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Résultats de recherche pour production

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Il y a 4 ans et 326 jours

bio'bric s'organise avec ses partenaires pour accompagner et faciliter la reprise du marché

« On a vécu et on vit encore une période exceptionnelle. Même si le marché connait une période d'incertitude, la société Bouyer Leroux est aujourd'hui pleinement opérationnelle pour y faire face auprès de l'ensemble de ses clients (professionnels de la distribution, entreprises de maçonnerie, plâtriers plaquistes, couvreurs, constructeurs et promoteurs) grâce à ses équipes techniques et commerciales qui se sont adaptées aux nouvelles contraintes » révèle Pierre-Alexandre Cheminel directeur marketing et commercial.Une écoute du marché renforcée pour ajuster la production sur les besoins des clientsIl y a encore une interrogation concernant le mois d'août qui traditionnellement est un mois plus faible en activité pour le bâtiment.« Les entreprises maintiendront-elles leur activité pour rattraper les retards dus aux mois de mars et avril ? Optimiseront-elles leurs chantiers avant d'entrer dans la saison d'hiver? Il y a encore des inconnues. Nous avons anticipé plusieurs scénarios pour faciliter cette reprise et d'ores et déjà, acquis de nouvelles manières de travailler » confie PierreAlexandre Cheminel.Un plan d'actions spécifique pour mieux s'adapterOptimisation du stock, souplesse de la production et réactivité des équipes techniques et commerciales bio'bric sont les trois conditions pour répondre aux contraintes liées à la gestion du Covid-19 sur les chantiers et pour aider ces derniers à repartir au plus vite et efficacement.« Le bon partenaire en temps de crise est celui qui sait être à l'écoute du marché et adapter sans cesse son organisation pour répondre aux besoins de ses clients » souligne Pierre-Alexandre Cheminel. « Pour nous assurer que nous serions bien en mesure de le faire, nous nous sommes attachés à lever au sein de nos processus l'ensemble des risques potentiels liés à la situation d'incertitude que nous vivons ».Un dispositif industriel flexible pour pouvoir approvisionner les chantiers sur l'ensemble du territoire et éviter toute rupture de produitsBouyer Leroux a aujourd'hui un stock qui permet de construire 9000 logements (5000 maisons, 4000 logements collectifs), soit l'équivalent d'une ville de 20000 habitants. Ce stock est en cours de renforcement, avec l'objectif de couvrir 3 mois de ventes à fin juillet. De plus, Bouyer Leroux a la capacité d'augmenter rapidement et significativement sa production dans l'hypothèse d'un rattrapage d'activité dans les prochains mois.Grâce à une chaine d'approvisionnement 100% locale et en propriété, la disponibilité de la matière première, l'argile, n'est pas un sujet pour la brique. Bouyer Leroux dispose en effet de plus de 30 années de réserves d'argile. Un volume équivalent à plus de 6 mois de fabrication est déjà extrait et prêt à l'emploi.Le dispositif industriel composé de 9 usines idéalement situées en France permet de pallier l'éventualité d'un isolement de certaines régions dans le cas d'une deuxième vague. Un plan de substitution est déjà prévu en ce sens. Enfin, le panel de transporteurs partenaires de Bouyer Leroux a été évalué et permettra ainsi de répondre à la demande.Accompagner les clientsDans ce contexte de profonde transformation, notamment digitale, la direction marketing et commerciale bio'bric a rapidement mis en place des solutions en modifiant l'organisation de ses équipes techniques et commerciales, et en les formant.Les maîtres mots : bonnes pratiques et adaptabilité Les équipes techniques et commerciales bio'bric, doivent aussi s'adapter pour continuer à être aux côtés de leurs clients et de leurs partenaires, et les accompagner aux mieux en leur proposant de nouveaux services :Développement du digital et de la visio-conférencePour accompagner le protocole sanitaire des clients qui demande de limiter au maximum les rendez-vous physiques, les commerciaux peuvent désormais entrer en contact avec eux par visio-conférence (100% des commerciaux sont équipés). Cela change la conduite des entretiens. Il faut en peu de temps être pertinent en proposant le service le mieux adapté au besoin du client. Pour accompagner ce changement dans les pratiques et le discours commercial, 600 heures de formation des commerciaux ont été programmées en mai.Des tutoriels ont été créés pour la mise en œuvre des produitsDifficile de se rendre sur tous les chantiers actuellement, c'est pourquoi plusieurs vidéos courtes et explicites sont mises à la disposition des équipes techniques et commerciales.Des supports de communication adaptés aux besoins actuels des entreprisesAinsi, une fiche montrant que la brique collée est un système compatible avec les gestes barrières a été mise à disposition des entreprises. Ces dernières peuvent intégrer ces préconisations dans leur propre protocole de reprise sanitaire.Une offre pertinente dans le contexte actuelCompte tenu des surcoûts liés à l'instauration des mesures sanitaires sur les chantiers face au coronavirus, les promoteurs et constructeurs de maisons individuelles sont, aujourd'hui, en recherche de produits compétitifs qui offrent les performances thermiques, acoustiques et mécaniques attendues.Les nouvelles solutions, telles que la colle fix'bric et la planelle supeRmax, commercialisées par Bouyer Leroux répondent à ces critères.En collectif : la solution brique répond parfaitement aux attentes du marchéAinsi, pour compenser une partie des frais générés par la mise en application des gestes barrières sur chantiers, la solution brique très économique présente un intérêt certain pour les promoteurs qui ne travaillent pas encore avec ce système constructif qui a fait ses preuves. Selon la dernière étude Batiétude, la brique détenait en effet 27% de parts de marché dans le collectif en 2018.Les promoteurs qui font déjà confiance à la brique sont confortés dans leur choix. Non seulement la solution brique est économique mais elle est aussi très pertinente thermiquement. Par exemple, l'association de la planelle supeRmax (résistance thermique de 1,7 m². K/W) et la brique bgv'costo th+ optimise la performance de l'enveloppe du bâtiment tout en maîtrisant les coûts. Plus largement, le Pack Collectif bio'bric, qui associe des briques isolantes à des accessoires pour traiter de manière optimale les ponts thermiques, permet aux promoteurs de proposer plus facilement à leurs clients des espaces extérieurs tels que les balcons et terrasses qui devraient être plébiscités après cette période de confinement.En maison individuelle, les constructeurs cherchent à raccourcir leur temps de chantiers pour rattraper les retards fix'bric, la colle prête à l'emploi pour la bgv20, est une solution qui permet de gagner jusqu'à 1h30 par jour et par chantier ! Elle remporte un franc succès auprès des constructeurs et maçons. Maison France Confort, membre du groupe Hexaom, vient de l'adopter sur la région Midi-Pyrénées et la déploie actuellement sur la région Île-de-France.
Il y a 4 ans et 327 jours

"Vigilance particulière" sur le réseau électrique pour l'hiver 2020-2021

ÉNERGIE. Lors d'un point de situation sur l'approvisionnement électrique, la ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne a indiqué que la production énergétique de la France avait réussi à suivre durant le confinement. Des craintes commencent cependant à se dessiner pour l'hiver 2020-2021 en raison d'un décalage des opérations de maintenance sur les réacteurs nucléaires.
Il y a 4 ans et 327 jours

Restructuration d'un centre socioculturel à Dammarie-les-Lys, par MAO

Décernée depuis 1983, le prix de l'Equerre d’argent a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire français. Participez à la 38e édition en proposant votre réalisation avant le 11 septembre 2020 à minuit.   Qui succèdera à la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 328 jours

Baromètre Coface 2e trimestre 2020 : d'un choc massif à une reprise différenciée

Dans ce contexte, Coface prévoit que l'ampleur de la récession cette année (baisse du PIB mondial de 4,4%) sera plus forte qu'en 2009. Malgré la reprise attendue en 2021 en cas d'absence de 2ème vague d'épidémie (+5,1%), le PIB resterait 2 à 5 points inférieur à celui de 2019 aux Etats-Unis, en zone euro, au Japon ou encore au Royaume-Uni.La montée attendue de l'épargne de précaution des ménages et les annulations d'investissements des entreprises dans un contexte d'incertitude persistante quant à l'évolution de la pandémie, le caractère irrécupérable des pertes de production dans certains secteurs (en particulier des activités de services ainsi que matières premières utilisées comme combustible) expliquent cette absence de rattrapage rapide. Certes les mesures des banques centrales ont permis de stabiliser les marchés financiers depuis le mois d'avril. Et celles des Etats (notamment en Europe de l'Ouest) ont eu le mérite de contribuer jusqu'ici à maintenir certaines capacités de production des entreprises, notamment en accroissant l'endettement. Mais elles reportent les ajustements en matière d'emploi et les problèmes de trésorerie des entreprises.Les défaillances d'entreprises dans le monde devraient augmenter d'un tiers dans le monde d'ici 2021 par rapport à 2019Malgré les mesures de soutien public, la montée des défaillances d'entreprises déjà mise en exergue dans le précédent baromètre Coface(1) devrait toucher toutes les principales économies matures : États-Unis (+43%), Royaume-Uni, (+37%), Japon (+24%), France (+21%), Allemagne (+12%). Mais beaucoup d'économies émergentes (+44% au Brésil, +50% en Turquie) seront aussi affectées par les conséquences économiques des mesures de confinement ainsi que par la chute des recettes touristiques, des remises des travailleurs expatriés et celles liées à l'exploitation des matières premières dont les cours ont baissé.En plus des transports, la pandémie fragilise davantage les secteurs déjà vulnérables : automobile, métallurgie, distribution et textile-habillementLa forte hausse de sinistralité reflète une montée du risque de crédit des entreprises à court terme (6 à 12 mois). Coface prend acte de cette montée des risques pays qui se traduit dans son évaluation (utilisant des données à la fois macroéconomiques, financières et microéconomiques) par 71 déclassements, soit un peu plus de 40% des économies couvertes dans le monde. Sur le front sectoriel aussi, environ 40% des 13 secteurs d'activité évalués dans 28 pays (représentant 88% du PIB mondial) sont déclassés. Dans le contexte actuel de crise de la mobilité, les transports sont les plus touchés par ces changements. Viennent ensuite l'automobile et la distribution, déjà dans une position de faiblesse l'an passé. A l'autre bout de l'échelle, les secteurs pharmaceutiques et, dans une moindre mesure, ceux de l'agroalimentaire et des TIC, sont les plus résilients.> Téléchargez l’intégralité du baromètre Coface T2 2020 : cliquez ici(1)https://www.coface.fr/Actualites-Publications/Publications/Barometre-Risque-Pays-et-Secteurs-T1-2020
Il y a 4 ans et 328 jours

Les acteurs de la filière bois font des propositions pour la décarbonisation des bâtiments neufs

Les acteurs du secteur plaident également pour une politique pérenne de soutien à l'offre associée au soutien à la demande pour renforcer l'outil industriel national.La future réglementation environnementale 2020 ambitionne de diminuer l'impact sur le climat des bâtiments neufs en prenant en compte les émissions des bâtiments sur leur cycle de vie dès la construction.Autrement dit, le calcul des émissions de CO2 reposera à la fois sur les émissions produites par le système constructif ET sur les émissions liées aux principaux usages (en particulier le chauffage et l'eau chaude sanitaire).Quels avantages à l'utilisation du bois matériau et du bois énergie ?Du point de vue environnemental, le bois est le matériau de construction qui consomme le moins d'énergie grise. Il est, de plus, jusqu'à 12 fois plus isolant que le béton et permet ainsi de réduire les consommations énergétiques liées au chauffage l'hiver et d'améliorer substantiellement le confort d'été. Ce dernier point constitue, d'ailleurs, un des objectifs que le Gouvernement a assigné au futur texte. Enfin, le bois matériau constitue un stock de carbone sur le long terme qui possède, en fin de vie, diverses voies de valorisation.Concernant le bois énergie, son caractère renouvelable lui confère un avantage carbone essentiel. Souple, économique et local, il contribue au respect de nos objectifs climatiques et à la réduction du déficit de la balance commerciale énergie fortement grevée par les importations d'énergies fossiles.Avec 378 000 emplois équivalent temps plein, la filière forêt - bois génère 25 milliards d'euros de valeur ajoutée. Elle représente, par ailleurs, 12,4% des emplois industriels nationaux1. De son côté, la filière du bois énergie regroupe plus de 50 000 emplois équivalent temps plein2.Vers une réglementation environnementale ambitieuse ?Dans leur communiqué de presse du 14 janvier, les ministres en charge de la règlementation environnementale 2020 ont rappelé leur volonté de dynamiser le recours aux matériaux biosourcés pour les systèmes constructifs et d'encourager la consommation d'énergies décarbonées, notamment la chaleur renouvelable.Les acteurs industriels que nous représentons saluent cette volonté de recourir plus massivement à une ressource, le bois, dont le bilan économique, social et environnemental lui confère une place de premier ordre.Mais, pour accélérer cette dynamique, la profession attire l'attention du Gouvernement sur plusieurs points :Il est essentiel que le contenu carbone des différents matériaux de construction soit scientifiquement objectivé afin d'éviter toute déclaration fantaisiste et que le stockage carbone soit bien pris en compte dans le cadre de la RE2020 ;Un ratio de chaleur renouvelable contraignant et ambitieux doit être mis en place afin de permettre le déploiement des solutions bois énergie à hauteur de nos engagements (38% de chaleur renouvelable en 2030).Quelles propositions pour massifier l'offre nationale ?A côté du soutien stratégique à la demande que constitue la mise en œuvre d'une réglementation environnementale 2020 ambitieuse en termes d'obligations de moyens, la politique de soutien à l'offre reste absolument nécessaire.Avec 95% du bois énergie provenant des forêts françaises et 63% du bois construction, promus comme "Bois de France", l'indépendance nationale est importante. Néanmoins, il est possible d'aller au-delà dans la mesure où le potentiel est loin d'être totalement exploité. C'est pourquoi, dans le cadre du Pacte productif et de son verdissement, il paraît essentiel de porter des mesures de compétitivité pour l'industrie du bois en :Allégeant la fiscalité de production aujourd'hui trois fois plus élevée en France que la moyenne européenne et huit fois supérieure à celle de nos voisins allemands ;Soutenant les investissements productifs tels que le séchage via le Fonds chaleur de l'ADEME ou en réintroduisant une enveloppe budgétaire fléchée vers des installations de cogénération biomasse bien ciblée ;Réintroduisant un dispositif de suramortissement pour moderniser l'outil productif ;Accompagnant les mesures et dispositifs de replantation pour disposer d'un capital de long terme et d'un puits de carbone encore plus efficace ;Promouvant la marque bois de France auprès des donneurs d'ordre publics et privés.Après un épisode sanitaire sans précédent qui a souligné la dépendance de notre pays à des biens importés, il est indispensable de garantir un haut niveau de sécurité d'approvisionnement sur les volets stratégiques des matériaux de construction et des combustibles. Le bois de France est le garant de cette autonomie vitale et constitue un levier de la relance économique.Michel DRUILHE, Président de France Bois Forêt, déclare : « Avec la filière forêt bois, nous disposons d'une ressource nationale dont les usages matériaux et énergie sont particulièrement complémentaires. La réglementation environnementale 2020 et une politique de soutien à l'offre associée peuvent permettre d'accroître le recours à une ressource durable, décarbonée et locale. Si nous réalisons cette ambition, nous disposerons d'un gisement très important, à portée de main, de création de valeur et d'emplois pour notre pays. Nous sommes à même de créer près de 100 000 emplois d'ici 2030 dans les territoires. »1 Source : comité stratégique de filière bois - 20202 Source : étude emplois énergies renouvelables réalisée par EY pour le SER - 2020
Il y a 4 ans et 331 jours

