Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour production

(7410 résultats)
Il y a 4 ans et 248 jours

Forage géothermique novateur à Vélizy-Villacoublay

Les travaux de forage pour la construction de la future centrale géothermique de Vélizy-Villacoublay ont débuté. La gestion a été confiée aux équipes de VELIGEO, société de production d’énergie renouvelable détenue par ENGIE Solutions et la collectivité. Avec cette centrale, Vélidis, la ville sera alimenté à plus de 60 % en énergie géothermique. Ce projet, accompagné financièrement par la Région Ile-de-France et l’ADEME Ile-de-France à hauteur de près de 9 millions d’euros, est une première nationale permettant d’éviter la production de 22 801 tonnes de CO2 par an. Le forage géothermique est réalisé au moyen d’un appareil de 40 mètres de haut, en zone urbaine, il va forer jusqu’à 1 600 mètres de profondeur. Une opération de haute technicité qui s’étendra jusqu’en début d’année prochaine. L’exploration de la géothermie de Vélizy-Villacoublay sera une première nationale puisqu’elle va appliquer la technologie des forages multi-drains à la géothermie profonde. L’architecture du puits composée de deux drains permettra de traverser deux fois les niveaux producteurs pour maximiser le volume de réservoir drainé, ce qui favorisera la récupération d’une eau géothermale à 64°C et fournira une puissance calorifique de plus de 16 MW.
Il y a 4 ans et 249 jours

Eiffage Construction bâtit une extension de plus de 7000 m² d'une usine Ferrero en Pologne

Eiffage Construction, via Eiffage Polska Budownictwo, a signé un contrat avec Ferrero Polska pour la réalisation de deux agrandissements de l’usine de production Ferrero Polska à Belsk Duży près de Grójec. Les travaux viennent de débuter.
Il y a 4 ans et 249 jours

Dossier : 3 collections design écoresponsables

À l’aune de la crise écologique, des designers et des marques réfléchissent sur un futur différent et défendent une création écoresponsable. Focus sur trois collections design qui témoignent d’une volonté de produire différemment. La collection « Thirsty » (Zuiver)La célèbre marque néerlandaise Zuiver s’engage en faveur d’un design écoresponsable et mise sur des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Avec sa nouvelle collection « Thirsty », elle produit des chaises et des fauteuils en plastique recyclé. La gamme réunit des assises à l’épure formelle minimaliste qui prouvent que pour un rendu esthétique, nul besoin de miser sur des matériaux et des modes de fabrication polluants ! . La collection « Teşekkül » (Dahlia Subasi) L’architecte et créatrice engagée Dahlia Subasi imagine et fabrique des objets en mycélium de champignon et matériaux naturels. Après avoir longuement étudié le mycélium, elle a décidé d’utiliser cette matière organique pour créer des objets design – vases, lampes – à la texture étonnante. La collection « Teşekkül » est née. En travaillant sur un design responsable, Dahlia Subasi amène les amateurs et collectionneurs de design à s’intéresser à l’écoconception. . La collection « Trashformers » (Savvas Laz)Indigné par l’amoncèlement de déchets dans son pays natal, le designer grec Savvas Laz signe la série « Trashformers », une collection de mobilier conçue à partir de matériaux de récupération trouvés dans la rue. Savvas Laz récolte en effet des morceaux de styromousse issus d'appareils électroménagers et les transforme en objets du quotidien. Ainsi, cette gamme dénonce la pollution causée par l'industrie de l'emballage tout en mettant en avant les multiples possibilités du recyclage dans le secteur du design. La Rédaction
Il y a 4 ans et 254 jours

Maugin annonce un changement de gamme et une nouvelle stratégie industrielle 2020-2025

Cependant, s'affirmer en expert historique sur un marché, c'est aussi prendre des engagements, rechercher l'amélioration constante, s'adapter aux nouvelles attentes qui feront la fenêtre de demain. C'est pourquoi le groupe familial s'est attelé ces 18 derniers mois à la mise au point d'une menuiserie nouvelle génération en composite, dont le profil est doté dans l'ouvrant de fibre de verre, et dans le dormant d'un renfort thermique en PVC cellulaire et fils d'acier (en option). Ce faisant, MAUGIN se hisse aujourd'hui au rang des quelques fabricants français spécialistes des menuiseries PVC et ALU en capacité de proposer un produit aussi technologique et performant.Gamme Eclea Terres de Fenêtre : véritable innovation et montée en gammeLe Groupe Maugin a officiellement lancé sa nouvelle gamme de fenêtres ECLEA COMPOSITE TERRES DE FENETRE, contribuant au renouvellement de son plan stratégique industriel 2020-2025. Élaborés en partenariat avec le gammiste Deceuninck, les profils PVC de cette nouvelle gamme renferment de la fibre de verre ainsi qu'un renfort thermique (en option). Reconnus comme étant de véritables innovations sur le marché, ces atouts donnent à la gamme des avantages significatifs. Intégrant déjà le vitrage Eclaz et la quincaillerie sécurité Q1, la gamme ECLEA COMPOSITE TERRES DE FENETRE devient ainsi un produit très haut-de-gamme, affichant plus d'esthétisme, de luminosité, de légèreté, de performance, de sécurité, de rigidité, avec un meilleur potentiel recyclage.Après un premier lancement réussi en version Plaxée en février dernier, MAUGIN poursuit ce mois de juillet le déploiement de sa nouvelle gamme, en parfaite conformité avec le planning annoncé (cf. Dossier de Presse complet en annexe). La première mise au point s'est faite sur le site pilote de Saint-Gervais (85), spécialisé dans la fabrication des menuiseries plaxées et qui se prête parfaitement au calibrage exact du process. L'opération en mode "laboratoire" a permis d'assurer un lancement performant pour aborder en toute sérénité la deuxième phase, soit le déploiement intégral cet été de toute la gamme blanc et laqué sur le site fleuron de Saint-Brévin (44). Depuis, le site de Saint-Gervais a d'ailleurs basculé à 100% sur la fabrication de la nouvelle gamme en plaxé."Plus technologique, cette nouvelle génération de profils est une belle opportunité pour augmenter la qualité de nos produits PVC, en leur assurant une plus grande longévité, un meilleur pouvoir isolant et plus de résistance. Les atouts de ce nouveau profil composite alliant PVC et fibre de verre représentent une innovation inégalée à ce jour sur le marché du PVC. Avec ce produit au design plus carré qui se rapproche de celui de l'Alu, c'est une réelle montée en gamme pour nos produits, ce qui va nous permettre de nous démarquer sur le marché", témoigne Pascal Vallée, Directeur de Production PVC Groupe MAUGINUne commercialisation conforme à l'échéancier annoncéFormées aux atouts de cette nouvelle gamme dont la technologie fibrée casse les codes de l'industrie traditionnelle du PVC, les équipes commerciales MAUGIN et Terres de Fenêtre sont actuellement déployées sur le territoire pour équiper les showrooms des clients et partenaires, les doter de nouveaux outils d'aide à la vente et leur apporter tous les éclairages utiles." Nous aurions pu subir de plein fouet les impacts de la COVID et devoir reporter notre commercialisation. Pourtant, le projet a continué de se dérouler dans les meilleures conditions. C'est un projet ambitieux qui tient ses promesses, tant sur la qualité finale du produit dont nous sommes fiers, que sur sa mise en marché qui reçoit un très bel accueil de la part de nos clients."- Ludovic Guillou, Directeur Commercial du Groupe Maugin & Directeur du Réseau Terres de FenêtreNouveauté : + de couleursConsidérant la demande des particuliers en très forte croissance pour la couleur, le Groupe MAUGIN profite de ce lancement de nouvelle gamme pour élargir son offre couleur. Désormais, comme les menuiseries ALU thermolaquées, les menuiseries Composite sont disponibles dans toutes les couleurs RAL laquées venant ainsi s'ajouter aux coloris teintés masse et plaxés.Considérant la demande des particuliers en très forte croissance pour la couleur, le Groupe MAUGIN profite de ce lancement de nouvelle gamme pour élargir son offre couleur. Désormais, comme les menuiseries ALU thermolaquées, les menuiseries Composite sont disponibles dans toutes les couleurs RAL laquées venant ainsi s'ajouter aux coloris teintés masse et plaxés.Entretien avec Bertrand Maugin, PDG du Groupe MAUGIN / TERRES DE FENÊTRE" Lancer la commercialisation d'une nouvelle gamme, et plus largement un nouveau plan stratégique industriel pour les 5 prochaines années, alors que se présente une crise sanitaire majeure... C'est loin d'être simple.Nous sommes malgré tout au RDV sur les grandes phases du calendrier programmé initialement. Je rends d'ailleurs hommage à l'ensemble des salariés du groupe Maugin qui n'ont cessé de se mobiliser pour que nous puissions tenir nos engagements. Durant cette période inédite, chacun d'entre nous a du s'adapter pour réagir, ajuster le tir et aller à l'essentiel.La situation de la Covid aura été une expérience sans précédent, au cours de laquelle nous avons démontré qu'au sein de notre groupe familial, nous sommes particulièrement soudés.Pour traverser cet épisode, il nous a fallu pour autant rester exigeants et vigilants à chaque détail. Nous n'avons dérogé à rien, traitant les événements dans l'ordre, sans précipitation et en évitant tout stress. Avec le Comité de Direction qui a été sur le pont au quotidien, nous avons orchestré la gestion de la crise avec pragmatisme.Aujourd'hui, les effectifs sont de retour à 100%. En raison du rattrapage des commandes, l'activité profite d'une embellie avec une prise de commande similaire à l'année dernière, sur la même période. Pour le moment, nous produisons sur nos 3 sites industriels avec un taux de service à la hausse : le niveau de confiance est très bon.Au-delà de la mobilisation de tous les salariés, cette reprise d'activité n'aurait pas été possible sans la solidarité des confrères, syndicats professionnels et fournisseurs avec qui nous avons travaillé à retrouver les meilleures conditions pour rassurer et satisfaire nos clients. Je salue aussi le relai offert par les médias spécialisés qui ont redoublé d'efforts pour maintenir le lien, continuant d'informer la profession régulièrement."
Il y a 4 ans et 260 jours

Face aux îlots de chaleur urbains, la géothermie de proximité est une solution probante

Tout comme en 2019, l’année 2020 est marquée par les fortes chaleurs. Durant les épisodes caniculaires, le phénomène d’îlots de chaleur est accentué et entraîne des températures difficilement supportables et du stress thermique au sein des villes. De plus, l’usage grandissant de la climatisation par aérothermie empire le réchauffement de l’air extérieur. L’Association Française des Professionnels de la Géothermie communique pour réaffirmer les qualités intrinsèques de la géothermie de proximité en réponse aux enjeux climatiques, économiques et sociaux actuels. Moins coûteuse en fonctionnement et plus pérenne, cette énergie renouvelable et responsable contribue particulièrement à l’amélioration de la qualité de vie en milieu urbain et dense. La géothermie de surface est une technologie simple et maîtrisée. Elle consiste à capter la chaleur de la terre à l’aide de sondes de faible profondeur, pour la diffuser dans les habitations ou installations de toutes natures, sous forme d’énergie de chauffage ou de refroidissement. Elle s’inscrit parmi les atouts majeurs de la transition énergétique de la France, particulièrement dans les grandes villes Cette énergie renouvelable est la seule capable d’apporter des solutions thermiques en toute saison, en chaud et en froid, sans provoquer pour autant d’élévation de température dans l’atmosphère en été. Soit un avantage considérable pour faire face au défi de la production de froid en milieu urbain durant les mois les plus chauds. En cela, elle permet de diviser par 10 l’empreinte carbone des bâtiments et de répondre à 70% de leurs besoins énergétiques, tout en créant des emplois non délocalisables. Sur toute sa durée de vie, le fonctionnement d’une pompe à chaleur géothermique est 3 à 4 fois moins émetteur qu’une chaudière à gaz et 5 à 6 fois moins qu’une chaudière à fioul pour la production de chaleur. En production de froid passif (ou rafraîchissement), soit moins 3 à 4 degrés par rapport à la température ambiante, la géothermie ne consomme que très peu d’énergie. Dans ce cas, ses performances sont exceptionnelles : un kWh d’électricité produit 50 à 70 kWh de froid (frigories). Illustration : Système de pieux géothermiques -Zac Etoile – Strasbourg-Neudorf (67) Le besoin énergétique total de 136MWh est couvert à 77% par géothermie Maîtrise d’œuvre : Pierre & Territoires Alsace Autres acteurs du projet : Ecome La ZAC Etoile de Strasbourg est un îlot à énergie positive comportant un ensemble de 6 bâtiments. Le système de pieux géothermiques a pour objectif le chauffage et le rafraîchissement des bâtiments SIRIUS et GREEN ONE par leurs planchers.
Il y a 4 ans et 261 jours

L'Hôtel des Postes à Strasbourg, édifice néogothique, entreprend sa mue

En collaboration avec l'entreprise générale Bouygues Bâtiment Nord-Est, le promoteur immobilier y développe près de 20.000 m2. Dès cet été, près d'une cinquantaine d'entreprises du territoire et plus de 200 compagnons se succèderont jusqu'en 2023, pour faire renaître cette bâtisse de la fin du XIXe siècle.Le tout dans une dynamique noble et responsable : l'opération favorise la déconstruction sélective et le réemploi de matériaux, matériels et mobiliers. Dès le démarrage des travaux, l'Hôtel des Postes s'inscrit parmi les chantiers de Strasbourg les plus avancés en matière de réduction des déchets issus du BTP.Un chantier conduit au pied de la lettre !Le projet de réhabilitation se veut respectueux et en parfaite adéquation avec son environnement. De part son envergure et son exemplarité, le chantier est orchestré en étroite collaboration, avec la police municipale, les autorités locales, la Ville et l'Eurométropole de Strasbourg.Réalisé en hyper-centre de Strasbourg, cette opération hors norme réunira en pleine activité près de 50 entreprises locales et plus de 200 compagnons qualifiés, qui y oeuvrent pour redonner vie à ce lieu historique.Les principaux échelons prévisionnels du programme sont :Curage et déconstruction sélective : Jusqu'à décembre 2020Gros œuvre : De l'automne 2020 à l'été 2021Aménagement du parking souterrain : Novembre 2020 à juin 20211ères Livraisons : Second semestre 2022Fin de travaux de l'ensemble Immobilier : Premier semestre 2023Une réalisation engagée et responsableIl est à présent avéré que le secteur de la construction compte parmi les gisements les plus générateurs de déchets et d'impacts environnementaux. De part sa nature atypique, cette réhabilitation, initiée par Bouygues Immobilier, vise à faire renaître ce lieu unique, siégeant depuis plus de 120 ans au coeur de la Neustadt, à Strasbourg. Le tout en optant pour un modèle circulaire, bien moins énergivore et plus respectueux de l'environnement. Par cette approche émergente, ce bâtiment de près de 20 000 m2 tourne une page de son histoire et s'engage vers un avenir tout aussi émérite.Avec l'expertise d'ELAN, AMO - Assistant de Maîtrise d'Ouvrage de référence en matière d'économie circulaire dans l'immobilier, la revalorisation de l'Hôtel des Postes s'engage ainsi dans une approche de ressources qui vise à la réduction des déchets. Il s'agit d'opter pour la déconstruction sélective en favorisant le réemploi de matériaux, de matériels et de mobiliers. ELAN permettra à Bouygues Immobilier d'identifier les gisements et les filières (In situ et ex situ) à fort potentiel, permettant la réutilisation de certains éléments déposés.Le chantier de l'Hôtel des Postes devrait ainsi limiter significativement la production de déchets, notamment lors de la déconstruction et le curage. Bon nombre de matériaux, matériels et mobiliers vont ainsi être valorisés et recyclés. Il s'agit à titre d'exemple de dalles de faux-plancher, de radiateurs en fonte, de menuiseries intérieures (avec le réemploi de certaines portes historiques)...La démarche initiée permet de prendre part à l'économie locale et de participer au développement de nouvelles filières, le tout en préservant les ressources. L'accompagnement de l'AMO ELAN garantit l'amélioration du bilan environnemental de l'Hôtel des Postes, projet étendard de Strasbourg.En outre, pour la construction du bâtiment neuf, au centre de la cour intérieure, près de 3.000 m3 de béton bas carbone seront employés. Enfin, une collaboration avec VNF - Voies Navigables de France est à l'étude pour favoriser le transport fluvial de certains équipements du second oeuvre.Un programme immobilier historique !Autrefois haut lieu de télécommunication et de correspondances, l'Hôtel des Postes incarne de tout temps la modernité et le caractère cosmopolite de la ville qui l'héberge, Strasbourg. Début 2023, l'Hôtel des Postes de Strasbourg accueillera donc des logements résidentiels, des bureaux neufs et réhabilités, une résidence services pour seniors, une brasserie-restaurant ainsi qu'un bureau de poste. Incontestablement, cette reconversion immobilière s'engage dans une démarche de valorisation patrimoniale inédite et exemplaire.Sous les préconisations et les orientations de l'Architecte des Bâtiments de France, les principales interventions sur le bâti existant seront mineures et limitées. Le projet prévoit notamment la restauration et le nettoyage des façades extérieures dans le respect total des façades et toitures d'origine (1896). La cour intérieure sera particulièrement mise en valeur.Localisés le long de l'Avenue de la Liberté, les logements en accession seront desservis soit par la cage d'escalier monumentale, datant du XIXe siècle, soit par les deux cages d'escaliers angulaires, tout aussi remarquables.À chaque étage, les distributions, aux voûtes et hauteurs exceptionnelles, sont maintenues et sublimées. En outre, les combles sont rehaussés et exploités par l'intégration de nouvelles lucarnes donnant sur la cour intérieure. Des mezzanines sont prévues pour certains logements du rez-de-chaussée, du 2ème ou 3ème étage…Nul doute que l'opération se veut historique, au coeur de Strasbourg !Principaux intervenantsMaître d'ouvrage : Bouygues ImmobilierArchitecte : WEBER & KEILING ArchitectesEntreprise générale : Bouygues Bâtiment Nord-Est
Il y a 4 ans et 261 jours

