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Résultats de recherche pour paris

(24687 résultats)
Il y a 2 ans et 350 jours

Une filiale d'Orange chargée de déployer la 5G sur la ligne 15 sud du Grand Paris Express

CONTRAT. La Société du Grand Paris a confié le déploiement du réseau Internet mobile de la ligne qui reliera Pont-de-Sèvres à Noisy-Champs à une filiale du groupe Orange.
Il y a 2 ans et 350 jours

La Ville de Paris avance mais n'atteint pas ses objectifs climats, selon un rapport

La Ville de Paris a obtenu de "bons résultats" avec son premier plan Climat mais reste en retard sur ses objectifs, estime la chambre régionale des comptes (CRC) dans un rapport transmis le 20 mai à l'AFP.
Il y a 2 ans et 350 jours

Tour Triangle à Paris, les investigations confiées à un juge d'instruction

Les investigations sur des soupçons de favoritisme dans le contrat d'exploitation du Parc des expositions à Paris, où la Tour Triangle est en cours de construction, ont été confiées à un juge d'instruction en mars.
Il y a 2 ans et 350 jours

La maquette de la terre est ‘Elément Terre’

L’Institut Paris Région invite la matière terre à la Bap! de Versailles (Yvelines) jusqu’au 13 juillet 2022. Pour comprendre comment est constitué le socle naturel de la région, Cécile Diguet, commissaire d’exposition a choisi un support exceptionnel : une généreuse maquette vivante en terre à l’échelle 1/50 000e. Découverte en vidéo. Une maquette XXL en […] L’article La maquette de la terre est ‘Elément Terre’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 350 jours

Approvisionnements matériaux assurés jusqu'à la fin de l'année pour le chantier du village olympique

A l'occasion d'une visite de cet énorme chantier à Saint-Denis, Nicolas Ferrand a fait le point alors que la guerre en Ukraine et le Covid en Chine entraînent des pénuries et une flambée des prix dans le bâtiment."On a eu un moment de sueurs froides, au mois de mars jusqu'à mi-avril, où brutalement des constructeurs ont commencé à nous dire : On n'a plus de visibilité sur la disponibilité des matériaux", a-t-il dit, citant l'acier, le bois, les serrureries.... "Avec l'un des constructeurs, les fournisseurs ont dénoncé les contrats", a-t-il même expliqué. Mais, a-t-il ajouté, "depuis trois semaines, le message c'est qu'a priori on n'a pas de sujet d'approvisionnement à horizon de la fin de l'année".Le village olympique, principal ouvrage construit pour les JO de Paris 2024 qui sera ensuite transformé en quartier résidentiel, doit être terminé fin 2023. Le chantier tourne "cinq jours sur sept et ponctuellement le samedi jusqu'à 15h". "On devrait être en capacité de tout livrer fin 2023", a-t-il assuré, a priori sans recourir au travail dominical.Mais, "on a des sujets de coûts", a-t-il encore ajouté. Il avait déjà prévenu le 16 février que les chantiers seraient touchés par l'inflation mais pas par des surcoûts intrinsèques, assurant être "dans l'enveloppe en euros 2016 hors taxes", a-t-il dit. "On tient cet engagement", a-t-il encore assuré lundi.En euros courants, en revanche, le village coûtera plus cher du fait de l'inflation. C'est d'ailleurs pour cette raison, que la Solideo avait revu en juillet 2021 son budget de 4 milliards en euros courants. La partie publique avait été augmentée de 175 millions d'euros pour la faire passer de 1,38 milliard à 1,55 milliard d'euros.M. Ferrand a ajouté que des alternatives à l'utilisation de certains matériaux avaient été envisagées fin mars, mais qu'elles avaient été abandonnées quand le flou sur les approvisionnements s'est dissipé.Au passage, il a glissé que le pont prévu en béton imprimé, au dessus du canal Saint-Denis à Aubervilliers, ne se ferait finalement pas de cette manière innovante, après l'échec de deux prototypes. Il sera construit de manière classique.
Il y a 2 ans et 351 jours

Jean Ros : « Le béton luminescent constitue un excellent moyen d’éclairer »

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine [©Soltec] Si vous étiez un type de bétons ? Ah, ah ! C’est qu’il y en a beaucoup, des bétons… Je dirais : le béton luminescent, car il constitue un excellent moyen d’éclairer, tant bien que mal, les espaces extérieurs dépourvus d’éclairage, sur l’île. Si vous étiez une œuvre du patrimoine mondial en béton ? Ouah, le choix est vaste. Mais je pense à une construction plutôt récente. Il s’agit du stade de rugby Jean Bouin, à Paris. Celui qui accueille le Stade français. Déjà parce que je suis fan de rugby. Mais surtout parce je trouve très original d’avoir utilisé un Bfup ajouré pour son habillage extérieur. C’est un exemple. Beaucoup essaient d’imiter cette approche, avec d’autres matériaux, sans y parvenir… Sur l’île de Le Réunion, nous n’avons pas de Bfup. Le stade Jean Bouin nous inspire. Comment pensez-vous que va évoluer le béton dans le futur ? A La Réunion, il n’y a plus beaucoup de granulats pour construire. On se tourne de plus en plus vers la “récup”. Ce que je veux dire, c’est que plutôt que démolir pour reconstruire, nous allons nous orienter vers la rénovation du bâti existant. Voilà un des futurs du béton. Si vous étiez une rubrique de Béton[s] le Magazine ? J’apprécie la rubrique Esprit Béton, qui parle d’artistes travaillant le béton. Je suis assez artiste dans mes réalisations d’aménagements horizontaux. Cela m’inspire…J’aime beaucoup aussi la dernière page de la revue, qui parle de l’histoire du béton. Retrouvez l’ensemble du dossier événement
Il y a 2 ans et 351 jours

Alain et Jean-Louis Albizati : « La construction en béton perdurera »

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine [©Albizzati Pères & Fils] Si vous étiez une construction en béton ? La Fondation Jérôme Seydoux – Pathé conçue par RPBW dans le XIIIe de Paris. C’est une construction fonctionnelle, discrète, imaginée pour s’adapter à son environnement. Et faisant appel au meilleur de la technologie. Cette réalisation a été le fruit de tout le savoir-faire séculaire de notre entreprise. Nous avons réalisé la coque du bâtiment suivant une technique innovante de béton projeté sur une charpente métallique. Si vous étiez une œuvre du patrimoine mondial ? Sans hésiter, le binôme de la colline Notre-Dame-du-Haut de Ronchamp : la chapelle de Le Corbusier et le monastère Sainte-Claire de Renzo Piano. Notre entreprise a eu la chance d’intervenir sur la construction du monastère et maintenant sur la rénovation complète de la chapelle. Ce sont des monuments chers à notre culture locale de bâtisseurs. Comment voyez-vous le futur de l’architecture en béton ? La construction en béton perdurera, mais devra se réinventer tant dans sa conception que dans la composition des matériaux. Ceci, pour rester en adéquation avec les aspirations de notre société. Nous vivons l’une des périodes les plus captivantes de l’histoire de la construction où naissent une multitude de pistes de réflexions et d’expérimentions. Si vous étiez une rubrique de Béton[s] le Magazine ? Une rubrique… Des rubriques. Nous lisons déjà “Béton d’antan” qui nous rappelle à notre savoir-faire ancestral et nous permettra d’être bons dans nos “Fondamentaux”, afin d’être armés pour intégrer toutes les pistes d’avenir développées par le reste du magazine. Retrouvez l’ensemble du dossier événement
Il y a 2 ans et 353 jours

Palmarès des premiers Trophées de l'Innovation du WinLab', l'incubateur du CCCA-BTP

