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Il y a 5 ans et 173 jours

Une année 2019 à succès pour Peri France

2019 fut l’occasion de fêter les 50 ans de du groupe allemand Peri dans ses filiales. Et notamment Peri France. [©Peri] C’est en 1969 que le groupe allemand Peri a été fondé. L’année 2019 fut donc l’occasion de fêter les 50 ans de l’industriel dans ses filiales. Et notamment chez Peri France. L’année 2019 a été aussi celle de la Bauma à Munich, en Allemagne. L’occasion, cette fois-ci, de présenter sur près de 4 000 m2, ses réalisations et ses produits-phares : coffrages de dalles Skymax, échafaudage modulaire Peri Up, coffrages de voiles Maximo et Trio… Et en novembre dernier, Peri France exposait à Batimat, à Paris – Nord Villepinte. Et lançait en avant-première en France le coffrage Skymax. Ce dernier étant un système modulaire qui offre une souplesse économique et technique pour le coffrage de dalles. Tout en assurant une sécurité maximale. 2 000 projets ont vu le jour Ce qui ressort aussi de cette année 2019, c’est que la croissance de Peri France concerne aussi bien le résidentiel, le tertiaire que le génie civil. Grâce à ses agences (Lyon, Rennes, Strasbourg) ou dépôts (Marseille et Paris), le territoire français est couvert dans sa globalité au niveau commercial et projets. En 2019, ce sont plus de 2 000 projets qui ont vu le jour. On peut citer les tours Duo, en bordure du périphérique dans le XIIIeà Paris. Quant aux chantiers du Grand Paris, ils représentent pas moins d’une trentaine d’opérations utilisant différents systèmes. Comme à la gare des Ardoines sur le tracé de la ligne de métro 15 Sud, avec la réalisation de 600 ml de voiles architectoniques sur deux niveaux grâce à un portique roulant. Perspectives positives pour 2020 Autre point fort pour Peri France : ses nouvelles divisions “Accessoires” et “Echafaudages industriels”. La première lui permet de fournir aux entreprises systèmes de coffrages et d’étaiements, ainsi qu’accessoires au même moment sur le chantier. La seconde a permis à la filiale française de bien prendre ses marques sur le segment assez nouveau de l’échafaudage industriel, grâce au Peri Up Flex. Dont la nouvelle génération est 20 % plus légère que la version précédente. C’est ainsi que Peri France compte rester sur sa lancée pour 2020. « Nous souhaitons renforcer notre présence aux côtés de nos clients. Et améliorer notre niveau de service. L’industrie va aussi prendre une part importante de notre développement pour 2020», conclut Jean-Michel Gueguen, directeur général de Peri France.
Il y a 5 ans et 174 jours

