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Résultats de recherche pour vinci

(3647 résultats)
Il y a 2 ans et 77 jours

Coquillages et mobilier

Plans de travail, meubles et bientôt revêtements de sol… L'écomatériau à base de coquillages mis au point par la start-up Ostrea lui a permis de rejoindre Léonard, l'incubateur du groupe Vinci.
Il y a 2 ans et 79 jours

"Vinci Immobilier a déjà divisé par deux l'artificialisation de ses nouvelles opérations"

MIPIM 2023. Le Salon international de l'immobilier, qui se tient du 14 au 17 mars à Cannes, est l'occasion pour les promoteurs de présenter leurs innovations. Vinci Immobilier, qui s'est lancé dans l'aventure du Zéro artificialisation nette (Zan) en 2022, affirme avoir déjà obtenu des résultats.
Il y a 2 ans et 81 jours

Gribouillage / Scarabocchio – De Léonard de Vinci à Cy Twombly

Réunissant plus de cent-cinquante œuvres originales de la Renaissance à l’époque contemporaine, Gribouillage / Scarabocchio met en lumière l’un des aspects les plus négligés de l’histoire de l’art. Au Palais des Beaux-Arts à Paris. Jusqu’au 30 avril 2023. Réunissant plus de cent-cinquante œuvres originales de la Renaissance à l’époque contemporaine, Gribouillage / Scarabocchio met en […] L’article Gribouillage / Scarabocchio – De Léonard de Vinci à Cy Twombly est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 84 jours

Une coupure ciblée prive le chantier du village des athlètes d'électricité

CONTESTATION. La Fédération des mines et de l'énergie CGT (FNME-CGT) a conduit une première action en Ile-de-France, pour protester contre la réforme des retraites au-delà des manifestations. Après une assemblée générale réunie à Saint-Denis, l'alimentation électrique d'une partie du chantier du village des athlètes et du Stade de France a été coupée. L'organisation syndicale, la Solideo, et le groupe Vinci réagissent auprès de Batiactu.
Il y a 2 ans et 84 jours

Grand témoin : Xavier Huillard, P-dg du groupe Vinci

ENTRETIEN. Xavier Huillard est le président-directeur général du groupe Vinci depuis 2010. Artisan de ses principales mutations, dont le virage environnemental entamé avec conviction, il partage avec Batiactu sa vision du secteur du BTP et de son rôle de manager. Découvrez ses réflexions, son actualité et son portrait en cinq traits.
Il y a 2 ans et 86 jours

Les autoroutes Vinci s'équipent en bornes de recharge

L'exploitant de bornes de recharge pour voitures Electra va équiper sept stations sur des autoroutes Vinci dans le sud de la France, ont indiqué lundi 6 mars les deux partenaires.
Il y a 2 ans et 87 jours

Les autoroutes Vinci s'équipent en bornes de recharge pour véhicules électriques

L'exploitant de bornes de recharge pour voitures Electra va équiper sept stations sur des autoroutes Vinci dans le sud de la...-Entreprises
Il y a 2 ans et 99 jours

A Nantes, un viaduc s'élance au-dessus de l'autoroute

EN IMAGES. Fin janvier 2023, Vinci Autoroutes a procédé à la deuxième phase du lançage d'un nouveau viaduc qui permettra de relier l'A11 au périphérique nantais, au niveau de la porte de Gesvre. Une opération spectaculaire et délicate dans un projet d'aménagement qui promet d'aider à fluidifier le trafic.
Il y a 2 ans et 105 jours

tonga un batiment a hautes valeurs environnementales au coeur du nouveau quartier de nanterre

TONGA fait partie du programme immobilier qui a été construit afin de recevoir le siège social de Vinci ainsi que certaines activités, à l’image Vinci Construction ou de Vinci Energie, antenne spécialement dédiée à la recherche et au développement de solutions techniques innovantes. Dans sa globalité, le projet regroupe 5 bâtiments qui a été principalement imaginé et conçu par le cabinet VIGUIER architecture.
Il y a 2 ans et 105 jours

Leonard présente les finalistes du Hello Tomorrow Global Challenge 2022 dans la catégorie « Construction et infrastructures durables »

Leonard, la plate-forme de prospective et d’innovation du Groupe VINCI, présente les start-up finalistes du Hello Tomorrow Global Challenge 2022 dans la catégorie « Construction et infrastructures durables ». Partenaire de Hello Tomorrow pour la quatrième année consécutive, Leonard s’est entouré des experts de VINCI et de Hello Tomorrow pour sélectionner six start-up parmi des centaines de candidats désireux de répondre aux défis climatiques et sociétaux d’aujourd’hui et de demain :BioZeroc (Grande-Bretagne) : création d’un béton sans ciment grâce aux biotechnologiesCaeli Energie (France) : conception de systèmes de climatisation à faible émission de carbone et à haut rendement énergétique. Caeli Energie a bénéficié de l’accompagnement du programme SEED de Leonard en 2021.Made of Air (Allemagne) : prélèvement du dioxyde de carbone dans l’air et réutilisation en vue de fabriquer des produits qui remplacent les plastiques d’origine fossile ou les matériaux à fortes émissions.Mykor (Grande-Bretagne) : transformation de déchets cellulosiques et de champignons en matériaux de construction durables.Peafowl Plasmonics (Suède) : des cellules solaires transparentes donnant du pouvoir à la prochaine génération de dispositifs IoT pour permettre un déploiement de masse.Strong by Form (Chili) : un composite à base de bois de haute performance et de forme libre destiné à remplacer le béton, l’acier et l’aluminium dans l’environnement bâti.Plus de 4 000 solutions ont été présentées aux différents jurys dans les 11 catégories du Global Challenge, pour un total de 70 start-up finalistes. Traitements médicaux révolutionnaires, économie circulaire des matériaux, réduction drastique des émissions de CO2, intelligence artificielle, etc. : ces technologies innovantes visent un réel impact sur l’industrie, la société et la planète. Les start-up auront l’occasion de présenter leurs solutions devant un jury les 9 et 10 mars prochains à l’occasion du Global Summit au Centquatre-Paris. Dix d’entre elles remporteront des prix en nature (sessions de coaching personnalisées, rencontres avec des investisseurs et clients potentiels) et les trois meilleures remporteront respectivement 100 000, 30 000 et 20 000 euros.« Depuis quatre ans, nous sommes fiers d’accompagner Hello Tomorrow dans la révélation des meilleures entreprises de la Deep Tech en étant partenaire du Global Challenge. Leonard, porté par l’expertise des diverses entités du Groupe VINCI, explore la Deep Tech pour identifier et accompagner des solutions disruptives dans les secteurs de la construction, de l’énergie ou encore de la mobilité. C’est en partie grâce à elles que nous répondrons aux grands défis environnementaux et sociétaux auxquels sont confrontées les villes et les infrastructures », déclare Julien Villalongue, directeur de Leonard.En janvier 2023, Leonard a accueilli 45 nouvelles start-up au sein de ses programmes SEED, CATALYST, intrapreneurs et IA. Ces projets apportent des solutions pionnières répondant aux défis de transition écologique, de sécurité et de productivité dans les domaines de la construction, de la mobilité et de l'énergie. Ils bénéficieront d’un accompagnement de 6 mois de la part de Leonard.
Il y a 2 ans et 105 jours

Plus de 4 milliards d'euros de bénéfice pour le géant français Vinci

Le géant français du BTP Vinci a engrangé en 2022 un bénéfice net de 4,26 milliards d'euros, en hausse de 64%, porté aussi bien par ses concessions d'infrastructures comme les autoroutes, la construction ou les énergies.
Il y a 2 ans et 106 jours

