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Il y a 6 ans et 363 jours

Andrew D. Berman : Chapelle

Pour la première fois de son histoire la cité-état du Vatican fait son entrée dans la prestigieuse Biennale de Venise (Italie). Une présence célébrée par dix architectes venus du monde entier, réinterprétant chacun à leur manière le thème de la chapelle sur l'Île de San Giorgio Maggiore. Un exercice de style qui dépoussière quelque peu l'image du siège de l'Église catholique. Il aura donc fallu attendre plus d'un siècle avant que le Vatican ne fasse participe à la très réputée Biennale d'architecture de Venise, manifestation artistique de renommée mondiale, créée en 1895.Parmi les dix personnalités choisies par l'historien de l'architecture Francesco Dal Co, mandaté par la cité-état, pour imaginer l'église de demain : Eva Prats & Ricardo Flores (Espagne), Eduardo Souto de Moura (Portugal), Francesco Cellini (Italie), Norman Foster (Royaume-Uni), Smiljan Radic (Chili), Carla Juaçaba (Brésil), Javier Corvalán (Paraguay), Sean Godsell (Australie), Teronobu Fujimori (Japon), et Andrew D. Berman (États-Unis). Tous les pavillons sont démontables afin de pouvoir être installés par la suite dans des contrées dépourvues de lieux de culte. C'est sur l'église made in USA que notre attention se portera.Andrew D. Berman est un architecte américain installé à New York depuis 1995, dont le travail a été salué par une pluie de récompenses. C'est à lui qu'on doit par exemple le pavillon d'entrée du MoMa/PS1 de New York ou la Bibliothèque Stapleton, située dans le même état.À Venise, le maître d'"uvre propose un plan triangulaire fermé par d'épais murs sur deux de ses côtés et entièrement ouvert aux éléments et aux vues sur le troisième. L'espace ainsi créé, recouvert du sol au plafond de panneaux de contreplaqué peints en noir, contraste avec son bardage extérieur en polycarbonate blanc, aussi bien utilisé verticalement pour l'habillage des parois que pour sa toiture à un pan. Une simplicité de conception qui laisse place à l'essentiel : un banc, tout de blanc vêtu, qui trône fièrement au-dessus des deux marches occupant la largeur de l'entrée. Ces trois volumes constituent les seuls reliefs de la pièce imaginée par Andrew D. Berman. Une réinterprétation en négatif de l'église conçue dans les années 1920 à Stockholm par le Suédois Gunnar Asplund, elle aussi triangulaire mais blanche à l'intérieur et noire à l'extérieur, qui a servi de référence pour la commande du Vatican. Ici, le visiteur est donc invité à s'assoir pour observer ce qui l'entoure. Et plus si affinité... Biennale d'architecture de Venise, Venise (Italie), jusqu'au 25 novembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de Andrew D. Berman Photographies : Alessandra Chemollo
Il y a 7 ans et 4 jours

Wally Koval : Accidentally Wes Anderson

Entre l'art et le réseau social Instagram, il y a Accidentally Wes Anderson, un compte compilant des photographies provenant de multiples sources, toutes plus atypiques les unes que les autres, dont on ne sait si elles appartiennent au rêve ou à la réalité. Amusés par des lieux ressemblant fortement à l'univers du réalisateur américain de Grand Budapest Hotel (2014), des utilisateurs du site communautaire Reddit se sont mis à photographier et à partager leurs trouvailles dans une rubrique nommée " Accidental Wes Anderson ", incroyable catalogue sourcé et commenté, alimenté par plus de 230 000 lecteurs, où rose pastel et mobilier rétro créent une ambiance sucrée et fantaisiste. Lui aussi passionné par le travail du cinéaste, Wally Koval, un directeur de marché new yorkais, se lance dans une entreprise de sélection puis de diffusion sur Instagram de photographies représentatives de l'imaginaire de Wes Anderson, proposant ainsi de voyager à travers la symétrie et l'atypique dans des lieux bien réels. Sur le compte AccidentallyWesAnderson, Wally Koval, se fait ainsi le gardien d'une collection de prises de vue grandissante. Une aventure qu'il souhaite faire durer autant que possible : " Je veux que ça continue à être l'endroit où nous pouvons tous partager, s'échapper et être inspiré. " Une belle façon de voir notre monde. Pour en savoir plus, visitez le site de Accidentally Wes Anderson Photographies :01) © Katie Yeilding02) © WK03) © Richard Waite04) © The Campbell NYC 05) © Samantha Smith06) © Peet 07) © Studio Pion08) © Balazs Csizik09) © Maria Vanonen  
Il y a 7 ans et 5 jours

ODA Architecture : 251 1st Street

Park Slope (États-Unis), quartier en brique de New York datant du XIXe siècle, profite depuis 2017 d'une nouvelle résidence de grand standing, aux airs de pièce montée : le 251 1st Street, réalisé par l'agence ODA Architecture. Tout droit sorti de l'univers du célèbre jeu vidéo de construction Minecraft, 251 1st Street a de quoi étonner les riverains ! À l'angle de la 1ère et de la 4e rue de Park Slope, quartier aisé du district de Brooklyn, se trouve le 251 1st Street, un immeuble d'habitation de onze niveaux " là où les résidences voisines ne dépassent pas trois étages ", situé entre commerces et entrepôts, et doté de gradins sur trois de ses côtés " le dernier étant mitoyen.Sa trame constructive poteau-poutre en béton permet de libérer et de vitrer largement les façades, tout en déterminant un module de base carré, dont découlent les dimensions des pièces des 29 appartements, allant du T2 au T5, dont onze avec espaces extérieurs. Au sommet de l'édifice, un toit-terrasse partagé composé d'une salle à manger, d'un salon et d'une cuisine extérieure permet aux habitants de se retrouver. Mais les services proposés aux résidents ne s'arrêtent pas là : salle de fitness, pièce de jeux pour enfants, bibliothèque et même station de toilettage pour animaux de compagnie. Une belle vue d'angle ou un bel angle de vue " avec un panorama qui s'étend de Manhattan au pont Verrezano-Narrows... de quoi s'y perdre ! Pour en savoir plus, visitez le site d'ODA Architecture Photographies : Miguel de Guzman / Imagen Subliminal
Il y a 7 ans et 5 jours

Harri Koskinen et Linda Bergroth : Zero Waste Bistro

Lors du festival WantedDesign Manhattan 2018 de New York (États-Unis), a été présenté le Zero Waste Bistro réalisé par les designers finlandais Harri Koskinen et Linda Bergroth. Un lieu de restauration suivant une stratégie " zéro déchet ", dont le but est de réduire le gaspillage alimentaire et la production de détritus. Entre la 27e et la 28e rue se trouve le Terminal Stores : un entrepôt ferroviaire du XIXe siècle en brique et grès rouge aujourd'hui converti en hotspot, où se mêlent restaurants et magasins mais aussi événements, dont le festival WantedDesign mettant en avant des designers émergents de la scène internationale. Après le restaurant londonien éphémère Hel Yes ! les Finlandais Harri Koskinen et Linda Bergroth livrent, à la demande de l'Institut culturel finlandais de New York, le pop-up Zero Waste Bistro conçu spécialement pour l'événement. Un espace convivial où une architecture durable est mise au service de l'art culinaire.Cette installation temporaire consiste en un couloir de plus de 10 mètres de long ponctué d'arcades semi-circulaires. Elle est recouverte du sol au plafond de panneaux de TetraPak recyclé, confectionnés par la société ReWall. La teinte bleu-argentée marbrée découle ainsi de la couleur des produits retraités au moment de la commande des maîtres d'"uvre " si l'on y jette un "il de plus près, il est possible d'entrevoir des codes-barres disséminés dans les mouchetures !Linda Bergroth a par ailleurs ici réalisé une gamme de vaisselle comprenant assiettes et vases en Durat, matériau fabriqué à partir de papiers recyclés, des emballages en Supalac, biodégradable et exempt de toute matière micro-plastique. Pour l'ameublement le Finnish Design Shop, le plus important magasin de décoration nordique en ligne, a fourni les tabourets de la marque Artek et les lampes pendantes Iittala. La cuisine, tout aussi éthique que la structure qui l'abrite, est réalisée par les chefs du Nolla (établissement situé à Helsinski) : Luka Balac, Carlos Henriques et Albert Franch Sunyer. Un concept qui prouve que l'économie circulaire est bien plus qu'une utopie. Pour en savoir plus, visitez le site de Zero Waste Bistro Photographies : Nicholas Calcott
Il y a 7 ans et 11 jours

