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Il y a 5 ans et 340 jours

Restauration du musée Carnavalet par Remmers

Fondé en 1949, le groupe Remmers est une entreprise familiale allemande de 1 500 employés qualifiés, spécialisée dans la fabrication de produits pour la restauration et la rénovation de monuments historiques et de bâtiments anciens. Remmers est actif dans plus de vingt pays, avec une gamme complète de plus de 400 produits. LE MUSÉE CARNAVALET Installé dans les hôtels Carnavalet et Le Peletier de Saint-Fargeau, au cœur du Marais, un des quartiers où le patrimoine architectural préhaussmanien a été le mieux préservé, le musée de l’Histoire de Paris est situé dans une des zones touristiques les plus fréquentées de la capitale. Sa restauration constitue un projet prioritaire pour la Ville de Paris et son actuel maire qui veut en faire «une étape incontournable pour les visiteurs français et étrangers se rendant à Paris ». La réalisation de ce chantier fut un réel défi, compte tenu de la présence de plomb sur les façades. Un total de 26 mois de restauration avec une équipe de quinze techniciens, d’octobre 2017 à février 2019, a été nécessaire pour nettoyer 4 000 m2 et rendre au musée sa beauté originale. Sa réouverture est prévue fin 2019. Maîtrise d’ouvrage : Ville de Paris ; architecte mandataire : François Chatillon Architecte ; architecte associé : Snøhetta ; muséographe : Nathalie Crinière, Agence Clean Galena a été utilisé sur plusieurs chantiers de rénovation prestigieux : Le musée du Louvre à Paris Le musée Carnavalet  Le musée des Beaux-Arts d’Anvers  Westminster Hall (Big Ben) à Londres  L’hôtel de Rohan à Paris  L’hôtel Intercontinental à Paris
Il y a 5 ans et 340 jours

London Festival of Architecture : City Benches

Initié l'année dernière, le projet « City Benches » s'inscrit dans le London Festival of Architecture et permet à des designers et des architectes émergeants d'investir la capitale, à la suite d'un concours organisé par la City of London Corporation et la Cheapside Buisness Alliance. Pour l'édition 2019, ce sont cinq jeunes talents qui réinterprètent l'assise et animent l'espace public. La commande comprend cinq nouveaux bancs peuplant le quartier de Cheapside. Suite à un appel à projet, la centaine de candidatures a ensuite été passée au crible par un jury de professionnels qui a sélectionné cinq jeunes créateurs – étudiants ou fraichement diplômés –, auxquels on a attribué un budget de 800 livres afin de créer et de fabriquer leur mobilier urbain. Et toutes les excentricités sont permises ! « Les bancs démontrent non seulement le génie des architectes, des designers et des artistes émergents à Londres, mais aussi la façon dont de petites interventions peuvent faire une différence dans le quotidien des londoniens » Tamsie Thomson, directrice du London Festival d'architecture. Le duo Sarah Emily Porter et James Trundle imagine par exemple un banc à la surface lisse composé de plusieurs éléments aux nuances vives et à l'intérieur dynamique et graphique. Tout aussi éclatants, le projet d'Anna Janiak Studio emprunte quant à lui son allure aux instruments de mesure astronomiques quand l'Astrain Studio Architects s'inspire des blocs de construction colorés des enfants pour concevoir un ensemble de six éléments à l'allure 80's. Plus figuratif et très kitsch, l'assise de Delve Architects est le résultat d'une collaboration avec le constructeur DragonSmoke et n'est ni plus ni moins qu'un chien géant endormi, faisant sourire les adultes et émerveillant les enfants. Et pour finir d'attendrir les passants, Armor Gutiérrez Rivas de l'Atelier La Juantana réalise une structure rectangulaire composée de planches de bois verticales dont le centre est creusé en forme de cœur rose vif. Un événement qui valorise la nouvelle génération tout en égayant les promenades dominicales. Pour en savoir plus, visitez le site du London Festival of Architecture Photographies : Agnese Sanvito
Il y a 5 ans et 356 jours

Acquisition de l'aéroport de Londres-Gatwick par Vinci

Vinci Airports a annoncé avoir finalisé l'acquisition de l'aéroport de Londres Gatwick, une transaction conclue en décembre pour 2,9 milliards de livres sterling (3,22 milliards d'euros).
Il y a 5 ans et 362 jours

Finalisation de l'acquisition de l'aéroport Londres-Gatwick par Vinci

Vinci Airports a annoncé mardi avoir finalisé l'acquisition de l'aéroport de Londres Gatwick, une transaction conclue en décembre pour 2,9 milliards de livres sterling (3,22 milliards d'euros).
Il y a 5 ans et 362 jours

Avec Londres Gatwick, Vinci devient le deuxième gestionnaire d’aéroport mondial

Vinci finalisait ce mardi l’acquisition de la majorité de l’aéroport de Londres Gatwick, son plus gros actif désormais. Le groupe devient le 2e opérateur aéroportuaire mondial et réaffirme ses atouts en cas de privatisation d’ADP. Les concessions génèrent une large part de la marge du groupe, et représentent aussi un potentiel de travaux.
Il y a 5 ans et 364 jours

Un iceberg de béton dans les égouts de Londres

Thames Water, entreprise de traitement des eaux au Royaume-Uni, a découvert un bloc de 105 t de béton dans les égouts de Londres. [©Thames Water] C’est sur une véritable montagne de béton que sont tombées les équipes de Thames Water, société de traitement des eaux au Royaume-Uni, lors d’un contrôle des égouts. En plein cœur de Londres, dans les conduits datant de l’époque victorienne, un bloc de 100 m de long et d’environ 105 t s’est formé, comme un iceberg dans les profondeurs de la capitale britannique. «  En temps normal, les blocages sont causés par du gras, de huile ou encore des lingettes humides…, explique Alex Saunders, en charge de l’opération d’évacuation. Ce n’est pas la première fois que nous faisons fasse à une masse de béton, mais c’est certainement la pire ! D’autant plus que le matériau s’est figé sur un égout victorien. » Près de trois canaux sont bouchés à la jonction des rues Goswell et Hall au Nord de la ville. L’évacuation manuelle du béton a déjà commencé et devrait perturber le trafic routier durant 2 mois. L’entreprise a ainsi investi dans des outils de coupe, des marteaux pneumatiques et des jets haute pression pour en venir à bout. Thames Water indique qu’une enquête est menée pour trouver le responsable de ce blocage, dont l’opération pourrait atteindre plusieurs milliers d’euros. L’article Un iceberg de béton dans les égouts de Londres est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 3 jours