L’INTERNAT DE CHELLES PAR LORILLARD, UNE CONCEPTION TECHNIQUE REMARQUABLE POUR UN GESTE ARCHITECTURAL D’EXCEPTION

  À CHARTRES, 12/2019 Construire un internat n’est jamais chose banale, ce type de bâtiment s’inscrivant dans la catégorie des ERP à savoir des établissements recevant du public et soumis, pour la sécurité de chacun, à des contraintes réglementaires très strictes, s’imposant au moment de la construction et au cours de l’exploitation. Dans le cas spécifique de l’internat de Chelles, la complexité du chantier dépasse le cadre de cette seule réglementation et s’exprime autant dans la conception architecturale que dans la conception-fabrication et conduite du chantier. Retour sur un chantier qui a commencé en mai 2018 ! Un projet d’internat unique et magnifié par le geste architectural Démarrés en mai 2018, les travaux de construction de l’internat seront finalisés en mars 2020. Le chantier pourrait sembler long, à qui pense l’internat sous sa forme classique : un bâtiment accueillant à dimension fonctionnelle et courante. Mais c’est sans compter l’intervention de l’architecte Pascale GUEDOT (équerre d’argent 2010) qui, en la matière, a fait le choix d’un parti pris rare et singulier. Sa conception porte l’empreinte d’un design aux influences nord européennes, tenant plus du bâtiment de luxe que de l’internat fonctionnel, soit, un geste architectural d’ampleur. Construit en 1965, le lycée Gaston-Bachelard occupe un terrain de 90 000 m² accueillant également le lycée Louis-Lumière.   Vue d’ensemble des 3 bâtiments de l’internat formant un U   Il se compose de 3 espaces articulés autour du noyau des accès, et de 2 patios rectangulaires formant ainsi un U. Relié par des passerelles créant jonction entre les 2 bâtiments, l’internat a donc été conçu comme un ensemble de 3 bâtiments connectés. L’objectif initial était d’accroître le nombre de places pour accueillir au total 150 lits. A cela, s’ajoutait la contrainte supplémentaire, propre aux établissements de sommeil, intégrant la cohabitation d’enfants mineurs et d’enfants majeurs devant être séparés. L’internat a donc été pensé comme scindé en deux parties : 3 bâtiments dont un à deux niveaux (RDC + 1er étage) et 2 bâtiments (RDC + 2 étages). Répartis dans des chambres à 1 ou 3 lits (une chambre individuelle pour les majeurs et une chambre jusqu’à 3 lits pour les mineurs), chaque interne disposera d’un espace de couchage et d’un espace de travail. Six chambres sont prévues pour les surveillants ainsi qu’un logement de fonction. Les chambres seront équipées de châssis bois et de stores extérieurs afin d’assurer une continuité avec les façades du bâtiment d’enseignement.   Store extérieur occultant et châssis bois. Parties pleines des ouvrants en mélèze et parties vitrées intégrées au béton.   Lorsque façade en béton et fenêtres masquent la complexité Atteindre l’épure n’est pas simple. Quand on regarde le bâtiment finalisé, on ne perçoit pas la complexité technique, car tout a été soigneusement dissimulé. Les difficultés répondant aux normes ERP – traitement de réactions au feu – s’effacent derrière l’aspect homogène et harmonieux du bâtiment : face à cette façade épurée, l’interrogation du complexe n’émerge pas, face aux parties vitrées et panneaux, on se demande où sont les ouvrants ? Ainsi, en posant les yeux sur la façade de l’internat de Chelles, l’impression première est celle de lignes pures et d’une seule surface mêlant 3 matériaux, le béton, le bois et le verre, qui semblent se fondre. La façade en béton et les fenêtres constituent donc l’élément architectural principal du bâtiment. La partie pleine en mélèze et la partie vitrée, intégrées au béton, indiquent le code architectural qui joue sur une inversion.     Ici, pas de garde-corps, puisque c’est le vitrage qui se fait garde-corps plein et entier, un vitrage fixe tout en hauteur et qui touche le sol, pour donner une impression de vide. L’habillage des façades se compose de panneaux préfabriqués en béton architectonique de teinte gris clair et de bardage en bois de mélèze. Cette construction a nécessité une surface de menuiserie très conséquente à haute isolation thermique. De l’extérieur, la façade porte une couleur béton brut et un veinage de coffrages de dimensions différentes, le tout rythmé par des bandeaux horizontaux filant tout autour, à chaque niveau. Entre béton et coffrages se déploient de petits poteaux béton (370 en vertical).   