Six trophées ont été officiellement remis et neuf lauréats (équipe ou individu) ont été récompensés lors de la soirée dédiée à l’innovation dans le secteur du BTP, organisée le 24 mai à Paris. Dédié à la formation professionnelle par l’apprentissage dans les métiers du bâtiment et des travaux publics, ce concours, ouvert à l’ensemble des apprentis et des formateurs au sein des organismes de formation aux métiers du BTP, ainsi qu’aux entreprises formatrices, vise à mettre en lumière et diffuser leurs expériences et leurs pratiques les plus innovantes, développées en 2020 et 2021.Les Trophées de l'Innovation du WinLab' répondent à un triple objectif : explorer les gisements d’innovation issus des organismes de formation aux métiers du BTP, qualifier des solutions locales duplicables à grande échelle, au niveau national et valoriser les expérimentations menées au sein des organismes de formation aux métiers du BTP, pour accroître l’efficience des solutions et des parcours de formation proposés.Les projets devaient s’inscrire dans le cadre d’une initiative innovante structurante, à même de transformer une organisation, un comportement ou un usage, par la mise en œuvre concrète d’une idée originale, utile et réplicable. Plus d’une centaine de projets ont été présentés, issus de toutes les régions françaises. 24 projets ont été présélectionnés, puis présentés au jury national qui a désigné les neuf lauréats finaux.Le palmarès des trophées par catégorie Catégorie « Le CFA de demain »Projet lauréat : « Artisans & Artistes, le CFA fait son bouillon de culture » Porteur du projet : Émilie Hébrard (BTP CFA Gard)Ce projet a réuni une équipe composée d’Émilie Hébrard, formatrice à BTP CFA Gard, Nathan Ranc, Enzo Soulier et Romain Martin, apprentis en seconde année de CAP Monteur en installations sanitaires et Attoumane Charfène, apprenti en seconde année de CAP Électricien(ne). À contre-courant du tout numérique, ce projet ambitionne de rapprocher le monde artistique et celui du secteur du BTP, de faire entrer l’art dans les CFA. Artistes et artisans produisent de la même manière des œuvres uniques. Leur rapprochement offre une vision novatrice et collaborative de l’apprentissage dans le BTP, porteuse d’enseignements, d’échanges culturels et d’ouverture d’esprit. Résidence d’artistes, bibliothèque, ateliers d’expression sont à leur disposition au CFA, pour échanger et laisser libre court à la création. Le projet, très facilement duplicable dans d’autres CFA, offre aussi à tous les jeunes l’envie de se projeter dans les métiers du BTP. Catégorie « Attractivité de mon CFA »Projet lauréat : « Les rencontres de Julien » Porteur du projet : Pascale Duhen (BTP CFA Auvergne-Rhône-Alpes)Pascale Duhen, coordinatrice du développement régional, Margaux, alternante en communication, et Dimitri, chargé de communication à BTP CFA Auvergne-Rhône-Alpes, ont imaginé, pour promouvoir les métiers du BTP et l’apprentissage pour s’y former, un projet s’appuyant sur les réseaux sociaux, mode d’expression favori des jeunes pour leur donner envie de rejoindre le secteur. Après avoir listé les principaux messages qu’ils souhaitaient porter auprès d’eux (des métiers concrets et porteurs d’avenir, ouverts aux femmes et aux hommes, qui évoluent et qui perpétuent de vrais savoir-faire…), ils ont choisi de missionner l’influenceur Julien Geloën pour les délivrer. Onze vidéos ont été réalisées dans les onze établissements de formation de la région et sur des chantiers et concernent onze métiers. Le projet a bénéficié d’un financement dans le cadre de l’appel à projets « Attractivité des métiers » du conseil régional. Son bilan est très positif, avec 6 000 vues générées par chaque vidéo et 18 000 vues pour la vidéo publiée par l’influenceur. Catégorie « Évolution des métiers »Projet lauréat : « Le QR code, une nouvelle pratique de chantier » Porteur du projet : Guillaume Mary (BTP CFA Ocquerre)Guillaume Mary, responsable du CRAF (centres de ressources et d’aide à la formation) à BTP CFA Ocquerre, Hervé Lambert, formateur en construction de canalisations et travaux publics, Abdulla Akbar, formateur en dessin technique et leurs apprentis en 2e année de CAP Constructeur de réseaux de canalisations de travaux publics, ont conçu un projet permettant de remédier aux difficultés d’identification des vannes pour les entreprises de travaux publics. Pour repérer le plus rapidement possible une vanne, dans le cadre du suivi et de la traçabilité d’un chantier ou d’une situation d’urgence, ils ont élaboré un QR code des canalisations, qui intègre deux concepts : l'interdisciplinarité (entre l’atelier de dessin et le CRAF du CFA) et l'interopérabilité entre deux systèmes informatiques (logiciel AutoCAD et QR code). En scannant le QR code, l’ensemble du plan de réseaux s’affiche avec sa fiche technique et sa traçabilité. Reliant les techniques traditionnelles à celles du numérique, le projet a permis aux apprentis de se projeter vers le CFA et le chantier de demain et sera reproductible sur tous les types de réseaux de canalisations. Catégorie « Décloisonner pour innover »Projet lauréat : « Les déchets bois : une source d'économie et d'attractivité »Porteur du projet : Jean-Louis Pouly (BTP CFA Aube)Jean-Louis Pouly, formateur en menuiserie, et Éric Lefranc, directeur de BTP CFA Aube, ont imaginé un projet permettant de valoriser les déchets, en récupérant les copeaux et les morceaux de bois de l’atelier pour les transformer en bouchons de bois à fort pouvoir calorifique pour alimenter la chaudière à bois du CFA. Le broyeur, avec un filtre équipé d’un compacteur installé au CFA, permettra aussi aux entreprises de menuiserie et du BTP de la métropole Troyes-Champagne de venir broyer leurs déchets de bois (planches ou palettes), mais aussi à une entreprise de revalorisation des déchets située à cinq kilomètres, partenaire du projet, de venir brûler ses déchets ménagers. Pascal Landréat, maire de la commune de Pont-Sainte-Marie, et Georges Bell, président de la Chambre de métiers et de l’artisanat, sont impliqués dans ce projet, qui offre à la collectivité l’opportunité de résoudre leurs problématiques de gestion des déchets. Les quatre lauréats du Prix Vision d’avenirProjet « Elles Go »Elvanie KAGWIZA, apprentie (en formation à l’ESITC Paris)Elvanie KAGWIZA, étudiante en 3e année à l’ESITC Paris et apprentie ingénieur travaux chez Colas France, a créé « Elles GO », pour répondre à la thématique de l’inclusion par la mixité dans les métiers du BTP. Son projet vise à inciter les femmes à s’orienter dans les métiers du BTP, grâce à des dessins animés non stéréotypées, leur permettant de se familiariser avec le monde de la construction dès leur plus jeune âge. « Elles GO » s’adapte à toutes les femmes et à toutes les tranches d'âge, au travers d’une plateforme d'échanges et d’ateliers, animée par des femmes, proposant un programme d’accompagnement pour la recherche d’emploi et la réinsertion professionnelle. Projet « Box Office »Camille CALLENS, apprentie (en formation au CFA Compagnons du Devoir et du Tour de France Hauts-de-France)Camille Callens, apprentie ébéniste au CFA des Compagnons du Devoir et du Tour de France à Villeneuve-d’Ascq, épaulée par deux membres de l’École nationale supérieure d’architecture et de paysage de Lille (ENSAPL) et par deux compagnons, respectivement menuisier et plâtrier, a conçu un projet pour répondre aux nouveaux enjeux d’économie des matériaux et des ressources. Réalisé dans le cadre du Défi de la réhabilitation, projet collaboratif des Compagnons du Devoir et de l’ENSAPL, le projet « Box Office » a permis de fabriquer un bureau d’architecte modulaire, ergonomique, esthétique et confortable pour le futur usager. Dès sa phase de conception, des économies de matières premières ont été réalisées, en limitant les matériaux neufs, en intégrant le recyclage et en réutilisant des chutes de bois. Le projet a permis de partager les connaissances de chaque métier sans cloisonner les compétences.Projet « Reconversion 2.0 »Pierre THOREL, apprenti (en formation à BTP CFA Lille Métropole)Pierre Thorel, 22 ans, apprenti en formation à BTP CFA de Lille Métropole, est un ancien étudiant infirmier qui s’est reconverti dans le secteur du bâtiment. Les réseaux sociaux, son terrain d’expression de prédilection, l’ont fait connaître sur Instagram sous le nom de « L’Apprenti 2.0 ». Il a créé le projet « Reconversion 2.0 » pour partager à travers ses stories son quotidien en CFA et en entreprise, donner des conseils, valoriser les métiers du BTP auprès des 2 700 jeunes et leur famille qui le suivent sur les réseaux, pour leur donner envie de rejoindre un secteur attractif et novateur qui le passionne.Projet « Du Bâtiment au terrain »Matthias MEURANT, apprenti (en formation à BTP CFA Arles)Matthias Meurant, 25 ans, est apprenti à BTP CFA Arles depuis trois ans. Après un BEP Froid, il est en formation en CAP d’électricien et envisage un BP Monteur installations de génie climatique et sanitaire. Rugbyman au club RC Saint-Gillois, il a souhaité relier ces deux passions et partager les valeurs communes d’équipe, d’entraide et de cohésion du BTP et du rugby, en réalisant le projet « Du bâtiment au terrain ». BTP CFA Arles, devenu le sponsor maillot du club, bénéficie ainsi d’une belle visibilité, avec son logo apposé sur les panneaux du stade pendant les matchs, ainsi que sur les maillots des joueurs. Ce partenariat gagnant a permis d’attirer de nouveaux talents vers les métiers du BTP, qui se sont inscrits au CFA, mais aussi à des entreprises de recruter des apprentis. Le Grand Prix du Jury Projet lauréat : « L@bConnect » Porteur du projet : Mikael Tassin (BTP CFA Centre-Val de Loire)L’équipe des cinq formateurs Sophie Grand, Florence Mousseau, Sandra Bisson, Emmanuel Romanet et leur capitaine Mikaël Tassin des BTP CFA Indre, Indre-et-Loire, Eure-et-Loir, Loir-et-Cher et Loiret de BTP Centre-Val de Loire ont organisé le projet L@bConnect. Son objectif : transformer les CRAF (centres de ressources et d’aide à la formation) en L@b, des tiers lieux dédiés à l’innovation numérique, technologique, technique et pédagogique. Le L@bConnect est un projet systémique, dans lequel le CFA, son environnement et ses partenaires extérieurs peuvent interagir, apprendre et inventer. Facilement reproductible, ce projet collaboratif et régional vise à mutualiser les connaissances et les expériences. Des équipements (imprimante 3D, tablette tactile interactive, mobilier modulable…) ont été acquis pour favoriser l’interconnexion entre tous les apprenants, formateurs et partenaires. Vecteur de transmission, L@bConnect place l’innovation pédagogique au cœur de son dispositif, notamment par l'intégration de parcours de formation multimodaux au plus proche des besoins des usages. Les récompenses des lauréats Avec l’ambition de symboliser les enjeux de l’économie circulaire et de l’urgence climatique, WinLab’ a confié à l’association Sauvage Méditerranée la mission de créer des trophées originaux, pour récompenser les lauréats du concours. Entièrement fabriqués en France, ils ont été réalisés artisanalement à partir de centaines de fragments de plastiques ramassés en mer Méditerranée, mais aussi sur les plages et les côtes méditerranéennes.Plusieurs récompenses ont également été remises aux lauréats et aux finalistes des Trophées de l’innovation du WinLab’ des quatre catégories.Les lauréats du Grand prix du jury et des trophées Vision d’avenir bénéficieront d’une « Learning expedition » (voyage d’étude) du WinLab’, à Montréal, du 5 au 9 juillet 2022. Créé en 2017 par le CCCA-BTP pour relever le défi de la transformation du secteur de la construction et de ses nouveaux usages, l’incubateur WinLab’ aide les organismes de formation aux métiers du BTP à concevoir les formations aux métiers du BTP de demain. Il fédère une communauté de start-up et de partenaires pour anticiper et imaginer les métiers et services associés adaptées aux nouveaux enjeux de la filière.Véritable éclaireur de tendances, WinLab’ porte l’engagement du CCCA-BTP sur l’innovation et multiplie les passerelles entre formation et acteurs de la construction. En cinq ans, il a permis d’initier de nombreuses solutions portées par les organismes de formation aux métiers du BTP et entreprises formatrices d’apprentis.WinLab’ identifie les signaux faibles, les pratiques émergentes et les solutions innovantes. À travers les événements auxquels il participe et aux travaux de recherche qu’il mène chaque année, il contribue à créer des synergies et des applications opérationnelles au sein de l’écosystème du bâtiment et des travaux publics, mais aussi avec d’autres secteurs d’activité. Dans sa stratégie d’innovation, le CCCA-BTP, à travers les appels à projets qu’il organise, offre aux organismes de formation aux métiers du BTP, entreprises et start-up un terrain d’expérimentation privilégié sur quatre thématiques : le développement de l’apprentissage, la transition écologique et le développement durable, la transition numérique et le développement des compétences.
Il y a 2 ans et 353 jours

Nouvelle implantation en Haute-Savoie pour l’architecte d’intérieur Caroline Tissier

