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Il y a 4 ans et 170 jours

Face au boom des renouvelables, les politiques doivent confirmer leurs soutiens

Les énergies renouvelables, dont les capacités ont crû cette année malgré la crise, devraient devenir en 2025 la première source de production électrique dans le monde, devant le charbon.
Il y a 4 ans et 170 jours

Sika lance sa production d’adjuvants pour bétons projetés en France

Le groupe Sika produit désormais des adjuvants pour bétons projetés implantés dans son usine de Gournay-en-Bray, en Seine-Maritime. [©SikaFrance] Le 9 novembre dernier, le groupe Sika a dévoilé qu’il commençait à produire des adjuvants pour bétons projetés implantés dans son usine de Gournay-en-Bray, au Nord-Ouest de Paris. Ce nouveau produit “made in Sika” alimentera le marché français de la construction de tunnels. L’industriel a indiqué que la production française de cet adjuvant pour bétons projetés sera commercialisée sous la marque Sigunit. Ainsi, le groupe poursuit son développement en France et se positionne comme un acteur incontournable en vue des futurs grands chantiers d’infrastructures des prochaines années Ivo Schaedler, directeur régional Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) déclare : « Avec la mise en service des nouvelles installations de l’usine de Gournay-en-Bray, notre objectif est d’exploiter le potentiel commercial en France ainsi que dans le nord et l’ouest de l’Europe et de faciliter le travail difficile du béton projeté dans les mines et les tunnels avec nos produits de spécialité. Dans le même temps, nous renforçons notre chaîne d’approvisionnement et notre compétitivité grâce à une réduction importante des coûts logistiques ». Des investissements financiers records et près de 900 km de tunnels à prévoir L’usine française de Sika implantée à Gournay-en-Bray, en Seine-Maritime. [©SikaFrance] Malgré la crise sanitaire due à la Covid-19, le secteur du BTP compte bien tirer son épingle du jeu. L’Europe prévoit 680 Md€ d’investissements dans les infrastructures, dont la construction de tunnels. Ayant déjà réalisé des projets de grande envergure à l’image du tunnel de base du Brenner sous les Alpes (reliant l’Autriche à l’Italie), Sika se positionne sur ce marché. Par ailleurs, une reprise est, d’ores et déjà, annoncée pour 2021 en France. Une croissance de 4 % est prévue grâce notamment aux 96 Md€ alloués par le gouvernement dans son plan de relance de l’économie. L’infrastructure ferroviaire et les rénovations des bâtiments se placent en première ligne de ce programme. Dans les projets à venir, le Grand Paris est présent dans tous les esprits et devrait être un moteur de la croissance. Ce projet comprenant plus de 34 Md€ d’investissements. Avec sa nouvelle unité de production en Seine-Maritime, Sika France est bien placé pour devenir un des acteurs opérationnels de la croissance. Pour rappel, le groupe suisse, spécialisé dans les produits chimiques pour la construction, est présent dans près de 100 pays à travers le monde. Avec quelque 300 usines à son actif, Sika est toujours soucieux de se réinventer, d’innover, de créer et de développer de nouveaux produits et solutions.
Il y a 4 ans et 171 jours

L'Assemblée vote la révision à la baisse de certaines aides pour le solaire suscitant la colère de la filière

Cette révision des tarifs d'achat d'électricité, adoptée à 91 voix contre 32, "concerne un nombre restreint d'anciens contrats", signés entre 2006 et 2010, "800 contrats, sur 235.000", a insisté la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili, alors que la filière photovoltaïque est hostile à cette mesure.Elle concerne "les plus gros contrats" qui bénéficient d'une "rentabilité hors de proportion", a-t-elle argumenté, tout en soulignant qu'il y aurait une "clause de sauvegarde", au bénéfice des installations photovoltaïques que le nouveau dispositif risquerait de "compromettre".En renégociant, "on table sur une économie d'environ 350 ou 400 millions par an", soit une économie totale de "4 milliards" d'euros pour ces contrats au long cours. Ces montants seront "réinjectés dans les aides pour les énergies renouvelables", a assuré la ministre.Les députés ont adopté cet amendement gouvernemental en première lecture, dans le cadre du débat parlementaire sur le budget dédié à l'écologie en 2021.A droite, Eric Woerth (LR) a dénoncé une "rupture unilatérale de contrat, sans aucune concertation avec la filière. Vous allez vers un grand nombre de contentieux", a-t-il lancé au gouvernement, en lui reprochant "beaucoup d'insouciance dans ce dossier".L’État perd de la "crédibilité" vis-à-vis des "investisseurs et des banquiers", a complété Charles de Courson (Libertés et Territoires).A gauche, la socialiste Christine Pires Beaune s'est abstenue, favorable à "l'objectif de l'amendement", mais déplorant qu'il soit présenté "au dernier moment" et "sans étude d'impact"."L’État joue son rôle de régulateur, il y a eu une anomalie" avec ces contrats, a répondu le rapporteur général du budget Laurent Saint-Martin (LREM).Le dispositif concerne des contrats d'une durée de 20 ans, signés entre 2006 et 2010. En 2006, les tarifs de rachat de la production solaire étaient de l'ordre de 600 euros le mégawattheure, soit dix fois les prix de marché actuels.Seuls les plus gros contrats seront touchés par la révision. Les installations de moins de 250 KW environ ne seront pas concernées, afin d'épargner les particuliers, agriculteurs ou petits professionnels.Rupture unilatérale de contrat et perte de confianceEnerplan, le syndicat des professionnels de l'énergie solaire, a dénoncé une "remise en cause unilatérale et rétroactive d'un contrat par le gouvernement", une démarche "totalement inacceptable"."Si l'énergie solaire est si performante aujourd'hui, c'est parce qu'il y a eu des entreprises pionnières qui ont pris le risque d'investir en pleine crise financière", estime ce syndicat, en appelant le Sénat à revenir sur ce dispositif."Barbara Pompili casse la confiance dans le soutien de l’État aux énergies renouvelables", a estimé dans un communiqué séparé le collectif Solidarité Renouvelables, qui regroupe 300 entreprises de la filière.Il a dénoncé "une mesure arbitraire" et "l'acharnement du gouvernement contre la filière photovoltaïque, qui porte atteinte au crédit public et déstabilise toutes les énergies vertes, à l'heure où les PME font face à la crise économique, et au détriment de l'urgence climatique".Le collectif affirme qu'il "continuera à s'y opposer vigoureusement, y compris devant le Conseil constitutionnel".EDF a l'intention de se défendre face à la baisse des tarifsEDF a l'intention de se défendre face la révision prévue du soutien public à certains parcs solaires anciens en France, estimant ne pas avoir bénéficié d'une "rémunération excessive", a indiqué vendredi son directeur financier."EDF Renouvelables possède des actifs qui sont visés par cette révision. Son exposition potentielle atteint 150 MW", a détaillé Xavier Girre lors d'une présentation destinée aux analystes financiers."Toutefois, nous ne considérons pas que nous avons profité d'une rémunération excessive et nous avons l'intention de défendre notre cause auprès des autorités françaises lorsque les paramètres détaillés seront connus", a-t-il ajouté.
Il y a 4 ans et 171 jours

Bouyer Leroux : 55% d’ENR d’ici 2022

Dans l’objectif d’effacer son empreinte carbone, le groupe Bouyer Leroux a planifié plusieurs pistes d’amélioration sur ses sites de production. Il vise notamment les 55% d'ENR d'ici 2022.
Il y a 4 ans et 171 jours

Fabemi, un groupe engagé dans l'économie circulaire

Cette démarche en faveur de l'environnement présente le triple avantage de soutenir la production locale, de réduire la consommation des ressources et d'inciter les industriels à mettre en place une bonne gestion de leurs déchets. La construction est un secteur particulièrement concerné par ces enjeux environnementaux.Le Groupe Fabemi s'engage depuis plusieurs années dans une démarche d'économie circulaire. Créé en 1961 à Donzère (Drôme), l'entreprise développe des systèmes constructifs en béton dans plusieurs domaines : Gros œuvre, Voirie & Réseaux, Terrasse & Jardin.Le Groupe intègre véritablement l'économie circulaire dans son éthique d'entreprise.Éco-conceptionLe Groupe Fabemi fabrique des produits 100% français, certifiés origine France garantie (seul label permettant de garantir une fabrication française). Une reconnaissance pour l'entreprise qui légitime l'engagement historique du Groupe à fabriquer français, et qui assure au consommateur fiabilité et qualité des produits.Les blocs Fabtherm® montrent l'exemple100% naturels et recyclables, les blocs isolants Fabtherm® et Fabtherm® Air sont un exemple de la démarche d'éco-conception au cœur de l'innovation et du développement produits Fabemi.Présentant un faible impact sur l'environnement, ces blocs contribuent à réduire l'empreinte carbone des bâtiments de l'ordre de 4 à 8% par rapport à d'autres solutions constructives, permettant ainsi la réalisation d'ouvrages labellisés E+C-. Les produits Fabtherm® sont d'ores et déjà une solution permettant de répondre aux enjeux de la future RE 2020. De leur fabrication à leur recyclage en fin de vie, l'empreinte carbone des produits Fabemi est réduite grâce à une production-distribution locale, des approvisionnements au plus proche des usines, un procédé de fabrication sans cuisson, un séchage naturel des produits et une utilisation sur des chantiers dans une zone de chalandise moyenne de 200 km autour des sites de production, permettant de contenir l'impact CO2 du transport des produits.Lancés en 2018, les produits Fabtherm® confortent Fabemi comme leader et novateur sur le marché des produits préfabriqués en béton.Élargir le recyclage à tous les bétonsDans un contexte mondial de croissance de la demande en matières premières et de tension concernant l'approvisionnement en ressources, il est essentiel que les produits mis sur le marché incorporent plus de matériaux issus des filières de valorisation des déchets.Fabemi encourage l'élargissement du domaine d'emploi des bétons issus de matériaux recyclés pour une mise en œuvre dans ses produits. Les rebus de fabrication du Groupe, même dans de faibles proportions, représentent une source potentielle de granulats recyclés que Fabemi projette de réemployer en les intégrant dans la fabrication des produits. Ces déchets peuvent dès à présent être valorisés et réutilisés pour la production de béton prêt à l'emploi (BPE), grâce à une évolution normative. Ceux-ci vont bientôt être autorisés pour la fabrication de produits préfabriqués comme les blocs bétons.Écologie industrielleLes usines Fabemi ont été construites ou réaménagées selon les critères stricts du Groupe : sécurité, écologie industrielle et innovation en implantant dans les unités de production les meilleures technologies disponibles.De plus, l'entreprise privilégie l'internalisation des activités en lien avec la fabrication des produits finis : Fabemi Industrie produit les raidisseurs utilisés pour la fabrication des poutrelles RAID développées par le Groupe. Cette intégration verticale est un exemple supplémentaire de l'importance de l'économie circulaire pour le Groupe Fabemi, les aciers étant fabriqués sur le même site de production que celui des poutrelles.Fabemi innove toujours et investit dans la modernisation de ses installationsLe Groupe Fabemi, qui génère un chiffre d'affaire de 120 millions d'euros par an s'appuie sur une stratégie de développement agile faisant la promotion de l'industrie 4.0., en collaboration avec des industriels français comme Quadra ou des indépendants très spécialisés pour les outils de production industrielle.Qui se ressemble s'assembleLa démarche d'économie circulaire fait d'ores et déjà de nombreux adeptes parmi les industriels français et ce n'est pas un hasard si certains d'entre eux ont développé des partenariats avec le Groupe Fabemi. Travailler conjointement sur ces thématiques universelles en partageant la même éthique environnementale accroît la viabilité et la pertinence de leurs modèles économiques dans un monde en plein bouleversement, en lien avec la prise de conscience environnementale.Par exemple, Knauf, fabricant de solutions d'isolation thermique et phonique, partenaire de Fabemi, est fortement impliqué lui aussi dans le recyclage des déchets de PSE (polystyrène expansé). En février 2020, Le Groupe Knauf a créé Knauf Circular® (knaufcircular.fr), un service qui a pour objectif le recyclage des déchets propres de PSE (hors déconstruction) issus de la mise en œuvre de produits PSE sur chantier. Ce nouveau service est actuellement lancé en phase pilote sur le quart Sud-Est de la France et devrait se déployer ensuite sur la France entière, à partir de 2021. Les volumes de PSE ainsi collectés sont ensuite acheminés vers un des sites autorisés de recyclage du PSE.Une production localeLes produits fabriqués par Fabemi gros œuvre sont conçus « économie circulaire » : maçonneries de blocs béton et planchers préfabriqués poutrelles entrevous. L'approvisionnement des 12 usines du Groupe réparties sur le territoire français est local, celles-ci se trouvent stratégiquement dans un rayon de 10 km des carrières de granulats.Dans le cadre de l'entrée en vigueur de la RE 2020, les produits du Groupe ont été certifiés NF FDES (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire) permettant une quantification de l'impact environne-mental des produits en Kg de CO2 / m2 ou ml.Dans la prochaine réglementation environnementale devant entrer en vigueur en juillet 2021, les émissions de CO2 dues à la construction et à la vie du bâtiment seront comptabilisées et ne devront pas dépasser des valeurs seuil. Les produits Fabemi apparaissent comme des solutions constructives bas carbone prêtes à relever les nouveaux défis liés aux évolutions réglementaires.Le Groupe poursuit la mise en place de stratégies de développement de solutions constructives éco-conçues, faisant du faible impact carbone des produits un formidable levier de croissance de ses activités.Une offre complèteLe Groupe Fabemi développe des produits et solutions pour la construction et l'aménagement des espaces, organisées en 3 lignes de produits :Gros œuvreCette activité comprend la fabrication de systèmes constructifs à faible impact CO2 : blocs béton traditionnels, blocs béton isolants, poutres, poutrelles et entrevous.Plus de 1 million de tonnes de blocs béton et plus de 4 millions de mètres linéaires de poutrelles par an.Voirie & RéseauxEn constante évolution, cette activité mobilise des ressources en recherche et en fabrication. Fabemi développe cette activité en concevant des produits - dalles, pavés, bandes de guidage, caniveaux - respectant les normes en vigueur. La gamme Caladia Fabemi, point fort de l'activité Voirie, comprend des produits plus esthétiques, tout en restant conforme aux critères d'aménagement et d'embellissement des espaces publics.Plus de 100.000 tonnes de bordures par an.Terrasse & JardinCette activité s'articule autour des gammes BRADSTONE et CARRÉ D'ARC : produits d'aménagement extérieur tels que dallages, margelles et accessoires, bordures, murets, parements muraux ou encore de pavages. Fabemi propose un large choix de produits dans différents matériaux - béton design, béton décoratif, pierre naturelle, céramique -, pour créer terrasses, plages de piscine, allées…3 millions de m2 de dallages par an.
Il y a 4 ans et 174 jours

Freud, 1er fabricant de lames de scies circulaires à développer une gamme complète dédiée aux machines filaires et sans-fil

La société Freud, fabricant italien d’outils de coupe haut de gamme complète son offre de lames de scies circulaires en lançant une nouvelle gamme pour machines portatives et semi-portatives filaires et sans-fil. Avec cette nouvelle catégorie de lames, Freud entend devenir LA référence sur son marché en couvrant un maximum d’applications tout en étant compatible avec les plus grandes marques d’outillage.  L’innovation, le fer de lance Depuis sa création en 1962, l’entreprise Freud ne cesse de développer des technologies innovantes pour ses lames et d’investir dans ses usines, notamment dans de nouveaux moyens de production, afin de s’adapter aux évolutions du marché. Elle dispose ainsi d’une offre large avec plus de 1000 références de lames de scies circulaires, et couvre toutes les applications de la seconde transformation du bois, avec une présence jusqu’à aujourd’hui particulièrement marquée sur les machines stationnaires et semi-stationnaires. Plus de performance pour le portatif Riche de plus de 250 références, la nouvelle gamme de lames de scies circulaires, optimisées pour les machines portatives, est la plus complète du marché. Compatible avec toutes les grandes marques d’outillage, elle propose des diamètres de 120 à 355 mm et couvre 8 applications : bois, bois de construction, panneaux mélaminés, panneaux sandwich, HPL, fibrociment, aluminium et multi-matériaux. Pour chaque application, Freud a développé de nouvelles fonctionnalités afin d’améliorer les performances et la durée de vie des lames et de la batterie des outils. – La géométrie des dents et les nuances de carbure ont été optimisées pour chaque application afin de garantir la meilleure qualité de coupe et d’assurer une grande robustesse et résistance aux chocs. – Le revêtement anti-adhésif PermaShield sur toute la gamme. De haute technologie, ce revêtement rouge garantit une grande précision et des performances de coupe durables. Il réduit les frottements et protège la lame de la corrosion. – De nouvelles fentes anti-vibrations : pour une coupe plus silencieuse, fluide avec un minimum de vibrations. Une optimisation de la batterie L’innovation majeure de cette nouvelle gamme de lames de scies circulaires est la distinction faite entre les lames pour scies filaires et sans-fil. Freud a, en effet, mis au point des lames spécialement conçues pour les machines à batterie afin d’améliorer leur autonomie. Contrairement aux lames standards, elles disposent d’un corps de lame plus fin et d’une denture adaptée facilitant la coupe et réduisant considérablement les frottements avec la matière et les à-coups pour la batterie. Résultat, l’autonomie de la batterie est optimisée. Avec un marché de l’outillage sans-fil encore en développement mais qui ne cesse de croître, Freud ambitionne de faire de la distinction filaire/sans-fil une référence du marché. Un packaging qui facilite le choix Cette nouvelle gamme bénéficie d’un packaging entièrement revisité, avec pour objectif d’offrir plus de lisibilité et de faciliter le choix de l’utilisateur. Sur chaque emballage, il est indiqué le matériau, le type de machine et toutes les informations techniques nécessaires pour choisir la lame la plus adaptée. Chaque packaging bénéficie également d’un QR code qui renvoie l’utilisateur sur un micro-site dédié à la gamme. Un « Guide de choix » unique sur le marché est disponible sur le site www.freudtools.fr. Cet outil digital regroupe toutes les références de lames. Il offre différentes clés d’entrée : par type de machine (sans-fil, filaire, stationnaire…), alésage, matériaux… Les nouvelles lames de scies circulaires Freud sont disponibles auprès des revendeurs Freud (liste accessible sur www.freudtools.fr). Une production « Made in Italy » Les lames Freud sont intégralement produites dans l’usine de Fagagna située dans la région d’Udine, au Nord-Est de l’Italie. Sa capacité de production fait de Freud le premier fabricant mondial de lames de scies circulaires. Une des grandes particularités de Freud est son usine de carbure de Martignacco. Il est ainsi le seul fabricant d’outils à produire son carbure en interne ce qui lui permet d’en maîtriser et d’en contrôler la qualité tout au long du cycle de production, depuis l’approvisionnement en matières premières jusqu’aux outils finis.
Il y a 4 ans et 174 jours

