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Le chantier du tramway d'Ouargla en Algérie passe la seconde. De nouvelles mesures ont été prises pour accélérer les travaux, nous apprend le quotidien national algérien El Moudjahid.

A Guarda, dans le centre du Portugal, les architectes Filipe Pina et Maria Inês Costa ont imaginé la "JA House", une habitation familiale qui donne une seconde vie aux vestiges d'une maison traditionnelle de pierre, la réhabilitant et y ajoutant un volume de béton. Sur 260 m², cette maison familiale mêle la tradition architecturale de la région et un mode de vie moderne et urbain. Séparées, l'ancienne et la nouvelle construction ne se connectent véritablement que dans les espaces intérieurs. Une approche particulière visait à laisser la lumière pénétrer dans l'habitation, pour ce faire, deux espaces vides différents ont été générés : l'entrée, et le c"ur de la maison - la cour. Organisés autour de la cour et de l'escalier, les différents espaces de vie se divisent en deux parties, le salon, la cuisine et le garage ont été positionnés au rez-de-chaussée, tandis que les chambres et la bibliothèque s'installent au premier étage. Zone privilégiée, la partie conservée de l'ancienne habitation accueille la suite parentale. Dans ce projet, l'échelle et l'identité du site sont préservées et le choix de matériaux nobles tels que la pierre, le béton, l'acier et le bois de chêne apportent une touche chaleureuse et élégante.   Sur ce projet, les architectes précisent : "Located on the north-center of Portugal, the house was meant to combine the rural and the urban lifestyle. The lot is surrounded by different types of constructions, consequence of the informal settlements, characteristics of most Portuguese cities neighbourhoods. The existent stone ruins, vestige of a traditional house and the lot's configuration, were the main aspects for the new project. The program requirements, a family house, have led to an almost total land occupation." Photographies : João Morgado Pour en savoir plus, visitez le site de Maria Inês Costa. 

L'agence d'architecture internationale ONG&ONG a réalisé la "66MRN-House" à Singapour. Une habitation contemporaine d'inspiration zen avec des lignes tendues et des volumes singuliers. L'habitation est composée de deux volumes principaux, clairement délimités et ayant chacun une fonction précise. Le premier, plus en avant, accueille les espaces de vie comme la salle à manger tandis que la cuisine s'installe dans le deuxième bloc, plus en retrait. Visuellement similaires, ces deux parties se distinguent par leurs textures, l'un est revêtu de granit, l'autre de béton. L'espace laissé libre entre les deux volumes sert de séparateur, avec son bassin créant une véritable démarcation. Un projet étonnant dans lequel la frontière entre intérieur et extérieur s'attenue dans cette habitation singulière et minimaliste.   Sur ce projet, les architectes ONG&ONG précisent : "Just off Stevens Road is this Zen-inspired dwelling with strong architectural lines and shapes that are further accentuated by the materials used. Comprising two main volumes, the front block houses the social spots, such as the living and formal dining areas, whilst service functions are relegated to the back, along with the kitchen. Although visually similar, the blocks are distinguished by texture " the social activity block is clad in granite and the service block in fare-faced concrete. The design brief called for all spaces on the ground floor to form a cohesive whole so that when all doors are open on the ground floor, the individual spaces merge into a one " starting from the lap pool and garden at the entrance, to the living room in the front block and all the way to the kitchen in the rear block. A reflective pool divides the two main blocks and sits at the base of a sheer three-storey-high void that reaches the roof. This void forms the home's visual and spatial centre and also works as a means of drawing up hot air so that the cooler air can rush in to keep temperatures low. The master bedroom sits on the second floor of the main social volume, whilst the master bathroom as well as the children's bedrooms are to the back. In the attic floor above is an additional bedroom and number of multipurpose spaces. Adjoining terraces and open decks lined in artificial grass make the rooftop an interesting space where lines between indoor and outdoor space are blurred. With its natural textures and abundance of greenery, it is the adherence to minimalist design that forms the essence of this modern family home, thus providing its inhabitants with a relaxing, spacious abode to return to at the end of the day". Photographies : Derek Swalwell Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence d'architecture Ong&Ong.  Source 