TONGA , un bâtiment à hautes valeurs environnementales au cœur du nouveau quartier de Nanterre

Un imposant projet aux portes de Paris, point de départ du nouveau visage de Nanterre TONGA fait partie du programme immobilier qui a été construit afin de recevoir le siège social de Vinci ainsi que certaines activités, à l’image Vinci Construction ou de Vinci Energie, antenne spécialement dédiée à la recherche et au développement de […]
Il y a 2 ans et 107 jours

Sur le village des athlètes, Universeine unit l'ancien et le moderne

EN IMAGES. Sur le futur village des athlètes des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, à Saint-Denis, une vaste opération de réaménagement et recyclage urbain est en cours. Une partie des travaux est menée par le groupe Vinci qui, sur cette ancienne friche industrielle, oeuvre tout à la fois à conserver le patrimoine existant, à le réhabiliter, à construire de nouveaux bâtiments, et à créer un espace plus agréable à vivre et renaturer, tout en intégrant la délicate équation visant à convertir les aménagements des Jeux pour la phase héritage.
Il y a 2 ans et 108 jours

L'international au plus haut chez Vinci

INFOGRAPHIE. Le groupe de BTP et de concessions français présidé par Xavier Huillard se porte toujours bien en 2022. Toutes ses branches - à une exception près - et ses géographies ont enregistré des niveaux de croissance soutenus, et il récolte les fruits de plusieurs axes stratégiques mis en avant depuis plusieurs années. Des résultats à découvrir dans notre tableau de bord.
Il y a 2 ans et 108 jours

Plus de 4 milliards d'euros de bénéfice pour Vinci, géant français du BTP et des autoroutes

Plus de la moitié des profits vient des autoroutes, soit 2,2 milliards d'euros (+15%), au côté des pôles Construction et Energies, dont tous affichent des progressions marquées, à part Vinci Immobilier en léger repli. Au total, le chiffre d'affaires du groupe progresse de 25%, à 61,675 milliards."Dans un contexte géopolitique et macroéconomique particulièrement perturbé, Vinci a réalisé en 2022 une performance d'ensemble de grande qualité", a commenté son PDG, Xavier Huillard, cité dans le communiqué. "La forte hausse du chiffre d'affaires et des résultats s'accompagne d'une génération de cash-flow libre record", ajoute-t-il, relevant que toutes ses régions se portent bien (et pour la première fois, Vinci réalise plus de la moitié -- 55% -- de son activité hors de France).Pour Antoine Fraysse-Soulier, analyste de marchés chez eToro, "Vinci profite des effets post-pandémie", avec "comme un bon nombre de sociétés du CAC40, des résultats meilleurs qu'attendus".Ainsi, le bénéfice net de ses concessions dans les infrastructures a quasiment doublé à 2,7 milliards d'euros (soit +96,3%, par rapport à une année 2021 post-Covid négative pour Vinci Airports).L'activité aéroports profite en effet d'une vive reprise du trafic, sortant du rouge l'an dernier pour engranger plus de 500 millions d'euros: ses sites ont accueilli deux fois plus de passagers qu'en 2021, retrouvant les trois quarts de leur niveau de 2019.Côté autoroutes, le trafic remonte "légèrement", en Amérique du nord, Portugal, Grande-Bretagne... Celui des poids lourds en particulier continue à progresser du fait du e-commerce, selon le PDG, qui constate un doublement du nombre d'entrepôts logistiques le long des corridors autoroutiers.Ces résultats sont publiés alors qu'est relancé en France le débat sur les concessions d'autoroutes, attribuées depuis 2006 à des entreprises privées dont Vinci. Le ministère de l'Economie, interpellé sur la hausse des péages et sur la rentabilité des concessionnaires, a indiqué mercredi réfléchir à la possibilité de raccourcir la durée des concessions.Accent sur l'énergieCe sujet "m'inspire un sentiment de redite", a répondu jeudi devant la presse le président de Vinci Autoroutes, Pierre Coppey, blâmant plus généralement une "incompréhension" du modèle économique des concessionnaires. Autre activité en croissance, Vinci Energies, à 693 millions d'euros de bénéfice net (+25%), et pour laquelle 31 acquisitions ont été réalisées l'an dernier.Cette année a notamment marqué l'intégration de Cobra IS, rachété à l'espagnol ACS et qui va par exemple lui permettre de faire de l'éolien offshore au large de l'Allemagne, ou l'installation de lignes à haute tension au Brésil.Pour Xavier Huillard, ce pôle énergie, qui a fait "une très très belle année", "à 22 milliards d'euros de chiffre d'affaires, va continuer de performer car il est au coeur des puissantes transformations liées à la transition énergétique et à la révolution numérique".Du côté de Vinci Construction, principal pôle du groupe (la moitié du chiffre d'affaires), le bénéfice net est à 680 millions (+19%), avec "un renouvellement satisfaisant des carnets de commandes"."Ici on ne vise pas les volumes mais l'excellence opérationnelle, la taille de nos carnets de commandes nous confère la sérénité nécessaires pour nous permettre d'être sélectifs", explique le PDG.Parmi ses chantiers, le nouveau métro de Toronto, ou encore une part du village des athlètes des JO de Paris 2024, qu'"on sera dans les temps pour livrer", a-t-il assuré. En France il constate que la commande publique se porte plutôt bien, et entrevoit avec satisfaction un éventuel nouveau programme de contruction de réacteurs nucléaires.Époque plus compliquée en revanche pour Vinci Immobilier, avec une baisse des réservations de logements et "un attentisme" dans la construction. In fine, pour 2023, le groupe aux 270.000 collaborateurs prévoit une "nouvelle progression du chiffre d'affaires" et un résultat net "légèrement supérieur à son niveau de 2022".
Il y a 2 ans et 108 jours

L’OPPBTP reconduit ses présidents

De gauche à droite, Christian Baix, vice-président, et Jean-Marie Kerherno, président de l’OPPBTP. [©OPPBTP] Jean-Marie Kerherno est membre titulaire représentant la Fédération nationale des sociétés coopératives et participatives du BTP (Scop). Et Christian Baix, membre titulaire représentant la Confédération générale du travail (CGT). Tous deux viennent d’être réélus, respectivement président et vice-président de l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP). Ce dernier est le conseil de la branche du BTP pour la sécurité et l’amélioration des conditions de travail. Lire aussi : L’OPPBTP “check” les chantiers Le parcours de Jean-Marie Kerherno En 1979, Jean-Marie Kerhernoa débuté sa carrière professionnelle à la STPEE, Scop d’électricité, en tant que conducteur de travaux, puis en devient Pdg pendant 18 ans. Il est membre du conseil du comité régional Ile-de-France de l’OPPBTP de 1987 à 1999 (président en 1995 et 1996). Et membre, du conseil du comité national depuis 1999 (président en 2006 et 2007). Il rejoint ensuite la Fédération des Scop du BTP comme chargé de mission mutualisation. Le parcours de Christian Baix Christian Baix a débuté sa carrière professionnelle dans le BTP en Belgique, en 1978. En 2001, il a rejoint l’entreprise Imhoff, filiale de Vinci Energies. Depuis 2016, il travaille pour la société Millot, autre entité de Vinci Energies. Il est aussi membre de la commission financière de contrôle de la Fédération nationale des salariés de la construction, bois et ameublement CGT. Ceci, depuis 2011 et membre du conseil du comité national de l’OPPBTP depuis 2013 (vice-président en 2022). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 112 jours