Architecte d’intérieur plébiscitée par les hôteliers et les restaurateurs, Caroline Tissier s’associe à Charlotte Blanc-Paque pour développer ses activités sur ce territoire. Basée à Chamonix, la nouvelle implantation de Caroline Tissier Intérieurs va proposer aux propriétaires d'hôtels, de chalets de luxe et de restaurants une griffe design renommée et un accompagnement personnalisé. Depuis la création de sa société en 2013, Caroline Tissier multiplie les collaborations avec des hôtels prestigieux et des chefs réputés, de Jacky Ribault à Christophe Hay. L'univers Caroline Tissier Intérieurs poursuit son développement avec talent et générosité.Design au sommet Présent en Ile-de-France et en Nouvelle-Aquitaine, le bureau Caroline Tissier Intérieurs s'installe donc désormais dans la vallée de Chamonix. Pour ouvrir cette nouvelle représentation, Caroline Tissier a choisi de s'associer avec Charlotte Blanc-Paque, architecte d'intérieur originaire de la région. Diplômée de l'Université de Montréal, Charlotte Blanc-Paque a choisi de revenir dans sa vallée savoyarde. Après une première expérience dans un cabinet d'architecture et un cabinet de maître d'œuvre sur Chamonix, elle décide de se consacrer à un projet familial. En collaboration avec son père, elle imagine, dessine et créé les chalets Grands Montets, trois bijoux 5 étoiles situés au pied des pistes. Main dans la main avec les artisans locaux, elle se spécialise dans la rénovation et la construction d'appartements et de chalets de montagne grand luxe, dans le plus pur respect des traditions architecturales locales. Fille d'hôtelier, Charlotte Blanc-Paque a toujours eu à cœur de développer son activité dans ce secteur. Admiratrice de longue date des créations de Caroline Tissier, elle n'a pas hésité lorsque cette dernière lui a proposé de s'associer pour ouvrir le nouveau bureau savoyard. Ensemble, les deux architectes d'intérieur vont pouvoir faire rayonner leur créativité sur les sommets.Un style unique et des réalisations remarquéesDepuis sa première collaboration avec le très médiatique chef Akrame Benallal en 2011, Caroline Tissier n'a cessé d'enchaîner des projets passionnants et créations remarquées.A la tête de sa propre agence d'architecture d'intérieur, elle décide de mettre ses inspirations design, sa qualité d’écoute et sa sensibilité au service des professionnels de l'hôtellerie et de la restauration. Rapidement, elle multiplie les collaborations avec des chefs en pleine ascension. David Toutain, Christophe Hay, Jacky Ribault, Yohann Chapuis, Guillaume Sanchez, Thibault Sombardier… autant d’étoiles montantes de la cuisine qui ont compté parmi ses premiers clients et qu'elle continue d'accompagner, pour certains, sur de nouveaux projets.Métissage de styles, effets de matière, textures que l'on a envie de toucher, mises en scènes lumineuses ou plus tamisées, univers façonnés à l'image de ses clients et de leur personnalité… la "patte" Caroline Tissier est reconnaissable à ses ambiances uniques et à sa créativité. A ce jour, Caroline Tissier a imprimé sa griffe sur plus d’une trentaine de lieux réputés : hôtels stylés et restaurants de chefs renommés. Et son actualité 2022 s'annonce pour le moins chargée !2022 : nouvelles créations inspiréesEn février dernier, le restaurant doublement étoilé Anne de Bretagne a rouvert à la Plaine sur Mer, avec un relooking complet signé Caroline Tissier. Pour l'architecte d'intérieur, il s'agissait de sa toute première collaboration avec le jeune chef breton Mathieu Guibert. Un design minéral et subtilement épuré, parfait pour sublimer une cuisine aux saveurs iodées et une vue imprenable sur l’océan, à l’extrême-Ouest du pays de Retz. Les prochains mois devraient voir éclore plusieurs autres projets. A Paris, le jeune chef Clément Vergeat a choisi Caroline Tissier pour imaginer l'ambiance de son tout nouveau bébé : le restaurant Nellu. Dans le Jura, Aurélien Moutarlier, chef du restaurant Grain de Sel, a fait appel à elle pour la décoration intérieure de sa nouvelle implantation dans une superbe bâtisse rénovée qui va aussi accueillir un complexe hôtelier. Autre actualité et non des moindres : une collaboration renouvelée avec le chef doublement étoilé Christophe Hay pour la décoration intérieure de Fleur de Loire ; un projet hors normes qui va abriter deux restaurants dont un gastronomique, un hôtel 5 étoiles, un kiosque à pâtisserie et un spa en plein cœur de Blois dès le mois de juin.
Il y a 2 ans et 353 jours

Chantier à l’international – Djibouti : L’immaculé et soigné centre de formation

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Le bâtiment Transform constitue le cœur du projet du Centre de ressources et de compétences dédié aux métiers portuaires de Djibouti. [©Richard + Schoeller Architectures] C’est à l’entrée de la mer Rouge, face au golfe d’Aden, qu’est implantée la ville de Djibouti, capitale de la république du même nom. Durant plus de 70 ans, cette zone a fait partie de la Somalie française, avant de devenir le Territoire français des Afars et des Issacs, en 1967. C’est seulement en 1977 que cette colonie accède à l’indépendance. Port maritime, Djibouti est la plus grande ville du pays et concentre un peu plus de 500 000 habitants. Soit environ 58 % de la population. Aujourd’hui, avec l’arabe, le français constitue une des langues officielles du pays. Bien qu’indépendante, la République de Djibouti reçoit une aide économique de la France, qui a participé à la construction de nombreuses infrastructures, dont le lycée français Joseph-Kessel, en 1991. Cet établissement fait actuellement l’objet d’une extension-reconstruction, sous la maîtrise d’œuvre de l’agence parisienne Richard + Schoeller Architectures. « Les travaux démarrent tout juste, explique l’architecte Frédéric Schoeller. Et de poursuivre : « Mais c’est une autre opération qui nous occupe aujourd’hui. Celle du Centre de ressources et de compétences dédié aux métiers portuaires de Djibouti. Le bâtiment Transform en est la composante principale. » Le projet est financé par l’Union européenne, dont la gestion des fonds a été déléguée à l’Agence française de développement. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 353 jours

Une plainte d'associations pour détournement de fonds publics sur une partie du projet de la Gare d'Austerlitz

Dans le document envoyé au parquet de Paris le 19 mai et que l'AFP a pu consulter, l'avocat des associations InCOPruptibles, SOS Paris et France Nature Environnement (FNE) Paris estime que "l'acquisition de l'ensemble immobilier A7A8 du projet Austerlitz par l'AFD constitue un détournement de fonds publics".L'AFD, établissement public qui met en oeuvre la politique de développement de la France à l'étranger, doit racheter ce vaste ensemble de 50.000 m2 de bureaux pour "un total de 924 millions d'euros", souligne Jérôme Karsenti en se basant sur l'avis très critique du Conseil immobilier de l'Etat rendu en juin 2021.Le coût estimé de l'opération, entre 17.000 et 18.000 euros le m2, "est particulièrement élevé" dans une zone où le prix moyen est évalué à 12.000 euros le m2, estiment les plaignants pour qui l'achat "ne présente aucun intérêt financier pour l'AFD" et la contraint "à poursuivre une activité de bailleur de fonds" qui se trouve "hors de son objet social".Selon le Conseil immobilier de l'Etat, l'AFD prévoit en effet la location ou la vente à un tiers de 8.000 m2 mais concède "que la superficie inutile" à ses besoins "pourrait être sensiblement supérieure" aux évaluations initiales, notamment en raison du développement du télétravail.Objectifs environnementauxPour les plaignants, la superficie excédentaire culmine ainsi à plus de 40% de la surface totale, ce qui démontre que "l'acquisition des 50.000 m2 n'est pas directement utile à l'AFD".Enfin, pour les trois associations, la construction de ce bâtiment est "contraire aux objectifs environnementaux et sociaux de l'AFD", le Conseil immobilier de l'Etat ayant souligné le "hiatus entre la posture environnementale de l'Agence et la solution immobilière retenue dont la frugalité n'est pas la principale qualité"."Si l'on considère que la construction d'un bâtiment représente 60% des dégagements de gaz à effet de serre, le choix d'un site à construire" aux dépens de biens existants "interroge", avait encore écrit le Conseil immobilier de l'Etat."Figure majeure de l'Accord de Paris", l'AFD "porte ainsi directement atteinte à la crédibilité de ses engagements" en finançant le projet immobilier porté par la Semapa, l'aménageur de la Ville de Paris pour ce secteur, et la filiale de la SNCF Gares et Connexions, estiment les plaignants.Les élus écologistes du Conseil de Paris, alliés de la maire PS Anne Hidalgo favorable au projet, se sont en 2021 alliés à l'opposition de droite pour réclamer une remise à plat du projet afin de le "dédensifier"."Aucun argent de l'aide au développement ne va servir à financer le siège de l'AFD", a réagi auprès de Mediapart Bertrand Walckenaer, directeur général adjoint de l'AFD. Selon lui, cette dernière "ne fait pas construire un bâtiment mais acquiert des bureaux au sein d'un projet beaucoup plus vaste"."Nous ne sommes que les utilisateurs d'un bâtiment", a ajouté M. Walckenaer.
Il y a 2 ans et 353 jours

Zenpark passe du parking mutualisé à la recharge partagée

La mobilité électrique fournit un relais de croissance à Zenpark, spécialiste de la gestion digitale et mutualisée du stationnement automobile. Avec le bailleur parisien RIVP et l’exploitant de parkings Indigo, deux contrats récemment décrochés par la jeune entreprise révèlent cette diversification.
Il y a 2 ans et 354 jours

Success story EFICIA – Bilan et perspectives de la French Tech qui monte

La transition énergétique, enjeu majeur des entreprises Paris, 18 mai 2022 – Le dernier rapport du GIEC interpelle les entreprises sur la nécessité de réduire leurs consommations énergétiques. En parallèle, ces dernières voient leurs finances fortement impactées par l’inflation du prix de l’énergie et de la taxe carbone. Dans ce contexte environnemental et économique sous […]
Il y a 2 ans et 354 jours

Un ouvrier grièvement blessé sur un chantier du Grand Paris Express

"Il a été rapidement pris en charge par les services de secours et hospitalisé", a indiqué la Société du Grand Paris (SGP), maître d'ouvrage de ce vaste projet d'aménagement.Les faits se sont déroulés un peu avant 10H00 et les secours ont pu l'extraire environ une heure plus tard, selon le récit des pompiers.La victime, un homme âgé d'une quarantaine d'années, a été "secourue dans une emprise à 30 mètres sous terre", ont-ils détaillé."Des investigations permettront de déterminer les circonstances de l'accident", a précisé la SGP.Le chantier de la gare est "à l'arrêt" le temps de l'enquête, selon cette source.Située à l'est de la métropole, la future gare de Clichy-Montfermeil se trouve sur la future ligne 16 du métro, qui desservira dix gares principalement en Seine-Saint-Denis.Le chantier de cette ligne a déjà été endeuillé en décembre 2020 à La Courneuve. Un ouvrier de 41 ans avait péri en chutant dans une cuve à broyer située à 30 mètres de profondeur.En janvier, un deuxième ouvrier avait par ailleurs été tué par une chute accidentelle de matériel sur le chantier de la future gare majeure de Saint-Denis-Pleyel.Les 200 kilomètres du Grand Paris Express comprennent quatre lignes nouvelles de métro automatique, numérotées de 15 à 18, ainsi que des prolongements de la ligne 14. S'articulant autour d'une ligne circulaire, plusieurs branches doivent relier les aéroports d'Orly et Roissy-Charles-de-Gaulle, le pôle scientifique de Saclay et des quartiers populaires de Seine-Saint-Denis aujourd'hui mal desservis.Après des retards, les nouvelles lignes sont désormais prévues pour entrer en service de façon progressive entre 2025 et 2030.
Il y a 2 ans et 355 jours

Grand Paris Express : un ouvrier "grièvement blessé" sur un chantier

ACCIDENT. Une enquête doit avoir lieu pour définir les circonstances de ce drame. C'est la troisième fois depuis décembre 2020 qu'un grave accident du travail se produit dans le cadre de ce projet.
Il y a 2 ans et 355 jours