TRACE SOFTWARE PRÉSENTE UNE NOUVELLE OFFRE POUR LA CONCEPTION PHOTOVOLTAÏQUE

Trace Software International a le plaisir d’annoncer la sortie officielle de la nouvelle version du logiciel de dimensionnement photovoltaïque archelios PRO. archelios PRO, permet de dimensionner tout type de projet solaire, de quelques kWc à plusieurs dizaines de MWc, sur toiture, en ombrière ou au sol. archelios PRO Free, Silver, Gold et Platinum : une nouvelle gamme de logiciels PV adaptée à chaque activité Qu’ils soient artisans, installateurs de petits projets, développeurs de centrales solaires ou concepteurs occasionnel, tous les utilisateurs n’ont pas besoin des mêmes fonctionnalités. Avec la nouvelle gamme archelios PRO, Trace Software dote les professionnels d’un outil ergonomique et performant, adapté à la taille de leurs projets avec des fonctionnalités dimensionnées pour leur activité. Une nouvelle offre archelios PRO élargie : archelios PRO Free: conception de projets jusqu’à 36 kWc sans 3D archelios PRO Silver : conception d’installations jusqu’à 100 kWc archelios PRO Gold : dimensionnement de projets d’une puissance maximale d’1 MWc archelios PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimités L’une des grandes nouveautés de cette gamme est l’accès gratuit à la version archelios Pro Free. archelios PRO Free : un logiciel gratuit pour démarrer avec des petits projets PV Que l’on soit artisan, étudiant, ou encore jeune entreprise, et que les projets ne dépassent pas une puissance de 36 kWc, le logiciel archelios PRO Free est idéal. Le logiciel permet de concevoir des projets d’installations solaires raccordées au réseau ou en autoconsommation, mais également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés. L’utilisateur bénéficie d’une base de données et de fonctionnalités qui l’assistent pour le dimensionnement des onduleurs et des modules en fonction du projet. Grâce à sa prise en main simple et ergonomique, archelios PRO Free est un excellent outil pédagogique pour les utilisateurs qui débutent dans la conception photovoltaïque. archelios PRO Silver, Gold et Platinum : des gammes premium pour les bureaux d’études et installateurs photovoltaïques Les versions Silver, Gold et Platinum s’adressent aux bureaux d’études et aux installateurs photovoltaïques qui conçoivent des installations PV raccordées au réseau ou en sites isolés, en autoconsommation, avec ou non stockage d’énergie. Les versions Silver, Gold et Platinum s’adressent aux bureaux d’études et aux installateurs photovoltaïques qui conçoivent des installations PV raccordées au réseau ou en sites isolés, en autoconsommation, avec ou non stockage d’énergie. La version archelios PRO Silver permet une conception rapide, notamment grâce à la modélisation 3D et détaillée des projets. Elle  permet également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés (LCOE, CGA, rentabilité, …). Les concepteurs disposent d’une large base de données de références multi-fabricants qui leur permet de réaliser le meilleur choix de matériel pour un rendement optimal de l’installation. Ils ont la possibilité d’exporter directement leur projet vers les logiciels de la suite archelios : archelios CALC et archelios O&M. Avec archelios PRO Gold les utilisateurs gagnent en temps de conception grâce à des fonctionnalités de saisie rapide et des outils de conception 3D automatiques, notamment pour le câblage des boîtes de jonction et des onduleurs. Accès aux bases de données météo et Google Maps comme pour la version Silver,  gestion optimisée de l’autoconsommation, comparaison de projets, exports du projet en format Autocad et CSV et vers les autres outils de la suite, sont autant d’atouts qui permettent aux concepteurs de gagner en temps de conception et de livrer des projets ultra précis au plus proche, voire au-delà, des attentes de leurs clients. Bénéficiant des fonctions Silver et Gold, archelios PRO Platinum est de loin le logiciel le plus complet du marché des logiciels PV. Il dote les concepteurs de fonctionnalités uniques telles que l’optimisation de l’écrêtage, l’outil de terrassement en 3D et la gestion de grandes centrales multi-MWc. Pour les installations de grande envergure, c’est la garantie d’un projet rigoureux donc moins coûteux, maîtrisé et au plus proche des conditions de production, même pour les installations les plus complexes. Intégrez l’environnement 3D de votre projet en un clic avec 3D Map archelios PRO est le seul logiciel du marché à proposer la fonctionnalité 3D Map qui permet d’intégrer automatiquement l’environnement 3D de votre projet en un clic, avec prise en compte automatique de la végétation et des bâtiments environnants pour une évaluation précise et rapide des pertes dues aux masques proches, sans besoin de visite de site. Un gain de temps impressionnant ! 3D Map est disponible sur Silver, Gold et Platinum. A propos de Trace Software International Trace Software International est éditeur de logiciel depuis plus de 30 ans. La société dispose d’une expertise unique dans la conception d’installations électriques et photovoltaïques avec notamment ses gammes de logiciels elec calc et archelios. Trace Software appartient au Groupe Trace, groupe basé en Normandie, expert dans les solutions pour la conception électrique, le bâtiment, le BIM et l’énergie. Contact Service communication Trace Software International : kpinson@trace-software.com  
Il y a 4 ans et 331 jours

Développement durable généralisé chez Seac

Mise en œuvre du système Seacisol : une dalle isolante permettant la réduction du volume de béton nécessaire pour la confection d’un plancher. [©Seac] Spécialiste de la préfabrication avec des bétons, armés, précontraints et pressés, Seac compte aujourd’hui 26 sites de production. Depuis quelques années, l’industriel axe ses recherches et ses productions sur le développement durable. En termes de solutions, comme d’organisation. A commencer par le Seacbois, un hourdis permettant de traiter les ponts thermiques en étage ou en toiture-terrasse. Ce qui diminue la consommation d’énergie dans la maison individuelle.  De son côté, la Seacisol est une dalle isolante pour une solution de plancher. Elle diminue le volume de béton utilisé (50 l/m2 jusqu’à 7 m sans étais). Alors que le plancher Seacoustic diminue les émissions de CO2 et les nuisances de chantier. Il permet aussi de réduire d’environ 1 t de CO2tous les 22 m2 de plancher par rapport à une dalle pleine. Seac a aussi fait le choix de fabriquer la totalité des produits en France. Et ce, avec un béton moins polluant. Ce qui permet une moindre émission de CO2, en incorporant du ciment CEM II. Cette formulation est utilisée depuis fin 2019 dans l’ensemble des productions de l’entreprise. Les sites retraitent aussi 100 % de leurs déchets (eau, laitance, casse de produits). Les choix des matériaux sont aussi centraux dans cette démarche. Ainsi, le PlastiVS est à 100 % composé de matière recyclée. Quand c’est possible, la priorité est donnée aux matériaux biosourcés, permettant d’obtenir des Fdes négatives en émission de C02. Enfin, l’ensemble de la flotte des engins de manutention est propulsé par des moteurs électriques.  Yann Butillon
Il y a 4 ans et 331 jours

« Les appels d'offres doivent mettre en avant les productions locales »

Matériaux - Entretien avec Nicolas Vuillier, président de l'Union nationale des industries de carrières et des matériaux de construction (Unicem).
Il y a 4 ans et 331 jours

La production d'énergies renouvelables reste bien loin de ce qu'il faudrait pour le climat

"Afin d'être en bonne voie pour limiter sous les 2°C la hausse des températures dans le monde, conformément à l'Accord de Paris, il faudrait ajouter environ 3.000 gigawatts (GW) de capacités renouvelables d'ici 2030", soulignent dans un rapport le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), l'Ecole de finance et de gestion de Francfort et Bloomberg new energy finance (BNEF).Or les gouvernements et les entreprises se sont pour l'instant engagés à seulement 826 GW de nouvelles capacités renouvelables (hors hydraulique), pour un coût estimé autour de 1.000 milliards de dollars, selon leurs calculs.Le rapport confirme ainsi le "fossé énorme" entre les ambitions des différents pays du monde et les exigences en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Les auteurs soulignent également que les efforts consentis pour la décennie qui vient apparaissent "modestes" comparés à ce qui a été fait dans le passé.Sur la décennie 2010-2019, le monde avait en effet enregistré des capacités supplémentaires de 1.213 GW de renouvelables (hors grands barrages hydroélectriques), pour un investissement de près de 2.700 milliards de dollars.La seule année 2019 s'est d'ailleurs traduite par un record de 184 GW de capacités nouvelles (dont 118 GW en solaire et 61 en éolien), soit 20 GW de plus qu'en 2018.Mais depuis, la crise du Covid-19 a ralenti les projets et cela affectera les niveaux d'investissements en 2020, estiment les auteurs."Cependant, les gouvernements ont maintenant l'opportunité d'adapter leurs plans de relance pour accélérer la sortie de processus polluants et adopter des technologies durables aux coûts compétitifs", dit le rapport."Les enjeux sont importants: si on rate cette chance, il pourrait devenir encore plus difficile de trouver les financements pour décarboner le système énergétique dans une économie mondiale post-Covid-19 caractérisée par des dettes publiques élevées et des finances sous contrainte dans le secteur privé", met-il en garde.
Il y a 4 ans et 332 jours

Cemex recycle des granulats pour un chantier Breeam

Les fondations du Wooden Park de Toulouse ont été réalisées avec un béton intégrant des granulats recyclés. [©Cemex] Le premier des trois bâtiments du programme Wooden Park a été livré sur le pôle tertiaire de Basso Cambo, à Toulouse. Destiné à accueillir des plateaux de bureaux, le bâtiment, en R+3 avec environ 4 000 m2 de planchers, sera intégralement réalisé. Ceci, sur une conception du bureau d’études Oteis, en structure bois. Le béton, lui, est réservé au parking en sous-sol et aux cages d’ascenseurs. L’ensemble va bénéficier d’une certification Breeam, de niveau “Very Good”. Et un haut niveau de performance sur le référentiel E+C–. Parmi les “cibles” de la certification Breeam, le choix de matériaux éco-responsables – tant sur le mode de production que de la chaîne d’approvisionnement – représente un point fort. Cemex a ainsi livré 1 230 m3 de béton, mis en œuvre par les entreprises Gallego et Peixoto. Un béton intégrant 20 % de granulats recyclés produits localement. L’élaboration d’un dossier technique avec un contrôle spécifique des granulats et une formulation étudiée ont permis de valider et de garantir la production d’un béton de qualité́ homogène et constante. Les temps de prise, le décoffrage et le rendu final se sont révélés conformes aux attentes de l’entreprise. Et aux exigences de qualité́ de prescription. Conçu selon une approche filière courte et d’économie des ressources naturelles, ce projet permet à Cemex d’envisager de proposer cette solution sur mesure sur d’autres chantiers.
Il y a 4 ans et 332 jours

Rockwool crée Rockcommerce, une plateforme en ligne qui permet à ses clients de gérer l'ensemble de leurs démarches

Les démarches administratives accompagnant l'approvisionnement en produits du BTP peuvent parfois s'avérer complexes. Conscient de ces obstacles, ROCKWOOL, leader de la production d'isolant en laine de roche, a décidé de mettre à la disposition de ses clients un outil digital sur mesure afin de leur faciliter la gestion de l'ensemble des services proposés. Grâce à la nouvelle plateforme ROCKCOMMERCE, commander un produit, suivre une livraison ou obtenir ses factures n'a jamais été aussi simple. Rendez-vous sur shop.rockwool.com !Flexibilité, liberté et autonomie, à la portée de tous !Accessible via ordinateur, tablette ou smartphone, ROCKCOMMERCE, c'est avant tout une plateforme simple et intuitive permettant d'harmoniser et d'optimiser la réalisation des démarches, le tout de manière autonome. Développée et conçue spécialement pour simplifier le quotidien des clients et des commerciaux de ROCKWOOL, la plateforme digitale offre une toute nouvelle expérience en matière d'approvisionnement.En quelques clics, il est désormais possible de consulter l'ensemble des fiches produits, de passer une commande de manière simplifiée, d'effectuer un tracking en temps réel sur ses livraisons mais aussi de visualiser et d'archiver ses factures. Tout ce qu'il suffit de faire en amont, c'est de créer son mot de passe.Personnalisez et optimisez le pilotage de toutes vos démarchesAvec ROCKCOMMERCE, non seulement l'état des commandes est visible en un coup d'œil, mais la plateforme propose également de les trier par critères, les modifier ou même les annuler. La date initiale d'une livraison en cours doit être changée ? Elle est modifiable en un seul clic et sans passer par un intermédiaire. Pour connaître l'avancement d'une commande, le service Track and Trace propose la géolocalisation en temps réel des camions acheminant les produits. Au-delà de l'accès rapide à toutes les fiches produits, ROCKCOMMERCE, c'est aussi la possibilité de passer sa commande 7 jours sur 7, 24h sur 24.Enfin, afin de faciliter la gestion comptable pour les clients, la plateforme propose un accès à l'historique des commandes depuis 2017 et la possibilité de télécharger instantanément toutes les factures.« Chez ROCKWOOL, la transformation digitale est considérée comme la pierre angulaire de notre croissance. Ainsi, depuis plusieurs années déjà, nous l'intégrons à notre fonctionnement en interne comme en externe. La notion de service nous étant toujours primordiale, il était naturel que nos clients puissent aussi bénéficier d'un service digitalisé. Au-delà des avantages fournis, nous souhaitons les aider à se familiariser au concept afin qu'eux-mêmes puissent se lancer dans leur propre transformation digitale » déclare Thibaut Van Den Berghe, directeur commercial chez ROCKWOOL France.Découvrez la plateforme ROCKCOMMERCE en vous rendant sur shop.rockwool.com.Pour plus d'informations, visitez le site de ROCKWOOL.
Il y a 4 ans et 332 jours

300 nouveaux projets pour accélérer l'installation de panneaux photovoltaïques sur les bâtiments

Ces lauréats vont bénéficier d'un soutien public pour l'électricité renouvelable produite. Ils contribueront ainsi à l'atteinte des objectifs français de production d'électricité renouvelable, conformément à la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) récemment publiée.« Alors que nous entrons dans une phase de reprise progressive de l'activité, nous poursuivons nos échanges avec la filière des énergies renouvelables pour la soutenir, pour identifier les freins à cette reprise et pour donner de la visibilité sur les prochains mois. La PPE doit en cela être un élément structurant du futur plan de relance, la transition énergétique étant à la fois un défi à relever collectivement et une opportunité pour notre économie. » a déclaré aujourd'hui Élisabeth Borne. Le prix moyen de cet appel d'offres est de 93,98 €/MWh pour la famille des projets d'une puissance entre 100 kWc et 500 kWc et 83,06 €/MWh pour la famille entre 500 kWc et 8 MWc.Cette désignation se fera de manière dématérialisée grâce à un nouvel outil développé par le ministère de la Transition écologique et solidaire afin de faciliter et d'accélérer les interactions entre les porteurs de projets et l'administration.En complément, afin de soutenir les porteurs de projets d'énergies renouvelables confrontés à des difficultés du fait de la crise sanitaire, le ministère a pris diverses mesures de simplification, notamment en accordant des délais supplémentaires pour finaliser et mettre en service les projets.A la suite de la publication du décret portant la Programmation pluriannuelle de l'énergie, le ministère a également mis en consultation les projets de cahiers des charges de la deuxième PPE, afin de recueillir les propositions des parties prenantes.Retrouvez en ligne la liste des lauréats désignés.
Il y a 4 ans et 333 jours

Face une récession historique, l'OCDE appelle à une économie "plus juste et plus durable"