A Vuren, aux Pays-Bas, l'agence d'architecture Bruxelloise B-ILD a transformé un bunker datant de la seconde Guerre Mondiale en une petite habitation de vacances. Austère de part son enveloppe, ce lieu de villégiature imaginé pour 4 personnes se concentre sur l'essentiel pour offrir aux habitant un confort minimal mais suffisant pour être parfaitement fonctionnel. Avec une superficie de seulement 9 m², ce bunker à demi enterré est avare en espace. La hauteur sous plafond n'excédant pas les 2 mètres, tout le mobilier a été pensé sur-mesure et réduit à sa plus simple expression. Les lits viennent se lover le long des épais murs de béton, dans une utilisation optimale de l'espace. A l'extérieur, un plancher de bois a été installé à proximité pour permettre aux habitants de jouir du grand air sur cette terrasse prévue pour les moments de convivialité. Une réhabilitation qui brise les codes habituels, pour installer une maison de vacances dans un lieu incongru et original.   Bruno Despierre, l'un des 5 architectes de l'agence B-ILD précise : "The design concept was to create a flexible and adjustable interior that could fir four people inside" Photographies : © Tim Van de Velde Pour en savoir plus, visitez le site du studio B-ILD. 

Suez Environnement vient de dévoiler ses résultats pour le 3ème trimestre 2014. Le groupe enregistre une croissance de 2,2 % après 1,2 % au 1er trimestre et 0,3 % au second.

Le tunnel du Puymorens, situé dans le département des Pyrénées-Orientales, voit la seconde phase de ses travaux de modernisation se terminer. L'ouvrage d'art devrait être de nouveau ouvert à la circulation à compter du 15 novembre prochain.

Le site industriel Battersea Power Station, d'une superficie de 17 hectares, a été construit en plusieurs phases entre 1920 et 1940. Laissée à l'abandon depuis 1983, cette centrale électrique au charbon est en train de bénéficier d'un lifting en profondeur afin d'accueillir un complexe commercial et résidentiel.

Le fabricant allemand Deutz et le constructeur nippon Hitachi Construction Machinery amorcent une collaboration : les chargeuses sur pneus du second seront dotées de motorisations conçues par le premier. Les engins en question seront commercialisés sur les marchés américain et japonais.

La Côte d'Ivoire prévoit d'investir 763 M¤ par an pendant 10 dans la modernisation de son réseau routier.

Le chantier de la seconde ligne de tramway de Nice pourrait bien se retrouver confronté à d'autres découvertes archéologiques, les spécialistes locaux estimant que le tracé ferroviaire a de grandes chances de déboucher sur des vestiges.

Les architectes Jean De Giacinto et Duncan Lewis viennent de livrer la nouvelle "Maison de l'agglomération de la ville de Lorient". Ce monolithe recouvert d'un patchwork bleuté composé de cadres de bois et de verre coloré, s'installe sur la pointe de la ZAC du Péristyle. Installé sur un socle de roche locale, le nouveau bâtiment accueille tous les services de l'agglomération. Jeu de pleins et de vides, l'édifice se surélève avec des pilotis qui composent une couronne en périphérie du bâtiment. Elle est constituée de poteaux métalliques de section carrée, disposés tous les 3 mètres, secondés par une série aléatoire de poteaux. Ces derniers forment le support du massif mais sont aussi des éléments structurants du socle. L'espace ainsi libéré au niveau du parvis révèle un espace ouvert et dévoile un grand escalier d'entrée qui permet d'accéder au guichet. Au centre, cet évidement fourni un patio couvert et baigné de lumière par cette trouée créée au centre du volume. Dans ce projet, chaque face du parallélépipède se pare d'une façade aux caractéristiques techniques différentes selon leur orientation, tout en préservant l'uniformité esthétique. Les patios symbolisent des clairières végétales au coeur du massif, recréant des jardins suspendus virtuels. Ces espaces inondent les plateaux de lumière mais aussi les espaces publics du socle et des pilotis. Enfin, perchée à 20 mètres de hauteur sur le dernier niveau, une terrasse couverte offre un point de vue unique sur la rade de Lorient.   Sur ce projet, les architectes Jean De Giacinto & Duncan Lewis précisent : "La Maison de l'Agglomération est un bâtiment de proue face à la rade. Cet édifice singulier se veut facilement repérable et à vocation rayonnante. Notre réflexion a suivi deux mouvements, qui, s'ils apparaissent inverses et opposés, se rejoignent pourtant, s'entremêlent, pour donner naissance à l'architecture de notre proposition, tenant compte des données urbaines générales et celles spécifiques au bâtiment. Deux mouvements : ? Un mouvement de l'extérieur vers l'intérieur, soit l'insertion dans le site du Péristyle de Lorient ? Un mouvement de l'intérieur vers l'extérieur, soit les questions d'usage, de fonction. Ces deux mouvements cohérents, se rejoignent selon une même ligne, dans un seul et même geste architectural, celui de la qualité spatiale, de l'ouverture, du confort, du respect des agents, des élus mais aussi des citoyens. Notre projet est l'aboutissement d'une recherche spatiale et environnementale désireuse de respecter tous les paramètres et les contraintes liés au programme. Nous souhaitons également donner à l'agglomération une image forte et juste, en adéquation avec son travail quotidien effectué sur la totalité du territoire. L'aspect architectural du projet s'inscrit complètement dans le site par sa forte relation au sol, aux matières et au ciel. Nous souhaitons créer un espace de dialogue entre le niveau de la rue et celui de la dalle tout en respectant l'image et la politique de développement du territoire et la culture de Lorient Agglomération. Nous proposons un nouveau type de spatialité dans ce quartier en nous appuyant sur les 4 éléments fondateurs et structurants de notre projet : le socle, les pilotis, le massif, les patios." Photographies : @ Hervé Cohonner - @ Stéphane Cuisset Pour en savoir plus, visitez le site de l'architecte Jean De Giacinto. 