Restauration du œuvre monumentale contemporaine : le Cyclop

La restauration du Cyclop, œuvre monumentale, véritable utopie artistique, donnée par Jean Tinguely à l’État en 1987, a été un véritable challenge. L’œuvre est née de la participation de 15 artistes, elle est faite de 350 tonnes de métal recyclé, 62 000 tesselles de miroir, mesure 22,5 mètres de hauteur, érigée de 1969 à 1994. Y ont particippé Niki de Saint Phalle, Eva Aeppli, Arman, César, Spoerri, Jean-Pierre Raynaud ou Jesús-Rafael Soto… Béatrice Salmon, directrice du Cnap, donne les éléments de cette restauration hors normes, extraits de l’article du site du Ministère de la Culture : La Face aux miroirs de Niki de Saint Phalle apparaît comme l’enjeu majeur de cette restauration… Cette pièce emblématique a été conçue tardivement : il a fallu que toute la structure du Cyclop soit dessinée pour trouver cette formule magique autour du traitement du visage, en l’occurrence, cette idée magnifique de Niki de Saint Phalle : concevoir une mosaïque de miroirs qui a pour effet de faire disparaître le monstre dans la forêt. Grâce à cet effet de miroitement, il absorbe son environnement et, par voie de conséquence, disparaît lui-même. De fait, la question du traitement de la Face aux miroirs était sur le métier depuis plusieurs années. Des études ont été faites pour comprendre les raisons de l’altération des miroirs – ils avaient en effet perdu leur tain, tombaient… – et trouver des solutions pour que cela ne se reproduise plus à l’avenir. Cela a pris du temps et mobilisé les compétences les plus pointues, à commencer par celles de l’Institut national du patrimoine et du Laboratoire de Recherche des Monuments Historiques. Nous avons également bénéficié de l’expertise de Saint-Gobain. Une fois au pied du mur, il a fallu inventer une nouvelle manière de travailler pour être au plus près du calepinage original. Nous y sommes parvenus grâce au talent de l’équipe de restaurateurs conduite par Philippe de Viviés, qui a transféré des méthodes utilisées dans le domaine des antiquités avec des empreintes au latex des miroirs existants pour pouvoir au millimètre près reproduire les mêmes coupes et avoir ce même travail d’échelle. Un relevé 3D de la tête a même été réalisé… Cette surface est particulièrement mouvementée. Si on hésite entre sculpture et architecture pour qualifier l’œuvre dans son ensemble, la dimension sculpturale de la tête, en revanche, ne fait aucun doute. Il y a notamment tout à coup des animaux qui viennent se glisser dans cette morphologie de la face. Tout cela est très facétieux de la part de Niki de Saint Phalle, le relief est d’une grande complexité, d’où le travail extrêmement utile réalisé par l’entreprise 3DO Reality Capture qui a procédé à ce relevé 3D. Au total, c’est 325 m2 de miroirs posés, auxquels il faut ajouter les pertes. Quand bien même une équipe formidable de personnes spécialistes du travail du verre était à l’œuvre et préparaient dizaines de centimètres carrés par dizaines de centimètres carrés les nouveaux miroirs découpés, ce travail supposait naturellement un peu de perte. Retrouvez tout le descriptif de ce chantier dans le site du Ministère de la culture… Photo : Jean Tinguely « Le Cyclop », 1969-1994 FNAC 95419 Donation Jean Tinguely, Niki de Saint Phalle à l’Etat en 1987 / Centre national des arts plastiques © Adagp, Paris, 2022 / Cnap / Crédits photo : Camille Verrier  
Il y a 2 ans et 355 jours

Bilan 2021 et perspectives du groupe immobilier Mercure

Le groupe immobilier Mercure a entamé l’année 2021 avec un calme relatif, dans la continuité du dernier trimestre de 2020, marqué par le second confinement. Les deuxième et troisième trimestres de l’année ont cependant connu une accélération des actes et des visites, avec une clientèle plus mature dans ses projets immobiliers. La fin de l’année a quant à elle été caractérisée par un ralentissement de son activité commerciale en région, contrastant avec une reprise à Paris ainsi que dans les grandes métropoles françaises sur le marché urbain.Si cette année 2021 fut globalement bonne pour le groupe immobilier Mercure (+9% de chiffre d’affaires), on observe les conséquences du contexte Covid, à savoir une accélération de nouvelles tendances de vies de ses clients avec un attrait grandissant pour les belles propriétés en zones périurbaines. On constate une baisse de sa clientèle étrangère hors Europe qui représente aujourd’hui 75% des acquéreurs étrangers.2021 : un marché urbain contrastéTout comme pour l’année 2021, le marché de l’urbain a été largement influencé par l’effet Covid caractérisé par le développement du télétravail et la quête d’authenticité. Les centre villes ont perdu, dans un premier temps, de leur attrait au profit des zones péri-urbaines et rurales, permettant de gagner de la surface ou un extérieur. Les ventes de maisons et appartement avec terrasse ont ainsi représenté 64% des ventes en 2021.Avec la pérennisation du télétravail, les zones rurales ont gagné en attractivité : les Parisiens ou habitants de grandes métropoles envisagent de plus en plus de faire de longs trajets deux ou trois fois par semaine au profit d’une meilleure qualité de vie et d’une plus grande surface.Face à ces nouvelles tendances, le groupe immobilier Mercure a décidé d’adapter ses stocks de biens en choisissant de rentrer en portefeuille les beaux biens situés en zone rurale (70% de son stock actuel).2022 : des perspectives d’évolution tournées vers la clientèle« Propriétés d’Excellence : une promesse de qualité totale. A la fois sur le caractère exceptionnel de nos biens, mais également sur L’Engagement de nos équipes, véritable marque de fabrique du groupe Mercure »Le groupe immobilier Mercure a décidé d’orienter sa stratégie vers sa clientèle. Dans un marché de l’immobilier de luxe à la concurrence accrue, Mercure se différencie par la qualité de ses services, une expertise reconnue, et en modélisant toujours plus ses services d’Excellence. Il entend pour cela améliorer ses formations et recrutements ainsi que la structuration de ses réseaux. À l’international, il souhaite pérenniser ses partenariats internationaux tout en développant les perspectives offertes par sa participation à la création de Forbes Global Properties.Au niveau national, le groupe souhaite également se développer en ouvrant 15 agences supplémentaires d’ici 2026.Les domaines viticoles : une expertise du groupe Mercure au service du patrimoineToujours dans un contexte Covid, Mercure a constaté l’apparition d’une clientèle nouvelle, attirée par l’union d’un bâti d’exception et de la vigne. Projet successoral ou fiscal, cet engouement des néo vignerons a donné l’ambition au groupe de pousser son expertise encore plus loin en engageant un expert du monde viticole et de l’œnotourisme.Celui-ci propose son expertise sur cette typologie de biens spécifiques en permettant à ses clients d’avoir une vue globale sur leurs projets : sur les éléments d’acquisition ainsi que l’entretien et la rentabilisation du domaine. Il peut ainsi proposer son expertise sur l’œnotourisme ou sur les modes de commercialisation du vin.Fidèle à son ADN, le groupe suit sa clientèle dans ses les envies de beau et d’espace avec une expertise fine et de proximité.
Il y a 2 ans et 355 jours

Grand Paris Express : Schindler pose les premiers escaliers mécaniques dans la future gare Villejuif Institut Gustave-Roussy

Schindler, leader de la mobilité verticale, assurera le transport des voyageurs sur 8 gares du tronçon sud de la future ligne 15 qui reliera 22 communes dans quatre départements franciliens. Schindler, l’un des leaders ascensoristes depuis plus de 150 ans, annonce ce jour la pose d’un premier escalier mécanique dans la future gare emblématique Villejuif […]
Il y a 2 ans et 355 jours

Aux fabriques , le groupe KARDHAM imagine pour RTE un siège régional à la pointe de la sobriété énergétique

Paris, 12 mai 2022 – Le pôle Architecture et le pôle Design d’Espaces du Groupe Kardham, acteur français indépendant et intégré de l’immobilier professionnel, réaliseront dès 2023 sur le site des Fabriques au Nord-Est d’Euro-méditerranéen (15e arrondissement de Marseille), le nouveau siège régional de RTE (Réseau de Transport d’Electricité). Le bâtiment répond à de forts objectifs de performances environnementales en cohérence avec l’architecture bioclimatique développée au sein de cet écoquartier où la qualité de […]
Il y a 2 ans et 356 jours

A Montparnasse, l'hôtel Pullman veut se relancer pour les 50 prochaines années

RÉNOVATION. L'hôtel Pullman de Paris Montparnasse vise à entamer une seconde vie après avoir fait l'objet d'une rénovation du sol au plafond, durant plus de quatre ans. Une opération portée par Unibail Rodamco, imaginée par Cut architectures.
Il y a 2 ans et 356 jours

Enjeux climatiques et sociaux ? La ligne 1 arrêtée en pleine voie

Le 2 mai 2022, la préfecture du Val-de-Marne a publié le rapport de la commission d’enquête émettant unanimement un avis défavorable au prolongement de la ligne 1 du métro parisien. Elle devait pourtant enfin desservir des zones enclavées de Montreuil (Seine-Saint-Denis), Vincennes et Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Ou quand les politiques vont à contresens du bon sens territorial […] L’article Enjeux climatiques et sociaux ? La ligne 1 arrêtée en pleine voie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 356 jours