Jacob Jonas : #CamerasandDancers

Le chorégraphe américain Jacob Jonas associe danse, photographie et architecture dans un projet unique : #CamerasandDancers, une exposition virtuelle dans laquelle plusieurs photographies sont postées chaque mois sur Instagram, où les corps ondulent dans des environnements architecturaux forts. L'occasion de sensibiliser les utilisateurs du réseau social à l'art, dans sa définition plurielle. Pour un monde aussi connecté que le nôtre, pourquoi ne pas faire d'Instagram, une galerie accessible à tous ? C'est la question que s'est posée Jacob Jonas, directeur de la compagnie éponyme, qui lance en 2017 #CamerasandDancers, une série photographique agrémentée tous les mois de clichées représentant un ou des danseurs en action devant des bâtiments iconiques, interagissant avec eux. L'idée donne vite lieu à un " InstaMeet ", soit une réunion d'usagers qui, ensemble, capturent pas de bourrée, pirouettes et autres entrechats. Des prises de vue qui sont ensuite relayées par des influenceurs partenaires et des institutions américaines de renommée telles que le Kennedy Center, la New York Public Library ou encore le Royal Ballet. Un processus en phase avec son temps qui se sert non seulement de ces médias comme moyen de diffusion mais également comme plateforme d'expression, visant à valoriser la danse et l'architecture. " Ces artistes ont compris les bâtiments d'une manière très significative. Travailler avec Jacob Jonas et sa compagnie sur ce projet était extrêmement important. Cela permet vraiment d'élever l'architecture à un tout autre niveau ". Lorcan O'Herlihy, architecte La ville, dans ce qu'elle a de plus brut, est alors poétisée par la finesse des athlètes qui posent devant l'objectif, comme autant d'arrêts sur images. Une démarche qui permet également de redécouvrir l'espace urbain et de s'attarder sur la beauté de ses lignes et de ses jeux de lumière, détails auxquels les citadins ne prêtent plus nécessairement attention au quotidien. Un projet étonnant et émouvant qui offre une nouvelle vie aux ouvrages emblématiques des Etats-Unis. Pour en savoir plus, visitez le site de Jacob Jonas Photographies : Jacob Jonas Compagny
Il y a 7 ans et 11 jours

LAN : Tour 360 VIEW

 À Nantes (44), l'agence parisienne LAN transfigure tout un îlot du centre de la ville. Aux entrepôts industriels succèdent ici un ensemble de six bâtiments imposants, dont une tour signal métallique de 18 étages. Un nouveau quartier d'affaires ? Que nenni ! Un immeuble de logement, à la trame constructive impeccablement maîtrisée. Depuis une quinzaine d'années, l'Îles de Nantes " ancien territoire industriel de la ville éponyme ", change de visage, sous la houlette de la Samoa, Société d'aménagement de la Métropole Ouest Atlantique. Au centre de ce vaste territoire insulaire situé au c"ur du chef-lieu de la Loire-Atlantique : l'opération Polaris, autrefois occupée par les entrepôts de la marque de sanitaires Brossette. Lors du concours lancé en 2012, c'est LAN qui ressort vainqueur, parmi les quatre agences retenues. Sur cette vaste parcelle longitudinale de 15 000 mètres carrés aux usages mixtes " logements, résidence universitaire, école internationale d'hôtellerie et de management Vatel, bureaux et parkings ", le studio est alors chargé pour la première fois de son histoire de la réalisation d'un plan-masse et de la conception de quatre des six bâtiments de l'opération. Parmi les lots qui leur sont confiés : une tour iconique de 55 mètres de hauteur composée de trois parallélépipèdes, située au nord de la parcelle, avec vue sur la Loire. Une échelle atypique pour cet ancien fief des Ducs de Bretagne, qui entre en résonance avec les barres de logement alentour de 15 niveaux, datant des années 1960. " Bienvenue à New York ", plaisante ainsi Alain Bertrand, directeur général adjoint de la Samoa, aménageur de l'Île de Nantes. Dans ce Manhattan sur Loire, le skyscraper de 18 étages imaginé par les deux associés de LAN prend la forme d'un beffroi argenté avec vue à 360 degrés sur la ville, " d'où son nom, 360 VIEW ", positionné entre le fleuve, au nord, et la place centrale de l'opération au sud. Aménagée par les paysagistes de BASE, cette dernière a été rétrocédée à la ville par le maître d'ouvrage Kaufman & Broad afin d'en faire un lieu public.Au-dessus d'un RDC traversant " avec un local d'activité vitré de 235 mètres carrés en partie est et le hall d'entrée de la résidence à l'ouest ", prennent place les 73 appartements de 360 VIEW allant du T1 au T5, avec des duplex dans les deux derniers niveaux. Une diversité typologique camouflée par une enveloppe unitaire bardée de cassettes en aluminium brossé, certaines pleines, d'autres perforées ou équipées de volets horizontaux du même matériau. Une trame de façade dont la régularité cache une variété de pièces " de vie, de nuit ou d'eau ", comme des loggias de minimum de 10 mètres carrés qui équipent tous les logements. Ces espaces extérieurs sont reliés de manière très diverses aux habitations grâce à une structure en béton reportée en périphérie de l'édifice, offrant ainsi un aménagement intérieur extrêmement libre. LAN livre ainsi une tour signal tout en paradoxe, dont le strict calepinage ne laisserait pas présager la flexibilité du plan intérieur. Pour en savoir plus, visitez le site de LAN Photographies : Julien Lanoo et Cyrille Weiner
Il y a 7 ans et 12 jours

BIG : A45

Conçu pour la société américaine de logements préfabriqués Klein, A45 est un prototype de résidence secondaire destiné à ces citadins qui n'ont pas nécessairement les moyens de s'offrir une villa. Premier d'une série de maisons d'architectes de renom, ce loft de poche est signé BIG, agence scandinave de premier plan dont la réputation n'est plus à faire. Trônant fièrement dans la vallée de l'Hudson de l'état de New York (USA), ce prisme sombre dissimule en réalité un petit logement secondaire. Revêtu de pin et d'une large façade vitrée, l'ensemble est inspiré des A-frames cabins de la région, ces petites cabanes à la toiture à deux pans " permettant à l'eau de pluie de s'écouler facilement. Préconstruits, les panneaux en bois qui composent la demeure " reposant sur quatre pieux en béton ", sont directement assemblés sur le site. Celle-ci peut donc rapidement sortir de terre, sans l'intervention de machines lourdes. La quasi-totalité de ses matériaux est recyclable, que ce soit les cadres en bois ou l'isolant en liège. D'une emprise au sol de 17 mètres carrés seulement, le prototype imaginé par BIG comprend pourtant tout le nécessaire pour y vivre ! Le rez-de-chaussée mêle espaces de couchage et de vie au plancher en Douglas, à une pièce d'eau ; tandis que la mezzanine, accessible via une petite échelle, accueille une autre zone de nuit. L'objectif pour l'agence dirigée par Bjarke Ingels était de créer une cabine collant au concept danois d'" hygge " désignant une atmosphère confortable et rassurante qui favorise le bonheur. Comme quoi, pas besoin d'un château pour vivre comme un roi ! Pour en savoir plus, visitez le site de BIG Photographies : Matthew Carbone
Il y a 7 ans et 13 jours

Événement : Triennale de Bruges

Classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, Bruges (Belgique) n'existe pourtant pas que par son passé ! Preuve en est, la nouvelle édition de sa Triennale, ressuscitée " puisque le projet datant des années 1960 avait été avorté en 1974 ", qui présente un grand nombre d'"uvres d'art contemporaines plus spectaculaires les unes que les autres répondant toutes au thème énigmatique de " Liquid City ". " Liquid City ", quèsaco ? Il s'agit d'un détournement du concept de " société liquide " pensé par le sociologue et philosophe Zygmunt Bauman dans les années 2000, qui fait référence à la fluctuation et au mouvement perpétuel de la société moderne. Un clin d'"il que la Venise du Nord s'approprie et mêle à l'omniprésence de l'eau qui la caractérise. Une matière première propice à la réflexion et qui a guidé les travaux des artistes et architectes invités à y exposer jusqu'à mi-septembre. Quelles soient subaquatique ou en surface, les interventions in situ oscillent entre propositions architecturales concrètes, qui se veulent solidaires et écologiques, et ouvrages temporaires ayant pour but premier d'égailler la ville et d'intéresser les visiteurs à la construction, tout en donnant un nouveau souffle à l'une des capitales patrimoniales européennes. L'occasion notamment de découvrir l'Acheron I de Renato Nicolodi, une structure en bois recouverte de ciment, flottant littéralement sur l'un deux canaux. Une représentation de l'entrée des enfers, royaume d'Hadès dans la mythologie grec, qui doit son nom à une rivière du nord-est de la Grèce dont le nom signifie " rivière de la tristesse ". Une réalisation conceptuelle aussi fascinante autant par la prouesse technique dont elle fait preuve que par son sens fantasque. Plus gai, le pavillon Selgascano imaginé par l'agence espagnole éponyme : une structure organique aux parois translucides rouges projetant des rais de lumière colorée sur le cours d'eau sur lequel elle prend partiellement place. L'occasion de méditer les pieds dans l'eau, tout en voyant la vie en rose. Mais un événement d'une telle envergure est également une tribune, une opportunité de dénoncer les travers de la société, de partager son opinion avec le plus grand nombre. Une notion bien intégrée par les New Yorkais de Studiokca qui transforment un bassin du centre-ville, proche de la statue de Jan Van Eyck, en petit bout d'océan où émerge une baleine bleue d'une douzaine de mètres de haut. À défaut d'avoir pu placer un réel cétacé en plein c"ur de la Belgique, pas moins de 5 tonnes de déchets plastiques tirés de la Grand Bleu ont permis de reconstituer le mammifère surgissant de l'eau. Une sculpture aussi impressionnante qu'engagée qui, espérons-le, sensibilisera un peu plus les esprits sur la pollution des océans. Une manifestation qui permet non seulement de découvrir les "uvres de Wesley Meuris, John Powers ou encore Monir Shahroudy mais surtout de découvrir Bruges sous un nouvel angle, celui d'une ville contemporaine et ancrée dans l'actualité. Une triennale vivante et passionnante qui promet de réchauffer l'été de la capitale de Flandre-Occidentale. Pour en savoir plus, visitez le site de la Triennale de Bruges Photographies :1) à 5) Iwan Baan6) à 9) DR
Il y a 7 ans et 17 jours