"Le choix entre la santé et l'économie est un faux dilemme. Si la pandémie n'est pas jugulée, il n'y aura pas de reprise économique robuste", a prévenu lors d'une visioconférence le secrétaire général de l'organisation, Angel Gurria, alors que le confinement de la moitié de l'humanité a brutalement freiné l'activité au printemps.Dans ses perspectives intitulées "L'économie mondiale sur la corde raide", l'OCDE a échafaudé deux scénarios: l'un où l'épidémie de Covid-19 "reste sous contrôle" et l'autre où elle repart avec une deuxième vague.Dans le premier cas, le produit intérieur brut (PIB) mondial reculera en 2020 de 6%, dans le deuxième de 7,6%. Mais même dans le meilleur des cas, ce recul est "de loin le plus important dans les 60 années depuis que l'OCDE a été créée", a indiqué M. Gurria.Sans retour du coronavirus, la croissance mondiale rebondira de 5,2%, mais seulement de 2,8% s'il recommence à circuler, avec ce que cela implique de mesures de confinement ou de quarantaine.La zone euro sera particulièrement touchée avec un recul du produit intérieur brut (PIB) prévu à 9,1% dans le scénario le plus favorable, et à 11,5% en cas de deuxième vague en 2020.La France fait partie, avec l'Italie et l'Espagne, des pays les plus durement frappés: le PIB devrait reculer dans l'Hexagone de 11,4% en 2020, et même de 14,1% en cas de deuxième vague. 2021 devrait toutefois amener un puissant rebond de 7,7% si l'épidémie en reste là, et tout de même de 5,2% en cas de retour du virus.Pour les États-Unis, l'OCDE prévoit une diminution du PIB de 7,3% ou de 8,5%, selon les scénarios.La Chine, deuxième économie mondiale derrière les États-Unis et encore championne de la croissance l'an dernier avec 6,1%, verra elle aussi son économie se contracter, de 2,6%, voire de 3,7% cette année si le virus y ressurgit massivement.Tensions socialesLa chef économiste de l'OCDE Laurence Boone a précisé que l'économie planétaire s'était contractée de 3% au premier trimestre et qu'elle allait encore perdre 10% au second.En conséquence, le point de départ pour une reprise "est extrêmement bas pour nous ramener là où nous étions en 2019", selon Mme Boone, car "après un rebond initial, revenir au niveau initial est plus difficile", certains secteurs ne pouvant pas repartir rapidement.En dehors d'un possible retour du virus, elle pointé comme facteurs d'incertitudes le "comportement des consommateurs" et "les relations commerciales", qui vont "freiner l'investissement".Louant les mesures prises par de nombreux gouvernements pour préserver l'emploi, elle ajouté que "l'une des inquiétudes que nous avons concerne les travailleurs du secteur informel, parce qu'ils sont très difficiles à atteindre", ainsi que les précaires, les auto-entrepreneurs, dont la situation risque de provoquer des "tensions sociales".L'OCDE relève toutefois que certains secteurs devraient sortir renforcés de la crise, comme le "e-commerce" ou "les équipements pour la santé".Les gouvernements "devraient faciliter la transition" vers ces secteurs tout en "protégeant les revenus des travailleurs", selon Mme Boone.Ne pas revenir à la normaleFace à la concentration de la production de médicaments ou de matériel de protection sanitaire dans certains pays, "il faut passer de la production à flux tendus et à la production +au cas où+" (du 'just in time' au 'just in case') et constituer les stocks nécessaires, plaide l'économiste."Mais nous devons considérer que le commerce fait partie de la solution", ajoute-t-elle en mettant en garde contre les blocages des chaînes d'approvisionnement par des mesures protectionnistes.Car l'épidémie a aussi "accéléré le basculement d'une +grande intégration+ vers une +grande fragmentation+" de l'économie mondiale, remarque encore Mme Boone dans un éditorial.M. Gurria a d'autre part appelé à ce que la crise soit l'occasion d'une transition vers "une croissance plus solide et plus durable". "Le but ne doit pas être de revenir à la normale", car "la normalité est ce qui nous amenés là où nous nous trouvons actuellement".Il a pris pour exemple la pollution atmosphérique qui tue 4 millions de personnes par an et dont on a découvert qu'elle "aggravait les conséquences de la Covid-19".Enfin, face à une situation où la confiance est limitée par l'incertitude, "la communauté internationale devrait s'assurer que lorsque qu'un vaccin ou traitement sera disponible il pourra être distribué rapidement dans le monde entier", demande Mme Boone, car "sinon, la menace persistera".
Il y a 4 ans et 333 jours

Frumecar et l’UPTC créent une nouvelle chaire

La mission de la nouvelle chaire UPCT-Frumecar sera d’étudier le développement technologique des machines de production et de transport du béton. [©Frumecar] L’Espagnol Frumecar et l’Université polytechnique de Carthagène (UPCT), en Espagne ont signé un accord visant à créer une nouvelle chaire UPCT-Frumecar. La mission de cette chaire sera d’étudier le développement technologique des machines de production et de transport du béton. Elle se chargera de diffuser les recherches dans le domaine de l’industrie du béton. Formera les étudiants de l’UPCT et proposera des cours de formation, des conférences. Ainsi que sa coopération en matière d’éducation. Les lignes prioritaires de recherche seront la robotique collaborative, l’IoT et l’intelligence artificielle (machine learning). Ceci, afin de développer, dans un futur proche, des centrales à béton autonomes dotées de dispositifs d’intelligence et de communication. Qui activeront à la demande les commandes des automates de production, sans intervention humaine. Cette chaire permettra de participer à des projets nationaux et internationaux. Et de promouvoir des rencontres avec des spécialistes lors de journées et de congrès, aussi bien en Espagne qu’à l’étranger.
Il y a 4 ans et 333 jours

Nouvelle offre du logiciel PV archelios™ PRO

Développé avec Cythelia Energy, division solaire de Trace Software, archelios™ PRO permet de dimensionner tout type de projet solaire de quelques kWc à plusieurs dizaines de MWc, sur toiture, en ombrière ou au sol.archelios™ Pro Free, Silver, Gold et Platinum : une nouvelle gamme de logiciels PV adaptée à chaque activitéQu'ils soient artisans, installateurs de petits projets, développeurs de grandes centrales solaires ou concepteurs occasionnels, tous les utilisateurs n'ont pas besoin des mêmes fonctionnalités. Avec la nouvelle gamme archelios™ PRO, Trace Software dote les professionnels d'un outil ergonomique et performant, adapté à la taille de leurs projets, avec des fonctionnalités dimensionnées pour leur activité.Une nouvelle offre archelios™ PRO élargie :archelios™ PRO Free : conception de projets jusqu'à 36 kWc sans 3Darchelios™ PRO Silver : conception de projets jusqu'à 100 kWcarchelios™ PRO Gold : conception de projets jusqu'à 1 MWcarchelios ™ PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimitésL'une des grandes nouveautés de cette gamme est l'accès gratuit à la version archelios™ Pro Free.archelios™ Pro Free : un logiciel gratuit pour démarrer avec des petits projets PVQue l'on soit artisan, étudiant, ou encore jeune entreprise, et que les projets ne dépassent pas une puissance de 36 kWc, le logiciel archelios™ PRO Free est idéal.Le logiciel permet de concevoir des projets d'installations solaires raccordées au réseau ou en autoconsommation, mais également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés. L'utilisateur bénéficie d'une base de données et de fonctionnalités qui l'assistent pour le dimensionnement des onduleurs et des modules en fonction du projet.Grâce à sa prise en main simple et ergonomique, archelios™ PRO Free est un excellent outil pédagogique pour les utilisateurs qui débutent dans la conception photovoltaïque.archelios™ Pro Silver, Gold et Platinum : des gammes premium pour les bureaux d'études et installateurs photovoltaïquesLes versions Silver, Gold et Platinum s'adressent aux bureaux d'études et aux installateurs photovoltaïques qui conçoivent des installations PV raccordées au réseau ou en sites isolés, en autoconsommation, avec ou non stockage d'énergie.La version archelios™ PRO Silver permet une conception rapide, notamment grâce à la modélisation 3D et détaillée des projets. Elle permet également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés (LCOE, CGA, rentabilité, …). Les concepteurs disposent d'une large base de données de références multi-fabricants qui leur permet de réaliser le meilleur choix de matériel pour un rendement optimal de l'installation. Ils ont la possibilité d'exporter directement leur projet vers les logiciels de la suite archelios™ : archelios™ CALC et archelios™ O&M.Avec archelios™ PRO Gold les utilisateurs gagnent en temps de conception grâce à des fonctionnalités de saisie rapide et des outils de conception 3D automatiques, notamment pour le câblage des boîtes de jonction et des onduleurs. Accès aux bases de données météo et Google Maps comme pour la version Silver, gestion optimisée de l'autoconsommation, comparaison de projets, exports du projet en format AutoCAD et CSV et vers les autres outils de la suite, sont autant d'atouts qui permettent aux concepteurs de gagner en temps de conception et de livrer des projets ultra précis au plus proche, voire au-delà, des attentes de leurs clients.Bénéficiant des fonctions Silver et Gold, archelios™ PRO Platinum est de loin le logiciel le plus complet du marché des logiciels PV. Il dote les concepteurs de fonctionnalités uniques telles que l'optimisation de l'écrêtage, l'outil de terrassement en 3D et la gestion de grandes centrales multi-MWc. Pour les installations de grande envergure, c'est la garantie d'un projet rigoureux donc moins coûteux, maîtrisé et au plus proche des conditions de production, même pour les installations les plus complexes.Intégrez l'environnement 3D de votre projet en un clic avec 3D Maparchelios™ PRO est le seul logiciel du marché à proposer la fonctionnalité 3D Map qui permet d'intégrer automatiquement l'environnement 3D de votre projet en un clic, avec prise en compte automatique de la végétation et des bâtiments environnants pour une évaluation précise et rapide des pertes dues aux masques proches, sans besoin de visite de site. Un gain de temps impressionnant ! 3D Map est disponible sur Silver, Gold et Platinum.
Il y a 4 ans et 334 jours

Sanidoor® by Doortal élimine germes et bactéries sur les blocs-portes

Confrontée, comme la majorité des entreprises industrielles de l'Hexagone, au ralentissement de ses activités avec l'apparition du coronavirus et la mise en application du confinement, l'entreprise Doortal a mis à profit ce temps de crise pour innover. Spécialisée dans la fabrication de blocs-portes métalliques pour les lieux publics et sites sensibles, l'entreprise investit en moyenne 1,5 M€ chaque année dans la recherche et le développement de nouveaux produits toujours plus performants.« L'innovation est dans notre ADN », affirme Johnny Guilhot, gérant associé. Une véritable marque de fabrique, que les équipes de Doortal ont apposée cette fois en un temps record, afin de répondre à l'urgence de la situation sanitaire. En l'espace de six semaines, elles ont mis au point, avec leurs partenaires, SANIDOOR® by Doortal : une solution globale antibactérienne capable d'éliminer jusqu'à 99% des germes et bactéries sur les blocs-portes.Un traitement breveté pour une gamme haute sécuritéPour être en mesure de proposer cette nouvelle offre, pourvue de traitements testés et certifiés en laboratoires agréés, l'entreprise Doortal a sélectionné des matériaux et procédés antimicrobiens permettant d'offrir une solution innovante adaptée aux règles d'hygiène anti-infectieuses.L'entreprise est dès à présent en mesure de proposer le système de thermolaquage SANIDOOR® sur l'ensemble de sa gamme de blocs-portes métalliques techniques. Formulé à partir d'une poudre d'ions d'argent actifs, ce revêtement de peinture provoque, par son action antimicrobienne, la destruction des bactéries selon un mécanisme d'action en 3 phases : blocage des échanges cellulaires, arrêt de la respiration des cellules, blocage de la division cellulaire.Un traitement antibactérien sans substance nociveMais au-delà du bloc-porte, c'est aujourd'hui l'ensemble des équipements proposés dans la gamme SANIDOOR® by Doortal qui permet de proposer aux professionnels du bâtiment une solution parfaitement sécurisée. Pour relever ce défi, Doortal a fait appel à ses partenaires scrupuleusement sélectionnés pour la fourniture de poignées de porte et de barres anti-panique. « Dans un bâtiment accueillant quotidiennement un très large public, plusieurs centaines de personnes vont en effet poser la main sur ces éléments et peuvent donc transmettre les microbes dont elles sont éventuellement porteuses. » souligne Johnny Guilhot.Ainsi, le revêtement antibactérien des poignées SANIDOOR® contient des ions métalliques qui préviennent la prolifération des germes. Conçu pour une application sur le métal, il comprend un vernis qui élimine les bactéries, virus et champignons, sans aucune substance nocive. Il en va de même pour les barres anti-panique dont le traitement antibactérien, totalement inoffensif pour l'homme, repose sur l'émission lente et constante d'ions d'argent, capables de pénétrer l'organisme microbien et de bloquer sa reproduction.Une gamme adaptée pour les milieux exigeantsPourvus de ce traitement breveté, les équipements SANIDOOR® by Doortal constituent une solution globale efficace pour tous les bâtiments où l'activité microbienne est redoutée. Peu présente jusque-là dans l'univers de la santé, l'entreprise compte sur cette gamme parfaitement adaptée aux enjeux du milieu médical pour s'imposer dans les hôpitaux, cliniques, cabinets médicaux, ehpad… « Notre solution constitue une protection active pour réduire de façon radicale le risque de contagion, notamment dans les bâtiments publics où la propagation des maladies infectieuses est facilitée par une forte concentration bactérienne sur les poignées et barres de poussée », affirme le gérant associé de l'entreprise.Néanmoins, la cible potentielle de SANIDOOR® by Doortal est beaucoup plus large. Bien que le déconfinement s'engage dans l'Hexagone, l'épidémie de coronavirus continue de susciter de très nombreuses inquiétudes dans la population. Les établissements scolaires, les restaurants, les hôtels, les centres de sport, les bâtiments des administrations… représentent ainsi autant de débouchés naturels pour Doortal. Des marchés sur lesquels l'entreprise entend se positionner, en s'appuyant sur un réseau de prescripteurs du bâtiment, au premier rang desquels on retrouve les architectes DPLG, architectes d'intérieur et promoteurs. « Nous visons le marché hexagonal dans l'immédiat », conclut Johnny Guilhot, qui ne ferme cependant pas la porte à d'autres développements à terme.
Il y a 4 ans et 334 jours

Covid-19 : retour à la normale pour la production de tuiles et briques

Dans un Communiqué de presse daté du 4 mai 2020, la FFTB indiquait que la production repartait progressivement depuis le 2 avril. Ainsi les fabricants ont toujours été en mesure de livrer les négoces qui redémarraient progressivement grâce aux stocks constitués avant le confinement puis grâce au redémarrage des usines.La reprise de la production a été accompagnée par un Guide de Bonnes pratiques élaboré conjointement avec les organisations syndicales représentatives, co-signé par la CFDT et validé dès le 26 avril 2020 par le Directeur Général du Travail au Ministère du Travail.
Il y a 4 ans et 334 jours

Nomination d’Arnold Jacquier, DAF Onduline

Arnold Jacquier est nommé Directeur Administratif et Financier (DAF) du Groupe Onduline, spécialiste mondial de l’étanchéité des toitures. Arnold Jacquier a commencé sa carrière chez PwC dans l’audit puis en « Transaction Services » à Paris et Londres, où il a travaillé sur plus de 50 transactions pour des clients Corporate et Private Equity. Il est nommé DAF de RLD (une société sous LBO de 150M€ et 2 000 salariés) en 2011, puis il est recruté comme DAF de Soflog (une société sous LBO de 185m€ et 1 800 salariés) en 2015. Arnold est diplômé d’Audencia, formation complétée par un DESCF. Pour Patrick Destang, CEO d’Onduline : « Depuis le rachat de Onduline par Naxicap et Nextstone fin 2018, nous avons écrit une nouvelle feuille de route pour le groupe, qui vise à augmenter sensiblement notre chiffre d’affaires et notre rentabilité via une croissance interne accélérée et des acquisitions. L’objectif du groupe est de s’appuyer sur sa très large implantation internationale (plus de 32 filiales dans le monde) pour consolider sa position de spécialiste de l’étanchéité des toitures, en se développant sur des solutions pour les toits en pente, mais également pour les toits plats ». « Arnold vient compléter le comité exécutif du groupe et nous apporte une expérience solide de pilotage des performances dans un contexte de LBO, et d’expérience sur les sujets d’acquisition et de croissance/évolution du portefeuille d’activité ». Onduline est un spécialiste mondial de l’étanchéité des toitures, avec 32 filiales commerciales dans le monde, 9 usines de production sur 5 continents, 250M€ de CA et 1 800 salariés. Plus de 85% de son chiffre d’affaires est réalisé en dehors de France. L’offre produit inclut des plaques de couverture légères à base de fibre de cellulose recyclées, des plaques transparentes en polycarbonate et pvc, des membranes d’étanchéité pour les toits plats, et des films/écrans de sous-toiture.
Il y a 4 ans et 335 jours

