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Il y a 2 ans et 193 jours

600.000 installations photovoltaïques en France, +20% en un an

A fin septembre, le pays comptait près de 600.000 installations, dont un tiers en autoconsommation individuelle, l'ensemble représentant une production solaire totale de plus de 13 gigawatts (GW), selon l'Open Data d'Enedis, le gestionnaire du réseau de distribution électrique en France.Ce boom, sur fond de crise de l'énergie, intervient alors que la France accuse de grands retards dans le déploiement des énergies renouvelables, son objectif officiel dans le solaire restant très éloigné, soit 20 GW en 2023.Le pays compte presque 90.000 installations de plus que l'an dernier à la même période, soit une hausse de +20%.Rien qu'au 3e trimestre de 2022, Enedis indique avoir enregistré des demandes de raccordement au réseau pour une puissance totale de près de 1,1GW : un chiffre en hausse ces deux dernières années (0,8 GW sur le troisième trimestre de 2021, 0,6 GW sur celui de 2020).En particulier, le nombre d'installations en autoconsommation individuelle a quasiment doublé en 18 mois sur le territoire métropolitain, avec près de 208.000 clients autoconsommateurs individuels raccordés au réseau public à fin septembre. Ils étaient 108.664 à fin mars 2021 et... 3.000 en 2015.Ces clients sont pour l'essentiel équipés d'installations de moins de 36 kilovoltampères (kVa)."Enedis constate une nette accélération du nombre d'autoconsommateurs", souligne l'entreprise, relevant que cette autoconsommation concerne quasi uniquement du photovoltaïque, "et pas uniquement dans les régions les plus ensoleillées".
Il y a 2 ans et 193 jours

Activité en hausse pour Eiffage, dans la construction comme dans les concessions

Son chiffre d'affaires s'élève à 14,6 milliards d'euros sur cette période.L'activité Travaux (construction, infrastructures, énergie) a crû de 7,1%. Et le carnet de commandes, à 18,8 milliards d'euros, est en hausse de 15 % sur un an.Dans les infrastructures par exemple, l'activité en Europe bénéficie de la montée en puissance des travaux de la ligne à grande vitesse HS2 au Royaume-Uni et de l'autoroute E18 en Norvège.L'activité Concessions (autoroutes APRR, viaduc de Millau, aéroports de Lille et Toulouse...) est à 2,5 milliards d'euros, soit +13,3%, indique Eiffage, qui confirme ses perspectives pour 2022.Ce troisième trimestre, Eiffage est aussi devenu le premier actionnaire de Getlink, société concessionnaire du tunnel sous la Manche jusqu'en 2086, avec près de 19% du capital, pour "un investissement significatif" de 1,194 milliard d'euros.
Il y a 2 ans et 196 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE PANAMA, UN LINÉAIRE LED INTELLIGENT ÉTANCHE POUR PALLIER L’ENVOLÉE DU PRIX DU KWH ET LA FIN DES TUBES FLUORESCENTS EN 2023

Facebook Twitter EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente la gamme de luminaires linéaires LED PANAMA dotés de la technologie Smart Facility en réponse à la double problématique à laquelle les entreprise sont confrontées, à savoir : la hausse vertigineuse du prix de l’électricité, multiplié par 10 pour certains, et la fin programmée des tubes fluorescents en 2023. A cela s’ajoute une pénurie de composants qui entraîne des difficultés d’approvisionnement en LED prévues pour durer au minimum jusqu’à la fin de l’année prochaine. En s’équipant dès à présent avec des solutions LED intelligentes performantes, les professionnels évitent de se retrouver en rupture de tubes, sans éclairage, et remplacent avantageusement leur installation obsolète et énergivore par un éclairage qualitatif, sobre, qui, instantanément, diminue très fortement leur facture énergétique. Avec un flux lumineux allant jusqu’à 6686 lumens, la gamme de linéaires LED PANAMA est disponible en plusieurs dimensions (650 mm, 1220 mm, 1560 mm) et puissances (20W, 34W, 45W, 65W). Elle possède une température de couleur de 4000 K, une température de fonctionnement allant de -20° à +35° et un driver intégré. Étanche avec un indice de protection IP66, elle est conçue en polycarbonate et adaptée à l’éclairage intérieur et extérieur des bâtiments industriels, logistiques et tertiaires comme les espaces de circulation et d’infrastructures des gares, les plateformes, les passerelles, les parkings… Equipés de la technologie Smart Facility d’EAS SOLUTIONS, les linéaires LED PANAMA sont pourvus d’un contrôleur avec détecteur de présence à trois niveaux de puissance, variables selon les détections, qui optimise la gestion des luminaires et leur consommation d’énergie. Positionnés en hauteur, les linéaires LED connectés apportent un éclairage efficace qui se module automatiquement. En communiquant par le maillage radio des luminaires, le système Smart Facility constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Les données qu’il collecte sont analysées en temps réel afin d’économiser jusqu’à 90% d’énergie tout en améliorant la sécurité, l’efficacité et la productivité du site équipé. Application : Equipement du site industriel Thermolaquage 21 Thermolaquage 21, spécialiste de la finition de pièces métalliques pour le secteur médical, l’industrie, l’automobile et le bâtiment, a équipé cette année son site de production d’un nouvel éclairage LED intelligent composé de 27 linéaires LED PANAMA, 8 luminaires LED RELIANT et 2 luminaires LED LUMAZ à haut rendement, tous connectés avec la technologie Smart Facility d’EAS SOLUTIONS. Ce relamping du site permet d’éclairer uniquement les zones d’activité et de régler l’intensité lumineuse en fonction de la luminosité naturelle. Il diminue très fortement les consommations en énergie et apporte un confort visuel accru qui contribue à améliorer et à sécuriser les conditions de travail des collaborateurs. A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe de plus de 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr  EAS Solutions a obtenu le label AFE que l’Agence France Électricité délivre aux entreprises qui s’engagent pour le climat et qui prennent en compte les objectifs environnementaux de l’accord de Paris. www.agence-france-electricite.fr
Il y a 2 ans et 200 jours

Energies renouvelables : une nouvelle loi pour accélérer solaire et éolien

Des objectifs ambitieuxLa France, qui s'est longtemps reposée sur la puissance de son parc nucléaire, a généré en 2021 le quart de son électricité avec des renouvelables, une part plus faible qu'ailleurs en Europe. Mais à l'urgence climatique, la guerre en Ukraine vient aujourd'hui ajouter la menace d'un "blackout", rendant nécessaire pour le gouvernement un changement d'échelle.Pour 2050, le président Emmanuel Macron s'est fixé comme objectifs de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Des mesures d'urgence, ou pérennesIl faut en moyenne en France 5 ans de procédures pour construire un parc solaire, 7 ans pour un parc éolien et 10 ans pour un parc éolien en mer.Le texte prévoit des adaptations temporaires des procédures administratives pour simplifier et accélérer la réalisation des projets, l'objectif étant de raccourcir significativement les délais de déploiement.Les sénateurs ont réécrit ce volet en commission en créant de nouvelles dérogations temporaires et en proposant des évolutions pérennes aux régimes de l'évaluation environnementale, de la participation du public et du contentieux administratif, pour accélérer la mise en oeuvre des projets.Planification et "droit de veto"Le rapporteur du texte au Sénat, Didier Mandelli (LR), a introduit un nouveau volet, instituant "un dispositif de planification territoriale" du déploiement des énergies renouvelables, "en partant des territoires". Ce serait d'abord les maires qui seraient "à la manoeuvre" pour définir des zones propices à l'implantation. Surtout, il a aussi prévu "un système à double détente" qui "donne aux élus le pouvoir de dire 'oui' ou 'non' à tout projet d'énergie renouvelable".Plus d'espace pour le solaireLe projet de loi facilite l'installation de panneaux photovoltaïques aux abords des autoroutes et grands axes. Il permet de déroger à la loi Littoral, dans un cadre très contraint, pour l'implantation de panneaux sur des friches. Il facilite aussi l'implantation dans les communes de montagne.Le projet de loi imposait l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 2.500 m2 avec ombrières photovoltaïques et végétalisation. Les sénateurs ont revu la copie du gouvernement, substituant la notion de places de parking à celle de superficie. Les parkings extérieurs de plus de 80 emplacements devront être équipés, soit d'ombrières solaires, soit d'un autre procédé de production d'énergie renouvelable.Les sénateurs ont injecté des dispositions en faveur du développement "raisonné" de l'agrivoltaïsme, combinant exploitation agricole et production d'électricité.L'éolien prend la merLe projet de loi proposait de mutualiser les débats publics sur la localisation des projets "pour améliorer la planification spatiale" et accélérer leur développement. Les sénateurs ont réécrit le dispositif pour "instituer une planification spatiale et temporelle spécifique". Il prévoit la réalisation d'une cartographie des zones destinées à accueillir des installations à l'échelle nationale, avec une concertation large associant l'ensemble des parties prenantes ainsi que le public sur les quatre façades maritimes. Surtout, le texte adopté en commission prévoit de privilégier les zones d'implantation situées à une distance minimale de 40 km du rivage.RistournesLe projet de loi institue un régime de "partage territorial de la valeur des énergies renouvelables" afin d'en faciliter l'acceptabilité. Alors que le texte du gouvernement prévoyait que les communes concernées, mais aussi les particuliers y résidant, puissent bénéficier d'un rabais sur leur facture d'électricité, les sénateurs ont recentré le dispositif sur les seules collectivités. Les ristournes concerneraient les communes d'implantation mais aussi les communes desquelles ces installations sont visibles. Le dispositif s'appliquerait à l'ensemble des installations d'énergies renouvelables.
Il y a 2 ans et 205 jours

Salon IBS, Hager présentera sur son stand ses solutions dédiées à la gestion intelligente des bâtiments et à la mobilité électrique.

Intégrateurs, bureaux d’études et gestionnaires de bâtiments découvriront les dernières nouveautés de Hager pour mieux appréhender la gestion des énergies et piloter de manière plus efficiente leur consommation. Bornes de charge witty et gestionnaire witty park local La mobilité électrique représente un nouveau poste de dépenses de plus en plus important au regard de la consommation générale d’un bâtiment. Pour répondre à cette problématique, Hager présente deux nouveautés sur son stand : sa borne de charge witty park 1.6 json, ainsi que son nouveau gestionnaire de puissance de charge pourgrappes de bornes.La nouvelle borne witty park 1.6 json est compatible avec la norme ISO 15-118, qui s’appuie sur le protocole de communication OCPP. Ce protocole normé a pour vocation d’enrichir et de simplifier considérablement les échanges entre le véhicule électrique et la borne de recharge, pour rendre les opérations de recharge plus optimales, efficaces et fiables.Disponibles en monophasé comme en triphasé et réglables de 2,3 à 22kW, ces nouvelles bornes communicantes sont adaptées pour recharger l’ensemble des véhicules du marché. Elles répondent principalement aux besoins du secteur tertiaire, où l’utilisation des bornes est partagée : commerces, collectivités, parkings publics…Les deux références sont certifiées ZE et EV ready 1.4. Le gestionnaire witty park local* proposé par Hager permet de répartir de manière uniforme l’énergie disponible sur le réseau aux différents véhicules en charge sur le site. Grâce à une interface simple à utiliser, l’utilisateur peut superviser très simplement son parc de bornes. Il peut ainsi suivre et gérer son parc, suivre les charges en cours, grâce à un affichage clair et un fonctionnement intuitif. Cette solution permet aussi de limiter l’abonnement électrique et lisser les pics de consommations tout au long d’une journée. (*Egalement appelé LLM (Local Load Manager)) Stream, pour visualiser les consommations d’énergies multi-sites Le logiciel Stream permet de monitorer la production et les consommations multiénergies de plusieurs sites, y compris dans des villes ou des régions différentes. Il offre également à l’exploitant la possibilité d’afficher l’impact carbone d’exploitation du bâtiment, ainsi que son évolution. Ceci permet de se conformer aux exigences du décret tertiaire. Facile à installer et à configurer, Stream s’exploite au quotidien depuis une tablette ou un PC standard. L’utilisateur a la possibilité d’adapter ses tableaux de bord à ses besoins et ainsi, de disposer de ses données essentielles en quelques clics. Un autre atout de Stream est sa capacité à évoluer au rythme du bâtiment. Le remplacement d’un composant (serveur agardio.manager ou compteur par exemple), son paramétrage et sa configuration s’effectuent en quelques minutes, directement depuis le logiciel stream. Les licences sont dimensionnées selon le volume de données collectées et peuvent être adaptées en fonction de l’évolution des besoins. Stream s’inscrit dans l’EMS Hager (Energy Management System), qui s’articule en 3 niveaux : un premier niveau de terrain avec des appareils de mesure et des capteurs énergétiques, un deuxième niveau concentrateur avec des dispositifs de collecte des données et de centralisation (agardio.manager). Stream constitue le troisième niveaude management, un outil logiciel qui permet de visualiser et d’exploiter de manière personnalisée ces données. Salon IBS les 8 & 9 novembre 2022Paris Porte de Versailles – Pavillon 5.1.Stand Hager A08Plus d’informations, hager.com/fr Partager la publication « Gestion intelligente des bâtiments et mobilité électrique sur le stand Hager au salon IBS »
Il y a 2 ans et 205 jours