Résultats : Vinci au presque parfait en 2022

Malgré une conjoncture mondiale chahutée, le groupe annonce une croissance de 25 % de son chiffre d’affaires sur l’année écoulée. Une...-Entreprises
Il y a 2 ans et 112 jours

3e édition du Baromètre de l’autosolisme : en dépit de la crise énergétique, l’usage individuel de la voiture continue de progresser

Malgré un contexte de forte inflation et de tensions sur le prix des carburants, le taux d’autosolisme moyen constaté pendant cette période a atteint 84,7%, soit une hausse de 2,5% par rapport à l’automne précédent (82,6%). L’autosolisme est, et reste donc, un phénomène bien ancré au quotidien dans les pratiques de mobilité des Français.Tours Métropole Val-de-Loire, la Communauté d’Agglomération Pays Basque, Montpellier Méditerranée Métropole, Nouvelle Aquitaine Mobilités et la Région Nouvelle Aquitaine ainsi que la direction interdépartementale des routes Atlantique se sont associées à cette étude unique en son genre, réalisée grâce aux technologies d’intelligence artificielle de Cyclope.ai, sur 11 axes autoroutiers[2], entre mi-septembre et mi-novembre 2022 – hors période de vacances scolaires. Les analyses réalisées dans le cadre de cette nouvelle édition, sur plus de 700.000 véhicules, mettent également en évidence un taux d’occupation moyen de 1,24 passager par véhicule, bien inférieur à l’optimum de 1,75 visé par la Stratégie Nationale Bas-Carbone d’ici 2035[3]. Les résultats de ce 3e baromètre de l’autosolisme ne peuvent qu’alerter sur l’urgence de renforcer l’offre de services et d’infrastructures, ainsi que de services dédiés au covoiturage, notamment pour les trajets domicile-travail, pour lesquels l’impact de l’autosolisme est le plus délétère, tant en termes d’émissions de CO2 que de temps perdu dans les congestions.L’autosolisme : une pratique bien installée en France, et qui continue de progresser en 2022Alors que le taux d’autosolisme mesuré par VINCI Autoroutes et Cyclope.ai à l’automne 2021 était de 82,6%, il atteint un an plus tard 84,7% en moyenne, sur le même périmètre et dans les mêmes conditions d’observation, et ce malgré la forte augmentation des prix de l’énergie. Ainsi, sur les 14 sites concernés par les mesures effectuées dans le cadre du baromètre de l’autosolisme, seuls 15,3% des véhicules analysés transportaient au moins deux personnes (contre 17,4% à l’automne 2021 et 14,8% au printemps 2022). Comme lors des deux précédentes éditions, le pic d’autosolisme est constaté entre 7h et 8h du matin (à 89%) pour diminuer ensuite, et atteindre 78% en moyenne à 10h.En parallèle, le taux d’occupation moyen des véhicules observé dans le cadre de cette nouvelle édition est de 1,24 passager/véhicule, oscillant entre 1,02 à l’est de Nantes et 1,35 à Toulon – soit un taux moyen très en-deçà de l’optimum de 1,75 passager / véhicule fixé par la Stratégie Nationale Bas-Carbone d’ici à 2035.Pour Pierre Coppey, président de VINCI Autoroutes : « Cette nouvelle édition du baromètre de l’autosolisme confirme que les Français, malgré le contexte économique et l’augmentation des carburants, continuent à une écrasante majorité de circuler seuls dans leur voiture en semaine pour leurs trajets domicile-travail, alors même que le covoiturage offre une solution simple et efficace pour répondre non seulement aux enjeux économiques, mais également de congestion des agglomérations et de réduction des émissions de CO2 . Nous avons la capacité d’accompagner les territoires dans leur volonté de stimuler le covoiturage et, plus généralement, les mobilités partagées sur autoroute, en multipliant les infrastructures telles que les parkings de covoiturage aux abords du réseau autoroutier, les pôles d’échanges multimodaux ou encore les voies réservées. Autant de solutions qui, partout où elles sont déployées, sont plébiscitées par leurs usagers et contribuent efficacement à décarboner les usages de la route - qui accueille, il faut le rappeler, 87% des déplacements du pays. »Des disparités régionales qui s’accentuent au fil des éditions du baromètreA l’échelle régionale, la quasi-totalité des sites observés connaît une hausse de l’autosolisme par rapport à la 1ère édition du baromètre, réalisée à l’automne 2021. Ce sont l’Ile de France (+12%) et l’agglomération de Nantes, tant sur l’A11 (+6,1%) que sur l’A83 (+6,6%), qui affichent les progressions les plus fortes. A l’opposé, le phénomène connait une baisse notable à Toulon, qui passe d’un taux de 81,2% de véhicules ne transportant qu’un seul passager à 77,4% (soit -4,7%). La métropole de Bordeaux (A10) ne connaît quant à elle qu’une très légère hausse entre les deux périodes (+0,4%).Pour Amelia Rung, directrice du développement de VINCI Autoroutes : « Le baromètre que nous réalisons depuis plus d’un an représente un outil objectif pour suivre l’évolution de l’autosolisme en France mais également pour évaluer l’impact des solutions testées par certaines agglomérations pour encourager le covoiturage au quotidien. Nous avons pu ainsi, au cours des 3 vagues successives de notre baromètre, observer plus de 3 millions de véhicules et avoir une vision fiable de l’autosolisme. Forts de ces résultats, nous allons notamment pouvoir déterminer plus finement les sites stratégiques sur notre réseau où installer notamment de futurs parkings de covoiturage. Par ailleurs, en collaboration avec la direction interdépartementale des routes Méditerranée, nous allons observer 4 sites qui serviront de référence pour des projets de voies réservées, en vue de développer des mobilités partagées dans la région de Marseille. »Retrouvez la synthèse du 3e baromètre de l’autosolisme sur le site www.vinci-autoroutes.com. La prochaine édition sera publiée au printemps 2023 ; elle permettra notamment d’évaluer les premiers impacts du Plan national covoiturage du quotidien sur les 11 agglomérations suivies, ainsi que les initiatives de voies réservées déployées au niveau local.
Il y a 2 ans et 112 jours

Pour la première fois en 2022, l'international chez Vinci dépasse l'activité France

RÉSULTATS. Le groupe Vinci a bouclé une année 2022 très satisfaisante pour ses dirigeants, marquée par une forte croissance à deux chiffres de son activité et une progression des résultats, dans tous les métiers – ou presque – et dans toutes ses géographies.
Il y a 2 ans et 114 jours

Vinci Construction crée Sogea Environnement

Vinci Construction regroupe aujourd’hui ses activités du secteur de l’hydraulique au sein de Sogea Environnement. [©Actophoto/Sogea Environnement – Syndicat Intercommunal des Eaux des Monts du Lyonnais] Vinci Construction regroupe aujourd’hui ses activités du secteur de l’hydraulique au sein de Sogea Environnement. Ceci, pour répondre aux enjeux de la gestion et de la préservation de la ressource en eau. Cette nouvelle entité interviendra pour tous les métiers des réseaux hydrauliques en conception, construction, réhabilitation, maintenance et exploitation. Fort d’un savoir-faire reconnu, ses équipes contribueront à structurer le territoire avec la réalisation et l’entretien d’équipements au service du mieux-vivre. Lire aussi : Vinci Construction France : Le bas carbone comme feuille de route Un fort ancrage territorial Doté d’un fort ancrage territorial grâce à ses 70 agences réparties dans toutes les régions, Sogea Environnement couvre un champ d’expertises dans tous les métiers du cycle de l’eau. Il interviendra aussi sur tous les métiers de réseaux enterrés, tels que les réseaux secs (fibre optique, gaz…) ou les réseaux de chaleur et de froid. Les coopérations transversales des équipes réunies au sein d’une même organisation permettront une consolidation des savoir-faire, la mutualisation du matériel et des formations. Mais aussi, le partage des bonnes pratiques, ainsi que la mise en commun et le développement des idées innovantes au service des projets, des clients et de la préservation de la ressource en eau. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 115 jours

