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Il y a 4 ans et 189 jours

Nouvelle grève à la raffinerie Total de Grandpuits en Seine-et-Marne

"Pas une goutte de carburant ne sortira entre jeudi 6H00 et samedi 6H00", "nous réclamons des discussions sur l'emploi dans le cadre du PSE" (plan de sauvegarde de l'emploi), a déclaré Adrien Cornet, délégué CGT (majoritaire)."Suite à l'appel à la grève de 48h, votée par la CGT FO et la CFDT, a indiqué Total mercredi soir, les expéditions de produits de la raffinerie de Grandpuits pourraient être perturbées, mais Total continuera à assurer les approvisionnements de son réseau de station-service et de ses clients".Les expéditions de carburant avaient déjà été bloquées le 13 octobre par un arrêt de travail mené par une intersyndicale. Total a annoncé en septembre que le raffinage à Grandpuits cesserait "fin 2023". Il doit laisser place à un projet de reconversion centré sur la production de biocarburants et de bioplastiques, et à l'exploitation de deux centrales solaires photovoltaïques, selon le géant pétrolier.D'un budget de 500 millions d'euros, ce redéploiement n'entraînera aucun licenciement mais des départs à la retraite anticipée et des mobilités internes vers d'autres sites, avait affirmé Total.Le groupe avait assuré que 250 postes sur les 400 que compte aujourd'hui la plateforme de Grandpuits et le dépôt associé de Gargenville (Yvelines) seraient maintenus.Un scénario auquel ne croient pas les syndicats, qui craignent la suppression de "700 emplois direct et indirects" et réclament "des réunions pour pouvoir discuter de l'emploi"."Total refuse de discuter ce chiffre de 250 postes, mais cela ne suffira pas, il y aura des trous énormes dans l'organigramme, qui ne permettront pas d'assurer la sécurité et la maintenance" du site, estime Adrien Cornet. Une nouvelle assemblée générale doit se tenir mardi prochain pour décider de la suite à donner au mouvement, a indiqué la CGT.
Il y a 4 ans et 189 jours

Disneyland Paris va se doter de la plus grande ombrière photovoltaïque d'Europe

Disneyland Paris a entamé la construction d'une centrale solaire grande comme 24 terrains de football au-dessus du parking, dont la capacité de production représentera à terme 17% des besoins en énergie du site.
Il y a 4 ans et 190 jours

Référence: Maurice Blanc, moderne Grenoblois

L’architecte urbaniste Pascal Chombart de Lauwe fonde Tectone en 1986 avec Jean Lamude (décédé en 1996). Etienne Chevreul-Demas devient associé en 2017. Bien que les normes complexifient la production des logements, l’agence Tectone, forte d’une expérience de trente ans dans le domaine, défend qu’il est possible d’en […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 190 jours

Mariage à 1,2 milliard de dollars dans les énergies renouvelables en Norvège

"L'hydroélectrique et le photovoltaïque sont des technologies complémentaires qui offrent des opportunités de nouveaux projets, par exemple des panneaux solaires flottant sur des réservoirs de barrages", a fait valoir le directeur général de Scatec Solar, Raymond Carlsen, dans un communiqué.Le groupe, qui a signé un accord contraignant avec le fonds étatique d'investissement dans les pays en développement Norfund, actuellement propriétaire de SN Power, dit vouloir devenir un acteur multicartes, présent dans le solaire, l'hydroélectrique, l'éolien et le stockage d'électricité.Après le rachat, il sera implanté dans 14 pays, y compris des marchés en expansion en Asie du Sud-Est et l'Afrique subsaharienne, et affichera une capacité de production de 3,3 GW avec ses unités existantes et celles en cours de construction.Pour refléter la diversité de ses activités, Scatec Solar dit vouloir changer son nom et devenir Scatec.L'opération devrait être bouclée au premier semestre 2021.
Il y a 4 ans et 190 jours

Cédric O défend la 5G face aux réticences de la maire EELV de Strasbourg

"La 5G, qui sera déployée en France d'ici la fin de l'année", va devenir "à court terme" une "technologie indispensable pour éviter la saturation des réseaux 4G, compte tenu de l'augmentation de la consommation", a plaidé M. O dans un entretien accordé aux Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA) et mis en ligne mardi soir sur le site du quotidien régional.En raison du conseil de défense sur le Covid, M. O avait dû annuler mardi un déplacement dans le Bas-Rhin sur le thème de la "couverture mobile et du déploiement du très haut débit et de la 5G".Interrogé sur les réticences de la maire EELV de Strasbourg, Jeanne Barseghian, cosignataire mi-septembre avec plusieurs élus de gauche et écologistes d'une tribune réclamant un moratoire sur le déploiement de la 5G, M. O a pointé "une forme d'hypocrisie de la part de certains élus sur la question de la 5G, alors que cette technologie consomme moins d'énergie que la 4G".Le secrétaire d'État avait déjà vivement dénoncé il y a une quinzaine de jours dans un entretien au Parisien le moratoire sur la 5G voté par la ville de Lille."La Ville de Strasbourg a acheté il y a quelques années un outil de mesure d'exposition aux ondes", a-t-il poursuivi, expliquant que la collectivité avait donc "la possibilité de vérifier ce que changera la 5G".Les contrôles des émissions d'ondes électromagnétiques, effectués majoritairement à la demande des communes et des associations, "seront renforcés" et portés à "10.000 en 2021, dont 4.800 dédiés à la 5G", a-t-il confirmé."Si la maire de Strasbourg a un doute, nous sommes disposés à en faire autant qu'il faudra à Strasbourg", a ajouté M. O.Alors que certains élus de l'Eurométropole de Strasbourg, dont Mme Barseghian, ont émis des réserves quant au projet d'implantation locale d'une usine de production d'équipements pour la 4G et la 5G du géant chinois des télécoms Huawei, il a également insisté sur le fait que "la 5G, c'est aussi beaucoup d'emplois"."Il faut que les maires se rendent compte de l'impact économique que peuvent avoir leurs prises de position", a-t-il mis en garde.
Il y a 4 ans et 190 jours

Une ambitieuse stratégie industrielle du Groupe Bouyer Leroux basée sur les synergies entre les filiales et sur le développement durable & énergétique

Une croissance organique et par acquisitionsLe groupe Bouyer Leroux compte, aujourd'hui, 1500 collaborateurs dont 650 en Pays de la Loire. Il dispose de 26 sites industriels et réalise un chiffre d'affaires de 350 millions d'euros (clos fin septembre 2020). Le siège social est à la Séguinière (49) et le restera.Attaché à ses valeurs et ses origines coopératives (profil d'industriel long-termiste, transparence, client placé au cœur de la stratégie, qualité et innovation, droits et devoirs, respect, partage), il poursuit son développement par croissance organique et croissance externe.La fusion-absorption de Bouyer Leroux Structure (ex. Imérys Structure) dans la SCOP Bouyer Leroux a été votée à une quasi-unanimité par l'Assemblée Générale en février 2018, et elle a donné naissance à la 2ème plus importante SCOP industrielle de France. Comme prévu au moment du rachat, les 300 salariés de Bouyer Leroux Structure ont été intégrés à la SCOP Bouyer Leroux, par groupe de 100 sur 3 années. Le parcours sociétaire a été repensé à cette occasion.La dernière acquisition en 2019 a été Panaget (3 sites industriels), leader sur le marché français du parquet contrecollé en chêne, qui a permis au Groupe Bouyer Leroux de développer ses activités sur le marché de la rénovation et de la décoration des logements en France, et à l'export (principalement aux USA, en Angleterre et en Suisse).Un développement durable et équilibré par la diversification de ses activitésCes dernières années, le rythme soutenu d'acquisitions et le développement d'activités nouvelles a notamment répondu à l'objectif stratégique de développement durable et équilibré du Groupe (solutions permettant de construire et rénover un habitat éco-performant, diversification neuf/rénovation, collectif/maison individuelle, structure et équipement intérieur ou extérieur des logements). Il y a 7 ans, Bouyer Leroux réalisait 80% de son chiffre d'affaires dans la construction de logements neufs. Au terme de l'exercice clos le 30 septembre 2020, la part de la rénovation dans le chiffre d'affaires total du Groupe est égale à celle de la construction neuve.En complément des opportunités de croissance externe, Bouyer Leroux souhaite aussi développer des partenariats (investissement dans des start-up ou incubateurs, coopération industrielle, achat de licences de production) pour intégrer des nouveaux procédés de fabrication de produits éco-performants au sein de ses usines terre cuite, poursuivre le développement de la société Bouyer Leroux à l'origine du Groupe éponyme, et assurer ainsi la pérennité des sites et leurs emplois. Une cellule de Business Development et une fonction de business développer ont été créées pour réussir cet ambitieux projet.La stratégie du Groupe Bouyer LerouxLa stratégie du Groupe vise à atteindre une taille critique par une croissance équilibrée et durable, plus rapide et rentable que ses concurrents, par un management efficace des hommes et des projets, par une gestion exemplaire des ressources et un développement planifié de solutions innovantes, pour créer plus de valeur ajoutée pour les clients, les filiales du Groupe, les collaboratrices et collaborateurs, les sociétaires et ainsi garantir sa pérennité, son attractivité et son indépendance.Les objectifs stratégiques du Groupe sont d'intégrer pleinement la transition énergétique dans ses procédés de fabrication et de développer son offre de solutions éco-performantes pour la construction et la rénovation des logements en France et en Europe.Dans le cadre de cette stratégie, le Groupe Bouyer Leroux prévoit de réaliser à minima un grand projet structurant, de continuer à investir dans l'effacement de son empreinte carbone, et de porter la part de la rénovation à 60% de son chiffre d'affaires qui devrait atteindre 450 millions d'euros d'ici à 2025.Synergies intra-groupeSynergies logistiquesLe Groupe a mis en place la possibilité pour les filiales de gérer des stocks distants, hébergés par des sociétés sœurs, renforçant ainsi les maillages et la proximité avec les clients.Bouyer Leroux Terre cuite (BLTC) stocke sur le site Soprofen de Mertzwiller pour améliorer son service livraison sur l'Est.Synergies R&DPartage des savoir-faire/expertises, développement de solutions en commun.Partage de ressourcesL'ingénieure thermicienne BLTC fait aussi des calculs thermiques pour SPPF et Thébault.Développements communsLes jonctions menuiseries/gros œuvre sont un sujet d'importance. La collaboration SPPF/ BLTC a permis l'intégration d'une nouvelle joue aux coffres commercialisés par BLTC. D'autres projets sont en cours.Synergies industriellesAu sein des métiers/entre les métiers :Retour d'expériences de Panaget pour la mise en place de foyers biomasse chez BLTC.Partage d'une ressource autour de l'industrialisation/travaux neufs entre Thébault et BLTC.Synergies achatsOptimisation et sécurisation des approvisionnements.Meilleures conditions d'achats auprès des fournisseurs grâce aux effets de volumes : moteurs de volets roulants pour les sociétés SPPF, FLO et Soprofen.Synergies commercialesPrescriptions et ventes croisées entre les sociétés du Groupe.Mise en relation à l'occasion de la traditionnelle soirée des vœux qui se fait au niveau du Groupe depuis 2 ans.L'équipe de 15 chargés de prescription bio'bric va porter à partir de cet exercice les produits Panaget auprès des promoteurs et constructeurs de maisons individuelles.ProspectivesLe Groupe Bouyer Leroux a fait face à la crise sanitaire et déployé des dispositifs permettant d'offrir à ses salariés les meilleures conditions sanitaires tout en continuant de bien servir ses clients dans ce redémarrage de l'activité des chantiers, qui du mois de mai au mois de septembre, peut être qualifié de « violent ».Alors que le gouvernement vient de mettre en place un plan d'appel à projets autour de 200 M€ pour 2020, le Groupe va candidater pour ses projets futurs afin de renforcer voire d'accélérer encore son plan de transition énergétique. Toutes les démarches engagées aujourd'hui au niveau du Groupe sont transcrites dans la DPEF publiée annuellement.Fidèle à ses valeurs coopératives d'origine, à ses valeurs humaines et sa culture entrepreneuriale, à sa culture de qualité et d'innovation, le Groupe Bouyer Leroux envisage son avenir avec confiance et l'ambition réaffirmée d'être un acteur référent de l'habitat éco-performant, un industriel reconnu pour sa contribution au développement de l'emploi et de l'économie circulaire dans les territoires de France.
Il y a 4 ans et 191 jours

Le Groupe Velux s'engage pour une « neutralité carbone à vie » en partenariat avec le WWF

Le Groupe VELUX a annoncé son nouvel engagement d'atteindre la «neutralité carbone à vie» d'ici son 100e anniversaire en 2041. Cet engagement amènera le Groupe, leader sur le marché des fenêtres de toit, à capturer l'équivalent de son empreinte carbone historique[1], soit 5,6 millions de tonnes de CO² (scope 1 et 2[2]) émises depuis sa création en 1941. Cette ambition va se concrétiser grâce à des projets de conservation des forêts supervisés par le WWF.Conformément aux objectifs ambitieux fixés par l'accord de Paris sur le climat, qui vise à limiter l'augmentation de la température mondiale à 1,5 °C, le Groupe VELUX s'est engagé dans cette trajectoire afin de réduire significativement les émissions de carbone liées à son activité et à sa chaîne de valeur (scopes 1, 2 et 3[3]).La « neutralité carbone à vie » est un nouvel engagement pionnier développé par le Groupe VELUX en collaboration avec le WWF International, visant à assumer la responsabilité des émissions de carbone passées et futures. Cette ambition innovante vise à capturer l'équivalent des émissions de carbone historiques du Groupe VELUX et vise à préserver en même temps les inestimables forêts naturelles et la faune du monde entier.« La planète fait aujourd'hui face à une crise grave en termes de climat et de biodiversité, ce qui nécessite des mesures exceptionnelles. En accord avec nos valeurs d'entreprise, nous cherchons à faire toujours plus que la majorité ; c'est donc pour cela que nous avons développé l'engagement de "neutralité carbone à vie". Cet engagement novateur implique un partenariat de 20 ans avec le WWF International, afin de capturer l'équivalent de nos émissions de carbone historiques d'ici 2041. Nous réduirons également significativement nos futures émissions de CO² et demandons à nos fournisseurs de faire de même. Nous espérons que d'autres sociétés trouveront là l'inspiration de parvenir elles mêmes à une "neutralité carbone à vie", afin de créer un futur durable pour toutes et tous. »- David Briggs, PDG du Groupe VELUXPour atteindre une « neutralité carbone à vie » le Groupe VELUX collabore avec le WWF en investissant dans des projets forestiers et de préservation de la biodiversité jusqu'en 2041. Ceux-ci contribueront à stopper la détérioration d'habitats naturels, la déforestation et la dégradation des sols menaçant la biodiversité, en travaillant aux côtés et au bénéfice des communautés locales. Les deux premiers projets forestiers verront le jour en Ouganda et en Birmanie.En Ouganda, l'accent sera mis sur la restauration des forêts dégradées, la création de nouvelles forêts et la protection des forêts naturelles existantes grâce à un large éventail de mesures, parmi lesquelles le boisement, reboisement, revégétalisation et la gestion durable des forêts. Ce projet permettra également de faire pousser des arbres au sein de terrains boisés, systèmes agroforestiers et plantations en-dehors des zones protégées, afin de répondre à la demande liée à divers produits forestiers et réduire la pression exercée sur les forêts naturelles. Le projet en Birmanie aura pour objectif de conserver la biodiversité unique et les paysages forestiers du canton birman de Tanintharyi, en travaillant étroitement avec les communautés locales.« L'impact des crises actuelles liées au climat et à la biodiversité devenant de plus en plus clair, une volonté et des mesures solides sont désormais urgemment nécessaires pour créer un futur durable pour toutes et tous. L'engagement de "neutralité carbone à vie" du Groupe VELUX est un exemple important, que d'autres pourront ensuite suivre. »« Faire une promesse conforme à l'objectif de limitation de l'augmentation de la température mondiale à 1,5 °C tout en protégeant des paysages forestiers importants et la biodiversité –et les services cruciaux qu'ils fournissent aux communautés et à l'économie- est un projet positif et ambitieux en ligne avec des engagements climatiques responsables servant de fondation pour atteindre les Objectifs de Développement Durable. Ensemble, nous espérons que d'autres sociétés seront inspirées par la "neutralité carbone à vie" de VELUX afin d'élever l'ambition globale des entreprises en matière d'action climatique ou en faveur de la nature. »- Marco Lambertini, directeur général du WWF InternationalLe partenariat avec le WWF s'inscrit plus largement dans la stratégie de développement durable « Sustainability Strategy 2030 » du Groupe VELUX afin de devenir une entreprise neutre en émission de CO² d'ici 2030. Cet objectif de réduction des émissions se base sur la science, grâce au programme « Science Based Targets Initiative »[4]. Afin de révolutionner son activité, le Groupe VELUX accélère ses investissements dans l'efficacité énergétique au sein de ses sites de production, la transition vers les énergies renouvelables et l'achat d'électricité 100 % renouvelable. Il s'est également engagé à modifier de manière significative la façon dont il effectue la sélection et l'achat de matériaux. Pour plus d'informations sur la « neutralité carbone à vie » de VELUX et les projets de conservation des forêts au cœur du partenariat avec le WWF, rendez-vous sur velux.com / itsournature.com.NOTES [1] – Aucune méthodologie standard n'existe aujourd'hui afin de calculer une empreinte carbone historique. Des données précises sur les facteurs d'émissions et la consommation énergétique passés n'existent pas souvent. Le Groupe VELUX a donc développé une méthode permettant de calculer ses émissions carbone historiques. Cette méthode est basée sur la norme « Greenhouse Gas Protocol Corporate Standard » mondialement reconnue, et appliquée aux données historiques. Cette méthodologie unique, ainsi que ses suppositions sous-jacentes, sont vérifiées de manière indépendante par l'organisme Carbon Trust et analysées par des experts du WWF.[2] – Définition des scopes 1 et 2. Scope 1 (émissions directes générées par des sources possédées ou contrôlées par une entreprise, comme les infrastructures d'une société ou encore des véhicules de fonction). Scope 2 (émissions indirectes provenant de la génération d'électricité, de vapeur, de chauffage ou de refroidissement utilisés dans l'activité de l'entreprise concernée).[3] – La définition du scope 3 inclut toutes les autres émissions indirectes produites au sein de la chaîne de valeur d'une société (comme lors de l'achat de biens et services ou la génération et le transport de déchets).[4]– L'initiative « Science Based Targets » a pour but d'encourager les entreprises à définir des objectifs basés sur la science et accroître leur avantage concurrentiel dans le cadre de la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Elle s'inscrit dans une collaboration entre le CDP, le Pacte mondial des Nations Unies, le World Resources Institute (WRI) et le World Wide Fund for Nature (WWF) et constitue l'un des engagements de la coalition We Mean Business. Cette initiative définit et promeut les bonnes pratiques en matière de développement d'objectifs basés sur la science, propose des ressources et des conseils destinés à limiter les obstacles à leur adoption et analyse et approuve de manière indépendante les objectifs fixés par les sociétés.
Il y a 4 ans et 192 jours