VIA : Incubateur French Design

Depuis 2016, l'Incubateur French Design encourage la collaboration entre les designers et les fabricants et éditeurs dans la création de mobilier hexagonal. Incarnant l'art de vivre et l'élégance à la française, la créativité, l'écoconception et l'ouverture culturelle, les 12 projets sélectionnés pour cette troisième édition seront présentés du 5 septembre au 27 novembre prochains à la Galerie Le French Design by VIA. En attendant, la rédaction de Muuuz s'est penché sur quelques-unes de ces associations pour le moins étonnantes ! Aequo x Camille KhorramMaison d'édition associative, Aequo tend à valoriser les designers, entreprises et savoir-faire des Hauts de France. Un amour du Nord partagé par la designer Camille Khorram, basée à Lille (59). Car si cette dernière a obtenu son diplôme en 2011 aux Arts décoratifs de Strasbourg, elle s'installe en 2015 dans la capitale des Flandres et enseigne le design en parallèle à l'Ecole Supérieure d'Arts Appliqués et de Textile de Roubaix. C'est donc tout naturellement que leur travail, qui se manifeste par une collection de luminaire, célèbre le patrimoine culturel de la région. . Atelier Emmaüs x Férreol Babin – Ionna Vautrin – 5.5 designL'Atelier Emmaüs, maison d'édition du Mouvement Emmaüs, associe design, impact social et objectif environnemental. Un positionnement fort dans l'univers du mobilier qui valorise aussi bien l'objet que l'usager. A l'occasion de cette 3ème édition de l'Incubateur, l'Atelier Emmaüs se nourrit du talent des étoiles montantes du design français : le studio 5.5 fondé en 2003 ; Ferréol Babin, ancien résident de Fabrica, centre de recherche fondé par Benetton et basé à Trévise (Italie) et lauréat d'un Red Dot Award, du prix « Designs of the year 2014 » organisé par le Design Museum de Londres ou encore du prix « Talent à la carte » par Maison & Objet ; et Ionna Vautrin, lauréate du grand prix de la création de la ville de Paris et à l'origine des nouvelles lampes peuplant les TGV. Une association qui n'annonce que du bon ! . . Boqa x Margaux KellerConvaincue qu'en plus de la fonctionnalité et de l'esthétique, le design doit être une source d'émotion, Margaux Keller est une touche à tout à la sensibilité exacerbée, une poète aux mains d'or qui ne compte plus les partenariats prestigieux – Yves Saint Laurent Beauté, Cartier, Made.com, La Monnaie de Paris etc. Fière de ses multiples casquettes, elle est aujourd'hui, en parallèle de son activité de designer, à la tête de la maison d'édition Bibelo. C'est aujourd'hui aux côtés de la marque Boqa que la créatrice évolue, firme dont les produits 100% « made in France » ont su séduire les amateurs de design aux quatre coins du monde. . La Manufacture du Design x Fred RieffelPépinière parisienne pour les talents de demain, la Manufacture du Design encourage la jeune création en proposant un espace d'exposition dans son showroom de 600 mètres carrés. Un élan dont bénéficiera cette année Fred Rieffel, à la tête de son studio basé à Strasbourg depuis 1998. Favorisant un design dit « de patrimoine » à l'ère de la consommation rapide, son travail a déjà séduit des éditeurs et fabricants prestigieux tels que Cinna, RocheBobois ou encore Habitat. . Sokoa x Bruno HoussinVéritable institution au Pays Basque, l'entreprise Sokoa est spécialisée dans les assises tertiaires de qualité, toujours en valorisant le savoir-faire de sa région d'origine. Forte de nombreuses collaborations avec des designers de renoms tels qu'Iratzoki et Lizaso, la marque s'associe aujourd'hui avec le designer parisien Bruno Houssin que la société affirme sa présence dans le paysage français du mobilier tertiaire. . D'autres collaborations seront présentées à la rentrée lors de l'exposition dédiée aux réalisations de l'Incubateur du French Design : Casadisagne x Linda Bayon ; Desras x Studio Briand & Berthereau ; David Lange x Olivier Bacin/LABO ; Galerie MICA x Pierre Charrié ; les iRESISTUB x Bastien Chapelle ; Sanijura x Thomas Merlin. Un événement à ne pas rater ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'Incubateur French Design Photographies : VIA
Il y a 6 ans et 40 jours