Le coût des énergies renouvelables s'avère de plus en plus compétitif face au charbon

Selon un nouveau rapport de l'Agence internationale de l'énergie renouvelable (IRENA), publié aujourd'hui, les énergies renouvelables sont de moins en moins chères par rapport toute autre source de nouvelle électricité à base de combustibles fossiles. Le rapport Coût de la production d'énergie renouvelable en 2019 montre que plus de la moitié de la capacité renouvelable ajoutée en 2019 permettait de réduire les coûts de l'électricité par rapport à ceux des nouvelles centrales au charbon les moins chères.Le rapport souligne que les nouveaux projets de production d'énergie à partir de sources renouvelables sont aujourd'hui de moins en moins chers par rapport aux centrales à charbon existantes. En moyenne, il est moins cher de mettre en service de nouvelles installations d'énergie solaire photovoltaïque et éolienne que de maintenir de nombreuses centrales au charbon en exploitation. Les résultats des enchères montrent que cette tendance s'accélère et viennent confirmer le besoin de mettre définitivement fin à la filière charbon. Le rapport montre que l'année prochaine, il pourrait être plus coûteux d'exploiter 1 200 gigawatts (GW) de capacité existante dans des centrales à charbon que de mettre en service de nouvelles installations solaires photovoltaïques à l'échelle industrielle.Le remplacement des 500 GW les moins chers de la filière charbon par du solaire photovoltaïque et de l'éolien terrestre pourrait réduire sur l'année prochaine les coûts du système électrique de 23 milliards de dollars par an, et les émissions annuelles de dioxyde de carbone d'environ 1,8 Gt, soit l'équivalent de 5% du total des rejets mondiaux de CO2 en 2019. Cela représenterait également un stimulus de 940 milliards de dollars, à savoir environ 1% du PIB mondial.« Nous avons atteint un tournant important dans la transition énergétique. Tant sur le plan environnemental qu'économique, les arguments en faveur de l'installation de nouvelles centrales à charbon ou du maintien de celles qui existent sont injustifiables », a déclaré Francesco La Camera, directeur général de l'IRENA. « De plus en plus, les énergies renouvelables sont la source de nouvelle électricité la moins chère. Leur potentiel pour stimuler l'économie mondiale et créer des emplois est considérable. Les investissements dans les énergies renouvelables sont stables, rentables et attractifs ; ils offrent des rendements constants et prévisibles, et l'économie tout entière profite de leurs bénéfices. »« La stratégie mondiale de relance doit être une stratégie verte », a ajouté La Camera. « Les énergies renouvelables constituent un moyen d'aligner les initiatives politiques à court terme sur les objectifs à moyen et long terme en matière d'énergie et de climat. Les efforts déployés par les nations pour relancer les économies après la crise du COVID-19 doivent reposer sur les énergies renouvelables. Par la mise en œuvre de politiques appropriées, la chute des coûts de la production d'électricité à base d'énergies renouvelables peut transformer les marchés et contribuer dans une large mesure à une relance verte. »Au cours des dix dernières années, l'amélioration des technologies, les économies d'échelle, la compétitivité des chaînes d'approvisionnement et l'expérience croissante des développeurs ont entraîné une forte baisse du coût de l'électricité provenant de sources renouvelables. Depuis 2010, la plus forte baisse des coûts a été enregistrée par l'électricité solaire photovoltaïque à l'échelle industrielle, avec 82%. Venaient ensuite l'énergie solaire à concentration (CSP), avec 47%, l'éolien terrestre, avec 39%, et l'éolien offshore, avec 29%.Le coût des technologies solaire et éolienne a également poursuivi sa diminution d'année en année. Le coût de l'électricité de source solaire photovoltaïque à l'échelle industrielle a baissé de 13% en 2019, atteignant une moyenne mondiale de 6,8 cents (0,068 USD) par kilowattheure (kWh). L'éolien terrestre et l'éolien offshore ont tous deux diminué d'environ 9%, pour atteindre respectivement 0,053 et 0,115 USD/kWh.Les enchères et contrats d'achat d'électricité (CAE) les plus récents montrent que la tendance à la baisse se poursuit pour les nouveaux projets mis en service en 2020 et au-delà. Les prix de l'électricité de source solaire photovoltaïque basés sur un approvisionnement compétitif pourraient en moyenne s'établir à 0,039 USD/kWh pour les projets mis en service en 2021, ce qui représente une diminution de 42% par rapport à 2019. Cette valeur est par ailleurs inférieure de plus d'un cinquième à celle de l'électricité issue de combustible fossile la moins chère, qui est celle produite par les centrales à charbon. Les chiffres record atteints par les enchères d'électricité de source solaire photovoltaïque à Abou Dhabi et Dubaï (EAU), au Chili, en Éthiopie, au Mexique, au Pérou et en Arabie saoudite confirment que des valeurs de seulement 0,03 USD/kWh sont déjà possibles. Pour la première fois, le rapport annuel de l'IRENA examine également la valeur des investissements par rapport à la baisse des coûts de production. Pour la même somme d'argent investie en énergies renouvelables aujourd'hui, les nouvelles capacités produites sont supérieures à celles d'il y a dix ans. En 2019, la capacité de production d'énergie renouvelable mise en service était deux fois plus élevée qu'en 2010, mais elle avait nécessité seulement 18% d'investissements en plus. Découvrez les conclusions principales du rapportLisez le rapport complet « Coût de la production d'énergie renouvelable en 2019 »
Il y a 4 ans et 335 jours

Reprise d’activité post Covid-19 : le réseau Initial 100% opérationnel

Né à l’initiative de Kawneer en 1994, le réseau INITIAL regroupe des fabricants indépendants experts de la menuiserie en aluminium prête à poser. Grâce à leur mobilisation et au soutien de Kawneer, gammiste reconnu, les membres du réseau INITIAL n’ont cessé de travailler durant la période de confinement et abordent la reprise d’activité en étant 100% opérationnel avec des commandes fabriquées, prêtes à livrer ! Le réseau INITIAL, les experts de la menuiserie aluminium prête à poser, 100% opérationnel Créé par Kawneer il y a près de 30 ans, le réseau INITIAL constitue une véritable communauté de fabricants indépendants experts de l’aluminium, bien implantés localement, qui représente la marque INITIAL avec l’offre 100% alu la plus large du marché. Au fil des années, le réseau INITIAL, à taille humaine, a su s’adapter à l’évolution du marché de la menuiserie aluminium. Il s’est professionnalisé à la fois par des investissements (surface de production, équipements, outils industriels…) mais également dans son approche du commerce et du service. 10 sites industriels de fabricants de menuiseries aluminium prêtes à la pose, répartis sur le territoire français, réalisent plus de 2500 menuiseries prêtes à poser par mois sans compter les productions spéciales telles que vérandas, extensions d’habitat, châssis grandes dimensions, portes-repliables, gardes corps, murs- rideaux… pour les professionnels poseurs et les distributeurs spécialisés. Aujourd’hui mature, ce réseau d’entrepreneurs nés a démontré toute son agilité dans sa capacité à maintenir l’activité et apporter le savoir-faire, le service et la qualité attendus par ses clients en portant haut et fort les couleurs d’Initial. Toutes ces entreprises et leurs équipes se sont mobilisées pour surmonter la période de crise de ces deux derniers mois en réussissant à fabriquer et à livrer leurs clients poseurs dès la reprise de leur activité. « Avant le confinement, notre carnet de commande était bien rempli. Nous avons fermé le 18 mars au soir mais dès le 23 mars, j’ai repris contact avec mes fournisseurs pour savoir s’ils étaient en mesure de me livrer la matière première pour continuer mon activité et servir les clients restés ouverts. Après avoir mis en place les protocoles sanitaires afin d’assurer la sécurité de tout le personnel, nous avons ainsi repris à mi-temps dès le 31 mars. Dès l’annonce de la date du déconfinement, toute l’entreprise a repris le 27 avril à 100%. Grâce à notre faculté d’anticipation et d’adaptation, nous avons aujourd’hui rattrapé tout le retard pris lors de cette période et nous sommes revenus dans des délais habituels de livraison de 3 à 5 semaines », témoigne M. Jaap Van Linschoten, gérant de la société MBR basée à Alès, membre du réseau depuis 1996, employant 16 salariés. INITIAL, un réseau profitable aux valeurs fortes, prêt à relever tous les défis Les membres du réseau INITIAL véhiculent l’ADN de la marque basé sur des valeurs fortes et respectées par tous telles que : • le service, avec des offres sur-mesure, adaptées ; • la qualité, avec une charte qualité étudiée et revendiquée ; • la proximité, avec une identité locale, une notoriété et une reconnaissance sur leurs terres ; • le respect des délais et des engagements ; • l’expertise technique. Initial, dans le top 3 des réseaux de fabricants de menuiseries prêtes à poser 100% aluminium, est aujourd’hui un réseau profitable, prêt à relever tous les défis. C’est pour cela que Kawneer souhaite dynamiser davantage le réseau avec pour objectif d’atteindre 15 à 20 membres d’ici 2021. La course n’étant pas au nombre mais au respect des valeurs fondamentales qui constituent l’ADN de ce réseau et de la marque INITIAL. http://www.initial-fenetres.com
Il y a 4 ans et 338 jours

LafargeHolcim renouvelle avec Solidia Technologies

LafargeHolcim et Solidia Technologies développent des ciments bas carbone. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim annonce avoir accéléré son partenariat avec Solidia Technologies pour réduire les émissions de CO2 tout au long de sa chaîne de production. Avec cette annonce, l’association des deux industriels, débutée en 2013, est étendue de manière formelle jusqu’en 2025, avec une option de poursuite. Ensemble, LafargeHolcim et Solidia Technologies ont été capables non seulement de réduire de 30 % les émissions de CO2 durant la production de ciment. Mais aussi de capturer du C02. Ce qui leur permet de proposer un ciment, dont les émissions de carbone sont réduites de 70 %. Ainsi, les deux industriels vont continuer le développement de leurs technologies pour la production de bétons non renforcé (non armé) et routier. Tout en travaillant à étendre son application à ceux structurels. « Guider la voie vers une construction bas carbone passe par la facilitation et l’accélération de l’utilisation des solutions innovantes de Solidia à travers nos opérations mondiales, explique Marcel Cobuz, directeur Europe pour LafargeHolcim. Avec les solutions de Solidia Technologies, nous pouvons encore accélérer notre vision des neutres en carbone. » Pour Tom Schuler, président de Solidia Technologies, ce partenariat permet « d’avoir accès aux marchés, à l’expertise technique, à l’intelligence de marché de LafargeHolcim. Et nous aide à développer un meilleur ciment et un meilleur béton ».
Il y a 4 ans et 339 jours

Riou Glass invente le premier verre sanitaire auto-désinfectant pour faire barrière au Coronavirus

Même pendant la période de confinement, le verrier RIOU Glass n’a jamais cessé d’innover. Pour faire face à la crise sanitaire du COVID-19, et la nécessité de protéger les populations, l’ETI normande annonce avoir mis au point le premier verre auto-désinfectant.Chauffé à intervalle régulier, à une température de 70°C, ce vitrage, qui ne présente aucun risque de brûlure pour l’homme, a la particularité de s’auto-désinfecter. Il permet ainsi de faire barrière à la propagation du COVID-19.« Des études scientifiques montrent que le COVID-19 perd de son potentiel infectieux quand il est soumis à une température de 65°C pendant 5 à 10 minutes. Une technique qui est utilisée dans des CHU pour désinfecter le matériel médical » explique Christine Riou, Vice-Présidente de RIOU Glass.Une technologie déjà éprouvéePour concevoir ce nouveau verre sanitaire, l’ETI RIOU Glass s’est appuyée sur une technologie déjà éprouvée, celle de son autre innovation : le vitrage chauffant par rayonnement CalorGlass®.Grâce à une fine couche de microparticules métalliques déposée à l’intérieur du vitrage, la paroi reliée à une alimentation électrique monte progressivement en température jusqu’à 70°C dans le cadre de son application sanitaire (20 à 45°C pour une fonction chauffage). Le tout étant totalement invisible à l’œil nu et automatisable.« Les produits d’hier ne seront plus ceux d’aujourd’hui. Pour protéger la population des virus ou bactéries, les architectes et designers devront nécessairement intégrer dans leurs créations cette notion de protection sanitaire. Imaginez le nombre de personnes que des surfaces vitrées auto-désinfectantes pourraient protéger à l’avenir. Les applications et perspectives sont nombreuses : dans les hôpitaux, hôtels, restaurants, bureaux, transports publics (aéroports, gares, trains, métros, bus…), magasins… » poursuit Christine Riou.HygiaGlass® : une gamme complète d’écrans de protection sanitaireCette nouvelle utilisation du verre est d’ores et déjà applicable dans la nouvelle gamme d’écrans de protection sanitaire lancée par RIOU Glass. Destinée à protéger les personnes travaillant en contact direct avec le public (accueils, guichets ou caisses des commerces, entreprises, administrations, cabinets médicaux, établissements de santé…), la gamme HygiaGlass® offre, en plus de solutions verrières sur-mesure, 3 modèles standardisés en verre extra-clair trempé de sécurité, faciles à poser et amovibles : SOLO LUNA, des écrans de protection design tout en verre, SOLO PURA, avec supports métalliques, et TRIO, équipés de protections d’angle vitrées.RIOU Glass propose également sur ses solutions de protection parfaitement transparentes, qu’elles soient standardisées ou sur-mesure, plusieurs options de personnalisation possibles (encoches passe-documents, parloirs, coins arrondis). Ces écrans vitrés peuvent aussi être marqués (logos, textes, images…) ou encore opacifiés pour offrir plus d’intimité entre deux espaces.« Le verre est un matériau noble, qualitatif, recyclable à l’infini. Il offre de nombreux avantages par rapport au plexiglas que ce soit en termes d’esthétique, d’hygiène, de facilité d’entretien ou de durabilité dans le temps. Des écrans qui de surcroît participent à la reprise de notre économie car de production 100% française » conclut la Vice-Présidente.
Il y a 4 ans et 339 jours

LG Solar distribue des cerisiers à ses clients dans le cadre de son Plan Climat - Neutralité Carbone 2030

La protection de l'environnement et la réduction des activités à forte production d'énergie sont en tête des priorités des entreprises pour participer à la lutte contre le réchauffement climatique. La division solaire de LG Electronics bénéficie déjà d'une très bonne réputation dans toute l'Europe en matière de durabilité, et cherche constamment à prendre de nouvelles mesures pour renforcer son engagement. LG Solar a notamment décidé de donner à ses clients de jeunes cerisiers à planter ou installer au sein de leurs locaux. Cette action concrète fait partie d'un ensemble de mesures prises par le groupe afin d‘atteindre la neutralité carbone dans toutes ses activités opérationnelles d'ici 2030.Un pas de plus vers la neutralité en CO²Depuis des années, LG Solar produit des modules solaires de haute qualité ainsi que des systèmes de stockage d'énergie, contribuant ainsi de manière décisive au redressement de la situation énergétique. Néanmoins, LG Electronics souhaite continuellement renforcer son engagement et a ainsi élaboré un ensemble de mesures pour lesquelles LG Solar s'est également engagée. Sous la devise « Pour un présent meilleur et un meilleur futur », LG a défini trois grands objectifs que l'entreprise vise à atteindre d'ici 2030 :la mise en œuvre de la neutralité en CO² dans toutes les activités d'exploitation,des programmes de bénévolat réguliers pour les employés dans tous les pays,un taux de recyclage de 95% pour les déchets dans les installations de production.Mais ces mesures demandent du temps avant de pouvoir être pleinement effectives. Alors, en attendant, LG Solar a réfléchi à des actions à plus court terme, comme la campagne « Cherry Trees », qui consiste à faire don de jeunes arbres à ses clients. Les cerisiers, particulièrement reconnus pour leur efficacité à absorber beaucoup de CO², sont adaptés à tous les jardins et peuvent être plantés sur n'importe quelle surface. À première vue, ce n'est qu‘un petit pas, mais cela aide chaque client à participer à la lutte contre le réchauffement climatique à son échelle.« Chez LG, nous travaillons continuellement la durabilité de nos produits afin de contribuer à un monde meilleur. Au cours des prochaines années, nous allons développer des produits plus intelligents qui fonctionnent encore plus efficacement, et en réseau, et qui sont également fabriqués dans des conditions optimisées. Mais nous voulons aussi regarder au-delà de nos propres horizons et sensibiliser davantage les acheteurs à la protection du climat avec des campagnes telles que Cherry Trees. » Explique Michael Harre, Vice President EU Solar Group chez LG Electronics.
Il y a 4 ans et 341 jours