La partie ouvrante n’est pas la partie vitrée : les ouvrants sont pleins.   De l’intérieur, un ébrasement en bois vient encadrer la menuiserie et tout recouvrir. Le tout, menuisé, présente donc le même aspect esthétique harmonieux : ventilations, stores, milliers de coffres étanches à dimension variée, tout est caché, au service d’une esthétique épurée.   Coffre, ventilation, store, etc. tout sera caché dans le doublage.   Cette épure esthétique relève pourtant d’un caractère complexe d’ouvrages composés, longuement conceptualisés en bureau d’études : un temps d’étude incompressible pour une finition parfaite et assurer une sécurité optimum des internes. Ainsi, de l’intérieur, ne perçoit-on que la partie vitrée ou la partie qui s’ouvre, mais rien d’autre : tout le reste est dissimulé par du placo et aucun store n’est visible. Pour réaliser cette prouesse technique, il a fallu penser les menuiseries pour que les parties pleines ouvrantes et fixes se confondent. Dans ce cas précis, la partie ouvrante n’est pas la partie vitrée : les parties ouvrantes sont pleines et les parties vitrées sont fixes. Panneau et découpe sont réalisés dans la même plaque, seul est perceptible le trait de la scie. La partie ouvrante (découpée dans le panneau) et le veinage s’alignent parfaitement pour que le tout paraisse plein et fixe. Tous les bois sont en mélèze naturel et l’ébrasement, de même teinte, vient récupérer le doublage.     Au-dessus de cet ébrasement, le coffre (portant propriétés aérauliques) et la ventilation, sont cachés dans le doublage. De même, le store descendant devant la partie fixe côté intérieur, est rendu invisible. Une technicité dépassant le sur-mesure Toute la difficulté posée au bureau d’étude de Lorillard était donc de cacher la complexité technique et de rendre invisible le savoir-faire : pas d’habillage ni champ plat, ajout de joints creux, placo rencontrant la menuiserie avec une infinie précision, construction spécifique de porte bois, couronnes ERP particulières, châssis coulissants sur mesure atteignant des dimensions de 10 mètres de long pour correspondre aux plans hors standard, conception de profils spécifiques et d’assemblage, création d’ouvrants pompiers plus larges avec des systèmes de poignée ouvrant dans les deux sens, et systèmes de libération instantanée des serrures en cas d’alarme incendie etc.…   Usinage des menuiseries   Chaque pièce, de dimension différente, a été minutieusement pensée et dessinée en bureau d’étude, travaillée au millimètre près : un défi pour le bureau d’études et l’atelier de produire des menuiseries hors standard signées Lorillard ! Tout ce travail préparatif colossal représente des mois d’étude et de phasage avec l’architecte, pour arriver à ce que tout s’assemble à la perfection, en respectant les plans originaux.   Production de menuiseries hors-standard.     Pour les équipes de Lorillard, il ne s’agissait pas seulement de réaliser de simples fenêtres mais plutôt de répondre aux exigences singulières de Pascale Guédot. Chaque fenêtre standard a donc été totalement rhabillée en usine, pour que tout soit à fleur et paraisse aligné comme le voulait l’architecte : un préfabriqué d’usine à simplement déposer sur le chantier et s’emboîtant au millimètre sur place. Ces réalisations multiples dépassent l’idée que l’on peut se faire du sur-mesure. Cloison en béton pour ouvrage de 160/180, cloisons différenciées pour que l’ébrasement s’ajuste au bâtiment, pré-construction des poteaux, calcul thermique de panneaux, laine de roche, tasseaux servant aux alignements, bavettes aluminium, créments particuliers, systèmes à levage, tout a été assemblé ou découpé en usine.   