SNCF Voyageurs achète de l'énergie photovoltaïque

Le contrat prévoit la construction d'ici à 2025 de quatre centrales photovoltaïques, dans l'Aude, en Haute-Garonne et en Gironde, totalisant une puissance de 146 MW, qui devraient produire 207 GWh par an à l'horizon 2025/26.L'électricité produite dans ces nouvelles centrales sera intégralement vendue à SNCF Energie, une filiale à 100% de SNCF Voyageurs, pour les besoins en électricité de la compagnie, selon un communiqué."Cette production représente 3,6% de la consommation d'électricité nécessaire à la circulation des trains de SNCF Voyageurs, ou bien encore l'équivalent de la consommation électrique annuelle du RER D en Ile-de-France", a-t-elle relevé.L'objectif de SNCF Voyageurs est de disposer à l'horizon 2026/27 de 1.100 GWh d'électricité d'origine renouvelable issue de tels contrats --des contrats d'achat direct d'électricité renouvelable de très longue durée, dits "corporate PPA"--, soit 20% de ses besoins électriques pour la traction de ses trains.Ce type de contrat permet également à SNCF Voyageurs de rendre son coût d'approvisionnement en électricité moins dépendant de la volatilité des prix de marché, a relevé la compagnie.
Il y a 2 ans et 205 jours

Les machines sans fil Würth : la révolution M-CUBE®

« Il n’y a pas de meilleurs conseils que ceux de nos clients »Marteau perforateur, meuleuse d’angle, visseuse-perceuse, pistolet mastic … Toutes les machines électroportatives ont été conçues à partir des retours d’expériences des clients Würth.Puissantes, légères et ergonomiques, elles vous apporteront sécurité, confort et efficacité au quotidien.Grâce au concept M-CUBE®, utilisez la même batterie sur toutes les machines de la gamme. Les différentes capacités proposées vous garantissent une durée de vie élevée, une utilisation optimale de la puissance délivrée, et cela en toute autonomie !Quels avantages et bénéfices ? Un travail agréable et sans fatigue grâce à une conception compacte, ergonomique et légère.Des modèles robustes pour garantir une résistance élevée aux chocs.Un système de batterie interchangeable pour gagner un temps précieux.Des machines puissantes et résistantes pour garantir des performances maximales.Configurez votre pack de machines grâce au guide de choix M-CUBEWürth a conçu un outil pour vous permettre de configurer votre coffret ou pack de machines sans fil M-CUBE® sur mesure en fonction de :La formule souhaitée (le nombre de machines) : solo, duo ou trioLe voltage : 12 à 18VLa ou les machines adaptée(s) à votre métier : visseuse, scie, meuleuse, marteau perforateur …Le contenant désiréLes accessoires adaptésAvec ce configurateur M-CUBE®, composez vous-même votre ensemble de machines sur mesure et adaptées à votre activité. Découvrez le configurateur en cliquant sur ce lien.La dernière innovation M-CUBE® : la radio sans fil et enceinte BLUETOOTH®Profitez d’un son de qualité en toutes circonstances et sur tous vos chantiers grâce à la radio sans fil, compacte et pratique ! Avec la radio et enceinte sans fil BLUETOOTH® de la gamme M-CUBE®, vous pourrez notamment :Naviguer parmi les différentes stations grâce à sa fonction radio FM avec assistant vocal.Ecouter de la musique où que vous soyez grâce à la fonction TWS (True Wireless Stereo), et profiter ainsi d’un son stéréo encore plus riche et amélioré.Ergonomique et robuste, vous pourrez également charger vos appareils portables grâce à sa connexion USB intégrée. Un concentré d’innovation pour faciliter votre quotidien et rendre le travail sur vos chantiers plus agréable.Consultez la documentation technique des différentes machines M-CUBE® directement depuis la liste de fiches produits en cliquant sur ce lien.
Il y a 2 ans et 205 jours

CROSSCALL LANCE CORE-Z5, SON SMARTPHONE 5G GARANTI 5 ANS

 Un smartphone performant conçu pour durer  Aix-en-Provence, le 18 octobre 2022 : Crosscall, le fabricant français de smartphones et tablettes ultra-résistants, étanches et durables, annonce l’arrivée du CORE-Z5, son premier smartphone 5G. Jamais Crosscall n’avait atteint une telle puissance : son processeur Qualcomm Technologies Inc. et sa compatibilité aux réseaux de dernière génération (5G, WiFi […]
Il y a 2 ans et 205 jours

Kiloutou teste Ellectramobilys, un camion-benne 100% électrique

À l’occasion du Mondial de l’Automobile 2022, Ellectramobilys présente sa solution Muses dans sa version camion-benne, actuellement testée par Kiloutou.Au sein du parc de matériel de location actuel de Kiloutou, les camion-bennes sont les engins les plus émetteurs de CO2. Kiloutou explore ainsi des solutions qui pourraient réduire leur impact. Muses d’Ellectramobilys est un véhicule utilitaire à motorisation électrique qui pourrait répondre à cette problématique, notamment rencontrée par les majors du BTP, les artisans, collectivités ou même particuliers opérant déplacements et chargements de matériels et matériaux légers en zones urbaines.Muses, un véhicule électrique agile et performant qui ouvre un champ prometteur de co-développement avec KiloutouLe véhicule Muses dispose d’une autonomie allant de 138 à 260 km selon la puissance de batterie utilisée et d’une charge utile de 670 kg. Son format compact et son faible niveau d’émissions sonores (75 dB) en font un véhicule performant et agile.Le modèle testé par Kiloutou possède, à ce stade, de nombreux atouts dont :une benne triverse (un service complet, autorisant indifféremment les déchargements par l’arrière, par la droite ou la gauche),un seuil de chargement très bas ainsi qu’un poste de conduite central qui en fait aussi un allié de prévention et de sécurité pour ses utilisateurs.Sa très grande modularité ouvre aussi un terrain de co-développement en matière de carrosserie ou de solution de recharge, des perfectionnements aussi intéressants qu’indispensables pour Kiloutou dont l’objectif est d’accélérer le développement d’une solution particulièrement adaptée aux besoins de ses clients.Ellectramobilys, un fournisseur qui va au-delà de la charte fournisseur responsable définie par KiloutouKiloutou a fait le choix de se rapprocher d’Ellectramobilys pour la qualité de sa solution, notamment sur le plan environnemental : sa conception innovante avec 40% de matière en moins nécessaire à sa fabrication, dont deux fois moins de matière (lithium, cobalt et manganèse) dans sa batterie, réduit considérablement son impact sur les ressources naturelles en comparaison avec un véhicule électrique concurrent. Il en va de même de sa consommation d’énergie en utilisation, divisée par deux par rapport aux autres véhicules utilitaires électriques. Le véhicule Muses est un levier de réduction de l’impact environnemental des chantiers et interventions urbaines.Enfin, Muses est actuellement assemblé en France et sera intégralement produit à partir de 2023 en France.Pour Audrey Miclard, Directrice Développement Durable de Kiloutou : « Notre accélération en R&D s’appuie notamment sur le développement de collaborations étroites avec de nouveaux acteurs engagés comme Ellectramobilys, dont les solutions prometteuses peuvent être testées au sein de notre Centre d’Essai. Parmi les nombreux atouts de Muses, il y a la possibilité de remplacer une batterie vide par une batterie chargée en moins de 3 minutes. Cela favorise la recharge longue, moins gourmande en énergie et protectrice des batteries, sans interrompre l’utilisation du matériel. Ces simplifications d’utilisation sont des points-clés de nos ambitions en matière de R&D. Nous innovons au service de nos clients et pour une filière des matériels durables. »Pour Damien Biro, Président de Muses Europe : « Aujourd’hui, nous présentons un véhicule dédié à un usage utilitaire bien spécifique, qui maîtrise à la fois la masse, l’équation économique et l’équation environnementale. Nous sommes ravis de pouvoir co-développer cette solution avec un acteur comme Kiloutou, aussi engagé pour l'environnement et au réseau solide. »
Il y a 2 ans et 207 jours

HDF Energy annonce un projet d'électricité solaire et hydrogène en Afrique du Sud

Ce projet, dont l'investissement total porte sur 3 milliards de dollars, est l'un des fers de lance de la transition énergétique du pays voué à abandonner à terme les centrales au charbon.Il a été attribué dans le cadre d'un appel d'offres public qui a également sélectionné les sociétés sud-africaines d'énergies renouvelables Red Rocket, Sola Group et Mainstream Renewable Power Developments.HDF Energy (Hydrogène de France) compte développer sur le site des centrales photovoltaïques capables de produire quelque 1.500 Megawatts d'électricité, avec plus de 3.500 MWh de stockage (pour la nuit lorsqu'il n'y a pas de soleil, NDLR) principalement sous forme d'hydrogène et de pile à combustible.Les centrales alimenteront ainsi en électricité stable et propre, de jour comme de nuit, toute l'année, plus de 1,4 million d'habitants, précise HDF Energy dans un communiqué.Eskom avait émis un appel à propositions en avril 2022, suivi d'un processus de sélection. Les sociétés retenues loueront au total plus de 6.000 hectares pour une période comprise entre 25 et 30 ans pour produire des énergies renouvelables."Les terrains appartiennent à Eskom et lui reviendront au bout de 30 ans, les projets recevront des financement des banques de développement qui portent des exigences sociétales et environnementales très poussées", a indiqué à l'AFP le patron de HDF Energy, Damien Havard.La province de Mpumalanga abrite 12 des 15 centrales à charbon de l'Afrique du Sud, qui fournissent plus de 80% de son électricité. Elle sont vouées au démantèlement dans le cadre d'un vaste plan de décarbonation du pays permis notamment par l'attribution de quelque 8,5 milliards de dollars de prêts et subventions reçus de pays riches via leurs banques de développement."En termes de puissance, notre projet remplacera une partie d'une des centrales à charbon", a commenté M. Havard.HDF Energy a également un projet en Namibie pour produire de l'électricité solaire, puis de l'hydrogène à partir de l'électrolyse de l'eau dessalinisée. Le groupe, qui s'est introduit en Bourse en 2021 à Paris, mène aussi avec des investisseurs, comme le groupe Ruby ou le fonds Meridiam, des projets similaires en Guyane, à la Barbade, à Trinidad. Mercredi soir, il a annoncé la signature d'un protocole d'accord avec le ministère de l'Energie indonésien.
Il y a 2 ans et 207 jours

ONDULINE renforce sa présence à l’international et élargit son offre pour protéger les bâtiments et leurs occupants par tous les temps

Depuis sa création en 1944, Onduline n’a cessé d’évoluer et d’étoffer ses gammes de produits. Son expertise et ses nombreuses innovations lui ont permis de devenir le leader mondial des solutions de toitures légères avec un éventail de produits performants : éléments de toiture, bardages, sous-toitures, écrans de sous-toitures, panneaux en polycarbonate… Qu’il s’agisse de maisons individuelles, de petits immeubles collectifs, de bâtiments publics ou privés, industriels ou agricoles, partout dans le monde, Onduline offre aux professionnels du bâtiment et aux bricoleurs un résultat de haute qualité avec des produits innovants, robustes et fiables très simples à mettre en œuvre. Autour d’Onduline, Ondura accélère sa croissance et son développement international Onduline France appartient au groupe international Ondura crée en 2021. Propriétaire d’alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l’entreprise polonaise CB, l’un des leaders européens des écrans de sous-toiture et d’accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d’une grande expertise dans l’étanchéité à l’eau et à l’air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Dirigé par Patrick Destang, Ondura est présent dans plus de 100 pays et emploie 1 600 personnes.S’appuyant sur la puissance d’Onduline sur les cinq continents, l’objectif du groupe est de renforcer sa présence à l’international. Ces 3 entités opèrent de manière indépendante tout en profitant des synergies commerciales et de l’accès aux gammes de leurs sociétés sœurs. En France, Flatline, la société française nouvellement créée par le groupe Ondura assure la distribution des solutions alwitra. Avec les solutions de toitures légères Onduline, les écrans de sous-toitures COROTOP® et ONDUTISS®, les membranes d’étanchéité alwitra, et les solutions d’éclairement en polycarbonate d’ONDUCLAIR®, Ondura maîtrise les technologies nécessaires aux toits en pente ou plats et elle apporte aux distributeurs une réponse unique à destination d’une clientèle de particuliers et de professionnels. Son offre de produits permet de toucher des applications en DIY et des applications professionnelles avec une plus forte composante technique, où elle s’appuie sur des couvreurs et des étancheurs via le réseau des négociants en matériaux et distributeurs spécialisés couverture.Ondura aborde aujourd’hui une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l’isolation et l’enveloppe du bâtiment. Le rapprochement, annoncé en février 2022 , vient en effet de recevoir la validation des autorités réglementaires. Le groupe entend accélérer les plans de croissance et d’investissement dans les pays à fort potentiel, et renforcer l’innovation des produits et services. Onduline : Une approche environnementale forte et visibleLes produits Onduline contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Certaines usines de production Onduline, dont ONDUCLAIR® à Comines, sont certifiées ISO 14001, avec une gestion environnementale claire et un système de production propre : matières premières recyclées, circuit d’eau fermé, faible consommation d’énergie, pas de déchets dangereux, système de traitement des émissions gazeuses… De plus, les émissions de CO2 sont considérablement réduites grâce au poids allégé des matériaux, qui limite l’impact lors du transport.Pour limiter son bilan carbone et développer une production respectueuse de l’environnement, Onduline a mis en place un processus de recyclage de haute technologie qui permet de récupérer 80 000 tonnes de fibres de cellulose chaque année.La cellulose est une ressource naturelle végétale et non fossile. La transformation de cette fibre est connue pour sa faible empreinte carbone, produisant ainsi 4 à 6 fois moins d’émissions de CO2 que le métal ou le plastique. C’est pourquoi Onduline a fait le choix de cette matière première pour la base de ses tôles et tuiles. Toutes ces initiatives ont permis à l’entreprise de réduire l’empreinte carbone à 4 066 g de CO2/m2, soit bien moins que tout autre fournisseur de solutions de toiture selon Pure Projet, une entreprise française spécialisée dans les questions environnementales, en particulier dans la lutte contre la déforestation.Onduline a également développé des Déclarations Environnementales de Produit (EPD) – ISO14025 & EN15804. L’EPD fournit des données quantifiées et requises pour réaliser l’ACV (analyse du cycle de vie) des produits et ainsi quantifier l’impact du produit sur l’environnement depuis l’approvisionnement en matières premières jusqu’à la sortie des usines.
Il y a 2 ans et 211 jours

