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Résultats de recherche pour professionnel

(15870 résultats)
Il y a 3 ans et 46 jours

Deux fois plus de vols d'engins de BTP entre 2020 et 2021

Effet secondaire des crises successives qui traversent le monde depuis 2020 ? Les vols se multiplient, notamment les vols de véhicules professionnels et d'autres matériaux sur chantier.
Il y a 3 ans et 47 jours

Les entreprises en campagne... pour recruter des apprentis

Au forum annuel de l'alternance mercredi 20 et jeudi 21 avril à la Cité des sciences àParis, une centaine d'exposants proposaient en vue de la rentrée prochaine quelque 6.600 offres en alternance, du CAP au Master."On a plus d'entreprises présentes qu'en 2019 - dernière édition en présentiel -, on a davantage d'offres de petites entreprises et dans plus de secteurs", témoigne Karine Leprat, conseillère emploi à la CCI Paris Île-de-France, organisatrice du salon.Ce constat local confirme l'engouement national pour l'apprentissage, avec 718.000 contrats signés en 2021, soit une hausse de 37% après déjà 42% en 2020.Pour Mme Leprat, si la réforme de 2018 a facilité l'accès des jeunes, l'apprentissage a été "clairement boosté" par les aides décidées pendant la crise du Covid, une prime de 5.000 euros pour un mineur et de 8.000 pour un majeur.Prolongées jusqu'à fin juin 2022, elles ont rendu le coût de la première année quasi nul pour l'employeur et évité un effondrement de l'embauche des jeunes."C'est flagrant, beaucoup d'entreprises se sont mises à l'alternance, notamment dans le supérieur", juge-t-elle. Avant la crise, l'aide était réservée aux entreprises de moins de 250 salariés recrutant des apprentis préparant un diplôme de niveau inférieur ou égal au bac, là où l'effet sur l'insertion professionnelle est le plus fort.Sur le salon, la plupart des entreprises l'admettent sans ambages. "Nos managers sont en demande d'alternants, ce sont des salariés performants qui ne coûtent pas cher. Et ils sont là pour une durée assez longue, souvent deux ans", souligne Chloé Drapier, elle même alternante en recrutement chez Center Parcs."Avec les aides, nous sommes passés de 100 alternants en 2019 à 200 cette année sur 1.000 recrutements", reconnaît Florence Hipolite, responsable recrutement chez Id Logistics."Crouler sous les demandes"Mais les employeurs y voient surtout un moyen de former de nouveaux salariés pour les fidéliser dans des secteurs sous tension."Nous avons de gros besoins de ressources avec une croissance à deux chiffres et nous voulons passer d'un taux de rétention (embauche à l'issue de l'alternance) de 40 à 50%", indique Mme Hipolite. "C'est pour tous nos métiers (RH, services administratifs, maintenance, logistique, transport...)", ajoute-t-elle.Sans les aides, "on aurait les mêmes objectifs d'alternants car on en a un a priori très positif", assure Caroline Monmarson, responsable RH Castorama en Île-de-France.Elle "croule sous les demandes" car "c'est un moyen très intéressant pour les jeunes de financer leurs études et d'avoir une expérience du monde du travail", explique-t-elle.Mais elle avoue avoir "de plus en plus de mal à recruter des jeunes plus exigeants sur les horaires, l'équilibre vie pro-vie privée, ce qui peut être compliqué dans le commerce".Présent pour la première fois, Fnac-Darty veut former en alternance, "300 techniciens électroménager" qui seront quasiment "tous ensuite embauchés", selon Pascal Rovaris, qui en coordonne les recrutements.Mais, en dépit des vidéos de témoignages qu'il a amenées sur son stand, il déplore que les jeunes recherchent davantage une alternance en informatique ou marketing que pour "un métier manuel encore dévalorisé".Si Aurélien Cadiou, président de l'Association nationale des apprentis de France, se réjouit que ces aides exceptionnelles aient permis "à des petites entreprises de découvrir l'apprentissage", il craint que les employeurs "qui en recruteraient parce que cela leur coûte moins cher qu'un stagiaire ne délaissent l'accompagnement".Selon une enquête de l'Observatoire de l'alternance menée fin 2021 auprès de 500 alternants, plus d'un quart d'entre eux indiquent ainsi ne pas avoir de tuteur en entreprise, pourtant obligatoire.
Il y a 3 ans et 47 jours

Santé-sécurité : plusieurs organisations du bâtiment renouvellent leur partenariat

RISQUES PROFESSIONNELS. La Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb), la Chambre nationale des artisans des travaux publics et du paysage (CNATP), l'Institut de recherche et d'innovation sur la santé et la sécurité au travail (Iris-ST) et l'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP) viennent de signer le renouvellement de leur convention de partenariat pour une durée de quatre ans. Détails.
Il y a 3 ans et 47 jours

Stratégie'Réno, un outil numérique gratuit pour mieux conseiller ses clients lors de travaux de rénovation

Gratuit, ergonomique, ce service permet en quelques clics de déterminer et prioriser les impacts de travaux de rénovation énergétique sur d’autres lots de travaux. Accessible sur www.strategiereno.fr, cet outil se transforme en application en créant un bouton d’accès directement sur l’écran d’accueil de votre smartphone.Des recommandations de travaux générées en quelques clicsLors d’une première visite chez un client, cet outil permet à un artisan ou une entreprise d’évaluer en quelques minutes, l’état et la performance de chaque composant du logement : isolation des murs, du plancher bas, de la toiture, menuiseries, système de chauffage, ECS ou de la ventilation, etc. Des questionnaires simples et rapides, le guide pas à pas dans ce process.A l’issue de cette évaluation, l’outil identifie et priorise automatiquement les impacts des travaux envisagés sur les autres lots du logement.Il dispose alors d’un rapport d’évaluation, incluant des recommandations de travaux argumentées qui pourront être partagées à son client.Une prise en compte de la typologie du bâtimentLe professionnel est également accompagné dans l’identification de la typologie du bâtiment. Une sélection de typologies lui est proposée en fonction de la localisation du chantier et de la période constructive. L’outil s’appuie sur une base de données qualifiant 67 typologies de maisons individuelles et de logements collectifs. Cette étape permet de prendre en compte les spécificités du bâti dans l’établissement des recommandations de travaux.Un accès rapide à une bibliothèque techniqueUne bibliothèque technique permet d’accéder rapidement à des éléments clés sur les solutions de rénovation possibles, ainsi que sur les typologies de bâtiment rencontrés. Pour chaque solution technique possible, le professionnel retrouvera notamment les avantages de la solution, les diagnostics préalables à anticiper, les performances minimales recommandées, les points de vigilance à connaitre, etc.Pour chacune des 67 typologies de maisons individuelles ou de logement collectif, le professionnel retrouvera une présentation de leur représentativité et poids énergétique, de leur caractéristiques urbaines, architecturales et constructives, des risques à évaluer, ainsi que des stratégies de rénovation possibles.Cet outil a été élaboré de manière concertée avec les organisations professionnelles du bâtiment (CAPEB et FFB) et les pouvoirs publics (ADEME et DHUP), sous le pilotage de l’Agence Qualité Construction (AQC).
Il y a 3 ans et 48 jours

Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) poursuit ses actions de découverte des métiers de la filière béton

Une vingtaine de futur(e)s ingénieur(e)s (3ème année en Génie Civil et 1ère année en prépa) a pu ainsi découvrir sur le terrain le fonctionnement d’une chaîne de production de béton dans sa globalité : de l’activité d’extraction à celle de production du béton préfabriqué et prêt à l’emploi, en passant par l’observation du front de taille, la manœuvre des engins et une visite du laboratoire où se poursuivent des travaux sur la résistance des matériaux, les bétons bas carbone, les bétons à hautes performances, le recyclage et la valorisation des granulats… Polytech Marseille propose à ses élèves un projet pédagogique vertueux. Pour aider les étudiants de première année de classe préparatoire intégrée de l'école dans le choix de leurs futures spécialisations, chaque département met en place des actions pour les présenter. Le département génie civil propose des visites de sites industriels de l'univers de la construction et s'associe au SNBPE pour faire découvrir, aux futurs ingénieurs, les acteurs du premier maillon de l'acte de construire. Des étudiants de 3ème année génie civil accompagnent, dans cette démarche, des élèves de 1ère année de classe préparatoire, en leur faisant profiter de leur expérience récemment acquise.Le SNBPE : un engagement permanent auprès des étudiants et des établissements d’enseignement pour la valorisation des métiers de la filière bétonCe type de journée pédagogique s’inscrit dans la volonté du SNBPE de mieux faire découvrir l’ensemble des métiers liés à la production du béton avec une approche terrain de partage des compétences et d’expérience des professionnels du secteur. C’est aussi l’occasion de sensibiliser les étudiants quant aux démarches éco-responsables pratiquées par des industriels toujours plus vertueux.
Il y a 3 ans et 48 jours

Renouvelables : l'industrie gazière met en avant ses technologies "d'innovation"

ANALYSE. Dans un contexte de transition énergétique bousculé par des troubles géopolitiques, les professionnels du gaz préparent "la troisième révolution" de leur énergie en mettant l'accent sur cinq technologies dont le potentiel de développement et le rôle dans la décarbonation ne sont pas à négliger. La production totale de ces innovations pourrait dépasser les 335 térawatts-heure à l'horizon 2050.
Il y a 3 ans et 48 jours

La startup Waste Marketplace lève 2 millions d’euros pour financer son développement commercial et sa solution digitale

Fondée en 2018 dans le cadre du programme d'intrapreneuriat de VINCI, Waste Marketplace propose une application qui simplifie la gestion des déchets de chantiers et industriels. Waste Marketplace mutualise les recherches et les audits chez les prestataires et sélectionne, pour ses clients, le meilleur rapport taux de valorisation/prix et localisation, pour chaque type de déchets.Waste Marketplace s’occupe de tout pour ses clients : démarches administratives, devis des prestataires, reporting précis sur les émissions de carbone générées, traçabilité des contenants. Tout est accessible en 1 clic sur l’application.SMABTP a fait le choix d’entrer au tour de table de Waste Marketplace pour participer au développement d’une offre de service utile à ses clients, acteurs du BTP. VINCI Construction reste un soutien actif dans le développement de la startup.L’objectif de cette levée de fonds par augmentation de capital, est de poursuivre le développement commercial de Waste Marketplace sur tout le territoire national et de continuer le développement fonctionnel et technologique de sa plate-forme digitale.Pour Jérôme de Tomasi, CEO de Waste Marketplace : "Cette levée de fond va nous permettre de développer davantage notre force commerciale pour mailler encore plus finement le territoire national afin de proposer le prestataire le plus adapté pour chaque besoin. Les fonds serviront également à perfectionner l’outil digital, notamment sur la traçabilité des déchets pris en charge."Pour Hervé Leblanc, directeur général adjoint grands comptes et international, groupe SMA : "Les échanges que nous avons eus avec Waste Marketplace nous ont permis de constater que cette société présente un intérêt indéniable pour les professionnels du BTP. Elle leur permet de simplifier la gestion de leurs déchets, un véritable enjeu pour le secteur qui doit intégrer le renforcement de la réglementation dans ce domaine. C’est pourquoi, nous avons fait le choix d’accompagner cette startup afin de soutenir une solution utile à la protection de l’environnement et à nos sociétaires."Pour Thierry Mirville, président de VINCI Construction Invest : "VINCI Construction fait de l’économie circulaire un axe fort de son développement et de ses savoir-faire techniques. Nous sommes particulièrement fiers du développement ambitieux de Waste Marketplace qui démontre que pour favoriser le réemploi et le recyclage des matériaux depuis et sur nos chantiers, il faut des solutions simples, économiques, locales et intégrant la traçabilité de leur origine à leur mise en œuvre."Pour Julien Villalongue, directeur, Leonard : "Parmi les nouvelles filiales et activités du groupe VINCI nées du parcours Intrapreneurs animé par Leonard, Waste Marketplace a rapidement trouvé son marché grâce à son excellente adéquation avec les besoins des acteurs du BTP et de l’industrie, pour qui l’enjeu environnemental s’affirme désormais comme une priorité."Chiffres clés :400 chantiers et site industriels actifs500 prestatairesPrès de 3.000 mouvements par moisPlus de 5.000 tonnes de déchets traitées chaque mois87% de valorisation en moyenne+263% : croissance du CA entre 2020 et 2021
Il y a 3 ans et 48 jours

La certification A2P dévoile les résultats du premier Baromètre A2P de la Protection contre les Cambriolages

Après avoir lancé en 2021 une campagne de communication nationale avec un site internet dédié, au discours structuré, fédérateur et vulgarisateur, à destination tant des professionnels que des particuliers, la certification A2P initie en 2022 l’édition régulière d’un Baromètre A2P de la Protection contre les Cambriolages. Cette étude a été mandatée auprès de Kantar. 1010 […]
Il y a 3 ans et 49 jours

Le BTP se satisfait de la réélection d'Emmanuel Macron mais ne donne pas de blanc-seing

PRÉSIDENTIELLE 2022. Réélu avec 58,7% des suffrages exprimés, Emmanuel Macron rempile pour un second mandat à la tête de l'État. Si les organisations professionnelles de la construction et du cadre de vie adressent leurs félicitations au vainqueur et se disent rassurées sur le plan économique, elles préviennent néanmoins que les dossiers à traiter restent nombreux, et urgents. Réactions.
Il y a 3 ans et 49 jours

"Il faut prendre en compte nos 500.000 entreprises artisanales", J.-C. Repon (Capeb)

ARTISANAT. Réunis en congrès à Paris ce 22 avril, les représentants de l'artisanat du bâtiment ont réaffirmé leur rôle dans l'économie nationale. En amont de l'évènement, son président Jean-Christophe Repon est revenu auprès de Batiactu sur les problématiques des professionnels du secteur, à commencer par les hausses de prix.
Il y a 3 ans et 49 jours

Airina, un nouveau purificateur d'air professionnel autonome et silencieux 100% Made in France