La révision des aides aux Parcs solaires sera "ciblée" et "juste", promet le gouvernement

Le gouvernement avait annoncé fin octobre vouloir réviser des contrats photovoltaïques signés durant la période de 2006 à 2010, quand les tarifs de soutien public étaient encore très élevés malgré une baisse des coûts. Un amendement du gouvernement au projet de loi de finances (PLF) a été déposé et doit bientôt être débattu."Il s'agit de revenir sur une petite minorité de contrats, on parle de 800 contrats sur les 235.000 qui existent, et qui concernent des installations déjà amorties, qui ont bénéficié d'un rendement du capital parfois supérieur à 20% aux frais du contribuable", a déclaré Mme Pompili à l'Assemblée nationale, en réponse à Charles De Courson (Libertés et Territoires)."Si nous ne faisons rien (...), le contribuable devra débourser d'ici 10 ans plus de 20 milliards d'euros pour rémunérer l'ensemble de ces contrats alors que moins de subventions permettraient de maintenir la même production d'énergie renouvelable en rémunérant de manière normale les producteurs", a-t-elle fait valoir."J'insiste sur le fait que ce sera une révision ciblée, qu'elle sera juste; nous avons travaillé avec la filière et défini avec eux une clause de sauvegarde qui permettra au cas par cas de regarder pour éviter qu'une révision de contrat puisse mettre en péril l'exploitation", a ajouté la ministre.L'annonce de cette révision a suscité l'inquiétude des professionnels du secteur mais aussi des interrogations sur le sort des territoires ultra-marins ou des agriculteurs."Nous examinerons les cas particuliers de la Corse et de l'Outre-mer qui présentent des spécificités que nous connaissons", a indiqué Barbara Pompili.Elle a aussi rappelé que seules les plus grosses installations étaient visées par cette révision, "ce qui protège de facto les particuliers et la quasi-totalité des agriculteurs".
Il y a 4 ans et 174 jours

Fabemi, un groupe engagé dans l’économie circulaire

Préserver la planète en limitant la consommation des ressources naturelles et en réduisant les émissions de CO2, tel est le défi posé depuis plusieurs années aux industriels. Éco-conception, écologie industrielle, bonne gestion des déchets et distribution en circuit court caractérisent l’économie circulaire. Cette démarche en faveur de l’environnement présente le triple avantage de soutenir la production locale, de réduire la consommation des ressources et d’inciter les industriels à mettre en place une bonne gestion de leurs déchets. La construction est un secteur particulièrement concerné par ces enjeux environnementaux. Le Groupe Fabemi s’engage depuis plusieurs années dans une démarche d’économie  circulaire. Créé en 1961 à Donzère (Drôme), l’entreprise développe des systèmes cons-tructifs en béton dans plusieurs domaines : Gros œuvre, Voirie & Réseaux, Terrasse & Jardin. Le Groupe intègre véritablement l’économie circulaire dans son éthique d’entreprise.   Éco-conception Le Groupe Fabemi fabrique des produits 100 % français, certifiés origine France garantie (seul label permettant de garantir une fabrication française). Une reconnaissance pour l’entreprise qui légitime l’engagement historique du Groupe à fabriquer français, et qui assure au consommateur fiabilité et qualité des produits. Les blocs Fabtherm® montrent l’exemple 100 % naturels et recyclables, les blocs isolants Fabtherm® et Fabtherm® Air sont un exemple de la démarche d’éco-conception au cœur de l’innovation et du développement produits Fabemi. Présentant un faible impact sur l’environnement, ces blocs contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments de l’ordre de 4 à 8 % par rapport à d’autres solutions constructives, permettant ainsi la réalisation d’ouvrages labellisés E+C-. Les produits Fabtherm® sont d’ores et déjà une solution permettant de répondre aux enjeux de la future RE 2020. De leur fabrication à leur recyclage en fin de vie, l’empreinte carbone des produits Fabemi est réduite grâce à une production-distribution locale, des approvisionnements au plus proche des usines, un procédé de fabrication sans cuisson, un séchage naturel des produits et une utilisation sur des chantiers dans une zone de chalandise moyenne de 200 km autour des sites de production, permettant de contenir l’impact CO2 du transport des produits. Lancés en 2018, les produits Fabtherm® confortent Fabemi comme leader et novateur sur le marché des produits préfabriqués en béton.   Élargir le recyclage à tous les bétons Dans un contexte mondial de croissance de la demande en matières premières et de tension concernant l’approvisionnement en ressources, il est essentiel que les produits mis sur le marché incorporent plus de matériaux issus des filières de valorisation des déchets. Fabemi encourage l’élargissement du domaine d’emploi des bétons issus de matériaux recyclés pour une mise en œuvre dans ses produits. Les rebus de fabrication du Groupe, même dans de faibles proportions, représentent une source potentielle de granulats recyclés que Fabemi projette de réemployer en les intégrant dans la fabrication des produits. Ces déchets peuvent dès à présent être valorisés et réutilisés pour la production de béton prêt à l’emploi (BPE), grâce à une évolution normative. Ceux-ci vont bientôt être autorisés pour la fabrication de produits préfabriqués comme les blocs bétons.   Écologie industrielle Les usines Fabemi ont été construites ou réaménagées selon les critères stricts du Groupe : sécurité, écologie industrielle et innovation en implantant dans les unités de production les meilleures technologies disponibles. De plus, l’entreprise privilégie l’internalisation des activités en lien avec la fabrication des produits finis : Fabemi Industrie produit les raidisseurs utilisés pour la fabrication des poutrelles RAID développées par le Groupe. Cette intégration verticale est un exemple supplémentaire de l’importance de l’économie circulaire pour le Groupe Fabemi, les aciers étant fabriqués sur le même site de production que celui des poutrelles. Fabemi innove toujours et investit dans la modernisation de ses installations Le Groupe Fabemi, qui génère un chiffre d’affaire de 120 millions d’euros par an s’appuie sur une stratégie de développement agile faisant la promotion de l’industrie 4.0., en collaboration avec des industriels français comme Quadra ou des indépendants très spécialisés pour les outils de production industrielle. Qui se ressemble s’assemble La démarche d’économie circulaire fait d’ores et déjà de nombreux adeptes parmi les industriels français et ce n’est pas un hasard si certains d’entre eux ont développé des partenariats avec le Groupe Fabemi. Travailler conjointement sur ces thématiques universelles en partageant la même éthique environnementale accroît la viabilité et la pertinence de leurs modèles économiques dans un monde en plein bouleversement, en lien avec la prise de conscience environnementale. Par exemple, Knauf, fabricant de solutions d’isolation thermique et phonique, partenairede Fabemi, est fortement impliqué lui aussi dans le recyclage des déchets de PSE (polystyrène expansé). En février 2020, Le Groupe Knauf a créé Knauf Circular® (knaufcircular.fr), un service qui a pour objectif le recyclage des déchets propres de PSE (hors déconstruction) issus de la mise en œuvre de produits PSE sur chantier. Ce nouveau service est actuellement lancé en phase pilote sur le quart Sud-Est de la France et devrait se déployer ensuite sur la France entière, à partir de 2021. Les volumes de PSE ainsi collectés sont ensuite acheminés vers un des sites autorisés de recyclage du PSE.   Une production locale Les produits fabriqués par Fabemi gros œuvre sont conçus « économie circulaire » : maçonneries de blocs béton et planchers préfabriqués poutrelles entrevous. L’approvisionnement des 12 usines du Groupe réparties sur le territoire français est local, celles-ci se trouvent stratégiquement dans un rayon de 10 km des carrières de granulats. Dans le cadre de l’entrée en vigueur de la RE 2020, les produits du Groupe ont été certifiés NF FDES (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire) permettant une quantification de l’impact environne-mental des produits en Kg de CO2 / m2 ou ml. Dans la prochaine réglementation environnementale devant entrer en vigueur en juillet 2021, les émissions de CO2 dues à la construction et à la vie du bâtiment seront comptabilisées et ne devront pas dépasser des valeurs seuil. Les produits Fabemi apparaissent comme des solutions constructives bas carbone prêtes à relever les nouveaux défis liés aux évolutions réglementaires. Le Groupe poursuit la mise en place de stratégies de développement de solutions constructives éco-conçues, faisant du faible impact carbone des produits un formidable levier de croissance de ses activités.   Une offre complète Le Groupe Fabemi développe des produits et solutions pour la construction et l’aménagement des espaces, organisées en 3 lignes de produits : GROS ŒUVRE Cette activité comprend la fabrication de systèmes constructifs à faible impact CO2 : blocs béton traditionnels, blocs béton isolants, poutres, poutrelles et entrevous. Plus de 1 million de tonnes de blocs béton et plus de 4 millions de mètres linéaires de poutrelles par an. Voirie & Réseaux En constante évolution, cette activité mobilise des ressources en recherche et en fabrication. Fabemi développe cette activité en concevant des produits – dalles, pavés, bandes de guidage, caniveaux – respectant les normes en vigueur. La gamme Caladia Fabemi, point fort de l’activité Voirie, comprend des produits plus esthétiques, tout en restant conforme aux critères d’aménagement et d’embellissement des espaces publics. Plus de 100 000 tonnes de bordures par an. Terrasse & Jardin Cette activité s’articule autour des gammes BRADSTONE et CARRÉ D’ARC : produits d’aménagement extérieur tels que dallages, margelles et accessoires, bordures, murets, parements muraux ou encore de pavages. Fabemi propose un large choix de produits dans différents matériaux – béton design, béton décoratif, pierre naturelle, céramique -, pour créer terrasses, plages de piscine, allées… 3 millions de m2 de dallages par an.
Il y a 4 ans et 174 jours

«Le Pacte pour la construction durable réunit le cœur du réacteur du logement neuf», Emmanuelle Wargon, ministre du Logement

A l’initiative de la ministre du Logement, un « Pacte pour la relance de la construction durable » réunit à partir du 13 novembre les maillons clés dont dépend la production neuve. En bas du document de 11 pages, les signatures traduisent un consensus rare : on y trouve les trois grandes associations du bloc local, les trois organisations de la maîtrise d’ouvrage du logement et de l’aménagement, l’ordre des architectes et la fédération du bâtiment. Une circulaire ministérielle détaillera les modalités d’application locale, autour du couple maire préfet.
Il y a 4 ans et 175 jours

Aldes prend une participation dans la Start-Up Teqoya

Cette opération est en parfaite cohérence avec sa stratégie dont le principal objectif est de contribuer à la conception de lieux de vie sains pour le plus grand nombre.Née en 2015 sous l'impulsion de Pierre Guitton, son co-fondateur et président, TEQOYA fabrique en France des purificateurs d'air, exploitant ses technologies brevetées d'ionisation et d'électrofiltration pour éliminer les microparticules polluantes et les aérosols vecteurs d'infections. Cette innovation permet de purifier l'air en permanence, sans production d'ozone et sans consommables. Primée lors de La French Touch Conference 2016 à New York, sélectionnée pour le French Tech Tour China par BPI France et Business France, la start-up réalise aujourd'hui plus de 70% de son chiffre d'affaires à l'export, notamment en Chine.Ce partenariat se traduira par l'intégration, dès 2021, de la technologie TEQOYA dans les solutions de ventilation et de purification d'air développées par le Groupe ALDES à destination des bâtiments résidentiels et tertiaires.Pour la start-up TEQOYA, la présence du Groupe ALDES à ses côtés lui permet de bénéficier de la puissance commerciale d'un groupe international présent sur de très nombreux de marchés professionnels et grand public."Nous sommes très fiers de ce partenariat made in France qui enrichit notre politique de développement vers des technologies efficientes." déclare Stanislas LACROIX, PDG du Groupe ALDES "Il est parfaitement en ligne avec notre raison d'être, notre stratégie et notre mouvement RévolutionAIR, porteur de notre engagement en faveur du renforcement de la prise en compte de la qualité d'air intérieur et de ses impacts sur la santé."Pour Pierre GUITTON, président de TEQOYA, "l'entrée du Groupe ALDES au capital de TEQOYA témoigne de la qualité de la relation engagée entre les deux entreprises depuis bientôt deux ans. Nous sommes très heureux de cette opération qui démontre la qualité et la pertinence de nos technologies, et confiants dans le potentiel des produits que nous développons ensemble pour améliorer la qualité de l'air de nos lieux de vie."Cette prise de participation s'inscrit dans la démarche d'innovation et de développement du Groupe ALDES, dont l'intention est de conclure d'autres partenariats avec des start-up dans son écosystème.
Il y a 4 ans et 175 jours

Concours "Les Génies de la construction !"

Imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectésOuverte aux élèves de collège et lycée et aux étudiants de l'enseignement supérieur, la 17e édition du concours Les Génies de la Construction ! est aujourd'hui lancée. Véritable démarche interdisciplinaire, le concours Les Génies de la Construction ! est une belle opportunité de valoriser auprès des jeunes la richesse et la diversité des métiers techniques et innovants du bâtiment et de travaux publics, ainsi que leur transversalité et leur capacité à s'adapter pour accompagner les mutations environnementales, technologiques et numériques. Encadrés par leurs professeurs, les jeunes compétiteurs sont invités à mener une réflexion collaborative et prospective, liée aux nouveaux défis de la construction et de l'aménagement des territoires, pour imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectés. Malgré le contexte de crise sanitaire liée à la Covid-19, 26 académies (171 équipes engagées et 29 projets finalistes) ont participé à l'édition précédente du concours, grâce à la mise en place d'un dispositif exceptionnel, afin de permettre aux équipes inscrites d'aller au bout de leur projet. Des vidéos de présentation des projets ont ainsi été réalisées, afin de permettre aux jurys d'évaluer les travaux à distance et sélectionner les lauréats.Pour sa 17e édition, le concours Les Génies de la Construction ! s'adaptera à nouveau avec agilité au contexte toujours perturbé, pour permettre aux établissements scolaires de participer et de s'investir pleinement dans leurs projets. S'inscrire dans les priorités du ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports et répondre aux enjeux des professionnels du secteur de la constructionDonner du sens et concrétiser les enseignements, par un travail transversal et collectif d'une équipe d'élèves ou d'étudiants, invitée à produire la réalisation d'une construction ou d'un aménagement (maquette physique ou virtuelle, production numérique, etc.). Le projet présenté est jugé sur sa faisabilité et sa capacité à se transposer sous une forme concrète et réalisable.Inscrire la transition numérique dans les apprentissages, pour préparer pleinement les élèves à une société, à des études supérieures puis à un monde du travail toujours plus numériques.Contribuer au développement d'une meilleure orientation scolaire et professionnelle des jeunes, afin de mieux accompagner les élèves dans la définition de leur projet d'orientation, qui peut représenter pour eux et leur famille une source d'inquiétude.Favoriser la promotion de la voie de formation professionnelle comme voie de formation d'excellence et de réussite, pour répondre aux nouveaux besoins en compétences des entreprises du secteur de la construction, en lien avec les transitions environnementales, technologiques et numériques, et renforcer l'attractivité de la formation professionnelle pour se former à un métier du bâtiment et des travaux publics. Inscrire l'éducation à l'avant-poste de la transition écologique pour répondre à la volonté du ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports de faire des établissements scolaires un terrain d'engagement en faveur du développement durable, de la biodiversité et de la lutte contre le changement climatique. Réaliser des productions durables et citoyennes Les productions que doivent réaliser, en équipe, les jeunes candidats doivent répondre aux problématiques posées par l'évolution d'un territoire intelligent, durable et connecté, sur l'une des thématiques suivantes :le logement ;la mobilité et les déplacements dans les territoires (pont, route, voie ferrée, etc.);les activités humaines (culture, industrie, éducation, santé, commerce, agriculture, loisirs);la préservation de l'environnement, y compris la gestion de l'eau et des déchets;les énergies locales et renouvelables.Concevoir un éco-quartier, faciliter la vie quotidienne des personnes à mobilité réduite, produire de l'énergie avec une route, exploiter la géothermie, identifier les innovations dans les matériaux, robotiser une tâche sur un chantier, optimiser l'apport solaire sur un bâtiment, assurer la bonne gestion de l'eau potable, gérer les risques d'inondations, construire des logements modulables et réversibles, favoriser la biodiversité en ville, la mobilité douce, la gestion intelligente de l'espace, stocker et restituer des énergies renouvelables... sont autant de sujets sur lesquels les élèves et étudiants peuvent débattre et travailler.Les équipes se répartissent en quatre catégories :« Collège » pour les élèves du cycle 4 ;« Pro » pour les élèves de SEGPA, d'EREA et de 3e prépa métiers ;« Lycée » pour les élèves du cycle terminal ;« Sup » pour les élèves et étudiants de l'enseignement supérieur (STS, IUT, université, école d'ingénieurs, etc.) .Afin de répondre et de s'adapter aux attentes des programmes d'enseignement et aux besoins des professionnels du secteur de la construction, les règlements de participation au concours ont été élaborés par des enseignants et des acteurs du secteur de la construction. Favoriser la créativité d'équipe, la mixité et l'interdisciplinarité Le concours Les Génies de la Construction ! récompense le travail collectif et collaboratif d'une équipe d'élèves ou d'étudiants pour une production relative à la réalisation d'une construction ou d'un aménagement (maquette physique ou virtuelle, production numérique, concrétisation d'un projet…).La participation au concours est l'occasion de favoriser le décloisonnement de manière générale, au travers :de la mixité transversale, en faisant travailler ensemble des élèves de formations différentes ;de l'interdisciplinarité, en mobilisant des savoirs et savoir-faire de plusieurs disciplines (technologiques générales) ; de la mixité verticale, en faisant participer des équipes intégrant des niveaux scolaires ou universitaires différents pour mener à bien un projet.Juger un projet sur sa faisabilité Le projet de construction est jugé sur sa faisabilité. La réalisation peut être représentée par maquette virtuelle ou autre production numérique et/ou matérialisée par une maquette physique du projet ou d'une partie « intelligente du projet. Pour cette 17e édition du concours, les participants de la catégorie sup devront réaliser une maquette virtuelle, afin que les solutions présentées prennent en compte la démarche BIM (Building information modeling), accompagnée d'une maquette physique de tout ou partie du projet présenté.Des open badges pour reconnaître les réalisations et les compétences des jeunesLe concours Les Génies de la Construction ! réitère en 2020-2021 l'édition d'open badges, initiée l'an passé. Ces images numériques, qui fournissent un système d'accréditation, permettent de reconnaître des réalisations et des compétences, formelles ou informelles, acquises à l'occasion d'un projet. Les open badges de participation et personnalisés, selon la catégorie et le prix remporté, seront attribués. Ils permettront ainsi aux jeunes qui les recevront de rejoindre la grande famille de la construction, en les inscrivant dans leur passeport pour la construction « My.constructionpass ».Les Génies de la Construction !, un concours organisé en deux étapesUne sélection académique (si le nombre d'équipes candidates le justifie) ou une sélection inter-académique, qui pourront être organisés en distanciel, avec une présentation orale devant un jury composé de représentants du ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, de professeurs et d'acteurs de la construction.Une finale nationale organisée le 9 juin 2021 à Paris en format « phygital », pour permettre aux équipes d'élèves ou d'étudiants sélectionnées au niveau académique de présenter leurs travaux lors d'un « grand oral » devant un jury national, ou à distance. La date de clôture des inscriptions est fixée au 25 janvier 2021.Inscriptions, informations complémentaires et règlements disponibles sur : https://lesgeniesdelaconstruction.fr
Il y a 4 ans et 175 jours