La vente d'un site du CNRS au promoteur Vinci contestée

La division technique de l'Institut national des sciences de l'Univers du CNRS, située à Meudon, doit être vendue par l'organisme public de recherche au promoteur Vinci Immobilier, sur "ordre" du gouvernement, pour un prix "au rabais" de 38,7 millions d'euros au lieu des 45 millions estimés, selon un communiqué des syndicats SNTRS-CGT et SNCS-FSU.Les lieux, où travaillent plusieurs dizaines de personnes sur des programmes d'astronomie et de sciences de la Terre, doivent être libérés "pour le 15 mars au plus tard", poursuivent ces syndicats qui y voient "une expulsion brutale".En six semaines, le site "doit déménager avec, parmi le matériel à évacuer, des machines-outils de plusieurs tonnes" nécessaires notamment à l'équipement de télescopes. Les personnels de recherche seront "isolés de tout collectif de travail et même sans travail pour certains jusqu'à la réinstallation de leur service" ailleurs en région parisienne "au plus tôt fin 2023", ajoutent le SNTRS-CGT et le SNCS-FSU."Sur le plan scientifique, les travaux à réaliser dans le cadre de programmes spatiaux ou d'observation au sol se verront retardés", selon ces syndicats qui fustigent un "profond mépris du gouvernement envers les personnels et les intérêts du CNRS et, à travers eux, toute la recherche publique".Interrogée par l'AFP, la direction du CNRS dit "travailler pour préserver au maximum les conditions de travail de la quarantaine de personnes concernées ainsi que pour limiter au maximum l'impact sur les activités scientifiques et administratives concernées".Réuni en assemblée générale ce jeudi, le personnel a décidé de manifester devant le siège du CNRS à Paris le 10 février, jour où un conseil d'administration sur la vente est prévu, a précisé à l'AFP Josiane Tack du SNTRS-CGT.
Il y a 2 ans et 117 jours

Charente-Maritime : Un port agrandi par Vinci Construction

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Le 7e port de pêche français bénéficie désormais d’un 3e bassin portuaire accessible 24 h/24. [©Département de la Charente-Maritime] Situé sur l’île d’Oléron, le port de pêche de La Cotinière a été réhabilité et agrandi. Rénovée en 1987, l’infrastructure portuaire s’est révélée trop petite pour accompagner la croissance de la production locale. Le programme de réaménagement a été porté par le département de la Charente-Maritime. Il a nécessité le coulage de plus de 11 000 m3 de béton. Débutés en février 2019, les travaux se sont achevés en mars 2022. Des opérations menées par plusieurs filiales de Vinci Construction (GTM Bâtiment Aquitaine, Vinci Construction Terrassement et Vinci Construction Maritime et Fluvial). Le défi principal était de créer un nouveau bassin portuaire de 4,3 ha. Un chantier soumis au rythme des marées a commencé dans un espace protégé. « Face à l’interdiction de recourir au minage, nous avons procédé par fracturation et extraction mécanique », explique Antoine Blandin, chef de service travaux chez Vinci Construction Terrassement. Pendant cette phase, 250 000 m3 de matériaux ont ainsi été excavés sous 1 à 5 m d’eau. Lire aussi : Nouvelle-Aquitaine : Une région dynamique La pièce maîtresse du projet concerne le nouveau quai de déchargement optimisé pour les bateaux de pêche. Long de 250 m et haut de 11 m, il est constitué de près de 500 pièces en béton préfabriqué, conçues par des partenaires locaux puis, assemblées sur site. « Les plongeurs sont intervenus pour les mettre en place, précise Nicolas Marsaud, directeur travaux chez Vinci Construction Maritime et Fluvial. C’est une responsabilité énorme, car les éléments en béton doivent être empilés avec des joints de 10 mm d’épaisseur. Il est essentiel de respecter une tolérance de plus ou moins 3 mm sur les 11 m de hauteur du quai… » En plus de l’infrastructure, le projet de modernisation du port de La Cotinière comprend la réalisation d’une nouvelle criée, un bâtiment de 11 000 m2. Sur deux étages, il permet de transformer, conditionner, stocker, vendre et exporter le poisson. Un atout qui permet ainsi de faire de La Cotinière, un port industriel et touristique majeur. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 118 jours

RER E : Aérolithys fait mousser la gare de Nanterre-la-Folie

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 104 L’Archipel, le nouveau siège de Vinci, surplombe en partie la gare RER E de Nanterre-la-Folie. [©ACPresse] L’Archipel, le nouveau siège de Vinci édifié à Nanterre, s’intègre pleinement dans les ambitions du groupe de BTP. L’une d’entre elles est la valorisation de sites urbains délaissés. D’où le choix d’implanter le bâtiment en bordure d’une ligne ferroviaire. Celui-ci surplombe même en partie les voies de la ligne E du RER, aujourd’hui en construction. En fait, l’Archipel abrite, au niveau de son rez-de-chaussée, l’entrée vers la future station Nanterre-la-Folie. A l’heure actuelle, les rails sont posés et les quais, en cours de réalisation. C’est dans ce contexte que vient d’intervenir Béton Mousse Technologie (BMT) pour permettre la mise à niveau des quais de la station. « Une des solutions envisagées au départ était Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 118 jours

Vinci Construction France : Le tunnel qui mène au bas carbone

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 104 Le tunnel du lot de la ligne 18 doit se développer sur une longueur de 11,8 km. [©ACPresse] A l’horizon 2030, il faudra à peine 30 mn pour rejoindre l’aéroport d’Orly depuis Versailles. Telle est la promesse de la ligne 18 du métro francilien réalisé dans le cadre du programme “Grand Paris Express”. Cette liaison de métro automatique de 35 km à terme, dont 14 km en aérien sur un viaduc1, est pour le moment en construction, entre Orly et le Plateau de Saclay (CEA Saint-Aubin). Soit un premier tronçon dont la mise en service doit intervenir de manière progressive entre 2026 et 2027… La réalisation de la section Saclay – Versailles (6,7 km de tunnel), elle, démarre tout juste, pour une ouverture au trafic prévue en 2030. In fine, pas moins de 110 000 voyageurs devraient emprunter chaque jour cet axe nouveau, sans se douter à quel point il intègre des innovations majeures, en termes de matériaux de construction ! « En lançant le projet de construction de la ligne 18, la Société du Grand Paris, maître d’ouvrage de l’opération, a estimé à 352 000 t l’empreinte Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 120 jours

Les tarifs des péages autoroutiers augmentent plus fortement que les années passées

