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Résultats de recherche pour ouvriers

(800 résultats)
Il y a 5 ans et 62 jours

Chez Calcia, les ouvriers ne veulent pas revenir travailler

Une partie des salariés du cimentier dénonce un « non-respect du confinement » et « des conditions de travail insuffisantes », alors que les usines de production reprennent progressivement leur activité dans toute la France.
Il y a 5 ans et 73 jours

La charpente en béton de la cathédrale de Reims

Etat des combles au-dessus de la nef après l’incendie. [©Collection LRMH] Etat du chœur et du maître-autel après l’incendie. [©DR] Le 19 septembre 1914, les obus allemands tombent sur la cathédrale Notre-Dame de Reims. A 15 h, un incendie se déclare au niveau d’un échafaudage en bois monté sur la tour Nord en cours de restauration. A 15h30, la toiture prend feu à son tour. A 16 h, la grande Rose éclate, des flammes tombent sur de la paille stockée à l’intérieur. L’édifice n’est plus qu’un brasier. A 20h, l’incendie cesse. La toiture, la charpente, les cloches, les vitraux, le mobilier, le statuaire, les boiseries… Tout est détruit ou presque. Seul le gros œuvre de pierre a résisté en partie. C’est le terme de “reconstruction” qui sera employé, plus tard, pour décrire l’ampleur des travaux. Tant certaines parties irrécupérables devront être rebâties à l’identique. Oublier le chêne Dès 1915, Henri Deneux est nommé architecte en chef de la cathédrale. A la fin des hostilités, son premier travail constitue à inventorier et à classer les débris. Dans la foulée, on reconstitue les statues et les chapiteaux. Les murs et les voûtes sont réparés. Les contreforts et les arcs-boutants, dont certains avaient été touchés par des obus, sont consolidés et restaurés.  Couverture provisoire mise en place en 1920. [©Collection LRMH] Au tout début des années 1920, dans cette première période de restauration, Henri Deneux teste sur l’église Saint-Jacques de Reims, elle aussi très dégradée par les bombardements, un système de charpente, constitué de petits éléments en ciment armé et clavetés entre eux. Son idée est extrapolée d’une technique imaginée au XVIe siècle par l’architecte de la Renaissance, Philibert Delorme. Ce dernier avait mis au point une technique de charpente par petits éléments de bois normalisés et assemblés par des clavettes, également en bois. Henri Deneux conserve l’idée de ces dernières, mais remplace les éléments de bois par des pièces en ciment armé. Son procédé est décrit comme « un montage de planches en ciment, d’une section de 20 cm x 4 cm. D’un poids assez faible pour être manipulées par un ou deux ouvriers, sans aucun engin de levage. Et reliées entre elles par un système de mortaises ou d’entailles, de clefs en ciment et de clavettes en bois ». La mise en œuvre de ce procédé donne satisfaction sur l’église Saint-Jacques. Ce test positif encourage Henri Deneux à faire le grand saut. Et à envisager le même principe pour la nouvelle charpente de Notre-Dame de Reims. L’idée d’abandonner le bois est dictée d’une part, par la pénurie de bois nobles, de sections et de longueurs suffisantes. Et d’autre part, par les risques d’incendie d’une charpente en bois et les conséquences qui y sont liées. Il n’était pas non plus possible de réaliser une charpente en béton armé traditionnel. Les structures en pierre étant incompatibles avec les surcharges générées par un tel ouvrage. Deux ans de travaux Réalisation de la charpente en 1925. [©Collection LRMH] Détails d’assemblages au niveau de la nef. [©DR] La réalisation et la mise en œuvre de cette charpente innovante, préfabriquée en atelier, vont durer deux ans, de 1924 à 1926. Les compagnons recouvriront ensuite de plomb la toiture. Ils en profiteront pour rétablir sur la crête, les fleurs de lys qui avaient été supprimées à la Révolution. Le clocher à l’ange et le carillon sont reconstitués. La galerie haute de la nef est reconstruite conformément à l’origine, tout comme les vitraux. Tous ces travaux très coûteux n’auraient pas pu aboutir aussi rapidement sans un mécénat important, américain pour la plupart et particulièrement sans l’aide précieuse des familles Ford, Carnegie et Rockfeller. Henri Deneux, perçu à juste titre comme le sauveur de la cathédrale, est alors promu, pour l’ensemble de ses travaux, chevalier de la Légion d’honneur. Vues de la charpente sur clocher et nef. [©DR] La cathédrale est partiellement rendue au culte en 1927 et reconsacrée… en 1937. Ce sera le plus important chantier de restauration de l’entre-deux-guerres. Aujourd’hui encore, des campagnes de réfection très importantes s’achèvent, comme celle de la tour Nord. Et ce, afin de lui redonner tout son lustre. Ses reliefs et ses sculptures ayant été très endommagés par le funeste incendie du 19 septembre 1914.  Gérard Guérit
Il y a 5 ans et 78 jours

Coronavirus – Covid 19 : le chantier de Notre-Dame suspendu

Alors qu’onze mois ce sont écoulés depuis l’incendie ravageur de Notre-Dame de Paris ; c’est un nouveau coup dur qui apparaît. Après le plomb, la météo contraignante, c’est aujourd’hui le coronavirus qui met en pause le chantier de la cathédrale. Jean-Louis Georgelin, général d’armée et président de l’Etablissement public qui gère le chantier depuis novembre a décidé au vu du contexte actuel de ne pas continuer le chantier. Il s’agit de ne pas faire courir de risques aux ouvriers mobilisés sur le site. Alors que l’immense chantier qu’est la cathédrale de Notre-Dame avait débuté dans le but de permettre une reconstruction en cinq ans comme l’avait souhaité le président de la République, Emmanuel Macon. Ce nouveau contretemps vient retarder les délais au préalable fixés. En effet, la phase de démontage devait durer jusqu’au début de l’été. Phase cruciale qui permet de déclarer la cathédrale hors de danger. Aucune date de reprise du chantier n’a pour l’instant été annoncée compte tenu des incertitudes sur l’évolution de la pandémie.
Il y a 5 ans et 79 jours

Covid-19 : un protocole pour protéger les ouvriers sur les chantiers

Ministères et organisations professionnelles du BTP se sont accordés sur la nécessité de maintenir l’activité dans le secteur de la construction. Pour assurer des conditions de travail acceptables sur les chantiers malgré l'épidémie, un protocole sera élaboré d'ici le mardi 24 mars.
Il y a 5 ans et 80 jours

Le BTP confiné témoigne

Entrepreneurs, ouvriers, architectes, maîtres d'ouvrage,... Les acteurs du BTP racontent leur activité à l'heure du confinement.
Il y a 5 ans et 93 jours

Quand l'eau courante arrive enfin dans un village du Pas-de-Calais

Appuyée sur sa canne, Rose, 88 ans, observe les ouvriers installer les canalisations... qui lui apporteront l'eau courante, pour la première fois. A Sains-lès-Marquion (Pas-de-Calais), un des derniers villages de France non raccordés, l'époque des forages individuels -sans contrôle et sans facture- est bientôt révolue, au grand soulagement du maire.
Il y a 5 ans et 101 jours

Appli CPF: 136.000 formations déjà acceptées, dont deux tiers par des ouvriers et employés

Lancée il y a moins de trois mois, l'application "mon compte formation" a déjà donné lieu à 136.000 dossiers acceptés, dont les deux tiers par des ouvriers et des employés selon le ministère du Travail qui y voit "une démocratisation de la formation".
Il y a 5 ans et 123 jours

Vous effectuez des travaux chez vous ? Pensez à vous protéger.