Bureau de Change : The Interlock

Le quartier de Fritzrovia à Londres (Royaume-Uni) attire un incroyable panel de résidents dans un environnement architectural typique du melting pot anglais. Les architectes du cabinet britannique Bureau de Change tirent parti de cet emplacement aussi populaire qu'effervescent pour subvertir la tradition avec richesse et complexité. Une mixité traduite par The Interlock, un ensemble complet associant logements, galerie d'art et café. Entre les terrasses majestueuses du XIXème siècle et les logements sociaux, The Interlock, imaginé par les architectes de Bureau de Change, rassemble toute la richesse architecturale du quartier derrière une façade étonnante, en y apportant un caractère distinctif.La construction de 5 étages d'environ 300 mètres carrés aux usages multiples, abrite un café, une galerie et des appartements, participant ainsi activement au développement du quartier. Situé au croisement de la Riding House Street et de Wells Street, entre deux bâtiments de briques délavées, The Interlock révèle la vibrante énergie du nord de la capitale. Bureau de Change abandonne les traditionnelles dimensions des briques rouges de Londres pour constituer une façade de 5 000 blocs d'argile bleue du Staffordshire, de 44 formats différents. Le fabriquant, Forterra, utilise pour cette opération 188 modèles de panneaux imprimés définissant le nombre, la typologie et l'emplacement de chaque briques. Leur apparence bleu mat est due aux 14 moules en acier qui les ont formés, chauffés pour leur donner cette finition brute. Une fois testée en 3D, ajustée, puis assemblée bloc après bloc, la façade se détache avantageusement des constructions adjacentes, tout en s'inscrivant dans l'esthétique historique de son secteur. Derrière cet écran, trois nouvelles unités résidentielles donnant sur la rue, dont la palette monochromatique, les parquets en chêne et les salles de bain terrazzo contrastent le camaïeu froid de l'enveloppe. Au rez-de-chaussée, un café accueille les habitants du quartier. Défini par une pièce unique, l'espace est caractérisé par un intérieur allégé rendu possible grâce à des meneaux extrudés et incurvés, conférant au point de rencontre un aspect ornemental aérien.Au sous-sol, les visiteurs ont accès à une galerie d'art sur mesure, qui accueille des expositions, workshops et conférences. The Interlock est loin de se figer derrière sa façade ondoyante ! Pour en savoir plus, visitez le site de Bureau de Change Photographies : Gilbert McCARRAGHER
Il y a 6 ans et 48 jours

Unibail investit dans un programme locatif de 750 M EUR à Londres

Unibail-Rodamco-Westfield (URW) a annoncé avoir pris 25% de parts dans un partenariat pour développer d'ici 2023 à Londres un vaste programme locatif estimé à 750 millions d'euros.
Il y a 6 ans et 51 jours

ESADSE : Stefania

Depuis hier, et ce jusqu'au 24 avril prochain, le quotidien des Stéphanois est rythmé par la Biennale de Design de Saint Etienne (42). Proposant une multitude d'expositions imaginées sur le thème des terrains d'entente, l'évènement est une mine d'or associant designers confirmés et talents prometteurs. Parmi eux, les étudiants de l'ESADSE se sont démarqués en élaborant la ville de demain. Zoom sur une vision unique de la cité. Entre exposition et expérience sensible, Stefania est une ville utopique où la délimitation entre orient et occident n'existe plus. Régit par une temporalité vibrante, la métropole vit en accéléré, changeant de visage au rythme des heures : lorsqu'une journée s'écoule à Stefania, c'est un an qui s'est passé dans notre monde. Une biennale tous les deux jours, une coupe du monde tous les quatre jours et une quantité d'évènements et de manifestations qui ravissent les nombreux visiteurs de cette ville du futur. « Stefania est une agora de la création de demain. » Olivier Lellouche, scénographe de Stefania et enseignant à l'ESADSE. Composé de 12 bâtiments et d'une place publique réalisés par les étudiants de l'Ecole supérieure d'Art et Design de Saint Etienne, l'ensemble – inspiré des modèles urbains européens et chinois –, est habité par les élèves qui deviennent tour à tour serveurs, prêcheurs, patrons de boîte de nuit ou pompiste, faisant de ce lieu une exposition vivante où chacune des structures a sa propre histoire, définie par les œuvres qui l'habitent. Les travaux affichés sur les parois en bois – provenant des pépinières locales –, ont été conçues par des pensionnaires de 28 écoles européennes et asiatiques. Associant ainsi les villes de Pékin, Shanghai, Hangzhou, Shenzhen, Xian, Wuhan, Londres, Dijon, Brest, Strasbourg, Lyon, Nantes, Bordeaux ou encore Annecy, le concept réunit des métropoles aux cultures diverses dans un terrain d'entente neutre et ludique, agissant comme un réunion harmonieuse de moments et d'instants et non comme une nature morte purement contemplative. Stefania amuse, documente, enchante et donne matière à réfléchir sans distinction de visiteurs. Ainsi, amateurs ou professionnels du design apprécient le projet à leur manière, selon les différentes clés de lecture proposées. L'initiative s'inscrit dans une année charnière du monde de l'architecture et de la création en générale : le centenaire du Bahaus, modèle d'enseignement idéaliste et pluridisciplinaire qui revit ici avec fraîcheur, dans une thématique sociale plus que jamais encrée dans l'actualité. Stefania serait-elle la ville des possibles ? Pour en savoir plus, visitez le site de l'ESADSE et de la Biennale de Saint EtiennePhotographies : Olivier Lellouche, Biennale de Saint Etienne et ESADSE
Il y a 6 ans et 55 jours