Les architectes Jean De Giacinto et Duncan Lewis viennent de livrer la nouvelle "Maison de l'agglomération de la ville de Lorient". Ce monolithe recouvert d'un patchwork bleuté composé de cadres de bois et de verre coloré, s'installe sur la pointe de la ZAC du Péristyle. Installé sur un socle de roche locale, le nouveau bâtiment accueille tous les services de l'agglomération. Jeu de pleins et de vides, l'édifice se surélève avec des pilotis qui composent une couronne en périphérie du bâtiment. Elle est constituée de poteaux métalliques de section carrée, disposés tous les 3 mètres, secondés par une série aléatoire de poteaux. Ces derniers forment le support du massif mais sont aussi des éléments structurants du socle. L'espace ainsi libéré au niveau du parvis révèle un espace ouvert et dévoile un grand escalier d'entrée qui permet d'accéder au guichet. Au centre, cet évidement fourni un patio couvert et baigné de lumière par cette trouée créée au centre du volume. Dans ce projet, chaque face du parallélépipède se pare d'une façade aux caractéristiques techniques différentes selon leur orientation, tout en préservant l'uniformité esthétique. Les patios symbolisent des clairières végétales au coeur du massif, recréant des jardins suspendus virtuels. Ces espaces inondent les plateaux de lumière mais aussi les espaces publics du socle et des pilotis. Enfin, perchée à 20 mètres de hauteur sur le dernier niveau, une terrasse couverte offre un point de vue unique sur la rade de Lorient.   Sur ce projet, les architectes Jean De Giacinto & Duncan Lewis précisent : "La Maison de l'Agglomération est un bâtiment de proue face à la rade. Cet édifice singulier se veut facilement repérable et à vocation rayonnante. Notre réflexion a suivi deux mouvements, qui, s'ils apparaissent inverses et opposés, se rejoignent pourtant, s'entremêlent, pour donner naissance à l'architecture de notre proposition, tenant compte des données urbaines générales et celles spécifiques au bâtiment. Deux mouvements : ? Un mouvement de l'extérieur vers l'intérieur, soit l'insertion dans le site du Péristyle de Lorient ? Un mouvement de l'intérieur vers l'extérieur, soit les questions d'usage, de fonction. Ces deux mouvements cohérents, se rejoignent selon une même ligne, dans un seul et même geste architectural, celui de la qualité spatiale, de l'ouverture, du confort, du respect des agents, des élus mais aussi des citoyens. Notre projet est l'aboutissement d'une recherche spatiale et environnementale désireuse de respecter tous les paramètres et les contraintes liés au programme. Nous souhaitons également donner à l'agglomération une image forte et juste, en adéquation avec son travail quotidien effectué sur la totalité du territoire. L'aspect architectural du projet s'inscrit complètement dans le site par sa forte relation au sol, aux matières et au ciel. Nous souhaitons créer un espace de dialogue entre le niveau de la rue et celui de la dalle tout en respectant l'image et la politique de développement du territoire et la culture de Lorient Agglomération. Nous proposons un nouveau type de spatialité dans ce quartier en nous appuyant sur les 4 éléments fondateurs et structurants de notre projet : le socle, les pilotis, le massif, les patios." Photographies : @ Hervé Cohonner - @ Stéphane Cuisset Pour en savoir plus, visitez le site de l'architecte Jean De Giacinto. 

