuis plusieurs semaines. 
Il y a 2 ans et 225 jours

Les châteaux de la Loire face à l'augmentation du coût de l'énergie

A l'approche de l'hiver, le propriétaire du château de Meung-sur-Loire (Loiret) Xavier Lelevé s'inquiète pour sa facture de chauffage, gaz et électricité, qui tourne d'habitude autour de 15.000 à 20.000 euros. Mais pas cette année..."Ca va être multiplié entre cinq et dix. Ce n'est pas envisageable d'exploser le budget énergétique de cette manière", se désole-t-il.Des hausses qui, comme dans beaucoup d'entreprises, "impactent immédiatement le fonctionnement" et freinent les investissements dans la conservation. Tout comme le dialogue parfois compliqué avec les services publics du patrimoine, comme la Direction régionale des affaires culturelles (Drac).Dans une partie interdite au public de ce château classé aux Monuments historiques, Xavier Lelevé détaille les fenêtres. Certaines sont en très mauvais état et le ruban adhésif sur les boiseries n'offre qu'un rempart très limité face aux assauts du froid. Mais d'autres sont neuves. Fruits d'intenses tractations avec la Drac, elles ont été fabriquées avec un cahier des charges ultra précis pour respecter l'esthétique du bâtiment."Une fenêtre coûte à peu près 10.000 euros, on en a 148, donc vous voyez ce que le budget fenêtres peut représenter", explique-t-il.Loin des obstacles administratifs, Charles-Antoine de Vibraye a choisi de ne rien faire. Et tant pis si la facture grimpe, le succès du château de Cheverny (Loir-et-Cher), inspiration du Moulinsart d'Hergé, lui permet d'absorber l'augmentation du fioul, dont il consomme 30.000 à 40.000 litres par an.Le châtelain n'envisage pas non plus d'isolation: "Si vous emprisonnez la chaleur, vous faites du bien aux champignons potentiels et aux insectes qui vont vous bouffer votre bois. Je crois qu'il faut limiter le chauffage au strict minimum pour ne pas contrarier ce cycle sain d'échanges thermiques à l'intérieur d'un monument."Reste que les meubles d'époque se conservent mieux dans une atmosphère contrôlée: "C'est un peu la limite de mon raisonnement. Il faut faire en sorte d'avoir une chaleur minimale. Le château est chauffé sur les deux tiers de sa superficie, mais en particulier dans les pièces visitées, avec mobilier historique.""Chauffage la nuit à 8°C"Non loin de là, Chambord allume ses cheminées. Au pied de l'escalier de Léonard de Vinci, quatre grosses bûches alimentent doucement l'âtre, seule source de chaleur pour le visiteur.Mais les bureaux, boutiques, la quarantaine de maisons du domaine, ainsi que les pavillons forestiers sont chauffés."La facture a doublé en deux ans. On est passé de 260.000 euros à plus de 600.000 dans le budget prévisionnel 2023", regrette le directeur du Domaine national Jean d'Haussonville. Sur un budget de 30 millions d'euros par an, cette somme représente l'équivalent de deux expositions temporaires et d'un festival.Pour le directeur, la montée des prix ne fait qu'accélérer "la réflexion sur les sources vertueuses d'énergie". Chambord a donc rapidement lancé deux études pour se verdir: une sur l'installation de panneaux photovoltaïques sur les toits des hangars techniques, l'autre sur la géothermie et le chauffage par biomasse, histoire de profiter de la forêt.Dès les prochains mois, le domaine entend investir dans sa forêt de 50 km2 en installant une scierie, ouvrant la possibilité à plus long terme d'utiliser son bois pour se chauffer.En attendant, le château appartenant à l'Etat tente dès aujourd'hui de réduire la facture grâce à un système informatique de gestion technique des bâtiments."C'est un logiciel qui permet par exemple d'éteindre les lumières s'il n'y a plus d'occupant dans une pièce et de réduire le chauffage la nuit à 8°C", apprécie le directeur."Nous n'avons aucun doute sur notre capacité à faire 10% de réduction d'énergie dès 2023", assure-t-il.
Il y a 2 ans et 225 jours

Bauma : Command Alkon pour vous servir !