Madrid veut inciter les Espagnols à installer des panneaux solaires

"Il y a un intérêt important" pour l'autoconsommation, qui "constitue une façon intéressante de réduire notre facture" énergétique, a souligné la ministre espagnole de la Transition écologique Teresa Ribera à l'issue du Conseil des ministres.Or, l'autoconsommation peut être encouragée, en mettant en place "une régulation simplifiée", a ajouté Mme Ribera en présentant cette série de mesures intégrées au plan énergétique adopté, conformément aux directives européennes, pour réduire la dépendance de l'UE vis-à-vis de Moscou.Le plan du gouvernement de gauche espagnol simplifie les démarches administratives à effectuer pour la mise en service d'installations d'une puissance inférieure à 500 kilowatts/heure, et encourage l'installation de panneaux photovoltaïques dans les bâtiments publics.Il prévoit enfin d'encourager l'"autoconsommation collective", en soutenant l'installation de panneaux solaires dans les immeubles et résidences – un choix décisif, alors que près des deux tiers des Espagnols vivent en appartement.L'autoconsommation d'électricité connaît un fort développement en Espagne depuis 2018, année où Madrid a supprimé un décret obligeant les particuliers reversant leur énergie au réseau national de payer une taxe, qualifiée d'"impôt sur le soleil" par ses opposants.Selon l'Union photovoltaïque espagnole (Unef), la puissance installée destinée à l'autoconsommation a atteint 1.203 mégawatts (MW) en 2021, soit deux fois plus qu'en 2020 (596 MW). Ce chiffre devrait par ailleurs être largement battu en 2022.Le plan énergétique de Madrid, qui intègre des mesures d'économie d'énergie visant à diminuer jusqu'à 13,5% la consommation de gaz naturel du pays d'ici à mars, étend par ailleurs jusqu'à décembre 2023 le plafonnement du prix du gaz utilisé pour la production d'électricité.Ce mécanisme dit d'"exception ibérique" a été instauré en juin en Espagne et au Portugal, avec l'aval de Bruxelles, en raison du manque d'interconnexions électriques entre la péninsule et le reste de l'Union européenne. Il devait initialement prendre fin en mai 2023.Ce régime dérogatoire a permis aux prix de l'électricité de refluer fortement ces derniers mois dans ces deux pays. Plusieurs pays européens comme la France réclament désormais sa généralisation à l'ensemble de l'Europe.
Il y a 2 ans et 212 jours

Voies ferrées, villas, plages... En Californie, l'océan avale la côte

"Tous les jours, je viens ici et ça me donne envie de pleurer", confie à l'AFP ce surfeur de 68 ans, aux premières loges depuis sa luxueuse maison avec vue sur l'océan à San Clemente.Dans cette ville du sud de la Californie, l'océan gagne inexorablement du terrain. Devant la digue ferrée où passe notamment le "Pacific Surfliner", ce train réputé pour son panorama exceptionnel, la plage qui s'étendait sur une centaine de mètres il y a encore quelques années s'est évaporée.Sans ce tampon naturel, les vagues de la tempête tropicale Kay en septembre ont fait bouger le sol sous les rails. La voie, qui permet chaque année à 8,3 millions de passagers de circuler entre San Diego et San Luis Obispo, est désormais fermée pour des travaux d'urgence.Changement climatiqueEn surplomb, l'inquiétude règne au sein de la résidence "Cyprus Shore", enclave sécurisée d'une centaine de villas cossues, où l'ex-président américain Richard Nixon a longtemps possédé un manoir. Car sans la plage pour soutenir le quartier, le glissement de terrain sur lequel il a été construit pousse lentement certaines maisons dans la mer. Le parking en bord de falaise s'effondre et deux villas aux murs fissurés sont désormais officiellement inhabitables."Elles valaient au moins 10 millions chacune", soupire M. Lang. "Cela fait des années que nous sonnons l'alarme, en vain."La zone constitue un véritable "microcosme" des enjeux à venir le long des 2.000 kilomètres de côtes californiennes, résume le maire adjoint de San Clemente, Chris Duncan. "Toute la côte en Californie est menacée par le changement climatique et l'érosion."Ce phénomène naturel est aggravé par la montée des eaux, provoquée par la fonte des glaciers, et l'augmentation de la puissance des vagues due au réchauffement des océans."Bataille perdue d'avance"D'ici 2050, entre 8 et 10 milliards de dollars d'infrastructures pourraient se retrouver sous l'eau en Californie, et d'autres constructions évaluées entre 6 et 10 milliards seront en zone de risque à marée haute, selon une étude publiée fin 2019 par le bureau de l'Assemblée de l'Etat.A San Clemente, les autorités de transport locales tentent de stabiliser les rails. Chaque jour, des tonnes de rochers sont déversées pour renforcer la digue sous la voie ferrée. Ces travaux doivent durer 45 jours et coûter 12 millions de dollars.Mais "c'est une bataille perdue d'avance", soupire M. Duncan. La ligne a déjà fermé en septembre 2021 pour ajouter 18.000 tonnes de rochers, sans résoudre le problème. "Ils aident à stabiliser la voie temporairement, mais provoquent une perte exponentielle de sable", selon lui, lorsque les vagues rebondissent violemment dessus.L'élu démocrate réclame l'aide des autorités fédérales pour ravitailler massivement sa ville en sable."Nous avons besoin d'un réapprovisionnement en sable et de techniques de rétention du sable pour s'assurer de reconstruire nos plages", martèle-t-il. "Il nous faut des digues, des récifs vivants, des épis là où cela pourrait être approprié."Reculer, un défi immenseA long terme, "la meilleure solution serait de reculer (les rails) loin de la côte", explique à l'AFP Joseph Street, géologue de la California Coastal Commission. "Mais cela représente évidemment un énorme effort, très cher", sans régler le sort des habitations."Beaucoup de nos décideurs ont traîné des pieds", déplore Stefanie Sekich-Quinn, de Surfrider Foundation. L'ONG de défense de l'environnement milite pour éloigner la ligne de la côte, une option préconisée dès 2009 dans un rapport fédéral.Mais ce concept de "retraite supervisée" reste très polémique. "Les gens ne veulent pas en entendre parler", admet la militante. La Californie ne compte qu'une poignée d'initiatives de ce genre. Sur la même voie ferrée que San Clemente, les autorités de San Diego, à une centaine de kilomètres au sud, viennent ainsi d'annoncer en juillet un vaste projet à 300 millions de dollars, pour relocaliser la portion des rails sous leur contrôle à l'intérieur des terres.Mais à San Clemente, pas question d'en débattre."Cela ne peut être qu'une option de dernier recours", lance M. Duncan, le maire adjoint. "Les gens attendent des élus comme moi qu'ils travaillent pour sauver nos maisons et notre voie ferrée, pas qu'ils abandonnent."
Il y a 2 ans et 212 jours

Budget vert : +4.5Md€ pour l'environnement en 2023, hors impact exceptionnel de la hausse des prix de l'énergie

Le budget vert permet d’identifier, selon une méthodologie rigoureuse, les dépenses budgétaires et fiscales favorables et défavorables à l’environnement. La France a été le premier pays au monde, dès 2020, à mesurer ainsi l’impact du budget de l’Etat sur l’environnement.En 2023, hors impact exceptionnel de la hausse des prix de l’énergie (boucliers tarifaires et soutien aux énergies renouvelables) et hors relance, les dépenses du budget de l’Etat favorables à l’environnement de l’Etat s’élèvent à 33,9 Md€, soit une hausse de 4,5 Md€ par rapport à 2022, et les dépenses brunes sont globalement stabilisées.Synthèse des résultats du budget vert 2023, hors relance et hors dispositifs de soutien pour faire face à la hausse des prix de l’énergieCette hausse significative des dépenses « vertes » reflète l’ambition environnementale du Gouvernement, et notamment :La montée en puissance du plan d’investissement France 2030 ;La poursuite d’un haut niveau d’ambition en matière de rénovation énergétique des bâtiments (Ma Prime Rénov’, rénovation des bâtiments publics, taux réduit de TVA pour les travaux d’amélioration énergétique, etc.) et en matière de soutien à l’acquisition de véhicules propres (prime à la conversion, bonus pour l’achat de véhicules électriques ou hybrides) ;Le financement des mobilités propres (ferroviaire, transports en commun, plan vélo, etc.),L’appui à la transition écologique des collectivités territoriales (« fonds vert »).Par ailleurs, plus de 3,6 Md€ de dépenses favorables à l’environnement sont financées par la mission plan de relance en 2023. Dans l’urgence et pour faire face à la crise de l’énergie liée à la guerre en Ukraine, le gouvernement a mis en place au cours de l’année 2022 différentes mesures de boucliers sur l’énergie (gaz, électricité, carburants). L’outil du budget vert ne permettant pas d’inclure des dépenses décidées en cours d’année, une présentation complémentaire a été ajoutée pour détailler ces mesures de soutien sur le prix des énergies.Ainsi, pour l’année 2022, le coût brut des boucliers tarifaires sur l’électricité et le gaz est respectivement estimé à 18,7 Md€ et 8,1 Md€. Celui de la remise carburant s’élève à 7,6 Md€.Certains de ces mécanismes sont prolongés en 2023 comme l’a annoncé la Première ministre le 14 septembre. Conformément à l’engagement du Gouvernement pour la transition écologique, les mesures de bouclier intègrent les enjeux de transition écologique en devenant plus ciblées, notamment grâce au renforcement du chèque énergie. Pour l’année 2023, la remise carburant n’est pas prolongée et les boucliers gaz et électricité sont prolongés, permettant de limiter à 15% la hausse des prix, avec un renforcement des aides ciblées sur les ménages les plus modestes.Pour l’année 2023, les coûts bruts des boucliers tarifaires pour l’électricité et le gaz sont respectivement estimés à 33,8 et 11,1 Md€ en comptabilité nationale.Par ailleurs, le contexte actuel des prix de l’électricité a un effet significatif sur les dépenses associées aux énergies renouvelables. Alors que les années précédentes le prix des ENR était généralement supérieur aux prix de marché, l’Etat apportait une contribution nette au développement des ENR, de l’ordre de 6 milliards d’euros par an. En 2022, les prix de marché étant plus élevés que les prix des ENR, celles-ci sont devenues contributrices nettes au budget de l’Etat pour un montant de 9,6 Md€. Cette diminution des financements publics n’a toutefois pas d’impact sur le rythme de développement des énergies renouvelables qui reste dynamique.En incluant les soutiens exceptionnels liés à la crise de l’énergie, les dépenses vertes relevant du budget de l’Etat sont globalement stables pour le PLF 2023 (cette stabilité masquant les effets inverses entre le renforcement des dispositifs de transition écologique et les effets des prix élevés de l’énergie sur les dépenses de soutien aux producteurs d’énergies renouvelables), tandis que les dépenses défavorables augmentent de 9,3 Md€, dont 8,9 Md€ du fait de la contribution nette du budget de l’Etat au titre des « boucliers tarifaires » gaz et électricité inscrite au PLF 2023. Au global, les dépenses défavorables à l’environnement restent néanmoins très inférieures aux dépenses favorables.Enfin, le « budget vert » met désormais en regard les recettes environnementales perçues par l’État (26,1 Md€), notamment celles assises sur les énergies fossiles (22,9 Md€), avec les dépenses favorables à l’environnement du budget de l’Etat (33,9 Md€).
Il y a 2 ans et 212 jours

Nouveau décret pour l'extinction des publicités lumineuses lors des périodes de forte tension électrique

Toutes les publicités lumineuses sont concernées : les publicités supportant des affiches éclairées par projection ou transparence, les publicités numériques, les publicités en agglomération comme hors agglomération. La mesure concerne les publicités lumineuses se trouvant sur les voies ouvertes à la circulation publique ainsi que dans les aéroports, les gares ferroviaires et routières et les stations et arrêts de transports en commun de personnes. Elle s'applique également aux publicités situées à l'intérieur d'un local lorsque leur emplacement les rend visibles depuis la voie publique. Les publicités sur mobilier urbain sont également concernées.Les gestionnaires de publicité seront avertis des périodes de tension grâce au dispositif Ecowatt.Grâce à cette mesure, la réduction de la puissance appelée sur le réseau électrique est estimée à 125 MW.Le décret applicable immédiatement pour les publicités numériques et les équipements pilotables à distance, et au plus tard le 1er juin 2023 pour l’ensemble des publicités lumineuses, fait suite à l’article 31 de la loi n°2022-1158 du 16 août 2022 portant mesures d'urgence pour la protection du pouvoir d'achat.Pour Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique : « Cette mesure d’urgence permettra de soulager notre réseau électrique en cas de fortes tensions cet hiver, au signal Ecowatt rouge. C’est un dispositif complémentaire du plan de sobriété énergétique qui, lui, doit nous permettre de transformer nos habitudes pour réduire durablement notre consommation d’énergie. C’est notamment le sens de l’interdiction des publicités lumineuses chaque jour entre 1h et 6h du matin, partout en France, que j’ai annoncée cet été et qui est mise en œuvre depuis le 7 octobre dernier. Chaque geste compte pour économiser l’énergie. »
Il y a 2 ans et 213 jours