Chaleur renouvelable : la France accentue encore son retard

A seulement une année de l’objectif que s’est fixé la France d’atteindre 33 % de chaleur renouvelable dans la consommation de chaleur en 2020, la quatrième édition du Panorama de la chaleur renouvelable et de récupération confirme cette année encore l’écart considérable qui persiste entre les objectifs de la Loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte et la Programmation Pluriannuelle de l’Energie et la réalité sur le terrain. La progression de la part de chaleur renouvelable entre 2018 et 2019 n’est que de 0,9 point contre 1,2 point entre 2017 et 2018. En 2019, la chaleur renouvelable n’a représenté que 20,8 % (19,9 % en 2018) de notre consommation finale brute de chaleur. Les projets de chaleur renouvelable et de récupération, qui ont pour caractéristiques d’économiser ou de se substituer à des énergies fossiles importées, sont fondés sur des investissements, des emplois et des filières d’approvisionnement endogènes, valorisant au mieux les ressources énergétiques renouvelables et de récupération locale. Ils constituent en ce sens des leviers puissants et immédiats de relance économique des territoires et de croissance verte de notre pays. Afin de combler ce retard et espérer respecter les objectifs que la France s’est fixés au niveau national, européen et international en matière de lutte contre le changement climatique, il est essentiel que l’État mobilise l’ensemble des leviers de développement de la production de chaleur renouvelable et de récupération : favoriser la pénétration de la chaleur et du froid renouvelables dans le bâtiment via notamment la Réglementation Environnementale 2020 « RE 2020 », renforcer et élargir le dispositif de soutien à la chaleur bas carbone (qui ajoute à l’aide à l’investissement du Fonds chaleur une aide au fonctionnement indispensable) à toutes les filières de production de chaleur et de froid renouvelables et de récupération et aux réseaux de chaleur et de froid, optimiser le fonctionnement de « MaPrimeRénov » notamment. Les conditions d’une reprise de la trajectoire de la Contribution Climat Energie, outil stratégique et fondamental permettant de redonner de la compétitivité aux filières thermiques renouvelables, devront être analysées. Source : SER
Il y a 4 ans et 192 jours

Les 60 nouveaux lauréats de l'appel à manifestation d'intérêt « Fabriques de territoire » annoncés

Cette annonce a eu lieu en conclusion de la réunion du Conseil national des Tiers-Lieux, réuni dans le cadre de l'événement « le choc des cultures » organisé à Roubaix (59) par la Condition Publique et la Compagnie des tiers-lieux, avec le soutien de l'Agence Nationale de la Cohésion des Territoires et de l'association France Tiers-Lieux.Cet appel à manifestation d'intérêt a été lancé par sept membres du Gouvernement en juillet 2019 à la Cité Fertile de Pantin (93) à la suite du rapport de la « mission coworking » pilotée par Patrick LEVY-WAITZ, Président de la fondation Travailler autrement, visant à soutenir le développement des tiers-lieux et la structuration et professionnalisation du réseau de ces lieux hybrides. Ces lieux appelés tiers-lieux, fablabs, friches industrielles ou culturelles, espaces publics numériques ont démontré leur utilité incontournable pendant le confinement et la crise sanitaire qui ont accéléré leur consolidation.Par ce programme « Fabriques de territoire », le Gouvernement encourage ce mouvement de fond et veut s'inscrire au côté des porteurs de projets, pour les aider à concrétiser et pérenniser leurs initiatives, en veillant à ce que tous les territoires soient concernés. Les ministères et partenaires associés ont défini une offre de services, qui s'étend de l'aide en amorçage, en investissement ou en fonds propres, à la mise à disposition de locaux ou à l'apport de recettes de fonctionnement. Cette approche originale est d'abord guidée par le souci de proposer un accompagnement sur-mesure à chaque porteur de projet.Ces 60 nouvelles fabriques rejoignent les 110 tiers-lieux déjà labellisés. Elles recevront une subvention de 150.000 euros sur trois ans afin de soutenir l'amorçage de leur projet, leur rayonnement au-delà du territoire dans lequel elles sont implantées, la constitution de leur équipe et la recherche de leur équilibre économique. Elles intègrent ainsi une communauté animée par des valeurs de partage, la production de biens communs, l'expérimentation de modèles de gouvernance participative et l'ambition de produire du lien social au bénéfice des habitants de leur territoire. Pour rappel, la ministre s'est engagée à accompagner le déploiement de 300 fabriques dont 150 dans les quartiers de la politique de la ville et 150 hors des grands centres urbains avec un accompagnement financier et d'ingénierie de 45 millions d'euros répartis sur 3 ans pour chaque lauréat.Cette sélection marque l'entrée de 8 nouveaux départements qui ne comptaient pas de fabriques jusqu'alors: l'Ardèche, le Gers, les Landes, l'Orne, les Pyrénées-Atlantiques, la Haute-Savoie, l'Indre, la Lozère et la Corse.Toutes les informations sont disponibles sur www.societenumerique.gouv.fr/tierslieuxListe des 60 lauréats de la 3ème vague de l'AMI Fabriques de TerritoireAuvergne-Rhône AlpesPANGLOSS LAB (01 - Ain)LE VESSEAUX-MERE (07 - Ardèche)LE MOULIN DIGITAL (26 - Drôme)LES TRACOLS (26 - Drôme)LE GRAND COLLECTIF (38 - Isère)BIG BANG BALLERS FRANCE (38 - Isère)RUES DU DEVELOPPEMENT DURABLE (42 - Loire)AGORA GUIERS (73 - Savoie)INNOVALES (74 - Haute-Savoie)Bourgogne Franche ComtéLA COURSIVE BOUTARIC (21 - Côte-d'Or)L'ARETE (25 - Doubs)BretagneCCI DES COTES D'ARMOR (22 - Côtes-d'Armor)LES COLS VERTS (35 - Ille-et-Vilaine)L'ARGONAUTE & CO (56 - Morbihan)DEPART IMMINENT POUR L'HOTEL DE LA GARE (56 - Morbihan)Centre-Val de LoireBANDITS-MAGES (18 - Cher)MAISON DES JEUNES DE LA CULTURE ET DES SAVOIRS (36 - Indre)COMMUNAUTE DE COMMUNES COEUR DE BRENNE (36 - Indre)CorseUNIVERSITE DE CORSE P PAOLI (2B - Haute-Corse)Grand EstLE RUCHER CREATIF (10 - Aube)LE SHED (51 - Marne)ASS FONDATION ETUDIANTE POUR LA VILLE (57 - Moselle)CENTRE D'ANIMATION SOCIAL ET FAMILIAL DE BISCHWILLER (67 - Bas-Rhin)LA CABANNE DES CREATEURS (67 - Bas-Rhin)COLLECTIF OR DU COMMUN (68 - Haut-Rhin)Hauts-de-FranceGRANDSOISSONS AGGLOMERATION (02 - Aisne)COOPERATIVE BARAKA (59 - Nord)CA DES DEUX BAIES EN MONTREUILLOIS (62 - Pas-de-Calais)Ile-de-FranceVERGERS URBAINS (75 - Paris)SALLE SAINT BRUNO (75 - Paris)VANDERLAB (78 - Yvelines)ASSOCIATION LES CHAUDRONNERIES (93 - Seine-Saint-Denis)ASSOCIATION PAS SI LOIN (93 - Seine-Saint-Denis)SCIC SA LA MAIN 9-3.0 (93 - Seine-Saint-Denis)NormandieLA COOP DES TERRITOIRES (61 - Orne)SCENE NATIONALE 61 (61 - Orne)LES COPEAUX NUMERIQUES (76 - Seine-Maritime)Nouvelle-AquitaineLA PROUE (17 - Charente-Maritime)LA SMALAH (40 - Landes)TRAVERSES PARCOURS (40 - Landes)COMMUNE DE PAU SERNAM (64 - Pyrénées-Atlantiques)LACAZE AUX SOTTISES (64 - Pyrénées-Atlantiques)LE TEMPS DE VIVRE (87 - Haute-Vienne)OccitanieCARCASSONNE AGGLO (11 - Aude)LAETIS CREATIONS MULTIMEDIAS (12 - Aveyron)PINGPONG COWORK (12 - Aveyron)LE 100E SINGE (31 - Haute-Garonne)GERS DEVELOPPEMENT (32 - Gers)ASSOCIATION LA DISTILLERIE (34 - Hérault)Lozère Développement (48 - Lozère)Ass. Léo Lagrange (81 - Tarn)PACAASSOCIATION LOGIS JEUNES PROVENCE (06 - Alpes-Maritimes)LA FABULERIE (13 - Bouches-du-Rhône)CIRCULAIRE Jeanne Barret (13 - Bouches-du-Rhône)HEKO FARM (13 - Bouches-du-Rhône)La Vallée du Gapeau en Transition (83 - Var)DELTA LAB (84 - Vaucluse)Pays-de-la-LoireBEAU-TIERS-LIEU (44 - Loire-Atlantique)ASS CTRE SOCIAL SOCIO CULTUREL CHEMILLE (49 - Maine-et-Loire)COMMUNE DE SAINT-DENIS-DE-GASTINES (53 - Mayenne)
Il y a 4 ans et 192 jours

Green Systèmes se lance sur le marché de l'optimisation énergétique

Afin de lancer la commercialisation en France, et d'industrialiser sa solution de connexion au bâtiment (la Green Box) Green Systèmes annonce une levée de fonds d'un montant de 750 000 € avec le soutien du Groupe Trace et des investisseurs historiques de l'entreprise.De la collecte des données en passant par l'analyse des consommations jusqu'au pilotage de microgrids Afin d'améliorer la performance énergétique des bâtiments et usines du territoires français, Green Systèmes a développé différentes solutions d'optimisation pour être présent sur l'ensemble de la chaîne de valeur. 4 intenses années de recherche et développement ont été nécessaires avant de se lancer sur le marché avec des produits particulièrement innovants :Collecte des données en temps réelLa Green Box, développée par Green Systèmes, est un boitier plug and play à brancher directement dans le tableau électrique du bâtiment. Ses modules interconnectés permettent de relever tout type de données (eau, gaz, électricité, température, CO2…) quel que soit le protocole de communication utilisé dans le bâtiment (LoRaWAN, Modbus, TIC…)Analyse des factures et pilotage des consommations à distance avec la Green Solution, solution logicielle SaaSGreen Systèmes propose une solution regroupant l'ensemble des fonctionnalités nécessaires pour un monitoring énergétique performant.Centralisation, harmonisation et uniformisation des données : toutes les données de consommation sont centralisées au sein d'un tableau de bord entièrement personnalisable. Cette solution permet une analyse simple et surtout d'identifier rapidement les gisements d'économie d'énergie.Pilotage des équipements : le pilotage des équipements à distance permet de programmer différentes plages horaires pour allumer ou éteindre automatiquement des équipements (éclairage, VMC…) et ainsi éviter de consommer inutilement.Centralisation et analyse des factures énergétiques : analyse automatique des factures d'énergie pour identifier les erreurs de calcul.Alertes en cas de dysfonctionnement : envoi d'alertes SMS / e-mail en cas de dysfonctionnement d'équipements (fuite d'eau, augmentation des températures, dérive de la consommation électrique…)Pilotage d'un Microgrid Les énergies renouvelables sont de plus en plus présentes en France et certains bâtiments sont équipés de panneaux solaires... Green Systèmes propose son logiciel de pilotage de Microgrids. Il calcule précisément la production attendue via son algorithme prédictif et optimise la consommation. Il permet également de piloter les équipements alimentés par des énergies renouvelables (batterie de stockage, borne de recharge pour véhicule électrique…). L'objectif est d'augmenter le taux d'autoproduction et d'autoconsommation des bâtiments en gérant l'effacement pour éviter les pics de consommation ou en stockant de l'électricité en période de sous charge.Cette levée de fonds a donc pour objectif d'industrialiser la Green Box et de lancer la commercialisation de la Green Solution sur le territoire français, avant une prochaine levée de fonds, pour accélérer en France et lancer les produits à l'international.Green Systèmes compte figurer parmi les leaders en matière d'optimisation énergétique en proposant une gamme de produits complète, répondant au différents problématiques liées aux consommations des bâtiments.
Il y a 4 ans et 195 jours

Le gouvernement lance deux appels à projets visant au développement de la filière hydrogène

En application de la stratégie nationale du Gouvernement pour le développement de l'hydrogène décarboné en France, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance, Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué chargé des Transports, Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'industrie, Guillaume Boudy, secrétaire général pour l'investissement et Arnaud Leroy, président-directeur général de l'ADEME, annoncent l'ouverture de deux appels à projets visant au développement de la filière hydrogène.Aujourd'hui, de manière partagée à travers l'Europe, l'hydrogène constitue une opportunité stratégique pour la transition vers une économie « zéro carbone » et la création d'une filière industrielle. L'hydrogène produit de façon décarbonée est un levier clé de décarbonation de plusieurs processus industriels et de certaines mobilités, et permettra à terme d'optimiser le rôle des énergies renouvelables dans le mix énergétique. L'hydrogène s'inscrit également dans une priorité stratégique de souveraineté énergétique pour de nombreux États. La France se mobilise aux côtés de ses partenaires européens pour la création d'une chaîne de valeur à l'échelle européenne sur l'hydrogène, comme en témoigne la rencontre du 13 octobre entre le président de la République Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel, les ministres français et allemands de l'économie Bruno Le Maire et Peter Altmaier, la présidente de la Commission Ursula von der Leyen et le commissaire européen chargé de la politique industrielle Thierry Breton, et des dirigeants d'entreprises.Les deux appels à projets lancés aujourd'hui constituent la première étape de cette stratégie:L'appel à projets « Briques technologiques et démonstrateurs » financé par le Programme d'investissements d'avenir (PIA) de l'Etat et opéré par l'ADEME, s'adresse principalement aux entreprises. Il vise à développer ou améliorer les composants et systèmes liés à la production et au transport d'hydrogène et à ses usages tels que les applications de transport ou de fourniture d'énergie, ou encore à concevoir et développer de nouveaux véhicules notamment pour le transport routier de marchandises et le ferroviaire. Il pourra également soutenir des pilotes et démonstrateurs d'envergure (supérieur à 20MW) sur le territoire national, permettant à la filière industrielle de l'hydrogène de développer de nouvelles solutions et de se structurer.L'appel à projets « Écosystèmes territoriaux hydrogène » de l'ADEME soutient des investissements de production et de distribution d'hydrogène renouvelable ou décarboné, pour des usages industriels et en mobilité, en particulier dans le domaine des utilitaires et des transports lourds (collectifs ou de marchandise). Il vise à faire émerger des consortiums réunissant sur un même territoire collectivités et industriels porter des écosystèmes de grande envergure favorisant des économies d'échelle.Qui peut déposer un projet ?L'appel à projets « Briques technologiques et démonstrateurs » s'adresse aux entreprises, pour des projets menés seul ou en partenariat avec d'autres entreprises et/ou acteurs de la recherche, pour des projets d'innovation d'un montant minimum de 2 à 5 millions d'euros selon les axes visés dans l'appel à projet.L'appel à projets « Écosystèmes territoriaux hydrogène » s'adresse aux collectivités et entreprises, souhaitant s'investir dans la production et la distribution d'hydrogène, ainsi que dans les usages industriels et en mobilité.Calendrier, dates limites et formulaires de dépôt des projets :« Briques technologiques et démonstrateurs » : dépôt au fil de l'eau jusqu'au 31 décembre 2022;« Écosystèmes territoriaux hydrogène » : 17 décembre 2020 ; 16 mars 2021 ; 14 septembre 2021;Pour rappel, la stratégie d'accélération française a été officiellement annoncée le 8 septembre dernier. Avec une dotation globale de plus de 7 Md€ jusqu'à l'horizon 2030 dont 2 Md€ intégrés dans le plan de relance, la stratégie française porte des ambitions très élevées pour répondre aux enjeux suivants:Des enjeux environnementaux : l'hydrogène est pourvoyeur de nombreuses solutions pour décarboner l'industrie et les transports et réduire les impacts sur la qualité de l'air de la mobilité;Des enjeux économiques : l'hydrogène offre l'opportunité de créer une filière et un écosystème industriels créateurs d'emplois ;Des enjeux de souveraineté énergétique pour réduire notre dépendance vis-à-vis des importations d'hydrocarbures ;Des enjeux d'indépendance technologique pour valoriser les atouts dont dispose la France dans la compétition mondiale.Au travers de cette stratégie, le soutien de l'État accompagne de manière séquentielle et progressive toutes les étapes clés de l'émergence d'une filière industrielle locale :Le soutien à la R&D permettant de développer des technologies plus performantes pour l'ensemble des usages de l'hydrogène ;Le soutien aux premières commerciales et à l'industrialisation qui combine une approche européenne (partenariats avec des pays partenaires pour développer des projets d'envergure) et nationale ;Le soutien au déploiement qui permet d'amorcer la diffusion de ce vecteur et de ses usages sur certains marchés.
Il y a 4 ans et 195 jours