De même, tous les produits annexes propres à la fenêtre (quincaillerie, systèmes de verrouillage, bardage…) ont été répertoriés et assemblés en atelier afin que celle-ci puisse être livrée préassemblée. Conçus en usine, les panneaux de bois préfabriqués ont également permis un gain de temps considérable au moment de la pose. Car ces créations ont aussi nécessité une mise en œuvre particulière, complexe et délicate, ajustement et finition ne pouvant se faire que sur place.   Croquis du B.E. Lorillard pour la conception des échaffaudages et chariots.   De la prouesse technique en atelier à la prouesse technique de la pose Tous les éléments réalisés pour ce chantier s’avérant hors standard, le bureau d’étude a dû développer un système industriel spécifique pour l’approvisionnement et le montage dans la conduite des travaux soit : un concept industriel unique et propre à ce chantier, s’adaptant aux dimensions des ouvrages prémontés en atelier et ce, pour éviter la création d’un atelier sur place.   Pose des menuiseries à l’aide du chariot à vérins   Pour acheminer ces ensembles inhabituels par leur dimension et leur poids (exp : fenêtre de 2m30 par 2m30 pour 250 à 300 kilos), et permettre leur installation dans les meilleures conditions tout en assurant un nombre maximum de poses en une seule et même journée, le bureau d’étude a conçu et fabriqué des échafaudages et un chariot, spécifiquement adaptés au chantier. Les ensembles-fenêtres, non manœuvrables à la main, furent préalablement parés d’anneaux en acier, afin d’être livrés à l’aide d’une grue. Par ailleurs, ne pouvant pas passer par les entrées en béton, les fenêtres étaient transportées sur le chariot qui permettait de les incliner à 45 degrés, afin d’être passées en diagonale par les ouvertures. Puis elles étaient acheminées à l’intérieur du bâtiment, et descendues le long d’une rampe en bois, au bon niveau, en face de leur baie.     Les fenêtres étaient alors redressées, par le biais d’un vérin préalablement fixé sur le chariot, permettant une pose avec des réglages en hauteur différenciés. La fenêtre n’avait plus alors qu’à être vissée ! Avec ce chantier, Lorillard est allé au-delà du sur-mesure, en livrant une réponse industrielle technique parfaite à un geste architectural créatif et exigent. C’est le propre du génie des choses simples en apparence, qui sont vues comme simples car leur complexité est masquée. Les élèves de l’internat du lycée Gaston Bachelard pourront dormir sur leurs deux oreilles !   Patiot Internat Chelles   L’internat en quelques chiffres … Fiche technique En l’état actuel (soit à 80% de la réalisation du chantier – à fin octobre 2019). 137 plans ou carnets de plan mobilisant le bureau d’études pendant 3100 heures . 1700 heures de travail pour le conducteur des travaux. 450 heures pour le chef de chantier. 3 736 heures pour la société de pose.   Projet fini Internat Chelles – Architecte Pascale Guédot   Au final : 287 ensembles menuisés. 17 blocs portes extérieures. Un ensemble de hall mur rideau en bois mélèze. 172m² de plafond bois. 125 m² de bardage vertical en tasseaux de bois mélèze. Ensemble blocs intérieurs et toisons vitrées coupe-feu et pare flamme. 144 stores occultant électriques radio pour les chambres. 51 stores solaires pour les parties communes (salles communes, foyers, salles de travail etc.). 100m² d’habillage mural de hall en mélèze. 1300 mètres linéaires d’ébrasements intérieurs en périphérie des fenêtres. Financement : région Ile de France. Architecte : Pascale Guédot (équerre d’argent 2010) Montant des travaux : 1 million 609 euros HT A propos du Groupe Lorillard : Fondé en 1936 à Chartres et présidé par Thierry Luce, le Groupe LORILLARD figure parmi les leaders français de la menuiserie industrielle sur-mesure. Première entreprise indépendante du secteur, LORILLARD couvre l’ensemble du marché de la fenêtre et maîtrise la fabrication de ses produits grâce à un pôle industriel intégré. Elle est actuellement l’une des seules entreprises à décliner son offre dans quatre matériaux : bois, PVC, aluminium et mixte. Chiffres-clés : 940 collaborateurs – chiffre d’affaires 2018 : 160 millions d’euros – production annuelle : 1 100 menuiseries par jour – 200 logements équipés ou rénovés par jour. www.lorillard.fr
Il y a 5 ans et 177 jours

