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Il y a 2 ans et 218 jours

Le site ExxonMobil menacé de réquisition poursuit la grève

La grève a été votée à l'unanimité par la quinzaine de salariés présents vers 14H sur le piquet de grève, selon l'AFP.Le ministère de la Transition énergétique a annoncé dans la matinée la réquisition des personnels indispensables au fonctionnement du dépôt de ce site ExxonMobil, qui compte également une raffinerie. Cette dernière n'est pas concernée par la réquisition."Le gouvernement vient s'immiscer dans le mouvement", a dénoncé le délégué syndical central CGT, Christophe Aubert, en précisant que "le préfet a les réquisitions en main et si à 14H personne ne va travailler, les réquisitions vont commencer"."La direction nous informe qu'elle est prête à renégocier après la grève", a-t-il ajouté sur le piquet de grève, où une délégation d'élus dont la cheffe de file des députés LFI Mathilde Panot se sont rendus."Ce n'est pas une réunion politique, c'est une lutte pour les salaires. Si les politiques veulent nous apporter leur soutien, c'est très bien", a estimé M. Aubert.Le secrétaire général de l'Union départementale 76 de la CGT, Pascal Morel a réagi à la réquisition du site en condamnant "cette menace sur le droit de grève". La CGT "se prépare à des assemblées générales partout pour appeler à la grève partout", a-t-il poursuivi.Selon M. Morel, le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez doit se rendre sur le site Esso-ExxonMobil en fin de journée."Nous sommes venus au soutien des grévistes, ce gouvernement refuse de taxer les superprofits et d'augmenter les salaires", a lancé devant les journalistes la députée LFI Mathilde Panot, accompagnée de responsables locaux de la CGT et d'autres élus et parlementaires."C'est la caresse aux puissants et lorsque le peuple réclame son dû, c'est la répression", a-t-elle ajouté. "Les salariés Exxon-Mobile réclament 0,53% du bénéfice semestriel d'Exxon", selon elle.Six des sept raffineries de France sont en grève mercredi: les quatre de TotalEnergies et les deux d'Esso-ExxonMobil; seule celle de Lavéra (groupe Petroineos) n'est pas bloquée.
Il y a 2 ans et 221 jours

La croissance française moins forte qu'estimée au 3e trimestre, selon la Banque de France

"Les premières indications suggèrent une légère hausse du PIB en octobre", prévoit également la note."Cela confirme la bonne résilience de l'activité au 3e trimestre et cela conforte nos prévisions 2022 (2,6%, NDLR)", a relevé Olivier Garnier, directeur général des Statistiques, Études et international à la Banque de France."Nous prévoyons une activité stable au quatrième trimestre", a de son côté déclaré, lors d'un forum des entreprises organisé par la Banque de France, son gouverneur François Villeroy de Galhau.La croissance de septembre a été "stable" par rapport à août, en dépit d'une légère hausse de l'activité dans la construction par rapport à l'industrie et aux services, distingue le rapport."Au total, sur le trimestre qui vient de s'achever en septembre, l'activité aurait plutôt bien résisté, portée par le dynamisme de certains services marchands, mais aussi par une hausse de la valeur ajoutée dans l'industrie pendant l'été", poursuit la Banque de France."Dans un contexte fortement incertain, notamment sur le coût et la disponibilité de l'énergie", les "entreprises anticipent pour octobre que l'activité évoluerait peu dans l'industrie et le bâtiment et augmenterait à nouveau dans les services marchands, mais plus légèrement que les mois précédents", anticipe l'enquête.La banque centrale relève également que les prix des produits finis sont repartis à la hausse en raison d'un fort rattrapage saisonnier après l'été et des incertitudes liées à la crise énergétique qui "s'étendent à tous les secteurs", selon M. Garnier. "29% des chefs d'entreprise dans l'industrie manufacturière déclarent avoir augmenté leur prix de vente en septembre. Cette proportion est particulièrement élevée dans l'agroalimentaire (où 43% des entreprises indiquent avoir augmenté leurs prix), l'industrie chimique, et le bois, papier, imprimerie. Elle s'élève à 49% pour les entreprises du bâtiment et à 21% pour les services marchands", indique la note.Les augmentations, qui devraient légèrement se tasser en octobre dans l'industrie (23%), les services (20%) et le bâtiment (44%), portent tout spécialement sur les services aux particuliers (hébergement, restauration, réparation automobile) et le transport.Les difficultés d'approvisionnement continuent de s'éloigner du "pic d'avril", selon M. Garnier mais restent élevées (49% dans l'industrie, 40% dans le bâtiment).En matière de trésorerie, l'industrie continue de souffrir, tant les grandes entreprises que les PME, en raison du coût des matières premières et de l'énergie."Cette dégradation touche plus particulièrement certains secteurs industriels comme l'industrie pharmaceutique, la chimie, le bois, papier, imprimerie et les équipements électriques", toujours selon la Banque de France."Il commence à y avoir des différences assez fortes selon les secteurs. Les services continuent à bien résister (...) par contre l'industrie commence à souffrir, ça c'est le phénomène un peu nouveau qui n'est pas très surprenant parce qu'il est lié à la forte augmentation des factures énergétiques qui comptent beaucoup plus sur l'industrie", a commenté lundi sur France Culture François Villeroy de Galhau.Selon lui, une récession n'est pas à exclure en 2023, à -0,5%, même si ce n'est pas le scénario le plus probable. "S'il devait y avoir une récession, nous pensons qu'elle serait limitée et temporaire (...) au passage ceci justifie qu'il ne faille pas aujourd'hui un nouveau quoi qu'il en coûte", a-t-il ajouté.
Il y a 2 ans et 221 jours

PLF 2023 : trois députés Renaissance, risquent d’accentuer la crise actuelle du logement

Dont acte ! Cette légitime réflexion aurait dû s’accompagner d’un intérêt tout aussi important porté aux entreprises impactées par chacune des décisions fiscales qui pourraient être proposées.Pour mémoire, la FPI rappelle que produire des logements collectifs neufs en PINEL présente les avantages suivants :Les logements PINEL produits à compter de janvier 2022 respectent la réglementation environnementale RE 2020 la plus exigeante au niveau européen voire mondial ;La construction de logements PINEL est pourvoyeuse d’emplois locaux (120.000 emplois par an) non délocalisables ;La vente des logements PINEL génère des ressources importantes de TVA pour l’Etat ;En accroissant le parc de logements locatifs, la production de logements PINEL participe à la mobilité nécessaire des salariés ;Être propriétaire d’un logement PINEL procure un complément de revenus non négligeable pour de nombreux ménages lors de la retraite.Or, un amendement a été déposé par les 3 députés de cette task force en vue de son examen en séance publique : il prévoit la fin du dispositif d’investissement locatif PINEL au 31 décembre 2023 au lieu du 31 décembre 2024, alors même que les évolutions apportées à ce dispositif par la précédente loi de finances pour 2022 ne sont pas encore entrées en vigueur et que les dernières modifications, par décret, datent de mars 2022.La FPI alerte sur cette initiative, qui prise sans concertation avec les professionnels du secteur et sur la base d’a priori déconnectés de la réalité, pourrait être lourde de conséquences :Elle introduit, une fois de plus, une insécurité fiscale préjudiciable au bon fonctionnement des entreprises qui ont besoin de stabilité : lancer un programme immobilier demande du temps et, en conséquence, de la visibilité que ne permet plus l’agitation fiscale actuelle.Cette insécurité fiscale est également pénalisante pour les particuliers, qui ont prévu, parfois de longue date, d’investir dans un bien de ce type en vue de le louer à un ascendant ou un descendant, faculté supprimée par l’amendement.Elle intervient au plus mauvais moment : sur le premier trimestre 2022, le nombre de logements proposés à la vente a chuté de 15% par rapport à 2021. L’effondrement que l’on constate depuis 2019 ne fait que s’accentuer en 2022. L’offre de logements neufs collectifs, aux performances énergétiques élevées, sobres en foncier et répondant aux attentes de nos concitoyens, va se réduire encore plus et amplifier une crise du logement annoncée sur l’ensemble du parcours résidentiel.Pour qu’un pays puisse se développer, il faut qu’une frange de la population soit mobile. Une offre satisfaisante sur le marché locatif permet d’y répondre et le dispositif PINEL y contribue fortement avec des logements de qualité. A l’heure où l’on parle de la réforme des retraites, la majorité des investisseurs en PINEL bénéficient d’un accroissement de revenus le jour de la retraite. Alors même que nos concitoyens peinent à se loger avec des loyers adaptés à leur budget, ce sont ainsi près de 60.000 logements destinés à être loués, sous plafonds de ressources et de loyers, par exemple à des jeunes actifs ou à des ménages à revenus intermédiaires aux activités professionnelles pourtant essentielles (infirmiers, enseignants, policiers...) qui ne verraient pas le jour si cet amendement était adopté.Outre les investisseurs et locataires directement concernés par les logements « PINEL », l’impact de cet amendement, s’il était adopté, serait encore plus massif : aujourd’hui, on retrouve en effet dans un même programme immobilier des logements PINEL, des logements en accession, des logements sociaux. Faire disparaître prématurément le dispositif PINEL empêcherait, par effet collatéral, la réalisation des programmes prévus et donc les autres logements, tels les logements sociaux que nous produisons massivement et ceux destinés au parcours résidentiel des Français.Pour Pascal Boulanger, président de la FPI : « cet amendement va à l’encontre de la stabilité fiscale tant souhaitée par tous les acteurs économiques. Je rappelle que le dispositif actuel a été modifié il y a à peine un peu plus de six mois. Comment voulez-vous que nos entreprises s’organisent dans de telles conditions et que les Français conservent leur confiance dans le pouvoir politique ? Le logement mérite mieux que de sombres tentatives de rabotage fiscal, dont les conséquences, non évaluées sur le plan économique et social, aggraveront le pouvoir d’habiter de nos concitoyens. »
Il y a 2 ans et 225 jours

Batimat : Neolithe transforme des DIB en granulat

Avec son procédé présenté sur Batimat, Neolithe revendique une troisième voie de traitement des déchets non-recyclables non-inertes et non-dangereux. L’équipementier Neolithe développe depuis 2019 un fossilisateur qui transforme les déchets de chantier en granulat. Une entreprise de collecte de déchets va venir collecter, trier au maximum et revaloriser ce qui peut l’être. Ensuite, les déchets récupérés sont fossilisés en accéléré, puis transformés. Dans le détail, « Parmi les déchets non-recyclables, le Fossilisateur prend en entrée les déchets ménagers ou les déchets industriels banals en mélange tels que le plastique, le bois, les textiles, le plâtre ou encore les isolants. Les métaux, quant à eux, sont retirés du procédé, pour être réutilisés au sein de leur propre filière. », détaille l’entreprise sur une page dédiée. La matière broyé (500 microns), est mélangée avec 20% de liant bas carbone qui va minéraliser cette poudre et l’extruder sous forme d’un granulat appelé Anthropocite. Ce matériau peut ensuite être utilisé à hauteur de 10% de substitution, et pour une utilisation non structurelle. Ce traitement peut être appliqué sur les reflux de déchet industriel banal (DIB) de chantier, mais Neolithe ambitionne de se lancer sur le marché des reflux de Combustibles solides de récupération (CSR), d’ordures ménagères, de Résidus de Broyage Automobile (RBA).
Il y a 2 ans et 227 jours

Quartier sans voiture : l’amère panacée

L’automobile n’a peut-être plus la cote mais elle ne reste pourtant jamais bien loin. Pourquoi vouloir une ville sans voiture ? La cité étant une construction sociale, saura-t-elle en l’état évoluer et s’améliorer dans les prospectives urbaines décarbonées (sans voiture mais aussi, sans scooter, même électrique, sans vélo et trottinettes sur batterie) ? L’automobile n’a plus la […] L’article Quartier sans voiture : l’amère panacée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 228 jours

Zeplug lève 240 millions d'euros et acquiert Bornes Solutions

Intermediate Capital Group PLC a investi dans Zeplug via son fonds d'investissement en infrastructures, ICG Infra, a précisé l'opérateur dans un communiqué.Zeplug rachète par la même occasion un de ses principaux concurrents français, Bornes Solutions, qui était dans le portefeuille d'ICG Infra.Fondé en 2014, Zeplug compte utiliser les capitaux levés auprès d'ICG Infra pour accélérer son déploiement en France et se lancer dans les pays voisins (Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Espagne, Suisse), mais aussi aux Etats-Unis, où il a ouvert un bureau, a indiqué à l'AFP Nicolas Banchet, directeur général de Zeplug.Zeplug et plusieurs de ses concurrents, comme EDF, Waat ou Park'n Plug, proposent des solutions pour simplifier l'installation des bornes en copropriété ou dans les entreprises.Ils prennent généralement en charge l'installation des infrastructures collectives, comme les câbles et parfois des compteurs communs, puis facturent l'installation de la borne, fortement subventionnée, ainsi que sa maintenance et les recharges.En dépit du droit à la prise mis en place en 2011, qui permet à chaque copropriétaire d'installer, à ses frais, une prise pour son véhicule, le nombre de copropriétés équipées reste minime, autour de 2%.Ce manque de bornes privées dans les habitats collectifs reste un obstacle de taille à l'électrification des voitures, une brique importante dans la lutte contre le changement climatique."Beaucoup de sociétés sont actives sur ce marché porteur. Mais parmi les acteurs qui adressent le secteur de la charge privée, il y a peu d'acteurs d'une taille significative", a indiqué Ludovic Laforge du fonds ICG Infra."Ce segment a été le moins développé parce qu'il est un peu plus compliqué. Mais c'est le secteur qui fait le plus de sens: les gens veulent charger chez eux", et cette recharge peut être pilotée pour charger la nuit, a souligné M. Laforge.Zeplug est également partenaire de 18 marques automobiles qui ont dopé leur catalogue électrique et proposent son offre à leurs clients, parmi lesquelles Audi, BMW, Volvo et Volkswagen. La société compte 120 salariés en France et Bornes Solutions une centaine.
Il y a 2 ans et 231 jours