Avant de vous lancer dans les travaux chez vous, peu importe lesquels, on vous conseille de vous protéger de toutes les manières possibles. Outre de vous familiariser avec les normes de rénovations en vigueur notamment, le port de tenues de chantier est obligatoire. La marque engelbert strauss, réputée pour la fabrication de vêtements et de chaussures de sécurité depuis 1948, peut vous en proposer plusieurs sortes. Pourquoi des chaussures de sécurité ? Les chaussures de sécurité sont imposées par les assureurs pour les artisans professionnels. C’est notamment une preuve de bonne foi, comme quoi vous avez pris toutes les précautions possibles afin d’éviter tout accident. Il s’agit de chaussure spécifique que vous devez porter sur n’importe quel chantier. Pour la fabrication de ce genre de chaussure, les marques ne s’attardent pas réellement au style, mais à la robustesse et l’étanchéité du modèle. Il y a des normes de fabrication à respecter. Une chaussure de sécurité, comme son nom l’indique, a pour but de vous assurer une totale sécurité sur les chantiers, peu importe les travaux à faire. Elle est étanche pour les travaux de rénovation en plomberie. Elle est épaisse pour vous protéger des jus en cas de travaux électriques. Elle peut aussi être le gage de votre confort et de votre liberté de mouvement sur le chantier. Elle est pourvue d’une semelle épaisse et antidérapante pour vous protéger des clous et autres dangers des lieux. Elle est aussi munie d’une coque de protection sur le sommet. Profitant notamment des nouvelles technologies, les nouveaux modèles de chaussure de chantier sont beaucoup plus légers que les anciennes grâces à une coque en aluminium. Enfin, la chaussure de sécurité vous permet d’avoir un certain style pendant toute la durée du chantier, tout en garantissant une protection optimale de vos pieds. Disponible en différents coloris et modèles, ce genre d’accessoire est prisé aussi bien par les bricoleurs du dimanche que les professionnels. Choisir le bon modèle de chaussure de sécurité Les chaussures de sécurité engelbert strauss peuvent se décliner en plusieurs sortes. De quoi vous aider notamment à personnaliser aussi votre style sur les chantiers. Vous avez notamment les accessoires classiques, imposants et modiques. Ils ont déjà fait leur preuve dans la sécurisation des ouvriers. Ce sont notamment les bottes de chantiers conseillés par les assurances pour les ouvriers professionnels afin de bien se protéger sur n’importe quel type de chantier. Mais pour les bricoleurs amateurs, il est possible aussi d’avoir un peu plus de style dans les tenues de chantier. Les grandes marques proposent à présent des baskets de chantier, beaucoup plus légères et design, et qui proposent le même niveau de sécurité. Se déclinant en plusieurs modèles, ce sont les nouvelles tendances du moment. Différentes pointures sont notamment proposées sur les sites dédiés. Des modèles beaucoup plus féminins sont proposés par les marques sur les sites de vente en ligne si besoin est. Les paires ne vous coûtent que quelques dizaines d’euros. Quand porter les chaussures de sécurité ? Vous devez enfiler vos chaussures de sécurité avant même de pénétrer sur le chantier. C’est valable pour tous les types de projets : rénovation plomberie, travaux d’emménagement, travaux de peintures, rénovation électriques, etc. Pour ce qui est des travaux de peinture notamment, les chaussures de sécurité servent surtout à vous éviter de tacher vos chaussures habituelles tout en vous assurant un certain confort pendant toute la durée du chantier. Confort et design, ce genre d’accessoires se porte aussi très bien dans la vie de tous les jours.
Il y a 5 ans et 123 jours

Un atelier de faïencerie du xviiie siècle exhumé à Rouen

Une équipe de l’Inrap intervient depuis fin septembre 2019 sur la rive gauche de la Seine à Rouen, à l’emplacement de l’ancien CFA Lanfry, dans le cadre d’un projet immobilier porté par le groupe Edouard Denis. Cette fouille permet d’étudier les vestiges d’une manufacture de faïence du XVIIIe siècle et de la filature qui lui a succédé au XIXe siècle. Dans les archives, peu d’indications sont fournies sur la faïencerie, en dehors de l’existence de deux fours, que les archéologues ont refait sortir de terre. Plutôt bien conservés, ces deux fours forment un ensemble solidaire, comprenant des parties souterraines – chambre de chauffe et alandier/foyer, ainsi que des pièces dites de service. Deux d’entre elles s’organisent autour des foyers et servent à leur entretien. Elles communiquent par des escaliers avec d’autres salles situées à l’arrière, destinées à la préparation des fournées. L’usure des revêtements de sol révèle le cheminement des ouvriers. Le bâtiment des fours dans sa totalité est estimé à 15 mètres de longueur sur 8,80 mètres de largeur ; de manière inattendue, les fours eux-mêmes sont aménagés directement au contact de la rue Saint-Julien. Diverses zones d’activité se dessinent à proximité des fours. Au nord, une vingtaine de fosses regorgent de matériel d’enfournement brisé, de morceaux de fours détériorés et de fragments de vaisselle, de vases, de fontaines murales, de jardinières et de bénitiers à différents stades de leur élaboration, certains portant déjà les décors peints. Au nord-ouest, une rangée de bacs, maçonnés ou simplement creusés dans le sable du sous-sol, sont enduits d’un revêtement blanc. Après leur abandon, ils sont comblés par des rebuts de fabrication. Au sud, les vestiges d’une maçonnerie circulaire indiquent l’emplacement probable d’un moulin à broyer les émaux. Sur le même alignement, un long bâtiment de plus de 20 mètres de longueur sur 6 mètres de largeur est divisé en quatre pièces ; l’une d’entre elles au moins livre un dépôt d’argile. Des bacs à argile ont été également retrouvés autour de ce bâtiment. Enfin à l’ouest, à la limite du jardin de la faïencerie, les archéologues ont identifié plusieurs fosses circulaires contenant des résidus argileux. Après la cessation d’activité du dernier faïencier en 1796, une filature est construite. Cet établissement est constitué d’un très grand atelier de près de 40 mètres sur 15 mètres, divisé en deux nefs par une ligne de piliers. S’y accolent des structures imposantes en calcaire destinées à servir de socle à de lourdes machines. Un bâtiment de plus petit gabarit est prolongé par une cave profonde et une autre plus modeste qui a servi de soute à charbon. Photo : La salle de préparation des fournées en cours de fouille, au premier plan la chambre de chauffe et l’alandier du four nord Paola Calderoni, Inrap Aménagement : Groupe Edouard Denis Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Normandie) Recherche archéologique : Inrap Responsable scientifique : Paola Caledroni, Inrap
Il y a 5 ans et 145 jours

Aux confins de la Corée du Nord, une ville nouvelle sort de terre

L'ensemble a des airs de tableau de Lowry, avec ces milliers d'ouvriers affairés. Ce n'est cependant pas l'Angleterre septentrionale du XXème siècle, mais la Corée du Nord d'aujourd'hui, et le chantier monumental de la ville de Samjiyon.
Il y a 5 ans et 186 jours