Le gouvernement prévient que l'économie française va se contracter de 11% cette année

"Je n'ai jamais caché que le plus dur est devant nous" parce que "le choc de la crise a été extrêmement brutal", a affirmé le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, en annonçant mardi cette nouvelle prévision sur la radio RTL. "Nous avons un énorme trou d'air" avec cette crise.Le gouvernement entérinera cette nouvelle estimation de l'ampleur de la récession dans un nouveau projet de budget rectificatif qui doit être présenté en conseil des ministres le 10 juin.La semaine dernière, l'Insee avait indiqué que la chute du PIB serait largement supérieure au -8% anticipé par le gouvernement, car la reprise de l'activité depuis le début du déconfinement sera "au mieux progressive au second semestre".Au premier trimestre, le recul de l'activité a finalement atteint -5,3%, mais l'Institut national de la statistique anticipe un plongeon de -20% environ au deuxième trimestre.L'économie française "s'efforce (...) de reprendre son souffle", mais elle "refait surface dans un monde qui n'est plus exactement le même qu'avant la crise sanitaire", avait jugé l'institut national de la statistique.Si le déconfinement a débuté le 11 mai, et que le Premier ministre a annoncé la semaine dernière une accélération avec notamment la levée de l'interdiction de se déplacer à plus de 100 kilomètres de son domicile, la reprise de l'activité est lente. Tous les commerces n'ont pas encore rouvert et le redémarrage de certaines entreprises est ralenti par des perturbations persistantes dans les chaînes de production.Petite éclaircie: mardi, les restaurants et cafés peuvent rouvrir dans les départements "verts" et seulement leurs terrasses dans les départements "orange", dont Paris.C'est "un signal très positif", avec 300.000 établissements qui vont pouvoir rouvrir et un demi million d'employés qui vont pouvoir reprendre leur activité, a souligné M. Le Maire, même s'il estime que "pour nous redresser économiquement il en faudra beaucoup plus".Apprentissage, tech et aéronautique"J'ai la conviction absolue que nous allons rebondir en 2021", a-t-il toutefois avancé.Après le plan d'urgence de plus de 100 milliards d'euros mis en place depuis le début de la crise, le gouvernement prépare désormais des plans de soutien spécifiques pour les secteurs les plus affectés.Des efforts de 18 milliards d'euros pour le tourisme, de 8 milliards d'euros pour l'automobile ou de 4,5 milliards d'euros pour les collectivités ont déjà été annoncés, avant des mesures pour l'aéronautique, l'apprentissage, l'emploi des jeunes ou les start-up dans les prochains jours."Nous prenons toutes les mesures dans tous les secteurs", a assuré Bruno Le Maire qui a toutefois déjà prévenu que des faillites et licenciements seraient inévitables malgré le soutien public.Plusieurs entreprises du secteur de la distribution, comme Camaïeu, La Halle ou Conforama, sont ainsi d'ores et déjà en grandes difficultés, avec des milliers d'emplois menacés, tandis que le constructeur automobile Renault prévoit de supprimer 15.000 emplois dont 4.600 en France, la crise ayant renforcé des difficultés préexistantes.Alors que certains plaident pour une augmentation du temps de travail afin d'accélérer la reprise dans les entreprises, le ministre a lui estimé que le défi de l'économie sera surtout de lutter contre le chômage."C'est ça l'enjeu pour la France dans les mois qui viennent: travailler tous et essayer de contenir un chômage qui va augmenter", a-t-il déclaré.
Il y a 4 ans et 341 jours

"Nous insistons pour que les appels d’offres mettent en avant les productions locales", Nicolas Vuillier, président de l'Unicem

Le président de l'Union nationale des industries de carrières et des matériaux de construction fait le point pour LeMoniteur.fr sur la situation de la filière après deux mois de confinement. S'attendant à un "trou d'air" de l'activité à la fin de l'année, il explique les mesures qui permettraient de l'atténuer.
Il y a 4 ans et 342 jours

Tout savoir sur le ciment bas carbone

Le ciment est un produit pulvérulent obtenu à partir de la cuisson du calcaire et de l’argile. Mélangée avec de l’eau, cette poudre permet d’agglomérer des sables et des granulats pour donner du mortier. En fonction de l’utilisation du ciment, l’incorporation de nombreux autres éléments permet de constituer des véritables roches artificielles, dont le béton. La fabrication du ciment Les étapes suivantes sont nécessaires pour la fabrication du ciment. La première consiste à extraire les matières premières et les homogénéiser. Ensuite, il va falloir les sécher et les broyer. La cuisson constitue l’avant-dernière étape et le refroidissement marque la fin du processus. La cuisson du clinker et la décarbonatation du calcaire sont les deux importantes tâches de la production. Des combustibles fossiles ou de substitution sont utilisés pour la cuisson à 1450°C du clinker. Environ 40% des émissions de gaz à effet de serre sont imputées à cette étape, et les 60%  restants, à la décarbonatation du calcaire. Il est à rappeler que le béton est caractérisé par sa résistance mécanique, surtout à la pression, ainsi que sa très grande adaptabilité. Il est généralement composé d’eau, de ciment, de gravier et/ou d’adjuvants. Malgré sa faible masse, seulement 11,74 % par rapport à celle du béton, le ciment contient plus de 98% du carbone émis. Ciment et réchauffement climatique Actuellement, le monde fait face au réchauffement climatique, qui est dû principalement aux émissions de gaz à effet de serre. Il est prouvé que l’utilisation excessive du ciment dans la construction a un impact non négligeable dans la production de ces gaz. En effet, le monde produit chaque année 4 gigatonnes de ciment. Des études ont révélé que 10% des émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale proviennent du secteur de la construction, dont 52%  sont produites par le ciment. Le ciment bas carbone c’est quoi ?  La diminution des émissions de gaz à effet de serre dans la fabrication du ciment permet d’obtenir du ciment « bas carbone ». Le lien suivant permet d’obtenir de plus amples informations sur le béton bas carbone de Ciments Hoffmann Green. L’obtention du ciment bas carbone est basée sur la cuisson du clinker et la décarbonatation du calcaire. Pour la cuisson du clinker, la valorisation énergétique des déchets non recyclables et leur utilisation en tant que combustible de substitution permettent une réduction notable des émissions de gaz à effet de serre. Le meilleur moyen de les réduire est de diminuer la quantité du calcaire à décarbonater, par  utilisation des matériaux de substitution de cet élément. Ce sont notamment les cendres volantes émanant des centrales thermiques et des laitiers de haut fourneau.
Il y a 4 ans et 342 jours

La numérisation des ateliers des Industriels Menuiserie, Store, Fermeture

Roland, qu'entend-t-on par « numérisation des ateliers » ?La numérisation des ateliers consiste à supprimer toutes les feuilles papiers que l'on peut retrouver dans un atelier, à l'instar des ordres de fabrication ou des fiches de montage. L'objectif de la numérisation est de remplacer toutes ces feuilles par des écrans, des tablettes ou tous autres supports numériques adaptés aux contraintes du poste atelier.Quels sont les enjeux liés à la numérisation des ateliers ?Les menuiseries sur-mesure étant des produits complexes à fabriquer, le premier enjeu est d'obtenir l'information la plus sûre et la plus claire possible pour l'opérateur.Le second objectif est double :Proposer des indicateurs opérationnels pour le poste, pour l'îlot ou la chaine de fabricationMettre à disposition des actions de déclaration « simple » pour la gestion des aléas, le contrôle qualité et les échanges d'information entre les postes‘' L'enjeu pour CAIB : obtenir un flux de production sans aucun support papier pour l'ordonnancement des séries et le montage des menuiseries en atelier ‘' David REVERSEAU (Responsable SI) et Christophe AUGEREAU (Responsable ERP) – CAIBOù en sont les Industriels de la Menuiserie dans la transformation numérique de leurs ateliers ?La numérisation des ateliers est un processus qui a démarré il y a quelques années chez les Industriels visionnaires. Aujourd'hui, quelle que soit la taille de l'atelier, tout le monde va dans ce sens. Certaines régions proposent même des aides aux Industriels pour cette démarche.Nous nous dirigeons de plus en plus vers l'usine 4.0 ! Le principe est de connecter et de lier chaque machine de l'atelier pour avoir des informations disponibles en temps réel et être en mesure de gérer et d'anticiper les aléas rapidement.Quels seraient vos conseils pour les Industriels souhaitant se lancer dans la numérisation de leurs ateliers ?Le principe de la numérisation est d'aller progressivement vers un atelier « 0 papier ». Il faut toujours garder en tête que l'objectif numéro 1 est de fabriquer des menuiseries. La numérisation doit simplifier l'accès et l'affichage des informations et permettre ainsi d'améliorer la productivité et la qualité de fabrication. Un autre facteur très important est l'implication des opérateurs très en amont de la démarche de numérisation. Ils doivent être présents dans les phases d'analyse, de validation et de formation.‘' Notre numérisation est passée par plusieurs facteurs clés :Une approche « AGILE » avec un déploiement poste par poste pour les lignes de production existantesUn investissement matériel important pour équiper l'atelier d'écran de déclarationDes ressources SI nécessaires pour l'adaptation des gammes de production et le paramétrage des différents écransDes développements SI en autonomie avec l'expertise ponctuelle d'ISIA sur certaines problématiques techniques ‘'David REVERSEAU (Responsable SI) et Christophe AUGEREAU (Responsable ERP) – CAIBEn quoi l'ERP et configurateur technique Diapason contribue-t-il à la numérisation des ateliers ?Diapason permet aux Industriels de répondre aux exigences clients, tout en maîtrisant leur production, leurs délais de fabrication et de livraison, leurs marges etc...L'un des points forts de la solution est de gérer les informations relatives aux clients ou à la production et de les diffuser dans toute l'entreprise en direct. Chaque opérateur est ainsi guidé par écran dans l'atelier. Ce dernier flashe le code barre placé sur chaque menuiserie pour que toutes les informations apparaissent à l'écran. Les points complexes ressortent en rouge. Chaque étape du process peut être déclarée afin d'obtenir une vision claire de l'avancement des lots dans l'atelier et de déclencher des actions immédiates pour traiter les aléas. Diapason fournit également des indicateurs de performance permettant à chacun de savoir où il en est par rapport à la cadence à respecter et à obtenir un retour en direct sur la productivité. Avec la numérisation des ateliers, les opérateurs bénéficient d'informations plus fiables. Ils sont alertés et guidés pas à pas par des modes opératoires numérisés ce qui leur fait gagner un temps précieux. Ils sont responsabilisés dans toutes leurs tâches, leur poste s'en retrouve donc valorisé. La numérisation des ateliers est au cœur de notre mission depuis plus de 20 ans. Nos équipes ont une expérience significative, couplée à leur expertise des métiers de la Menuiserie, du Store et de la Fermeture. Ces connaissances nous permettent d'accompagner nos clients dans la réussite du déploiement de leurs projets.Quels sont les retours d'expérience de la part de vos clients Industriels ?Leurs retours d'expérience montrent que la numérisation apporte de la fluidité dans l'atelier (optimisation des actions à réaliser, des déplacements, des recherches…) et augmente la satisfaction client. Les bénéfices de la numérisation des ateliers vus par CAIB :Gains de productivitéDiminution des déperditions de temps liées à la gestion du papierRigueur dans les process et flux de production (file d'attente)Informations et contrôles précis à chaque poste de productionFacilité d'utilisation des écransTraçabilité renforcée des menuiseries dans le process de productionGains financiers et environnementauxFin des impressionsDavantage de temps pour des tâches à valeurs ajoutéeGains en Management La supervision du pilotage en temps réelApproche « lean manufacturing » : maximiser la valeur client en minimisant le gaspillageTémoignage : Marc CAREY – DSI, EURADIF :« Avec Diapason, nous avons mis à disposition des opérateurs des écrans tactiles à chaque étape de fabrication »« Nous sommes un acteur majeur dans le domaine de la porte d'entrée. Notre effectif est de 160 personnes repartis sur 2 sites. Notre histoire avec ISIA a commencé en 2012. Il y a 105 utilisateurs Diapason aujourd'hui. Nous utilisons tous les modules : production, configuration, achats, stocks, CRM, ventes, QSE, coûts revient.Les équipes ISIA nous ont aidé à répondre à deux objectifs :Supprimer les ordres de fabrication papiers et mettre à disposition des écrans tactiles à chaque étape de gamme physique pour permettre une déclaration d'étape rapide et fluideTravailler par rapport aux dates de début et de fin d'étape, et proposer des listes de vitrage classées par date de prioritéNos ordres de fabrication vitrage sont désormais traités par priorité et les résultats d'ordonnancement se sont vite faits sentir. En parallèle, nous avons mis en place un outil de restitution Web pour accompagner le Service ordonnancement et le Responsable atelier afin de détecter très en amont les retards d'étape.Plusieurs éléments ont permis la réussite du projet :La structuration de l'analyse des besoins par rapport à un objectif défini au départLa mise en place d'une équipe dédiée au projetL'implication des opérateurs dès le début du projetLe travail en mode projet avec beaucoup de points de coordination »
Il y a 4 ans et 342 jours

Les cellules solaires semi-transparentes une aubaine pour le bâtiment

Des scientifiques australiens affirment que des cellules solaires semi-transparentes pouvant être incorporées dans des fenêtres en verre pourraient transformer l’architecture, l’urbanisme et la production d’électricité. Les chercheurs dirigés par le professeur Jacek Jasieniak du Centre d’excellence ARC en sciences de l’Exciton et de l‘Université Monash ont fait une percée avec la prochaine génération de cellules […]
Il y a 4 ans et 345 jours