Des sénateurs s'engagent pour le développement de la filière chanvre

Le chef de file des sénateurs écologistes Guillaume Gontard a présenté mercredi à la presse une proposition de résolution pour le développement économique de la filière et "l'amélioration de la réglementation des produits issus du chanvre", cosignée par plus d'une cinquantaine de sénateurs.Pour M. Gontard, il ne s'agit pas d'introduire "une plante à la mode", mais de revivifier "une pratique historique", en appelant le gouvernement à œuvrer pour que la culture du chanvre "soit facilitée et bien encadrée".Car le développement de cette plante bute aujourd'hui sur la réglementation et des "questions de normes", selon le sénateur de l'Isère.Intégré dans une rotation des cultures, le chanvre "restructure" et "aère" les sols, explique-t-il. C'est une plante qui pousse vite, résiste à la sècheresse parce que très peu gourmande en eau, ne réclame pas d'apports en produits chimiques..."C'est un puits de carbone", renchérit l'écologiste Daniel Salmon, tandis que le sénateur centriste de Gironde Hervé Gillé témoigne de son intérêt dans le cadre de la reconversion des terres viticoles et d'une "remise en polyculture".Cultiver du chanvre, mais pour quoi faire ? Tout ou presque, si l'on en croit Evelyne Perrot, sénatrice centriste de l'Aube, département qui abrite la coopérative "La Chanvrière". Environ "60% du chanvre français" y sont produits par quelque 650 agriculteurs (28% de la production européenne).En 1985, l'activité y a démarré avec la production de litière pour chevaux. Dans les années 1990 est apparu "le béton de chanvre", un matériau de construction biosourcé dont les propriétés isolantes en font aujourd'hui un précieux atout.Puis les "fibres techniques pour l'industrie automobile", alternative aux fibres de verre polluantes. Pour des éoliennes vraiment écolos, les fibres de chanvre pourraient aussi être intégrées dans les pâles, aujourd'hui fabriquées majoritairement en fibre de verre, indique M. Gontard.Des vaches "plus joyeuses"Tee-shirts ou même slips: le chanvre est encore utilisé pour produire des fibres textiles et permet de fabriquer du papier "sans abattre d'arbres".Les graines riches en protéines sont utilisables dans l'alimentation animale comme humaine. Nicole Bonnefoy (PS) rapporte une expérimentation menée dans son département de la Charente avec l'introduction de graines de chanvre dans les tourteaux pour les vaches: "Les vaches étaient plus joyeuses, le lait de grande qualité". L'huile de chanvre est aussi utilisée en cosmétique. On est loin des cordages et des voiles de bateau des siècles passés.Les auteurs de la proposition de résolution soulignent toutefois la nécessité d'un "énorme travail de structuration de la filière": "Créer la demande, ouvrir le marché, normer tout ça". Avec une contrainte non négligeable: pour être transformé, le chanvre a besoin d'outils spécialisés, et donc d'investissements.Fibres, graines... la plante a aussi des feuilles et des fleurs, et là les choses se compliquent.Le Conseil d'Etat a en effet suspendu en janvier un arrêté du gouvernement interdisant la vente des fleurs et des feuilles de chanvre qui contiennent du cannabidiol (CBD), la molécule non-psychotrope du cannabis, censée avoir des vertus apaisantes et relaxantes. "Mais on est toujours dans un flou juridique", selon Guillaume Gontard, alors que le CBD commercialisé en France "provient d'autres pays européens, avec une qualité et une traçabilité très faibles"."Le kilo de fleurs de CBD peut se vendre autour de 600 euros en 2022", contre un cours du blé dur autour de 430/450 euros la tonne, relèvent les auteurs de la proposition de résolution, pour qui "la manne financière, représentée par la culture du chanvre CBD serait une bouffée d'oxygène pour les agriculteurs français".
Il y a 2 ans et 232 jours

Lave mains mobile Actifleet - ShoulderSink - Un poste d'hygiène en tout temps

L'eau utilisée est versée sur le sol - le papier usagé est collecté dans une poubelle intégrée. L'évier ShoulderSink est généralement installé dans le véhicule avec à un support, mais il peut également être emporté, grâce à la bandoulière fournie.
Il y a 2 ans et 232 jours

Equipements de protection et de sécurité : comment bien choisir ?

Beaucoup de métiers exigent de porter des équipements de protection. L’objectif est simple : se protéger du froid, des projections et autres salissures. En d’autres termes, assurer sa sécurité pour travailler confortablement jour après jour. L’article qui suit donne quelques conseils pour bien choisir ses équipements de protection et de sécurité. Choisir ses équipements de protection et de sécurité en fonction de l’activité professionnelle exercée Les équipements dont les équipes de travail ont besoin pour exercer leur métier dépendent en premier lieu du domaine professionnel concerné. A titre d’exemple, sur les gros chantiers de construction ou en lien avec les travaux public, les travailleurs vont avoir besoin des éléments suivants : Un pantalon et une veste de travailDes chaussures de sécuritéUn casque anti-chocDes lunettes de protectionDes gants de protectionUn casque anti-bruit, etc S’ajoutent à cela des éléments tels qu’un gilet de signalisation pour les travaux sur la voie publique ou bien encore un harnais de sécurité pour les personnes amenées à travailler en hauteur, etc. Pour les mécaniciens et les carrossiers, il est indispensable de s’équiper d’une combinaison de travail ou bien d’un t-shirt et d’un pantalon de travail, de gants, de chaussures de sécurité et de lunettes de travail. D’autres métiers nécessitent des équipements plus particuliers. Citons les personnes exposées à des produits chimiques ou des substances radioactives. Elles doivent impérativement porter une combinaison de protection spécifique recouvrant tout le corps et un masque. N’oublions pas non plus les personnes qui travaillent dans les cantines collectives ou les centres de préparation et de cuisson de repas. Elles ont pour leur part besoin d’une blouse, de charlottes jetables et de surchaussures jetables. Au moment de choisir, les professionnels qui font le choix d’un équipement de protection Berner s’assurent de se tourner vers des produits fiables, solides et qui répondent aux normes, ce dernier étant un critère à bien prendre en compte au moment de choisir ses équipements de protection et de sécurité. Veiller au respect des normes pour les équipements de protection et de sécurité On le sait, les équipements de protection et de sécurité visent à protéger les travailleurs d’une multitude de désagréments pouvant être rencontrés au cours de l’activité professionnelle : projections, chocs, salissures, bruits ou exposition à des produits dangereux. Cependant, tous les produits proposés sur le marché ne se valent pas. L’un des critères à bien regarder au moment de s’équiper est le respect des normes de sécurité. L’avantage avec les produits du groupe Berner, c’est qu’ils respectent parfaitement ces normes essentielles. Citons par exemple : La norme EN 166 qui s’appliquent à la protection des yeux pour les lunettesLa norme EN 352-1 en lien avec la protection contre le bruit pour les casques Ne pas négliger les équipements de premiers secours Que l’on travaille sur un chantier, dans un garage automobile ou au sein d’une usine, les professionnels doivent s’équiper d’une trousse de premiers secours afin de faire face aux blessures les plus superficielles. La trousse ou mallette de secours doit contenir au minimum des pansements, une solution désinfectante, des compresses de gaze, une paire de ciseaux, une pochette de glace, du tulle gras et une couverture isothermique. Avec Berner, les professionnels retrouvent l’ensemble des équipements de protection et de sécurité dont ils sont amenés à avoir besoin pour travailler dans des conditions optimales. Les commandes se font directement sur le site internet et la livraison se fait sur le lieu choisi.
Il y a 2 ans et 232 jours

Une application pour accompagner les professionnels du BTP en prévention sur les chantiers

L'OPPBTP, l'organisme professionnel de prévention du BTP, lance l'application mobile "check chantier" afin de contribuer à la promotion de la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.
Il y a 2 ans et 232 jours

Première mondiale : la signature électronique sécurisée, gratuite et accessible à tous

Aujourd’hui, avec la généralisation du télétravail et la transformation numérique de tous les pans de la société, la signature électronique s’est considérablement répandue et démocratisée. Mais de nombreuses personnes, entreprises et organisations n’ont toujours pas accès à un tel outil, souvent par manque d’information ou de moyens. Lex Community est justement né du désir de rendre la signature électronique accessible au plus grand nombre.Lex Community est un portail grand public destiné aux TPE, professions libérales et règlementées, indépendants, particuliers et associations qui ont besoin de signer et faire signer tout type de document (contrat, bail, devis, bon de commande, attestation, procès-verbal, état des lieux, etc.) avec tous les bénéfices de la dématérialisation à valeur probatoire : suppression des coûts d’impression et d’expédition, instantanéité d’Internet, sécurité technique, valeur juridique et conformité règlementaire.La plateforme de signature électronique Lex Community est entièrement gratuite. Pour l’utiliser, il suffit de créer un compte en renseignant vos prénom, nom et adresse de messagerie, ainsi qu'un mot de passe. Votre compte ne se clôture pas après 14 jours d’essai gratuit, et n’est pas transféré vers une version payante. Vous avez accès à votre compte en illimité. Et afin de respecter votre vie privée, aucune de vos informations ne sera utilisée à des fins marketing.FranceConnect, l’agrégateur d’identités numériques créé par l’Etat, a par ailleurs été intégré à Lex Community et permet de vérifier facilement l’identité du signataire. Ainsi, tout utilisateur possédant un compte impots.gouv.fr, Ameli, MSA (Mutualité Sociale Agricole), une identité numérique de La Poste ou Mobile Connect et Moi, aura la possibilité de s’authentifier et de signer les documents qui lui seront soumis sur Lex Community. La plateforme permet également au signataire de s’authentifier par mail ou SMS.Pour découvrir Lex Community et adopter la signature électronique, rendez-vous sur www.lex.community
Il y a 2 ans et 234 jours

Val-de-Marne : La SFB ambitieuse et engagée

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. SFB est essentiellement présente dans le Val-de-Marne. [©SFB] Dans le paysage des BPE franciliens, Société francilienne de béton (SFB) tente de se faire une place depuis le Val-de-Marne. « Nous avons quatre unités de production de béton qui se situent à Bonneuil-sur-Marne, à Ivry-sur-Seine et à Valenton, explique Stéphane Troussard, directeur général de l’entreprise. Nous proposons aussi à nos clients quatre unités de production mobiles. Ce qui nous permet de nous adapter à chaque chantier et à ses particularités. Mais aussi aux différents besoins de nos clients en matière de production de BPE. » Reprise par les Carrières Nivet en 2019, SFB a pour ambition de promouvoir le béton décarbonné sur sa zone de chalandise. Pour cela, elle a signé un partenariat avec Hoffmann Green Cement. « Nous sommes deux producteurs de BPE à avoir l’exclusivité en Ile-de-France et nous sommes les seuls indépendants. Ce partenariat nous permet d’apporter une vraie solution avec de la valeur ajoutée à nos clients. Dans la même idée, début 2023, nous allons diversifier notre gamme de solutions produits et services. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Outre ses produits, SFB s’appuie, depuis le rachat, sur la valeur de ses hommes et de ses savoir-faire. « Nous avons une structure d’une quarantaine de femmes et d’hommes engagés, avec peu de turn-over. L’ancienneté moyenne des collaborateurs se situe autour des 15 ans. Nous impliquons tout le monde dans nos projets, notamment en matière de RSE. En l’espèce, les employés ont majoritairement répondu présent pour apporter leur soutien à une association luttant contre le cancer du sein1. Nous sommes aussi membres du label “Global Compact” de l’Onu en matière de RSE. » Ce qui n’empêche pas SFB d’être active sur le marché francilien de la construction, comme sur les lots T2a et T2b de la ligne 15 du Grand Paris.  1Courses caritatives Odysséa. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 234 jours

Sipe : Un self-service en béton

Le service Self est disponible sur différents modèles de centrales à béton de la gamme Sipe. [©Sipe] Le programme de Sipe est “compact”, car ce sont les nouvelles centrales à béton Mobile et Self qui sont mises en avant. La première ligne regroupe les unités conçues pour un transport routier facilité, et une rapidité́ de montage et mise en service. Les capacités de production offertes oscillent entre 20 à 100 m3/h selon la configuration.  Mais c’est sans doute la ligne Self qui retient l’attention. Elle réunit les unités de production du béton dites “en libre-service”. Un concept qui a le vent en poupe en France aujourd’hui. Sipe le développe depuis 2021 et c’est donc ici une des premières apparitions sur un salon de portée mondiale.  Le fonctionnement de la Self est simple, comparable à une station essence. Le client positionne son véhicule, choisit la formule de béton et la quantité désirée sur un écran tactile et paie sa commande. Il ne reste plus qu’à attendre quelques minutes pour voir son béton délivré, en toute autonomie. Le service Self est disponible sur différents modèles de centrales à béton de la gamme Sipe : Torre, Compact, Mobile et Vertical. De quoi répondre à toutes les attentes et tous les besoins.  Bauma – Hall C1 – Stand 208 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 234 jours

SBM : La centrale économique

SBM dévoile sa centrale à béton Dynamix 2500. [©SBM] Plus de 600 m2 ont été réservés par SBM, en particulier pour dévoiler sa nouvelle Dynamix 2500. Cette centrale à béton offre une capacité de production élevée, pouvant aller jusqu’à 115 m3/h de béton vibré. Sur site, son installation est simple et ne nécessite pas de travaux préparatoires. La Dynamix 2500 s’inscrit à la fois dans la lignée des unités mobiles Euromix et conteneurs Linemix. Ce qui distingue toutefois cette nouvelle unité, c’est la construction modulaire et standardisée. Complétée par des composants de série issus de la gamme des centrales mobiles SBM (silos, trémies, élévateurs d’alimentation), la Dynamix 2500 devient une solution attractive au niveau économique. Ceci, aussi bien pour des utilisations temporaires que pour une exploitation sur le long terme en tant qu’installation fixe. Par ailleurs, l’utilisateur final a le choix entre trois packs d’équipements : version standard non capotée, version été, avec toits de protection à grandes dimensions au-dessus des plates-formes de travail, et version hiver, avec un nouvel habillage du module de malaxage et de la zone de transferts au niveau des trémies. Bien entendu, tous ces packs d’équipements peuvent être modifiés et échangés. Malgré des dimensions optimisées pour le transport, le module de malaxage est équipé du malaxeur à deux arbres horizontaux DKXS 2,50 S de BHS. De même, tous les raccords d’alimentation sont pré-installés et l’ensemble de la centrale ne nécessite pas plus d’une journée pour sa mise en service.   Bauma – Hall B2 – Stand 249 et zone extérieure entre les halls B2 et B3 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 235 jours