Les chiffres sont éloquents. Alors que nous passons près de 90% du temps dans des espaces clos (maison, travail, transports en commun...), l'air intérieur est 8 fois plus pollué que l'air extérieur. Une situation qui n'est pas sans conséquence sur notre organisme : 20 000 décès prématurés chaque année sont causés par les polluants présents dans l'air intérieur, qui provoque aussi 28% des AVC, 17% de cancers et de nombreuses pathologies (asthme, allergies respiratoires, fatigue, vertiges, maux de tête...). C'est pour cela que l'Anses considère aujourd'hui qu'il s'agit d'un véritable enjeu de santé publique (source) et que certains ERP ont l'obligation de surveiller la qualité de l'air intérieur (QAI). Oui mais... en pratique comment faire pour garantir un air pur et sain lorsque les surfaces sont importantes ? Les appareils actuels sont complexes à utiliser, souvent bruyants et fabriqués à l'autre bout de la planète. D'où l'innovation apportée par Airina, un purificateur d’air professionnel développé et produit en France, qui améliore en continu la qualité de l’air intérieur sur de larges superficies en détectant et filtrant 99.995% des particules fines, virus & bactéries, germes & moisissures, COV, allergènes & odeurs. Un concentré d'innovation pour purifier vite et bien jusqu'à 200m² Airina est le fruit de plus de 40 années d'expérience dans le traitement de l'air. Ce purificateur d'air "nouvelle génération" est d'ailleurs né bien avant la pandémie : il a été conçu à l'origine pour répondre à la réglementation édictée par le décret 2015 – 1000, relatif aux modalités de surveillance de la qualité de l'air intérieur dans certains établissements recevant du public (en priorité les crèches, écoles maternelles et primaires). Le gouvernement souhaite en effet limiter les concentrations de polluants et impose aux ERP certains seuils à ne pas dépasser pour le Formaldéhyde, le Benzène et le CO2. Mais au-delà de cette obligation, offrir aux usagers, clients et collaborateurs une bonne qualité de l'intérieur doit être une priorité pour toutes les organisations, notamment dans le cadre de leur démarche RSE. Toutes les études montrent en effet un impact positif sur la santé et la réduction des maladies, le bien-être, l'attention et par conséquent sur le taux d'absentéisme. Aujourd'hui, Airina accompagne les écoles/lycées, restaurants, lieux de culture, entreprises, collectivités et établissement disposant de salles d'attentes et/ou de réception en leur permettant de les informer sur la qualité de l'air intérieur et de le purifier efficacement sur de grands espaces. "Airina peut réaliser jusqu'à 5 renouvellements d’air complets par heure (en lien avec la recommandation de la haute autorité de la santé) et donc 200 m2, ce qui en fait un purificateur à haute performance." Un appareil "plug & work" qui sait se faire discret Pour utiliser Airina, rien de plus simple : il suffit de le placer dans la zone à traiter, de le brancher et de l'allumer. Et c'est tout ! Grâce à sa petite taille (67 cm longueur, 69.1 cm largeur et 112.8 cm hauteur) et à ses roulettes, le purificateur est mobile et il se positionne sans problème à l'endroit souhaité. Avec une garantie de résultats : le renouvellement intégral de l'air est effectué en 15 minutes à peine, pour éliminer plus de 99,99% des virus et bactéries en mode "zéro prise de tête". Car Airina se fait facilement oublier. Ultra-silencieux (47 dB(A) à 1 m), il peut aussi être totalement personnalisé (couleurs, motifs, etc.) pour se fondre dans le décor. Un must pour ne pas perturber la concentration des équipes ou altérer le confort de la clientèle, ni nuire au design des lieux. Une utilisation intuitive qui simplifie le quotidien La troisième et dernière version d'Airina a été spécialement conçue pour mettre le meilleur de la technologie au service des utilisateurs. En quelques clics sur son interface tactile, il est ainsi possible de :Visualiser rapidement tous les indices de la qualité de l'air (indicateur visuel - selon ATMO)Mesurer la qualité de l'air intérieur : taux de CO2 en temps réel, informations sur les particules fines, quantité d'air traitée, évolution détaillée de la QAI sur 12h ;Contrôler le purificateur, en adaptant notamment sa vitesse de purification ;Sélectionner le mode auto pour que sa vitesse s'adapte à la qualité de l'air environnant ;Programmer les horaires de fonctionnement de l'appareil ;Choisir de recevoir des alertes SMS (maintenance & qualité de l'air) ; Airina, une marque française du groupe NEU-JKF Delta NEU Le purificateur d'air Airina est conçu et fabriqué en France, à La Chapelle-D'armentières, juste à côté de Lille. Cette marque dynamique appartient au groupe NEU-JKF Delta NEU, expert dans le captage et le traitement de l'air en milieu industriel depuis plus de 60 ans. "Airina est née de notre solide expérience industrielle à destination de tous les professionnels recevant du public et souhaitant les protéger." Le groupe représente aujourd'hui plus de 650 collaborateurs, 10 filiales dans le monde, 1 centre de formation, 1 station d’essai et accompagne plus de 35 000 clients. Il est membre de la French Lab qui regroupe les acteurs industriels français défendant le savoir-faire français et la fabrication française.
Il y a 3 ans et 49 jours

Forte de 30 ans d’actions, l'UNICEM demande aux pouvoirs publics la reconnaissance de son Label RSE sectoriel

Elle profite de cet anniversaire pour réitérer l’appel de la profession auprès des pouvoirs publics d’une reconnaissance de son Label sectoriel RSE.Pour Louis Natter, président UNICEM entreprises engagées : « L’avenir nous invite à poursuivre nos efforts et à renforcer nos ambitions. »Les industries de carrières et matériaux de construction extraient et produisent les matériaux minéraux nécessaires aux secteurs de la construction et des travaux publics. L’UNICEM (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction), qui représente la profession, rassemble près de 1400 entreprises, TPE, ETI patrimoniales, groupes d’envergure internationale, qui font fonctionner plus de 7000 sites répartis sur l’ensemble du territoire.Par ce maillage territorial, ces entreprises participent pleinement au maintien de l’activité économique, industrielle et de l’emploi au cœur des régions. Il permet aussi d’établir une proximité géographique entre les sites d’extraction, de production et les zones de mise en œuvre (chantiers), diminuant, de fait, les distances et donc l’empreinte carbone liée au transport des matériaux. Conscients de leur responsabilité sociétale et environnementale et soucieux de contribuer positivement aux enjeux de développement durable, la filière et ses acteurs, font de ces sujets une priorité et déploient, depuis trois décennies déjà, de nombreuses actions...La célébration, symbolique, de ces 30 ans d’engagement en matière de développement durable, est l’occasion de revenir sur les temps forts qui ont jalonné ces années : les actions mises en place, les progrès enregistrés et les résultats obtenus. C’est aussi l’occasion pour la profession de lancer un appel, auprès des instances publiques, tant nationales qu’européennes à la reconnaissance des labels sectoriels RSE,et au soutien des PME qui s’engagent dans la RSE.1992-2022 : 30 ans de progrès en matière de développement durable1992 : Création de la charte professionnelle des producteurs de granulatsDès 1992, les producteurs de granulats, soucieux de mieux cerner l’impact environnemental lié à leur activité d’exploitation de carrières, se mobilisent et créent la charte professionnelle des producteurs de granulats. Grâce à l’adhésion de nombreux sites et en partenariat avec des centres de recherche reconnus*, plus d’une centaine d’études** scientifiques sont menées sur un peu plus de 10 ans. Ces études ont permis d’aboutir à des recommandations et à la rédaction d’un socle commun de bonnes pratiques portant, entre autres, sur la préservation de la ressource en eau, l’amélioration de l’insertion paysagère, le respect de la biodiversité, la réduction des émissions de poussière, la maîtrise de l’énergie, l’organisation de concertations avec les parties prenantes.* Les partenaires de ces études : BRGM (Bureau des Recherches Géologiques et Minières), Cemagref (Centre d’Étude du Machinisme Agricole et du Génie Rural des Eaux et Forêts (CEMAGREF), CNRS (Centre National de Recherche Scientifique), Muséum national d’histoire naturelle, Laboratoire des ponts et chaussées, INERIS (institut national de l’environnement industriel et des risques) et plusieurs universités.** Ces études sont aujourd’hui regroupées dans un catalogue mis à la disposition via ce lien2004 : La Charte environnement des industries de carrièresDans le prolongement des recommandations et bonnes pratiques formulées par la charte professionnelle des producteurs de granulats et afin d’encourager la progression des acteurs du secteur des industries de carrières sur le plan environnemental, un référentiel est créé : la Charte environnement des industries de carrières dont l’objectif est d’évaluer, d’une part et valoriser, ensuite, les progrès effectués par les industriels en matière de développement durable. Plus de 900 sites se sont engagés dans cette démarche. Ils ont pu à ce titre bénéficier d’un accompagnement qui leur aura permis de progresser dans la maîtrise de l’impact environnemental et développer, grâce à des recommandations et formations spécifiques, leurs compétences et celles de leurs collaborateurs.2017 : Création d’UNICEM entreprises engagéesAprès plusieurs décennies d’actions engagées et déployées sur le terrain, c’est de la volonté de rassembler les différents acteurs des industries de carrières et matériaux de construction qu’est née UNICEM entreprises engagées.Afin de faciliter et favoriser l’intégration de la RSE dans la stratégie et les pratiques des acteurs de la filière, UNICEM entreprises engagées lance la Charte RSE à destination de ses adhérents, un référentiel solide, évalué par des organismes tiers indépendants. Déployée dans un premier temps au sein des entreprises productrices de béton prêt à l’emploi, la Charte RSE est étendue à l’activité extractive en 2018.UNICEM entreprises engagées partenaire de la Plateforme RSE En 2018, l’UNICEM est retenue par les instances publiques pour participer à une expérimentation nationale pilotée par la Plateforme RSE (organisme gouvernemental directement rattaché au premier ministre) sur les labels sectoriels RSE. Le référentiel RSE porté par UNICEM entreprises engagées a su répondre aux préconisations de la plateforme et contribue à la reconnaissance de la filière comme un acteur engagé en faveur de la RSE.2021 : Label RSE et CAP Environnement, les nouvelles signatures des engagements de la professionL’association UNICEM entreprises engagées se dote d’une charte d’engagement et formalise ainsi la vision et les valeurs communes à l’ensemble de ses adhérents, ainsi que les objectifs qu’ils poursuivent. En parallèle, le nom des démarches évolue. La Charte environnement des industries de carrières devient Cap environnement et la charte RSE prend le nom de Label RSE.CAP Environnement signe les engagements de la professionCap environnement, la démarche de progrès des industries de carrières, repose sur un référentiel environnemental appliqué site par site par les adhérents de l’association, avec l’intervention d’un auditeur conseil externe.Ce cadre rigoureux mis en place afin d’allier au mieux développement économique et respect de l’écosystème tout en favorisant une écoute mutuelle et constructive avec les acteurs locaux a permis des progrès considérables au sein de la profession : meilleure maîtrise et réduction des impacts, valorisation de la biodiversité, réaménagements et amélioration de sites, développement de l’économie circulaire, renforcement de la concertation…Evalués par des organismes tiers, plus de 600 sites de carrières sont, à ce jour, engagés dans la démarche Cap environnement.Nombre de sites engagés dans la démarche Cap environnement (avril 2022)635 sites / 262 entreprises50% de la production de l'UNPGLe Label RSE : une reconnaissance pour la professionL’engagement des entreprises dans la RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) correspond à une attente renforcée par la crise sanitaire. Appelant les entreprises, quelle que soit leur taille, à plus de résilience, la RSE devient un réel gage de performance qui doit être promu par des démarches sectorielles et volontaires.Les entreprises qui s’engagent dans cette démarche réalisent d’abord une auto-évaluation de leurs pratiques et de leurs performances suivant les 35 items du référentiel. Elles font ensuite l’objet d’une évaluation plus poussée effectuée sur site par un organisme tiers indépendant (OTI), sur l’ensemble des grandes thématiques du label :GouvernanceCapital humainEnvironnementClients consommateurs fournisseursAncrage localUn comité d’évaluation associant des parties prenantes externes valide le niveau attribué par l’OTI.À ce jour plus de 1000 sites sont engagés dans la démarche du label RSE de l’UNICEM.Nombre de sites engagés dans le label RSE (avril 2022)Béton Prêt à l’Emploi : 685 sites, 47% de la production du SNBPECarrières et Recyclage d’inertes : 406 sites / 28% de la production de l’UNPG Les facteurs de réussiteOutils, formations et accompagnementAfin d’encourager et aider les entreprises à s’investir toujours plus dans ses démarches, UNICEM entreprises engagées a développé une forte culture de l’accompagnement par la mise en place de nombreuses méthodes et outils :Publication de guides pédagogiques accessibles via un espace internet réservé aux adhérents,Organisation de sessions régionales de formation ciblées,Programmation régulière de webinaires,Déploiement en régions d’opérations pilotes d’accompagnement à la RSE.Concertation et dialogue avec les parties prenantesLe dialogue avec les parties prenantes (collectivités territoriales, associations…) est au cœur des démarches portées par UNICEM entreprises engagées. Des partenariats ont été développés dans ce sens avec notamment l’association Humanité et Biodiversité. Un comité des parties prenantes est réuni au moins une fois par an. De nombreuses initiatives locales et territoriales sont également mises en œuvre (journées portes ouvertes et découverte, sensibilisation auprès des écoles, chantiers nature solidaires).Témoignage Sandrine Bélier, Humanité et Biodiversité En tant que membre du comité des parties prenantes et du comité d’évaluation du label RSE de l’UNICEM, que pensez-vous de ce label ? « Je pense que c’est un outil très intéressant et important d’amélioration continue tant sur les aspects environnementaux que sociaux. C’est un label exigeant, sérieux et robuste. »Qu’apporte-t-il aux entreprises ? « Je pense que cela apporte de la crédibilité à l’entreprise tant vis-à-vis de ses salariés, que de ses clients mais aussi vis-à-vis des acteurs du territoire où elle est implantée. Par cet engagement, elle peut participer à créer de la valeur éthique. »Quel est votre rôle en tant que partie prenante ? « J’ai été, au nom d’« Humanité et Biodiversité » associée à toutes les étapes d’élaboration de ce label, dès sa création et nos propositions pour faire évoluer le référentiel d’évaluation ont été prises en compte et intégrées. Je participe, avec exigence, au processus d’évaluation des entreprises candidates au label RSE de l’UNICEM et veille au sérieux et à la réalité des démarches engagées par ces entreprises. »Et demain ? Perspectives et objectifs pour les années à venirPour Louis Natter, président UNICEM entreprises engagées : « En 30 ans, nous avons démontré notre capacité à répondre efficacement aux enjeux environnementaux et sociétaux liés à nos activités. Nous l’avons fait progressivement et collectivement, en accueillant au sein de l’association des entreprises toujours unies par cette volonté d’améliorer constamment leurs pratiques. L’avenir nous invite à poursuivre nos efforts et à renforcer nos ambitions. Si les attentes de nos parties prenantes, notamment celles de nos clients, nous confortent dans cet élan, la complexité des obligations réglementaires et normatives auxquelles nous devrons tous répondre demain ne nous facilitera pas la tâche. Les évolutions en matière d’information extra-financière et de transparence illustrent bien ce point. Nous porterons donc une attention toute particulière à l’accompagnement des entreprises de toutes tailles, en particulier des PME, en les aidant à anticiper ces changements. Immanquablement, nous ajusterons nos référentiels et nos programmes de formations ; nous veillerons aussi à établir, dès que possible, un maximum d’équivalence entre nos démarches et les systèmes d’évaluation RSE, publics ou privés, toujours plus nombreux et exigeants. Et surtout, nous nous mobiliserons pour que ce label, qui valide toutes les conditions requises, obtienne la reconnaissance qu’il mérite. En particulier, après avoir participé aux expérimentations conduites par la Plateforme RSE, nous sommes impatients de voir ce label sectoriel reconnu - enfin ! - par les pouvoirs publics. »Fédérer et élargir le cercle des entreprises engagéesUNICEM entreprises engagées (UEE) entend, dans les années à venir, fédérer davantage de PME et d’entreprises familiales dans ses actions et élargir la typologie des activités concernées.Dans cet objectif, elle développe différents outils et met en place des opérations d’accompagnement. Elle a ainsi publié, en 2020, un guide méthodologique à destination des PME afin de faciliter leur engagement dans la RSE et va, prochainement, éditer un recueil des bonnes pratiques RSE et proposer, sous forme de quiz, une approche pédagogique de sensibilisation à la RSE.S’investissant aussi sur le terrain, UNICEM entreprises engagées a lancé en 2021 une opération d’accompagnement dans six régions. Depuis le début de l’année 2022, une cinquantaine de nouveaux sites issus de PME et d’entreprises familiales ont ainsi rejoint la démarche. Ces dernières représentent à ce jour près de 70% des entreprises adhérentes au label RSE.L’association entend également élargir la typologie des activités qu’elle représente. Aujourd’hui, peuvent s’engager dans le label RSE les industries extractives, les plateformes de recyclage de déchets inertes et unités de production de béton prêt à l’emploi. Les récentes évolutions apportées au référentiel le rende désormais applicable à l’activité « roches ornementales » et les premiers granitiers vont rejoindre, prochainement, la démarche.UNICEM entreprises engagées reste prête à accompagner toute autre activité de la filière minérale afin de faciliter son engagement dans le label RSE.Quelques témoignages Stephan HELMBACHER, PDG des Sablières et ballastières Helmbacher Pourquoi vous êtes-vous engagés dans le label RSE ? « Après plus de 10 ans d’engagement dans la Charte Environnement, nous avons souhaité nous remettre en question et nous réinventer à travers le label RSE qui présentait une vision plus large de nos responsabilités. »Quels sont les résultats / bénéfices de cette labellisation ? « En interne, les premiers résultats sont la belle capacité à mobiliser une équipe. Plus globalement, la démarche nous permet de gagner en crédibilité et en respectabilité auprès de nos parties prenantes. »Pierre-Yves BEAULIEU, Directeur, Carrières et Béton B. BRONZO Pourquoi vous êtes-vous engagés dans le label RSE ? « Étant engagé dans la démarche de la Charte Environnement depuis le début en 1992, l’engagement dans le label RSE est pour nous un prolongement. Tous les items de la démarche font déjà parti de notre quotidien. » Quels sont les résultats / bénéfices de cette labellisation ? « Je reste convaincu qu’à moyen terme cela fera la différence en termes d’embauche, de pérennité des emplois et de regard de nos parties prenantes, collectivités locales, riverains, fournisseurs. Nos relations seront plus sereines et plus durables tout en montrant que notre profession est sincèrement Responsable. »Encourager l’engagement des PME-TPE dans la démarche RSETrès souvent le manque de temps et de moyens se révèlent un frein pour les PME-TPE dans le déploiement de la RSE. Partant de ce constat et de leurs observations, UNICEM entreprises engagées souhaite que les pouvoirs publics apportent un soutien au développement de la RSE dans les PME en :Finançant en partie l’accompagnement d’un expert pour réaliser un état des lieux, construire un plan d’action puis le mettre en œuvre,Facilitant l’accès aux dispositifs d’aides publiques octroyées par certaines régions (comme celle des Pays de la Loire* ) aux entreprises qui s’engagent dans un label RSE,Encourageant la création d’un prêt RSE aux conditions avantageuses (taux d’intérêt inférieurs ou sans garantie) à l’image du prêt vert financé par BPI France et l’ADEME pour les TPE-PME* Sous réserve d’éligibilité, la Région peut cofinancer cet accompagnement, par le biais d’une subvention de 50% maximum du montant hors taxes (H.T.) des coûts de l’étude, et ceci dans une limite de 15.000 €. Plus d’informations à cette adresse.Accélérer la reconnaissance du label RSEUNICEM entreprises engagées plaide pour une reconnaissance par les pouvoirs publics des labels sectoriels répondant aux préconisations formulées dans les rapports publiés suite à la loi PACTE et demande la mise en place d’une charte publique qui servira de cadre à la reconnaissance de ces labels.En complément, UNICEM entreprises engagées souhaite que les entreprises labellisées RSE soient dispensées de répondre aux questionnaires des donneurs d’ordre sur les aspects RSE. SNCF Réseau s’est montrée pionnière en la matière : les prestataires de matériaux bénéficiant du Label RSE UNICEM peuvent se prévaloir de ce référentiel sans avoir à passer par un autre mode d’évaluation.Le label RSE de l’UNICEM reconnu par SNCF RéseauPour Bérangère GALLAND, Chef du Département RSE & Communication DGFA - DIRECTION DES ACHATS SNCF RESEAU : « L’évaluation réalisée dans le cadre du label RSE UNICEM entreprises engagées par un organisme tiers indépendant permet de répondre à l’obligation de diagnostic des performances RSE demandée par SNCF Réseau à ses fournisseurs. Ainsi, nos prestataires de matériaux bénéficiant du Label RSE UNICEM peuvent se prévaloir de ce référentiel sans avoir à passer par un autre mode d’évaluation. »UNICEM entreprises engagées demande, depuis plusieurs années, que la commande publique soit un véritable levier pour encourager la RSE. Pour répondre à cet enjeu, l’UNICEM propose que l’État et les collectivités territoriales soient encouragés à recourir aux entreprises labellisées RSE.En parallèle, le débat doit être réengagé sur les règles européennes des marchés publics, afin d’autoriser les donneurs d’ordre à valoriser les prestataires labellisés RSE.Enfin, pour aller plus loin, UNICEM entreprises engagées propose, aussi, que les entreprises labellisées RSE puissent bénéficier :D’une bonification des aides publiques relatives à l’innovation, la transition écologique, la décarbonation ;De garanties publiques permettant de limiter les cautions à fournir vis à vis des banques et assurances ;D’un allègement du montant des garanties financières au titre de la remise en état (carrières, installations de traitement des déchets) ;De taux privilégiés auprès des banques et des assurances.
Il y a 3 ans et 52 jours