Le Sénat vote la création d'un "dispositif spécifique" de chômage partiel

L'amendement voté lors de l'examen en première lecture d'un projet de loi portant des "dispositions urgentes face à l'épidémie de Covid-19", prévoit la possibilité d'un "régime d'activité partielle spécifique sous réserve de la conclusion d'un accord collectif ou de l'élaboration d'un plan d'activité réduite pour le maintien en emploi"."À défaut d'accord (...), un document élaboré par l'employeur après consultation du comité social et économique, lorsqu'il existe, fixe le contenu du plan d'activité réduite pour le maintien en emploi", précise l'amendement.Mardi, le gouvernement avait présenté un amendement qui entendait l'habiliter par ordonnance à créer un "dispositif alternatif" au chômage partiel avec contrepartie sur l'emploi. Mais il n'avait pas été adopté, les sénateurs jugeant sa rédaction "trop vague".En défendant le nouvel amendement, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a indiqué que le gouvernement avait "entendu" les craintes des sénateurs sur le renvoi à une ordonnance et avait donc décidé de présenter "un article en dur, précisant clairement le dispositif".Rappelant que 12 millions de salariés avaient bénéficié du chômage partiel, elle a souligné que "l'Etat ne peut pas durablement payer les salaires de millions de personnes du secteur privé".Des secteurs comme l'automobile ou l'aéronautique "vont être très impactés" et "il nous paraît nécessaire de mettre très rapidement de nouveaux dispositifs de préservation de l'emploi et des compétences qui vont permettre à ces entreprises d'ajuster la capacité de production à la baisse en fonction de la demande, de limiter les coûts économiques et sociaux tout en préservant l'emploi", a-t-elle poursuivi."Très concrètement, les entreprises pourront diminuer par accord avec les organisations syndicales le temps de travail, faire de la modération salariale, à condition de maintenir totalement l'emploi, avec une aide de l'Etat qui viendra en complément pour rattraper une partie de la perte du pouvoir d'achat", a-t-elle expliqué, jugeant le dispositif "gagnant pour tout le monde"."L'alternative, c'est de licencier une partie du personnel", a-t-elle insisté. Il vaut mieux "une réduction du temps de travail compensée en partie par un système d'activité partielle financé en partie par l'Etat".Elle a ajouté que via un décret le gouvernement souhaite "encourager" les entreprises à conclure des accords. Pour les entreprises qui auront "un accord majoritaire, le taux de prise en charge de l'Etat sera plus important", a-t-elle indiqué.Un autre amendement gouvernemental adopté vise à prolonger les droits à allocation de certains demandeurs d'emploi, notamment "jusqu'au 31 août 2021" pour les intermittents du spectacle.
Il y a 4 ans et 345 jours

Une subvention de la région IDF à un projet photovoltaique porté par Total fait débat

Le projet prévoit "d'installer sur une résidence étudiante de 487 places sur le campus de l'École Polytechnique une installation expérimentale de production photovoltaïque en autoconsommation collective. La centrale photovoltaïque de 200 KWc est associée à un système de stockage de l'énergie", précise l'exposé des motifs de la délibération, présentée en commission permanente du conseil régional, réunie en visioconférence mardi.La subvention était initialement accordée directement à Total, mais l'exécutif régional a finalement produit un amendement afin que la subvention soit accordée à l'École Polytechnique."C'est le fond du projet qui compte", a argumenté le vice-président du conseil régional, Jean-Philippe Dugoin Clément. "Ce projet est vertueux sur le plan écologique car il permet une expérimentation de stockage d'énergie et d'autoconsommation collective de l'énergie solaire. C'est un projet pour l'École Polytechnique, pas pour Total qui est concepteur de l'outil. Je demande qu'on ne fasse pas de faux procès à ce projet", a-t-il dit.Mais pour Céline Malaisé, du Front de gauche, cette subvention s'apparente à "une opération de greenwashing". "Tout semble ici fait pour préserver discrètement les intérêts de Total, d'autant que cette multinationale a signé ces derniers mois un partenariat avec la direction de Polytechnique pour l'installation d'un centre de recherche de ce géant pétrolier en plein cœur du campus de l'École", dénoncé par des associations d'élèves."Non seulement la région envisage de verser plus de 130.000 euros à Total, mais elle cherche à le dissimuler honteusement par un amendement de dernière minute", a dénoncé Ghislaine Senée, présidente du groupe Alternative Écologiste et Sociale, pour qui "l'action publique a vocation à faire œuvre de transformation écologique et sociale, pas à soutenir le greenwashing des sociétés les plus polluantes du CAC 40"."Comment les Franciliens pourraient-ils comprendre que Valérie Pécresse propose de verser 132.000 euros à Total et dans le même temps, 50.000 euros seulement à la banque alimentaire ?", a déploré François Kalfon, au nom du groupe socialiste, écologiste progressiste, soulignant que la Région Occitanie a "débloqué 1,2 million d'euros d'aide d'urgence pour la précarité alimentaire".La Région IDF a accordé dans cette délibération plus de 12.317.000 euros pour des projets environnementaux et énergétiques, allant de projets géothermiques à des projets photovoltaïques sur le toit d'écoles. Elle a adopté en juillet 2018 une stratégie énergie-climat visant à "doubler la production d'énergies renouvelables sur le territoire d'ici 2030".
Il y a 4 ans et 345 jours

Blocs isolants bas carbone Fabemi

Une réponse au label E+C- et à la RE 2020 Lancé en novembre 2016, le label Bâtiments à Énergie Positive et Réduction Carbone E+C- a pour objectif de produire des bâtiments à énergie positive et à faible empreinte carbone. Il s’agit d’anticiper, avec tous les acteurs de la construction (maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre, entreprises), la Réglementation Environnementale (RE) 2020 dans la construction neuve. Sachant que le grand changement, par rapport à la Réglementation Thermique (RT) 2012, porte sur la prise en compte des émissions carbone du bâtiment durant tout son cycle de vie. Pour la filière béton, comme pour les autres matériaux, l’enjeu est donc d’intégrer une nouvelle exigence réglementaire liée à l’empreinte carbone des bâtiments, tout en veillant à l’application des autres réglementations auxquelles un projet doit répondre. Les blocs isolants FABTHERM® du Groupe Fabemi, acteur majeur du marché des produits béton, sont 100 % naturels et recyclables. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments (de 4 à 8 % par rapport aux autres solutions constructives), permettant ainsi de réaliser des ouvrages E+C-, et anticipent les exigences de la prochaine RE 2020. L’objectif étant également de combiner  béton bas carbone et économie circulaire, les 450 mises en chantiers effectuées depuis le lancement des blocs isolants FABTHERM® (résidentiel, ERP et bâtiments industriels), soit environ 250 000 m2 de blocs, ont été réalisées dans le Grand Sud-Est, à proximité des usines de production du Groupe Fabemi.   Construire E+C- avec du béton bas carbone Les trois principaux axes de recherche Fabemi – réduire l’impact environnemental de ses blocs, apporter une réponse à une réglementation thermique de plus en plus exigeante et assurer une meilleure isolation des parois – ont débouché sur le développement des blocs béton FABTHERM®. Traditionnellement fabriqués sans cuisson et produits localement, ce qui permet de réduire leur impact environnemental, les blocs FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8 et FABTHERM® ÉCO sont 100 % naturels et recyclables. Ils revendiquent de hautes performances thermiques, tout en affichant un impact environnemental des plus faibles dans leur catégorie. En lançant ces produits, Fabemi démontre sa capacité d’innovation et son engagement dans une démarche d’éco-conception et d’écologie industrielle. De la fabrication à la fin de vie, l’empreinte carbone des blocs Fabemi est réduite grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabrication sans cuisson. Les blocs sont produits avec des agrégats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement, et utilisés sur des chantiers proches des unités de production. De plus, les blocs isolants FABTHERM® Fabemi, 100 % recyclables, n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent ainsi des déchets « inertes ». Enfin, les blocs isolants FABTHERM® disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES, qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental du bâtiment à construire.   Blocs isolants bas carbone FABTHERM® AIR Fabemi Deux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels, les blocs de 20 cm de large FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8, à base d’agrégats légers ou courants, intègrent une âme en mousse 100 % minérale AIRiumTM qui renforce leurs capacités isolantes. Ils affichent ainsi des résistances thermiques exceptionnelles pour cette largeur de bloc qui permettent de répondre à tous les besoins (logements collectifs, maisons individuelles et bâtiments tertiaires) et au cahier des charges des murs isolants hautement performants. Cette mousse minérale isolante permet de construire et d’isoler en même temps sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui procure un gain de temps sur le chantier et un gain de surface habitable. Les blocs FABTHERM® AIR Fabemi profitent de nombreuses qualités (performances acoustiques, essais feu et sismique), de fiches FDES vérifiées (base INIES) et d’un Avis technique (FABTHERM® AIR 1.1 et 1.8) pour répondre à toutes les exigeances techniques des opérations de construction.   • Sous Avis Technique (N° 16/19-773_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.1 Fabemi affiche une résistance thermique de R = 1,12 m2.K/W. Cinq fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.1 conjugue résistance mécanique, au feu, et performances acoustiques et environnementales. Il est idéal pour les logements collectifs jusqu’à R+4. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min avec un doublage collé traditionnel • Jusqu’à R+4 • Fabrication française   • Sous Avis technique (N° 16/19-772_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.8 Fabemi présente une résistance thermique de R = 1,77 m2.K/W. Huit fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.8 permet de réduire l’épaisseur des doublages intérieurs et de maîtriser l’impact environnemental de la façade. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+3. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 23,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 90 min avec un doublage collé traditionnel • Jusqu’à R+3 • Fabrication française   • Innovation brevetée Fabemi, le bloc isolant à maçonner FABTHERM® AIR 0.6 présente une résistance thermique de R = 0,58 m2.K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 0.6 est le seul bloc isolant 100 % minéral à poser maçonné. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+2. Les + • Mode de pose mortier / maçonner • FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min • Jusqu’à R+2 • Fabrication française   Bloc isolant bas carbone FABTHERM® ÉCO Fabemi Le bloc creux isolant à coller FABTHERM® ÉCO Fabemi présente une résistance thermique de R = 0,51 m2.K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel grâce à sa géométrie, le FABTHERM® ÉCO répond aux besoins architecturaux, thermiques et économiques du marché de la construction. Idéal pour les maisons individuelles groupées ou le petit collectif jusqu’à R+2, ses performances thermiques permettent de conserver un mode constructif traditionnel béton. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 11,7 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min • Jusqu’à R+2 • Fabrication française
Il y a 4 ans et 346 jours

Le CESE demande à l'UE de nouvelles mesures pour lutter contre la déforestation

"La déforestation menace inexorablement l'avenir de l'humanité", a sévèrement déclaré Martine Vignau, membre du bureau du CESE lors du débat en séance plénière sur l'avis portant sur le rôle de l'Union européenne dans la lutte contre la déforestation importée, voté mercredi par 121 voix contre 13 contre et 7 abstentions.Alors que l'UE est jugée responsable de 36% de la déforestation importée liée au commerce mondial (via l'importation d'huile de palme, de pâte à papier, maïs, soja, cacao, bois, caoutchouc et viandes), le CESE souhaite que l'UE améliore d'abord "la cohérence des politiques européennes qui contribuent à la lutte contre la déforestation importée".Le conseil relève le lien entre déforestation et développement d'épidémies humaines issues d'animaux sauvages via les rapprochements entre faune sauvage, animaux domestiques d'élevage et l'homme, et souligne le besoin d'une réforme des filières économiques liées à la déforestation.Dans ce cadre, deux filières sont particulièrement ciblées, celle du soja et celle des agrocarburants.Le conseil souhaite notamment que dans le cadre de la révision en cours de la Politique agricole commune (PAC), un Plan protéine européen soit mis en place pour réduire les importations de soja afin de "concrétiser la souveraineté agricole de l'UE", notamment "en soutenant fortement les cultures de légumineuses", en "versant aux agriculteurs et agricultrices des paiements pour services environnementaux" pour les surfaces en prairies ou légumineuses fourragères et en "conditionnant les aides aux investissements des filières animales à la non-utilisation de soja importé".Le conseil est aussi favorable à une "sortie progressive des agro-carburants conventionnels" et "leur suppression totale au plus tard en 2030 dans le cadre d'une révision de la directive européenne RED II en mettant fin au plus tard en 2022 aux mécanismes de défiscalisation existants sur ces carburants de première génération", et en réaffectant les subventions de la PAC destinées aux surfaces servant à les produire à la recherche sur les biocarburants avancés.Une recommandation qui n'a pas manqué de faire réagir les producteurs français d'oléoprotéagineux et de biodiesel, qui ont manifesté leur étonnement quant à cette prise de position du Cese, par la voix du président de leur fédération (Fop), Arnaud Rousseau."La filière tient à rappeler que les biocarburants sont un levier essentiel de la souveraineté alimentaire, grâce à la production de protéines, en ligne avec les engagements du président de la République en faveur d'un plan protéines", a déclaré M. Rousseau."La filière est engagée au quotidien dans la lutte contre la déforestation importée et la préservation de la planète, à travers l'évolution des pratiques culturales et la priorité donnée aux graines françaises", a-t-il conclu.
Il y a 4 ans et 346 jours

Nouveau cylindre Satyx Twin® de Dény Security : une double sécurité pour les organigrammes complexes

Contribuant à assurer la protection des sites à forte implication sécuritaire, l’organigramme est une représentation schématique des autorisations d’accès de différentes personnes à des lieux définis. Acteur reconnu dans ce domaine avec près de 50.000 organigrammes ouverts depuis sa création en 1740, Dény Security enrichit sa gamme de cylindres mécaniques avec Satyx Twin®. Doté d’une fonction 2 en 1 ou clé de chantier, il offre une nouvelle dimension de sécurité aux organigrammes les plus complexes. SATYX Twin®, haute sécurité et réversibilité Répondant aux besoins de sécurisation des applications les plus exigeantes, le système de fermeture mécanique Satyx Twin® de Dény Security dispose de nombreux éléments techniques qui lui confèrent non seulement une protection optimale contre les copies illégales mais aussi une haute résistance face à tous types d’effraction (crochetage, bumping, perçage, arrachage…). Spécialement conçue pour résister aux attaques les plus violentes et à l’ouverture fine, la clé plate réversible intègre deux éléments mobiles indépendants. Breveté jusqu’en 2036, ce procédé, associé aux importantes découpes des rainures de la clé, réduit considérablement les risques de reproduction illégale. Doté de 10 goupilles montées sur ressorts, le cylindre mécanique européen comporte jusqu’à 24 éléments de codage différents offrant ainsi une puissance combinatoire très élevée. De quoi sécuriser les bâtiments les plus sensibles ! Grâce aux matériaux choisis pour leur fabrication (respectivement en maillechort et laiton massif nickelé), clé et cylindre bénéficient d’une haute résistance à la corrosion, à l’usure et aux températures extrêmes. Classé EN1303 :2018-28, le système de fermeture Satyx Twin® de Dény Sécurity présente enfin l’avantage d’être compatible avec les systèmes de contrôle d’accès électronique 125 Khz et Mifare. SATYX Twin®, un système 2 en 1 Spécialiste des organigrammes, Dény Security prévoit dès leur conception la possibilité de perte ou vol de clé. C’est la raison pour laquelle, le système Satyx Twin® est équipé, de série, de la fonction 2 en 1 ou clé de chantier. En cas de clé égarée, cette fonctionnalité permet de restaurer la sécurité de l’organigramme. A l’aide d’un nouveau jeu de clés qui annule et remplace toutes celles en circulation, il est possible de réencoder les cylindres. Astucieuse, la fonction 2 en 1 est également économique car elle évite de changer tout le système de contrôle d’accès : seules les clés nécessaires au recodage sont facturées. Cette fonction 2 en 1 s’avère particulièrement intéressante sur les chantiers. Pendant toute la construction, seul le passe général fonctionne pour permettre temporairement l’ouverture des cylindres déjà installés. Une fois le bâtiment achevé, tous les cylindres sont ré-encodés grâce au passe général définitif afin que toutes les clés de l’organigramme deviennent actives. La clé de chantier perd alors instantanément sa fonction. Pour répondre aux enjeux de sécurité de toutes les applications, y compris les organisations exigeant un niveau de sécurité élevé à un coût maîtrisé, Dény Sécurity propose aussi le nouveau système de fermeture Flat  Twin®. D’une grande fiabilité, cette solution dispose de nombreuses caractéristiques communes au Satyx Twin®, sans la fonction 2 en 1. http://www.deny-security.com
Il y a 4 ans et 346 jours

SimonsVoss choisi par la Mairie de Gennevilliers pour contrôler l'accès des bâtiments de la commune