Résultats en hausse pour Ariston Thermo sur l'exercice 2019

Au terme de l'exercice budgétaire, le 31 décembre 2019, le groupe a atteint :Un chiffre d'affaires qui atteint 1,71 milliard d'euros, le meilleur enregistré depuis la création du groupe et supérieur de 6,1% par rapport à 2018.L'EBITDA est à l'équilibre à 223 millions d'euros, une augmentation de 10,4% par rapport à 2018.L'EBIT est à l'équilibre à 149 millions d'euros, correspondant à 8,7% du chiffre d'affaires.L'année 2019 fut très positive pour ARISTON Thermo en termes de chiffre d'affaires et de rentabilité atteignant 1,710 milliard d'euros, montant supérieur de 6,1% par rapport à 2018 et un EBITDA à l'équilibre à 223 millions d'euros, +10,4% par rapport aux 202 millions de l'année précédente. Quant au budget de Recherche & Développement, il dépasse les 77 millions d'euros d'investissements, confirmant l'engagement d'Ariston Termo dans le domaine.“En 2019, nous nous sommes engagés à atteindre un profit en hausse, tout en continuant de nous concentrer sur des objectifs durables : tous les indicateurs économiques et financiers représentent un record pour le groupe” indique Paolo Merloni, directeur exécutif chez ARISTON Thermo. “Nous avons atteint d'excellents résultats en termes de solutions renouvelables, augmentant les recettes, les volumes et les parts de marché. Cela prouve que l'investissement fait en R&D ces dernières années et le développement de stratégies de commercialisation innovantes produisent les effets attendus. En ce sens, en 2019, nous avons accentué nos efforts en R&D, investissant 40% de plus dans les produits renouvelables par rapport à 2018, principalement en Italie. Pour l'instant, l'année 2020 est critique en raison de la crise du Covid-19. Cependant, les résultats positifs de ces dernières années ont renforcé notre vision et nous ont donné une stabilité économique, une flexibilité industrielle et opérationnelle et un bilan solide, ce qui est fondamental pour faire face à cette situation”.En 2020, le groupe fête les 90 ans de sa création. En effet, l'histoire d'Ariston Thermo Group débute en juillet 1930, quand Aristide Merloni fonda Merloni Industries à Fabriano. Depuis, grâce à un processus d'internationalisation fort, l'entreprise est devenue l'un des leaders mondiaux dans le secteur du confort thermique. Croire au développement durable, motiver via l'excellence, être orienté consommateur, considérer le personnel, agir avec intégrité, sont autant de valeurs qui ont guidé le groupe durant 90 années.Pour les 90 ans de la création de l'entreprise, Paolo Merloni a commenté : “Le 90ème anniversaire de la création représente une étape importante et confirme que la longue histoire de l'entreprise constitue la base pour nous projeter dans le futur. Les valeurs que nous portons sont plus à propos que jamais, alors qu'un fort engagement dans la recherche et l'innovation, la transformation digitale et l'amélioration du capital humain sont nos priorités afin de construire un futur durable. Ce 90ème anniversaire nous donne la motivation et l'inspiration nécessaires pour rester compétitifs et sortir encore plus fort. Grâce à l'enthousiasme et les capacités de nos collaborateurs, qui sont l'essence même d'Ariston Thermo, je suis convaincu que nous continuerons à évoluer et à atteindre nos objectifs futurs”.Les événements marquants de 2019Un des évènements les plus marquants de l'année fut, fin avril, l'acquisition par ARISTON Thermo de 100% de Carolex (rachat à Industrial Satillo Group), une entreprise implantée au Mexique et aux États-Unis qui conçoit, fabrique et commercialise des chauffe-eau à gaz, électriques et solaires en collaboration avec des marques leader et avec un positionnement de marché unique. Cette acquisition a consolidé la présence du groupe sur le continent américain, lui permettant d'être en pole position au Mexique et d'établir une position fondamentale pour le renforcement d'une potentielle croissance en Amérique du Nord et Centrale ainsi qu'en Amérique Latine.ARISTON a poursuivi sa mission “pour amener du confort même où cela semble impossible à trouver” via la campagne de communication mondiale “The ARISTON Comfort Challenge”. L'intérêt et les avancées de ce projet, ont contribué à la mise en oeuvre de 22 nouvelles recherches sur le changement climatique au Groenland en 2019, ont permis de lancer la campagne sur de nouveaux marchés clés pour l'entreprise comme la France et le Vietnam. Le “ARISTON Comfort Challenge” a également été un sujet majeur au FurioSalone2019 pendant la Milan Design Week : ARISTON Thermo a soutenu le projet “HELP”, une installation artistique créée en réponse aux effets du changement climatique sur la planète, réitérant ainsi son engagement pour le développement durable et la réduction de l'impact humain sur l'environnement.ARISTON a également reçu de nombreuses récompenses dans différents domaines au cours de l'année. En ce qui concerne la production, l'usine Cerreto D'Esi, spécialisée dans la production de chauffe-eau électriques a passé avec succès l'audit World Class Manufacturing (WCM), obtenant la médaille de bronze, à laquelle s'ajoutent celles obtenues par les usines Arcevia et Osimo en 2017. Concernant la marque Racold, la marque leader en Inde, elle a obtenu la prestigieuse récompense “Superbrands 2019”. Racold était la seule marque à être sélectionnée pour le “Superbrands 2019” dans la catégorie chauffe-eau après un long processus de vote par les consommateurs finaux.En octobre 2019, ARISTON Thermo a reçu de l'Italian Association of Family Businesses l'Award Alberto Falck Family Business 2019. La croissance quantitative et qualitative constante, l'excellence des résultats au niveau international au fil des ans, les valeurs de l'entreprise, l'attention portée aux territoires où le groupe est présent, le système gestion moderne et la recherche constante d'innovation dans l'idée d'accroître le développement durable, sont autant d'aspects qui ont rendu possible la reconnaissance importante que confèrent ces prix.Augmentation de portefeuille : diversification et innovationToujours en 2019, ARISTON Thermo a poursuivi sa politique de diversification et d'innovation de son portefeuille de produits et de services, en investissant dans la création de solutions énergétiques efficaces, qui utilisent les énergies renouvelables ainsi que dans le développement de services et applications.En ce qui concerne les solutions pour les chauffe-eau sanitaires, le portefeuille d'Ariston Thermo s'est enrichi mondialement afin d'appréhender les besoins locaux. Aux États-Unis, la première gamme de chauffe-eaux électriques produite en Italie a été lancée et le portefeuille de chauffe-eaux en émail, électriques et à gaz, a été intégrée à la gamme standard américaine. Grâce à cela, le groupe est devenu l'un des acteurs sur le marché Nord-Américain offrant la gamme de produits la plus complète. En Asie, en particulier au Vietnam et à Singapour, ARISTON Thermo a étendu son offre en lançant des solutions avec la technologie connectée.Tant sur le marché européen que sur celui des pays émergents (Moyen-Orient, Afrique et Sud-Est de l'Asie), la nouvelle gamme de chauffe-eau est à circulation naturelle. Enfin, ARISTON Thermo a renforcé ses solutions durables, présentant sa nouvelle gamme de pompe à chaleur Split : avec une capacité de 150, 200 ou 270 litres, ces modèles offrent une plus grande facilité d'installation, une meilleure efficacité et des performances sonores optimales dans sa catégorie en Europe.Même pour les solutions de chauffage, le portefeuille ARISTON Thermo s'est renforcé. Partant de ses propres compétences et expériences, l'entreprise s'est une nouvelle fois montrée capable de s'adapter aux besoins des consommateurs locaux et des spécificités techniques liées aux différents marchés. Aux États-Unis et au Canada, le groupe a introduit la première gamme de chaudières à condensation avec des batteries entre 24 et 45 kW sous les marques NTI et http. Grâce au nouvel échangeur thermique CIRCOND, conçu spécifiquement pour l'Amérique du Nord, le groupe a relancé le segment water tube, combinant coût et performance. De plus, le contrôle électronique développé en interne permet une gestion optimisée des chaudières, s'adaptant mieux aux différents types d'installations ainsi qu'aux besoins des consommateurs, améliorant ainsi le confort et la consommation.Quant aux solutions de chauffage, le lancement du Trigon XXL, une nouvelle gamme de chaudières à condensation sur pieds avec une batterie allant au-delà de 650 kW, a été fait avec les marques Elco HS et Rendam ax.En 2019, de nombreuses activités ont été réalisées pour soutenir la croissance dans le secteur des pompes à chaleur. Au début de l'année, la gamme de pompe à chaleur à eau et à air Energion M a été lancée (versions autonome et hybride) sous la marque ATAG pour les marchés Néerlandais et Belge. En juillet, le groupe a introduit sur le marché italien, pour les marques ARISTON, Chaffoteaux et Elco, de nouvelles pompes à chaleur encastrables pour le chauffage, le refroidissement et l'eau chaude sanitaire équipées avec tous les composants nécessaires pour une installation complète : chaudière, réservoir technique, résistance électrique et vases d'expansion.De plus, pour les gammes premium, les nouveaux Aerotop G 14.2 et Aerotop S, sous la marque Elco, ont été lancé au dernier trimestre. Le renouvellement de gammes déjà existantes a permis d'y introduire les dernières plateformes électroniques, onduleurs et ventilateurs pour améliorer la qualité et les performances ainsi que réduire le coût et le bruit. Les principaux marchés de lancement ont été la Suisse et l'Allemagne.Pour terminer, ARISTON Thermo a une fois encore confirmé une place de premier plan quand il s'est agi de répondre aux besoins d'intégrer du confort thermique au sein des écosystèmes privés. En 2019, grâce à l'intégration continue des systèmes de chauffage du groupe dans les plateformes internationales de maisons connectées, l'entreprise a renforcé son offre de services connectés, développant des systèmes compatibles avec Alexa d'Amazon, Homekit de Apple et l'Assistant de Google avec le contrôle vocal, permettant une interaction avec les produits simplifiés et plus intuitive. À ce jour, 65.000 consommateurs utilisent les objets connectés profitant des avantages du contrôle à distance, des économies d'énergie et d'une assistance permanente.En plus des services pour les consommateurs, l'entreprise propose aussi des solutions d'interopérabilité, permettant un dialogue entre les systèmes et des plateformes de logiciels externes, comme des centres d'assistance, qui permettent l'amélioration de leur offre ainsi que le développement de nouvelles opportunités et de modèles d'entreprises pour un futur toujours plus flexible et écologique.
Il y a 4 ans et 267 jours

Quel chauffage pour une maison neuve ?

Il existe de nombreuses possibilités qui s’offrent à vous en ce qui concerne le chauffage d’une nouvelle maison. Mais votre choix doit se faire d’une manière très prudente, car cet équipement conditionne à la fois le coût de l’énergie ainsi que le confort pendant une longue période. Découvrez dans cet article le type de chauffage adapté aux maisons neuves. Les modes de chauffage courants dans une maison neuve Les solutions les plus fréquentes sont généralement : la pompe à chaleur, le poêle à granulés, les radiateurs électriques et la chaudière à gaz à condensation. La pompe à chaleur La pompe à chaleur aérothermique (PAC) utilise de l’énergie renouvelable c’est-à-dire l’eau, l’air et le sol. Cette solution de chauffage est la plus répandue. Elle se décline sous différentes variantes, à savoir : air/air, sol/eau, eau/eau et air/eau. Pour la pompe à chaleur air/air, par exemple, les calories de l’air à l’extérieur sont insufflées vers le ventilateur qui se trouve à l’intérieur du logement. L’air se chauffe et se répand dans la maison. Parfois, elle peut être reliée à un chauffage central. La pompe à chaleur est sans aucun doute l’option écologique, car elle produit de la chaleur sans rejeter du CO2. Le poêle à granulés C’est un équipement qui assure un meilleur rendement énergétique. Mais cela dépend de la configuration du logement. Son système est basé sur la combustion de granulés ou pellets, qui sont des sources d’énergie tout à fait abordable. Le poêle à granulés est la solution adaptée pour une maison de 100 m². Si votre habitat mesure plus de 100 m², il faudra installer un chauffage d’appoint. Il n’arrive pas à produire de l’eau chaude sanitaire, vous devez aussi le coupler à un chauffe-eau thermodynamique. La chaudière à gaz à condensation La chaudière à gaz à condensation combine en même temps un rendement de 100 % et la consommation énergétique réduite. Comme son nom l’indique, elle est équipée d’un brûleur à gaz qui produit de la chaleur une fois que le gaz entre en combustion. Grâce à ce couplage de panneau photovoltaïque sur le toit, cette même chaleur réchauffe aussi l’eau qui circule dans le circuit de chauffage et l’eau chaude sanitaire en adoptant ce système, vous aurez un retour rapide sur votre investissement. D’ailleurs, cette solution demande également un terrain viabilisé qui est raccordé au réseau gaz naturel. Le chauffage électrique La nouvelle réglementation thermique au sein des maisons neuves a changé. Les niveaux de consommation doivent être au maximum 50 kWh/m² par an. C’est trois fois moins que l’ancienne réglementation RT2005. Ainsi, les radiateurs électriques sont les plus compatibles avec le RT2012, surtout si le bâtiment comporte une source d’énergie renouvelable. En outre, cette solution peu coûteuse est surtout employée dans les régions chaudes où les besoins en chauffage sont très limités. Les critères pour choisir le chauffage d’une maison neuve Voici les différents paramètres qui influencent les performances énergétiques au sein d’une maison neuve. Il s’agit de : L’implantation La superficie et l’agencement L’isolation Le nombre d’occupants Le système de ventilation Étant donné que ces facteurs doivent être pris en compte lors de l’achat d’un chauffage, il est donc nécessaire de faire une étude thermique bien détaillée, de préférence auprès d’un spécialiste. Pour réaliser cela, comptez sur une prime énergie chauffage. Que ce soit pour le chauffage, la production d’eau chaude ou encore l’isolation, une entreprise pourra répondre à vos besoins. En prenant en compte ces différents paramètres qui forment un tout, vous pourrez mieux évaluer si la construction de votre maison est conforme ou non aux normes imposées par la RT 2012.
Il y a 4 ans et 267 jours

Chaffoteaux associe la régulation connectée de série à ses systèmes de chauffage

CHAFFOLINK est pilotable par la voix avec les systèmes Google Home, Amazon Alexa ou Apple Home Kit, une fonction efficace et pratique pour tous, et en particulier pour les personnes âgées ou en situation de handicap. Pour les professionnels, il permet de superviser à distance et en temps réel le parc d'installations connectées avec la plateformeCHAFFOLINK évolued'accessibilité grâce à l'intégration de tutoriels dans toutes les fonctions de l'applicationde tranquillité d'esprit avec une chaudière ou une PAC sous contrôle permanentd'économies d'énergie grâce à de nouveaux éco-conseils personnalisés disponibles dans l'applicationd'interopérabilité avec les autres systèmesLa régulation connectée : comment ?Cette solution de pilotage à distance se matérialise par un kit comprenant une box jouant le rôle depasserelle de communication (via Wifi ou GPRS) entre la chaudière et une application mobile que l'utilisateur installe sur son smartphone, sa tablette (pour le particulier) ou son ordinateur (pour le professionnel), ainsi qu'un boîtier-thermostat permettant la régulation modulante de la chaudière. “Chaffolink a été pensé à la fois pour l'utilisateur final et pour le prestataire de service chargé de l'entretien de la chaudière” indique Benjamin d'Erceville.CHAFFOLINK : un concentré de technologies au service des particuliers et des professionnelsCôté utilisateur final : confort et simplicitéCHAFFOLINK permet un pilotage simple et personnalisé de la température. Il peut être programmé selon les plages horaires ou modifié à distance via l'application selon le scénarii souhaité. Plusieurs logements peuvent être gérés depuis le même compte et plusieurs comptes peuvent piloter le même logement grâce la fonction de gestion des invités.CHAFFOLINK étudie les habitudes de consommation pour les optimiser et l'estimation de la consommation énergétique (en kilowattheure) est accessible d'un clic.Un système de notifications en temps réel avertit l'utilisateur en cas d'anomalie et déclenche un service à distance si l'option a été retenue.CHAFFOLINK est une offre intéropérable permettant d'enrichir ses fonctionnalités autour de la sécurité, du contrôle des stores et volets, de l'efficacité énergétique… Elle est compatible avec la solution domotique Tahoma de Delta Dore et poursuit son développement avec d'autres plateformes d'intéropérabilité.Côté installateurs et prestataires de services : agilité et optimisation de la maintenanceCHAFFOLINK ouvre la voie au télédiagnostic à distance. L'application “CHAFFOLINK MANAGER” a été conçue comme une plateforme web à laquelle le professionnel accède pour superviser son parc de chaudières connectées sous contrat. Il reçoit une alerte en cas de défaut d'un équipement et, si le cas le permet, effectue le dépannage à distance et en temps réel.CHAFFOLINK offre également au prestataire la possibilité d'une maintenance prédictive grâce à l'historique des erreurs et des opérations effectuées sur la chaudière par l'utilisateur final ou un technicien. Optionnelle et payante, cette option est proposée aux clients particuliers en étant intégrée au contrat de maintenance annuel.Zoom sur ARIANEXT M : pompes à chaleur monobloc connectées de sérieLa gamme de PAC ARIANEXT M à très hautes performances énergétiques est idéale pour les maisons neuves et la rénovation. Ultracompacts et silencieux, les 4 modèles de la gamme correspondent à tout type d'habitation. ARIANEXT M s'adapte à toutes les zones climatiques pour offrir des puissances stables même dans les régions les plus froides. Connectées, les PAC ARIANEXT M sont livrées de série avec l'Expert Control Link et compatibles avec la solution de thermorégulation connectée ChaffoLink.Les pompes à chaleur connectées les plus performantes du marché :COP record jusqu'à 5,11 Efficacité énergétique saisonnière Eta s : jusqu'à 189 % (A+++)Gamme complète de solutions : puissances de 4 à 11 kW à -7 °C d'air extérieurSilencieuse : seulement 57 dB(A) de puissance acoustique à l'extérieurConnectivité ChaffoLink incluse de sérieARIANEXT M : 4 solutions adaptées à chaque besoinLa gamme ARIANEXT M se décline en deux solutions double service pour le chauffage et la production d'ECS (ARIANEXT COMPACT M et ARIANEXT FLEX M) et deux PAC monoservice pour le chauffage seul (ARIANEXT PLUS M et ARIANEXT LITE M).Les quatre solutions conviennent aussi bien aux projets de maisons individuelles neuves qu'aux projets de rénovation avec un régime d'eau chaude pour le chauffage de 20 °C à 60 °C. Les PAC sont compatibles avec tous les terminaux de chauffage : plancher chauffant ou radiateurs certifiés NF PAC pour des régimes d'eau de 25 à 55 °C.ARIANEXT COMPACT M, la solution tout-en-un ultra compacteARIANEXT COMPACT M réunit une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et une colonne tout-en-un intégrant un module hydraulique et un ballon de stockage pour l'eau chaude sanitaire de 180 litres. Solution la plus compacte du marché avec un encombrement au sol de seulement 60 x 60 cm, ARIANEXT COMPACT M trouve sa place aussi bien dans un garage, une buanderie ou même une cuisine grâce à son format “colonne”.ARIANEXT FLEX M pour s'adapter à toutes les habitationsARIANEXT FLEX M est la solution flexible par excellence qui assure la production du chauffage et de l'eau chaude sanitaire en version chauffage seul ou chauffage et rafraîchissement.Elle combine deux solutions hautes performances : une pompe à chaleur monobloc équipée de la technologie Inverter DC et un module hydraulique compact. Elle se décline en ballon déporté de 180 ou 300 litres. La solution idéale pour des profils de soutirage XL pour la production d'ECS.ARIANEXT PLUS M : la solution grand confortSolution grand confort, ARIANEXT PLUS M est une PAC mono service au design compact, combinant une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et un module hydraulique mural.La PAC peut être associée à un ballon thermodynamique de type AQUANEXT disponible en version 200 ou 250 litres, pour la production d'eau chaude sanitaire en grande quantité, parfait pour les habitations avec plusieurs salles de bain. La fonction rafraîchissement est assurée grâce à l'ajout d'un kit spécifique même après installation, pour un confort toute l'année. Elle peut également être reliée à des radiateurs basse et haute température et/ou à un plancher chauffant.ARIANEXT LITE M ou la PAC des installations sur-mesureARIANEXT LITE M est une pompe à chaleur monobloc ultra flexible qui a été conçue pour s'intégrer dans toutes les configurations par les installateurs. Son unité extérieure Inverter DC assure le chauffage et en option, le rafraîchissement. PAC mono service, elle s'intègre parfaitement avec l'installation existante et facilite les projets de travaux tout en optimisant le confort de chauffe. Ultra compacte, elle affiche des performances records avec un COP de 5,11.
Il y a 4 ans et 268 jours