La mort annoncé de Google+ ? L'équipe de Cimbat n'y croit pas une seule seconde ! Au contraire, nous pensons même que cela ne peut que vous être utile. Alors, prêt à vous lancer ?   Le principe de Google+ Ouvert au grand public depuis septembre 2011, Google Plus a eu beaucoup de mal à se lancer auprès des internautes. Si son principe est le même qu'un réseau social classique, deux services proposés par Google sont plutôt... Lire la suite sur Cimbat.com

Une seconde voie devrait voir le jour d'ici fin 2015 et le canal existant devrait lui s'approfondir et s'élargir.

La campagne Résolument Bois qui rassemble les spécialistes du bois sous la bannière "Construction Eco - Résolument Bois" revient pour ce second semestre avec un focus sur les aménagements intérieurs, acteurs de la transition énergétique.

Sur bois porté et béton porteur, l'équerre d'angle AB45C est utilisée lors de la réalisation d'isolation par l'extérieur des façades : elle permet de maintenir le chevron d'angle de l'ossature secondaire...

Le duo de designers Italiens Paolo Ulian et Moreno Ratti poursuivent leurs expérimentations autour du marbre et nous présentent le vase "Introverso 2". Une création brute qui laissera l'utilisateur la façonner selon ses envies. Un projet qui se positionne entre destruction et appropriation. Ce vase en marbre blanc et aux diverses facettes se présente sous une forme rectangulaire. Les différentes plaques de marbre créent une alternance de pleins et de vides qui laissent deviner une seconde silhouette intégrée à la structure. Ce n'est qu'en brisant les lamelles qui composent la couche externe qu'une seconde forme, plus ronde et organique, apparait véritablement. Le choix est ainsi laissé libre à l'utilisateur de dévoiler cette seconde ossature, partiellement, en totalité, voir pas du tout.   Dimensions (L x l x h) : 15 x 15 x 40 cm Pour en savoir plus, visitez les sites de Paolo Ulian et celui de Moreno Ratti.  

Pour la seconde fois, le Collectif Fédération Française de Design exposait à la Paris Design Week sous la pyramide inversée du Carrousel du Louvre, à Paris. Durant l'évènement, le premier match de design international opposait l'équipe de France à l'équipe d'Italie. Pour cette compétition, chacune des deux équipes s'est focalisée sur un matériau et un savoir-faire cher à son pays. A l'occasion de la Paris Design Week, la rédaction du magazine Muuuz a rencontré la designer Linda Bayon, membre de l'équipe de France, qui nous présente ce premier match international de design :  Pour en savoir plus, visitez le site de la Fédération Française de Design. 

La branche Marketing & Services de Total, qui met en place la commercialisation de produits pétroliers dans le monde entier, participe au salon Interoute&Ville de Lyon du 7 au 9 octobre prochain. Elle y présentera un liant pour le réseau routier secondaire.

DTP, filiale du groupe Bouygues, participera à la construction de la station Jolio Curie sur la seconde ligne de métro de Rennes.