Louis-Emile Durandelle, photographe au service de l’architecture

Son premier chantier est celui de l’opéra Garnier, en 1864. Cela lui a permis d’avoir de nombreuses autres commandes. [©Wikimedia Commons] Grâce à la thèse de Charlotte Leblanc réalisée à l’Ecole pratique des hautes études, l’immense corpus de photographies de Louis-Emile Durandelle (1839-1917) est enfin remis à l’honneur. La docteure en histoire de l’art est par ailleurs chargée de la protection des Monuments historiques au ministère de la Culture. « C’est la conservatrice de la BnF, Sylvie Aubenas, qui m’a parlé de ce photographe. Il y avait beaucoup de fonds, de collections, mais son œuvre était peu étudiée », confie Charlotte Leblanc. On découvre ainsi dans son étude que, durant la seconde moitié du XIXe siècle, l’amélioration des techniques photographiques offre de nouveaux outils aux architectes. Ainsi qu’au monde de la construction ou de la restauration d’édifices. Demande des architectes de l’époque La thèse de Charlotte Leblanc met en lumière le corpus de photographies de Louis-Emile Durandelle. [©Kévin Bevelacqua] Dans ce contexte, Louis Emile Durandelle, actif à Paris entre 1860 et 1890, illustre cette adaptation de certains photographes à la demande des architectes de l’époque. « Son premier chantier important est celui de l’opéra Garnier, en 1864. Cela lui a permis d’avoir de nombreuses autres commandes. Au XIXe siècle, la photographie était considérée comme une preuve irréfutable de la réalité. Je pense ainsi que les prescripteurs l’utilisaient pour régler des problèmes sur chantier. Ce fut peut-être le cas pour la tour Eiffel. Gustave Eiffel devait prouver qu’il était capable de construire un édifice qui tienne sur des bases solides en béton. Ainsi, le constructeur lui a commandé quelque 55 photos, dont 22 des fondations. Hors de prix ! C’était de vrais documents de travail, pas destinés au grand public, qui sécurisaient, en quelque sorte, la pratique de Gustave Eiffel. Pour montrer tout le dispositif de chantier. Il y avait un véritable enjeu autour de ces photos. » Une photographie documentaire avant tout Né à Verdun en 1839, « on ne sait rien de sa formation. Probablement, un autodidacte ». Louis-Emile Durandelle commence sa carrière de photographe à Paris vers 1860. Et ce, en se spécialisant dans la « reproduction artistique industrielle et commerciale ». Il ne réalise pas seulement des portraits, mais utilise aussi la photographie pour mettre en valeur des objets d’art, des tableaux, des usines, des maisons ou des édifices publics. En se déplaçant sur les divers chantiers de construction grâce à une « voiture laboratoire », il enregistre les différentes étapes des constructions parisiennes du Second Empire et du début de la Troisième République. On lui doit ainsi de célèbres photographies de la construction du Sacré-Cœur de Montmartre, de la gare Saint-Lazare, du Comptoir d’Escompte, de l’Hôtel-Dieu ou encore des restaurations du Mont Saint-Michel. En effet, dans la thèse de Charlotte Leblanc, on découvre que la représentation architecturale de l’époque connaît alors elle-même une transition importante. Bouleversée notamment par la rapidité d’exécution des photographies. Plus de 10 00 photos « Louis-Emile Durandelle a réalisé plus de 10 000 photographies de reproductions d’objets d’art et d’architecture et un nombre difficile à évaluer de portraits-cartes. Il joue, par l’abondance de sa production et sa présence sur des chantiers parisiens majeurs, un rôle important dans l’évolution des usages de la photographie par le monde de la construction. » La docteure en histoire de l’art a ainsi mis en avant sa biographie, son activité de photographe de chantier, d’édifices achevés et de décors monumentaux. Ceci, depuis sa réalisation des clichés jusqu’à leurs usages variés faits par ses commanditaires. Sa thèse replace l’activité du photographe parmi celles de ses pairs, à une époque où le métier de photographe d’architecture nécessite une importante maîtrise technique. Notamment pour lutter contre la parallaxe1 et les distorsions de la perspective. Louis-Emile Durandelle effectuait presque toujours ses prises de vue en grand format, sur des plaques au collodion. Frappante de modernité Ce qui donne à ses photographies « une frappante modernité ». Ses épreuves étaient tirées sur papier albuminé qui fait ressortir « une beauté particulière ». Charlotte Leblanc analyse aussi la manière, dont certains architectes, certaines administrations ou certains entrepreneurs du bâtiment ont fait usage des clichés de Louis-Emile Durandelle pour servir leurs intérêts économiques et professionnels. Et ce, aussi bien lors de la conception architecturale qu’au cours du chantier de construction ou pour promouvoir leur réalisation, une fois l’édifice achevé. Gustave Eiffel a dû prouver qu’il était capable de construire un édifice qui tienne sur des bases solides. Ainsi, le constructeur a commandé à Louis-Emile Durancelle quelque 55 photos, dont 22 des fondations. Etat des travaux en 1888. [©Wikimedia Commons]Construction de l’opéra Garnier. [©Wikimedia Commons] Photo de l’opéra Garnier en cours d’achèvement en 1866. [©Wikimedia Commons] 1La parallaxe est l’effet du changement de position de l’observateur sur ce qu’il perçoit. M. C.
Il y a 2 ans et 356 jours

Les approvisionnements en matériaux pour le village olympique sécurisés jusqu'à fin 2022

PARIS 2024. Si la guerre en Ukraine et la crise covid en Chine l'ont inquiétée, la Solideo, en charge de la livraison des ouvrages olympiques, se veut rassurante : il n'y aura pas de problème d'approvisionnement pour la construction du village olympique jusqu'à fin 2022.
Il y a 2 ans et 356 jours

La FFB Grand Paris Île-de-France à la recherche de nouvelles recrues

Le secteur du Bâtiment souffre d'une pénurie de main d’œuvre en France, et l'Île-de-France ne fait pas exception. La FFB Grand Paris indique que plus de 10 000 équivalents temps-pleins par an sont recherchés.
Il y a 2 ans et 357 jours

Siège de l’Université de Reims URCA signée Ameller Dubois

L’agence parisienne Ameller Dubois a livré en 2021 le campus URCA, nouveau siège de l’Université de Reims (Marne). L’ouvrage de 4 300 m², édifié avec un budget de 7.2 M€ HT pour la Région Grand Est maître d’ouvrage, se veut un symbole de l’excellence ouverte à tous. Communiqué. Accueillant l’ensemble des services centraux et les […] L’article Siège de l’Université de Reims URCA signée Ameller Dubois est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 357 jours

Vinci Construction France mis en examen pour "corruption privée" dans un dossier lié au Qatar

Un juge d'instruction de Nanterre soupçonne Vinci Construction France, un des leaders du bâtiment dans le pays, d'avoir versé "plusieurs millions d'euros", notamment par l'intermédiaire de deux filiales, "à une société" appartenant à l'ex-gérante de fortune qatarie, Chadia Clot, explique à l'AFP une source proche de l'enquête.La contrepartie suspectée : obtenir certaines conventions "telles que la rénovation des salons de l'hôtel Ritz ou encore la réhabilitation de la Samaritaine à Paris", poursuit cette source.Selon la même source, "plusieurs millions d'euros" auraient été maquillés, entre 2008 et 2016, comme des "soi-disant travaux de décoration dans le cadre de chantiers" facturés par Vinci Construction France.La femme d'affaires d'origine palestinienne Chadia Clot a dirigé le fonds French Property Management (FPM), dédié aux investissements en France de l'ancien émir qatari, Hamad Ben Khalifa Al-Thani, jusqu'en juin 2017.Elle et son compagnon ont été mis en examen, en janvier dernier, pour "corruption privée passive", soupçonnés d'être les bénéficiaires de cette corruption présumée, a confirmé le parquet de Nanterre. Contacté par l'AFP, l'avocat de Chadia Clot n'a pas souhaité s'exprimer.Un signalement Tracfin en 2015 avait provoqué l'ouverture d'une enquête préliminaire par le pôle éco-financier du parquet de Nanterre. L'enquête avait ensuite été confiée à un juge d'instruction en 2018.Outre Vinci Construction France, ses filiales Petit et GTM Bâtiment ont également été mises en examen, en février, pour "corruption privée" pour la même période de faits reprochés, de 2008 à 2016. Vinci Construction France et Petit sont aussi inquiétés pour "complicité de faux et usage de faux en écriture privée".Vinci Construction France et son avocate, ainsi que l'avocat de l'entreprise Petit, n'étaient pas joignables dans l'immédiat. Le conseil de GTM Bâtiment n'a pas souhaité réagir.Dans cette affaire, un décorateur est également mis en examen pour "corruption privée". Son avocate n'était pas immédiatement joignable.
Il y a 2 ans et 357 jours

10ème Championnat de France Cordistes : 2 Jours d’efforts et des nouveaux titres de Champions de France

Bien plus que compétition d’experts, c’est surtout l’occasion de mettre en avant et de faire découvrir un métier en plein développement exercé par plus de 15 000 professionnels en France, regroupés dans 700 entreprises spécialisées. Une profession qui génère un peu moins de 1 milliard d’euro de chiffres d’affaire.Déjà 10 éditions fédératricesLancé en 2006 à Paris, le syndicat Français professionnel France Travaux sur Cordes a fait évoluer cet événement avec la volonté de réunir l’ensemble des acteurs du monde des travaux d’accès difficiles : cordistes, chefs d’entreprise, partenaires, organismes de formation, organismes, préventeurs, FFB, FNTP, Ministère du Travail, afin de mieux faire connaître la profession et d’améliorer les pratiques.Fédérateur, technique et impressionnant, les cordes fait le lien.Moyen d’accès et de déplacement sur des chantiers de travaux publics, des travaux urbains ou industriels, les déplacements sur cordes exigent un très grand professionnalisme de la part des techniciens qui allient double compétence : la maîtrise parfaite des techniques de progression sur cordes et des savoirs faire métier (maçon, tailleur de pierre, peintre, soudeur, foreur en montagne…). Travailler sur cordes exige des formations sanctionnées par des diplômes de certificat de qualification cordiste et de technicien cordiste.Un savoir-faire que le public a pu apprécier dans ce nouveau lieu, la Sucrière à Lyon !Situé en bord de Saône dans le quartier nouveau de Confluence.Un lieu idéal pour organiser ses épreuves en hauteurL’ancien portique du port qui devait charger les barges des péniches, mesure 52 mètres de long avec une hauteur de 16 mètres a permis d’organiser des épreuves très techniques de déplacement sur cordes.Le silo avec ses 21 mètres de haut est aussi idéal pour des déplacements plus confinés et plus précis comme l’épreuve du saut d’eau (monter, se déplacer et travailler avec un saut d’eau tout en perdant le moins d’eau !)Une compétition comme sur un chantier !Deux journées de confrontation dans un cadre prestigieux choisi par les organisateurs pour ce dixième événement.Des mises en situation de travail identique aux travaux sur bâtiments, en industrie, sur falaises pour sécuriser les routes, sécuriser les ouvrages d’Art, et bien d’autres encore…Les équipements, l’outillage, les matériaux, les tâches à effectuer avec précision et rapidité, tous les ingrédients sont réunis pour que les cordistes montrent les exigences techniques requises pour réaliser leurs ouvrages.Durant les épreuves 20 jurys experts de la profession chronomètrent tout en observent chaque geste, évaluent et vérifient que toutes les règles de sécurité soient respectées. Un évènement qui ne laisse personne indifférent, que l’on soit initié ou néophyte.Jusqu’aux Finales, la tension était palpable pour départager les challengers du titre individuel.Après 7 titres consécutifs Antoine Quidoz était l’homme à battre ! Ivan Muscat longtemps vice-champion de France voulait décrocher enfin le titre ! 1 er après les qualifications, il est éliminé en huitième de finale. Antoine va participer à sa 8ème finale face à Alban Girardin, une finale pleine de rebondissement qui se déroule sous l’immense portique. Antoine fini son parcours avec 30 secondes d’avance, mais écope d’une pénalité de 30 secondes suite à une faute technique. Les deux protagonistes finissent ex aequo.Les femmes ne sont pas en reste dans le métier. Elles étaient 5 à participer aux championnats de France Cordiste au terme desquels Leslie Graff est devenue championne de France pour la deuxième fois consécutivement.Le titre par équipe/entreprises est aussi très prisé par les cordistes et les entreprises. Les 3 meilleurs cordistes par entreprises se retrouvent en finale et là aussi pas beaucoup de surprises mais une bagarre de haut vol ! La finale se déroule comme 2019 entre Hydrokarst et Aplomb et est remportée par Hydrokarst.Résultats :Champions de France Hommes aexquo: Antoine Quidoz et Alban GirardinChampionne de France Femmes : Leslie GraffClassement par Équipe : HydrokarstClassement intérim : Actual Sett 1Classement organisme : Dimension CordeUne compétition et une table rondeLors de la remise des prix, Jacques Bordignon, président de France Travaux sur Corde a rappelé l’importance de cette manifestation pour la profession. « L’ensemble des acteurs, entreprises, salariés, entreprises de travail temporaire, organismes de formation et de certification, organismes préventeurs, fournisseurs y sont les bienvenus. Ils peuvent non seulement profiter du spectacle des épreuves, découvrir les nouveautés des partenaires sans lesquels l’événement ne pourrait avoir lieu, mais également échanger sur les actions en cours afin de poursuivre l’amélioration des pratiques professionnelles et la prévention des TMS »Une table ronde, avec tous les acteurs, sur le thème « Les fondamentaux des travaux sur cordes & préserver sa santé », en partenariat avec l’OPPBTP. » France Travaux sur Cordes donne rendez-vous, pour le 11ème championnat en 2024 à la Sucrière
Il y a 2 ans et 357 jours