Zoom sur : Studio BISKT

Le Studio BISKT est né en 2018 de la rencontre entre la céramiste française Charlotte (née en 1989) et le designer industriel belge Martin (né en 1990). Au carrefour de l'art et du design, le studio réinterprète la céramique traditionnelle et imagine un processus de fabrication hybride entre production industrielle et artisanat. Charlotte et Martin s’intéressent à la manière dont nos objets du quotidien sont fabriqués. Depuis 2018, ils travaillent des formes nouvelles à partir de terre extrudée, et réinventent ainsi la céramique. Tulumba, leur premier projet en terre extrudée produit à quatre mains décline une forme de churros sucrés en différents formats. De cette expérience de la matière résultent des vases créatifs aux assemblages multiples. Puis, après avoir effectué une recherche approfondie sur l’extrusion de l’argile, ils ont créé une collection de mobilier baptisée « Balik ». Si le produit phare de la gamme est un banc, qui se compose d’une assise en terre extrudée émaillée, posée sur un piètement en métal, l’assise peut également se transformer en balançoire ou en étagère selon la créativité. À mi-chemin entre design et art, les créations sculpturales du Studio BISKR insuffle un vent de modernité à la céramique.  Pour en savoir plus, visitez le site du Studio BISKT.Visuels : © Studio BISKT La Rédaction 
Il y a 4 ans et 175 jours

La production de crédits immobiliers pourrait baisser de 10% en 2020

FINANCEMENT. La production de crédits n'a baissé que de 2% depuis le début de l'année par rapport à 2019. Mais les circonstances de cette fin d'année n'incitent pas les acteurs, notamment du courtage, à l'optimisme.
Il y a 4 ans et 175 jours

Le boom attendu des énergies renouvelables devra être confirmé par les politiques selon l'AIE

"Les renouvelables peuvent résister à la crise du Covid mais pas aux incertitudes politiques", prévient Fatih Birol, directeur exécutif de l'AIE, qui publie mardi son rapport Renouvelables 2020.Cette année, tandis que les énergies fossiles s'effondraient, les capacités de production nouvelles ont porté à près de 90% sur des énergies renouvelables, tirées par le solaire, l'éolien et l'hydro-électricité, notablement aux Etats-Unis et en Chine. Ces nouvelles capacités devraient atteindre un niveau record de 200 gigawatts (GW).Le mouvement devrait s'accélérer encore en 2021, pour atteindre une croissance inégalée depuis 2015, indique ce bilan annuel, notamment avec la réalisation de projets suspendus pour cause de Covid-19.Ce boom de quelque 10% des capacités en 2021 devrait être particulièrement manifeste dans l'UE et en Inde, selon le rapport.Les capacités éoliennes et photovoltaïques devraient à cette allure dépasser celles du gaz en 2023 puis du charbon en 2024, estime l'Agence, qui conseille de nombreux pays dans leur politique énergétique."En 2025, les renouvelables devraient devenir la principale source de production électrique dans le monde, mettant un terme à cinq décennies de course en tête pour le charbon", souligne M. Birol: elles fourniront alors un tiers de l'électricité mondiale, avec une capacité équivalente au double des capacités chinoises actuelles toutes sources confondues.Ces prochaines années verront en particulier le boom de l'éolien en mer, alimenté par une chute rapide des coûts de production: en 2025, l'offshore devrait représenter un cinquième du marché éolien, estime l'AIE.Cette année, la course à l'équipement a été très visible aux Etats-Unis et en Chine, où les développeurs ont souhaité profiter de dernières subventions.Sur ces dix premiers mois, les mises aux enchères de capacités en Chine, en Inde et en Europe ont été supérieures de 15% par rapport à la même période en 2019, un "nouveau record qui montre bien l'importance des perspectives attendues à moyen et long terme", souligne le rapport. Et dans le même temps, sur les marchés boursiers, la valeur des actions des acteurs du solaire doublait par rapport à décembre 2019.L'AIE pour autant appelle les gouvernements à soutenir cet élan, et se dit préoccupée par la fin des mesures de soutien sur certains marchés clés comme la Chine et le photovoltaïque: en fonction de l'aptitude des gouvernements à répondre à cette incertitude, les capacités renouvelables nouvelles pourraient en 2022 soit légèrement décliner soit croître de 25%.
Il y a 4 ans et 175 jours

Chantier de Saint-Maur-des-Fossés : la réussite d’une synergie collaborative

Missionnés par le cabinet Verna Architectes, pour un projet global de rénovation et d’isolation d’une copropriété à Saint-Maur-des-Fossés, Lorillard Façade et Lorenove Grands Comptes signent une collaboration efficiente avec l’entreprise Alpac (système de précadre thermo isolant). Une collaboration tripartite pour un projet de rénovation et d’isolation global À l’origine du chantier de Saint-Maur-des-Fossés, se trouve un projet de rénovation d’une petite copropriété, en vue d’une amélioration énergétique globale pour les 9 copropriétaires vivant rue Gabriel Péri à Saint-Maur-des-Fossés. Ce chantier, porté par le Cabinet Verna Architectes, a pour objectifs l’isolation et le ravalement de la façade arrière du bâtiment (200m² de surface comportant de nombreuses ouvertures), le traitement de pignons, ainsi que la rénovation des parties communes. L’entrée, abîmée par le temps, a été entièrement rénovée. Lorillard Façade est intervenue pour la partie ravalement et isolation de la façade arrière du bâtiment et le traitement de pignons ainsi qu’en travaux de peinture intérieure : remplacement de plafond en parties hautes, et rafraîchissement de la cage d’escalier. La réouverture d’une trémière (antérieurement comblée) en toiture, avec pose de verrière, par Lorenove Grands Comptes, a permis à la lumière d’entrer à nouveau dans les parties communes. Des travaux d’étanchéité ont également été engagés, dont une réunification de la chaudière. Et enfin, le système de ventilation a été repensé, avec l’installation d’une ventilation mécanique et l’intervention d’un bureau d’étude d’ingénierie thermique. La copropriété a donc fait l’objet d’une isolation par le haut -toiture et planchers hauts et par le bas -caves. L’isolation du passage voiture – un passage traversant couvert, emprunté aussi bien par les piétons que par les véhicules de tout type a également été conduite par le Groupe Lorillard. Toute la complexité du chantier a alors consisté dans la synchronisation de la pose des encadrements avec le ravalement lui-même, sachant que des garde-corps de sécurité ont dû être déposés, pour adopter un système de garde-corps provisoire, le temps que les garde-corps définitifs soient fabriqués aux dimensions voulues. Et c’est la solution ALPAC PRESYSTEM® qui a été retenue, signant ainsi la 1ère collaboration entre Alpac et le Groupe Lorillard, pour faciliter la mise en œuvre, et obtenir un rendu esthétique parfait.   LORILLARD & ALPAC : solidarité & synergie d’experts Il est plusieurs points communs entre les équipes d’Alpac et du Groupe Lorillard : un haut niveau d’expertise, une même exigence du travail bien fait, une forte adaptabilité/réactivité aux imprévus, et un savoir-faire dans les règles de l’art. Concepteur et fabricant de précadre thermo-isolant, Alpac adapte ses solutions aux fenêtres – intégrant tous types d’occultations (volets roulants, persiennes, brise-soleil, et stores) – ainsi qu’aux portes, en ITE comme en ITI. PRESYSTEM® est le premier précadre thermo-isolant conçu intégralement en polystyrène. Pour les entreprises, les poseurs de fenêtres et les concepteurs, Alpac est un collaborateur sûr, fiable et flexible, habitué à proposer des solutions sur-mesure. Si le chantier de Saint-Maur-des-Fossés n’est pas d’une envergure importante de par sa taille (20 encadrements), une première collaboration est toujours une expérience unique. Pour le Groupe Lorillard, travailler avec ce produit innovant était donc une première. Le système Alpac précadre thermo-isolant (prémonté à emboiter dans la baie) est un système unique et complet, qui associe, au stade de la fabrication dans des conditions de précision et de qualité extrêmes, tous les éléments qui seront insérés entre le gros œuvre et la menuiserie extérieure. Le précadre PRESYSTEM® arrive sur chantier préassemblé et prêt à être posé, permettant d’effectuer, en une seule intervention, l’habillage complet fini du tour de baie de la fenêtre, supprimant ainsi les différentes phases du processus. Si le chantier de Saint-Maur-des-Fossés n’est pas d’une envergure importante de par sa taille (20 encadrements), une première collaboration est toujours une expérience unique. Pour le Groupe Lorillard, travailler avec ce produit innovant était donc une première. Le système Alpac précadre thermo-isolant (prémonté à emboiter dans la baie) est un système unique et complet, qui associe, au stade de la fabrication dans des conditions de précision et de qualité extrêmes, tous les éléments qui seront insérés entre le gros œuvre et la menuiserie extérieure. Le précadre PRESYSTEM® arrive sur chantier préassemblé et prêt à être posé, permettant d’effectuer, en une seule intervention, l’habillage complet fini du tour de baie de la fenêtre, supprimant ainsi les différentes phases du processus. Outre la haute expertise industrielle et technique, Alpac, propose des solutions sur-mesure en produisant des pièces uniques, s’adaptant à tous les types d’encadrements, et réalisées en différentes versions selon le type de finition du mur.   Une collaboration exigeante au service du client La collaboration entre Lorillard Façade, Lorenove Grands Comptes et Alpac est l’illustration qu’une parfaite liaison entre façade et menuiserie a pu être assurée. Si initialement, les équipes n’avaient jamais travaillé ensemble, ce qui pouvaient poser quelques appréhensions ou questions quant au déroulement du chantier ou à la combinaison des différentes phases d’actions, la collaboration des équipes a parfaitement fonctionné : chacun, dans un souci d’humilité et d’exigence du travail bien fait, apprenant de l’Autre, et s’adaptant aux inconnues de l’équation et/ou aux imprévus.   L’industrialisation du produit Alpac, éliminant les défauts de production tout en assurant des prestations rapides et de qualité, a permis à l’équipe de Lorenove Grands Comptes une mise en œuvre facilitée et une réduction des coûts du chantier. De la prise de cotes, au retour du précadre préfabriqué, jusqu’à la pose (phase pour laquelle tout le travail de retour en tableau de l’isolant et de traitement des arrêtes était évité grâce au rail intégré dans l’isolant et non en débords, la collaboration s’est avérée efficace et très rapide : un avantage considérable pour les professionnels intervenants (toutes les pièces arrivant en une seule livraison) comme pour les copropriétaires, qui ont vu le temps de chantier extrêmement réduit. Outre la simplicité de l’opération, la perfection des finitions due au choix des matériaux, donne un rendu unique : un rendu esthétique aux finitions très nettes en retour tableau, à laquelle s’ajoute la finition en peinture sur les plaques de fibre-ciment. Le système des montables, très bien pensé, et l’intégration du volet roulant dans l’isolant, permettent de dégager la fenêtre du volet roulant, offrant ainsi un gain d’éclairage naturel. Gain qui ne se fait nullement au détriment de l’isolation (laine de roche de chez Rockwool de 160 mm d’épaisseur) assurant, pour les copropriétaires, une parfaite isolation thermique et acoustique, les performances pouvant atteindre jusqu’à 30% de réduction des ponts thermiques. Cette efficacité énergétique contribue par ailleurs à réduire les dépenses de chauffage et de refroidissement pour les copropriétaires, dont le confort de vie est nettement amélioré, tout en participant à la protection et au respect de l’environnement. Avec le chantier de Saint-Maur-des-Fossés, Lorillard Façade, Lorenove Grands Comptes et Alpac marquent une synergie collaborative réussie, en terme d’intention, en apportant une réponse sur-mesure et de haute qualité aux attentes des copropriétaires, ainsi qu’en terme de modalités, en respectant un cadre financier équilibré. Cette collaboration efficiente pourrait fort bien se renouveler très rapidement !    
Il y a 4 ans et 177 jours

Les énergies renouvelables devraient devenir la première source d'électricité en 2025

MIX ÉNERGÉTIQUE. La crise du Covid-19 a certes ralenti la croissance mondiale des énergies renouvelables, mais le segment fait preuve d'une certaine résistance et devrait in fine augmenter d'environ 7% sur l'année 2020. L'Agence internationale de l'énergie prédit même que les renouvelables constitueront la première source de production d'électricité en 2025, devant le charbon.
Il y a 4 ans et 177 jours

Les professionnels du Bâtiment fustigent deux amendements relatifs au PTZ et au « Pinel »

D’abord, l’engagement de prorogation en 2022 n’est respecté que pour le PTZ. Malgré des assurances répétées, le Pinel s’arrêterait toujours fin 2021. Alors que depuis mi-2017, le secteur subit une chute de production de près 100.000 logements, le Gouvernement serait donc prêt à renoncer à un dispositif qui permet de loger 50.000 ménages par an dans les zones tendues à des prix conventionnés.Ensuite, le gouvernement ne saisit pas l’opportunité de renforcer ces dispositifs, en boostant le PTZ pour les ménages jeunes et modestes, en particulier en zones B2 et C, ou en boostant le Pinel pour encourager la mobilisation de l’épargne privée en faveur du logement neuf. Il manque ainsi l’occasion de soutenir le secteur de la construction alors qu’il reste un des rares leviers de croissance domestique.Enfin, le gouvernement fait le choix de la complexité. La « contemporanéisation » des ressources s’appliquerait au PTZ, alors qu’elle achoppe depuis des mois pour les APL. Les plafonds de loyer du Pinel seraient redéfinis chaque année, probablement commune par commune, pour respecter le plafond fixé par l’amendement, sans explication sur l’opérationnalité d’une règle applicable au ... 1er janvier 2021 !Pour les signataires « ces dispositions ne répondent en rien à l’urgence, alors que les ventes plongent depuis des mois et les permis depuis trois ans. La chute de l’activité de la construction est d’ores et déjà certaine en 2021. Les amendements du gouvernement ne l’empêcheront pas. La mise en place d’une RE2020 dont personne, pas même le gouvernement, n’est en capacité de mesurer l’impact aujourd’hui, va même l’accélérer. C’est un long hiver qui se profile pour le secteur de la construction. Le pire de la crise est-il un moment bien choisi pour affaiblir des dispositifs qui ont fait leur preuve ? »
Il y a 4 ans et 178 jours

XELLA : Protection incendie coupe-feu : La maçonnerie armée, l’innovation Ytong pour des murs coupe-feu économique et rapide à monter