Pose rapide de 19 poutres précontraintes très grandes portées sur le chantier du CREPS des Pays de la Loire

Convois exceptionnels et pose « commando »À l'été 2021, le CREPS (Centre de Ressources, d'Expertise et de Performance Sportive) pour la région des Pays De La Loire quittera ses locaux du parc de Broussais à Nantes pour s'installer, sur 5 hectares, sur le site de la Babinière à la Chapelle-sur-Erdre (44).Sur une surface de 11.700 m², le nouveau CREPS disposera de quatre pôles stratégiques : Administratif, Sportif, Formation et Innovation.En cours de construction par GCC Nantes, le bâtiment du pôle Sportif se composera d'un pas de tir à l'arc, d'une salle de tennis de table, une autre de musculation et deux salles multisports. Couvrant une surface au sol de plus de 5.700 m² (chaque salle représente 1.500 m²), il a nécessité 4.700 m3 de béton pour la réalisation des fondations, voiles verticaux, planchers et dallages.Une des particularités du chantier consiste en la réalisation du pas de tir à l'arc en surplomb de la salle de tennis de table. Pour concevoir la dalle qui accueillera cette discipline sportive, GCC Nantes a réalisé la pose de 19 poutres précontraintes de 14 tonnes et d'une portée de 21 mètres.Difficulté : la pose des poutres nécessite l'emploi temporaire d'une grue automotrice de 230 T placée dans le rayon d'action de l'une des deux grues fixes du site, entravant son utilisation et impactant de fait la productivité du chantier.Pour résoudre cette difficulté, GCC Nantes s'est associé à KP1, le leader français des systèmes constructifs préfabriqués en béton précontraint, pour à la fois assurer la production des 19 poutres de grandes dimensions et optimiser ensemble la logistique de leur livraison et leur pose.Grâce à des convois exceptionnels, les poutres précontraintes ont été ainsi délivrées sur le site et posées sans étaiement sur le bâtiment dans un temps record de 3 jours, entre le 15 juillet et le 17 juillet 2020. Pour permettre aux convois d'accéder au site sans difficulté et réduire au maximum les nuisances, une entrée sécurisée a été spécialement créée pour l'occasion.Une planification optimaleKP1 a relevé le défi de livrer l'ensemble des poutres XXL sous trois jours en réponse au cahier des charges de l'entreprise. Un flux tendu qui a nécessité la mobilisation de deux de ses usines, l'une à Limay (78) et la seconde à Camarsac (33). Au total dix convois* exceptionnels de 2ème catégorie, transportant chacun deux poutres d'un poids total de 28 tonnes, sont partis de ces sites.Lien essentiel entre le conducteur de travaux GCC et le service logistique KP1, le responsable de la planification et de l'ordonnancement KP1 s'est assuré du respect des délais avec, chaque jour, l'arrivée des camions à deux heures d'intervalle. Un timing nécessaire pour décharger et mettre en œuvre directement les poutres sur le chantier.* Le dernier camion transportait une seule poutre. Une conception et une fabrication sur-mesure« Choisir KP1 signifiait faire appel à un seul industriel à la fois pour ces poutres XXL mais également pour les prédalles dont certaines devaient être renforcées. Un réel avantage dans l'organisation du chantier car nous avions un unique interlocuteur pour l'ensemble du plancher. », souligne Chloé GUILLOU, conductrice de travaux de GCC Nantes.Le bureau d'études KP1 et l'entreprise GCC ont collaboré de concert en amont afin de valider tous les plans d'exécution de la structure en béton préfabriquée. Au-delà du dimensionnement des poutres en « I » (L. 21 m x l. 45 cm x h. 95 cm), un soin particulier a été apporté à la conception des prédalles positionnées en R+3 à près de 10 m de haut. Mises en œuvre sans étaiement, elles devaient supporter des charges plus importantes. Elles ont été renforcées avec des ferraillages et des épaisseurs plus importantes, variant entre 6 et 12 cm selon les portées (2,15 à 5,90 m). Un savoir-faire technique, maîtrisé par peu d'industriels, qui permet de supprimer les appuis supplémentaires et les échafaudages. Un véritable gain de temps et une économie pour l'agence GCC Nantes. Un gage de sécurité également pour les ouvriers. Ils n'ont plus besoin de monter à plus de 10 m de hauteur.Les poutres ont été fabriquées dans les usines KP1 possédant les outils de production adéquats pour ce type de structure hors-norme. Une fois les cadres de poutres mis en forme, assemblés et montés à l'aide d'une machine spécifique, ils étaient envoyés à l'atelier de fabrication. Une équipe réalisait la mise en place des aciers précontraints dans les cages d'armatures et les réservations si besoin avant de débuter le coulage du béton autoplaçant dans un moule de 90 m de long. Cette longueur de banc permettait ainsi de réaliser quatre poutres en simultané après l'opération d'étuvage. Prêtes en moyenne en 2 jours 1/2, les poutres ont été fabriquées seulement quelques jours avant la livraison.
Il y a 4 ans et 269 jours

GCC : Le fond environnemental avant la forme

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. Amandine Debrand, ingénieure environnement de GCC. [©GCC] Amandine Debrand, ingénieure environnement, et Stéphane Loiseau, directeur technique de GCC, détaillent les grands principes de la politique environnementale du groupe : « Nous souhaitons d’abord rester pragmatiques. Nous avons toujours comme objectif de travailler les projets le plus en amont possible. Ce qui nous permet de proposer aux maîtrises d’ouvrage et d’œuvre des adaptations, des variantes, des solutions techniques… Allant dans le sens d’une limitation de l’impact environnemental, tant au niveau de la période de chantier que sur la durée. Néanmoins, nous devons toujours rester réalistes, ce qui ne nous empêche pas de tester en permanence des solutions innovantes, qui seront ou pas retenues pour les chantiers à venir. Comme nous disposons d’une quarantaine d’agences sur l’ensemble du territoire national, cela nous permet de pratiquer une remontée d’information systématique et d’en faire profiter l’ensemble des collaborateurs du groupe ». téphane Loiseau, directeur technique de GCC. [©GCC] « Les maîtres d’ouvrage sont de manière globale réceptifs à nos propositions, précise Stéphane Loiseau. Surtout lorsqu’ils constatent qu’une approche environnementale sérieuse n’implique pas toujours une augmentation des coûts. » Pour structurer ces démarches, la direction “Ingénierie et technique” dispose des capacités à développer des solutions innovantes, globales, mais aussi performantes dans la durée. Le tout en répondant aux labels en vigueur. « Nous avons lancé un plan “Environnement-énergie-climat”, ajoute Amandine Debrand. Nécessaire dans le cadre des accords de Paris, avec des maîtres d’ouvrage contraints de pousser les entreprises à intégrer de plus en plus de paramètres environnementaux dans leurs projets. » Gérard Guérit Travailler sur les systèmes et les matériaux GCC développe des partenariats dans l’application de nouveaux matériaux, comme les bétons décarbonés d’Hoffmann Green Cement Technologies. [©HGCT] Les exemples de recherche appliquée sont nombreux. Comme ce partenariat engagé avec l’industriel vendéen Hoffmann Green Cement Technologies, qui a mis au point un béton décarboné. Les équipes de GCC ont réalisé de nombreux tests sur le liant U-HKR. Et les résultats sont prometteurs. GCC travaille aussi autour des applications bois/béton. Y compris sur des évolutions spécifiques, comme le bois utilisé en coffrage, dans une démarche proche de celle du prémur. « Nous étudions les solutions “tout bois”, sachant qu’elles sont souvent plus coûteuses que les techniques béton, explique Stéphane Loiseau. Les chantiers sont plus rapides et moins contraignants pour l’environnement immédiat. Tout dépend du contexte et du type de constructions. » Pour sa part, le développement du BIM aide à étudier des bâtiments. Pouvant être évolutifs dans le temps, sans avoir à déconstruire la structure en cas de changement d’affectation.  « Nous appliquons la devise “Le bon matériau au bon endroit”. Aucun matériau n’est donc écarté. Et le choix est fait à la lumière des contraintes techniques et économiques. Mais aussi de la volonté du maître d’ouvrage », détaille Stéphane Loiseau. Et de rajouter : « Nous privilégions la simplicité et la facilité de maintenance. Par exemple, nous préférons proposer un bâtiment naturellement peu énergivore. Plutôt que d’arriver au même résultat officiel, en “compensant” par une production d’électricité via des capteurs photovoltaïques ». De la production des bétons aux déchets de chantier GCC privilégie l’installation d’une centrale à béton sur site lorsque cela est possible. [©GCC] L’organisation, l’approvisionnement et la logistique des chantiers font partie des points importants de la politique environnementale de GCC. La première question qui se pose est le choix du moyen de production des bétons. « Lorsque c’est possible, nous privilégions l’installation d’une centrale sur site, », précise Stéphane Loiseau. Pour les approvisionnements, l’entreprise favorise les circuits courts. « A titre d’exemple, nous préférons parfois promouvoir un isolant classique, mais fabriqué dans la région du chantier, plutôt qu’un isolant biosourcé qui nécessite un transport de plusieurs centaines de kilomètres », indique Amandine Debrand. Les modes de conditionnement, les matériaux retenus… contribuent à l’optimisation de la gestion des déchets de chantiers et de leur recyclage. « L’économie circulaire commence à être une réalité, ajoute Amandine Debrand. Nous avons engagé plusieurs réflexions à ce sujet. Nous avons aussi initié des démarches avec des start-up spécialistes de ces sujets. » Dans le cas de déconstructions et/ou de rénovations lourdes, le concassage et la réutilisation des bétons de démolition sont privilégiés dans l’environnement immédiat du chantier. « Contrairement à ce que l’on imagine, le recyclage des bétons n’est pas toujours évident, surtout lorsque l’on souhaite utiliser ces bétons pour la réalisation de structures porteuses. D’où l’intérêt de pouvoir conserver le gros œuvre d’un ouvrage dans la durée et dans des affectations différentes », explique Stéphane Loiseau. Optimiser les installations, gérer les nuisances La gestion des nuisances passe aussi par une bonne communication avec les riverains. [Gérard Guérit] Les installations de chantier font aussi l’objet de réflexions à des degrés divers. L’idée de cantonnements “verts” a permis d’imaginer des bungalows assez indépendants en énergie, grâce à la pose de capteurs photovoltaïques. La direction de GCC est ensuite allée plus loin, faisant appel à des fournisseurs de capteurs européens et non chinois. Mais aussi, en améliorant les performances thermiques des bungalows, par habillage de bois et isolation à l’aide de matériaux biosourcés. Les opérations en site urbain imposent de réduire au maximum les nuisances. Cela peut influer les modes opératoires. Par exemple, retenir des bétons auto-plaçants pour éviter les opérations de vibration. Adapter les horaires de travail pour les interventions les plus bruyantes (usage de marteaux-piqueurs ou travaux de concassage en phase de démolition). Ces adaptations, qui peuvent aller jusqu’à modifier une technique d’intervention, sont incontournables pour les travaux situés à proximité d’écoles, de crèches, d’établissements de santé… La gestion des nuisances passe aussi par une bonne communication avec les riverains. « Une nuisance expliquée est plus facilement admise. Nous organisons des visites de chantier pour les riverains. Ce qui leur permet de mieux comprendre nos contraintes, d’accepter des désagréments passagers, et qui sait, de donner des vocations aux plus jeunes. Le BTP peinant toujours à recruter du personnel qualifié », confirme Amandine Debrand. Réinventer les modes de déplacement GCC a fait le choix du véhicule électrique, même si les véhicules à motorisation thermique restent majoritaires. [©Nissan] La politique environnementale passe par l’optimisation des transports. Amandine Debrand en expose les grandes lignes. « Nous évitons que des personnes qui habitent dans le Sud de l’Ile-de-France soient envoyées sur des chantiers situés à l’autre extrémité de la région. Nous travaillons à optimiser les déplacements des commerciaux, des conducteurs de travaux et de tous les collaborateurs. » GCC prend en compte les évolutions des modes de déplacement. A moyen terme, l’entreprise vise le “tout électrique”, estimant que la solution de l’hybridation n’a pas vraiment de sens pour des véhicules surtout utilisés sur route. GCC s’appuie sur le fait que les derniers modèles de véhicules électriques disposent d’une autonomie suffisante pour pouvoir être utilisés comme un véhicule thermique, moyennant une organisation un peu adaptée. Ces hypothèses ont déjà pu déjà être vérifiées par des cadres de l’entreprise, amenés à se déplacer sur des distances relativement importantes. De plus, les salariés peuvent bénéficier d’un “pack mobilité GCC”, qui prend la forme d’un forfait permettant de retenir le moyen de transport le plus adapté à la situation du moment, de la trottinette électrique à la location de voiture, en passant par le Vélib et l’achat de billets de train… Cette démarche correspond à une vraie demande, surtout de la part des générations montantes, qui ne  considèrent plus la voiture de fonction comme un “plus”, mais pour certains comme une contrainte, en particulier dans les grandes zones urbaines. Juillet 2020
Il y a 4 ans et 270 jours

Cemex contribue à la construction de la Toulouse School of Economics

Entre tradition et modernitéVisible depuis la place Saint-Pierre et l'écluse du canal de Brienne, l'architecture contemporaine caractérisée par les 300.000 briques roses de la nouvelle école d'économie s'intègre parfaitement au centre historique de la ville. A l'intérieur du bâtiment, les architectes ont fait le choix de laisser les bétons bruts apparents, pour un rendu particulièrement réussi.« C'est un des nombreux avantages du béton. Il s'harmonise parfaitement avec les autres matériaux de construction, voire il les magnifie » s'enthousiasme Thierry Seguela, commercial grands comptes pour CEMEX.A chaque étage, le bâtiment a été pensé pour favoriser rencontres et partage (bureaux, salles de cours, terrasses, promenade à l'air libre). Il comprend également plusieurs auditoriums, d'une capacité de 40 à 150 places, pour héberger conférences et séminaires scientifiques. Au 5ème et 6ème étages, le « cloître du ciel », passerelle extérieure longue d'environ 22 m, relie les deux ailes du bâtiment et offre une vue époustouflante sur la Garonne et la ville.Sous les briques... le béton.Entre 2015 et 2019, depuis son unité de production de Toulouse-Larrieu, CEMEX a livré à Eiffage Construction Midi-Pyrénées, en charge du gros-œuvre, plus de 7.200 m3 de bétons prêts à l'emploi, dont plus de 5.200 m3 de bétons architectoniques. A ces bétons s'ajoutent quelques centaines de m3 de béton léger pompé, d'une densité de 900 kg/m3, permettant d'alléger la structure du bâtiment.« Les équipes CEMEX ont excellé dans la livraison de volumes importants, et ont également apporté des solutions à plusieurs exigences particulières » indique Frédéric Joubert, responsable promotion et prescription. « En effet, nous avions besoin d'une résistance mécanique au jeune âge lié à la présence de planchers post-contraints, et aussi d'une qualité visuelle irréprochable des bétons en sous-face. Mais la contrainte la plus exigeante restait l'homogénéité de la teinte (un gris de niveau 2) de l'ensemble des bétons, verticaux et horizontaux pour des classes de résistance de C30/37 jusqu'à C50/60 » ajoute-t-il.Pour suivre et contrôler la colorimétrie des bétons mis en œuvre, Eiffage Construction Midi-Pyrénées a fait appel à l'entreprise LRVision spécialisée dans le domaine des parements des bétons architectoniques.« Le département produits et qualité de CEMEX a porté un soin tout particulier à l'ensemble des formules de bétons qu'il a fallu minutieusement élaborer à partir de plans d'expérience pour garantir une teinte proche et un rendu homogène, à partir de matières premières spécifiques afin de satisfaire le haut niveau d'exigence du chantier. » ajoute Thierry Seguela.Une réalisation architecturale récompenséeDébut mars, à Chicago, Etats-Unis, Yvonne Farrell et Shelley McNamara, deux des fondatrices de l'agence Grafton Architects, ont été sélectionnées comme lauréates du prix Pritzker 2020, internationalement reconnu comme la plus haute distinction dans le domaine de l'architecture. Ce prix récompense une partie de leur œuvre, et notamment la Toulouse School of Economics achevée en 2019. Les équipes CEMEX sont particulièrement fières d'avoir ainsi contribué à la construction d'un bâtiment prestigieux reconnu au niveau international.Maître d'ouvrage : Université Toulouse 1 CapitoleArchitecte : Grafton ArchitectsEntreprise : Eiffage Construction Midi-Pyrénées
Il y a 4 ans et 273 jours