Gennevilliers, une ville ancrée dans l'économie sociale et solidaireSituée au nord-ouest de Paris, la ville de Gennevilliers se caractérise par une forte dynamique économique et industrielle. Son port fluvio-maritime, premier en France et deuxième en Europe, contribue au rayonnement du territoire. Avec un passé industriel omniprésent, aujourd'hui 70% de la ville repose sur des activités industrielles. Avec la densité de diverses entreprises de secteurs variés, qui offrent plus 45 000 emplois, Gennevilliers dispose de véritables atouts économiques.Sur le plan de l'économie sociale et solidaire, la ville encourage activement, à travers son panel d'actions, le développement d'emplois auprès de nombreuses entreprises d'insertion, associations, mutuelles et fondations.Rendre son territoire encore plus attractif auprès des acteurs économiques, citoyens et futurs habitants fait partie de ses priorités. Celle-ci passe par la mise en place des mesures de sécurité plus efficace pour les établissements recevant du public (ERP) : bâtiments administratifs et associatifs, scolaires et résidentiels.La sécurité des établissements scolaires avant toutPour protéger ses concitoyens, ainsi que son personnel et ses biens, la ville a décidé de renforcer la sécurité de ses bâtiments en y installant une solution de contrôle d'accès. La Mairie avait ainsi choisi d'équiper en premier lieu les établissements scolaires, en commençant par le site Anatole France composé de deux écoles élémentaires et d'une école maternelle avec un centre de loisirs, d'un gymnase et d'une crèche. Il y a environ 6 ans, les produits SimonsVoss ont pu être testés pour la première fois. Convaincue par la qualité et la fiabilité des fermetures, la Mairie, sous la direction de Monsieur Philippe Robert, a décidé d'intégrer les produits SimonsVoss dans le cahier des charges pour de futures installations.A ce jour, le site Anatole France est presque entièrement équipé de SmartRelais2 pour les accès extérieurs et de SmartHandle numériques, soit environ 40 portes et issues. Parallèlement, la même solution était posée dans le conservatoire et l'espace Grésillons, un important complexe communal à vocation éducative et culturelle. Après les établissements scolaires et culturels, la Mairie, où travaillent 1500 fonctionnaires, a décidé de s'équiper à son tour. Le service informatique, social et le service pour les missions locales sont les premiers bénéficiaires.Au total, la Mairie a équipé plus de 600 portes et une vingtaine de bâtiments, les parcs et jardins compris, soit au total près de 1500 identifiants attribués. Le lecteur mural SmartRelais installé dans les bâtiments fonctionne avec les SmartCards qui font partie des supports de fermeture passifs. Quant aux parcs et jardins qui requièrent des fermetures avec plus d'autonomie, l'ouverture de portail se fait grâce au transpondeur fonctionnant avec piles et qui dispose d'une autonomie d'environ 400 000 manœuvres.« Le système de contrôle d'accès numérique SimonsVoss offre sécurité, confort et rentabilité. La distribution et la gestion complexe des clés, avec notamment le coût de reproduction en cas de perte, font désormais partie du passé. La gestion centralisée par logiciel a des atouts importants pour une institution comme la mairie. En cas de perte ou de vol d'un badge, il suffit de désactiver le droit d'accès à distance, ceci en quelques clics », précise Philippe Robert, Responsable Services bâtiments, Mairie de Gennevilliers. « Nous avons également été séduits par la qualité des produits et par la simplicité de leur installation : sans câblage ni perçage », ajoute M. Robert.Partenaire de confiancePour mener à bien le projet avec la Mairie de Gennevilliers, SimonsVoss a pu compter sur l'expertise de son partenaire de longue date, M4S. Entreprise spécialisée dans le milieu de la serrurerie, M4S possède une expertise sur les produits SimonsVoss et est capable de gérer des projets de bout en bout : poser les systèmes et les antennes, programmer le logiciel, assurer les mises à jour... Son objectif est d'atteindre rapidement la certification « Network » du KeylessWorld Partner Program de SimonsVoss Technologies (lancée en janvier 2020) afin d'avoir une complète autonomie sur les solutions installées.« M4S est fier de partager cette aventure avec SimonsVoss en mettant en service ses systèmes de contrôle d'accès. Nous allons prochainement accompagner la Mairie dans l'installation de la gamme SmartHandle AX sur ses futures constructions : agrandissements de certaines écoles, une nouvelle crèche, construction du groupe scolaire Joliot Curie et d'une maison de culture », déclare Ilan Malet, Directeur général de M4S.
Il y a 4 ans et 346 jours

Equerre d'argent 2020: les candidatures sont ouvertes

Décernée depuis 1983, le prix de l'Equerre d’argent a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire français. Participez à la 38e édition en proposant votre réalisation avant le 11 septembre 2020 à minuit.   Qui succèdera à la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 347 jours

L'économie française repart mais la récession sera pire que prévu

Sur le seul deuxième trimestre, la chute du PIB pourrait atteindre "environ 20%", après -5,8% au premier, a estimé mercredi l'Insee dans son dernier point de conjoncture, ajoutant que sur l'ensemble de 2020, une récession de 8%, comme envisagé par le gouvernement, représente un scénario "peu réaliste".Il reposerait en effet sur un retour intégral à la normale dès juillet.Or "après près de deux mois au ralenti, comme en apnée, l'économie française s'efforce (...) de reprendre son souffle. Mais elle refait surface dans un monde qui n'est plus exactement le même qu'avant la crise sanitaire", explique l'Institut national de la statistique.La reprise sera "au mieux progressive au second semestre", estime l'Insee.Lundi, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, avait aussi affirmé que la période de déconfinement coûterait au moins trois points de PIB cette année."J'ai toujours indiqué que les 8% de chute de croissance étaient un chiffre provisoire (...) Il faut nous attendre à des chiffres de récession très dégradés pour 2020 en France", a commenté mercredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur Radio Classique.Il a jugé que les chiffres de l'Insee "confirment qu'il y a une reprise réelle mais progressive".Depuis le début du déconfinement, entamé le 11 mai, l'activité est en effet repartie "prudemment mais nettement" en France, selon l'Insee. L'économie française tournerait "à environ quatre cinquièmes de son niveau d'avant crise", contre deux tiers pendant le confinement.Avec la réouverture de la plupart des commerces et le retour au travail de nombreux Français, tous les secteurs ont vu leurs niveaux d'activité se redresser par rapport à la période du confinement.Dans les branches marchandes, les plus touchées par le confinement, la perte d'activité est de 25% contre 39% avant le déconfinement. Elle est de 38% dans la construction (contre 75% avant le 11 mai), et de 24% dans l'industrie (contre 38%).Les contraintes sanitaires et les perturbations persistantes des chaînes de production et d'approvisionnement freinent encore la reprise.Surtout, certains secteurs importants restent à l'arrêt ou presque, comme l'hôtellerie-restauration, l'événementiel ou la culture, même si cafés et restaurants vont pouvoir rouvrir dans les zones "vertes" dès le 2 juin selon des modalités attendues jeudi.Consommation repartieEn attendant, les ménages ont déjà profité de la réouverture des commerces, avec un rebond de la consommation durant la première semaine du déconfinement, avec un niveau seulement inférieur de 6% à son niveau d'avant-crise (contre -32% début mai).Mais, prévient l'Insee, "une partie de ce rebond est ponctuelle, correspondant à des achats qui avaient dû être reportés", ce qui ne "permet pas à ce stade de déduire ce que sera le +régime permanent+ de la consommation pendant les prochaines semaines".D'autant qu'avec les incertitudes sur l'avenir et les inquiétudes sur une hausse du chômage - Bruno Le Maire a déjà prévenu qu'il y aurait des faillites et des licenciements "dans les mois qui viennent" -, les ménages pourraient s'avérer prudents.En mai, le moral des ménages est ainsi resté en berne. L'indice de confiance publié par l'Insee a encore perdu 2 points par rapport à avril où il avait déjà chuté de 8 points.Or la reprise de la consommation, tout comme de l'investissement des entreprises, sera essentielle pour soutenir l'économie dans les prochains mois. Le Medef a d'ailleurs demandé des mesures "coup de fouet" avant l'été pour soutenir la demande.Après des plans de soutien dédiés aux secteurs les plus touchés, comme le tourisme, l'automobile et l'aéronautique, le gouvernement prépare un plan de relance global pour la rentrée.Alors que l'État va réduire à partir du 1er juin sa prise en charge du chômage partiel, l'organisation patronale demande un allègement très progressif de ce dispositif, et propose un système "temporaire" d'indemnisation des salariés pour les heures non travaillées.
Il y a 4 ans et 347 jours

Webinaire "Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool" les 4 & 10 juin 2020

Un meilleur traitement des déchets issus des activités du secteur du bâtiment est aujourd’hui primordial. Engagé dans cette lutte, ROCKWOOL, leader de la production d’isolants en laine de roche, souhaite partager ses solutions en invitant les acteurs du bâtiment à découvrir comment mener à bien un chantier d’isolation de manière productive, durable et écologique. Rendez-vous les 4 et 10 juin prochains pour un webinaire special “Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool” !Dans le souci de répondre constamment aux besoins de la rénovation et de la construction neuve, le secteur du bâtiment consomme une quantité de ressources considérable. Résultat : une production annuelle de plus de 40 millions de tonnes de déchets. Pour autant, ce secteur constitue bien l’un des piliers des enjeux du développement durable et de la lutte contre le réchauffement climatique. Dès lors, quelles solutions sont mises à la disposition de ses acteurs pour assurer une meilleure gestion des déchets sur les chantiers ? Déjà sensible à ces enjeux, notamment à travers son programme de recyclage des déchets de chantiers ROCKCYCLE et animé par une volonté de transfert des connaissances, ROCKWOOL invite l’ensemble des acteurs du bâtiment souhaitant faire rimer leurs chantiers avec durabilité et écologie à participer à deux webinaires autour du thème « Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool », animé par Colas Lévêque, Responsable Prescription Nationale chez ROCKWOOL. Au programme, 2 sessions de 45 minutes vous attendent :Jeudi 4 juin à 11hMercredi 10 juin à 11hLors de ce webinaire vous découvrirez : Comment les isolants ROCKWOOL en laine de roche assurent une plus grande pérennité de l’ouvrage Comment les solutions ROCKWOOL contribuent à lutter contre le changement climatique, développer l’économie circulaire et assurer le bien-être des occupants Les services de recyclage de déchets proposés par ROCKWOOLPour s’inscrire, rien de plus facile, cliquez ici
Il y a 4 ans et 347 jours

Bois vs pellets : quel est le meilleur combustible pour le chauffage au bois

Si je vous demandais de citer deux énergies renouvelables utilisant la biomasse, il y a fort à parier que vos choix se porteraient sur le bois-bûche et le pellet. Effectivement, tous deux constituent un excellent moyen de chauffage et de production d’eau chaude. Le bois-énergie est la principale alternative aux énergies fossiles polluantes. Mais du […]
Il y a 4 ans et 347 jours

Le nouveau pont de Gênes signé Piano, mis en service cet été

Décernée depuis 1983, le prix de l'Equerre d’argent a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire français. Participez à la 38e édition en proposant votre réalisation avant le 11 septembre 2020 à minuit.   Qui succèdera à la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 348 jours

Moso International enrichit sa gamme de lames de bardage Bamboo X-treme®

Un nouveau profil « fermé », respectant les normes européennes les plus strictes en matière de sécurité incendie De nouvelles dimensions pour libérer sa créativité MOSO® international, pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur, enrichit sa gamme de lames de bardage Bamboo X-treme® avec de nouvelles dimensions et un nouveau profil « fermé », respectant les normes européennes les plus strictes en matière de sécurité incendie. Un profil « fermé » pour une sécurité incendie renforcée Le bardage MOSO® Bamboo X-treme® est une lame extérieure de bambou massive de haute densité fabriquée à partir de lamelles en bambou compressées. Un procédé de traitement thermique à 200°C permet au Bamboo X-treme® d’avoir la plus haute classe de durabilité qui existe selon les normes européennes, l’augmentation de la stabilité et de la densité, et par conséquent de la dureté. Le nouveau profil fermé ne présente aucun espace entre les lames ; il ne permet donc pas la circulation de l’air entre les lames ce qui réduit considérablement la propagation des flammes et de la fumée. Il permet ainsi au bardage Bamboo X-treme® d’atteindre la classe feu B-s1-d0 (EN 13501-1) et un indice de propagation de la flamme Classe A (ASTM E84). Ce classement ne s’applique pas seulement au produit installé mais à l’ensemble du système, des lames au bardage. Le bardage Bamboo X-treme® ne nécessite aucune adjonction de produits ignifuges coûteux et nocifs à la fois pour l’environnement et les personnes qui le manipulent pendant le processus de production et d’installation. Il peut ainsi être installé en toute sécurité dans des lieux très fréquentés, tels que les immeubles d’habitation, les stations-service, les bâtiments commerciaux… Lame Bamboo X-treme® en 75mm Le bardage en MOSO® Bamboo X-treme® est disponible en deux usinages : forme à double feuillure inversée ou trapèze. La première se fixera grâce aux clips de fixation (18 mm), la seconde par vissage en parement. Ces deux formes sont désormais disponibles dans des dimensions 1850x75x18 et 1850x75x12. La combinaison de différentes largeurs et profils autorise des créations design et de façades en bambou originales. L’alternative écologique aux bois tropicaux Le bambou est la plante possédant la croissance la plus rapide sur terre. Matériau disponible en abondance, sa culture ne provoque pas de déforestation. Tous les produits en bambou MOSO® ont une empreinte carbone négative sur l’ensemble du cycle de vie. Le site Le rapport d’ACV (analyse du cycle de vie) réalisé par la TU Delft (ISO 14040/44) montre que le revêtement Bamboo X-treme®, évalué sur l’ensemble de son cycle de vie, est certifié CO2 neutre. Grâce à des résultats de tests supplémentaires et à la possibilité de l’utiliser comme matériau certifié FSC, le bambou massif contribuent à l’évaluation des certifications de bâtiments durables telles que LEED et BREEAM. Durables, sûrs et beaux, les produits en bambou MOSO® représentent une alternative durable au bois tropicaux de plus en plus rares. www.moso-bamboo.com/fr
Il y a 4 ans et 348 jours

BDR Thermea Group devient pionnier de la production d'hydrogène vert avec un centre R&D en Italie

Bassano del Grappa, lieu d'autoproduction d'hydrogène vert Bassano del Grappa, en Italie, est le site de la plus grande usine de production de BDR Thermea. Depuis 2018, le groupe produit sa propre électricité à Bassano del Grappa grâce à 6 000 m² de panneaux solaires sur le toit de son usine. Cette électricité alimente déjà la production d'environ 4 000 chaudières par jour, évitant ainsi le rejet de plus de 400 tonnes de CO² par an.Aujourd'hui, un équipement d'électrolyse a été installé à Bassano en Italie. Il transforme l'électricité de ses panneaux photovoltaïques en hydrogène. Cet hydrogène sera utilisé pour tester et piloter le développement de prototypes de mélange 100% hydrogène et hydrogène/gaz naturel dans le centre de R&D dédié à la technologie des chaudières à hydrogène pour tout le groupe.« Permettre la transition énergétique mondiale est la force motrice de BDR Thermea Group. L'autoproduction d'hydrogène vert de Bassano en est un autre exemple concret. Nous avons créé une chaîne énergétique durable complète : nous produisons de l'électricité solaire, nous l'utilisons pour transformer l'eau en hydrogène par électrolyse, puis nous utilisons cet hydrogène pour alimenter nos nouvelles innovations dans nos chaudières d'essai à hydrogène », déclare Peter Snel, directeur technique de BDR Thermea Group.BDR Thermea Group à la pointe de la technologie des chaudières à hydrogène L'intérêt pour l'hydrogène dans les appareils de chauffage domestique est en forte croissance dans l'UE, où 40% de la consommation d'énergie primaire est utilisée pour le confort thermique et l'eau chaude sanitaire. L'hydrogène peut être stocké pendant de plus longues périodes pour pallier les fluctuations saisonnières.Depuis juin 2019, BDR Thermea Group pilote la première application réelle de sa chaudière à hydrogène à haut rendement et à 100%, conçue et développée à Bassano del Grappa en Italie ainsi qu'à Rozenburg aux Pays-Bas. En novembre dernier, le groupe est devenu la première entreprise en Europe à recevoir la certification pour l'utilisation d'un mélange d'hydrogène dans les chaudières domestiques aux Pays-Bas. De plus, la société participe au programme britannique Hy4Heat et explore activement des projets pilotes sur l'hydrogène partout en Europe.« Chez BDR Thermea Group, nous aidons à décarboner le chauffage et à permettre la transition vers des énergies durables. C'est pourquoi nous investissons considérablement dans des solutions telles que les chaudières à hydrogène et les pompes à chaleur », explique Bertrand Schmitt, PDG de BDR Thermea Group.
Il y a 4 ans et 348 jours