Événement : Akari, Sculpture by Other Means et Akari Unfolded

Si le nom Akari ne vous dit rien, vous ne pouvez pourtant pas être passé à côté de ces illustres luminaires. Inspirées des lanternes japonaises, ces suspensions iconiques font l'objet de deux expositions au Noguchi Museum de New York (USA) jusqu'à janvier 2019. Autant d'occasions de découvrir l'histoire et les déclinaisons de ce qui est plus qu'un simple abat-jour en papier... Dans un premier temps, " Akari, Sculpture by Other Means " retrace l'histoire de l'élément d'éclairage aux multiples déclinaisons, rendu célèbre par le sculpteur américano-japonais Isamu Noguchi dans les années 1950 : un clin d'"il à un rite nippon " la pêche de nuit sur la rivière Nagara éclairée par des veilleuses ", qui a aujourd'hui intégré la culture populaire mondiale. Faites de bambou et de washi " papier fabriqué à la main à partir d'écorce de mûrier ", ces sculptures lumineuses sont une parfaite combinaison d'inspiration orientale, de technologie " puisque cette technique ancestrale est ici combinée à l'électricité ", et d'art contemporain. Un mélange si détonnant qu'il sera mis à l'honneur en 1986 durant la Biennale d'Art Contemporain de Venise où il a été demandé au plasticien d'orner le pavillon américain de ses créations inédites aux silhouettes variées. Dans la continuité de ce premier événement, l'exhibition " Akari Unfolded: A collection by Ymer & Malta " présente une sélection de 26 déclinaisons du studio de design français Ymer & Malta, en collaboration avec six autres confrères " nendo, Sebastian Bergne, Stephen Burks, Océane Delain, Benjamin Graindorge et Sylvain Rieu-Piquet. Toujours en gardant en tête l'alliance entre artisanat traditionnel et réalisations contemporaines, les créateurs proposent ici des lampes toutes plus originales les unes que les autres, constituant l'héritage de l'Akari d'Isamu Noguchi. Un duo d'événements complémentaires, liant passé et avenir, à l'image des réalisations de l'artiste auxquelles il rend hommage. Pour en savoir plus, visitez le site du musée Isamu Noguchi Photographies : DR
Il y a 7 ans et 24 jours

A + I : AltSchool

En plein c"ur de la Grosse Pomme, l'agence américaine A + I (Architecture + Information) livre une nouvelle antenne d'AltSchool, une start-up éducative visant à répondre aux besoins individuels des élèves. Une école 2.0 aux couleurs pop, axant ses cours sur les nouvelles technologies, que les concepteurs qualifient de " ludique, mais pas enfantine ". Installé sur l'un des onze étages d'un immeuble en pierre datant du début du XXe siècle, proche d'Union Square à Manhattan (New-York), l'établissement de 696 mètres carrés ressemble plus à un espace de travail en open space qu'à une école primaire. Et pourtant, chaque espace est adapté aux impératifs éducatifs des jeunes étudiants. " Comme chaque élève d'AltSchool a l'opportunité unique d'apprendre en fonction de son propre niveau, chaque espace a été conçu pour être suffisamment flexible, dans le but de répondre aux besoins individuels de nombreux étudiants, ainsi qu'à une myriade de styles et d'usages uniques. " A + I L'ensemble est organisé autour d'une agora centrale. Composée d'une structure en gradin bleu ciel en bois, cette zone permet aux écoliers de se rassembler lors de présentations ou d'événements. La construction azure comprend également de petits recoins que les enfants peuvent exploiter durant leurs pauses récréatives. Ouvert sur cette placette publique, un Design Lab ouvert et flexible est installé pour accueillir les travaux pratiques, conceptions plastiques et autres expériences scientifiques. Son aspect modulable permet également de transformer cette partie d'AltSchool en réfectoire ou en terrain de jeu. Des salles de classe ainsi que des cabines vitrées insonorisées " conçues pour de petits groupes ", bordent le plateau principal. Un intérêt particulier a été porté à l'usage des matériaux et de la couleur dans le mobilier en panneaux de contreplaqué, qui sert ici de signalétique dans l'espace, contrastant ainsi avec les teintes neutres du sol en béton. Des tonalités sombres annoncent des aires calmes, plutôt axées sur la réflexion et l'attention, tandis que des nuances vives et audacieuses encouragent la réunion et la synergie. Mais attention, ici, pas question de tomber dans la surutilisation de couleurs primaires, souvent employées dans les classes. Les maîtres d'"uvre n'ont en effet pas à faire à une école classique mais bien à un établissement scolaire basé sur l'organisation et le fonctionnement de start-up, soit un monde d'adulte. En effet, rappelons-le, le mantra guidant toutes les étapes de conception de cette école était bel et bien " ludique, mais pas enfantin ". Un refrain constant que l'on peut questionner dans l'élaboration d'une école où l'imagination et l'innocence des bambins ne doivent pas être oubliées. Pour en savoir plus, visitez le site d'A+I Photographies : Magda Biernat
Il y a 7 ans et 33 jours

La gare de Strasbourg habillée d'une gigantesque fresque de street art

La verrière entourant la gare SNCF de Strasbourg a commencé à se revêtir d'une immense fresque de street art réalisée par le collectif new-yorkais Faile, à l'occasion des vingt ans du Musée d'art moderne et contemporain (MAMCS) de la capitale alsacienne.
Il y a 7 ans et 52 jours

SPC Technocons : Résidence 54

Fissurée, délabrée, vétuste... Autant d'adjectifs qui pouvaient définir cette demeure de Bangkok (Thaïlande) datant des années 1980. C'était sans compter sur l'intervention de l'agence SPC Technocons qui offre une seconde vie à cette maison de ville, tout en utilisant l'histoire de ses murs . Le résultat ? Une villa contemporaine au style industriel affirmé pleine de surprises. Si elle semblait tomber en ruine, la structure en béton de cette demeure a tout de même été conservée par les architectes " mais renforcée ", et complétée en partie avant une clôture ajourée métallique qui lui confère toute son identité. Ce grillage voué à accueillir de la végétation constitue aussi un moyen de connecter l'habitation de 200 mètres carrés à l'extérieur. Ce lien avec la nature justifie également l'installation de nombreuses baies vitrées et surtout d'une large fenêtre rotative au premier étage. Un simple coup de manivelle et le salon se prolonge en terrasse ! Une façon d'adoucir le parti pris esthétique manufacturier de ce trois pièces de trois niveaux en acier, béton et brique. Si au rez-de-chaussée on ne retrouve qu'un simple espace de stationnement de deux places, le premier niveau " accessible grâce à une originale porte en acier Corten ", est quant à lui dédié à l'unique pièce de vie. L'espace salon témoigne de la vie passée de la maison grâce à un mur de plâtre partiellement dénudé qui laisse apparaître les briques rouges originelles. Au centre de la pièce, un mince escalier escamotable, toujours en acier Corten, mène à l'étage nuit avec palier pouvant servir de chambre d'appoint et une grande suite parentale de 45 mètres carrés. Un esprit loft new-yorkais en plein c"ur de la Thaïlande. Pour en savoir plus, visitez le site de SPC Technocons Photographies : Sitthisak Namkham
Il y a 7 ans et 53 jours

