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Résultats de recherche pour verre

(2788 résultats)
Il y a 2 ans et 167 jours

Christian Bouigeon, nouveau Président du FILMM

Ingénieur diplômé de l’école ESPCI Paris – Ecole Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de Paris – il débute sa carrière en tant qu’ingénieur de recherche au sein du Groupe Saint-Gobain. Il l’a poursuivie dans différentes entités du Groupe en France et en Pologne. Occupant des fonctions de Direction Générale depuis 2004, il a été nommé à la Direction Générale des marques Isover et Placo France depuis mai 2021.Christian Bouigeon et les membres du FILMM souhaitent rappeler le rôle fondamental de l’isolation pour une véritable sobriété énergétique des bâtiments. A l’heure du dérèglement climatique et des crises énergétiques, des décisions fortes doivent être prises sur la rénovation des bâtiments en France en utilisant tous les dispositifs incitatifs et financiers pour passer à l’action.Les adhérents du FILMM (Eurocoustic, Isover, Knauf Insulation, Rockwool, Ursa), produisant tous en France, proposent des laines minérales de verre et de roche permettant de répondre à cette urgence collective.« Je suis très heureux de prendre la présidence du FILMM et de pouvoir m’associer à l’ensemble de ses membres pour valoriser le rôle fondamental que joue l’isolation dans la sobriété énergétique des bâtiments et la réduction de leurs émissions de CO2. » - Christian Bouigeon
Il y a 2 ans et 167 jours

Une villa de verre et d'acier suspendue dans un parc, par Véronique Descharrières et Lionel Leotardi

    En milieu urbain, face à la rareté et à l'étroitesse du foncier, les opérations de surélévation sont devenues fréquentes. Quelle que soit l'échelle du projet, la démarche est souvent avantageuse : gagner de la surface à moindres frais, en se jouant des contraintes réglementaires. Plus […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 169 jours

Isover présente Isocoton, un nouvel isolant biosourcé en textiles recyclés

Au delà de son savoir-faire historique sur la laine de verre et la laine de roche, ISOVER est une marque pionnière sur le marché des isolants biosourcés. Depuis le lancement de ses premières gammes, il y a près de 20 ans, la marque œuvre à la professionnalisation de ce segment de marché en proposant à ses clients la garantie de produits et de systèmes performants, certifiés et au cycle de vie plus vertueux.L’urgence climatique encourage aujourd’hui l’économie circulaire et une meilleure isolation des bâtiments pour plus de confort et moins d’émissions de CO2. ISOVER, acteur français de l’Isolation, développe et commercialise depuis de longues années des isolants issus de matières premières recyclées ou de chutes de production d’autres industries. Ainsi, ses laines de verre contiennent jusqu’à 80% de verre recyclé et ses isolants en fibre de bois sont issus de chutes de scieries approvisionnées en local.Il est donc aujourd’hui naturel pour ISOVER de présenter Isocoton, un isolant biosourcé performant, issu de textiles recyclés en local, ultra doux au toucher, confortable à poser et 100% made in France.Un lancement qui complète la large gamme d’isolants ISOVER et apporte une nouvelle alternative responsable pour l’isolation intérieure des bâtiments.De nombreux bénéfices pour l’homme et pour l’environnementIsocoton est un matériau répondant aux enjeux de l'économie circulaire et aux grandes tendances de la consommation responsable. Il s’agit d’une nouvelle alternative aux autres matériaux isolants commercialisés par ISOVER (laine de verre, laine de roche, fibre de bois, XPS, PSE). Isocoton vient renforcer la stratégie de développement de solutions d’isolation multi-matériaux, chacun de ces matériaux répondant à des enjeux et problématiques spécifiques de ses clients et usagers.Isocoton, comme les textiles que nous portons, a pour but de protéger durablement la maison contre le froid et le chaud. Un choix de bon sens pour améliorer le confort des ménages français.Confort et bien-être toute l’année, été comme hiverIsocoton apporte, via ses propriétés thermiques, un grand confort aux occupants des bâtiments toute l'année. En été comme en hiver. En plus d’être une bonne isolation contre le froid, Isocoton permet de lutter contre la chaleur en été et de conserver la fraîcheur nocturne durant les canicules. Son étiquetage sanitaire (A+), contribue activement à conserver la qualité de l’air de l’habitat.Les performances thermiques d’Isocoton atteignent un pouvoir isolant (lambda λ) de 37 mW/m.K, qui le positionne parmi les isolants biosourcés les plus performants du marché.Hautes performances certifiéesIsocoton est sous certification ACERMI (Association pour la Certification des matériaux isolants, n° ACERMI 21/018/1558).Il est le seul à se décliner en 5 épaisseurs de 40 mm / 100 mm / 120 mm / 140 mm / 200 mm pour répondre efficacement à tous les besoins et toutes les applications en isolation intérieure : cloisons, murs, combles perdus ou aménagés, plafonds.Côté phonique, Isocoton réduit la propagation du bruit grâce à sa texture fibreuse qui en fait un excellent isolant acoustique. Ses performances sont équivalentes à celles de la laine de verre Par Phonic ou celles des isolants flexibles Isonat en fibres de bois, notamment pour les cloisons distributives (RA = 38 dB pour une cloison 72/48 avec une plaque BA 13 et de l’Isocoton 40 mm).Isocoton bénéficie d’une réaction au feu sous ACERMI ainsi que des extensions feu avec l’ensemble des systèmes de plaques de plâtre Placo®, en cloisons, contre-cloisons et plafonds, assurant pour les logements collectifs et les Établissements Recevant du Public, la sérénité et la sécurité des occupants.Un produit biosourcé et issu du recyclage pour une gestion optimisée des ressourcesIsocoton permet la revalorisation de vêtements destinés au rebut et de chutes de tissu de l’industrie textile. En transformant cette matière en isolant, ISOVER participe à valoriser une matière première disponible en très grande quantité, en un produit à haute valeur ajoutée pour l’efficacité thermique des bâtiments et le confort des occupants.Cette solution d’isolation biosourcée s’inscrit en droite ligne avec les exigences de la RE 2020.Parallèlement, cette transformation par voie sèche 100% réalisée en France réduit l’impact de sa production sur l’environnement en limitant fortement sa consommation en eau.Confort de pose inégaléUne douceur extrêmeBénéfice majeur pour le poseur, Isocoton est un produit doux et moelleux, agréable à poser.Un poids plumeIsocoton, par sa légèreté, offre plus de confort aux poseurs tant dans sa pose que lors de la manutention sur les chantiers.Une mise en œuvre aiséeLégers, souples et semi-rigides (à partir de 100 mm), les panneaux se glissent facilement dans les espaces difficiles d’accès, entre chevrons notamment ou derrière les fourrures, permettant un calfeutrage optimal. Ils reprennent également leur forme grâce à leur haute conformabilité et épousent ainsi parfaitement la structure y compris sur les supports irréguliers.Isocoton est compatible avec les systèmes Optima (en murs) et les membranes Vario® Confort d’ISOVER.Enfin, la mise en œuvre des panneaux Isocoton est sous avis techniques, pour une pose sereine et assurable :DTA n° 20/19-439_V2_E1 pour l’application murs et cloisonsDTA n° 20/19-440_V2_E1 pour l’application comblesIsocoton s’associe à Placo® pour proposer des systèmes de cloisons, contre-cloisons et plafondsA l’écoute des évolutions et des besoins, ISOVER propose également une solution Isocoton avec Placo®, leader français du confort intérieur, mutualisant ainsi leurs expertises.Disposant de plus de 30 PV et extensions feu et acoustique pour valider un très grand nombre de configurations, ces systèmes répondent à la demande croissante du biosourcé en cloisons et contre-cloisons en murs maçonnés dans les Établissements Recevant du Public tels que les lieux de santé, d’enseignement, ou encore dans les logements collectifs.Ces systèmes allient les performances et bénéfices d’Isocoton aux qualités techniques multiples de la large gamme de plaques de plâtre Placo®.Plus de 30 PV et extensions validésCes solutions permettent d’atteindre des exigences feu EI30 à EI120 en cloisons, et EI45 à EI120 en contre-cloisons.Côté confort acoustique, elles offrent les avantages de l’isolant cumulés à celui de la plaque, procurant ainsi un important confort phonique.Isocoton est compatible avec les aides financièresAfin d’améliorer l’isolation des logements, de diminuer les factures de chauffage et de permettre d’éviter des émissions de CO₂, des aides financières existent en rénovation.Isocoton est éligible aux aides à la rénovation selon les épaisseurs et les applications.Cela concerne entre autres MaPrimeRénov’, l’Éco-prêt à taux zéro (Éco-PTZ), les CEE ou encore la TVA à 5,5 % pour les travaux de rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 172 jours

la production et la composition du verre plat

La production industrielle de verre plat emploie en France des milliers de personnes et génère un matériau indispensable à la qualité de vie dans les bâtiments : le vitrage. En effet, à lui seul, il protège du vent, de la pluie, du froid, du chaud et même sécurise contre les incendies ou les effractions. Sans les vitres, nous vivrions dans des endroits exempts de lumière naturelle, indispensable à notre santé et à notre bien-être. Malgré que le verre plat, à ne pas confondre avec le verre qui sert de contenant à nos boissons quotidiennes, soit présent partout autour de nous, savez-vous de quoi il est fait, où et comment il est produit ?
Il y a 2 ans et 173 jours

FOAMGLAS – 25 ans de garantie sur l’isolation des toitures du Centre aquatique de Vitry-le-François… 

@foamglas Oui, c’est possible. Et, c’est surtout remarquable de pouvoir appliquer à ce type de  bâtiment une durée de garantie de 25 ans. Cette garantie concerne : 1. les performances thermiques, 2. l’étanchéité à l’eau de l’isolant et 3. l’absence de condensation dans la toiture. Le Centre aquatique de Vitry-le-François bénéficie de 25 ans de garantie pour ses toitures. Un bâtiment fort sollicité par l’humidité de l’air extérieur, classé en Très Forte Hygrométrie par les DTU.Le maître d’ouvrage du Centre aquatique de Vitry-le-François a demandé à son architecte, CHABANNE ARCHI\\INGE, une conception d’ensemble privilégiant un objectif d’économie sur le long terme lors de l’exploitation de la piscine. Il a été décidé d’isoler toutes les toitures en FOAMGLAS®. Ainsi, le Centre aquatique gagne sur trois critères.  À la réception de l’ouvrage, Owens Corning FOAMGLAS® délivrera une GarantieToiture25® garantissant au total, en tenant compte de la décennale de l’entreprise, la pérennité de la performance thermique, l’étanchéité à l’eau et l’absence de condensation dans toutes les toitures du Centre aquatique pendant 25 ans. De nombreux aspects de l’ouvrage ont été travaillés avec un objectif de durabilité fixé par la Communauté de communes de Vitry-le-François, Champagne et Der (51). Ainsi, par exemple, c’est de l’inox qui a été retenu pour réaliser l’étanchéité et le revêtement des bassins.Il est encore rare que les toitures fassent l’objet d’une telle analyse tant l’Assurance Décennale est bien installée dans les esprits en France. Les dix ans de garantie qu’offre l’entreprise au maître d’ouvrage sont souvent considérés comme suffisants. Or, 10 années passent bien vite et refaire une toiture de piscine au frais du contribuable 15 ans après sa construction n’est pas satisfaisant d’un point de vue écologique et financier. La même analyse vaut pour les toitures actives (avec accès piétons, véhicules, jardins, installations photovoltaïques…) : refaire les toitures plates avec un nouvel isolant et une nouvelle étanchéité, avec dépose préalable des complexes existants, coûte très cher. Avec la seule Assurance Décennale, la maîtrise d’ouvrage se trouve à la merci d’une mauvaise mise en œuvre ou d’une conception peu qualitative entraînant des désordres au bout de 12 à 14 ans.  La GarantieToiture25®, une avancée considérableFace à cette situation, et fort de l’expérience de 60 ans d’isolation thermique de toitures parmi les plus contraignantes, Owens Corning FOAMGLAS® propose depuis 3 ans une GarantieToiture25®. Soit 25 ans de garantie thermique de la toiture et 15 ans sur l’étanchéité de la toiture après la garantie décennale. Deux critères sont exigés pour d’obtenir cette garantie : en conception, l’isolation des relevés d’étanchéité (ou la mise en place de chanfreins en FOAMGLAS®) et, en phase chantier, l’établissement d’un plan d’assurance qualité par l’entreprise en collaboration avec l’Équipe Technique de Owens Corning FOAMGLAS®. Ce plan d’assurance qualité demande la présence du technicien FOAMGLAS® au démarrage des travaux d’isolation et d’étanchéité afin de délivrer un training rigoureux des compagnons, et son intervention à tout moment du chantier avec l’accord de l’entreprise d’étanchéité. Ce dispositif apporte une amélioration reconnue de la gestion des risques en phase chantier et in fine une garantie contractuelle apportée par Owens Corning FOAMGLAS® au maître d’ouvrage qui confère une valeur considérable à l’ouvrage.Cette garantie souligne aussi deux points importants restant à améliorer dans l’acte de construire :– À ce jour, les fabricants ne sont pas obligés de garantir leurs matériaux isolants une fois mis en œuvre, ni même de garantir dans le temps une partie de la résistance thermique annoncée dans leur validation technique. En effet, les PV ACERMI concernant les isolants engagent l’ACERMI sur des valeurs obtenues en sortie d’usine seulement et suivant un protocole d’essai précis visé par les normes EN. Obtenir un engagement de 25 ans sur 100 % de maintien de la performance thermique de l’isolation de la toiture représente une avancée considérable.– L’Assurance Décennale engage l’entreprise d’étanchéité pour 10 ans sur l’étanchéité de l’ouvrage. Du point de vue écologique et financier (économie des matériaux, transport, immobilisation de l’ouvrage, gestion des déchets…) refaire une toiture 15 ans après sa réfection devient peu satisfaisant. Disposer d’une garantie complémentaire de 15 ans sur l’étanchéité après la décennale de l’entreprise représente, là aussi, un progrès considérable pour l’ouvrage et le maître de l’ouvrage.Les Services de la Communauté de communes de Vitry-le-François, Champagne et Der, appuyés par les analyses de CHABANNE ARCHI\\INGE, ont bien analysé ces diverses données. CHABANNE ARCHI\\INGE a proposé les deux solutions avec leurs incidences financières, et il a été décidé d’isoler toutes les toitures en FOAMGLAS®. À la réception de l’ouvrage, Owens Corning FOAMGLAS® délivrera une GarantieToiture25® garantissant au total, en tenant compte de la décennale de l’entreprise, l’isolation thermique et l’étanchéité de toutes les toitures du Centre aquatique pendant 25 ans.  Le verre cellulaire sécurise totalement les toitures de piscine. Pourquoi ?Le verre cellulaire sait garantir 25 ans une résistance thermique constante dans le temps et une absence de condensation dans les toitures de piscine, quel que soit l’élément porteur : bac acier, bac acier acoustique, bois ou dalle béton. FOAMGLAS® garantit une réelle performance thermique des toitures, même celles des bâtiments les plus sollicités par l’humidité de l’air intérieur, classés en Très Forte Hygrométrie par les DTU. Isolé avec du verre cellulaire (isolant étanche dans la masse, mis en œuvre avec le collage des plaques entre elles sur toute leur épaisseur), la couche isolante de la toiture d’une piscine restera sèche, et gardera, toute la vie du bâtiment, une performance thermique intacte. Si sa Résistance Thermique d’origine est de 5 m².K/W, soit une Conductance Thermique de 0,2 W/m².K, alors, 25 ans plus tard, la conductance de la toiture sera toujours de 0,2 W/m.K ! La GarantieToiture25® d’Owens Corning FOAMGLAS® l’atteste.Seule une isolation en verre cellulaire permet cette performance très économique pour le maitre d’ouvrage !   En piscine, la garantie d’une absence de condensation en toiture est essentielle, tant les risques sont grands lorsque la température extérieure est froide, compte tenu de l’air intérieur du bâtiment très humide. Comme sur le sujet de la résistance thermique, FOAMGLAS® est au rendez-vous : le verre cellulaire est de perméabilité nulle (PV du CSTB) et les plaques sont collées entre elles avec une colle imperméable à la vapeur. Si l’épaisseur de la couche isolante est de 18 cm (Rth = 5), alors il y aura une épaisseur de colle de 18 cm située au droit des joints de FOAMGLAS® ! Ainsi, l’humidité intérieur de la piscine ne peut pas migrer dans une couche isolante de FOAMGLAS®, qui est pare-vapeur dans la masse. Et, le point de rosée (appelé aussi température de rosée) ne peut pas être atteint par la vapeur située à l’intérieur de la piscine. Il ne peut donc pas y avoir de condensation dans la toiture. www.foamglas.fr
Il y a 2 ans et 174 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE PROSITE, PROJECTEUR LED POUR L’ÉCLAIRAGE EN ENVIRONNEMENT DIFFICILE ET DE GRANDE HAUTEUR

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente la gamme de projecteurs LED à haut rendement ProSite de Dialight. Robustes, étanches et très économes en énergie, les projecteurs LED ProSite délivrent un éclairage ultra puissant qui offre une excellente visibilité permettant la sécurité des opérations à l’intérieur comme à l’extérieur. Conçus pour fonctionner dans des environnements difficiles et de grande hauteur, ils sont adaptés à l’éclairage des plateformes offshore, des chantiers, des sites industriels et des sites classés SEVESO comme par exemple, des complexes miniers, pétroliers, gaziers, pétrochimiques … Les projecteurs LED ProSite sont disponibles en plusieurs versions, (modèle simple et double), puissances (81 W ; 124 W ; 234 W ; 484 W et 499 W), flux lumineux (12 000 lm ; 18 000 lm ; 30 000 lm ; 65 000 lm),  températures de couleur (ambre ; 2700 K ; 4000 K ; 5000 K), angles de faisceau (moyen – 55° ; extensif – 125° ; très large – 131°x108° ; asymétrique avec une distribution directe) et indices de rendu des couleurs (IRC 70, 80 en option). Ils possèdent une efficacité lumineuse allant jusqu’à 165 lm/W, une très longue durée de vie de L70>150 000 heures et de nombreuses options adaptées aux besoins spécifiques des professionnels. Résistants à l’humidité, à l’air et brume salins (certification DNV), aux vibrations ainsi qu’à la corrosion (boitier compact en aluminium moulé protégé d’une double couche d’enduit polyester et époxy), les projecteurs LED ProSite sont dotés d’optiques moulées (technologie TIR), recouvertes, en option, de verre ou de polycarbonate. Ils sont étanches (indice de protection IP66/67 ; IK10-polycarbonate, IK08-verre), disposent d’une protection contre les surtensions transitoires et fonctionnent à des températures extrêmes de -40°C à +65°C ; +55°C pour les modèles doubles. Les projecteurs LED ProSite sont gradables et compatibles avec le système de commande DALI 2.0/0-10 VDC. Ils sont garantis 10 ans (luminaire et driver). A propos d’EAS SOLUTIONS  EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe de plus de 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr EAS Solutions a obtenu le label AFE que l’Agence France Électricité délivre aux entreprises qui s’engagent pour le climat et qui prennent en compte les objectifs environnementaux de l’accord de Paris. www.agence-france-electricite.fr
Il y a 2 ans et 176 jours

Baromètre 2022 de la base INIES : toujours plus de données environnementales pour accompagner la RE2020