Pour les voitures (véhicule de classe 1), les tarifs augmentent en particulier de 4,526% sur le réseau Cofiroute (Atlantique), 4,620% pour Sanef (Nord et Est), 4,683% pour Escota (Côte d'Azur), 4,743% pour les Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR), 4,758% pour AREA (Alpes), 4,823% pour les Autoroutes du Sud de la France (ASF) et 4,806% pour SAPN (Normandie), sauf sur l'A14 dont le péage bondit de 9,89%.L'augmentation moyenne est "sensiblement inférieure" aux 6,33% d'inflation mesurée par l'Insee à fin octobre, avait souligné le ministère en décembre.Plusieurs sociétés d'autoroutes ont décidé de mesures commerciales pour limiter la hausse, par exemple pour les trajets courts ou les véhicules électriques.Les péages avaient augmenté en moyenne de 2% en 2022, 0,4% en 2021, 0,8% en 2020 et 1,9% en 2019.Les prix des péages sont revalorisés tous les ans, selon un calcul qui prend en compte au minimum 70% de l'inflation (hors tabac) sur douze mois jusqu'en octobre, et d'éventuelles augmentations en fonction des travaux prévus par les différents concessionnaires dans leurs contrats. S'ajoute cette année, pour la dernière fois, le rattrapage du gel des péages décidé en 2015 par Ségolène Royal, alors ministre."Aller chercher l'argent"Deux décrets publiés mardi approuvent des avenants aux contrats liant l'Etat aux sociétés APRR, AREA, Sanef et SAPN --critiqués l'an dernier par l'Autorité de régulation des transports (ART)--, qui prévoient de nouveaux travaux. Au passage, le domaine d'APRR s'agrandit avec la reprise de 16 km de l'autoroute A6 jusqu'à présent entretenus par l'Etat en Ile-de-France.La plupart des sociétés d'autoroutes sont contrôlées par trois groupes, les français Vinci et Eiffage ainsi que l'espagnol Abertis.Dans ce contexte, Le Canard enchaîné a récemment retrouvé un rapport de l'Inspection générale des finances (IGF) de 2021, qui pointerait les profits réalisés par les sociétés concessionnaires et proposerait de réduire les tarifs des péages de 60% sur près des deux tiers du réseau.L'hebdomadaire satirique a accusé le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, d'avoir "étouffé" ce rapport.Le gouvernement a deux contentieux en cours avec les sociétés autoroutières, qui contestent une décision dans la loi de finances 2020 d'indexer la taxe sur l'aménagement du territoire (TAT) sur l'inflation, pour financer le canal Seine-Nord-Europe, et qui ne veulent plus payer une "contribution volontaire exceptionnelle", a expliqué mardi le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu.Le rapport en question "sert à préparer et accompagner les arguments du gouvernement" dans ces deux affaires, "ce qui explique qu'il n'ait pas été publié", a-t-il ajouté à l'Assemblée nationale.Il s'agit pour M. Béchu d'"obtenir davantage de fiscalité de la part des autoroutes" en "(allant) chercher l'argent dans le cadre de ces profits qui sont importants", et de mieux négocier les concessions à l'expiration des contrats actuels (entre 2031 et 2036 pour les grands groupes).La rentabilité beaucoup plus élevée que prévu des sociétés d'autoroutes, pointée dans son article par Le Canard enchaîné, ne ferait que "trois lignes" dans le rapport, a précisé Bercy à l'AFP.
Il y a 2 ans et 122 jours

Léonard, le laboratoire d’innovation de Vinci agit comme recruteur de talents

Le Groupe Vinci veut réduire fortement son empreinte carbone dès 2030. Pour y parvenir et générer plus rapidement les innovations nécessaires, Vinci a créé l’incubateur Léonard en 2017
Il y a 2 ans et 125 jours

Vinci et Wilmotte & associés réaliseront l'Hôtel des Polices de Nice

CONTRAT. L'opération vise à réunir en un même lieu les services de police nationale et municipale, au sein d'un ancien hôpital reconverti à cet effet.
Il y a 2 ans et 127 jours

"La dimension environnementale est au coeur des projets des start-ups" (Léonard)

INTERVIEW. Les jeunes pousses accompagnées en 2023 par la plateforme Léonard du groupe Vinci agissent en faveur de la transition écologique. Guillaume Bazouin, responsable des programmes start-ups et intrapreneurs, dresse le portrait de cette promotion.
Il y a 2 ans et 127 jours

Hydrogène : Vinci accélère en s'engageant dans un nouveau partenariat

MOBILITÉ. La major du BTP Vinci, via sa branche Concessions, investit dans une plateforme spécialisée dans la mobilité hydrogène afin de développer un réseau de stations de production et de distribution d'hydrogène, en France comme à l'international.
Il y a 2 ans et 128 jours

Passoires thermiques : Est-ce atteignable ?

Le gouvernement fait la chasse aux passoires thermiques. [DR] Xerfi Canal est l’un des leaders en France des études économiques sectorielles. Vincent Desruelles a effectué, pour le compte de l’entreprise, une étude poussée sur la rénovation de l’habitat, et notamment des passoires thermiques. Si l’ensemble de l’étude est disponible sur le site de la société, son communiqué en retrace les grandes lignes et nous en apprend un peu plus sur les perspectives du secteur. Portée par les subventions MaPrimeRénov’ et les aides directes comme les CEE ou les dispositifs complémentaires des collectivités locales, la rénovation énergétique tirera le marché de l’entretien-rénovation de bâtiments. Estimé à 114 Md€ (résidentiel et non résidentiel, avec les petits travaux), ce dernier bondira en moyenne de plus de 4 %/an de 2024 à 2025, après un ralentissement en 2023 lié au recul des ventes dans l’ancien et aux pressions sur le pouvoir d’achat, d’après les experts de Xerfi Precepta. Une forte croissance du secteur de l’entretien-rénovation Les dépenses en entretien-rénovation pour le seul habitat devraient augmenter de 4,3 %/an en moyenne d’ici 2025 pour s’établir à 100 Md€. Cette hausse est 2,5 fois supérieure à celle de la décennie 2010. Le marché profite donc bien d’un coup de pouce lié à la transition énergétique. Déjà, quelque 50 000 biens en étiquette G et dont la consommation dépasse 450 kWh/m²/an doivent sortis du marché locatif. Au total, près de 150 Md€ seront nécessaires d’ici 2034 pour supprimer les passoires thermiques du parc locatif, dont 35 à 40 Md€ avant la première grande échéance de 2025 (interdiction à la location de tous les biens étiquetés G). Les moteurs pour la rénovation des bâtiments tertiaires, industriels et commerciaux (36 Md€ en 2022) resteront, eux aussi, puissants à moyen terme. Face aux difficultés à construire des projets neufs, les opérations de reconversion-réhabilitation auront en effet la cote. Celles-ci sont d’ailleurs encouragées par les collectivités et peuvent se traduire par des associations entre promoteurs et investisseurs. Un objectif inatteignable ? Toutefois, les objectifs ambitieux d’éradication des passoires thermiques pourraient bien ne pas être atteints. De nombreux propriétaires bailleurs pourraient s’abstenir d’engager une profonde rénovation faute de rentabilité suffisante (coût des travaux par rapport à la valeur du bien). De la même façon, les opérations en copropriété seront difficiles à mener (règles de décision et de priorisation des travaux curatifs ou d’urgence). En clair, un programme associant aides directes (nationales et locales), propositions de financement du reste à charge et innovation en matière d’ingénierie patrimoniale et financière semble le seul moyen d’accélérer les opérations de rénovation de l’habitat en France. Dans le logement, les ménages sont les principaux donneurs d’ordre avec 90 % des dépenses (contre 10 % pour les bailleurs sociaux). Ils mobilisent surtout des fonds propres pour financer les travaux et ont recours aux prêts, aidés ou non, à hauteur d’un tiers des dépenses engagées. Et alors que le cadre réglementaire s’oriente vers davantage d’obligations de rénovation, les entreprises du bâtiment vont devoir pallier le manque de main-d’œuvre pour atteindre l’objectif de massification des opérations ou au moins répondre aux besoins croissants des prochaines années. Aides et accompagnements sont nécessaires Dans le même temps, il serait judicieux d’adapter les dispositifs d’aide aux besoins. Le chemin s’apparente de fait à un véritable parcours du combattant administratif et les solutions disponibles pour le reste à charge restent insuffisantes. A tel point que les dysfonctionnements recensés sur le dispositif de MaPrimeRénov’ ont conduit de nombreux ménages à renoncer aux aides. Une tendance qui a d’ailleurs fait émerger un marché de l’accompagnement. Le recours à des options alternatives de type tiers financement pourrait aussi être une piste à creuser. Parmi les différents acteurs du marché de la rénovation, plusieurs lignes directrices se dégagent, en termes de stratégies de croissance. L’accompagnement des ménages dans leurs démarches techniques et administratives est l’une d’entre elles. Les plates-formes d’intermédiation tentent ainsi de se faire une place entre les artisans et les porteurs de projet de rénovation. Les délégataires de CEE cherchent aussi à accompagner les particuliers et les entreprises. Les grands groupes de construction veulent rationaliser Pour faciliter les parcours clients désireux d’accéder aux aides, les collaborations entre acteurs et distributeurs voient également le jour. Les négoces essaient pour leur part d’apporter des solutions aux artisans en appui de leur prospection commerciale, permettant à ces derniers d’offrir une gamme complète (des travaux à leur financement). Les fabricants de matériaux et autres acteurs de la construction investissent pour se renforcer sur le marché de la rénovation. Cela passe notamment par des capacités de production étoffées, en particulier dans les produits isolants ou sur des offres destinées à la rénovation. De leur côté, les groupes de construction proposent des solutions pour gagner en efficacité dans les travaux, à travers l’industrialisation. Vinci Construction ou Bouygues Construction ont ainsi conçu des offres pour réaliser des opérations d’envergure dans des délais très courts, en ayant recours à la préfabrication de panneaux isolants. Basées sur des référentiels faciles à dupliquer, ces démarches ouvrent la voie à un financement par contrats de performance énergétique. Et constituent alors une option sérieuse pour répondre aux objectifs de massification des rénovations. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 133 jours