Les systèmes de protection au feu passifs que constituent les murs et cloisons coupe-feu dans un bâtiment répondent à plusieurs contraintes : empêcher la propagation du feu pour évacuer les personnes, protéger les biens et les équipements, et résister mécaniquement à l’action des lances à incendie. Parmi les matériaux utilisés, le béton cellulaire s’impose comme la solution coupe-feu idéale. Classé A1, il est incombustible et assure une excellente résistance au feu. Grâce à ses propriétés minérales, il est étanche aux flammes et aux fumées et limite fortement l’élévation des températures dans les cellules mitoyennes. Sains et durables, les murs et cloisons séparatives Ytong offrent une protection incendie haute performance. Parmi les solutions coupe-feu proposées, les maçonneries armées en béton cellulaire se distinguent par leur rapidité de pose et leur légèreté. Au sein des projets de bâtiments tertiaires et industriels, elles permettent d’optimiser la mise en oeuvre, en érigeant en un temps record des murs coupe-feu de grandes dimensions, et de réaliser ainsi d’importantes économies de temps et d’argent. Pour les projets du futur centre commercial Maine Street situé au sud de l’agglomération du Mans à Ruaudin (72), qui offrira une surface commerciale d’environ 27 000 m2 avec une quarantaine de boutiques, et de la chocolaterie Ethiquable à Fleurance dans le Gers (32), qui regroupera la production, l’entrepôt, les bureaux et une boutique ouverte au public, ce sont deux solutions différentes de maçonneries armées coupe-feu Ytong qui ont été retenues. En tenant compte des contraintes de chacun de ces chantiers, le service technique de Xella a préconisé des techniques constructives optimisées. Ainsi, l’Ytong Gigabloc a été mis en oeuvre de manière mécanique pour Maine Street, tandis que des blocs Ytong Compact 20 associés à Ytofor ont été posés manuellement pour l’usine Ethiquable.   Maçonnerie armée et blocs Ytong grand format La haute performance coupe-feu Grâce à la nature minérale du béton cellulaire, ses propriétés intrinsèques et sa forte résistance thermique, les solutions maçonneries armées Ytong sont particulièrement adaptées aux applications coupe-feu. Incombustibles, leur point de fusion se situe à environ 1200°C, et elles ne dégagent aucun gaz toxique ou inflammable. Aurélien REGNIER de l’entreprise BCG qui a réalisé le gros-oeuvre et le génie civil du projet Maine Street, décrit les enjeux du projet : « Il s’agissait de construire un hypermarché relié à des magasins de retail pour une surface de 27 000 m2. La problématique des murs coupe-feu était centrale car ils devaient séparer les nombreuses cellules commerciales mitoyennes qui comptent des magasins « à risque » (généralement les espaces de restauration intègrent des cuisines). Les solutions coupe-feu Ytong s’adaptaient parfaitement à ses contraintes. » Le béton cellulaire étant doté de propriétés coupe-feu répondait largement aux exigences du programme. « Le matériau présente plusieurs intérêts. Sur le plan technique, sa légèreté par rapport à l’aggloméré ignifuge ou au béton facilite sa manutention et sa mise en place. Les Gigabloc d’Ytong requièrent l’utilisation d’engins mais leur manipulation et leur pose restent bien plus aisées qu’avec du béton qui est beaucoup plus lourd. Le béton cellulaire est également plus performant en matière d’isolations phonique et thermique. En tout, nous avons dû monter 20 murs coupe-feu en béton cellulaire de 32 à 40 m de long et de 7 à 8 m de hauteur. La maçonnerie armée permet de réaliser ces murs très longs et très hauts en se passant de poteaux intermédiaires et chacun a pu être érigé en une semaine. Le service technique de Xella nous a été d’un grand soutien pour le dimensionnement. Grâce à l’étude technique menée par leur service, nous avons pu déterminer les produits et détails de la maçonnerie ainsi que les principes de fixation des blocs. Outre les tors de 10 posés à chaque rang dans la longueur, les murs sont accrochés à la charpente métallique du bâtiment par des fixations «fusibles». Le service technique a déterminé le type de fixation nécessaire en fonction des zones et des charpentes métalliques pour y accrocher chaque mur. » Ingénieur du service technique Xella, Vincent SENECLAUZE ajoute : « Le cahier des charges du projet Maine Street requérait 3H de coupe-feu. Comme notre béton cellulaire est très performant, nous atteignons 3H avec des blocs de 10 cm d’épaisseur, mais lorsqu’il s’agit de murs aux dimensions importantes, d’autres paramètres rentrent en compte. Nous avons émis une note technique pour un produit donné avec ses caractéristiques, les dimensions, le degré coupe-feu, la réponse au feu ainsi qu’une hypothèse d’effort au vent et le référentiel de la norme de dimensionnement utilisée, qui est l’Eurocode 6. Ces calculs ont permis de valider la solution des Ytong Gigabloc 15. Le choix de cette solution constructive est exceptionnelle pour des murs de cette dimension (épaisseur 15 cm). Ils mesurent 120 x 62,5 cm et sont rainurés sur leur partie haute. Dans cette rainure, une armature standard, un tor de 10 à chaque rang, renforce la résistance du mur. » Quant au projet de la nouvelle usine Ethiquable, l’entreprise L2C, missionnée par le promoteur Essor Agro pour le gros-oeuvre et les travaux de murs coupe-feu, a fait le choix de la solution Ytong Compact 20 avec l’armature Ytofor. Son directeur Vincent Soury témoigne des atouts de la solution : « Le béton cellulaire réalise de belles performances en matière de coupe-feu et de résistance thermique. C’est le compromis idéal pour ce type de programme, une usine accueillant également du public. Une performance coupe-feu 2H était requise. »   Une mise en oeuvre plus rapide Pour le bâtiment Ethiquable, le choix s’est porté sur une mise en oeuvre manuelle avec les blocs Ytong Compact 20 et l’armature Ytofor. Vincent Soury de l’entreprise L2C raconte : « Le procédé reste traditionnel. Le montage à joint mince est pratique car le poids du mur reste léger. Les atouts de cette solution sont indéniablement la légèreté et la facilité de mise en oeuvre. L’Ytofor est une armature, conditionnée sous forme de rouleau, qui se pose tous les rangs pour supprimer les raidisseurs et les chaînages en béton armé. L’avantage d’Ytofor, c’est qu’on a plus du tout de chaînage à créer, ce qui rend l’exécution hyper rapide. On gagne au moins 50 % du temps passé grâce à ces solutions de maçonnerie sèche, car rien n’arrête la main d’oeuvre avec Ytofor. On peut monter jusqu’à 55m² dans la journée. » Vincent SENECLAUZE (Xella) pointe les performances techniques de la solution : « La mise en oeuvre d’Ytofor tous les rangs, là c’est tout les 25 cm, permet d’obtenir un meilleur renforcement mécanique de la structure du mur, avec une armature répartie sur toute la hauteur. Grâce à Ytofor, nous améliorons les capacités de dilatation. Le caractère innovant d’Ytofor peut parfois susciter des questions, mais nous rassurons nos interlocuteurs car nous disposons de toutes les certifications sur son dimensionnement et sa mise en oeuvre. De plus, l’accompagement de notre équipe technique permet une une réponse personnalisée et optimisée pour chaque projet. Nos techniciens-démonstrateurs interviennent à toutes les phases du chantier : pose, démonstration… » Pour Aurélien REGNIER (BCG) qui a mis en oeuvre des Ytong Gigabloc sur Maine Street « La pose a été réalisée par 4 personnes : un opérateur commandait une grue, une personne au sol aidait à manipuler les blocs, et dans une nacelle 2 personnes étaient respectivement chargées du positionnement des blocs et de la réalisation des joints. Sur le dessus des Ytong Gigabloc, une rainure accueille un tor de 10 que l’on fixe avec du mortier colle YtongFix, permettant ainsi une construction plus propre. »   Les performances environnementales du béton cellulaire Les solutions maçonneries armées Ytong répondent aux objectifs de performances énergétiques, critères également décisifs pour le bâtiment de la chocolaterie Ethiquable. L’enseigne a choisi de répondre au cahier des charges de l’appel à projet In’NoWatt de la Région Occitanie, une certification qui se situe au-delà du référentiel HQE et récompense les opérations innovantes de construction qui limitent leur consommation énergétique avec une empreinte carbone la plus basse possible tout au long de leur cycle de vie. Aurélien REGNIER (BCG) atteste également de la durabilité de la maçonnerie Ytong utilisée dans le cadre du projet Maine Street : « Le béton cellulaire est pour ainsi dire inusable. La durée de vie du matériau est excellente. »   Un accompagnement technique Vincent SENECLAUZE Ingénieur du service technique Xella « Le dimensionnement des murs coupe-feu est un service spécifique que nous apportons aux entreprises en amont, avec la phase études, le dimensionnement… Une fois que le projet a démarré, un technicien-démonstrateur de chantier Xella accompagne l’entreprise pendant toute la période de mise en oeuvre, permettant de répondre à d’éventuels retours ou de rectifier certains éléments avec le service technique. Tel est le phasage d’environnement d’un chantier. »   Solutions de protection incendie coupe-feu en maçonnerie armée Zéro chaînage YTONG GIGABLOC – une solution de montage rapide (grue ou élévateur nécessaire) Léger, isolant et de grandes dimensions, Ytong Gigabloc (120 x 62,5) permet de monter très rapidement des murs coupe-feu de grande envergure, à l’aide d’une petite grue de chantier. Cette pose facilite les manipulations, réduit considérablement le temps de mise en oeuvre et est plus économique. De plus, existants en deux dimensions, les blocs sont facilement coupables, ce qui assure une pose rapide et une parfaite adaptabilité sur le chantier. Enfin, ils assurent la sécurité des personnes et des équipements grâce à leur haute performance coupe-feu (EI 240) et leurs excellentes propriétés thermiques qui permettent de mieux résister aux sinistres. Ytong Compact 20 associé à Ytofor L’association des murs Ytong Compact avec l’armature Ytofor dans les joints horizontaux renforce la résistance aux efforts transverses et apporte une grande liberté pour la conception et la réalisation de murs coupe-feu. Elle supprime les chaînages horizontaux et verticaux et simplifie la mise en oeuvre du chantier (jusqu’à 25 % plus rapide à poser). L’armature métallique Ytofor s’intègre directement dans les joints de la maçonnerie en remplacement des chaînages habituels verticaux et horizontaux. Economique et rapide à poser, elle ne nécessite ni béton coulé, ni chaînages, ni accessoires spécifiques.   Solutions de protection incendie coupe-feu en maçonnerie armée  compact 15  compact 20  maxibloc 15 maxibloc 20  gigabloc 15   DESCRIPTION Epaisseur (cm) 15 20 15  20 15 20 Dimensions (LxH) 62,5 x 25 62,5 x 25 60 x 62,5  60 x 62,5 60 x 62,5 60 x 62,5 Poids humide par pièce (kg)*  14,5  17,6  31,6  42,2  60,8  81,0 Profil TPE  TPE  Lisse  Lisse  Lisse  Lisse Bloc TA associé (diam cm)  10,0  12,0  –  –  –  – Bloc TU associé (évidement L x Ht (cm)  7 x 18  12 x 18  –  –  –  –  PROPRIÉTÉS  Résistance à la compression normalisée Rcn (MPa)  4,0  4,0  Résistance caractéristique à la compression fb (MPa)  3,78  3,78  Résistance caractéristique à la flexion fxk1 (MPa)  0,15  0,15  Résistance caractéristique à la flexion fxk2 (MPa)  0,30  0,30  Résistance au feu EI (min)  EI 240  EI 240  Hauteur maximale de stabilité au feu (m) 12  16  12   16  12   16 Durée de stabilité au feu HCM (min)  HCM 120  HCM 120  HCM 120  Résistance au feu REI (min)  REI 180 REI 180  Capacité portante sous l’incendie (t/ml)  9  16  9  16  9  16  Résistance thermique mur (m2.K/W)  1,20  1,82  1,36   1,82  1,36   1,82  Affaiblissement acoustique Rw (dB)  40 (-1;-5)  45 (0;-3)  40 (-1;-5)  45 (0;-3)  40 (-1;-5)  45 (0;-3)  Zone sismique (application mur CF) 1 – 2 – 3 – 4  1 – 2 – 3 – 4  UTILISATION  Nombre de blocs/m2  6,4 6,4  2,7  2,7  1,4  1,4  Conso colle (kg/m2)  2,6  3,5  1,1  1,5  0,6  0,8  Poids du mur sec (kg/m2)  77,6  93,5  68,6  91,5  68,1  90,8  Type de mise en oeuvre  Manuelle  Mécanisée  Pince de levage  Pince à bordure  Compatible en maçonnerie armée  Ytofor tous les rangs Acier HA 10 tous les rangs Définitions des valeurs : R = stabilité : laps de temps pendant lequel un élément de construction continue à remplir sa fonction porteuse et maintient sa stabilité pendant un incendie. E = étanchéité aux flammes : le laps de temps pendant lequel un élément de construction reste étanche aux flammes, à la fumée et aux gaz. I = isolation thermique : le laps de temps pendant lequel l’élement de construction limite la température du côté qui n’est pas exposé au feu, de telle sorte qu’il n’y ait pas de combustion spontanée dans l’espace qui ne brûle pas.   PROJET MAINE STREET Lieu : Ruaudin (72) Promoteur : Groupe Dejouis Type de projet : Centre commercial de 27 000 m2 Blocs utilisés : Ytong Gigabloc 15 / 20 Date de livraison : courant 2021 Entreprise Générale du bâtiment BCG : Rue de Gasseville – Zone Artisanale Basse Choux BP 90022 – 57255 Sainte-Marie-Aux-Chênes Tél : 03 87 73 37 81 – www.bgc-france.fr PROJET ETHIQUABLE Lieu : Fleurance (32) Architecte : Essor Agro Type de projet : Usine de production et bureaux de 5 800 m2 Blocs utilisés : Ytong Compact 20 avec Ytofor Date de livraison : courant 2021 Entreprise L2C (Groupe Bernadet) : 17, rue du Commandant Cousteau – ZA Pont Peyrin 32600 L’Isle-Jourdain Tél. : 05.62.07.07.09 – www.groupe-bernadet.com
Il y a 4 ans et 178 jours

Leviat, le nouveau nom pour Halfen et Plaka

CRH Group a regroupé ses marques “accessories” sous le nom de Leviat. [©Leviat] Le groupe irlandais CRH est un mastodonte mondial de la fourniture de matériaux pour la construction. Il agit notamment sur le marché de la fixation, de l’ancrage et des connexions, à travers une multitude de filiales. Dont les plus connues en France sont Halfen et Plaka. Afin de simplifier l’identification de toutes ses marques et la synergie entre elles, CRH a choisi de les regrouper sous l’entité commune Leviat. Ainsi, Connolly, Halfen, Halgen Moment, Helifix, Isedio, MeadowBurke, Plaka, Thermomass ne font plus qu’un. Le nouvel ensemble emploie près de 3 000 personnes sur 60 sites dans le monde. « Nous lançons notre nouvelle identité Leviat dans le monde entier. Il s’agit d’un développement important qui renforcera nos activités. En réunissant l’expertise et les ressources de nos sociétés de construction « accessories » sous une même marque », explique Mehmet Pekarun, DG de Leviat. Et d’ajouter : « Nous sommes mieux équipés pour mobiliser l’ensemble de nos ressources de conception-ingénierie et de production, réparties sur tous les continents. Et pour nous assurer que Leviat sera encore plus réactif à l’évolution des besoins des clients. La combinaison de notre expertise technique, de notre connaissance du marché et de nos activités de R&D permettra à Leviat d’accélérer le lancement d’innovations importantes, révolutionnant la construction ». Toutefois, pas de précision encore quant à la mise en musique de ce changement de nom. Et en particulier, s’il s’agit d’une simple fusion des catalogues, ou d’une mise en commun des moyens de production et des hommes. Une affaire à suivre…
Il y a 4 ans et 181 jours

La Forestale : un écolodge de luxe en bois Kebony

Acqualagna, Italie. En plein cœur de la Riserva Naturale Statale Gola del Furlo, à Acqualagna, capitale de la truffe blanche, se trouve un nouvel écolodge : La Forestale Furlo. Bâti sur la base d'une ancienne caserne de gardes forestiers, l'écolodge est conçu comme un modèle de rénovation écologique. Ce lieu d'exception comprend cinq chambres différentes, aux prestations luxueuses : design épuré ultra-moderne, matières de haute qualité et durables, grandes superficies, baies vitrées aux vues splendides, marbre et même une terrasse privée, Eric Merlin, le fondateur du lieu, a également fait des choix en matière de style de vie. « Ici, pas de télévision dans les chambres, pas de climatisation, c'est le livre de Pierre Rabhi, La Sobriété Heureuse, qui a guidé le projet », explique-t-il.« On vient profiter de cette immersion dans une nature non-contaminée, sauvage, où la biodiversité est exceptionnelle. La Forestale n'est surtout pas un hôtel : c'est Don Merlino qui accueille des gens chez lui, dans un concept B&B basé sur un lien humain et personnel fondamental », poursuit-il. La promesse de La Forestale repose sur un triptyque design / gastronomie / écologie. Tout autour de l'écolodge sont accessibles de nombreuses activités liées à la nature et à la réserve naturelle : trekking, VTT, canyoning, birdwatching… Les rivières pures et fraîches des monts avoisinants invitent à la baignade. Acqualagna est la capitale de la truffe : on la trouve toute l'année, tout comme les champignons. « Le Furlo est un village gastronomique : il abrite pas moins de 6 restaurants pour 50 habitants, dont deux sont spécialisés dans la truffe », ajoute Eric Merlin. Enfin, les environs proposent une vaste culture, de nombreux centres historiques, et tous les charmes de l'Italie. « Nous sommes à moins d'une demi-heure de la mer Adriatique et de ses stations balnéaires pleines de charme ».Eric Merlin a choisi le bois Kebony pour habiller ce lieu paradisiaque : « Je l'ai choisi pour ses qualités incomparables et sans concurrence (à ma connaissance) en matière de résistance, de dureté et de longévité ; le tout confirmé par une garantie, unique sur le marché, de 30 ans, ainsi que l'absence d'entretien. J'ai beaucoup de respect pour les entreprises “engagées” comme Kebony. Nous partageons les mêmes valeurs liées à la RSE, au développement durable. », explique-t-il.Développée en Norvège, la technologie révolutionnaire Kebony est un procédé respectueux de l'environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l'alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent en permanence les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Ce processus n'améliore pas seulement significativement les propriétés physiques du bois, mais contribue également à l'apparence unique de celui-ci grâce à sa patine gris argent qui se développe au fil du temps.Cette patine argent a fait l'objet de simulations 3D, afin de visualiser son évolution du marron vers le gris. Cela a permis de garantir une continuité esthétique, notamment au niveau de la couleur de l'aluminium des fenêtres. Le bois, quant à lui, permet à l'écolodge de se fondre idéalement dans la beauté du paysage environnant.* Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 182 jours

Bulldozair lève 4 millions d'euros pour démocratiser sa solution de collaboration digitale dans le BTP