Nouveau plateau TV Bati-Journal au Carrefour International du Bois

À l’occasion du Carrefour International du Bois qui se tiendra à Nantes du 1er au 3 juin prochain, les équipes de Bati-Journal seront présentes avec une nouvelle édition de son plateau TV. Cet événement est organisé par Wood Surfer et le Carrefour International du Bois, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt. Ce plateau sera animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef des magazines Planète Bâtiment et 5façades) Programme du mercredi 1er juin : 10h15 – Observatoire filière forêt-bois : chiffres clés, marchés et actualité, avec Eric Toppan (Coordinateur de l’Observatoire Économique de France Bois Forêt) 12h30 – Le bois français dans la restauration du patrimoine avec François Auger (Architecte du Patrimoine), Henry de Revel (Responsable des programmes – France Bois Forêt) et Bernard Lechevalier (Rédacteur en chef d’Atrium, patrimoine & restauration) 14h00 – Les bardages bois : enjeux et opportunités avec Manel Chéour (Responsable marketing et innovation – Groupe ISB), Arnaud Hétroit (Directeur – Le Commerce du Bois), Eva Cojean (Chargée de mission seconde transformation – Fédération Nationale du Bois) et Gwénolé Lees (Chef de marché construction bois – Piveteau Bois) 14h45 – JO 2024 : bois & impact carbone avec Georges-Henri Florentin (Président – France Bois 2024) et Benoît Jobbé-Duval (Directeur Général – ATIBT) et Eva Cojean (Chargée de mission seconde transformation – Fédération Nationale du Bois) 16h00 – Traçabilité : aide au choix responsable avec Dominique Cottineau (Délégué Général de l’Union des Industriels et Constructeurs Bois), Jérôme Martinez (Responsable Bois de France), Alessandra Negri (Responsable marchés et environnement – Le Commerce du Bois) et Sabine Boury (Déléguée Générale de l’Union des Industries du Panneau Contreplaqué) Programme du jeudi 2 juin :  09h30 – Retours d’expériences bois biosourcés avec Margaux Petillon (Architecte – Can-Ia) et Jihen Jallouli (Responsable innovation durable – CRR Ecritures Architecturales) 10h30 – Marchés mondiaux et flux de matériaux avec Thibaud Le Moign (French Timber) 11h30 – Groupe ISB : actualités Structure et Biosourcés avec Laureline Roy (Chef de produit structure – Groupe ISB) et François Bonnaud (Responsable commercial région Ouest – Groupe ISB) 12h00 – Signature de La Wood Tech & FCBA 12h30 – Présentation des start’up de la Wood Tech avec François Vulser (Responsable de la Wood Tech) 13h15 – La parole à Eco-Mobilier avec Dominique Mignon (présidente d’Eco-Mobilier) 14h00 – Configurateurs avec Ambre Le Ferrec (Responsable du pôle seconde transformation – Fédération Nationale du Bois) 15h00 – Les terrasses bois : enjeux et opportunités avec Arnaud Hétroit (Directeur – Le Commerce du Bois), Eva Cojean (Chargée de mission seconde transformation – Fédération Nationale du Bois), Claudie Maindron (Responsable commercial – Protac France) et Catherine Ducerf (Responsable marketing et communication – Groupe Ducerf) 16h00 – L’Union des Artisans du Bois, nouvelles infrastructures et projet d’investissements avec Alban Viaud (Président de l’Union des Artisans du Bois) 17h00 – Aménagement urbain en bois avec Jérémie Kœmpgen (Architecte – Jérémie Kœmpgen Architecte) et Benjamin Verger (Cofondateur – 100Détours) 18h15 – La parole à SwissKrono avec Vincent Adam (Président – SwissKrono) et Joao Da Rocha (Directeur commercial et marketing – SwissKrono) 18h30 – La parole à Jean-Michel Servant, président de l’Interprofession nationale France Bois Forêt Programme du Vendredi 3 juin  09h15 – Rénover avec le bois avec Bruno Trovalet (Architecte Associé-Urbanmakers) 10h30 – Construire en bois en respectant la RE 2020 : outils et solutions avec Jean-Marc Pauget (Expert construction bois – CNDB) 11h00 – Notre-Dame de Paris : comment la filière forêt bois participe à sa reconstruction, genèse d’une aventure humaine et forestière ? avec Michel Druilhe (France Bois Forêt) et Aymeric Albert (Directeur commercial – ONF) 12h00 – Certification PEFC et construction bois : contrainte ou opportunité ? avec Geoffroy D’Hainault (Directeur des Opérations – REI Habitat), Karine Bouhier (Directrice – LCA), Céline Laurens (Déléguée Générale – Fibois France) et Paul-Emmanuel Huet (Directeur exécutif – PEFC France) 14h00 – Bois de France : des marchés en forte croissance avec Jérôme Martinez (Responsable Bois de France), Florian Lefèvre (Directeur Général Cruard Charpente) et Céline Laurence (Déléguée Générale – Fibois France) Toutes les vidéos seront à retrouver dès le 1er juin sur bati-journal.com, woodsurfer.com et sur le site de franceboisforet.fr  Retrouvez l’intégralité du programme des conférences de l’espace Techniques & Solutions bois sur le site du Carrefour du bois.
Il y a 2 ans et 357 jours

RSE / Responsabilité sociétale des entreprises : Inoha engage ses adhérents dans la décarbonation

Pour lutter contre le changement climatique, la France s’est engagée dans la Stratégie Nationale Bas Carbone et s’est fixée comme objectif la neutralité carbone à l’horizon 2050. C’est dans ce contexte qu’INOHA a placé la RSE parmi les axes de sa stratégie 2022 – 2025 pour accompagner la filière du Nouvel Habitat. A l’issue de son Assemblée Générale du 18 mai 2022, INOHA, l’Association des Industriels du Nouvel Habitat, a dévoilé son plan de décarbonation des entreprises et notamment le parcours d’accompagnement adapté au niveau de maturité et à la taille de ces dernières. Cet événement a également été l’occasion de présenter Delphine de Labarrière, nommée au poste de Responsable RSE. RSE, des actions structurées autour de 3 axes Le 15 décembre 2021, les membres du Conseil d’Administration d’INOHA ont validé la feuille de route stratégique pour engager et accompagner la filière du Nouvel Habitat dans sa démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises). Dans ce domaine, les actions d’INOHA sont structurées autour de 3 axes : • Eclairer ses adhérents sur les enjeux de la RSE, sur les meilleures pratiques à adopter et les guider sur les différentes démarches d’évaluation. • Construire des actions collectives qui contribuent à bâtir une filière à impact positif et à développer des offres durables (mesure de l’empreinte carbone des entreprises et stratégie de décarbonation). • Peser sur la conception de la règlementation et sur la mise en œuvre équitable des pratiques commerciales. Pour accompagner ses adhérents sur ces sujets, INOHA leur propose des formations pour comprendre les enjeux de la RSE et piloter une démarche de transition environnementale. Un module spécifique sur la Responsabilité Sociétale de la Marque a été également mis en place. Bilan Carbone®, quels périmètres ? Afin de construire une filière à impact positif, l’un des axes de sa démarche RSE, INOHA s’engage dans la décarbonation de ses entreprises adhérentes. Pour rappel, le Bilan Carbone sert à mesurer les émissions de gaz à effet de serre liées à l’activité d’une entreprise. Il permet de catégoriser les émissions en 3 périmètres : • Scope 1 : émissions directes de gaz à effet de serre qui ont lieu au sein de l’entreprise résultant de la combustion d’énergies fossiles, telles que le gaz, le pétrole, le charbon… et les émissions de gaz frigorigènes. • Scope 2 : émissions indirectes liées à l’énergie non fossile utilisée par l’entreprise comme, par exemple, la consommation d’électricité ou de la chaleur pour la fabrication d’un produit. • Scope 3 : toutes les autres émissions de gaz à effet de serre qui ne sont pas liées à la fabrication d’un produit mais à d’autres étapes du cycle de vie de celui-ci (approvisionnement, achats, transport, frêt, déchets, …). Ce périmètre constitue la part la plus importante d’émissions d’une entreprise. La réalisation d’un bilan Carbone passe par 3 étapes clés : la collecte et le calcul des émissions de gaz à effet de serre, l’analyse des données et la mise en place d’une stratégie pour réduire les postes d’émissions les plus significatifs. Un parcours d’accompagnement à la décarbonation sur-mesure Pour mener à bien sa mission, et parce que les objectifs de réduction des émission de gaz à effet de serre s’imposent à toutes les entreprises, INOHA a bâti, à l’aide d’experts, un programme d’accompagnement à la décarbonation pour ses adhérents. Basé sur des démarches collectives stimulantes qui permettent d’apprendre ensemble et de se comparer, il propose trois dispositifs adaptés à tous les niveaux de maturité sur le sujet et à toutes les tailles d’entreprises : • Premiers Pas Climat : 3 sessions collectives de 2 heures, alternant avec des actions individuelles en autonomie, destinées aux petites entreprises souhaitant se familiariser et réaliser une première évaluation simplifiée de leur empreinte carbone sur les scopes 1, 2 et 3. • Bilan Carbone sur-mesure : 3 sessions collectives, alternant avec des actions individuelles accompagnées par un consultant expert, pour les entreprises souhaitant réaliser leur bilan carbone. • ACT Pas à Pas, en partenariat avec l’ADEME, pour les entreprises ayant réalisé leur bilan carbone et voulant mettre en œuvre une stratégie bas carbone. Ce parcours, d’une durée d’environ 3 ans, alterne sessions collectives et accompagnement individuel par un consultant expert, formé ACT Pas à Pas. Toutes les données collectées seront intégrées dans l’Observatoire « Vigie Décarbonation INOHA » qui sera mis en place dès que celles-ci seront suffisantes. Véritable chef d’orchestre, INOHA assurera la promotion, la coordination et la gestion administrative de ce programme. « Ce plan de décarbonation est essentiel pour contribuer positivement à la stratégie Bas Carbone des Accords de Paris. Nous avons une responsabilité importante et nous avons décidé d’en faire une priorité au sein d’INOHA pour accompagner nos adhérents sur ce sujet » précise Jean-Luc GUÉRY, Président d’INOHA. Delphine de Labarrière, nouvelle responsable RSE d’INOHA Pour mettre en œuvre efficacement la démarche RSE globale de l’association et de ses adhérents, INOHA a recruté Delphine de Labarrière au poste de Responsable RSE. Avant de rejoindre INOHA, elle a passé 15 ans au Consortium Stade de France, filiale des groupes Bouygues et Vinci, comme Responsable Développement Durable. A ce poste, elle a, entre autres, défini et structuré la démarche RSE de l’entreprise, élaboré les indicateurs et piloté la politique déchets. Elle mettra ses compétences au service d’INOHA et de ses adhérents et présentera au Conseil d’Administration, d’ici la fin de l’année, un plan d’actions structuré qui permettra une implication forte de l’association et des industriels qu’elle représente sur ces enjeux majeurs. http://www.inoha.org/
Il y a 2 ans et 357 jours