Chez Vinci, performance économique, dimensions environnementale et sociale vont de pair

STRATÉGIE. C'est sur le chantier Universeine, au coeur du futur village des athlètes pour les Jeux olympiques de Paris 2024, que Xavier Huillard a exprimé ses voeux le 19 janvier 2023. L'occasion aussi, comme toujours, de faire un point sur l'année écoulée et sur celle qui s'annonce, toujours avec "un optimisme presque pathologique".
Il y a 2 ans et 133 jours

Vinci en 2022 : les enseignements avant l’heure du bilan

En amont de la publication des résultats de Vinci en février prochain, son PDG, Xavier Huillard, s‘est livré à un premier exercice...-Entreprises
Il y a 2 ans et 133 jours

Maud Tarnot, nouvelle directrice du développement durable d’Holcim France

Maud Tarnot est la nouvelle directrice du développement durable nouvellement créé d’Holcim France. [©Holcim] Holcim France vient de nommer Maud Tarnot au poste de directrice du développement durable nouvellement créé. Et ce, depuis le 1er décembre 2022. Maud Tarnot est directement rattachée à François Petry, Pdg d’Holcim France. Et travaille en étroite relation avec Magali Anderson, directrice du développement durable et de l’innovation Groupe. En s’appuyant sur le plan stratégique 2025 “Accelerating Green Growth1”, elle aura pour principales missions l’élaboration et le pilotage de la stratégie d’impact carbone du groupe en France. Mais aussi le déploiement du plan d’actions au plus près des territoires. Et enfin, le suivi de la performance ESG2, en engageant l’ensemble des collaborateurs. Le parcours de Maud Tarnot L’action de Maud Tarnot s’articulera autour de quatre grandes priorités. La première prend en compte la réduction des émissions de CO2 et l’adaptation au dérèglement climatique. La seconde comprend la protection de l’environnement, notamment de la biodiversité. La troisième, le développement de l’économie circulaire. Et la dernière, le renforcement d’un dialogue continu avec les parties prenantes et la concertation à l’échelle territoriale. Lire aussi : Holcim Go Circular prêt pour l’Ocean Race  Maud Tarnot  est titulaire d’un double master en affaires européennes de la London South Bank University et de l’Ecole de Management Léonard de Vinci. Elle est aussi diplômée de CentraleSupelec, où elle a obtenu un certificat de direction de l’entreprise durable. Elle est aussi titulaire d’une maîtrise de philosophie. Elle a débuté sa carrière au secrétariat général des affaires européennes (SGAE), au sein des services du Premier ministre. Elle a exercé les fonctions de responsable des affaires institutionnelles à l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de constructions (Unicem). Et a été secrétaire générale de l’Union nationale des exploitants du déchet (Uned) entre 2010 et 2016. Enfin, elle a rejoint Lafarge France en 2016 en qualité de responsable de la RSE et des affaires publiques. 1Accélérer la croissance verte.2Les critères ESG sont tout ce qui concerne les enjeux sociaux et environnementaux (dialogue social, emploi des personnes handicapées, formation des salariés, rémunération…). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 133 jours

Un contrat de 4 milliards d'euros dans l'éolien offshore pour le groupe Vinci

A travers sa filiale Cobra IS, Vinci a remporté un contrat dans l'éolien offshore pour concevoir, construire et installer 2 plateformes offshore de conversion d'énergie éolienne en mer du Nord, au large de l'Allemagne.
Il y a 2 ans et 135 jours