Béton, bois et verre pour l’internat de Chelles

La complexité du chantier de l’internat de Chelles (77) dépasse le cadre des contraintes réglementaires très strictes, elle s’exprime autant dans la conception architecturale que dans la conception-fabrication et conduite du chantier. L’architecte Pascale GUEDOT (équerre d’argent 2010) a fait le choix d’un parti pris rare et singulier, sa conception porte l’empreinte d’un design aux influences nord européennes, tenant plus du bâtiment de luxe que de l’internat fonctionnel, soit, un geste architectural d’ampleur. En posant les yeux sur la façade de l’internat de Chelles, l’impression première est celle de lignes pures et d’une seule surface mêlant 3 matériaux, le béton, le bois et le verre, qui semblent se fondre. La façade en béton et les fenêtres constituent donc l’élément architectural principal du bâtiment. La partie pleine en mélèze et la partie vitrée, intégrées au béton, indiquent le code architectural qui joue sur une inversion. Ici, pas de garde-corps, puisque c’est le vitrage qui se fait garde-corps plein et entier, un vitrage fixe tout en hauteur et qui touche le sol, pour donner une impression de vide. L’habillage des façades se compose de panneaux préfabriqués en béton architectonique de teinte gris clair et de bardage en bois de mélèze. Cette construction a nécessité une surface de menuiserie très conséquente à haute isolation thermique. De l’extérieur, la façade porte une couleur béton brut et un veinage de coffrages de dimensions différentes, le tout rythmé par des bandeaux horizontaux filant tout autour, à chaque niveau. Entre béton et coffrages se déploient de petits poteaux béton (370 en vertical). De l’intérieur, un ébrasement en bois vient encadrer la menuiserie et tout recouvrir. Le tout, menuisé, présente donc le même aspect esthétique harmonieux : ventilations, stores, milliers de coffres étanches à dimension variée, tout est caché, au service d’une esthétique épurée. Cette épure esthétique relève pourtant d’un caractère complexe d’ouvrages composés, longuement conceptualisés en bureau d’études : un temps d’étude incompressible pour une finition parfaite et assurer une sécurité optimum des internes. Ainsi, de l’intérieur, ne perçoit-on que la partie vitrée ou la partie qui s’ouvre, mais rien d’autre : tout le reste est dissimulé par du placo et aucun store n’est visible. Pour réaliser cette prouesse technique, il a fallu penser les menuiseries pour que les parties pleines ouvrantes et fixes se confondent. Dans ce cas précis, la partie ouvrante n’est pas la partie vitrée : les parties ouvrantes sont pleines et les parties vitrées sont fixes. Panneau et découpe sont réalisés dans la même plaque, seul est perceptible le trait de la scie. La partie ouvrante (découpée dans le panneau) et le veinage s’alignent parfaitement pour que le tout paraisse plein et fixe. Tous les bois sont en mélèze naturel et l’ébrasement, de même teinte, vient récupérer le doublage. Au-dessus de cet ébrasement, le coffre (portant propriétés aérauliques) et la ventilation, sont cachés dans le doublage. De même, le store descendant devant la partie fixe côté intérieur, est rendu invisible. Toute la difficulté posée au bureau d’étude de Lorillard était de cacher la complexité technique et de rendre invisible le savoir-faire : pas d’habillage ni champ plat, ajout de joints creux, placo rencontrant la menuiserie avec une infinie précision, construction spécifique de porte bois, couronnes ERP particulières, châssis coulissants sur mesure atteignant des dimensions de 10 mètres de long pour correspondre aux plans hors standard, conception de profils spécifiques et d’assemblage, création d’ouvrants pompiers plus larges avec des systèmes de poignée ouvrant dans les deux sens, et systèmes de libération instantanée des serrures en cas d’alarme incendie etc. … Chaque pièce, de dimension différente, a été minutieusement pensée et dessinée en bureau d’étude, travaillée au millimètre près. Tous les éléments réalisés pour ce chantier s’avérant hors standard, le bureau d’étude a dû développer un système industriel spécifique pour l’approvisionnement et le montage dans la conduite des travaux.
Il y a 5 ans et 185 jours