Rencontre avec : Arnaud Sarteur

Après plusieurs années passées en Amérique Latine, l’architecte et designer français Arnaud Sarteur est revenu en France et se consacre depuis à la conception d’une architecture autonome innovante : la Station C.I.E.L. Rencontre avec un créateur inspiré. À la suite de plusieurs expériences de construction de maison à ossature bois traditionnelle, Arnaud Sarteur s’est intéressé à la simplification, la flexibilité et la qualité architecturale d’un habitat à moindre coût. Avec sa Station C.I.E.L., habitat clef en main innovant, écoresponsable, modulaire et multifonctionnel, il crée un lieu de vie facile à vivre et adapté à notre mode de vie contemporain. Muuuz : Comment est née la Station C.I.E.L. ? Arnaud Sarteur : L'idée était de faire un clin d'œil à la station spatiale, et d’envisager mon projet comme « une station terrestre ». J’ai créé des modules qui peuvent se connecter et s'assembler pour améliorer, au fur et à mesure, leur fonction et leur usage, et s'adapter à un mode de vie contemporain plus mobile, plus proche de la nature. J’ai pensé un habitat accessible pour tous, une construction moins onéreuse et de qualité qui s'adapte à l'évolution de la vie de chacun. La Station C.I.E.L. résulte aussi d’une réflexion sur les modes de production. Pour cette architecture, toutes les étapes de fabrication sont réalisées en un seul et même atelier afin de mieux gérer la maîtrise d'œuvre. Le module terminé est livré sur le terrain par camion. Les matériaux secs choisis s’inscrivent dans une démarche responsable : ils réduisent la production de déchets et la consommation d'eau sur le chantier. Avec la Station C.I.E.L., j’ai voulu créer un bâtiment à échelle humaine, un cocon personnalisable et éco-conçu. D'où vient son nom ?Le choix du bardage en revêtement « effet miroir », qui réfléchit le ciel et la nature environnante, fait de la Station C.I.E.L. un « objet-maison futuriste sculptural et mystérieux ». La Station C.I.E.L. tire donc son nom du bardage, mais aussi de l’acronyme C.I.E.L. : Construction Itinérante Extensible Légère. Votre expérience en Amérique du Sud a-t-elle inspirée ce projet ? Mon expérience en Amérique du Sud a fait évoluer mon regard sur l'habitat. Là-bas, les grands espaces sont disponibles, les paysages sont immenses et sauvages, les déplacements et les distances ne sont pas comptés. Ce séjour m’a vraiment donné envie d'habiter dans des espaces naturels, avec le souci de ne pas les dégrader et de les quitter sans impact. Quelques expériences de construction Wood Framing ont été mes premières approches de cette architecture. Le prototype de la Station C.I.E.L. a donc été conçu pour être extensible et connectable à d'autres modules. La structure bois s'assemble, et elle est reliée par des poutres métalliques. Chaque module est personnalisé et l'aménagement intérieur est proposé sur option, selon les besoins de chaque client. Avec quels artisans avez-vous collaboré pour ce projet ? Aujourd'hui, le défi de tout architecte est d'intégrer « le faire », et non pas uniquement le « penser ». J’ai donc pris part personnellement et activement au projet en expérimentant, en étudiant les matériaux et en réalisant un prototype, au sein du Fab lab collaboratif Made In Marseille. J'ai travaillé en collaboration et en partenariat avec les menuisiers-charpentiers, ferronniers résidents à Ici Marseille et des artisans locaux.Pourquoi avoir choisi le métal et le bois comme matériaux principaux ? J'ai aimé créer un contraste entre le côté futuriste métallique du bardage et de la couverture en métal poli miroir à l'extérieur et l’authenticité chaleureuse du bois à l'intérieur en laissant la charpente apparente.Selon vous, que signifie habiter l'espace ? L'être humain est marqué par ses habitats successifs. « Habiter l’espace » a une dimension existentielle. Comment imaginez-vous l'architecture du futur ?Je souhaite participer à la construction d’une planète habitable pour tous. L’homme et l'architecture vont commencer à s'effacer un peu afin de redonner de la place à la nature, et de rééquilibrer le rapport entre l'homme et son environnement. La nature va pouvoir réapparaitre dans sa splendeur, plus propre, plus harmonieuse, plus respectée. La Station C.I.E.L. s’inscrit dans cette démarche. Elle renvoie la lumière et se fond dans le paysage pour minimiser l'intrusion du bâtiment dans le paysage, comme un camouflage. La crise sanitaire a également été révélatrice de l'importance de la qualité architecturale : la hauteur sous plafond, les ouvertures, la lumière, le confort thermique participent à « être bien chez soi » et en harmonie avec la nature environnante. Dans mon architecture du futur, les matériaux de construction seront donc sélectionnés pour leurs qualités écologiques, leur résistance, leur pouvoir d'isolation, leur impact environnemental, des matériaux biosourcés locaux ou en circuit court. Devenir des architectes éco-responsable, voilà notre mission. La maison de demain sera une architecture simple et adaptative, un abri confortable et résilient facilement transformable avec une certaine autonomie de fonctionnement.Pour en savoir plus, visitez le compte Instagram de la Station C.I.E.L. La Station C.I.E.L. est exposée et ouverte aux visites sur rendez-vous au Parc Foresta à Marseille (13).Visuels : DRLa Rédaction
Il y a 4 ans et 195 jours

L'économie française menacée de rechute par la deuxième vague épidémique

Depuis quelques semaines, les indicateurs économiques témoignaient déjà d'un regain d'inquiétude lié à la recrudescence des contaminations en France.Mais en imposant notamment un couvre-feu sur une partie du territoire, le gouvernement a de fait mis à l'arrêt un certain nombre d'activités déjà fortement pénalisées: les bars et restaurants, comme les métiers de la culture et de l'évènementiel.Ces mesures "vont limiter l'impulsion de croissance au risque d'avoir une variation négative de l'activité au dernier trimestre", prévient Philippe Waechter, chef économiste chez Ostrum Asset Management. Lui, mise sur un recul du PIB de 0,5% sur les trois derniers mois de l'année.Pour l'assureur-crédit Euler Hermes, il devrait se contracter de 1,1% et à l'OFCE, on table sur une baisse "de l'ordre de 0,8%", indique Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision."Cette nouvelle dégradation au dernier trimestre est liée aux trois secteurs déjà les plus touchés - l'hôtellerie-restauration, les services de transports et les services aux ménages, qui englobent notamment les activités de loisirs - et qui vont replonger", précise-t-il."Mois de tous les dangers"L'économie française affronte "le mois de tous les dangers", prévient encore Sylvain Duranton du Boston Consulting Group, qui a publié jeudi son nouveau "baromètre de la reprise" fondé sur l'analyse de quelque 10.000 données haute fréquence."L'économie est prise en tenaille entre une confiance des consommateurs, une envie d'acheter, de sortir, de faire du sport qui s'affaisse du fait de la pandémie, un rebond qui ne rebondit plus, et des particuliers et entreprises qui hésitent à investir", explique-t-il à l'AFP.Signe de ce climat attentiste, la production de prêts par les banques est en recul.L'Insee, qui tablait encore début octobre sur une stagnation du PIB au dernier trimestre, après la chute de 13,8% au deuxième et le rebond estimé de 16% au troisième, pourrait aussi abaisser sa prévision."C'était avant les nouvelles annonces de restrictions" et le nouveau contexte renforce la possibilité d'une "baisse par rapport à cette prévision", a prévenu mercredi le directeur général de l'Institut national de la statistique, Jean-Luc Tavernier, auditionné au Sénat.L'indicateur mensuel du climat des affaires, publié jeudi matin par l'Insee, a ainsi reflué en octobre pour la première fois depuis le déconfinement, illustrant les inquiétudes des chefs d'entreprises sur leurs perspectives d'activité.Au-delà de la perte d'activité dans les secteurs directement touchés, la deuxième vague de la pandémie renforce l'incertitude sur l'avenir, un climat peu propice aux décisions de consommation ou d'investissement.Épée de DamoclèsCar malgré les mesures de soutien prises par le gouvernement, c'est bien la situation épidémique qui donnera le tempo de la reprise ou non de l'économie."Tant qu'on aura cette épée de Damoclès au-dessus de nos têtes, n'imaginons pas que nous pourrons retrouver une activité normale", souligne ainsi à l'AFP Philippe Waechter.Malgré tout, la France n'est pas revenue dans la situation du confinement général du printemps où une grande partie de la population ne pouvait plus travailler, nuance Mathieu Plane.Si les dernières restrictions décidées risquent de mettre au chômage de nombreuses personnes car "ces secteurs sont très riches en emploi, leur poids dans le PIB n'est pas massif, environ 4%, et ce ne sont pas des secteurs moteurs de l'économie" comme l'aéronautique ou l'automobile, juge-t-il.Il estime toutefois que le gouvernement devrait encore renforcer le soutien aux entreprises, qui auront du mal à faire face aux premières échéances des prêts garantis par l'État obtenus pendant la crise et au remboursement des reports de charges qui leur ont été accordés.Pour Philippe Waechter aussi, il faut que la France, et plus généralement l'Europe, accentue "l'impulsion budgétaire" pour relancer l'économie, avec "un soutien à la demande plus marqué".Sinon, "il n'est pas sûr qu'on ait le rattrapage attendu au premier ou au deuxième trimestre de l'année prochaine", prévient-il.
Il y a 4 ans et 195 jours

Jacques Perotto est élu Président de CINOV SYPAA

Après une année au cours de laquelle il a co-piloté le syndicat avec Gérard Pinot, Président sortant, M. Perotto entend poursuivre le travail amorcé sur la constitution de référentiels qui puissent permettre de catalyser toutes les démarches liées à la programmation – à l'échelle d'un bâtiment, d'un projet urbain et d'un territoire – et de structurer les missions d'AMO.Fort de 40 années d'expertise dans ces domaines, Jacques Perotto a notamment fondé en 1986 l'entreprise de conseil en management AGORA, située à Lyon. Auparavant, il avait participé à la création de l'association CEGES qui, de 1981 à 1986, faisait figure de précurseur dans la mise en place de dispositifs innovants en matière d'aide à la création d'entreprises.Diplômé de l'Institut d'Etudes Politiques de Lyon et d'un DEA Sociologie et économie urbaine de l'Université Lyon II, M. Perotto entend mettre son expérience au service du syndicat, de ses adhérents et de la profession dans son ensemble.CINOV SYPAA, un syndicat au cœur des transformations à l'œuvreA la tête de CINOV SYPAA, Jacques Perotto s'est fixé comme objectif majeur de poursuivre la représentation des métiers de la prestation intellectuelle du conseil en urbanisme, notamment ceux des programmistes et des AMO. Il souhaite aussi renforcer la représentativité du syndicat, sa notoriété et son influence, et promouvoir la reconnaissance des qualifications professionnelles de la branche. M. Perotto entend, enfin, faire valoir l'intérêt de la formation et de la mise à jour continuelle des compétences au sein de la profession.Dans le contexte de crise sanitaire que nous connaissons actuellement, CINOV SYPAA souhaite encourager les bonnes pratiques professionnelles au service d'une économie responsable, et dynamiser les actions entre les métiers de l'urbanisme vis-à-vis des transformations de la société (économique, sociale, technologique et environnementale). Jacques Perotto entend aussi alerter sur les difficultés auxquelles est confrontée la filière. « La crise sanitaire a eu un impact important sur nos activités, qui reposent essentiellement sur la consultation », explique-t-il. « Au cœur des méthodologies que l'on met en œuvre, le travail d'équipe est essentiel, nos métiers sont donc peu compatibles avec la généralisation du télétravail... En effet, nous travaillons la plupart du temps de manière collaborative, en co-intervention entre professionnels, en concertation avec les parties prenantes à un projet et en co-production avec les équipes clients, pour lesquelles l'écoute, l'échange et le rapport humain sont primordiaux ! »La concurrence du secteur public constitue l'autre difficulté majeure à laquelle sont confrontés les programmistes en architecture et urbanisme. « Localement, beaucoup de nos concurrents sont des structures publiques et parapubliques, face auxquelles nous pouvons difficilement créer un rapport de force favorable, même si nous sommes souvent plus agiles et plus imaginatifs. Nos adhérents ont le sentiment que la crise a renforcé la concurrence déloyale de ces structures », déplore M. Perotto.Ce mandat sera donc l'occasion pour Jacques Perotto et le nouveau Conseil d'administration de mobiliser les adhérents autour de ces enjeux, de renforcer la place des programmistes sur les questions liées à l'évolution des territoires, d'agir pleinement sur la qualité du cadre de vie et de faire valoir le point de vue d'une profession totalement impliquée dans les mutations et les transitions en cours.
Il y a 4 ans et 195 jours

Lancement de deux appels à projets nationaux pour développer la filière hydrogène

En application de sa stratégie nationale pour le développement de l’hydrogène décarboné en France, le gouvernement lance deux appels à projets pour constituer des écosystèmes territoriaux autour de l’hydrogène et développer les briques technologiques et les démonstrateurs pour la production, le transport et l’usage de l’hydrogène.
Il y a 4 ans et 196 jours

EDF plutôt "confiant" dans sa capacité de production électrique cet hiver

Le groupe EDF se dit "relativement confiant" dans sa capacité à produire suffisamment d'électricité en France cet hiver, même si la situation s'annonce "tendue" à partir du mois de novembre.
Il y a 4 ans et 197 jours

Leviat : Nouveau nom pour Halfen et Plaka

CRH a choisi de grouper sous la bannière de Leviat, certaines de ses filiales, comme Plaka et Halfen. [©Leviat] Le groupe irlandais CRH est un mastodonte mondial de la fourniture de matériaux pour la construction. Comptant en son sein des entités comme Halfen ou Plaka, pour les plus connues en France. Afin de simplifier l’identification de ses marques et d’améliorer la synergie entre elles, CRH Group a choisi de renommer toutes ses filiales de l’ancrage, de la fixation et des connexions sous l’entité commune Leviat. Ainsi, dès le 9 novembre 2020, Ancon, Aschwanden, Connolly, Halfen, Halgen Moment, Helifix, Isedio, MeadowBurke, Plaka et Thermomass ne feront plus qu’un : Leviat. Dans son communiqué de presse, CRH précise que « les marques et les collaborateurs seront toujours là pour les clients. Leviat puisera dans ses forces individuelles pour devenir plus rapide, plus agile et mieux équipé pour l’avenir ». Pour le moment, pas de précision quant à la mise en musique de ce changement de nom. Et notamment, s’il s’agit d’une simple fusion des catalogues, ou d’une mise en commun des moyens de production et des hommes. Une affaire à suivre…
Il y a 4 ans et 197 jours

Youse va réaliser la nouvelle structure All In Academy à OL Vallée à Lyon

À l’issue d’un dialogue compétitif de 6 mois, c’est le projet porté par l’équipe youse /AFAA qui a été sélectionné pour la nouvelle implantation lyonnaise de la All In Academy, un centre de formation et d’entrainement de tennis de haut niveau ainsi qu’un country club porté par Jo-Wilfried Tsonga, Thierry Ascione et Patrick Bouchet. Sur la All In Academy, de nombreux usages s’imbriquent : formation sportive et scolaire de haut niveau, compétition, sport-loisir, country club, détente, bien-être, restauration, séminaires ou encore évènementiel… Cette mixité d’usage est au coeur du métier et du savoir-faire de youse. Son expertise a été mise à profit pour optimiser la fonctionnalité, le confort et l’expérience clients de la All In Academy. Et pour sublimer le programme par l’architecture et le paysage, youses’est appuyée sur le talent, l’écoute et l’implication de Marc Favaro de l’agence d’architecture AFAA et d’Isabelle Vignolles d’Ilex-Paysages. youse et son équipe ont en effet apporté au projet une forte ambition environnementale et paysagère pour maximiser le bien-être des académiciens, des adhérents et des visiteurs d’OL Vallée. Ainsi, deux démarches de certification environnementales accompagnent le projet en conception réalisation eten exploitation : NF HQE équipements sportifs et Well, qui sont associées à la labélisation Biodivercity portant sur les importants aménagements paysagers réalisés sur le site. Le projet intègre notamment un système de récupération des eaux pluviales pour l’arrosage des espaces verts et également une production d’énergie photovoltaïque.
Il y a 4 ans et 197 jours

Barbara Pompili prend plusieurs mesures pour inciter à produire sa propre électricité en milieu rural

« L'autoconsommation, c'est ce qui permet à chacun de devenir son propre producteur d'électricité, par exemple grâce à des panneaux solaires installés sur le toit de sa maison, et de pouvoir en faire bénéficier les consommateurs voisins. C'est une logique que je veux massifier dès lors que l'énergie proviendra de sources renouvelables. Jusqu'à présent, cette pratique de partage entre un producteur et ses voisins était limitée à un rayon d'1 kilomètre. J'ai décidé d'étendre ce rayon à 10km en zone rurale pour augmenter la capacité de chaque citoyen, entreprise ou collectivité à participer à la transition énergétique tout en réduisant ses charges. » a déclaré Barbara Pompili.Actuellement, près de 78 000 installations en autoconsommation sont raccordées en France, pour une puissance totale de 320 MW. Le Gouvernement souhaite aujourd'hui aller plus loin en accélérant le développement de l'autoconsommation en électricité des Français. L'autoconsommation collective permet en effet à un groupe de personnes de consommer l'électricité qu'ils produisent grâce à leurs propres moyens, souvent à partir de panneaux solaires photovoltaïques.En novembre 2019, le ministère avait déjà pris des dispositions pour faciliter les opérations d'autoconsommation collective. Tous les habitants situés dans un rayon de 1km autour de la source de production d'électricité pouvaient accéder à l'énergie ainsi produite.L'expérience de l'année écoulée a montré que ce rayon pouvait être trop petit dans les zones rurales, du fait de la dispersion des auto-consommateurs potentiels. Afin de répondre à cette particularité, il sera désormais possible pour les opérations situées dans une zone rurale de demander une dérogation dans la limite d'un rayon de 10 km, soit une surface totale 100 fois plus importante qu'actuellement.Cet arrêté aura un impact concret en permettant l'émergence d'opérations actuellement en projet, comme le projet des centrales villageoises du Val de Quint par exemple.Par ailleurs, le ministère de la transition écologique a mis en consultation une nouvelle version des cahiers des charges pour les appels d'offres destinés à attribuer le soutien aux énergies renouvelables sur la période 2021-2026. Cette nouvelle version qui concerne les appels d'offres pour les opérations d'autoconsommation prévoit une formule de rémunération plus simple, qui devrait permettre ainsi à plus de projets de candidater. Enfin, le plafond de puissance pour les projets pouvant candidater sera augmenté, en passant de 1 MW à 10 MW.Enfin, le futur arrêté tarifaire pour les projets photovoltaïques sur bâtiment qui augmente le plafond de 100 à 500kW et qui a reçu un avis favorable du Conseil supérieur de l'énergie est en cours de notification auprès de la Commission européenne. Il facilitera l'autoconsommation pour les installations entre 100 et 500 kW et permettra qu'une partie de l'électricité produite puisse être autoconsommée.
Il y a 4 ans et 197 jours