SIPE, centrales à béton SELF pour la distribution en libre service

Sipe propose SELF, centrale à béton en libre service SIPE, producteur italien de malaxeurs et centrales à béton actif sur le marché depuis 1979, propose des solutions pour toute l’industrie du béton : chantiers de toute taille, fournisseurs de BPE, préfabricants, laboratoires, producteurs de réfractaires et de pavés.  La présence de SIPE en France est en fort développement, avec plusieurs centrales livrées et en cours de livraison cette année. Notamment les modèles mobiles – à trémies et à rayon raclant – et les centrales fixes qui sont de plus en plus nombreux dans l’Hexagone.  Parallèlement, l’industriel continue le développement et la promotion de ses centrales SELF pour la production de béton en libre-service, avec une gamme de solutions conçues pour servir les particuliers, carrières à agrégats et négoces de matériaux, fournisseurs de BPE, chantiers de grande taille et producteurs de blocs. La gamme proposée par SIPE s’appuie sur la connaissance du béton et l’innovation technologique, qui mènent à l’objectif primaire – qui est aussi le slogan de l’industriel italien : permettre à ses clients de produire du béton de qualité.  SIPE sera présent au salon BAUMA à Munich, du 24 au 30 octobre, stand 208, hall C1. Découvrez la gamme complète des centrales à béton SIPE : www.sipeitalia.com/fr/
Il y a 2 ans et 235 jours

La Fédération DLR actualise son identité visuelle

La Fédération DLR évolue et a choisi un nouveau logo, une réactualisation de son visuel historique. [©Fédération DLR] C’est en cette rentrée de septembre 2022 que la Fédération nationale des distributeurs, loueurs et réparateurs (DLR) a choisi de présenter son nouveau logo. En effet, son identité visuelle n’avait pas changé depuis 30 ans. On y retrouve toujours les couleurs et formes de l’ancien logo. Ainsi que le cube qui symbolise le secteur de la construction et de la manutention, mais aussi l’Hexagone français. Les modifications les plus perceptibles concernent les différentes commissions de la fédération. Le carré de couleur change pour exprimer les spécificités de chaque commission métiers : distribution, location, grue à tour (CPMDG), sanitaires et unités mobiles (SUM). Les deux dernières rappellent respectivement les couleurs des anciens logos. Le cube rouge, commun à l’ensemble des commissions métiers, souligne leur appartenance à la fédération DLR.  Une couleur qui varie  Quant aux commissions transversales (Affaires sociales, Emploi & Formation, Finances, Maintenance Sécurité Environnement Qualité), la couleur du cube diffère et évoque les différentes thématiques. Le cube est intégré dans le carré rouge DLR, matérialisant les métiers.  En ce qui concerne le slogan retenu, “La fédération des matériels”, il vise l’ensemble des activités directement couvertes par la Fédération. Mais aussi celles de ses membres partenaires, l’Association des constructions industrialisées et modulaires (Acim), Fédération nationale des artisans et petites entreprises en milieu rural (Fnar) et l’Union française du levage (UFL) qui jouent un rôle prépondérant au sein de la Fédération.
Il y a 2 ans et 235 jours

Neustark : Captage de CO2 et granulats recyclés, le combo gagnant

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Neustark a commencé son développement en Suisse [©Neustark] Lancée en 2019, Neustark s’est ancrée dans une démarche environnementale et d’économie circulaire. Elle s’intéresse aussi bien au captage du carbone qu’au recyclage des bétons de démolition et à la fabrication d’un béton “écologique”. En effet, Neustark a développé toute une chaîne de valeur en Suisse. Il y a tout d’abord, un système de liquéfacteurs de CO2 capté dans l’atmosphère. Sous forme de conteneurs, la solution peut être implantée sur des sites industriels. Ensuite, le carbone à l’état liquide est transporté (à l’aide de camions roulant au biogaz) vers des recycleurs ou des producteurs de ciment ou de béton. Ici, le CO2 est mélangé dans des conteneurs Neustark, avec les granulats recyclés issus des bétons de démolition. « Ces déchets sont des puits de stockage de carbone », explique Valentin Gutknecht, co-fondateur de la start-up. Par minéralisation, le CO2 est transformé en calcaire. Ce matériau peut être utilisé comme alternative au ciment de clinker (une substitution allant, pour le moment, de 0 à 20 %), réduisant ainsi la facture carbone du béton. L’installation de transformation est mobile et s’adapte facilement à toutes les configurations industrielles. La solution de Neustark permet de stocker 10 kgeqCO₂capturé/m3 de béton. Elle peut ainsi éviter jusqu’à 20 kg de nouvelles émissions de CO₂/m³ de béton frais. L’industriel compte bien multiplier ces chiffres dès 2025, avec une nouvelle version de sa technologie. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 235 jours

Doka : L’échafaudage en ligne de mire

Doka se lance dans l’échafaudage… [©Doka] L’un des clous du stand Doka est la présentation de sa toute nouvelle activité d’échafaudage. Ceci, dans le cadre d’un partenariat stratégique avec l’industriel américain At-Pac mis en place depuis 2020. Sachant qu’At-Pac est né en 1995.  A Bauma est mis en avant l’échafaudage multi-directionnel Ringlock, qui s’articule autour d’un nœud à huit départs. L’offre compte tous les éléments nécessaires pour répondre aux besoins de la construction, quelle qu’en soit la nature. Doka présente en même temps le logiciel de gestion d’échafaudage Hi-Vis. L’univers du coffrage – raison d’être de l’entreprise – profite aussi de nombreuses innovations. Doka annonce ainsi « l’inauguration d’une nouvelle ère dans le coffrage de planchers, avec l’arrivée d’une famille de systèmes sans précédent ». Mais il faudra se rendre sur place pour en savoir plus… En revanche, on sait déjà que le coffrage-cadre Framax Xlife profite de plusieurs améliorations. Dont le lancement d’un panneau de 3 m de haut, parfait pour la construction résidentielle. Le Doka Xlight évolue de la même manière et voit la présentation de nouveaux composants permettant une utilisation du système aussi bien en coffrage de voiles que de planchers.   Le génie civil est, lui, le terrain de jeu du Doka UniKit. Poutres métalliques primaires, secondaires et tour 480 en constituant les composants de base. A assembler à loisir entre eux et/ou à intégrer à tous les autres systèmes de mâts porteurs de la marque.  Doka invite les visiteurs à tester ses solutions logicielles, dont la première s’appelle Easy Formwork Planner. Cette application mobile est destinée à rendre la planification de l’utilisation du coffrage presque intuitive. Smart Assistants, Smart Planning et Smart Site sont, elles, des solutions numériques visant à optimiser les opérations de chantier et à contribuer à l’augmentation de la productivité.  Enfin, Doka dévoile une dernière solution, lumineuse… SiteLight n’est autre qu’un support constitué de panneaux à Leds permettant l’affichage de panneaux publicitaires sur les chantiers.  Bauma – Zone extérieure FN – Stand 421 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 236 jours

Béton Mousse Technologie : Une mousse minérale dans les starting-blocks

Béton Mousse Technologie présente sa nouvelle Mousse Minérale. [©Béton Mousse Technologie] Matériau de remplissage léger, fluide et isolant, le béton mousse Aerolithys sera au centre du stand de Béton Mousse Technologie (BMT). Aujourd’hui, deux usages principaux sont à distinguer concernant ce produit. D’une part, comme ravoirage léger en bâtiment. D’autre part, comme remblai technique en génie civil. Et c’est pour cette dernière application que BMT vient de développer une centrale mobile de malaxage d’une capacité de production in situ de près de 100 m3/h… Mais c’est une autre innovation qu’il sera intéressant de découvrir. A savoir, la toute nouvelle Mousse Minérale, dont le développement vient de s’achever. « Les premiers chantiers tests ont eu lieu en septembre dernier, pour un lancement du produit début 2023 », indique Jacky Fronteau, président de BMT. Cette mousse cimentaire – dont le nom définitif n’a pas encore été calé – a été développée et formulée par Aerolithys. En plus d’un agent moussant de dernière génération, elle incorpore des liants de spécialités, dont la sélection a pu se faire grâce à l’étroite collaboration, sur le marché français, avec Imerys. Fabriquée in situ, selon un process de production très précis et maîtrisé, cette nouvelle mousse minérale est de type bas carbone, sans retrait et offre différentes durées de prise. Outre le ravoirage, le remplissage de structures préfabriquées en bois constituera un des principaux usages de ce matériau sous Avis technique de système. Batimat – Hall 1 – Stand P129 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 238 jours

Check chantier, la nouvelle appli de prévention sur chantier de l'OPPBTP

DIGITAL. L'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP) continue son travail de prévention en lançant une nouvelle application mobile. Elle rassemble de nombreux outils pratiques à mettre en place sur un chantier.
Il y a 2 ans et 239 jours

Doubs : l'économie mixte réagit au quart de tour pour l'automobile

Avec la cession d'une portion inactive de l'usine Stellantis (ex-PSA) de Sochaux (Doubs), l'économie mixte locale trouve un vaste terrain...
Il y a 2 ans et 239 jours

Épisodes méditerranéens : comment éviter les dégâts des crues brutales ?

Quelles sont les mesures de prévention ?Si l'intégralité de la France est concernée par un risque d'inondations, même mineur, quinze départements du sud sont particulièrement exposés aux crues brutales à cause des épisodes méditerranéens, ces systèmes orageux capables de déverser des mois de pluies en quelques heures.Comme pour tout risque naturel, divers plans de prévention et de gestion existent, sans cesse révisés avec la récurrence des catastrophes. En 2020, la tempête Alex faisait dix morts, huit disparus, 13.000 sinistrés et environ un milliard d'euros de dégâts dans les Alpes-Maritimes.Depuis les années 1990, des "plans de prévention du risque inondation" (PPRi) établissent la cartographie des dangers et réglementent l'occupation des sols. Annexés aux Plans locaux d'urbanisme (PLU), ils peuvent mener à des interdictions de construire ou à des restrictions, comme l'impossibilité de doter sa maison d'un sous-sol.Ces contraintes se doublent d'initiatives des collectivités, les Programmes d'actions de prévention des inondations (PAPI), ouvrant droit à des subventions de l'État : études du risque local, entretien des cours d'eaux, construction d'ouvrages de protection...Depuis 2011, 69 PAPI ont été labellisés dans les quinze départements concernés, soit un milliard d'euros d'actions (sur 2,6 milliards au national), dénombre la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) au ministère de la Transition écologique.Environ un quart a servi aux délocalisations de "plus de 800 foyers (183 dans l'Aude, 383 dans le Gard et environ 250 dans les Alpes-Maritimes)", selon les chiffres du ministère.Les outils d'alerte se sont aussi multipliés: outre les vigilances de Météo-France et des systèmes d'alertes par SMS, le service Vigicrues s'est enrichi au printemps d'une application mobile avec des notifications personnalisées.Axe majeur de prévention, le gouvernement a relancé en août ses campagnes d'information sur les bons réflexes: "ne pas aller chercher ses enfants" ; "reporter ses déplacements", "rester dans un bâtiment" en hauteur ; "ne pas prendre sa voiture, car quelques centimètres d'eau suffisent à l'emporter", etc.Quelles sont les pistes d'amélioration ?"La plupart des crues sont prévisibles par Vigicrues", rappelle Sybille Muller, cheffe du bureau des risques d'inondation à la DGPR. Ce qui permet d'activer au plus tôt les Plans communaux de sauvegarde (PCS), c'est-à-dire les mesures en cas de crise, en premier lieu les plans d'évacuations."Mais ça ne sert à rien d'avoir un bon plan si on ne s'entraîne pas", ajoute Véronique Lehideux, cheffe du service des risques naturels et hydrauliques au ministère de la Transition écologique."Jusqu'ici on a beaucoup travaillé sur l'acquisition des bons réflexes, mais il faut désormais développer une culture de l'exercice", comme ceux contre les incendies organisés tous les ans et entrés dans les moeurs, souligne la haute fonctionnaire.Adoptée fin 2021, "la loi Matras" sur la sécurité civile "a renforcé les exigences d'exercices" et les autorités comptent étendre cette "logique de crise", "déjà très développée dans les territoires ultra-marins", précise Mme Lehideux.Les grandes lignes de ce qu'il reste à faire sont recensées dans les Plans de gestion des risques d'inondation (PGRI), déclinés sur cinq ans au niveau local.Celui du bassin hydrologique Rhône-Méditerranée prévoit notamment pour la période 2022-2027 d'"améliorer les capacités d'écoulement", alors que l'urbanisation et l'imperméabilisation des sols n'ont cessé d'accentuer le ruissellement.Cela va de la coupe d'arbres fragiles, susceptibles d'être emportés et de former des barrages en s'accumulant sous les ponts, à la destruction d'ouvrages ayant étroitisé les cours d'eau, en passant par les "solutions d'adaptation fondées sur la nature" (SaFN). Il s'agit par exemple de restaurer des zones humides pour étaler les crues, décompacter les sols grâce aux systèmes racinaires des arbres ou multiplier les "noues paysagères" (larges fossés en pente douce pour accueillir les eaux pluviales)."Ces solutions sont à la mode et ont un rôle contributif pour atténuer les catastrophes naturelles", note Sybille Muller, "mais il faut être réaliste : il y a des risques climatiques qui nécessitent des constructions en durs", comme les digues et barrages redimensionnés à la hauteur du danger.
Il y a 2 ans et 239 jours

Une application pour accompagner les professionnels du BTP en prévention sur les chantiers

L'OPPBTP, l'organisme professionnel de prévention du BTP, lance l'application mobile "check chantier" afin de contribuer à la promotion de la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.
Il y a 2 ans et 240 jours