MaPrimeRénov' : de graves dysfonctionnements techniques et des centaines de plaintes selon la Défenseure des droits

Mise en place en 2020 et pilotée par l'Agence nationale de l'habitat (Anah), MaPrimeRénov' vise à aider les Français modestes à rénover leur logement pour réduire leur consommation d'énergie et leurs émissions de gaz à effet de serre.Dans son projet de budget 2023, le gouvernement a prévu de porter à 2,5 milliards d'euros l'enveloppe consacrée à cette aide-phare.Mais les démarches pour l'obtenir sont émaillées de "graves dysfonctionnements techniques récurrents", souligne l'autorité indépendante dirigée par Claire Hédon, qui indique avoir reçu près de 500 réclamations en deux ans.Le problème majeur, souligne-t-elle, vient du portail informatique où les usagers doivent impérativement créer un compte pour faire leurs démarches."Des heures face à un mur"L'obligation de passer par internet crée une "rupture d'égalité devant le service public", alerte l'autorité indépendante.Et même pour des usagers à l'aise avec l'informatique, le site présente des dysfonctionnements récurrents. Avec parfois des conséquences dans le versement de l'aide, qui peuvent plonger dans la précarité les demandeurs.C'est le cas de Pauline Blanckaert. Cette comptable a déposé en décembre dernier une demande d'aide pour des travaux de rénovation d'un montant proche de 50.000 euros pour une maison qu'elle vient d'acquérir dans l'Oise.Mais lorsqu'elle a demandé, en septembre, le paiement de l'aide de 7.450 euros promise par l'Anah, on lui a notifié qu'elle n'avait plus droit à rien, notamment au motif d'un "changement de zone géographique"."Je suis perdue, j'en ai ras-le-bol", confie-t-elle à l'AFP. "Ca nous met en difficulté, dans la précarité, et moralement, c'est compliqué".Mélanie Fleurier, qui avait engagé 15.000 euros en septembre 2020 pour installer une pompe à chaleur chez elle, dans le Var, devait avoir droit à une aide de 4.000 euros. Elle n'a rien reçu pendant un an et demi, jusqu'à obtenir, en mai 2022, un versement de... 355 euros."La différence, elle est énorme", s'exclame cette auxiliaire de puériculture. Elle raconte avoir téléphoné "un nombre incalculable de fois" à l'Anah pour obtenir révision de son dossier, sans succès. "C'est des heures face à un mur".Son recours devant l'Anah resté sans réponse, elle s'est résolue à saisir la justice.ImpuissanceLa difficulté pour modifier des éléments d'un dossier déjà déposé, l'impuissance ressentie au téléphone avec les conseillers, les délais de versement de la prime sont des témoignages récurrents recueillis par l'AFP.La Défenseure des droits pointe les "délais de traitement extrêmement longs". Certains ménages qui ne parvenaient pas à se créer un compte et n'ont pu constituer leur dossier avant d'engager leurs travaux ont également vu leur demande refusée au motif... qu'elle avait été faite trop tard."Refuser la prime à ces demandeurs revient à ce que l'Anah les sanctionne pour ses propres carences", estime la Défenseure des droits qui demande la mise en place d'un canal ne passant pas par le portail en ligne.Elle lui réclame des comptes dans un délai de trois mois.Contactée par l'AFP, l'Anah "prend acte" des recommandations tout en assurant qu'une "immense majorité des dossiers se déroule sans encombre". Selon l'agence, le dispositif a rencontré "un fort succès" avec plus d'1,25 million de bénéficiaires.Elle assure par ailleurs que le délai moyen d'instruction des dossiers complets est "de 15 jours ouvrés".Le ministre délégué au Logement Olivier Klein a également jugé "très marginal" le nombre de dossiers en souffrance."MaPrimRénov représente un grand progrès pour les citoyens", a ajouté le ministre en soulignant qu'auparavant, il pouvait s'écouler "plus d'une année" entre la réalisation des travaux et le versement du crédit d'impôt pour la transition énergétique (CITE), nom du précédent dispositif d'aide."En 2021, les 2,1 milliards d'euros de budget de MaPrimRénov' ont bénéficié à 80% à des ménages modestes et très modestes", poursuit encore Olivier Klein.
Il y a 2 ans et 213 jours

Au salon Chillventa, fluides naturels et pompes à chaleur de très grande puissance

Propane, CO2, NH3 et le nouveau HFO R471A sont les fluides les plus en avant. Ils accompagnent des pompes à chaleur de plus de 1 MW destinées aux chaufferies, à l’industrie et au chauffage urbain.
Il y a 2 ans et 214 jours

La Grande Mosquée de Paris, monument parisien emblématique, célèbre son centenaire

Le président de la République devrait dévoiler à cette occasion une plaque marquant entre autres la "reconnaissance" de la République pour ses soldats musulmans, a-t-elle indiqué à l'AFP.Construite bien avant les grandes vagues d'immigration, la GMP est la première mosquée métropolitaine érigée à l'ère contemporaine.Il s'agit, pour "les autorités de l'époque", de "rendre un hommage très fort aux musulmans pour leur sacrifice pendant la Première Guerre mondiale", dit à l'AFP le recteur actuel, Chems-Eddine Hafiz.Quelque 70.000 soldats de l'armée française, de confession musulmane, sont morts durant la Première Guerre mondiale, selon une estimation du ministère de la Défense.En 1920, un projet de loi dont le rapporteur est Edouard Herriot, alors député, et qui prévoit un Institut musulman comportant notamment une mosquée, une bibliothèque, une salle de conférence, est voté au Parlement.Fait marquant: il comporte une subvention de "500.000 francs", 15 ans après la loi de 1905 de séparation des Eglises et de l'Etat. Cela a été permis grâce "à un montage juridique", via un enregistrement au tribunal religieux d'Alger, "alors département français, dans lequel la loi de 1905 ne s'appliquait pas", selon le recteur.Parallèlement, une souscription est lancée dans tout l'empire colonial pour que les musulmans participent à sa construction."Impérialismes européens"En mars 1922, l'orientation de la future salle de prière par rapport à La Mecque est décidée. Le 19 octobre de la même année a lieu l'inauguration solennelle des travaux du futur bâtiment, en présence du maréchal Hubert Lyautey, stratège militaire et figure emblématique de la colonisation française au Maroc, sur un terrain des Hôpitaux de Paris.Quatre ans seront ensuite nécessaires à son édification et la mosquée est officiellement inaugurée en 1926.Sa construction correspondait aussi à "des motifs géostratégiques, en pleine lutte entre impérialismes européens", souligne Dorra Mameri-Chaambi, chercheuse à l'EHESS, qui a consacré une thèse au rôle de la Grande Mosquée dans l'islam en France."Avec les accords Sykes-Picot de 1916, les puissances impériales souhaitaient dépecer l'Empire ottoman. La période était également propice à offrir des gages de sympathie aux sujets musulmans de l'Empire colonial français", et à "conforter la France dans son rôle de puissance musulmane d'Europe", dit-elle.Sadek Sellam, auteur de La France et ses musulmans (Fayard), insiste sur le fait que "plusieurs projets" de mosquées ou d'institutions musulmanes à Paris avaient émergé, notamment dans certains milieux islamophiles, "dès 1846 puis en 1895".Avec son style hispano-mauresque, ses jardins et patios à l'andalouse, ses zelliges et moucharabiehs et son minaret haut de 33 m, l'édifice religieux, flanqué dès l'origine d'un restaurant et d'un hammam, est devenu un bâtiment emblématique de la capitale.Proche du Quartier latin, entre vieux immeubles parisiens et Jardin des plantes, il est classé à l'inventaire des "monuments historiques" depuis 1983. Sa construction est en béton armé avec des matériaux décoratifs (tuiles vertes, faïences, mosaïques, fer forgé) provenant du Maghreb. "C'est clairement une architecture maghrébine" qui a été retenue, observe Mathieu Lours, historien de l'architecture.Pour autant, "avec l'utilisation de techniques modernes - le béton-", mais aussi "l'importance majeure donnée à la coupole", "la recherche d'un grand volume à l'intérieur comme ce que souhaitent les catholiques à la même époque (dans leurs églises), on se dit que c'est vraiment un édifice religieux des années 1920", dit-il.Pour quelques jours, la GMP présente une trentaine de panneaux mettant en avant plusieurs personnalités: le premier directeur de l'institut, Kaddour Ben Ghabrit, le maréchal Lyautey, Edouard Herriot, ou encore l'islamophile Paul Bourdarie, directeur de La Revue indigène, soutien du projet dès 1915.
Il y a 2 ans et 214 jours

Une villa d’exception équipée de solutions domotiques connectées Legrand

Mayder Iraola, Directrice Générale de J.D.P.S.O. et gérante de la villa Ocean Zen, détaille les prestations du lieu : jacuzzi, piscine, hammam, sauna et bel équipement intérieur. Côté équipements électriques, une installation complète connectée Legrand a été mise en œuvre afin de montrer aux clients l’intérêt de la domotique pour simplifier tous les usages dans la maison.Jérôme Delorme, Président Directeur Général de J.D.P.S.O., a fait le choix d’un partenariat avec Legrand, qui proposait une solution complète. La maison vitrine est donc intégralement équipée en Legrand :Armoire électrique puissance LegrandSolution domotique MyHOME LegrandBaies VDI LegrandAppareillage Living Now de LegrandPortier vidéo classe 300EOS with Netatmo de BticinoCaméras extérieures Netatmo Présence NOC PRODétecteurs de fumée connectés NetatmoBorne de recharge rapide pour véhicules électriques GREEN’UP LegrandJérôme Delorme présente dans ce reportage chantier l’intérêt du portier vidéo connecté Classe 300EOS with Netatmo de Legrand : il permet de garder un œil sur l’entrée grâce aux caméras extérieures Netatmoil est relié aux détecteurs de fumée connectésil intègre la commande vocale pour allumer et éteindre les lumières et ouvrir et fermer les volets roulants grâce à la voix !
Il y a 2 ans et 214 jours

A Londres, la nouvelle vie de l'emblématique centrale électrique de Battersea

Située au sud de la Tamise, la réhabilitation de la centrale construite dans les années 1930 est le dernier exemple en date des projets de transformation d'anciens sites industriels de la capitale britannique.Entamés en juillet 2013, les travaux qui auront coûté 9 milliards de livres (environ 10,2 milliards d'euros) ont pris fin et le site ouvre vendredi au public.Ses 16 hectares accueillent désormais plus de 250 boutiques, cafés et restaurants, plus de 270.000 m2 d'espaces commerciaux ainsi que des appartements, un théâtre, un hôtel, un espace événementiel et 24 hectares de jardins.Au total, les concepteurs du projet estiment que 25.000 personnes vivront ou travailleront sur le site, résultat du "plus minutieux projet de restauration d'un bâtiment post-industriel de Londres", selon Ben Walker, de l'agence LDA Design qui y a contribué.Devenue culte depuis que le groupe Pink Floyd en a fait la couverture de son album Animals en 1977, la centrale avait auparavant fait l'objet de nombreuses critiques. Au début de sa construction, la stabilité de ses cheminées avait été mise en doute, et certains sceptiques l'avait qualifiée de "gigantesque et inutilement laide".Au plus fort de son activité, la centrale produisait un cinquième de l'électricité consommée à Londres, fournissant notamment le palais de Buckingham et le Parlement.Mais dans les années 1970, son utilité avait diminué, avec la montée en puissance de nouvelles sources de production d'électricité dans l'estuaire de la Tamise. Une première unité de la centrale avait été mise à l'arrêt en 1975, et la seconde en 1983.Plusieurs projets avortés avaient ensuite tenté de réhabiliter le bâtiment, qui a progressivement perdu sa toiture et est tombé petit à petit en ruine. Jusqu'à son rachat en 2012 par un consortium d'investisseurs malaisiens. Les architectes ont dû faire face à de nombreux défis pour transformer la centrale, notamment pour respecter la vision de l'architecte Giles Gilbert Scott, qui a joué un rôle majeur dans sa construction, en créant de "nouveaux et immenses espaces".Bijou Art décoAprès avoir craché de la fumée pendant un demi-siècle, les quatre cheminées de 8,4 mètres de diamètres avaient notamment souffert de la corrosion et elles ont dû être démontées avant d'être reconstruites à l'identique.Désormais, les visiteurs pourront monter au somment de l'une d'entre elles via un ascenseur en verre pour profiter d'une vue panoramique sur Londres. D'autres éléments du bâtiment d'origine ont été conservés, comme l'espace qui abritait la turbine de la première unité de la centrale, un bijou Art déco. Autre trace du passé du site: le quai de 133 mètres de long qui servait à charger le charbon depuis la rivière est désormais bordé de boutiques et de restaurants.La centrale de Battersea est la dernière sur une longue liste de sites industriels rénovés dans la capitale britannique.Une autre centrale électrique londonienne, celle de Bankside, également conçue par Giles Gilbert Scott, abrite ainsi depuis 2000 la Tate Modern, le musée d'art moderne de Londres.Pour Tom Goodaal, associé du cabinet Related Argent, spécialiste des rénovations urbaines et qui a notamment travaillé sur la réhabilitation de la gare de King's Cross à Londres, Battersea va susciter un grand attrait car elle est un exemple de ce que peut être "le mélange heureux de l'ancien et du moderne".Mais son succès sur le long terme viendra de "la magie" qui pourra advenir dans la manière dont le public prendra possession de ses espaces. "Ce sera la capacité des gens à déambuler entre les bâtiments et à en profiter sans avoir besoin de faire partie d'un club particulier qui lui donnera sa vraie valeur", ajoute-t-il.
Il y a 2 ans et 217 jours