Deux ouvriers tués sur un chantier au Cambodge

Deux ouvriers sont morts et dix autres ont été grièvement blessés dans l'effondrement d'un réfectoire en construction dans un temple au Cambodge, a annoncé la police lundi, un nouvel accident mortel dans le secteur de la construction en essor mais mal réglementé.
Il y a 5 ans et 187 jours

Qatar : les ouvriers étrangers seraient victimes de discrimination

RAPPORT. D'après un travail réalisé par une experte indépendante de l'Onu, les ouvriers étrangers au Qatar sont toujours victimes de discriminations, même si quelques progrès sont effectués.
Il y a 5 ans et 194 jours

Sauvé des eaux ! Récit de chantier au fort de la Conchée

Œuvre majeure de Vauban, le fort de la Conchée protège Saint-Malo depuis le 17e siècle. Fortement touché par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale, l’association La compagnie du fort de la Conchée œuvre depuis 1988 à la restauration de la forteresse militaire. La trentième année de travaux a permis la restitution de l’entrée sud. Au milieu des eaux Difficile d’accès, isolé, le fort est soumis aux fortes mers et aux vents violents. « C’est un milieu marin, très corrosif, les matériaux sont soumis à rude épreuve, y compris les téléphones portables », explique Olivier Weets, Architecte en chef des Monuments historiques. Les faîtages et mortiers de scellement sont particulièrement sollicités. En cas de forte mer, les vagues atteignent la couverture du bâtiment, c’est pourquoi il faut bien veiller à la protection du chantier, protéger les arases par exemple pour éviter toute pénétration d’eau. Cette situation nécessite une logistique de chantier assez lourde. Les matériaux ainsi que l’eau sont acheminés par héliportage. « Tout est arrivé en une journée, raconte Benoît Rochard, cogérant de l’entreprise de couverture éponyme, les éléments de charpente ainsi que les ardoises spécialement conditionnées par petites palettes, l’hélicoptère ne pouvant porter que 600 kg à la fois. » Plus de vingt trajets ont donc été entrepris ce jour-là. Un chantier Monuments historiques Classé au titre des Monuments histo­riques depuis 1984, le fort est en partie restitué à partir de plans anciens du 18e siècle. Le logis a fait l’objet l’été dernier de travaux de maçonnerie, de sculpture, de charpente et de couverture. « Nous avons posé 80 m2 pour composer la nouvelle couverture du logis », déclare Benoît Rochard. « La qualité de l’ardoise doit être excellente, cette exigence est liée aux Monuments historiques, ajoute Olivier Weets, l’ardoise très épaisse, de 9 mm environ, est clouée sur volige avec des clous carrés et crantés. » Sur les versants de la toiture, des lucarnes ont été créées. La partie en abside, arrondie, est la plus technique à réaliser : couverture régulière, brouillée et taillée de biais, la précision est de rigueur pour allier esthétisme et efficacité de l’étanchéité. « C’est un chantier atypique et emblé­matique pour nous, Malouins, confie Benoît Rochard, c’est une grande fierté d’être intervenu sur le fort. » En cas de forte mer, les vagues atteignent la couverture du bâtiment. L’ardoise très épaisse, de 9 mm environ, est clouée sur volige avec des clous carrés et crantés.  ©Patrice Benoist  Des lucarnes ont été créées sur les versants de la toiture. ©Patrice Benoist  Des conditions de travail singulières Les deux couvreurs sont intervenus en juillet et en septembre : déposés par navette le lundi matin, ils travaillaient et vivaient au fort jusqu’au jeudi soir. Bernadette Benoist, membre de La compagnie du fort de la Conchée, commente : « Les ouvriers dorment dans les logis, sous tente, pour se protéger de l’humidité et de la poussière. Exerçant depuis trente ans maintenant, les entreprises sont désormais aguerries quant aux conditions de vie sur le fort. C’est un plaisir de travailler avec des professionnels passionnés par leurs métiers et qui savent s’adapter à ces contraintes si particulières. » Partie en abside, arrondie : couverture régulière, brouillée et taillée de biais. ©Patrice Benoist  Entreprise de couverture : A. Rochard & Fils rochard-couverture.com Ardoises : Cupa Pizarras cupapizarras.com/fr
Il y a 5 ans et 215 jours

Industrie cimentière : Signature d’une Convention collective nationale unique

Convention collective nationale unique pour l’industrie cimentière. [©DR] C’est à l’unanimité que les partenaires sociaux représentatifs de l’industrie cimentière ont signé, le 2 octobre dernier, la nouvelle Convention collective nationale unifiée de la branche professionnelle (Sfic, FNCB CFDT, CGE-CGC BTP Sicma, FNSCBA CGT, FG FO Construction). « Cette signature est le fruit d’une volonté patronale et syndicale de conserver l’identité conventionnelle de la branche de l’industrie cimentière et le résultat d’un intense travail paritaire de plus d’un an pour parvenir à cette nouvelle convention collective », peut-on lire dans un communiqué de presse.Conformément à l’Accord de méthode de regroupement du 12 avril 2018 et à l’Accord de fusion du 05 juin 2018, les trois Conventions collectives nationales de la branche de l’industrie cimentière (Ouvriers, Etdam ingénieurs et cadres) et leurs accords collectifs thématiques ont été regroupés en une seule et unique Convention collective nationale (CCN). Ce regroupement s’inscrit dans le processus législatif de restructuration des branches engagé depuis 2014 et renforcé par les dernières réformes sociales (loi du 08 août 2016, ordonnances du 22 septembre 2017 et loi du 05 septembre 2018)Les partenaires sociaux sont, d’ores et déjà, engagés dans d’autres négociations paritaires et préparent leur agenda social 2020.
Il y a 5 ans et 235 jours

Le système Microflex® de Watts choisi pour rénover le réseau de chaleur du 27ème BCA de Cran-Gevrier