Laurent Cousin, nouveau responsable commercial Sud-Ouest Allu France

Laurent Cousin, nouveau responsable commercial Sud-Ouest Allu France. [©Allu France] Allu France tient son nouveau responsable commercial Sud-Ouest. L’industriel, producteur de matériels de recyclage et de revalorisation de matériaux utilisés, a choisi Laurent Cousin. Ce dernier a commencé sa carrière il y a plus de trente ans, en tant que responsable vente dans l’automobile. Petit à petit, Laurent Cousin grimpe les échelons jusqu’à devenir chef de toute une équipe de vente. Après trois décennies dans l’automobile, il décide de changer de secteur : « Je me suis dit : “j’ai 55 ans et il me reste 10 ans à faire”. J’ai fait le tour du secteur automobile et je suis prêt pour nouvelle aventure. » Allu et Laurent Cousin, valeurs communes Désireux d’occuper un poste de responsable commercial, Laurent Cousin a tout de suite été séduit par Allu France. « J’ai des valeurs qui me sont chères, notamment l’environnement. J’ai trouvé très intéressant le concept d’Allu : le recyclage et la revalorisation de matériaux. Je me suis retrouvé dans ces engagements ». Chez Allu France, Laurent Cousin sera chargé d’élargir le réseau du groupe et travaillera avec les professionnels. « On collabore avec des entreprises de travaux publics, des revendeurs d’engins ou encore des entreprises végétales comme les pépiniéristes. Au-delà du recyclage des matériaux, nous agissons aussi sur la décontamination des sols. »  Le nouveau responsable commercial s’est dit “enthousiaste” à l’idée de commencer cette nouvelle aventure. « En plus de mes missions commerciales, j’ai un niveau de chiffre d’affaires à réaliser. Et ça, c’est quand même très intéressant et stimulant. »
Il y a 2 ans et 241 jours

Un immeuble vendu sur les Champs-Elysées pour un montant "record"

Le montant précis de la transaction n'a pas été communiqué mais constitue un record sur l'artère, plus que les 613 millions d'euros de la vente du siège de Nike en 2019, selon Groupama Immobilier.Situé au 150 de l'avenue parisienne, tout près de l'Arc de triomphe, l'immeuble de 17.800 mètres carrés avait été acquis en 2009 par la filiale de l'assureur, qui l'a restructuré pour y mener notamment un projet hôtelier.Groupama Immobilier a réalisé une plus-value nette de plus de 400 millions d'euros, indique le groupe.L'acquéreur, le fonds d'investissement Cheval Paris, est contrôlé par le fonds Mimco Asset Management. Au total, l'investisseur devrait débourser environ 800 millions d'euros travaux compris, a précisé une source ayant connaissance du dossier."On a plusieurs moteurs sociaux, économiques, démographiques, qui plaident pour que les Champs-Elysées retrouvent leur pouvoir d'attractivité et leur caractère emblématique", a déclaré à l'AFP Eric Donnet, directeur général de Groupama Immobilier.La mairie de Paris a lancé un plan de rafraîchissement de l'emblématique avenue, aujourd'hui plus fréquentée par les touristes étrangers et clients des boutiques de luxe que par les Parisiens.D'ici aux Jeux olympiques de 2024, la place de l'Etoile autour de l'Arc de Triomphe doit voir la circulation automobile réduite, et il est prévu que les jardins autour de la place de la Concorde, à l'autre extrémité de l'avenue, soient rendus plus accueillants.Le mobilier urbain et les terrasses doivent également bénéficier d'un coup de jeune."Ce que prouve cette transaction, c'est que ça marche, et on est un certain nombre d'investisseurs et de développeurs à croire en cette transformation des Champs-Elysées", a ajouté Eric Donnet.
Il y a 2 ans et 241 jours

Un immeuble vendu sur les Champs-Elysées pour un montant "record"

Le montant précis de la transaction n'a pas été communiqué mais constitue un record sur l'artère, plus que les 613 millions d'euros de la vente du siège de Nike en 2019, selon Groupama Immobilier.Situé au 150 de l'avenue parisienne, tout près de l'Arc de triomphe, l'immeuble de 17.800 mètres carrés avait été acquis en 2009 par la filiale de l'assureur, qui l'a restructuré pour y mener notamment un projet hôtelier.Groupama Immobilier a réalisé une plus-value nette de plus de 400 millions d'euros, indique le groupe.L'acquéreur, le fonds d'investissement Cheval Paris, est contrôlé par le fonds Mimco Asset Management. Au total, l'investisseur devrait débourser environ 800 millions d'euros travaux compris, a précisé une source ayant connaissance du dossier."On a plusieurs moteurs sociaux, économiques, démographiques, qui plaident pour que les Champs-Elysées retrouvent leur pouvoir d'attractivité et leur caractère emblématique", a déclaré à l'AFP Eric Donnet, directeur général de Groupama Immobilier.La mairie de Paris a lancé un plan de rafraîchissement de l'emblématique avenue, aujourd'hui plus fréquentée par les touristes étrangers et clients des boutiques de luxe que par les Parisiens.D'ici aux Jeux olympiques de 2024, la place de l'Etoile autour de l'Arc de Triomphe doit voir la circulation automobile réduite, et il est prévu que les jardins autour de la place de la Concorde, à l'autre extrémité de l'avenue, soient rendus plus accueillants.Le mobilier urbain et les terrasses doivent également bénéficier d'un coup de jeune."Ce que prouve cette transaction, c'est que ça marche, et on est un certain nombre d'investisseurs et de développeurs à croire en cette transformation des Champs-Elysées", a ajouté Eric Donnet.
Il y a 2 ans et 241 jours

Réouverture du bâtiment B de l’université de Caen

L’université de Caen occupe une place à part dans l’histoire des universités françaises. Fondée au 15e siècle, elle est l’une des universités les plus anciennes. Détruite entièrement pendant la seconde guerre mondiale en 1944, sa reconstruction qui s’est étalée sur presque 10 ans a été l’occasion de repenser son organisation. Ainsi, Henry Bernard, son architecte urbaniste, avait décidé de rebâtir une université monumentale sur le modèle des « campus » à l’anglo-saxonne. Ce pari audacieux symbolisait la renaissance de la cité normande. 64 ans plus tard, la rénovation du bâtiment B, classé au titre des monuments historiques depuis 1962, est une nouvelle étape de l’évolution de l’université de Caen. La restauration du bâtiment B qui vient de se terminer, après 6 ans de travaux et 29 millions d’euros de budget, permet d’offrir aux étudiants des conditions d’apprentissage optimales grâce à de nombreuses innovations pédagogiques et à un cadre de vie de qualité, tout en mettant en place des innovations technologiques. Cette rénovation intégrale du bâtiment B, première grande étape des rénovations du Campus 1, témoigne de la stratégie de l’université de Caen en matière de gestion immobilière tournée vers l’avenir : des bâtiments connectés, performants énergétiquement, vecteurs de vie étudiante et d’animation et ouverts aux nouvelles manières d’enseigner en relation avec l’utilisation du numérique.Pour Lamri Adoui, président de l’université de Caen Normandie : « La rénovation intégrale du bâtiment B est un condensé de l’ambition écologique et technique de l’université en matière de gestion de son patrimoine immobilier et témoigne de la permanence de cette vision novatrice du célèbre architecte, Henri Bernard. Projet très ambitieux, cette rénovation vise à la fois l’excellence thermique et la modularité des espaces dans un patrimoine classé. »Histoire : Tel le Phénix, l’université de Caen renaît de ses cendresLe Bâtiment B du campus 1, classé monument historique, a été conçu après la deuxième guerre mondiale par le grand architecte Henri Bernard dans le cadre de la reconstruction du centre-ville de Caen après sa destruction pendant la bataille de Normandie. Achevé en 1967 et ayant subi de multiples modifications, le bâtiment était en mauvais état et nécessitait une rénovation complète pour retrouver son dessin initial et être en phase avec les usages contemporains.Les travaux entre traditions et innovationsFermé entre 2016 et 2022, le bâtiment B a été intégralement vidé pour n’en conserver que la structure primaire. En accord avec les architectes des Bâtiments de France et selon le projet initial d’Henri Bernard, des modifications des façades ont été opérées afin d’ouvrir le bâtiment sur le campus et sur la ville, de faire entrer plus largement la lumière naturelle et d’en faciliter la circulation.L’opération a duré 6 ans durant lesquels jusqu’à 25 corps d’état se sont succédés sur le chantier. Le budget total, hors équipements, est de l’ordre de 29 M€ apportés par l’université de Caen, la Région Normandie, le département du Calvados et le Plan de relance (France Relance). Malgré les « surprises » comme la présence d’amiante qui a nécessité un désamiantage complet (15.000 m2) et les retards générés par la crise sanitaire, le planning initial a été respecté. Le bâtiment B est prêt pour la rentrée de septembre 2022 grâce, notamment, à la maîtrise de la technologie BIM (modélisation des données du bâtiment) par les équipes de l’Université.Des innovations technologiques...Afin de répondre à l’ambition de l’université en termes de développement durable, le bâtiment intègre les impératifs écoresponsables actuels. Ainsi, en choisissant la pose de fenêtres ultraperformantes alliées à une chaudière biomasse bois-gaz, l’université́ anticipe le durcissement de la règlementation en matière de consommation énergétique. De plus, le recours à des matériaux biosourcés a été privilégié par l’architecte ; ainsi, les menuiseries (tablettes, chaises) sont en hêtre, un bois local. Par ailleurs, un système de récupération de l’eau de pluie assure une part significative de la consommation du bâtiment....Aux innovations pédagogiquesL’innovation pédagogique est au cœur de la restauration du bâtiment. C’est pourquoi, l’équipe du CEMU, le service d’appui à la pédagogie de l’université qui accompagne les enseignants dans leur démarche pédagogique et l’intégration du numérique dans leurs enseignements, va prendre ses quartiers au 3ème étage du bâtiment B. Dès à présent, les enseignants peuvent utiliser tous les outils digitaux à leur disposition et compter sur les ingénieurs pédagogiques du CEMU pour les épauler dans leur démarche pédagogique, notamment dans l’intégration du numérique dans leurs enseignements.Afin de mettre les étudiants dans les meilleures conditions d’apprentissage, un ensemble de 18 salles de travail connectées d’une capacité de 8 et 12 personnes facilitant le travail collaboratif autour d’un écran sont réparties dans le bâtiment. Cela permet aux étudiants de se retrouver, d’échanger et de se poser. L’idée est de favoriser le travail collaboratif en mode projet. Les salles de cours intègrent tous les outils numériques (prises réseaux, WiFi) et les équipements audiovisuels (vidéoprojecteurs, écrans, casques, etc.). Certaines salles de cours sont modulables et peuvent, si nécessaire, devenir des grandes salles d’examen grâce à un jeu de cloisons mobiles, spécialement étudiées pour offrir une isolation phonique adéquate lorsqu’elles séparent les salles.Le bâtiment possède même son propre plateau d’enregistrement vidéo et son studio audio de qualité professionnelle.
Il y a 2 ans et 245 jours

L’AFGC met à l’honneur le pont de Plougastel – Albert Louppe

La commission Histoire et Patrimoine de l’AFGC organise une journée technique “Pont de Plougastel-pont Albert Louppe”. [©AFGC] Près de Brest, le pont Albert Louppe ou pont de Plougastel, inauguré en 1930, est un monument unique de l’histoire de la construction. Ainsi qu’une illustration exceptionnelle du génie créatif d’Eugène Freyssinet. Mais faute d’entretien, le pont est menacé de destruction en raison des fragments qui se détachent des tabliers qui reposent sur les 3 arches en bon état de conservation. Le 11 octobre dernier, la nouvelle commission Histoire et Patrimoine du génie civil de l’Association française de génie civil (AFGC) organise une journée technique. dédiée à la découverte et à la valorisation de cet ouvrage. Une opération menée en partenariat avec les associations Capi, Les Amis de la Maison des Kerhorres, Eugène Freyssinet, le musée de la Fraise et du Patrimoine et la Société d’études de Brest et du Léon. La commission en question « La commission Patrimoine et Histoire du génie civil de l’AFGC a été créée pour valoriser les hommes, les techniques et les matériaux. Mais aussi les ouvrages de génie civil, ainsi que leur histoire. Sans oublier la sauvegarde des ouvrages présentant un intérêt patrimonial », indique Patrick Guiraud, membre de la commission et de l’Association Eugène Freyssinet, à l’initiative du projet. Cette commission de conseils et d’expertise met au service des acteurs du patrimoine la richesse et le savoir-faire des adhérents de l’AFGC. Et ce, à destination des acteurs des services du patrimoine. « Nous allons couvrir tous les matériaux, toutes les époques et tout type d’ouvrages, ponts, barrages…. A court terme, le site Internet de l’AFGC va être enrichi de données sur le patrimoine, de nouveaux articles et photos. Puis, dans un second temps, nous allons mettre en avant, lors des prochaines Journées du Patrimoine, ce week-end, la sauvegarde du pont de Chazelet, le premier pont en béton armé au monde. Enfin, nous allons organiser une journée technique, le 11 octobre prochain, pour faire connaître le pont Albert Louppe. » De l’intérêt du pont de Plougastel Dans les années 1980, le pont Albert Louppe, en deux fois une voie, connaît un trafic moyen de 28 000 véhicules/j. Il y a de fréquents embouteillages qui gênent pour aller travailler à Brest les habitants de Plougastel et des alentours. C’est ainsi que le “second pont de Plougastel”, le pont de l’Iroise, est construit et inauguré en 1994. A la mise en service de ce dernier, le pont Albert Louppe est déclassé pour la circulation automobile. Il est alors réservé aux deux-roues, aux tracteurs et aux piétons. « Selon les décisions ministérielles d’origine, ne peuvent pas circuler sur le pont de l’Iroise les piétons, les véhicules sans moteur, les cyclomoteurs et les animaux, ni les tracteurs et les matériels agricoles. De ce fait, ces usages sont assurés par le pont Albert Louppe. Il n’est donc pas possible de s’en passer sauf à construire un nouvel ouvrage ! », insiste Patrick Guiraud.insiste Patrick Guiraud. Une journée pour convaincre de sa sauvegarde C’est au travers de conférences et d’échanges avec les participants à l’événement que la commission Histoire et Patrimoine de génie civil de l’AFGC veut faire davantage connaître cet ouvrage pour le faire sauvegarder. Pour cela, pendant cette journée du 11 octobre, sera démontré son intérêt patrimonial et technique. Seront aussi présentées les expériences internationales, les techniques et les matériaux innovants pour rénover cette structure. Enfin, « nous analyserons le champ des possibles pour assurer les usages actuels et les enrichir. Le pont de Plougastel est en effet un vecteur de nouvelles mobilités. C’est aussi un outil de valorisation du paysage et du patrimoine local dans la continuité d’itinéraires touristiques… », reprend Patrick Guiraud. Et de conclure : « Sont déjà inscrits 50 étudiants de l’IUT en génie civil de Morlaix et de Brest. C’est de notre devoir de léguer aux générations futures ce monument de notre patrimoine, symbole de la créativité française et du génie d’Eugène Freyssinet ». S’inscrire ici. Présentation du livre de Françoise Sioc’Han, “Le pont Albert Louppe – Une œuvre monumentale d’exception”, éditions Parapluie Jaune, 2022.
Il y a 2 ans et 246 jours