Cosentino présente son rapport RSE

Dans ce nouveau cadre, l'entreprise continue de remplir son engagement de transparence et de responsabilité en matière de durabilité économique, sociale, environnementale et éthique envers ses employés et les autres parties prenantes. De plus, conformément au standard international de la Global Reporting Initiative (GRI), le document prend également en considération la performance de l’entreprise dans sa contribution aux Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’Agenda 2030.L’engagement majeur de Cosentino, est d’avoir le meilleur impact possible sur les personnes et le minimum d'impact sur la planète. Cosentino expose dans le rapport les leviers stratégiques, les jalons et ses réalisations dans les domaines sociaux, environnementaux et de bonne gouvernance. Ces piliers sont dirigés par un modèle d'entreprise bien établi avec une solidité financière - comme en témoignent les résultats financiers 2021 - et basé sur l'innovation et la R&D, une production efficace, l'économie circulaire, la formation, l'action sociale et surtout, la force et le haut professionnalisme des équipes qui constituent l'entreprise.Environnement : Durabilité et gestion environnementaleCosentino démontre son engagement en faveur de l'économie circulaire et la réduction de son empreinte carbone à travers une série d’actions tels que l'utilisation de 99% d'eau réutilisée, zéro perte d’eau (traitement et recirculation quotidiens de 800 000 m3 d'eau), l'utilisation de 100% d’énergie électrique renouvelable et le développement de produits durables tels que Dekton®, un produit neutre en carbone sur l'ensemble de son cycle de vie, et la technologie HybriQ+® pour les produits Silestone®.Rien qu'en 2021, Cosentino a investi près de 30 millions d'euros dans des actifs environnementaux et des coûts d'amélioration environnementale.Parmi les actions complémentaires mises en place, citons la production de plus de 3 millions de m2 de dalles à partir de matériaux recyclés ou récupérés (près d'un tiers de la production totale de l'entreprise) uniquement pour 2021. Cela a été rendu possible grâce à l’usine de traitement des déchets du groupe, qui a permis à l'entreprise de gérer 400 000 tonnes de déchets solides en 2021, dont 13% ont été récupérés, augmentant ainsi la part de matières premières recyclées utilisées à 26%.L'année dernière, Cosentino a mis en place un nouveau modèle énergétique industriel basé sur les sources d'énergie renouvelables et l'autoconsommation, qui couvre également la gestion des ressources en eau. Durant les prochaines semaines, Cosentino mettra en place la plus grande centrale photovoltaïque d'autoconsommation au sol en Espagne. La centrale aura une puissance crête de 20 MW et une capacité de production d'énergie d'environ 34 GWH/an, qui sera complétée par l'installation de panneaux solaires sur les toits des usines. Dans le même temps, Cosentino construit sa propre usine de récupération des eaux usées. Cette usine, qui devrait être opérationnelle cette année, réutilisera les eaux usées rejetées par les communes voisines.Social : Création d'emplois et contribution à la sociétéOutre l'innovation et la durabilité, l’engagement humain est la valeur fondamentale de Cosentino. Pour l'entreprise, le capital humain est son atout le plus important. En 2021, Cosentino reste attaché à l'emploi de qualité et a créé près de 700 nouveaux postes, terminant 2021 avec un effectif de 5 425 employés. L'effectif de l'entreprise est composé de 76 nationalités différentes et le pourcentage de CDI est de 91%.Cet engagement envers la prospérité et la croissance s'étend également aux communautés où Cosentino est présent, en particulier dans son environnement immédiat, dans les régions d'Almanzora et d'Almería en Espagne. Cosentino apporte une contribution pionnière à l'éducation et à la formation en faisant la promotion de programmes de formation professionnelle en alternance menés dans ses installations et à travers les activités menées par sa Fondation Eduarda Justo. L'entreprise soutient également les domaines de l'architecture, du design, du sport et de la gastronomie à travers une série de partenariats et de parrainages, et promeut l'art et la culture à travers la Fondation d'art Ibáñez Cosentino. Enfin, l'entreprise a fait de multiples dons directs à diverses organisations et associations pour un total de plus d'un million d'euros, soit 20% de plus qu'en 2020.Gouvernance : Gestion responsable et transparenteLa feuille de route de Cosentino est basée sur des critères ESG et avance sur la base d'une intégration et d'une communication transparente avec ses employés et toute sa chaîne de fournisseurs, clients et collaborateurs. Une instance de gouvernance responsable qui encourage le développement des talents à travers des programmes de recrutement et de management comme Acelera, Ingenia ou Impulsa, qui investit de plus en plus dans la santé et la sécurité et qui promeut l'égalité et la diversité, avec 22% de femmes dans les postes de direction et 50% dans son Conseil d'administration en 2021.Cette année encore, cette performance a contribué de manière proactive à l'atteinte de certains Objectifs de Développement Durable (ODD) majeurs, primaires et secondaires, tels que l'ODD 3 (Bonne santé et bien-être), l'ODD 8 (Travail décent et croissance économique) , ODD 9 (Industrie, innovation et infrastructure), ODD 12 (Consommation et production responsables), ODD 13 (Action pour le climat) ou ODD 17 (Partenariats pour les objectifs), entre autres.
Il y a 2 ans et 219 jours

Installer des ombrières photovoltaïques sur les parkings de supermarchés produirait l'équivalent d'un EPR par an

Question : A combien estimez-vous les surfaces de parking de centres commerciaux en France susceptibles de recevoir des ombrières produisant de l'électricité solaire ?Réponse : "L'Ademe a identifié 843 friches industrielles et urbaines pouvant recevoir des installations photovoltaïques, et nous estimons que dans ce total, il existe entre 90 et 150 millions de mètres carrés de parkings de plus de 2.500 mètres carrés susceptibles d'être équipés en ombrières. Nous équipons déjà des hôpitaux, comme celui d'Evreux, certaines usines comme celle de Bledina à Brive-la-Gaillarde en Corrèze, ou Evian en Haute-Savoie, et commençons à équiper des centres commerciaux. En moyenne, chaque équipement coûte 1 million d'euros par site, et permet de couvrir 30% des besoins énergétiques quotidiens de nos clients.Nous louons les surfaces de parking grâce à un bail avec les distributeurs, à qui nous revendons ensuite l'électricité solaire à un prix inférieur à celui du marché. Les filiales d'EDF et d'Engie, qui sont nos principaux concurrents, ont le même modèle d'affaire que nous. Nous arrivons avec des investisseurs, l'installation ne coûte rien aux centres commerciaux, et leur permet de dégager des bénéfices dès la première année".Q : Cela représenterait quelle puissance d'électricité fournie ?R : "Les parkings de supermarchés représentent un énorme réservoir d'énergie. Si on équipait seulement la moitié de ces parkings, c'est comme si on produisait 2 gigawattheure par an en électricité solaire, soit autant que 1,2 EPR (nucléaire) par an.La France est très en retard sur le sujet car on voit de telles ombrières un peu partout en Europe. Il faut penser que ce type d'équipement peut aussi favoriser le développement des véhicules électriques, car dessous on peut installer des bornes alimentées en partie par du solaire, ce qui permettrait aux centres commerciaux volontaires d'offrir des recharges gratuites à leurs clients".Q : Où vous approvisionnez-vous en matériaux pour les panneaux solaires ? Qu'avez-vous prévu pour le recyclage des panneaux solaires en fin de vie ?R : "Les contrats prévoient la fin de vie et le recyclage, chaque client peut choisir de remplacer les panneaux ou de les retirer. Les panneaux sont garantis au moins 25 ans. L'acier galvanisé est français et nous avons aussi un fournisseur français de panneaux photovoltaïque. Il y a déjà une usine de recyclage dans le Roussillon et une deuxième en cours de création."
Il y a 2 ans et 221 jours

Un premier centre de réemploi de panneaux solaires lancé près de Bordeaux

Sur 4.000 tonnes de panneaux réceptionnés chaque année, l'entreprise de l'économie sociale et solidaire Envie 2E, gérant de ce site qui va démarrer "dans quelques semaines", estime pouvoir en revendre 5%, après des tests de fonctionnement, à des particuliers, des entreprises et des collectivités.À la tonne, ces panneaux de seconde main rapportent environ "cinq fois plus" que la revente des matériaux recyclés, a expliqué Frédéric Seguin, le directeur du centre de traitement.Autre nouveauté, pour l'activité de recyclage, l'entreprise s'est dotée d'une technologie de "délamination" importée du Japon qui permet de découper le panneau photovoltaïque en séparant la couche de verre de ses composants métalliques, à la différence du processus de "broyage" général utilisé jusqu'ici dans cette filière naissante.Les matières premières retirées - 70 % de verre mais aussi argent, silicium, cuivre et aluminium - seront destinées à des fonderies et des entreprises de transformation verrière, a ajouté M. Seguin, estimant à 95% le taux de valorisation des panneaux traités par l'entreprise.Pour Nicolas Defrenne, directeur général de l'éco-organisme Soren, chargé d'organiser la filière de recyclage des déchets de l'énergie solaire en France, l'unité girondine est "avant-gardiste" car sa technologie est la seule en Europe à recycler l'argent, "un matériau critique" et "indispensable à la transition énergétique".Le site de Saint-Loubès est le troisième grand centre de recyclage de panneaux solaires construit en France après celui de Haluin (Nord), toujours opérationnel, et de Rousset (Bouches-du-Rhône), géré par Veolia de son lancement en 2018 à sa fermeture il y a quelques mois.La réglementation européenne oblige tout importateur ou fabriquant de panneaux à énergie solaire établi sur le territoire européen à les collecter et à les traiter lorsqu'ils arrivent en fin de vie.D'après l'éco-organisme Soren, 1,245 million de tonnes de panneaux solaires, d'une durée de vie de 20 à 30 ans, sont actuellement installées en France. À la mi-2022, la puissance totale des installations photovoltaïques atteignait 15,2 GW, dont un quart en Nouvelle-Aquitaine, selon des données provisoires du ministère de la Transition énergétique.
Il y a 2 ans et 226 jours

daikin etend sa gamme de purificateurs d air avec 2 nouveaux produits mc30y et mck70y

Deux nouveaux modèles font leur apparition en 2022 : les purificateurs MC30Y et MCK70Y pour l’équipement de logements et de surfaces tertiaires, lesquels répondent à la fois aux besoins de puissance, d’efficacité sur les particules les plus fines, les virus et allergènes et de maîtrise budgétaire. Performance, discrétion, design, fiabilité, respect de l'environnement : tout l'ADN de Daikin se retrouve dans les modèles MC30Y et MCK70Y, aboutissement d'une ingénierie de pointe.
Il y a 2 ans et 228 jours

Acheter les murs de son logement mais pas le terrain, le BRS un outil anti-spéculation

Avec 40.000 euros d'apport, Béatrice, professeure d'espagnol de 51 ans, n'avait pas les moyens d'acheter seule un appartement à Pantin (Seine-Saint-Denis). Grâce au BRS, nouveau dispositif d'accession sociale à la propriété, la voilà propriétaire d'un "71 m2 plus 14m2 en soupente" à Pantin, moyennant 220.000 euros et une redevance mensuelle de 175 euros."C'est miraculeux car c'est 50% moins cher que dans le privé. Je n'étais pas obsédée par l'idée d'acheter à tout prix, mais j'avais déjà un loyer de plus de 1.000 euros et je ne voulais pas être locataire à vie sans rien transmettre à mes enfants", poursuit cette mère de deux enfants, qui a emprunté sur 15 ans à raison de 1.200 euros de mensualités.Issu de la loi Alur, le bail réel solidaire suppose l'achat d'un terrain par un organisme foncier solidaire (OFS), un établissement à but non lucratif agréé par l'État. L'OFS revend ensuite le bâti - neuf ou rénové - à un ménage à revenus modestes moyennant le versement d'une redevance pendant la durée du bail, qui peut aller jusqu'à 99 ans. A Paris, une personne seule devra ainsi gagner moins de 33.400 euros par an pour en bénéficier.Pour l'acquérant, l'économie peut atteindre 40%, voire plus, par rapport au privé, selon la fédération des Coop' HLM.A l'issue du bail, le propriétaire ou ses ayants-droits peuvent soit revendre avec une plus-value encadrée soit conserver le logement en signant un nouveau bail long, toujours sous condition de ressources."On n'est pas du tout habitués à ce modèle en France mais la propriété n'est pas fragile du tout, simplement on ne peut pas faire de spéculation. Ca permet de toucher des ménages qui sont totalement exclus de l'accession à la propriété pour qu'ils puissent vivre là où ils en ont besoin", observe Cécile Hagmann, directrice générale de la Coop' Foncière, qui ambitionne de vendre 1.000 logements en BRS en Ile-de-France d'ici 2030.Zone tendueLe dispositif "ne cesse de monter en puissance", assure Tristan Ruiz, du cabinet Adéquation. "On est passé de 2.000 logements mis en vente fin 2021 à 3.300 au premier semestre 2022", observe-t-il, avec un prix de vente moyen "à 2.690 euros/m2". La plupart de ces logements sont situés dans les zones les plus tendues, "historiquement d'abord en Bretagne et en Nouvelle-Aquitaine, mais on observe aujourd'hui un recentrage sur l'Ile-de-France et en PACA", précise M. Ruiz.Les collectivités sont particulièrement friandes du dispositif et créent leur propre OFS pour éviter d'exclure les catégories sociales les plus modestes des villes. Le secteur privé se montre lui aussi très intéressé. "Le terrain étant dissocié du bâti à la vente, l'un des risques est d'avoir une spéculation sur le foncier. Il ne faudrait pas que des propriétaires vendent leur terrain plus cher en se disant qu'il trouvera toujours son client dès lors qu'on peut faire un BRS et lisser le prix du foncier sur 80 ans", prévient toutefois Marianne Louis, déléguée générale de l'Union sociale pour l'habitat (USH), qui représente les bailleurs sociaux.Conçu au départ pour répondre aux besoins de logements dans les zones tendues avec une offre de logements neufs, le BRS a également trouvé son utilité dans certaines zones rurales, dans l'ancien.C'est le cas au Pays basque, où l'établissement public foncier local s'est emparé de l'outil pour rénover des logements inoccupés dans les centres-bourgs et y faire revenir des familles qui n'avaient pas les moyens de faire les travaux.Selon Antoine Rousselie, directeur général adjoint du bailleur social marseillais Erilia, le BRS trouve aussi son utilité sur les littoraux "face à la multiplication des résidences secondaires et des locations saisonnières qui évincent les populations locales", même s'il faut selon lui "l'utiliser massivement pour avoir un effet, faute de quoi on risque de déplacer la spéculation sur un autre territoire".
Il y a 2 ans et 230 jours

Comment bien choisir son cloueur professionnel ?