INIES, base de référence de la RE2020Entrée en vigueur depuis janvier 2022, la RE2020 est une étape majeure dans la décarbonation du secteur de la construction française. Son objectif est d’améliorer la performance environnementale des bâtiments neufs afin de diminuer leur impact sur le climat.Outil de référence pour l’application de la RE 2020 la base INIES permet à tous les acteurs de la construction d’évaluer l’empreinte environnementale des bâtiments neufs. Elle est aujourd’hui la plus grande base de données environnementales des produits et équipements de la construction (FDES, PEP Ecopassport®, DED et DES) et s’impose comme la seule source de données aussi riche en Europe pour permettre d’alimenter les logiciels d’ACV Bâtiment.Conscient de leur rôle central pour la mise en application de la RE2020, les fabricants de produits de construction et d’équipements se sont d’ailleurs une nouvelle fois engagés activement dans une démarche volontaire des déclarations de leurs solutions, 100% vérifiées, numérisées puis mises à disposition gratuitement..Ainsi, au 31 août 2022, la base INIES compte un total de 5 389 données (en hausse de 28% par rapport au baromètre 2021) dont :3 190 FDES (+29% par rapport au 31 décembre 2021) représentant 676 086 références commerciales599 PEP (+14% par rapport au 31 décembre 2021)1 495 DED dont 1009 produits de construction et 486 équipements105 données conventionnelles dont 33 lots forfaitaires et 72 données conventionnelles de services (DES)343 organismes déclarants de FDES et 51 organismes déclarants de PEP (dont 100 nouveaux déclarants de FDES et 5 pour les PEP depuis 2022)Cette très forte croissance du nombre de déclarants témoigne de la démocratisation de la réalisation des déclarations environnementales accompagnant la RE2020.Côté famille de produits et équipements, le Baromètre 2022 INIES donne une vision précise des différentes familles représentées. Tout comme dans le Baromètre 2021, on note que l’isolation enregistre toujours le plus grand nombre de FDES (1202), devant le secteur des produits pour le cloisonnement et les plafonds suspendus (493) et ceux pour la structure/maçonnerie/gros oeuvre/charpente (356), secteur qui occupe la troisième place exæquo avec les revêtements de sols et murs/peinture/produits de décoration (356).Pour les PEP, les appareillages d’installation pour le secteur des réseaux d’énergie électrique et de communication dominent toujours le classement côté équipements avec 313 documents renseignés et vérifiés, suivis par les équipements de génie climatique (146) puis ceux dédiés à la sécurité du bâtiment (41).Il est important de rappeler que la Base INIES fournit les informations nécessaires pour le calcul de l’impact environnemental global du bâtiment. Ainsi elle va au-delà de l’indicateur « carbone » et intègre également des informations sur le stockage du carbone biogénique présent dans l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments ; la quantité de matériaux issus de ressources renouvelables, recyclées ou recyclables qui leur sont incorporées pour l’économie circulaire ; des informations sanitaires pour renseigner sur la contribution du produit à la qualité de l’air intérieur du bâtiment. C’est la prise en compte de l’ensemble de ces indicateurs qui permet d’évaluer la performance environnementale et sanitaire du bâtiment.INIES : les nouveautésPour permettre à tous d’accéder facilement à la base de données INIES, un nouveau site a été mis en place depuis fin 2021. Ce dernier s’est enrichi de 5 nouveaux motions design à vocation pédagogique. Des courtes vidéos sont accessibles dans l’objectif de partager, de façon simple et ludique, les informations clés concernant la base INIES, les FDES et les PEP.Concernant les équipements du génie climatique, la base de données de déclarations environnementales du programme PEP a été entièrement repensée et offre désormais une nouvelle interface d’enregistrement et de consultation avec de nouvelles fonctionnalités.À la demande des spécialistes de l’ACV bâtiment en charge de contrôler la qualité des ACV de bâtiments, une nouvelle interface à été mise à disposition afin de faciliter le contrôle du calcul de la contribution des composants du bâtiment selon la RE2020.Les données manquantes pour la RE2020Malgré la progression constante de la base INIES depuis bientôt 20 ans et une forte mobilisation des fabricants, certaines données manquent encore à l’appel pour la RE2020.Afin d’encourager les fabricants à fournir les déclarations environnementales de leurs produits, la base INIES publie dans son Baromètre 2022 la liste prioritaire des familles de produits et d’équipements pour lesquelles les déclarations sont manquantes.#FaistaFDESAppuis de baieBoisseaux et Conduits de fumisterieCharpentes aluminium et bétonComplexes de doublage : plâtre + polystyrène extrudéColles (charpente, réparation), masticsCuves et réservoirsÉviers, lavabos et receveurs de douche en matériaux de synthèse et acier inoxydableEscaliers et mains courantesÉléments de couverture en petits et grands éléments : PVC, bois, fibre ciment, pierre, zinc…Fondations bois massif et préfabriquées bétonIsolants acoustiques pour cloisons : fibre de coton, de lin, laine de mouton, laine et fibre de boisIsolants thermiques et acoustiques : laine, liège expansé, sous-vide, verre cellulaire, chenevotte, perlite…Isolation répartie non porteuse : torchisGaines et fourreauxGarde-corps en bois, PVC, polycarbonate…Membranes pour façade légère : parevapeurMousse PUPlafonds suspendus / plafonds tendus PVCPortes bois reconstitué, portes PVCProduits de finition/décoration : plinthes, papiers peints, pierres naturelles…Primaires de préparation de supportProduits d'étanchéité et d'imperméabilisation pour murs enterrésRéseaux d’évacuation et d’assainissement (acier, béton, PE)Réseaux adduction gaz (PE, acier)Système de drainage (PVC et PP)Tomettes en terre cuite#FaistonPEPBatteriesBlocs multiprisesCaissons de ventilation, centrale doux flux, filtresChaudières gaz, fioul, hybrideCoffrets VDI, coffrets étanches, connectiqueCogénérateurs photovoltaïques, convertisseurs, régulateursCoudes et accessoiresCheminent de câbles : goulottes, boîtes…Convecteurs, unités de confortDiffuseurs d’air : terminaux, entrées, bouches d’extractionDisjoncteurs divisionnaires, fusibles, interrupteurs, variateurs, délesteurs, minuterieFibre optiqueFils et Câbles non isolés ou chauffants, câbles Haute tensionMatériels d’éclairage : encastrés, appliques, projecteurs, luminaires/bornes extérieurs…Motorisations d’ouverturePoints d’accès wifi, répartiteursSystème de désenfumage (grilles, volets, caissons…)Systèmes de diffusion sonore : sonnettes, haut-parleursSystèmes de sécurité incendie, éclairages de sécurité et vidéosurveillanceLa base INIES regroupe :les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour les produits de la construction ;les Profils Environnementaux Produits (PEP) pour les équipements électriques, électroniques et de génie climatique.des données environnementales par défaut (DED)des données conventionnelles de service (DES).Télécharger le Baromètre INIES 2022
Il y a 2 ans et 176 jours

Qualité de l'air intérieur : concilier renouvellement d'air et performance énergétique

Les effets nocifs de la pollution de l’air intérieur sur la santé des occupants ne sont plus à démontrer. Le renouvellement d’air et la ventilation sont donc fondamentaux afin de satisfaire les exigences de confort et de santé des occupants.Afin d'atteindre les objectifs ambitieux en matière d'économie d'énergie et de lutte contre le réchauffement climatique, l’enjeu majeur est de maintenir un environnement intérieur de qualité (confort thermique, qualité d'air intérieur - QAI, confort acoustique) tout en réduisant les consommations énergétiques du bâtiment.La nécessité d’une bonne qualité de l’air et du renouvellement d’airNous passons aujourd'hui 90% de notre temps en milieux clos (logements, entreprises, crèches, écoles, transports…) où l'air intérieur peut révéler un taux de pollution jusqu’à dix fois plus élevé que l’air extérieur. Les effets nocifs de la pollution de l’air intérieur sur la santé des occupants ne sont plus à démontrer : syndrome du bâtiment malsain, asthme, effets cocktails, effets sur les performances du travail. On estime aujourd’hui le coût des effets socio-économiques d’une mauvaise qualité de l’air intérieur en France à 19 milliards d’euros par an pour 6 polluants seulement (voir sources 1). Véritable problématique sociétale car liée à la santé publique, l’amélioration de la qualité de l’air intérieur (QAI) passe par une ventilation performante avec des systèmes qui doivent répondre à un double défi : celui d’assurer un renouvellement de l’air suffisant tout en limitant au maximum l’impact énergétique. Pour ce faire, il faut travailler sur la réduction des consommations énergétiques directes liées à la consommation des auxiliaires et celles indirectes liées au renouvellement d'air (besoins de chauffage et de refroidissement).Les leviers d’action sont au nombre de trois : Agir sur la consommation électrique des ventilateurs avec l’utilisation de moteurs à commutation électronique (EC), dont la vitesse régulée permet de réduire sa consommation, et l'optimisation des rendements des ventilateurs. Optimiser le renouvellement d’air. Cela s’effectue de deux façons principalement : via la notion de balayage (amenée d'air dans les pièces de vie et extraction dans les locaux pollués), très présente en France, et via la modulation des débits en habitat et en tertiaire. Cette modulation permet d’adapter les débits d'air au besoin réel.Récupérer l’énergie sur l’air extrait en utilisant des échangeurs de chaleur (à plaque ou à roue) entre l'air extrait et l'air neuf et en utilisant l’air extrait comme source pour les appareils multifonctions (pompe à chaleur ou chauffe-eau thermodynamiques). Quels sont les enjeux du renouvellement de l’air ? Le premier enjeu est de satisfaire les exigences de santé et de confort des occupants en amenant l’air neuf de l’extérieur, en évacuant l’air vicié et en diluant les polluants. Le deuxième enjeu est de contribuer à la préservation du bâtiment en évitant les risques de condensation et donc le développement de moisissures. Le renouvellement d’air peut se faire de trois façons : les infiltrations d’air résultant de la perméabilité du bâtiment. Non maîtrisables, elles sont aujourd’hui incompatibles avec les exigences d'étanchéité à l'air des bâtiments. l’ouverture des fenêtres qui permet d'amener de façon ponctuelle un débit d'air élevé, notamment après un pic d’activité. Cependant, cette méthode reste étroitement liée à l’usager et aux contraintes extérieurs (climatique, acoustique, effraction…). Il n'est donc pas possible de s’en remettre à cette seule solution pour assurer une bonne QAI. un système de ventilation pour assurer le renouvellement d’air des bâtiments. Grâce à un apport d'air localisé, une maîtrise des débits et un traitement complet du bâtiment, cette solution est la plus probante et la plus efficiente. Ces systèmes de ventilation doivent satisfaire à des exigences portant notamment sur la performance énergétique, la sécurité incendie, le confort acoustique, le développement durable. Le cas échéant, ils doivent également être compatibles avec le bon fonctionnement des appareils à combustion, afin d'éviter les inversions de tirage. Il existe plusieurs leviers d'action afin d'améliorer l'efficacité du système de ventilation pour préserver une bonne QAI tout en réduisant les consommations énergétiques. Épurer l’air, un levier d’amélioration de la QAI bien connu Une première solution consiste à épurer l'air, soit avec différents types de média filtrant (fibres de verre, fibres, filtres avec traitement électrets…), soit par d'autres technologies (ionisation, photocatalyse, etc.). Cela va ainsi permettre de réduire le niveau de particules de l'air venant de l'extérieur, les pollens, les micro-organismes, les germes ou autres bactéries pénétrants dans les locaux (épuration intégrée à la ventilation) ou présents dans l'air ambiant (épurateur d'air autonome). Toutefois, à l'inverse d'un système de ventilation qui extrait tous les polluants de l'air sans distinction, l'épuration d'air ne traite qu'une famille cible de polluants (chimiques, bactériens ou particulaires). Il faut donc associer plusieurs techniques d'épuration si l'on veut traiter tout le panel des polluants. De plus, certains polluants ne sont pas traités par l'épuration (CO2 par exemple). L'épuration ne peut donc pas être à elle seule la solution. Elle doit être associée à une ventilation performante. La ventilation intelligente, un levier d'avenir La définition donnée par l'AIVC (sources 2) pour la ventilation intelligente des bâtiments est la suivante : "La ventilation intelligente est un processus d'ajustement permanent du système de ventilation au cours du temps, et éventuellement selon l'emplacement, pour fournir la qualité d'air intérieur (QAI) souhaitée tout en minimisant la consommation d'énergie et la facture énergétique, ainsi que d'autres inconvénients non liés à la QAI, comme par exemple l'inconfort thermique ou le bruit". Un système de ventilation intelligente réagit notamment à la présence d’occupants, à des critères de QAI, des besoins du réseau électrique, de température ou d’humidité relative extérieure, à de la pollution intérieure ou au fonctionnement d’autres systèmes. D’après une étude du CETIAT concernant les bâtiments tertiaires (sources 3), le taux d’occupation moyen d’un bureau est de 40 % et de 10 % pour une salle de réunion, ce qui tend à prouver l’intérêt de recourir à la modulation des débits. Cette modulation va être liée à des capteurs d’humidité (ce qu’on connaît surtout dans le secteur résidentiel avec les systèmes hygroréglables), de détection de présence (dans les toilettes et dans les bureaux dans le tertiaire), un comptage optique et des capteurs de CO2. La modulation de débit peut se faire soit par zone, au niveau des terminaux ou d'une branche complète du réseau aéraulique, soit à l'échelle complète du bâtiment en agissant directement sur le ventilateur. Afin de vérifier et de valoriser l'efficacité des systèmes de modulation de débit, différentes certifications existent tant au niveau français (NF, QB) qu'européen (Eurovent, Passivhaus). Les performances des produits et les valeurs annoncées par les fabricants sont ainsi contrôlées par un organisme tiers indépendant. Les équipements de ventilation, une fois installés, doivent être vérifiés. Dans le résidentiel neuf, la réglementation environnementale RE2020 a inscrit dans ses textes l’obligation de vérification des systèmes de ventilation par un professionnel indépendant. Un indicateur de conformité sera inscrit dans l’attestation RE2020, l’usager pourra donc avoir une information précise sur la conformité de son installation.La QAI est l’affaire de tous lors de la construction d’un bâtiment : de la programmation à la phase d’exploitation et au fonctionnement, tous les corps de métiers liés à la construction des bâtiments sont acteurs de cette qualité d'air intérieur. On perçoit depuis quelques temps que l'impact des bâtiments sur la santé et le bien-être des occupants prennent une place de plus en plus importante au sein de l'opinion publique, au même titre que la performance énergétique.1 : Rapport ANSES-CSTB, avril 2014 - https://www.oqai.fr/fr/campagnes/cout-socio-economique-de-la-pollution-de-l-air-interieur - Polluants étudiés : benzène, radon, trichloroéthylène, CO, particules, fumée de tabac environnementale2 : F. DURIER, R. CARRIÉ et M. SHERMAN. "Qu'est-ce que la ventilation intelligente (smart ventilation) ?". Ventilation Information Paper n° 38, mai 2018 - https://www.aivc.org/sites/default/files/VIP38_french.pdf3 : Note Technique CETIAT NTV 2000/071, "Modulation de débit", 176 pages, Septembre 2000Tribune de Benoît Golaz, chargé d'affaires Systèmes Aérauliques Ventilation au CETIAT (Linkedin)
Il y a 2 ans et 176 jours

Innovation technologique : ISOVER lance isoconfort 35 kraft

Le premier isolant en laine de verre en lambda 35 avec une résistance thermique de 8,55 m².K/W en simple couche pour les combles aménagés  Dans un souci d’accompagner au mieux les artisans sur leurs chantiers, ISOVER propose des solutions d’isolation toujours plus performantes et à la pose facilitée. Face aux nouveaux besoins et grâce à […]
Il y a 2 ans et 179 jours

Des isolants en carton, la bonne idée d'une entreprise du Haut-Rhin

INNOVATION. Un producteur d'emballages en carton a imaginé un isolant écologique à partir de cette matière première. Quatre centimètres d'épaisseur de carton seraient équivalents à 10 centimètres de laine de verre, selon l'inventeur, lauréat du concours Lépine.
Il y a 2 ans et 180 jours

Colas développe son réseau de recyclage

Valormat et Ecotri, deux offres Colas pour donner une seconde vie à tous les matériaux issus du réaménagement et de la déconstruction. – [©Colas] Pour préserver les ressources naturelles, Colas se dote d’un réseau de plates-formes d’accueil des déchets en France. Ainsi, deux nouvelles offres de services destinées aux professionnels du BTP et des espaces verts sont proposées : Valormat et Ecotri. La première propose 160 sites pour recevoir des volumes importants de déchets minéraux issus du BTP. Ces derniers seront triés et transformés en granulats pour ensuite être utilisés sur de nouveaux chantiers. Une activité qui permet aux entreprises du bâtiment d’acheter des matériaux naturels et des produits innovants. Tel est le cas de Valo Bloc, un béton recyclé. Cette structure accueille aussi les six flux de déchets réglementaires : papier/carton, métal, plastique, verre, bois et plâtre. Lire aussi : Colas s’engage pour réduire son empreinte carbone Recycler pour économiser les ressources naturelles Quant au second, Ecotri, son réseau est composé de 12 déchetteries professionnelles. Celles-ci répondent aux besoins des artisans et des PME du bâtiment. Et sont en mesure de traiter une quinzaine de types de déchets différents. « Donner une seconde vie aux déchets issus de la construction est essentiel, déclare Thierry Méline, président de Colas France. Recycler permet d’économiser les ressources naturelles pour avoir un impact carbone plus faible et d’offrir une source d’approvisionnement locale. » Des actions qui vont permettre à Colas d’augmenter de près de 50 % sa production de matériaux recyclés d’ici à 2026. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 181 jours

Christian Bouigeon, nouveau Président du FILMM (Syndicat des Fabricants d’Isolants en Laine Minérale Manufacturée)

Christian Bouigeon a été élu à la Présidence du FILMM et succède à Pierre-Emmanuel Thiard, appelé à d’autres fonctions.Ingénieur diplômé de l’école ESPCI Paris – Ecole Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de Paris – il débute sa carrière en tant qu’ingénieur de recherche au sein du Groupe Saint-Gobain. Il l’a poursuivie dans différentes entités du Groupe en France et en Pologne. Occupant des fonctions de Direction Générale depuis 2004, il a été nommé à la Direction Générale des marques Isover et Placo France depuis mai 2021. Christian Bouigeon et les membres du FILMM souhaitent rappeler le rôle fondamental de l’isolation pour une véritable sobriété énergétique des bâtiments. A l’heure du dérèglement climatique et des crises énergétiques, des décisions fortes doivent être prises sur la rénovation des bâtiments en France en utilisant tous les dispositifs incitatifs et financiers pour passer à l’action.Les adhérents du FILMM (Eurocoustic, Isover, Knauf Insulation, Rockwool, Ursa), produisant tous en France, proposent des laines minérales de verre et de roche permettant de répondre à cette urgence collective. Je suis très heureux de prendre la présidence du FILMM et de pouvoir m’associer à l’ensemble de ses membres pour valoriser le rôle fondamental que joue l’isolation dans la sobriété énergétique des bâtiments et la réduction de leurs émissions de CO2.Christian Bouigeon
Il y a 2 ans et 182 jours

Prison avec sursis pour le déversement de déchets dans les Calanques de Marseille