Adjara Group : Stamba Hotel

L'ancienne presse d'imprimerie de Tiblissi (Géorgie), témoignage patrimonial de l'architecture soviétique, est définie par un caractère brut manifeste. Un aspect qui a largement inspiré les architectes d'Adjara Group qui réhabilitent la manufacture en un hôtel de luxe, grâce notamment à l'ajout d'éléments empruntés à l'univers glamour des années 1930. Alléger une enveloppe massive faite de briques et de béton sans lui ôter son essence ? Une gageure qui, loin d'effrayer les équipes d'Adjara Group, basé à Londres, a su stimuler leur créativité. Habitués des projets de réhabilitations audacieux, les maîtres d'œuvre convertissent un établissement manufacturier désuet situé au cœur de l'artère principale de la ville en un hôtel inscrit dans l'esprit dynamique du quartier. Tout en conservant son implantation et sa façade d'origine, les concepteurs imaginent une auberge occupant un espace caverneux qui dialogue entre intérieur et extérieur grâce à des jeux de hauteurs et des saillies transformant le bâtiment en un lieu vivant et hospitalier, quelle que soit la saison.L'atrium du grand hall d'entrée révèle l'impressionnante structure du bâtiment sur cinq étages, laissant se dégager une série de balcons éclairés par une lumière tamisée rendue possible grâce à l'ajout d'une piscine en verre, installée sur le toit, produisant des reflets qui soutiennent l'atmosphère feutrée du lieu Les poutres apparentes, renforcées de grilles de métal rouges – qui constituent l'ancien faisceau de séchage d'impression –, dégagent une façade et un toit entièrement vitrés, procurant chaleur et lumière naturelle aux nombreux éléments de végétation de l'hôtel. Le restaurant situé au rez-de-chaussée – qu'il partage avec le café, le bar et la chocolaterie –, mène à une cour intérieure verdoyante qui devient pour l'occasion un lieu d'échanges informel attirant, en plus des résidents, de nombreux habitants du quartier. Ils y dégustent une cuisine locale servie entre des murs bruts et pavés de mosaïque stylisés par la présence de mobilier aux couleurs pastels et de luminaires art-déco. L'atmosphère à la fois luxueuse et industrielle se poursuit jusque dans les étages, où les chambres, qui profitent d'une hauteur de plafond considérable, dévoilent des murs en briques d'origines et de généreuses ouvertures. Les pénates témoignent du savoir-faire de la région, allant des carreaux de céramique réalisés par le studio local Pataki aux papiers-peints, signés du designer Maya Sumbadze.Plus qu'un lieu où dormir et se restaurer, l'hôtel se veut être un véritable vivier de divertissement et dispose également d'un casino, d'une librairie, d'un musée et d'un amphithéâtre ouverts à tous. Un hôtel sanctuaire qui fait voyager ses habitants à travers le temps et les courants architecturaux. Pour en savoir plus, visitez le site de Adjara Group Photographies : DR
Il y a 6 ans et 58 jours

Malgré le flou sur le Brexit, la City attire toujours à l'étranger selon sa patronne

La City de Londres attire toujours les investisseurs et promoteurs internationaux malgré la "frustration" liée aux incertitudes sur le Brexit, en plein feuilleton au Parlement britannique, a déclaré jeudi à l'AFP la principale responsable politique du centre de la finance européenne.
Il y a 6 ans et 67 jours

RCA Designers : De la Red Mud à la céramique

La red mud, constituée de résidus de bauxite, est une boue toxique produite en masse par l'industrie de l'aluminium. Pour apporter une solution durable à cette pollution démesurée, les designers du Royal College of Art transforment cette matière en une poterie céramique de haute qualité. Un kilo d'aluminium produit autant de masse de boue rouge pour pouvoir être transformé en alumina, matériau qui entre dans la conception d'objets électroniques. La consommation d'une ressource aussi polluante ne devrait pas être prise à la légère, d'autant que celle-ci compose la plupart de nos gadgets quotidiens. Cette boue rouge qui occupe d'immenses champs de dépôt en pleine nature, a poussé les designers du Royal College of Art à apporter une solution ingénieuse à un problème de poids. Comment transformer un déchet industriel en un objet à l'usage productif ? Après une année de tests et d'essais, un groupe de quatre étudiants, Guillermo Whittembury, Joris Olde Rikkert, Kevin Rouff et Paco Bockelmann, a réussi à trouver une méthode adaptée à la métamorphose de la boue rouge en une pâte qui s'apparente à de la céramique. Ils s'associent à des scientifiques de l'Imperial College de Londres et à des céramistes pour exploiter le potentiel du géopolymère et exploitent un procédé normalisé de coulée en barbotine pour traiter les particules fines.Après avoir extrait la boue rouge depuis une raffinerie du sud de la France, les jeunes concepteurs ont développé leur propre corps d'argile qu'ils ont par la suite transformé en une série de vaisselle de table inspirée des formes esthétiques de l'ère industrielle, telles que les cheminées d'usines. Avec finesse et chaleur, ils détournent une matière brute en une céramique fragile pour exprimer le contraste entre deux productions, l'une nuisible, l'autre dépolluante. " En exploitant la versatilité de la boue rouge, nous voulons montrer que les 164 millions de tonnes de déchets produits chaque année est en réalité un matériel avec un potentiel colossal, qui ne demande qu'à être utilisé. ", les étudiants de Fast Company. Le but du projet est d'élever les consciences quant à la dégradation qu'engendrent les processus de raffinement des matières courantes sur l'environnement.Si le design est efficace, leur plus grande préoccupation pour l'heure est de rendre leur production sûre pour la consommation d'aliments, étant donné la nature toxique de la matière première.Les étudiants sont actuellement à la recherche d'entreprises partenaires pour la production et la commercialisation de leur collection. Une solution prometteuse qu'il nous tarde de voir se réaliser ! Pour en savoir plus, visitez le site du Royal College Art Photographies : Royal College Art
Il y a 6 ans et 74 jours