Kader Attia : Les Racines poussent aussi dans le Béton

" L'architecture actuelle [...] laisse tomber les palais. Voilà un signe des temps ", disait Le Corbusier. S'il voyait l'avenir dans le logement collectif et abordable, Kader Attia fait de ce principe une exposition spectaculaire à découvrir au MAC VAL de Vitry-sur-Seine (94). Entre politique et poésie, le plasticien s'interroge, au travers des grands ensembles de banlieue, sur les effets du post-colonialisme et sur la place de cette culture dans l'Histoire Française. Édifiant. Paris. Ses avenues pavées, bordées d'immeubles haussmanniens, ses boutiques de luxe, ses boulangeries et ses restaurants gastronomiques. " La ville lumière " ; " La cité de l'amour "... Les périphrases ne manquent pas pour définir notre chère Capitale. Pourtant Paris, c'est aussi sa périphérie, son passé colonial et migratoire, sa culture et sa mixité sociale. Des aspects rarement valorisés dans le récit national, qui font pourtant partie intégrante de la mémoire de notre pays, que le plasticien Kader Attia, lauréat du prix Marcel Duchamp en 2016, a voulu exposer dans l'incroyable espace de 1 300 mètres carrés du MAC VAL, Musée d'Art Contemporain du Val de Seine. Une façon d'amener une partie de la population au-delà du périphérique afin de découvrir le travail de la star montante de la discipline. " On entend parler de Paris à l'étranger avec des images de cartes postales. Jamais l'architecture de banlieue n'a fait partie de cette dialectique française. Le visiteur, le touriste, ne se figure Paris qu'à travers ces images et ne voit finalement même pas les étrangers, ni l'histoire coloniale. Même lorsqu'ils sont à Gare du Nord, ils ne voient pas les subsahariens, les nord africains. "  Kader Attia, artiste contemporain Français, d'origine algérienne, ayant grandi entre Garges-Lès-Gonesse/Sarcelles (95) et Bab El Oued (Algérie), Kader Attia incarne parfaitement cette génération postcoloniale, parquée dans de massifs ensemble de logements sociaux, qui y a spontanément développé ses propres codes et sa culture. Une génération qui a encore du mal à trouver sa place dans la France d'après-guerre. " Ce déni de la périphérie dans le grand récit national français est aussi le déni de toute une subculture. C'est le déni du hiphop, d'une littérature, d'un militantisme, d'une culture olfactive, de la mémoire, etc. qui existe et qui perdure, mais qui est tue. Seulement, on ne peut pas enfermer les idées. " Kader Attia, artiste contemporain En effet, on ne peut pas enfermer les idées. Surtout pas celles de l'artiste de 47 ans qui livre ici une exposition monumentale conçue à la manière d'un opéra en trois actes. Celle-ci débute sur un corridor sombre dont les parois ornées de collages représentent l'âme de la périphérie : grands ensembles, styles vestimentaires, influences ethniques... Le tout est articulé autour de la figure de Jean Gabin, monument du cinéma français qui a tourné pas moins de 8 films en banlieue parisienne, dans le Val d'Oise, mettant ainsi en scène les larges façades des logements sociaux de Sarcelles dans Pépé le Moko (1937) ou Mélodie en sous-sol (1963), et non pas les habituels Tour Eiffel et Sacré C"ur. Cet espace se conclue par une installation au sol : un disque en semoule représentant le plan de la ville de Ghardaia (Algérie) qui aurait fasciné et inspiré Le Corbusier pour la Cité Radieuse de Marseille (13). Plus on avance dans le lieu, plus le lien avec l'architecture sociale devient de moins en moins évident et sert à exprimer des problèmes sociaux, à désaliéner les populations. Des poutres en bois aux fissures " réparées " par Kader Attia où les blessures demeurent apparentes ; une réplique de la skyline new-yorkaise réalisée à partir de frigos de différentes tailles, agrémentés de petits miroirs ; des barrières de sécurité lacérées et détruites à coups de pierre ; une "uvre diffusant une odeur nostalgique de clou de girofle ; des photographies portant sur la question des genres, de la sexualité et de la notion du couples ; des installations vidéos aux sujets sociaux divers, comme l'affaire Théo ; le marché du pétrole comme substitut au commerce triangulaire, etc. En bref des moyens détournés de faire réfléchir. L'art de Kader Attia n'a rien de contemplatif : à chaque pas, à chaque "uvre que l'on découvre, une question se pose. Pour clore l'événement : un épilogue aussi simple que complexe. Un diptyque photographique confrontant une photographie d'un puit à Ghardaia, dont le système hydraulique est désormais " made in China ", et un site Volkswagen de l'Allemagne de l'Est où, en effet, les racines poussent aussi dans le béton. Un parcours immersif puissant et engagé plus que nécessaire. Les racines poussent aussi dans le béton, du 14 avril au 16 septembre 2018 au MAC VAL (94). Pour en savoir plus, visitez le site de Kader Attia Photographies : MAC VAL
Il y a 7 ans et 54 jours

Le premier projet new-yorkais de Zaha Hadid Architects

  L’agence mondialement connue Zaha Hadid Architects vient d’achever le 520 west 28th, son premier projet à New York. Avec des espaces communs qui profitent d’une vue imprenable sur la fameuse High Line, il s’agit d’un immeuble résidentiel de luxe qui contient plusieurs équipements dont un théâtre IMAX, une piscine, un spa, un centre de fitness et un bar à jus.
Il y a 7 ans et 58 jours

BIG présente son nouveau gratte-ciel

Selon New York YIMBY, BIG a dévoilé les images de son futur gratte-ciel. Le bâtiment se construit au croisement de… Cet article BIG présente son nouveau gratte-ciel est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 65 jours

OMA / Shohei Shigematsu : conception dévoilée pour Audrey Irmas Pavilion, une nouvelle extension du temple de Wilshire Boulevard à Los Angeles 

Le projet imaginé par OMA New York en partenariat avec Shohei Shigematsu, Jake Forster et Gruen Associates (architecte exécutif) est… Cet article OMA / Shohei Shigematsu : conception dévoilée pour Audrey Irmas Pavilion, une nouvelle extension du temple de Wilshire Boulevard à Los Angeles  est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 69 jours

Un nouveau lieu artistique de New York va porter le nom du propriétaire de l'OM

Un nouveau lieu artistique de New York à l'architecture et la programmation ambitieuses va porter le nom du propriétaire de l'Olympique de Marseille, Frank McCourt, qui lui a officiellement fait don de 45 millions de dollars.
Il y a 7 ans et 75 jours

Google s'offre le Chelsea Market de New York pour 2,4 milliards de dollars

Google occupe déjà une partie importante des bureaux, notamment pour sa filiale YouTube, situés dans les étages de cette ancienne biscuiterie du groupe Nabisco, construite en 1913 par l'architecte Albert G. Zimmerman.
Il y a 7 ans et 81 jours

Sergio Mannino Studio : Medly

Le vestiaire d'une piscine art déco ? Le repère secret d'une équipe de superhéros ? Rien de tout cela. L'écrin turquoise imaginé par le studio Sergio Mannino abrite en réalité une partie du service de prescription en ligne Medly, permettant de venir récupérer des médicaments sur ordonnance préalablement commandés en ligne grâce à l'application éponyme. Dire que cette pharmacie de 117 mètres carrés située dans le quartier new-yorkais de Brooklyn (USA) change des lieux médicaux classique est un euphémisme ! Sur les carreaux de sol d'inspiration années 1970 prennent place un bureau en ciment pigmenté, des chaises voluptueuses en vinyle vert et des étagères accueillant les remèdes à nos maux, le tout dans un camaïeu de turquoise, déclinant l'identité graphique de la marque Medly. Le mobilier est conçu en hommage au travail du designer japonais Shiro Kuramata (lien article), connu pour son style poétique et sensuel. Les banquettes confortables se faisant face encouragent à la convivialité, chose rare chez les apothicaires. " Comme la communauté est une valeur clé de Medly, nous avons veillé à ce que notre conception soit adaptée à cet objectif. La nature du petit espace signifie que les clients vont instinctivement se mêler les uns aux autres ainsi qu'au personnel, contrairement aux grandes pharmacies qui séparent par inadvertance les gens à travers les grandes allées. " Sergio Mannino Studio Une paroi en plexiglas dissimule la salle de préparation qui se trouve en partie arrière de l'échoppe, où les prescriptions et ordonnances sont triées. Un endroit à l'aspect plus conforme à l'image que l'on se fait d'une pharmacie mais où les murs peints couleur menthe font le lien avec la salle principale. Car qui dit lieu clinique ne dit pas forcément design et intérieur aseptisés. Pour en savoir plus, visitez le site de Sergio Mannino Studio Photographies : Charlie Shuck
Il y a 7 ans et 82 jours

Richard Meier accusé de harcèlement sexuel

Architecte mondialement reconnu et Prix Pritzker 1984, Richard Meier, 83 ans, est au c"ur d'un scandale de harcèlement sexuel reporté mardi 13 mars par le New York Times. Accusé par cinq femmes, certains des faits remonteraient aux années 1980, au moment phare de la carrière de l'architecte. Il a annoncé ce mercredi qu'il se retirerait immédiatement de ses fonctions pour une durée de six mois. Comble de l'ironie, le scandale éclate au moment même où l'architecte entreprenait de...
Il y a 7 ans et 83 jours

Alloy Design : Dumbo Townhouses

C'est dans le quartier branché de Brooklyn à New York (USA) que l'agence Alloy Design conçoit les Dumbo Townhouses, un ensemble de cinq maisons en bande d'une superficie totale de 1 672 mètres carrés de plancher. Un projet qui prend place sur la parcelle d'un ancien entrepôt, dont la destruction offre de nouvelles possibilités de logement dans une partie prisée de la Grosse Pomme. Désireux de conserver l'aspect industriel qui caractérise le site sur lequel prennent place les Dumbo Townhouses, les maîtres d'"uvre imaginent un ensemble massif bardé de béton, d'aluminium, de bois et de bronze composé de cinq maisons de quatre étages accolées implanté à l'angle des rues Pearl et Water, en bordure de la route. Bien qu'intégrées dans un milieu très urbain, ces demeures bénéficient pourtant toutes d'un petit jardin à l'arrière. Bien qu'ayant des allures d'immeuble, c'est bel et bien des maisons de ville qui se cachent derrière cette façade unifiée. Chacune d'entre elles est déployée sur quatre niveaux et est conçue sur le même plan. Le rez-de-chaussée abrite un garage à l'ouest et à l'est une pièce pouvant servir de chambre d'appoint, de bureaux ou de salle de jeu. À l'étage supérieur, un espace de vie comprenant cuisine, salle à manger et salon prend place sous une impressionnante hauteur de plafond de 6 mètres comprenant par ailleurs une mezzanine centrale. Les deux niveaux suivants sont dédiés aux espaces de nuit avec, une suite parentale " composée d'une partie chambre, d'une salle de bain avec baignoire et d'un grand dressing ", puis au dernier étage, deux autres pénates séparés par une pièce d'eau. L'ensemble est surplombé d'un toit terrasse doté d'une pergola, permettant à ses résidents de profiter des vues sur la ville qui ne dort jamais. Un programme à l'extérieur massif qui cache pourtant des espaces intérieurs surprenants ! Pour en savoir plus, visitez le site de Alloy Design Photographies : Cameron Blaylock & Pavel Bendov
Il y a 7 ans et 96 jours