Entre le 17 janvier et le 29 mars 2018, des caméras-pièges installées sur un vaste terrain appartenant au Consistoire Israélite de Marseille avaient filmé seize rotations de deux camions appartenant aux prévenus.Aucun autre véhicule n'avait été surpris. Quelques mois plus tôt, le parc national avait dressé un procès-verbal établissant la présence de gravats composés de blocs rocheux, de béton, laine de verre, plastiques et carrelages, fraîchement déposés, la nature n'ayant pas repris ses droits.Le montant des amendes prononcées par le tribunal (11.500 euros pour l'un et 21.500 euros pour l'autre) correspond à peu près à la somme que les deux entrepreneurs auraient dû débourser pour mettre en décharge le volume de ces seize rotations.Dénonçant "un fléau qui dénature notre région", le procureur Michel Sastre avait requis une peine mixte de 18 mois de prison dont six mois ferme et une amende de 15.000 euros contre chacun des prévenus qu'il avait qualifiés de "patrons-voyous".Ce terrain situé dans le parc national bénéficie aussi d'un classement Natura 2000 et au titre des Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.La présidente du tribunal Azanie Julien-Rama a justifié la peine prononcée par "la gravité des faits qui ont perduré pendant plusieurs mois avec des conséquences très graves".Entendue à l'audience, une inspectrice de l'environnement du Parc avait souligné l'impact grave de ces déversements de déchets polluants sur la faune, la flore et les habitats du parc dans un site également classé au titre des paysages pour leur exceptionnelle beauté. Elle ajoutait: "après les incendies, la nature se répare mais avec ces déversements de déchets, aucune réparation n'est possible".Le tribunal a écarté les arguments des deux entrepreneurs qui disaient n'avoir fait que déplacer des déchets déjà présents sur les lieux et soutenaient avoir un accord verbal avec le propriétaire du terrain. "Ils n'ont jamais pu justifier d'un tel accord", a relevé le tribunal.Les juges ont également écarté leur bonne foi fondée sur la fourniture à l'audience de factures de déchetteries mais une seule concernait la période des faits.Les deux entrepreneurs devront également indemniser le préjudice matériel du propriétaire, le Consistoire s'étant vu allouer 2.500 euros de dommages et intérêts pour son préjudice matériel.
Il y a 2 ans et 182 jours

Pour Isover, « déchets » rime avec « ressources »

Ce contexte de nécessité du recyclage va aussi fortement évoluer dès le 1er janvier 2023 avec l’entrée en vigueur de la Responsabilité Élargie du Producteur (REP). Isover Recycling répond parfaitement à ces exigences à venir en assurant la reprise des laines de verre usagées issue du BTP.* Sources FFBLa laine de verre Isover est recyclable à 100% et à l'infiniEn remplaçant le sable par du calcin dans la composition de sa laine de verre, Isover permet de faire des économies d’énergie conséquentes puisque fondre du calcin nécessite des températures de fusion nettement plus faibles que celles nécessaires pour le sable.Isover investit 10 millions d'euros dans un prototype industriel de refonte de la laine de verre : le SBM, un four de recyclage nouvelle générationUne technologie piloteLe projet vise à construire un four qui transformera des rebuts de laine de verre en calcin (verre recyclé), qui sera ensuite réintroduit en totalité dans les fours de fusion électrique en tant que matière première afin de créer de la nouvelle laine de verre.Avec ce procédé, Isover permet un cycle de vie optimal à la laine de verre.Cette technologie aura vocation à être dupliquée par la suite sur d’autres sites européens du groupe, en Allemagne et en Suède. Pour ces trois fours, Isover a obtenu de l’Union européenne 4,1 millions d’euros de subvention. Isover a également reçu une aide financière de l’ADEME Pays de Loire pour ce projet vertueux.Le projet représente un investissement total de 10 millions d’euros en incluant les bâtiments, installations techniques et raccordements. Le four est en cours de construction à l’usine de Chemillé en Anjoux, lieu stratégique afin de permettre une large occupation du territoire avec Orange (et son four de recyclage Oxymelt).Isover Recycling, la première filière au monde de recyclage des déchets de chantier en laine de verre pour éviter les enfouissements et favoriser un cycle de vie du produit en boucle ferméeLa démarche responsable d’Isover répond par anticipation aux enjeux de collecte des déchets de la laine de verre qui représentera :Isover Recycling et l'Oxymelt en chiffresPour Lucie Charbonnier, directrice Développement durable d’Isover : « Nous disposions déjà d’un four sur le site d’Orange (Vaucluse), le principe de faire entrer la laine de verre en fusion est le même mais ce nouveau four sera différent, permettant un calcin de meilleure qualité, une consommation énergétique et des émissions de CO2 bien moindres. Il permettra également de recycler de plus grande quantités. »
Il y a 2 ans et 182 jours

La balustrade en verre : jusqu’à 2.500 mm de longueur pour sécuriser fenêtres et balcons

Ce nouveau concept de garde-corps peut aussi bien être posé entre deux murs ou en applique.Les profilés très discrets permettent une intégration invisible à la façade pour un rendu élégant et discret. En verre trempé feuilleté 8+8 mm ou 10+10 mm, La Balustrade en Verre est très appréciée par les architectes et designers pour son esthétique, son harmonie avec les autres matériaux et l’ensemble des palettes de couleur disponibles.La Balustrade en Verre est un système sur mesure aisé et très pratique à poser. En effet, Glass Systems a pour principale finalité de proposer à ses partenaires, professionnels de la menuiserie, des produits de haute qualité mais surtout dont le montage est facile et rapide. Les profilés latéraux de la Balustrade en Verre sont fixés aux murs, puis le verre est glissé à l’intérieur de ces derniers. Afin de maintenir le verre en place et de le verrouiller, un joint de bourrage est inséré pour caler le verre, puis des embouts en aluminium viennent fermer les profilés latéraux.
Il y a 2 ans et 183 jours

Réhabilitation en périmètre PPRT, le Groupe Lorillard accompagne Lyon Métropole Habitat dans la réhabilitation des menuiseries de la résidence les Hautes Roches

En 2018 Lyon Métropole Habitat lance un appel d’offre pour la réhabilitation, dans le cadre d’une mise aux normes PPRT, de 294 logements des résidences Hautes Roches à Pierre-Bénite (69).Accompagné du cabinet d’architectes « Atelier Bernard Paris & Associés », et de l’économiste de la construction « GBA&Co », le bailleur public engage dans cette mise aux normes, la réhabilitation des menuiseries des immeubles du quartier des Hautes Roches. Les immeubles 2a et 2b sont un ensemble de 66 logements de deux tours mitoyennes.Leur situation au sein du périmètre PPRT les place en rang 1 sur la zone de l’onde de choc, en cas d’explosion.Habitués des interventions en milieu occupé, spécialistes de la réhabilitation des menuiseries de logements collectifs et qualifiés pour répondre aux chantiers dont les exigences techniques sont accrues, voire hors normes, le Groupe Lorillard et son entité Lorillard Bâtiment ont été retenus (en août 2020) pour le désamiantage et la réhabilitation des menuiseries des résidences Hautes Roches. Façade durant la pose. ©Lorillard LE CONTEXTE PPRT La loi du 30 juillet 2003, relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation des dommages, a été mise en place à la suite de la catastrophe d’AZF. Mesure phare de cette loi, les plans de prévention des risques technologiques (PPRT) visent à améliorer la coexistence des sites industriels à haut risque avec les riverains, en améliorant la protection de ces derniers, tout en pérennisant les premiers. Ces plans prévoient, entre autres, des travaux de renforcement des bâtiments riverains, dans les secteurs les plus exposés aux risques. En France, environ 400 bassins industriels répartis sur plus de 800 communes font l’objet d’un PPRT : 20 000 à 30 000 logements sont concernés par des prescriptions de travaux de renforcement.Dans le cas où un bâtiment d’habitations ou d’activités est situé dans un périmètre proche d’un établissement à risques – pouvant être à l’origine de phénomène dangereux d’explosion (impliquant des ondes de surpression d’intensité 20 à 50 mbar) – le règlement du Plan de Prévention des Risques Technologiques (PPRT) prescrit ou recommande, dans cette zone, la tenue des fenêtres standards des maisons individuelles ou bâtiments d’activité situés dans cette zone. L’analyse des accidents passés et les expertises techniques montrent qu’un des risques prédominants de blessure en cas d’explosion est dû aux bris de vitres. Ce dernier apparaît pour des niveaux d’intensité faible (dès la vingtaine de mbar) et les fragments sont susceptibles d’être projetés dans toute la pièce. D’autres risques de blessures peuvent survenir en cas d’ouverture, d’arrachement et de projection des ouvrants ou de la fenêtre à l’intérieur de l’habitation. L’EXIGENCE SÉCURITAIRE « Garantir la tenue d’une fenêtre dans une zone à risque (20-50 mbar) implique une démarche exigeante pour définir les dimensions maximales pour lesquelles les différents panneaux vitrés feuilletés résistent, ou cassent sans risque de blessure dans la zone » explique Flavien HEYRAUD conducteur de travaux principal Lorillard Bâtiment. La définition du châssis admissible est fondée en tenant compte du matériau, des modes d’ouverture et fermeture, ainsi que du mode de pose. Ce sont des menuiseries bois en mélèze, de la gamme Tradition Trocadéro, qui ont été mise en œuvre dans un coloris gris laqué (RAL 7035).Dans le périmètre défini par le PPRT, l’utilisation de fenêtres en bois est accompagnée de différentes mesures qui impliquent que les panneaux vitrés soient montés sur châssis fixe, que les fenêtres soient munies d’ouvrants orientés vers l’intérieur avec un mode d’ouverture à la française et que les menuiseries soient posées en tunnel.« Nous avons équipé les menuiseries d’un vitrage FS 44.2. Ce sont deux verres de 4mm séparés par une feuille de 2mm. Ce sont des verres sécuritaires, dotés d’un film feuilleté adhésif qui va permettre de retenir les morceaux de verre en cas d’explosion » ajoute Bruno PONTHUS Chargé d’affaires Lorillard Bâtiment Agence Auvergne Rhône-Alpes. UNE RÉSISTANCE EXCEPTIONNELLE « Nous avons effectué des calculs théoriques pour répondre aux exigences sécuritaires en matière de résistance. Nous avons opté pour une menuiserie bois car structurellement le bois est beaucoup plus résistant que le PVC avec une masse pleine, dense et rigide » explique Luc BRAVO, Chef d’agence Lorillard Bâtiment Agence Auvergne Rhône-Alpes.Les menuiseries Lorillard ont donc été posées en tunnel, devant les anciens dormants laissés en place afin d’apporter une résistance supplémentaire à l’ensemble.En outre, des vis, traversant la menuiserie, ont été mises en œuvre dans la maçonnerie afin d’assurer une rigidité maximale dans le cas d’une explosion pouvant provoquer l’arrachement de la fenêtre.« Nous avons doublé le nombre de vis par rapport à ce qui était recommandé, afin de garantir une parfaite rigidité. L’association de la résistance intrinsèque du bois, au collage silicone et aux vis alloue une résistance mécanique exceptionnelle à chaque menuiserie » précise Flavien HEYRAUD.En intérieur, un habillage en bois vient calfeutrer les dormants et ébrasements afin d’apporter une finition élégante à l’ensemble. L’habillage bois vient calfeutrer les dormants et ébrasements. ©Lorillard La menuiserie est posée en tunnel, devant les anciens dormants laissés en place afin d’apporter une résistance supplémentaire à l’ensemble. ©Lorillard L’EFFET TOXIQUE Le risque provenant de l’extérieur vers l’intérieur ; le PPRT prévoit la recherche et l’identification d’une pièce comme local de confinement. « Cette pièce dite de confinement doit être dotée d’une fenêtre et d’une porte qui soient totalement hermétiques en cas de pollution atmosphérique » explique Luc BRAVO. Cette mesure de perméabilité à l’air qui vise à combattre l’effet toxique, impose que la menuiserie soit équipée d’un système de ventilation et d’un moyen d’arrêt rapide.Ainsi, Lorillard a équipé chaque logement d’une menuiserie bois dotée d’une grille d’aération de marque RENSON, condamnable via un levier, permettant d’occulter et d’étancher avec facilité et rapidité la pièce de confinement. La menuiserie est dotée d’une grille d’aération de marque RENSON, condamnable via un levier, permettant d’occulter et d’étancher avec facilité et rapidité la pièce de confinement. ©Lorillard INTERVENTION EN SITE OCCUPÉ L’intervention se faisant en site occupé, c’est à l’appui d’une plateforme bi-mât et de chariots télescopiques que les travaux ont été conduits. Familier de ce type d’intervention, Lorillard Bâtiment a planifié les opérations de manière à ce qu’elles soient sûres, rapides et efficaces. La première étape a consisté en l’évacuation des anciens panneaux pare-flamme et des menuiseries PVC amiantées. La plateforme bi-mât a permis de réaliser ce travail par l’extérieur, sans souiller les logements. Les logements étant traversants, un travail simultané des deux côtés du bâtiment a été effectué. Façade durant la pose avec la plateforme bi-mât. ©Lorillard Débutée en janvier 2021 la réfection des résidences 2a et 2b s’est achevée en avril 2022. Au total ce sont 272 menuiseries qui ont été réhabilitées par le Groupe Lorillard. Toutes les menuiseries bois ont été équipées de volets roulants extérieurs de son partenaire PROFALUX – auparavant attenants à la menuiserie- qui sont désormais dissociés et installés devant la menuiserie pour une meilleure étanchéité. Ce chantier à risque PPRT n’est pas le premier que le Groupe réalise. Implanté à Lyon, l’entité Lorillard Bâtiment est un acteur à proximité de la vallée de la chimie, dont l’expertise est reconnue pour répondre à ce type de chantier.Au sein du Groupe, le bureau d’étude, les équipes de fabrication et les équipes sur place œuvrent pour répondre précisément aux impératifs et objectifs de performance des chantiers PPRT. « Pour l’ensemble de nos chantiers mais plus encore pour ce type de projet extrêmement pointu, nous œuvrons pour que nos solutions aboutissent à des améliorations des conditions de vie, tout en tenant compte des exigences et contraintes liées au projet, afin de permettre à nos clients, bailleurs sociaux, architectes, économistes, de répondre à leurs obligations » conclue Bruno PONTHUS.
Il y a 2 ans et 183 jours

La numérisation est-elle efficace pour rendre les bâtiments moins énergivores ?

Si le financement reste le nerf de la guerre, un autre enjeu est au cœur de la transition : la disponibilité des données pour évaluer et améliorer la performance énergétique des bâtiments.Représentant près de 45% de la consommation d’énergie et près de 25% des émissions carbone, le secteur français du bâtiment est un enjeu central dans la lutte contre le changement climatique et la réduction des émissions carbone. La dernière réglementation en date, la RE2020 (dont la mise en œuvre a commencé le 1er janvier 2021), a défini des objectifs ambitieux en termes de de conception, de confort et performance énergétique, avec pour cap la neutralité carbone des bâtiments d’ici 2050.Pour atteindre ses objectifs, la RE2020 comporte plusieurs échéances – la prochaine arrive en 2025 – qui imposent aux bâtiments de respecter des niveaux progressifs d’efficacité énergétique, calculés en fonction des « indices Bbio » (besoin bioclimatique du bâtiment).Constructions neuves et rénovation de l’ancien : une transition coûteuseSi la RE2020 concerne en premier lieu les bâtiments neufs, elle vise aussi à inciter à la rénovation thermique de l’immobilier l’ancien. Il y a un travail immense de mise en conformité de l’ancien, mais ces travaux de rénovation ont un coût qui peut être prohibitif pour les bailleurs.De plus, certaines complexités de l’ancien obligent à recourir à des matériaux ou des technologies certes très efficaces, mais aussi très coûteuses. A Paris, par exemple, il n’est pas possible d’isoler par l’extérieur les nombreux bâtiments haussmanniens dont les façades sont protégées. Des solutions alternatives existent, comme les verres intelligents, mais elles coûtent très cher.Qu’il s’agisse des travaux d’isolation, des équipements de chauffage et de climatisation, ou encore des matériaux biosourcés, la capacité à investir reste et restera l’enjeu central de l’objectif de neutralité carbone des bâtiments.Il ne s’agit toutefois pas du seul enjeu. Car on aura beau définir les objectifs d’empreinte carbone, de performance énergétique et d’économie circulaire les plus ambitieux, ils resteront des vœux pieux si l’on ne dispose pas des données nécessaires pour les mesurer et les atteindre.Le processus BIM est-il une réponse efficace ?La transition numérique de la filière du bâtiment est-elle également synonyme de transition environnementale ? Dans la mesure où le concept de « bâtiment intelligent » est intimement lié à l’amélioration des performances énergétiques, la réponse est oui. Mais pour rendre les bâtiments et les ouvrages intelligents, il faut de l’information disponible et partagée tout au long de leur cycle de vie.Le BIM, qui fait l’objet d’un plan gouvernemental (Plan BIM 2022), est justement censé couvrir toutes ces phases : conception, réalisation et maintenance. Dans les faits, il est surtout utilisé pour la conception. La réalisation reste traditionnelle et le restera sans doute encore longtemps, en raison du très grand nombre d’acteurs de toutes tailles (98% étant des sociétés de moins de 50 salariés). La maintenance – qui englobe la rénovation et la réutilisation et/ou le recyclage des matériaux des bâtiments en fin de vie – est une partie déterminante (qui plus est pour les bâtiments anciens) qui exige encore beaucoup de progrès en termes de numérisation.Ce qui compte dans le processus BIM, c’est le « I » (l’information) et non le « M » (la modélisation). Cette information est d’autant plus importante qu’elle concerne non seulement les données génériques des matériaux et produits de construction (caractéristiques, critères de qualité auxquels ils répondent), mais également les données réelles (empreinte carbone, performances réelles, etc.). Car ce sont ces dernières qui vont permettre, à terme, de mesurer – et non simuler – la performance globale des ouvrages.Pour permettre aux acteurs de la filière de mieux travailler ensemble et de relever les défis environnementaux, il est donc essentiel de pouvoir collecter l’ensemble de ces données, et de le faire de manière structurée et normalisée avec un modèle commun, comme par exemple le dictionnaire de données Define. Le BIM fournit les données génériques, tandis que les données réelles seront plutôt fournies par le jumeau numérique. Ce dernier s’appuie notamment sur l’IoT pour remonter les données réelles et compléter les informations de base du processus BIM.Le processus BIM est-il une réponse efficace pour atteindre les objectifs ambitieux définis par la RE2020 et au-delà ? Oui, à condition de disposer du plus important : la data.Tribune de Roland Dominici, Directeur général CoBuilder France (Linkedin)
Il y a 2 ans et 189 jours