Basé à Cran-Gevrier dans la banlieue d’Annecy (Haute Savoie), le 27ème bataillon de chasseurs alpins (BCA) figure parmi les meilleures unités d’élite de l’armée de terre française. Sur ce site de 34.000 m2, le 27ème BCA compte de nombreuses infrastructures. Afin d’apporter le même niveau de confort thermique aux 26 bâtiments qui composent la caserne, le régiment est en train de rénover l’ensemble de son réseau de chaleur avec le système Microflex® de Watts.   Une rénovation en deux temps Spécialiste des conditions climatiques extrêmes, le 27ème bataillon de chasseurs alpins est présent à Cran-Gevrier depuis 1967. Organisé en 8 compagnies, le régiment accueille entre 1300 et 1400 personnes dans « cette mini-ville dans la ville où se trouvent les services administratifs, les dortoirs, le restaurant militaire, le centre de commandement ou encore des installations sportives ».   Construits entre les années 1970 et 2017, les 26 bâtiments de la caserne ne disposent pas tous du même niveau de confort thermique. Conçu en acier il y a environ 40 ans, le réseau de chauffage est vieillissant. Plusieurs fuites liées à la corrosion empêchent une production d’eau satisfaisante et sont sources d’importantes pertes thermiques.   En 2018, le SID – Service Infrastructure de la Défense décide de rénover l’ensemble du système de distribution de chaleur du quartier Tom Morel et d’opter pour une solution uniquement en PE dans tous les bâtiments afin de faciliter la maintenance.   Suite à un appel d’offres publiques, la société ACOFROID remporte le chantier en proposant, sur les conseils de son distributeur SOROFI, le système Microflex® de Watts. Un test est effectué sur une première ramification de 400 mètres qui alimente un bâtiment impossible à chauffer depuis 6-7 ans. L’objectif : s’assurer que le système Microflex® répond techniquement aux besoins du quartier.   Concluant, le résultat donne entière satisfaction au SID – Service Infrastructure de la Défense. L’ensemble du réseau de canalisations enterrées qui relie la chaufferie principale du 27ème BCA aux 26 bâtiments à chauffer est alors rénové avec les tubes flexibles pré-isolés du système Microflex® de Watts.   Un chantier Microflex® d’exception Comme l’explique le SID – Service Infrastructure de la Défense, « la rénovation du réseau primaire du 27ème BCA se distingue par sa structure particulière qui repose sur une seule chaudière centrale pour alimenter l’intégralité des 26 sous-stations et chauffer correctement chaque bâtiment, le tout en limitant les déperditions énergétiques ». D’une grande flexibilité pour s’adapter à toutes les configurations et grâce à la conception en multicouches de ses tubes pré-isolés qui limitent les pertes thermiques lors du transport des fluides, le système Microflex® répondait à cette problématique.   Autre avantage du Microflex®, le réseau sanitaire primaire de la caserne étant en dessous de 6 bars, « l’Attestation de Conformité Sanitaire du système rendait possible à la fois la rénovation du réseau de chauffage et celle du réseau primaire d’eau chaude avec le même tube », précise Fabien Garcia de la société ACOFROID.   « Après avoir identifié les débits à véhiculer, les tronçons concernés et quelles étaient les conditions optimales pour disposer de la puissance nécessaire à l’alimentation des sous-stations », les solutions retenues sont : • au départ de la chaufferie, le tube simple Microflex® Uno en diamètre 125 dans lequel circule 900 kW. Au fur et à mesure, la section du tuyau est réduite pour passer en diamètre 110, 90 et 75. • le double tube Microflex® Duo du diamètre 63 à 25, notamment pour l’installation dans les caniveaux existants où diminuer les diamètres étaient parfois nécessaires afin de limiter l’encombrement extérieur. Avec barrière anti-oxygène, les deux sont adaptés à des fluides ayant une température comprise entre -10°C et +95°C et des pressions jusqu’à 6 bars.   Au niveau du dimensionnement, « la priorité était de toujours prendre le diamètre extérieur le plus important afin d’obtenir la meilleure classe d’isolation et d’avoir un minimum de déperditions thermiques dans les caniveaux. Grâce à ses deux diamètres extérieurs disponibles (200 ou 160), ce qui signifie plus ou moins d’isolation, le système Microflex® de Watts nous permet d’atteindre notre but : réaliser un réseau en classe 3 d’isolation », indique Fabien Garcia de la société ACOFROID.   Une mise en œuvre simple et rapide Habituée à poser le système Microflex®, l’entreprise ACOFROID apprécie sa rapidité et sa simplicité de mise en oeuvre. Comme l’explique Fabien Garcia, « tout est déjà intégré dans le tuyau : le tube, l’isolation et la gaine extérieure de protection. Contrairement à d’autres produits comme l’acier qui est plus lourd et pour lequel il faut souder les tronçons dans les caniveaux, avec le Microflex® nous faisons la manipulation une fois et c’est réglé, le tout avec un minimum de raccordement ».   La rénovation du réseau de chaleur du 27ème BCA nécessite 40 couronnes de Microflex® livrées enroulées d’un seul tenant. Chacune pèse entre 200 et 300 kg pour une longueur maximum de 100 mètres. Pour gagner encore plus de temps et faciliter le travail des 3 personnes mobilisées sur le chantier, ACOFROID a fait preuve d’une grande ingéniosité. Grâce à un astucieux système composé d’un ratelier de suspension, soudé à un godet de pelle mécanique, et d’un treuil électrique, « 2 ouvriers suffisent pour tirer même les plus grosses couronnes en 30 minutes seulement, contre 4 personnes et plusieurs heures nécessaires habituellement », annonce fièrement Fabien Garcia.   Conception, livraison, réalisation : un accompagnement de tous les instants Afin de « traduire le réseau acier existant en réseau Microflex®, le dimensionner correctement et l’optimiser d’un point de vue calorifique, fourniture et pose », l’installateur a pu compter sur le soutien technique et logistique de Watts et de SOROFI, son partenaire distributeur depuis plus de 10 ans.   Dès la conception du réseau, « le spécialiste technique de Watts a calculé les pertes de charge, les pertes calorifiques mais a aussi défini tous les produits et accessoires nécessaires ». Le travail réalisé sur plan a ensuite été vérifié sur le terrain « afin de s’assurer de la parfaite compatibilité de tous les éléments du réseau (tubes Microflex®, vannes d’isolement, brides inox pour les gros diamètres, raccords laiton et dérivations) et valider la faisabilité technique et financière du projet », expliquent conjointement Fabien Garcia d’ACOFROID et Pascal Rebatel de SOROFI.   Tout au long de la phase d’exécution, l’installateur bénéficie également de l’accompagnement de Watts et de son distributeur pour assurer le bon déroulement de ce chantier d’envergure : • chaque couronne de Microflex® est préalablement identifiée par Watts à l’usine. Une fois livrée, ACOFROID sait ainsi exactement où elle doit être posée, • le planning des livraisons, piloté par SOROFI, assure un approvisionnement en fonction de l’avancement sans aucune rupture de stock.   Parfaitement rodée, cette organisation est appréciée par Fabien Garcia d’ACOFROID qui conclut : « tant au niveau logistique qu’au niveau technique, tout s’est très bien passé. Pour preuve, les délais ont été respectés et les mises en eaux effectuées sur la 1ère tranche de travaux réalisée en avril 2019 ont été une réussite ».   Avec près de 3 km de tubes pré-isolés Microflex® installés à l’issue de la 2ème tranche qui devrait s’achever à l’automne 2019, la rénovation du réseau de chaleur du 27ème BCA constitue l’un des plus grands chantiers jamais réalisés tant pour Watts que pour l’installateur et le distributeur ! http://www.wattswater.fr
Il y a 5 ans et 235 jours

Démolition : quelles sont vos obligations ?