Hydrogène vert : 10 milliards d’euros de retombées économiques en France d’ici à 2030 pour les fabricants de matériel électrique

Avec l’étude de marché du GIMELEC, le syndicat professionnel de la filière électronumérique, publiée le 14 avril, Le potentiel économique colossal que l’hydrogène décarboné représente en France est maintenant connu, évalué jusqu’à 10 milliards d’euros cumulés d’ici 2030 pour les fabricants de matériel électrique et d’automatismes, dont une grande partie de PME et d’ETI.Pour Rodolphe de BEAUFORT, Délégué général adjoint du GIMELEC : « L’hydrogène est déjà massivement utilisé dans l’industrie sous sa forme dite grise, c’est-à-dire produite à partir d’énergies fossiles. Il y a aujourd’hui un véritable regain d’intérêt pour le substituer par sa forme verte, ou décarbonée, conséquence collatérale de l’explosion du prix du gaz liée à la guerre en Ukraine. On entend beaucoup parler de l’hydrogène pour son usage dans les transports, des voitures aux trains en passant par l’aviation légère. L’étude du GIMELEC montre quant à elle que la performance environnementale et énergétique de l’hydrogène se joue surtout et d’abord dans l’industrie. C’est là, à court terme, dans les usines sidérurgiques, chimiques et de raffinage qu’il permet le plus fort gain en termes de décarbonation. On parle de 11 millions de tonnes de CO2 pouvant être évitées chaque année soit 15% des émissions de l’industrie. » Plusieurs Gigafactories d’électrolyseurs s’apprêtent à sortir de terre en France : Aspach (2022), Béziers (2023), Belfort (2024), et Vendôme (2025). Elles devront répondre aux besoins qui vont exploser d’ici 2030. L’étude du GIMELEC confirme le potentiel d’environ 6,5 GW d’électrolyseurs à installer d’ici 2030 en France, puis 18 GW sur la décennie suivante. Ces potentiels, ventilés sur les sept principales régions industrielles du pays, font ressortir le défi de construction des infrastructures nécessaires. Ce potentiel devrait être repris dans la prochaine Stratégie Nationale Bas Carbone afin que la France se mobilise pour la décarbonation de son industrie puis la promotion des alternatives de mobilité propre, en complément de l’électrification directe. La réussite de la stratégie hydrogène de la France dépendra en grande partie de la mobilisation des acteurs industriels, constructeurs de matériel électrique et d’infrastructures, pour coordonner leurs efforts et répondre ainsi à la croissance exponentielle de ce marché. Cela est d’autant plus nécessaire que la concurrence internationale se met en place, notamment dans les pays asiatiques.Pour Rodolphe de BEAUFORT, Délégué général adjoint du GIMELEC : « Oui, nous identifions un potentiel en forte croissance atteignant, dès 2030, 3 milliards d’euros par an de retombées économiques pour les fabricants de matériel électrique en France. Oui, il y aura des recrutements massifs, en particulier dans les territoires où se concentreront les efforts de développement de l’hydrogène, en Méditerranée et dans la Vallée de la Seine, mais aussi partout sur le territoire national et européen, notamment dans les usines de composants électrotechniques qui sont à la base de ces nouvelles infrastructures énergétiques. Mais il faut pour cela que tout l’écosystème industriel travaille de concert. C’est tout l’objet du groupe hydrogène constitué par le GIMELEC à l’issue de son étude : fédérer les offreurs de technologies au service du développement des capacités industrielles et de la compétitivité de ce secteur. »
Il y a 3 ans et 52 jours

Fundo Ligno et Fundo RioLigno, deux receveurs Wedi pour intégration en plancher bois

Comme tous les produits wedi, le Fundo Ligno et le Fundo RioLigno sont 100% étanches, fiables, testés et certifiés. En tant qu’expert de l’étanchéité, wedi ne fait aucune différence technique entre l’installation d’un receveur sur béton ou sur un plancher bois et propose deux produits dédiés zéro ressaut !La construction bois est actuellement favorisée par un cadre réglementaire, la RE2020, qui vise à diminuer l’impact carbone des bâtiments tout en poursuivant l’amélioration de leur performance énergétique. Pourtant, il est complexe de faire viser auprès du CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) et des assureurs, des systèmes de douches sur supports bois, alors que dans le même temps, les majors de la construction intègrent de plus en plus le bois dans leurs projets.Pour répondre à ces évolutions réglementaires et à ce besoin, les industriels doivent à la fois bien sûr, développer des solutions adaptées mais aussi tenter d’apporter des garanties. C’est le cas de wedi dont tous les produits sont compatibles sur supports béton ou bois.En développant deux solutions spéciales bois, le constructeur a la volonté de contrer les idées reçues sur ce matériau, de valoriser l’installation de douches en et sur structures en bois et d’accompagner les professionnels du secteur en apportant son expertise et ses garanties propres.Le contexte règlementaireLe bois est fortement plébiscité sur le marché de la construction. Au-delà de ses vertus esthétiques qui rappellent la nature, le bois est un matériau biosourcé reconnu pour son empreinte carbone extrêmement performante.L’utilisation du bois est en pleine croissance dans la construction de bâtiments publics et de logements individuels puisqu’il confère un excellent bilan carbone. D’ailleurs, des majors du bâtiment prennent en compte la pertinence de ce matériau, comme Bouygues notamment avec sa filiale WeWood qui annonce la construction de 30% de logements en bois pour 2024 dans leurs opérations.Aujourd’hui, la problématique des ouvrages en bois réside dans leur assurabilité. Le CSTB, les contrôleurs techniques et les assureurs sont assez méfiants face à l’étanchéité des salles d’eau sur support bois. Ils craignent qu’en cas de dégâts des eaux, la fuite touche la structure en bois de l’ouvrage et que les dommages deviennent alors plus graves que sur support béton.A cela s’ajoute un autre frein : la question du zéro ressaut. Depuis le 1er juillet 2021, les logements neufs doivent obligatoirement être équipés d’une douche zéro ressaut, mesure qui renforce la crainte d’une salle de bain sinistrée.Pour wedi, le zéro ressaut n’a jamais posé de problème étant donné la maitrise acquise depuis de très nombreuses années sur ces procédés, partout en Europe et en Amérique du nord. De plus, l’expertise wedi réside dans la maitrise de l’étanchéité et la fiabilité de ses systèmes garantie au minimum 10 ans.Le spécialiste de la salle de bain souhaite rassurer les profes-sionnels et installateurs de douches en proposant des systèmes complets parfaitement compatibles entre eux qui permettent de réaliser intégralement des salles de bains zéro ressaut, 100% étanches.Les majors font confiance à wedi dans le cadre de constructions bois. Ils s’appuient sur le savoir-faire de l’entreprise, l’accompagnement du responsable technique wedi et sur leurs bureaux de contrôle qui échangent avec le service technique avant de réaliser chaque projet. C’est notamment le cas du groupe Leco, spécialiste de la conception et de la construction modulaire en bois.Xavier Jaffray, Président du groupe Leco, revient sur son partenariat avec wedi : « Avoir wedi comme partenaire est essentiel pour la recherche et le développement. Avec l’accord des bureaux de contrôle, nous avons pu réaliser avec wedi plusieurs opérations sur des planchers en bois. Cela n’a été possible que parce qu’on avait pu définir ensemble un cadre de validation réglementaire des processus. La solution wedi est plus qualitative que des douches normales. En règle générale on la met en oeuvre quand on veut monter en gamme tout en répondant à des contraintes réglementaires. »Christophe Gay, Kasteliades, témoigne également de son choix des solutions wedi dans son activité, la rénovation de châteaux pour en faire des résidences de vacances haut de gamme. « Les solutions wedi sont parfaitement adaptées à nos besoins, que ce soit pour la mise en oeuvre facile ou pour la garantie d’étanchéité ! » « …dans les châteaux on retrouve souvent du parquet dans l’intégralité des pièces. On ne peut donc pas se permettre d’utiliser un joint qui ne serait pas fiable dans le temps et se retrouver face à une inondation des parquets et des étages inférieurs où se trouvent des fresques de plus de 200 ans. »Des produits wedi adaptés aux constructions en boisLes receveurs Fundo Ligno et RioLigno ont été développés pour faciliter l’intégration de receveurs dans les planchers bois, en affleurement, supprimant ainsi les travaux de réajustement.L’installateur gagne ainsi un temps considérable et doit simplement découper la zone de plancher nécessaire pour mettre en oeuvre le receveur. Par ailleurs, les deux produits sont 100% étanches ce qui leur permet de s’adapter aux planchers en bois, supports sensibles à l’humidité. Tous les receveurs wedi sont soumis à des tests d’étanchéité en usine ce qui leur confère une haute fiabilité. Ils sont également entièrement compatibles avec les produits de la gamme wedi ce qui leur confère un réel avantage.Le Fundo LignoLa gamme de receveurs de douche de plain-pied Fundo Ligno, avec écoulement classique en un point, est dédiée au montage sur plancher bois, qu’il s’agisse d’un chantier neuf ou en rénovation.Avec 20 mm d’épaisseur, il s’intègre parfaitement au plancher bois, évitant ainsi les travaux de ragréage.Garanti 100% étanche, il assure une fiabilité digne de l‘expertise wedi.Disponible en version carré et rectangulaire, il s’adapte à tous les designs.Le Fundo RioLignoComme le Fundo Ligno, le Fundo RioLigno rectangulaire avec écoulement linéaire a été conçu pour être installé sur plancher bois.Proposé sous plusieurs dimensions, le receveur mesure 25 mm de hauteur ce qui lui permet de s’intégrer facilement au plancher existant.Par ailleurs, le Fundo RioLigno est compatible avec les barrettes de finition ainsi qu’avec les profilés de pente de la gamme wedi.Filière bois : un marché complexe en FranceD’une manière générale, la construction bois est traversée par des enjeux contradictoires. D’un côté, elle est fortement encouragée par la stratégie de décarbonation engagée en réponse à la situation climatique. De l’autre, elle engendre des craintes sur le plan assurantiel.Aujourd’hui, de nouveaux acteurs sont appelés à intervenir sur le marché de la construction bois, tant au niveau du gros oeuvre que des corps d’état secondaires. Habitués aux structures en béton ou maçonnées, ils doivent acquérir une nouvelle expérience et se former à la manipulation du bois.En effet, le bois est évidemment plus sensible à l’humidité que le béton. Pour autant, les acteurs de la filière rappellent qu’en Amérique du Nord, dans les pays nordiques, le bois est depuis longtemps admis dans les constructions. Les assureurs et contrôleurs français quant à eux restent préoccupés par les coûts d’assurabilité, les pratiques de constructions bois et les questions d’étanchéité.Autant d’interrogations qui amènent à l’élaboration, la révision ou la simple adaptation des règles et référentiels susceptibles à la fois de conforter et sécuriser la construction bois.
Il y a 3 ans et 53 jours