Bulldozair propose une solution de suivi de chantier qui permet à tous les corps de métiers d'un projet de construction de se connecter : ingénieurs, conducteurs de travaux, mais aussi architectes, bureaux d'études et maîtrise d'ouvrage. Concrètement, les équipes sur le chantier ont accès à toute l'information liée au projet, peuvent gérer avec simplicité tâches, plans, planning, collecter la donnée et émettre des rapports automatisés directement depuis leurs smartphones. En parallèle, le management - grâce à la centralisation et l'analyse de ces informations par Bulldozair - est alerté sur les risques et les retards, et facilité dans sa prise de décision. A la clé, la revalorisation des métiers présents sur les chantiers, et l'amélioration significative de la gestion des projets, pour un gain de productivité de 25%.« PRO BTP est heureux de s'associer via PRO BTP Innovation à la levée de fonds de Bulldozair: "Nous sommes fiers d'accompagner cette solution de digitalisation du suivi des chantiers qui sert l'ensemble de la profession, de la TPE au grand groupe international. Ce faisant, PRO BTP montre encore une fois son attachement au service d'une profession et sa capacité à accompagner les innovations majeures de ce secteur. » Hervé Naerhuysen, Directeur Général de PRO BTP et Président de PRO BTP InnovationDes fondations solides pour s'attaquer au marché des petites entreprises... Forte de la transversalité de son modèle, la startup a rapidement séduit les donneurs d'ordres d'industries hétéroclites dont le potentiel de développement reste soutenu à l'instar de Carrefour, RATP, CHANEL, TOTAL, EDF, EIFFAGE APRR ou encore Bouygues Immobilier. Selon l'industrie et ses besoins, la plateforme est déployée pour la gestion de projet (comptes rendus, planning, process, collaboration documentaire) et le pilotage des chantiers (gestion des tâches, qualité, conformité, formulaires), ou encore l'audit de sites de production et opérations de maintenance.Avec ce nouveau tour de table, Bulldozair s'attaque au segment des petites et moyennes entreprises, avec pour objectif de tripler le nombre de ses clients d'ici 2 ans. Simple, universelle et collaborative, la solution de Bulldozair est aussi conçue pour accompagner la digitalisation des quelques 40 millions de PME des divers métiers du BTP à travers le monde.Nous avons été séduits par la vision transformative de Bulldozair qui arme les entreprises du secteur pour relever les défis opérationnels et financiers actuels et futurs et oeuvre en faveur de la collaboration de terrain et de la valorisation de ses métiers. Bulldozair est donc en totale adéquation avec les entreprises Proptech accompagnées et financées par Anaxago.” affirme Alexandre Heraud Investment Director chez Anaxago.… et lancer un chantier technologique ambitieux. Bulldozair double ses effectifs R&D et renforce son offre produit pour accélérer son avance technologique et étendre l'usage de la plateforme vers un outils de pilotage de projet de construction à 360°. Une accélération qui repose sur 3 piliers : Amélioration en continu de la simplicité d'usage et de l'ergonomie de la plateforme, en collaboration avec des utilisateurs sur le terrain et au bureau (chef de chantier, responsable travaux, managers...). Développement de nouveaux modules en self-service et d'intégrations étendues pour une expérience client optimisée, en fonction des besoins. Lancement d'une offre conçue pour les petites équipes.« Avec cette levée nous allons renforcer une équipe produit déjà sénior pour développer les fonctionnalités complémentaires demandées par des utilisateurs chez qui nous voyons une très grosse adoption. Notre plateforme sera encore plus simple, plus modulable et plus ouverte. Nous construisons un outil de pilotage à 360° des projets de construction utilisable par toute la chaîne de valeur et sur toute la durée d'un projet. »Maxence Lerigner, CTO et co-fondateur de BulldozairBulldozair, l'architecte d'une nouvelle approche de la collaboration dans le BTPEn outre, la solution mobile-native de Bulldozair dessine une nouvelle approche de la collaboration dans le BTP et permet à ses métiers - héritiers d'un savoir-faire traditionnel transmis oralement - de prendre le virage du numérique. Fer de lance de la Proptech, Bulldozair remplace les archaïques carnets de notes, rapports papier et aller-retours inutiles par des outils technologiques, au service de l'humain et de son savoir-faire, compatibles avec le travail de terrain.« La crise de la covid-19 intervient après plusieurs années de marges faibles, de productivité en baisse, et de difficultés à recruter dans le secteur de l'immobilier et de la construction. L'industrie est enjointe à se transformer. Pour cela il est nécessaire de porter un coup de marteau à la conception traditionnelle de son organisation. C'est précisément la mission de Bulldozair. »« Cette levée de 4 millions va nous permettre d'accélérer dans cette voie, tant d'un point de vue commercial que technologique »Ali El Hariri, CEO et co-fondateur de Bulldozair
Il y a 4 ans et 182 jours

Le télétravail fait beaucoup moins recette pour ce deuxième confinement

"Tous ceux qui ont des tâches télétravaillables, et il y en a beaucoup, doivent télétravailler cinq jours sur cinq", a encore rappelé mardi la ministre du Travail Elisabeth Borne sur Europe 1.Une injonction que Sofia*, salariée d'un cabinet de conseil en région parisienne, aimerait voir son employeur respecter.Dans un mail adressé aux quelque 500 salariés de la société, la direction affirme souhaiter "le maintien de nos activités en mode +normal+", soit un jour télétravaillé par semaine maximum."C'est très choquant, on a l'impression qu'on ne vit pas dans le même pays. C'est juste une stratégie de contrôle des gens", déplore Sofia, qui souhaiterait éviter de prendre les transports pour se rendre en banlieue parisienne. "Pour travailler on a besoin d'un ordinateur et d'une connexion internet", assure-t-elle.Même constat pour Bertrand*, qui travaille au Crédit Agricole. Sa direction lui a adressé un message lui annonçant un maximum de deux jours de télétravail par semaine."Nos postes étaient 100% en télétravail en mars", rappelle Bertrand, qui a du mal à comprendre.Comme lui, des salariés d'offices HLM, de sociétés de dépannage informatique en ligne ou de location d'engins de BTP ont raconté à l'AFP avoir travaillé uniquement depuis leur domicile en mars-avril dernier, ce qui ne leur est aujourd'hui plus permis.Tous avancent le même argument: le refus du télétravail est lié à "une peur de perte de contrôle du salarié, avec une baisse de productivité".Chez LCL, filiale du Crédit Agricole, FO s'est ému d'un "0% télétravail" imposé à tout le réseau commercial. La branche banques du syndicat a dénoncé dans un communiqué une situation propre à ce secteur. "La profession, à de rares exceptions, exclut toujours de recourir massivement au travail à distance en particulier pour les salariés des réseaux et en contact direct du public", dénonce FO.Un protocole flouAlors que syndicats et patronat ont entamé des discussions mardi sur le télétravail, la négociatrice de la CFDT Catherine Pinchaut a évoqué "de fortes remontées" venant d'entreprises qui refusent le télétravail.Le nouveau protocole national dans les entreprises, mis en ligne jeudi par le ministère du Travail, "laisse libre court à de nombreuses interprétations", a-t-elle dénoncé. "C'est à l'appréciation pure de l'employeur, qui décide que le poste de M. ou Mme Dupont est télétravaillable ou pas", sans discussion avec le salarié, a déploré Mme Pinchaut."On voit bien qu'il y a une boulette dans la rédaction du protocole", a-t-elle regretté.De son côté, Mme Borne a relevé des "signaux positifs" comme la fréquentation en baisse des transports en commun en Ile-de-France lundi (entre 25 et 40% en moins par rapport à la normale)."Je vais continuer toute cette semaine à mobiliser les entreprises, j'ai plusieurs visioconférences avec des directeurs de ressources humaines", a-t-elle assuré, affirmant qu'une enquête allait être diligentée en fin de semaine pour "mesurer la façon" dont le télétravail a été mis en oeuvre.En attendant, Thibault*, qui travaille pour une entreprise de dépannage informatique à distance dans la région de Nantes, note une différence de taille par rapport à la situation du printemps: "contrairement au premier confinement, notre client n'a pas arrêté sa production donc il y a autant de travail, voire plus, avec plein de problèmes techniques", explique-t-il, rendant le travail à distance plus compliqué cette fois-ci.Chez Dassault Aviation, certains salariés se sont plaints de ne pouvoir travailler à 100% depuis chez eux, pour "des raisons de performance économique" selon la CFDT. Mais comme le rappelle Bernard Mathieu, délégué syndical CFE-CGC, "le président de la République a dit que les usines devaient tourner" donc "le 100% télétravail est impossible", et pas seulement pour les ouvriers.
Il y a 4 ans et 182 jours

Taillandier Architectes Associés : Solvéo

L’agence Taillandier Architectes Associés, en collaboration étroite avec Laurent Cambedouzou, vient de livrer le projet « Solvéo ». Installé dans un immeuble construit par l’architecte Philippe Vigneu pour la compagnie aérienne Air France dans les années 1990, ce nouvel ensemble tertiaire a un double objectif : moderniser le bâti existant et offrir des espaces de travail attractifs aux équipes de la société Solvéo. Filiale de Matéos électricité, spécialisée dans la production d’énergies renouvelables, la société Solvéo est installée dans l'ancien siège d'Air France, devenu celui du groupe. À sa demande, l’agence Taillandier Architectes Associés a conçu un ensemble de bureaux de 1 421 mètres carrés largement vitré qui s’insère subtilement à l’immeuble de Philippe Vigneu. L’idée du projet est de repenser le bâti existant pour l’adapter à ses nouvelles activités. Les architectes de Taillandier Architectes Associés ont construit un nouvel espace de stockage, ajouté une surélévation sur deux niveaux et restructuré le rez-de-chaussée afin de créer une entrée indépendante dédiée à la société. L’organisation en plan est simple et rationnelle. Le nouveau bâtiment comprend un patio central autour duquel s’articulent les deux niveaux supplémentaires. Ce parti pris permet non seulement de créer un espace confortable doté d’un jardin suspendu, mais aussi d’offrir aux salariés des vues exceptionnelles sur le paysage arboré alentour. L'ensemble joue sur la transparence et s'ouvre sur l’extérieur. Avec le projet « Solvéo », l’agence Taillandier Architectes Associés réussit le tour de force d'insuffler modernité et légèreté à un immeuble ancien sans le dénaturer.Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Taillandier Architectes Associés.Visuels : © Luc BoeglyLa Rédaction  
Il y a 4 ans et 182 jours

Repsol réduit sa perte au 3e trimestre

Le résultat net ajusté, présenté par Repsol comme représentant plus fidèlement son activité car ne tenant pas compte des stocks, est lui positif et atteint sept millions d'euros pour le troisième trimestre.Sur les neuf premiers mois de 2020, la perte nette s'élève à près de 2,6 milliards d'euros, en raison de la révision à la baisse de la valeur des stocks, et de celle des actifs d'exploration et de production, des décisions prises au deuxième trimestre.Le groupe rappelle avoir travaillé dans "un environnement d'extrême difficulté", avec une forte chute des prix du pétrole et du gaz, ainsi qu'une "baisse historique de la demande dans le monde entier".La branche Exploration et production a enregistré un résultat net ajusté de 51 millions d'euros, en baisse de 77% sur un an, tandis que la branche Industrie (raffinage) essuyait une perte de 67 millions d'euros.Pour affronter la crise, Repsol a mis en marche un "plan de résilience" grâce auquel il compte réduire de 500 millions d'euros ses coûts opérationnels et réduire ses investissements de 1,2 milliard d'euros.Le groupe, qui tente de se diversifier dans les énergies renouvelables, a gagné 169 millions d'euros dans ce domaine au troisième trimestre.Repsol s'est engagé à réduire à zéro ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050. Il développe plusieurs projets de parcs d'éoliennes et de parcs photovoltaïques en Espagne, ainsi qu'au Chili.
Il y a 4 ans et 183 jours

« Architectures habitées » : un nouveau palmarès proposé par le CAUE du Val-de-Marne

Les architectes et les commanditaires d'un projet dans le Val-de-Marne sont invités à envoyer leurs candidatures entre le 1er septembre et le 13 novembre 2020.Valorisant des projets de construction, de transformations, de rénovation ou d'agrandissement, ce palmarès sera l'occasion de démontrer l'importance de l'architecture et son rôle dans la fabrication d'un cadre de vie de qualité.Les réalisations sélectionnées, exemplaires et inspirantes, contribueront à révéler les savoir-faire des acteurs et professionnels du bâtiment mais aussi la plus-value du recours à l'architecte pour un propriétaire.La production d'habitat individuel tient, en effet, une place importante sur le territoire, et la qualité de cette production est un enjeu majeur que le CAUE s'efforce d'accompagner dans ses missions de conseil, de sensibilisation et de formation. Déroulement du palmarès « Architectures habitées » :Appel à candidatures du 01/09/2020 au 13/11/2020 (constitution d'un binôme maître d'œuvre / maître d'ouvrage pour des projets réalisés entre 2013 et 2019)Jury, avril 2021Appel au vote du public, mars à juin 2021Remise des prix, fin juin début juillet 2021
Il y a 4 ans et 183 jours

Livraison du plus grand Leroy Merlin de La Réunion

L'offre commerciale du Retail Park s'étoffera prochainement avec la livraison au groupe Ravate, en tant que locataire cette fois-ci, d'un immeuble commercial de 3 600 m² destiné à l'enseigne Ravate Déco. Cet actif sera détenu à 50% par CBo Territoria.Un Retail Park de 30 600 m² de bâtis, au sein de la zone commerciale du « Sacré Cœur », commune du PortÉtendu sur 6 hectares, le Retail Park développé par CBo Territoria complète la plus grande zone commerciale de La Réunion, dénommée « Sacré Cœur ». Cette dernière comprend déjà sur 27 000 m² un Hypermarché Jumbo et une galerie commerciale de 85 enseignes ayant bénéficié d'une extension inaugurée en novembre 2018.Le site commercial développé par CBo Territoria accueillera d'ici le deuxième trimestre 2021 différentes enseignes complémentaires sur un total 30 600 m² de bâtis, avec 900 places de parking.A ce jour, ce sont 20 000 m² qui ont été livrés (soit 65% du retail park), dont 13 800 m² pour le Leroy Merlin et 6 200 m² livrés fin 2018, abritant Intersport, Athlete's Foot, Gifi, franchises du groupe Ravate.Restent à livrer, courant novembre, un bâtiment de 3 600 m² pour Ravate Déco et, en avril 2021, 7 000 m² pour accueillir diverses enseignes de commerces, des loisirs ainsi qu'une brasserie - restaurant - pub « Au Bureau », enseigne phare du groupe Bertrand, n°2 de la restauration en France.Immédiatement accessible depuis la voie rapide reliant le nord au sud de l'île, le Retail Park a été créé en étroite coordination avec la commune du Port, la Région Réunion et les services de l'État.Son développement est le résultat d'une collaboration rapprochée avec le groupe Ravate, leader de la distribution non alimentaire à La Réunion, exploitant des franchises d'enseignes de premier plan.La création du Retail Park par CBo Territoria représente un investissement global de 61,5 M€. Il s'articule autour de 3 différents types d'opérations :Promotion Immobilière : 13 800 m² livrés en octobre 2020 pour le groupe Ravate qui y installe sa franchise Leroy Merlin ;810 m² pour un restaurant, en cours de vente, livraison prévue en avril 2021 ;Foncière (actif détenu à 100 %) : construction de 6 200 m² pour accueillir divers commerces complémentaires de la zone commerciale, livraison prévue en avril2021 ;Foncière en partenariat avec le groupe Ravate (actif détenu à 50% et résultats Mis En Équivalence) : 6 200 m² livrés fin 2018, abritant Intersport, Athlete's Foot, Gifi, franchises du groupe Ravate ;3 600 m² pour accueillir l'enseigne Ravate Déco, livraison prévue en novembre 2020.Une réalisation en résonance avec la nature réunionnaiseConçu par l'architecte réunionnais Henry Lucas, le nouveau Leroy merlin a été élaboré en collaboration avec la commune du Port, l'équipement marquant architecturalement l'entrée de la ville. Le bâtiment est en partie habillé en bois de Cryptomeria, cèdre local présent sur l'Île, connu pour être adapté au climat tropical et aux vents cycloniques. Sa conception permet une consommation énergétique réduite grâce à une orientation spécifique des surfaces vitrées avec protection solaire, une coque protectrice thermique (façades et toitures isolées et de couleurs claires), un abondant éclairage naturel des espaces d'accueil et l'installation de panneaux de production d'énergie photovoltaïque.
Il y a 4 ans et 183 jours

Des unités mobiles en réanimation pour aider les hôpitaux à répondre à la forte demande de soin

I-Care, une solution qui intègre le soin au cœur de sa conceptionAvec la Covid-19, les hôpitaux ont dû convertir certaines de leurs unités de soins en services de réanimation, nécessitant le report des opérations chirurgicales qui pouvaient l'être. Grâce à I-Care, les hôpitaux n'auront plus à compromettre certains services pour pallier le manque d'unités de réanimation, et ce au détriment des patients.Ces modules, des conteneurs conçus et réalisés pour être prêts à l'emploi, répondent aux situations d'urgence sanitaire ainsi qu'aux besoins de surfaces médicalisées des hôpitaux et cliniques. Ils offrent des espaces de travail ergonomiques, généreux, fonctionnels, pour garantir une efficacité optimale pour les soignants, le patient bénéficiant d'un environnement de soin de haute qualité équivalent à celui de la structure hospitalière principale.Au-delà de l'innovation évidente que représente ces unités mobiles de réanimation, le groupement a souhaité insuffler les réflexions qui l'animent quotidiennement, tant dans la conception que dans la fabrication des conteneurs. Ainsi, les équipes sont constituées de soignants, d'architectes, d'ingénieurs techniciens et biomédicaux, d'ergonomes, de designers d'espaces, d'ingénieurs de production, pour étudier à chaque phase tous les détails du projet.Une solution évolutive efficace grâce à une logique « Plug & Play »La solution I-Care est développée en petite unité de 5 lits venant se greffer autour d'un plateau central. Ce dernier constitue le noyau de la structure pour l'ensemble de ces unités et rassemble toutes les fonctions « support » nécessaires au bon fonctionnement des zones de soins. Ce plateau est modulaire et extensible afin d'y ajouter des unités de 5 lits – permettant ainsi d'obtenir un service de 15, 20, 25 ou 30 lits – et offre une possibilité de plusieurs combinaisons en mode « plug and play ».L'ensemble a été conçu pour bénéficier d'une lumière naturelle grâce à toutes les ouvertures positionnées tant dans les boxes que dans les espaces de circulation et le plateau central. Obéissant aux normes de sécurité et sanitaire les plus exigeantes, il intègre un circuit propre dissocié pour la gestion des déchets.Enfin, les modules I-Care ont été conçus pour être installés dans tous les types de lieux, de topographie (en pente, sur toiture, etc.) et de géographie sans aménagements supplémentaires, grâce à un système de pieds réglables. I-Care peut aussi s'adapter à tous les types de climat.
Il y a 4 ans et 183 jours

Decathlon signe un contrat avec Voltalia pour se fournir en électricté solaire

"Par cet accord, Decathlon s'engage à acheter directement l'énergie produite par une centrale dédiée qui sera construite et financée par Voltalia. La création de cette centrale solaire est rendue possible par l'engagement sur le très long terme de Decathlon", explique entreprise dans un communiqué.Ce type de contrat de gré à gré, négocié sur le long terme par les entreprises avec les producteurs, est connu sous son nom anglais de "corporate PPA" (pour "power purchase agreement"). Généralement fondé sur les énergies renouvelables, il est très répandu aux Etats-Unis et se développe peu à peu en France.Le contrat annoncé mardi porte sur un parc photovoltaïque dans le Sud-Est de la France qui sera mis en service d'ici à 2023 et dont 16 mégawatts seront dédiés à Decathlon pour alimenter ses sites français, détaille Voltalia.La production doit fournir environ 15% de la consommation annuelle d'électricité de Decathlon en France.Le distributeur d'articles sportifs s'était engagé à utiliser 100% d'électricité d'origine renouvelable d'ici à 2026.Voltalia avait aussi annoncé en juin un accord pour fournir de l'électricité d'origine solaire aux supermarchés Auchan. La famille Mulliez est actionnaire de ces derniers, tout comme de Decathlon et Voltalia.
Il y a 4 ans et 184 jours