A.Doc présente à Batimat la dernière version de son logiciel de conception BIM pour les projets à ossature bois

Une solution tout-en-un intuitive et sans équivalence pour le BBC et la construction boisDestinée aux professionnels de l’architecture bois qui souhaitent paramétrer très précisément leurs ossatures bois, tant pour le neuf ou la rénovation que pour les extensions bois, cette nouvelle version 16 apporte une facilité et une puissance de travail sans précédent qui va de nouveau révolutionner la manière de dessiner et de créer les projets des utilisateurs, qu’il soient débutants ou expérimentés.Les constructeurs en ossature bois recherchent des fonctions particulières que les logiciels classiques de conception en bâtiment ne possèdent pas. Basé au départ sur la version Architecture, ouverte à tous les principes constructifs, Envisioneer 16 Construction Bois intègre toutes les fonctions utiles au paramétrage de tels ouvrages, dont :Des outils 3D paramétriques.Des fonctions de paramétrage ultra précis de tous les composants et de l'ossature.Un repérage immédiat et un affichage automatique des plans d’ossature.Une planche à dessin 2D.Une bibliothèque paramétrée de solutions constructives orientée BBC & modes passifs.Un module de terrain.L’utilisateur gagne donc un temps précieux grâce au catalogue de murs, planchers, toitures déjà paramétrés. Ensuite, celui-ci peut facilement modifier ces objets pour les adapter à ses modes de construction. En effet le logiciel Envisioneer Construction Bois possède, au moyen d’une interface inédite, une puissance de paramétrage pour enregistrer et modifier tous les détails de montage des ossatures (bois ou métal), tout comme l’édition de chaque ouvrage particulier. L’utilisateur diminue donc significativement le temps d’exploitation du projet de l’esquisse vers la fabrication : définition des sections et leurs entraxes, position des entretoises, configuration des angles, édition ultra-fine des intersections de murs, paramétrage complet des porteurs tels que linteaux, poutres et leurs retombées, règles de mise en place, …En outre, le modèle BIM du projet conçu dans Envisioneer 16 Construction Bois peut être directement relu à l'extérieur du fait de sa compatibilité avec les logiciels d’étude thermique, et ce, afin d’analyser ses performances bioclimatiques et de vérifier sa conformité réglementaire.Dans sa nouvelle version, Envisioneer 16 Construction Bois repousse encore plus loin les limites de la conception et de la fabrication à ossature bois.Une nouvelle version pour créer facilement et automatiquement les plans de panneaux bois en 1 clicAvec l’arrivée du nouveau module révolutionnaire “FABRICATION”, intégré au logiciel de CAO Envisioneer Construction Bois v16, tous les professionnels de la construction bois, de l’architecture et du bâtiment vont pouvoir réduire de façon considérable le temps nécessaire à la création et au paramétrage des plans de pans de murs en bois.En effet, jusqu’à présent, la création des plans nécessaires à la fabrication des panneaux d’ossature d’une maison individuelle pouvait durer deux jours voire plus. Aujourd’hui grâce à ce module, cette tâche répétitive est réalisée tout simplement en un seul clic. Les plans de fabrication sont obtenus très facilement et en un temps record, et comprennent pour chacun:Une vue de face et une vue de dessus du panneau accompagnées de cotations précises.La liste de débits permettant de détailler les longueurs et les quantités de chacune des pièces nécessaires.Par ailleurs, et pour parfaire le tout, le logiciel intègre toute une batterie de fonctions clés qui permettront de faciliter davantage la mise en place des projets à ossature bois :Maquette 3D présentable sur tout mobile.Commandes pour la charpente améliorées.Interopérabilité accrue avec le BIM.Nouveaux objets fermes de charpente en 3D.Quantitatif partiel immédiat au clic droit.Présentation graphique améliorée en 2D.
Il y a 2 ans et 246 jours

Tubesca-Comabi participe à la dernière phase des travaux de la restauration de l'Église des Réformés de Marseille

Des entreprises locales se sont associées avec TUBESCA-COMABI, leader français dans la fabrication et la commercialisation de solutions d'accès et de travail en hauteur, pour relever les défis de cette restauration. La 3e et dernière phase de ce chantier est en cours avec la reconstruction des quatre tourelles intérieures.Appelée à l’origine Église des Réformés, l’Église de Saint-Vincent de Paul, perchée en haut de la canebière, a été construite à partir de 1855 sur l’ancienne chapelle des Augustins Réformés. De style néogothique, elle est protégée à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques (ISMH) (façades et couvertures) et classée au titre des Monuments Historiques (MH) pour son grand orgue. Depuis les années 30, l’église a connu successivement des incidents, des désordres et des campagnes de travaux et de consolidation temporaires et ce jusqu’en 2015. Une restauration technique, sécurisée et esthétiqueLes travaux confiés à un groupement de sept entreprises ont débuté dès 2019. Divisés en trois phases, ils doivent s’achever en mars 2023. Toutes les interventions consistent à refaire à l’identique pour remettre les façades de l’église dans son état originel. La phase 1, de 2019 à début 2021, a permis de restaurer les deux grandes flèches situées sur la façade Ouest.Le défi a consisté à s’assurer de la stabilité des flèches tout en leur redonnant leur état d’origine en reconstituant les éléments sculptés. Pour la deuxième phase des travaux, démarrée en février 2021, les entreprises ont travaillé à la restauration de la nef située entre la façade principale et la croisée du transept. Pour ces deux premières phases, les entreprises ont collaboré de concert pour restaurer l’enveloppe extérieure (maçonnerie, pierre de taille pour préserver les façades, les pinacles, les chenaux et les toitures).Enfin, la 3e phase de travaux a débuté en janvier 2022 avec comme objectif la restauration du transept, du chœur et la reconstruction des quatre tourelles au droit des murs pignons du transept.Retour sur la solution technique et sur-mesure de Tubesca-ComabiLe chantier présentait de nombreuses contraintes techniques. Il s’agissait de recouvrir entièrement le bâtiment d’un échafaudage capable d’assurer l’approvisionnement du matériel à chaque étape, la circulation des différents corps de métier et de pouvoir être monté et démonté selon les différentes phases. Enfin les contraintes étaient aussi extérieures avec la grande fréquentation du lieu par les croyants et les visiteurs, la circulation automobile dense, l’étroitesse des rues pour le suivi du chantier et l’accès obligatoire pour les pompiers.TUBESCA-COMABI et son partenaire S.P.E ont travaillé de concert pour l’intégralité du montage et démontage des échafaudages.La solution retenue pour ce chantier est l’échafaudage de classe 6 (600 KG/m2) multidirectionnel M368 d’un mètre de large qui a permis de recouvrir 100 % des formes géométriques et architecturales de l’église, et facilité l’accès aux divers corps de métiers qui sont intervenus pour la restauration. 250 tonnes de matériel ont été utilisées pour construire cette structure et atteindre son maximum de 44 mètres de hauteur pour la reconstruction intégrale des flèches. L’approvisionnement du matériel s’est fait via deux ascenseurs.
Il y a 2 ans et 249 jours

La croissance devrait atteindre 0,3% au troisième trimestre, selon les prévisions de la Banque de France

En dépit d'un niveau très élevé d'incertitude lié notamment à la crise énergétique, "l'activité continue globalement de résister", selon les résultats de la dernière enquête de conjoncture réalisée par la banque centrale.L'Insee a de son côté prévu mercredi une croissance légèrement inférieure, de 0,2%, au troisième trimestre."L'activité a été un peu meilleure qu'attendu au cours du mois d'août", a déclaré le directeur général de Banque de France, Olivier Garnier, lors d'une présentation à la presse.L'activité progresse dans les services marchands, les loisirs et la restauration, tout comme le conseil et la programmation. Mais la location de matériels et d'automobiles recule en raison de problèmes d'approvisionnement, détaille la note de conjoncture.Dans le bâtiment, l'activité est "quasi-stable" et elle progresse légèrement dans l'industrie, où elle connaît une évolution contrastée selon les secteurs.L'activité progresse ainsi dans les produits informatiques et électroniques, tout comme dans l'habillement, mais elle recule dans les industries chimique, pharmaceutique, le bois et le papier.L'agro-alimentaire progresse aussi légèrement. Les chefs d'entreprise interrogés par la Banque de France "ne mentionnent pas à ce stade d'impact significatif des mauvaises conditions climatiques", à savoir la sécheresse, "sur la production au cours du mois d'août" pour ce secteur.Pour le mois de septembre, "les chefs d'entreprise s'attendent à une progression de l'activité dans la plupart des secteurs", selon la note.La situation des carnets de commande est stable dans l'industrie et "se dégrade dans le bâtiment", en restant cependant supérieure à sa moyenne sur quinze ans.Les difficultés d'approvisionnement diminuent mais concernent encore une entreprise sur deux dans l'industrie (51%) et un peu moins dans le bâtiment (43%)."Ce repli correspond à ce qu'on voit au niveau mondial", commente Olivier Garnier.À l'inverse, au niveau des difficultés de recrutement, le directeur de la Banque de France n'observe "pas de baisse significative".Enfin, la pression inflationniste diminue mais "le tassement que l'on voit dans les prix à la production va mettre du temps à se voir dans les prix à la consommation", estime M. Garnier.La Banque de France révisera le 15 septembre sa projection de croissance pour l'ensemble de l'année 2022, ainsi que pour 2023 et 2024.
Il y a 2 ans et 249 jours

Avant 1ère Interclima 2022 : Evolution & révolution avec testo 300 nouvelle génération et testo 316

Nécessitant des process de plus en plus complexes, le travail quotidien des professionnels du chauffage et de la climatisation est de plus en plus exigeant. Pour les aider, TESTO a souhaité rendre la technique de mesure encore plus simple. C’est ainsi que le leader mondial des appareils de mesure dévoile au salon INTERCLIMA deux innovations majeures au service de la facilité et de l’efficacité de travail des acteurs du génie climatique. Intuitif, le nouvel analyseur de combustion testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION réalise à l’aide des Smart Probes sans fil du fabricant des mesures de combustion, en un temps record, pour déterminer jusqu’à 4 paramètres en même temps (pression, température, …). Sans alternative sur le marché, la nouvelle série testo 316, avec son modèle révolutionnaire testo 316-2-EX, assure, quant à elle, la détection fiable et combinée des fuites de gaz et des gaz réfrigérants dans les installations de chauffage et de pompes à chaleur. testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION, des mesures sans fil en simultané et en un temps record. Doté des mêmes qualités de précision et de robustesse que testo 300 (écran tactile intuitif Smart-touch, …), l’analyseur de combustion testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION bénéficie d’évolutions technologiques majeures au service de l’efficacité. Le nouveau connecteur testo Bluethooth® permet au testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION de réaliser, parallèlement à l’analyse de combustion, des mesures sans fil de quatre paramètres supplémentaires en se connectant en même temps aux trois Smart Probes suivantes : • testo 115i pour la mesure des températures aller-retour, • testo 510i pour la mesure de la pression de gaz dynamique et statique, • testo 915i pour la mesure de la température de l’air comburant. Toutes les données s’affichent à l’écran et sont lancées et arrêtées simultanément. Pratique, testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION se connecte automatiquement à l’Appli mobile testo Smart, via Bluetooth, sur smartphone et tablette afin de dupliquer en direct sur le terminal mobile, des valeurs de mesure, y compris celles des Smart Probes. Grâce à cette fonction de double écran et à la documentation aisée via l’App testo Smart, le technicien dispose de toutes les mesures importantes, même en cas de distance élevée entre l’appareil et la commande du brûleur. Les données pour la documentation et la création ainsi que l’envoi des protocoles par e-mail sont intégrés dans l’App testo Smart. Evitant des erreurs de transfert, toutes les valeurs enregistrées sur l’analyseur testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION sont envoyées dans le logiciel spécifique de l’utilisateur à l’aide du nouveau QR code, par l’interface programmée au préalable. Plus rapide et plus simple à utiliser, l’analyseur testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION facilite la mesure de combustion dans les installations de chauffage. testo 316-2-EX, premier capteur au monde, deux-en-un, pour la détection combinée des fuites de gaz et fluides frigorigènes Toujours dans un même souci d’efficacité, Testo lance sa nouvelle série de détecteurs de fuite de gaz testo 316 composée de 4 appareils couvrant tous les besoins et domaines d’utilisation, de la petite à la grande installation industrielle. Dans cette nouvelle gamme, testo propose une innovation révolutionnaire : le premier capteur au monde deux-en-un testo 316-2-EX qui localise, sans changer de détecteur, aussi bien les fuites de gaz combustibles que celles des fluides frigorigènes présents dans les pompes à chaleur. testo 316-2-EX offre aux professionnels des fonctions de pointe : • dotée d’une protection antidéflagrante certifiée ATEX, il est particulièrement adapté aux milieux dont les exigences en matière de sécurité sont élevées. • en cas de fuite, des alarmes sonores et visuelles se déclenchent grâce notamment à l’indicateur à LED multicolore (vert, jaune, rouge) sur la tête du capteur. • grâce au mode de précision et à l’identification automatique des types de gaz et fluides les plus courants, testo 316-2-EX rend la détection des fuites encore plus simple et fiable. • la sonde flexible facilite la mesure même dans les endroits difficilement accessibles. • les valeurs de concentration des gaz en ppm ou en pourcentage LEL (limite inférieure d’explosivité) peuvent être appelées, documentées et affichées sur Smartphone et tablette via l’App testo Smart. testo 316, une gamme de détecteurs de fuite de gaz polyvalente Complète, la série testo 316 se compose de trois autres appareils adaptés à chaque besoin : • testo 316 i, connecté et tout simplement SMART, idéal pour localiser des fuites au niveau des conduites de gaz ; • testo 316-1, équipé d’un écran et tout simplement EASY, pour faciliter l’identification, la localisation des fuites et même la lecture des valeurs de concentration en ppm ou en pourcentage LEL ; • testo 316-1-EX, tout simplement SAFE, doté de fonctions avancées et adaptées aux installations de gaz combustibles dans lesquelles les exigences en matière de sécurité sont élevées : protection antidéflagrante (UE) certifiée selon ATEX. Grâce à ses nouveaux appareils connectés testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION et testo 316 qui augmentent l’efficacité des brûleurs et des chaudières par une combustion optimale et sans perte de gaz, Testo offre à tous les acteurs du génie climatique de précieux avantages. Les installateurs et les spécialistes de la maintenance bénéficient ainsi de techniques de mesure simplifiées. Les exploitants, quant à eux, réalisent des économies, ce qui est indispensable à l’heure où le coût de l’énergie et des matières premières explosent. Parallèlement au lancement de ces nouveautés, testo accompagne les professionnels par de nombreux services : formations, réparation, maintenance et étalonnage. http://www.testo.com
Il y a 2 ans et 252 jours