Blanchon accélère sa croissance internationale

Le groupe Blanchon annonce l’acquisition de Rigo Verffabriek et Rigo Verfcentrum, une entreprise familiale, spécialisée dans la conception et la fabrication de produits de finition pour le bois et de peintures pour les bâtiments patrimoniaux, dédiés à une clientèle professionnelle. Cette acquisition s’inscrit dans la stratégie du Groupe Blanchon d’accélérer sa croissance internationale et de devenir un leader européen de la protection, de l’entretien, de la rénovation et de la décoration des surfaces bois intérieures et extérieures et des sols vinyles. Grâce à des marques très fortes, dont les produits « Skylt », « Step », « Royl », « Toplin » et « Skyn », combinées à une croissance significative des ventes au cours de la dernière décennie, RIGO est devenu le leader du marché sur le segment des sols en bois aux Pays- Bas. La société est installée à Ijmuiden, Pays-Bas, et ce site viendra s’ajouter aux autres filiales européennes de Blanchon, afin d’accélérer la croissance des activités internationales du groupe. S’appuyant sur la complémentarité des gammes de produits Blanchon et RIGO, sur la forte notoriété de leurs marques, et sur leur large portefeuille de clients, cette acquisition permet au groupe Blanchon de devenir le leader du marché de la protection et de la décoration des sols parquets pour les professionnels aux Pays-Bas. Suite à l’acquisition de Ciranova en juin 2021, le Groupe Blanchon est à présent pleinement établi comme le leader du marché en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg, deuxième plus importante région du groupe par son chiffre d’affaires, après la France.
Il y a 3 ans et 53 jours

L’OPPBTP intègre le think tank Cinov’action pour une meilleure prise en compte de la prévention par les acteurs du BTP

Pour ce faire, l’OPPBTP s’associe pour la première fois à la Fédération Cinov, représentative de la branche BETIC qui regroupe les métiers du conseil, de l’ingénierie et du numérique. Ce partenariat permettra à l’Organisme d’intégrer le think tank Cinov’action et ainsi contribuer aux réflexions et travaux collectifs menés avec tous les acteurs de la chaîne de valeur pour améliorer les conditions de travail des personnes intervenant dans le processus de construction.La prévention des risques, un enjeu de taille pour la maîtrise d’œuvre et la maîtrise d’ouvrageDans le cadre de ses missions, l’OPPBTP s’engage à accompagner l’ensemble des acteurs de la filière BTP, les entreprises de construction bien sûr, mais aussi les maîtres d’ouvrage, les maîtres d’œuvre et les coordonnateurs SPS.La crise sanitaire a mis la santé et la sécurité au travail au cœur des enjeux et des préoccupations de tous les acteurs de la construction. D’une part, la maîtrise d’œuvre a identifié des besoins de connaissance et de solutions opérationnelles en la matière. La crise a montré également l’intérêt de mieux intégrer les besoins de toute la chaîne de construction, jusqu’aux opérateurs et le fonctionnement du chantier. D’autre part, le rôle clé que doivent jouer les maîtres d’ouvrage (MOA) en santé et sécurité au travail a été mis en valeur fortement. Maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre, deux acteurs essentiels de la chaîne de valeur de la construction, doivent être pleinement en mesure d’appliquer les principes généraux de prévention et fournir les moyens nécessaires aux entreprises et salariés du BTP pour travailler en sécurité.Des métiers en pleine mutationEn parallèle, ces métiers sont sujets à d’importantes transformations en cours et à venir, d’un point de vue environnemental, technologique, sociétal et économique. Le climat, le numérique, les évolutions sociales peuvent être tout autant des opportunités que des freins. Conscient de ces profondes mutations, la Fédération Cinov, qui compte parmi ses adhérents 98 % des maîtres d’œuvre du BTP, a créé en 2016 le think tank Cinov’action. Celui-ci propose un cadre pérenne de travaux collectifs entre différents acteurs de la branche (industriels, entreprises, institutionnels, ingénieurs), afin d’anticiper les évolutions nécessaires de leurs métiers, de construire des collaborations porteuses d’innovation et de concevoir des solutions qui les fassent progresser. Une démarche qui fait écho à la troisième priorité stratégique du plan @Horizon 2025 de l’OPPBTP : réaliser l’ingénierie prévention des métiers de demain, avec l’objectif d’une prévention intégrée dès la conception, portée par l’innovation.Un partenariat inédit avec la Fédération CinovDans ce contexte, l’OPPBTP et la Fédération Cinov ont souhaité se rapprocher pour la première fois, en permettant à l’Organisme d’intégrer le think tank Cinov’action. L’adhésion de l’OPPBTP à Cinov’action a ainsi pour objectif d’agir auprès de la maîtrise d’œuvre et de la maîtrise d’ouvrage pour une meilleure prise en compte de la prévention dans le montage des opérations et une plus forte implication sur ces questions, en lien avec les Coordonnateurs Sécurité et Protection de la Santé (CSPS) et les entreprises.Dans le cadre de leur collaboration, l’OPPBTP participera à différents travaux, notamment :la contribution à un outil d’autodiagnostic des compétences à destination de la maîtrise d’œuvre, en intégrant un volet dédié à la santé-sécurité au travail ;le lancement de travaux pour élaborer une étude dédiée à l’évolution des métiers de la construction (nouveaux matériaux, contrainte environnementale, utilisation du digital...)L’implication de l’OPPBTP permettra de faire valoir la prévention des risques professionnels comme un point essentiel de la réflexion. L’objectif est de formuler des propositions qui seront portées auprès des instances nationales pour mieux accompagner les mutations du secteur. Pour Fréderic Lafage, Président de la fédération CINOV : « Convaincus que de nombreux métiers vont muter, que les méthodes de collaboration vont profondément évoluer, nous pensons qu’une des solutions passe par le décloisonnement des métiers et la mise en œuvre de réflexions avec l’ensemble des acteurs économiques de la chaîne de valeur. Seule cette approche élargie peut permettre d’anticiper et de répondre aux complexités auxquelles les professionnels et plus largement la société sont confrontées. Les sujets sur lesquels travaille Cinov’action sont liés à la nécessité de répondre aux enjeux qui découlent des transitions en cours et de s’adapter à l’incertitude de notre monde. L’arrivée de l’OPPBTP au sein de Cinov’action marque la volonté de prendre en compte la prévention comme un levier majeur d’efficacité et une nécessité à rechercher dans tout processus innovant. »Pour Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP : « Notre adhésion à Cinov’action va permettre à l’OPPBTP d’élargir le champ de ses actions en faveur de la prévention des risques au-delà de notre champ habituel d’entreprises adhérentes. Cinov’action et l’OPPBTP partagent une même analyse sur les enjeux auxquels la construction est confrontée, et sur les réponses pertinentes à y apporter, basées sur l’innovation, la coopération, l’amélioration des processus opérationnels. La maitrise d’œuvre doit jouer un rôle plus important dans le futur pour assurer un haut niveau de performance des opérations de construction, dont en santé et sécurité au travail. Car un chantier bien mené en prévention est un chantier bien mené en production ! » commente Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP. »
Il y a 3 ans et 54 jours

Malgré des carnets de commandes bien garnis, le bâtiment reste dans l'incertitude

CONJONCTURE. S'ils peuvent s'appuyer sur des carnets de commandes bien fournis, les professionnels du bâtiment ne semblent pas pour autant optimistes sur leurs prévisions d'activité. Le second-oeuvre s'avère mieux logé que le gros-oeuvre, quand les activités d'architecture et d'ingénierie demeurent très bien orientées.
Il y a 3 ans et 54 jours

Béton[s] le Magazine 98

Daté janvier-février 2022 A LIRE DANS CETTE EDITION : EN COUVERTURE. Les bétons en travaux souterrains TECHNIQUES & ARCHITECTURE. Chantier à l’international – Mauritanie – Sénégal. La digue protectrice de Grand Tortue – Partie#2 ZOOM SUR. Coffrages sur mesure. Adaptabilité et créativité FONDAMENTAUX. Jurique. Sécurité incendie et locaux professionnels BETON D’ANTAN. Constantin Brodzki. Le “style CBR”, moderne et brutaliste Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 54 jours

Rénovation énergétique : face aux besoins, la formation continue se réinvente

Pour monter en compétences sur ce marché porteur, les professionnels du bâtiment peuvent compter sur de nouveaux modules et des cursus revisités.
Il y a 3 ans et 54 jours

Respecter la règlementation RE2020 en ventilation, les conseils de Ubbink

Avec la RE2020, la ventilation est contrôlée à réception du chantier. Pour aider les professionnels à réussir ce contrôle et à installer leurs systèmes de ventilation dans les règles de l'art, Ubbink se lance en campagne.
Il y a 3 ans et 54 jours

Lancement de Chantiers-moins-chers.com pour permettre aux artisans du bâtiment d'obtenir des prospects à moindre coût

L’intérêt de ce nouvel outil à disposition des artisans du BTP est simple : grâce au levier des chantiers invendus, l’équipe permet d’une part aux professionnels du secteur d’accéder à des contacts moins chers de prospects à la recherche de devis pour des travaux liés à leur habitat ; et d’autre part, aux particuliers en attente de devis de trouver un professionnel de qualité capable de satisfaire leur demande.Chantiers-moins-chers.com, pour répondre aux besoins des artisans du BTP comme des particuliersPour Jean-Christophe Gigniac, gérant et fondateur de ForumConstruire SARL : "Nous générons chaque année des milliers de demandes de travaux grâce à ForumConstruire.com, notre site principal. Si la très grande majorité d’entre elles trouve preneur, ce n’est pas le cas pour certaines, qui constituent donc des « chantiers invendus ». Mais attention, invendu ne veut pas dire de piètre qualité ! C’est juste que nous n’avions pas d’acheteurs ou d’artisans pour celui-ci à l’instant T. Au lieu que ces leads soient perdus, le but, via ce nouveau site, est de les revendre à bas coût aux artisans. Ainsi, tout le monde est gagnant : l’artisan qui accède à moindre coût à de nouveaux contacts, et les particuliers qui obtiennent une réponse avec devis à leur demande de travaux."Chantiers-moins-chers.com s’appuie ainsi sur le levier des chantiers invendus. Chaque année en effet, quantité de demandes de chantiers ne trouvent pas preneur sur les sites spécialisés. Face à ce constat, l’équipe de ForumConstruire, spécialiste du secteur du bâtiment depuis 18 ans, a imaginé une solution gagnant-gagnant, permettant à la fois aux particuliers d’obtenir un devis répondant à leurs attentes en matière de construction, de rénovation ou d’amélioration de leur habitat, et aux artisans d’accéder, aisément et à moindre coût, à des demandes de chantiers de qualité mais qui ne trouvaient jusque-là pas preneur, que ce soit pour des raisons de disponibilité d'artisan et/ou de couverture géographique. Pour plus de précisions, la vidéo de présentation de la plateforme est disponible ici.Des projets de travaux vérifiés, pour des prospects de qualitéLes chantiers proposés aux artisans par le biais de Chantiers-moins-chers.com ne sont pas disponibles ailleurs. Chaque chantier peut-être envoyé à un maximum de 3 artisans inscrits sur la plateforme (si tant est que 3 artisans soient inscrits dans la même région et le même métier, ce qui est peu fréquent). Chacun d’entre eux est systématiquement vérifié et actualisé avant que le contact ne soit proposé aux artisans : lorsque l’équipe reçoit un chantier, elle envoie un SMS au particulier afin de lui poser plus de questions quant aux travaux à réaliser. Un artisan ne recevra donc le chantier que si le particulier a répondu à toutes les questions et a réaffirmé vouloir être mis en relation avec un professionnel. Les chantiers sont donc « frais » et les coordonnées des particuliers prospects sont exactes. Une sécurité et un gain de temps non négligeable pour le professionnel.Publié à l’automne 2021 pour une première phase pilote, Chantiers-moins-chers.com a déjà su séduire 1.500 artisans inscrits sur la plateforme, à qui il a d’ores et déjà transmis 25.000 projets de travaux.Pour Nicolas P., peintre en bâtiment exerçant à Lyon : "Je suis client de plusieurs plateformes d’achat de contacts, et j’apprécie particulièrement chantiers-moins-chers.com, sur lequel je me suis inscrit en ce début d’année. Grâce à cette plateforme, j’arrive à avoir des contacts de prospects à des prix très attractifs et, si jamais j’ai un souci sur un contact, le service client est disponible et particulièrement réactif. Leur système de réclamation est simple, et je suis recrédité dans la journée si besoin est."Concrètement, comment ça marche ?Sur Chantiers-moins-chers.com, l’artisan ne paie que pour les demandes de chantiers qu’il reçoit. Les tarifs varient en fonction du type de travaux demandé. La liste des tarifs appliqués est accessible sur cette page. Lors de son inscription sur la plateforme, après avoir renseigné l’ensemble de ses coordonnées et son SIRET, l’artisan définit le mot de passe qui lui permettra d’accéder au site de façon sécurisée. Ensuite, il définit ses besoins spécifiques : quelle zone géographique couvre-t-il (il peut ainsi définir sa zone de chalandise soit en termes de distance par rapport à son entreprise, ou en saisissant les villes souhaitées, ou enfin en renseignant les départements ou pays qu’il est en capacité de couvrir) ? Quels types de chantiers souhaite-t-il recevoir ? Il est à noter que, pour que son inscription soit validée, l’artisan devra impérativement délivrer une attestation d’assurance en bonne et due forme, qu’il pourra adresser à Chantiers-moins-chers.com par mail, courrier, ou encore en la téléchargeant directement via le site, une fois connecté.Une fois son inscription terminée, le compte Chantiers-moins-chers.com de l’artisan est automatiquement crédité de 25€ de bienvenue, afin qu’il puisse tester librement le service. Il commencera alors à recevoir des demandes de chantiers correspondant à ses réglages spécifiques. A chaque demande de chantier reçue, son crédit Chantiers-moins-chers.com est débité du prix du chantier. Lorsque son crédit Chantiers-moins-chers.com est épuisé, il ne reçoit plus de nouvelle demande de chantier, mais il a toujours la possibilité de consulter celles qu’il a reçues précédemment. L’artisan reçoit alors un email l’informant de la situation et l’invitant à recharger son compte pour recevoir de nouveaux contacts. Par la suite, il a la possibilité de recharger manuellement ou de façon automatique son compte, selon ses besoins.Par ailleurs, si jamais l’artisan part en vacances ou est débordé, il a la possibilité de suspendre momentanément son compte, puis de réactiver ses achats quand il le souhaite. Enfin, en cas de besoin, l’artisan a la possibilité de joindre le service client, qui saura l’accompagner et répondre à ses interrogations avec réactivité, voire mettre en place un procédure de réclamation si nécessaire.
Il y a 3 ans et 55 jours