Tous les services publics essentiels seront maintenus pendant le reconfinement

Du côté de l'approvisionnement électrique, le décalage dans les travaux de maintenance des réacteurs nucléaires lié au premier confinement réduit la disponibilité du parc pour cet hiver."Nous restons vigilants sur cette question", a dit Mme Pompili, évoquant plusieurs mesures prises pour compenser: "optimisation du programme de travaux de maintenance", coup de pouce à l'achat de thermostats "intelligents", doublement de la capacité d'effacement par rapport à l'an dernier. Une campagne télévisée débute aussi lundi pour inciter les particuliers aux économies d'énergie.Des capacités de production électrique au charbon ont aussi été utilisées. Mais "on reste sur une proportion faible", a assuré Mme Pompili, une proportion "un peu plus forte que l'an dernier, qui avait été un hiver doux, mais on est en dessous des années précédentes, 2018, 2017..." "On reste sur la décision de fermer nos centrales à charbon en 2022", a-t-elle insisté lors d'une conférence de presse.Côté eau et déchets, le service de traitement est assuré, a aussi dit la ministre, rappelant au passage que mouchoirs et masques se jetaient à la poubelle.A ce stade, "la mise en place d'une filière [de recyclage des masques] est lourde, et le gisement en tonnage assez faible pour alimenter une filière", a-t-elle indiqué, appelant "à utiliser les masques lavables".Côté tri, les filières de collecte "continuent de fonctionner normalement".Les déchèteries seront cette fois ouvertes aux particuliers et sans rendez-vous, à condition de se munir de son attestation de déplacement.Côté transports, "les transports du quotidien continueront à jouer un rôle clé", a ajouté la ministre, et "il est bien autorisé d'utiliser le vélo pour aller au travail, faire ses courses et faire de l'exercice dans la limite d'une heure et d'un kilomètre autour de chez soi".Sur les moyennes et longues distances, les transports "s'adapteront à la demande", mais "pour l'instant il est difficile de faire des projections".Selon la ministre, les TGV ont déjà vu tomber leurs réservations à 20% de leur niveau habituel (elles étaient tombées à 1% lors du 1er confinement).Enfin pour les commerces, bars, restaurants, concernés par des fermetures administratives, la loi sur prolongation de l'état d'urgence sanitaire interdit les coupures d'eau, de gaz et d'électricité, a-t-elle précisé.
Il y a 4 ans et 184 jours

Nouveaux poêles à granulés de bois Qlima – Un mode de chauffage moderne, écologique et économique

Version moderne du poêle à bois, le poêle à granulés s’impose de plus en plus comme mode de chauffage principal dans les foyers français. À la fois respectueux de l’environnement, performant et facile à utiliser, il multiplie les avantages pour réaliser de significatives économies d’énergie au quotidien. La technologie équipant les nouveautés Qlima a tout pour convaincre. Fort d’un savoir-faire unique en matière de solutions fonctionnelles, Qlima met sa capacité d’innovation au service des particuliers qui souhaitent contrôler et optimiser la gestion de leur chauffage. Confort de chauffe, haut rendement, autonomie, design soigné… les poêles à granulés de bois Qlima séduisent à plus d’un titre. Cette rentrée 2020 ne déroge pas à la règle. Les modèles Qlima de l’année Poêle canalisable Ronda 110 S-Line Qlima Ce modèle peut être relié à un réseau de canalisations. Ainsi, la chaleur émise bénéficie à plusieurs pièces (zones secondaires) en plus de celle où l’appareil est installé (zone principale). Poêle Ronda 88 S-Line Qlima Avec sa façade en acier noir et son design blanc galbé, ce poêle sublimera tous les intérieurs, des plus classiques aux plus contemporains. Poêle étanche Lindara 77 S-Line Qlima Compatible avec la réglementation thermique, ce poêle étanche puise l’air servant à la combustion des granulés de bois à l’extérieur du logement via un conduit étanche. Il trouve naturellement sa place dans une maison neuve BBC, car il respecte les exigences d’étanchéité à l’air du bâtiment et réduit la consommation énergétique.   Des granulés de bois 100 % naturels Les granulés de bois favorisent la valorisation énergétique des sous-produits forestiers de l’industrie du bois comme les sciures, écorces ou autres copeaux. Tous ces déchets sains sont collectés et séchés en usine, puis compressés à haute pression. La production de 220 kg de granulés, à partir de 500 kg d’écorces, génère 1000 kW, soit 100 l de fuel*. Le chauffage aux granulés de bois offre  de multiples avantages : • Une efficacité thermique exceptionnelle de 90,4 à plus de 95 %. • Une gestion électronique du poêle : température et plages de fonctionnement se programment. • Une combustion générant un minimum de cendres, de suie ou de fumée. • Une manipulation facile et propre des sacs de granulés Qlima. * Valeurs indicatives de pouvoir calorifique.   Nouveaux poêles à granulés de bois Ronda Qlima Design, confort et économies assurés ! Design, performances, confort sans faille… sont les maîtres mots des nouveaux poêles à granulés de bois Ronda 110 S-Line et Ronda 88 S-Line Qlima. Outre un fonctionnement en toute simplicité, ces poêles utilisent des granulés de bois, un combustible économique et écologique. Ils garantissent des rendements très élevés à un coût plus bas que les combustibles traditionnels. Canalisable, le modèle Ronda 110 S-Line réchauffe la pièce où il est installé et envoie de l’air chaud dans d’autres pièces de la maison. À haut rendement, les poêles à granulés de bois Ronda 110 S-Line et Ronda 88 S-Line Qlima disposent d’un atout essentiel : une programmation efficace qui optimise leur fonctionnement et réduit la consommation de combustible. Les appareils adaptent automatiquement leur puissance en fonction de la température demandée, et se programment pour des mises en route ou des arrêts aux heures désirées (système de programmation sur 7 jours), pour une consommation de combustible parfaitement maîtrisée. Ils vont puiser tout seuls leur énergie, au pellet près, pour délivrer la puissance souhaitée au meilleur rendement, ce qui évite la surchauffe et le gaspillage. Pour une plus grande économie de combustible, les poêles à granulés de bois Ronda 110 S-Line et Ronda 88 S-Line Qlima sont équipés d’un « mode Save » qui permet d’arrêter automatiquement les appareils dès que la température de la pièce dépasse de 2° C la température programmée, et de les redémarrer à 2° C en dessous de celle-ci. Derrière leur design actuel et leur large vitre, qui permet de bien profiter des belles flammes, les poêles à granulés de bois Ronda 110 S-Line et Ronda 88 S-Line Qlima offrent une large autonomie.   Nouveau poêle étanche Lindara 77 S-Line Qlima Optimise la consommation d’énergie et assure l’étanchéité Les normes BBC et RT 2012 obligent à installer un poêle dit « étanche ». C’est le cas de Lindara 77 S-Line Qlima, qui va puiser l’air nécessaire à la combustion à l’extérieur de la pièce (dehors ou dans un vide sanitaire, par exemple), plutôt que celui de la pièce. L’étanchéité du poêle offre plusieurs avantages : aucun risque d’émissions de polluants ou de fumées dans la pièce (puisque la prise d’air est à l’extérieur) et amélioration du rendement, en limitant la déperdition de chaleur. Certifié CSTB, le poêle étanche Lindara 77 S-Line Qlima peut être installé en toute sécurité en sortie de toiture (zones 1 et 2) ou en ventouse horizontale (zone 3). L’installation en zone 3 permet de placer le poêle en différents endroits tout en préservant l’étanchéité à l’air de la maison. Ce type de pose est plus économique car nécessitant moins d’accessoires de fumisterie et moins de temps, ce qui réduit les coûts en main-d’œuvre. Disposant d’une chambre de combustion hermétique qui fonctionne en circuit fermé, le poêle étanche Lindara 77 S-Line Qlima préserve la qualité de l’air ambiant (il n’y a ni arrivée d’air froid ni perte d’énergie, et aucun rejet de fumée dans la pièce). Hautement performant, le poêle Qlima consomme moins de combustible tout en apportant un confort thermique optimal. Le fait d’aller puiser l’air à l’extérieur permet d’augmenter significativement son rendement, soit 95 % en moyenne, pour une autonomie allant jusqu’à 28 heures. Pour une plus grande économie de combustible, le « mode Save », qui équipe cette nouveauté Qlima, apporte une régulation de la température confortable et économique : le régime de combustion diminue dès que la température programmée est atteinte, ou si elle est trop élevée, l’appareil s’éteint automatiquement. Lorsque la température ambiante baisse, le poêle redémarre pour atteindre la température désirée. La programmation du poêle étanche Lindara 77 S-Line Qlima (système sur 7 jours) contribue également à une meilleure maîtrise de la consommation énergétique.   Installation et mise en service par un pro Engagé depuis de nombreuses années dans une démarche de qualité, la société PVG France, qui commercialise la marque Qlima, bénéficie du label RGE Qualibois. Ce dernier atteste de la qualité des services fournis par l’entreprise et offre une garantie supplémentaire à ses clients. À ce titre, Qlima propose l’installation et la mise en service de ses poêles à granulés par des professionnels RGE. Ceux-ci possèdent une solide expérience, gage d’un travail de qualité qui tient compte des contraintes de l’habitat dans le respect des normes de sécurité. Pour une installation conforme aux normes en vigueur (DTU 24.1 et 24.2), Qlima propose un forfait de mise en service de ses poêles à granulés de bois d’un montant de 169 euros TTC. Le professionnel agréé contrôlera l’installation effectuée par le particulier, procédera aux réglages optimaux de l’appareil pour sa mise en service, et délivrera les conseils nécessaires à son bon fonctionnement. Dans le cas d’une installation complète – pose et mise en service – Qlima propose 3 forfaits « Acheté c’est posé ». Ces offres clés en main (fumisterie + pose + mise en service par un professionnel RGE) permettent au particulier de bénéficier d’une garantie de 2 ans, d’une TVA réduite, d’un crédit d’impôt (si éligible) et de la prime énergie (si éligible). Bien installés, les poêles à granulés Qlima assureront un rendement optimal en toute sécurité, et feront réaliser au propriétaire des économies substantielles. Les forfaits varient selon la configuration • Installation d’un poêle à granulés de bois Qlima à partir d’un conduit de cheminée existant. Forfait de 1 319 euros HT comprenant la fumisterie, la pose et la mise en service. • Installation d’un poêle à granulés de bois Qlima avec la création d’un conduit extérieur en double parois isolées. Forfait de 2 233 euros HT comprenant la fumisterie, la pose et la mise en service. • Installation d’un poêle étanche à granulés de bois Qlima avec une sortie en ventouse. Forfait de 918 euros HT comprenant la fumisterie double flux, la pose et la mise en service.     Ronda 88 S-line     Puissance kW  ,20 – 8,70 Efficacité thermique % 94 Consommation en granulés de bois kg/h    0,7 – 2 Volume pièce m3     260 Autonomie h    7,3 – 20,7 Prix public indicatif    moins de 1890 € Point de vente  GSB, GSA et sites e-commerce Ronda 110 S-line Puissance kW   4,20 – 10,3 Efficacité thermique %   90,4 Consommation en granulés de bois kg/h    1 – 2,4 Volume pièce m3   295 Autonomie h  10,6 – 14,4 Prix public indicatif moins de 2090 € Point de vente GSB, GSA et sites e-commerce Lindara 77 S-line      Puissance kW  2,50 – 7,70 Efficacité thermique %   95 Consommation en granulés de bois kg/h   0,54 – 1,76 Volume pièce m3  225 Autonomie h  8,5 – 28 Prix public indicatif moins de 2259 €      Point de vente  GSB, GSA et sites e-commerce
Il y a 4 ans et 184 jours

HGCT et Soriba étendent leur partenariat

Signature du prolongement du partenariat entre HGCT et Soriba : Stéphane Garnier, président de Soriba, et Julien Blanchard, président du directoire et co-fondateur de Hoffmann Green Cement Technologies. [©HGCT] Hoffmann Green Cement Technologies (HGCT) annonce qu’il étend son partenariat avec le préfabricant vendéen Soriba. Ainsi, déjà collaborant avec Hoffmann Green pour l’application des MCI (prémurs) architectoniques, ce contrat permettra à l’industriel du béton de fabriquer des escaliers bas carbone. Ceci, dans sa future usine 4.0 située à Fontenay-Le-Comte, en Vendée, à proximité du site d’HGCT. En effet, cette usine de 6 500 m2 sera munie d’un process industriel semi-automatisé et sera équipée d’un système moderne de durcissement des bétons. Et ce, avec gestion de la température et de l’hygrométrie. Elle devrait être opérationnelle dès l’été 2021. Des prémurs architectoniques aux escaliers bas carbone « Nous sommes ravis d’annoncer la signature de l’extension du partenariat avec Soriba. Une société vendéenne qui affiche les mêmes ambitions de recherche et d’innovation pour décarboner le secteur de la construction que celles d’Hoffmann Green. Ainsi, cet engagement démontre l’attractivité du ciment Hoffmann Green pour contribuer à la réduction de l’impact carbone du secteur du bâtiment », indiquent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de HGCT. Et Stéphane Garnier, Pdg de Soriba, d’ajouter : « L’utilisation de ciment Hoffmann Green permet de réduire de façon très significative les émissions de CO2. Ceci, dans la fabrication du béton pour la production d’escaliers bas carbone. Cela s’inscrit tout à fait dans la démarche éco-responsable et d’innovation permanente de notre société. Nous avons déjà pu tester l’efficacité de ce ciment sans clinker pour les MCI architectoniques. Ce nouveau contrat pour la fabrication industrielle de nos escaliers dans notre future usine est une preuve de sa compétitivité. Et de sa pertinence face aux enjeux actuels du secteur ».
Il y a 4 ans et 184 jours

Miralite Pure : le nouveau miroir durable de Saint-Gobain

Un allié du design intérieurConçu sur une base de verre PLANICLEAR©, DIAMANT© ou PARSOL©, le miroir MIRALITE© PURE optimise la réflexion de l'éclairage naturel ou artificiel. Son excellente opacité le destine naturellement à être rétro-éclairé au gré des envies.Ce nouveau miroir est idéal pour décorer et agrandir toutes les pièces de la maison, comme la salle de bains ou l'entrée, et il contribue à rendre plus accueillants les espaces recevant du public comme les bureaux, les hôtels, les restaurants, les salles de sport…À l'instar d'un miroir traditionnel, MIRALITE© PURE se plie à toutes les transformations, découpes droites ou en formes, perçage et façonnage. En tant que panneau mural, habillage de meubles ou en miroir de décoration, il se décline en différentes teintes pour agrémenter l'intérieur : clair, bronze, gris ou vert.Un mirroir saint et durableMIRALITE© PURE associe efficacité technique et performance environnementale. Cette innovation de Saint-Gobain répond parfaitement à son engagement « pour le développement de matériaux pensés pour le bien-être de chacun et l'avenir de tous ».Fabriqué à partir de 30% de verre recyclé (calcin) il emploie 20% de laque en moins grâce à une couche unique à base d'eau, et ne comprend pas de plomb ajouté. La production de MIRALITE© PURE a, de plus, été optimisée pour consommer moins de ressources naturelles qu'un miroir traditionnel.Les flux logistiques ont également été étudiés afin de limiter l'empreinte sur l'environnement. Lors de sa fabrication et jusqu'à sa pose, MIRALITE© PURE n'émet presque aucun COV préservant ainsi les opérateurs de fabrication, jusqu'au client final. Ces performances sont garanties par une FDES validée par l'INIES, un organisme indépendantLa durabilité de MIRALITE PURE dépasse largement les exigences de la norme européenne (EN 1036). Cette éco-innovation est le reflet de l'engagement de Saint-Gobain dans le développement de solutions plus durables pour l'habitat et l'amélioration du quotidien.
Il y a 4 ans et 185 jours

XtreeE remporte de nouveaux projets et accélère le développement de son réseau d'unités d'impression 3D

Un partenariat d'innovation pour la conception d'une passerelle en béton imprimé en 3D - une première mondialeEn prévision des Jeux Olympiques de 2024, Plaine Commune Grand Paris a confié au groupement dirigé par Freyssinet en association avec Lavigne & Cheron Architectes, Quadric, XtreeE et LafargeHolcim la conception et la réalisation d'une passerelle piétonne de 40 mètres dont le tablier sera entièrement réalisé en béton imprimé 3D structurel.Ce projet, qui combine des expertises technologiques complémentaires, ouvre la voie à la réalisation d'éléments architecturaux et structurels complexes en béton et au développement de solutions personnalisées sur mesure, à coûts et délais maîtrisés.Pour cette première mondiale, avec l'impression en 3D de béton structurel, la construction entre pleinement dans l'ère de l'industrialisation 4.0. La conception numérique de l'ouvrage, la réalisation dans des conditions industrielles des éléments de la passerelle et leur assemblage rapide sur le chantier apportent agilité et frugalité : moins de transport, suppression des coffrages, donc moins de matière consommée (objectif de réduction de 60% comparé aux ouvrages en béton) et une grande liberté dans les formes pour les architectes, dans un budget maîtrisé.Cet ouvrage, qui combine la conception numérique et la construction par impression 3D, sera précurseur d'une nouvelle typologie de conception, pouvant être déclinée en France et dans le monde… et valide pleinement le procédé d'impression 3D mis au point par XtreeE depuis 2015, date de sa création.Une technologie d'impression 3D hors site éprouvée offrant de multiples débouchésContrairement à la grande majorité des systèmes existants, le système d'impression « ouvert » développé par la startup permet d'imprimer non seulement divers types de béton - lui ayant permis de collaborer étroitement avec divers partenaires industriels (LafargeHolcim, Vicat, Heidelberg…) - mais aussi d'autres matériaux tels que les plâtres, les argiles et les géopolymères.Combinée à la préfabrication hors site, cette technologie protégée par plusieurs brevets internationaux permet d'accroître de manière significative la qualité garantie du rendu, d'abaisser les coûts, de diminuer les nuisances pour les riverains, d'augmenter la sécurité sur les chantiers et de réduire la pénibilité pour les ouvriers. XtreeE a ainsi été en mesure de démontrer la viabilité de l'impression 3D en prenant part à plus d'une quarantaine de réalisations et projets en cours, qu'il s'agisse d'éléments architecturaux, d'infrastructures ou encore de mobilier intérieur et extérieur. Parmi les plus emblématiques, on pourra notamment citer les pylônes télécoms conçus sur mesure par Art & Fact Innovation, la conception des murs porteurs des cinq maisons individuelles du projet « Viliaprint© » porté par le bailleur social Plurial Novilia, ou encore celui d'aménagement et de mobilier urbain, piloté par le Groupe Saint-Léonard et réalisé pour le compte de la ville d'Istres.La somme de ces réalisations témoigne non seulement de la croissance du marché de l'impression 3D pour la construction - estimé à près de 40 milliards de dollars US en 2027 à l'échelle mondiale - mais aussi et surtout de la maturité de la technologie développée par XtreeE, qui démontre sa capacité à passer à une dimension industrielle et internationale.L'ouverture prochaine de deux nouvelles unités d'impression 3D connectées aux États-Unis et au Japon en est la matérialisation. Elles lui permettent en outre de consolider son modèle de développement et conforte l'objectif qu'elle s'est fixé : structurer un réseau de 50 unités à l'horizon 2025.Un réseau d'unités d'impression 3D connectées pour une meilleure collaborationEn effet, après son usine pilote de Rungis, un premier système opérationnel à l'École des Ponts ParisTech (France) et l'ouverture aux Emirats Arabes Unis en juin 2019 d'une deuxième unité de production, opérée par Concreative, XtreeE accélère son déploiement pour atteindre cinq unités opérationnelles d'ici fin 2020, et en prévoit l'ouverture de deux autres dès le 1er trimestre 2021, en France notamment.Ce réseau doit permettre à terme de produire efficacement, aux quatre coins du globe, des éléments de construction structurels sur mesure, sur la base de sa technologie. « En se dotant d'une unité d'impression 3D connectée, nos clients acquièrent non seulement la capacité de produire eux-mêmes, au plus proche de leur marché, mais aussi celle de maîtriser la chaine numérique de conception de leurs réalisations en collaborant au sein du réseau que nous sommes actuellement en train d'étendre », conclut Alban Mallet.
Il y a 4 ans et 185 jours