Wilo au service de la reprise

Outil de production au service de la reprisePour anticiper, répondre aux besoins de ses clients et les accompagner dans leur reprise d'activité, Wilo France renforce ses engagements de services et met sa capacité de production au service des marchés de la construction, du bâtiment, de l'industrie et du cycle de l'eau. Ainsi les sites de Wilo France resteront ouverts tout cet été pour approvisionner la distribution professionnelle et fournir les solutions nécessaires aux opérations d'entretien et de maintenance des sites (accessoires, blocs moteurs, pièces de rechange).Le site de production d'Aubigny-sur-Nère (18), dédié aux solutions d'intégration (OEM), gardera une activité partielle continue. Le site de Laval (53) et le siège social à Chatou (78) fonctionneront, eux, à plein régime.Wilo poursuit aussi jusqu'à fin juillet la mise en stock d'une majeure partie de ses gammes eau froide domestique. Nos équipes logistiques en assurent les livraisons quotidiennes. Une production locale et un circuit court pour plus de proximité et réactivité à court terme !
Il y a 4 ans et 276 jours

Les taux des crédits immobiliers repartent à la baisse en juillet

Le mois dernier, les taux des crédits immobiliers accordés par le secteur concurrentiel se sont en moyenne établis à 1,25%, détaille dans un communiqué l'observatoire Crédit Logement/CSA, qui associe les principales banques françaises à un institut d'études de marché.C'est un repli par rapport à juin et, plus globalement, une pause dans la tendance à la hausse des taux des crédits immobiliers français depuis le début de la crise du virus au printemps.En effet, les banques ont d'abord "augmenté les taux des nouveaux crédits accordés afin de limiter les conséquences de la crise sur leurs équilibres financiers", rappelle l'observatoire.Mais, ces dernières semaines, elles ont "révisé à la baisse leurs barèmes (...) afin de soutenir la demande de crédits immobiliers", poursuit-il.Même si les taux se replient et restent ainsi proches de leurs plus bas niveaux historiques, cela ne signifie pas pour autant que les banques allègent tous leurs critères pour octroyer des prêts immobiliers.Ainsi, la durée moyenne des prêts octroyés a fortement baissé en juillet pour s'établir à 224 mois - un peu moins de 19 ans -, soit six mois de moins qu'en juin."Le déplacement de la production vers des prêts de plus courte durée répond à la transformation des clientèles", commente l'observatoire.Depuis le début d'année, les banques ont en effet tendance à réduire la part des emprunteurs immobiliers les plus jeunes et les moins fortunés, soit ceux qui tendent à emprunter sur les plus longues durées.Selon l'observatoire et d'autres acteurs du marchés, c'est non seulement la conséquence de la crise mais aussi de recommandations formulées fin 2019 par les autorités financières pour restreindre légèrement les critères d'emprunt.
Il y a 4 ans et 279 jours

Stephan Helmbacher, vice-président de l’Unicem Grand Est

Pdg des Sociétés Ballastières et Sablières Helmbacher implantées dans le Bas-Rhin, Stephan Helmbacher devient vice-président de l’Unicem Grand Est. [©Unicem] Pour les représenter, les producteurs de granulats de la région Grand Est ont élu Stephan Helmbacher, président du collège “Granulat” de l’Unicem Grand Est. Il devient aussi vice-président de l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) régionale. Succédant à Philippe Huchon, appelé à exercer ses fonctions dans l’Ouest de la France. Son parcours Pdg des Sociétés Ballastières et Sablières Helmbacher implantées dans le Bas-Rhin, Stephan Helmbacher représente la 4e génération à la tête de l’entreprise. « Avec plus de 300 carrières réparties sur la région, nous mobilisons des ressources locales et garantissons à la collectivité un approvisionnement de proximité, continu, sûr et durable. Afin de répondre aux besoins d’entretien, de construction et d’aménagement de notre cadre de vie », explique Stephan Helmbacher. Jusqu’ici président du collège “Alsace”, Stephan Helmbacher porte désormais la voix de 85 entreprises adhérentes. Œuvrant dans l’extraction, la production et le recyclage de granulats. « La parution récente du “Guide Eviter, Réduire, Compenser les impacts sur les milieux naturels” a été élaboré avec le ministère de la Transition écologique et solidaire. Il illustre la robustesse de notre savoir-faire et la richesse de nos expériences en matière de préservation de la biodiversité. » L’union rassemble dans la région 150 entreprises représentant près de 650 sites.
Il y a 4 ans et 280 jours

La France subit une récession historique à cause du coronavirus

Depuis qu'il mesure l'activité économique française de façon trimestrielle, jamais l'Institut national des statistiques n'avait enregistré pareil effondrement.Il a aussi révisé sa mesure de l'activité au premier trimestre, qui a chuté de 5,9%, au lieu de 5,3% rapporté précédemment.La chute du PIB au deuxième trimestre est toutefois moindre que ce qu'anticipaient la plupart des analystes et l'Insee lui-même, qui l'entrevoyait encore à 17% au mois de juin.Mais "cette première estimation reste fragile et elle est susceptible d'être révisée, davantage qu'à l'accoutumée, dans les prochaines publications des comptes trimestriels", avertit dans son communiqué l'institut, qui ne publie pas de nouvelle prévision pour l'ensemble de l'année après celle d'une récession de 9% faite début juillet.Dans le détail, la consommation des ménages, principale composante de la croissance, a reculé de 11%, la production de biens de biens et de services s'est affaissée de 14,2%, avec un plongeon encore de l'industrie manufacturière, de 16,8%.Les investissements dégringolent de 17,8%, les exportations de 25,5%, tandis que les importations diminuent de 17,3% sur le trimestre.Seul l'alimentaire résiste avec tout de même un léger recul de 0,5% et les services marchands limitent la casse avec une baisse de 6,2%.Mais "s'agissant des services, les dépenses de services de transports (-45,8%) et d'hébergement-restauration (-56,9 %) s'effondrent, en lien avec les restrictions administratives mises en œuvre pour lutter contre la pandémie", rapporte encore l'Insee.D'une manière générale, "l'évolution négative du PIB au premier semestre 2020 est liée à l'arrêt des activités +non essentielles+ dans le contexte du confinement mis en place entre mi-mars et début mai", explique l'institut."La levée progressive des restrictions conduit à une reprise graduelle de l'activité économique aux mois de mai puis de juin, après le point bas atteint en avril", poursuit-il.La plus forte baisse trimestrielle du PIB avant la crise du coronavirus avait été enregistrée au deuxième trimestre 1968, affecté par la grève générale en mai, mais qui avait été suivi par un rebond de +8% à l'été.Signaux contrastésLa remontée devrait cette fois être d'autant plus vigoureuse que la dégringolade fut abyssale: l'Insee a prévu +19% pour le troisième trimestre, Natixis +16% et la Banque de France +14%.Plusieurs indicateurs publiés la semaine dernière confirment un rebond dynamique de l'économie française, comme le redressement de l'activité en juillet mesuré par le cabinet Markit ou le regain de confiance des chefs d'entreprise.Mais le moral des ménages, qui avait commencé à se redresser en juin suite au déconfinement, a de nouveau fléchi en juillet, a rapporté mercredi l'Insee.Et si la consommation a dans l'ensemble bien repris, le début des soldes a été "peu dynamique", selon la fédération Procos du commerce spécialisé.En conséquence, la part des Français qui estime qu'il est opportun d'épargner augmente pour le troisième mois consécutif, alors que la mobilisation des 100 milliards d'euros d'épargne supplémentaires prévus cette année jouera un rôle décisif dans la reprise.
Il y a 4 ans et 280 jours

Rector Lesage : « Saisir les opportunités s’inscrit dans notre stratégie »

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. Rémi Lesage, président, et Ronan Blanchard, nouveau directeur général du groupe Rector Lesage. [©Rector Lesage] Rector Lesage vient d’opérer un changement de direction générale : départ à la retraite de Pierre Laplante. Cela va-t-il entraîner une modification de la stratégie d’entreprise ? Ronan Blanchard : La stratégie d’une entreprise ne dépend pas d’une seule personne. Mon arrivée pour prendre la suite de Pierre Laplante n’a donc pas remis en cause les choix opérés dans le cadre du plan à moyen terme déjà en place. Je considère d’ailleurs ce dernier comme pertinent. Toutefois, des adaptations ou des simplifications peuvent toujours y être apportées… L’outil industriel doit aussi être mis au cœur de notre stratégie, car c’est lui qui garantit la qualité des produits proposés par Rector. Rémi Lesage : En revanche, la crise du coronavirus va Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne avoir des répercussions sur le marché. Malgré le rebond lié au déconfinement, qui va s’opérer dans les mois qui viennent, l’année 2021 sera sans doute assez compliquée… Cette situation a aussi fragilisé des entreprises et des opportunités vont se présenter, sans doute plus tôt que prévu. Rector a plutôt bien traversé cette période et reste à l’écoute du marché.  Quelles sont les orientations actuelles de Rector en matière de produits ? R. L. : Rector reste leader dans le domaine de la poutrelle précontrainte et est très bien positionné sur celui de la prédalle. Quant au mur coffrage intégré, il est le complément naturel des solutions constructives horizontales. Dans l’avenir, ces produits continueront à être au cœur de notre activité. R. B. : Toutefois, Rector a de nombreux projets en développement… Si des diversifications sont bien programmées à moyen terme et en fonction des opportunités que nous apportera le marché, les champs de recherche sont plutôt centrés sur les optimisations de coûts, de services ou de formulations des bétons. A ce niveau, notre R&D est aujourd’hui pilotée par André de Chefdebien et Emmanuel Boichon, rejoints depuis un an par Eric Stora. Bétons bas carbone et matières premières biosourcées font partie de nos réflexions prioritaires. Enfin, s’il doit y avoir une rupture, ce sera plus dans la manière d’utiliser les solutions constructives et pas forcément sur les produits eux-mêmes. Rector reste-t-il toujours centré sur le bâtiment ? Ou bien l’acquisition de LB7 lui a-t-il ouvert de plus grandes perspectives en génie civil et en travaux publics ? A l’image des poutrelles précontraintes, les produits destinés au bâtiment constituent le cœur de métier du groupe Rector Lesage. [©Rector Lesage] R. B. : Le bâtiment, au sens large du terme, est dans l’ADN de Rector. Et nous avons encore beaucoup de choses à y écrire. Les bâtiments moins énergivores ou reconfigurables se présentent comme des défis que nous avons l’ambition de relever justement. Il est aussi difficile de concevoir que Rector soit un acteur peu présent dans le vertical. Notre mur coffrage intégré devra donc occuper une place plus importante sur le marché. Par contre, il est peu probable que nous devenions un acteur du bloc béton. Et encore moins dans le domaine du béton prêt à l’emploi ! R. L. : Même si nous savons faire des produits pour d’autres domaines, les activités “non bâtiments” occuperont encore une place minoritaire dans notre éco-système, car un développement tous azimuts n’est ni souhaitable, ni sans risque pour une entreprise… Vous avez créé la marque Neo Planchers et Murs Réinventés sur la façade Atlantique en 2015. Pourquoi ce choix ? R. B. : Il n’est pas exceptionnel qu’un industriel, dont la marque est connue crée une marque secondaire. Néo P&MR s’inscrit dans cette logique pour répondre à des besoins particuliers : celui d’un meilleur maillage local, celui d’une typologie de clients différents de ceux de Rector, celui d’une structure plus légère, plus réactive. Et cette entité peut aussi être le réceptacle de quelques intégrations secondaires, si l’opportunité se présente. Néo P&MR a permis de fusionner en une entité unique les marques Planchers Fabre, présentes surtout sur le Sud-Ouest de la France et LB7, basée dans les Deux-Sèvres. Il est vrai que ces deux sociétés ont une grande complémentarité géographique. Vous avez dit que l’outil industriel devait être au cœur de la stratégie de Rector. L’extension de l’usine de Tournefeuille, en Haute-Garonne en est donc la parfaite illustration ? R. B. : L’usine est magnifique ! Un investissement de 20 M€ pour Rector… Le nouveau hall est dédié à la production de murs à coffrage intégré, solution qui manquait dans le Sud-Ouest. Jusqu’à présent, ces éléments devaient être acheminés depuis notre usine de Nantes ou de Marseille. L’outil de Tournefeuille va nous permettre de gagner des parts de marché sur ce produit. Il est aujourd’hui en cours de test avec la production de prédalles. Son démarrage effectif interviendra au cours du dernier trimestre de cette année. Rector est aussi présent à l’international, en Belgique et en Europe centrale. Où en sont les développements de ce côté-là ? Rector Lesage vient d’investir 20 M€ dans l’extension de l’usine de préfabrication de Tournefeuille, en Haute-Garonne. Dès la fin de cette année, l’unité assurera la production locale de murs à coffrage intégré. [©Rector Lesage] R. B. : Après Chrzanow, dans le Sud de la Pologne, nous sommes en train de finaliser la construction et l’aménagement de notre 2e usine, implantée à proximité de Varsovie. Elle devrait être opérationnelle à la rentrée. Les deux unités de production ont la même typologie : production de poutrelles précontraintes et de prélinteaux pour l’essentiel. La Pologne est un pays qui nous a surpris par sa résilience. La crise du coronavirus l’a certes touché, mais il est depuis reparti très vite… Nous continuons aussi à livrer nos produits en Tchéquie et en Slovaquie… Par contre, malgré un bon démarrage, la Russie n’a pas tenu ses promesses, ce qui nous oblige à quitter ce marché aujourd’hui, avec la fermeture définitive du bureau de Moscou au 31 décembre prochain. Il y a quelques années qu’existe l’espace Campus. Quel est son objectif ? R. L. : Il s’agit de notre pôle de formation interne, créée par Jean-Paul Beckert il y a une vingtaine d’années, quand il occupait le poste de directeur général. Notre volonté a toujours été d’embaucher un minimum d’apprentis. Mais il n’y a pas de formation spécifique d’opérateur en préfabrication au sein de l’Education nationale. Cette dernière ne peut pas tout faire. Nous avons donc appliqué le proverbe “Aide-toi et le ciel t’aidera”, en fondant notre propre école. Le Campus Rector constitue aussi la pépinière de talents interne de l’entreprise. Propos recueillis par Frédéric Gluzicki Ronan Blanchard, de la chimie à l’industrie du béton Ronan Blanchard, 46 ans, a pris les fonctions de directeur général de Rector Lesage depuis le mois de janvier 2020. Il a ainsi succédé à Pierre Laplante, qui a fait valoir ses droits à la retraite, après 10 ans passés à piloter le groupe au quotidien. Ronan Blanchard a pris ses fonctions dans des circonstances particulières, alors même que la crise du coronavirus montait en puissance... Bien connaître l’industrie et le secteur de la préfabrication fut donc un atout majeur pour assurer cette transition. Ingénieur en génie des procédés de formation, diplômé de l’Ecole nationale supérieure des industries chimiques, Ronan Blanchard a débuté sa carrière dans ce domaine d’activité. C’est seulement en 2007 qu’il rejoint le monde du béton, en intégrant le groupe breton Quéguiner. En qualité de directeur industriel, puis de directeur général de Celtys, branche préfabrication de l’entreprise. Ceci, avant d’accéder à la direction générale du groupe, poste qu’il gardera jusqu’en 2016. Ensuite, Ronan Blanchard a choisi une nouvelle orientation, en rejoignant SFA, pour y prendre, là encore la direction générale France des entités Kinedo et Watermatic. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 280 jours