Le cahier des solutions

Bati Média & Planète Bâtiment présentent : Le Cahier des Solutions. Weber / Gamme Tradical et béton de chanvreUne offre enrichie Depuis le 1er mai 2022, suite à un accord signé avec le groupe belge Lhoist, Weber commercialise, en exclusivité sur le territoire français, les produits Tradical à base de chaux aérienne. Entre ces produits qui viennent enrichir la gamme Georges Weber et l’offre « bétons de chanvre » que le fabricant entend développer, ce dernier assoit davantage son expertise en restauration patrimoniale. Mélange de chanvre, de chaux et d’eau, le béton de chanvre, biosourcé, présente des propriétés isolantes et peut être utilisé en neuf comme en rénovation, y compris en préfabrication. Matériau de remplissage, il s’utilise notamment dans les systèmes constructifs poteaux-poutres, qu’ils soient en bois ou en béton. L’occasion pour Weber de se positionner sur l’enveloppe avec une solution durable et légère ! Avec le couple Tradical Thermo + Chanvribat, conforme aux règles professionnelles, il ajoute à sa gamme une solution béton de chanvre de hautes performances (temps de prise, lambda, etc.) reposant sur une formule brevetée. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Weber Photo : Isonat Isonat /DuoprotectIsolant rigide en fibres de bois Sous forme de panneau rigide, l’isolant Duoprotect est composé de fibres de bois issues de plaquettes des scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. Biosourcé, le produit présente la résistance mécanique la plus élevée de la gamme rigide d’Isonat, tout en offrant des performances thermiques intéressantes. Pour exemple, sa conductivité thermique est de 0,046 W/(m.K). En outre, il assure une bonne isolation acoustique, notamment aux impacts de pluie, ce qui le rend pertinent en isolation de toitures inclinées par l’extérieur. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Schöck / Rupteurs Rutherma Impact carbone minimum, performances maximum Assurant les liaisons structurelles dalle/façade, dalle/balcon, dalle/loggia, dalle/éléments saillants de l’enveloppe et refend/façade, les rupteurs Rutherma, types DFi, DFi/ VM, Ki, DB, D et RF, développés par Schöck sont désormais couverts par une nouvelle Fiche de déclaration  environnementale et sanitaire (FDES), valide jusqu’en avril 2027. Une pole position pour cette gamme qui affiche le meilleur impact carbone du marché des rupteurs de ponts thermiques linéiques, avec une valeur de 12,2 kg.eq.CO2/UF. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Forbo Flooring Systems Photo : Schöck Rutherma DFI Forbo Flooring Systems / Marmoleum MarbledEloge de l’écoconception Dès son élaboration, la collection de revêtements de sol Marmoleum Marbled de Forbo est, comme tous ceux de la famille Marmoleum, un hymne à la nature. Elle se compose, en effet, de matières premières naturelles, renouvelables pour la plupart – huile de lin, résine de pin, farine de bois (certifiée PEFC et issue de forêts gérées durablement), pigments et charges  minérales –, sur un support en toile de jute. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com VisionAIR / Ciment CalciaDes ciments moins carbonés Grâce à des formulations variant la proportion de clinker et d’ajouts, Ciments Calcia propose VisionAIR, une gamme de ciments à l’empreinte carbone moindre (jusqu’à – 40 % de CO2). Des solutions moins carbonées pour une performance optimale des produits mis en œuvre, garantissant ainsi qualité et pérennité des ouvrages. À disposition, quatre produits livrés en sacs : Baticia, un ciment pour béton destiné à tous les usages du bâtiment ; Forcia, un ciment pour béton adapté aux milieux agressifs ; Flexia, un ciment pour mortier de montage avec air entraîné ; Poncia, un mortier de montage à base de pierre ponce pour blocs béton et briques, qui permet de supprimer la quasi-totalité des ponts thermiques. Autres choix durables du fabricant, des sacs en papier kraft sans traitement de blanchiment, des encres à l’eau avec des pigments de grade alimentaire et des colles à base d’amidon. En outre, VisionAIR décline des solutions dédiées aux applications BPE de type fondation, voile, plancher, et Préfa pour les bétons précontraints avec démoulage immédiat ou différé. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Calcia Photo : Hörmann Hörmann et Tubauto Engagement environnemental Leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l’industrie, le tertiaire et l’habitat, le groupe Hörmann s’est engagé, depuis des années, dans la sauvegarde du climat et de l’environnement. À l’heure de la RE 2020 et de la réduction des émissions de carbone, il est déjà opérationnel avec des solutions neutres en carbone sur ses portes d’intérieur et dans son offre promotionnelle Europa Promotion. L’usine de production Tubauto, propriété du groupe allemand depuis 1991, lui emboîte le pas, opérant elle aussi sa transition environnementale. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com   Knauf Lightboard Horizon 4Plaque de plâtre allégée… comme son empreinte carbone Knauf innove avec Knauf Lightboard Horizon 4, première plaque de plâtre à quatre bords amincis pour plafonds, plus légère et plus facile à poser qu’une plaque standard. La formulation de son cœur de gypse permet, en effet, un gain de poids de près de 25 % – de quoi faciliter les chantiers au quotidien. Cette solution, unique sur le marché français (sous Atex du CSTB), est adaptée à la réalisation d’ouvrages de plafonds et rampants intérieurs, dans tous types de bâtiments (hors locaux humides). Autre argument fort, son empreinte environnementale allégée, qui séduira à coup sûr les maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Photo : Seigneurerie Seigneurerie/PhylopurPeinture biosourcée Composée d’alkyde d’origine végétale en phase aqueuse à 97 %, cette peinture biosourcée permet de répondre à tous les chantiers engagés dans une démarche environnementale. Dénommée Phylopur, elle propose aux professionnels des performances d’esthétique et d’application en positionnement haut de gamme. Déclinée en impression et finition mate et soie, elle est blanche de base et peut se teinter dans toutes les teintes pastel. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Viessmann / Vitodens SEChaudière auto-adaptative gaz à condensation Dévolue aux ménages modestes et d’une qualité éprouvée, la nouvelle chaudière auto-adaptative gaz à condensation Vitodens SE, signée Viessmann, garantit un haut confort en chauffage comme en production d’eau chaude sanitaire. Adaptée aussi bien à la construction neuve qu’à la rénovation, cette chaudière, avec échangeur de chaleur instantané intégré, est dotée d’une étiquette énergétique A. Elle couvre une plage de puissances allant de 3,2 à 25/29 kW (double service, chauffage et production d’eau chaude sanitaire à micro-accumulation : 15,4 l/min selon EN 13203). Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Viessmann Photo : Alkern Alkern et RE2020 Cap sur la performance environnementale L’engagement d’Alkern pour améliorer l’impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d’euros ont été investis sur les sites d’Izeaux (38) et de Mouy (77) : d’une part dans une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d’autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100 % minérale Airium, soit des blocs 100 % recyclables, sans étape de tri. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Veka / Veka RecycleEn avance sur le recyclage L’innovation passe par l’environnement et, en la matière, Veka anticipe régulièrement les réglementations. Pour preuve, le groupe affiche aujourd’hui une moyenne de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés, un pourcentage à comparer à la moyenne nationale située à 8 %, ou encore aux objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025. En 2022, l’industriel va encore plus loin avec la solution Veka REcycle. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Veka Photo : Kemica Coatings Kemica Coatings / Souplethane 5Résine d’étanchéité biosourcée Cette PME française développe des résines d’étanchéité et de revêtements de sols biosourcées et innovantes, destinées aux secteurs de la construction et du génie civil. Ainsi sa gamme de résines vertes et durables Souplethane 5, qui couvre une quinzaine d’applications dans le secteur du bâtiment et bénéficie des qualifications du CSTB. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Xella Ytong / Compact 20Construire malin avec le béton cellulaire Dédié à la construction de maisons individuelles, qu’elles soient de plain-pied ou à étages, le bloc Ytong Compact 20 permet d’alléger l’isolation du bâti en parois verticales, voire de plancher bas, et de gagner en Shab par rapport à d’autres matériaux de construction. Il se positionne donc comme la solution la plus économique, tout en respectant les différents indicateurs de la RE 2020. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Xella Ytong Photo : Onduline Onduline FlexoutuileUn matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture Onduline Flexoutuile contiennent environ 50 % de matières premières recyclées. En outre, leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Sans oublier les émissions de CO2 réduites grâce au poids allégé des matériaux, ce qui limite l’impact du transport. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Saint-Gobain Glass Première gamme de verre bas carbone C’est une étape essentielle pour la construction durable que Saint-Gobain Glass franchit avec cette gamme de verres présentant la plus faible empreinte carbone du marché. Une première dans l’industrie, obtenue grâce à une production qui associe un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin), l’utilisation d’énergie renouvelable ainsi qu’un effort important en recherche et développement. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com   Photo : Saint-Gobain Glass Photo : Cem’In’Eu Cem’In’EuCiment bas carbone Cem’In’Eu investit pour produire un ciment à base de pouzzolane, une matière première naturelle extraite localement. Son utilisation permet de réduire fortement le pourcentage de clinker et représente donc un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments produits, en vrac comme en sac. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Sika / Sikadur -31+Adhésif structural « Développement Durable » Dernier arrivé dans la gamme des solutions « Développement Durable » développée par le spécialiste de la chimie de la construction, l’adhésif structural Sikadur -31+ offre de meilleures performances, tout en affichant une technologie et un mode d’application plus vertueux. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Sika Photo : Milliken Milliken & Company / Revêtement de solsEn route vers la neutralité carbone « Notre programme M/PACT prouve que les revêtements de sol peuvent satisfaire les attentes de design et de performance, tout en tenant compte des enjeux environnementaux », souligne Jim McCallum, vice-président exécutif de Milliken & Company. Plus concrètement, les matériaux non essentiels sont éliminés des produits, tandis que ceux issus du recyclage sont privilégiés. Privilégiés également, l’approvisionnement régional et la production locale, afin de limiter l’impact du transport. De même, l’industriel s’efforce de réduire sa dépendance au pétrole. Les revêtements de sol présentent une traçabilité intégrale des produits. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Solar-Paint / SolarcoatLa peinture de toit qui rafraîchit PME toulousaine, Solar-Paint a mis au point, en partenariat avec son fournisseur ariégeois Maestria, la solution Solarcoat, une peinture à l’eau qui intègre des ingrédients naturels et des matières recyclées, telle la brisure de verre. Simple, peu coûteuse et durable, cette peinture de toit blanche présente un taux de réflexion solaire supérieur à 92 %, ce qui permet d’abaisser de 5 °C en moyenne la température intérieure des bâtiments. Et donc de limiter le recours à la climatisation en période estivale. À la clé, des économies d’énergie ainsi qu’une amélioration du confort et du bien-être des occupants. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Solar-Paint Photo : Kompozite Deep Tech / KompozitePlateforme d’aide à la conception bas carbone Destinée aux architectes, bureaux d’études, constructeurs et maîtrises d’ouvrage, la plateforme Kompozite, développée par la startup Deep Tech, leur permet de prendre rapidement et efficacement des décisions complexes en termes de construction durable. La solution applique au secteur du BTP, des techniques de design génératif, bien connues dans les secteurs de l’aéronautique ou de l’automobile. Plus clairement, le logiciel compile les données pour générer des solutions constructives optimisées en fonction des contraintes spécifiques de chaque projet, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Immoblade / Vitrages de protection solaireEconomies d’énergie toute l’année Réduire l’empreinte carbone des bâtiments en diminuant leurs consommations d’énergie liées à la climatisation et au chauffage. Telle est l’ambition d’Immoblade, qui conçoit, fabrique et commercialise des vitrages de protection solaire uniques sur le marché. Efficaces toute l’année, ces derniers ne nécessitent aucune maintenance. Leur dimension innovante réside également dans leur capacité à laisser passer les apports solaires en hiver et à les bloquer l’été. Et ce, sans nuire à la visibilité des occupants ni à l’aspect architectural des bâtiments. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Immoblade Photo : Rector Rector / Box Rupteurs EquatioUne gamme réduite mais performante Dans le cadre de sa démarche RSE, Rector, fabricant d’éléments en béton précontraint et béton armé, a ajusté le contenu de ses Box, afin de réduire les pertes et déchets sur les chantiers. À disposition : Box vide sanitaire, Box étage & toit terrasse et Box sous-sol & toit-terrasse. De même, les cartons utilisés sont recyclés et recyclables. Moins de références à stocker, un design revu, un code couleur pour une meilleure lisibilité sur le parc de stockage : le fabricant a également pensé à ses clients distributeurs. Complète, compacte et pratique, la nouvelle gamme de Box de rupteurs Equatio illustre sa volonté de proposer aux professionnels de la construction des solutions adaptées à leurs besoins. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Knauf Ceiling Solutions / Plafonds AdagioPerformance acoustique et graphique Réflexion de la lumière, confort acoustique, durabilité et flexibilité de design… La nouvelle gamme minérale de plafonds acoustiques Adagio, de Knauf Ceiling Solutions, répond aux plus hautes exigences. Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline en quatre solutions : Adagio Acoustic+, Adagio Alpha+, Adagio Db+ et Adagio HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm). Chacune peut se poser seule ou être combinée selon les effets recherchés, soit un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Ceiling Solutions Photo : LG LG / ERV résidentielleConfort intérieur et économies d’énergie Complète, la nouvelle solution de ventilation (ERV) résidentielle est équipée d’une filtration en plusieurs étapes, pour un air purifié et un environnement agréable. Elle est, en outre, compatible avec l’application LG ThinQ™. L’expérience utilisateur s’avère confortable, avec une surveillance en temps réel des niveaux de poussières fines et de dioxyde de carbone, ainsi qu’une commande à distance intuitive. Grâce à l’échangeur de chaleur de LG, cette solution garantit une circulation de l’air efficace, tout en réduisant de manière significative le gaspillage énergétique. En effet, elle permet de récupérer jusqu’à 85 % de l’énergie du chauffage en hiver et 83 % de l’énergie du refroidissement en été. Soit une consommation minime en fonctionnement, ce qui réduit d’autant les factures d’électricité de l’utilisateur, tout en gardant un environnement de vie plaisant. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com  Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Le cahier des solutions est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 189 jours

Qualité de l’air et efficacité énergétique, l’inséparable duo

Ventiler est impératif pour garantir la qualité de l’air intérieur, mais cette fonction est consommatrice d’énergie. Les récentes normes internationales ambitionnent d’améliorer la gestion des installations. Exploitants de parcs immobiliers et bureaux d’études thermiques le savent : le chauffage, la climatisation et la ventilation concentrent la moitié des dépenses d’énergie d’un bâtiment, et environ 30 % tiennent aux systèmes de ventilation. Soit 15 % des charges totales d’un bâtiment. Pour faire circuler l’air dans les réseaux de diffusion et d’extraction, les ventilateurs doivent combattre trois principales sources de pertes de charge : en premier lieu, le linéaire du réseau de gaines (± 40 %) ; en deuxième lieu, les filtres (± 30 %) ; en troisième lieu, les batteries chaudes et froides placées au centre des centrales de traitement d’air (± 20 %). Ce classement souligne l’importance à accorder aux filtres. La formule de calcul pour déterminer leur consommation d’énergie est connue des prescripteurs et exploitants. Elle est résumée par : 1 pascal supplémentaire de perte de charge est égal à 1 euro dépensé en plus. Ce lien entre la filtration et les coûts d’exploitation d’un bâtiment est désormais un sujet technique. Qualité de l’air et filtration Deux raisons à cela. La première concerne la prise en compte de la qualité de l’air qui s’est accrue au cours de la décennie écoulée. En témoigne le travail de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a établi que la pollution de l’air était responsable de 7 millions de décès chaque année de par le monde. La seconde provient de la révision des normes internationales des produits de filtration depuis le milieu des années 2010. Elles prennent en compte les deux notions d’efficacité de filtration et de maîtrise des consommations. En témoignent leurs étiquettes de classement Eurovent. Bernard Reinteau  Indispensables à la ventilation, les filtres constituent le deuxième poste de perte de charge d’un système aéraulique, d’où l’intérêt de leur choix et de leur exploitation.Photo : Camfil « Filtrer efficacement et à coût maîtrisé est possible. » « L’innovation technologique parvient à faire face au double défi de la qualité de l’air et de la maîtrise des consommations d’énergie. Ce sujet fait l’objet de travaux de recherche et développement depuis plusieurs années, et les industriels sont parvenus à mettre au point des médias filtrants à la fois performants et d’une très faible perte de charge. À tel point qu’il est aujourd’hui possible d’abandonner les classiques « préfiltre + filtre » pour ne retenir qu’un seul filtre. Les bureaux d’études et les exploitants de bâtiments équipés de centrales de ventilation verront immédiatement le bénéfice qu’ils pourront tirer de cette innovation : la filtration sera d’un niveau élevé, les consommations d’énergie pratiquement réduites de moitié et le coût de remplacement sensiblement diminué. » Michel Duclos président , Association des ingénieurs et techniciens en climatique, ventilation et froid (AICVF) Photo : AICVF Solution n° 1 Trois évolutions importantes pour des normes en phase avec le sujet énergétique :    Capacité de filtration. Les classes G4 à F9 de l’ancienne norme EN 779 ont laissé place, en août 2018, à la norme internationale ISO 16890 et ses 4 classes : grossier (ou coarse), ePM10, ePM2,5 et ePM1, plus proches des réalités physiques de la filtration. Ventilation des bâtiments non résidentiels : l’EN 16798-3 d’août 2017. Ce référentiel « croise » les standards de l’OMS et les nouvelles classes de filtration de l’ISO 16890. Ce qui permet d’indiquer les solutions de filtration minimales pour obtenir la qualité de l’air intérieur requise selon la qualité de l’air extérieur et la catégorie d’usage des locaux  : à occupation permanente, temporaire, sans occupation… L’association Eurovent détaille l’application de cette norme dans sa recommandation dite 4/23 de novembre 2020. Limites d’usage des filtres à la norme ISO 16890 selon la norme EN 13053 de 2019 qui recommande, selon ce référentiel : – un filtre ISO grossier doit être changé dès que sa perte de charge dépasse de 50 Pa sa perte de charge initiale, ou atteint trois fois sa perte de charge initiale – on retient toujours la plus faible valeur ; – un filtre ISO ePM10, ePM2,5 ou ePM1 doit être changé dès que sa perte de charge dépasse de 100 Pa sa perte de charge initiale, ou atteint trois fois sa perte de charge initiale – on retient toujours la plus faible valeur.  Les nouvelles générations de centrales de traitement d’air d’une capacité de 15 000 voire 25 000 m3/h sont équipées de moteurs à commutation électronique plus sobres en énergie.Photo : France Air Solution n° 2 Préparer une stratégie de filtration Les concepteurs et exploitants ont en main tous les leviers pour gérer au plus près les consommations d’énergie dues à la ventilation et éviter leurs dérives. Deux critères apparaissent prépondérants : Le rendement du moteur du ventilateur. Les développements techniques récents orienteront les achats vers des versions à commutation électronique, donc basse consommation et à haut rendement. Ces moteurs équipent en standard des centrales de traitement d’air jusqu’à 15 000 m3/h. Le choix du filtre. Depuis l’application des nouvelles normes internationales, l’émulation anime les acteurs que sont AAF (American Air Filter), Camfil, Freudenberg ou Titanair. AAF met l’accent sur l’audit des installations et une analyse fine du coût global de l’installation. Le suédois Camfil travaille tous les types de média filtrant, fibres synthétiques et fibres de verre, développe des profils de poches coniques ou de cadres de dièdres favorisant l’écoulement et conçoit ses produits selon un principe de coût total optimisé ; les équipes commerciales disposent aussi d’un logiciel de sélection des produits au regard de la maîtrise des charges. Freudenberg, moins présent en bâtiment et plus orienté vers l’industrie, présente des gammes en fibres synthétiques et organiques. Titanair vient d’être récompensé par l’AICVF pour la création de sa fibre GreenTex à très faible perte de charge initiale – 53 Pa pour un 3 000 m3/h – qui permet, sur 6 000 h, de réaliser plus de 50 % d’économie d’énergie.    Les fournisseurs de filtres répondent à la double demande d’amélioration de la filtration et de réduction des pertes de charge. Titanair propose une microfibre synthétique d’une perte de charge initiale deux fois inférieure à celle observée sur des produits pour un même usage.Photo : Titanair En septembre 2021, l’OMS a publié sa révision des valeurs guides de la qualité de l’air extérieur : Pour les particules d’une taille minimale de 10 µm, ou PM10, la moyenne annuelle doit être de 15 µg/m3 et la pointe moyenne sur 24 heures de 45 µg/m3 ; Pour les particules d’une taille minimale de 2,5 µm, ou PM2,5, la moyenne annuelle doit être de 5 µg/m3 et la pointe moyenne sur 24 heures de 15 µg/m3. À noter que les valeurs guides des particules les plus fines et les plus dangereuses pour l’organisme, celles de 1 µm dites PM1, font toujours l’objet de débats. Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Qualité de l’air et efficacité énergétique, l’inséparable duo est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 189 jours