Les juges des expropriations, témoins des mutations de la Seine-Saint-Denis

Par une grise après-midi à Saint-Denis, une nuée d'avocats arpente avec une juge des expropriations les 13.000 m2 d'un bâtiment de locaux professionnels à moitié vides, du parking jusqu'au toit. Les uns lui vantent l'emplacement idéal, les autres pointent des taches d'humidité aux murs.Dans le cadre de la diversification de la Plaine Saint-Denis, morne quartier d'entrepôts et bureaux, un aménageur public a préempté ces locaux au moment de leur mise en vente. Mais acquéreur et vendeur n'ont pu s'accorder sur le prix, nécessitant l'intervention d'une juge des expropriations pour trancher le litige.Ces magistrats spécialisés sont chargés, en cas de désaccord financier lors d'une préemption ou d'une expropriation ordonnée par la préfecture pour un projet d'utilité publique, d'arbitrer la somme que l'acteur public versera au propriétaire forcé de lui vendre.Cette mission fait de ces juges un maillon essentiel des grands projets d'urbanisme. "Nous sommes là pour assurer un équilibre entre intérêt général et protection des droits individuels et faire en sorte que l'expropriant n'abuse pas des prérogatives dont il dispose", explique Charline Cheruel, 36 ans, qui a rejoint le service en 2019.Dans ce département hérissé de grues, la patte des juges des expropriations se retrouve dans de nombreux chantiers emblématiques des évolutions du département : construction du village olympique pour les JO de Paris-2024, prolongement des lignes 11 et 14 du métro, des tramways T1 et T4, etc. En Seine-Saint-Denis, les besoins sont tels que le pôle compte désormais trois juges, contre une seule il y a quelques années. Une exception dans le paysage des tribunaux de France qui, dans leur immense majorité, n'ont pas même un seul magistrat consacré à plein temps à ce contentieux souvent marginal.Rattrapage historiqueCette particularité tient à la transition tardive que traverse actuellement la Seine-Saint-Denis.Historiquement défavorisé et sinistré par la désindustrialisation, ce territoire de 1,6 million d'habitants connaît ces dernières années un indéniable mouvement de revitalisation urbaine, une attention accrue des pouvoirs publics se conjuguant à la pression foncière de la capitale limitrophe."C'est un département sur lequel la rénovation urbaine ne s'est pas faite. Dans les autres départements autour de Paris, la rénovation s'est faite dès l'après-guerre, ce qui n'a pas eu lieu dans le 93 car les terrains n'étaient pas chers et étaient acquis par des sociétés industrielles qui avaient besoin de surface", analyse Sylvie Suply, 63 ans, juge des expropriations à Bobigny depuis onze ans.La lutte contre les marchands de sommeil et l'habitat insalubre, une priorité des autorités en Seine-Saint-Denis, les accapare beaucoup et les amène à écumer des villes comme Aubervilliers, Saint-Ouen et Saint-Denis.L'opération phare du service actuellement est le plan de rénovation urbaine, étalé jusqu'en 2030, du quartier du Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois, copropriété parmi les plus dégradées de France, connue pour avoir servi de décor au film "Les Misérables".Pour procéder à la destruction des grandes barres insalubres, un nouvel immeuble est exproprié chaque année, soit plus de 150 nouveaux dossiers qui atterrissent à chaque fois sur le bureau des juges.Lors des visites sur place, "on entend dans les cages d'escaliers des dealers siffler pour prévenir qu'ils ne sont plus tout seuls. On va visiter les biens et c'est souvent vraiment terrible. Des cafards qui montent aux murs, une salle de bains avec de la moisissure partout, une multiprise pour l'ensemble des appareils électriques de la famille...", témoigne Bénédicte Baudoin, 44 ans.Petit à petit, un urbanisme remplace l'autre dans le département, observe Sylvie Suply : "il y a des créations de quartiers plus que de grands ensembles, avec des immeubles moins hauts, beaucoup de services de proximité comme des petits commerces, des crèches, des jardins aménagés pour les enfants".Pour les juges des expropriations en Seine-Saint-Denis, il reste toutefois encore du travail... "pour quelques décennies".
Il y a 3 ans et 55 jours

L’activité des matériaux résiste en janvier-février

Le conflit en Ukraine vient renforcer ces tendances, ajoutant d’un côté une dimension énergétique à la résurgence inflationniste déjà à l’œuvre depuis plusieurs mois et, de l’autre, un degré d’incertitude dans la confiance des agents économiques. Si l’activité s’est plutôt bien tenue pour les granulats et le BPE en janvier-février, les mois qui suivent seront décisifs pour jauger l’impact de ces nouveaux facteurs sur l’activité à venir. Pour l’heure, les carnets restent bien garnis sur le marché du logement et les conditions d’un réveil de la demande en travaux publics sont au rendez-vous. Mais la hausse sensible des coûts et des devis risque de peser négativement sur les arbitrages volume/valeur rendus par la clientèle privée et publique, même s’il est encore difficile à ce jour d’en doser l’ampleur.Février 2022 meilleur que 2021D’après les premiers résultats des enquêtes mensuelles, l’activité serait restée dynamique en février dans les matériaux de construction. Ainsi, la production de granulats aurait gagné +1,6% sur le mois de janvier, laissant son volume +7,2% au-dessus de son niveau de février 2021 (données CVS-CJO). Au cours des trois derniers mois, l’activité ressort en hausse de +3,8% par rapport aux trois mois précédents et progresse de +1,7% au regard de la même période d’il y a un an. Sur les deux premiers mois de l’année, la production de granulats s’inscrit en hausse de +3,5% sur un an et affiche +10,5% en cumul sur les douze derniers mois glissants (-1,1% en comparaison des douze mois de 2019-20).Côté BPE, les livraisons de février ont certes cédé -1,2% par rapport à janvier mais restent +6,9% au-dessus de celles de février 2021 (données CVS-CJO). Sur le dernier trimestre connu et comparé aux trois mois précédents, les cubages produits sont quasi stables (-0,4%) mais demeurent haussiers sur un an (+1,1%).Pour le premier bimestre de 2022, l’activité BPE gagne +4,1% par rapport à 2021 et le cumul sur douze mois laisse la tendance à +11,3% en glissement annuel (+0,6% par rapport aux douze mois précédents, juste avant l’arrivée de la crise sanitaire). Après une progression annuelle de +9% en 2021 et de +1,4% comparé à 2019 (données CJO), notre indicateur matériaux, encore provisoire sur 2022, afficherait aussi un bon début d’année avec une hausse de +4,7% sur un an pour le bimestre janvier-février.Bâtiment : des chefs d'entreprise plus inquietsLes effets des tensions sur l’offre et du renchérissement du prix des intrants sur l’activité semblent pour le moment assez maîtrisés même s’ils ont pu jouer, pour partie, sur le freinage du dernier trimestre. La dernière enquête menée en mars par l’INSEE auprès des professionnels du bâtiment confirme que le climat des affaires se maintient à haut niveau, ces derniers se montrant plus positifs sur leur activité passée que le mois précédent, mais un peu plus réservés sur l’activité des trois prochains mois.En effet, si les carnets de commandes affichent encore des niveaux élevés (9,7 mois dans le gros œuvre, soit quasiment 3,5 mois de plus qu’en moyenne sur longue période), l’incertitude économique ressentie par les professionnels a beaucoup augmenté en mars et le jugement qu’ils portent sur leurs carnets est devenu un peu moins favorable. Il faut sans doute y voir là les premiers effets du conflit ukrainien cumulés aux difficultés d’offre consécutives à la crise sanitaire. En mars, les tensions sur l’appareil productif continuent de s’intensifier (approvisionnement, personnel) et les capacités de production sont quasiment utilisées à leur maximum dans le gros œuvre (93,3% contre 88% sur longue période). Dans ce contexte de demande soutenue, d’offre contrainte et de hausse des coûts de production, les chefs d’entreprise du bâtiment sont de plus en plus nombreux à annoncer qu’ils augmenteront leurs prix au cours des prochains mois. Côté construction, les dernières données du ministère suggèrent que le secteur du non résidentiel reste à la peine avec des surfaces commencées et autorisées qui cèdent encore -3,8% et -11,9% respectivement sur les trois derniers mois à fin février, comparé à 2019.Côté logements, les mises en chantier se replient de -3,9% sur la même période. En revanche, les dépôts de permis affichent une forte hausse (+6,8%) grâce à la vigueur de l’individuel (+29,8%) liée à l’effet d’anticipation de la mise en place de la RE2020 en janvier 2022. Cet afflux des autorisations fin 2021 sera hélas suivi d’un ajustement baissier sur 2022, sans doute renforcé par des prix immobiliers toujours en hausse et par la montée des incertitudes économiques. Les chiffres du marché de la maison individuelle publiés par Markemétron le confirment avec une chute des ventes des constructeurs de -25% sur un an en janvier-février. Il est vrai que le contexte conjoncturel s’est assombri pour les ménages.D’ailleurs, l’enquête INSEE menée en mars traduit un plongeon de leur indicateur de confiance : l’inquiétude quant à leur situation personnelle future et leur capacité à épargner grandit, de même que leur crainte d’un rebond du chômage. C’est la traduction directe des conséquences de la guerre en Ukraine, avec un pouvoir d’achat rogné par la forte hausse des prix de l’énergie et de l’inflation en général ; ce cocktail peu propice aux projets d’investissements immobiliers pèsera sur la dynamique constructive de 2023. En attendant, les projets en cours devraient continuer d’alimenter l’activité en 2022 dans un contexte productif contraint et tendu par les coûts.Chiffres clés0% en 2022 : Une année suspendue aux effets de l'inflation sur la demande de travaux qui laissera au mieux les volumes de production de granulats et de BPE à leur niveau de 2021.TP : les volumes de travaux rognés par les coûtsSi le mois de janvier a connu un rebond de l’activité, février a plutôt marqué le pas avec un recul du volume des travaux réalisés de -3,1% sur un an (données CVS-CJO). En cumul depuis janvier, l’activité demeure légèrement haussière (+0,6% sur un an) si l’on raisonne à prix constants ; en valeur, en revanche, l’activité gagne +8,3% sur la même période, ce qui traduit l’ampleur de l’impact des hausses de coûts sur les travaux réalisés, de l’ordre de +7,7 points.Dans le même temps, les prises de commandes tardent encore à se raffermir, notamment du côté de la clientèle publique. Pourtant, les conditions d’un réveil des investissements des collectivités locales sont réunies : trésoreries saines, crédits du Plan de Relance en attente de déploiement, échéances électorales passées, besoins en infrastructures... Mais reste l’inconnu du partage volume/prix qui sera finalement arbitré par les clients du BTP face à des budgets de travaux dont les coûts ont bondi. En vertu de la théorie de l’imprévision, le gouvernement vient de se positionner en faveur d’une renégociation des prix des marchés publics, voire privés, déjà contractualisés. Si c’est une bonne nouvelle pour les entreprises qui ne supporteront pas seules les surcoûts, l’effet d’une révision à la baisse des volumes de travaux finalement réalisés semble inévitable.Perspectives 2022Dans ce contexte, la demande de BPE pourrait au mieux rester stable en 2022. En effet, les chantiers commencés et permis accordés en 2021 devraient se finaliser et se concrétiser en 2022, avec retards et surcoûts potentiels, les autorisations dans le segment de l’individuel étant traditionnellement peu sujettes à annulation. Côté granulats, l’ajustement de la demande de travaux face aux devis plus chers reste à ce jour incertain dans son ampleur ; la hausse de +1 % en volume initialement prévue apparaît en tout cas déjà compromise.
Il y a 3 ans et 55 jours

Kompozite récompensé au BIM World

Quelques jours seulement après avoir été lauréat du Grand Prix du Jury 2022 à EnerJmeeting, cette nouvelle distinction confirme tout le potentiel de l’application numérique développée par Kompozite afin d’accélérer la transition bas carbone en construction.Un pari réussi pour la start-up française, créée en 2020, qui participait pour la première fois au concours organisé par le Village Francophone en partenariat avec le BIM World et qui a pour vocation de promouvoir les jeunes pousses les plus novatrices.C’est à l’issue d’une première sélection sur dossier que Damien Cuny, co-fondateur de Kompozite, a auditionné - parmi 30 autres candidats - devant un jury composé de professionnels du bâtiment, de la communication et du financement en start-ups. 5 min pour présenter sa solution et les convaincre de la pertinence de cette plateforme inédite de traitement de données matériaux.Destinée aux architectes, bureaux d’études, maîtrises d’ouvrage, bailleurs, promoteurs et constructeurs, cet outil d’aide à la décision leur permet d’être soutenus dans leur choix de conception, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. Pour Damien Cuny, co-fondateur de Kompozite : « Les concepteurs du bâtiment peuvent choisir, en quelques clics, entre plusieurs systèmes constructifs et générer des solutions auxquelles ils n’auraient pas forcément pensé mais aussi construire de façon plus vertueuse en ayant accès à l’impact carbone de chaque matériau. »Au-delà du fait d’être une nouvelle preuve de reconnaissance et de confiance de la part des acteurs de la filière du bâtiment, l’attribution de ce prix donne à Kompozite la possibilité d’animer sa propre conférence pour l’édition 2023 du BIM World.Damien Cuny et Boris Gusarov, les deux fondateurs, peuvent savourer cette consécration qui vient à nouveau jalonner des débuts plus que prometteurs.
Il y a 3 ans et 55 jours

Des produits et formations Würth éligibles à la subvention Top BTP

La subvention TOP BTP vise justement à venir en aide financièrement aux professionnels du bâtiment et travaux publics pour être en conformité avec la règlementation.Würth accompagne ses clients dans la sécurité au travailDepuis 2011, Würth France s’est engagé dans une démarche de santé et de sécurité au travail et a obtenu la certification ISO 45001 en 2018. Au travers de cet engagement, Würth France propose des produits de qualité et des formations préventives répondant aux critères d’éligibilité de la subvention TOP BTP.Qu’est-ce que la subvention TOP BTP ?Les Subventions Prévention aident au financement d’équipements, de conseils et de formations pour améliorer la prévention des risques professionnels dans les TPE et PME de moins de 50 salariés. Cette aide financière proposée par l’Assurance Maladie est versée par les caisses régionales (Carsat, Cramif ou CGSS). Elle a pour but de : Prévenir des risques de chutes de hauteur et de plain-pied sur les zones fréquemment circulées. Renforcer la prévention du risque chimique et des TMS par l’amélioration des conditions, d’hygiène et l’organisation sur les chantiers. Prévenir les risques de TMS liées aux vibrations.Prévenir les risques d’ensevelissement.Faire monter en compétences les professionnels. Qui est éligible ?Sont éligibles toutes les entreprises de 1 à 49 salariés dépendant du régime général des secteurs suivants : Les entreprises effectuant des opérations de bâtiment et de travaux publics dans les secteurs d’activité du CTN B*.Les constructeurs de Maisons Individuelles du n° de risque 70.3 AD Promotion, vente, location ou administration de biens immobiliers du CTN G. * Sont exclus :45.5ZB : Entretien, réparation, location et montage de matériel pour le bâtiment et les travaux publics.75.3CA : Allocations complémentaires aux indemnités journalières de sécurité sociale versées soit par des organismes de prévoyance soit par des employeurs : activités de bâtiment (gros œuvre) et travaux publics.75.3CB : Allocations complémentaires aux indemnités journalières de sécurité sociale versées soit par des organismes de prévoyance soit par des employeurs : autres activités.91.1AA : Caisses de congés payés du bâtiment et des travaux publics (en ce qui concerne les indemnités versées par ces organismes). Afin de bénéficier de cette subvention, les entreprises concernées doivent respecter plusieurs critères consultables sur le site de l’Assurance Maladie. Le budget des subventions Prévention TPE étant limité, une règle privilégiant les demandes de réservations selon l’ordre chronologique d’arrivée est appliquée. Comment l’aide est-elle calculée ?Les entreprises pourront bénéficier d’une subvention de : 50% du montant H.T. des sommes engagées pour acquérir le matériel hors échafaudages, 70% du montant H.T. des sommes engagées pour les formations, 25% du montant H.T. des sommes engagées pour les échafaudages MDS (y compris options 1 et 2). Le montant de la subvention ne peut être inférieur à 1 000 €. Il est possible de faire plusieurs demandes pour une même Subvention Prévention dans la limite du plafond de 25 000 € par entreprise. Les produits Würth éligibles 1. Les produits de prévention des risques de chutes de hauteur sur les zones fréquemment circuléesPlate-forme individuelle roulante légère PIRL Art. N° 0962 975 084 Harnais Confort Plus Art. N° 0899 032 959 2. Les produits de prévention des chutes de plain-pied sur les zones fréquemment circuléesChaussure de sécurité basse S3 Flex Running Art. N° 5357 038 360 à 5357 038 470 Bâche antidérapante Griptec Art. N° 0818 050 153 / Art. N° 0818 050 154 / Art. N° 0818 050 151 3. Les produits de prévention du risque chimique Masque partiel HM 175 Art. N° 0899 175 000 Botte Dunlop Devon S5 SRA VERT Art. N° M423 001 036 à 047 Dispositif de pulvérisation 500 ml Art. N° 0891 502 002/003 4. Les produits de prévention des TMS Paire de genouillères EN 14404 Art. N° 0899 030 10 Marteau perforateur BMH 32-XE Art. N° 0702 543 2 Gants Tigerflex Plus Art. N° 0899 411 016 à 021 Les formations préventives éligibles Les chutes de hauteur figurent parmi les premières causes d’accidents du travail. Le Würth Training Center propose des formations sur le travail en hauteur. Plus d’informations à cette adresse.
Il y a 3 ans et 55 jours