Batimat, côté matériels #2

Le Hall 5B de Batimat a accueilli les constructeurs de matériels pour le BTP. [©ACPresse] Si, côté matériau béton, l’édition 2019 de Batimat n’a pas été un grand cru – lire l’article Batimat, côté matériaux #1 -, au niveau du matériel, les choses ont été plus positives. A quelques exceptions près, les acteurs du domaine avaient donné rendez-vous aux visiteurs dans le hall 5B. Mais pour atteindre le lieu, un des parcours menait à travers le grand hall 5A. L’occasion de croiser en chemin quelques exposants concernés par le sujet. Tels Creative Business Solutions, dirigée par Albert Fitoussi. D’autant plus que son logiciel phare Methocad fête cette année son 30e anniversaire. Champagne et petites douceurs gustatives étaient au programme. Mais aussi auditives pour accompagner cet instant de célébration. Créé en septembre 1989, ce logiciel permet de préparer ses chantiers : optimisation, planification des circulations, des mouvements des grues ou encore des rotations de coffrages. Un peu plus loin, en remontant l’allée, une halte était nécessaire pour échanger avec  BZB Projekt, un bureau l’ingénierie et d’architecture polonais, qui s’intéresse beaucoup au marché français… Arrivé dans le hall 5B, le visiteur n’avait plus que l’embarras du choix pour poursuivre sa pérégrination. L’univers du coffrage constituait une belle option, d’autant que l’essentiel des acteurs était là. Le premier de la liste, en respectant l’ordre alphabétique était Alphi. L’industriel savoyard a débuté sa semaine par la signature d’un partenariat avec le coffreur JeanFour. Objectif, distributer une offre de coffrages verticaux baptisée, en toute logique, VerticAL. Prolixe, Alphi a aussi conclu un accord de partenariat avec le spécialiste de l’étaiement lourd Fyx.  Des évolutions chez les coffreurs A présent, les bras de manutention de la banche-outil SC 1015 Box de Sateco sont moulés. [©ACPresse] Sur le même stand – celui du Pôle France Coffrage -, Mills dévoilait quelques innovations de produits. Tels un système de maintien des coffrages perdus en carton, un module de coffrage horizontal ou encore des évolutions autour de l’Escalib. Quant à Sateco, il mettait l’accent sur son principe “plug & play”. L’industriel faisait aussi le lien avec Resair, en exposant un de leurs produits. Cette jeune société assure le développement de réservations et des abouts de coffrage gonflables. Un concept original et très malin… Autre industriel français du secteur, Coffrages Cosmos a créé un adaptateur de superposition pour utiliser ses panneaux Aluminium Renforcé comme rehausses sur sa banche Cob 2000 EV2. Quelques allées plus loin, Hussor a levé le voile sur sa nouvelle identité visuelle et quelques nouveautés, côté accessoires de coffrages. Cette année, l’industriel partageait son stand avec Hussor Erecta. Ce dernier y présentait un singulier Plancher Escamotable pour sapine de levage. Servitech intègre Imer France SkyMax constitue une nouvelle approche du coffrage de dalles pour Peri [©ACPresse] SGB-Hünnebeck a mis l’accent sur ces solutions pour limiter la pénibilité au travail, en particulier grâce à l’utilisation de la peau coffrante Rezaplak Neo. Ce panneau en polypropylène, en 15 mm d’épaisseur, affiche un poids trois fois inférieur à celui d’eau peau en bois classique. Quant à Peri, il a exposé pour la première fois en France son tout nouveau coffrage de dalles SkyMax, lancé à Bauma, en avril dernier. Layher France, lui, a profité de Batimat pour faire un point sur son évolution, en tant qu’industriel. Avec 82 M€ de chiffre d’affaires, l’irréductible filiale française cultive sa croissance… En plus de présenter quelques nouveautés produits.  Quittant l’univers des coffrages, le visiteur pouvait basculer dans les autres gammes de matériels pour le béton. A commencer par Imer France. Celui-ci ne dévoilait pas tant des nouveautés produits que des services, à travers Servitech. Reprise par Imer France et Reynald Paris, l’entité a vocation à donner un second souffle à ce spécialiste du SAV en électro-portatifs et moteurs thermiques depuis 30 ans. Dans sa hotte, Servitech a apporté la distribution de la marque DeWalt auprès des loueurs.  Toujours plus de confort d’usage Le système Mover de Priomix se monte au niveau des roues de la remorque pour permettre de la manœuvrer sur chantier sans effort. [©ACPresse] Priomix présentait ses machines à vis pour la projection d’enduits et le pompage des chapes fluides. Mais c’est l’option “Mover”, qui retenait l’attention. Ce système permet de manœuvrer sur chantier les pompes sur remorque à l’aide d’une simple radiocommande. Une belle manière de lutter contre les troubles musculo-squelettiques (TMS). Une attente à laquelle a cherché à répondre Loxam aussi. Ainsi, le loueur a présenté un gant bionique Ironhand. L’idée est d’amplifier la force naturelle de la main, tout en réduisant les efforts de l’opérateur. L’avantage principal du gant bionique Ironhand est d’aboutir à une disparition du risque de troubles musculo-squelettiques (TMS). [©ACPresse] Wacker Neuson s’inscrivait, lui, dans une démarche plus sécuritaire et de confort d’utilisation. Ceci, avec l’ACBe, la première aiguille vibrante alimentée par une batterie intégrée dans un sac à dos. Enfin, Trimble a présenté et surtout fait tester son nouveau casque de réalité augmentée. Baptisé XR10, cet équipement est destiné à accompagner son logiciel HoloLens 2. Ceci, pour suivre les chantiers. Après cette visite orientée “matériels”, vous pouvez faire un retour en arrière pour (re)découvrir Batimat 2019, côté matériaux #1. 
Il y a 5 ans et 186 jours

Accord de collaboration entre Alphi et Fyx

« C’est une belle collaboration, amenée à se développer dans les années avenir », explique Pascal Perrotin, directeur technique et R&D d’Alphi. [©Fyx] A l’occasion de Batimat, Alphi et Fyx ont signé un accord de collaboration. Filiale française du groupe belge Stabil, la société Fyx est spécialisée dans les gros étaiements orientés génie civil, les tenues de façades et les reprises de charges importantes. Son cœur d’activité est la réhabilitation des bâtiments ou de génie civil. « Ce sont un secteur d’activité et une branche, qui nous manquaient pour des besoins ponctuels. On monte en gamme et nous pouvons ainsi aborder de nouveaux projets en toute sérénité Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? 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Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 5 ans et 186 jours