Lorsque vous prenez la décision de démolir un bâtiment partiellement ou intégralement, il est important que vous respectiez certaines obligations, que vous soyez maître d’ouvrage ou propriétaire. Les diagnostics et règles à respecter avant une démolition ont pour but de limiter les risques de pollution et de protéger les personnes environnantes. Cet article vous en dit plus. Le permis de démolir Le permis de démolir est obligatoire pour mettre à exécution tous projets de démolition. C’est une autorisation administrative qui donne le droit d’effectuer une démolition partielle ou totale d’un bâtiment situé dans un territoire protégé. Cependant, cette autorisation n’est valide que durant 2 ans. Comment obtenir le permis de démolir ? Le permis de démolir est délivré par le maire qui dirige la commune dans laquelle vous souhaitez effectuer les travaux. Les composants du dossier que vous aurez à fournir vont varier en fonction de votre projet (une démolition sans reconstruction ou une démolition avec reconstruction). Une fois le permis en main, assurez-vous d’être bien préparé en faisant appel à une entreprise de démolition. Le diagnostic amiante et le diagnostic plomb avant les travaux La réalisation de ces diagnostics est exigée en fonction de l’âge de la construction à démolir. Le diagnostic amiante par exemple est réservé aux constructions bâties avant juillet 1997. Il consiste à repérer la présence de l’amiante dans les matériaux avariés. Ce diagnostic est obligatoire vu qu’il a pour but d’assurer la bonne santé des ouvriers. Il s’effectue en trois étapes principales : Le repérage ; Le retrait des matériaux contenant de l’amiante ; La gestion de l’amiante. Le diagnostic plomb quant à lui, concerne les constructions dont le permis de construire a été délivré avant le 1er janvier 1948. Il consiste à évaluer et prévenir les risques liés à la forte quantité de plomb présent dans la peinture et les autres matériaux de construction. Le diagnostic termites avant travaux Dans certaines régions, les termites sont fréquents. Elles attaquent généralement les bois de la charpente et provoquent leur fragilité. Le diagnostic termites permet donc de prévenir les risques d’effondrement lors des travaux de démolition. Même si elles n’en ont pas l’air, les termites sont nuisibles. Donc, vous ne devez pas prendre à la légère ce diagnostic. D’ailleurs, n’hésitez pas à le confier à un professionnel certifié. Un conseil : si vous êtes apprenti bricoleur et vous souhaitez apprendre à construire une maison, vous devez avoir les aptitudes pour réaliser ce diagnostic. La gestion des déchets de démolition Avant d’entamer les travaux de démolition, il est important de passer en revue la question concernant la gestion des déchets issus du chantier. En France, le code de l’environnement veut que ce soit le maître d’ouvrage qui s’en charge. Ce dernier se doit de faire appel à un diagnostiqueur professionnel. Cependant, il ne suffit pas de réaliser un diagnostic de déchets pour être tiré d’affaire. Le maître d’ouvrage doit suivre le processus de gestion des déchets afin qu’elle soit menée à bien. Enfin, si vous avez un projet de démolition, sachez qu’il n’est pas seulement obligatoire de respecter ces obligations. Elles sont faites pour garantir un environnement sain.
Il y a 5 ans et 276 jours

MONOMUR EN BÉTON CELLULAIRE CELLUMAT : DES CONSTRUCTIONS PARFAITEMENT ÉTANCHES À L’AIR, FACILES À METTRE EN OEUVRE ET SANS ISOLANTS RAPPORTÉS !

Le béton cellulaire apporte une véritable solution monomur. En construisant avec les solutions Cellumat monomur, on répond de façon simple et économique aux critères thermiques de la RT et même de la norme passive. Comme le témoigne Stanislas Della Valle, architecte de l’Atelier d’Architecture Della Valle, le béton cellulaire est d’une grande force portante, étanche à l’air et sans ponts thermiques, avec un pouvoir isolant exceptionnel. Il permet de construire sans matériaux d’isolation supplémentaires et simplifie la question des noeuds constructifs. En effet, de par leur structure, composée de +/- 80% d’air, les solutions ENERGIEBLOC et PASSIFBLOC permettent d’être jusqu’à 5 fois plus isolants que d’autres matériaux de construction porteurs isolants et atteignent automatiquement des valeurs Psi et des facteurs de température inégalés. Par ailleurs, comme le confirme Thierry Giambelluco, gérant de Bebio-Construction, en construisant selon le principe du monomur (Blocs + enduit intérieur + enduit extérieur), la mise en oeuvre est plus simple et plus rapide et les erreurs d’exécution sont éliminées. Les coûts et les délais de construction sont réduit significativement et les maîtres d’oeuvre profitent de meilleures conditions de travail sur chantier. Enfin, les solutions ENERGIEBLOC et PASSIFBLOC offrent des constructions monomur saines pour les habitants et assurent un confort thermique optimal comme l’a constaté Mr Turpin, habitant d’un maison passive en Cellumat monomur.   CONSTRUIRE EN MONOMUR AVEC LE BÉTON CELLULAIRE CELLUMAT «TOUT EN UN» Porteur, isolant et étanche à l’air En monomur, les solutions ENERGIEBLOC et PASSIFBLOC sont jusqu’à 5 fois plus isolants que d’autres matériaux porteurs isolants. Ils assurent des constructions de murs avec une résistance thermique R jusqu’à 7,88 m2K/W grâce à leur conductivité thermique lambda de 0,09 W/mK (ENERGIEBLOC) et de 0,065 W/mK (PASSIFBLOC), sans matériau d’isolation supplémentaire ni de rubans, enduits d’étanchéité… Stanislas Della Valle, architecte de L’Atelier d’Architecture Della Valle, témoigne : « Je propose souvent aux propriétaires des constructions monomur Cellumat en béton cellulaire. Leur conception et leur mise en oeuvre est plus facile. Très bon porteur, ce matériau permet d’avoir des murs hydrophobes, avec un bon comportement thermique et un très bon déphasage. Les blocs Cellumat sont à la fois étanches à l’air, très perspirants, et présentent également l’avantage d’apporter un bon confort acoustique en 36,5 cm. Par ailleurs, ils offrent un grand confort de mise en oeuvre avec la possibilité de reprises et/ou de modifications aisées. Ils permettent de réaliser des murs courbes très facilement et de créer ainsi des bâtiments plus généreux et plus doux. De plus, la réalisation des noeuds constructifs est plus simple avec des blocs en béton cellulaire de 36,5 cm d’épaisseur minimum, car il n’y a pas de pont thermique. Enfin, l’execution est plus rapide et allégée pour les ouvriers car les temps de pose sont raccourcis, et les chantiers sont très propres. » Porteurs et isolants, les solutions béton cellulaire sont naturellement 100 % étanches à l’air, avec des valeurs allant jusqu’à 0,0009 m3/h.m2, et le restent pendant toute leur durée de vie.Même si l’on fore dans les blocs ou que l’on réalise des saignées pour les conduites techniques, l’étanchéité ou l’isolation du mur n’est pas affectée.   Clotilde DHENNIN, Architecte à l’agence KAIZEN ARCHITECTURE le confirme : « De notre point de vue, la réalisation de saignées pour le passage des réseaux est plus simple à traiter avec le béton cellulaire, qu’avec la brique, notamment sur les questions de l’étanchéité à l’air et du confort phonique. » Une mise en oeuvre simple et rapide La construction en monomur Cellumat, sans matériau d’isolation, sans membrane et sans ruban d’étanchéité, mais avec un seul matériau, permet de réaliser un mur complet et de réduire considérablement les manipulations et les risques d’erreurs d’exécution. Ce mode constructif : – Evite les problèmes rencontrés liés à la pose d’isolants, coûteuse et délicate. Des isolants comprimés avec des écarts aux jointures sont souvent la cause de condensation et de moisissures, de fuites d’air et de ponts thermiques. – Elimine les erreurs d’exécution au niveau des noeuds constructifs, qui peuvent avoir une incidence sur les pertes de chaleur de l’habitation. La conception des noeuds constructifs avec des éléments en béton cellulaire (blocs U pour l’allège, blocs percés pour l’intégration de colonnes structurelles dans la maçonnerie…) est simple, sans ponts thermiques, et permet d’atteindre automatiquement des valeurs psi et des facteurs de température inégalés. Thierry Giambelluco, gérant de Bebio-Construction et conseiller Maison passive certifié, nous explique : « Le grand avantage du PASSIFBLOC, c’est sa bonne inertie thermique et le recours à un seul intervenant : en une seule opération lors de la mise en oeuvre, on réalise la structure et l’isolation. Les murs ne nécessitent pas d’isolants complémentaires, ni de vide technique. Par ailleurs, il s’agit d’un matériau plein, ce qui contribue à l’obtention d’un bon test d’étanchéité, qui, de plus, est pérenne. Le test d’infiltrométrie intermédiaire, réalisé avant les plâtres et les enduits, confirme l’efficacité du béton cellulaire en termes d’étanchéité à l’air. » En monomur, les solutions Cellumat permettent une exécution beaucoup plus rapide qu’avec d’autres systèmes constructifs, surtout au niveau des noeuds constructifs, car ils se collent à l’aide d’un joint extrêmement fin de quelques millimètres. Par ailleurs, les solutions ENERGIEBLOC et PASSIFBLOC sont légers, ergonomiques, faciles à rainurer et à découper aux dimensions souhaitées, ce qui simplifie leur mise en oeuvre. Plus faciles à scier, ils peuvent prendre toutes les formes. Thierry Giambelluco confirme : « Finalement en construisant en monomur, on gagne en temps et en qualité, et donc en prix comparé à une solution en parpaings conventionnels à performance égale ».   Des constructions saines et sécurisées Certifiés A+, les solutions ENERGIEBLOC et PASSIFBLOC ne génèrent aucun polluant ni particules dans l’air. Composé d’un minimum de matières premières et fabriqué avec un minimum d’énergie, les solutions constructives en béton cellulaire Celllumat ont une faible empreinte écologique. De plus, les maçonneries réalisées en ENERGIEBLOC et PASSIFBLOC sont dites respirantes car les blocs en béton cellulaire sont constitués de cellules fermées pourvues de pores nanoscopiques, perméables à la vapeur. Ils régulent les échanges gazeux et l’humidité entre les atmosphères intérieures et extérieures, et éliminent le risque de condensation ou de moisissures. Par ailleurs, la structure des blocs en béton cellulaire ENERGIEBLOC et PASSIFBLOC assure un confort d’été optimale en maintenant, tout au long de l’année, une température constante à l’intérieur, quels que soient les écarts de température extérieure. Grâce à l’inertie thermique des blocs, la chaleur s’accumule dans les murs. Le déphasage du matériau fait en sorte que cette chaleur ne soit transmise que graduellement vers l’intérieur, évitant ainsi la surchauffe. La température dans la maison reste donc toujours agréable et fraîche. Mr Turpin – Habitant d’une maison passive en monomur Cellumat dans le Vaucluse « Cela fait maintenant 2 ans que nous vivons dans notre maison passive monomur Cellumat. Située dans le Vaucluse, la maison a été orientée plein sud pour que nous puissions profiter d’un bon ensoleillement. La conception de la maison offre un excellent confort thermique et n’a pas nécessité l’installation d’un chauffage car elle est bien isolée grâce aux murs en béton cellulaire en PASSIFBLOC de 40 cm d’épaisseur, bien équipée avec une VMC double flux, de grandes baies avec un triple vitrage… Depuis que nous sommes installés, nous n’avons pas souffert de la chaleur l’été, malgré une période caniculaire. Il faisait environ 26°C dans la maison pendant la période la plus chaude. En période hivernale, nous avons une température intérieure de 21 à 24°C selon les heures d’ensoleillement. Il est très agréable de vivre dans cette maison où l’air est « sain » et les matériaux polluants réduits au maximum (notamment pour les peintures, les enduits…). Au quotidien, on respire bien et on s’y sent vraiment bien. » De classe Européenne A1, le béton cellulaire est incombustible et ininflammable. Ces propriétés antifeu uniques résultent de la structure en cellules fermées qui limite l’extension de l’incendie et l’élévation de température dans les locaux adjacents.
Il y a 5 ans et 286 jours