Le débat public sur l'éolien marin en Normandie pointe inquiétudes et manque d'information

En plus des trois parcs déjà prévus sur la façade normande, non encore construits, le gouvernement en a annoncé un quatrième, qui serait attribué d'ici 2021 pour mise en service en 2028.Entamé en novembre 2019, le débat, achevé en août, s'est tenu dans "un contexte critique", sur fond de crainte des pêcheurs quant aux conséquences du Brexit sur le rétrécissement de leur zone d'activité, note la commission.Cinquième débat normand en dix ans, celui-ci s'est "engagé sur un fond de déjà-vu, de défiance envers le maître d'ouvrage (l'État, NDLR) et d'incrédulité quant aux apports réels des études d'impact", souligne la synthèse.Pour la première fois pourtant, il était organisé très en amont du projet, les participants étant invités à se prononcer sur sa localisation et celle d'autres parcs potentiels.Ils ont ainsi défini des zones "intouchables" pour cause de ressource halieutique ou de patrimoine (plages du Débarquement, Etretat...). Ils l'ont aussi souhaité loin des côtes (au-delà de 30 km), ou, pour certains, près des trois parcs déjà prévus afin d'en limiter les coûts.Dans ses recommandations, la commission suggère notamment à l'État de permettre la pêche dans les nouveaux parcs, comme cela se fait en Europe du Nord.Elle relève aussi une forte demande de planification de la mer pour faire cohabiter les usages et "sortir des décisions au coup par coup". Il existe bien un "+document stratégique de façade (DSF)+" mais il est "insuffisant", explique à l'AFP Francis Beaucire, président de la commission, créée pour superviser ce débat.La recherche scientifique, associée à l'expérience des usagers, doit en outre être développée pour établir l'impact des activités éoliennes sur la faune marine et "lever les controverses inutiles", note M. Beaucire.Au-delà, la commission demande à l'État de mettre à disposition du public "un bilan écologique et économique complet de toutes les sources de production électrique, nucléaire compris", pour mieux faire comprendre ses choix en matière de ressources énergétiques.Le gouvernement a jusqu'au 19 janvier pour répondre.La France a depuis 2012 attribué sept projets éoliens marins. De difficultés administratives en blocages judiciaires, aucun n'est encore en activité, et le premier à démarrer devrait être Saint-Nazaire en 2022.
Il y a 4 ans et 198 jours

Après son site en Moselle, Ursa optimise son usine de production en Belgique

USINE. Après avoir amélioré son site de Saint-Avold en Moselle, le spécialiste de l'isolation, Ursa, annonce avoir achevé des travaux d'optimisation sur son usine belge de Desselgem.
Il y a 4 ans et 198 jours

Drone Volt annonce le décès de son PDG, Olivier Gualdoni

Les équipes DRONE VOLT s'associent à la peine immense de son épouse, ses 2 enfants et tous ses proches.Olivier était avant tout un époux et un père aimant, un homme très apprécié de tous, généreux, ouvert et toujours disponible, une personne sur qui l'on pouvait compter en toute circonstance, tant sur le plan personnel qu'humain. Doué d'une très grande capacité d'écoute, Olivier plaçait toujours la relation humaine au cœur de l'entreprise et a su ainsi créer autour de lui une équipe solide et soudée en laquelle il avait toute confiance. Leader charismatique, Olivier était un dirigeant dynamique et entièrement dévoué à son entreprise et ses collaborateurs.Olivier a pris la direction de DRONE VOLT fin 2015 et a été ces 5 dernières années l'artisan de la transformation d'une petite entreprise de distribution de drones en un constructeur de drones professionnels, aujourd'hui groupe international capable de lutter à armes égales avec les géants en place. Grâce à la mise en œuvre d'une stratégie innovante basée sur la compétence d'équipes d'ingénieurs et de techniciens français et hollandais, le groupe DRONE VOLT a gagné des parts de marché auprès des plus grandes entreprises et agences gouvernementales de la planète.Le Conseil d'administration, réuni en urgence ce jour, a décidé de modifier la gouvernance du Groupe.Le Conseil d'Administration a coopté Dimitri Batsis, fondateur de DRONE VOLT et actionnaire historique depuis 2012, en qualité d'administrateur de la société en remplacement d'Olivier et l'a nommé Président du Conseil d'administration, un poste qu'il avait confié à Oliver quelques années plus tôt.Lors de la même séance, le Conseil a décidé à l'unanimité de dissocier les fonctions de Président et de Directeur Général et a nommé Marc Courcelle, jusqu'alors Directeur de la Production de DRONE VOLT, en qui Olivier avait toute confiance, comme Directeur Général.Tout en pleurant cette perte immense aux côtés de sa famille, le groupe DRONE VOLT assure être en ordre de marche pour poursuivre ses activités et peut compter aujourd'hui sur l'équipe en place qui prend la relève.
Il y a 4 ans et 198 jours

Le gouvernement présente des mesures pour assurer la continuité de l'approvisionnement en électricité cet hiver

Le 11 juin dernier, à l'occasion d'une présentation de l'évaluation des besoins en électricité pour les mois à venir, RTE a souligné l'impact de la crise sanitaire et du confinement qui ont conduit à décaler les travaux de maintenance des réacteurs nucléaires normalement réalisés au printemps et en été et qui ont donc réduit la disponibilité du parc en hiver. Le ministère avait annoncé des mesures pour contribuer à l'équilibre du système électrique pendant l'hiver 2020-2021 : optimisation du planning d'arrêts et de maintenance des réacteurs nucléaires pour assurer une disponibilité maximale durant l'hiver, coup de pouce pour l'installation de thermostats à hauteur de 150 euros, campagnes de sensibilisation aux économies d'énergie, soutien à l'effacement.L'effacement désigne des contrats passés entre des opérateurs spécialisés et des entreprises ou des particuliers qui acceptent, pendant quelques minutes ou quelques heures, de réduire ou différer certaines de leurs consommations pour soulager le réseau électrique en période de pointe. Cela peut concerner des procédés industriels, ou encore le chauffage ou la production d'eau chaude de particuliers volontaires. Les entreprises ou particuliers qui passent ces contrats y gagnent en consommant mieux, à des moments où l'énergie est moins chère et moins carbonée, et en bénéficiant du soutien apporté par l'État.L'appel d'offre finalisé aujourd'hui va permettre de réduire les consommations pendant les pointes de 1,5 Gigawatt, soit l'équivalent de la puissance de plus d'une centrale nucléaire. L'effacement contribue à la sécurité d'approvisionnement et peut permettre d'éviter de faire appel à des moyens fossiles.Pour atteindre ce résultat, le dispositif de soutien à l'effacement a été renforcé pour augmenter les capacités d'effacement pour l'hiver prochain : le plafond de prix de l'appel d'offres a été doublé, passant à 60k€/MW pour l'année 2021 ; une bonification pour les nouvelles capacités d'effacement qui pourraient se rendre disponibles dès le mois de novembre 2020 a également été mise en place.Ces mesures ont rencontré un grand succès. Barbara Pompili désigne aujourd'hui 59 projets lauréats de l‘appel d'offres pour l'année 2021. Ils représentent un volume total de 1509 MW qui a presque doublé par rapport à l'appel d'offres pour l'année 2020. Parmi ces 1509 MW de projets sélectionnés, 371 MW seront disponibles dès novembre-décembre, contribuant à la sécurité d'approvisionnement dès le début de l'hiver.
Il y a 4 ans et 198 jours

La tuile solaire made in France

La Fabrique de tuiles solaires Sunstyle vient d’être lancée ce jour, en présence de la Ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili. Cette dernière a pu découvrir les différentes facettes de la fabrication des tuiles solaires “made in France” fabriquées dans la Vienne à Châtellerault, qui ambitionnent de fournir 1 GW de tuiles solaires à l’horizon 2025. La tuile Sunstyle est une plaque de verre texturée protégeant des cellules solaires. Sa capacité de production est de 115Wc pour une tuile noire, et de 85Wc si elle est colorée. Elle a été distinguée parmi les premières solutions labellisées par la Fondation Solar Impulse, en tant que technologie innovante et viable pour protéger l’environnement. La tuile Sunstyle regroupe deux fonctions en un seul et même produit : couverture étanche et production énergétique. Sa taille (870 x 870 mm) permet une installation simple et rapide. Elle n’exige quasiment aucun entretien et est un élément de construction d’une grande longévité. Ainsi, elle représente une économie à long terme pour le bâtiment, puisque l’on estime que le coût de l’équipement est amorti au bout de 10 à 14 ans.
Il y a 4 ans et 198 jours

ABUS : Sécurité des bâtiments publics ou privés

Expert en sécurisation des biens, ABUS développe des solutions hautement efficaces contre les tentatives d’effraction. Ainsi, la dernière génération de systèmes de protection des bâtiments ABUS atteint un niveau de fiabilité hors pair. Ces nouveautés comprennent des cylindres mécaniques, des cylindres électroniques, des alarmes, des installations de vidéosurveillance et un grand choix d’accessoires. Depuis sa fondation en 1924, l’entreprise familiale allemande ABUS, qui se dédiait initialement à la fabrication de cadenas, a considérablement diversifié et perfectionné sa production : cylindres, systèmes d’alarme, de vidéosurveillance, de contrôle d’accès, antivols pour vélos et motos… Les produits ABUS embrassent aujourd’hui trois domaines d’activité : sécurité du domicile, sécurité des deux roues et sécurité des bâtiments (usines, entrepôts, magasins, écoles…) incluant les sites complexes dotés de plusieurs accès. ABUS propose des solutions intelligentes et globales qui assurent la meilleure des protections. Cylindres mécaniques • Système Modular MX ABUS Moduler la taille du cylindre facilement et sans outils • Cylindre BRAVUS MX MAGNET ABUS Un niveau de sécurité inégalé Cylindres électroniques • CodeLoxx ABUS Un contrôle d’accès flexible et sûr Alarme et vidéosurveillance • Smartvest ABUS Un système d’alarme sans fil aux possibilités infinies • Caméra Wifi sur batterie PPIC90000 ABUS Pour une utilisation facile et sans câblage en extérieur ABUS produit également une très large gamme de verrous de portes, de serrures, de gâches de sécurité, de chaînes de porte, de judas…   Cylindres mécaniques Modular MX ABUS Moduler la taille du cylindre facilement et sans outils Le système Modular MX ABUS permet d’ajuster sur site la longueur d’un cylindre avec des éléments intermédiaires pour l’adapter à l’épaisseur de la porte (de 60 mm à 200 mm). Sûr, simple et rapide, ce système permet de réagir rapidement aux situations rencontrées sur site. Il fait gagner du temps et évite les déplacements inutiles. De plus, il offre une autonomie complète et ne nécessite aucune intervention extérieure pour moduler le cylindre. L’insert anti-perçage en acier inoxydable hautement résistant et les goupilles en acier trempé à l’intérieur du cylindre offrent en série une protection élevée. L’alésage fileté modulaire en acier inoxydable procure une protection anti-extraction supplémentaire. Le cylindre est extensible en quelques gestes pour obtenir la longueur souhaitée. La conversion du cylindre ne nécessite que la vis de fixation fournie. Le système Modular MX est disponible pour les systèmes de fermeture BRAVUS, VITESS et ZOLIT ABUS. Haute sécurité, le BRAVUS bénéficie d’une protection par brevet jusqu’en 2030 et d’un copyright à vie. Très pratique, le système de fermeture BRAVUS à clé réversible présente quatre niveaux de sécurité – BRAVUS 1000, 2000, 3000 et 4000 – dotés du système breveté Intellitec. Les BRAVUS garantissent une protection technique et juridique absolue contre la copie des clés et procurent une marge de manœuvre infinie de configuration pour les organigrammes. Le système de fermeture BRAVUS permet de sauvegarder toutes les options pour une extension ultérieure de l’installation par des composants électroniques. • Cylindre BRAVUS 3000 ABUS – Système breveté Intellitec garantissant une sécurité absolue contre les copies illicites des clés, et contre le crochetage. – Convient pour les fermetures individuelles et les moyennes et grandes installations de fermeture – 10 goupilles actives et jusqu’à 6 goupilles passives sur 3 rangées – Reproduction contrôlée par carte de propriété Points de vente : Quincailleries et magasins spécialisés   Cylindres mécaniques BRAVUS MX MAGNET ABUS Un niveau de sécurité inégalé Dernièrement, ABUS a fait évoluer le cylindre BRAVUS en développant une version MX MAGNET qui possède une partie aimantée destinée à empêcher la reproductivité des clés, même par une imprimante 3D. Le système de fermeture BRAVUS MX MAGNET ABUS garantit ainsi une sécurité infaillible des portes, pour les bâtiments privés, commerciaux ou publics. Le cylindre BRAVUS MX MAGNET ABUS s’inscrit dans la dynamique d’innovation constante de la marque. Après le développement du système Modular MX (la longueur de base du cylindre est extensible et s’adapte à toutes les tailles de porte pour une flexibilité maximale), ABUS innove avec son système magnétique breveté, qui offre un niveau de sécurité inégalé. Grâce à l’aimant intégré dans le profil de la clé et dans le cylindre, le système de fermeture BRAVUS MX MAGNET ABUS assure une protection optimale en rendant impossible la copie illicite des clés, même au moyen d’une imprimante 3D. Ce système, également efficace contre le crochetage, bénéficie d’un brevet exclusif jusqu’en 2037. Il équipe les systèmes de fermeture BRAVUS 1000, 2000 et 3000.   Cylindres électroniques CodeLoxx ABUS Un contrôle d’accès flexible et sûr Les systèmes de fermeture électroniques ABUS apportent une vue d’ensemble sur les accès avec un minimum d’effort. Pour déverrouiller la porte, il suffit d’utiliser au choix un code, une clé ou un badge. De plus, les cylindres CodeLoxx à code et CodeLoxx Proximity ABUS renforcent la sécurité et permettent la flexibilité des organigrammes mécaniques. Faciles à installer, les cylindres modulaires CodeLoxx ABUS s’adaptent à toutes les portes. Grâce au logiciel gratuit ABUS Key Manager, la création d’organigrammes, même les plus compliqués, devient un jeu d’enfant. Le logiciel permet d’attribuer un droit d’accès personnalisé, des plages horaires d’accès, ou encore de consulter l’historique des accès. De plus, CodeLoxx offre une protection optimale contre les cambrioleurs : aucun point d’accès pour les outils de manipulation, robustesse (boutons en acier inoxydable et composants blindés), et composants électroniques communiquant par procédé crypté. Autre avantage, CodeLoxx est indépendant du réseau électrique. Lorsque la pile lithium longue durée arrive en fin de vie, le cylindre prévient l’utilisateur. Cylindres électroniques CodeLoxx ABUS Les modèles de la gamme CodeLoxx ABUS répondent aux besoins les plus variés. • Le CodeLoxx à code protège efficacement contre l’intrusion et offre le confort d’une vie sans clé en saisissant son code au niveau du bouton. Avec le code, il est toujours possible d’entrer, même en cas de perte de clé ou de porte qui claque. Chaque membre de la famille ou de l’entreprise peut avoir son propre code d’entrée (jusqu’à 511 codes). Parallèlement au code d’accès, il est possible d’utiliser une clé électronique ABUS, également programmable. Les clés peuvent ainsi être dotées de droits d’entrée variables. Programmer de nouveaux codes et/ou les effacer est possible à tout moment. Un code pour des artisans qui effectuent des travaux pourra donc être supprimé à la fin du chantier. Le CodeLoxx à code ABUS est idéal pour toutes les portes à profil cylindrique ordinaire. Il suffit de démonter le cylindre et de le remplacer par le CodeLoxx à code. • Le CodeLoxx Proximity fonctionne avec un badge qui, présenté devant la tête de lecture, enclenche le cylindre. Il peut être programmé à l’infini et stocker un historique des mille derniers événements. Programmer des badges utilisateurs est très simple : la clé de programmation est introduite dans la serrure, puis le badge est passé sur la tête de lecture du bouton extérieur pendant 2 secondes. Effacer ou reprogrammer des badges s’avère tout aussi simple. Comme pour les badges, plusieurs clés électroniques ABUS peuvent être programmées pour donner des droits d’entrée variables. Le CodeLoxx Proximity autorise la programmation de 511 badges ou clés ABUS. • CodeLoxx à code Contenu du kit de démarrage : • 1 cylindre CodeLoxx à code 30/30 • 2 clés ABUS Seccor • 1 kit d’outils • 1 pile Prix généralement constaté : 673 euros TTC • CodeLoxx Proximity Prix généralement constaté : à partir de 552 euros TTC   Smartvest ABUS Un système d’alarme sans fil aux possibilités infinies Accessible à tous, le système d’alarme sans fil Smartvest ABUS peut relier jusqu’à 32 composants sans fil (détecteur de mouvement, détecteur d’ouverture, avertisseur de fumée, détecteur d’inondation, sirène, carillon…) et 4 caméras IP. Une application innovante et facile d’utilisation. Avec Smartvest ABUS, les solutions autonomes compliquées appartiennent au passé. De l’installation à l’accès aux images vidéo en temps réel, en passant par la commande de nombreux appareils électroniques, l’application gratuite et sans abonnement Smartvest ABUS fournit sur une seule plateforme tout ce qui rend un domicile intelligent et surtout, sécurisé. Son installation est très simple et ne requiert aucune connaissance technique particulière. Le système d’alarme sans fil Smartvest et ses composants sont gérés par une seule et même application gratuite qui accompagne l’utilisateur dans son quotidien, sur tablette comme sur Smartphone. ABUS propose un kit de base Smartvest et un nouveau kit de base Smartvest Plus permettant d’équiper plusieurs pièces de la maison. • Kit de base Smartvest ABUS 1 centrale d’alarme 1 détecteur d’ouverture 1 détecteur de mouvement 1 télécommande Prix généralement constaté : 417 euros TTC • NOUVEAU – Kit de base Smartvest Plus ABUS Pour équiper plusieurs pièces de la maison 1 centrale d’alarme 3 détecteurs d’ouverture 2 détecteurs de mouvement 1 télécommande Prix généralement constaté : 716 euros TTC Points de vente : Quincailleries et grossistes spécialisés en produits électroniques   Caméra Wifi sur batterie PPIC90000 ABUS Pour une utilisation facile et sans câblage en extérieur ABUS enrichit sa gamme de vidéosurveillance d’une caméra totalement autonome : le modèle PPIC90000. Cette caméra de surveillance sur batterie se connecte en Wifi à une box internet via sa station de base. Idéale en l’absence d’une alimentation secteur, la PPIC90000 dispose d’une batterie offrant jusqu’à 13 mois d’autonomie (rechargeable en 4 heures). Simple à installer, à configurer et résistante aux intempéries, la caméra Wifi permet une surveillance 24h/24 depuis un Smartphone, assurant une prévention optimale contre les effractions. La caméra Wifi PPIC90000 ABUS avec détecteur de mouvement (capteur PIR) et éclairage LED protège de manière fiable l’extérieur de la maison. Lorsque le capteur PIR détecte un mouvement, l’éclairage LED s’allume et l’enregistrement vidéo (carte SD jusqu’à 128 Go) se déclenche, puis une notification directe Push est envoyée. Cette caméra de surveillance extérieure Wifi est proposée avec une application pour Smartphone complète et facile à utiliser, pour accéder à tout moment et à distance à la vidéo en direct ou enregistrée sur la carte SD. La station de base Wifi se branche sur n’importe quelle prise électrique (sans câble réseau vers le routeur). À noter : la carte SD se trouve dans la station de base. Ainsi, si la caméra est vandalisée/arrachée, les images sont toujours disponibles (ce qui n’est pas le cas pour beaucoup de caméras, dont la carte SD se trouve dans la caméra). Polyvalente, la caméra Wifi sur batterie PPIC90000 ABUS fournit des images haute résolution (Full-HD 1080p) et couvre un large secteur sous vidéosurveillance (grand angle 120°). Son projecteur LED améliore la qualité d’enregistrement nocturne, évite les risques d’accidents et a un effet dissuasif sur les intrus qui opèrent souvent dans l’obscurité. • Caméra Wifi sur batterie PPIC90000 ABUS Résolution Full-HD 1080p Éclairage LED Résistant aux intempéries (IP65) Détecteur de mouvements PIR Grand angle de 120° Enregistrement sur carte SD jusqu’à 128 Go (accessoire) Prix généralement constaté : 350 euros TTC Points de vente : Quincailleries et grossistes spécialisés en produits électroniques La caméra Wifi sur batterie PPIC90000 ABUS peut être intégrée au système d’alarme sans fil Smartvest ABUS ou utilisée via l’application ABUS APP2CAM PLUS (Android/iOS).
Il y a 4 ans et 199 jours