Pour l'éditeur Italien Artémide, l'architecte Jean Nouvel signe deux lampes, "Equilibrist" et "Objective". Des luminaires aux usages surprenant, l'un proposant deux sources de lumières sur un balancier, l'autre s'apparentant à l'objectif d'un photographe. Lampe de table, "Equilibrist" propose deux sources lumineuses se faisant face sur un bras d'aluminium articulé. Orientables, les sources de lumière à LED diffèrent dans leur intensité et leur forme, permettant à l'utilisateur de sélectionner la configuration la plus adaptées à ses besoins. Alimentées par la tige centrale reliée au socle, les deux têtes lumineuses restent solidaires, dans un subtil jeu d'équilibre.   "Objective" s'inspire quant à elle des objectifs de photographes en proposant deux sources lumineuses en enfilade. Pivotant sur un axe l'utilisateur pourra ouvrir ou fermer les différents objectifs pour moduler l'intensité lumineuse. Sur ces projets, l'architecte Jean Nouvel précise : Equilibrist : "Two light fittings resembling a scale reaching its balance. The Equilibrist is an interactive signalling object made by two different lighting units rotating around a vertical axis. A sort of high-tech traffic light featuring a non-symmetrical light emission produced by its signals." Objective : "The character of the object " a tube containing different sets of optics " recalls the lens of a still or movie camera and its manipulation, with the three different segments housing three different light sources: a) ambient light coming from the glass segment, b), a spotlight focused, from the first head, onto the reading matter or work surface, c) light pointed upwards from the floodlight in the second head. Instead of leading the eye to observe different distances in the way that happens with a telescope or a camera lens, the function of the lamp is obviously to bring the light sourc¬es to bear on objects at different distances, illuminating them properly by establishing the focal ratios best suited to each situation." Pour en savoir plus, visitez le site d'architecte Jean Nouvel et celui de l'éditeur Artémide.

Pour l'éditeur Italien Artémide, l'architecte Jean Nouvel signe deux lampes, "Equilibrist" et "Objective". Des luminaires aux usages surprenant, l'un proposant deux sources de lumières sur un balancier, l'autre s'apparentant à l'objectif d'un photographe. Lampe de table, "Equilibrist" propose deux sources lumineuses se faisant face sur un bras d'aluminium articulé. Orientables, les sources de lumière à LED diffèrent dans leur intensité et leur forme, permettant à l'utilisateur de sélectionner la configuration la plus adaptées à ses besoins. Alimentées par la tige centrale reliée au socle, les deux têtes lumineuses restent solidaires, dans un subtil jeu d'équilibre.   "Objective" s'inspire quant à elle des objectifs de photographes en proposant deux sources lumineuses en enfilade. Pivotant sur un axe l'utilisateur pourra ouvrir ou fermer les différents objectifs pour moduler l'intensité lumineuse. Sur ces projets, l'architecte Jean Nouvel précise : Equilibrist : "Two light fittings resembling a scale reaching its balance. The Equilibrist is an interactive signalling object made by two different lighting units rotating around a vertical axis. A sort of high-tech traffic light featuring a non-symmetrical light emission produced by its signals." Objective : "The character of the object " a tube containing different sets of optics " recalls the lens of a still or movie camera and its manipulation, with the three different segments housing three different light sources: a) ambient light coming from the glass segment, b), a spotlight focused, from the first head, onto the reading matter or work surface, c) light pointed upwards from the floodlight in the second head. Instead of leading the eye to observe different distances in the way that happens with a telescope or a camera lens, the function of the lamp is obviously to bring the light sourc¬es to bear on objects at different distances, illuminating them properly by establishing the focal ratios best suited to each situation." Pour en savoir plus, visitez le site d'architecte Jean Nouvel et celui de l'éditeur Artémide.

A Barcelone en Espagne, l'agence BCQ Arquitectura vient de livrer la bibliothèque Joan Maragall. Un équipement qui vient se nicher sous le jardin Florida Villa existant pour le préserver et s'insérer le plus subtilement possible dans le paysage. Encaissée sous cette place, la bibliothèque n'effectue que de rares percées dans l'espace. Les architectes ont percé le jardin pour créer des puits de lumière qui vienne éclairer et ventiler les zones en sous sol. Pour favoriser l'intégration de la bibliothèque dans son environnement, les toitures des zones transperçant le sol sont végétalisées et les anciens arbres du jardin y ont été replantés.   Sur ce projet, BCQ Arquitectura précise :  "The main decision was to build the new building below the old existing garden and not take a part of this space. The motto with which we presented the project to the competition of ideas was "Garden of Light". These two words sum up the two ideas of the project: to maintain and improve the existing garden, and at the same time get cheerful and well-lit spaces. The library is inserted under the garden of Florida Villa, in the shade of its trees. Inside, a landscape in itself, articulated and changing, where each use and each user find their place. It is a personalized and unique space. The building will particularly relate to Sant Gervasi de Cassoles street. The gap between the garden and Sant Gervasi street allow a natural access to the new facility. On the other hand, the green roof will be at the same level as the old garden, so the construction of the new facility will mean the restoration of the garden from the civic center in its maximum dimension, where Florida Villa is always the building that presides the whole ensemble. The building is formed by the "light and silence courtyards" and "books and knowledge courtyards." The first, surrounded by glass, light and ventilate the interior while isolating the library from the street. The second, solid prisms filled with books, are part of the supporting structure of the library. Among the courtyards and the volumes, interior spaces for reading and work are articulated. These are spaces that should be small and seeking to give a comfortable feeling of domesticity to users. The interior is designed simply with few textures; ceiling, floor, furniture and walls in general are white, while the walls that conceal the retaining concrete walls and building structures are covered with clay tiles. This porous material, warm and sound absorbent, is a reminder that this is a semi-buried building dug into the ground. To link the library with the upper garden, two volumes project. One of them is a space for library support with direct access from the lobby, located in a privileged area. The other is a skylight in the playground. he existing garden extends through the roof of the new library, up to the same road Sant Gervasi de Cassoles, from which arises a new access to the gardens next to the entrance to the main lobby of the Library. The original trees of the old garden have been replanted on the roof of the new library." Photgraphies : © Ariel Ramirez Pour en savoir plus, visitez le site de BCQ Arquitectura. 