L'Etat planche sur l'avenir du Stade de France au-delà de 2025

Les services de Bercy sont en effet en train de rédiger le cahier des charges d'un appel d'offres d'une nouvelle concession pour le premier trimestre 2023 avec une sélection en 2024, ont rapporté plusieurs sources proches du dossier à l'AFP.Signé à la va-vite entre les deux tours de l'élection présidentielle de 1995, le contrat de concession accordé à un consortium Vinci/Bouygues, constructeurs du stade, prend fin en juillet 2025. D'ici là, la plus grande enceinte de France aura déroulé sa pelouse à la Coupe du monde de rugby, offert une nouvelle piste aux athlètes des JO, et accueilli moult concerts comme bientôt Metallica.Les récents propos du président du PSG Nasser Al-Khelaïfi, en bisbilles avec la ville de Paris sur le Parc des Princes et se montrant intéressé par le SDF ont rappelé que l'avenir de l'enceinte était en suspens.Même si l'idée que le PSG joue à Saint-Denis peut sembler improbable. En réalité, l'Etat se creuse les méninges depuis déjà plusieurs années et empile les rapports pour savoir comment exploiter au mieux cette enceinte de 80.000 personnes qui va aussi avoir besoin d'un coup de neuf, 25 ans après y avoir sacré championne du monde de foot l'équipe de France de Zidane et Deschamps.Coûter moinsEn arrière plan : le modèle choisi doit coûter moins cher à l'Etat.Entre les contentieux, l'indemnité pour absence de club résident versée pendant des années, les compensations diverses comme récemment pour les travaux du RER B, le Stade a coûté cher.Quelque 778 millions de dépenses publiques pour le stade et les infrastructures associées, avait calculé la Cour des comptes en 2018, sollicitée par le Premier ministre de l'époque, Edouard Philippe. Celui-ci n'avait alors pas exclu l'hypothèse d'une vente et la Cour préconisait à l'époque que l'avenir du Stade "soit arrêté au plus tard au cours de l'année 2019".Dans un rapport dédié aux JO publié la semaine dernière, la Cour des comptes s'est ainsi ému que l'affaire traîne. Et, devant l'hypothèse d'un appel d'offres au printemps 2023, elle juge que "ce calendrier est le plus défavorable pour l'État qui, comme en 1995, va se retrouver sous la pression tant des candidats que des fédérations sportives"."Je ne sais pas s'il proposera un modèle de concession, un modèle de régie, un modèle de vente", expliquait il y a quelques mois la directrice générale du consortium Alexandra Boutelier sur Europe 1.Selon des sources proches de l'exécutif, l'hypothèse d'une vente reste "faible"."Repartir à zéro"De leur côté, que vont faire les Fédérations de football (FFF) et de rugby (FFR), qui se sont souvent plaintes de leur sort, jugeant un temps le coût trop élevé pour le foot ou projetant d'aller construire un stade ailleurs pour le rugby ?"L'occasion est donnée de repartir un peu à zéro", observe une source proche du dossier, "plutôt que de subir un concessionnaire, ils se disent +il faut s'y intéresser+, +qu'on aille les voir avant+, +qu'on intègre une concession+, etc", a-t-on ajouté de même source.Du côté des collectivités, l'idée est aussi d'être invité à la table. "J'ai dit à l'Etat que nous souhaitions que les collectivités locales soient dans la nouvelle concession et aient une place dans la gouvernance", a expliqué le maire PS de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, interrogé par l'AFP, qui veut un stade "plus ouvert sur la ville".Il faudra aussi que le nouvel exploitant s'engage "sur un programme de travaux" pour que l'enceinte reste "attractive", explique une source gouvernementale.Pour l'instant, des travaux notamment d'éclairage (LED) ont été menés, pour un montant autour de 40 millions sur la facture des JO.Les relations entre le Stade de France et le comité d'organisation des Jeux (Cojo) sont d'ailleurs "tendues", a appris l'AFP de sources concordantes. Le consortium a finalement refusé de s'engager dans l'organisation des épreuves olympiques elle-mêmes, repassant la balle au Cojo.Autre sujet de discorde: le prix à payer pour dédommager le consortium en raison de la période d'immobilisation du fait des JO, plus longue que prévu (travaux, etc). Des négociations sont en cours, tant sur le montant que sur sa prise en charge -une partie pourrait l'être par l'Etat.
Il y a 2 ans et 136 jours

Les start-up accompagnées par Leonard, un terreau "fertile" de solutions pour Vinci

STRATÉGIE. Six ans après le lancement de son premier programme, et alors qu'une nouvelle session de ses 4 parcours s'ouvre en ce début 2023, Leonard, la plateforme de prospective de la major Vinci, se satisfait d'un retour d'expérience positif, tant pour les start-up et projets qu'elle accompagne que pour le groupe lui-même.
Il y a 2 ans et 139 jours

L'objectif de 100.000 bornes de recharge pour voitures électriques n'a pas été atteint en 2022

Au 31 décembre 2022, 82.107 points de recharge étaient ouverts au public, selon ce baromètre publié mardi par l'Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere) et du ministère de la Transition énergétique.Sur un an, 8.472 nouvelles stations représentant 28.840 points de recharge ouverts au public ont été déployés sur le territoire, soit +53%.L'objectif de 100.000 bornes "avait surtout pour ambition de donner un nouvel élan aux déploiements. En ce sens, c'est réussi", tempère Clément Molizon, délégué général de l'Avere-France."Plus de 25.000 points de recharge sont sortis de terre en un an, soit plus qu'entre 2016 et 2020!", a souligné M. Molizon. "Mais il nous faut maintenir l'effort afin de répondre aux besoins des utilisateurs".Trente-six pour cent des points de recharge sont installés par des commerces, 35% sur des parkings et 24% sur la voirie.Sur autoroute, toutes les aires des réseaux APRR et AREA sont désormais équipées, comme le demandait la loi, ont indiqué les deux réseaux lundi.Les aires du réseau Sanef sont équipées à 85% et celles du réseau Vinci devraient toutes être équipées d'ici la fin 2023, ont indiqué les concessionnaires mercredi.Près de 90% des points de recharge proposent une charge lente, selon le baromètre. Moins de 7% proposent une puissance de charge supérieure à 150 kW, permettant la recharge complète des batteries d'un véhicule en quelques dizaines de minutes.Les bornes sont de plus en plus utilisées, mais il reste de la marge : en décembre 2022, les points de recharge ont enregistré en moyenne 15 sessions de recharge, contre moins de 8 un an plus tôt.Alors que les véhicules neufs seront 100% électriques en Europe en 2035, les industriels français insistent sur le déploiement des bornes de recharge pour véhicules électriques, essentielles pour rassurer les automobilistes.La part des voitures électriques a continué de progresser sur le marché français en 2022, atteignant 13% des immatriculations totales, contre 10% l'année précédente.
Il y a 2 ans et 140 jours

Le groupe Vinci remporte un énorme contrat dans l'éolien offshore

Ce contrat est similaire à un premier annoncé en juillet 2022, mais d'une ampleur nettement plus importante : ces deux plateformes seront d'une capacité totale de 4 GW et "pourront alimenter l'équivalent d'une ville de 4 millions d'habitants comme Berlin", précise Vinci.Leur mise en service est prévue en 2029 et 2030 et elles "seront parmi les premières d'une telle capacité à être développées en Europe du Nord"."Elles permettront de convertir le courant alternatif produit par plusieurs parcs éoliens en courant continu haute tension (...), qui sera reconverti en courant alternatif sur des stations terrestres, situées à 400 km environ", précise Vinci.La réalisation de ces stations terrestres est également incluse dans le contrat.Le client est l'allemand Amprion Offshore, l'un des quatre gestionnaires du réseau de transport d'électricité en Allemagne. Ce contrat est plus précisément attribué à un groupement composé d'une filiale de Vinci (Dragados Offshore, filiale de Cobra IS achetée par Vinci en décembre 2021) et de l'allemand Siemens Energy.La construction de ces plateformes, prévue à Cadix (Espagne), doit permettre la création de plus de 2.000 emplois jusqu'en 2029.En juillet 2022, Vinci avait annoncé un contrat similaire, mais cette fois "proche du milliard d'euros", pour alimenter l'équivalent d'une ville comme Hambourg, soit 1,8 million d'habitants à compter de 2028.
Il y a 2 ans et 141 jours

Eolien en mer : un contrat XXL pour Vinci en mer du Nord

ENR. Le groupe Vinci, via sa filiale Cobra IS, a remporté un nouveau contrat de conception-construction-installation pour deux plateformes de conversion d'énergie éolienne offshore en mer du Nord. Mais leur capacité et le montant du marché sont bien plus importants que les précédents.
Il y a 2 ans et 141 jours

Vinci : un contrat à 4 Mds € dans l'éolien offshore

Vinci a remporté, à travers sa filiale Cobra IS, le contrat pour la conception, la construction et l'installation de deux plateformes...-International
Il y a 2 ans et 146 jours

Toulouse : le Groupe des Chalets a choisi les façades innovantes de Vinci Construction pour son premier projet MassiRéno

Vinci Construction déploie son procédé Rehaskeen pour rénover 254 logements pour étudiants de l’école nationale vétérinaire de -Industrie
Il y a 2 ans et 146 jours

Vinci Energies s'enracine en Norvège

CROISSANCE EXTERNE. Le groupe Vinci a annoncé une nouvelle acquisition pour son pôle Energies en Norvège, renforçant ainsi sa présence dans le pays.
Il y a 2 ans et 146 jours