FOAMGLAS®, isolant incompressible et étanche, pour l’isolation des parois enterrées

Le positionnement de l’isolation thermique à l’extérieur des parois enterrées, en contact avec la terre, joue un rôle de plus en plus important dans la conception de l’isolation thermique des bâtiments à faible consommation d’énergie. Très exposé à l’humidité, aux insectes, aux contraintes de charges, l’isolant utilisé sera choisi en fonction de ses performances qui conditionnent la pérennité thermique de la construction. Pour cette application, les propriétés du verre cellulaire font de FOAMGLAS® le matériau le plus performant du marché. Rigide, très résistant à la compression, étanche à l’humidité, il fait barrage aux insectes et est écologique (100 % en verre). Composé de bulles de verre étanches à l’air, à la vapeur et à l’eau, FOAMGLAS® protège les dalles basses en béton et les murs enterrés, car il conserve dans le temps à la fois ses performances thermiques et sa résistance à la compression sans tassement. Il est prouvé qu’une part importante des déperditions thermiques intervient au niveau des sols. Afin d’éviter tout gaspillage d’énergie, FOAMGLAS®, isolant étanche à l’humidité et à l’air, offre une isolation thermique durable. L’isolant FOAMGLAS®, rigide et très résistant à la compression, peut être indifféremment mis en œuvre horizontalement et verticalement. Résistant à autant de contraintes, FOAMGLAS® se positionne comme l’isolant à utiliser sur toutes les applications en sol qui rendent les matériaux inaccessibles une fois l’ouvrage terminé. Un produit exceptionnel constitué de verre recyclé FOAMGLAS® est exclusivement composé de matières premières minérales, dont 66 % de verre recyclé provenant de pare brises et de fenêtres. En recyclant le verre, FOAMGLAS® suit une démarche écologiquement responsable. De plus, lors de la déconstruction des ouvrages, le verre cellulaire, solide, est en capacité d’être réutilisé. Concernant ses propriétés thermiques, elles se sont fortement améliorées pour atteindre dorénavant, avec le FOAMGLAS® T3+, un lambda de 0,036 W/m.K, valeur exceptionnelle pour un isolant incombustible et étanche à l’humidité. Un mode de production faiblement carboné Pour sa fabrication, l’isolant FOAMGLAS® utilise une large part d’énergie propre (hydro électrique ou éolienne) afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre ainsi que la consommation d’énergie et de ressources : la demande en énergie non renouvelable a ainsi été réduite à 20,0 MJ/kg, et les émissions de gaz à effet de serre (CO2 et ozone) à 1,3 kg CO2-eq et 4,18.10-10 kg CFC11-eq. Isolation des murs enterrés Isolation des sols sous radier, sous dalle portée et en vide sanitaire La rigidité du FOAMGLAS® est idéale pour isoler les murs enterrés en toute sérénité. Elle permet de recevoir la terre en direct ou avec un drainage approprié. L’isolation en FOAMGLAS® des sols présente de nombreuses qualités pour l’ouvrage : elle est incompressible, insensible à l’humidité, fait barrage aux termites, aux insectes, aux rongeurs, et, ni sa résistance thermique, ni sa résistance à la compression ne varient dans le temps. Dans le cas de l’isolation sous radier, les panneaux FOAMGLAS® sont posés librement sur une couche d’égalisation (sable, gravillons ou autre) ou sur un béton de propreté. La mise en œuvre se fait à joints secs et serrés avant celle du radier en béton armé. La très forte résistance à la compression du FOAMGLAS® (allant jusqu’à 160 t/m2 avec FOAMGLAS® F) et son incompressibilité remarquable (tassement de 0,5 mm maximum par plaque, quelle que soit son épaisseur) apportent des solutions d’une grande qualité structurelle et thermique. L’utilisation en isolation sous dalle basse portée suit le même procédé. Les panneaux de FOAMGLAS® sont posés librement, puis recouverts de la couche de désolidarisation et de la dalle basse. Pour l’isolation en vide sanitaire, les panneaux de FOAMGLAS® sont collés et fixés avec rupteur thermique directement sous la dalle en béton. Ici, ce sont principalement ses qualités d’incombustibilité (A1), d’insensibilité à l’humidité et aux insectes qui sont appréciées.
Il y a 4 ans et 199 jours

Nouvelle implantation pour Hörmann qui fait sens

En plus des filiales commerciales, Hörmann dispose d'un site de production sur le territoire national : TUBAUTO SAS. Au total, 410 collaborateurs sont employés par le groupe en France et plus de 6.000 collaborateurs dans le Monde, développant un chiffre d'affaires d'un milliard d'euros. Précisons d'ailleurs que les activités françaises se hissent à la 1ère place du groupe familial Hörmann en termes d'apport de chiffre d'affaires - sur les 90 présences dans le monde revendiquées par le groupe -.Rappelons que le groupe Hörmann avait, en 2016, impulsé une nouvelle dynamique visant à regrouper les sièges de ses trois entités françaises : Hörmann France, dont le siège était basé jusque-là à Gonesse, TUBAUTO SAS qui fabrique historiquement (création en 1933) des portes de garage à Sens et TUBAUTO Distribution qui, comme son nom l'indique, est en charge de la commercialisation des références TUBAUTO et EUROPRO en France.À la suite d'un important investissement de 10 millions d'euros initié en 2017, Hörmann France a donc rejoint le site historique de TUBAUTO à Sens de 15.000 m2.Ces 10 millions ont été dédiés pour moitié à la construction d'un nouveau bâtiment (3.000 m2 de bureaux) et, l'autre moitié, au parc machines et à l'extension de 20.000 m2 de l'usine TUBAUTO.Avec ce nouvel écrin qui abrite également un superbe show-room de 400 m2 mettant en lumière tant les solutions Habitat que celles pour l'Industrie, Hörmann France se donne ainsi les moyens de poursuivre son développement national.Disposant d'un maillage de sept agences et sept dépôts répartis sur l'Hexagone, Hörmann France emploie 230 collaborateurs et dispose d'un réseau de près de 150 partenaires Espace Conseil.Les tendances Hörmann en HabitatEn développement depuis plusieurs années, la division Habitat Hörmann France, avec son offre aboutie de portes de garage, portes d'entrée, portes d'intérieur et motorisations a comme toute la filière bâtiment subi les effets de la crise sanitaire.« Le premier semestre 2020, d'une manière générale, a fortement été entaché par la crise de la COVID-19 avec, chez Hörmann, un recul des ventes Habitat par rapport à la même période en 2019. Toutefois, l'activité reprend nettement depuis la sortie du confinement, la plupart des chantiers ayant été repoussés et non annulés. Après deux premiers trimestres 2020 difficiles, le résultat pour le troisième trimestre 2020 est bon et devrait le rester pendant plusieurs trimestres. D'autant que, comme toujours, Hörmann innove et va présenter des nouveautés…»Nicolas Mergenthaler, chef de marché HabitatLes nouveautés produits Hörmann HabitatMarque haut de gamme qui décline également depuis quelques années des réponses à prix particulièrement attractifs, comme par exemple l'offre de portes de garage sectionnelles et motorisées RenoMatic, Hörmann place l'innovation au coeur des tendances digitales en dévoilant au marché français ses solutions en ligne, conjuguées à une nouvelle offre RenoMatic étendue.Contrairement à d'autres configurateurs du marché, accessibles seulement depuis KWN, KWW ou encore iHAAS, ce nouveau configurateur s'adresse plus particulièrement aux clients d'Hörmann France mais aussi aux particuliers ayant pour projet l'installation d'une nouvelle porte d'entrée ou porte de garage sectionnelle. Facile à utiliser à partir d'une simple photo de façade, le configurateur permet de projeter le plus fidèlement possible la future installation qu'il s'agisse d'une porte d'entrée ou d'une porte de garage. L'utilisateur, professionnel ou grand public, ayant simplement à sélectionner sa porte dans les catégories proposées et de la configurer en quelques clics seulement. Mentionnons d'ailleurs que les finitions, surfaces et couleurs, sont représentées de manière hyper réaliste et très fidèle, notamment pour les surfaces Decograin et Duragrain. Notons enfin que l'ensemble des gammes de portes d'entrée Hörmann y est référencé, du haut de gamme, la ThermoCarbon, à la très accessible Thermo46, avec ou sans parties latérales. De même, si les portes de garages LPU 42 et ART 42 y sont déjà accessibles, Hörmann a prévu de compléter prochainement le panel des solutions avec l'exhaustivité de ses réponses. Concluant sur une proposition exportable sous pdf avec la configuration personnalisée, le particulier pourra ensuite se rendre chez un partenaire Hörmann, Espace Conseil ou non, pour lui demander un devis personnalisé. Du côté du professionnel partenaire Hörmann, ce configurateur, véritable différenciateur et accélérateur de business, sera un gage de développement de chance de concrétiser la vente avec une proposition au rendu hautement fidèle des futurs travaux qui leur permettra de s'y projeter totalement.Système flexible Smart Home : Hörmann homeeGrâce à une simple installation de l'unité centrale Smart Home homee Brain sur le réseau domestique par connexion wifi avec routeur, ce nouveau système Hörmann assure une facilité de pilotage et de commande des motorisations de porte de garage et de portail, mais aussi des serrures de porte d'entrée, tout comme des motorisations de porte et autres appareils compatibles (caméras de sécurité, les thermostats de chauffage, station météo ou les volets roulants....).En effet, l'unité centrale embarque de série le système Hörmann BiSecur et une connexion Wifi compatible avec les systèmes AVM Smart Home, Neamţ, Belkin, Nuki, Homematic, myStrom, WOLF Haustechnik. De plus, elle peut à loisir être complétée d'autres cubes et donc d'autres systèmes radios comme Zigbee (pour les appareils et systèmes Philipps Hue, Bitron, Ikéa), mais aussi EnOcean (cube optionnel pour Smart Home AFRISO, Eltako), Z-Wave (pour Aeotec, Danfoss, Devolo, Everspring, Fibaro). La commande s'opère en effet très facilement de n'importe où via une application gratuite (compatible smartphone et tablette), une application web PC ou encore par simple commande vocale (avec Amazon Alexa, Google Assistant ou Appli Siri). Proposant notamment une vue d'ensemble précise des différents statuts de chacune des ouvertures connectées (porte d'entrée, de garage ou encore portail), il permet de s'assurer de l'ouverture ou de la fermeture de chaque élément tout comme du verrouillage de la serrure mais aussi de déterminer des scénarios d'usage synonymes de sécurité, de confort et d'économie d'énergie. Enfin, l'utilisateur appréciera la fonctionnalité de notification d'alerte en cas de porte d'entrée déverrouillée par l'application ou si le détecteur de mouvement s'enclenche.Une Nouvelle offre RenoMatic étendueFort du succès rencontré en France et en Europe par l'Europa Promotion (25 % de progression en France), Hörmann France a dévoilé depuis le 1er octobre 2020, une nouvelle offre, véritablement exhaustive et au prix très attractif, en portes de garage sectionnelles : la gamme RenoMatic. Hörmann France souhaite ainsi confirmer le succès de l'offre RenoMatic en complétant les 4 dimensions standard proposées dans la promotion 2020 par la totalité des références, y compris en sur-mesure. Nicolas Mergenthaler précise : « Cela devrait ainsi permettre à nos clients professionnels de renforcer leurs positions et de gagner de nouvelles commandes sur leurs secteurs, notamment face aux assembleurs.»Les tendances Hörmann en IndustrieCôté Industrie, Hörmann France constate aussi le coup d'arrêt au moment du confinement avec un maintien d'une faible activité services. Pour autant, Laurent Sautier chef de marché Industrie Hörmann, salue « la reprise post-déconfinement de tous les chantiers entamés avec notamment un maintien assez soutenu dans le service après-vente et une activité positive des secteurs de la logistique et des entrepôts. En revanche, sur le marché des industriels, la frilosité et le blocage des investissements dû à l'incertitude des conséquences de la pandémie sur de nombreux secteurs entraînent une baisse d'activité dans les projets ». Hörmann France peut ainsi revendiquer des belles et récentes références comme par exemple l'équipement du siège de BMW France dans les Yvelines, mais aussi le MIN de Nantes et ses 250 portes industrielles, ou encore les bases logistiques d'Auchan (67), Lidl (38), La Poste (77, 87), Biocoop (35), Schenker (85), XPO (79), Mondial Relay (44), tout comme les 96 portes sectionnelles Hörmann pour le circuit de Magny Court dans la Nièvre.Les nouveautés produits Hörmann IndustriePortes coulissantes coupe-feu à 1 vantail, 2 vantaux ou en exécution télescopique : avec la gamme la plus importante d'Europe en solutions coupe-feu, Hörmann propose des réponses esthétiques et performantes en portes tertiaires acier et acier inoxydable, portes tertiaires à chassis tubulaire entièrement vitrées, mais aussi des portes automatiques piétonnes ou encore des rideaux coupe-feu ou de compartimentage. Ses nouvelles références en portes coulissantes coupe-feu EI230/EI260, EI290 et EI2 120 OD, avec leur marquage CE et leur portillon incorporé (en exécution sans seuil homologuée pour porte coulissante anti-fumées), constituent la nouvelle génération de réponses Hörmann dédiées tant pour le coupe-feu que le pare-feu, en 1 ou 2 vantaux, double ou triple panneau téléscopique. Des qualités feu qui se conjuguent également avec des hautes performances acoustiques (allant de 29 à 31 dB). Indiquons aussi qu'Hörmann complète son panel de réponses par différents modèles de motorisations possibles comme d'équipements spéciaux (course libre, tablier porte et portillon incorporé verrouillable, potelets de protection et chasse-roue...) ainsi que d'une porte coulissante (EI230) à fermeture affleurante pour une largeur de passage maximale.Rideau de compartimentage FlexFireAvec ce rideau textile (filaments de verre renforcé d'acier V4A) coupe-feu destiné aux bâtiments commerciaux et industriels, Hörmann apporte des réponses concrètes en cas d'incendie. En effet, ce rideau (contrôlé par une unité de commande FSA-FLexControl de série) s'avère capable de fermer les grandes ouvertures en seulement quelques secondes (6 par mètre) afin d'empêcher toute propagation du feu aux zones adjacentes. Particulièrement recommandé pour les hôtels, bâtiments publics et grands magasins, le FlexFire d'Hörmann se veut parfaitement adapté aux chantiers avec configurations exigües et à l'espace de montage limité (car prenant beaucoup moins de place que la solution traditionnelle porte). Soulignons qu'il se décline dans des dimensions allant jusqu'à 5 x 5 mètres et qu'il propose des versions coupe-feu de l'E30 à l'E120, en fonction des exigences imposées. Autre atout sécurité, Hörmann le fournit avec une alimentation électrique ainsi que deux batteries, assurant un fonctionnement y compris en cas de coupure de courant. Enfin, si le raccordement à une centrale d'alarme incendie du client est possible dans le système de commande, notons qu'en combinaison avec des détecteurs d'incendie (optiques ou thermiques) qui surveillent la zone de la porte, cette commande répondra idéalement aux exigences de la norme EN 14637.Porte rapide V4008 SELPorte rapide simple adressée aux marchés de la distribution ou les petites industries. Avec son moteur tubulaire situé dans l'axe d'enroulement de la porte, la 4015 SEL ALU-R se veut aussi discrète dans son fonctionnement que par son design fluide, avec des parties latérales fines (125 mm d'épaisseur) et élégantes réalisées en aluminium. Cette nouvelle porte rapide, disponible en cinq coloris de tablier (jaune, orangé, rouge carmin, bleu gentiane et gris agate), convient particulièrement aux situations de montage avec espace réduit et aux fréquences élevées grâce à ses montants latéraux fins et à son moteur tubulaire performant. De même, grâce au petit interstice au niveau des montants latéraux et joints à lèvre, la porte se veut étanche sur tout son pourtour. Précisons également que les coulisses de la V 4015 SEL ALU-R ont été réduites grâce à l'utilisation d'un moteur tubulaire puissant, source d'un gain de place non négligeable dans le bâtiment. Côté sécurité et robustesse, notons de plus que la 4015 SEL ALU-R est dotée d'un capot de protection sur l'arbre de série en aluminium. Particulièrement facile d'entretien, grâce notamment à son capot d'arbre séparable, la V 4015 SEL ALU-R revendique une grande étanchéité assurée par le joint à lèvre et à la faible distance au cadre dormant. Si la V 4015 SEL ALU-R est équipée de série d'une barrière photoélectrique et du profilé Softedge avec interrupteur radio anticrash et réenfilage manuel, elle s'accompagne, en option, d'éléments de commande intégrés au montant latéral qui permettent l'utilisation de toutes les fonctionnalités de commande (ouverture, fermeture, réglage pour l'entretien...). Ainsi, grâce au profilé SoftEdge flexible, les temps d'arrêt dus aux endommagements du tablier sont révolus. Enfin, puisqu'Hörmann pense à tout, la V 4015 SEL Alu-R est également disponible en option avec un profilé de sol en aluminium pour une charge au vent de classe 1 (norme DIN EN 12424) ou encore avec un tablier anti-insectes à la place de la bande transparente. De même, Hörmann préconise cette référence pour une utilisation en salle blanche avec son exécution «Clean», qui comprend un habillage avec trappe de visite et lèvre d'étanchéité supplémentaire pour environnement à la différence de pression allant jusqu'à 30 Pa, ainsi qu'un profil de bas de porte en aluminium.Leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l'industrie, le tertiaire et l'habitat, l'entreprise familiale Hörmann poursuit sa croissance. Forte aujourd'hui d'un réseau composé de plus de 80 sites de distribution et de nombreux distributeurs répartis dans 30 pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie, de plus de 6 000 collaborateurs et de 31 usines hautement spécialisées, Hörmann développe annuellement un CA total de plus d'un milliard d'euros. Une réussite portée par son engagement sans cesse renouvelé en faveur de l'innovation, de la qualité et de la proximité client.
Il y a 4 ans et 199 jours