Milliken signe le projet d'aménagement des bureaux de Pega

Pega a confié à Tétris, spécialiste de la conception et de la construction, le soin de créer un nouvel environnement de travail qui répondrait à leurs besoins, tout en reflétant l'identité et les valeurs de l'entreprise.Approche designPour ses bureaux unifiés, le client souhaitait disposer d’un espace qui favoriserait le travail collaboratif entre ses employés. Tétris a répondu au cahier des charges en proposant une variété d'environnements différents qui facilitent désormais les interactions professionnelles quotidiennes. Parmi ceux-ci figurent un café, des zones de réunion informelles, une salle de conférence high-tech, des bureaux partagés et des espaces pour le brainstorming créatif. Deux collections de moquettes modulaires Milliken ont été sélectionnées pour habiller certaines des principales zones fonctionnelles du bâtiment.En entrant dans les bureaux de Pega, le visiteur est accueilli dans un espace aux couleurs vives par Dissident 2.0, la moquette modulaire texturée de luxe à poils bouclés de Milliken. Le motif aléatoire est décliné dans les tons bleus clairs d'Oppidan et comprend des dalles Dissident Transition, plus loin dans la zone d'entrée, qui invitent à passer aux bleus plus sombres et plus profonds d'Overground. Dans cette zone de réunion adjacente et décontractée, le mobilier s’intègre parfaitement au revêtement de sol Dissident d'un bleu vif, inspirant un sentiment de confort et de bien-être.Pour le vaste espace de travail ouvert, les dalles Woven Colour de la collection Crafted Series de Milliken s'enfoncent profondément dans l'espace en un triangle géant aux tons dorés d'Antique. Celui-ci accueille une luxueuse zone de réunion. Le revêtement de sol s'harmonise parfaitement avec les chaises hautes et les écrans muraux jaune soleil, créant ainsi un espace lumineux engageant.Plus loin dans le bureau, une autre zone de réunion informelle est délimitée par une courbe prononcée de Woven Colour en orange vif. Le mobilier et l'écran coordonnés font de cette zone de collaboration un endroit parfaitement conçu pour stimuler l'esprit et favoriser la pensée créative et le brainstorming.Pour la salle de conférence moderne de Pega, Woven Colour a également été choisi comme revêtement de sol, cette fois en Indigo, coordonné avec les revêtements muraux bleus et renforçant l'identité de marque de l'entreprise. Les textures de Woven Colour contrastent efficacement avec le système de bureaux de conférence lisse, épuré et à la pointe de la technologie.Crafted Series est une moquette tuftée, texturée et bouclée, inspirée par la nostalgie des matières faites à la main, associée à la puissance et aux performances de la technologie textile moderne d’impression spécifique à Milliken. En choisissant un mélange audacieux de couleurs, le motif constitue un excellent moyen de délimiter les zones fonctionnelles clés de l'espace de travail de Pega en utilisant à la fois la texture et la teinte.Performances acoustiquesLes deux modèles de moquettes choisis pour l'aménagement intérieur des bureaux Pega bénéficient d’une sous couche acoustique spécifique à Milliken. La moquette Dissident 2.0 est équipée de Comfort Plus, son dossier haut de gamme qui, dans ce grand bureau ouvert, joue un rôle crucial dans la gestion de l'acoustique. Avec des performances d'absorption du son allant jusqu'à 33 dB, ce revêtement réduit considérablement le bruit ambiant provenant des équipements de bureau et des collaborateurs qui parlent et se déplacent dans l'espace. Pour les différents espaces de travail de Pega, cela contribue de manière importante au bien-être des employés en améliorant la concentration et la productivité, tout en offrant un confort luxueux sous les pieds et en réduisant la fatigue musculaire des jambes.Les performances acoustiques de Dissident se retrouvent dans le couloir vitré, flanqué de salles de réunion de chaque côté. Le bleu clair d'Oppidan a été installé dans ces salles de réunion et s'harmonise parfaitement avec les tissus des sièges.Design durableComme tous les produits Milliken, Crafted Series et Dissident 2.0 ont de solides références en matière de durabilité. Les deux modèles sont certifiés GuT, TUV et Green Label Plus pour la qualité de l'air intérieur. Ils sont vérifiés EPD et certifiés BRE. Crafted Series, comme toutes les gammes de revêtement de sol de la marque, est une collection modulaire neutre en carbone.Client : Pegasystems Localisation : Paris, France Agence de design d’intérieur : Tétris Design & Build Dalles : Dissident 2.0, Crafted Series Superficie : 900 m2
Il y a 3 ans et 58 jours

L’innovation au cœur du Carrefour International du Bois

Le Carrefour International du Bois, qui aura lieu du 1er au 3 juin 2022 au Parc des Expositions de Nantes, fera la part belle à l’innovation au sein d’un espace dédié pour la deuxième édition consécutive. Situé dans le hall 1, l’espace innovation présentera les avancées de la filière sur les sujets de R&D ainsi que sur les nouveautés en matière de produits et de services. L’Afpia Solfi2A, Bois HD et Xylofutur, acteurs du secteur, animeront ce plateau dédié à l’échange et aux découvertes. Pour cette édition 2022, la Wood Tech, premier réseau de start-up de la filière forêt bois, rejoint les rangs et sera accompagnée par 4 de ses adhérents sur un stand : « Après un peu plus d’une année d’existence, notre regroupement compte aujourd’hui 29 jeunes structures innovantes qui évoluent dans le domaine du digital pour faciliter les interventions en forêt ou améliorer la connaissance des essences. Certaines de ces start-up travaillent aussi dans la création de plateformes pour la mise en relation directe des professionnels du bois avec les particuliers ou encore dans des applications plus orientées « produits » comme des écrans tactiles en bois ou bien un emballage alimentaire réutilisable et composé uniquement de fibres végétales », explique François VULSER, responsable de la Wood Tech. Après 4 ans d’absence dus à la pandémie de COVID-19, la seizième édition du Carrefour International du Bois est vivement attendue par l’ensemble de la filière. Salon leader, il est dédié aux professionnels et aux produits bois sous toutes ses formes. Il rassemble sur 3 jours 563 exposants et plus de 11 500 visiteurs venus de 85 pays différents.
Il y a 3 ans et 58 jours

Nouveau Mastère Spécialisé : « Médiation territoriale, RSE – Filières forêt-bois »

Bordeaux Sciences Agro et l’ESB lancent un nouveau Mastère Spécialisé : « Médiation territoriale, RSE – Filières forêt-bois », ce nouveau Mastère spécialisé, co-délivré par l’ESB et Bordeaux Sciences Agro répond à trois objectifs : placer la connaissance scientifique comme socle des débats relatifs aux enjeux forêt-bois, actuels et futurs ; instaurer un dialogue territorial pour co-développer la place des forêts et de leurs fonctions dans la société ; valoriser les dispositifs RSE et RSO (responsabilité sociétale des entreprises/organisations comme moyen de mise en œuvre de la transition des territoires forestiers. Après avoir obtenu leur diplôme, les apprenants pourront mettre à profit leurs compétences pour toutes les entreprises du secteur forêt-bois mais aussi pour le compte d’institutions, d’organismes et d’institutions privées comme publics telles que des collectivités territoriales, coopératives forestières, associations de protection de l’environnement, ONG. Ce Mastère Spécialisé, accrédité par la conférence des grandes écoles, s’échelonne sur 12 mois et intègre une période de stage en entreprise d’une durée de 20 semaines. Pour postuler à cette formation, les candidats doivent être titulaires d’un diplôme de niveau bac + 5 ou d’un bac + 4 avec 3 années d’expérience professionnelle. Le dépôt des candidatures se fait sur le site de l’ESB avant le 30 juin 2022. Photo : TP reconnaissance des essences © ESB – Hadrien Brunner  
Il y a 3 ans et 59 jours

Simplification de l'éco-PTZ et déploiement du prêt avance rénovation pour financer le reste à charge

Afin de contribuer à la massification des travaux de rénovation globale, la loi de finances pour 2022 a amélioré les caractéristiques de l’éco-PTZ "performance énergétique globale". Les travaux engagés par ailleurs pour simplifier le parcours client de demande d’un éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ) se poursuivent, dans l’objectif d’aboutir au dernier trimestre. Enfin le prêt avance rénovation (PAR), opérationnel depuis mi-février, vient compléter les aides et instruments de financement existants à destination des ménages qui éprouvent le plus de difficultés d’accès au crédit bancaire classique.Simplification de la demande d’un éco-PTZDans le prolongement des dispositions prises en loi de finances pour 2022, les ministères du logement et de l’économie, des finances et de la relance, le secteur bancaire, l'Anah et la Société de gestion des financements et de la garantie de l’accession sociale à la propriété (SGFGAS) poursuivent également leurs travaux pour simplifier le parcours de demande d'un éco-PTZ à l'horizon du dernier trimestre 2022.Les évolutions prévues permettront aux ménages souhaitant réaliser des travaux de rénovation énergétique éligibles à une aide MaPrimeRénov’ de bénéficier beaucoup plus simplement d’un éco-PTZ pour financer leur reste à charge. À ce jour, le demandeur d’un éco-PTZ doit fournir plusieurs pièces justificatives à sa banque (formulaires signés par les entreprises réalisant les travaux, factures et devis) identiques à celles contrôlées par l’Anah pour l’octroi de MaPrimeRénov’. Le nouveau processus d’instruction permettra de mutualiser ces vérifications, au bénéfice d’un allègement du dossier à transmettre par le demandeur à sa banque.Ce dispositif s’inscrit dans la volonté du Gouvernement de massification de la rénovation énergétique en facilitant le financement du reste à charge des ménages. Plusieurs banques travaillent pour la distribution de ce produit : le Crédit Agricole, La Banque Postale, les Banques Populaires, les Caisses d’Epargne, le Crédit Mutuel et le CIC.Le prêt avance rénovationLa loi Climat et Résilience a créé les conditions de déploiement d’un dispositif complémentaire des aides existantes pour financer le reste à charge de travaux de rénovation énergétique réalisés par des professionnels reconnus garants de l’environnement, pour des logements occupés à titre de résidence principale. Distribué sous le nom de "prêt avance rénovation", ce prêt permet de différer le remboursement du capital emprunté à la mutation, c’est-à-dire lors de la vente du logement ou dans le cadre d’une succession.Ce prêt est destiné prioritairement aux publics qui ne pourraient pas emprunter dans des conditions classiques, notamment les personnes âgées et les ménages aux revenus modestes et très modestes. Par ailleurs, pour favoriser le déploiement du dispositif et accompagner la massification des travaux de rénovation énergétique, la loi Climat et résilience permet au fonds de garantie pour la rénovation énergétique (FGRE) de couvrir jusqu’à 75 % du risque de pertes globales du crédit accordé aux ménages sous condition de ressources.Suite à la publication des derniers textes réglementaires nécessaires, le « prêt avance rénovation » est complètement opérationnel depuis février. Trois banques, La Banque Postale, le Crédit Mutuel et le CIC, ont d’ores et déjà commencé son déploiement dans leurs réseaux. Le Crédit Agricole, les Banques Populaires et les Caisses d’Epargne travaillent également pour la distribution de ce produit dans les prochains mois.
Il y a 3 ans et 59 jours

Crise des matériaux : les architectes en difficulté, le Cnoa appelle au dialogue

CONJONCTURE. Pénuries et hausses de matières premières se prolongent, au point d'inquiéter l'Ordre des architectes. Ce dernier a commandé une note de conjoncture qui fait le point sur la situation des professionnels face à cette crise inédite.
Il y a 3 ans et 60 jours

Claude Le Quéré, nouvelle présidente de l’AFGC

Claude Le Quéré, nouvelle présidente de l’AFGC. [©AFGC] Le 5 avril dernier, le conseil d’administration de l’AFGC a nommé Claude Le Quéré à la présidence de l’association. Ainsi, elle succède à Bruno Godart, en poste depuis 8 ans, qui a souhaité passer le relai. Avec ses nouvelles fonctions, Claude Le Quéré souhaite faire valoir les compétences des ingénieurs et des constructeurs français au niveau international. Ella a aussi pour ambition d’accroître la visibilité de l’AFGC auprès des jeunes. « Passionnée de génie civil et de belles structures, je regrette que le grand public et nos jeunes connaissent aussi peu la beauté de cet art et la variété des métiers qu’il permet d’exercer », témoigne Claude Le Quéré. Par ailleurs, l’AFGC a su traverser la crise et garder son ancrage territorial. Ainsi, rester proche des délégations régionales lui permet d’organiser chaque année de nombreuses manifestations. Cela contribue à créer une relation durable avec les membres et à nouer des contacts professionnels pérennes. Son parcours Ancienne élève de l’Ecole polytechnique et de l’Ecole des ponts et chaussées, Claude Le Quéré a commencé sa carrière, en 2006, au Setra (aujourd’hui, le Cerema). Elle a ensuite rejoint Egis en 2010 où elle est actuellement directrice des ouvrages d’art. Membre de l’AFGC depuis le début de sa carrière, Claude Le Quéré a été tout d’abord élue au Conseil scientifique et technique. Puis, membre d’un groupe de travail, de la Délégation Ile-de-France. Et enfin, au conseil d’administration.
Il y a 3 ans et 60 jours

L’académie Testo obtient la certification QUALIOPI

Créée en 2006, et reconnue par les professionnels pour la pertinence de ses formations en thermographie infrarouge, prise de mesure, analyse de combustion…, l’Académie Testo vient d’obtenir la certification QUALIOPI par ICPF. Elle atteste de la qualité des prestations proposées par l’entreprise, leader des appareils de mesure, et permet aux stagiaires de bénéficier de la prise en charge de leur formation par les OPCO (Opérateurs de Compétences). L’Académie Testo : des formations techniques certifiantes La mesure en combustion, l’aéraulique et la thermographique sont des spécialités qui nécessitent un savoir-faire pour optimiser l’utilisation des appareils de mesure. Basé à Forbach, le centre de formation L’Académie Testo est destiné aux professionnels (bureaux d’études, installateurs chauffagistes et frigoristes, techniciens de maintenance, exploitants, …) souhaitant acquérir des compétences techniques nouvelles dans ces domaines. Alliant théorie et pratique, les sessions intra-entreprises, d’une durée d’un jour, sont structurées et organisées par spécialités : • Thermographie infrarouge appliquée au bâtiment, • Thermographie infrarouge appliquée à l’industrie, • Analyse de combustion afin d’acquérir les protocoles de prises de mesure et analyser les résultats, • Mesure aéraulique, • Mesure d’émission pour comprendre le fonctionnement d’un analyseur de combustion, • Minimiser le risque de propagation de la COVID. Les professionnels peuvent découvrir l’ensemble des offres de formation de l’Académie Testo sur le site https://www.testo.com/
Il y a 3 ans et 60 jours

De nombreux jeunes architectes partent travailler à l'étranger, selon l'Insa Strasbourg

TRAVAIL. L'école d'architecture Insa Starsbourg a interrogé, comme tous les cinq ans, ses anciens étudiants sur leur vie professionnelle. Le parcours des diplômés de ces dernières promotions laisse apparaître une évolution du métier. A peine plus de la moitié sont en CDI.
Il y a 3 ans et 60 jours