Boites flottantes pour un appart à New York

  L'architecte Alex Delaunay (SABO project) est à l'origine de cette rénovation réussie à Brooklyn. Une ancienne fonderie du début de siècle reconvertie en logements dans les années 80 lui sert de support pour appliquer ses théories très concrètes.
Il y a 7 ans et 104 jours

De la métropole à la campagne : la revue de presse du 20 février 2018

Wakanda, une Métropolis africaine " Art à New York, Vessel à venir et 5Pointz disparus " L'effet Bilbao se mesure… Cet article De la métropole à la campagne : la revue de presse du 20 février 2018 est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 143 jours

Wang & Söderström : Collection Excavation

Wang & Söderström, le studio de création artistique suédois décalé et fantaisiste composé du designer d'espace Anny Wang et de l'architecte Tim Söderström, expérimente ici le processus de fabrication digital par impression 3D dans une drôle de collection composée de trois étonnants vases en forme d'"ufs. Imaginés à l'origine comme des "uvres d'art par le jeune studio suédois Wang & Söderström, ces trois étranges "ufs sont finalement devenus vases. Une manière peu commune de briser la frontière entre créativité et fonctionnalité. " Les trois sculptures sont le résultat d'une approche expérimentale, sur la manière de faire vivre les objets virtuels. Elles ont été créées avec la précision du logiciel informatique et de l'imprimante 3D, ce qui contraste avec leur apparence organique. " Anny Wang, designer Pensées en collaboration avec Unique Board, une compagnie new-yorkaise spécialisée dans l'impression 3D, les "uvres sont composées de deux parties en polyuréthane : une base vernie dont les couleurs varient de l'orange, au noir en passant par le bleu, et son récipient constellé de tâches multicolores générées selon un algorithme informatique dans le but de faire écho aux "ufs d'oiseaux. Une collection atypique et amusante se mariant avec humour à nos plus beaux bouquets de fleurs. Pour en savoir plus, visitez le site de Wang & Söderström Photographies : Mishael Phillip.
Il y a 7 ans et 167 jours

Le prince héritier saoudien acquéreur de la demeure la plus chère au monde

Mohammed ben Salmane, nouvel homme fort d'Arabie saoudite qui se veut le chantre de l'anticorruption, est le mystérieux acquéreur du "Château Louis XIV", près de Paris, demeure privée la plus chère au monde cédée pour 275 millions d'euros, affirme le New York Times.
Il y a 7 ans et 181 jours

Rafael de Cárdenas : Pool House

Accolé à un manoir du début du XIXe siècle perdu dans la campagne anglaise, un pavillon rectangulaire réalisé par l'architecte new-yorkais Rafael de Cárdenas dissimule une piscine. Une paire de toboggans hélicoïdaux confère grâce et originalité à ce lieu caractérisé par sa quiétude. Pour sa première réalisation en solo, l'architecte, frappe fort et conçoit un écrin atypiqe, un havre de paix qui attend les propriétaires des lieux, un couple et ses quatre enfants. Perpendiculairement à la demeure édouardienne d'origine, le bâtiment de plain-pied en brique et cuivre, est largement vitré, y compris en toiture, de façon à ce que les baigneurs aient l'impression de se trouver en extérieur, même lorsque l'hiver est rude. Sa volumétrie consiste en un parallélépipède rectangle dont l'extrémité arrondie accueille un sauna. Les murs et le sol en marbre Bottciono sont surplombés d'un plafond graphique en fibre de verre dont les qualités acoustiques permettent aux plus jeunes de profiter de l'eau sans troubler la tranquillité des parents. Le clou de cet ensemble est sa piscine tout en longeur, bordée de feuilles de quartzite Azul Macauba agrémentée de deux toboggans symétriques en tire-bouchon en fibre de verre et résine, telle une sculpture abstraite. Un cadre dans lequel chacun de nous rêverait de pouvoir piquer une tête ! Pour en savoir plus, visitez le site de Rafael de Cárdenas Photographies : DR Rafael de Cárdenas
Il y a 7 ans et 187 jours

Jasper Léonard : New York Resized

" La grosse pomme ", " la ville qui ne dort jamais "... Tant de périphrases pour désigner la grandeur de la métropole américaine aux multiples gratte-ciels. Grâce à des effets de focus, le photographe belge Jasper Léonard se joue de ce gigantisme et des rapports d'échelle, dans un livre sorti le 20 novembre dernier, New York Resized. Et si, pour une fois, vous dominiez la côte est des États-Unis ? Si la mention de l'effet " Tilt-shift " ne vous est pas familière, elle l'est pourtant pour tous les utilisateurs du filtre éponyme d'Instagram. Le " Tilt-shift ", soit " décalage d'inclinaison " en français, désign l'effet consistant à de ne flouter que l'arrière-plan d'un cliché, renforçant ainsi l'effet de perspective, tout en renforçant l'importance majeure de ce qui se trouve au premier plan. Cette technique agissant sur la mise au point, réalisée grâce à l'association d'un boîtier de caméra sans miroir avec un objectif dépareillé, permet à l'artiste de capturer des scènes de la vie quotidienne de Big Apple avec un point de vue fantasmé : celui d'un géant. " Nos cerveaux savent que ce genre de flou est un signal que l'échelle est probablement petite. " Jasper Léonard, photographe Ses prises de vues aériennes qui semblent capturer des maquettes et non d'authentiques rues de NYC sont accompagnées de citations de New Yorkais emblématiques, comme la journaliste Alister Cooke ou la chanteuse Lana Del Rey. Et bien que l'"il de Léonard ait également appliqué ce même traitement à sa/ses toile(s) de la ville d'Anvers (Belgique), la technique semble avoir été imaginée spécialement pour être expérimentée sur la ville qui ne dort jamais. De quoi redécouvrir Manhattan, Brooklyn ou le Queens dans un ouvrage qui, à l'approche de Noël, saura trouver sa place sous le sapin du Rockfeller Center. Pour en savoir plus, visitez le site de Jasper Léonard Photographies : Jasper Léonard
Il y a 7 ans et 196 jours

Destruction de graffitis : un jury donne raison aux artistes lésés

Des artistes à l'origine de célèbres graffitis new-yorkais, qui s'estimaient lésés par la destruction de leurs oeuvres, ont obtenu gain de cause lors d'un procès au civil, ce qui pourrait leur valoir des milliers de dollars de dédommagement.
Il y a 7 ans et 203 jours

Jean-Paul Viguier, fondateur de l'agence Jean-Paul Viguier et Associés

Jean-Paul Viguier est un architecte et urbaniste dont l'agence "Jean-Paul Viguier et Associés, Architecture et Urbanisme" a réalisé un chiffre d'affaires de 8,7 millions d'euros en 2016. Basée à Paris, elle emploie une centaine de collaborateurs et possède des bureaux à Londres et New-York.
Il y a 7 ans et 206 jours

Les époques et les humeurs de Murat Tabanlioglu

  L'agence de design et d'architecture Tabanlioglu Architects, reconnue internationalement, avec des bureaux à New York, Dubai et Londres, expose actuellement ses travaux réalisés à travers la planète, à l'Architekturgalerie München de Munich, en Allemagne, jusqu'au 11 novembre.
Il y a 7 ans et 220 jours

Événement : Shiro Kuramata à la Galerie Wauthier

La toute jeune galerie Wauthier " ouverte en juillet 2017 ", en plein c"ur du Marais à Paris (3e) accueille une rétrospective dédiée au travail du designer japonais Shiro Kuramata. Rassemblant une vingtaine d'"uvres, l'exposition, à découvrir jusqu'au 30 décembre 2017, témoigne de l'univers poétique de l'ancien membre du groupe Memphis. Proche du designer italien Ettore Sottsass, fondateur du groupe Memphis en 1980 à Milan, Shiro Kuramata réalise des objets élégants, marqués par des influences diverses telles que le Bahaus ou le design nippon caractérisé par l'épure. Un style qui a notamment attiré l'attention du MoMA de New York (USA) ou encore du Centre Pompidou de Paris (4e), intégrant certaines des réalisations de Kuramata à leur prestigieuse collection permanente. " Les créations de Kuramata restent en suspens dans un état de flottement ésotérique, mais elles sont en même temps remplies de vie et de sensualité. " Matthias Dietz et Michael Mönninger, critiques d'art et de design Au-delà de leur fonctionnalité, les éléments de mobilier imaginés par le designer " telle que la série de fauteuils How High The Moon ", bénéficient d'une esthétique aérienne et raffinée. Le corpus présenté à la galerie Wauthier devient ainsi une ode à la poésie, une invitation à la rêverie. Entre pièces rares et "uvres mondialement connues " comme Sealing of Roses, bloc de plexiglas renfermant deux roses intactes, réalisé en 1989 ", la rétrospective permet de redécouvrir le travail minimaliste de Kuramata. Une manifestation qui ravira les amoureux de la discipline et de son disciple. Shiro Kuramata, jusqu'au 30 décembre à la galerie Wauthier, Paris (3e). Pour en savoir plus, visitez le site de Shiro Kuramata Photographies : DR Galerie Wauthier
Il y a 7 ans et 220 jours