Arkema relève ses prévisions, malgré un bénéfice net en baisse

Le chiffre d'affaires du chimiste français a augmenté de 31,4%, à 6 milliards d'euros, par rapport au premier semestre 2021, a indiqué le groupe dans un communiqué, malgré une baisse de 5,3% des volumes au deuxième trimestre à cause d'un "ralentissement observé en Europe, notamment sur les marchés de la construction et de l'automobile".Cette baisse est compensée par un "effet prix (qui) s'établit à +28,5%, reflétant principalement les hausses de prix de vente pour s'adapter à la très forte augmentation des matières premières, de l'énergie et du transport", précise le groupe aux 20.600 collaborateurs, citant "le contexte toujours fortement inflationniste".Le bénéfice net d'Arkema, qui possède une dizaine d'usines en France, est tombé à 730 millions d'euros sur le semestre.Pour autant, le PDG d'Arkema Thierry Le Henaff, cité dans le communiqué, vante une "excellente performance" et le groupe se montre confiant en l'avenir malgré un contexte pourtant "marqué par les risques de confinement en Chine, les tensions géopolitiques liées à la guerre en Ukraine, les craintes concernant la disponibilité et le prix du gaz naturel et de l'électricité en Europe ", grâce à sa "présence géographique équilibrée".Si bien que "malgré l'environnement macroéconomique incertain et le recul observé des volumes en Europe", le numéro trois mondial des adhésifs industriels a relevé ses objectifs annuels et vise désormais en 2022, "hors nouvelle perturbation significative du contexte mondial", une croissance de 17% à 22% de son excédent brut d'exploitation Ebitda, contre une "légère hausse" précédemment annoncée.Le groupe français de chimie a par ailleurs rappelé ses nouveaux engagements climatiques publiés début juillet : il s'engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre directs et indirects (scopes 1, 2 et 3) de 46% d'ici 2030, par rapport à 2019.
Il y a 2 ans et 253 jours

Ideal Standard célèbre sa victoire après avoir remporté 4 prix aux Red Dot Design Awards 2022

Ideal Standard a été récompensé par les très convoités Red Dot Awards for Product Design 2022, qui lui ont décerné quatre prix, pour trois gammes de la collection Atelier d’Ideal Standard (Joy Neo, Linda-X et Tipo Z) et pour son nouveau mitigeur Ceraplan iX qui sera commercialisé en France début 2023. Chaque année, ces prix récompensent les produits qui sont esthétiquement attrayants, fonctionnels, intelligents et innovants – tous avec un design exceptionnel. Joy Neo Dernier né des collections Atelier, Joy Neo, gamme de robinets à la fois classique et contemporaine, est le premier de ces produits récompensés. L’esthétique néoclassique des produits allie parfaitement extravagance et modestie, tandis que les formes géométriques simples et le design symétrique de ces pièces offrent une élégance luxueuse et discrète. Disponible en deux finitions différentes, une variété de modèles et deux styles de poignée, Joy Neo encourage l’expression créative. Linda-X Le jury a également récompensé la collection Linda-X – une gamme intemporelle et élégante de vasques, de lavabos et d’une baignoire, qui rend hommage à la collection Linda, lancée pour la première fois en 1977. Les lignes fines et courbes de la gamme Linda-X sont réalisées en Diamatec®, un matériau innovant qui repousse les limites de la céramique pour offrir des pièces fines, mais extrêmement solides et durables. Le résultat : une collection qui répond parfaitement aux besoins de la vie contemporaine. Tipo-Z La saisissante vasque Tipo-Z d’Atelier Collections a été le troisième produit lauréat. Sculptée avec soin en une seule pièce fluide de céramique fine, cette vasque unique présente une silhouette monolithique et des surfaces fluides et lisses, ce qui en fait un élément élégant et remarquable dans toutes les salles de bains. Les trois collections ont été conçues en partenariat avec le célèbre studio de design italien Palomba Serafini Associati. Ceraplan iX Enfin, derniers à être distingués, les mitigeurs de lavabo hybrides innovants Ceraplan iX d’Ideal Standard, ce qui porte le total à quatre récompenses pour l’année la plus réussie de la marque aux Red Dot Awards. La technologie avancée de ce robinet combine la flexibilité et le contrôle d’un mitigeur de lavabo à levier unique avec les avantages en matière d’hygiène et d’économie d’eau d’un robinet sans contact. Spécialement conçue pour apporter la technologie sans contact aux secteurs de l’habitat et de l’hôtellerie, la collection Ceraplan iX atteint un bel équilibre entre technologie innovante et design élégant, répondant ainsi aux besoins de la vie moderne. La nouvelle gamme a été présentée en avant-première à la dernière édition du Salone del Mobile de Milan et sera commercialisée en France début 2023. Les pièces primées peuvent être facilement associées à des produits d’autres gammes Ideal Standard pour offrir une solution complète à toute salle de bains grâce à l’approche SingularTM de la marque. Développée spécifiquement pour simplifier le processus de sélection, tout en inspirant la créativité, SingularTM rationalise la conception des salles de bains pour les architectes, les designers, les détaillants, les commerçants et les utilisateurs finaux. Avec des milliers de candidatures provenant du monde entier, le prix Red Dot est l’un des plus grands concours mondial de design. Jan-Peter Tewes, co-PDG d’Ideal Standard, a déclaré : « Nous sommes ravis que l’excellence du design d’Ideal Standard ait été une nouvelle fois reconnue par Red Dot. Nos collections Atelier, en particulier, visent à encourager le processus de création en associant une technologie performante et un design innovant pour permettre la réalisation de projets intemporels. C’est un honneur que nos produits aient impressionné un jury aussi estimé. Remporter quatre prix est une réussite exceptionnelle ». http://www.idealstandard.fr
Il y a 2 ans et 255 jours

Envisioneer Architecture 16, logiciel de CAO 3D BIM rapide, simple et intuitif de A.Doc dévoilé à Batimat

Un logiciel de conception BIM puissant, facile à maîtriser pour créer tous les projets de constructionDéveloppé par Cadsoft et commercialisé en exclusivité par A.DOC le logiciel de CAO 3D Envisioneer Architecture a été conçu pour répondre aux attentes des architectes, des constructeurs, des maîtres d’œuvre et plus largement de tous les acteurs du bâtiment en s’adaptant à tous les scénarios de projets : le neuf, la rénovation, la réhabilitation.Envisioneer Architecture est un logiciel de modélisation en 3D axé sur la conception facilitée de tout type de projet. Centrée sur le montage d’un modèle unique (en mode BIM), l’information de la maquette 3D est ensuite exploitée par des fonctions avancées rendues disponibles dans un seul et même outil.Ainsi, la présentation virtuelle (visite panoramique, rendu photo ultra réaliste, animations, présentation sur mobile), le dessin précis (plans, coupes et façades), le chiffrage (quantitatif précis et ventilé par lots de chantier, intelligence des ouvrages, communication avec les applications de pièces écrites) deviennent accessibles et forment une solution tout en un très séduisante et performante.Au-delà de sa convivialité, Envisioneer est un logiciel caméléon capable de gérer tous les scénarios de projets : bâtiment neuf, agrandissement, extension, surélévation, rénovation d’un bâti ancien, projet d’aménagement intérieur et de décoration, ... Le logiciel est donc réellement taillé pour réaliser des projets de diverses dimensions et les traiter aux niveaux de détails souhaités par l’utilisateur.En outre; le modèle unique issu du logiciel Envisioneer est automatiquement interprété à l'extérieur en raison de sa compatibilité avec les logiciels d’étude thermique, et ce, afin d’analyser ses performances bioclimatiques et de vérifier sa conformité réglementaire. La gestion d’une maquette 3D unique par Envisioneer permet ainsi de piloter facilement l’étude thermique qui conduit à l’obtention du certificat Bbio, nécessaire pour le dépôt d’un dossier de permis de construire.Dans sa nouvelle version, qu’il s’agisse d’un utilisateur débutant ou expérimenté, Envisioneer Architecture 16 va encore plus loin et révolutionne la manière de dessiner, et ce, sans formation !Une nouvelle version optimisée pour concevoir, dessiner et chiffrer toujours plus facilement et précisémentAvec les nouvelles capacités de la version 16, le logiciel professionnel qui se positionne comme la solution ayant le meilleur rapport qualité/prix du marché progresse encore. En effet, en passant à la version 16, la somme d’améliorations est conséquente. En plus d’une facilité d’utilisation toujours plus poussée, l’interopérabilité du logiciel connaît une avancée spectaculaire et la montée en charge qualitative de la version 16 renforce les nombreux atouts du logiciel Envisioneer.Focalisées sur les moyens de gagner du temps durant le montage des projets, des avancées décisives répondent plus particulièrement à la demande des utilisateurs, tandis qu’une série d’améliorations s’intègrent judicieusement au sein de l’interface et ses fonctions clés. Pour cela, le logiciel intègre des nouveautés majeures pour une conception facilité :Gestion de la charpente plus détaillée et en net progrès.Insertion des pannes et voliges.Nouvelle bibliothèque de végétaux et plantes vertes réalistes en 3D (bibliothèques Xfrog),Nouvelle communication BIM avec une interopérabilité largement accrue.Support et import optimisés des objets 3D de grande taille.Les portes et baies vitrées s’ouvrent dorénavant en grand sur les angles des murs.Les tableaux de nomenclatures des menuiseries sont refondus et reportent un maximum d’informations.Présentation percutante des plans d’avant-projet avec un rendu graphique immédiat et personnalisable (plans avec murs pochés en un clic).Commandes d’édition pour une disposition optimale des objets (aligner/répartir facilement des objets)....
Il y a 2 ans et 255 jours

Imerys dope ses ventes grâce à la hausse des prix

En raison de la guerre en Ukraine, des confinements en Chine et de la faiblesse du secteur automobile, le volume de ventes a baissé de 1,3% mais le chiffre d'affaires augmente de 14,8% au premier semestre, à périmètre et change constants par rapport à l'année précédente.Cela s'explique surtout grâce à une "hausse des prix de vente" dans un contexte de forte inflation, précise la multinationale dans un communiqué publié jeudi.Imerys bénéficie également d'un effet de change positif de 101 millions d'euros grâce au renforcement du dollar américain face à la monnaie européenne. Son bénéfice net part du groupe s'est établi à 192 millions d'euros, en hausse de 35% par rapport à la même période en 2021, année au cours de laquelle le groupe avait multiplié ses bénéfices par huit."Je suis très fier de la performance exceptionnelle de nos équipes, dans un contexte économique et géopolitique mouvementé, marqué par une progression de l'inflation ainsi que par des difficultés logistiques et de recrutement", a déclaré le directeur général Alessandro Dazza, cité dans le texte.Le second semestre devrait être moins dynamique, selon lui, "conséquence d'une baisse de confiance des consommateurs et du resserrement des conditions monétaires". Mais le groupe chiffre toutefois ses objectifs et vise un excédent brut d'exploitation courant de 810 à 840 millions d'euros pour 2022."Son empreinte géographique", "la diversité de ses marchés", la croissance des véhicules électrique et sa capacité "à répercuter l'inflation de ses coûts" lui permettront de poursuivre sur une bonne voie, est-il précisé.Le groupe est par ailleurs entré en négociations exclusives avec le fonds d'investissement Platinum Equity pour lui céder son activité Solutions de haute température pour environ 930 millions d'euros.Cette cession lui permettra de "se concentrer sur les solutions minérales" et de "poursuivre son expansion" notamment dans la mobilité verte et la construction durable.Enfin, le groupe, qui a suspendu ses activités sur deux sites en Ukraine et mis fin à ses activités en Russie, indique que les coûts de restructuration liés au conflit entre les deux pays ont été "compensés" par une plus-value sur une cession et l'inflation en Turquie.
Il y a 2 ans et 260 jours

Matterport révolutionne les jumeaux numériques avec la caméra Pro3 et sa nouvelle plateforme cloud