Indispensables aux différents travaux du bâtiment, le cloueur est un outil qui permet de fixer différentes structures. Bon nombre de charpentiers ainsi que des professionnels du bâtiment choisissent de l’utiliser en raison de son côté pratique. Voici quelques conseils qui permettent de bien choisir un cloueur professionnel à utiliser pour tous travaux du bâtiment. Déterminer le modèle en fonction de l’utilisation de chacun Il existe en tout 4 types de cloueurs professionnels sur le marché. Par conséquent, il est important de connaître le modèle à acheter avant de faire ses courses auprès d’une quincaillerie professionnelle. Pour ce faire, la première étape consiste à déterminer l’utilisation future du cloueur. Certains appareils permettent effectivement de clouer des couvertures ou de faire des travaux de bardages. Ils sont adaptés pour fixer des plaques en bois acier ou des bétons fibrés. Ces équipements conviennent aussi pour poser une isolation extérieure. Ils permettent d’effectuer un tir continu. De cette manière, l’ouvrier peut facilement réaliser des clouages répétitifs et finir son travail assez rapidement. Les cloueurs charpentes sont quant à eux destinés à travailler sur les ossatures en bois. Ils servent également pour différents travaux sur les chantiers de construction. Ces cloueurs s’adaptent effectivement à différents types de surfaces et d’utilisations. En ce qui concerne les travaux de finitions, des cloueurs sont aussi conçus spécifiquement pour cela. Ils permettent ainsi de réaliser la pose de parquets ou de cloisons. Ces équipements conviennent aussi pour les travaux de décorations comme la pose de tissus ou la conception de petits meubles. Choisir parmi 4 types de cloueurs Après avoir défini l’utilisation future du cloueur, il est désormais temps de trouver celui qui convient pour les besoins de chacun. Ainsi, le cloueur pneumatique est le plus puissant des 4 modèles disponibles sur le marché. Il est donc recommandé pour les travaux de couvertures et peut accueillir des clous de 130 mm. Le cloueur pneumatique fonctionne grâce à un système d’air comprimé et permet alors de clouer de manière répétitive. Le cloueur électrique est moins puissant que le modèle pneumatique. Néanmoins, il est plus apprécié en raison de son côté silencieux. En plus, le cloueur électrique est branché sur secteur et peut donc être utilisé de manière illimitée. Il peut être utilisé pour clouer des tissus ainsi que des plinthes avec des clous de moins de 35 mm. Le cloueur électrique est aussi un outil d’ébénisterie. Le clouer à batterie est idéal pour avoir plus d’autonomie et plus de liberté dans les mouvements. Il permet d’enfoncer des clous de moins de 60 mm. Cet équipement offre ainsi la possibilité aux ouvriers du bâtiment de travailler plus rapidement et en toute sécurité. En plus, certains modèles de cloueurs à batterie angulaires permettent de travailler sur certaines zones difficiles d’accès. Les cloueurs à gaz sont quant à eux les plus performants du marché. Ils se caractérisent par une puissance supérieure à celle des modèles électriques. Les cloueurs à gaz ne sont pas munis de compresseurs et fonctionnent grâce à une technologie de propulsion à gaz. Cet équipement convient pour enfoncer des clous de moins de 90 mm. En plus, les cloueurs à gaz sont dotés d’une bonne autonomie permettant ainsi une utilisation prolongée.
Il y a 2 ans et 232 jours

Panneau photovoltaïque ultra noir

A l’occasion du Mondial du Bâtiment (du 3 au 6 octobre 2022 à Paris), DualSun présente son nouveau panneau photovoltaïque de dernière génération : le FLASH® 425 Shingle. Plus puissant, plus résistant et générant un impact environnemental réduit. il est conçu pour des projets d’autoconsommation sans compromis sur l’esthétisme et le rendement afin de conserver toute l’élégance du bâtiment. Il bénéficie d’innovations le rendant encore plus performant et plus élégant que son prédécesseur : puissance de 425 Wc en ligne avec les dernières évolutions du marché, meilleur rendement par m² et apparence ultra black pour un rendu très esthétique.
Il y a 2 ans et 232 jours

Panneau photovoltaïque ultra noir

A l’occasion du Mondial du Bâtiment (du 3 au 6 octobre 2022 à Paris), DualSun présente son nouveau panneau photovoltaïque de dernière génération : le FLASH® 425 Shingle. Plus puissant, plus résistant et générant un impact environnemental réduit. il est conçu pour des projets d’autoconsommation sans compromis sur l’esthétisme et le rendement afin de conserver toute l’élégance du bâtiment. Il bénéficie d’innovations le rendant encore plus performant et plus élégant que son prédécesseur : puissance de 425 Wc en ligne avec les dernières évolutions du marché, meilleur rendement par m² et apparence ultra black pour un rendu très esthétique. Cet article Panneau photovoltaïque ultra noir est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 232 jours

Équipbaie-Métalexpo rejoint Batimat en 2024

Aujourd’hui, le salon ouvre une nouvelle page de son histoire et rejoint BATIMAT en 2024 afin de créer l’événement le plus important du secteur de la menuiserie et de la métallerie et de réunir les forces de chacun.Cette nouvelle dynamique, portée par RX et l’ensemble des organisations professionnelles partenaires du salon EQUIPBAIE-METALEXPO, sera effective en 2024.Une filière au cœur des enjeux du secteur de la constructionCette nouvelle dynamique permet à ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO d’être au cœur des nouveaux enjeux du secteur du bâtiment et de la construction (rénovation et sobriété énergétique, décarbonation des procédés et des modes constructifs…) et des évolutions des métiers comme des méthodes de travail.Son intégration au sein de BATIMAT lui donnera également la possibilité de toucher une cible de professionnels beaucoup plus large incluant les prescripteurs (ingénieurs, architectes, décorateurs…) tout en capitalisant sur son cœur de cible, les fabricants et les menuisiers installateurs spécialisés, les métalliers, venant en nombre à BATIMAT. En effet, BATIMAT attire déjà 1/3 des entreprises spécialisées en France ainsi que plus de 30.000 installateurs généralistes et artisans indépendants.ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO profitera aussi de la forte synergie existante entre les différents salons du Mondial du Bâtiment (BATIMAT, INTERCLIMA ET IDEOBAIN), véritable plateforme globale regroupant des univers spécialisés. Il renforcera, du fait de sa présence et sa notoriété, la puissance du Mondial du Bâtiment.Un salon dans le salonÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO disposera, au sein de BATIMAT en 2024 d’un hall dédié et de sa propre identité visuelle. Un programme spécifique sera développé afin de répondre aux attentes des professionnels spécialisés de la filière, exposants et visiteurs. Il comprendra des parcours de visite, des ateliers, des animations, des conférences… reflétant la richesse de ce secteur et l’offre particulièrement attractive des exposants.Comme lors des éditions précédentes d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, ce programme sera co-construit par RX et l’ensemble des organisations professionnelles partenaires du salon.Pour Guillaume Loizeaud, Directeur Division Construction RX France : « C’est à nouveau grâce à la relation et au travail collaboratif avec les organisations du pôle fenêtres FFB, que nous allons ouvrir un nouveau chapitre au développement d’EQUIPBAIE-METALEXPO ; cette nouvelle stratégie, positionne le salon dans un nouvel ensemble plus large et nous permettra d’occuper une position unique en France comme en Europe. »Pour Christophe Bieber, Président Union des Métiers du Bois : « ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO est l’opportunité de mettre en avant la fenêtre bois & mixte bois alu. C’est une solution privilégiée pour réduire l’impact carbone des constructions tout en apportant des performances AEVM, thermiques et acoustiques sans compromis en sur-mesure, neuf comme en rénovation. C’est une opportunité unique pour tous les acteurs du bâtiment. »Pour Bruno CADUDAL, Président UFME : « Le mariage d’ÉQUIPBAIE avec BATIMAT était une demande des organisations professionnelles partenaires du salon. La fenêtre est un composant indissociable du Bâtiment. Il est donc évident et logique qu’ÉQUIPBAIE rejoigne le Mondial du Bâtiment au travers de BATIMAT. La complémentarité de ces salons ne pourra que répondre aux attentes des visiteurs et des exposants. »Pour Bruno Léger, Président SNFA : « Une fois de plus, les organisations professionnelles du Pôle Fenêtre FFB ont œuvré ensemble, main dans la main, pour réfléchir à l’évolution d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO et trouver la meilleure solution garantissant l’avenir de ce salon spécialisé, tant prisé des pros. Nul doute que de rejoindre BATIMAT va créer une nouvelle dynamique et favoriser le développement du nombre d’exposants et de visiteurs pour ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. »Pour Yannick Michon, Président Groupement Actibaie : « Pour sa prochaine édition, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO va joindre ses forces avec BATIMAT pour créer le véritable mondial du bâtiment où les métiers de la menuiserie et de la fermeture auront une place d’honneur. Cette nouvelle formule sera l’opportunité de réunir tous les acteurs du secteur : de l’architecte, jusqu’à l’installateur du produit, en passant par les fabricants. Nous avons hâte de vous y retrouver tous en 2024. »Pour Franck Perraud, Président Union des Métalliers : « Nous sommes très heureux que MÉTALEXPO rejoigne BATIMAT en 2024. Ceci illustre bien l’ampleur qu’à pris notre salon et sa nouvelle dimension. Nous sommes certains que ce nouveau format va permettre à la métallerie de participer pleinement à une nouvelle dynamique au sein de la filière du bâtiment. Ce sera également l’opportunité de rencontrer un public de professionnels plus large et de faire découvrir la richesse et la diversité de la métallerie aux prescripteurs et architectes. »
Il y a 2 ans et 233 jours

Avec le compteur Linky, Enedis estime que la "sobriété est à portée de main"

Le consommateur pourra notamment adapter sa consommation si besoin pendant les pics de demande cet hiver, selon un communiqué diffusé jeudi 22 septembre. Les clients équipés du compteur communicant Linky, soit 35 millions de foyers en France, peuvent en effet suivre leurs données effectives de consommation jusqu'à la demi-heure près en se rendant sur leur compte client particulier à partir de la plateforme internet Enedis, rappelle le gestionnaire."Au moment où le gouvernement s'apprête à lancer une campagne de mobilisation +Chaque geste compte+ (le 10 octobre, ndlr), et où l'ensemble des acteurs concernés appellent à une sobriété énergétique individuelle et collective, Linky est plus que jamais un outil essentiel au service d'une consommation électrique plus responsable", déclare Enedis dans un communiqué transmis à l'AFP.Selon Éric Salomon, directeur clients d'Enedis, le gestionnaire entend "apporter sa pierre à l'édifice de la sobriété" en permettant au consommateur d'avoir grâce à son compteur "une meilleure connaissance de sa consommation", par mois, par semaine et par jour.La plateforme Enedis sur internet, qui recueille les données du compteur, propose plusieurs services : identifier ses pics de consommation dans la journée, comparer sa consommation d'une journée, comparer sa consommation avec celle de foyers possédant le même type de logement et les mêmes caractéristiques de puissance.À la lumière de ces données, le client peut maîtriser sa consommation en identifiant "des surconsommations anormales", ce qui l'amènera à modifier un appareil trop gourmand voire à choisir une offre tarifaire et une puissance plus adaptées à ses besoins.Alors que 90% des énergies renouvelables sont raccordées au réseau électrique public géré par Enedis, le gestionnaire souligne aussi le rôle du compteur dans "l'autoconsommation" photovoltaïque, puisqu'il permet "une vision fine des données de production d'énergie locale et de consommation entre les habitants".Dans un avis rendu en 2018, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) avait estimé que "l'utilisation par les ménages d'afficheurs dédiés avec des services très complets" permettant de visualiser les historiques de consommation, pourrait engendrer des "'économies d'énergie allant jusqu'à environ 8% en moyenne, et même 10% pour les gros consommateurs". Outre la plateforme d'Enedis, d'autres dispositifs de suivi de consommations existent chez les fournisseurs d'électricité.
Il y a 2 ans et 234 jours