Évènement : Experimental Architecture Award

Créée en 1933, la Arts Foundation de Londres (Angleterre) a pour but est de soutenir et de promouvoir tous types de production artistique, de la poésie à la peinture, en passant par la photographie. Un panel au sein duquel le premier art ne trouvait jusqu'alors malheureusement pas sa place. Il s'agit désormais une époque révolue puisque, le mois dernier, a été remis le premier prix pour l'architecture expérimentale. Zoom sur la valorisation d'une discipline ancrée dans son temps. L'architecture expérimentale, quèsaco ? C'est la question que se sont posé les organisateurs du prix de 10 000 £ remis par la Arts Foundation. Difficile en effet d'établir un constat unique concernant ce pan de la discipline tant il est sujet aux débats. Quand certains le renvoient aux années 1970 " et à l'ouvrage de éponyme de Peter Cook ", d'autres l'utilisent comme un terme " fourre-tout ", désignant des projets à l'enveloppe originale sans nécessairement jouir d'un discours expérimental. Une définition ambigüe aux contours encore flous qui a justifié l'absence d'un tel prix durant des années. " Nous avons vraiment dû lutter avec le terme "architecture expérimentale". Qu'est-ce que cela signifie? " déclare d'ailleurs Justin McGuirk, conservateur en chef du Design Museum de Londres et juge du prix. " Nous avons rapidement établi que cela ne voulait plus dire ce que cela pouvait être dans les années 1970 [...] Cela semblait plutôt concerner davantage d'autres possibilités, allant des espaces virtuels et des systèmes bureaucratiques aux interventions sculpturales. " conclue-t-il.Pour représenter cette idée de l'architecture expérimentale, quatre candidats ont été soumis au vote d'un jury d'experts " composé bien entendu de Justin McGuirk mais également de l'architecte Amanda Levete et du directeur de l'Architectural Association's Design Research, Theodore Spyropoulos. Avec la recherche et la considération essentielle des besoins actuels comme discours centraux, les concurrents se sont distingués avec des interprétations diversifiées des problèmes architecturaux et sociétaux. Ainsi, l'architecte Chris Hildrey a retenu l'attention des organisateurs de l'évènement pour son projet ProxyAdress " réalisé lors de sa résidence au Design Museum de Londres ", qui tend à ré-imaginer les villes en fonction des difficultés sociales, et notamment de logement en conférant aux sans-abris une adresse fixe à donner aux différentes administrations " banques, emplois, études etc. ", afin de pouvoir sortir de cette situation précaire.Le deuxième projet ayant retenu l'attention du comité de sélection résulte de l'association des maîtres d'"uvres Pooja Agrawal et Finn Williams, sous le nom de Public Practice, une entreprise facilitant les échanges entre architectes, urbanistes et autorités locales. Toujours dans le but d'améliorer le quotidien des populations, le programme tend à sensibiliser les administrations à la planification proactive, permettant ainsi au secteur public de se montrer créatif dans l'élaboration de solutions quant aux problèmes de logement " abordés ici au niveau local.Plus utopiste, la démarche de l'architecte Lawrence Lek associe des graphiques utilisés en temps réel à des outils de réalité virtuelle pour créer des espaces numériques, conçus à partir de véritable points géographiques agrémentés pour l'occasion de scénarios fictifs. Un procédé qui permet de réfléchir à la notion même d'espace et aux expériences qu'un monde virtuel peut générer. Mais c'est la dernière candidate qui a su charmer les membres du jury. Située entre sculpture et architecture, la pratique de Holly Henry utilise les éléments de construction techniques, rarement mis en valeur, pour imaginer des compositions abstraites intégrées à l'architecture vernaculaire. Son travail donne à voir les détails et la complexité d'une édification urbaine tout en brouillant les frontières entre intervention artistique et ouvrage architectural. Première lauréate du prix, Holly Henry reçoit à cette occasion une bourse de 10 000 £ lui permettant de financer ses expériences futures. Une belle place donnée à l'architecture expérimentale qui ne manquera pas d'alimenter les débats. Pour en savoir plus, visitez le site de l'Arts Foundation Photographies : 1) DR2) Thierry Bal3) Andrew Meredith4) 5) Hildrey Studio6) 7) DR
Il y a 6 ans et 76 jours

Bouygues remporte un contrat d'environ 120 Millions d'euros à Londres

Le géant français du BTP Bouygues a remporté un contrat de quelque 120 millions d'euros pour construire un bâtiment public à Londres, dans le quartier de Whitechapel, parallèlement à des résultats annuels marqués par un redressement en fin d'année.
Il y a 6 ans et 80 jours

L'Agence européenne du médicament ne pourra pas résilier le bail de son siège à Londres suite au Brexit

L'Agence européenne du médicament (AEM) a perdu mercredi une bataille judiciaire sur la possibilité de résilier son bail afin de quitter Londres dans le cadre du Brexit. La Haute Cour de Justice a donné raison à Canary Wharf Group, groupe immobilier partiellement détenu par le fonds souverain qatari (QIA), qui possède le quartier financier londonien de Canary Wharf, où l'AEM a son siège.
Il y a 6 ans et 80 jours

Bouygues UK va construire la nouvelle mairie du district de Tower Hamlets, à Londres

Déjà en charge de travaux préparatoires depuis août 2018, la filiale britannique de Bouygues Construction conduira ce projet de reconversion de l'ancien Royal London Hospital en Hôtel de Ville, d'un montant de 109,5 M£ (121M¤).
Il y a 6 ans et 80 jours

Bouygues remporte un gros contrat à Londres

Le géant français du BTP Bouygues a remporté un contrat pour construire un bâtiment public à Londres, dans le quartier de Whitechapel.
Il y a 6 ans et 86 jours

Ishigami pour le pavillon de la Serpentine Gallery 2019

L'architecte japonais Junya Ishigami investira les Kensington Gardens pour la 19e édition de la Serpentine Gallery. Ses lignes épurées et oniriques ont séduit le jury qui l'invite à y installer son pavillon du 20 juin au 6 octobre à Londres. L'architecture de Junya Ishigami entretient toujours un lien étroit avec le paysage. Elle le met en scène au travers de parois vitrées, comme dans la galerie du Park Vijvesburg aux Pays- Bas. Elle le modifie profondément, comme à Toshigi où...
Il y a 6 ans et 94 jours

Brexit et chasse immobilière : les Français de retour de Londres investissent le marché parisien

À deux mois de la sortie effective du Royaume-Uni de l'Union Européenne, le 29 mars prochain, le leader de la chasse immobilière Homelike Home observe un impact fort sur sa clientèle. La proportion d'expatriés français souhaitant quitter le Royaume-Uni pour s'installer à Paris a ainsi augmenté de 30% par rapport à février 2016, soit avant le référendum du 23 juin 2016 sur le Brexit.
Il y a 6 ans et 110 jours

Diller Scofidio + Renfro lève le voile sur la Salle de Concert de Barbican

L'architecte Elizabeth Diller, cofondatrice de Diller Scofidio + Renfro, dévoile les premières perspectives de la très attendue salle de concert de Barbican. Pensé pour redynamiser la pointe sud du complexe, l'établissement prestigieux sera dédié à la performance et à l'enseignement musical. Les images du futur Centre pour la Musique de Londres ont été publiées et le projet devrait remplacer l'actuel Musée de Londres qui déménagerait dans un site plus grand, à la limite...
Il y a 6 ans et 118 jours

Eurazeo acquiert un immeuble londonien de bureaux pour 105 millions d'euros

La société d'investissement française Eurazeo a annoncé jeudi l'acquisition d'un immeuble de bureaux à Londres pour un montant de 105 millions d'euros.
Il y a 6 ans et 136 jours

Qui réalisera l'extension ferroviaire jusque Barking Riverside à Londres ?