HABITAT SOCIAL

En France, les HLM accueillent aujourd'hui 11 millions de personnes tandis que 15000 familles accèdent chaque année à la propriété grâce à l'accession sociale. Le modèle hexagonal fait envie même si, depuis quelques années, les besoins augmentent alors même que la production baisse... https://www.hautsdeseinehabitat.fr/ https://www.nantaise-habitations.fr - http://www.lnh-sa.fr/ https://www.sohp.fr/ https://www.cibox.com https://www.vosgelis.fr/ https://www.afpols.fr/ https://www.aareon.fr/ https://www.cda-habitat.fr/ https://groupebpce.com/ https://tiko.energy/fr https://fonciere-ville-paris.fr/
Il y a 2 ans et 357 jours

Tour Triangle à Paris : les investigations sur des soupçons de favoritisme confiées à un juge d'instruction

Les soupçons portent sur le contrat d'exploitation du Parc des expositions de la Porte de Versailles, dans le sud de la capitale. La Ville de Paris avait résilié le contrat de concession attribué à la société Viparis, puis lui avait à nouveau confié l'exploitation du complexe événementiel via un bail emphytéotique à l'issue d'un appel d'offres jugé contestable.Les délais de dépôt d'offres ont été notamment considérés comme trop courts, compte tenu de la complexité du projet. De plus, la Ville avait accepté que Viparis ne s'acquitte pas du droit d'entrée de 263 millions d'euros demandé aux candidats.En échange, cette filiale d'Unibail-Rodamco-Westfield devait renoncer à l'indemnité de résiliation anticipée du contrat initial. La maire LR du VIIe arrondissement de Paris, Rachida Dati, avait fait en juillet 2020 un signalement à la justice sur le projet de construction de la tour, qui doit s'étirer sur 42 étages et 180 m de haut, dans le périmètre du Parc des expositions. Puis l'association Anticor avait déposé une plainte avec constitution de partie civile en février 2021.Mme Dati et Anticor s'appuyaient sur un rapport de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France de juillet 2020, qui estimait que le projet de la Tour Triangle avait été "inséré de façon critiquable dans l'enceinte du Parc des expositions".En outre, le rapport considérait que le concessionnaire avait été dispensé de payer les 263 millions d'euros du droit d'entrée alors que le préjudice lié à la résiliation restait "non démontré".Le parquet national financier (PNF) avait ouvert une enquête préliminaire pour "favoritisme" et "recel de favoritisme" en juin 2021, puis une information judiciaire en mars, a-t-il précisé, confirmant une information du Parisien.La Ville de Paris, comme Unibail-Rodamco Westfield et sa filiale Viparis, rejette les accusations et assure avoir respecté les règles de l'appel d'offres.Pour le collectif d'associations, dont France Nature Environnement et SOS Paris, opposé à l'édification de la tour, "il y a eu violation directe du droit des marchés" et la Première ministre Elisabeth Borne, directrice de l'urbanisme à la mairie de Paris lors du second mandat du maire PS Bertrand Delanoë, "doit se saisir du dossier".Sur la construction en elle-même de la Tour Triangle, confiée elle aussi à Unibail, ce même collectif a déposé une plainte le 13 décembre 2021 auprès du PNF. Cette plainte est toujours à l'analyse, a précisé vendredi le parquet financier.Cette tour, dont la construction a débuté en février, ne sortira de terre qu'à l'été 2023 pour être livrée en 2026, selon le promoteur.Alliés de la maire PS Anne Hidalgo, qui soutient le projet voté en 2015, mais opposés à cette édification, les élus écologistes parisiens demandent "la suspension des travaux de la Tour Triangle dans l'attente des conclusions de l'information judiciaire".
Il y a 2 ans et 357 jours

TECHNAL lance la 2ème édition de son concours d’architecture international WATA

Organisé tous les deux ans, le concours TECHNAL WORLD ARCHITECTURE AWARD (WATA) témoigne du rayonnement international de la marque française. Pour cette deuxième édition, les architectes et clients TECHNAL des quatre coins de la planète peuvent candidater en ligne jusqu’au 31 mai prochain. En France, en Espagne et au Portugal, les projets représentant ces pays seront issus du PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL des dernières éditions. Le concours WATA confirme une nouvelle fois la collaboration étroite qu’entretiennent TECHNAL et les prescripteurs. Il distinguera les ouvrages portant haut les couleurs de l’architecture et de la marque à travers neuf catégories : – Prix HABITER – Logements Individuels – Prix HABITER – Logements Collectifs – Prix RÉHABILITER – Rénovations – Prix RÉHABILITER – Extensions – Prix ÉTUDIER – Culture et enseignement – Prix TRAVAILLER – Tertiaires, bureaux, commerces, industries, établissements de santé… – Prix GRATTE-CIEL – Prix DÉCOUVRIR – Loisirs, tourisme et divertissement – Prix DURABILITÉ Deux Prix Spéciaux seront également décernés : le Prix « NEXT TALENT » pour lequel les étudiants en architecture pourront voter en juillet et le Prix «IMAGINE WATA» attribué par les partenaires de l’évènement. Le jury, qui se réunira le 22 juin prochain, se compose de sept architectes internationaux. La remise des prix se déroulera en France, en octobre, à l’occasion de BATIMAT. Tous les lauréats seront invités à Paris. Ils visiteront le salon ainsi que les ouvrages parisiens les plus emblématiques. Pour promouvoir leur créativité architecturale sur la scène internationale, un livre d’architecture, présentant chaque projet primé, sera édité. http://www.registration.imaginewata.com  
Il y a 2 ans et 357 jours

Le classicisme et l'immobilier financier, Chipperfield et Emerige réinventent Morland à Paris

Avec AMC n°305-mai 2022, les abonnés ont pu découvrir le supplément « Désir et avenir d’un matériau, 10 ans de Trophée Béton », réalisé en partenariat avec les associations Bétocib, CIMbéton et fondation EFB. À l'occasion des 10 ans du Trophée Béton, prix […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 357 jours

L'archipel de NRAU - Exposition à la Galerie d’Architecture

À Paris, l’agence NRAU (Nicolas Reymond Architecture & Urbanisme) s’est emparé de la Galerie d’architecture et y présente l'exposition "Archipel", dix ans de production mêlant logements collectifs et études urbaines sur les enjeux de la ville dense. L'exposition "Archipel" présentée à la […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 359 jours

Hérault-Arnod signe le parking Ravet à Chambéry

A Chambéry (Savoie), l’agence parisienne Hérault-Arnod (Isabel Hérault et Yves Arnod) a livré en 2022 pour QPark France un parking de 474 places assorti d’un belvédère public. Avec une surface de 14 500 m² SDP (coût des travaux : 10 M€ HT), le projet est inséré délicatement dans l’axe de l’artère historique de la ville. Communiqué sous forme […] L’article Hérault-Arnod signe le parking Ravet à Chambéry est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 360 jours

Les comptes de la Ville de Paris certifiés par une commissaire aux comptes

"Nous sommes d'avis que les comptes présentent sincèrement (...) le patrimoine et la situation financière de la Ville de Paris au 31 décembre 2021", écrit la commissaire aux comptes du cabinet d'expertise comptable Grant Thornton.Cette certification s'inscrit dans une expérimentation de la loi de décentralisation, dite Notre, de 2015, à laquelle participent 25 collectivités françaises. "Paris devient ainsi la 2e collectivité dont les comptes sont certifiés dès la première année", souligne la mairie.Parmi les sept réserves exprimées, la commissaire aux comptes pointe les "314 unités immobilières présentes dans la comptabilité qui ne sont pas retracées dans l'inventaire physique" des terrains et constructions, "l'absence de finalisation" d'inventaire des matériels de transports et des œuvres d'art ou encore "l'insuffisance des procédures de contrôle interne relatives à l'inventaire physique" des terrains, réseaux et installations de voirie.Objet de critiques répétées de l'opposition de droite et du centre, les loyers capitalisés font aussi l'objet d'une réserve, mais seulement pour ceux perçus avant 2016, lorsque le dernier gouvernement de gauche avait autorisé par dérogation la maire PS Anne Hidalgo à exiger des bailleurs sociaux l'intégralité des loyers sur plusieurs dizaines d'années à venir.Pour l'adjoint aux finances (PS) Paul Simondon, qui a réagi auprès de l'AFP, cette réserve sur l'absence de "cadre comptable clair" des années 1970 jusqu'en 2016 démontre bien qu'il n'y a "aucun problème sur les loyers capitalisés depuis 2016".En novembre 2021, le gouvernement avait prévenu la mairie que cette dérogation ne pourrait plus être accordée au-delà de 2022, estimant qu'elle était "constitutive d'un risque budgétaire de fuite en avant"."Entre cette certification faite sous l'autorité de la Cour des comptes" et le rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) "qui confirmait le coût de la crise" sanitaire pour la Ville, qu'elle chiffre à 1,2 milliard d'euros, "on a tout ce qu'il faut pour ne plus maintenir le débat sur des sujets tout à fait annexes, des accusations d'insincérité", estime M. Simondon.En novembre, la cheffe de file de l'opposition LR, Rachida Dati, avait dénoncé l'"insincérité" du projet de budget 2022 et écrit à l'Etat pour suggérer "une mise sous tutelle budgétaire" de la Ville.
Il y a 2 ans et 360 jours

À Paris, Philippe Starck et Triptyque Architecture imaginent un bâtiment exotique

EN IMAGES. Un immeuble atypique a pris racine dans le XIVe arrondissement de Paris. L'agence d'architecture à l'origine de ce projet a remporté le prix "Bâtiment de l'année" d'ArchDaily.
Il y a 2 ans et 360 jours

Un nouveau président prend les commandes de la Chambre des notaires de Paris

CARNET-NOMINATION. L'ancien premier vice-président de la Chambre des notaires de Paris en a été élu président. De nombreux défis l'attendent pour répondre aux enjeux de transformation du secteur.
Il y a 2 ans et 360 jours

Les professionnels du BTP, parmi les populations les plus exposées au risque de développer un cancer de la peau