Sika : La ViscoChape joue à domicile

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. La chape a été coulée sur un primaire d’accrochage, la réserve de la dalle limitant les options. [©SNC] Il est un proverbe qui dit : “On n’est jamais mieux servi que par soi-même”. Pour les bureaux de sa centrale de Communay (69), SEBM, société du groupe Martel, l’a appliqué à la lettre. Afin d’en réaliser l’aménagement, la centrale a en effet fourni, pour elle-même, 90 m2 de chape fluide ciment. « Nous avons fait le choix d’une pose dite “adhérente,” explique Richard Guillet, gérant de la Société nouvelle de carrelage (SNC), en charge du coulage. Habituellement, sur ce type de bâtiments, la pose est désolidarisée, il nous suffit de couler la chape. Mais la réserve entre la dalle et le niveau fini était trop réduite. Nous avons donc posé en adhérent, en utilisant un primaire d’accrochage, le weberfloor 4716. » La chape a ensuite été coulée sur une épaisseur de 35 mm. Une pose de chape adhérente C’est la ViscoChape C2O-F4 de Sika, qui a été choisie pour ce chantier à domicile. [©SNC] La chape en question est une ViscoChape C20-F4 de chez Sika. « SEBM propose cette solution à ses clients, il était donc logique que nous nous fournissions sur place. D’autant que nous travaillons depuis un an avec Sika pour nos chantiers du quotidien », indique Richard Guillet. Et même si la centrale n’était qu’à quelques mètres du chantier, les moyens mis en œuvre pour sa livraison sont restés identiques à ceux utilisés pour les chantiers plus distants. En effet, les Avis techniques des chapes balisent le mode de fourniture…  « La chape a été livrée par l’intermédiaire d’une toupie, qui alimentait notre pompe à chape fluide. Une Putzmeister SP 20 THF. Deux compagnons se sont ensuite chargés de couler la Viscochape. Evidemment, la proximité de la centrale a facilité l’approvisionnement et nous avons pu réaliser l’ensemble des travaux en à peine 4 h. Et pas de trace du moindre problème de rhéologie », sourit Richard Guillet. Pionnier de la chape fluide sur Lyon Longs de 15 m, les bureaux ont nécessité un joint scié de pré-fissuration. « Nous avons fait ce joint le lendemain du coulage. Après séchage et dans la foulée de l’aménagement des murs, nous avons réalisé la pose du carrelage. » Couler la chape, puis poser le carrelage, SNC y est un habitué. « Nous coulons des chapes fluides depuis 25 ans, nous faisons partie des pionniers de cette solution dans la région du Grand Lyon. » Installé à Brindas, commune située à l’Ouest de Lyon, l’entreprise compte sept compagnons chapistes, organisés en trois équipes, chacune avec sa pompe à chape (deux Putzmeister et une Turbosol). Pour un total de 7 000 m3 coulés par an. « Nous avons également une dizaine de poseurs de carrelage. Les équipes travaillent en complément, même si toutes nos chapes ne sont pas forcément pour nos propres poses de carreaux », conclut Richard Guillet. De même que des chantiers aussi proches de la centrale de production de la chape restent une exception… Yann Butillon
Il y a 4 ans et 281 jours

Hager Group et Audi AG présente le Vehicle to Home, la recharge bidirectionnelle du véhicule vers la maison

Au cours du premier semestre 2020, les énergies renouvelables ont représenté pour la première fois plus de 50% de la production électrique totale en Allemagne. Mais cette part croissante des énergies vertes s'accompagnent néanmoins d'un dilemme fondamental : elles ne fournissent pas toujours de l'électricité quand celle-ci est nécessaire. À l'inverse, lors de journées ensoleillées ou de phases de vents forts, les capacités de stockage de l'énergie produite font souvent défaut. Hager Group et AUDI AG ont défini une stratégie de recherche qui devrait jouer un rôle déterminant dans la résolution de cette problématique : la recharge bidirectionnelle du véhicule vers la maison, aussi appelée Vehicle to Home (V2H).Le concept est aussi simple qu'il est génial : la batterie haute tension d'une voiture électrique peut être rechargée au moyen du réseau électrique domestique, mais celle-ci peut également être utilisée comme dispositif de stockage décentralisé pour ce même réseau.« Une batterie de véhicule électrique peut stocker une quantité d'énergie pratiquement équivalente aux besoins d'un ménage moyen pour une semaine », explique ainsi Ulrich Reiner, expert en électromobilité chez Hager Group.Cela signifie qu'en principe, toute batterie haute-tension de véhicule électrique pourra à l'avenir être rechargée à domicile à l'aide de cette nouvelle infrastructure de recharge, mais aussi devenir source d'énergie pour le réseau électrique. Les propriétaires qui produisent de l'énergie solaire sur leur toit peuvent alors la stocker localement dans leur véhicule, pour la restituer au bâtiment en cas de besoin. Ce processus de recharge bidirectionnelle domestique est baptisé Vehicle to Home (V2H).Selon Ulrich Reiner, « Le V2H présente un fort potentiel d'économies pour la facture énergétique des propriétaires immobiliers. Il permet en outre de renforcer la stabilité du réseau électrique et d'offrir une alimentation de secours dans l'éventualité d'une panne générale ». Il ajoute : « L'idée d'utiliser la batterie de milliers de véhicules électriques de façon à lutter contre le réchauffement climatique nous a motivé dès le début du projet. ».Une prouesse techniqueSi le concept paraît simple en théorie, il nécessite en pratique une forte expertise technologique et une orchestration très précise de divers composants techniques. La collaboration entre Hager Group et AUDI AG s'est nouée sur cette maîtrise essentielle.Hager Group fournit le savoir-faire technique au cœur de l'infrastructure de recharge, qui permet l'usage V2H de la batterie du prototype développé pour le modèle Audi e-tron. Grâce à la filiale E3/DC du groupe Hager, dont la centrale photovoltaïque domestique séduit le marché depuis de nombreuses années, la batterie peut en effet servir d'accumulateur d'énergie. Le bon fonctionnement d'un système de recharge bidirectionnelle au quotidien implique néanmoins d'autres éléments essentiels, tels qu'un dispositif de gestion intelligente de l'énergie, afin d'assurer la commutation entre le véhicule et la maison en fonction de l'ensoleillement et des besoins, et enfin une borne de charge. Là aussi, le portefeuille de produits de Hager Group a prouvé sa valeur. La société américaine IoTecha a par ailleurs contribué au projet en vue d'assurer sa conformité à la norme de recharge CCS. Objectif : fonctionnalité au quotidienLa fonctionnalité du système au quotidien a constitué un critère clé pour les concepteurs dès la phase de développement.« L'accès à la mobilité prime sur tout le reste. La recharge bidirectionnelle ne doit en aucun cas représenter une contrainte pour le client. », affirme ainsi Martin Dehm, Chef de projet technique pour le recharge bidirectionnelle chez Audi. « Le système intelligent de gestion de la charge contrôle l'utilisation optimale de la batterie et maximise ainsi l'efficacité économique de l'ensemble du dispositif. Pour le client, le fonctionnement est extrêmement simple : il suffit de raccorder le véhicule, et le reste se fait automatiquement. », conclut-il.Un grand pas pour la transition énergétiqueSelon Ulrich Reiner, la pertinence du projet ne fait aucun doute : « À l'avenir, de plus en plus de propriétaires disposeront d'une batterie dans leur cave, dans leur garage ou à l'extérieur de leur maison. Ils pourront y stocker, par exemple, l'énergie produite par les panneaux photovoltaïques de leur maison ». En combinant installation photovoltaïque avec le système de stockage domestique et la batterie du véhicule, les ménages accéderont à une autosuffisance énergétique de plusieurs jours, tout en soulageant le réseau électrique. Ils contribueront ainsi de manière déterminante à la transition énergétique.
Il y a 4 ans et 281 jours

L'État débloque 600 millions d'euros pour les régions qui saluent "une révolution"

"On va faire taire toutes nos guéguerres, toutes nos différences légitimes (...) pour montrer que nous savons agir dans le même sens", a plaidé le Premier ministre avant de parapher cet accord avec le président de l'Association des régions de France, Renaud Muselier."Nous sommes très satisfaits de ce qu'on vient de signer", a abondé M. Muselier, rendant un hommage appuyé à M. Castex avec qui il a "en 15 jours débloqué une situation très complexe que nous n'avions pas réussi à débloquer en trois ans".Les collectivités ont nourri des relations sur courant alternatif avec l'ancien Premier ministre Edouard Philippe et avec Emmanuel Macron. Fin mai, les régions avaient claqué la porte d'une réunion avec le gouvernement, s'estimant oubliées d'un plan d'urgence de 4,5 milliards d'euros principalement fléché vers les communes et départements.Et Emmanuel Macron avait voulu en juin, selon des présidents de région, conditionner l'aide de l'Etat à un report des élections régionales, scénario finalement balayé par Jean Castex mi-juillet.Alors que M. Castex multiplie les gestes et déclarations de bonnes intentions envers les territoires depuis sa prise de fonctions, la réconciliation avec les régions vient conforter sa stratégie.Un chèque de 600 millions d'euros en crédits d'investissement leur est donc apporté, sachant que les régions, dotées d'importantes compétences en matière d'emploi, formation, transport ou encore économie, devront être des relais précieux dans la mise en oeuvre du futur plan de relance attendu fin août."Est ce que c'est assez ? C'est jamais assez", a souri M. Muselier, qui évalue à 1,2 milliard d'euros l'impact de la crise sur les finances des régions. Mais "c'est une très bonne décision", a-t-il encore salué.Autre signe d'apaisement, la confirmation de la compensation totale de la baisse des impôts de production, décidée par l'exécutif pour stimuler la compétitivité des entreprises. Cette coupe claire de 20 milliards d'euros vient directement toucher les régions, qui en percevaient 7 à 10 milliards, notamment via la cotisation sur la valeur ajoutée (CVAE)."Il n'était pas question que ça vienne aggraver les difficultés financières des régions, donc nous prenons nos responsabilités", a déclaré Jean Castex.Les régions se verront donc affecter une fraction équivalente de la TVA, dont le rythme d'évolution suivra le dynamisme au niveau national.En échange, les régions s'engageront à investir massivement dans la relance, jusqu'à 20 milliards d'euros. Cela s'effectuera dans le cadre des contrats de plan Etat-Région 2021-2027 qui seront discutés entre septembre et décembre et dont les axes forts tourneront autour de la transition écologique, la recherche, la cohésion sociale, la santé, la formation professionnelle ou encore la modernisation des infrastuctures de transport.Il est aussi demandé aux régions d'alimenter un "fonds de sauvegarde" mobilisable en cas de nouvelle crise et d'améliorer les mécanismes de péréquation entre régions.Enfin, régions et Etat sont convenus de collaborer étroitement dans la mise en oeuvre du plan de relance, notamment dans les secteurs de l'automobile et l'aéronautique et dans la mobilisation des fonds européens.
Il y a 4 ans et 281 jours

Les Génies de la construction récompensent 8 lauréats

L’édition 2020 des Génies de la construction s’est adaptée au contexte de crise sanitaire liée au Covid-19, par la mise en place d’un dispositif exceptionnel. [©DR] Le concours “Les Génies de la Construction !” est organisé en partenariat avec le ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse. Ainsi que les diverses fédérations, organismes et associations du BTP (notamment l’Ecole française du béton). Il est ouvert aux élèves et étudiants des collèges, lycées et établissements du supérieur. Ce concours contribue à une meilleure orientation scolaire et professionnelle des jeunes. Ainsi qu’à donner du sens et concrétiser les enseignements, à faciliter le travail transversal et collectif d’une équipe d’élèves et d’étudiants. Et enfin, à inscrire la transition numérique dans les apprentissages et l’éducation à l’avant-poste de la transition écologique. Pour sa 16e édition, 8 projets lauréats ont été retenus, issus de productions répondant aux problématiques d’un territoire intelligent, durable et connecté Sous le signe du Covid-19 Mais les choses ne se sont pas passées comme les autres années, Covid-19 oblige. En effet, cette édition 2020 s’est adaptée au contexte de crise sanitaire, par la mise en place d’un dispositif exceptionnel. La date de dépôt des projets a ainsi été reportée, pour que les jeunes puissent finaliser leurs projets initiés depuis le mois de septembre 2019. Afin de remplacer l’habituelle soutenance des projets devant un jury, les équipes ont été invitées à réaliser une vidéo de présentation de leur projet. Les dossiers ont été déposés sur une plate-forme dédiée. Afin que les jurys des différentes catégories du concours puissent évaluer les travaux à distance. Et sélectionner parmi les projets les lauréats du concours. 171 équipes étaient initialement engagées dans le concours. 29 d’entre elles ont pu mener leur projet à terme, malgré le contexte de la crise sanitaire. Palmarès 2020 des Génies de la Construction ! Catégorie « Collège » (élèves du cycle 4)– 1er prix : collège Pierre Loti (Rochefort – académie de Poitiers) Projet “Les digues fractales” – 2e prix : collège Pierre Hyacinthe Cazeaux (Hauts-de-Brienne – académie de Besançon) Projet “La friche en herbe– 3e prix : collège Claude Bernard (Le Havre – académie de Rouen) Projet “Le campus maritime”Prix “Pro” : collège Les Fontanilles (Castelnaudary – académie de Montpellier) Projet “Reconstruction du collège” Catégorie “Sup” (étudiants de l’enseignement supérieur)– 1er  prix (ex æquo) : IUT de Chambéry (académie de Grenoble) Projet “Rénovation du four à pain des Gros Louis d’en Haut” – 1er prix (ex æquo) : université de Cergy-Pontoise (académie de Versailles) Projet “Construction de la passerelle Marianne” – 3e prix : Arts et Métiers – Campus d’Angers (académie de Nantes) Projet “SimCities Durables” – Mention spéciale du jury “Vidéo coup de cœur” : Esitc Caen (académie de Caen) Projet “Concrete & Scraps”.
Il y a 4 ans et 281 jours

Des salariés de Vinci bloquent le chantier d'Ikea à Nice pour protester contre un plan de départs

"Le chantier, qui emploie avec les intérimaires environ 200 personnes, a été totalement arrêté, personne n'est rentré", a précisé Raphaël Cafieri, délégué du personnel de Travaux du Midi Provence, une des entités de Travaux du Midi, filiale de Vinci Construction.Selon ce représentant, sur les 360 salariés de production employés par Travaux du Midi, quelque 180 sont concernés par ce plan de départs volontaires (PDV) qui pourrait basculer selon lui sur un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) si le quota de départs n'est pas rempli avec le PDV. "Nous craignons que cette réduction d'effectifs ne soit qu'un prétexte pour nous remplacer par des emplois en CDD", affirme cet élu du personnel.Sollicitée par l'AFP, l'entreprise Vinci Construction confirme "un plan de réajustement des effectifs" de sa filiale, prévoyant "la réduction de 169 postes de compagnons et de 15 chefs de chantier sur 524 salariés au total".Selon elle, les entreprises Travaux du Midi "connaissent depuis 2016 une dégradation continue de leurs activités, aggravée récemment par la crise sanitaire", avec un chiffre d'affaires "divisé par quatre depuis 2016"."Nos prévisions à court et moyen termes ne nous permettent pas de fournir une activité à toutes nos équipes de production malgré les prêts de main d'oeuvre mis en place en continu depuis trois ans au sein d'autres entités du groupe", ajoute Vinci Construction.De leur côté, les salariés restent déterminés à poursuivre leur mouvement de grève et appellent à un nouveau blocage mercredi matin du chantier Ikea de Nice."Notre directeur s'est déplacé et il a rencontré une délégation du personnel, et nous lui avons redit que le plan social, on n'en veut pas, les licenciements, on est contre", explique M. Cafieri.Le chantier de ce magasin, qui doit ouvrir d'ici à plusieurs mois dans la plaine du Var à Nice, est assuré par Travaux du Midi ainsi que par Dumez Côte d'Azur, une autre filiale de Vinci, géant français du BTP.
Il y a 4 ans et 281 jours

Le renouvelable dont le biogaz, des énergies à développer avec les agriculteurs

Le secteur agricole a un rôle important à jouer dans la production d'énergies renouvelables, souligne un rapport qui appelle à une meilleure (in)formation des agriculteurs et à plus de soutien public.
Il y a 4 ans et 282 jours

EDF et Jinko vont construire la centrale solaire la plus puissante au monde à Abu Dhabi

La future centrale, d'une capacité installée de 2 gigawatts (GW), "sera la plus puissante au monde et alimentera en électricité l'équivalent de 160.000 foyers locaux chaque année", soulignent les deux groupes dans un communiqué commun.Le contrat a été attribué par la société Emirates Water and Electricity Company (EWEC), pour une mise en service prévue en 2022 dans la région d'Al Dhafra, à 35 kilomètres au sud de la ville d'Abu Dhabi.EDF Renouvelables et Jinko Power détiendront chacun 20% des parts du projet. Les 60% restants seront détenus par les acteurs publics locaux TAQA et Masdar."Il s'agit également de la première centrale d'une telle envergure à utiliser des modules bi-faciaux", qui permettent de capter le rayonnement solaire des deux côtés des modules photovoltaïques, soulignent les deux lauréats.Le consortium explique avoir présenté l'offre la plus compétitive, "avec un coût moyen de production de l'électricité de 1,35 cent USD par kilowattheure".L'énergie solaires a bénéficié ces dernières années d'une forte chute des coûts, tandis que des projets de plus en plus gigantesques se sont développés.Le parc de Bhadla en Inde représente ainsi une capacité installée totale de plus de 2,2 GW, ce qui en ferait le plus puissant au monde. Mais il s'agit d'un complexe avec des lots successifs remportés par plusieurs acteurs."Al Dhafra est le plus puissant projet solaire qui sera raccordé en un point", souligne-t-on chez EDF Renouvelables.Riches en pétrole et en gaz, les Emirats arabes unis veulent diversifier leur bouquet énergétique en développant notamment les renouvelables mais aussi le nucléaire. Le pays explique vouloir produire 50% de son énergie à partir de sources "propres" d'ici 2050.
Il y a 4 ans et 283 jours

Coffrages spéciaux ou les formes du chantier

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Coffrages du chantier “Morland Mixité Capitale”, à Paris, fournis par CMC. [©CMC] Travail de l’ombre, la conception et la production de coffrages sur mesure donnent forme aux idées parfois surprenantes des architectes. Un savoir-faire qui allie précision, inventivité et adaptabilité. Portraits de quelques-uns des acteurs du marché. Dossier préparé par Yann Butillon Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 283 jours

Le pétrolier Repsol annonce une perte nette de 1,9 milliard d'euros au 2e trimestre due à la pandémie