Grâce à son logiciel Conactive Process, Command Alkon produit des cocktails au salon Bauma. [©ACPresse] Des glaçons, quelques bulles et voilà un soda bien frais servi sur un plateau ! Le temps de Bauma, Command Alkon se transforme en barmaid. Pour s’en convaincre, il suffit de passer sur son stand dans le hall C1 et de commander un cocktail. Sur la tablette, toutes les recettes sont enregistrées. On appuie sur l’onglet et la préparation débute instantanément… un peu comme dans une centrale à béton. Normal ! Le programme utilisé n’est autre que le logiciel de pilotage Conactive Process (ou CP) de la marque. Une solution qui marche très bien, en temps normal, pour produire des bétons !
Il y a 2 ans et 229 jours

KSB lance Calio Pro, circulateur à haute efficacité énergétique pour les grands bâtiments

La technologie au service de l’efficacité énergétiqueAvec leurs rendements élevés, les nouveaux groupes motopompes répondent déjà aux futurs standards d’efficacité énergétique. Grâce au programme intelligent DynamicControl intégré à la pompe, il est possible d’économiser environ 40% d’énergie en plus par rapport à la régulation de pression proportionnelle conventionnelle. Entièrement basée sur le logiciel, cette fonction ne nécessite aucune installation de nouveaux capteurs ou actionneurs et n’entraîne donc aucun coût supplémentaire. Toutes les informations nécessaires sont fournies automatiquement aux pompes par les signaux internes. L’utilisation de ce programme exclut toute sous-alimentation en cas de modification des conditions de l’installation.La nouvelle gamme se décline en 25 tailles. Elle est capable de fournir un débit maximum de 24 m3/h et sa hauteur manométrique totale peut atteindre 12 mCE. La gamme Calio Pro est équipée de série d’un report centralisé de défaut libre de potentiel pour une transmission simple à la Gestion Technique du Bâtiment.Une installation facile et une utilisation simplifiéeSans module logiciel ou matériel supplémentaire, il est possible de permuter deux pompes - l’une étant utilisée comme pompe principale et l’autre comme pompe de secours - de manière automatique en cas de défaut de fonctionnement ou selon un programme horaire. Ainsi, les coûts d’investissement et de mise en service peuvent être minimisés.Le montage et la mise en service sont très simples, car tous les modes de fonctionnement, fonctions et valeurs de consigne peuvent être réglés à l’aide des touches sur l’écran du clavier afficheur. L’utilisateur voit s’afficher la hauteur manométrique réglée ou, en fonctionnement boucle ouverte, le niveau de vitesse. Il est possible d’empêcher toute modification non autorisée des paramètres de fonctionnement en verrouillant le clavier.Conçus pour une plage de température de -10°C à +110°C, ces nouveaux groupes couvrent un grand nombre d’applications, du transport d’eau de chauffage et de réfrigérants aux systèmes de circulation industriels. La gamme comprend aussi une version double Calio Pro Z.
Il y a 2 ans et 231 jours

Schöck Stacon, sous DTA

Les goujons Schöck Stacon type LD obtiennent un DTA validé par le CSTB. [©Schöck] L’industriel Schöck est le seul à proposer des goujons bénéficiant d’un document technique d’application (DTA). Ce dernier, référencé 3.1/15-817_V2, est délivré par le CTSB. Il qualifie ces goujons d’éléments de liaison structurelle dans les ouvrages en béton armé. Afin de canaliser la fissuration du béton et d’éviter ainsi la détérioration des armatures, il est essentiel de créer des joints de dilation. Toutefois, assurer la continuité structurelle entre deux éléments d’ouvrage séparés par un joint s’avère toujours onéreux et complexe à mettre en œuvre. A haute résistance mécanique et prêts à être mis en œuvre, les goujons Stacon type LD permettent de réaliser cette liaison, assurant la reprise des importants efforts de cisaillement. Adaptatifs, ils autorisent un ou plusieurs degrés de liberté (axial et radial). Un logiciel de dimensionnement dans les starting-blocks Produits sur mesure, les goujons Schöck Stacon type LD se déclinent en différents diamètres. Ces barres cylindriques, en acier inoxydable ou en acier galvanisé à chaud, garantissent un traitement de qualité et sans entretien des joints de dilatation. Ce large choix permet une adaptation optimale suivant les configurations rencontrées sur les chantiers. Ces solutions s’appliquent aussi bien en extérieur qu’en l’intérieur. Et restent simples d’utilisation. Avec l’arrivée du DTA, Schöck va lancer une exclusivité pour accompagner ses goujons. A savoir, un logiciel inédit, baptisé Scalix, destiné à dimensionner ces éléments de liaison dans les ouvrages en béton armé. Le logiciel fonctionnera sur tous les navigateurs Internet courants. Et pourra définir instantanément et avec pertinence les références de goujons Stacon les plus appropriés en fonction de chaque cas de figure.