R2S-4GRIDS : extension au Label bâtiment connecté et communicant R2S-Ready2Services

Certivéa propose dorénavant une extension au Label bâtiment connecté et communicant R2S-Ready2Services : 4GRIDS. R2S-4GRIDS doit permettre de combiner transition numérique et transition énergétique au bénéfice du bâtiment. Pour être compatible avec l’extension 4GRIDS du Label R2S, un bâtiment doit répondre à trois niveaux d’exigence : être communicant pour transmettre les données de production, de consommation et de flexibilité énergétique ; être fiable et tenir ses engagements de performances énergétiques ; être capable de réponde à la demande de flexibilité et de modulation des consommations d’énergie. C’est dans ce cadre que GCC a été retenu avec son chantier de rénovation du collège Jean Jaurès de Cenon (33). Afin d’obtenir ces objectifs, GCC a mis en place des moyens techniques importants : – Une ventilation 100 % naturelle avec un système qui capte le vent pour rafraichir et évacuer l’air vicié du bâtiment. – Une production d’électricité photovoltaïque. – L’installation d’un maillage de capteurs dans les salles de classe permettant de relever tous les paramètres de température, occupation, luminosité. Ces données permettent une mesure précise des consommations énergétiques par usages et par bâtiments. – La mise en place d’un « Réseau Smart » fédérant l’ensemble des équipements techniques pour récupérer toutes les données nécessaires au suivi du confort, de la performance énergétique et de la qualité de l’air. Ces données transitent par une API (Application Programming Interface ou Interface de Programmation Applicative) facilitant les échanges entre les divers équipements. – Des missions de commissionnement et de management énergétique. GCC met en place un système d’accompagnement afin que les équipements installés soient utilisés au mieux de leurs capacités pour apporter un réel confort et procurer les meilleures performances. Des formations seront dispensées afin que le personnel et tous les utilisateurs comprennent et sachent gérer les appareils.
Il y a 4 ans et 199 jours

La Fédération des Ascenseurs dévoile les lauréats du concours d'architecture "La Cité des Ascensions Durables"

Ce concours était doté de 9 000 € de prix. Il s'agissait de réfléchir à la manière dont les techniques les plus pointues de l'ascensorisme et du levage, peuvent améliorer la qualité de l'environnement et des cadres de vie de demain.Grâce à ces nouvelles méthodes, les candidats ont pu proposer des pistes poétiques, réalistes et/ou futuristes, pour redynamiser les centres-villes anciens, pour mieux vivre en ville dense, pour préserver les terres agricoles, pour diminuer l'impact des voitures, pour rendre plus durables les immeubles de grande hauteur, pour favoriser l'agriculture urbaine, pour améliorer les recyclages courts et les stockages de proximité, pour simplifier les déplacements, pour économiser l'énergie et améliorer le confort ou pour installer de nouveaux artisanats en ville.Les projets montrent que la jeune génération est prête à relever les défis de l'innovation pour réfléchir autrement aux cadres de vie. Pour elle, il s'agit d'allier préservation de la planète et emploi des hautes technologies propres.Madame Emmanuelle COSSE, ancienne ministre du Logement a présidé le jury composé de Claire Bailly, architecte, enseignante, chercheure, co-fondatrice de l'Atelier Bio-numérique, Vincent Ducrey, co-fondateur et dirigeant du Digital Think Tank HUB Institute, Guillaume Fournier Favre, Président de la Fédération des Ascenseurs, Thomas Guéret, Chef de la mission prospective au Ministère de la transition écologique et solidaire, et Jean-Michel Jacquet, architecte conseil de la DGALN.La réunion du jury a été animée par Alain Meslier, Délégué Général de la Fédération des Ascenseurs et Jean Magerand, architecte, docteur, chercheur, co-fondateur de l'Atelier Bio-numérique.Les lauréats du concours1er prix : Le sens de la GravitéLouis HAREL, ENSA Lyon – 4 000 €Une utopie réaliste low tech pour logements existants, autour des cages d'ascenseur high tech, où convivialité et cycles courts sont les maître-mots. L'ascenseur devient le centre d'un tiers-lieu vertical, utilitaire et poétique. Ce lieu de rencontre et d'échange rend la vie des habitants plus écologiquement vertueuse et plus confortable.2ème prix : Flux LabGeorges SOUAID et Marina CAMACHO GALAN, ENSA PLV – 2 000 €Un projet radical pour une ville verticale généreuse, où high tech numériques et sources biologiques d'énergie se combinent pour contribuer à proposer des villes plus sereines et plus respectueuses des milieux naturels.3ème prix : Flying GardenNoémie GRATIEN, ENSA Lyon – 1 500 €La verticalité au service d'exploitations agricoles urbaines, rendues opérationnelles par des systèmes sophistiqués de dessertes automatiques horizontales et verticales.4ème prix : RélévationMona MENADI, Carrick REDDIN, Alexandra VAN MILINK, SciencesPo Paris Sciences Po Paris ; Alice DUVIVIER, Ingénieure INSA Rouen – 1 000 €Exploiter les sous-sols des villes comme un gisement d'espaces à occuper, pour densifier sans surélever. L'ascension durable est mi-aérienne, mi-souterraine, parcourant une ville compacte, laissant à la lumière naturelle les espaces de vie, et utilisant les espaces sombres pour les dispositifs de stockage, production, circulation.5ème prix : Retour à la terre en s'élevant vers le cielBaptiste MINGOIA, David LUCOT, diplômés Master d'Architecture, ENSA PVS – 500 €Une utopie pour l'équilibre entre ville et nature, avec de grandes tours multi-programmatiques, écologiques, organisées chacune autour d'un bassin vertical, qui stocke la pluie et l'eau atmosphérique, irrigue les cultures, fournit de l'énergie.Projets Mentionnés :ADN2 - Ascenseur Développeur de Nature dans la Néo-technologie, Clément BEAUQUIER, doctorant Polytechnique Paris ; Manon BELEC, Yann DODUIK, diplômés Master d'ArchitectureMention Amélioration de la biodiversité en villeTerminus Betterave - Gare agricole sur le circuit maraîcher de la Somme, Antonin DELAIRE, École d'architecture Marne La ValléeMention Transport et stockage automatiques des produits agricoles en circuits courtsLes sommets du réemploi - Mobilités et programmations innovantes en montagne, Marion SERRE, Gabriele SALVIA, docteures en architecture ; Mirella CACCIA KOSTOVIC, ENSA MarseilleMention Mobilités vertueusesHUB2O, Aude CALATAYUD, Estelle JACOB, ENSA StrasbourgMention Innovation en matière de transport urbainPerversions, Livio SPADA, Master Spatial Planning Londres, Federico PERUGINI, École d'architecture de Pavia, Nicola DRAGHI, Master Sustainable Energy Technology TU DelftMention Innovation territoriale et politique
Il y a 4 ans et 199 jours

Le Marocain Aptex dans le giron de Chryso

L’entité commune Chryso-Aptex apportera aux clients marocains une offre complète de solutions d’adjuvantation. [©Chryso] Chryso vient de signer un accord portant sur une prise de participation majoritaire dans la société marocaine Aptex. L’industriel des adjuvants poursuit sa stratégie de croissance dans des pays bénéficiant d’une forte dynamique du secteur de la construction et du marché du béton à forte valeur ajoutée. Il va ainsi renforcer sa présence au sein du Royaume chérifien, où le groupe est établi depuis 30 ans. Et y bénéficie d’une solide réputation auprès des clients. En effet, Chryso a développé une très bonne connaissance des enjeux locaux du marché de la construction. «  Par cette prise de participation majoritaire, nous pérennisons notre relation de long terme avec nos clients marocains. Et renforçons notre ancrage local au Maroc. Nous accélèrerons ainsi le déploiement de nouvelles technologies. Et accompagnerons les industriels dans le développement de matériaux de construction performants et respectueux de l’environnement »,indique Thierry Bernard, président de Chryso. Une entité commune Chryso-Aptex Quant à Aptex, cet acteur local opère depuis 2018 dans  le domaine de la chimie de la construction. Le Marocain est doté d’une unité de production et d’un laboratoire applicatif, situés à Casablanca. «  Nous nous réjouissons de nous associer à une structure internationale, offrant d’importants moyens de développements et d’une forte culture de l’innovation »,a commenté Mohamed Benlyamani, fondateur d’Aptex. L’entité regroupée dans une entreprise commune Chryso-Aptex apportera aux cimentiers, industriels du BPE et de la préfabrication… une offre complète de solutions d’adjuvantation. Mais aussi de produits décoratifs pour béton, d’additifs pour ciment. Et enfin, de chapes fluides, ainsi que des services dédiés. Cependant, l’opération reste soumise à l’approbation des autorités réglementaires compétentes. La réalisation définitive de cette transaction devrait intervenir au cours de la fin du 4etrimestre 2020.
Il y a 4 ans et 199 jours

Tubesca-Comabi présente le MECA MODUL®, "le bon calcul"

Après le lancement du mini échafaudage roulant, Nano'Tower, et de l'escalier public, Publistep, en 2019, l'entreprise dévoile un tout nouveau concept, le Meca Modul®, « le bon calcul ».Face à la diversité des environnements industriels, les missions de maintenance sont extrêmement complexes et exposent les opérateurs à des risques variés. C'est pour résoudre ces problématiques et répondre aux besoins des professionnels de la maintenance que Tubesca-Comabi a imaginé le Meca Modul.Des solutions qui s'adaptent aux utilisateurs et à leur environnementFabriqués en France, en aluminium, comme la plupart des produits de Tubesca-Comabi, à la croisée des chemins entre des solutions standards et des solutions sur mesure, les modules de ce nouveau concept sont simples à monter et surtout très sûrs. Ils s'adaptent à chaque poste de travail et évoluent avec les besoins spécifiques des professionnels. Ces derniers peuvent en effet choisir parmi 3 utilisations de modules pour :accéder à une machine pour sa maintenance et aux quais de chargement. Ces modules permettent également tout type d'accès permanent ;travailler sur des lignes de production ainsi que sur des postes de travail temporaires ou permanents ;circuler sur des zones sécurisées en espaces étroits ou encombrés, et sur des accès divers, ainsi que sur des zones de franchissement (de faibles hauteurs).Conçu pour que les opérateurs de maintenance puissent travailler en toute sécurité et en évitant tout risque de chute, le Meca Modul répond aux exigences des normes EN 14122 et EN 14123.Un concept aux multiples avantagesAprès avoir choisi leurs modules, les professionnels peuvent opter pour la configuration souhaitée parmi plus de 80 configurations possibles.Le confort de leur poste de travail est aussi assuré par une protection collective. Ils peuvent en effet choisir leur option de sécurité ou de confort : rampe, garde-corps et portillon de sécurité…Par ailleurs, Tubesca-Comabi garantit une disponibilité immédiate des modules, lorsqu’elle en reçoit la commande. Dès réception, il ne reste plus qu’à effectuer le montage, simple et rapide, par l’utilisateur.Très faciles à manipuler et à déployer, ces solutions ont été étudiées pour que leur installation soit facile et réalisée en quelques minutes.
Il y a 4 ans et 199 jours

TMP CONVERT – Le nouveau tournant d’un industriel qui voit loin

2021 marquera l’année d’une évolution stratégique des activités de TMP CONVERT. Le fabricant français, reconnu sur le marché des solutions pour aménagements extérieurs avec son offre JOUPLAST®, lance la marque OCAPE® et renouvelle sa charte graphique. Résolument tournée vers l’avenir, l’entreprise investit, dès cette fin d’année, de nouveaux horizons. Leader européen sur le marché des plots de terrasse, TMP CONVERT opère un important virage et déploie son offre dans l’univers de la construction en lançant OCAPE®, une nouvelle marque dédiée aux professionnels de l’étanchéité et de la toiture-terrasse. Pour accompagner ce développement, TMP CONVERT revisite sa charte graphique et adopte un nouveau logo qui reflète pleinement la démarche de l’entreprise. Un nouveau site Internet TMP CONVERT, qui verra le jour avant la fin de l’année, s’articulera également autour de cette charte. Apporteur de solutions pour aménagements extérieurs et toitures-terrasses, TMP CONVERT s’est depuis longtemps engagé dans une démarche de développement durable, respectueuse des normes environnementales en vigueur. Sa production 100 % française privilégie les circuits courts et fait appel à de la matière plastique recyclée. La nouvelle charte graphique traduit la démarche de TMP CONVERT, fabricant impliqué et sensible aux impacts environnementaux de sa production, comme l’atteste l’obtention du label MORE « MObilisés pour REcycler».   Du paysage à la toiture-terrasse et son étanchéité TMP CONVERT, avec sa marque JOUPLAST®, propose aux artisans, paysagistes et particuliers des produits qui répondent parfaitement à leurs besoins et aux textes en vigueur. Les gammes se composent de plots toujours plus astucieux et de solutions innovantes pour aménagements extérieurs. TMP CONVERT s’attache à concevoir des gammes qui sont le fruit d’un travail de terrain et d’une collaboration étroite avec les utilisateurs professionnels. Entièrement restructuré, le service Recherche & Développement de l’entreprise reflète l’investissement humain important consacré aux innovations TMP CONVERT. Quatre personnes sont ainsi dédiées au développement de nouveaux produits, de leur création et conception aux phases de tests jusqu’au suivi attentif des retours des partenaires commerciaux. Cette équipe, associée à un service marketing enrichi de nouveaux collaborateurs spécialisés en marketing stratégique, analyse les exigences métiers pour concevoir des produits répondant aux attentes des hommes de terrain : respect des normes, diminution des temps de manutention, complémentarité des gammes, ingéniosité des produits, compatibilité avec les projets d’aménagement. Certains membres de l’équipe Recherche & Développement sont par ailleurs intégrés aux commissions DTU (43.1 – Travaux d’étanchéité des toitures-terrasses avec éléments porteurs en maçonnerie et 51.4 – Platelages extérieurs en bois) qui définissent les conditions à respecter dans le choix et la mise en œuvre des matériaux afin de garantir la réalisation d’ouvrages de qualité et dans les règles de l’art. C’est dans cet esprit créatif et collaboratif que TMP CONVERT lance dès novembre 2020 la nouvelle marque OCAPE®, destinée aux professionnels de l’étanchéité et de la toiture-terrasse. Composée d’éléments de structure pour l’aménagement des toitures- terrasses et de solutions pour la protection de l’étanchéité et la consolidation des éléments d’étanchéité, OCAPE® traduit la capacité d’innovation de TMP CONVERT et la faculté de l’entreprise à se déployer sur de nouveaux marchés.   Une offre diversifiée 100 % française Acteur reconnu du monde du paysage, et en devenir dans l’univers des toitures-terrasses, TMP CONVERT conçoit et fabrique l’ensemble de ses produits en France. L’entreprise n’a de cesse d’investir dans ses outils de production, de gestion, de communication et leur digitalisation pour simplifier ses échanges avec ses partenaires de la distribution et maintenir son haut degré de performance. La politique de Recherche & Développement en perpétuel renouvellement vise à utiliser des matières recyclées et recyclables, sans recourir à la sous-traitance, et en privilégiant les circuits courts. Par ailleurs, TMP CONVERT s’attache à développer une politique zéro déchet lors de la fabrication de ses produits : rebus et chutes entrent tous dans un cycle complet de recyclage. Cette politique mise en œuvre dès 2008 a valu à TMP CONVERT d’obtenir le label MORE « MObilisés pour REcycler » (créé par la Fédération de la Plasturgie et des Composites), qui atteste de ses engagements en faveur de la réduction de l’empreinte environnementale liée à la fabrication de ses produits. Véritable reconnaissance de l’engagement écologique de l’industriel, ce label témoigne de sa volonté de favoriser une consommation plus durable, avec des produits qui intègrent de plus en plus de matière plastique recyclée. Cette démarche écoresponsable est symbolisée par le nouveau logo de l’entreprise.   Un logo infiniment représentatif Le graphisme et les couleurs du nouveau logo TMP CONVERT ont une signification bien précise qui incarne l’essence même de l’entreprise. Au premier regard, le symbole infini évoque le souci de recherche et de renouvellement constant, ainsi que le métier de TMP CONVERT (recyclage de la matière, fabrication de produits durables, démarche environnementale) qui s’articule autour de l’innovation. Le gris foncé fait référence à l’entreprise et à sa matière grise active, et sert de lien entre le ciel/l’eau (bleu), et la nature (vert). La ligne bleue centrale évoque la détermination de la société dans sa poursuite d’une stratégie innovante, axe solide qui relie les composants colorés du symbole infini. Cette ligne bleue, conductrice et cohérente, rappelle le logo de la marque JOUPLAST® et celui de la toute dernière marque OCAPE®, reflet de la volonté de TMP CONVERT d’aller de l’avant en suivant une politique d’innovation permanente. Le vert évoque à la fois la démarche écoresponsable de l’entreprise et la dynamique portée par des équipes de talent.
Il y a 4 ans et 202 jours