Siniat veut diminuer son empreinte carbone tout en augmentant sa production

Siniat annonce des investissements conséquents, de plusieurs millions d’euros sur 5 ans, pour augmenter ses capacités de production et réduire son empreinte environnementale, afin de répondre à la croissance continue de la demande. Le principal projet de ce programme d’investissements est la rénovation complète du site industriel de Carpentras dont la taille va doubler. Afin de conforter sa position dominante sur le marché du Sud de la France, Siniat a mis en place dès 2018 une équipe projet et a acquis les terrains nécessaires à l’agrandissement du site en 2019. La production passera ainsi de 30 à 60 millions de m2. L’ambition de Siniat est de faire de ce site historique une usine modèle parmi les plus performantes et les plus compétitives d’Europe. Par ailleurs, l’entreprise investit pour réduire significativement son empreinte environnementale, notamment son empreinte carbone. Déjà engagé depuis plus de 10 ans dans le recyclage et l’économie circulaire en France, Siniat va encore plus loin en concentrant ses efforts autour de trois axes : – réduire de 20 à 30% l’énergie nécessaire à la fabrication d’une plaque de plâtre grâce à l’utilisation d’équipements moins énergivores favorisant la récupération d’énergie (projets de cogénération, acquisition de séchoirs modernes…), – augmenter la collecte des déchets de chantiers via son programme Eco Plâtre et intégrer toujours plus de plâtre recyclé dans sa production, – diminuer l’empreinte carbone en limitant drastiquement les transferts de produits d’un site à l’autre.
Il y a 4 ans et 185 jours

Uni, le BTP en appelle "au sens du bien commun" pour pouvoir assurer sa mission

19 organisations professionnelles de la construction ont signé une déclaration commune dans laquelle elles assurent que leurs entreprises feront tout pour maintenir l’activité sur le territoire. Elles en appellent à "la responsabilité collective" et au "sens du bien commun" pour que l'ensemble de la chaîne de production puisse fonctionner dans les meilleures conditions.
Il y a 4 ans et 185 jours

La rentrée confirme le redressement en cours pour le marché des matériaux de construction

Au troisième trimestre, les volumes produits dépassaient de +4% ceux de l'an passé pour les granulats et de +6% pour le BPE (données CVS-CJO), preuve qu'un rattrapage est bien à l'œuvre compte tenu de la décélération de l'activité qui était “normalement” attendue au second semestre 2020. Mais l'assèchement graduel des nouvelles prises de commandes, dans le gros œuvre comme dans les travaux publics, devrait modérer ce mouvement dans les prochains mois. Et la décision du re-confinement à fin octobre, même si cette fois le secteur du BTP n'est pas directement concerné, éloigne un peu plus encore la perspective d'un retour aux niveaux d'activité d'avant crise, d'ores et déjà hors de portée avant 2022.Un mois de septembre meilleur qu'en 2019Après trois mois d'été particulièrement vigoureux, le mois de septembre tempère la tendance. En repli par rapport au mois précédent, l'activité demeure néanmoins plus soutenue que celle de septembre 2019. Ainsi, selon les résultats provisoires de l'enquête mensuelle menée dans l'industrie des granulats, la production aurait baissé de -2,9% par rapport à août mais serait supérieure de +2,5% par rapport à celle de l'an passé (données CVS-CJO). Ainsi, au troisième trimestre,l'activité des granulats bondit de près de +35% par rapport au deuxième trimestre et de +4,3% au regard du troisième trimestre de 2019. En glissement sur les douze derniers mois,la chute d'activité se chiffre à -7,5% tandis que,en cumul sur les neuf premiers mois de l'année, la contraction atteint -9,5%. Du côté du BPE, les livraisons du mois de septembre, bien qu'en retrait de -2,9% sur août, sont 3% plus élevées que celles de septembre 2019. Sur les trois mois de juillet à septembre, la production de BPE a grimpé de +45,8% par rapport aux trois mois précédents et s'inscrit en hausse de +6% par rapport à la même période de l'an passé. De janvier à septembre, l'activité du béton prêt à l'emploi recule encore de -13,4% sur un an, tandis que, en glissement sur douze mois, le repli atteint -11,5% (CVS-CJO), des évolutions qui s'inscrivent pour le moment dans la trajectoire de nos estimations pour 2020.Notre indicateur matériaux, encore provisoire pour le mois de septembre, enregistre également un rebond au cours du troisième trimestre (+7,1% sur un an, données CJO) après le plongeon du premier et deuxième trimestre d'environ -15% et -19% respectivement. Ce redressement, bien que plus marqué pour certains produits, est généralisé. Sur les neuf premiers mois de l'année, l'activité du panier de matériaux suivie par l'indicateur ressort à -9,4% en glissement annuel.Des enquêtes aux tonalités diversesLa dernière enquête menée par l'INSEE auprès des professionnels du bâtiment en octobre traduit à la fois un rebond de l'activité passée mais aussi une certaine stabilisation de l'activité prévue. Cette stabilité recouvre en fait deux configurations distinctes avec d'un côté le logement neuf pour lequel les perspectives sont bien orientées et, de l'autre,le non-résidentiel où la tendance est plutôt baissière même si les soldes d'opinion demeurent encore largement au-dessus des moyennes de long terme. En tout état de cause, les carnets de commandes culminent à leur point haut historique, dépassant 9 mois dans le segment du gros œuvre. Il faut sans doute y voir le résultat des retards accumulés pendant le confinement dans un contexte où l'activité des entreprises reste actuellement bridée par les contraintes sanitaires, d'une part, et les tensions sur les capacités de production, d'autre part. En effet, en octobre, près de 42% des entreprises du bâtiment ne pouvaient accroître leur production, pour des raisons liées principalement au manque de personnel (19% d'entre elles), le manque de matériel ou de matériaux ne concernant que 1% du total.Pour autant,le jugement des chefs d'entreprise sur leurs carnets de commandes continue de se dégrader, preuve que,au-delà du stock de travaux à finaliser,ils perçoivent la raréfaction des flux de nouveaux chantiers. Pour le moment, l'activité est toujours alimentée par la purge des commandes qui devraient assurer encore plus d'un semestre de travail. Pendant ce temps, du côté des promoteurs, l'opinion sur la demande de logements neufs se dégrade et les taux de désistement progressent. De fait, en octobre, leurs perspectives de mises en chantier pour les trois prochains mois accusent un nouveau repli, le solde d'opinion correspondant repassant sous sa moyenne de longue période.Dans un contexte de hausse du prix moyen des logements neufs,les promoteurs sont plus nombreux qu'en juillet à anticiper une baisse à venir des moyens de financement consacrés aux achats de logements neufs. Il faut sans doute y voir l'illustration d'une tendance au resserrement des conditions d'octroi de crédit qui se confirme, notamment auprès des primo-accédants les plus modestes, en liaison avec les recommandations du HCSF* de fin 2019.Bâtiment / TP : rebond et perspectives contrastésPour l'heure, la construction de logements a repris de la vigueur, affichant une hausse de +42% (CVS-CJO) entre le deuxième et le troisième trimestre et un rebond de +6,3% par rapport à la même période de l'an passé (soit 386 500 unités sur un an à fin septembre).S'agissant des permis,si le redressement est très net aussi sur le trimestre (+43,6%), le niveau reste en deçà de celui de l'an dernier (-11,5%) à 393 300 autorisations. Quant aux locaux, le redémarrage est plus poussif. Les surfaces commencées restaient près de -13% en deçà du niveau du troisième trimestre de 2019 et les surfaces autorisées à -2,6%. Tous les secteurs accusent des replis marqués, notamment l'hébergement hôtelier,les bureaux,le commerce, les services publics. Seuls les entrepôts semblent tirer leur épingle du jeu, portés il est vrai par la récupération tardive de gros permis et l'ouverture, fin 2019, des chantiers du parc logistique e-valley, destiné à devenir le plus grand parc logistique d'Europe. Enfin, du côté des travaux publics, après une récupération estivale moins marquée que prévue, les perspectives pour les prochains mois s'assombrissent. En octobre, les professionnels des TP pointaient certes un net redémarrage des chantiers, notamment sous maitrise d'ouvrage privée, mais l'absence de rebond de la commande publique pèse sur leurs carnets de commandes jugés peu garnis. La chute des marchés conclus se poursuit (-16,2% en cumul sur les huit premiers mois de l'année et -9% sur un an au cours des trois mois d'été),laissant craindre un véritable trou d'air pour la fin 2020.* Haut Conseil de stabilité financière (HCSF)
Il y a 4 ans et 185 jours

Eiffage remporte un contrat de 120 millions d'euros pour la construction d'un parc photovoltaïque en Espagne

"Situé à Bonete, dans la province d'Albacete, le projet prévoit la réalisation de cinq centrales photovoltaïques contigües de 50 MWc (mégawatts crête) chacune, soit une puissance totale de 250 MWc", précise un communiqué d'Eiffage."Plus de 563.000 modules solaires" seront installés sur une superficie de 400 hectares.Ce "méga-parc photovoltaïque", qui doit être livré pour fin 2021, alimentera près de 122.000 foyers avec une production d'énergie annuelle estimée à 96,5 GWc, détaille le document.Depuis 2010, Eiffage Energia (filiale du groupe en Espagne dédiée aux infrastructures électriques) a construit 70 centrales solaires dans le monde, notamment en Espagne, en Afrique, en Amérique du sud et dans les Caraïbes, représentant plus de 2,3 GWc de puissance installée.
Il y a 4 ans et 185 jours

Comment déterminer le nombre de panneaux solaires à installer ?

Les panneaux solaires constituent une solution intéressante pour alimenter une maison. Cette installation électrique est très prisée pour sa facilité d’installation et son côté économique sur le long terme. Cependant, il importe de connaitre le nombre de panneaux requis pour obtenir la quantité d’électricité suffisante pour une consommation énergétique quotidienne. Installez un kit solaire en fonction de la surface disponible Divers paramètres doivent être pris en compte pour déterminer le nombre de panneaux solaires dont vous aurez besoin pour alimenter vos appareils au quotidien. Le premier est la capacité de couverture de votre toit. En moyenne, un bâtiment standard peut accueillir une douzaine de panneaux pour une superficie d’environ 20 m². Pour ne pas vous retrouver avec des panneaux solaires en surplus, pensez à calculer la production d’un kit solaire de type on-grid. En principe, dans de bonnes conditions, environ 16 panneaux sont requis pour obtenir un module photovoltaïque de 280 Wc. Calculez la consommation en électricité Outre la surface disponible, vous devez impérativement vous informer sur la puissance requise (en Watt) par chacun des appareils. Pour ce faire, vous calculez le temps d’utilisation de chaque équipement électrique. Puis, multipliez simplement la puissance de chaque appareil avec le temps d’usage journalier pour obtenir la consommation quotidienne d’un habitat. Pour une meilleure précision dans le calcul du nombre de panneaux solaires nécessaires pour votre alimentation électrique, divisez la totalité des dépenses énergétiques journalières par 5. Cependant, il est à noter que les saisons et la latitude influencent grandement sur la production photovoltaïque. Quantifiez la consommation électrique annuelle Parmi les éléments à considérer, vous devez également déterminer la consommation d’électricité par an (en kilowatts heures) du ménage. Vous pouvez trouver ce nombre mentionné sur la facture d’électricité de votre client. Dans un ménage, la consommation annuelle d’une personne est estimée à 1000 kWh environ. Dans ce cas, si vos clients vivent en couple avec deux enfants sous le même toit, leur consommation électrique annuelle est de 4000 kWh. En principe, plus sont nombreuses les personnes vivant dans la maison, plus la consommation énergétique par personne diminue. Votre client peut également définir par lui même le nombre de panneaux qu’il juge nécessaire. Déterminez la puissance des panneaux solaires Avant de passer à l’achat de vos panneaux solaires, prenez le temps de calculer leur puissance appelée également « puissance-crête ». Pour ce faire, vous divisez votre consommation annuelle par 0,85. La puissance crête désigne la quantité d’électricité que chaque panneau solaire est en mesure de produire lorsqu’il est placé dans des conditions idéales. Elle est exprimée en Watt-crête ou Wc. Il n’est pas toujours évident d’avoir des conditions réelles parfaites. Du coup, la production des panneaux solaires est estimée à environ 85 % de leur puissance-crête. Rappelons que 1Wc est égal à 0,85 kWh. Dans ce cas, si la puissance de vos panneaux s’élève à 250 Wc, réellement, ils ne produisent que 212,5 kWh. Les panneaux solaires pour optimiser l’autoconsommation Opter pour l’autoconsommation permet de profiter d’innombrables avantages, dont une production énergétique moins coûteuse. Elle constitue une solution alternative pertinente pour alimenter le foyer au quotidien à condition de bien sélectionner un kit solaire sur mesure adapté aux besoins. Pour optimiser la longévité d’usage de vos panneaux solaires, préservez-les de tout dommage. Ainsi, n’hésitez pas à investir dans une fixation panneau solaire toiture pour bien les maintenir sur votre toit.
Il y a 4 ans et 188 jours

Le PIB a rebondi de 18,2% au troisième trimestre, selon le rapport de l'Insee

Toutefois, il reste "nettement en dessous de son niveau d'avant-crise" puisqu'il est en retrait de 4,3% par rapport au troisième trimestre 2019, précise l'Institut national de la statistique, qui ne donne aucune prévision actualisée pour le dernier trimestre 2020 alors que le confinement devrait faire rechuter le PIB selon le gouvernement.Au troisième trimestre, le rebond est porté par la consommation des ménages, en hausse de 17,3%, en particulier pour les biens qui ont connu des "effets de rattrapage" après le confinement. Elle reste toutefois inférieure de 2,1% à son niveau d'avant-crise, les achats de services étant eux toujours à la peine.La consommation des administrations publiques, en nette progression, a elle rattrapé son niveau d'avant-crise, tandis que le rebond de l'investissement (+23,3%) n'a pas encore permis de combler l'écart par rapport au troisième trimestre 2019, détaille l'Insee.Du côté de la production de biens et services, là encore, le troisième trimestre signe une nette reprise (+17,6%), le retour à la normale étant quasi atteint dans les services non marchands, tandis que les productions de biens et de services marchands restent en retrait.Enfin, le commerce extérieur contribue positivement à l'évolution du PIB sur le trimestre, avec une forte hausse des exportations (+23,2%), même si elles n'ont pas retrouvé leur niveau d'avant-crise. "Les secteurs porteurs pour les exportations françaises (aéronautique, tourisme international, etc.) sont particulièrement atteints par la crise", souligne l'Insee.Le confinement avait fait s'écrouler l'économie française, avec une chute du PIB revue à 13,7% au deuxième trimestre (contre -13,8% estimé jusqu'ici).Pour l'ensemble de l'année 2020, l'Insee table sur une récession de 9%, avec une stagnation du PIB au dernier trimestre, mais c'était avant la décision du gouvernement de reconfiner le pays. Le gouvernement anticipe lui à ce stade un recul de 10% du PIB, mais le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a estimé jeudi que le confinement allait faire chuter l'activité économique de 15%.Il a d'ailleurs annoncé un renforcement des mesures de soutien aux entreprises, pour un coût estimé de 15 milliards d'euros pour un mois de confinement.
Il y a 4 ans et 188 jours

La récession plus grave que prévu en France sous le coup de la 2e vague et du reconfinement