Matterport, Inc. (Nasdaq : MTTR), a présenté le 30 août sa toute nouvelle caméra Matterport Pro3 ainsi que des mises à jour majeures de sa plateforme cloud de jumeaux numériques, leader du secteur. La Pro3 représente une avancée majeure dans la technologie de capture 3D, permettant de numériser chaque aspect du monde physique, à l'intérieur comme à l'extérieur. La plateforme de jumeaux numériques de nouvelle génération de Matterport s'appuie sur les expériences virtuelles immersives révolutionnaires de la société pour permettre une collaboration et une productivité avancées, se traduisant par des économies et une augmentation des revenus pour les organisations de toutes tailles, des petites entreprises aux multinationales.Ces nouvelles offres arrivent alors que la demande mondiale de jumeaux numériques - des modèles 3D interactifs et visuellement immersifs de bâtiments et d'espaces - continue d'augmenter. Selon Forrester Research, 55 % des décideurs mondiaux en matière de technologie logicielle ont déjà adopté les jumeaux numériques[1]. En tant que leader du secteur, Matterport a enregistré une croissance de 52 % de son nombre total d'abonnés au deuxième trimestre par rapport à la même période de l'année précédente, et sa plateforme de jumeaux numériques est utilisée par déjà 23 % des entreprises du classement Fortune 1000.Pour RJ Pittman, président-directeur général de Matterport : « Ce jour est un tournant pour la technologie 3D avec l'introduction des produits les plus puissants que Matterport ait jamais créés. Notre nouvelle caméra Pro3 et notre plateforme cloud créent des jumeaux numériques parmi les plus précis, immersifs et époustouflants au monde. L'opportunité n'a jamais été aussi grande pour les entreprises d'embrasser la puissance des jumeaux numériques de Matterport pour transformer leur activité. »Les solutions « Enterprise » de MatterportLes jumeaux numériques permettent aux chefs d'entreprise de naviguer en toute confiance dans un environnement économique incertain tout en accélérant la productivité d'une main-d'œuvre mobile et globale. 79% des chefs d'entreprise citent les économies de coûts et 71% les gains d'efficacité opérationnelle comme les principaux moteurs de leurs investissements dans les jumeaux numériques[2]. C'est la raison pour laquelle la nouvelle caméra Pro3 et la plateforme cloud ont été conçues pour répondre aux exigences des entreprises en matière de flexibilité, de fiabilité et de sécurité, faisant de la plateforme de jumeaux numériques de Matterport l'une des plus fiables du secteur.Les avancées de la nouvelle caméra Pro3 et de la plateforme cloud facilitent plus que jamais la création de jumeaux numériques immersifs pour les clients. Des clients de tous les secteurs - usines, détaillants, hôtels et compagnies aériennes - indiquent que les jumeaux numériques ont permis de réduire la durée des projets de 30% et de diminuer les frais de déplacement jusqu'à 50% grâce à une meilleure collaboration à distance. Un client du secteur de l'immobilier commercial a déclaré avoir conclu des ventes jusqu'à 85% plus rapidement. Les clients du secteur de l'hôtellerie constatent que les réservations et les taux d'occupation augmentent de 14% dans les établissements dotés d'un jumeau numérique.Et les avantages ne sont pas réservés aux grandes entreprises : les agents immobiliers qui utilisent des jumeaux numériques obtiennent jusqu'à 74% de biens en plus et 71% des acheteurs particuliers se déclarent aujourd’hui prêts à acheter une maison sans l'avoir vue si elle dispose d'une visite numérique en 3D.La plateforme pour jumeaux numérique de MatterportMatterport a imaginé une nouvelle plateforme logicielle cloud qui permet de créer, publier et gérer les jumeaux numériques de bâtiments et d’espaces de toute taille et forme, en intérieur comme en extérieur. Toutes ces nouvelles fonctionnalités s’intègrent de manière harmonieuse afin de permettre aux clients de créer en toute sécurité des environnements immersifs à explorer et où collaborer pour leurs employés, clients et partenaires.Parmi les fonctionnalités phares, il est possible :D’optimiser la productivité à partir d'un jumeau numérique unique grâce à un nouvel outil de travail collaboratif appelé Views, pour permettre aux groupes et aux grandes organisations de créer des flux de travail distincts, grâce à un système d’autorisations, pour gérer différentes tâches avec différentes équipes, telles que : les inspections virtuelles, la formation à distance, l'aménagement de l'espace, les visites virtuelles personnalisées, et bien plus encore.D’augmenter l'engagement des clients, la productivité et le taux de conversion avec les toutes nouvelles visites guidées et les étiquettes qui améliorent l'expérience des visiteurs. Désormais, les équipes de marketing et de vente peuvent créer des visites virtuelles de tout espace commercial ou résidentiel adaptées aux intérêts de leurs visiteurs, et les équipes d'exploitation peuvent créer des formations en ligne guidées pour les travailleurs à distance.D’aller plus loin en recourant aux services de capture « à la demande » de Matterport, disponible dans les grandes villes du monde et toujours plus performants avec la nouvelle caméra Pro3, et ainsi d’obtenir un jumeau numérique professionnel de la plus haute qualité, réalisé par un technicien de capture. Capture Services for Enterprise permet de numériser un seul espace ou un portefeuille de milliers de bâtiments, à l'intérieur comme à l'extérieur. Qu'il s'agisse de chaînes de magasins, de groupes hôteliers ou de campus d'entreprises, il n'a jamais été aussi facile d'obtenir un jumeau numérique Matterport photoréaliste et dimensionnellement précis pour gérer ses propriétés en ligne.D’accéder à l’ensemble des fonctionnalités de la plateforme, où que l’on soit, grâce à une solution mobile entièrement activée qui rassemble les capacités de capture, de personnalisation, de visualisation, de modification, de publication et de restauration des jumeaux numériques avec la nouvelle application Matterport pour les appareils iOS et Android.La caméra Matterport Pro3La caméra Matterport Pro3 est le dispositif de capture 3D Matterport le plus avancé, avec une puissante combinaison de capteurs travaillant en harmonie pour créer des images étonnantes, à l'intérieur comme à l'extérieur. Aucune autre caméra ne combine l'incroyable puissance de cet appareil à ce prix, rendant la capture 3D plus largement accessible.Grâce à un capteur personnalisé de 20 mégapixels et à un objectif à 12 éléments couvrant un angle ultra large, la caméra Pro3 produit des jumeaux numériques précis et détaillés aux couleurs vibrantes et réalistes. Les avancées du capteur LiDAR haute précision permettent de capturer des millions de mesures dans diverses conditions, de la lumière tamisée à la lumière directe du soleil, jusqu'à une portée de 100 mètres, en moins de 20 secondes par balayage.La caméra Pro3 révolutionne la capture 3D, établissant de nouvelles normes en matière de vitesse, de fidélité, de polyvalence et de précision. Alors que le maillage interactif était auparavant limité à 50.000 polygones, il est désormais illimité et le maillage des grands espaces peut facilement dépasser un million de polygones. De nouveaux jumeaux numériques sont désormais diffusés à la demande, au fur et à mesure que l'utilisateur se déplace dans un espace, disponibles sur les plateformes mobiles et web pour tous les utilisateurs avec des temps de chargement plus rapides, des fréquences d'images plus rapides et beaucoup plus de détails sans compromettre les performances.Le moteur Cortex AI de Matterport est mis à niveau pour capturer une portée 5 fois supérieure, permettant aux clients de transformer leurs espaces intérieurs et extérieurs, même lorsqu'ils rencontrent des zones denses comme des feuillages, des éclairages et des surfaces réfléchissantes difficiles. La puissance combinée de la nouvelle plateforme Matterport Digital Twin, de la caméra Pro3 et du moteur Cortex AI amélioré permet d'obtenir des jumeaux numériques parmi les plus précis, immersifs et étonnants jamais créés.Pour Lou Marzano, vice-président de la Recherche et du Développement et de la fabrication : « La caméra Pro3 est le fruit d'années de recherche avancée et d'une écoute attentive de nos clients. Le résultat est une véritable révolution dans la technologie de capture 3D. Les exigences de l'industrie du numérique poussent les normes de nos produits à de nouveaux niveaux, rendant la précision, la portée et la mobilité essentielles au succès de nos clients. Nous avons réuni tout cela dans un appareil portable qui atteint un nouveau palier en termes de rapport prix/performance pour la capture LiDAR commerciale. Certaines de nos plus grandes entreprises clientes ont déjà mis la Pro3 à l'épreuve en capturant de grands sites extérieurs, des stades aux campus, avec une vitesse et une précision jamais vue auparavant. Comme les Pro1 et Pro2 qui l'ont précédée, la caméra Pro3 est dans une classe à part et je suis très fier de l'équipe qui est à l'origine d'une autre première dans le secteur. »Dotée d'un nouveau design saisissant, propre à Matterport, la Pro3 regorge de fonctionnalités révolutionnaires, notamment :Un capteur de 20 mégapixels et un objectif à 12 éléments fabriqués sur mesure pour une capture ultra large de grands espaces ;Une capacité de capture de 100k points par seconde à des profondeurs allant de 0,5m à 100m ;Un capteur LiDAR haute précision pour une précision inégalée dans diverses conditions de lumière ;Un temps de démarrage de la caméra de moins de 40 secondes ;Des blocs de batteries amovibles pour un balayage continu, les batteries se rechargent complètement en 3,5 heures ;Un poids plume de moins de 2 kilos 5 - la Pro3 est 30 % plus petite et 35 % plus légère que la caméra Pro2 ;Une nouvelle fixation de trépied conçue pour la Pro3 et de nouveaux étuis pour une portabilité et une protection maximales.Prix et disponibilitéLa caméra Pro3 de Matterport est disponible sur matterport.com/pro3 ou chez les revendeurs partenaires de Matterport dont Amazon, B&H Photo et Video ou encore Adorama.La caméra Matterport Pro3 est vendue au prix de 5695 euros et comprend :Une caméra Pro3 dans une mallette de transport ;Un support de trépied ;Une batterie et un kit de chargement ;Un an de garantie.Le kit Matterport Pro3 Accélération, au prix de 7695 euros. Il comprend tout ce qui est nécessaire pour une journée complète de capture :Une caméra Pro3 dans une mallette de transport10 fichiers de nuages de points haute densité Matterport E57 pour réaliser rapidement de grands projets;10 MatterPaks pour extraire des plans d'étage, des fichiers de nuages de points et des fichiers OBJ à partir de jumeaux numériques ;Un support de trépied ;Deux piles avec un kit de chargement ;Un trépied, un chariot à roulettes, deux butées de porte, une valise rigide et un sac à dos ;Une garantie de 3 ans sur la caméra Pro3 et le support de trépiedLes accessoires sont disponibles séparément aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l'Union européenne via Amazon. Pour obtenir des informations sur les prix, rendez-vous sur le site Web de Matterport.Disponibilité de la caméra Pro3 en fonction des régions :Amérique du Nord : commandes ouvertes dès aujourd'hui, date d’expédition estimée à début septembre 2022.EMEA/Asie Pacifique : ouverture des commandes imminente (date à confirmer), date d’expédition estimée à début octobre 2022.
Il y a 2 ans et 261 jours

L’Esquisse Hotel & Spa – Colmar

L’Esquisse Hotel & Spa – Colmar Travail de précision avec des résultats étonnants Sur ce projet ont été installé de grands volets repliants DucoSlide QuadraFold d’environ 3 m de hauteur, installés en nez de dalle pour créer une peau complète extérieure de façade. La quincaillerie du système DucoSlide BiFold et QuadraFold est très robuste, pour pouvoir garantir un fonctionnement parfait même avec de grandes dimensions. Sur le projet, le rail haut du mécanisme est situé dans l’encombrement de la dalle, ainsi que le rail bas de guidage du volet de l’étage supérieur. De ce fait, les parties mobiles, s’alignent parfaitement avec la hauteur du balcon dalle à dalle. Un vrai travail de précision, mais le rendu est superbe ! Construction ingénieuse qui garde la chaleur à l’extérieur La construction existe d’un ensemble QuadraFold repliant vers la gauche, et un ensemble QuadraFold se repliant vers la droite, soit 8 panneaux en tout quand le balcon d’environ 4,50 m de large est fermé. Quand les volets sont ouverts, la vue vers l’extérieur ne souffre d’aucun obstacle, car ils ont un très faible encombrement sur les extrémités. En refermant les volets, l’habitant de la chambre bénéficie d’une protection efficace contre les ardeurs du soleil, tout en laissant la place à belles ambiances intérieures. Intégration parfaite dans l’environnement verdoyant L’architecture de l’hôtel s’est invitée dans un cadre exceptionnel avec la projection de larges terrasses pour chaque chambre, suite et appartement. Grâce au DucoSlide QuadraFold les rayons du soleil sont filtrés, ce qui permet de voir sans être vu. En effet, les volets sont équipés de tôles d’aluminium spécifiques anodisées “or”, ces tôles étant perforées afin de créer une fresque originale représentant une forêt, ce qui ajout au facteur esthétique et ce qui fait que l’hôtel s’intègre parfaitement dans le cadre verdoyant qui l’entoure. Excellent travail d’équipe Cet exercice de conception, d’adaptation produit, de coordination et de suivi a été menée conjointement par AEA (architecte), DUCO (industriel), EDBAT (distributeur), et Schoenenberger (installateur). Un travail d’équipe garantissant un résultat impeccable pour la plus grande satisfaction du maître d’ouvrage. Pour plus d’information, rendez-vous sur duco.eu
Il y a 2 ans et 263 jours

Des vélos indestructibles, en béton armé

La station vélo de Léopold Kessler prend place à côté du Musée d’art contemporain de Cracovie, en Pologne. [©ACPresse] Inutile de tenter de garer son Vélib’ au niveau de la Surrogate Citybike, à Cracovie, en Pologne. Malgré son apparence classique, avec borne de retrait et bicyclettes stationnées, nous ne sommes pas en présence d’une station urbaine pour vélos. Mais d’une œuvre signée de l’artiste contemporain Léopold Kessler. Né à Munich, en 1976, il aime à explorer la limite entre l’espace public et la sphère privée. Léopold Kessler réalise de petites interventions dans l’environnement urbain qui l’entoure. Ces travaux reposent sur des observations malicieuses et humoristiques de la vie urbaine. Et montrent une conscience aiguë des systèmes qui font fonctionner la société d’aujourd’hui. Ces œuvres sont parfois difficiles à remarquer, mais restent toujours très précises et spécifiques à chaque site. Léopold Kessler vit et travaille à Vienne, en Autriche. Ville où il a étudié la sculpture et obtenu son diplôme en 2004. A côté de l’usine d’Oskar Schindler La Surrogate Citybike (station vélo de substitution) s’inscrit tout à fait dans cette démarche artistique. De prime abord, on ne la remarque pas. C’est une station vélo comme une autre, installée sur le côté d’un bâtiment public. En l’occurrence, le Musée d’art contemporain de Cracovie, qui occupe une partie de l’ancienne usine de production de biens d’équipements en acier émaillé d’Oskar Schindler. L’œuvre de Léopold Kessler est un miroir de l’évolution des mentalités et des habitudes des urbains. Au cours des dernières années, le principe du vélo partagé a prospéré dans les villes du monde entier. En effet, la bicyclette semble constituer la solution adéquate à de nombreux problèmes contemporains, comme les embouteillages et la pollution. En outre, elle tend à améliorer la santé des personnes l’utilisant. Toutefois, les systèmes de vélos en libre-service exigent une société adulte, car ils incitent les gens à abandonner leur voiture. Et nécessitent la création de pistes cyclables. Il faut aussi outrepasser certains instincts archaïques-capitalistes : au lieu d’acheter son vélo pour un usage privé, on profite d’un véhicule collectif standardisé… Les vélos sont fabriqués en béton armé. [©ACPresse]Tout y est : cadre, selle, pédalier et même le petit panier accroché sur le guidon. [©ACPresse]Malgré son apparence, ce n’est pas une station de location de vélos. [©ACPresse]Le message sur le panneau d’informations est clair : “Merci de ne pas garer ou attacher de vélos sur l’installation de Léopold Kessler…” [©ACPresse]De loin, les vélos sont plus vrais que nature. De près aussi, mais la selle en béton semble tout de même un peu dure ! [©ACPresse]Le logo ne laisse planer aucun doute : c’est une station vélos. [©ACPresse] Ce n’est pas pour garer son vélo Aujourd’hui, le principe du vélo partagé prospère même dans des endroits qui semblent incompatibles avec son apparition. Du fait de l’absence de pistes cyclables, de la présence d’une circulation automobile dense et difficile, ou encore à cause d’un climat très rigoureux, en hiver.  La station Surrogate Citybike est entièrement construite en acier et en béton, selon un processus de fabrication standardisé, solide et bon marché. Elle n’est pas faite pour être utilisée, et ne peut pas l’être. C’est une installation permanente du musée. La vraie station se situe tout près, comme le précise un petit panneau d’informations : “Merci de ne pas garer ou attacher de vélos sur l’installation de Léopold Kessler. Un parking à vélos est présent au niveau de l’entrée principale du musée, à côté de la Galerie Re”. Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 267 jours