Sur l'ensemble du premier semestre, la perte nette atteint près de 2,5 milliards d'euros, en raison de la révision à la baisse de la valeur des stocks, et de celle des actifs d'exploration et de production, explique Repsol dans un communiqué.Après avoir chuté à l'ouverture des échanges à la Bourse de Madrid, le titre se stabilisait vers 8H45 GMT, en petite hausse de 0,34% dans un marché stable.Le groupe rappelle avoir évolué "dans un contexte conditionné par la pandémie mondiale, l'effondrement des prix du brut et du gaz et la chute extraordinaire de la demande".Les ventes dans les stations-service en Espagne ont par exemple chuté de 48% au deuxième trimestre en raison du confinement de la population.Le groupe précise que son résultat net ajusté, qui reflète selon lui mieux son activité en ne tenant pas compte des stocks, atteint 189 millions d'euros au premier semestre.Au deuxième trimestre, la perte nette ajustée n'est que de 258 millions d'euros.La branche Exploration et production a enregistré une perte nette de 141 millions d'euros au deuxième trimestre, tandis que la branche Industrie (raffinage) voyait son bénéfice chuter de 95% à 8 millions d'euros.Face à l'étendue de la crise, Repsol prévoit désormais de réduire de 450 millions d'euros ses coûts opérationnels (contre 350 millions estimés fin avril) et de renoncer à de nombreux investissements, pour une valeur totale de 1,1 milliard d'euros.Le groupe affirme disposer de liquidités à hauteur de près de 10 milliards d'euros, et avoir levé 3 milliards d'euros via des émissions obligataires au cours du premier semestre.Malgré ces "résultats faibles (...) Repsol est une des entreprises multi-énergétiques avec les meilleures perspectives", notamment grâce à une "comptabilité saine" et "une présence toujours plus importante dans les énergies renouvelables", estiment dans une note les analystes de Bankinter.Repsol, qui s'est engagé à réduire à zéro ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050, a commencé depuis janvier la construction de deux parcs photovoltaïques dans le centre et le sud-ouest de l'Espagne, d'une capacité installée de respectivement 126 et 264 mégawatts, pour un investissement total de 300 millions d'euros.La société pétrolière prévoit de développer sept projets de production d'énergie renouvelable dans la péninsule ibérique, dont le premier à entrer en fonction, fin 2020, sera le parc éolien Delta, en Aragon (nord de l'Espagne), un investissement de 300 millions d'euros d'une capacité de 335 mégawatts.Repsol a également annoncé jeudi un investissement dans des projets éoliens et solaires au Chili, dont la capacité installée devrait atteindre 1.600 mégawatts en 2025. Le groupe ne précise pas le montant total de l'investissement, mais indique que pour mener ces projets à bien, il procédera à une augmentation de capital de 168 millions d'euros afin de créer une co-entreprise avec le groupe espagnol Ibereolica Renovables.
Il y a 4 ans et 284 jours

Les huiles de décoffrage

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. MC Chimie offre une gamme complète d’agents de décoffrage et propose aussi différents consommables pour leur mise en œuvre. [©MC Chimie] La nouvelle classification Synad n’a pas jeté d’huile sur le feu ! En effet, la majorité des acteurs du secteur avaient déjà engagé la transition vers des solutions plus vertueuses. Et les quelques outsiders se sont penchés tout autant sur ces problématiques. Certains ont juste réorganisé leur gamme, tandis que d’autres en ont profité pour lancer de nouvelles offres. La création du label “Excellence Synad” transforme aussi les habitudes. Il s’applique aux produits sans benzopyrène (B[a]P) et garantit l’absence de cet agent de pollution lors de la fabrication et du conditionnement. De fait, ce logo exclut les produits issus de la distillation du pétrole et les solutions non-conditionnées. Si aujourd’hui, les industriels ont atteint de nombreux objectifs qualitatifs, la voie vers plus de sécurité et plus de respect environnemental reste ouverte. Une direction que ces acteurs ont choisi de suivre… Dossier préparé par Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); BASF CC : Une offre déjà mature Chez BASF, l’offre des agents de démoulage s’appelle MaserFinish RL.[©BASF] Pour Master Builders Solutions, marque qui regroupe l’expertise de BASF dans la chimie de la construction, l’arrivée de la nouvelle classification Synad n’a pas remis en cause l’offre “agents de démoulage”. « Il n’y a pas eu de changement de classe en ce qui concerne notre gamme de produits », indique Maxime Julliot, chef de marché préfabrication de BASF CC France. En fait, les produits étaient déjà en phase avec les nouvelles exigences. Ainsi, le Pur Végétal MasterFinish RL 411 et l’Emulsion d’huile végétale MasterFinish RL 211 affichent le logo “excellence Synad”. Le RL 411 se présente comme l’agent de démoulage universel de la gamme, tandis que le RL 211est un produit plus adapté aux bétons architectoniques et/ou colorés, mis en œuvre sur chantier comme en unité de préfabrication. Au titre des dernières nouveautés, il y a le MasterFinish RL 446. Cette émulsion d’huile de synthèse est orientée industrie du béton. « C’est un agent de démoulage développé pour une pulvérisation automatique sur tables de préfabrication », détaille Christophe Landry, directeur technique adjuvants de BASF CC France. La seconde innovation s’appelle MasterFinish RL 418. Là, nous sommes dans la catégorie “végétal” du classement Synad. Lancé en 2018, cet agent est utilisable dans toutes les configurations, en démoulage différé avec ou sans étuvage, et aussi sur chantier. Chryso : Une nouvelle gamme “Excellence Synad” Chryso a lancé une nouvelle gamme d’agents de démoulage plus “vertueuse”.[©Chryso] Chryso a profité de la nouvelle classification Synad pour dévoiler sa nouvelle gamme d’agents de démoulage exempte de pictogrammes de danger. Les produits de la ligne Chryso Dem Cristal ont la particularité d’être tous qualifiés “Excellence Synad”. La Chryso Dem Oleo 74 Cristal, la Pur Végétal Chryso Dem Eco 4 Cristal et la Végétal Chryso Dem Bio 24 Cristal s’intéressent au démoulage différé. L’industriel s’est aussi attaqué au démoulage immédiat avec la Chryso Dem Natura XC Cristal. En effet, c’était un défi important pour Chryso que de développer une huile végétale avec moins de 10 ppb1 de teneur de benzopyrène, destinée à ces bétons. Par ailleurs, l’industriel a créé une offre de services associés. Pour ses forces commerciales et pour ses clients. Une façon de démocratiser l’usage de produits plus vertueux. 1Unité de mesure, qui correspond à une concentration au milliardième. Doka : Pour une peau lisse Le coffreur Doka propose l’émulsion Doka-OptiX, adaptée aux peaux coffrantes lisses.[©Doka] La Doka-OptiX est une émulsion pour peaux coffrantes lisses. Le produit du coffreur Doka est à base végétale, sans solvant minéral. Il permet d’obtenir des parements en bétons clairs, sans pores, ni bulles. L’émulsion est biodégradable et peut s’appliquer par brumisation, même sous une petite pluie fine et jusqu’à – 4 °C. La Doka-OptiX s’adapte aussi bien aux coffrages en bois, que ceux en matière plastique ou en acier. L’opérateur dispose d’un indicateur optique pour la bonne utilisation de l’émulsion. En effet, dès que la couleur blanche a disparu après la mise en œuvre, le coffrage est prêt pour accueillir le béton. C'est une émulsion pour peaux coffrantes lisses. Le produit du coffreur Doka est à base végétale, sans solvant minéral. Il permet d’obtenir des parements en bétons clairs, sans pores, ni bulles. L’émulsion est biodégradable et peut s’appliquer par brumisation, même sous une petite pluie fine et jusqu’à – 4 °C. La Doka-OptiX s’adapte aussi bien aux coffrages en bois, que ceux en matière plastique ou en acier. L’opérateur dispose d’un indicateur optique pour la bonne utilisation de l’émulsion. En effet, dès que la couleur blanche a disparu après la mise en œuvre, le coffrage est prêt pour accueillir le béton. Ecoratio : L’outsider qui monte Ecoratio sait répondre à tous types de demandes.[©Ecoratio] Présent depuis 3 ans en France, Ecoratio ne fait qu’accroître son activité. « Les clients viennent vers nous, parce que nous nous positionnons en tant qu’apporteurs de solutions, explique Stéphane Chandelier, directeur technique et commercial d’Ecoratio France. Ils ne nous appellent pas pour acheter 1 l d’huile, mais pour résoudre une problématique. » Pour l’industriel, la classification Synad – syndicat auquel il n’est pas adhérent – n’a rien changé à sa philosophie. « Nous travaillons depuis plus de 20 ans sans aucun marquage selon la réglementation CLP1. Le préfixe “Eco”, d’écologie, inscrit dans notre nom, fait partie de notre ADN. » La gamme Betopro n’a donc pas évolué. « Cependant, nous apportons des ajustements en fonction de la demande de nos clients. Par exemple, avec la croissance des ciments dits “verts”, nous n’avions jamais connu ce niveau de corrosion. Cela nous a poussés à retravailler la gamme anti-corrosion. » Par ailleurs, Ecoratio continue à apporter une assistance technique, aussi bien dans le process de fabrication du béton que dans la mise en œuvre de l’huile. « Nous prenons les projets dans leur globalité », conclut Stéphane Chandelier. GCP Applied Technologies : Dans l’air du temps GCP Applied Technologies lance trois nouveaux produits pour le démoulage immédiat.[©GCP Applied Technologies] GCP Applied Technologies a été partie prenante dans la création de la nouvelle classification Synad. De plus, le développement de produits sans pictogramme et sans danger est ancré dans sa R&D depuis plusieurs années. « Ayant anticipé cette tendance, il nous était facile de repositionner notre gamme, explique Benoît Baulande, directeur technique. Chaque famille dispose, au minimum, d’un produit. » GCP Applied Technologies a aussi étendu sa gamme. « Pieri Decobio 350 est un agent de décoffrage Pur Végétal. Il bénéficie du logo “Excellence Synad” et est produit sur une unité à part dans notre usine jurassienne de Larnaud. C’est un investissement important. » Dans le cadre du démoulage immédiat, l’industriel propose 3 nouveaux produits depuis la rentrée. Pieri Clarol I-160 et Pieri Clarol I-225 sont des bases Synthèse. Et Pieri Décobio I-180, une huile végétale et biodégradable. « Les produits pour démoulage différé, conçus sur des bases nobles, existent déjà et sont reconnus sur le marché. Il était naturel de travailler sur les agents de démoulage immédiats. » La prochaine étape sera l’évolution de sa gamme de cires décoffrantes à film sec. « Près de 95 % de notre gamme de 2015 a changé. Nous nous devons de toujours répondre aux préoccupations de nos clients, qui sont la performance, la qualité, la sécurité et l’environnement… » Mapei : Des produits premium Mapei enrichit sa gamme Mapeform, avec des produits premiums “Excellence Synad”.[©Mapei] Mapei continue de développer sa gamme d’agents de démoulage Mapeform. L’industriel propose désormais la ligne Mapeform Premium. Des solutions polyvalentes pour la préfabrication et le chantier. Pour 6 des 7 produits de la gamme, Mapei s’est ancré dans le cadre du label “Excellence Synad”. Il dispose ainsi de la Pur Végétal Mapeform PV 1000 Premium, de 3 émulsions d’huile végétale : Mapeform EV 800 Premium, Mapeform EV 810 Premium et Mapeform EVP 300 Premium. Cette dernière est préconisée pour les planches de préfabrication. Dans la catégorie Végétal, Mapei bénéficie désormais des produits Mapeform V 510 Premium et Mapeform V 500 Premium. L’industriel met aussi en avant un service dédié, afin d’accompagner ses clients. L’équipe de Mapei propose des conseils sur les équipements les plus adaptés selon les applications. Que ce soit au niveau des systèmes de pulvérisation électriques ou manuels, des buses suivant la géométrie des moules. Ou encore au niveau du choix de la pression et de la température d’application optimale selon la courbe de viscosité des huiles… MC Chimie : De A à Z MC Chimie offre une gamme complète d’agents de décoffrage et propose aussi différents consommables pour leur mise en œuvre.[©MC Chimie] C’est pour se positionner sur un maximum de problématiques du béton, que MC Chimie France désire mettre en avant la commercialisation de ses agents de démoulage. « Nous voulions apporter une réponse de A à Z, explique Lucas Loupe, coordinateur infrastructure et industrie. En proposant des adjuvants, des huiles de décoffrage ou encore des solutions de “cosmétique” pour béton. » Depuis plus d’un an, MC Chimie dispose de la gamme Ortolan. « Nous avons des produits adaptés à tous les besoins ! L’Ortolan Basic s’utilise sur les chantiers. L’Ortolan Classic est dédiée aux applications standards et l’Ortolan Bio est 100 % naturel et biodégradable. Enfin, nous avons les solutions hauts de gamme, développées pour le béton préfabriqué et les chantiers à hautes exigences. Ces dernières portent l’appellation “Extra” et “Premium”. » Selon la famille choisie, il existe jusqu’à 6 variétés, qui répondront chacune à des besoins spécifiques. « Nous intégrons des inhibiteurs de corrosion, des additions pour les parements de béton... » Ces produits sont complétés par des consommables, à l’image de petites pompes d’application. « Nous touchons les préfabricants, mais nous participons aussi au succès de nombreux chantiers. L’activité est en essor, grâce à la performance de nos produits. » Peri : Action, réaction Prêt à l’emploi, le Peri Bio Clean de Peri est disponible en bidon de 20 l, 205 l ou en fût métallique de 208 l.[©Peri] Spécialiste du coffrage, Peri sait aussi “décoffrer” ! L’industriel propose le Peri Bio Clean. Cet agent de démoulage est à base minérale et à action physico-chimique. C’est-à-dire que l’effet de décoffrage résulte de la réaction chimique de l’huile et des constituants alcalins du béton. Mais aussi, de la réduction de l’adhérence entre le coffrage et la surface par un effet hydrofuge. Le Peri Bio Clean s’adapte aux panneaux de coffrage absorbants ou non absorbants et permet la régénération des surfaces coffrantes par des dépôts résinifiés. D’autre part, il participe à la protection du bois des coffrages et de l’acier des bétonnières et autres bennes… L’huile s’applique en couche mince et régulière. En fonction de l’absorption du support, il faut 1 l pour environ 50 à 90 m2 de coffrage. Sika : Réorganisation et développement Sika obtient 3 Excellence Synad sur ces huiles Sika Décoffre Pur Végétal, Sika Décoffre Emulsion Végétale Plus Hiver et Sika Décoffre Pur Synthèse.[©Sika] Depuis quelques années, Sika réorganise sa gamme d’agents de démoulage. Avec la réglementation CLP de juin 2015ou du fait de l’évolution de la classification Synad. « Nous avons restructuré notre gamme selon la nouvelle classification du Synad, explique Lan-Tâm Tran, ingénieur produits chez Sika France. Nous avons ainsi 3 huiles, qui obtiennent le logo “Excellence Synad” : Sika Décoffre Pur Végétal, Sika Décoffre Emulsion Végétale Plus Hiver et Sika Décoffre Pur Synthèse. » Si pour le moment, les solutions de l’industriel suisse n’ont pas bougé, elles devraient évoluer ces prochaines années. « En 2020, nous souhaitons supprimer les huiles minérales neuves. Et dès 2021, proposer des huiles minérales recyclées », dévoile Lan-Tâm Tran. Affaire à suivre ! Technique Béton : Une migration progressive de la gamme Tous les agents de démoulage Technqie Béton vont s’intégrer dans la nouvelle classification Synad dès la fin du premier semestre 2020.[©Technique Béton] Pour Technique Béton, la nouvelle classification Synad va dans le bon sens et assure plus de transparence. « Nous mettons en place une migration progressive de notre gamme, explique David Platel, directeur technique et production. Il faut qu’il y ait une explication pour que les clients s’approprient cette nouvelle classification et qu’il n’y ait pas de confusion. Tous nos produits vont s’intégrer à celle-ci à la fin du premier semestre 2020. » Plusieurs agents de démoulage bénéficieront du logo “Excellence Synad”. « Le plus important dans cette démarche réside dans le choix des composants et de leurs fournisseurs. Mais aussi dans le processus de fabrication qui demande un contrôle, afin d’éviter toute pollution. » Sans oublier, un peu de pédagogie pour démontrer tout l’intérêt de ce nouveau label. « Nos clients sont rassurés par les produits issus de la classification. Ils sont de plus en plus exigeants, mais il faut du temps pour informer », conclut David Platel.
Il y a 4 ans et 287 jours