A Barcelone en Espagne, l'agence BCQ Arquitectura vient de livrer la bibliothèque Joan Maragall. Un équipement qui vient se nicher sous le jardin Florida Villa existant pour le préserver et s'insérer le plus subtilement possible dans le paysage. Encaissée sous cette place, la bibliothèque n'effectue que de rares percées dans l'espace. Les architectes ont percé le jardin pour créer des puits de lumière qui vienne éclairer et ventiler les zones en sous sol. Pour favoriser l'intégration de la bibliothèque dans son environnement, les toitures des zones transperçant le sol sont végétalisées et les anciens arbres du jardin y ont été replantés.   Sur ce projet, BCQ Arquitectura précise :  "The main decision was to build the new building below the old existing garden and not take a part of this space. The motto with which we presented the project to the competition of ideas was "Garden of Light". These two words sum up the two ideas of the project: to maintain and improve the existing garden, and at the same time get cheerful and well-lit spaces. The library is inserted under the garden of Florida Villa, in the shade of its trees. Inside, a landscape in itself, articulated and changing, where each use and each user find their place. It is a personalized and unique space. The building will particularly relate to Sant Gervasi de Cassoles street. The gap between the garden and Sant Gervasi street allow a natural access to the new facility. On the other hand, the green roof will be at the same level as the old garden, so the construction of the new facility will mean the restoration of the garden from the civic center in its maximum dimension, where Florida Villa is always the building that presides the whole ensemble. The building is formed by the "light and silence courtyards" and "books and knowledge courtyards." The first, surrounded by glass, light and ventilate the interior while isolating the library from the street. The second, solid prisms filled with books, are part of the supporting structure of the library. Among the courtyards and the volumes, interior spaces for reading and work are articulated. These are spaces that should be small and seeking to give a comfortable feeling of domesticity to users. The interior is designed simply with few textures; ceiling, floor, furniture and walls in general are white, while the walls that conceal the retaining concrete walls and building structures are covered with clay tiles. This porous material, warm and sound absorbent, is a reminder that this is a semi-buried building dug into the ground. To link the library with the upper garden, two volumes project. One of them is a space for library support with direct access from the lobby, located in a privileged area. The other is a skylight in the playground. he existing garden extends through the roof of the new library, up to the same road Sant Gervasi de Cassoles, from which arises a new access to the gardens next to the entrance to the main lobby of the Library. The original trees of the old garden have been replanted on the roof of the new library." Photgraphies : © Ariel Ramirez Pour en savoir plus, visitez le site de BCQ Arquitectura. 

L'ancienne caserne Niel poursuit sa transformation. Face aux quais historiques de Bordeaux, cet îlot rive droite entre dans sa seconde phase de mutation.

Situé sur le boulevard Macdonald dans le XIXème arrondissement de Paris, l'entrepôt éponyme d'une longueur de 617 mètres et d'une superficie de 5,5 hectares est en train d'être intégralement rénové, selon le quotidien économique Les Echos. Objectif à terme : accueillir 3 900 habitants et proposer 3 000 emplois.

Un groupement constitué de filiales du groupe Vinci assure la rénovation du barrage hydroélectrique de Chancy-Pougny dans l'Ain.