Le produit intérieur brut (PIB) devrait se contracter de 11% a indiqué vendredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, alors qu'il prévoyait une baisse, déjà importante, de 10% jusqu'ici."On va avoir un quatrième trimestre qui va être difficile, forcément, on est confiné, l'économie française va tourner moins fort que d'habitude", a prévenu le ministre sur France Inter.En début de semaine, il avait estimé qu'après son rebond du troisième trimestre, le PIB allait rechuter au dernier trimestre, avec une contraction de 15% de l'activité durant le confinement, du fait de la fermeture imposée des commerces, restaurants ou encore des lieux de culture.C'est moins que lors du premier confinement, où elle avait chuté de plus de 30%, car les restrictions sont un peu moins fortes qu'au printemps, avec les établissements scolaires ouverts et une poursuite du travail plus importante grâce aux protocoles sanitaires définis ces derniers mois.Mais avant même le reconfinement, l'économie a marqué des signes de faiblesse, avec des indicateurs dans le rouge: le moral des ménages a baissé en octobre, le climat des affaires a décliné pour la première fois depuis mai, et les perspectives d'activité des entreprises du secteur privé ont continué de se dégrader, après un premier coup d'arrêt en septembre.Pour Selin Ozyurt, économiste chez Euler Hermes, la nouvelle prévision du gouvernement pour 2020 "suppose aussi qu'il a déjà intégré la possibilité d'un confinement au-delà de quatre semaines", sans doute plutôt "six semaines".Et elle craint une "double peine" pour les entreprises, car un confinement plus long amputerait la période des achats de Noël, explique-t-elle à l'AFP.Le gouvernement compte lui sur le renforcement des mesures de soutien en vigueur pour les entreprises et les salariés, afin d'éviter licenciements et faillites, notamment dans les secteurs déjà fragilisés par le premier confinement et de nouveau durement touchés.Il va débloquer 20 milliards d'euros pour les financer, Bruno Le Maire estimant qu'elles coûtent 15 milliards d'euros pour un mois de confinement.Le patronat craint un "écroulement" de l'économie, a dit le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux, qui a qualifié d'"erreur" la fermeture de la plupart des commerces.Ces mesures "ont fonctionné" au printemps, a pourtant défendu Bruno Le Maire, mettant en avant la vigueur du rebond de l'économie au troisième trimestre.Rebond mais pas rattrapageLe PIB a progressé de 18,2% par rapport au trimestre précédent, où il s'était effondré de 13,7% selon une première estimation publiée vendredi matin par l'Insee."On voit bien que dès lors que le virus ne circule plus, et le troisième trimestre le montre, la France a une capacité de rebond extraordinaire", a jugé Bruno Le Maire, appelant les Français à respecter le confinement pour endiguer au plus vite l'épidémie.Mais le PIB est resté "nettement en dessous de son niveau d'avant-crise", a aussi souligné l'Insee. Il était en retrait de 4,3% par rapport au troisième trimestre 2019, précise l'institut, qui ne donne aucune prévision actualisée pour le dernier trimestre 2020.L'institut table aussi toujours sur une récession de 9% cette année, prévision faite avant le reconfinement et qui reposait sur une stagnation du PIB au dernier trimestre.Au delà du strict effet du confinement, la résurgence de l'épidémie renforce l'incertitude sur l'avenir, ce qui n'incite pas les ménages à consommer ni les entreprises à investir, éléments clés d'une future reprise.Au troisième trimestre, le rebond de l'économie a été porté par la consommation des ménages, en hausse de 17,3%, mais elle est restée inférieure de 2,1% à son niveau d'avant-crise. En septembre, leur consommation a même nettement reculé.Et si l'investissement a aussi rebondi, l'écart par rapport au troisième trimestre 2019 n'a pas été comblé. Même chose du côté de la production de biens et services, tandis que le commerce extérieur ne devrait pas non plus soutenir l'économie."Il y a beaucoup d'incertitudes pour le début de l'année prochaine", estime Selin Ozyurt, qui s'interroge sur le "profil" de la reprise: "La rechute va être forte et nous ne sommes pas sûr de pouvoir rebondir au premier trimestre 2021".
Il y a 4 ans et 188 jours

Le gouvernement va revoir à la baisse les aides aux parcs solaires provocant la colère de la filière

Cette révision devait être introduite dans le projet de loi de finance (PLF) initial, puis avait été retirée par le gouvernement pour laisser place à la concertation avec la filière, totalement opposée à un changement.Elle va revenir finalement sous la forme d'un amendement du gouvernement dans les prochains jours, a-t-on indiqué dans l'entourage de la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et du ministre des Comptes publics, Olivier Dussopt."Il y a un intérêt général à modifier ces contrats parce qu'il y a une rémunération excessive", a-t-on fait valoir.En 2006, les tarifs de rachat de la production solaire étaient de l'ordre de 600 euros le mégawattheure, soit dix fois les prix de marché actuels.Entre 2006 et 2010, les coûts ont été divisés par quatre pour les industriels du secteur, sans que les tarifs ne soient revus en proportion pour cette période. Un moratoire avait ensuite instauré un nouveau régime fin 2010."Autour des années 2010, le soutien n'a pas su être réajusté en tenant compte de la chute des coûts de la filière", fait-on valoir au gouvernement."Il y a une rente pour certains énergéticiens" et c'est devenu "un soutien au détriment du contribuable et d'autres énergies renouvelables", selon ces sources.Seuls les plus gros contrats seront touchés par la révision. Les installations de moins de 250 KW environ ne seront pas concernées, afin d'épargner les particuliers, agriculteurs ou petits professionnels.Sur une dépense annuelle qui représente 600 à 800 millions d'euros par an pour ces contrats, l'État attend une économie de l'ordre de 300 à 400 millions.Daniel Bour, président d'Enerplan, le syndicat des professionnels de l'énergie solaire, a aussitôt dénoncé une révision "incompréhensible" et "sans précédent"."La remise en cause d'une signature de l'État, c'est une catastrophe au moment de la transition énergétique", a-t-il réagi auprès de l'AFP, estimant que cette mesure poserait un problème de "confiance"."On juge avec dix ans de retard, c'est totalement anachronique. Les gens ont été des pionniers, ils ont pris des risques énormes parce qu'il n'y avait pas de financement à l'époque", a-t-il aussi fait valoir.Les professionnels demandent ainsi au gouvernement de renoncer à son amendement et de revenir à la table des négociations.La filière photovoltaïque se mobilise contre le projet Les entreprises des énergies renouvelables et en particulier celles de la filière solaire photovoltaïque, réunies dans le collectif ‘Solidarité Renouvelables' se mobilisent contre la volonté manifestée par le gouvernement de forcer par la loi de finances pour 2021 une mesure rétroactive unilatérale visant à revoir à la baisse certains contrats d'achat d'électricité solaire antérieurs à 2011.Constitués en collectif réunissant plus de 400 entreprises et incluant les fédérations professionnelles SER et ENERPLAN, les acteurs des énergies renouvelables et en particulier ceux de la filière solaire photovoltaïque, dénoncent l'impact considérable qu'une telle mesure aurait sur les entreprises (grands groupes, ETI, PME…) qui la composent :Perte de la confiance des banques et des investisseurs dans les projets photovoltaïques, avec des répercussions possibles sur les autres énergies renouvelablesMenace sur la solvabilité, avec la faillite des installations photovoltaïques touchées par la mesure et un risque de disparition des entreprises qui les portent,Menace sur l'emploi de la filière, notamment dans les territoires qui ont beaucoup investi dans le solaire,Menaces enfin sur les bailleurs (notamment agricoles) des installations photovoltaïques et sur les emplois indirects dépendant de la filière.Cette filière est composée de tous types d'entreprises : grands groupes, ETI, et petits acteurs territoriaux et innovants. Si elle a pu se développer jusqu'à aujourd'hui, c'est grâce à l'intangibilité des contrats signés entre l'État et les opérateurs, clé-de-voûte de la confiance des banques et des investisseurs dans la filière. Sans cette confiance dans la stabilité du cadre contractuel et dans la signature de l'État, c'est tout l'édifice de financement et d'investissement qui s'écroule, y compris pour les projets futurs : aucune banque, qui aura perdu des centaines de millions d'euros dans des centrales solaires à cause du raccourcissement autoritaire des contrats, n'ira prêter dans des conditions compétitives à de nouveaux projets d'énergies renouvelables.Au moment où l'État veut attirer les investisseurs dans la filière hydrogène par des contrats d'achat d'énergie garantis, il sape inexplicablement la confiance qu'il a pu construire depuis dix ans avec les acteurs du photovoltaïque.Au contraire, la filière, dans un esprit de responsabilité, et comprenant les enjeux budgétaires qu'imposent les circonstances actuelles, a proposé aux pouvoirs publics de créer un fonds à impact dédié à de nouveaux projets dans les filières d'avenir pour la transition énergétique. En s'engageant sur une rentabilité réduite de ses investissements, il permettra un allègement de la charge de l'État dans le soutien à ces filières ; le gain budgétaire sera au moins aussi important que le bénéfice attendu de la rupture des contrats photovoltaïques. Surtout, ayant vocation à être un bras armé du Plan de Relance et de la Programmation pluriannuelle de l'énergie, ce fonds permettra de soutenir l'émergence de nouvelles filières et la réindustrialisation de nos territoires.
Il y a 4 ans et 188 jours

Rencontre avec : Warren & Laetitia

Warren et Laetitia se sont rencontrés sur les bancs de l’université Panthéon-Sorbonne, puis sont partis étudier à l’université de Strasbourg. Après l’obtention de leur diplôme de master en design, Waren s’est formé dans l'agence de l’architecte et designer Antoine Phelouzat à Paris, Laetitia a fait ses armes auprès de la designeuse industrielle Irena Übler au Portugal. En 2018, ils décident de travailler ensemble et fondent le studio warren & laetitia. Muuuz : Quand et pourquoi avez-vous choisi de créer ensemble votre studio de design ?Warren et Laetitia : Nous avons décidé de nous associer en 2019, un an après la fin de nos études. Suite à nos expériences professionnelles respectives, nous avons ressenti le besoin de créer notre propre studio de design et eu envie de continuer à travailler ensemble comme nous avions pu le faire à plusieurs reprises durant nos études.Quels objets avez-vous commencé par imaginer et fabriquer ?Notre premier objet imaginé ensemble pour notre studio est la soucoupe pour plantes baptisée « flocflac ». Aujourd’hui édité par batch.works, cet objet n’est pas fabriqué par notre studio. Notre premier objet produit en auto-édition est le double bougeoir 2.20.Vous fabriquez principalement des objets imprimés en 3D à partir de matériaux recyclés et recyclables. Pourquoi avez-vous choisi ce mode de production ?Dans un premier temps, nous n’avions pas envisagé l’impression 3D comme un mode de production. C’est d’ailleurs pourquoi la soucoupe Flocflac a évolué entre le prototype que nous avions réalisé et l’objet produit par batch.works. Nous avons dû redessiner la soucoupe pour l'adapter à la production en impression 3D. C’est comme ça que nous avons commencé à concevoir des objets spécifiquement pour être produits en impression 3D. Ce mode de production nous permet de produire nos objets nous-même et donc de garder la main sur la qualité et le contrôle de la chaine de production.Le choix de matériaux s’est fait assez naturellement car nous ne voulions pas travailler avec des matériaux non recyclables. Assez rapidement, nous avons commencé à collaborer avec Reflow qui produit du filament pour impression 3D recyclé à 95% et recyclable jusqu’à dix fois. Cela nous semble être une bonne alternative, car le plastique est un matériau de moins en moins apprécié, on l’associe directement au plastique à usage unique qui est une énorme source de pollution. Travailler en collaboration avec Reflow, qui recycle justement du plastique à usage unique, nous permet de produire des objets en plastique recyclé à usage multiples. Cette démarche a beaucoup de sens pour nous.Quels sont les avantages de l’impression 3D ? L’impression 3D comme mode de production a différents avantages. Elle nous permet notamment de travailler avec très peu de stock et de posséder nos propres machines. Aujourd’hui, nous travaillons avec quatre imprimantes qui nous permettent de répondre assez rapidement à nos commandes d’autant plus que nous imaginons nos objets en prenant toujours en compte leur temps de fabrication afin d’optimiser au mieux notre production.Et ses inconvénients ?Selon nous, les principaux inconvénients de l’impression 3D sont liés à nos choix de conception. Nous essayons de concevoir autant que possible des objets « rapides » à produire. Les imprimantes 3D sont parfois un peu capricieuses surtout quand nous cherchons à obtenir un rendu précis. Nous passons donc beaucoup de temps à affiner les réglages de nos machines mais c’est cool et satisfaisant. C’est sûrement notre côté un peu nerd.Vous fabriquez des objets du quotidien, et proposer de les concevoir selon trois principes : la modularité, la possibilité de réglage ou d’ajustement, et l'appropriation. C'est-à-dire ?Oui, nous aimons concevoir des objets du quotidien, tout en y intégrant certains principes auxquels nous tenons beaucoup. Par exemple, le demi-vase Mimo est une extension de bocal alimentaire. Chaque demi-vase est compatible avec au moins deux diamètres de bocaux, ce qui permet une certaine flexibilité. C’est ce processus d’appropriation de l’objet qui nous intéresse. On peut choisir son bocal avec lequel on veut faire un vase et le changer ou non. La notion de choix est centrale dans notre studio car nous souhaitais laisser aux utilisateurs le choix de l’usage. Le double bougeoir est un autre exemple, c’est un seul objet pour deux usages potentiels, pas radicalement différent l’un de l’autre, mais quand même différent. Tous nos objets ne sont pas pensés en suivant systématiquement ces principes, mais dès que l’on peut on essaie de leur appliquer. C’est une méthode de travail assez intéressante parce que cela peut donner naissance à des formes nouvelles. Depuis 2019, vous travaillez avec batch.works. Comment abordez-vous cette collaboration ?Nous avons beaucoup de chance de collaborer avec batch.works car ce partenariat a commencé très peu de temps après la création de notre studio. Batch.works nous a contacté pour éditer notre premier objet : la soucoupe pour plantes Flocflac. C’est une collaboration qui s’est fait rapidement et c’était chouette car cela nous a permis de participer au London design festival en 2019.Quelle est votre démarche créative ?C’est une bonne question ! Nous dessinons assez peu surtout parce que nous avons la possibilité de prototyper très tôt et très vite grâce à l’impression 3D. La plupart du temps, nous faisons plusieurs prototypes imprimés en 3D et nous échangeons beaucoup entre nous sur les changements à apporter. C’est d’ailleurs la seule chose que nous faisons vraiment à deux, car c’est dans l’échange que nous trouvons les réponses aux problèmes qui se posent lors de la création de nos objets. De plus, le fait de passer par l’impression 3D lors du prototypage nous permet aussi d’anticiper toutes les questions liées à la production du futur objet, car nous utilisons la même machine pour prototyper et produire nos objets.Pouvez-vous nous parler de votre approche écoresponsable du design ?Nous avons un peu de mal avec l’adjectif écoresponsable, c’est d’ailleurs pourquoi nous ne l’employons jamais pour qualifier notre travail. Nous faisons des choix qui nous semblent évidents comme la production locale, les matériaux recyclés et recyclables français ou européens, et nous ne proposons pas d’expédition en dehors de l’Europe. Nous allons d’ailleurs bientôt pouvoir proposer une livraison à vélo à Paris. Mais cela ne fait pas partie d’une stratégie qu’on pourrait qualifier d’écoresponsable parce que c’est juste du bon sens pour nous et on ne se voit pas faire autrement. Le terme « écoresponsable » est polysémique et ses critères réels restent flous. Nous ne préférons donc pas l’utiliser par peur de tomber dans le champ lexical du greenwashing. Et après ?Aujourd’hui, nous avons plusieurs idées de projets auxquelles nous réfléchissons et que nous souhaiterions développer mais, comme nous travaillons souvent en autoédition, la production de nos objets nous prend beaucoup de temps. Nous aimerions beaucoup fabriquer notre propre plastique recyclé, mais c’est assez complexe surtout pour obtenir un matériau stable donc c’est plutôt de l’ordre du rêve… Sinon nous souhaiterions proposer des objets composés uniquement de matériaux recyclés. Pour certaines couleurs, nous ne trouvons pas de matériaux recyclés. Pour en savoir plus, visitez le site du studio warren & laetitia. Visuels : © warren & laetitiaLa Rédaction  
Il y a 4 ans et 188 jours

Panasonic présente sa nouvelle unité de ventilation

Aujourd'hui, les maisons neuves doivent répondre à des normes élevées avec la construction de murs, de fenêtres et de portes quasiment étanches, sans interstices. Même si ces normes garantissent une efficacité énergétique accrue et permettent de prévenir les courants d'air ou une ventilation non contrôlée, il est primordial en parallèle d'améliorer la qualité de l'air intérieur. Pour ce faire, un système de ventilation efficace, tel que la nouvelle unité PAW-A2W-VENTA, est idéal.Panasonic n'a de cesse de développer des systèmes capables de garantir une efficacité énergétique accrue afin de répondre à la demande de bâtiments à consommation d'énergie quasi nulle (« Nearly Zero-Energy Buildings » ou NZEB). Cette nouvelle unité de ventilation avec récupération de chaleur est donc la solution idéale, notamment pour les habitations à basse consommation. Elle permet d'assurer la qualité de l'air intérieur, mais également de récupérer la chaleur qui, avec une simple ventilation, aurait été perdue. Conformément à la directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments (DPEB), l'objectif est ici de réduire les besoins en chauffage.Des solutions compactesConçue pour les surfaces allant jusqu'à 140 m², la nouvelle unité compacte de Panasonic peut être combinée avec les pompes à chaleur air-eau de la gamme Aquarea pour le chauffage, la climatisation, la ventilation et la production d'eau chaude sanitaire. Idéale pour les espaces restreints, l'association des deux systèmes représente un véritable gain de place en termes d'installation. Pour s'adapter à tous les besoins, l'unité se décline en deux modèles : l'un avec une sortie d'air à gauche, l'autre avec une sortie d'air à droite. L'unité dispose également d'un échangeur de chaleur rotatif à haute efficacité énergétique, lui-même doté de ventilateurs EC et d'une fonction de transfert d'humidité afin de prévenir la condensation dans l'air en hiver.Il est possible de combiner cette unité de ventilation avec d'autres solutions de Panasonic, telles que la pompe à chaleur Aquarea compacte avec ECS intégrée. Elle peut être aussi installée au-dessus du ballon ECS d'un système Aquarea monobloc ou bi-bloc, ou bien sur un mur à l'aide des supports muraux fournis par Panasonic.Une interface intuitive et convivialeDans un monde toujours plus digital, Panasonic répond aux besoins de ses clients en proposant une interface à la fois intuitive et conviviale. Il est possible d'accéder à l'ensemble des paramètres et fonctionnalités de l'unité PAW-A2W-VENTA grâce à un tableau de commande facile d'utilisation, intégré à l'avant. Il est également possible de connecter jusqu'à 10 tableaux de commande externes via un seul et même système. Autres avantages : la programmation hebdomadaire des points de consigne du ventilateur et de la température, ou encore le menu affichant le temps de filtrage restant (particulièrement pratique pour l'entretien du filtre).En combinant l'unité de ventilation avec la pompe à chaleur Aquarea, il est possible de gérer les deux solutions à l'aide d'une seule commande. Doté de nombreuses fonctionnalités, le système dispose entre autres d'un mode manuel et d'un mode automatique, et offre la possibilité de sélectionner ses paramètres favoris parmi les modes utilisateur préconfigurés.FonctionnementParticulièrement efficace, l'unité de ventilation filtre et fournit un air frais afin de garantir un environnement sain et un confort optimal. Pour ce faire, l'unité :extrait l'air des pièces humides comme la cuisine ou la salle de bain;aspire l'air frais extérieur via un système de tuyauterie et, à l'aide de l'échangeur de chaleur, récupère 84% de la chaleur de l'air extrait avant de la transférer dans l'air soufflé;diffuse l'air frais dans des pièces sèches comme le salon ou les chambres.Pour en savoir plus, consulter le site www.aircon.panasonic.fr.
Il y a 4 ans et 188 jours

Tectone - Portrait

L’architecte urbaniste Pascal Chombart de Lauwe fonde Tectone en 1986 avec Jean Lamude (décédé en 1996). Etienne Chevreul-Demas devient associé en 2017. Bien que les normes complexifient la production des logements, l’agence Tectone, forte d’une expérience de trente ans dans le domaine, défend qu’il est possible d’en […] Lire l'article