Événement : Shiro Kuramata à la Galerie Wauthier

La toute jeune galerie Wauthier " ouverte en juillet 2017 ", située en plein c"ur du Marais à Paris (3e) accueille une rétrospective dédiée au travail du designer japonais Shiro Kuramata. Rassemblant une vingtaine d'"uvres, l'exposition, à découvrir jusqu'au 30 décembre 2017, témoigne de l'univers poétique de l'ancien membre du groupe Memphis. Proche du designer italien Ettore Sottsass, fondateur du groupe Memphis en 1980 à Milan, Shiro Kuramata réalise des objets élégants, caractérisés par des influences diverses. Un style situé entre Bahaus occidental et épuration nippone qui a attiré notamment l'attention du MoMA à New York (USA) ou encore du Centre Pompidou de Paris (4e), qui ont intégré certaines de ses réalisations dans leur prestigieuse collection permanente. " Les créations de Kuramata restent en suspens dans un état de flottement ésotérique, mais elles sont en même temps remplies de vie et de sensualité. " Matthias Dietz et Michael Mönninger, critiques d'art et de design Au-delà de leur fonctionnalité, les éléments de mobilier " que la série de fauteuils How High The Moon ", imaginés par le designer bénéficient d'une esthétique aérienne et raffinée et le corpus présenté à la galerie Wauthier devient ainsi une ode à la poésie, une invitation à la rêverie. Entre "uvres mondialement connues " comme Sealing of Roses, bloc de plexiglas renfermant deux roses intactes réalisé en 1989 ", et pièces rares, la rétrospective permet de redécouvrir le travail minimaliste de Kuramata. Une manifestation qui ravira les amoureux de la discipline désireux de connaître le travail du créateur japonais d'un nouvel "il. Shiro Kuramata, jusqu'au 30 décembre à la galerie Wauthier, Paris (3e). Pour en savoir plus, visitez le site de Shiro Kuramata Photographies : DR Galerie Wauthier
Il y a 7 ans et 223 jours

A New-York, Morphosis Architects réalise un édifice innovant

  Un de plus, car le nombre de projets signés Morphosis et plaçant l’innovation sur un piédestal est multiple. Il s’agit cette fois-ci du « Bloomberg Center », un équipement académique situé dans le nouveau campus de l’université des sciences appliquées.  
Il y a 7 ans et 228 jours

Rencontre avec : India Mahdavi

  Du Moyen-Orient dont elle est originaire, à Paris où elle réside, l'insaisissable architecte et designer India Mahdavi, s'est confiée à Muuuz sur sa pratique du métier, si singulière, unique ; et sur sa production éclectique, à l'image d'une artiste voguant de continent en continent aux grés des vents. Muuuz : Aucune de vos réalisations ne ressemble à une autre, pourtant, lorsque l'on observe l'ensemble de votre travail, un style unique se dessine. Comment définiriez-vous votre patte ?India Mahdavi : Pop, polychrome, polyglotte.  Vous entretenez un rapport fort à la couleur et vous situez à mille lieux des intérieurs épurés qui ont le vent en poupe. Comment travaillez-vous ce " matériau " et pourquoi ce parti pris ?La couleur est pour moi un langage, une forme d'expression. Elle est liée à mon enfance, à toutes les villes où j'ai vécu, de Cambridge Massachussets (USA), à Vence (06) dans le Sud de la France. Je pense, je vis en couleur. " Ce n'est pas un parti pris, c'est un point de vue, un point de vie. " India Mahdavi, architecte et designer Vous êtes née à Téhéran (Iran) d'un père iranien et d'une mère égyptienne, vous avez vécu à Cambridge (USA), à Heidelberg (Allemagne), à Vence (06) et à Paris, étudié à New York " Cooper Union, School of Visual Arts et Parson Academy. Comment toutes ces influences impactent-elles votre processus créatif et de quelle(s) manière(s) les retrouvent-ont dans votre travail ?Toutes ces influences m'ont nourrie, elles m'ont construite. Mes créations s'en ressentent, sans doute, parce que cette enfance nomade a fait que j'ai toujours aimé inventer des moments, comme on raconte des histoires. J'étais celle qui venait d'ailleurs, et finalement j'ai appris dans l'exil des leçons qu'on n'apprenait pas à l'école : une certaine manière de considérer la vie comme une récréation permanente. D'où ces espaces libres, ces formes colorées, rondes, protectrices et joyeuses, je pense bien sûr à ces meubles, ces objets conçus comme des familles, les Bishop ou les Bluff, qui s'assemblent, se placent et correspondent les uns aux autres. Concernant le Moyen-Orient, vous étiez membre du comité de sélection de la première édition de la Beirut Design Fair. Quel rôle pensez-vous que cette région a à jouer dans la scène mondiale du design et de l'architecture ?Je pense sincèrement que cette région a un rôle à jouer pour le futur. Parce que l'attachement à la terre, à la lumière, à des gestes ancestraux, y cohabite avec les technologies les plus poussées. La tradition peut se réinventer sans se parodier, elle est nourrie par la mémoire populaire, et par le fait qu'elle se transmet, de génération en génération, autour de l'art de vivre notamment. En Orient, on sait encore recevoir. On sait encore vous dire " Soyez le bienvenu ". Quelles créations vous ont le plus marquée lors de cet événement ?Le travail d'Anastasia Nysten qui a remporté le Talent Award pour sa Troll Chair, parce qu'elle exprime la générosité de l'Orient et qu'elle a su réinterpréter un pouf, cet objet a priori un peu mou et nonchalant auquel elle a su donner une structure.  Comment imaginez-vous le design et l'architecture d'intérieur de demain ?J'imagine que la réalité augmentée coïncidera avec des expériences singulières, liées à des émotions, des rencontres, des désirs, à un savoir-faire, à tout ce qui peut résister à la standardisation des lieux, des comportements. L'architecture, comme le design, sont d'abord des réponses sensibles, humanistes, à des questions, irréductibles au formatage et au lissage. Pour en savoir plus, visitez le site d'India Mahdavi Photographies :1) Portrait d'India Mahdavi © Paolo Roversi2) The sketch, Londres (Royaume-Uni) © Rob Whitrow3 et 6) True Velvet, Pierre Frey © DR4) Bishop © DR5) Bluff © DR7) Valentino, Londres (Royaume-Uni) © courtesy of REDValntino8) Ladurée, Genève (Suisse) © Julian9) Ladurée, Genève (Suisse) © Annik Wetter10) Ladurée, Genève (Suisse) © Julian Schlosser - Taka production8) Troll, Anastasia Nysten © DR
Il y a 7 ans et 229 jours

ARTE : Collection Architectures

Présents depuis 1996 sur nos petits écrans, la collection Architectures de la chaîne franco-allemande Arte est une série de documentaires initiée par le producteur Richard Copans, et l'auteur et réalisateur Stan Neumann. Ce format court et monothématique d'une vingtaine de minutes, axé sur une réalisation architecturale iconique, revient cette année avec de nouveaux épisodes à visionner les 22 et 29 octobre. Avec plus de 60 films répartis en onze coffrets DVD, Architectures traverse le temps avec des enquêtes toujours plus approfondies sur des bâtiments emblématiques, dévoilant ainsi le moindre de leurs petits secrets. Après avoir abordé lors de la dernière saison Roissy 1 ou encore la Maison d'hôtes Wan Shan à Hangzhou (Chine), le programme s'attaque désormais à quatre projets éclectiques répartis à travers le monde et les époques : la Prison de la Santé à Paris (14e), réalisée par Joseph Auguste Émile Vaudremer en 1867 ; la Green School de Bali (Indonésie) livrée en 2008 par John et Cynthia Hardy ; la Médiacité à Liège (Belgique) signée Ron Arad et la Bibliothèque d'Exter de Louis Kahn située dans le New Hampshire (États-Unis). Si les deux premiers sujets ont déjà été diffusés, il est encore temps de se rattraper le 22 octobre pour découvrir les dessous du complexe commercial belge caractérisé par sa toiture monumentale largement vitrée ; puis, la semaine suivante, l'ensemble monumental et géométrique des rayonnages américains, l'un des derniers chefs d'"uvre de Louis Kahn, célèbre architecte new-yorkais d'origine estonienne décédé il y a près de 50 ans. Qui a dit que femme du dimanche matin ne pouvait pas rimer avec culture et architecture ?   Architectures, les 22 et 29 octobre à 11h15 sur Arte. Pour en savoir plus, visitez le site d'Arte Photographies : Richard Copans1) Bibliothèque, Exter (États-Unis), Louis Kahn2) Green School, Bali (Indonésie), John et Cynthia Hardy3) Prison de la Santé, Paris (14e), Joseph Auguste Émile Vaudremer4) Médiacité, Liège (Belgique), Ron Arad
Il y a 7 ans et 231 jours