Dans le 13ème arrondissement de Paris, rue des Gobelins, l'agence d'architecture Renzo Piano Building Workshop vient de livrer la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé. Avec sa façade sculptée et signée Auguste Rodin, ce bâtiment qui fut le théâtre des Gobelins puis un cinéma, s'ouvre au public désireux de découvrir l'histoire du 7ème Art. L'intervention de Renzo Piano consiste en une extension de l'existant en brisant les codes historiques de la ville. Le nouveau siège de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé est une présence inattendue, un volume courbe et flottant dissimulé dans une cour exiguë. Cet édifice se coiffe d'une verrière ondulante faite de 8000 lamelles d'aluminium anodisé perforé. Sur près de 2200 m², ce projet propose au visiteur une salle de projection de 70 places, des espaces d'exposition, un centre de recherche, un centre de documentation? L'intérieur fait écho à la peau de cet étonnant volume, le bois le métal et les tons clairs se réponde pour créer une ambiance chaleureuse. Sur ce projet, l'agence Renzo Piano Building Workshop précise : "The Fondation Jérôme Seydoux-Pathé is an organisation dedicated to the preservation of Pathé's heritage, and to the promotion of cinematography. Its new headquarters sits at the centre of a block in Paris' XIII arrondissement, where a mid-19th century theatre - transformed into one of Paris' first cinemas in the mid-1900s, radically transformed again in the 1960s - once stood. The new building, which will be finished over the next few months, will house Pathé's archives, exhibition spaces for temporary and permanent collections, a 70-seat screening room, and the Pathé Foundation's offices. The project called for the demolition of the two existing buildings to create an organic shaped ?creature' that better responds to the restrictions of the site. The idea was to respond to the functional and representative programme requested by the Fondation, while at the same time increasing the quality of the space surrounding the new building. The facade on the avenue des Gobelins has been restored and preserved, for its historic and artistic value. Decorated with sculptures by a young Auguste Rodin, it is not only a historical landmark, but also an iconic building for the Gobelins area. A new transparent building just behind the street facade that looks a little like a greenhouse, is the public area of the Foundation. From this building visitors have a view through the transparent ground floor of the second building in the courtyard that houses the project's main activities, to the garden beyond. The peculiar design of this building is determined by the limits and requirements of the site. While keeping its distance from the surrounding buildings, the new building actually improves its neighbours' access to daylight and air and by reducing the building's footprint, the project creates space for a garden at the back of the site. The upper part of the building is made of glass, providing natural light for the Foundation's offices. From the street the building is glimpsed through and over the restored façade - a discreet presence during the daytime, it will softly glow at night." Photographies : © Michel Denancé Pour en savoir plus, visitez le site de Renzo Piano Building Workshop. 

Dans le 13ème arrondissement de Paris, rue des Gobelins, l'agence d'architecture Renzo Piano Building Workshop vient de livrer la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé. Avec sa façade sculptée et signée Auguste Rodin, ce bâtiment qui fut le théâtre des Gobelins puis un cinéma, s'ouvre au public désireux de découvrir l'histoire du 7ème Art. L'intervention de Renzo Piano consiste en une extension de l'existant en brisant les codes historiques de la ville. Le nouveau siège de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé est une présence inattendue, un volume courbe et flottant dissimulé dans une cour exiguë. Cet édifice se coiffe d'une verrière ondulante faite de 8000 lamelles d'aluminium anodisé perforé. Sur près de 2200 m², ce projet propose au visiteur une salle de projection de 70 places, des espaces d'exposition, un centre de recherche, un centre de documentation? L'intérieur fait écho à la peau de cet étonnant volume, le bois le métal et les tons clairs se réponde pour créer une ambiance chaleureuse. Sur ce projet, l'agence Renzo Piano Building Workshop précise : "The Fondation Jérôme Seydoux-Pathé is an organisation dedicated to the preservation of Pathé's heritage, and to the promotion of cinematography. Its new headquarters sits at the centre of a block in Paris' XIII arrondissement, where a mid-19th century theatre - transformed into one of Paris' first cinemas in the mid-1900s, radically transformed again in the 1960s - once stood. The new building, which will be finished over the next few months, will house Pathé's archives, exhibition spaces for temporary and permanent collections, a 70-seat screening room, and the Pathé Foundation's offices. The project called for the demolition of the two existing buildings to create an organic shaped ?creature' that better responds to the restrictions of the site. The idea was to respond to the functional and representative programme requested by the Fondation, while at the same time increasing the quality of the space surrounding the new building. The facade on the avenue des Gobelins has been restored and preserved, for its historic and artistic value. Decorated with sculptures by a young Auguste Rodin, it is not only a historical landmark, but also an iconic building for the Gobelins area. A new transparent building just behind the street facade that looks a little like a greenhouse, is the public area of the Foundation. From this building visitors have a view through the transparent ground floor of the second building in the courtyard that houses the project's main activities, to the garden beyond. The peculiar design of this building is determined by the limits and requirements of the site. While keeping its distance from the surrounding buildings, the new building actually improves its neighbours' access to daylight and air and by reducing the building's footprint, the project creates space for a garden at the back of the site. The upper part of the building is made of glass, providing natural light for the Foundation's offices. From the street the building is glimpsed through and over the restored façade - a discreet presence during the daytime, it will softly glow at night." Photographies : © Michel Denancé Pour en savoir plus, visitez le site de Renzo Piano Building Workshop. 