Temps dégagé mais un peu chaud pour les travaux publics en juin 2019

CONJONCTURE. Le mois de juin 2019 a été favorable aux entreprises de travaux publics : à l'image des conditions météorologiques, le contexte économique a été porteur, avec notamment une progression de 14,5% des facturations et de 2,1% des effectifs ouvriers depuis le début de l'année. Quelques indicateurs restent cependant mal orientés.
Il y a 5 ans et 300 jours

Pierre après pierre, ils réparent la Grande muraille de Chine

C'est une tâche titanesque: sur une portion désolée de la Grande muraille, en banlieue de Pékin, des ouvriers en sueur, armés d'ânes et de chaux, s'échinent à refixer des pierres tombées de l'édifice millénaire.
Il y a 5 ans et 318 jours

Santé et sécurité : pourquoi le chantier de Notre-Dame est suspendu "quelques jours"

La préfecture veut "mettre à plat" les règles sanitaires pour les employés. Face à la contamination au plomb, les règles de précautions sont insuffisantes pour les ouvriers, pointe un rapport. La suspension pourrait s'étendre sur une semaine.
Il y a 5 ans et 320 jours

A Tokyo, les Jeux Olympiques se construisent à marche forcée

A un an des JO de Tokyo, alors que la moitié des chantiers sont déjà terminés, les syndicats dénoncent des conditions de travail difficiles pour les ouvriers.
Il y a 5 ans et 348 jours

La canicule arrive, le bâtiment rappelle les règles de bon sens

METEO. Un épisode de canicule est en train d'arriver sur l'Hexagone, faisant grimper le mercure autour des 40°C dans certaines régions. Face à ces conditions inhabituelles, les pouvoirs publics et plusieurs organisations du bâtiment ont rappelé les mesures de bon sens à adopter sur les chantiers pour préserver la santé des ouvriers. Les transports s'adaptent également. Focus.
Il y a 5 ans et 354 jours

Edmatyer, nouveau lieur sans fil pour armatures

Edmatyer, le nouvel outil signé Edma, permet de lier les armatures béton de manière rapide, efficace et sans efforts. [©Edma] Edmatyer, le nouvel outil signé Edma, permet de lier les armatures pour béton de manière rapide, efficace et sans efforts. C’est un véritable appareil portable. Léger (1,2 kg) et compact, sa puissance de serrage peut s’ajuster de façon automatique, selon les dimensions des fers à assembler. Sont utilisés des bobines de fil de 100 m, ce qui représente environ 280 liens/bobine : ses capacités de liage vont d’un Ø de 12 à 24 mm. Il existe aussi en version XL pour les Ø de liens de 26 à 40 mm. Un Edmatyer correspond à quatre ouvriers, grâce à sa rapidité (0,8 s par lien) et son efficacité de liage. Il s’utilise à une température allant de – 5 °C à + 80 °C. Sa bobine est facile à mettre en place, tandis que le refroidissement du moteur se fait grâce un radiateur intégré. Sur batterie, ce lieur permet une durée d’utilisation de 3 h. Il est livré avec deux batteries haute performance lithium-ion de 14,4 V.  L’article Edmatyer, nouveau lieur sans fil pour armatures est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 5 ans et 362 jours

Seine-Saint-Denis : deux morts sur un chantier de rénovation

DRAME. Deux ouvriers sont décédés ce samedi 8 juin 2019 sur un chantier de rénovation d'un immeuble à Epinay-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis. Ils ont chuté de plusieurs dizaines de mètres après que leur nacelle se soit détachée.
Il y a 5 ans et 363 jours