Transport for London, l'opérateur en charge des transports en commun dans la capitale britannique, a attribué au groupement composé de Morgan Sindall Construction & Infrastructure et VolkerFitzpatrick, la réalisation de l'extension ferroviaire jusque la station Barking Riverside.
Il y a 6 ans et 136 jours

Vinci Airports, actionnaire majoritaire de l'aéroport de Londres Gatwick

Vinci Airports vient de signer un accord portant sur le rachat de 50,01% des parts de Gatwick Airport Limited, société propriétaire de l'aéroport de London Gatwick.
Il y a 6 ans et 152 jours

Londres : le nouveau métro Elizabeth se fait désirer

RETARD. L'autorité londonienne en charge des transports (TFL) a annoncé, ce lundi 10 décembre 2018, ne pas pouvoir assurer une ouverture à l'automne 2019, comme prévu depuis le mois d'août dernier. Le mégaprojet qui prévoit de relier Shenfield (est) à Reading (ouest) va également voir son budget augmenter.
Il y a 6 ans et 156 jours

Coal Drops Yard, le nouveau quartier commerçant de Londres

  Dans le quartier londonien de King’s Cross, plus de 50 magasins, cafés et restaurants, conçus par l’agence d’architecture Heatherwick Studio, ont ouvert leurs portes au public le 25 octobre 2018. Dans cette ancienne zone industrielle, située au cœur même de la capitale britannique, un nouveau quartier dynamique vient ainsi de voir le jour.
Il y a 6 ans et 160 jours

Bouygues UK va construire 214 logements dans le centre de Londres

La filiale britannique de Bouygues Construction, a été choisie pour réaliser la première phase d'un projet résidentiel au coeur de Londres, qui comprend la construction de 214 logements, pour plus de 100 millions d'euros
Il y a 6 ans et 163 jours

Bouygues UK choisi pour construire 214 logements dans le centre de Londres

Bouygues UK, filiale britannique de Bouygues Construction, a été choisie pour réaliser la première phase d'un projet résidentiel au coeur de Londres, qui comprend la construction de 214 logements, pour plus de 100 millions d'euros, a annoncé jeudi l'entreprise.
Il y a 6 ans et 163 jours

Alireza Razavi, l'architecte sans frontières

Du design d’une table à la conception d’un immeuble, de l’étude d’un projet aux plans d’exécution, de Paris à New York en passant par Londres, tout ce qui porte la griffe d’Alireza Razavi souffle l’excellence. Rencontre avec un architecte en marge et pourtant bien impliqué dans son temps.
Il y a 6 ans et 164 jours

Postmark, un nouveau projet résidentiel à Londres

Bouygues UK, filiale britannique de Bouygues Construction, a été retenue par Taylor Wimpey Central London, l'un des principaux promoteurs immobiliers au Royaume-Uni, pour réaliser la première phase de son projet Postmark, situé dans le quartier historique de Farringdon, au c"ur de Londres.
Il y a 6 ans et 188 jours

SPIE décroche un contrat pour la rénovation du prestigieux Regent's Crescent à Londres

SPIE UK vient de décrocher un contrat pour la fourniture de services mécaniques, électriques et la gestion des installations sanitaires et de sécurité incendie dans le cadre de la rénovation de Regent's Crescent, un ensemble de bâtiments construits en 1820 par le célèbre architecte John Nash pour le Prince Régent. Estimés à plus de 20 millions de livres sterling, les travaux ont commencé en juin et s'étaleront sur 86 semaines.
Il y a 6 ans et 191 jours

Le Brexit fait flamber les prix de l'immobilier parisien

Depuis l'annonce du Brexit, il y a 1 an et demi, de nombreux Français de Londres et expatriés européens viennent ou rentrent à Paris. Des accédants au pouvoir d'achat bien plus élevé que la classe moyenne parisienne, et dont la forte demande fait monter les prix dans la capitale, notamment dans le Marais, les 6e, 7e et 9e arrondissements.
Il y a 6 ans et 193 jours

Atelier GMD et Glenn Medioni : Le SyLon de Montmartre

Un couple amoureux de la culture parisienne, s'installe dans cette ville fantasmée et achète en 2017 un fonds de commerce, entre le Sacré-C"ur et Pigalle. Le local devient alors Le SyLon de Montmartre " coffee shop qui propose des plats sucrés comme salés aux goûts décalés. Réalisé par l'atelier GMD en association avec l'agence Glenn Medioni, le projet allie la brutalité à l'élégance du style haussmannien. Décalé. Un état d'esprit récurent chez Carine et Pascal , qui se traduit d'abord par le nom du coffee shop, condensé des premières syllabes des mots Sydney et Londres, villes d'origine respectives des deux jeunes entrepreneurs. Ce croisement culturel qui fait leur particularité, a servi de source d'inspiration majeure pour la rénovation de leur commerce. Animées par le goût des concepts novateurs, l'Atelier GMD associé à l'agence Glenn Medioni " toutes deux spécialisées en architecture d'intérieur " s'efforcent alors de refléter l'identité du couple à travers le prisme de la dualité, dans une démarche durable et qualitative, comme à leurs habitudes. Avec comme seule consigne de donner un cachet parisienn au projet, les architectes intègrent deux mouvements architecturaux phares de la Ville Lumière : le style haussmannien, caractérisé par ses moulures et son parquet en chevron, et celui qui fleurit un peu partout dans les bars et cafés branchés de la Capitale, reconnaissable à ses murs bruts et ses sols en béton, dans un esprit très berlinois. Loin d'imaginer un mélange des genres édulcoré, l'atelier GMD et Glenn Medioni jouent la carte de la radicalité, comme en témoigne la transition brutale entre les deux univers. Un effet renforcé par certains détails, comme la rosace au plafond, sèchement amputée dans la partie la plus contemporaine. Dispersés ça-et-là, quelques éléments permettent toutefois d'adoucir cette schizophrénie architecturale. Au fond de la salle, un revêtement cuivré réfléchissant agrandit l'espace et semble vouloir confronter les deux visages du coffee shop. Quelques tables de bistrots enfin, ont pris un coup de jeune grâce à leurs plateaux fabriqués en multiplis. Comme pour rappeler que malgré les différences, le métissage a du bon... Pour en savoir plus, visitez le site de L'Atelier GMD et Glenn Medioni  Photographies : Pascal Otlinghaus
Il y a 6 ans et 199 jours