Ponts thermiques : les rupteurs boostés par la réglementation

Supprimer une partie des ponts thermiques linéiques de la construction, c’est le rôle des rupteurs. Et aujourd’hui, ils sont quasi incontournables pour gérer les derniers points froids de la maçonnerie, lorsque celle-ci est isolée de l’intérieur. Explications. Depuis l’entrée en application de la RT 2012, le ratio de transmission thermique linéique moyen global (ratio Ψ) des ponts thermiques du bâtiment ne doit pas excéder 0,28 W/(m2SHONrt.K). De même, le coefficient moyen de la transmission thermique linéique des liaisons entre planchers intermédiaires et murs extérieurs ou local non chauffé ne doit pas dépasser 0,6 W/(m.K). Des seuils inchangés avec la nouvelle RE2020 (voir encadré). Derniers points froids de la paroi, les ponts thermiques peuvent engendrer de nombreuses pathologies du bâti, notamment lorsque l’on isole par l’intérieur. L’un des remèdes : le rupteur de pont thermique.  Le Mouvement perpétuel à Rennes, Anthracite Architecture : 40 logements sociaux passifs labellisés Maison passive France. Rupteurs Schöck Rutherma type Q pour les liaisons avec un balcon sur appuis.Photo : Alexandre Wasilewski   Liaison continue   Cet outil technique rétablit la continuité de l’isolation lorsque celle-ci est interrompue pour une raison ou pour une autre. Il se distingue par la composition de son corps isolant (laine minérale, PSE, verre cellulaire, mousse polyuréthanne…) et varie dans sa forme selon la liaison à traiter (dalle/façade, dalle/balcon, dalle/refend…) et le type de structure. Dans certains cas, les rupteurs se font aussi éléments structurels. Ils autorisent alors la réalisation d’une liaison continue, par exemple entre mur et plancher, ou encore entre balcon et plancher. Dans ce cas, ils sont composés d’une bande isolante et d’armatures à effort tranchant, d’armatures en traction et en élément de compression. S’ils rétablissent la continuité thermique, ils s’avèrent également fort utiles pour gérer certains problèmes d’humidité et de condensation. Dans les bâtiments très isolés, les ponts thermiques sont, en effet, les seuls points froids. C’est donc là que se concentrent tous les risques de condensation et les pathologies potentielles qui y sont associées. Stéphane Miget « Concernant le traitement des ponts thermiques, la RE 2020 n’est pas plus contraignante que la RT2012. C’est dommage, je pense qu’il aurait fallu qu’elle soit plus exigeante en valeur de déperdition énergétique, mais aussi dans leur traitement global, notamment dans les immeubles de logements collectifs. Un des garde-fous de la RE 2020, comme celui de la RT 2012, est l’obtention d’une moyenne de déperdition énergétique correspondant au traitement d’environ 50 % des ponts thermiques, ce qui me semble insuffisant. D’où la réflexion suivante : aujourd’hui en rénovation, nous mettons en place des ITE sur des immeubles construits en ITI où, à l’origine, aucun – ou presque – pont thermique n’était traité. Résorber en moyenne la moitié des ponts thermiques, n’est-ce pas l’annonce de l’inévitable future rénovation avec ITE des immeubles construits aujourd’hui en ITI ? Ne vaudrait-il pas mieux les construire d’ores et déjà avec l’ensemble des ponts thermiques traités ? En outre, le traitement avec rupteur offre nombre d’avantages. Ainsi, limiter les déperditions par la façade revient à augmenter le pouvoir d’achat des ménages – puisqu’on leur fait économiser de l’énergie – et aussi à améliorer la qualité de l’air des logements. En effet, les rupteurs, en réduisant les différences de température entre intérieur et extérieur, évitent ainsi le point de rosée et, de fait, l’apparition de moisissures. C’est aussi une solution technique durable dans le sens où ils sont coulés dans le béton et donc efficaces tout au long de la vie du bâtiment. » Daniel Costa directeur commercial et marketing, Schöck Solution 1 Liaison planchers bas et d’étage, maison individuelle Placés en périphérie des planchers intermédiaires (vide sanitaire, étages et combles), les rupteurs diminuent considérablement les ponts thermiques linéiques des liaisons murs-planchers. Ils sont la plupart du temps associés à un système complet de plancher poutrelles. Qu’il s’agisse de rupteurs de refends transversaux ou longitudinaux, ils assurent la connexion avec les entrevous du plancher. Ils sont connectés les uns aux autres (emboîtement) ou simplement juxtaposés. Les longitudinaux sont placés perpendiculairement aux poutrelles. Il existe aussi des rupteurs de rehausse utilisés, soit sur toute la hauteur de la dalle de compression, soit partiellement. Des éléments complémentaires peuvent aussi être disposés au-dessus. Nouvelle gamme Box Rupteur Equatio de Rector en trois références (vide sanitaire, étage et toit terrasse et sous-sol et toit terrasse) pour maisons individuelles et groupées. Photo : Rector Solution 2 Liaison planchers intermédiaires/murs, immeubles de hauteur Dans ce cas, l’isolation par l’extérieur est la solution la plus simple et la plus efficace pour couper les ponts thermiques des planchers intermédiaires. Néanmoins, les habitudes constructives étant ce qu’elles sont (ITI), une offre dédiée s’est développée. Il s’agit en général de rupteurs en polystyrène moulé ou laine minérale rigide, mis en place en périphérie du plancher. Ces derniers s’intercalent entre la poutrelle et la maçonnerie, en rive et en about, avant le coulage du béton. Dans tous les cas, une attention particulière doit être apportée lors du coulage de la dalle de compression, afin que les éléments ne soient pas déplacés. Certains préfabricants proposent des prédalles en béton armé, équipées de boîtes en polymère rigide incorporées le long des rives des dalles. Une fois celles-ci en place, des blocs isolants en laine minérale compressée sont insérés dans les boîtes avant coulage de la dalle de compression.  Le rupteur Knauf Stop Therm Ultra en PSE gris se décline dans sa version Knauf Stop Therm Ultra Ch, qui est compatible avec les procédés de planchers chauffants intégrés dans la dalle de compression sur poutrelles précontraintes, ou treillis et entrevous isolants.Photo : Knauf Solution 3 Liaison plancher intermédiaire/mur avec balcon Un balcon en béton génère naturellement un pont thermique majeur qu’il faut évidemment traiter. Ici, le rupteur permet de le réduire et d’obtenir un ratio (Ψ) compris entre 0,25 et 0,50 W/m.K environ, en fonction des densités de ferraillage, et donc de la portée du balcon. Les rupteurs sont mis en place dans la maçonnerie pour assurer la continuité de l’isolation en about de dalle et, s’il y a lieu, de balcon, tout en reprenant les sollicitations de la structure. Adaptés à l’ITI comme à l’ITE, ils ne règlent pas la totalité du pont thermique. Plus la portée est importante, plus le ferraillage l’est et moins le rupteur est efficace. Une autre technique consiste à couper partiellement la dalle avec une réservation remplie d’isolant entre mur et balcon. Ce dernier reste porté par des accroches ponctuelles, lesquelles sont autant de ponts thermiques supplémentaires.    Les rupteurs Rutherma type DFi, DFi/VM, Ki, DB, D et RF, de Schöck, assurent les liaisons structurelles dalle/façade, dalle/balcon, dalle/loggia, dalle/éléments saillants de l’enveloppe et refend/façade. Ils sont couverts par une nouvelle FDES. Impact carbone rupteur : 12,2 kg.eq. CO2/UF.Photo : Schöck  Les blocs isolants Fabtherm, associés aux planelles isolantes Fabemi, permettent d’obtenir des valeurs de ponts thermiques conformes à la RE 2020, y compris avec des planchers dalle pleine.Photo : Fabemi Alternative planelle Pour s’affranchir de la mise en place de rupteurs de ponts thermiques, les industriels de la brique et du béton préfabriqué ont développé des systèmes constructifs complets avec planelles isolantes. Ces dernières, dotées d’un isolant face intérieure, sont mises en œuvre au droit de la dalle et dans la continuité de la maçonnerie. Simple et économique, cette solution traite le plus gros pont thermique et est aussi utilisée comme élément coffrant. 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Il y a 2 ans et 190 jours

Rehau annonce un partenariat qui révolutionne l'univers des portes d'entrée

REHAU Window Solutions s'engage dans une coopération de développement et de vente avec VOLMA et VITRUMGLASS. Cette alliance constitue une nouvelle étape stratégique pour REHAU Window Solutions sur le marché français en pleine croissance. Cela crée la base parfaite pour un partenariat très réussi entre trois leaders de l'innovation.Zoom sur la porte d’entrée du futur À BATIMAT, la 4 octobre 2022, REHAU Window Solutions, VOLMA et VITRUMGLASS ont franchits une étape stratégique dans le développement et la commercialisation de solutions innovantes et tournées vers l'avenir pour les portes d’entrée à vitrage opacifiant et vitrage chauffant. Le savoir-faire combiné des trois partenaires dans les domaines des systèmes de profilé PVC, des systèmes de portes d’entrée et du verre isolant SMART est synonyme de développement et de commercialisation réussis de solutions particulièrement remarquables en termes d'efficacité énergétique, de confort et de durabilité.La combinaison des solutions REHAU pour les profilés de portes, de VOLMA pour les panneaux de portes d’entrée ainsi que du verre opacifiant et chauffant couplé au système de pilotage VITRUMBOX Door de VITRUMGLASS, offre ainsi des réponses décisives aux tendances et défis mondiaux.Une solution pérenne qui répond aux attentes du marché et aux prochains défis« Nous sommes impatients de travailler avec deux partenaires solides. Cette coopération stratégique de développement et de vente est la base parfaite pour une collaboration fructueuse entre trois leaders de l'innovation. REHAU Window Solutions franchit ainsi une nouvelle étape cohérente sur le chemin de la croissance que nous poursuivons résolument avec nos clients et nos partenaires. Osez la différence. Boostez votre business.», Bruno Bednaczyk, Directeur France de la division Window Solutions. Cette coopération se traduit par de nombreux avantages évidents pour les fabricants : les composants coordonnés les uns aux autres donnent lieu à des solutions complètes qui peuvent être traitées de manière rationnelle et sûre. « Nous sommes très enthousiastes à l'idée de cette coopération avec VOLMA et VITRUMGLASS. Ce codéveloppement propose des solutions qui répondent pleinement aux attentes du marché grâce à des produits innovants, économes en énergie et durables ». Maxime Boileau, Responsable Marketing France de la division Window Solutions.« Nous sommes ravis d’être associé à ce projet qui prend son sens plus que jamais dans le contexte actuel. Le retour terrain de nos partenaires est une demande grandissante pour les économies d’énergie et le souhait de disposer de solutions modernes qui marquent la différence. La combinaison des produits REHAU, VOLMA et VITRUMGLASS permet d’aboutir à un produit à hautes performances thermiques, que ce soit en périphérie par ses profils ouvrant et dormant, sur sa surface par son épaisseur et sa structure innovante et par son vitrage avec cette technologie chauffante qui limite les déperditions de chaleur. La qualité des composants utilisés associés à ces solutions chauffantes et opacifiantes apportent un réel gain en termes d’économie d’énergie et de confort d’utilisation ». Franck Serrure Président de VOLMA. « Nous sommes très heureux d’officialiser notre collaboration avec REHAU et VOLMA et de proposer ensemble un produit unique qui répond à des besoins exprimés par nos clients tant sur la performance thermique, énergétique, que sur le confort et le design. La porte d’entrée du futur est le maillage du chauffage grâce au vitrage chauffant à faible consommation et de l’opacification commandée. Ces deux fonctions pilotées par le système VITRUMBox Door, dédiée à la porte d’entrée permet d’assurer le contrôle de la chaleur et de l’opacité du vitrage. C’est le résultat de plusieurs années de recherche pour aboutir à un produit fini et clé en main ». Estelle CHOLLET, Directrice Générale de VITRUMGLASS.« La réussite de cette collaboration est le fruit d’une belle rencontre avec les groupes REHAU et VOLMA. Nos ambitions, nos stratégies, nos idées sont très convergentes et permettent d’aboutir en quelques mois au développement d’un concept très prometteur et évolutif qui répond aux enjeux d’aujourd’hui et de demain. La porte d’entrée du futur est un produit qui nous tient à coeur depuis des années et je suis ravi de coopérer avec REHAU et VOLMA pour son développement et sa commercialisation ». Manuel DARIOSECQ, Président de VITRUMGLASS.VOLMA, un leader Français de la porte d’entrée moderne Depuis plus de 30 ans, les collections de panneaux de porte et de verres décoratifs VOLMA reflètent un sens de l’innovation et un savoir-faire qui caractérisent cette signature qui a fait sa renommée. Principalement dédiée à la fabrication des entrées PVC, Aluminium et Verre, VOLMA complète ses gammes avec des panneaux plates-bandes pour menuiseries et vérandas et en distribuant des accessoires divers. Implanté sur un site de 20000 m², VOLMA réalise un chiffre d’affaires annuel de 17 millions d’euros et produit 11000 monoblocs et 45000 panneaux décoratifs par an. De rencontres décisives en prises de décisions stratégiques, le concepteur fabricant s’est construit une solide réputation à la hauteur de ses engagements. Il poursuit aujourd’hui ses ambitions, ses objectifs, avec cette passion du métier qu’il s’efforce de partager. VITRUMGlass, un leader innovant de l’intégration et du pilotage de vitrage technique et intelligent Pionniers dans l’intégration et le pilotage du vitrage intelligent en France, VITRUMGLASS en a fait un métier et sa spécialité depuis plus de 10 ans. Motivés autant par la passion du vitrage chauffant, opacifiant et du vitrage technique que par l’utilité de ces produits, VITRUMGLASS est convaincu de son engagement : responsable, écologique et durable, le vitrage chauffant est plus qu’une alternative aux solutions traditionnelles de chauffage, il est une solution d’avenir. C’est une réalité qui a fait ses preuves. La performance du vitrage chauffant est au rendez-vous, 100 % de ceux qui ont essayé en sont satisfaits. Il revient à tous de le promouvoir à l’heure du bas carbone et de la maitrise de l’énergie. Et pour être à la hauteur des enjeux, VITRUMGLASS a tenu à développer une expertise, un système de pilotage VITRUMBox et un service complet de l’étude à la mise en oeuvre des produits verriers pour accompagner aussi bien les professionnels que les particuliers. Plus d’infos sur www.vitrumglass.comREHAU : Des avancées technologiques. Votre confort au quotidienLa division Window Solutions de REHAU Industries réinvente les fenêtres, portes et volets chaque jour. Pour une vie meilleure. Leur approche unique du recyclage labélisée EcoPuls représente un concept de durabilité inégalé dans l'industrie. En tant que pionnier et moteur de solutions industrielles orientées vers l'avenir, REHAU Window Solutions créé des fenêtres, portes et volets en intégrant l’ensemble de la chaîne de valeur : Vos fenêtres réinventées pour la vie d’aujourd’hui.Le groupe REHAU réalise un chiffre d'affaires annuel de plus de quatre milliards d'euros avec des solutions à base de polymères. Il regroupe sous le même toit plusieurs sociétés : REHAU Industries, Meraxis, New Ventures, RAUMEDIC et REHAU Automotive. REHAU Industries est une entreprise indépendante et regroupe les divisions Building Solutions, Window Solutions, Furniture Solutions et Industrial Solutions. Plus de 12 000 employés répartis sur plus de 150 sites dans le monde dont deux en France travaillent ensemble pour améliorer continuellement la vie des usagers grâce à l'utilisation de technologies innovantes et durables pour les secteurs de la construction, des fenêtres, du mobilier et de l'industrie.
Il y a 2 ans et 195 jours

Macron propose un pacte de décarbonation aux industriels les plus émetteurs de CO2 en France

"Si des projets et des sites sont identifiés d'ici à 18 mois, si vous doublez vos efforts, si on arrive à passer des 10 millions de tonnes de CO2 évités à 20 millions instruits, nous doublerons les moyens consacrés à cet enjeu et passerons l'enveloppe de 5 à 10 milliards d'euros d'accompagnement", a lancé le chef de l'Etat aux industriels réunis à l'Elysée.Pour arriver à cet effort, le chef de l'Etat, tout juste de retour de la conférence mondiale sur le climat (COP27) à Charm el-Cheikh en Egypte, a aussi annoncé que le gouvernement allait dérouler une planification précise à six mois et dans les années à venir, "filière par filière".Ciment, aluminium, acier, engrais, sucre ou carburants: les dirigeants des cinquante sites industriels français les plus émetteurs de CO2, dont le Pdg de TotalEnergies Patrick Pouyanné, ont été reçus dans la salle des fêtes de l'Elysée.A eux seuls, ces 50 sites représentent 30.000 emplois et la moitié des émissions de l'industrie, soit 10% des émissions du pays. "Le but c'est de diminuer par deux les émissions de gaz à effet de serre de ces sites en dix ans, donc d'enlever 5% des émissions françaises", explique-t-on à l'Elysée. Ce sont les sites sidérurgiques d'Arcelor Mittal à Dunkerque ou Fos-sur-Mer, les cimenteries de Vicat, Lafarge ou Calcia, des usines chimiques du Grand Est, de l'étang de Berre ou de Normandie, les fabricants d'engrais Yara ou Borealis, la verrerie d'Arcques, les raffineries d'ExxonMobil et TotalEnergies en Normandie, Air Liquide en région PACA, ou les sites de production de sucre de Tereos et Cristal Union dans le nord de la France.Emmanuel Macron a insisté sur sa volonté d'accélérer la lutte contre le changement climatique, après un premier quinquennat jugé trop timoré en la matière par les spécialistes de l'environnement. Mais aussi de réindustrialiser."La décarbonation c'est un des éléments qui doivent nous permettre à continuer de créer de l'emploi industriel", a-t-il souligné."Pas amical"Le chef de l'Etat a surtout pointé la concurrence exacerbée de puissances économiques comme les Etats-Unis qui promettent des subventions publiques massives pour la décarbonation, avec un risque de désindustrialisation si les Européens ne suivent pas."Les Etats-Unis sont producteurs d'un gaz peu cher qu'ils vendent cher, et en plus ont pris des dispositifs d'aides massives sur certains secteurs", a-t-il dit."Ce n'est pas conforme aux règles de l'OMC et ce n'est pas amical", a-t-il insisté en promettant de mettre le sujet sur la table lors de sa visite d'Etat début décembre à Washington.S'adressant aux industriels, il a demandé que des "contrats de transition écologique" soient signés pour graver dans le marbre les efforts promis, site par site, et filière par filière aussi, sous l'égide du ministre de l'Industrie."Nous mettrons en ligne la carte de France des 50 sites" les plus émetteurs de CO2 pour suivre les progrès, a-t-il promis devant une carte de France géante montrant les émissions, où se distinguent le nord de la France avec 12 millions de tonnes de CO2 émises, suivie par le bassin de Marseille-Fos avec un peu plus de 10 millions de tonnes de CO2, et l'embouchure de la Seine en Normandie.Les cinq milliards d'euros supplémentaires annoncés mardi s'ajoutent aux 5 milliards déjà prévus dans le plan France Relance pour la décarbonation de l'industrie. Par ailleurs, la France a aussi prévu neuf milliards d'euros d'investissement pour le développement de l'hydrogène, qui est un des vecteurs puissants de la décarbonation de l'industrie.Il faut "sous six mois que le gouvernement puisse présenter un plan pour intégrer" ces montants "dans les travaux de programmation pluriannuelle de l'énergie", a précisé le président.La planification devra se faire "par technologie", a-t-il dit en évoquant aussi bien l'hydrogène - qui sera utilisé notamment par la sidérurgie en remplacement du charbon -, le développement de la biomasse pour remplacer le gaz, l'électrification des ports maritimes et fluviaux pour l'acheminement des marchandises, ou la capture et la réutilisation du co2.Lors de différentes présentations, les industriels présents ont de leur côté beaucoup insisté pour avoir accès à une source d'électricité "stable" et "massive", alors que les déboires techniques d'EDF dans ses centrales nucléaires sont encore loin d'être résolus.
Il y a 2 ans et 195 jours