Deux ouvriers font une chute mortelle sur un chantier à Epinay-sur-Seine

Deux ouvriers sont morts samedi matin à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) d'une chute de plusieurs dizaines de mètres après que la nacelle sur laquelle ils se trouvaient s'est détachée.
Il y a 6 ans et 24 jours

Macron sacre les Meilleurs Ouvriers de France

Emmanuel Macron a reçu à l'Elysée les quelque 200 lauréats du concours des Meilleurs Ouvriers de France (MOF), comme le veut la tradition de ce prestigieux concours qui depuis 1925 consacre tous les trois ou quatre ans les meilleurs artisans.
Il y a 6 ans et 46 jours

La mélodie des échafaudages de Huang Sheng-Min

Regard personnel dans les photographies du taïwanais Huang Sheng-Min qui représente sous forme d’ombres chinoises les ouvriers des chantiers de construction des grands buildings de la ville de Tainan à Taïwan. A travers les échafaudages de bambous, les corps se […] L’article La mélodie des échafaudages de Huang Sheng-Min est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 52 jours

Risque chantier : "Une fois que les ouvriers sont partis, le feu peut prendre"

SÉCURITÉ. L'incendie qui a détruit une partie de la cathédrale Notre-Dame de Paris le 15 avril au soir pose de nouveau la question des mesures de sécurité applicables sur ce genre de chantiers - même si la cause du sinistre n'est pas encore connue. L'occasion de refaire le point sur les précautions à prendre lors de travaux par points chauds.
Il y a 6 ans et 53 jours

A Châtenay-Malabry, bataille autour de la Butte Rouge, "joyau" du logement social

Emblème des cités-jardins, un concept imaginé au début du XXe siècle pour loger les ouvriers de Paris, la Butte Rouge à Châtenay-Malabry fait aujourd'hui l'objet d'un vaste plan de réhabilitation contesté par des urbanistes, qui souhaitent préserver ce "joyau" de l'habitat social.
Il y a 6 ans et 53 jours

Notre-Dame de Paris: le feu est maîtrisé, l'origine accidentelle privilégiée [en direct]

L'incendie qui s'est déclaré lundi soir, et dont la piste accidentelle est privilégiée par les enquêteurs, est maîtrisé depuis ce mardi matin 10 heures. Les enquêteurs entendent les ouvriers du chantier de rénovation. La cathédrale est défigurée mais ne s'est pas totalement effondrée grâce à l'intervention des pompiers, qui sont parvenus à maîtriser les flammes et sauver la structure de l'édifice. Emmanuel Macron a promis de la "rebâtir". Les dons et appels aux souscriptions se multiplient.
Il y a 6 ans et 58 jours

Plus de la moitié des salariés du Bâtiment fait des heures supplémentaires non rémunérées

Plus de la moitié des salariés français du secteur du Bâtiment (59 % des architectes, ouvriers, ingénieurs...) réalise régulièrement des heures supplémentaires non rémunérées, selon l’étude The Workforce View in Europe d’ADP (Automatic Data Processing).
Il y a 6 ans et 94 jours

Qui sont les meilleurs apprentis du bâtiment en 2019 ?

RÉCOMPENSE. La Société nationale des meilleurs ouvriers de France a célébré l'apprentissage. Lors de la cérémonie des meilleurs apprentis de France, l'organisme a récompensé 317 étudiants âgés de 16 à 23 ans, dont 94 dans les vingt métiers du bâtiment.
Il y a 6 ans et 149 jours

Site pilote Wattway à Prince-George (Canada)

Découvrez un site pilote Wattway à Prince-George (Colombie-Britannique - CANADA) relayé par des ouvriers de Colas Canada (YCS Holdings) et Wattway. 20 m² de panneaux Wattway sont directement reliés à l'Hôtel de ville pour l'autoconsommation.
Il y a 6 ans et 152 jours

Atelier d'architecture Pierre Hebbelinck et HBAAT : Halles Perret - Pôle culturel de Montataire

L'atelier d'architecture belge Pierre Hebbelinck associé à l'agence Hart-Berteloot ont imaginé et réalisé la réhabilitation des Halles industrielles des frères Perret en pôle culturel. Dédié à l'art et à la culture, cet ancien espace industriel comprend aujourd'hui une école de musique, une école de danse, une salle de diffusion et un studio d'enregistrement. En 1919, après sa destruction pendant la première guerre mondiale, ce bâtiment industriel est reconstruit par les frères Auguste et Gustave Perret qui souhaitent faire de ce lieu un espace de travail décent pour les ouvriers. Occupés par l'entreprise Wallut de 1919 à 1969, les entrepôts en friche ont désormais été transformés en un pôle culturel qui fait la fierté de la Ville de Montataire (60). Libérées de leurs ossatures d'origine, les Halles des frères Perret ont été modernisées. En résonnance avec l'architecture et l'histoire de l'édifice industriel existant, les espaces ont été rénovés pour répondre aux besoins des activités culturelles qui s'y jouent désormais. Les grandes salles centrales tirent profit à la fois de la double hauteur et de la lumière naturelle pour devenir des espaces propices à la création artistique. Par ailleurs, les structures et les voûtes de béton restaurées et visibles mettent en évidence l'élégance architecturale des nouveaux espaces. Tourné vers l'espace urbain, la halle d'accueil centrale favorise le dialogue et les rencontres avec l'extérieur. En effet, la scène de la salle de diffusion s'étale vers le parvis pour recevoir des représentations en été. La paroi vitrée qui habille les différentes façades ouvrent le pôle vers l'extérieur et fait symboliquement référence au rayonnement culturel du lieu. La réhabilitation des Halles des frères Perret représente ainsi un véritable défi technique, car, pour tenir ses promesses, le duo Pierre Hebbelinck-HBAAT a du assurer la préservation de l'édifice existant, ainsi que son adéquation avec les structures et les volumes nécessaires aux nouvelles fonctions du lieu. Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Culture / Espace centre culturel. Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et de Pierre Hebbelinck. Photographies : DR
Il y a 6 ans et 207 jours