Une araignée Palazzani hybride pour le Television Centre de Londres

Le Television Centre de Londres, situé dans le quartier du district de Hammersmith and Fulham, bénéficie des services d'une araignée Palazzani XTJ 32, entièrement peinte en noir, et dotée d'une alimentation hybride.
Il y a 6 ans et 200 jours

Une liaison à grande vitesse entre Londres et Bordeaux ?

Un accord vient d'être conclu entre quatre gestionnaires d'infrastructure pour le lancement d'une étude de faisabilité concernant les adaptations nécessaires de la gare de Bordeaux Saint-Jean à l'accueil d'un futur trafic transmanche.
Il y a 6 ans et 222 jours

Pour enlever les voitures, MAKE enlève les ronds-points

Le ?Portsoken Pavilion', une sculpture monocoque conçue à Londres par Make Architects et livrée à l'été 2018, a transformé un ancien rond-point en un espace public de qualité. Communiqué. L’ancien rond-point, avec sa série de tunnels souterrains a fait l'objet […] L'article Pour enlever les voitures, MAKE enlève les ronds-points est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 223 jours

Après Grenfell, le Royaume-Uni prend une mesure radicale

SÉCURITÉ INCENDIE. Un peu plus d'un an après le tragique incendie de la tour Grenfell, à Londres, le gouvernement britannique a décidé de trancher dans le vif : il sera désormais interdit d'utiliser des produits combustibles en façade pour les bâtiments résidentiels de plus de 18 mètres.
Il y a 6 ans et 228 jours

Grenfell : les survivants sous la menace de poussières d'amiante ?

SANTÉ. Des survivants de l'incendie de la tour Grenfell, à Londres, pourraient avoir été contaminés par des poussières d'amiante, s'inquiète un médecin légiste ("coroner") britannique.
Il y a 6 ans et 237 jours

Design Cream : Antoine Phelouzat

Design Cream ? Quèsaco ? Un événement présentant le travail de la crème de la crème des designers et des architectes, pardi ! Et qui dit casting prestigieux, dit format de choix. Le jeudi 26 mars 2018, dix créateurs, réunis à l'occasion du salon Materials & Light, ont ainsi fait découvrir de manière atypique leurs créations, inspirations et projets en 20 images, projetées à 20 secondes d'intervalle. Zoom sur l'univers de Antoine Phelouzat. Les soirées Design Cream, créées par le touche-à-tout Benjamin Girard de l'agence Design Project, visent à offrir une scène à la crème de la crème des créateurs afin qu'ils présentent leurs projets à un large public, dans un format spécifique, rythmé et concis, et dans une ambiance décontractée. De quoi assurer un succès planétaire à ces rassemblements ! Tout tient dans le format, nommé Pecha Kucha : les invités disposent de 20 diapositives, montrées durant 20 secondes chacune, et qui défilent automatiquement ; soit 6 minutes et 40 secondes pour chacun d'eux. Pas de bla-bla : les différents intervenants exposent ici l'essence même de leurs réalisations.Margaux KellerAprès cinq ans d'études en design à l'école ENSAAMA Olivier de Serres puis à l'école Boulle, elle obtient en 2010 un diplôme de design et d'architecture intérieure avec les félicitations du jury pour le projet "Design (sans) vergogne". Elle se forme par la suite sur les bancs de l'agence Philippe Starck, aux côtés d' Eugeni Quitllet. En 2011, elle est sélectionnée pour faire partie de l'équipe de design de la Fabrica, centre de recherche en communication du groupe Benetton. En 2012, Margaux Keller retourne dans sa ville d'origine et de coeur, Marseille, pour fonder sa propre agence de design global. Elle y développe des partenariats très variés : Yves Saint Laurent Beauté, Roche Bobois, Cartier, Made.com, La Redoute Intérieurs, Habitat, SIA Home Fashion, CFOC concept store, Vista Alegre, KparK, La Monnaie de Paris, etc.Pour en savoir plus, visitez le site de Materials & Light et des Design Cream Design Cream ? Quèsaco ? Un événement présentant le travail de la crème de la crème des designers et des architectes, pardi ! Et qui dit casting prestigieux, dit format de choix. Le jeudi 26 mars 2018, dix créateurs, réunis à l'occasion du salon Materials & Light, ont ainsi fait découvrir de manière atypique leurs créations, inspirations et projets en 20 images, projetées à 20 secondes d'intervalle. Zoom sur l'univers de Antoine Phelouzat. Les soirées Design Cream, créées par le touche-à-tout Benjamin Girard de l'agence Design Project, visent à offrir une scène à la crème de la crème des créateurs afin qu'ils présentent leurs projets à un large public, dans un format spécifique, rythmé et concis, et dans une ambiance décontractée. De quoi assurer un succès planétaire à ces rassemblements ! Tout tient dans le format, nommé Pecha Kucha : les invités disposent de 20 diapositives, montrées durant 20 secondes chacune, et qui défilent automatiquement ; soit 6 minutes et 40 secondes pour chacun d'eux. Pas de bla-bla : les différents intervenants exposent ici l'essence même de leurs réalisations. Antoine PhelouzatAntoine Phelouzat est un designer cosmopolite, il grandit à Los Angeles et se forme au design en Angleterre. À Londres il collabore avec Tom Dixon et Michael Young, à Paris il collabore avec Arik Levy et Noé Duchaufour-Lawrence. Aujourd'hui il vit et travaille à Paris, il est naturellement tourné vers l'international et entretient des collaborations de longue date avec l'Inde et l'Amérique du Nord. Son savoir-faire s'exprime à toutes les échelles, du petit objet artisanal de galerie à l'architecture commerciale aéroportuaire, en passant par le produit de grande série. C'est cette amplitude d'action que lui offre une approche globale du design qu'il affectionne particulièrement. Les matières, processus de fabrications et le bon sens sont autant d'ingrédients qu'il utilise et détourne mais toujours en essayant de surprendre, d'interpeller l'utilisateur, d'échanger avec lui, ses travaux nous apparaissent alors familiers et surprenant. Pour en savoir plus, visitez le site de Materials & Light et des Design Cream
Il y a 6 ans et 240 jours