Car, si tout le monde est susceptible de développer un mélanome, nous ne sommes pas égaux face au soleil ! Certaines personnes sont plus exposées aux rayonnements UV dans le cadre de leur profession. Le dimanche 12 juin, en ouverture de cette 24ème édition, une course à pied de 5 kilomètres dans Paris sera organisée par et pour les dermatologues, pour sensibiliser le grand public et les professionnels aux risques d’expositions non voulues.Sauver sa peau… Au travail aussi !Agriculteurs, saisonniers, métiers du sport, BTP… Certains professionnels, dont le travail donne lieu à des expositions solaires intenses et non voulues, du fait d’une activité principalement en extérieur, sont particulièrement concernés par les risques de cancers cutanés et présentent un risque supérieur à la moyenne de la population (78,1% contre 65,5%*).En France, 80 000 nouveaux cas de cancers cutanés, provoquant 1 800 décès par an, sont diagnostiqués chaque année (source INCA). Ces chiffres sont en augmentation constante depuis 50 ans, il est alors essentiel de sensibiliser le public, notamment avec l’arrivée de l’été et des indices UV plus élevés qui atteignent en général 7 ou 8 en bord de mer, et qui augmentent de 10% par 1 000 mètres d’altitude.Bien que davantage exposés, les professionnels exerçant en extérieur sont souvent mal informés sur les risques qu’ils encourent. Les ouvriers du BTP sont par exemple plus difficiles à atteindre en raison du caractère éclaté de la structure de leurs entreprises. À l'inverse, les agriculteurs ou les marins sont plus facilement sensibilisés grâce aux approches de leursmutuelles spécialisées ou de la médecine du travail, mais pour autant, ils n’appliquent pas toujours les bons gestes de protection.Et pourtant, comme les enfants, les personnes à peau claire, aux cheveux roux, aux yeux bleus, ou encore comme celles sensibles aux coups de soleil, ces professionnels ou ceux pratiquant des activités en extérieur peuvent développer plus facilement des mélanomes ou carcinomes, notamment au niveau des joues, du nez, des oreilles et sur le haut du crâne.Les gestes qui sauventLa prévention des maladies professionnelles relève de la responsabilité des employeurs. Cependant, le Syndicat National des Dermatologues et Vénéréologues rappelle l’importance du respect des gestes à adopter pour les métiers et activités extérieurs (mais aussi pour tous les publics) :Les gestes à adopterÉviter l’exposition au soleil entre 12 et 16h.Préférer les zones d’ombre.Protéger sa peau par des vêtements et se munir d’un chapeau et de lunettes de soleil.Renouveler régulièrement l’application de crème solaire anti UVA et UVB, surtout sur les parties non couvertes. Privilégier les crèmes solaires à filtre minéral.Surveiller régulièrement sa peau (autoexamen).Ne pas pratiquer l’exposition en cabines UV.Les signes qui doivent alerterPratiquer l’auto-examen et repérer les grains de beauté différents des autres.Être vigilant à tout changement ou nouvelle tâche.Pratiquer la méthode ABCDE pour reconnaitre les signes suspects et demander un avis médical : Asymétrie dans la forme et la couleur du grain de beautéBords irréguliers ou mal délimitésCouleur non homogène avec des zones dépigmentées ou des taches sur le grain de beautéDiamètre avec une taille de grain de beauté supérieure à la moyenne de 6mmÉvolution ou changement rapide de taille, forme, couleur ou épaisseur.Pour les publics à risques, le SNDV conseille vivement l’examen régulier de la peau par un médecin ou dermatologue, y compris sur les zones habituellement cachées sous les vêtements, d’autant plus lors de tache suspecte ou de grain de beauté ayant changé d’aspect. Pris à un stade précoce, 90% des mélanomes peuvent être guéris.La 24ème édition de la Semaine de prévention et de sensibilisation au dépistage ciblé des cancers de la peau aura lieu du 12 au 17 juin 2022. À cette occasion, une campagne de santé publique 100% digitale sera portée par des médecins, dermatologues, oncologues, patients et influenceurs qui prendront la parole sur les réseaux sociaux pour sensibiliser sur la prévention et inciter au dépistage pour les publics à risques.Une thématique sera mise à l’honneur : une semaine pour sauver sa peau, toute sa vie pour en prendre soin. Elle sera illustrée par une journée spéciale consacrée aux professionnels, mais aussi par une journée consacrée à la prévention des hommes, des enfants et une journée dédiée aux nouvelles solutions de dépistage.
Il y a 2 ans et 360 jours

Ancrer l'architecture pour habiter le paysage, trois logements en Corse par Orma

À Paris, l’agence NRAU (Nicolas Reymond Architecture & Urbanisme) s’est emparé de la Galerie d’architecture et y présente l'exposition "Archipel", dix ans de production mêlant logements collectifs et études urbaines sur les enjeux de la ville dense. L'exposition "Archipel" présentée à la […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 360 jours

Double nomination chez Ecominéro

A gauche, François Demeure dit Latte, directeur général, et à droite, Mathieu Hiblot, directeur technique. [©Ecominero] Président de l’éco-organisme Ecominéro, Michel André annonce les nominations de François Demeure dit Latte et de Mathieu Hiblot. Avec cette double prise de postes, Ecominéro confirme sa volonté de se développer. Ainsi, François Demeure dit Latte devient le premier directeur général. Il aura pour mission de développer les solutions les plus efficaces, afin d’augmenter le recyclage des déchets inertes. Par ailleurs, l’objectif de la nouvelle équipe dirigeante sera d’agir pour permettre d’atteindre collectivement les objectifs nationaux de valorisation et de recyclage. Quant à Mathieu Hiblot, il prend le poste de directeur technique innovations et relations institutionnelles. Il accompagnera les acteurs de la filière dans l’atteinte des objectifs nationaux bas carbone. Rappelons qu’Ecominéro a pour objectif de valoriser 90 % des déchets inertes du bâtiment d’ici 2028, en France. Une démarche qui s’inscrit dans une logique d’économie circulaire et d’éco-conception. Parcours de François Demeure dit Latte Diplômé de l’ESTP et titulaire d’un Executive MBA obtenu à HEC Paris, François Demeure dit Latte débute sa carrière, en 1999, comme auditeur financier dans le cabinet Arthur Andersen. En 2004, il devient contrôleur des finances, puis directeur financier au sein du groupe Suez. Il prend ensuite la direction financière de Citeo, premier éco-organisme français. En 2014, il est nommé directeur général d’Adelphe, filiale spécialisée, de Citeo dans le recyclage des emballages des vins et spiritueux, et des médicaments. En 2018, il réintègre le groupe Suez en tant que directeur administratif et financier de la Business Unit “Recyclage”. C’est à partir de juillet 2022 qu’il prendra ses nouvelles fonctions au sein d’Ecominéro. Parcours de Mathieu Hiblot Mathieu Hiblot est diplômé d’un master en management des associations professionnelles obtenu à la Sorbonne. Il est aussi spécialiste de l’évaluation environnementale et de la sûreté des systèmes industriels. Il débute sa carrière, en 2005, en tant que chargé de mission pour l’Unicem Champagne-Ardenne. Pendant 5 ans, il y évoluera à différents postes. En 2015, Mathieu Hiblot est nommé secrétaire général de l’UNPG, poste qu’il a occupé jusqu’en avril 2022.
Il y a 2 ans et 360 jours

Recours devant le tribunal administratif contre le projet de l'hôpital Grand Paris-Nord

Les requérants, SUD Santé Solidaires AP-HP, le collectif Inter-Hôpitaux, le Collectif Inter-Urgences, le collectif de riverains "Pas ça, pas là, pas comme ça !" et des représentants des usagers ont demandé d'annuler l'arrêté du 14 mars du préfet de Seine-Saint-Denis Jacques Witkowski, d'après le recours déposé vendredi et consulté par l'AFP.Ils estiment que l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) "n'a pas apporté de réponse satisfaisante aux trois réserves" émises par les commissaires enquêteurs dans leur avis.Elles portent sur "la capacité d'accueil de l'hôpital", "les conditions d'accès pour les véhicules d'urgence" et "la présence d'un service de maternité dans l'hôpital".D'une capacité de 900 lits, le futur hôpital Grand Paris-Nord remplacera les actuels hôpitaux Bichat à Paris et Beaujon à Clichy (Hauts-de-Seine) et abritera également des activités d'enseignement et de recherche.Porté par l'AP-HP et l'Université de Paris pour un coût estimé à 1,3 milliard d'euros, le campus est prévu pour 2028 et sera installé sur le site de l'ancienne usine PSA de Saint-Ouen."Comment considérer d'utilité publique un projet qui conduira à la disparition de centaines de lits par rapport à l'offre actuelle ?", s'insurge Olivier Milleron, cardiologue à Bichat et membre du collectif Inter-Hôpitaux.Les opposants appellent "le nouveau ministre de la Santé à prendre position rapidement sur ce dossier emblématique et prouver que sauver l'hôpital public devient enfin une priorité du gouvernement".Sollicité par l'AFP, les maîtres d'ouvrage Université de Paris et l'AP-HP n'étaient pas en mesure de faire de commentaire "sans connaître le contenu exact" du recours.
Il y a 2 ans et 361 jours

Morland, cité modèle d'Hidalgo à Paris avec vue imprenable sur la Seine

"Si cela avait été un immeuble vendu par un privé à un privé, l'exigence en matière de diversité et de multiplicité des usages n'aurait pas existé."Mardi lors d'une présentation à la presse venue consacrer "des années de travail", Laurent Dumas, le président du directoire d'Emerige, a souligné le rôle de la Ville dans l'orientation du projet Morland Mixité Capitale, ancienne préfecture de la Seine qui termine sa mue en "petite ville", selon Jean-Louis Missika.En lançant, fin 2014, la première édition de "Réinventer Paris", l'ancien adjoint à l'urbanisme d'Anne Hidalgo oblige les groupements candidats à proposer des projets mixtes, mêlant commerces, bureaux et logements, pour les 23 sites. Morland, un bâtiment massif de 44.000 m2 construit dans les années 1960, est le bâtiment le plus spectaculaire à recycler.Désigné lauréat début 2016, Emerige rachète l'ancienne préfecture pour 135 millions d'euros à la Ville et garantit que le futur ensemble sera "accessible à tous", rappelle M. Dumas.Six ans plus tard, 5.000 personnes s'apprêtent à cohabiter quotidiennement entre bureaux, marché couvert, crèche, piscine, salle de sport, hôtel cinq étoiles de 162 chambres, auberge de jeunesse de 400 lits avec un prix de départ à 29 euros, logements sociaux et privés, galerie d'art et toits dédiés à l'agriculture urbaine."L'immeuble mixte, c'est vraiment l'avenir de l'immobilier", se réjouit Jean-Louis Missika pour qui Morland est un "véritable prototype".L'ex-adjoint souligne également le "progrès considérable en matière d'accessibilité" que constitue l'ouverture du site au public, qui pourra admirer dans les cours le péristyle créé par l'architecte britannique David Chipperfield. Et du 15e étage, pré carré de l'hôtel, l'incroyable vue sur la capitale."C'est une forme de modèle de mixité et de transformation du patrimoine", abonde le maire (PS) de Paris Centre Ariel Weil, "pas choqué" que les 34 logements en accession libre puissent atteindre les 20.000 euros du m2 : "cela veut dire qu'il y a une vraie mixité sociale". Si les 80 logements sociaux ne sont pas assez pour satisfaire Danielle Simonnet, opposante LFI à Anne Hidalgo pour qui "15% (de l'ensemble de la surface), c'est dérisoire", l'opposante LR Valérie Montandon salue "un des rares projets positifs" en termes de mixité programmatique, avec des architectes qui "ont su maximiser l'utilisation des matériaux sur place".
Il y a 2 ans et 361 jours

Hauts-de-Seine : la piscine de Colombes se rénove pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024

Près de 25 millions d’euros sont alloués au projet de réhabilitation et de modernisation de la piscine de Colombes dans les Hauts-de-Seine.