GreenSystèmes lève 750 000 € et lance sa solution d’optimisation énergétique sur le marché français

Après 4 ans de recherche et développement, Green Systèmes, société normande spécialisée dans le développement de logiciel et d’électronique, a pour objectif d’aider les professionnels à réduire leurs dépenses énergétiques et à améliorer leur empreinte environnementale. Afin de lancer la commercialisation en France, et d’industrialiser sa solution de connexion au bâtiment (la Green Box) Green Systèmes annonce une levée de fonds d’un montant de 750 000 € avec le soutien du Groupe Trace et des investisseurs historiques de l’entreprise. De la collecte des données en passant par l’analyse des consommations jusqu’au pilotage de microgrids Afin d’améliorer la performance énergétique des bâtiments et usines du territoires français, Green Systèmes a développé différentes solutions d’optimisation pour être présent sur l’ensemble de la chaîne de valeur. 4 intenses années de recherche et développement ont été nécessaires avant de se lancer sur le marché avec des produits particulièrement innovants : Collecte des données en temps réel. La Green Box, développée par Green Systèmes, est un boitier plug and play à brancher directement dans le tableau électrique du bâtiment. Ses modules interconnectés permettent de relever tout type de données (eau, gaz, électricité, température, CO2…) quel que soit le protocole de communication utilisé dans le bâtiment (LoRaWAN, Modbus, TIC…) Analyse des factures et pilotage des consommations à distance avec la Green Solution, solution logicielle SaaS. Green Systèmes propose une solution regroupant l’ensemble des fonctionnalités nécessaires pour un monitoring énergétique performant. Centralisation, harmonisation et uniformisation des données : toutes les données de consommation sont centralisées au sein d’un tableau de bord entièrement personnalisable. Cette solution permet une analyse simple et surtout d’identifier rapidement les gisements d’économie d’énergie. Pilotage des équipements : le pilotage des équipements à distance permet de programmer différentes plages horaires pour allumer ou éteindre automatiquement des équipements (éclairage, VMC…) et ainsi éviter de consommer inutilement. Centralisation et analyse des factures énergétiques : analyse automatique des factures d’énergie pour identifier les erreurs de calcul. Alertes en cas de dysfonctionnement : envoi d’alertes SMS / e-mail en cas de dysfonctionnement d’équipements (fuite d’eau, augmentation des températures, dérive de la consommation électrique…) Pilotage d’un Microgrid. Les énergies renouvelables sont de plus en plus présentes en France et certains bâtiments sont équipés de panneaux solaires… Green Systèmes propose son logiciel de pilotage de Microgrids. Il calcule précisément la production attendue via son algorithme prédictif et optimise la consommation. Il permet également de piloter les équipements alimentés par des énergies renouvelables (batterie de stockage, borne de recharge pour véhicule électrique…). L’objectif est d’augmenter le taux d’autoproduction et d’autoconsommation des bâtiments en gérant l’effacement pour éviter les pics de consommation ou en stockant de l’électricité en période de sous charge. Cette levée de fonds a donc pour objectif d’industrialiser la Green Box et de lancer la commercialisation de la Green Solution sur le territoire français, avant une prochaine levée de fonds, pour accélérer en France et lancer les produits à l’international. Green Systèmes compte figurer parmi les leaders en matière d’optimisation énergétique en proposant une gamme de produits complète, répondant au différents problématiques liées aux consommations des bâtiments. À propos du Green Systèmes Green Systèmes, filiale du Groupe Trace (groupe basé en Normandie, expert dans les solutions pour la conception électrique, le bâtiment, le BIM et l’énergie), travaille sur des solutions de Smart Grid et sur l’ensemble de la chaîne énergétique globale en proposant des solutions de pilotage et de collecte des consommations. Elle développe ses propres équipements hardware (Green Box et capteurs spécifiques), les applications nécessaires et intègre les capteurs du marché dans un système multi protocoles ouvert. Plus d’info sur : www.greensystemes.com/
Il y a 4 ans et 203 jours

CONDENSIL : Béton projeté avec la fumée de silice

Ferroglobe, leader de la production de fumées de silice, à travers son partenaire distributeur Condensil (fumée S95 DP/DM), a permis la réalisation de nombreux ouvrages du BTP. L’utilisation de fumées de silice dans le béton projeté présente de nombreux avantages, dont la réduction du rebond, une prise et un durcissement plus rapides. Egalement de meilleures résistances et une adhérence accrue. Et enfin, une amélioration de l’imperméabilité répondant aux exigences des environnements agressifs. Selon l’application, l’ajout est fait à raison de 7 à 10 % en poids de ciment ou ciment plus cendres volantes / laitier. Grâce à sa nature superfine, la fumée de silice augmente la cohésion du béton projeté. Ceci, en améliorant la liaison avec le substrat cible, autour de la barre d’armature. Et liant le granulat et les fibres éventuelles, de sorte que la couche de béton formée soit bien compactée et dense.
Il y a 4 ans et 203 jours

Programme de formations dans l’utilisation des matériaux locaux naturels

amàco vient de publier son calendrier et les programmes des formations professionnelles pour l’année 2020/2021. amàco accompagne les professionnels et futurs professionnels de la construction, de l’architecture et du design dans la conception et la réalisation de projets transformant les matières naturelles disponibles localement en matériaux de construction. amàco accompagne également le développement de filières de production de matériaux en terre crue et en fibres végétales dans les territoires. Sable, cailloux, argiles, osier, bambou et toutes les matières brutes qui nous entourent sont étudiées par amàco. En croisant science, technique, art et architecture, amàco révèle leurs potentiels constructifs et esthétiques. https://amaco.org/nouveaucalendrier-des-formations-2020-2021/  
Il y a 4 ans et 204 jours

La nouvelle Maison de la Culture de Bourges, une architecture épurée

Imaginé par l’agence d’architecture Ivars & Ballet, la nouvelle Maison de la Culture Bourges devait jouer un rôle urbain et architectural de premier plan au sein d’un environnement artistique déjà riche. Sur une surface de 6 000 m2, le programme accueille deux théâtres, un espace d’animation et de médiation, une salle de répétition, deux salles de cinémas, un restaurant et un large hall pour présenter les expositions. Sa forme rectangulaire, toute en longueur et épurée, est magnifiée par un auvent métallique débordant côté mail et au niveau du parvis. La conception et la mise en œuvre de cette marquise minutieuse ont été réalisées par l’agence SOPREMA Entreprises Bourges. Pour obtenir cette écriture minimaliste, le bureau d’études a travaillé sur l’empilage des cotes entre le gros œuvre, la charpente, les menuiseries extérieures et l’étanchéité, le tout en respectant le DTU de chacun. Une équipe de quatre bardeurs expérimentés a installé près de 1400 m2 de cassettes Alucobond® en s’assurant que les joints soient quasi-invisibles. Un véritable travail de précision car cet élément architectural avait pour particularité d’être très fin sur le bord (5 à 10 cm). Les cassettes semblent ainsi disparaître au profit d’une surface monolithique qui scintille de jour comme de nuit grâce aux éclairages artificiels. Leur couleur champagne s’harmonise à la minéralité de la pierre en soubassement. Un soin particulier a également été apporté à la cage de scène surplombant le volume. SOPREMA Entreprises l’a habillée, de septembre 2019 à octobre 2020, d’une peau texturée qui fait écho au feuillage des arbres alentour. Au total, 1 000 m2 de lames sur-mesure en acier laqué recouvrent cette strate émergente, signal de la ville. Sa teinte « gold perla » joue avec les lumières au fil de la journée et reflète la canopée voisine pour une symbiose entre le bâti et le végétal. Le travail du bureau d’études intégré a été essentiel en phase préparatoire. Il a réinterprété les dessins de l’architecte, qui a poussé le niveau de détails avec plus de 50 modules de lames « chevrons » de différentes longueurs (entre 200 et 3 500 mm – largeur identique de 400 mm). Une fois les plans d’exécution validés, il les a transmis au fabricant Arcelor Mittal. Il a par la suite été sur le chantier pour valider in-situ le prototype avant de lancer la production. L’objectif étant de retranscrire avec minutie le souhait de la maîtrise d’œuvre. Lors de la réception des modules, les équipes devaient également être attentives et suivre avec précision les plans pour placer chaque pièce à l’endroit défini tel un « puzzle géant ». Pour favoriser le confort du public et du personnel, SOPREMA Entreprises a mis en œuvre en toiture des solutions performantes qui garantissent une étanchéité et une isolation optimales et durables. De juin 2019 à février 2020, une équipe de sept étancheurs s’est relayée pour réaliser : – 3 400 m2 de toiture inaccessible sur béton avec finition autoprotégée et panneaux polyuréthane de 160 mm, – 1 000 m2 de bac acier sur laine de roche soudable de 240 mm en 2 lits, – 370 m2 de terrasses accessibles piétons sur panneaux polyuréthane de 160 mm, – 540 m2 de terrasses avec protections dures pour terrasses techniques. MAÎTRE D’OUVRAGE : Ville de Bourges ARCHITECTE : Ivars & Ballet   Photos SOPREMA Entreprises – photographe Yannick PIROT  
Il y a 4 ans et 204 jours

Le mouvement de grève des salariés de la raffinerie de Grandpuits suspendu

Mardi matin, dès 4H00, des salariés avaient créé un "barrage de fortune avec des palettes pour bloquer l'entrée de la raffinerie", avait expliqué Adrien Cornet, délégué CGT, syndicat majoritaire à l'initiative de cette action.Au total 270 poids-lourds dans l'impossibilité de récupérer leurs chargements - soit 35.000 litres de carburants chacun - ont dû être déportés vers d'autres dépôts, soit la quasi totalité des quelque 300 camions de passage chaque jour sur le site, selon la CGT."Les expéditions de produits sont perturbées mais Total continuera à assurer les approvisionnements de son réseau de stations-service et de ses clients", a indiqué le groupe à l'AFP.Cette action s'inscrivait dans la grève votée lundi lors d'une assemblée générale qui a rassemblé plus de 200 salariés. Mais le mouvement n'a pas été reconduit mardi après-midi, a précisé M. Cornet, après avoir rencontré la direction du site et de Total.Total a annoncé en septembre que le raffinage à Grandpuits cesserait "fin 2023". Il doit laisser place à un projet de reconversion centré sur la production de biocarburants et de bioplastiques, et à l'exploitation de deux centrales solaires photovoltaïques, selon le géant pétrolier.D'un budget de 500 millions d'euros, ce redéploiement n'entraînera aucun licenciement mais des départs à la retraite anticipée et des mobilités internes vers d'autres sites, avait affirmé Total.Le groupe avait assuré que 250 postes sur les 400 que compte aujourd'hui la plateforme de Grandpuits et le dépôt associé de Gargenville (Yvelines) seraient maintenus.Mais la CGT craint la suppression de "700 emplois", directs et indirects. "On veut un projet d'ampleur pour la raffinerie, vraiment vert et pas du +greenwashing+", a souligné M. Cornet, dénonçant un "projet macabre" qui inquiète de nombreux salariés."On demande des écrits, des engagements" pour préserver l'emploi, a-t-il ajouté.
Il y a 4 ans et 204 jours

Sika améliore sa capacité de production de mortier en Chine

INTERNATIONAL. Sika, spécialiste de la chimie suisse, annonce avoir augmenté sa capacité de production de mortier en Chine grâce à une nouvelle installation à Chengdu.
Il y a 4 ans et 204 jours

Rencontre avec : Inger Marie Jensen Hansen

En septembre dernier, l’éditeur de mobilier danois Carl Hansen & Søn a ouvert sa première boutique parisienne. Rencontre avec Inger Marie Jensen Hansen, responsable des accessoires, des boutiques et des sites de la marque. En 2017, après avoir pris sa retraite de son poste de médecin-cheffe du service des maladies rhumatismales et de directrice de la recherche à l’Hôpital universitaire d’Odense, Inger Marie Jensen Hansen, l’épouse de Knud Erik Hansen – l’actuel dirigeant de Carl Hansen & Søn – a rejoint la société. Aujourd’hui, elle est responsable des lignes d’accessoires, de tous les flagship stores et des boutiques en ligne. À l’occasion de l’ouverture de la première boutique parisienne de Carl Hansen & Søn, Inger Marie Jensen Hansen s’est confiée à la rédaction de Muuuz. Muuuz : Pouvez-vous nous raconter l’histoire de Carl Hansen & Søn ?Inger Marie Jensen Hansen : Depuis plus de 112 ans, nous sommes spécialisés dans la fabrication artisanale de meubles d’exception qui donne vie à des concepts de design visionnaires. Notre histoire remonte à 1908, lorsque l’ébéniste danois Carl Hansen ouvre un petit atelier de meubles sur l’île danoise de Fionie. Depuis lors, le succès de l’entreprise repose sur deux idées fondamentales : un engagement sans compromis en faveur du meilleur savoir-faire artisanal et des alliances avec des designers talentueux qui réinventent et affinent sans cesse le concept de design moderne. En 1934, le fils de Carl, Holger Hansen, reprend l’entreprise. À seulement 23 ans, Holger se révèle être la personne qu’il fallait, au bon endroit, au bon moment. Sa formation en ébénisterie, combinée à son ambition et au courage lié à son jeune âge, lui permet de développer l’entreprise en augmentant la productivité et en participant à des salons internationaux. En 1962, après avoir dirigé avec succès l’entreprise de son père pendant près de trois décennies, Holger meurt subitement d’une crise cardiaque. Les fils de Holger, Knud Erik et Jørgen Gerner, n’ont respectivement que 11 et 16 ans – trop jeunes pour lui succéder. La femme de Holger, Ella Hansen, prend la décision courageuse de reprendre l’entreprise familiale jusqu’à ce que ses jeunes fils atteignent l’âge adulte – une décision audacieuse pour une femme sans éducation en 1962. Le fils aîné, Jørgen Gerner, entre dans l’entreprise en 1973 et succède à sa mère en tant que directeur général en 1988. Le fils cadet, Knud Erik Hansen, prend la relève en 2002 et aujourd’hui, la petite menuiserie créée à Odense il y a plus d’un siècle est devenue une entreprise internationale de design.Quel a été le cheminement parcouru depuis la création de l’entreprise ? Aujourd’hui, quelle est sa démarche ?Depuis que Knud Erik Hansen, le petit-fils de Carl Hansen, est devenu la troisième génération à la tête de l’entreprise familiale en 2002, Carl Hansen & Søn a considérablement étendu sa présence internationale. Aujourd’hui, les meubles que nous fabriquons sont disponibles partout dans le monde et nous avons des flagship stores et des showrooms à New York, San Francisco, Tokyo, Osaka, Paris, Londres (Belgravia et Clerkenwell), Milan, Stockholm, Oslo, Copenhague et Gelsted, ainsi que des filiales commerciales en Europe, au Moyen-Orient, aux États-Unis, au Japon et à Hong Kong. Dans les années à venir, nous prévoyons d’en ouvrir d’autres dans un plus grand nombre de villes. Pourtant, malgré tous ces changements, notre engagement centenaire à produire des meubles classiques d’envergure internationale n’a pas évolué. Notre siège social se trouve maintenant dans la ville de Gelsted, sur l’île danoise de Fionie, et nous fabriquons également nos meubles dans nos sites de production voisins afin de garantir la meilleure qualité possible. Nous utilisons une combinaison de techniques traditionnelles et de nouvelles technologies pour créer un design moderne et intemporel. Depuis le début de la fabrication jusqu’au moment où nos meubles prennent place dans un nouvel espace intérieur, nous sommes guidés par le dévouement à des pratiques honnêtes et durables qui respectent l’héritage de notre fondateur et de nos designers. Quel est le processus de développement de vos meubles ?Depuis 2002, le PDG de Carl Hansen & Søn, Knud Erik Hansen a préservé l’héritage de cette dernière en matière de design, élaboré une stratégie pour les nouveaux talents et trouvé l’équilibre idéal entre artisanat et technologie. En pratique, cela signifie que Carl Hansen & Søn a automatisé le dur labeur qui épuisait auparavant les ébénistes, tout en veillant à ce que l’artisanat joue un rôle clé dans la production de classiques du design. Une fois que les machines informatisées ont découpé les différents éléments du meuble et assuré une qualité uniforme en vue du traitement ultérieur, les ébénistes prennent le relais pour assembler, polir, huiler, rembourrer, tisser et donner à chaque pièce cette finition particulière que seul un artisan qualifié peut apporter. Carl Hansen & Søn continue à respecter les traditions de l’artisanat et à s’appuyer sur les connaissances et l’expérience acquises au fil des générations. Les ébénistes et les tapissiers expérimentés continuent à exercer leurs métiers respectifs, tandis que les maîtres tisserands emploient un large éventail de techniques pour la production des sièges et des dossiers. L’étroite collaboration entre le nouveau designer et le fabricant aboutit à une culture où les défis de l’artisanat continuent à stimuler le développement de nouveaux designs.Depuis la création de l’entreprise, quelle est la relation entre Carl Hansen & Søn et les différents designers avec lesquels elle collabore ? Holger Hansen, fils de Carl Hansen, avait un œil sur Hans J. Wegner dans les années 1940, quand Wegner était encore un jeune ébéniste danois peu connu. En 1949, après avoir terminé ses dessins de nouvelles chaises, Wegner fait le trajet à bicyclette de Copenhague à Odense – une journée entière de trajet – où se trouvait l’entreprise de meubles de la famille Hansen. Une fois sur place, Wegner s’installe dans la villa de la famille Hansen, et dort dans la chambre du plus jeune fils, Knud Erik. Dès le début, les créations de Wegner sont uniques et sans précédent. Au cours de ses trois premières semaines, Wegner conçoit quatre chaises – CH22, CH23, CH24 et CH25. Wegner utilise des éléments modernes tels que des dossiers cintrés à la vapeur, des formes organiques, des bois clairs et des sièges tissés dans des constructions complexes qui aboutissent à des objets simples et élégants. La première collection de Wegner pour Carl Hansen & Søn est dévoilée en 1950 et connaît un succès immédiat. Malgré les premières réactions mitigées de la part des clients, la chaise Wishbone est ensuite surnommée « chaise nationale du Danemark », ce qui démontre la nature visionnaire du design de Wegner. L’intérêt pour la première collection ne se limite pas au Danemark et, en 1952, Holger Hansen crée un réseau de distributeurs agréés aux États-Unis. Avec ce succès commercial, Holger Hansen – qui a misé sur le jeune architecte – peut pousser un soupir de soulagement. Aujourd’hui, Carl Hansen & Søn continue à travailler en étroite collaboration avec le Hans J. Wegner Design Studio, en tant que premier fabricant mondial de meubles Wegner. Outre Wegner, Carl Hansen & Søn collabore également avec des designers et architectes célèbres tels que Kaare Klint, Børge Mogensen, Ole Wanscher, Nanna Ditzel et bien d’autres.Comment choisissez-vous les designers pour les nouvelles collaborations ? Quelles sont vos dernières collaborations ?Au fil des ans, Carl Hansen & Søn s’est attaché à préserver les classiques du design danois tout en continuant à élargir sa collection pour représenter de nouveaux créateurs influents. Notre objectif : réunir sous un même toit la crème des designs de meubles modernes les plus emblématiques. Nous nous associons également à des designers contemporains qui défendent les principes fondamentaux de la modernité danoise, à savoir la simplicité, la fonctionnalité et l’artisanat, tout en insufflant une nouvelle vie aux espaces modernes. Ces collaborations sont ancrées dans un respect commun pour une conception et une production réfléchies, et dans des perspectives qui apportent de nouvelles dimensions à notre catalogue. Notre partenariat avec le designer danois Rikke Frost, avec lequel nous avons lancé le canapé Sideways en septembre 2020, incarne ces valeurs.Et comment trouver et choisir des pièces dans les archives ?Nous recherchons dans les archives en étroite collaboration avec les proches des créateurs. Naturellement, nous tenons également compte de la demande et de notre collection, afin que le nouveau produit ait un sens. Pouvez-vous nous parler de la ligne d'accessoires ? La ligne d’accessoires Carl Hansen & Søn enrichit notre gamme de produits existante avec des articles uniques et inspirants provenant du Danemark et du monde entier. Tous les accessoires de Carl Hansen & Søn partagent un design de qualité, des couvertures tissées à la main jusqu’aux vases audacieux en verre, en passant par les chemins de table complexes cousus à la main et les miroirs fabriqués de mains d’expert. Chaque pièce est choisie avec soin pour apporter beauté, charme et chaleur aux intérieurs. Pourquoi avez-vous choisi d'installer votre flagship store à Paris ? Quels sont les défis et les objectifs de ce nouveau lieu ?Paris est un haut lieu du design. Les lignes classiques de notre collection correspondent bien au goût parisien. Aussi, comme la France est un marché émergent pour nous, avec des clients exigeant une qualité et un savoir-faire artisanal haut gamme, nous avons estimé qu’il était temps d’investir dans un lieu de vente, conformément à notre stratégie d’expansion internationale dans les grandes villes du monde, afin de pouvoir faire connaître Carl Hansen & Søn à un public plus large. Avec un flagship store, nous pouvons être en contact direct avec nos clients, ce qui nous permet de leurs offrir une expérience d’achat encore meilleure et de mieux comprendre le marché. Pour en savoir plus, visitez le site de Carl Hansen & Søn. Visuels : © Carl Hansen & SønLa Rédaction
Il y a 4 ans et 205 jours