Une nouvelle centrale mobile pour l’Aerolithys

L’Unité mobile génie civil est la dernière-née des centrales de production in situ du béton mousse Aerolithys. [©Béton Mousse Technologie] Matériau de remplissage léger, fluide et isolant, Aerolithys est aujourd’hui diffusé en exclusivité sur le marché français par la société Béton Mousse Technologie (BMT). Ce produit est en priorité utilisé en bâtiment pour la réalisation de ravoirage permettant la remise à niveau des sols. Les chapistes et autres carreleurs en sont les principaux applicateurs. L’autre emploi de l’Aerolithys est le remblaiement technique en génie civil. A savoir, en comblement de cavités ou de conduites, en remplissage de l’extrados des murs de soutènement, en couche d’assise en élargissement de chaussée, en rehaussement de quai… C’est pour ces dernières applications que BMT vient de développer une centrale mobile de malaxage d’une capacité de production in situ de près de 100 m3/h… « Ce véhicule a été conçu à 100 % en interne, explique Jacky Fronteau, président de BMT. Nous en avons aussi assuré le montage, à partir de sous-ensembles identifiés sur le marché. De fait, notre centrale mobile est un modèle unique. » Cinq fois plus léger qu’un ravoirage classique BMT l’a baptisé UMGC pour Unité mobile génie civil. Cette dernière complète une première centrale mobile sur porteur d’une capacité de 25 m3/h, davantage utilisée en bâtiment. En 2023, un autre véhicule d’une taille intermédiaire viendra sans doute compléter le dispositif. En attendant, l’UMGC constitue le fleuron de la flotte BMT. Outre son débit, il offre aussi la possibilité de pomper le béton mousse sur une longueur proche de 500 m, grâce à la présence de tuyaux flexibles intégrés. Ainsi, BMT sait livrer son béton mousse Aerolithys prêt à l’emploi, assurant en même temps une assistance technique au coulage. Pour mémoire, de par sa fluidité, ce béton garantit le remplissage de toutes les formes, ainsi qu’un enrobage parfait des gaines et canalisations, sans risque de les endommager. Il est cinq fois plus léger qu’un ravoirage classique, réduisant d’autant les charges sur la structure portante. 100 % recyclable et sans COV Coulage d’un béton mousse Aerolithys sur un chantier de bâtiment. [©Béton Mousse Technologie] En génie civil, Aerolithys permet d’améliorer le rendement des chantiers, en éliminant la multiplication des couches de terrassement nécessaires dans les procédés classiques. Le matériau offre une compacité homogène sur toute l’épaisseur du remblai et prévient, de fait, les risques de tassement différé. Le béton mousse Aerolithys est proposé dans une gamme de densité allant de 300 à 500 kg/m3, pour une résistance en compression de 1,2 à 2,5 MPa. Il constitue un bon isolant thermique, affichant une coefficient thermique ʎ de 0,08 à 0,11 W/(m.K). Son côté acoustique est tout aussi intéressant, avec un affaiblissement au bruit d’impact ΔLw de 12 dB à partir d’une épaisseur de 90 mm. Enfin, le béton mousse Aerolithys est 100 % recyclable, ne contient pas de COV et ne produit pas de déchets. Le procédé de fabrication permet aussi de réduire le nombre de camions sur la route. Car, avec une seule citerne à ciment, il est possible de produire sur place quelque 100 m3 de béton mousse. Soit un volume nécessitant environ 13 voyages de toupies entre la centrale et le chantier de mise en œuvre, s’agissant d’un béton classique.
Il y a 2 ans et 277 jours

La production de l'ambitieuse voiture solaire "Sion" prévue pour 2023

Après des années de développement, Sono Motors construit actuellement une flotte destinée aux tests et prévoit de lancer la production l'année prochaine chez un constructeur finlandais, Valmet.Avec sa carrosserie noire, couverte de 456 cellules photovoltaïques, et son autonomie de 305 kilomètres, la Sion promet d'engranger assez d'énergie chaque semaine pour parcourir 112 kilomètres en moyenne. Elle intègre aussi le système "Vehicule-to-Grid", qui permet à sa batterie de restituer de l'électricité au réseau ou à une autre voiture.Avec ses 4,40 mètres de long, et sa batterie moyenne de 54 kWh, la Sion vise des familles mais aussi des flottes en libre-service.Sono Motors a enregistré 19.000 réservations avec un acompte moyen de 2.225 euros, qui ont permis de financer le développement du modèle. Son tarif final est annoncé à 25.000 euros. La jeune marque envisage d'en produire plus de 250.000 dans les sept prochaines années.Le petit constructeur compte aussi vendre sa technologie solaire à d'autres, comme le groupe français de remorques frigorifiques Chéreau, et a présenté lundi un système de "rétrofit" solaire, qui permet d'ajouter des panneaux sur des bus pour limiter leur consommation de diesel.A l'image de Sono Motors, quelques start-ups, mais aussi des géants de l'automobile comme Toyota ont commencé à installer des panneaux solaires sur leurs nouvelles voitures électriques, promettant un peu d'autonomie supplémentaire.Les Hollandais de Lightyear doivent lancer fin 2022 leur modèle "O", doté d'une autonomie de 625 kilomètres et d'un prix très élevé, avant une version abordable qui pourrait affronter la Sion dès 2024-2025.La start-up californienne Aptera affiche de son côté 25.000 précommandes pour son premier modèle prévu pour 2023, une petite voiture à trois roues et deux places. Selon les versions, facturées entre 26.000 et 46.000 dollars, elle affiche entre 400 et 1.600 kilomètres d'autonomie.
Il y a 2 ans et 291 jours

Sobriété énergétique : lancement du groupe de travail « Numérique et Télécommunications »

Le mois dernier, la Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le lancement de groupes de travail thématiques sur la sobriété énergétique. Avec un objectif : réduire nos consommations d’énergie de 10% en deux ans pour, à court terme, garantir notre sécurité d’approvisionnement dans le contexte de guerre en Ukraine et, à plus long terme, sortir la France des énergies fossiles. Objectifs confirmés par le Président de la République dans son allocution du 14 juillet dernier.Les engagements des acteurs du numérique et des télécommunicationsCette première réunion du groupe de travail « Numérique et télécommunications » a permis aux ministres de rappeler leur volonté d’une action ambitieuse. Etaient représentés : le Comité stratégique de filière « Infrastructures numériques », la Fédération Française des Télécoms et notamment les quatre principaux opérateurs de télécommunications, représentants de l’écosystème French Tech, France Digitale, Numeum et Start Industrie.Collectivement, ces acteurs s’engagent, avec les instances représentatives du personnel, à mieux faire connaître et appliquer les obligations légales, en miroir de la demande d’exemplarité de la Première ministre auprès de l’administration, en matière d’éclairage des lieux de commerce (éteints à 1 heure du matin au plus tard ou 1 heure après la cessation de l'activité) et des températures de consignes des bâtiments (mettre en œuvre les moyens de baisser la température et ne pas dépasser 19°C maximum pour optimiser la consommation énergétique). La possibilité d’une organisation du travail permettant de limiter les consommations énergétiques, dont le télétravail, sera également explorée.Les participants ont également fait part de leur volonté de partager et d’amplifier les bonnes pratiques, notamment sur les évolutions technologiques les plus récentes qui permettent de réduire l’empreinte énergétique de certaines activités.A titre d’exemple, la consommation énergétique des lignes fixes a été divisée par trois avec le passage à la fibre. De plus, malgré un usage mobile toujours plus important, le passage à la 5G, dans les zones très denses, entraînera une amélioration de l’efficacité énergétique d’un facteur 10 par rapport à la 4G, et d’un facteur 50 par rapport à la 3G[1]. Enfin, la mise en place de la facture électronique ou le développement de filières de reconditionnement et l’allongement de la durée de vie des terminaux sont autant de pratiques que les représentants, présents ce jour, ont mentionnées.Au-delà, le secteur numérique est un outil au service de l’efficacité énergétique. Par exemple, dans le secteur du bâtiment, un simple programmateur de chaudière peut faire baisser de 10% la consommation d’énergie, les outils de gestions techniques de bâtiments de 30%.Les outils numériques facilitent également la décarbonation de l’énergie, par exemple dans la gestion des énergies renouvelables intermittentes.Le secteur réfléchit également à l’utilisation de capteurs déjà installés pour d’autres usages, afin qu’ils assurent le suivi et le contrôle de la consommation d’énergie dans des bâtiments. Cela pourra réduire instantanément les consommations de 10 à 15%.En ce sens, les appels à projets de la French Tech, et notamment le programme Green20, soutiennent les innovations de rupture en faveur de la transition écologique et énergétique.Une méthode de consultation pour identifier des mesures prioritaires spécifiques à chaque secteurTous les acteurs présents ont confirmé leur volonté de diminuer de 10% la consommation d’énergie d’ici deux ans. Pour y parvenir, les travaux se poursuivront en distinguant les acteurs disposant d’infrastructures techniques des acteurs de l’économie numérique, pour prendre en compte chacune de leurs spécificités.Les acteurs disposant d’infrastructures techniques (opérateurs de télécommunications et startups dans l’industrie) vont, par exemple, étudier la mise en place de mesures d’optimisation de la consommation énergétique des réseaux mobiles ;Les acteurs de l’économie numérique (notamment le Next40 et les capitales French Tech) réfléchiront à établir leur bilan carbone, préciser leurs engagements net zéro et à engager une démarche de mesure d'impact. Ils travailleront également à identifier des initiatives d’architecture technique des sites Internet à usage commercial pour que leur conception soit la plus légère possible en données.Les ministres poursuivront ces travaux avec le groupe « Numérique et télécommunications », aux côtés d’experts. Un plan d’actions de mesures simples et opérationnelles sera partagé fin septembre.Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, a déclaré : « Pour faire de la sobriété énergétique une réalité, nous devons miser sur le numérique et les systèmes connectés. Ce sont autant d’outils pour mieux piloter notre consommation d’énergie. Nous devons nous appuyer collectivement sur l’expertise et la capacité d’innovation des acteurs du numérique, tout en les accompagnant dans l’accélération de leur propre feuille de route de décarbonation. »Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition Numérique et des Télécommunications, a déclaré : « Je salue les engagements pris par les acteurs du numérique et des télécommunications en réponse à l'appel à la sobriété énergétique. La concertation initiée aujourd'hui est la première étape d'une ambition collective que nous voulons porter avec Bruno Le Maire. C'est grâce à la contribution de tous que nous répondrons à l’urgence climatique. Dès septembre, de nouvelles mesures seront présentées pour réduire la consommation d'énergie du secteur. »[1] Étude économique 2020, Fédération Française des Télécoms
Il y a 2 ans et 296 jours

Visite du L1ve : réhabilitation modèle de grande envergure en économie circulaire

REPORTAGE. L'ancien siège emblématique du constructeur automobile Peugeot, avenue de la Grande Armée à Paris, achève sa mue. Cette réhabilitation exceptionnelle au coeur de la capitale, menée par Gecina et le cabinet international d'architectes Baumschlager Eberle, se veut un modèle en termes d'économie circulaire. Visite.
Il y a 2 ans et 297 jours

L'objectif de 2.500 structures France Services sera atteint en 2022, assure Guerini

"Au niveau national, on sera à l'objectif (...) qui était fixé à 2.500 maisons France Services dans l'année 2022", a déclaré le ministre lors d'un point presse."Tous les Français sont à moins de 30 minutes d'une maison France Services et même à moins de 20 minutes pour 9 Français sur 10. C'est évidemment une granularité dans la carte qui est le bon niveau", s'est-il félicité après une visite d'un "camping-car France Services" pouvant accueillir du public."500.000 Français viennent tous les mois dans une maison France Services. (...) Sur une année, il faut considérer que c'est quasiment 10 % des Français qui ont accès aux services publics via une maison France Services, qu'elle soit sous format sédentaire ou sous format mobile", a-t-il ajouté."Il faut qu'on continue cette montée en accessibilité, en fréquentation (...) parce que maintenant, le dernier kilomètre, c'est d'aller chercher les citoyens les plus éloignés des services publics (...). C'est pour ça que les bus, c'est fondamental. Ca va permettre d'amener les services publics aux citoyens, parfois sur la place d'un village ou au sein d'un quartier prioritaire", a-t-il insisté."On est en train d'inventer une nouvelle politique publique, une politique d'accès aux services publics, mais aussi de lutte contre la fracture numérique", a jugé M. Guerini, alors que l'Etat finance chaque structure à hauteur de 30.000 euros, tout en assurant 40% des frais de fonctionnement, selon lui.Emmanuel Macron avait lancé en avril 2019 le réseau France Services pour que chacun puisse être accueilli dans un lieu unique et être accompagné dans ses démarches administratives, avec la volonté de lutter contre l'isolement d'une partie de la population.A l'issue des élections législatives, qui ont porté 89 députés RN à l'Assemblée nationale, de nombreux élus, comme le président de l'Association des maires ruraux (AMRF) Michel Fournier, avaient réclamé un "plan d'urgence" pour les territoires ruraux désertés par les services publics. L'Association des petites villes de France (APVF) avait de son côté demandé "solennellement" à Emmanuel Macron de prendre en compte "un vote de colère et de profonde inquiétude" dans les campagnes.