L’artisanat du bâtiment en danger selon une enquête de la CAPEB en région

C’est le triste constat qui résulte de l’enquête flash conduite par les CAPEB d’Auvergne-Rhône-Alpes auprès de leurs adhérents et c’est pourquoi la CAPEB est plus que jamais mobilisée pour demander des solutions d’urgence concrètes pour sauver l’artisanat.Des remontées inquiétantes du terrainLes entreprises artisanales du Bâtiment sont confrontées depuis la crise sanitaire à des augmentations de prix ininterrompues et imprévisibles et se heurtent à des difficultés d’approvisionnement depuis un an et demi et qui s’aggravent. S’y est ajoutée la hausse des prix de l’énergie depuis la fin 2021 qui s’accentue considérablement avec la guerre en Ukraine. Désormais, un certain nombre d’enseignes et d’industriels se refusent à s’engager sur les prix et les délais de livraison. Une situation brutale et particulièrement anxiogène pour les entreprises artisanales du Bâtiment qui se vérifient dans leurs réponses à l’enquête flash qu’ont conduite les CAPEB départementales auprès de leurs adhérents. C’est particulièrement le cas pour les plus petites entreprises :31% des entreprises ne pourront pas faire face aux difficultés engendrées par le contexte économique et géopolitique au-delà d’un an.18% seulement des entreprises sans salariés et 17% des entreprises entre 1 et 5 salariés pensent pouvoir résister 2 ans et plus.56% des artisans voient leur moral impacté contre 27% des entreprises de plus de 20 salariés.Des mesures insuffisantes du gouvernement – Les solutions de la CAPEBLe Ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, s’était engagé à intégrer le Bâtiment dans le plan de résilience du gouvernement. La CAPEB a pu constater que ce n’était pas le cas.Même si certaines mesures vont dans le bon sens, comme appeler une nouvelle fois les acheteurs publics à faire jouer la clause de l’imprévisibilité dans les contrats et à ne pas appliquer les pénalités de retard pour un chantier du fait de difficultés d’approvisionnement liées à la guerre en Ukraine, elles sont loin d’être suffisantes.En effet, les marchés publics ne représentent que 17 % des marchés des entreprises artisanales et faire jouer la clause d’imprévisibilité est tout sauf simple. Enfin, aucune disposition n’est prévue pour les marchés signés avec les particuliers qui représentent l’essentiel des marchés des entreprises artisanales du bâtiment.La CAPEB propose 8 mesures très concrètesVeiller à ce que les industriels et les négoces ou distributeurs participent activement au comité de crise du BTP mis en place par le gouvernement, intègrent dans leurs prix le juste coût de la décarbonation et assument les risques d’augmentation des prix avec la filière dans le cadre d’une charte de solidarité ;Exiger des fournisseurs qu’ils préviennent au moins 3 mois à l’avance les entreprises du Bâtiment de toute augmentation des prix et qu’ils garantissent leur stabilité durant au minimum trois mois. En effet, les tendances pratiquées actuellement imposent parfois un paiement au comptant et des validités des prix de 24h ou 48h alors que le délai de rétractation des clients est de 14 jours ;Rembourser, comme pour le secteur agricole et le secteur des Travaux Publics, une partie de la TICPE pour les carburants utilisés pour des véhicules professionnels ;Imposer aux banques et aux assureurs crédits qu’ils ne dégradent pas la cotation des entreprises dès lors qu’elles décident de reporter le remboursement de leur PGE ;Accélérer la refonte du calcul des différents index BT et leurs publications dans des délais rapides au regard de la crise actuelle ;Appliquer une TVA à taux réduit de 5,5% pour l’ensemble des travaux de rénovation ;Marchés publics. Rendre enfin systématique, au profit des entreprises, l’application de pénalités en cas de retard de paiement du maître d’ouvrage ;Mettre en place un mécanisme de bouclier tarifaire du coût de l’énergie aux niveaux européen et français pour disposer d’une production industrielle à prix maîtrisé et permettre la continuité des politiques publiques de rénovation énergétique et environnementale, directement menacées par la flambée des coûts des matériaux. Quelques-unes de ces propositions ont d’ores et déjà été entendues. Ainsi, le communiqué de presse du ministère de l’Economie du 29 mars prévoit notamment la révision accélérée des index à partir de mai 2022, la mise en place d’une aide temporaire pour les entreprises de TP, l’organisation d’un comité de crise BTP départemental et la publication d’une circulaire aux maîtres d’ouvrage publics sur la révision des prix.Ces mesures restent cependant insuffisantes au regard de la situation et la CAPEB poursuit donc sa mobilisation.La CAPEB mobiliséePartout en France, les CAPEB départementales et régionales sollicitent leur préfet pour qu’il organise une table ronde avec l’ensemble des acteurs du Bâtiment, industriels et négociants, afin de rechercher les termes d’une « solidarité économique » permettant de limiter les hausses de prix et d’éliminer les comportements anormaux. Des rendez-vous sont également pris avec leurs députés et sénateurs.De nombreuses communications auprès des médias (presse, radio et TV) sont également organisées aussi bien au niveau national que dans les départements. C’est particulièrement le cas dans notre région.La mobilisation de la CAPEB commence à porter ses fruits. L’enseigne de distribution Saint-Gobain s’est récemment engagée par écrit auprès du Président national de la CAPEB pour encadrer la hausse des prix avec des propositions concrètes comme celle de l’autoriser seulement le premier de chaque mois. A destination des entreprises, les CAPEB départementales leur apporte tout l’accompagnement et le soutien dont elles ont besoin au quotidien. Une fiche pratique a été élaborée à cet effet pour les aider à mieux résister à la crise.Pour Dominique Guiseppin, Chef d’entreprise artisanale de peinture (Savoie), Président de la CAPEB Auvergne-Rhône-Alpes : « La situation est particulièrement inquiétante pour nos entreprises, c’est leur rentabilité et à terme la pérennité de l’artisanat qui est en jeu. Si l’activité ne manque pas pour l’instant, nous souffrons d’un manque de lisibilité sur nos approvisionnements qui ralentit considérablement nos chantiers et perturbe grandement leur organisation, sans compter l’augmentation des coûts qui a un impact très lourd sur nos marges. L’enquête flash que nous avons conduite avec les CAPEB départementales le montre bien, seulement 18 % des entreprises artisanales répercutent la hausse des prix sur leurs clients.À l’heure des élections présidentielle et législatives, il est grand temps que nos dirigeants entendent enfin la voix des entreprises artisanales et leur proposent des mesures adaptées. »
Il y a 3 ans et 60 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Alors que le secteur du bâtiment est grand consommateur de matières premières et d’énergie et à l’heure de sa décarbonation imposée par la RE2020, la fibre de bois, matériau renouvelable, est plébiscitée par les professionnels pour les chantiers d’isolation éco-responsables. Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacité     Les nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation. Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments. USYSTEM Roof OS Comfort Natural Usystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond. Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, … Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été ! L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs. USYSTEM Roof DS Natural Wool Panneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment. Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout. Des finitions intérieures pour tous les goûts Pour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète : • jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables, • 2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White et Deco Beige), • 4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique. Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov’. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité. http://www.unilininsulation.fr/
Il y a 3 ans et 60 jours

Présidentielle : l'U2P salue le bilan de Macron et s'inquiète du programme de Le Pen

"À l'heure du choix, on ne pourra omettre l'importance et la pertinence des mesures prises sous le quinquennat d'Emmanuel Macron pour accompagner les entreprises dans la crise sanitaire", affirme dans un communiqué la troisième organisation patronale représentative, citant notamment les mesures d'urgence comme les prêts garantis par l'Etat (PGE) et le fonds de solidarité.Elle salue également le plan pour les indépendants adopté par la majorité en place, qui a notamment élargi la protection du patrimoine personnel du chef d'entreprise en cas de défaillance.Pour la candidate du Rassemblement national, l'U2P, qui rassemble 3 millions d'adhérents, salue "la place accordée (...) aux plus petites entreprises dans son programme". Mais elle prévient : "il y a lieu de s'inquiéter quant au sérieux budgétaire" de son programme "et des risques encourus par l'économie française".L'organisation appelle surtout ses adhérents à "faire valoir leurs priorités de chefs d'entreprise" dans leur vote du 24 avril, et a demandé en ce sens aux deux candidats de "préciser leurs engagements en direction des petites entreprises".Au moment où le président-candidat entend relancer une réforme des retraites, il doit exprimer "une position claire quand à sa reconnaissance du rôle des partenaires sociaux et de la démocratie sociale", estime notamment l'U2P.L'organisation patronale souhaite en particulier que les petites entreprises soient mieux représentées dans les branches professionnelles, via une réforme du calcul de cette représentativité, et la poursuite du soutien à l'apprentissage.
Il y a 3 ans et 60 jours

Isocoton, le nouvel isolant thermique et acoustique d’Isover, tout doux et biosourcé destiné à l’ITI

Isover a présenté le 7 avril 2022, son nouvel isolant biosourcé Isocoton. Il sera commercialisé dès le 18 avril dans la distribution professionnelle et en GSB, en panneaux souples et semi-rigides.
Il y a 3 ans et 60 jours

L’ÉCLAIRAGE LED INTELLIGENT D’EAS SOLUTIONS ENCORE PLUS RENTABLE FACE A LA FLAMBÉE DES PRIX DE L’ÉLECTRICITÉ !

Avec la flambée des prix de l’électricité, il est crucial pour les entreprises de baisser drastiquement leur consommation d’énergie. La rénovation d’un ancien éclairage énergivore par de nouvelles solutions d’éclairage LED intelligent est un moyen sûr, rapide et efficace d’y parvenir. Instantanément, l’éclairage LED connecté permet d’économiser entre 75 et 95 % sur les dépenses énergétiques et apporte une meilleure efficacité lumineuse ainsi qu’un confort visuel accru. Comme l’explique Didier Petit-Brisson, CEO d’EAS SOLUTIONS, « l’éclairage représente la solution la plus directe à mettre en place pour économiser immédiatement l’énergie. Concernant l’industrie et la logistique par exemple, c’est l’un des seuls postes dont l’optimisation n’a pas d’incidences sur la fabrication et le stockage. Chaque luminaire LED est entièrement paramétrable et modifiable une fois installé. Doté d’intelligence embarquée avec des capteurs de mouvements et de luminosité, il éclaire à bon escient, uniquement où cela est nécessaire. Si un luminaire fonctionne 90% du temps à 10% de sa puissance, on arrive à une consommation extrêmement basse, de l’ordre de 5W à 15W par luminaire ». Les possibilités sont infinies. L’éclairage intelligent contribue à augmenter l’efficacité, la productivité et la sécurité du site, sans oublier le bien-être de ses occupants en asservissant la solution à la lumière naturelle. Il prolonge également la durée de vie du luminaire à plus de 200.000 heures, permettant à EAS Solutions d’offrir des garanties commerciales allant de 5 à 10 ans. Depuis 13 ans, EAS SOLUTIONS a déjà permis à plus de 1000 clients d’économiser 395 millions de kWh et d’éviter le rejet dans l’atmosphère de 141 410 tonnes de C02. L’OFFRE LOCATIVE, UNE SOLUTION ADAPTÉE :  Face à la hausse du prix du kWh, EAS SOLUTIONS propose de « dématérialiser » l’éclairage avec des solutions locatives innovantes d’éclairage LED intelligent. L’offre locative jusqu’à 60 mois « Solution Lumière Nouvelle Génération » d’EAS SOLUTIONS porte majoritairement sur des solutions d’éclairage garanties 10 ans avec des durées de vie de plus 200.000 heures. Pour l’entreprise, les avantages sont immédiats comme le démontre l’étude de cas ci-dessous : Relamping d’un entrepôt logistique d’une superficie de 45 000 m2 avec l’offre locative 60 mois d’EAS SOLUTIONS : L’entrepôt logistique est en activité 6 jours par semaine et 24h/24, toute l’année. Initialement, il était équipé de 542 luminaires Sodium 460 W y compris le Ballast (soit une puissance totale de 249,32 kW) qui nécessitaient une maintenance dont le coût était de 6.500 € H.T /an. Le relamping de l’entrepôt qui améliore considérablement la qualité de l’éclairage, comprend 542 luminaires LED intelligents 147 W dont le coût total s’élève à 287.000 € H.T. L’installation de la nouvelle solution d’éclairage LED intelligent avec capteurs de présence et de luminosité, génère instantanément de très importantes économies qui se traduisent par : –             une diminution de la facture d’électricité de 270.345 €/an, en se basant sur un prix du kWh de 0,15 €, soit une économie de 22.529 € H.T/mois. –             la suppression de la maintenance annuelle de 6.500 € H.T /an. Avec l’offre locative sur 60 mois « Solution Lumière Nouvelle Génération » d’EAS SOLUTIONS, les mensualités du relamping s’élèvent à 5.370,73 € H.T, entraînant une économie nette de 17.158, 27€ H.T/mois sur la consommation et de 542 € H.T/mois sur la maintenance. EAS Solutions donne la possibilité pour une mensualité supplémentaire à la fin du contrat de location de devenir propriétaire de l’installation qui est encore garantie 5 ans. Sur 5 ans, l’économie globale réalisée s’élève à 1.056.655 € H.T et, sur 10 ans, l’économie globale réalisée (économies d’énergie et de maintenance) atteint 2.440.880 € H.T. Sans l’offre locative, l’investissement de cette nouvelle installation serait amorti en 13 mois.   A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 3 ans et 60 jours

NOUVEAU VITRIFICATEUR INVISIBLE VX302i Cecil Professionnel : La protection qui préserve la beauté naturelle des parquets

Le vitrificateur est de très loin l’une des finitions les plus utilisées pour assurer au parquet une protection durable et esthétique contre les taches, les salissures et les agressions. De plus, il offre une très grande résistance au trafic, aux chocs, aux rayures et à l’abrasion. Ces dernières années, le parquet aspect bois brut a le vent en poupe. À la fois moderne et intemporel, authentique et chic, il s’adapte à tous les aménagements intérieurs et contribue à offrir une ambiance cosy et chaleureuse aux pièces à vivre. Pour répondre aux attentes des utilisateurs qui souhaitent protéger leur parquet, sans le réchauffer ni le jaunir, Cecil Professionnel retravaille sa gamme avec une nouvelle référence, le vitrificateur VX302i. Innovante, sa formulation haute performance valorise les bois bruts et apporte au parquet une protection parfaitement invisible ! Conçu et fabriqué en France, le nouveau vitrificateur VX302i, mis au point par le service Recherche & Développement, allie haute technicité et confort d’utilisation tout en conservant l’aspect brut du parquet et le toucher bois. Ce nouveau vitrificateur répond totalement à la tendance du marché qui est de conserver la beauté naturelle des parquets. Une finition « effet bois brut » bluffante Le nouveau vitrificateur invisible VX302i Cecil Professionnel protège le parquet, tout en préservant la beauté naturelle du bois. Il offre un beau rendu pour les intérieurs tendance et contemporains en gardant un aspect brut invisible, sans jaunir ou réchauffer le bois ce qui est généralement le cas d’un vitrificateur classique incolore lors de l’application. Compatible avec toutes les essences de bois (sauf les bois foncés ou exotiques), il s’applique  sur tous les supports bois intérieurs (parquets, boiseries, plinthes…) neufs ou anciens et est idéal pour les chambres et les pièces à vivre. Haute performance, sa formulation en phase aqueuse lui permet d’être aussi résistant aux chocs qu’un vitrificateur polyuréthane. Elle offre une finition durable avec une excellente résistance aux chocs, aux taches, à l’abrasion et aux rayures. Son aspect mat profond ne réchauffe pas le bois. L’effet invisible sur les chênes et les essences claires est bluffant et son toucher brut est très agréable. Classé A+ et disposant de fiche FDES, le vitrificateur VX302i est d’un grand confort d’utilisation. Monocomposant, il est prêt à l’emploi et sèche très rapidement, ce qui permet une application de 2 à 3 couches en une journée.
Il y a 3 ans et 60 jours

Le Groupement Actibaie prévoit une activité soutenue pour les filières stores, volets, portes et portails en 2022