Événement : LafargeHolcim Awards

Tous les deux ans, la fondation LafargeHolcim remet une série de prix internationaux à des projets mêlant architecture, urbanisme et paysage, réunis sous la bannière du développement durable. Il y a quelques semaines, c'était au tour des lauréats de la zone Europe de recevoir leur précieuse récompense, à l'occasion d'une cérémonie organisée à Marseille (13)... au Mucem, pardi ! La fondation LafargeHolcim est née en 2003 d'un constat de l'entreprise cimentière : le rôle fondamental de l'architecture, de l'ingénierie, de l'urbanisme et de l'industrie du BTP, dans la construction d'un monde durable est souvent mésestimé. Pour encourager les talents de demain à emprunter la voie de l'écologie, l'institution a ainsi créé un prix, qui récompense depuis 2005 des concepts et projets exemplaires, au travers de trois catégories " LafargeHolcim Award, Acknowledgement et Next Generation ", et de leurs trois médailles " or, argent et bronze. Nouveauté de cette édition 2017-2018 : la section Building Better Recognition, couronnant un bâtiment distingué lors d'une précédente édition, qui a depuis été bâti et a prouvé qu'il méritait l'obtention du précieux sésame. Une variété de récompenses à l'image de la diversité de sujets et programmes abordés. Les cinq critères de l'organisation pour remettre ces distinctions : le progrès, l'intégration au contexte, l'humain, les performances environnementales et la prospérité économique.La compétition se déroule en deux étapes. Un premier round " régional ", par zone géographique (Europe, Amérique du nord, Amérique latine, Asie Pacifique et Moyen-Orient Afrique ; puis un second, mondial, le Global LafargeHolcim Award, qui élit parmi les lauréats arrivés en tête de la première phase, les trois que les organisateurs estiment être les meilleurs. Au total, de par le monde, plus de 5 000 candidatures ont été reçues à l'occasion de ce cinquième opus de l'événement. Elles ont minutieusement été étudiées par un jury pluridisciplinaire dont les membres ont été choisis par le Conseil de la fondation, représenté par Marc Angélil, professeur d'architecture et de design à l'ETH de Zurich. " La culture de la discussion diffère d'un jury à l'autre. Mais les choses qu'ils ont tous en commun m'impressionnent énormément. Les ressemblances sont plus grandes que les différences. " Marc Angélil, professeur d'architecture et de design à l'ETH de Zurich et membre du Conseil de la Fondation LafargeHolcim Le décor général étant planté, revenons-en à la zone géographique qui est la nôtre : l'Europe. Cette année, douze candidatures émanant du Vieux continent ont été primées, avec une mention spéciale pour l'immeuble Lieu de vie, couronné en 2014 d'un Holcim Awards argent (lors de sa phase de conception), et qui reçoit cette année le Building Better Recognition Europe pour une exécution qui a depuis tenu toutes ses promesses. Cette réalisation modèle de plus de 4 000 mètres carrés mixe divers programmes " espaces sportifs, un restaurant et une cafétéria ", superposés et subtilement imbriqués, dans un mélange d'ouverture et de fermeture, de surfaces intérieures et d'extérieures. L'unité architecturale et la compacité de la construction " en béton, bien entendu ", camoufle des activités hétéroclites entremêlées avec des espaces publics disposés de manière verticale sur cinq niveaux : une place piétonne, des terrasses et une aire de parking et de livraison. Les circulations sont ici un prolongement de la rue et mènent jusqu'à un toit-terrasse hébergeant un terrain de basket, pour une mixité d'usages et d'usagers. " Un bâtiment minimaliste qui répond à un budget qui l'est tout autant ", conclue son concepteur, l'architecte français Gilles Delalex, de l'agence Muoto. Outre la France, la Belgique a été mise à l'honneur avec deux projets bruxellois qui ont reçu ex-aequo la médaille d'or du Holcim Award Europe. Le premier, Mix-city, mêle deux typologies qui sont en général peu associées : logement et manufacture. Son ambition : transformer une usine de béton en centre de vie car pour ses concepteurs " une bonne ville a une industrie ". L'équipe a ici répondu à la demande très simple de la Commune : qu'au bruit, à la poussière et aux flux générés par l'activité succède un équipement à valeur ajoutée pour la ville. Pour cela, BC architects and studies a imaginé une dalle surélevée, permettant de couvrir et restreindre ces principales nuisances, tout en transformant le lieu un espace public, à l'abri du trafic routier.Le second projet bruxellois, Logistic Frameworks, dessiné par TETRA architecten, s'intéressait quant à lui à un centre de tri proche du Canal, au nord de la capitale, que les maîtres d'"uvre proposent, autour d'un large patio planté, d'ouvrir à de nouveaux usages : bureaux, ateliers et espace de coworking, afin de redynamiser cette zone en devenir. Le prix Next Generation Europe, destiné à encourager les jeunes pousses du domaine, a cette année été remis à la Polonaise Margorzata Mader pour sa reconversion d'une usine en immeuble de logement, dans la ville de Lodz (Pologne), largement touchée par la désindustrialisation. L'Acknoledgement Prize Europe revient pour sa part à l'Asociatia Culturala Grivita 53, Codrin Tritescu et Architect Office Codrin Tritescu, pour leur projet de théâtre communautaire et l'impulsion culturelle majeure qu'il propose pour la bourgade. Il s'agit en effet du premier édifice de ce type construit dans la ville depuis 1946. Une promotion 2017-2018 pleine d'avenir, dont certains lauréats recevront peut-être à leur tour un Prix Building Better Recognition lors d'une prochaine édition, s'ils ont la chance de voir leur concept devenir réalité.Pour tous ceux qui souhaiteraient mettre leur pierre à l'édifice, et qui ont la ferme volonté de faire tourner leurs méninges comme des toupies à béton, l'appel à candidatures sera lancé dès la mi-2019. Pour en savoir plus, visitez le site de la Fondation LafargeHolcim Photographies :01) Lieu de vie, Muoto, Saclay (France), LafargeHolcim Award Europe 2014 et LafargeHolcim Award for Better Building Recognition Europe 201703) Post-War collective, Milinda Pathiraja et Ganga Ratnayake, Ambepussa (Sri Lanka), Silver Global LafargeHolcim Award 201504) PS1, David Benjamin, New-York (USA), Bronze LafargeHolcim Award North America 201402 et 05) Mix-City, BC architects and studies, Bruxelles (Belgique), Gold LafargeHolcim Award Europe ex-aequo 201706) Logistics Framework, TETRA architecten, Bruxelles (Belgique), Gold LafargeHolcim Award Europe ex-aequo 201707) Ecommunity, Malgorzata Mader, Lodz (Pologne), Next Generation LafargeHolcim Award Europe 2017
Il y a 7 ans et 238 jours

Spectaculaire démolition d'un pont par explosifs à New York

Il n'a fallu que quelques secondes pour abattre les vestiges métalliques d'un pont autoroutier qui reliait Brooklyn au Queens. Découvrez la vidéo impressionnante de cette maîtrise des explosifs et de la gravité.
Il y a 7 ans et 255 jours

Un quintuplex news-yorkais mis en vente à prix d'or

Un quintuplex a été mis en vente, dans le sud de Manhattan, à New-York. Il pourrait devenir, en cas de transaction conclue, l'appartement le plus cher de l'histoire de la ville.
Il y a 7 ans et 257 jours

Rencontre avec : BIG

À l'occasion de la présentation à la presse de son biopic, la rédaction de Muuuz rencontrait le jeune prodige Bjarke Ingels sur ses terres, à Copenhague (Danemark), dans les impressionnants locaux de son agence, BIG, qui compte dorénavant plus de 450 collaborateurs répartis entre la capitale danoise, New York et Londres. Un parcours sans faute pour celui qui, à la base, ne souhaitait même pas être architecte mais dessinateur de BD. Muuuz : Vous arrivez tout juste de l'aéroport. Que cela vous fait-il de savoir qu'une des premières choses que les gens voient de Copenhague depuis les airs est votre bâtiment 8-tallet ?Bjarke Ingels : C'est une façon plutôt sympathique d'être accueilli ! En fonction de la direction par laquelle vous arrivez, vous pourrez aussi bientôt voir une piste de ski installée sur le toit du Amager Resource Center, future station de traitement des déchets de Copenhague [située à deux pas de l'Opéra, il sera le bâtiment le plus haut de la capitale, ndlr]. C'est assez drôle de se dire que d'un côté il y aura le palais de la Reine, et en face une piste de ski ! Comment l'idée d'un biopic vous est-elle venue ?L'histoire commence en 2009. Le réalisateur du film, Kaspar Astrup, tournait à l'époque My playground, dans lequel il suivait les freerunners de Parkour, qui utilisaient comme terrain de jeux The Mountain, l'immeuble d'habitation que nous avons conçu avec Julien de Smedt. C'était il y a 7 ans ! Au même moment, je me demandais comment intéresser les néophytes à l'architecture, car c'est rare d'arriver à capter leur attention sur le sujet, ou quand cela fonctionne c'est parce qu'ils trouvent un bâtiment moche ! Pour y arriver, je me suis donc dit qu'il fallait aborder le film comme une fiction, et non un documentaire. Cela a été le point de départ des 7 ans de tournage de BIG TIME ! Qu'est-ce cela fait d'être suivi aussi longtemps par un réalisateur ?Kaspar est devenu un ami. Du coup, être suivi par lui n'a rien à voir avec le fait de l'être par une équipe inconnue. Et il n'était pas tout le temps là. Par exemple, quand j'ai déménagé aux États-Unis, il n'y avait que moi et un de mes associés, qui est également un ami. Maintenant il y a 200 personnes ! BIG TIME ne montre pas tout ce qui s'est passé entre-temps, on a l'impression qu'on s'est contentés de prendre un avion et que tout cela s'est fait facilement... Avez-vous demandé à effectuer des coupes dans le film ?On a fait quelques ajustements pour se concentrer un peu plus sur le contexte. Quand j'ai vu le montage final, j'ai été surpris de voir que c'était aussi une histoire d'amour. À la fin du film, on se dit " Bjarke a trouvé l'amour " ! Selon vous, le film parle de vous en tant qu'homme ou qu'architecte ? Qui de BIG ou de Bjarke...Je dirais que c'est avant tout une histoire sur moi, en tant que personne. Ce serait pour moi un succès de savoir que les spectateurs ont ressenti de l'émotion, de la sympathie ou de l'empathie pour le personnage principal que j'incarne, tout en s'intéressant à l'architecture et à son impact sur la vie de tous les jours. Dans le film Storytelling, de Todd Solondz, un professeur d'écriture dit " peu importe ce qui s'est passé, dès que tu commences à écrire, tout devient une fiction ". Dans ce sens, ce qui arrive dans BIG TIME a beau parler de moi, il s'agit au final d'une fiction. Construire fait aussi appel à cet aspect narratif, car vous pouvez imaginer ce que vous voulez, mais le résultat peut être complètement différent. La maison de vos parents que l'on voit dans le film, de style moderne, a-t-elle influencé votre travail ?J'ai une théorie : je pense que les petits sont bien plus modernes que les grands. Dans les films de James Bond que je regardais, le méchant vivait toujours dans une maison avec terrasse, lignes géométriques et vitrage partout, je trouvais cela vraiment cool ! Puis à l'école, j'ai appris à aimer autre chose. Pourquoi ne dessinez-vous pas de maisons ?Je pense que c'est beaucoup de travail de concevoir des maisons privées. On a réalisé un ensemble de quatre maisons au nord du Danemark. Chacune d'elles est différente, comme un portrait des gens qui vont y vivre. Plus ils ont une façon de vivre hors normes, plus c'est excitant ! Avant de commencer, on s'est assuré que les propriétaires souhaitaient réaliser un projet extraordinaire. Car pour un projet comme celui-là vous dépensez tellement d'énergie ! Pour que ce soit pertinent, c'est comme un film : celui auquel il se destine doit être émotionnellement investi. Qu'est-ce que cela vous fait, à seulement 40 ans, d'avoir été choisi pour construire sur un site comme Ground Zero ?C'est un honneur incroyable. On a l'impression d'être l'acteur de son propre film...Je me rappelle très bien le jour où les tours ont été détruites. À l'époque je venais de monter ma première agence, PLOT, avec Julien de Smet. On était en train de peindre nos premiers locaux. Notre stagiaire nous a avertis. On est restés scotchés. On regardait cela, abasourdis, et là, la seconde tour a été touchée. On prend alors conscience que tout peut un jour disparaître. Tout cela semblait invraisemblable ; avoir été choisi, 15 ans plus tard, pour construire une des tours de ce site l'est encore plus. J'ai appris cela alors que je venais de monter une antenne new-yorkaise. C'est comme si la boucle était bouclée, comme quand on prend conscience à la fin d'une séance de cinéma de l'importance de première scène... Après une telle carrière, y a-t-il des projets pour lesquels vous seriez prêts à tuer ?Commettre un meurtre ?! Oh non, je n'irais jamais jusque-là ! BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes ; un article à découvrir sur Muuuz Pour en savoir plus, visitez le site de BIG Photographies :1) © Steve Benisty2) Amager Resource Center © BIG - Bjarke Ingels Group-MIR3) The Mountain, PLOT = BIG + JDS4-6) BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes7) © Jonas Bie8) © KT Auleta9) 8-Tallet © Dragor Luftfoto10-12) 8-Tallet © Jens Lindhe13-16) Amager Resource Center © BIG - Bjarke Ingels Group-MIR17) Serpentine Pavilion 2016
Il y a 7 ans et 257 jours