Saint-Gobain double sa production de matériaux biosourcés d'isolation

Le directeur général France du groupe, Guillaume Texier, a salué dans le plan de relance "un effort sans précédent pour pousser la rénovation énergétique", qui arrive à "un moment propice".Saint-Gobain veut "aider à aller plus vite et à lever certains freins" pour soutenir cet effort, a-t-il déclaré lors d'un point-presse.Saint-Gobain a présenté une série d'actions en ce sens, dont une formation RGE en ligne pour les artisans du secteur, l'information du grand public sur les solutions techniques d'isolation ou encore un dispositif de "mécénat d'entreprise" par lequel des salariés du groupe pourront aider des associations.Le groupe, qui est un fabricant de matériaux isolants, va aussi mettre l'accent sur ses innovations, comme des solutions biosourcées à base de laine de bois, à côté des matériaux plus classiques comme la laine de verre et la laine de roche.Un investissement de 5 millions d'euros va permettre, d'ici 2023, de doubler la capacité de l'usine de fibre de bois de Mably, avec la création de 30 à 40 emplois à la clé.Les matériaux biosourcés ne représentent encore que 3 à 4% du marché de l'isolation, mais leur croissance annuelle est de 15%, selon Saint-Gobain.L'enseigne de distribution pour le bâtiment, Point.P, a lancé il y a quelques mois un catalogue de 1.500 références de produits biosourcés.Le groupe va d'autre part utiliser la start-up qu'il a développée, Kandu, pour proposer aux acteurs publics un diagnostic gratuit du confort de leurs bâtiments, prenant en compte les conforts thermique et acoustique, la qualité de l'air et la lumière, en vue d'une rénovation.Selon Saint-Gobain, la rénovation énergétique a un potentiel important, avec en France 7 à 8 millions de logements très énergivores (classes F et G), dont près de 5 millions de "passoires thermiques"."Le secteur du bâtiment est bien reparti au cours de l'été, mais il y a quand même de grosses incertitudes sur ce qui se passe derrière", a indiqué M. Texier. "Donc il y a un besoin de mettre de la relance économique et (...) la rénovation, c'est la manière la plus rapide de mettre en place de la relance", a-t-il ajouté.
Il y a 4 ans et 205 jours

Les métiers du Bâtiment : stop aux idées reçues !

Le Bâtiment est ouvert aux femmes !La filière en Ile-de-France emploie 13,1% de femmes qui sont présentes dans tous les métiers et fonctions : de la production en passant par la conception, l'encadrement, l'administration ou le commercial. Elles sont employées, techniciennes ou agentes de maîtrise pour 70% d'entre elles et 26% sont ingénieures. A noter : plus d'une TPE/PME du Bâtiment sur deux est dirigée ou co-dirigée par une femme !« Les femmes s'intègrent parfaitement dans les entreprises de Bâtiment et sont également reconnues pour favoriser la fluidité des échanges qu'elles soient sur les chantiers, dans les ateliers, en bureaux d'études ou aux commandes de leurs entreprises ! », précise Isabel Talaia – Membre du Bureau de la FFB Grand Paris, Responsable de la valorisation des métiers - et gérante de l'entreprise LSP.Le Bâtiment embauche à tous les niveaux ! Les entreprises de Bâtiment sont à la recherche de profils très divers, avec des niveaux d'expériences et de qualifications variés, que l'on soit titulaire d'un CAP, brevet professionnel, bac pro, BTS ou Bac+5.L'alternance est pour les entreprises la voie privilégiée pour se former aux métiers du Bâtiment, permettant d'assurer la qualification et le renouvellement des salariés.A savoir : En Ile-de-France, le niveau de qualification est plus élevé et la proportion de cadres est deux fois supérieure au reste de la France (près de 15% contre 8,7%).« Les métiers d'encadrement et d'ingénieur connaissent une dynamique de recrutement forte en raison des transitions environnementales et numériques des entreprises. En effet, le secteur du Bâtiment a de nouveaux besoins en compétences liés à la mise en œuvre de normes environnementales, au numérique avec le BIM, l'Intelligence Artificielle, les maquettes 3D, la domotique, etc. », précise Jean-Luc Tuffier, Président de la FFB Grand Paris et de l'Union des Fédérations du Bâtiment d'Ile-de-France.Les salaires évoluent rapidement !Que l'on soit titulaire d'un CAP ou d'un diplôme d'ingénieur, les grilles de salaire dans le Bâtiment sont attractives et revalorisées chaque année.Le secteur a toujours cherché à valoriser l'apprentissage des jeunes en majorant le salaire minimum applicable aux apprentis. Ainsi, un apprenti de 16 ans qui intègre le Bâtiment sera rémunéré à hauteur de 40% du SMIC (contre 27% dans les autres secteurs). Cette différence de salaire est d'autant plus marquée au-delà de 21 ans puisque les apprentis sont payés en fonction du salaire conventionnel du Bâtiment et non en pourcentage du SMIC !« Le Bâtiment reste l'un des rares secteurs où l'on peut gravir rapidement les échelons, et même devenir chef d'entreprise. Grâce à la promotion interne, l'ouvrier de chantier peut devenir chef d'équipe puis chef d'entreprise. A l'horizon 2024, le secteur du Bâtiment prévoit de recruter plus de 9 000 personnes par an. Nous encourageons les candidats à découvrir nos métiers et à relever ce défi formidable ! », conclut Jean-Luc Tuffier.En 2019, le Bâtiment en Ile-de-France ce sont plus de 129.500 entreprises dont 35.000 comptant un ou plusieurs salariés. Elles représentent 350.000 actifs (255.000 salariés et 95.000 artisans). Le nombre d'apprentis du Bâtiment en Ile-de-France est de 9.000, soit 0,6% de plus qu'en 2018.
Il y a 4 ans et 205 jours

La mini-centrale à béton de laboratoire signée Europ’Equipement

Mini-centrale à béton de laboratoire signée Europ’Equipement. [©ACPresse] Le savoir-faire d’Europ’Equipement ne s’arrête pas aux centrales à béton et autres systèmes de distribution sur site. Ainsi, il y a Eureqa, l’automatisme orienté centraliers et opérateurs, qui permet de piloter les postes de production. Mais surtout, l’industriel guérandais a développé une mini-centrale à béton de laboratoire prête à l’emploi. Posée sur un châssis autonome, elle s’articule autour d’un malaxeur à doubles arbres horizontaux de 100 l maison. Au-dessus prend place une unité de stockage des matières premières. Elle se divise en quatre cases. La première est dédiée au pré-mélange des granulats (sable + graviers). La suivante permet l’accueil du liant (ciment). La troisième est réservée à l’eau. Quant à la quatrième et dernière, elle permet l’introduction des adjuvants. Comme toute unité industrielle de production de béton, la mini-centrale Europ’Equipement dispose d’un automatisme pour la piloter et intègre des sondes hygrométriques et de température. De quoi assurer la réalisation d’essais dans les règles de l’art. Compacte, l’unité est enfin simple à manutentionner à l’aide d’un petit chariot élévateur manuel. Aujourd’hui, une mini-centrale à béton de ce type est en fonctionnement au sein du laboratoire de Béton Solutions Mobiles, à Lognes (77). 
Il y a 4 ans et 205 jours

ConstruirAcier récompense 10 projets d'architecture en acier aux échelles variées et expressions fortes

« Ce palmarès témoigne et exprime à quel point l'acier est bien cet outil indispensable à la fabrication d'immeubles dont la destination ne se résume pas au monde industriel mais s'élargit aux ouvrages dont l'usage est domestique, le contenu technique ou la dimension publique accomplie. »-Francis Soler, Président des 6e Trophées Eiffel Déléguée générale et directrice de la communication de ConstruirAcier, Charlotte Flores a salué l'audace architecturale des réalisations primées et rappelé que la filière acier-construction s'inscrit bien dans cette dynamique créative. « Le matériau acier propose aujourd'hui des solutions innovantes pour construire bien, fiable, rapide, responsable, durable, résilient, économique et performant, a-t-elle souligné. La crise sanitaire et économique que traverse le monde et la France pousse aujourd'hui à reconsidérer les schémas d'action et de pensée dans la construction. Patrimoniale, industrielle et architecturale, pleinement ancrée dans les territoires avec ses 175 000 emplois, dotée d'une forte capacité de production, la filière acier-construction est prête pour apporter le meilleur dans la construction française et participer aux grands chantiers des métropoles ». Les 10 lauréats des 6e Trophées Eiffel dans 10 catégories sont…Catégorie APPRENDRE - regroupe tous les lieux d'enseignement publics ou privés, centres de formation, crèches Lycée Léonard de Vinci, St Germain en LayeMaître d'ouvrage : Région Ile-de-France, Maîtrise d'ouvrage déléguée : IDF Construction DurableArchitecte : TANK Architectes & COSABET : Bollinger + GrohmannConstructeur métallique : Baudin-ChâteauneufConstructeur : Colas Catégorie ARCHITECTURE ET INGENIERIE (nouvelle catégorie 2020)Hippodrome PARIS LONGCHAMPMaître d'ouvrage : France GALOPArchitecte : Dominique Perrault ArchitecteBET : TRACTEBELBE METAL : JAILLET-ROUBYCatégorie DIVERTIR -regroupe stades, gymnases, salles de sport, équipements culturels...Halle multifonctionnelle - Le forûm, Soults-sous-ForêtsMaître d'ouvrage : Commune de Soultz-Sous-Forêts, HohwillerArchitecte : RHB ArchitectesBET : ALEC STRUCTUREConstructeur métallique : WILHELM SACatégorie FRANCHIR - regroupe viaducs, ponts, passerelles et tout ouvrage de franchissement Passerelle de l'Aiguille Rouge, Bourg-Saint-MauriceMaître d'ouvrage : ADSArchitecte : SG ArchitecteBET : KEOPSConstructeur métallique : Bellet IndustrieCatégorie HABITER - regroupe logements collectifs ou individuelsVilla Rohan, BordeauxMaître d'ouvrage : Natcha COSTAArchitecte : Atelier CambiumBET : C3Constructeur métallique : C2BCatégorie TRAVAILLER - regroupe immeubles de bureaux, bâtiments de production, de logistiques, de commerce... BT6 – Réhabilitation d'un entrepôt et surélévation du bureaux, BèglesMaître d'ouvrage. SCI Terres NeuvesArchitecte : Nadau Architecture / Faye Architectes et AssociésBET : IBCConstructeur métallique : SOBLACOCatégorie INNOVATION - présente une innovation architecturale et environnementale majeureSuper Pausée, PloemelMaître d'ouvrage : La Belle FolieArchitecte : vous architectureBET : Yohann LesléConstructeur métallique : BfactoryCatégorie PRIX SPECIAL RESTRUCTURATION (nouvelle catégorie 2020 souhaitée par Francis Soler). Carré Michelet, la DéfenseMaître d'ouvrage : Gecina (Eurosic)Architecte : Cro&Co ArchitectureBET : CE IngénierieConstructeur métallique : Gagne Catégorie VOYAGER - regroupe gares, aéroports, pôles de transport, parkings, téléphériques...Nouveau Terminal T1, Aéroport de Lyon-Saint ExupéryMaître d'ouvrage : Aéroports de LyonArchitecte : Rogers Stirk Harbour – Partners / ChabanneBET : Technip TPS Catégorie INTERNATIONAL - présente un projet architectural internationalDen Blå Planet, l'aquarium national du Danemark, CopenhagueArchitecte : 3XNMaître d'ouvrage : The Building Foundation, Den Blå PlanetComposition du jury des Trophées Eiffel 2020Président du Jury :Francis Soler, architecteJacques Sebbag, architecte, archi5Olivier Leclercq, architecte, vice-président de la maison d'architecture, Île-de-FranceMitsu Edwards, ingénieure directrice adjointe, Eckersley O'CallaghanAmélie Luquain, architecte et journaliste spécialisée, Le MoniteurNadège Mével, rédactrice en chef EXEGilles Davoine, rédacteur en chef de AMCChristophe Leray, rédacteur en chef de Chroniques d'architectureDavid Abittan, rédacteur en chef de tema.archiChristine Le Nouy, secrétaire générale SCMFPour Stéphane Herbin, architecte, Directeur du département Innovation au CTICM (centre technique et industriel de la construction métallique), présent lors de la remise des Trophées Eiffel « Il faut construire, encore plus aujourd’hui, en s’interrogeant sur « le bon matériau au bon endroit ». « A travers ces trophées, nous en avons une belle illustration. Au-delà de ses propriétés de protection anti-feu, de légèreté et de solidité, l’acier permet de répondre aux préoccupations environnementales et aux enjeux de l’économie circulaire. Les solutions constructives de l’acier sont propices à l’économie de ressources et au réemploi. Elles permettent de s’associer à tout autre matériau pour aborder la construction neuve et la rénovation. Grâce à la poutre cellulaire, il est possible de gagner un étage en plus tous les sept niveaux. Les produits de construction en acier sont aussi recyclés jusqu’à 98 % pour les poutres.Engagée dans le Comité Stratégique de Filière « Industries pour la construction », la filière place l’innovation au cœur de ses priorités : transition numérique et industrie du futur, fabrication additive, BIM, traçabilité et modularité grâce à la préfabrication, déconstruction programmée, prévention de la production de déchets… Dans l’analyse du cycle de vie qui prend en compte 26 indicateurs, l’acier a des résultats très significatifs concernant 25 critères en matière d’impact de zone photochimique, de déchets, d’eau…Le critère carbone, quant à lui, est un sujet de recherche avancée pour limiter son impact. L’acier est un matériau démontable, évolutif, qui favorise la réhabilitation, la surélévation et la mixité des matériaux. Ces atouts sont à prendre en compte aujourd’hui. »