Vous êtes architecte, maître d'ouvrage, entreprise, ou industriel, nous vous invitons à participer à l'édition 2015 des ArchiDesignClub Awards qui récompensent chaque année les réalisations les plus remarquables. Ils ont vocation à constituer une sélection des meilleurs projets par typologies et par matériaux, valorisant la dynamique de la création architecturale en France. Pour cette seconde édition, la Sélection des ADC Awards présentera des projets livrés entre le 1er septembre 2012 et le 31 octobre 2014 dans 25 catégories représentant l'architecture et l'architecture d'intérieur. Lors de l'édition 2014, 28 projets ont été récompensés : >> Voir les lauréats.   Pour être éligible, votre projet doit avoir été livré en France entre le 1er septembre 2012 et le 31 octobre 2014. L'inscription est libre et gratuite. "Les ArchiDesignClub Awards ont été créés à l'initiative de l'ArchiDesignClub, première communauté française de professionnels de l'architecture, de l'agencement et de la décoration, en partenariat avec le magazine Muuuz, le média de référence des dernières tendances de l'architecture et du design." Pour en savoir plus et pour déposer vos dossiers de candidatures, rendez-vous sur le site des ArchiDesignclub Awards 2015.   Retrouvez la cérémonie de remise des prix des ADC Awards 2014 

Le chantier de rénovation du Théâtre Chaillot se divise en deux phases dont la première est en cours de réalisation. La seconde porte sur un réaménagement des accès et l'amélioration des fonctionnalités à l'intérieur du bâtiment classé Monument Historique.

Découverte dans les allées de now ! le off à la Cité de la Mode et du Design, la série de tables "Gears" est le fruit de la rencontre entre l'industriel Remy Barrere Gears et le designer Amaury Poudray. Cette nouvelle collection de mobilier, mêle le savoir faire de l'industriel spécialisé dans la fabrication d'engrenage et la vision du designer. 3 tables réalisées par le designer en usant des savoir faire de l'industriel directement dans l'enceinte de l'usine. En utilisant les engrenages, Amaury Poudray a créé des pièces peu manufacturées. Un triple piétement maintenu par des engrenages et surmonté de plateaux de verres colorés ou de métal qui viennent simplement s'emboiter sur ces structures de métal. Une collaboration qui ouvre de nouvelles perspectives aux industriels, en offrant de nouvelles applications aux produits des entreprises.   Sur cette collaboration, l'industriel Remy Barrere Gears précise : "Ce projet, totalement nouveau pour l'entreprise, a permis de mobiliser les employés sur un produit à forte valeur esthétique, une dimension habituellement secondaire dans un engrenage de précision. Les employés ont fait preuve d'une grande motivation et ingéniosité pour mettre au point ces objets uniques imaginés par Amaury, qui mettent en scène des engrenages habituellement cachés dans les systèmes mécaniques." Photographies : Tiphaine Vasse La collection de tables Gears est à découvrir du 6 au 13 septembre durant la Paris Design Week, sur now ! le off à la Cité de la Mode et du Design à Paris. Pour en savoir plus, visitez le site du designer Amaury Poudray et celui de Remy Barrere Gears.  

Voué à être démoli, le pont de l'autoroute A3 surplombant la vallée de la Lahn à proximité de Limbourg en Allemagne pourrait retrouver un second souffle. Un projet immobilier original a été imaginé.