De nouvelles serres en toiture déployées en Europe

Serre en toiture, Université Autonome de Barcelone, Espagne. Photos : CSTBCombien d'énergie, d'eau et d'émissions CO2 peuvent-elles être économisées grâce aux serres en toiture ? Les avantages de ces dispositifs sont analysés par onze partenaires européens de cinq pays, dont le CSTB pour la France, dans le cadre du projet GROOF (programme Interreg North-West Europe). À l'issue d'une phase d'étude de la situation actuelle, le consortium s'est engagé dans la réalisation de quatre serres en toiture et dans l'accompagnement de dix projets en Europe. Ceux-ci vont permettre d'identifier les bonnes pratiques en matière d'agriculture urbaine sur les toits, et de contribuer au développement des techniques en faveur de l'adaptation des villes au changement climatique. Atouts des installations Deux ans de travaux (2017-2019) ont permis de dresser un bilan des serres sur le toit, actuellement installées en milieu urbain à l'échelle Nord-Ouest européenne. Ce bilan s'appuie sur une étude du contexte et sur l'analyse de serres en toiture existantes, sur l'ensemble de leur cycle de vie. Le bilan a quantifié les avantages des serres installées en toitures, selon quatre axes : technique (construction et bâtiment), énergétique et environnemental, botanique (gamme de plantes) et économique. Il met en avant leurs atouts : l'utilisation de l'eau de pluie pour irriguer les cultures ; la réduction des émissions de CO2 dans la construction et l'exploitation du bâti, et dans la distribution de la production de la serre ; l'utilisation d'une part de la déperdition thermique de toiture pour chauffer la serre ; l'augmentation de la valeur patrimoniale du bâtiment. Bien évidemment très variable selon les situations, ce bilan met en évidence des impacts potentiels en matière d'économie d'énergie et de diminution des émissions de CO2, impacts qu'il s'agit de confronter à la réalité. Projets pilotes Le consortium d'experts scientifiques et techniques de GROOF s'attache désormais à démontrer l'intérêt d'installer des serres sur les toits, au travers de projets pilotes. Pour cela, il pilote de A à Z la construction et le pilotage de quatre serres en toiture, au Luxembourg (Bettembourg), en Belgique (Liège, province de Liège), en Allemagne (Bürstadt, Land de Hesse) et en France (Saint-Denis, Île-de-France). À ce jour, les permis de construire ont été validés. Quand les serres seront construites et en service, des mesures seront menées pendant un an. La mise en place des serres pilotes devrait permettre une économie de 300 tonnes de CO2/an d'ici à septembre 2021 (fin du projet GROOF) et de 2 millions de tonnes dix ans après. En outre, le consortium accompagne les porteurs de dix projets de serres sur le toit (conception et réalisation) dans cinq pays. La sélection des projets, dans le cadre d'un appel à candidature européen, a été mené en septembre 2019 avec le jury de GROOF dont le CSTB a fait partie. Cinq de ces projets, menés en France, sont désormais coachés par le CSTB : Toits vivants à Arcueil ; Jardins perchés à Tours ; Yncrea - Le Palais Rameaux à Lille ; Culinea Hortus à Paris ; Symbiose à Nantes. Retours d'expérience Les retours d'expérience, liés à la réalisation de serres pilotes, permettent d'identifier les solutions les plus pérennes et pertinentes et d'éviter les écueils sur les plans : technique : structure porteuse, appareillage pour optimiser énergie, systèmes de culture, etc. ; réglementaire : hauteur du bâtiment (PLU), éclairage nocturne, sécurité des personnes (accueil du public), risques sanitaires, etc. ; économique (modèle d'affaire). Au travers de ces expérimentations, les experts évaluent également l'intérêt mais aussi les problèmes potentiels de chaque solution selon l'usage de la serre : serre productive pour circuit court ; serre expérimentale pour développer une gamme végétale ou pour tester un dispositif d'économie des flux (eau, énergie) ; serre communautaire pour créer du lien ou pour former aux pratiques agricoles urbaines. Guide pratique Les partenaires européens du projet GROOF sont actuellement engagés dans la rédaction d'un guide de bonnes pratiques ; sa publication est prévue fin 2020. Destiné à l'ensemble des acteurs de la ville, de la construction et de l'agriculture, ce guide leur fournira une aide concrète pour réduire la consommation d'énergie et les émissions de CO2 issues du bâtiment, grâce aux serres sur les toits. Il les accompagnera pour cela dans le choix de solutions pérennes et adaptées. Concrètement, ce guide comportera par exemple des recommandations concernant les solutions techniques privilégiées, le choix des gammes végétales, les règles du marché à respecter, et les modèles d'affaires pertinents. En savoir plus : GROOF (2017-2021) : projet R&D européen pour la construction de serres sur les toits Site du projet GROOF (Greenhouses to Reduce CO2 on Roofs) Tous les projets de serres en toiture (rubrique Coaching)
Il y a 4 ans et 349 jours

La France va devoir faire face à son tour aux faillites et licenciements

La crise du Covid-19 a mis un coup d'arrêt brutal à l'économie partout dans le monde. Et les conséquences ne se sont pas fait attendre dans certains pays.Exemple emblématique: les États-Unis où le taux de chômage a explosé, atteignant 14,7% en avril, contre 3,5% en février, soit son plus bas niveau depuis 50 ans. Au total, 38,6 millions de personnes ont demandé une allocation chômage depuis l'arrêt de l'économie mi-mars.En Amérique latine, 11,5 millions de personnes supplémentaires vont être au chômage en 2020, en raison de la pandémie, selon un récent rapport de deux agences onusiennes.La France semblait jusqu'à présent relativement épargnée. Le nombre de chômeurs a certes progressé de 7,1% sur un mois en mars, mais cela s'explique essentiellement par le non-renouvellement de CDD, missions d'intérim ou de reports/annulations d'embauches.Principal rempart de protection contre les vagues de licenciements: la prise en charge par l’État du chômage partiel, un dispositif dont 8,6 millions de salariés auraient bénéficié, selon une estimation du ministère du Travail."L’État n'a pas hésité à dépenser", il s'agit d'une "mesure très centrale du soutien à l'économie qui a permis de sauvegarder des emplois", a observé auprès de l'AFP Anne Eydoux, maîtresse de conférences d'économie au Cnam et membre des Économistes atterrés.Le gouvernement souhaite toutefois réduire progressivement à partir de juin ce dispositif de soutien au chômage partiel, une mesure à laquelle s'oppose notamment le Medef. De son côté, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) demande d'attendre septembre avant une réduction "sensible" de la prise en charge, s’attendant à des licenciements.Le sort du pays va en effet se noircir: "Il y aura des faillites et il y aura des licenciements dans les mois qui viennent", a prévenu sur Europe 1 le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.Entreprises "non profitables"Les faillites vont se produire "petit à petit", mais il est "extrêmement compliqué" d'anticiper précisément à quoi s'attendre, a indiqué à l'AFP Eric Heyer, directeur du département analyse et prévision de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Selon lui, le nombre de disparitions d'entreprises dépendra notamment du retour ou non de la consommation et du soutien que le gouvernement proposera aux entreprises."La capacité de rebond de la demande est plus forte en France qu'ailleurs, puisque les ménages ont un revenu qui s'est mieux maintenu", grâce au chômage partiel, a relevé M. Heyer."La consommation va repartir dans certains secteurs qui pourront rattraper une partie du retard, mais pas dans d'autres où la facture va s'alourdir", a-t-il cependant expliqué.Le tourisme, l'hôtellerie et la restauration, encore à l'arrêt, sont particulièrement en danger, ainsi que certaines branches industrielles, telles que l'automobile et l'aéronautique, pour lesquelles le gouvernement doit présenter prochainement des plans de soutien spécifiques.Les petites entreprises sont menacées tout comme de grands fleurons français, à l'instar de Renault - qui "joue sa survie", selon les mots de Bruno Le Maire.Autre difficulté pour les sociétés: les mesures sanitaires entraînent des coûts supplémentaires et ralentissent la production. "Beaucoup d'entreprises - mais c'est très difficile à chiffrer aujourd'hui - vont devenir non profitables pour une durée que ni vous ni moi on sait estimer", a souligné lors d'une audition à l'Assemblée nationale le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, prévoyant également des faillites.Face à ces difficultés qui se profilent, les syndicats sont déjà en alerte.La CFDT, qui s'attend à ce que la crise soit sévère, appelle notamment à une "mobilisation générale sur l'emploi". De son côté, FO réclame "un contrôle strict des procédures de suppressions d'emplois, afin d'empêcher les licenciements quand une entreprise a bénéficié ou bénéficie d'aides publiques en particulier".
Il y a 4 ans et 349 jours

Reprise des chantiers : quels surcoûts liés aux mesures sanitaires pour les artisans du bâtiment ?

Les enquêtes-flash réalisées chaque semaine par le GIE CERC auprès de 1416 entreprises du bâtiment confirment ce redémarrage. Cependant, même si la part des chantiers en activité « normale » est également en hausse en mai, cette activité n'est pas effective sur la totalité des chantiers. Pour autant, il ne faudrait pas occulter un point important qui risque de compromettre la reprise et met en péril nombre d'entreprises. Il s'agit de l'absorption des surcoûts car de nombreuses entreprises travaillent à perte aujourd'hui compte tenu du refus de nombre de clients, notamment particuliers, d'en tenir compte. Après deux mois d'arrêt ou de confinement, comment prendre le risque de perdre sa clientèle ? Cette problématique est particulièrement préoccupante pour les entreprises artisanales. Dans l'attente de son étude exhaustive sur le sujet, la CAPEB dévoile l'estimation des trois principaux postes de surcoûts : la coactivité, la désinfection et les équipements de protection.« Depuis le déconfinement, nous constatons une hausse du redémarrage de l'activité du BTP estimée entre 50% et 60% par rapport à la situation d'avant crise sanitaire. Et nous nous en réjouissons. Mais les retours terrain dont la CAPEB dispose vont tous dans le même sens : les surcoûts de la sécurité sanitaire. Les situations sont très différentes dans le neuf ou en rénovation, ce qui explique la fourchette de notre estimation. Les 3 grands postes de surcoûts sont : la coactivité qui est le plus important et qui peut atteindre dans certains cas 50% du surcoût total, la désinfection et dans une moindre mesure les équipements individuels et/ou collectif de protection. La « coactivité », englobant le transport, est le surcoût de production le plus lourd à supporter. La distanciation sanitaire oblige les équipes, les salariés et les métiers à intervenir successivement sur un chantier, ce qui allonge, de surcroit en site occupé, les délais de réalisation. Perdre des heures, perdre du temps, protéger efficacement ses salariés et ses clients augmentent les charges. Alors bien sûr, pour le moment les entreprises font face, mais pour combien de temps ? A ce titre, la désinfection est un enjeu essentiel pour rassurer les clients et notamment les particuliers en entretien-rénovation en site occupé. Ce surcoût est incompressible pour redonner la confiance. A la nécessaire réorganisation sanitaire des chantiers pour mettre en œuvre les gestes barrières, s'additionnent les difficultés d'approvisionnement et une charge administrative en hause liée au Covid-19. A ce stade, il est encore difficile de connaître avec certitude le montant exact de tous ces surcoûts mais nous pouvons d'ores et déjà affirmer que le retour de l'activité sur certains chantiers se fait à perte. Nous restons donc très attentifs à l'évolution de ces surcoûts qui, selon notre première estimation, varierait entre les différents types de marchés : entre 10 et 20% en entretien / rénovation et 10% dans le neuf. Cette situation est évidemment extrêmement préoccupante et pourrait conduire à de nombreuses défaillances d'entreprise si rien n'est fait. A moyen terme, l'expérience me dit que de nouvelles méthodes de travail, d'organisation, de phasage des chantiers seront à inventer ». - Patrick Liébus, président de la CAPEBEstimation des surcoûtsLa coactivité/productivité (allongement des délais, coordination, phasage complexe à organiser, location de nouveau moyen de transport ….) va engendrer un surcoût entre 4 et 10% du coût journalier. Ce poste peut représenter jusqu'à 50% du surcout sanaitaire total.Les équipements (gants, masques, gel…) vont représenter entre 2 et 4% du coût journalierLa désinfection (décontamination, nettoyage du matériel, outillage supplémentaire…) entre 4 et 8% du coût journalier.Les surcoûts sont plus élevés en rénovation notamment en site occupé. On estime ainsi le surcoût moyen entre 10 et 20% en entretien-rénovation contre 10% dans le neuf.Reprise des chantiers : une montée en puissance de l'activité inégale en fonction des régionsLa publication des recommandations sanitaires élaborées par l'OPPBTP ainsi que le déconfinement ont permis aux entreprises du bâtiment de reprendre sensiblement leur activité. Les résultats de l'enquête-flash GIE-CERC montrent qu'au 14 mai, ce sont 72% des chantiers qui étaient ouverts contre 53% au 5 mai. Au 14 mai, 37% des chantiers affichaient un niveau d'activité normale alors qu'ils n'étaient que 22% avant le déconfinement. Une montée en puissance qui permet de maintenir l'activité de 76% des salariés du BTP et intérimaires ETP (en équivalant temps plein) contre 57% au 5 mai.Cette hausse de l'activité connaît cependant de fortes disparités entre les régions. Ainsi, la part des chantiers en activité normale dans le Sud-Est de la France (36%) et le Nord-Est (48%) est plus importante qu'en Ile-de-France (22%). A noter que certaines activités peinent à reprendre. C'est le cas de l'activité commerciale dont les carnets de commandes se sont drastiquement réduits pendant le confinement et qui mettront plusieurs semaines avant de se remplir à nouveau. Une situation également délicate dans le secteur des marchés publics qui n'ont pas encore tous réouvert. Les entreprises artisanales attendent pourtant un soutien fort de la part de la commande publique. En tout, ce sont donc encore 15% des chantiers qui sont fortement ralentis et 28% des chantiers qui sont toujours à l'arrêt. Une situation qui devrait s'améliorer dans les jours à venir. Ainsi, 33% des chantiers qui étaient à l'arrêt au 14 mai devraient reprendre d'ici le 18 mai. Les artisans renouent également avec la confiance : 67% des chefs d'entreprises déclarent avoir confiance en la reprise de leur activité contre 58% le 5 mai.Malgré la reprise de l'activité, le contexte sanitaire particulier dans lequel les entreprises artisanales du bâtiment travaillent comporte son lot de difficultés qui continuent de ralentir les chantiers.Des difficultés toujours présentes et recensées par la CAPEB, qui ralentissent fortement les chantiers Des difficultés d'approvisionnement : les artisans continuent d'être confrontés à un ralentissement d'approvisionnement des matériaux et matériels, notamment en provenance d'Espagne et d'ItalieDes contraintes administratives en hausse : les charges administratives et les contraintes d'organisation liées au COVID 19 représentent une charge supplémentaire pour les chefs d'entreprisesDes reports voire des annulations de travaux chez les particuliers : certains particuliers sont toujours réticents quant à la réalisation de travaux chez eux et préfèrent reporter voire annuler des travaux pourtant prévus en amontDes reports de paiements dus à l'arrêt des marchés publics : l'arrêt des marchés publics à cause du confinement a entraîné l'arrêt des paiements pour les chantiers réalisés en amont du confinementDes difficultés pour gérer les déchets : on constate ainsi un ralentissement de l'enlèvement des déchets du BTP pendant le confinement qui a entrainé l'accumulation des déchets au niveau des entreprises