Exposition : L'Art du Chantier

Assommant l'univers du chantier ? Rien n'est moins certain, à en croire la Cité de l'Architecture et du Patrimoine qui organise jusqu'au 11 mars 2019 une exposition non pas sur le chantier lui-même, mais sur ses représentations, qu'elles soient réalisées par des artistes, des organisations politiques, des architectes ou des ouvriers. De quoi changer d'opinion sur ce monde de bruits, d'outils et de gravats... Si le mot " chantier " ne vous évoque que vacarme de marteau-piqueur, camion en plein milieu de la rue, poussière et autres désagréments, rendez-vous vite à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine (16e) pour découvrir l'exposition L'Art du Chantier, construire et démolir du 16e au 21e siècle. Imaginé par les commissaires Valérie Nègre et Marie-Hélène Contal, cet événement qui n'a pas pour ambition de raconter ce qu'est " ou était " un chantier, mais d'explorer les façons dont il a pu être représenté par les artistes comme par les entreprises ou même les artisans, modifiera à coup sûr votre perception de cet univers si singulier... SI le corpus ultra-riche composé de 433 "uvres présenté entre les murs de la Cité Chaillot vaut le détour, c'est pour plusieurs raisons. La première, et non des moindres, consiste à rappeler que ce moment si particulier dans la vie d'un projet constitue une source d'inspiration pour les artistes. Perçu comme un " spectacle de rue ", il fascine autant qu'il exaspère, faisant l'objet de portraits tantôt laudatifs, tantôt critiques. Mais plus intéressant encore, l'exposition révèle surtout en quoi la représentation du chantier " et par extension la communication qui l'entoure " est affaire de pouvoir. Valorisation du savoir-faire des artisans ; démonstration de force pour une entreprise visant à démontrer sa capacité à construire une tour de plusieurs dizaines d'étages en un temps record ; outil de revendications sociales pour les ouvriers ; objet de propagande instrumentalisé par certains partis ; média destiné à valoriser " si ce n'est faire accepter " une politique d'aménagement du territoire... Nombreux sont les exemples présentés démontrant à quel point le chantier représente, pour celui qui en dresse le tableau, un moyen efficace de défendre son propos. Au-delà de cette dimension méta-politique, l'événement est aussi l'occasion pour le visiteur de découvrir certains aspects méconnus du chantier si souvent " interdit au public " : de comprendre qu'il est pour les ingénieurs et les entreprises un lieu d'expérimentation, pour les architectes en herbe un moment d'apprentissage, et, pour certains visiteurs inopinés " enfants, errants, prostitués, etc. " un point de rendez-vous ! Quoi qu'appréciable, ce petit plus est aussi le petit moins de l'exposition, donnant l'impression que celle-ci perd de vue son propre sujet, glissant de la représentation du chantier à sa réalité. Mais ce désagrément reste minime... Alors n'hésitez plus, enfilez vos bottes, votre casque et filez à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine découvrir L'Art du Chantier ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'Architecture et du Patrimoine  Photographie et illustrations : 1) Eugène de Salignac, Peintres suspendus aux câbles du pont de Brooklyn, 7-10-1914© New York City Municipal Archives2) Knickerbocker Photo Service, L'Empire State Building en construction, 1930© Avery Architectural&Fine Arts Library, Columbia University3) Alphonse Terpereau, Le viaduc de Gabarit, état des travaux le 6 avril 1884 7© Musée d'Orsay, Dist. RMN-GP Alexis Brandt4) Bureau de John Soane, Vue de la salle de l'infirmerie de l'Hôpital Royal de Chelsea en construction, 1809© Sir John Soane's MuseumPh. Geremy Butler5) Fernand Léger, Les Constructeurs à l'aloès, 1951. Tapisserie tissée par les ateliers Pinton Frères© RMN-GP (musée F. Léger)-G.Blot - Adagp, Paris, 20186) Henri Rivière, Ouvrier plombier sur la tour. Les Trente-six vues de la Tour Eiffel, entre 1888 et 1902© RMN-GP (musée d'Orsay)-R-G Ojéda - Adagp, Paris, 20187) Lewis Wickes Hine, Icare, tout en haut de l'Empire State, 1931© The New York Public Library8) B. Descamps, Badauds regardant par le trou d'une palissade du chantier du forum des Halles, devant la fontaine des Innocents, 1979© BHVP-Parisienne de Photo9) Michel Delaporte, Le replatrage dans La caricature morale, politique et littéraire10) Achille Beltrame, Mussolini lance le chantier de la via dei Fori11) Tu es syndiqué. Pourquoi n'est-tu pas coopérateur, vers 193512) Mise en charge d'une dalle-champignon en ciment© Felix Candela architectural records and papers, 1950-1984, Avery Architectural & Fine Arts Library, Columbia University13) Alain Bublex, Plug-in City, Expérience monumentale, 2003 © C. Pompidou MNAM-CCI Dist. RMN-GP© Adagp, Paris, 201814) " En remerciement à Notre-Dame-de-Laghet. 17.12.26 Menardo Geoffroy ", 192715) " Ex voto. Ma. Sig. Staudo dentro nel cortile successo il 18 aprile venerdi santo 1851. Paolo Tibaud. Malero Modesto. Fortune Viegi ", 1851
Il y a 6 ans et 208 jours

Au c"ur de Paris, le musée Carnavalet fait peau neuve

Casques sur la tête, des ouvriers s'affairent à casser des faux plafonds: le Musée Carnavalet, temple de l'histoire de la ville de Paris, se rénove, se dépoussière, pour devenir plus attirant, aux normes des autres grands musées parisiens.
Il y a 6 ans et 212 jours

Un accident sur un chantier en Corse fait six blessés légers

Six ouvriers qui coulaient une dalle de béton au premier étage d'un hangar à Ventiseri, en Haute-Corse, ont chuté mercredi matin de quatre mètres lorsque la dalle s'est effondrée, ont indiqué les pompiers à l'AFP.
Il y a 6 ans et 233 jours

Rudy Ricciotti devant le juge pour travaux non déclarés et travail dissimulé

JUSTICE. L'architecte méridional comparaît devant le tribunal correctionnel de Toulon pour les travaux réalisés en 2013 dans sa propriété de Cassis (Bouches-du-Rhône) à la fois sans autorisation et avec une entreprise employant des ouvriers non déclarés.
Il y a 6 ans et 240 jours

Les ouvriers intérimaires, plus exposés aux risques professionnels ?

ÉTUDE. La Direction de l'animation de la recherche, de l'économie et de la santé (Dares) du ministère du Travail a publié les résultats d'une analyse sur l'exposition des ouvriers intérimaires aux risques professionnels. Détails.
Il y a 6 ans et 240 jours

Les ouvriers intérimaires sont plus exposés que les autres aux risques physiques

Les ouvriers intérimaires sont "très fortement exposés à des contraintes physiques" dans leur travail, et en particulier sujets à la manipulation de charges lourdes, au bruit et au travail répétitif, selon une étude du service des statistiques du ministère du Travail (Dares) publiée mardi.
Il y a 6 ans et 241 jours

Les ouvriers intérimaires plus exposés que les autres aux risques physiques

Les ouvriers intérimaires sont "très exposés à des contraintes physiques" et sujets à la manipulation de charges lourdes, au bruit et au travail répétitif, selon une étude du ministère du Travail.
Il y a 6 ans et 361 jours

Un trésor de pièces d'or découvert lors de la démolition d'une maison en Bretagne

Un trésor de 600 pièces d'or belges a été découvert la semaine dernière à Pont-Aven (Finistère) par des ouvriers qui procédaient à la démolition d'une maison, a-t-on appris samedi de sources concordantes.
Il y a 7 ans et 29 jours

Indemnité de trajet est due dès que les ouvriers se rendent sur chantier

FICHE PRATIQUE. La convention collective nationale des ouvriers du bâtiment prévoit des indemnités de petits déplacements, notamment l'indemnité de trajet visant à indemniser la sujétion particulière qu'entraîne l'itinérance du travail. La Cour de cassation revient sur les règles régissant l'indemnité de trajet, rappelant qu'elle est systématiquement due lorsque les ouvriers se déplacent sur chantier.
Il y a 7 ans et 52 jours

La convention des ouvriers du bâtiment fait peau neuve

Les partenaires sociaux du secteur ont récemment signé la nouvelle convention collective nationale des ouvriers du bâtiment, adoptée le 5 mars dernier, et qui entrera en vigueur le 1er juillet 2018. Démarche de toilettage entreprise dans le cadre de la restructuration des branches, la négociation a aussi permis de modifier certaines règles, à l'image du régime des indemnités de petits déplacements.