Pour maintenir cette croissance, le Groupement Actibaie fait le point sur les chantiers majeurs pour 2022 : emplois, approvisionnement en matières premières et composants électroniques, économie circulaire et RE2020.2021, une année recordPour les filières représentées par le Groupement Actibaie, l’année 2021 aura été une année de croissance, plus élevée que la moyenne du secteur du bâtiment, qui malgré une hausse d’activité de 12,2 %, n’a pas encore retrouvé son niveau d’avant crise.Pour Hervé Lamy, délégué général du Groupement Actibaie : « Les carnets de commandes sont pleins et ce malgré les problématiques conjoncturelles, qui ont pourtant augmenté les tarifs comme les délais de livraison. Cette accélération est une conséquence directe de l’explosion de la demande en rénovation : suite aux confinements successifs, les Français ont désiré améliorer leur habitat. Une dynamique que l’on retrouve également dans la construction neuve. »Attirer de nouveaux talents par la formationPour les différentes filières, la hausse d’activité s’est accompagnée de recrutements sur 2021 : un exercice qui s’avère encore problématique sur certains métiers. En 2022, la FFB projette des besoins sur 25 000 postes. Pour adresser ce manque de main-d’œuvre, le Groupement Actibaie investit dans la formation initiale et continue, qui s’adresse à tous, notamment aux personnes en reconversion ou éloigné de l’emploi. C’est le cas de la formation Installateurs de stores et volets, lancé en janvier dernier.« Il s’agit d’un contrat de professionnalisation d’un an en alternance organisé en partenariat avec le GIEQ Ile de France (Groupement d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification). Ce type de formation permet aux entreprises partenaires de former en alternance à leurs méthodes de nouveaux profils, avec une embauche à la clé pour l’alternant. » précise le délégué général. A la fin de la formation, les stagiaires passent un examen pour obtenir un CQP « Installateur de stores et volets ».Limiter la hausse des prix et les délais d’approvisionnementGrâce à la dynamique de l’individuel, la FFB prévoit une hausse du logement neuf, les permis de vente ayant progressé entre 2019 et 2021. En effet, 398 000 logements seront commencés en 2022. Une perspective qui réjouit le Groupement Actibaie. « La RE2020, qui intègre en outre l’installation de protections solaires, va dynamiser grandement l’activité du neuf pour les filières stores et volets. »Néanmoins, il va pour cela falloir aux professionnels faire face à la hausse du prix des matières premières, qui se maintient sans perspective d’évolution.Pour Yannick Michon, président du Groupement Actibaie : « Les fabricants ont déjà dû répercuter la hausse des prix sur leurs tarifs, en moyenne de +10 % sur l’exercice 2021, impactant ainsi l’ensemble de la chaîne, du fabricant à l’installateur. Le client final est obligé d’absorber une partie de cette hausse. »Autre enjeu, la pénurie des semi-conducteurs, utilisés dans la motorisation et l’automatisation des stores et volets. Pour Pascal Cros, vice-président du Groupement Actibaie et représentant des métiers Volet, le problème est d’autant plus critique car le marché est détenu majoritairement par un acteur. « SOMFY ayant des difficultés d’approvisionnement, c’est l’intégralité de la chaîne de valeur qui se voit impactée. En neuf, la motorisation est quasiment systématique : difficile donc sans aucune visibilité sur cette sortie de crise de savoir quel impact cela aura sur le long terme. »Économie circulaire et REP BâtimentD’ici 2050, la Stratégie Nationale Bas carbone (SNBC) prévoit la décarbonisation quasi-complète du secteur du bâtiment, représentant à lui seul 30 % des émissions annuelles nationales. En effet, le secteur produit chaque année 42 millions de tonnes de déchets, soit l’équivalent de la quantité annuelle produite par les ménages. Afin de développer la collecte et la valorisation de ces déchets générés lors des opérations de déconstruction et de rénovation des bâtiments, la responsabilité élargie des producteurs (REP) pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment entrera en vigueur au plus tard le 1er janvier 2023.Pour Hervé Lamy, délégué général du Groupement Actibaie : « L’un des dossiers majeurs pour le Groupement Actibaie cette année, sera de travailler conjointement avec les éco-organismes et les autres syndicats à la définition du barème d’écocontribution. La difficulté sera de simplifier au maximum les calculs tout en prenant en compte les problématiques liés à chaque matériau. Ce barème devrait être finalisé avant la fin de l’année. »Embarquer les professionnels dans une filière plus vertueusePour accompagner l’entrée en vigueur de la RE2020 et de la REP des produits de construction, le Groupement Actibaie a élaboré une Charte d’Engagements pour la Préservation de l’Environnement (CEPE), à destination de ses adhérents, afin d’adopter une approche plus écologique. À ce jour, 46 entreprises sont signataires et se sont ainsi engagées à faire évoluer leurs pratiques à tous les niveaux : conception des produits, approvisionnement, process de production et recyclabilité des produits. « Nous espérons à terme que ces bonnes pratiques soient partagées et mises en place par l’ensemble de nos adhérents industriels. » conclut le président Yannick Michon.
Il y a 3 ans et 60 jours

PlanRadar augmente sa solution avec PlanRadar Connect pour accélérer la numérisation du secteur du bâtiment

Elaborée en collaboration avec le leader des plateformes d'automatisation pour les entreprises, Workato, ‘PlanRadar Connect’ vise à améliorer l’interopérabilité des systèmes technologiques associées les unes aux autres, permettant ainsi aux utilisateurs de PlanRadar de synchroniser facilement leurs données avec d’autres applications.Ces améliorations apportent une plus grande souplesse aux clients de PlanRadar, en leur offrant la possibilité de fusionner leurs logiciels déjà existants avec le processus de traitement des tâches dans PlanRadar. Cette fonctionnalité permet ainsi de gagner du temps, mais aussi d’améliorer le rendement et la précision des tâches tout en évitant la superposition des données qui nuisent à la performance de l’entreprise.PlanRadar s’est appuyé sur sa récente levée de fonds de 69 millions de dollars (série B) pour accélérer en matière de R&D. En finançant un nouveau pôle technologique et une équipe dédiée à l’innovation de ses produits, l’entreprise a priorisé une interopérabilité plus rapide et plus fluide des données avec d’autres logiciels et programmes.Pour Ibrahim Imam, cofondateur et Directeur général adjoint de PlanRadar : "Alors que le secteur de la construction poursuit son évolution dans l’ère numérique, il est devenu essentiel de trouver des moyens efficaces d’automatiser les processus d'exécution des tâches pour améliorer la concrétisation des projets et les résultats commerciaux. Cette ambition a joué un rôle de catalyseur pour ‘PlanRadar Connect’. Nous souhaitons améliorer l’interopérabilité, supprimer les barrières d’incompatibilité qui proviennent de l’utilisation de nombreux systèmes technologiques différents, source d’incohérences dans les données et d’une multiplication des tâches supplémentaires lors du processus de duplication. En créant un moyen facile à combiner avec la technologie existante, les entreprises peuvent travailler de manière plus intelligente et atteindre un plus haut niveau de précision lorsqu’il s’agit d’exploiter les données. C’est une approche plus décloisonnée et l’ensemble du secteur devrait y aspirer."La nouvelle fonctionnalité complète l’interface de programmation (API) existante du logiciel, pour la rendre plus rapide et plus facile à intégrer grâce à plus de 200 connecteurs prêts à l’emploi, comprenant notamment Outlook, Dropbox, Jira, SAP ou Microsoft Dynamics.Dans un contexte où le partage d’informations est désormais essentiel à la réussite des projets, ‘PlanRadar Connect’ permet également d’atteindre d’excellents niveaux de communication et de collaboration entre les équipes, garantissant en même temps la livraison d’audits fiables nécessaires au processus de prise de décision.Pour Gautham Viswanathan, Directeur produits chez Workato : "Alors que le secteur de la construction cherche à optimiser son efficacité, nous constatons une demande croissante d’automatisation rapide des processus de traitement des tâches en mettant en relation les équipes dans les bureaux et sur le terrain, à toutes les étapes du cycle de vie d’un projet de construction. ‘PlanRadar Connect’ est un exemple parfait de la capacité de Workato à fournir une plateforme fiable nécessitant peu ou pas de codage (low-code/no-code). L’utilisateur peut créer, de manière intuitive et autonome, des processus personnalisés facilitant l’échange d’informations et le traitement des tâches critiques de projets entre PlanRadar et plus de 200 autres applications utilisées par les entreprises."Pour Ibrahim Imam, cofondateur et Directeur général adjoint de PlanRadar : "Pour s’atteler à sa transformation numérique, le secteur de la construction doit réussir à s'uniformiser son flux d’information. Il doit pour cela s’emparer de la question de la compatibilité technologique, qui entrave actuellement ce processus. ‘PlanRadar Connect’ représente l’ultime étape du développement constant de nos solutions, qui sont déjà utilisées au quotidien par plus de 100.000 professionnels dans plus de 60 pays. Nous attendons un retour d’expérience positif de la part de nos clients une fois qu’ils auront pris en main ‘PlanRadar Connect’ avec leurs propres solutions logicielles existantes."
Il y a 3 ans et 61 jours

Le FILMM édite une nouvelle brochure : RE 2020 vs RT 2012, ce qui change ?

Elle présente les 4 grands piliers qui structurent la nouvelle règlementation des bâtiments neufs. La Réglementation Environnementale – RE 2020 – est entrée en vigueur pour les logements neufs au 1er janvier 2022. Elle s’appliquera aux bâtiments de bureaux et d’enseignement au 1er juillet 2022 et aux autres bâtiments tertiaires un peu plus tard. Plus exigeante pour les bâtiments neufs pour lutter contre le changement climatique, elle met notamment l’accent sur l’isolation thermique des logements renforçant l’indicateur Bbio et introduit la notion d’analyse de cycle de vie. Sobriété énergétique : les besoins en énergie (indicateur Bbio) sont toujours calculés à l’aide d’une méthode de calcul au pas horaire mais les scénarios d’occupation ont été ajustés et les fichiers météorologiques actualisés. Le Bbio dépend de l’orientation du bâtiment (apports solaires), de sa forme (compacité), de l’étanchéité à l’air de son enveloppe et du niveau d’isolation. En repère, la brochure précise judicieusement dans un tableau, l’évolution des résistances thermiques en m². K/W à mettre en œuvre, entre les deux réglementations. Consommations d’énergie : pour bien saisir les évolutions notables en matière de consommation d’énergie, la brochure fait le point sur les facteurs du calcul du Cep max. Le FILMM rappelle que dans la RT 2012, le calcul de la consommation des bâtiments inclut le chauffage, le refroidissement, l’eau chaude sanitaire, l’éclairage et les auxiliaires (pompes, ventilateurs, etc.). Alors que désormais, la RE 2020 y ajoute l’éclairage des parties communes, les consommations des parkings (éclairage et ventilation) ainsi que les consommations liées aux déplacements dans le bâtiment (ascenseurs, escaliers roulants). La RE 2020 a également ajouté un seuil pour les consommations d’énergie non renouvelables (Cep nr max) en kWhep/(m2.an) et le calcul d’un nouvel indicateur sur l’impact des émissions de gaz à effet de serre de l’énergie consommée en kg CO2 eq/(m².an). Confort d’été : c’est là le 3ème aspect de la brochure qui explique que la RE 2020 a complètement revu l’indicateur, devenu le nombre de degrés heures d’inconfort (DH), exprimé en heures. Il faut désormais identifier le nombre d’heures pendant lesquelles la température maximale de confort est dépassée, multiplié par l’écart de température (entre la température mesurée et la température maximale dite de confort). Cela prend donc en compte la durée de l’inconfort et l’intensité de l’inconfort et ce, sur l’ensemble de l’année. Changement climatique : ce dernier volet explique le calcul de l’indicateur « IC Construction », une nouvelle notion intégrée à la RE 2020 même si, comme le rappelle le FILMM, la meilleure façon de lutter contre le changement climatique, c’est de consommer moins d’énergie. L’impact carbone des produits et équipements de la construction, « IC construction », prend en compte l’ensemble des produits et équipements constituant le bâtiment ainsi que l’aménagement de la parcelle sur laquelle il est construit. A cela sont ajoutées les consommations liées au chantier (énergie et eau). Ce calcul se fait à partir des quantités de produits mises en œuvre et des déclarations environnementales de ces produits (FDES) que les membres du FILMM mettent largement à disposition dans la base INIES. La RE 2020 a fixé des seuils à ne pas dépasser sur ces 2 indicateurs et a déjà prévu leur renforcement tous les 3 ans (2025, 2028 et 2031). Fascicule pédagogique compte tenu de la clarté des informations qui y sont présentées, le FILMM met à la disposition des professionnels et des particuliers, en accès libre de téléchargement sur son site Internet sa nouvelle brochure « RE 2020 vs RT 2012 : ce qui change ? » : www.filmm.org/re-2020-vs-rt-2012-ce-qui-change.
Il y a 3 ans et 61 jours

Une cartographie gratuite référence les acteurs biosourcés et géosourcés

DURABLE. L'association Ekopolis a créé une carte en ligne qui liste les acteurs de ces matériaux naturels et locaux, à destination des professionnels de la construction et de l'aménagement. Son directeur, Laurent Perez, raconte l'élaboration de cet outil, dans l'émission Edition spéciale de Batiactu.
Il y a 3 ans et 61 jours

Nelly Philipponnat, réélue présidente de CEKAL

Nelly Philipponnat, ingénieur ESTP, a depuis plus d’une vingtaine d’années assumé des postes de marketing, communication et de représentation au sein des différentes instances professionnelles en lien avec le matériau verre. Elle est actuellement directrice des bâtiments durables de Saint-Gobain Glass bâtiment France.Feuille de route 2022-2025Faire vivre le référentiel CEKAL au rythme des évolutions techniques pour un programme de certification exigeant, adapté à la réglementation et aux développements technologiques du secteur.Suivre les évolutions des textes européens et s’y adapter.Faciliter l’apprentissage des centres certifiés aux évolutions normatives relatives à la fabrication de produits entrant dans le domaine de compétence de CEKAL.Achever enfin le retour à un rythme de croisière après la crise de la pandémie, avec une vigilance toujours forte sur le suivi et l’évaluation des constituants qui équipent les vitrages.Mener à bien les évaluations annuelles du Cofrac.Échanger avec les centres certifiés et les informer, via les Rencontres régionales CEKAL organisées chaque année avec un nouveau programme. En 2022, elles se dérouleront à Nancy le 12 mai, à Grenoble le 5 juillet (avec la visite des laboratoires du CSTB), à Bordeaux le 19 octobre.Participer à la grande rencontre des acteurs du bâtiment avec la conférence CEKAL organisée le 5 octobre 2022 sur Batimat.Communiquer vers les utilisateurs, notamment au travers de la mise à disposition de vidéos sur les contrôles et le marquage pour les vitrages isolants, feuilletés et trempés et continuer à proposer un site Internet ouvert et transparent. Pour Nelly Philipponnat, présidente de CEKAL : "Le dévouement et l’implication à mes côtés des membres du nouveau Bureau, des présidents et membres des commissions et comités à notre cause commune seront, comme toujours, essentiels pour tenir l’objectif d'une certification rigoureuse qui bénéficie à toutes les parties prenantes. Nous aurons à cœur de faire vivre le référentiel au rythme des évolutions techniques, de suivre au plus près l'évolution des textes européens et s'y adapter, d’évaluer les constituants qui équipent les vitrages, et ne pas baisser la garde en matière de confidentialité et d'impartialité." Les membres du Bureau élus ou réélus sont les suivants : Nelly Philipponnat, présidenteJean-Claude Desnoues, vice-présidentJean-Paul Vieyres, trésorierJean-Marc Salzard, secrétaireEric Vivion et Jean Michel Lidou représentant les 2 collèges au sein de CEKAL