Un nouveau musée du design Victoria & Albert à Dundee en Écosse

Le nouveau musée du design Victoria & Albert à Dundee (Ecosse), une antenne de l'établissement éponyme de Londres conçue par l'architecte japonais Kengo Kuma, a été inauguré mercredi avant d'ouvrir ses portes au public samedi.
Il y a 6 ans et 249 jours

Make : London Wall Place

À proximité de La City de Londres (Royaume-Uni), l'agence anglaise Make redonne vie à des vestiges romans par la création de 6 000 mètres carrés d'espace public, au milieu de deux nouvelles tours de bureaux. Une belle manière de nouer des liens entre architecture contemporaine et monuments historiques, tout ramenant de la verdure dans un tissu urbain dense ! Des remparts de l'époque romane aux édifices d'après-guerre, en passant par l'église médiévale St Alphage, le site ne manquait pas de références historiques. Des traces du passé qui étaient jusque-là dissimulées et qui se devaient d'être valorisées. Pour cela Make a proposé la mise en place d'un schéma directeur développant, au milieu de 22 000 mètres carrés de bureaux répartis en deux bâtiments, une promenade urbaine surélevée de plus de 350 mètres de long, comprenant quatre passerelles métalliques publiques qui enjambent trois rues piétonnes. Celle-ci est ponctuée de " jardins de poche " permettant d'apprécier une vue sur ce patrimoine londonien méconnu.Situés de part et d'autre du circuit, les deux ouvrages de 13 et 17 étages partagent un même traitement de façade où alternent verticalement béton armé et parois en verre. Une relation pour le moins originale entre l'espace public et des édifices, qui redonne à la ville son patrimoine ! Pour en savoir plus, visitez le site de Make Architects
Il y a 6 ans et 249 jours

Make : London Wall Place

À proximité de La City de Londres (Royaume-Uni), l'agence anglaise Make redonne vie à des vestiges romans par la création de 6 000 mètres carrés d'espace public, au milieu de deux nouvelles tours de bureaux. Une belle manière de nouer des liens entre architecture contemporaine et monuments historiques, tout ramenant de la verdure dans un tissu urbain dense ! Des remparts de l'époque romane aux édifices d'après-guerre, en passant par l'église médiévale St Alphage, le site ne manquait pas de références historiques. Des traces du passé qui étaient jusque-là dissimulées et qui se devaient d'être valorisées. Pour cela Make a proposé la mise en place d'un schéma directeur développant, au milieu de 22 000 mètres carrés de bureaux répartis en deux bâtiments, une promenade urbaine surélevée de plus de 350 mètres de long, comprenant quatre passerelles métalliques publiques qui enjambent trois rues piétonnes. Celle-ci est ponctuée de " jardins de poche " permettant d'apprécier une vue sur ce patrimoine londonien méconnu.Situés de part et d'autre du circuit, les deux ouvrages de 13 et 17 étages partagent un même traitement de façade où alternent verticalement béton armé et parois en verre. Une relation pour le moins originale entre l'espace public et des édifices, qui redonne à la ville son patrimoine ! Pour en savoir plus, visitez le site de Make Architects
Il y a 6 ans et 249 jours

Make : London Wall Place

À proximité de La City de Londres (Royaume-Uni), l'agence anglaise Make redonne vie à des vestiges romans par la création de 6 000 mètres carrés d'espace public, au milieu de deux nouvelles tours de bureaux. Une belle manière de nouer des liens entre architecture contemporaine et monuments historiques, tout ramenant de la verdure dans un tissu urbain dense ! Des remparts de l'époque romane aux édifices d'après-guerre, en passant par l'église médiévale St Alphage, le site ne manquait pas de références historiques. Des traces du passé qui étaient jusque-là dissimulées et qui se devaient d'être valorisées. Pour cela Make a proposé la mise en place d'un schéma directeur développant, au milieu de 22 000 mètres carrés de bureaux répartis en deux bâtiments, une promenade urbaine surélevée de plus de 350 mètres de long, comprenant quatre passerelles métalliques publiques qui enjambent trois rues piétonnes. Celle-ci est ponctuée de " jardins de poche " permettant d'apprécier une vue sur ce patrimoine londonien méconnu.Situés de part et d'autre du circuit, les deux ouvrages de 13 et 17 étages partagent un même traitement de façade où alternent verticalement béton armé et parois en verre. Une relation pour le moins originale entre l'espace public et des édifices, qui redonne à la ville son patrimoine ! Pour en savoir plus, visitez le site de Make Architects
Il y a 6 ans et 249 jours

Claude Loréa, nommée directrice ciment de la GCCA

Global Cement & Concrete Association (GCCA) nomme Claude Loréa directrice ciment. Dès le mois de novembre, elle rejoindra l'équipe dirigeante du GCCA dans ses bureaux de Londres. L'article Claude Loréa, nommée directrice ciment de la GCCA est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.