Restauration du monastère fortifié de l’Ile Saint Honorat

Le monastère fortifié Saint-Honorat dans les Alpes Maritimes est un des rares exemples de tour-monastère fortifiée encore quasiment intacte avec un cloître à niveaux superposés. Le plan de relance a permis d’etamer une seconde tranche de travaux de restauration et de mise en sécurité du monastère, elle comprend aussi un suivi archéologique et des fouilles localisées. L’opération en cours actuellement consiste d’une part à stabiliser le monument en lui redonnant le clos-couvert et d’autre part à pérenniser l’ouverture au public et l’usage culturel et cultuel dans un paysage exceptionnel. Du point de vue technique, une prouesse particulière et remarquable de ce projet est de restituer une toiture à la double nef du « noyau A », parfaitement intégrée, ce qui rendra praticable et utilisable cet espace aujourd’hui visité dans son état de ruine. Les travaux en cours concernent la pose de l’écran solaire, des gardes-corps, caillebotis et ligne de vie dans le noyau A (complète la mise en place de la toiture en verre au-dessus de la double nef) ; la restauration du clos et couvert de la partie du cloître (restitution de la toiture du cloître), aménagement intérieur du noyau B et aménagement extérieur (maçonnerie, structure métallique, serrurerie/métallerie, charpente, couverture, électricité). En fin d’année, la tranche optionnelle 2 démarrera avec la restauration du clos et couvert de la partie sud – noyau C, et des intérieurs hors noyau principal (maçonnerie, serrurerie/métallerie, charpente, couverture, électricité). Source : Drac PACA Photo de la toiture en verre : CRMH – Drac PACA, photos du monument : Jean-Pierre Juigner  
Il y a 2 ans et 196 jours

Les industriels émetteurs de gaz à effet de serre reçus à l'Elysée

Ce sont les sites sidérurgiques d'Arcelor Mittal à Dunkerque ou Fos sur Mer, les cimenteries de Vicat, Lafarge ou Calcia, des usines chimiques du Grand Est, de l'étang de Berre ou de Normandie, les fabricants d'engrais Yara ou Borealis, la verrerie d'Arcques, les raffineries d'ExxonMobil et TotalEnergies en Normandie, Air Liquide en région PACA, ou les sites de production de sucre de Tereos et Cristal Union dans le Nord de la France. Ils représentent 30.000 emplois.Tout juste de retour de la COP27 à Charm el-Cheikh, Emmanuel Macron réunit leurs dirigeants à 15H00 avec l'intention d'accélérer la lutte contre le changement climatique, après un premier quinquennat jugé trop timoré en la matière par ses détracteurs.Leur point commun est d'émettre des quantités considérables de C02 dans l'atmosphère, soit parce qu'ils brûlent du gaz pour chauffer leurs installations, soit parce qu'ils extraient certains éléments chimiques (l'hydrogène par exemple) du méthane et rejettent le CO2.En France, l'industrie (hors transports et hors production d'énergie) représente "à peu près 20% de nos émissions de gaz à effet de serre", indique-t-on à l'Elysée, qui a inscrit la décarbonation de l'industrie dans les objectifs de la planification écologique du second quinquennat d'Emmanuel Macron.A eux seuls, les 50 sites dont les représentants sont attendus à l'Elysée représentent la moitié des émissions de l'industrie, soit 10% des émissions du pays."Le but c'est de baisser les émissions sans baisser la production", précise-t-on au palais présidentiel. Et même "d'accélérer" la baisse des émissions (...) pour être neutre en carbone en 2050, a ajouté le ministre de l'Industrie Roland Lescure mardi sur France Inter.Ce qui signifie dans nombre de cas : changer de source d'énergie en abandonnant les énergies fossiles (pétrole ou gaz) pour se tourner vers l'électricité non émettrice de CO2, soit verte (éolienne ou solaire), soit nucléaire, soit encore de l'hydrogène décarboné, produit à partir d'électricité elle-même décarbonée. Et dans d'autres cas, de capturer et séquestrer le CO2 émis ou de le réutiliser dans le processus industriel.Investissements massifsCela suppose des investissements massifs susceptibles de renchérir les coûts de production et de fragiliser la compétitivité des entreprises concernées face à des concurrents internationaux moins pressés de se décarboner.Après des décennies de délocalisations d'usines et une amorce timide de réindustrialisation de la France depuis 2020, l'Elysée s'inquiète ainsi de voir les investisseurs se tourner vers d'autres continents et notamment vers les Etats-Unis où un plan d'investissement vert alléchant (Inflation reduction Act) a été lancé par l'administration Biden."Toute la clé, c'est de faire en sorte que la décarbonation ne se transforme pas en une délocalisation massive", admet-on à l'Elysée. "Ca va coûter beaucoup d'argent" a reconnu Roland Lescure. "Mais si on ne la fait pas en France", la décarbonation des cinq haut fourneaux dont ArcelorMittal dispose en France, "se fera ailleurs" a-t-il prévenu.ArcelorMittal à lui seul représente 25% des émissions des industriels présents à l'Elysée, et 4% des émissions françaises, selon M. Lescure. "Je veux que les haut fourneaux soient décarbonés en France plutôt qu'on aille chercher notre acier ailleurs" a-t-il ajouté."La clé sera le montant de l'aide publique qui sera consentie" pour aider les industriels, résume Vincent Charlet, économiste à la Fabrique de l'Industrie."Sans aide publique, des filières entières risquent de disparaître" en France et en Europe, ajoute-t-il en citant le secteur des métaux de base, le plus exposé, qui "ne dispose pas d'assez de marge bénéficiaire pour supporter le coût de sa décarbonation" mais aussi ceux de "la chimie, du papier-carton, du ciment ou du verre, ainsi que le transport aérien"."Le fait que l'Elysée organise une telle réunion alors que le sujet est travaillé depuis longtemps entre les filières et les administrations centrales est une très bonne nouvelle", ajoute-t-il auprès de l'AFP, "et si un cofinancement public pouvait être annoncé à cette occasion, ce serait un très beau signal".
Il y a 2 ans et 196 jours

Réhabilitation d’un écolodge

Cette ancienne ferme caussenarde, située à 900 m d’altitude, sur la commune de Le Massegros en Lozère, était devenue une évidence pour le projet d’écolodge et de retraite « bien-être » de ses nouveaux propriétaires. Avec vue sur le Tarn, ce hameau s’organise sur 8 hectares de nature brute, dans un site remarquable classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Le CABINET RICHARD ARCHITECTE a entrepris sa restauration dans le respect de la tradition locale, en préservant le caractère de ce lieu, notamment les toits de Lauze et les murs de pierres sèches. Les travaux de réhabilitation étaient colossaux : 1 000 m2 de bâtis centenaires, dont une « jasse » de 42 m, la plus grande de la région, qui était destinée à l’origine aux animaux et à leurs fourrages à l’étage. Afin de maximiser l’apport en lumière, l’architecte a remplacé la pierre par le verre. Il a opté pour une verrière TECHNAL XXL (45 m2) deux pentes de la gamme GEODE et d’ensembles composés cintrés dans la teinte « Noir Magnétique ». Des menuiseries et une structure en aluminium qui se marient subtilement à l’authenticité de la pierre. Philippe Canac, ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL – ETS CANAC MENUISERIES ET SERRURERIES a mis son savoir-faire et les solutions TECHNAL au service de cette réhabilitation complexe. Il a su adapter des matériaux en aluminium à des voutes en pierre de taille. C’est cette jasse qui a été primée dans la catégorie « Réhabiliter XXL » au dernier PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL organisé en décembre dernier.   Photo : TECHNAL CABINET RICHARD ARCHITECTE Cet article Réhabilitation d’un écolodge est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 200 jours

Crise énergétique : dans la Nièvre, un charbonnier traditionnel croule sous les demandes

"On le fait toujours comme on le faisait il y a 3.500 ans": Gabriel Taviot, 55 ans, barbe, bonnet et cils recouverts d'un voile de poussière grise, effeuille de son râteau la couche superficielle de "la meule".Il écume la motte de sa croute de paille et de terre et, précautionneusement, pour ne pas abimer le charbon de bois cassant comme du verre, dévoile les bouts de bois noirs qui s'affaissent au sol dans des fumeroles virevoltant à travers les grands arbres.A même le sol de la forêt d'Arthonnay, dans les profondeurs de l'Yonne, Gabriel installe depuis des décennies ses meules de charbonnier."On installe des bouts de bois droits de 1,20m en dessinant un rond, sur un diamètre de 5-6 mètres, puis on recouvre de paille et de terre en laissant une cheminée au milieu. On fait comme un volcan. Puis on allume en laissant tomber des braises dans cette cheminée. La flamme monte et on bouche l'entonnoir pour étouffer le feu", explique-t-il.Il fera 900 degrés au coeur du "volcan": le bois cuit à l'étuvée. Après 72h, on ramasse au râteau le charbon.Le rituel n'a "pas changé" depuis des millénaires, assure Gabriel. Les historiens ont en effet découvert des traces de meules à charbon dès l'Antiquité.Le métier a pourtant bien failli disparaître. "Ici, à Arthonnay, il y avait jusqu'à 50 salariés qui travaillaient dans le charbon de bois", se souvient Gabriel.Mais, en 1988, quand il reprend l'entreprise familiale qui existait depuis 1870, le pétrole puis l'électricité avaient bien failli enterrer le charbon."C'était très dur: on n'a commencé à gagner notre vie qu'en 93-94, et encore grâce à la scierie spécialisée en bois de luxe qu'on a ouvert à côté", explique Gabriel."Les derniers des Mohicans"Du haut de ses 65 ans et d'une "trentaine d'années" de pratique, Gérard Grigis, assistant de Gabriel, confirme. Sourcils gris de poussière, yeux bleus difficiles à distinguer derrière les lunettes moirées de noir, Gégé évoque, lui aussi, un passé tourmenté. "Le pétrole a failli nous faire disparaître. Et les +gazos+ (chauffage au gaz, ndlr) ont bien failli nous remplacer"."Mais la hausse du prix du gaz et du fuel a tout changé", claironne-t-il, fier de ce retour de balancier."Je n'arrive pas à fournir. On a trop de demande", explique Gabriel Taviot. "Avec l'augmentation des prix du gaz, de plus en plus de gens remettent en route les petits poêles à charbon qu'on voyait dans les chambres de bonne".Une résurrection d'autant plus savourée que les charbonniers sont une espèce en voie d'extinction. "On est les derniers des Mohicans", résume Gérard Grigis. "Y'a plus que des retraités qui en font pour le folklore ou leur consommation personnelle, dans les fêtes de villages".Heureusement, l'entreprise Gabriel Taviot se réjouit d'avoir assuré "la relève". Ou plutôt d'avoir "passé le feu", comme on dit entre charbonniers."C'est un métier que j'aime": Thibault Remisio, 30 ans, perpétue ainsi la tradition, après être tombé amoureux de la fille de Gabriel. Et du métier."On est à l'air libre. On est libre", dit-il en soulevant des pelletées de charbon dans la forêt transpercée du soleil automnal."Sa" meule, il la raconte des étoiles dans ses yeux embués. "Quand on l'allume et qu'on la bouche, les fumées courent du bas. On a l'impression de marcher sur de la brume. C'est beau".
Il y a 2 ans et 201 jours

ISOVER Recycling, bilan et perspectives

Plus de deux ans après le lancement de sa filière de récupération et recyclage de laine de verre et à l’occasion de la Journée Mondiale du Recyclage, ISOVER a dressé le bilan de son activité. L’industriel a créé, il y a près de 24, ans son propre centre de revalorisation de déchets fibreux (rebuts de laine de verre) issus de son site industriel d’Orange. Comprenant l’intérêt de ce recyclage en interne comme en externe, ISOVER a alors souhaité faire évoluer ce centre de revalorisation pour pouvoir également traiter les déchets de laines de verre provenant des chantiers de déconstruction et de rénovation et les transformer en calcin qui est ensuite réinjecté dans le processus de fabrication de nouvelles laines de verre. Ce procédé industriel unique permet à l’industriel d’avoir une part importante de matière recyclée dans ses produits, qui s’élève a minima à 40 % et peut atteindre jusqu’à 80 % dans certaines usines. La marque travaille également très activement à augmenter la part de matériaux recyclés dans ses produits, avec l’objectif de la faire passer de 40 % en 2020 à 80 %* à l’horizon 2030. La laine de verre issue de la déconstruction des bâtiments représente 75 000 t/an qui finissent, dans la plupart des cas, enfouis sous terre. Avec la rénovation des bâtiments des années 70 et 80, on estime que la quantité de déchets de laine de verre va doubler d’ici 2030. Dans ce contexte, ISOVER a lancé son service de collecte et de recyclage, ISOVER Recycling dont l’objectif est d’éviter les enfouissements de laine de verre et favoriser leur recyclage. Cette démarche d’éco-conception est l’un des piliers de la politique engagée afin de réduire les déchets et de préserver les ressources naturelles. Développé avec des partenariats entre la marque et différents professionnels du secteur du recyclage (collecteurs, syndicats) et des entreprises de curage, ISOVER Recycling s’adresse autant aux marchés diffus qu’aux grands chantiers de rénovation. 150 tonnes de laine de verre usagée ont été recyclées à date par ISOVER Recycling, 400 tonnes à horizon fin 2021, avec un objectif à 2030 de 150 000 tonnes. 20 collecteurs qui gèrent 60 déchetteries réparties sur 35 départements. Un socle de collecteurs actifs en Rhône Alpes Sud-Est qui fait la promotion de notre filière auprès des acteurs de la déconstruction afin de capter davantage de déchets de laine de verre.
Il y a 2 ans et 201 jours

ISOVER Recycling, bilan et perspectives

Plus de deux ans après le lancement de sa filière de récupération et recyclage de laine de verre et à l’occasion de la Journée Mondiale du Recyclage, ISOVER a dressé le bilan de son activité. L’industriel a créé, il y a près de 24, ans son propre centre de revalorisation de déchets fibreux (rebuts de laine de verre) issus de son site industriel d’Orange. Comprenant l’intérêt de ce recyclage en interne comme en externe, ISOVER a alors souhaité faire évoluer ce centre de revalorisation pour pouvoir également traiter les déchets de laines de verre provenant des chantiers de déconstruction et de rénovation et les transformer en calcin qui est ensuite réinjecté dans le processus de fabrication de nouvelles laines de verre. Ce procédé industriel unique permet à l’industriel d’avoir une part importante de matière recyclée dans ses produits, qui s’élève a minima à 40 % et peut atteindre jusqu’à 80 % dans certaines usines. La marque travaille également très activement à augmenter la part de matériaux recyclés dans ses produits, avec l’objectif de la faire passer de 40 % en 2020 à 80 %* à l’horizon 2030. La laine de verre issue de la déconstruction des bâtiments représente 75 000 t/an qui finissent, dans la plupart des cas, enfouis sous terre. Avec la rénovation des bâtiments des années 70 et 80, on estime que la quantité de déchets de laine de verre va doubler d’ici 2030. Dans ce contexte, ISOVER a lancé son service de collecte et de recyclage, ISOVER Recycling dont l’objectif est d’éviter les enfouissements de laine de verre et favoriser leur recyclage. Cette démarche d’éco-conception est l’un des piliers de la politique engagée afin de réduire les déchets et de préserver les ressources naturelles. Développé avec des partenariats entre la marque et différents professionnels du secteur du recyclage (collecteurs, syndicats) et des entreprises de curage, ISOVER Recycling s’adresse autant aux marchés diffus qu’aux grands chantiers de rénovation. 150 tonnes de laine de verre usagée ont été recyclées à date par ISOVER Recycling, 400 tonnes à horizon fin 2021, avec un objectif à 2030 de 150 000 tonnes. 20 collecteurs qui gèrent 60 déchetteries réparties sur 35 départements. Un socle de collecteurs actifs en Rhône Alpes Sud-Est qui fait la promotion de notre filière auprès des acteurs de la déconstruction afin de capter davantage de déchets de laine de verre. Cet article ISOVER Recycling, bilan et perspectives est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 202 jours