Peri : Le futur du coffrage de dalle

SkyMax constitue une nouvelle approche du coffrage de dalles pour Peri. [©ACPresse] Dévoilé à Bauma, le SkyMax débarque pour la première fois sur un salon en France. Dernier-né de la marque Peri, ce coffrage pour dalles s’articule autour de panneaux coffrants de 2 m x 1 m, déclinés en deux versions : une classique cadre aluminium et CP bakélisé, ou un inédit cadre et peau composite. Mais l’originalité du système vient de la tête de décintrement, qui donne une méthode à la phase de décoffrage : on réalise l’opération par petites zones. Ainsi, ce dispositif assure le remplacement logique et sécurisé des étais de coffrage par des étais de séchage. Le système SkyMax est aussi taillé pour le futur de par l’utilisation de la technologie RFID. En effet, sur les panneaux en aluminium, ces dernières permettront à l’avenir de prendre en charge les processus logistiques, via une application correspondante. 
Il y a 5 ans et 187 jours

Coffrages Cosmos enrichit sa Cob 2000 EV2

Nouvel équipement de superposition Cosmos pour la Cob 2000 EV2. [©ACPresse] Coffrages Cosmos a assuré une jolie présence à Batimat, permettant à ses clients de venir échanger avec l’équipe et autour des produits. La banche Cob 2000 EV2 reste l’équipement phare de la marque et bénéficie donc de toutes les attentions. Ainsi, pour rendre service aux entreprises utilisatrices, Cosmos a créé un adaptateur spécifique pour utiliser ses panneaux Aluminium Renforcé Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 192 jours

Solutions chantier : le coffrage Ergorform

Le coffrage ERGORFOM de HUSSOR permet d'envisager la suppression d'outils classiques de mise en œuvre manuels par un pilotage automatisé de trains de coffrages complets. Présenté à Batimat 2019.
Il y a 5 ans et 198 jours

Pro-T-Co invente le décoffrage sans huile

Le support coffrant sans huile de démoulage Pro-T-Co se décline en trois aspects de finition : brillant, mat ou micro-texturé. [©ACPresse] C’est sans doute l’une des plus belles innovations de l’édition 2019 de Batimat, côté béton bien entendu. En toute logique, elle était à découvrir au niveau de l’espace Construction Tech du salon. Autant dire, celui regroupant l’innovation et les start-up. Sur un stand à peine plus grand qu’un mouchoir de poche, Pro-T-Co a présenté un système de peaux coffrantes souples, ne nécessitant aucun agent de démoulage. « Nous avons travaillé à partir d’un polypropylène, qui est un matériau hydrophobe, que nous avons adapté pour une utilisation comme peau de coffrage », résume Jérémy Guichard, président de Pro-T-Co.  Le produit se décline en trois aspects de finition : brillant, mat ou micro-texturé. Il se présente sous la forme de feuilles ou de rouleaux, à fixer sur un support coffrant. Il peut s’agir d’une banche-outil métallique, d’un panneau à peau bois, un coffrage sur mesure de chantier ou encore d’un moule de préfabrication.  Matrices magnétiques ou à coller Dans sa version de base, le Pro-T-Co Foil doit être fixé à l’aide d’une colle à pulvériser de type Pistoprène 5006. Cette colle réagit avec l’agent pré-appliqué sur la face arrière de la peau coffrante. Et pour une application sur support métallique, la start-up a développé le Pro-T-Co Magnetic. L’avantage de la ligne des peaux coffrantes Pro-T-Co est de fonctionner avec l’ensemble des moules et coffrages du marché. Une fois en place, un Pro-T-Co Foil ou Magnetic autorise jusqu’à 30 réemplois consécutifs sans aucun besoin d’agent de démoulage.  Pour la start-up, Batimat a aussi été l’occasion de dévoiler le Pro-T-Co Graphic. Ici, le support coffrant en polypropylène bénéficie d’une impression 3D du motif à créer dans le béton. Cela peut être un dessin de murs en brique, la maille d’un treillis métallique fin ou encore un logotype.  Des produits de nettoyage complémentaires Cette matrice est personnalisable à l’infini. « Nous pouvons jouer sur les textures, en traitant des zones avec un effet mat et d’autres avec un effet brillant », complète Maxime Perrin, directeur général de Pro-T-Co. La profondeur de l’impression est de 400 µm. Il y a une autre limite : celle de la taille de la matrice, de 60 cm x 100 cm. Mais plusieurs matrices peuvent être juxtaposées, tel un puzzle… Afin de faciliter l’utilisation de ses supports coffrants, Pro-T-Co a développé deux produits connexes. Tout d’abord, le Pro-T-Co Cleaner 3D. Il s’agit d’un produit nettoyant 3-en-1 : décapant laitance et béton, dégraissant et dérouillant. De quoi assurer une parfaite préparation de son coffrage avant pose des matrices. Après usage des supports collés, rien de tel que le Pro-T-Co Cleaner Glue. Sa mission : éliminer les résidus de colles, mais aussi de peinture et de vernis sur ses coffrages. 
Il y a 5 ans et 198 jours