Groupe Roy Energie envoie 2 centrales photovoltaïques autonomes en Ukraine

GROUPE ROY ÉNERGIE soutient l’UkraineSensible à la situation d’urgence en Ukraine et souhaitant agir en mettant à disposition son savoir-faire, Groupe Roy Energie va envoyer deux centrales solaires autonomes à Kiev, fin janvier 2023.L’une d’entre elles permettra d’alimenter un étage d’hôpital de façon autonome pendant 7 heures et l’autre fournira de l’énergie dans une zone d’invincibilité.Les deux containers seront aménagés avec des prises électriques (ports USA / B / C de recharges de téléphones), un relais Wi-Fi Internet, un éclairage LED intérieur, du chauffage...Ces installations répondront de façon autonome à des besoins d’alimentation en électricité. Groupe Roy Energie collabore avec la Mairie de Kiev et l’Ambassade de France en Ukraine pour l’organisation du déplacement et le déploiement des centrales.Caractéristiques des 2 centrales photovoltaïques autonomesGroupe Roy Energie souhaite démocratiser le solaire et créer de l’énergie propre et locale, ponctuellement et durablement, où que l’on se situe sur la planète. La société a expérimenté deux centrales solaires autonomes différentes, pour le concert de Sting à Chambord au mois de juin 2022 et pour les illuminations de Noël du château actuellement. Elle est à l’origine de l’idée, de la recherche et du développement.Les résultats étant concluants, Groupe Roy Energie a désormais la certitude de pouvoir les déployer de façon sécurisée en base vie de chantier, dans le désert, sur des zones sinistrées, de conflits ou de catastrophes naturelles : partout, tout le temps, quelles que soient les conditions.Fonctionnement de la centrale photovoltaïque autonome au sol de 150 PVCette centrale photovoltaïque déployée lors du concert de Sting mesure au sol 80x20 mètres. Elle comprend 150 panneaux photovoltaïques de 370WC posés au sol, orientés est/ouest pour favoriser une production optimale sur la journée. Elle comprend également un container équipé du système de transformation et de stockage de l’énergie destiné à alimenter l’hôpital. Elle fonctionne sur et hors réseau et est capable de produire jusqu’à 60 kW de puissance. La réserve d’énergie utile de la batterie est de 76,8 kWh.Fonctionnement de la centrale photovoltaïque autonome au sol de 54 PVCette centrale photovoltaïque déployée pour les illuminations du château de Chambord de Noël 2022 mesure 20 x 20 mètres. Elle est composée de 54 panneaux photovoltaïques de 365 WC et de 2 onduleurs de 10 kva. Elle fonctionne sur et hors réseau et est capable de produire une puissance de 20kW. La réserve d’énergie utile de la batterie est de 25,6 kWh.La jeune chambre économique française s’associe à cette opération et lance un appel aux dons pour finaliser l’envoiEn soutien de ce projet au service de la population ukrainienne, la Jeune Chambre Économique Française lance un appel aux dons auprès des particuliers et des entreprises pour financer l’aménagement des containers et les commandes de batteries et d’onduleurs. Cela complètera l’apport des deux centrales photovoltaïques d’un montant de 200.000€.La collecte des dons aura lieu du 23 décembre 2022 au 15 janvier 2023 via la plateforme Hello Asso (https://www.helloasso.com/associations/jeune-chambre-economique-francaise/collectes/repondons-aux-besoins-energetiques-de-la-population-ukrainienne), avec un objectif de 100.000€ (don déductible, cette association étant reconnue d’utilité publique).Les noms de tous les donateurs seront indiqués au dos des panneaux photovoltaïques. Et ils auront la certitude d’apporter une aide concrète en Ukraine.GROUPE ROY ENERGIE, expert photovoltaïqueActeur majeur dans la préservation de l’environnement en France, dont le siège social est situé à Orléans, Groupe Roy Energie conçoit et installe des solutions photovoltaïques innovantes adaptées à chaque besoin spécifique de construction ou rénovation des agriculteurs, collectivités, entreprises et industriels, particuliers et spécialistes de l’immobilier.Groupe Roy Energie propose un accompagnement complet, incluant également la maintenance, le service après-vente et le suivi à distance de votre installation. Le bureau d’étude, composé d’une équipe d’ingénieurs bâtiments, dessine chaque projet clé en main, grâce à leur expertise, et assiste jusque dans les démarches administratives et bancaires. Groupe Roy Energie est d’ailleurs référencé et labellisé dans toutes les agences bancaires, ce qui garantit une réponse rapide aux demandes de prêt.Groupe Roy Energie propose des prestations premium à prix compétitifs, afin de démocratiser le photovoltaïque et le rendre accessible à tous. L’entreprise souhaite amener un maximum de particuliers et d'entreprises à tendre vers l’indépendance énergétique.Toutes les prestations sont réalisées en interne, sans aucune sous-traitance. Les équipes collaborent avec les meilleurs partenaires locaux ancrés sur leur territoire et garantissent des prestations premium, à un prix juste, sur 60 départements. Groupe Roy Energie veille à la formation et la qualification continues des salariés, afin de garantir des prestations optimales. L’excellence et l’innovation font partie de son ADN.La jeune chambre économique française, incubateur de leaders citoyens.Depuis près de 70 ans, la Jeune Chambre Économique Française rassemble une communauté de citoyens de 18 à 40 ans : entrepreneurs, salariés, professionnels libéraux ou encore étudiants. Ensemble, ils relèvent les défis économiques, sociaux et environnementaux d’aujourd’hui et de demain et portent des projets d’intérêt général sur le territoire français.En construisant ces actions de façon collective et en recherchant des solutions aux problématiques rencontrées par les territoires, les membres se forment à la prise de responsabilités. En 2022, la JCEF rassemble près de 2.000 bénévoles engagés en France dans 135 Jeunes Chambres économiques locales. Elle est affiliée à JCI (Junior Chamber International) qui compte 200 000 leaders citoyens dans plus de 100 pays et agit en lien avec les 17 Objectifs du Développement Durable de l’ONU.
Il y a 2 ans et 147 jours

Rebond des bénéfices des sociétés d'exploitation d'autoroutes en 2021

L'ART publie les données avec un an de décalage, et celles de 2022 ne sont donc pas disponibles.Le trafic, tous véhicules confondus, a progressé de 20,7% en 2021 par rapport à l'année précédente qui avait été affectée par le Covid-19, selon cette étude.Celui des véhicules légers a augmenté de 22,9% mais il est resté à 93% de son niveau de 2019 avant la pandémie. Celui des poids lourds, qui avait moins chuté en 2020, a progressé de 10,1% pour atteindre 102% de son niveau de 2019. Le chiffre d'affaires des sociétés concessionnaires d'autoroutes (SCA) a atteint 10,6 milliards d'euros en 2021, dont 10,3 milliards provenaient des péages, à 98% de son niveau de 2019. L'excédent brut d'exploitation (Ebitda) a connu la même évolution.Compte tenu de la diminution du taux de l'impôt sur les sociétés et d'une baisse des frais financiers, le bénéfice net 2021 des SCA a augmenté de près de 47% en 2021 pour atteindre 3,9 milliards d'euros, dépassant celui de 2019 d'environ 11%, a constaté l'ART.Les investissements ont modérément rebondi, restant de 5% inférieurs à leur niveau de 2019.Les SCA, un ensemble dominé par Vinci, Eiffage et Sanef (Abertis), ont versé 3,3 milliards d'euros de dividendes, une somme en augmentation de près de 40% par rapport à 2020 et de 5% par rapport à 2019.L'endettement net des SCA a diminué de 4,8% en 2021, à 26,3 milliards d'euros.