Rairies Montrieux dévoile son nouveau catalogue

Retour sur la présence de la société Rairies Montrieux à l’édition 2022 du salon Batimat.L’histoire de la terre cuite naît d’une symbiose entre l’argile et la main de l’homme. Elle se transforme, se magnifie et se bâtie grâce aux projets d’architectes, designers et artistes qui lui offrent leur inspiration. Nous appelons ces inspirations des Rencontres Architecturales.Batimat est l’occasion de faire le point sur les nouvelles perspectives de l’entreprise et de mettre en avant le mythique showroom Parisien du Viaduc des Arts, un lieu emblématique et stratégique pour l’entreprise à Paris.Le Spécialiste des produits en Terre cuite depuis 1919 annoncera plusieurs actualités importantes sur le salon : Rairies Montrieux sera au service d’un événement sportif pour 2024, un grand honneur et un défi de plus à relever pour la société. Des cas concrets de réalisations finalisées seront présentés, ainsi que des projets en cours ou à venir, en France et à l’étranger.Rairies Montrieux présente également son projet : Eco-Démarche, un projet porté par une démarche environnementale.Éco-démarcheAujourd’hui l’économie de ressources est au cœur des préoccupations. Le réemploi de matériaux est une action efficace et simple à mettre en œuvre. Dans le cas de la terre cuite, c’est l’utilisation de pièces mises au rebut, invendues, ou les surstocks qui sont une ressource de premier choix. En effet, pourquoi lancer la production de nouveaux produits alors que des stocks encombrants existent ? Le réemploi permet un gain de temps de fabrication et une économie d’énergie plus que significative.Cette démarche est à la fois environnementale et économique et chaque partenaire y trouve son compte. Déstockage pour l’entreprise, terrain de jeu artistique pour l’architecte, économie de moyens pour la maîtrise d’ouvrage et tout cela, au bénéfice de l’environnement.Un catalogue au service des professionnelsCette année Rairies Montrieux innove une fois de plus en présentant sur le Salon professionnel de la construction un nouveau catalogue toujours à la pointe de l’innovation et des dernières tendances, repoussant ainsi les limites de la créativité.Ce dernier sera présenté avec de nombreuses actualités produits.Une mise en lumière sur la brique Brut de four, un produit ancestral ultra contemporain, des nouvelles couleurs pour les plaquettes émaillées...Les briques Moucharabieh seront déclinées sous différentes formes. Autant de sources d’inspirations pour les professionnels...Enrichi d’interviews éclairantes d’architectes référents sur leur approche technique et esthétique, ce nouveau catalogue ouvre le champ des possibles et répond pleinement aux attentes et exigences du marché.Cette année plusieurs grandes nouveautés chez Rairies MontrieuxLes nouveautés épidermesLa terre cuite est une céramique réalisée par la cuisson de terre d’argile. La couleur de celle-ci peut varier en fonction de la terre d’argile utilisée. Façonnée à l’aide d ’une filière puis séchée, elle est finalement cuite au four à haute température. Deux nouveaux épidermes voient le jour : l’écorce et le grenaillé !ÉcorceInspirée de la peau de protection de l’arbre, la terre cuite se rapproche de la nature grâce à l’épiderme Écorce. Cet aspect est le résultat d ’hachures aléatoires sur la surface lisse du produit en terre cuite afin de lui offrir un aspect unique. Elle est disponible en 9 teintes : Lumière, Silver, Titane, Havane, Réglisse, Antarès, Montlouis, Montvaloir et Médoc.GrenailléL’épiderme Grenaillé est un aspect qui procure de très beaux effets minéraux sablés. L’aspect est certes rugueux, mais le rendu final est très chaleureux.Grâce à cet aspect mat, une façade sort clairement de l’ordinaire.Granuleux au toucher, l’avantage de l’épiderme Grenaillé est qu’il peut magnifiquement dissimuler les défauts de la surface d’un mur. Il se décline en 4 teintes naturelles : Lumière, Silver, Réglisse et Médoc.Les Originelles ÉcorceGrâce à leur épiderme à la fois naturel et structuré, les plaquettes Originelle s’inscrivent avec élégance dans un esprit vintage. Elles se déclinent maintenant en 4 textures.... La toute dernière nouveauté : Écorce.Les nouveautés formesNouveautés brique et plaquettes de formes, cette année c’est la grande nouveauté chez Rairies Montrieux !En pointe, graphiques, linéaires, arrondies... Elles donnent du relief à toutes les façades et sont là pour apporter un aspect unique à chaque réalisation.Les nouveautés couleursL’engobé, terre cuite colorée pastelLa société complète sa collection de plaquettes de parement engobé grâce au développement de couleurs pastels. La terre cuite colorée pastel affirme en extérieur une approche jusqu’alors cantonnée en intérieur.Nouvelles couleurs chez les émaillés monocuissonL’émail monocuisson consiste à cuire simultanément la terre cuite crue et le verre coloré finement broyé sur la terre cuite durant la même et unique cuisson. De par son exclusivité, c’est une cuisson technique et économique en énergie qui offre des produits émaillés davantage nuancés à l’image de la terre cuite naturelle.Les nouveautés produitsDans la Famille des Émaillés la toute dernière nouveauté : Grés est une céramique caractérisée par une très grande dureté et une excellente résistance aux agressions chimiques ou climatiques. Cette résistance est obtenue par la cuisson à une température supérieure à 1.200 °C. Rairies Montrieux a développé cette gamme pour répondre aux exigences des pays où les agressions climatiques sont fréquentes.Rairies Montrieux fait le plein de nouveautés pour l’édition 2022 de Batimat. Formes, épidermes, teintes... les innovations ne manquent pas ! Rairies Montrieux vous invite à découvrir toutes leurs gammes dans leurs showrooms à Paris ou aux Rairies !
Il y a 2 ans et 209 jours

Brico Dépôt propose de financer l’audit énergétique de ses clients

Première enseigne de bricolage à financer l’audit énergétiqueOutil de diagnostic indispensable, réalisé par un professionnel qualifié, l’audit énergétique établit des préconisations de travaux afin d’améliorer significativement l’efficacité énergétique d’un logement. A partir du 1er avril 2023, cet audit devient obligatoire en cas de vente d’un logement dont le diagnostic de performance énergétique (DPE) est de classe F ou G. Et pour que le coût de cet audit ne soit pas un frein pour les Français [1], Brico Dépôt finance à 100% celui-ci pour ses clients encartés [2] dès lors qu’ils réalisent des travaux de rénovation énergétique avec Ynergie, partenaire de l’enseigne et délégataire CEE [3].C’est une grande nouveauté dans le secteur puisque l’enseigne est la première à proposer cette offre qui débute le 24 octobre prochain sur tout le territoire national et se prolongera jusqu’à fin janvier 2023. Dans le cadre des travaux réalisés avec Ynergie, le client bénéficie d’un accompagnement, tout au long de son projet, de la phase de conseils jusqu’à la réception des travaux, en passant par le financement, le calcul des aides (l’audit étant éligible à Ma Prime Rénov’), le pilotage ou encore la maitrise des dépenses.Pour Peggy Sadier, Directrice E-Commerce et Expérience Clients de Brico Dépôt : « Avec les équipes, nous avons constaté que de nombreux clients n’osaient pas se lancer dans leur projet, faute de connaissance, d’assistance et de conseil. Avec Ynergie, nous avons pensé ce service comme un véritable facilitateur de travaux. Notre ADN repose sur la simplicité, la qualité et l’accessibilité de nos produits, et c’est ce que nous avons voulu retranscrire avec le financement de l’audit énergétique : faire de la rénovation énergétique de son logement une expérience à la fois simple, humaine et performante. »Le financement intégral de l’audit énergétique s’inscrit dans le cadre d’un dispositif plus global d’actions déjà déployées par Brico Dépôt en faveur de la rénovation énergétique. L’enseigne propose depuis toujours des produits d’isolation, de chauffage, de menuiserie, d’outillage, etc. qui permettent de réaliser des économies d’énergie. Afin de continuer à proposer les prix les plus compétitifs du marché, l’enseigne a anticipé, avant l’été, des arrivages spéciaux liés à la rénovation énergétique (Chauffages, isolants en laine de verre, poêle à bois/granulés, fenêtres...). Ces opérations promotionnelles permettent aux Français d’anticiper leurs achats et de réaliser une double économie :À la caisse : avec des prix bas ;À l’investissement : avec des produits qui permettent de faire des économies d’énergie.[1] En fonction des revenus, l’audit énergétique peut coûter jusqu’à 600 €[2] La carte de fidélité de Brico Dépôt est gratuite[3] Certificats d'économies d'énergieBrico Dépôt, l’atout anti-crise pour le pouvoir d’achat des FrançaisLe contexte actuel de tensions sur le pouvoir d’achat rend l’accompagnement de Brico Dépôt encore plus pertinent reposant sur la force d’un modèle éprouvé : des produits essentiels à des prix bas et en quantité « chantier » sans compromis sur la qualité, des marques propres exclusives et une dynamique commerciale avec notamment des arrivages. Aujourd’hui, l’enseigne accélère sa modernisation au service de l’expérience client, en capitalisant sur des équipes expertes et engagées, au siège comme en dépôt.Pour Laurent Vittoz, Directeur d’enseigne de Brico Dépôt : « J’ai la conviction que c’est dans les situations de tension économique, comme celle que nous traversons actuellement, que notre positionnement de discounter peut encore plus faire la différence pour nos clients. Pour Brico Dépôt, garantir des prix compétitifs, ce n’est pas seulement un slogan, c’est avant tout un contrat de confiance entre l’enseigne et ses clients. Et nous sommes déterminés à tenir nos promesses en proposant des actions concrètes comme le financement de l’audit énergétique ou bien le remboursement de deux fois la différence si nos clients trouvent moins cher ailleurs. »
Il y a 2 ans et 211 jours

Guardian Glass relève le défi de la Tour Hekla

Jouer avec les reflets de la lumière et de son environnement, présenter une esthétique unique et moderne, mais aussi contribuer à la création d’espaces alliant haute performance environnementale du bâtiment et bien-être des occupants : tels étaient les enjeux qu’ont dû relever les équipes Guardian.Allier prouesse technique et exigence environnementale du bâtimentLorsque Guardian se voit confier la réalisation de plus de 20.000 m2 de verre qui composeront la façade du futur emblème de la Défense, le cahier des charges est particulièrement ambitieux. La signature de l’architecte impose l’utilisation de produits réfléchissants avec de hautes performances techniques. Les matériaux devront aussi répondre à des objectifs précis en termes d’efficacité environnementale du bâtiment, les constructeurs visant une quadruple certification HQE Exceptionnel, BREEAM Excellent, LEED Platinum et EFFINERGIE+. L’ambition de la Tour HEKLA est aussi de se voir décerner les labels WELL (bien-être des occupants) et WiredScore Platinium.Guardian : un accompagnement sur-mesure avec des verres de haute technologiePour créer des façades « vivantes » qui changent d’apparence au cours de la journée, les équipes de Guardian décident de miser sur un mix de plusieurs verres à contrôle solaire issus de la gamme SunGuard High Performance (Neutral 60/40 et 50/32) et SunGuard HD Silver 70, en fonction des orientations de la façade et des performances esthétiques et techniques attendues. Elles proposent les premiers échantillonnages et organisent des visites dans leurs unités de production. Un prototype est monté en partenariat avec le façadier Permasteelisa avant validation.Les verres à contrôle solaire retenus pour ce projet sont fabriqués à partir de verres Guardian ExtraClear et UltraClear à faible teneur en fer, de couleur neutre et de clarté éclatante, sur lesquels sont déposées des couches pour des performances techniques et esthétiques variant selon les façades de la tour. Protection solaire, réflexion lumineuse, isolation thermique et acoustique… les verres sont conçus pour intégrer toutes les attentes du client.Pour David Tachon, Architectural Design Manager, Projets internationaux chez Guardian Glass : « Du bureau d’études à la supply chain, nous avons atteint les objectifs fixés et dans les temps impartis grâce à un partenariat étroit de nos équipes techniques et commerciales avec les architectes des Ateliers Jean Nouvel, Permasteelisa et les constructeurs. »
Il y a 2 ans et 215 jours

Le Qatar inaugure sa première centrale solaire avec TotalEnergies

Située à Al Kharsaah, à l'ouest de Doha, cette ferme solaire de plus 1,8 million de panneaux solaires s'étend sur 10 km2, ce qui en fait l'une "des plus grandes de la région", selon le ministre de l'Energie et président de Qatar Energy, Saad Sherida al-Kaabi.D'une capacité de 800 mégawatts, le projet lancé en 2016 et opérationnel depuis juin vise à couvrir 10% de la consommation du pays en électricité.D'après les organisateurs du Mondial-2022 au Qatar, qui promettent un tournoi neutre en carbone, la centrale alimentera les stades en électricité. Lors d'une conférence de presse, M. Al-Kaabi a toutefois indiqué ne pas disposer d'information sur ce point.Outre TotalEnergies (19,6%), l'entreprise japonaise Marubeni (20,4%) est partenaire de la centrale d'Al Kharsaah.Le géant gazier et pétrolier français a par ailleurs signé cette année deux importants contrats avec le Qatar pour le développement du plus grand champ de gaz naturel au monde, le North Field."Le fait que TotalEnergies soit devenu récemment le premier partenaire international du Qatar est un signe fort", a commenté le PDG Patrick Pouyanné, interrogé par l'AFP."C'est le résultat de beaucoup de travail depuis plusieurs années, mais je pense que ça tombe bien au moment où la question de la sécurité d'approvisionnement de l'Europe se pose à nous tous", a-t-il ajouté."On dirait que c'est la seule entreprise qui travaille au Qatar!", s'est pour sa part amusé Al-Kaabi. "Nous avons la même mentalité: être à la pointe de la technologie, essayer d'aller dans des zones d'exploration reculées et aussi vers les énergies renouvelables", a-t-il expliqué."Je pense que notre partenariat va encore se solidifier mais ça ne veut pas dire qu'on n'a pas d'autres partenaires très importants et, bientôt, vous nous verrez signer avec d'autres", a glissé le ministre, alors que le pays doit encore dévoiler le nom d'autres entreprises étrangères engagées sur le North Field.Le Qatar, qui vise une capacité de 5 gigawatts d'énergie solaire d'ici 2035, a annoncé fin août deux autres grands projets de centrales photovoltaïques devant lui permettre de plus que doubler sa production d'ici deux ans.La ferme solaire d'Al Kharsaah, elle, devrait être "étendue" d'ici 2035, a précisé le ministre.L'émirat est toutefois en retard sur ses voisins du Golfe. L'Arabie saoudite a annoncé cette année son intention de dépasser le seuil des 5 GW d'ici 2030, et des centrales solaires existent aux Emirats arabes unis depuis près d'une décennie.
Il y a 2 ans et 215 jours

Grohe Blue : une animation 3D unique en France à la gare Paris Saint-Lazarre

Outre l’aspect hautement qualitatif de l’eau délivrée par le système, Grohe Blue permet une économie moyenne de 700 bouteilles d’eau en plastique à usage unique par an pour un foyer de 4 personnes : une vraie nécessité dans un contexte de crise de l’eau et d’amoncellement des déchets plastiques dans les océans.A produit innovant, dispositif de communication uniqueLa marque Grohe, fabricant leader en solutions complètes d’équipements de cuisine et de salles de bains, vous invite à découvrir Grohe Blue au travers d’une impressionnante expérience marketing encore jamais vue en France : un cube géant jouant une animation visuelle en trois dimensions représentant une main qui avancera vers les passants pour leur servir un verre d’eau. Une approche inédite sur le territoire qui fait écho à la force d’innovation de la marque. Autour du cube, Grohe proposera également une dégustation d’eau Grohe Blue à ne surtout pas manquer.L’animation a lieu du 19 au 25 Octobre au dernier étage de la gare Saint-Lazare.
Il y a 2 ans et 216 jours

Une maisonnette en bois portugaise réalisée autour d’un marronnier

Des murs en verre inclinés ouvre sur des vues panoramiques à l’abri d’un arbre mature dans la Chestnut House à Vale Flor, au Portugal, conçue par l’architecte local João Mendes Ribeiro. Revêtu de bois peint en noir et doublé de panneaux de contreplaqué, le logement est conçu par Ribeiro comme un « abri élégant » dans le […]
Il y a 2 ans et 218 jours

A Londres, la nouvelle vie de l'emblématique centrale électrique de Battersea

Située au sud de la Tamise, la réhabilitation de la centrale construite dans les années 1930 est le dernier exemple en date des projets de transformation d'anciens sites industriels de la capitale britannique.Entamés en juillet 2013, les travaux qui auront coûté 9 milliards de livres (environ 10,2 milliards d'euros) ont pris fin et le site ouvre vendredi au public.Ses 16 hectares accueillent désormais plus de 250 boutiques, cafés et restaurants, plus de 270.000 m2 d'espaces commerciaux ainsi que des appartements, un théâtre, un hôtel, un espace événementiel et 24 hectares de jardins.Au total, les concepteurs du projet estiment que 25.000 personnes vivront ou travailleront sur le site, résultat du "plus minutieux projet de restauration d'un bâtiment post-industriel de Londres", selon Ben Walker, de l'agence LDA Design qui y a contribué.Devenue culte depuis que le groupe Pink Floyd en a fait la couverture de son album Animals en 1977, la centrale avait auparavant fait l'objet de nombreuses critiques. Au début de sa construction, la stabilité de ses cheminées avait été mise en doute, et certains sceptiques l'avait qualifiée de "gigantesque et inutilement laide".Au plus fort de son activité, la centrale produisait un cinquième de l'électricité consommée à Londres, fournissant notamment le palais de Buckingham et le Parlement.Mais dans les années 1970, son utilité avait diminué, avec la montée en puissance de nouvelles sources de production d'électricité dans l'estuaire de la Tamise. Une première unité de la centrale avait été mise à l'arrêt en 1975, et la seconde en 1983.Plusieurs projets avortés avaient ensuite tenté de réhabiliter le bâtiment, qui a progressivement perdu sa toiture et est tombé petit à petit en ruine. Jusqu'à son rachat en 2012 par un consortium d'investisseurs malaisiens. Les architectes ont dû faire face à de nombreux défis pour transformer la centrale, notamment pour respecter la vision de l'architecte Giles Gilbert Scott, qui a joué un rôle majeur dans sa construction, en créant de "nouveaux et immenses espaces".Bijou Art décoAprès avoir craché de la fumée pendant un demi-siècle, les quatre cheminées de 8,4 mètres de diamètres avaient notamment souffert de la corrosion et elles ont dû être démontées avant d'être reconstruites à l'identique.Désormais, les visiteurs pourront monter au somment de l'une d'entre elles via un ascenseur en verre pour profiter d'une vue panoramique sur Londres. D'autres éléments du bâtiment d'origine ont été conservés, comme l'espace qui abritait la turbine de la première unité de la centrale, un bijou Art déco. Autre trace du passé du site: le quai de 133 mètres de long qui servait à charger le charbon depuis la rivière est désormais bordé de boutiques et de restaurants.La centrale de Battersea est la dernière sur une longue liste de sites industriels rénovés dans la capitale britannique.Une autre centrale électrique londonienne, celle de Bankside, également conçue par Giles Gilbert Scott, abrite ainsi depuis 2000 la Tate Modern, le musée d'art moderne de Londres.Pour Tom Goodaal, associé du cabinet Related Argent, spécialiste des rénovations urbaines et qui a notamment travaillé sur la réhabilitation de la gare de King's Cross à Londres, Battersea va susciter un grand attrait car elle est un exemple de ce que peut être "le mélange heureux de l'ancien et du moderne".Mais son succès sur le long terme viendra de "la magie" qui pourra advenir dans la manière dont le public prendra possession de ses espaces. "Ce sera la capacité des gens à déambuler entre les bâtiments et à en profiter sans avoir besoin de faire partie d'un club particulier qui lui donnera sa vraie valeur", ajoute-t-il.
Il y a 2 ans et 221 jours

Habiter une planète qui se réchauffe : Abécédaire de la transition de la construction et des matériaux