Dossier : Immaculées constructions

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. L’intérieur du lycée La Providence. [©Charly Broyez/Alta architecture] La Cité des vins et des climats de Beaune. [©Siz-Ix] La résidence Cosmopoly [©Taillandier Architectes Associés] Nouvel ehpad et nouveaux logements sociaux aux Mûriers[©A+Architectes] En traversant une simple goutte d’eau, la lumière blanche du soleil devient arc-en-ciel. L’ensemble des couleurs se révèle, depuis le rouge jusqu’au violet, en passant par toutes les nuances.  De par la puissance insoupçonnée d’une petite larme cristalline, le blanc se mue en maître des couleurs. Il en est la quintessence. Le désigner comme cocon d’une construction n’est donc pas une décision anodine, mais un choix affirmé. D’autant plus qu’il véhicule bien des symboliques. L’idée du silence, de la pureté, du mariage, de la naissance, de l’espoir. Tout du moins en Occident.  Ainsi, les immaculées constructions qui jalonnent l’espace urbain n’ont peut-être de blanc que l’image, cachant leur véritable nature derrière une simple goutte d’eau et dont seul, l’architecte connaît la vérité. Dossier préparé par Sivagami Casimir Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Mini-sommaire : • Lycée La Providence : Lumières malouines • Cité des vins et du climat de Beaune : Blanc sur rouge, rien ne bouge • Résidence Cosmopoly : Révéler la trame du bâtiment • Ehpad et logements sociaux Mûriers : Une taille de guêpe
Il y a 2 ans et 234 jours

La station de recharge pour les voitures électriques la plus rapide de France ouvre en Normandie

C'est la première station de recharge ouverte par Kallista Energy, qui exploite 36 parcs éoliens en Europe. Détenue par les fonds français Ardian et néerlandais APG, Kallista compte ouvrir à terme un réseau de 90 stations sous la marque "Yaway", alimentées principalement par le vent.La station de Vernon-Douains, non alimentée par le vent, propose deux bornes de recharge ultrarapide, atteignant jusqu'à 360 kW, une puissance bien supérieure à ce qu'acceptent même les véhicules les mieux équipés, comme la Porsche Taycan ou la Tesla Model 3.Cette borne encore en test permettra aux prochaines générations de voitures de récupérer jusqu'à 100 kilomètres d'autonomie en moins de trois minutes, selon son concepteur, le groupe helvético-suédois ABB.Des exemplaires de ce modèle fabriqué en Italie et appelé "Terra 360" fonctionnent déjà en Allemagne avec le pétrolier Shell et en Norvège avec l'énergéticien Eviny.La borne partage sa puissance entre les voitures qui s'y branchent, jusqu'à quatre en même temps. La charge coûte encore 0,55 euro la minute mais sera bientôt facturée au kWh.En route pour Paris depuis la côte, un SUV Audi s'y est rechargé mercredi, passant de 2 à 80% d'autonomie en 32 minutes, a expliqué son propriétaire Benoist Girard, 43 ans, repassant sur le chemin du retour.Sur un marché de la recharge en pleine explosion, avec la multiplication des voitures électriques sur les routes, Kallista utilise de l'électricité produite par des éoliennes pour "la majorité" de ses bornes.Cette première station de recharge de Kallista Energy n'est pas alimentée par une éolienne, car elle est trop proche d'une base aérienne. Mais il y a "beaucoup de synergies" entre ces métiers, et l'investissement dans les bornes est bien plus léger, a indiqué le directeur général de Kallista, Johann Tardy.En reliant la production et la distribution d'énergie renouvelable, Kallista compte à terme offrir des tarifs de recharge attractifs, a souligné M. Tardy.L'agglomération Seine Normandie a mis à disposition ce terrain au bord de l'autoroute et à deux pas de la future usine Hopium, qui mise sur les voitures à hydrogène.Chaque point de charge a aussi été financé à hauteur de 18.000 euros par le programme public Advenir, qui a mis l'accent depuis 2020 sur la recharge ultrarapide.
Il y a 2 ans et 234 jours

Des actions pour économiser 10 % de la consommation d’énergie d’ici deux ans

L’association négaWatt publie une cinquantaine de mesures de sobriété facilement applicables, essentiellement dans le secteur du bâtiment résidentiel et tertiaire. Elle montre comment l’objectif de réduction de la consommation d’énergie de 10 % en deux ans fixé par le gouvernement est atteignable en mobilisant efficacement l’ensemble des acteurs (citoyens, collectivités locales, entreprises, etc.) autour de mesures clairement identifiées, explicitées et facilitées par l’État. Le secteur résidentiel représente à lui seul 30 % de la consommation d’énergie en France. Les gains potentiels majeurs de réduction portent sur le chauffage (60 % du gisement total), les gains effectifs dépendront de la capacité d’entraînement et d’adhésion de la population : – Respecter la consigne de chauffage des logements à 19°C – Adapter les vêtements portés en intérieur à la saison – en hiver, porter des vêtements chauds – Réduire la consigne de température de 2°C la nuit pour mieux dormir – Réduire la température de 2°C en cas d’absence / Chauffer uniquement les pièces occupées – Pose de films isolants sur les simples vitrages – Renforcer l’étanchéité à l’air des logements : réduire les infiltrations des fenêtres et portes – Isolation des combles perdus Des gisements extrêmement importants existent sur l’eau chaude (18 TWh mobilisables à horizon 2 ans), qui justifieraient de déployer des programmes de déploiement massif des mesures identifiées : – Pose de limiteurs de débit (“mousseurs”) sur les robinets et douches – Pratiques économes de puisage d’eau chaude – Pose d’une jaquette isolante sur les ballons d’eau chaude sanitaire De nombreux leviers existent sur la réduction des consommations électrodomestiques : des campagnes de communication d’envergure, pédagogiques, humoristiques, permettant l’adhésion, permettraient d’aller mobiliser un gisement très significatif (réduction des consommations d’électricité – près de 20 TWh de gisement – et abaissement de la puissance appelée en période de pointe) : – Extinction des appareils en veille et des appareils allumés inutilement – Extinction des box internet et box TV en dehors des heures d’utilisation – Réglages plus sobres des appareils électrodomestiques – Les bonnes pratiques d’usage des appareils de lavage – Campagne “je dégage mes dernières ampoules inefficaces” – Réglage des pompes chauffage des chaudières murales gaz Source : association négaWatt  
Il y a 2 ans et 234 jours

Putzmeister : l’offensive électrique, mais pas que…

Première sortie officielle pour la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer de Putzmeister [©Putzmeister] Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne va pas s’ennuyer chez Putzmeister. L’industriel allemand ne vient pas à Munich les mains vides… Déjà, la ligne des pompes iOntron Hybrid profite d’un espace dédié. Pour rappel, ces machines mises sur le marché l’année passée se déclinent en trois tailles : 20 m, 30 m et 40 m. Mais ce qui les caractérise, c’est la présence d’une motorisation électrique de 92 kW, en plus de l’entraînement diesel habituel. Pour autant, il ne faut pas chercher de batteries : il n’y en a pas. L’iOntron Hybrid utilise le réseau électrique du chantier pour fonctionner. Par contre, Bauma constitue la première sortie officielle de la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer. L’équipement est basé sur un châssis 8 x 4 électrique Sany (maison-mère chinoise de Putzmeister). En ordre de marche, l’ensemble porteur + toupie de 9 m3 + charge utile atteint une PTAC de 34 t. L’énergie est fournie par une batterie d’une capacité de 350 kWh, alimentant un moteur électrique de 315 kW, qui permet entre 5 et 6 tours entre deux rechargements.  Qui dit “pompe à béton”, dit “pilotage”. A ce niveau, Putzmeister donne à chacun l’occasion de découvrir la commande Ergonic dans sa version 3. Parmi les nouveautés, deux extensions : Intelligente Boom Control (iBC), qui facilite la commande de la flèche, et Intelligente Setup Control (iSC), qui contrôle la sécurité de la machine, ici 100 % remaniée.  Putzmeister n’oublie pas non plus le monde de la préfabrication. Avec son offre Precast Automation 4.0, l’industriel propose d’adapter toutes ses solutions de pompage aux besoins spécifiques de ce secteur d’activité.  L’univers des mortiers voit l’arrivée de l’EstrichBoy EC 450. Ce transporteur-malaxeur de chapes se décline à présent dans une version 100 %, pourvue d’une motorisation de 37 kW, à 63 A. Cette puissance lui permet de fournir un débit d’air de 4,4 m3/h. L’autre innovation s’appelle Putzmeister SP 20 GHF. Profitant d’un nouveau design, cette pompe à chapes fluides reçoit un moteur thermique de 37 kW et de série, une vis d’alimentation d’un débit de 20 m3/h. Enfin, Putzmeister montre son intérêt pour les chantiers de demain. Et présente sa solution d’impression 3D béton. Son nom : Karlos. A découvrir en fonctionnement sur le stand… Bauma – Hall B6 – Stand 101 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 234 jours

PALAZZETTI poêle Ecofire Clelia

Un design moderne pour un condensé de technologie, de fiabilité et de performances Clelia est le nouveau poêle à granulés Ecofire® étanche de Palazzetti qui allie un design moderne à une grande efficacité grâce à son revêtement en acier laqué et à ses côtés arrondis qui en adoucissent la forme. Il existe dans les puissances […]
Il y a 2 ans et 234 jours

HILTI dévoile NURON , une toute nouvelle plateforme sans fil 22 volts avec connectivité intégrée

• La batterie Nuron 22 V permet de réaliser des applications qui n’étaient auparavant possibles qu’avec des outils dotés de batteries plus puissantes, des outils thermiques ou électriques.  • Elle offre plus du double de la puissance des outils 22 V actuels.  • La plateforme sans fil connectée au cloud permet d’obtenir des informations sur […]
Il y a 2 ans et 235 jours

Entre ProDevis 9 et son stand 100% éco-conçu, Elcia innove toujours plus pour le salon Batimat

Les 2 tops nouveautés ELCIAProDevis dévoile sa 9ème versionUn nouveau chapitre s’ouvre dans la belle histoire de ProDevis ! Une belle histoire débutée en 1999, quand le premier logiciel de chiffrage et gestion commerciale spécialisé Menuiserie, Store, Fermeture a révolutionné tout un secteur. 23 ans et plus de 21.000 utilisateurs plus tard (c’est même 1 Menuisier sur 2 qui l’utilise tous les jours), ProDevis franchit une nouvelle étape : place à ProDevis 9 !Un ProDevis tout neuf qui présentera notamment une nouvelle interface et de nouvelles fonctionnalités attendues par le marché. Le mot d’ordre de cette nouvelle version ? Encore plus de temps gagné et de performance pour ses utilisateurs ! Toujours avec le même objectif : simplifier la vie des Menuisiers.Révélation et démonstration sur le stand ELCIA !Un stand 100% éco-conçu pour un salon 0 déchet !Innover dans ses produits mais aussi innover pour contribuer à un monde plus durable et responsable ! Chère à son Président-Fondateur Franck COUTURIEUX, la protection de l’environnement est au cœur de la raison d’être d’ELCIA et du quotidien de ses collaborateurs. Pour 2022, ELCIA souhaite passer à la vitesse supérieure avec une promesse : se rapprocher au maximum du zéro déchet ! Action dès BATIMAT avec un stand 100% éco-conçu !Pour Franck COUTURIEUX, Président-Fondateur d’ELCIA : « Si l’on suit notre démarche écologique autour du zéro déchet, nous ne devrions plus exposer sur les salons, qui sont des gros producteurs de déchets et de matériaux non réutilisables. Mais nous avons préféré trouver des solutions conformes à notre raison d’être. Nous avons fait des choix forts et marquants : rendez-vous compte, un stand sans plancher ni moquette au sol ! Nous espérons que cela fera des émules pour les prochaines éditions car nous ne sommes pas les seuls à avoir ces valeurs. »Pour Guillaume LOIZEAUD, Directeur du Mondial du bâtiment et de BATIMAT : « La démarche des équipes ELCIA est remarquable, elle consiste à réinterroger les pratiques habituelles des salons et à mettre en cohérence les actions de la marque avec les grands défis du climat et de l’environnement ; c’est un exemple concret, d’un partenaire historique de BATIMAT, qui est en totale cohérence avec l’édition 2022 du mondial du bâtiment. Nous avons engagé une action de fond sur l’ensemble des 150.000m2 d’exposition qui vise à réduire au maximum tous les impacts : transport moins carboné, revalorisation des déchets, restauration locale, stands éco-conçus, circularité partout où c’est possible, le salon BATIMAT prend sa part au grand défi du siècle. »Le stand ELCIA pour BATIMAT, c’est un stand...... sans plancher technique ! Terminés moquette, plancher et autre revêtement plastique, le stand sera posé directement sur le sol béton du hall. Ce sont ainsi plus de 100m2 de bois et de moquette qui sont économisés.... sans déchets ! Ni verre, ni bouteille en plastique ! Terminés également les goodies et réduction au maximum des supports de communication imprimés pour privilégier les supports digitaux.... avec des matériaux recyclables ! Du bois contreplaqué au béton, en passant par l’adhésif Haru (principalement constitué de papier) : les matériaux du stand ont été sélectionnés suivant leur écoresponsabilité. Avec deux matériaux phares : le DropPaper (composé de cellulose, polyester et fibre de verre, léger et donc peu gourmand en transport) et le DropCake (panneau rigide recyclable à l’infini, composé de 60% de déchets de DropPaper et 40% de déchets de polyethylène). Les matériaux non recyclables auront quant à eux droit à une seconde vie (mettre des exemples concrets) et seront donnés à des boutiques qui les revendront à prix solidaires.... qui relève un sacré défi écologique ! Un stand éco-conçu : c’était un sacré challenge pour GALIS, l'agence de stand événementiel.Pour Anthony HEINTZ, Chargé d’Affaires chez GALIS : « C’est bien la première fois qu'un client est assez fou pour nous demander un stand sans plancher ni moquette ! Cela représente un défi de taille et demande un design spécifique qui invite les visiteurs à regarder vers le haut. Nous sommes fiers de cette création de concept inédit, mais aussi de pouvoir nous engager dans des projets auprès de clients qui, comme nous, ont une forte volonté durable. Réfléchir ensemble pour transformer le secteur événementiel et créer le stand responsable de demain, c'est ce pour quoi nous travaillons ! C'est un beau challenge lancé par ELCIA, le résultat est là et nous espérons qu'il marquera les esprits. »Les autres nouveautés à découvrir sur le stand ELCIADu côté du partenaire d'ELCIA, AlloToolsUn nouveau configurateur 3D pour PergolaAlloTools présente sur BATIMAT son tout nouveau configurateur 3D pour Pergola bioclimatique en version BtoB et BtoC. Ses deux fonctionnalités phares :La simulation des ombres (indispensable pour contrôler la pertinence de certaines options), faite en fonction de la géolocalisation/orientation de la pergola, des ouvertures/fermetures dynamiques des lames, stores ou brise-vues et surtout de la période d’ensoleillement suivant le mois de l’année et l’heure de la journée.La réalité augmentée, qui permet de projeter via l’écran de son smartphone ou de sa tablette sa pergola sur-mesure dans son propre environnement. Le projet imaginé par le client et configuré est ainsi simulé avec un effet « waouh » garanti.Un nouveau module de simulation sur photoPour la première fois depuis le rapprochement entre ELCIA et AlloTools, l’éditeur de BatiTrade a développé un module indépendant et externe dédié à la simulation sur photo de produits de menuiserie, fermeture et protection solaire. Ce module appelé « VirtualPhoto », est capable de mettre en situation des produits devisés via les configurateurs ELCIA ou BatiTrade, le tout sur une photo de l’environnement du client, dans une logique multiproduit, pour un projet complet et harmonisé.Diapason passe à la vitesse supérieure dans la gestion des écrans dans les ateliersUn an après sa présentation sur Equipbaie, Tempo, la brique fonctionnelle de Diapason dédiée à la gestion des écrans ateliers, va plus loin avec de nouvelles fonctionnalités. 0 papier, gain de temps et portabilité pour les opérateurs de production, responsable d’ateliers et service qualité du secteur !Ramasoft présente sa nouvelle solution adaptée à la production boisDéjà spécialisé dans la fabrication de menuiseries sur-mesure PVC et Alu, les utilisateurs de Ramasoft (logiciel de fabrication et GPAO) pourront désormais profiter de la simplicité et de la puissance du moteur 3D de Ramasoft pour fabriquer leurs châssis Bois.
Il y a 2 ans et 236 jours