Rencontre avec : BIG

À l'occasion de la présentation à la presse de son biopic, la rédaction de Muuuz rencontrait le jeune prodige Bjarke Ingels sur ses terres, à Copenhague (Danemark), dans les impressionnants locaux de son agence, BIG, qui compte dorénavant plus de 450 collaborateurs répartis entre la capitale danoise, New York et Londres. Un parcours sans faute pour celui qui, à la base, ne souhaitait même pas être architecte mais dessinateur de BD. Muuuz : Vous arrivez tout juste de l'aéroport. Que cela vous fait-il de savoir qu'une des premières choses que les gens voient de Copenhague depuis les airs est votre bâtiment 8-Tallet ?Bjarke Ingels : C'est une façon plutôt sympathique d'être accueilli ! En fonction de la direction par laquelle vous arrivez, vous pourrez aussi bientôt voir une piste de ski installée sur le toit du Amager Resource Center, future station de traitement des déchets de Copenhague [située à deux pas de l'Opéra, il sera le bâtiment le plus haut de la capitale, ndlr]. C'est assez drôle de se dire que d'un côté il y aura le palais de la Reine, et en face une piste de ski ! Comment l'idée d'un biopic vous est-elle venue ?L'histoire commence en 2009. Le réalisateur du film, Kaspar Astrup, tournait à l'époque My playground, dans lequel il suivait les freerunners de Parkour, qui utilisaient comme terrain de jeux The Mountain, l'immeuble d'habitation que nous avons conçu avec Julien de Smedt. C'était il y a 7 ans ! Au même moment, je me demandais comment intéresser les néophytes à l'architecture, car c'est rare d'arriver à capter leur attention sur le sujet, ou quand cela fonctionne c'est parce qu'ils trouvent un bâtiment moche ! Pour cela, je me suis dit qu'il fallait aborder le film comme une fiction, et non un documentaire. Cela a été le point de départ des 7 ans de tournage de BIG TIME. Qu'est-ce cela fait d'être suivi aussi longtemps par un réalisateur ?Kaspar est devenu un ami. Du coup, être suivi par lui n'a rien à voir avec le fait de l'être par une équipe inconnue. Et il n'était pas tout le temps là. Par exemple, quand j'ai déménagé aux États-Unis, il n'y avait que moi et un de mes associés, qui est également un ami. Maintenant il y a 200 personnes ! BIG TIME ne montre pas tout ce qui s'est passé entre-temps, on a l'impression qu'on s'est contentés de prendre un avion et que tout cela s'est fait facilement... Avez-vous demandé à effectuer des coupes dans le film ?On a fait quelques ajustements pour se concentrer un peu plus sur le contexte. Quand j'ai vu le montage final, j'ai été surpris de voir que c'était aussi une histoire d'amour. À la fin du film, on se dit " Bjarke a trouvé l'amour " ! Selon vous, le film parle de vous en tant qu'homme ou qu'architecte ? Qui de BIG ou de Bjarke...Je dirais que c'est avant tout une histoire sur moi, en tant que personne. Ce serait pour moi un succès de savoir que les spectateurs ont ressenti de l'émotion, de la sympathie ou de l'empathie pour le personnage principal que j'incarne, tout en s'intéressant à l'architecture et à son impact sur la vie de tous les jours. Dans le film Storytelling, de Todd Solondz, un professeur d'écriture dit " peu importe ce qui s'est passé, dès que tu commences à écrire, tout devient une fiction ". Dans ce sens, ce qui arrive dans BIG TIME a beau parler de moi, il s'agit au final d'une fiction. Construire fait aussi appel à cet aspect narratif, car vous pouvez imaginer ce que vous voulez, mais le résultat peut être complètement différent. La maison de vos parents que l'on voit dans le film, de style moderne, a-t-elle influencé votre travail ?J'ai une théorie : je pense que les petits sont bien plus modernes que les grands. Dans les films de James Bond que je regardais, le méchant vivait toujours dans une maison avec terrasse, lignes géométriques et vitrage partout, je trouvais cela vraiment cool ! Puis à l'école, j'ai appris à aimer autre chose. À ce sujet, pourquoi ne dessinez-vous pas de maisons ?Je pense que c'est beaucoup de travail de concevoir des maisons privées. On a réalisé un ensemble de quatre habitations au nord du Danemark. Chacune d'elles est différente, comme un portrait des gens qui vont y résider. Plus ils ont une façon de vivre hors normes, plus c'est excitant ! Avant de commencer, on s'est assuré que les propriétaires souhaitaient réaliser quelque chose d'extraordinaire. Car pour un projet comme celui-là vous dépensez tellement d'énergie ! Pour que ce soit pertinent, c'est comme un film : celui auquel il se destine doit être émotionnellement investi. Qu'est-ce que cela vous fait, à seulement 40 ans, d'avoir été choisi pour construire sur un site comme Ground Zero ?C'est un honneur incroyable. On a l'impression d'être l'acteur de son propre film...Je me rappelle très bien le jour où les tours ont été détruites. À l'époque je venais de monter ma première agence, PLOT, avec Julien de Smedt. On était en train de peindre nos premiers locaux. Notre stagiaire nous a avertis. On est restés scotchés. On regardait cela, abasourdis, et là, la seconde tour a été touchée. On prend alors conscience que tout peut un jour disparaître. Tout cela semblait invraisemblable ; avoir été choisi, 15 ans plus tard, pour construire une des tours de ce site l'est encore plus. J'ai appris cela alors que je venais de monter une antenne new-yorkaise. C'est comme si la boucle était bouclée, comme quand on prend conscience à la fin d'une séance de cinéma de l'importance de première scène... Après une telle carrière, y a-t-il des projets pour lesquels vous seriez prêts à tuer ?Commettre un meurtre ?! Oh non, je n'irais jamais jusque-là ! BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes ; un article à découvrir sur Muuuz Pour en savoir plus, visitez le site de BIG Photographies :1) © Steve Benisty2) Amager Resource Center © Julien Lanoo3) The Mountain, PLOT = BIG + JDS © Iwan Baan4-6) BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes7) © Jonas Bie8) © KT Auleta9) 8-Tallet © Dragor Luftfoto10-12) 8-Tallet © Jens Lindhe13) Amager Resource Center © Julien Lanoo14-17) Amager Resource Center © BIG - Bjarke Ingels Group & MIR18-19) Superkilen © Iwan Baan20) Serpentine Pavilion 2016
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