ELCIA et AlloTools signent un partenariat solide et durable

Le Groupe ELCIA, leader des solutions numériques pour les professionnels de la Menuiserie, du Store et de la Fermeture annonce une prise de participation minoritaire à hauteur de 33% dans le capital de la société AlloTools, éditeur luxembourgeois des solutions BatiTrade. Sébastien SOBCZYK, Directeur Général et Fondateur d’AlloTools (à gauche) et Edouard CATRICE, Directeur Général du Groupe ELCIA (à droite) Un partenariat stratégique sur le long terme « Cela fait plusieurs années que nous échangeons avec Sébastien, introduit Edouard Catrice, Directeur Général du Groupe ELCIA. Nous partageons la même vision du marché et les mêmes valeurs : l’innovation, l’exigence sur la qualité de nos logiciels, ou encore le bien-être au travail et la collaboration avec nos équipes. Nous souhaitions nous engager au travers d’un partenariat fort et durable ! C’est pourquoi ELCIA entre au capital d’AlloTools à hauteur de 33% ». Deux ans après sa prise de participation au schéma similaire dans le capital de l’éditeur belge RAMASOFT, le Groupe ELCIA signe-là une étape supplémentaire dans sa croissance externe. « Je crois beaucoup en ce modèle de participation minoritaire qui permet de sécuriser un partenariat sur le long terme, tant pour nous que pour les clients qui nous feront confiance, tout en laissant la force de l’innovation à l’entrepreneur, poursuit Edouard Catrice. AlloTools doit garder son indépendance tout en s’appuyant sur la notoriété et le réseau d’ELCIA pour se développer plus rapidement. Nous avions eu la même approche avec RAMASOFT et cela fonctionne parfaitement ! » « Ce partenariat avec le Groupe ELCIA est une continuité logique à l’évolution de nos sociétés, de par notre histoire, notre complémentarité et les synergies de nos solutions, réels atouts pour les acteurs du marché de la Menuiserie, ajoute Sébastien Sobczyk, Directeur Général d’AlloTools. Edouard a su nous rassurer sur notre évolution commune. Nous sommes sûrs d’offrir ensemble une offre qui répond aux attentes de nos utilisateurs et de faire bénéficier de notre avancée technologique au plus grand nombre, tout en gardant la liberté de développer de notre côté nos partenariats et nos projets R&D » Le Groupe ELCIA renforce sa place de leader des configurateurs de vente Menuiserie, Store et Fermeture Cette nouvelle union s’inscrit en totale adéquation avec l’ambition du Groupe ELCIA de devenir leader européen des configurateurs de vente pour tous les produits de Menuiserie, Store et Fermeture. Une ambition qui passe notamment par un axe d’innovation différenciant : la 3D. « Deux ans après notre prise de participation dans RAMASOFT et son configurateur 3D spécialisé fenêtre, ce nouveau partenariat avec AlloTools vient parfaitement compléter l’offre de configurateurs 3D pour les autres produits de Menuiserie, Fermeture et Aménagement affirme Edouard Catrice. Je suis convaincu que la 3D est un formidable média de partage et d’expérimentation qui va permettre aux particuliers de « consommer » différemment » « Cet engagement marque une reconnaissance forte de notre expertise et du travail fourni par mon équipe depuis la création d’AlloTools, précise Sébastien Sobczyk. Dès nos débuts, nous avons compris le potentiel de la 3D pour nos configurateurs et n’avons eu de cesse, depuis, de faire évoluer nos rendus graphiques pour encore plus de réalisme passant du visuel écran à l’immersion en réalité virtuelle, et depuis cette année à la réalité augmentée (dans l’environnement du client). Pour nous, configurer son projet doit être une réelle expérience pour une meilleure projection de son idée vers la réalisation de tous les possibles. » Les utilisateurs ProDevis peuvent désormais chiffrer via les configurateurs BatiTrade Alors qu’ELCIA propose un configurateur commercial centré sur la rapidité et la performance du chiffrage, AlloTools a abordé le sujet sous un angle graphique et particulièrement adapté aux produits qui nécessitent une approche 3D (portail, garde-corps, placard…). Une vraie complémentarité qui devrait séduire le marché et les utilisateurs ProDevis ! « Ce partenariat va apporter une vraie valeur ajoutée à tous nos clients, rajoute Edouard Catrice. Aussi bien aux industriels qu’à nos installateurs qui utilisent ProDevis. Nos approches de chiffrage complémentaires permettront ainsi de répondre au mieux à la demande du client final en fonction du produit et du contexte du dossier. » Les installateurs du marché ont désormais la possibilité de réaliser un projet BatiTrade à partir de leur logiciel ProDevis et ainsi éviter toute ressaisie dans la gestion commerciale. Un véritable gain de temps et d’efficacité sans aucun coût supplémentaire sur son abonnement ProDevis, dès lors que son fournisseur lui aura communiqué un accès. Côté industriels, c’est l’opportunité d’apporter une approche complémentaire en offrant une expérience 3D à ses clients, tout en s’appuyant sur la notoriété de ProDevis. Le partenariat prévoit qu’ELCIA ne facture aucun surcoût sur le référencement des tarifs de l’industriel qui aura souscrit à l’option BatiTrade Connect pour ProDevis, directement auprès d’AlloTools. Ensemble, cap sur le marché international Autre ambition au cœur de cette union : la conquête du marché international ! L’alliance des deux sociétés résonne ainsi comme un différenciateur fort et laisse augurer de belles promesses sur le plan européen. « La 3D est un langage universel qui gomme toutes les frontières et sera donc un avantage concurrentiel fort pour l’international » illustre Edouard Catrice.  « En effet, le marché européen est en attente de solutions de chiffrage avec configuration 3D, gestion commerciale et leads, CRM, ERP et solutions e-commerce parfaitement interconnectées. Ensemble, nous souhaitons proposer une solution vraiment différenciante, ayant fait ses preuves sur le marché français, pour accélérer notre développement à l’international » conclut Sébastien Sobczyk. A propos d’AlloTools Éditeur des solutions BatiTrade, l’équipe passionnée et dynamique d’AlloTools développe et diffuse depuis plus de 10 ans des solutions web ludiques et innovantes en partenariat avec de grands industriels du secteur de la Menuiserie, Fermeture et Aménagement. Avec plus de 15 000 utilisateurs professionnels pour son application de gestion commerciale et de configuration 2D/3D BatiTrade, AlloTools propose une technologie facile d’utilisation et efficace pour la gestion complète d’une activité. La gamme BatiTrade Configurator, permet de réaliser des projets de portail, clôture, claustra, porte de garage, garde-corps, porte d’entrée, carport, pergola, placard/dressing, verrière, escalier, etc… avec plans techniques à l’échelle, visualisation 3D temps réel et tarification instantanée. La gamme BatiTrade Experience valorise les configurations 3D en permettant aux consommateurs finaux de se projeter dans leur projet en utilisant les techniques de réalité virtuelle ou augmentée. Avec la gamme BatiTrade Business, AlloTools propose aux industriels du secteur des intranet/extranet modernes intégrants leur(s) configurateur(s), des outils de CRM, gestion de Leads, boutique eCommerce, etc… La gamme BatiTrade Connect permet d’interconnecter l’ensemble des solutions BatiTrade à des solutions externes tels que des ERP ou logiciels tiers comme par exemple ProDevis d’ELCIA. 10 ans d’expérience 15 000 utilisateurs 35 industriels partenaires 50 configurateurs référencés 1,6 M€ de CA 15% de croissance chaque année 22 collaborateurs Plus d’informations sur www.batitrade.com A propos du Groupe ELCIA ELCIA est le leader français des solutions et logiciels spécialisés pour le marché « Menuiserie, Store et Fermeture ». Il y a 20 ans, en lançant ProDevis, nous avons été les premiers à proposer une solution de chiffrage Menuiserie pour simplifier la création de devis et offrir un gain de temps considérable à tous les menuisiers. Depuis, notre offre s’est considérablement enrichie afin d’optimiser les échanges entre les industriels, leurs réseaux de vente (artisans, installateurs, négoces) et les clients finaux. Nos solutions sont adaptées à toutes les tailles d’entreprise et répondent à de nombreuses problématiques de leur quotidien : configuration de produit, chiffrage, devis, gestion commerciale, dématérialisation des commandes, gestion de la production et des usines. Des solutions, un objectif commun : apporter à l’ensemble de la profession gain de temps et fiabilité sur l’ensemble de la chaîne de valeur. ELCIA est un Groupe, composé de deux entités : ELCIA à Brignais (près de Lyon) et sa filiale ISIA à Tarbes, ainsi que deux participations minoritaires dans RAMASOFT (Belgique) et son récent partenaire AlloTools (Luxembourg). Un Groupe en plein développement, sans pour autant perdre ce qui fait sa force : le Service Clients, assuré par ses 190 collaborateurs. 20 ans d’expérience 19 000 utilisateurs 600 industriels partenaires 1 750 tarifs référencés 20 M€ de CA (15M€ pour ELCIA et 5M€ pour ISIA) 20% de croissance chaque année 190 collaborateurs Plus d’informations sur www.elcia.com
Il y a 4 ans et 287 jours

Regain d'optimisme chez les entrepreneurs du bâtiment en juillet

CONJONCTURE. La plupart des indicateurs sont de nouveau au vert en cet été 2020 : perspectives sur les effectifs, les carnets de commandes ; état de la trésorerie et délais de paiements s'améliorent. En revanche, les difficultés de production causées par une insuffisance de personnels reviennent.
Il y a 4 ans et 287 jours

MC CHIMIE : Le sol industriel du futur

La pose de revêtements de sol industriels est souvent associée à des coupures d’exploitation. Des arrêts de production et des retards de livraison peuvent en résulter. Avec le revêtement haute performance MC-Floor TopSpeed, les sols industriels et les surfaces extérieures peuvent être refaits. Et entièrement chargés en quelques heures. Le revêtement de sol industriel rapide Le revêtement haute performance MC-Floor TopSpeed ​​permet de manière fiable ce qui était souvent difficile, voire impossible à réaliser. A savoir un travail de revêtement sûr et rapide même dans des conditions critiques. Telles que des basses températures, des niveaux élevés d’humidité et l’humidité des supports. Revêtement de sol industriel. Application rapide grâce à la KineticBoost-Technology® En plus d’une haute résilience, “TopSpeed” signifie un durcissement accéléré. Tous les composants du système utilisent l’influence de l’humidité de l’environnement et la transforment en une réaction de durcissement accélérée supplémentaire. Cette réaction combinée modifiée permet une adhérence énorme sur tous les supports de béton et de chape courants. Il garantit les meilleures valeurs de résistance à l’abrasion et aux rayures.
Il y a 4 ans et 287 jours

Les artisans demandent que la réduction des impôts de production bénéficie à la totalité des entreprises

Tout en "partageant" l'opinion du ministre de l'Économie Bruno le Maire sur ces impôts "stupides et néfastes", l'U2P, qui représente surtout des artisans et des professions libérales, "demande que la réduction des impôts de production bénéficie à la totalité des entreprises, quel que soit leur taille ou leur niveau de chiffre d'affaires", selon un communiqué.Le gouvernement n'a pas encore décidé quels impôts de production seraient concernés par la baisse de 20 milliards d'euros sur deux ans qu'il a annoncée, mais M. Le Maire s'est dit favorable à une baisse de la CVAE (cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises) qui ne concerne que les entreprises réalisant plus de 500.000 euros de chiffre d'affaires.La C3S (contribution sociale de solidarité des sociétés) ne concerne pour sa part que celles dont le chiffre d'affaires dépasse 19 millions d'euros."Seule la CFE - contribution foncière des entreprises - s'impose à toutes les entreprises qui réalisent un chiffre d'affaires annuel supérieur à 5.000 euros. Autant dire que la quasi-totalité des entrepreneurs individuels, sociétés, associations, fondations et entreprises publiques y est assujettie", relève l'U2P."Par souci d'équité et dans l'intérêt de l'ensemble de l'économie du pays, l'U2P invite donc le gouvernement à engager la réduction des impôts de production en commençant par une baisse de la CFE", poursuit cette organisation dont l'ancien président Alain Griset est devenu ministre délégué aux PME du gouvernement Castex.La baisse des impôts de production fera partie du plan de relance de l'économie française que M. Le Maire doit présenter en conseil des ministres le 24 août.
Il y a 4 ans et 287 jours

Puy-de-Dôme : Coffrabat et Spac/Segec, même combat

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Coffrabat a réalisé le coffrage de la corniche lors de la réfection d’un pont à Nohant-Vic [©Coffrabat] Filiale de Colas, Spac/Segec est un double spécialiste des réseaux pour les travaux publics et du génie civil. A Montgivray (36), elle dispose d’une usine de préfabrication dédiée à ses propres travaux. « Nous avons à la fois des savoir-faire dans tout ce qui concerne la production pour faciliter les réseaux électriques ou d’assainissement, explique Olivier Dallot, conducteur de travaux. Mais aussi en matière d’ouvrages d’art. »  Des chantiers qui voient Spac/Segec collaborer très souvent avec Coffrabat. « Ses équipes possèdent des compétences dans la conception et la production de coffrages en bois et en polystyrène. » Les deux industriels ont travaillé ensemble l’été dernier à Nohant-Vic, où la réfection d’un pont nécessitait des négatifs pour la base du tablier et un coffrage pour la corniche. « Coffrabat nous a apporté à la fois leurs conseils et leur savoir-faire dans la construction des éléments. » De même qu’à Issy-les-Moulineaux, à la rentrée 2019, pour un chantier de Colas, où les deux entreprises ont produit un mur de soutènement en béton noir. « Il y avait de nombreux arrêts de coffrage, avec des formes et surtout des angles différents. Coffrabat les a formés en polystyrène, permettant à nos équipes d’avoir des véritables kits, prêts à être mis en œuvre.».
Il y a 4 ans et 287 jours

Haute-Loire : Nouvelle usine pour nouveau producteur Air’Bloc

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Inauguration de l’usine rénovée de Pomel Béton. [©Pomel Béton] Entreprise du groupe Gedimat depuis 2010, Pomel Béton est spécialisée dans la fabrication d’éléments en béton pour la construction. Elle vient de faire évoluer son usine, afin de pouvoir produire l’Air’Bloc du GIE Perin. « Fin 2018, nous avons souhaité renouveler l’outil de production pour suivre l’évolution du marché, confie Christophe Foucault, directeur administratif et financier de Pomel Béton. Nous nous sommes équipés d’une presse de marque Quadra et d’une rectifieuse. Nous avons complété cette chaîne de fabrication d’un mousseur pour remplir les alvéoles des blocs béton d’un produit isolant. Un concept développé par le GIE Perin. » Ainsi à Vergongheon, Pomel Béton va continuer à fabriquer des blocs classiques, mais aussi, des blocs rectifiés et des blocs isolants Air’Bloc. Tous les matériaux composant ces nouveaux produits sont issus de carrières situées dans un rayon de 20 km autour de l’usine de Vergongheon. Afin de limiter l’impact carbone dans le process de fabrication.  L’industriel intervient dans le Cantal, la Haute-Loire et le Puy-de-Dôme. « L’inauguration de cette nouvelle usine était aussi l’occasion de présenter tous nos nouveaux produits, poursuit Christophe Foucault. D’abord, l’Air’Bloc, exploité sous licence, et les longrines pour les fondations de bâtiments. Enfin, les blocs Titan XL à emboîtement pour murs de soutènement. Nous sommes fiers de présenter ces nouveaux savoir-faire aux élus, à tous nos clients et fournisseurs, et aux acteurs du bâtiment de la région. »
Il y a 4 ans et 287 jours

Georgelin promeut les métiers d'art sur les palissades de Notre-Dame

Le président de l'Etablissement public présentait sur les palissades de la rue du Cloître, le long de la cathédrale, une exposition de photos, "Les bâtisseurs d'aujourd'hui : les corps de métiers au coeur du chantier de sécurisation de Notre-Dame"."La loi me demande à moi de valoriser les métiers d'art. Nous espérons le faire en montrant l'excellence, en suscitant des vocations", a-t-il argué, soulignant qu'il y a "sûrement un gisement important d'emplois". Plus de quarante entreprises interviennent sur le chantier.L'acceptation par l'Elysée d'une reconstruction à l'identique et l'abandon du geste architectural novateur qu'Emmanuel Macron avait souhaité, est le choix du "bon sens, de la fidélité, de la loyauté et de l'amour de l'art gothique", a-t-il plaidé."C'était le voeu des donateurs, de la quasi-totalité des grands architectes, et des Français dans leur immense majorité, si on avait fait un réferendum", a-t-il argué."Nous entrons dans une nouvelle phase, car nous savons maintenant que nous reverrons la flèche de Viollet-Le-Duc, nous allons rebâtir la charpente selon des modalités qui restent encore à préciser et nous reconstruirons la couverture du grand comble en plomb, quels que soient les combats qu'il faudra mener", a-t-il martelé."Entre 150 à 180 personnes travaillent sur le chantier qui connaît un dynamisme qu'il n'avait jamais connu avant, et nous allons monter en puissance. Très vite nous allons passer à 300/450 personnes d'ici la fin de l'année", a-t-il estimé.Il a défendu le plomb pour "la couverture du grand comble": "tous les toits des grands monuments de Paris et des grandes cathédrales françaises sont en plomb". Et "il y a des moyens de traiter le plomb de façon à ce qu'il ne soit pas une atteinte à la santé".Quant à la charpente en chêne, cela "représente 1.000 à 2.000 arbres, c'est à dire 0,0125 de la production française de chênes", a-t-il argumenté.L'exposition montrant les diverses phases et aspects du sauvetage de la cathédrale, réalisées par le photographe Patrick Zachmann (Magnum), met en valeur quelques-uns des corps de métiers -charpentiers, cordistes, échafaudeurs, grutiers, maîtres verriers, tailleurs de pierre et maçons.
Il y a 4 ans et 288 jours

Vehicle to Home : Hager Group et AUDI AG, pionniers de la recharge bidirectionnelle