Nouvelle scie à onglets sans-fil GCM 18V-216 DC BITURBO Bosch Professional

Pour le travail du bois, Bosch continue d'étoffer sa gamme d'outils sans-fil BITURBO avec une nouvelle scie à onglets radiale : la GCM 18V-216 DC Professional. D'une puissance comparable à un outil filaire de 1 600 W, elle offre le plus grand nombre de coupes par charge de batterie de sa catégorie (jusqu'à 267 coupes dans du bois d'épicéa de 60 x 80 mm ), en utilisant le mode « Eco » et une batterie ProCORE18V de 8,0 Ah, et se distingue par sa grande capacité de coupe de 70 x 300 mm. Grâce à la technologie BITURBO Brushless, la GCM 18V-216 DC Professional développe des performances jusqu'à 40 % supérieures au meilleur modèle de la catégorie 36 V (confirmé par un institut de test indépendant).
Il y a 2 ans et 236 jours

Nouvelle scie à onglets sans-fil GCM 18V-216 DC BITURBO Bosch Professional

Pour le travail du bois, Bosch continue d'étoffer sa gamme d'outils sans-fil BITURBO avec une nouvelle scie à onglets radiale : la GCM 18V-216 DC Professional. D'une puissance comparable à un outil filaire de 1 600 W, elle offre le plus grand nombre de coupes par charge de batterie de sa catégorie (jusqu'à 267 coupes dans du bois d'épicéa de 60 x 80 mm ), en utilisant le mode « Eco » et une batterie ProCORE18V de 8,0 Ah, et se distingue par sa grande capacité de coupe de 70 x 300 mm. Grâce à la technologie BITURBO Brushless, la GCM 18V-216 DC Professional développe des performances jusqu'à 40 % supérieures au meilleur modèle de la catégorie 36 V (confirmé par un institut de test indépendant).
Il y a 2 ans et 236 jours

Husqvarna Construction France : Le béton à 360°

Blastrac et HTC adoptent la couleur Orange d’Husqvarna. [©Husqvarna] L’Expérience Béton 360° : voilà ce que propose Husqvarna Construction France. Il s’agit d’une offre de services complète autour des produits de la marque. Au programme, des contrats de maintenance, des offres de financement, un large réseau SAV, des formations personnalisées et certifiées Qualiopi, ou encore des solutions de gestion de flottes. Côté innovations produits, Husqvarna présente sa gamme de batteries. Celle-ci se décline en deux lignes distinctes. Tout d’abord, les modèles BLi (3 modèles). D’un faible poids, elles délivrent une puissance de 36 V. Un inducteur à 4 LED affiche le niveau de charge et chaque batterie peut être rechargée plus de 1 500 fois. Viennent ensuite les Pace (deux modèles), qui se caractérisent par une haute puissance de 94 V. L’association de ces deux types de batteries avec les outils Husqvarna compatibles assure des niveaux de puissances comparables à leur alter ego thermique. Et ce, sans générer aucune émission de CO2 et avec un bien moindre niveau sonore. Le 3e point d’entrée sur le stand est l’Evolution Orange2. Derrière ce sigle se cache l’offre pour la préparation des sols en béton. En effet, avec l’intégration de Blastrac et d’HTC sous la marque Husqvarna, de l’adoption de ses couleurs, le constructeur de matériels sait proposer à présent l’une des gammes d’équipements les plus larges du marché dans ce domaine. Enfin, Husqvarna dévoile sa nouvelle gamme de robots de démolition DXR. Des machines, dont la puissance électrique et le débit hydraulique ont été revus à la hausse (respectivement + 20 % et + 10 %). Elles profitent en même temps d’une toute nouvelle télécommande, avec écran LCD et informations en temps réels. Batimat – Hall 4 – Stand E102 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 239 jours

Meljac présente ses mini spots encastrés à Led

Des spots élégants, simples à installerLes nouveaux spots MELJAC s’accordent avec toutes les gammes en laiton de la marque et leur fixation a été optimisée : le transformateur est placé dans le faux plafond et la plaque en laiton directement clipsée sur le spot. Avec un indice de protection IP 54, ils peuvent être installés aussi bien dans les couloirs et chambres que salles de bains et cuisines. Leur éclairage à LED peut être direct ou asymétrique, blanc chaud ou froid, selon le choix du client. Les deux modèles existent avec intérieur blanc ou noir.Formats : Ø58 mm, 58x58 mm (épaisseur 3 mm) Eclairage LED direct ou asymétrique Couleur d’éclairage : blanc chaud (2.700K) ou blanc froid (4.000K)Puissance : 230V – 5W Angle de diffusion du faisceau : 24° Bords droits, sans vis apparentes Indice de protection : IP 54 Classe II
Il y a 2 ans et 240 jours

Brem présente deux nouveaux radiateurs au design raffiné et contemporain

HOT, un radiateur sèche-serviette léger et discretDans la maison, la salle de bains est la pièce de détente par excellence. Afin d’y ajouter encore plus de confort, rien de tel qu’un radiateur sèche-serviette élégant au design italien, conçu par un designer renommé. Cet élément, qui assure également le chauffage, confère à la salle de bains un aspect unique.Le modèle HOT du designer Fiorenzo Mussi est fabriqué sur une plaque radiante Lamina et conçu en acier de haute qualité. Il séduit par son élégance et son design épuré. Ce nouveau radiateur présente un porteserviette en anneau à la fois discret et élégant et disponible en blanc sablé, gris quartz, noir foncé ou autres coloris du nuancier Brem.HOT se décline en six hauteurs de 88 à 167 cm pour une largeur de 53,5 cm. Il développe des puissances de 408 à 897 W.Ce modèle existe en version à eau chaude, électrique ou mixte.Fiche technique : Designer : Fiorenzo Mussi Puissance (en W) : 408 a 897 3 options disponibles : eau chaude, électrique ou mixte 80 finitions au nuancier de Brem Cinq versions : H 88 à 167 cm, L 53,5 cm, P 10, 5 cm Poids : 11,9 – 24,7 kg Prix public indicatif : à partir de 743 EUR TTCPIET, un vibrant hommage à Piet MondrianLe designer Fiorenzo Mussi a donné vie au matériau acier de haute qualité. Il a tracé des lignes verticales et horizontales s’entrecroisant de manière géométrique et rigoureuse en hommage à l’œuvre de Piet Mondrian. Fabriqué sur une plaque radiante S-Platt, ce nouveau radiateur sèche-serviette est idéal pour décorer une salle de bain avec modernité et élégance, tout en garantissant un confort thermique de qualité.PIET existe en finition brillante, satinée et mate (Soft Touch). Il est disponible en trois hauteurs de 180, 200 et 220 cm pour une largeur de 36 à 72 cm. PIET développe des puissances de 713 à 2345 W.Ce modèle existe en version à eau chaude, électrique ou mixte.Fiche technique : Designer : Fiorenzo Mussi Puissance (en W) 713 à 2345 3 options disponibles : eau chaude, électrique ou mixte 80 finitions au nuancier de Brem Trois versions : H 180 à 220 cm, L 36 cm à 72 cm, P 5,8 cmPrix public indicatif : à partir de 1398 EUR TTC
Il y a 2 ans et 241 jours

Le gouvernement demande aux préfets d'aller plus vite sur l'éolien

Face à la crise énergétique, quatre ministres dont ceux de l'Intérieur, de la Transition écologique et de la Transition énergétique demandent aux services déconcentrés de l'Etat de "mettre en place toutes les actions requises afin de faciliter et d'accélérer le traitement des dossiers (...) en cours et à venir".Au total, ces dossiers en cours d'instruction représentent "près de 10 GW de projets photovoltaïque et éolien et environ 5 TWh de capacités de gaz renouvelables".Pour le gouvernement, il s'agit de "faire en sorte qu'aucune instruction n'excède 24 mois, sauf situation très exceptionnelle", selon cette circulaire. Les services déconcentrés de l'Etat sont également invités à observer "un objectif de 18 mois entre la date de dépôt d'un projet de renouvellement ou d'augmentation de puissance de parcs éoliens existants, et sa mise en œuvre". Selon Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne, le syndicat des professionnels de la filière éolienne (350 membres), la circulaire vise notamment l'accélération du traitement des dossiers d'éolien terrestre, sources de controverses récurrentes dans l'opinion. "Il y a 5 GW de projets (d'éolien terrestre) en attente d'autorisation, soit 15% de la capacité déjà installée sur le territoire, c'est considérable", a-t-il souligné.Alors que le développement de projets éoliens suscite de plus en plus d'opposition, freinant leur déploiement, le gouvernement veut faire adopter un projet de loi pour accélérer les procédures et rattraper le retard de la France dans l'éolien et le solaire.En février, dans un discours prononcé à Belfort, peu avant la guerre en Ukraine, le président Emmanuel Macron avait fixé les lignes de la nouvelle politique énergétique de la France, en annonçant un vaste plan de relance du nucléaire civil et l'essor de l'éolien marin, mais un coup de frein sur les éoliennes terrestres."Dans la situation énergétique que nous connaissons avec des hivers qui s'annoncent difficiles au moins jusqu'en 2025, l'indisponibilité d'une partie du parc nucléaire et la crise du gaz russe, l'éolien, le solaire et la méthanisation sont les seuls moyens de production que nous avons pour produire des megawattheures en plus", a souligné Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne.
Il y a 2 ans et 241 jours

Marché 2021 des installations solaires photovoltaïques individuelles

Ce chiffre correspond à une progression de 13,5% par rapport à 2020. Une dynamique honorable mais nettement inférieure à celle enregistrée sur le segment de 3 à 9 kW qui double ses volumes (120.680 kW, + 100,8% par rapport à 2020). L'autoconsommation reste toujours autant plébiscitée avec 90% des opérations sur le segment de 3 kW ou moins. Sur les 8 dernières années, on évalue ainsi à plus de 200 MW le volume total des installations de moins de 3 kW ayant été installées en autoconsommation en France.Géographiquement, le marché reste majoritairement localisé dans le sud de la France avec la Nouvelle Aquitaine et l'Auvergne-Rhône-Alpes comme fers de lance (40% de la puissance installée sur le segment de moins de 3 kW). Côté prix de vente des équipements, la tendance à l'augmentation, observée pour les autres technologies renouvelables destinées aux particuliers (solaire thermique, pompes à chaleur ou appareils de chauffage au bois), s'applique également ici puisqu'en moyenne, une installation s'est vendue 6 à 7% plus cher en 2021. Cependant, le début d'année 2022, marqué par la politique zéro COVID chinoise et la guerre en Ukraine, laisse présager une accentuation des problèmes d'approvisionnement et de hausse des prix en France et plus largement en Europe.Ces constats sont issus de l'étude quantitative 2022 d'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) sur le marché des installations solaires photovoltaïques individuelles.