A. Acier (vert)Pour construire les 246 milliards de mètres carrés qui ont vu le jour en 2020 sur la planète (+1% par rapport à 2019), le ciment et l'acier restent de loin les deux premiers matériaux utilisés et les plus émetteurs de CO2.Pour verdir la construction, les sidérurgistes, surtout en Europe, prévoient de produire un acier "vert" d'ici 2050 en remplaçant le charbon émetteur de CO2 par de l'hydrogène vert pour fondre le minerai de fer. Mais les investissements à prévoir sont gigantesques et cela revient à augmenter les coûts d'au moins "30%", prévient Christian Gollier, directeur général de la Toulouse school of economics.B. Béton + ciment Quatorze milliards de mètres cubes de béton sont coulés par an selon l'Association mondiale du ciment et du béton basée à Londres.La Chine seule, entre 2011 et 2013, a consommé 50% de plus de ciment que les Etats-Unis durant tout le XXe siècle, souligne le géographe britannique David Harvey. Or le béton émet plus de CO2 que l'aviation en raison de la présence de ciment, dont le liant, baptisé clinker, doit être chauffé à 1.400 degrés pour sa fabrication.Un espoir scientifique même ténu: par biomimétisme avec les coraux, il est possible de fabriquer un ciment à partir de carbonate de calcium, qui séquestre du CO2!En attendant, pour la construction de masse, tout le secteur mise sur des bétons décarbonés, notamment en remplaçant le liant du ciment par du "laitier", un déchet de sidérurgie. Mais la "sidérurgie est elle-même très émettrice de CO2", relève Christine Leconte, présidente du Conseil de l'ordre des architectes en France qui parie plutôt sur des matières "locales", terre ou pierre, pour réduire les émissions.C. Climatisation - chauffage Selon une étude du laboratoire national des énergies renouvelables de Palo Alto (Etats-Unis) parue en mars, la climatisation est responsable à elle seule de 4% des émissions mondiales. Cercle vicieux: plus la planète se réchauffe, plus les climatiseurs se multiplient.Certains architectes comme le zimbabwéen Mick Pearce ont conçu des systèmes de climatisation biomimétique s'inspirant de la nature. Sur le modèle des termitières qui régulent leur propre température en laissant une multitude de conduits permettant à l'air de circuler, il a conçu le plus grand immeuble commercial d'Harare, Eastgate. Le bâtiment se rafraîchit la nuit en stockant l'air frais et expulse l'air chaud pendant la journée.Certains systèmes de ventilation ou de chauffage basés sur le fonctionnement des abeilles dans une ruche (swarm logic), où les appareils d'un même immeuble sont connectés entre eux, permettent aussi de réguler les pics de demande.E. Efficacité énergétiqueC'est le principal défi à relever car le type d'énergie utilisée pour chauffer ou refroidir un bâtiment détermine le poids de ses émissions. En 2020, les investissements mondiaux dans le secteur ont fait un bond sans précédent de 11,4% à quelque 184 milliards de dollars, selon le rapport de l'Alliance mondiale du bâtiment et de la construction de l'ONU. Mais, tout cela reste loin de l'objectif à atteindre pour tenir les engagements de l'accord de Paris sur le climat: les émissions de CO2 du bâtiment devraient décroître de 50% d'ici 2030 par rapport à 2020, soit 6% par an, ce qui implique une baisse de 45% de la consommation d'énergie par mètre carré dans le monde, un rythme cinq fois plus rapide que ce qui s'est fait jusqu'à présent!I. IsolationFace aux vagues de chaleur ou au froid hivernal, il vaut mieux investir dans l'isolation de l'enveloppe des bâtiments qu'augmenter la climatisation ou le chauffage. Les murs conservent mieux la chaleur que les vitres, mais le double-vitrage se développe partout, voire le triple vitrage pour certains bâtiments "passifs" du nord de l'Europe.J. "Jardin de pluie"Conçu pour capter l'eau de pluie qui s'écoule du toit d'une maison ou d'une allée, il retient l'eau brièvement après précipitation. Ces jardins constitués de roches, de plantes et d'arbustes adaptés aux conditions sèches font partie des solutions d'adaptation au réchauffement fondées sur la nature.M. Matériaux bio ou géosourcesBois, chanvre, liège, lin, paille, ouate de cellulose: ces matériaux, issus de matière végétale renouvelable, concourent significativement au stockage du carbone atmosphérique et à la préservation des ressources naturelles. Leur utilisation est encouragée autant pour la construction que pour l'isolation et la rénovation.Problème, en Afrique, où certains de ces matériaux ont longtemps été utilisés pour l'habitat traditionnel, la croissance urbaine galopante se fait essentiellement via le ciment ou l'acier, déplore la géographe Armelle Chopin, auteur de "matière grise de l'urbain, la vie du ciment en Afrique" (2020).R. Réduire/recycler/utiliser"Nous essayons de donner une deuxième vie aux matériaux, parfois ils viennent du chantier de démolition, nous essayons de transformer les obstacles en solutions. Réduire les matériaux est le meilleur moyen de réduire l'empreinte carbone du bâtiment", expliquent Irene Perez et Jame Mayol, qui ont fondé l'agence d'architecture Ted'Arquitectes à Palma de Mayorque (Espagne). Tous deux favorisent le réemploi des matières, comme de plus en plus d'architectes.La construction d'une maison individuelle consomme 40 fois plus de ressources que la rénovation, et celle d'un bâtiment de logements collectifs environ 80 fois plus, ajoute l'Agence française de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie.T - Terre crueLa construction en terre crue, ancestrale, est en pleine renaissance. Et l'industrie cherche à développer des techniques pour massifier l'usage de bétons de terre.Parmi les techniques remises au goût du jour: Le pisé, terre compactée et coffrée, le torchis (terre crue coupée de paille ou de bouses animales), la bauge (couches successives de torchis damées sans ossature).La terre, matériau peu onéreux, et local, contribue à la régulation de l'humidité et surtout au lissage des températures intérieures, notamment en cas de canicule.On la trouve au Canada (Centre culturel du désert Nk'Mip), dans la région autrichienne du Vorarlberg, ou sous forme de panneaux préfabriqués de pisé, à Lyon en France.Le studio Renzo Piano a livré en 2021 à une ONG italienne un hôpital pour enfants à Entebbe en Ouganda, tout en pisé, réalisé à partir des terres d'excavation, surmonté de panneaux photovoltaïques.L'architecte germano-burkinabé Francis Kéré, lauréat du prestigieux prix Pritzker en 2022, a fait de la construction à partir de matériaux locaux, dont la terre, sa marque de fabrique, estampillée "high tech durable".U - UrbanismeLes experts recommandent de freiner les constructions nouvelles, favoriser la rénovation en centre-ville, arrêter l'étalement urbain, voire "reconstruire la ville sur la ville".V - Vitrage photovoltaïqueDes panneaux de verre permettent de produire de l'électricité à partir de la lumière solaire filtrée. Encore chère, cette technique émergente préfigure les bâtiments connectés de demain, mais se heurte à la pénurie de matériaux, en particulier celle des silicium.
Il y a 2 ans et 221 jours

Recyclage du verre : lancement de la marque Saint-Gobain Glass Recycling

ECONOMIE CIRCULAIRE. Le géant de matériaux de construction lance sa marque Saint-Gobain Glass Recycling dont l'objectif est de récupérer du vitrage en fin de vie et de le recycler en boucle fermée.
Il y a 2 ans et 222 jours

Une maison panoramique en bois Kebony

La société de conception-construction HM DG INC a récemment achevé la réalisation d’une fascinante maison moderne nichée dans l’une des collines de Bel Air. Panoramique, elle offre une vue imprenable sur Century City, Downtown LA, le Hollywood Reservoir et l’océan Pacifique.Cette maison de cinq chambres, de près de 700 m2, est située sur un terrain d’un hectare dans un quartier protégé, habité de luxueuses demeures. Elle a été conçue par le directeur de HM DG, Hassan Majd, dont le cabinet a également construit la résidence, vendue près de 12 millions de dollars.L’extérieur de cette maison sur deux étages est recouvert, au premier niveau, d’un stuc de couleur sable et, au second, d’un bois modifié Kebony imprégné de minéraux, lesquels lui permettent de résister aux agressions climatiques et aux parasites. Ce matériau classé platine ne nécessite aucun entretien et sa couleur, en se patinant, évolue du doré initial à un beau gris argenté.À l’intérieur, l'entrée s'élève jusqu'à un volume à double hauteur surmonté d'un plafond en forme de pyramide inversée, et révèle un vaste mur de verre qui s'ouvre sur la piscine et le patio, dévoilant également une vue spectaculaire sur Los Angeles. Les portes coulissantes automatisées disparaissent complètement dans les murs, un choix parfaitement adapté au style de vie intérieur-extérieur de la Californie du Sud.Le salon principal comprend une cheminée suivie de deux chambres. La palette de couleurs met l’accent sur les tons chauds et organiques de la terre, avec des sols en calcaire adouci au premier niveau et en chêne blanc au second.Pour Hassan Majd : « Le raffinement est dans les détails de finition. Dans la cuisine et l'espace de vie informel, la menuiserie et les panneaux sont tous de la même essence. Ce choix unit l’ensemble de la maison et lui confère une sensibilité à la Alvar Aalto (architecte finlandais). »Au même niveau, au-delà de la cuisine et du patio, se trouvent également une salle de sport/bureau et un pool house/spa dans un bâtiment séparé doté de sa propre entrée.Un escalier mène de l'entrée principale au second niveau. Là, au centre, sous le plafond en forme de pyramide inversée, la pièce s’ouvre sur le niveau principal inférieur et offre alors une sensation d’intimité. Ce niveau supérieur, qui dispose de son propre accès à des patios permettant de vivre à l'intérieur comme à l'extérieur, comprend un salon informel, une salle familiale, une salle de jeux, la suite parentale et deux autres chambres.La chambre principale, qui s'avance au-dessus du patio, est à couper le souffle. « J’adore le fait qu'elle bénéficie de la meilleure vue de toute la propriété : un panorama imprenable sur Los Angeles et les collines d’Hollywood », poursuit Hassan Majd. La salle de bains principale est en marbre gris anthracite foncé avec une finition en cuir, et l'enceinte en verre est suspendue dans les airs avec une vue sur les collines d'Hollywood, Century City et au-delà : à la fois intime et décloisonnée.À l'extérieur, au niveau principal, des escaliers descendent de la piscine et du patio le long de la pente paysagée et offrent des points de vue supplémentaires.
Il y a 2 ans et 223 jours

Partenariat entre Hoffmann Green et O.T.E

Dès cette année et jusqu’à fin 2024, le ciment Hoffmann Green H-Eva Sol remplacera le ciment Portland dans le cadre des travaux d’enfouissement des fibres optiques. [©Hoffmann Green] Hoffmann Green annonce la signature d’un partenariat commercial d’une durée de trois ans avec O.T.E. Cette dernière entreprise est un acteur des secteurs du numérique, du génie civil et des ouvrages d’art en milieu industriel. Le contrat porte sur la fourniture de l’H-Eva Sol, le ciment 0 % clinker et à base d’argile activée de Hoffmann Green. Concrètement, dès cette année et jusqu’à fin 2024, H-Eva Sol remplacera le ciment Portland dans le cadre des travaux d’enfouissement des fibres optiques. Un marché en pleine croissance sur l’ensemble du territoire national. Ce partenariat permettra ainsi de réduire de 95 % l’empreinte carbone du procédé Greenpose, co-développé avec la société Tesmec. Ceci, en comparaison à la méthode traditionnelle d’enfouissement micro-rive avec remblaiement béton utilisant du ciment Portland.
Il y a 2 ans et 223 jours

LA MAISON DE VERRE DE L'INTÉRIEUR - Livre

Icône de l'architecture, la Maison de verre de Pierre Chareau (1931, Paris VIIe ) fait partie de ces réalisations qui traversent le temps sans jamais se départir de leur modernité. Alors qu'à l'automne dernier, elle était sous les feux de l'actualité avec la dispersion aux enchères d'une partie de son mobilier - dont elle […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 224 jours

Premier site de recyclage de laine de verre Isover signé Hoffmann Green

Isover voit son premier site de recyclage de laine de verre signé Hoffmann Green. [©Hoffmann Green] En collaboration avec Eiffage Génie Civil, Hoffmann Green participe à la construction d’un prototype industriel. Cleui-ci est dédié au recyclage de la laine de verre de déconstruction. Ceci, pour le compte d’Isover. C’est à Chemillé-en-Anjou (49) que l’ensemble des fondations de l’atelier prototype de la société Isover ont été coulées avec du ciment H-UKR d’Hoffmann Green. Dans la continuité de son offre Isover Recycling, la filiale de Saint-Gobain intensifie son développement en faveur d’une économie circulaire du bâtiment Neutralité carbone en 2050 Avec une mise en service prévue en 2023, cette installation pilote répondra aux ambitions fortes du groupe Saint-Gobain d’atteindre la neutralité carbone en 2050. « La réalisation de ce prototype industriel révolutionnaire à fusion par brûleurs immergés permettra de recycler la laine de verre en quantité industrielle pour la transformer en calcin. Cette installation réduira notre consommation de matières premières. Ce calcin sera utilisé dans le process de fabrication de nos produits isolants. Et permettra aussi de diminuer notre consommation énergétique, nos émissions de carbone et améliorera le cycle de vie de nos produits. L’utilisation de ce béton à faible impact carbone pour la réalisation du bâtiment contribue à notre démarche de développement durable », conclut Jérôme Saulnier, directeur technique Isover France et Suisse. Retrouvez l’interview de David Guglielmetti, directeur du développement chez Hoffmann Green, sur Batimat 2022.
Il y a 2 ans et 224 jours

Nouvelle paroi en verre rétractable : une fermeture panoramique glissante, pivotante et reposant au sol

La volonté de la société est d’offrir à ses partenaires en BtoB une gamme complète de produits innovants pour répondre à la demande de leur clientèle. Ce système est totalement fabriqué sur mesure : une largeur illimitée et une hauteur pouvant atteindre jusqu’à 3000mm. Le profilé bas de La Paroi en Verre Rétractable est composé d’une bande de téflon permettant aux vantaux de glisser de manière fluide, sans friction. Le profilé haut sert uniquement au maintien et au guidage des panneaux de verre. Un travail de longue haleine effectué pendant plus d’un an par le Bureau d’Etude, de Recherches & Développement de Glass Systems.Pour plus d'informations, la Catalogue est disponible à cette adresse.
Il y a 2 ans et 225 jours

Un premier centre de réemploi de panneaux solaires lancé près de Bordeaux

Sur 4.000 tonnes de panneaux réceptionnés chaque année, l'entreprise de l'économie sociale et solidaire Envie 2E, gérant de ce site qui va démarrer "dans quelques semaines", estime pouvoir en revendre 5%, après des tests de fonctionnement, à des particuliers, des entreprises et des collectivités.À la tonne, ces panneaux de seconde main rapportent environ "cinq fois plus" que la revente des matériaux recyclés, a expliqué Frédéric Seguin, le directeur du centre de traitement.Autre nouveauté, pour l'activité de recyclage, l'entreprise s'est dotée d'une technologie de "délamination" importée du Japon qui permet de découper le panneau photovoltaïque en séparant la couche de verre de ses composants métalliques, à la différence du processus de "broyage" général utilisé jusqu'ici dans cette filière naissante.Les matières premières retirées - 70 % de verre mais aussi argent, silicium, cuivre et aluminium - seront destinées à des fonderies et des entreprises de transformation verrière, a ajouté M. Seguin, estimant à 95% le taux de valorisation des panneaux traités par l'entreprise.Pour Nicolas Defrenne, directeur général de l'éco-organisme Soren, chargé d'organiser la filière de recyclage des déchets de l'énergie solaire en France, l'unité girondine est "avant-gardiste" car sa technologie est la seule en Europe à recycler l'argent, "un matériau critique" et "indispensable à la transition énergétique".Le site de Saint-Loubès est le troisième grand centre de recyclage de panneaux solaires construit en France après celui de Haluin (Nord), toujours opérationnel, et de Rousset (Bouches-du-Rhône), géré par Veolia de son lancement en 2018 à sa fermeture il y a quelques mois.La réglementation européenne oblige tout importateur ou fabriquant de panneaux à énergie solaire établi sur le territoire européen à les collecter et à les traiter lorsqu'ils arrivent en fin de vie.D'après l'éco-organisme Soren, 1,245 million de tonnes de panneaux solaires, d'une durée de vie de 20 à 30 ans, sont actuellement installées en France. À la mi-2022, la puissance totale des installations photovoltaïques atteignait 15,2 GW, dont un quart en Nouvelle-Aquitaine, selon des données provisoires du ministère de la Transition énergétique.
Il y a 2 ans et 225 jours

Sunlight : la pergola toit en verre qui fait tomber les frontières entre l'intérieur et l'extérieur

La nouvelle pergola toit en verre Sunlight s’avance sur le marché comme étant la première structure fixe, certifiée à la charge de neige aussi légère. Avec son design cubique, elle pousse le concept d'osmose avec le paysage à l'extrême. Son aspect tout verre, au charme absolu, permet une vue étendue à 360 degrés sur l'extérieur. Adossée ou autoportante, elle est la solution adaptée pour les terrasses mal exposées ou pour ceux qui souhaitent créer un espace fait de chaleur et de lumière naturelle, un jardin d’hiver, une extension de salle à manger ou un abri de piscine par excellence. Sa principale nouveauté : un toit en panneaux de verre feuilleté blanc stratifié et durci de 10 ou 12mm, transparent ou opaque, soutenu par des traverses (pannes) en aluminium, renforcés au moyen de profilés acier. Tant de caractéristiques qui ont permis de créer une surface tout verre avec le moins d’éléments d’encadrement possibles pour gagner en luminosité et en légèreté. Le pas moyen entre ces pannes est de 80 ou 95cm. Pour maintenir une protection solaire, la pergola toit en verre Sunlight peut également être équipé du store horizontal à toile enroulable Tensionata au-dessus et en-dessous du toit en verre. Dans la version ROOF TENS, la toile est complètement protégée dans un coffre moderne, en harmonie avec la structure.Comme pour nos autres produits, Sunlight peut être équipée de fermetures latérales type Vertika ou Line Glass.Elle dispose également d’un éclairage interne grâce à un système de bandeaux LED intégrés dans les traverses (pannes) du toit en verre comme sur le périmètre supérieur, qui rendent Sunlight fonctionnelle à toute heure.Son installation s’adapte à tous les types d’environnement grâce à 3 systèmes différents de fixation au sol. Son toit plat (incliné à seulement 2% pour un écoulement de l’eau à l’avant de la structure) et sa hauteur standard de 2500mm permettent d’adosser facilement la structure à la maison.Ses différences avec les pergolasSunlight est une pergola au toit en verre fixe, plus cosue. Les profils supérieurs sont, en effet, plus importants et les dimensions d’un module réalisables en 4 poteaux plus restreintes. Cela s’explique par un toit en verre plus lourd et la possibilité d’intégrer, sans dénaturer l’esthétique de base du produit, un store vertical Vertika et/ou vitrage panoramique Line Glass pour fermer complétement la pergola et assurer à son nouvel espace une protection au vent, au soleil latéral ou vis à vis.Structure principalement fixe et certifiée à la charge de neige, elle nécessite une demande d’autorisation. Pourquoi choisir la pergola toit en verre Sunlight ?Sa structure fixe en aluminium présente des performances exceptionnelles pour un usage annuel même en cas d’intempéries, assurant une résistance à la charge et une structure étanche. En effet, le toit étant fixe, des joints en dessous et au dessus du verre sont posés tout le long du périmètre et des systèmes anti-goutte, égouttoir et anti éclaboussures permettent un acheminement régulier de l’eau vers les gouttières, intégrées en façade. L’évacuation de l’eau est ensuite assurée par une colonne tubée de 80mm. L’ajout de joints et de profils spécifiques verrouillent les verres.Ce toit en verre fixe certifie la structure à la charge de neige et améliore le confort thermique par rapport à une pergola classique, limitant le passage de l’air.En cela, Sunlight se présente comme la première structure fixe modulable et évolutive. Sunlight est une pergola toit en verre qui peut être fermée par les systèmes de fermetures latérales habituelles comme le vitrage panoramique coulissant Line Glass ou le store Vertika. La grande variété de tissus (transparent, filtrant et occultant) permet d'obtenir le niveau de protection/intimité souhaité. Une fois fermée, Vertika disparaît complètement à l'intérieur de la structure, soutenant un design linéaire.Ce qui en fait l’intermédiaire idéal entre la pergola et la véranda, répondant à un besoin de luminosité et de confort thermique.Une réponse à une forte demande du marchéEn effet, ouvrant à 360° sur le panorama, sa structure fixe et son toit en verre, constitué de panneaux conçus dans les plus grandes dimensions techniquement possibles, permettent une haute résistance et une perception importante de luminosité. Ce qui en fait l’aménagement adapté pour créer une extension de maison sur une terrasse mal exposée ou encore un abri de piscine économiquement plus fiable. Le toit en verre, laissant passer les rayons du soleil, permet de maintenir efficacement la chaleur de l’air ou de l’eau.La protection solaire et l’intimité sont également des points importants conservés par l’intégration du store horizontal et verticaux en toile micro perforée dans la structure de la pergola au toit en verre.