Réduire la facture énergétique, renforcer la stabilité du réseau électrique, lutter contre le réchauffement climatique : tels sont les objectifs de Hager Group et AUDI AG dans le cadre d’un projet de recherche innovant. Au cours du premier semestre 2020, les énergies renouvelables ont représenté pour la première fois plus de 50 % de la production électrique totale en Allemagne. Mais cette part croissante des énergies vertes s’accompagnent néanmoins d’un dilemme fondamental : elles ne fournissent pas toujours de l’électricité quand celle-ci est nécessaire. À l’inverse, lors de journées ensoleillées ou de phases de vents forts, les capacités de stockage de l’énergie produite font souvent défaut. Hager Group et AUDI AG ont défini une stratégie de recherche qui devrait jouer un rôle déterminant dans la résolution de cette problématique : la recharge bidirectionnelle du véhicule vers la maison, aussi appelée Vehicle to Home (V2H). Le concept est aussi simple qu’il est génial : la batterie haute tension d’une voiture électrique peut être rechargée au moyen du réseau électrique domestique, mais celle-ci peut également être utilisée comme dispositif de stockage décentralisé pour ce même réseau. « Une batterie de véhicule électrique peut stocker une quantité d’énergie pratiquement équivalente aux besoins d’un ménage moyen pour une semaine », explique ainsi Ulrich Reiner, expert en électromobilité chez Hager Group. Cela signifie qu’en principe, toute batterie haute-tension de véhicule électrique pourra à l’avenir être rechargée à domicile à l’aide de cette nouvelle infrastructure de recharge, mais aussi devenir source d’énergie pour le réseau électrique. Les propriétaires qui produisent de l’énergie solaire sur leur toit peuvent alors la stocker localement dans leur véhicule, pour la restituer au bâtiment en cas de besoin. Ce processus de recharge bidirectionnelle domestique est baptisé Vehicle to Home (V2H). Selon Ulrich Reiner, « Le V2H présente un fort potentiel d’économies pour la facture énergétique des propriétaires immobiliers. Il permet en outre de renforcer la stabilité du réseau électrique et d’offrir une alimentation de secours dans l’éventualité d’une panne générale ». Il ajoute : « L’idée d’utiliser la batterie de milliers de véhicules électriques de façon à lutter contre le réchauffement climatique nous a motivé dès le début du projet. ». Une prouesse technique Si le concept paraît simple en théorie, il nécessite en pratique une forte expertise technologique et une orchestration très précise de divers composants techniques. La collaboration entre Hager Group et AUDI AG s’est nouée sur cette maîtrise essentielle. Hager Group fournit le savoir-faire technique au cœur de l’infrastructure de recharge, qui permet l’usage V2H de la batterie du prototype développé pour le modèle Audi e-tron. Grâce à la filiale E3/DC du groupe Hager, dont la centrale photovoltaïque domestique séduit le marché depuis de nombreuses années, la batterie peut en effet servir d’accumulateur d’énergie. Le bon fonctionnement d’un système de recharge bidirectionnelle au quotidien implique néanmoins d’autres éléments essentiels, tels qu’un dispositif de gestion intelligente de l’énergie, afin d’assurer la commutation entre le véhicule et la maison en fonction de l’ensoleillement et des besoins, et enfin une borne de charge. Là aussi, le portefeuille de produits de Hager Group a prouvé sa valeur. La société américaine IoTecha a par ailleurs contribué au projet en vue d’assurer sa conformité à la norme de recharge CCS. Objectif : fonctionnalité au quotidien La fonctionnalité du système au quotidien a constitué un critère clé pour les concepteurs dès la phase de développement. « L’accès à la mobilité prime sur tout le reste. La recharge bidirectionnelle ne doit en aucun cas représenter une contrainte pour le client. », affirme ainsi Martin Dehm, Chef de projet technique pour le recharge bidirectionnelle chez Audi. « Le système intelligent de gestion de la charge contrôle l’utilisation optimale de la batterie et maximise ainsi l’efficacité économique de l’ensemble du dispositif. Pour le client, le fonctionnement est extrêmement simple : il suffit de raccorder le véhicule, et le reste se fait automatiquement. », conclut-il. Un grand pas pour la transition énergétique Selon Ulrich Reiner, la pertinence du projet ne fait aucun doute : « À l’avenir, de plus en plus de propriétaires disposeront d’une batterie dans leur cave, dans leur garage ou à l’extérieur de leur maison. Ils pourront y stocker, par exemple, l’énergie produite par les panneaux photovoltaïques de leur maison ». En combinant installation photovoltaïque avec le système de stockage domestique et la batterie du véhicule, les ménages accéderont à une autosuffisance énergétique de plusieurs jours, tout en soulageant le réseau électrique. Ils contribueront ainsi de manière déterminante à la transition énergétique.
Il y a 4 ans et 288 jours

LafargeHolcim enrichit son ciment bas carbone Galaxim Planet

LafargeHolcim France enrichit sa gamme Galaxim Planet, avec un CEM II/B-LL 42,5 R. [©Willy Berré] LafargeHolcim France enrichit sa gamme Galaxim Planet, avec un nouveau ciment à l’empreinte carbone réduite de 25 %. Ce ciment est destiné aux professionnels du BPE. L’industriel a développé ce CEM II/B-LL 42,5 R sur ses sites de Port La Nouvelle (11) et de Sète (34). En direction de la région Languedoc-Roussillon, cette nouvelle offre est issue d’une production 100 % locale. Et devrait atteindre 100 000 t/an de ciment dès 2021. Une innovation issue de la démarche “Lafarge 360”, qui vise à rendre plus responsable le secteur de la construction. Un ciment moins carboné, mais tout aussi performant Les caractéristiques de ce ciment ? L’augmentation de la part de calcaire à hauteur de 23 % (contre 12 % dans le CEM II/A-LL 42,5 R). Ceci est rendu possible grâce au broyage séparé du clinker et du calcaire. De plus, une plus grande proportion de clinker est remplacée par un composant local et pérenne, dont la production sans cuisson génère peu de CO2. Ainsi, le CEM II/B-LL 42,5 R garantit aux professionnels du BPE des qualités de résistance, de rhéologie et de temps de prise. Similaires aux ciments classiques. De plus, ce nouveau ciment bas carbone a été conçu pour répondre aux nouvelles exigences de performance environnementale. Les différentes simulations démontrent que le CEM II/B-LL 42,5 R permet d’atteindre les exigences du référentiel E+C–.
Il y a 4 ans et 288 jours

Volets roulants solaires Franciaflex®, le confort de volets électriques en toute autonomie

Simplicité et autonomieLa motorisation solaire des volets roulants FRANCIAFLEX® permet une installation rapide et simple. Sans câblage, il suffit d’installer un panneau solaire, pour capter l’énergie nécessaire à leur bon fonctionnement.Fiables, les volets roulants solaires disposent de 45 jours d’autonomie.Une technique garantieLes volets roulants FRANCIAFLEX® sont équipés d’un moteur OXIMO RTS SOMFY garanti 7 ans. Leur batterie fonctionne en cas de températures extrêmes allant de -20° à + 70°C.Les panneaux solaires sont équipés de la Technologie monocristallin à haut rendement de production d’énergie, garantis 7 ans et sont efficaces même par temps nuageux ou en cas de faible ensoleillement.Un design étudié et de nombreuses fonctionnalitésAdaptable à tous les volets roulants FRANCIAFLEX®, le panneau solaire est disponible dans sa version intégrée pour les volets rénovation et dans sa version déportée sur la façade pour les volets traditionnels.Les volets sont équipés d’un système de détection d’obstacle pour éviter tout dommage. Ils sont disponibles en PVC ou Aluminium Double paroi de 37 ou 42 mm dans de nombreux coloris pour s’harmoniser au style de chaque maison. Il existe trois design de coffre : à pan coupé, quart de rond, ou coffre design.Il est possible de renforcer la sécurité du volet grâce à un verrou ou une serrure sur la lame finale ou en optant pour une lame finale sécurité.
Il y a 4 ans et 288 jours

Cemex restructure Vertua, son offre de bétons bas carbone

Restructurée, la nouvelle gamme Vertua se compose toujours de trois produits. Mais a évolué en proposant des réductions de carbone plus élevées. [©Cemex] En 2018, répondant aux attentes de développer les bâtiments économes en énergie et à faible empreinte carbone, Cemex France lançait Vertua, sa gamme de bétons bas carbone. Aujourd’hui, Vertua présente des évolutions menant au lancement d’une nouvelle gamme de produits. Diminuer de manière significative les émissions de carbone est un enjeu majeur. Pour ce faire, Cemex s’engage à les réduire jusqu’à 60 %. Et même d’atteindre la neutralité carbone, grâce à la compensation des émissions produites par le béton. Vertua ultra zero, le plus innovant de la gamme L’industriel tient compte des distances réelles d’approvisionnement, se différenciant ainsi des acteurs de l’industrie, qui s’appuient sur des distances moyennes. Il met à disposition des fiches de déclaration environnementale et sanitaire (Fdes), nécessaires au calcul de l’empreinte carbone du bâtiment. Celles-ci issues du logiciel de calcul BETie, développé par le SNBPE et certifié par l’Afnor. Le béton Vertua ultra zero est, quant à lui, le produit le plus innovant de la gamme, puisqu’il ne comporte pas de clinker dans sa formulation. Vertua offre un autre atout, celui de compenser le carbone restant et de rendre ces bétons “CarbonNeutral”. Jusqu’à ce que la neutralité carbone soit atteinte par la production de bétons, l’un des développements majeurs de Vertua est la compensation carbone, grâce à un partenariat avec Natural Capital Partners. Ce dernier est le principal expert en matière de neutralité carbone et de finance climatique. A travers le protocole CarbonNeutral, les clients peuvent compenser les émissions produites par le béton par l’achat de crédits carbone issus de projets de plantation d’arbres ou de protection contre la déforestation. Un certificat atteste que le produit acquis est “CarbonNeutral”. Et permet ensuite aux clients d’appliquer cette compensation à leurs projets de construction. Ce service est optionnel pour les bétons Vertua classic et plus. Mais déjà inclus pour le Vertua ultra zéro.
Il y a 4 ans et 289 jours

Cem’In’Eu : Un nouveau sac en polyéthylène

Retrouvez cet article dans le numéro 949 de Process industriels. Cem’In’Eu lance le sac Facilicim en version “25 kg” reconnaissable à la couleur bleue. [©Cem’In’Eu] Cem’In’Eu lance un nouveau sac de ciment de 25 kg en polyéthylène. Produit à l’usine Aliénor Ciments de Tonneins (47), le Facilicim CEM II/B-LL 32,5R NF est disponible depuis début juillet. « Dès notre lancement, nous avons fait le choix stratégique de commercialiser une gamme de sacs en polyéthylène et non en papier, explique Olivier Evrain, directeur commercial et marketing, chez Cem’In’Eu. Les utilisateurs finaux et les négociants avec lesquels nous travaillons sont unanimes pour saluer ses avantages. Nous lançons aujourd’hui notre gamme en conditionnement 25 kg pour répondre en particulier aux problématiques de dosage et de pénibilité. Nous sommes très confiants sur son succès. » Ce nouveau sac a été développé pour faciliter le quotidien des compagnons et pour être manipulé sans risque de casse. Il peut être stocké en extérieur grâce à ses capacités étanches. Le choix du polyéthylène recyclé et recyclable entre dans la ligne directrice de la start-up. En effet, Cem’In’Eu s’attache à développer une industrie et une organisation pour minimiser son impact carbone. Cela passe par l’approvisionnement en matières premières, la logistique, la production, la distribution, mais aussi le conditionnement. Moins lourd, le sac Facilicim 25 kg vient compléter la gamme composée du Facilicim NF en sac de 35 kg, ainsi que Le Ciment Européen marqué CE conditionné en 20 kg et 35 kg.
Il y a 4 ans et 289 jours

SWISS KRONO s’équipe d’une pelliculeuse pour garantir la qualité de ses panneaux décoratifs

Fin 2018, SWISS KRONO, acteur majeur sur le marché des matériaux à base de bois, dotait son outil de production de Sully-sur-Loire d’une nouvelle presse à mélaminer pour renforcer sa présence sur le marché des panneaux décoratifs. Plaçant la qualité au cœur de ses préoccupations, SWISS KRONO poursuit sa politique d’investissement en s’équipant d’une pelliculeuse. Représentant un investissement de 800 KE, la nouvelle pelliculeuse appose un film usinable sur les panneaux décoratifs mélaminés One World pour préserver leur qualité. A toutes les étapes, les panneaux mélaminés SWISS KRONO, réputés pour leur résistance et leur durabilité dans le temps, sont ainsi protégés des rayures en usine lors de leur manipulation, durant leur livraison et lors de l’usinage réalisé par les professionnels, clients de SWISS KRONO (négoces, industriels, menuisiers, architectes, …). Collection One World, une multitude de décors SWISS KRONO commercialise de nombreux décors tendances et originaux sous la Collection One World déclinée sur toutes ses gammes de panneaux décoratifs mélaminés, stratifiés et bandes de chants destinées à l’aménagement d’intérieur et à l’agencement.   https://www.swisskrono.fr/
Il y a 4 ans et 289 jours

Equilibrio, sèche-serviettes et sèche-peignoir électrique en acier inoxydable

Alimenté par énergie électrique à bas voltage, selon les principes d’économie énergétique de la production CEA, EQUILIBRIO s’adapte très facilement à toute ambiance domestique et publique, en trouvant la correcte modularité selon les espaces et les exigences du projet. Le design pure et linéaire rend EQUILIBRIO transversale : le corps à encastrer, universel et libre, détermine la modularité et/ou répétabilité. Un produit qui peut combiner de manière exemplaire fonctionnalité, durabilité et design. EQUILIBRIO est disponible dans les finitions standards satinée et polie et aussi dans toutes les finitions spéciales CEA (Black Diamond, Bronze, Cuivre et Light Gold) écologiques et biocompatibles.
Il y a 4 ans et 290 jours

Cupa Pizarras devient une entreprise neutre en carbone

CUPA PIZARRAS  est désormais une entreprise neutre en émissions de carbone, selon le standard ‘Carbon Trust’ qui reconnaît les organisations qui suivent les meilleures pratiques pour mesurer, gérer et réduire leur impact environnemental. Cupa Pizarras  a compensé ses propres émissions de dioxyde de carbone (CO2) par le financement de projets en faveur de l’environnement. En effet, un accord avait été mis en place avec ‘Carbon Footprint’ pour planter des arbres au Royaume-Uni et pour protéger l’Amazonie de la déforestation. Belén Díaz López, responsable de la gestion de qualité et l’environnement, explique : « Nous sommes très fiers de cette certification, fruit d’un travail mené depuis plusieurs mois. L’objectif de la neutralité fait partie d’un ambitieux plan qui intègre plus d’actions en matière de durabilité, l’économie circulaire et la lutte contre le changement climatique. » L’entreprise  a choisi deux projets pour compenser ses émissions : Le premier programme, situé au Royaume-Uni, prévoit que pour chaque tonne émise en 2019, un arbre sera planté en milieu scolaire. Le deuxième projet contribue à réduire la déforestation et préserver la biodiversité en Amazonie, poumon de notre planète, qui abrite pas moins de 10% des espèces, dont certaines en voie de disparition. Les deux programmes compensent les émissions de Cupa Pizarras  en 2019. Afin de poursuivre sur cette voie, les émissions carbones de l’entreprise  seront réduites de 5% supplémentaires en 2020 et 2021. Belén Díaz López, responsable de la gestion de qualité et l’environnement, confie : « En tant que leader de l´ardoise, nous tenons à tenir notre position par la mise en œuvre de politiques audacieuses dans la lutte contre le phénomène global du changement climatique. » L’objectif de l’Union Européenne est d’atteindre la neutralité carbone dès 2050. Cela engage à parvenir à un équilibre entre les émissions anthropiques par les sources et les absorptions anthropiques par les puits de gaz à effet de serre. L’engament de Cupa Pizarras est atteindre cet objectif avec deux décennies d’avance. La protection de l’environnement est présente à chaque étape de la production de l’ardoise, matériau naturel et non polluant. Les analyses de cycle de vie confirment qu’est l’option la plus écologique pour l’enveloppe du bâti. www.cupapizarras.com
Il y a 4 ans et 290 jours

Monaco : Trois jours pour tout changer

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. A Monaco, EMT vient de mettre en route le logiciel CP de Command Alkon. [©EMT] L’Entreprise Monégasque de Travaux (EMT) possède la seule centrale à béton de la Principauté. L’installation est conçue autour de deux malaxeurs. Mais cela impliquait de gérer un planning des commandes chargé. Une situation pas toujours simple, notamment quand il faut changer le logiciel des automates de la centrale. « Nous étions équipés du logiciel CE2 de Command Alkon, qui arrivait au bout de ses possibilités. Nous venons de passer sur leur nouveau logiciel CP, avec quelques adaptations dues à la configuration particulière de notre unité de production, indique Franck Carles, directeur d’exploitation d’EMT. L’opération devait être bien réglée en amont, puisqu’elle a débuté un vendredi après-midi et que le lundi matin, nous avions déjà à répondre à une commande de 1 000 m3de béton. Mais tout a bien fonctionné ! » Les équipes de Command Alkon ont d’autant plus préparé cette intervention, qu’elles déployaient le nouveau CP, dans le cadre du remplacement de CE2, seulement pour la deuxième fois. « Le logiciel CE2 s’arrêtera en 2024. Nous commençons à faire migrer nos clients vers son successeur, le CP,reprend Gaël L’Hopital, directeur opérationnel de Command Alkon. Nous avions déjà fait un pilote avec Eqiom. Cette intervention était la seconde de ce type. Avoir seulement trois jours pour agir était un défi, comme le fait d’avoir deux malaxeurs dans la centrale. Mais nous avions réalisé des simulations en amont. Et le jour J, tout a été réalisé tout de suite. Nous avons même pu faire des tests toute la journée du dimanche. » EMT peut à présent envisager avec confiance les migrations vers son nouveau logiciel, qui vont se généraliser. 
Il y a 4 ans et 290 jours

L'agriculture doit contribuer plus à la production d'énergies

Le rôle de ce secteur, qu'il s'agisse de produire de l'électricité, du gaz ou des carburants, "est un sujet majeur aux implications multiples pour l'environnement et le climat, pour ses conséquences en matière d'aménagement des territoires, d'organisation des filières et des exploitations agricoles", relève l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).Parmi les propositions, destinées à orienter le plan de relance économique du gouvernement attendu fin août, le rapport appelle à "développer de manière prioritaire la méthanisation" qui permet de produire du biogaz à partir de déchets organiques.Les rapporteurs de la mission, le député (LREM) Jean-Luc Fugit et le sénateur (PS) Roland Courteau, "déplorent les ambitions trop modestes" de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE).Alors que la loi a fixé en 2015 "un objectif ambitieux de 10%" de biogaz dans la consommation de gaz en 2030 (soit 39 à 42 TWh), la PPE de 2016 visait 8 TWh injectés dans le réseau en 2023, ramenés à 6 TWh en 2020, regrette le rapport, soulignant au passage que la définition de la feuille de route énergétique de la France devrait incomber au Parlement, non au gouvernement.Parmi leurs autres propositions: doter d'un volet agricole la recherche sur les énergies, renforcer le conseil auprès du monde agricole et intégrer ces projets dans les politiques d'aménagement des territoires.Les pouvoirs publics devraient "encourager l'appropriation des infrastructures de production d'énergie par les agriculteurs plutôt que par les énergéticiens seuls ou des opérateurs tiers", ajoutent les parlementaires.Dans l'éolien et le photovoltaïque, "les agriculteurs se contentent souvent de mettre à disposition des ressources foncières", notent-ils, relevant que leur appropriation "permettrait aussi de faire évoluer les regards sur ces filières" parfois difficilement acceptées.Enfin il faudrait soutenir l'agrivoltaïsme, des panneaux solaires mobiles qui, installés au-dessus des plantations, évitent d'utiliser du foncier supplémentaire, notent les auteurs.Selon le rapport, le secteur agricole, avec au moins 50.000 exploitations concernées, assure déjà 20% de la production d'énergies renouvelables (soit 3,5% de la production nationale d'énergie), dont 96% de la production nationale de biocarburants, 26% du biogaz, et via son foncier 83% de l'éolien, 13% du solaire photovoltaïque.