Batimat, côté matériaux #1

Le hall 6 de Batimat était celui des produits pour le gros œuvre… [©ACPresse] Dire que l’édition 2019 de Batimat a été un grand cru, côté bétons, serait exagéré. Toutefois, cela n’a pas empêché une belle fréquentation. Les allées ont été bondées (en fonction des jours). Sur la durée, le salon a tout de même vu le passage de quelque 284 000 visiteurs (pour l’ensemble des salons composant le Mondial du Bâtiment). En tant que tel, le béton a plutôt joué les absents, en dehors de quelques stands, répartis au sein du hall 6. A commencer par Soriba, industriel du béton qui a mis en avant sa démarche pour réduire l’empreinte carbone des bétons qu’il met en œuvre.  Youssef Alaoui, directeur général délégué de Vracs de l’Estuaire. [©ACPresse] De son côté, le cimentier Vracs de l’Estuaire a souhaité participer une première fois au salon pour venir à la rencontre des utilisateurs. L’occasion aussi pour dévoiler sa nouvelle identité visuelle.  ByBéton, lui, a voulu jouer le rôle de fédérateur de la filière. Surtout, sa présence a vu la tenue très réussie d’une quarantaine d’interventions techniques.  Un coffreur venu de Russie Pour sa part, le Cérib a cherché à mieux connaître son centre d’essais au feu Prométhée. Une présence aussi marquée par la signature de quelques partenariats, donc celui passé avec le groupe de BTP Legendre.  Edilteco a fait le choix d’un grand stand pour y réunir l’ensemble de son offre. Outre ces solutions pour l’isolation, l’industriel italien a exposé pour la première fois sa toute nouvelle chape légère XXs. Pour Hydro Minéral, la présence était dictée par la nouvelle dénomination de l’entreprise : Hydro Minéral International. Gérée par Olivier Debas et basée à Chambéry (73), cette structure reste indépendante de sa maison-mère. Et a déjà commencé à diffuser ses minéralisants et autres produits de cure au Canada. Elle se lance en Allemagne et compte bien toucher l’Afrique de l’Ouest, l’Europe ou encore le Maroc. Affaire à suivre…  Guard Industrie a fait le déplacement à Villepinte avec, en particulier, sa nouvelle offre ProtectGuard Color Haute Joaillerie.  ProtectGuard Color Haute Joaillerie se décline en 32 teintes. [©ACPresse] Côté accessoires pour le béton, AdC a mis l’accent sur son nouveau partenariat de distribution des produits de la marque BT Innovation. Enfin, il y avait aussi un joli stand corporate aux couleurs de la Russie. Parmi les exposants, M-Konstruktor, un industriel spécialisé dans la construction de moules sur mesure pour la préfabrication. Aujourd’hui, il se lance dans le développement de chaînes de préfabrication automatisées et attaque le marché français. Place aux start-up… Le second arrêt devait se faire au niveau du minuscule stand Pro-T-Co. Là, il était possible d’y découvrir son très intéressant système de matrices de coffrage sans utilisation d’agents de démoulage.  Après cette dernière découverte, il était temps de migrer en direction du hall 5B, où étaient concentrés tous les constructeurs de matériels. Leurs nouveautés et actualités seront à découvrir dans la prochaine newsletter iBéton[s], qui arrivera dans les boîtes e-mails dès le 5 décembre.     
Il y a 5 ans et 199 jours

Mills multiplie les innovations

Le système de maintien des coffrages perdus Mills se fixe sur la Touréchaf. [©ACPresse] Présent depuis quelques saisons déjà, Mills partage un stand commun avec les coffreurs Alphi et Sateco, ainsi qu’avec Batiroc Protect, spécialiste de la sécurité sur chantier. Cette année, Mills y dévoilait quelques évolutions de produits. Tout d’abord, un ingénieux système de maintien de coffrage à usage unique en carton. Il vient se fixer sur une Touréchaf, en pied et en tête. Il suffit Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 199 jours

Brand France : La Rezaplak Neo débarque sur le marché

Avec Rezaplak Neo, Brand France offre, pour la première fois, une peau coffrante fabriquée à 100 % en polypropylène. [©Brand France] L’évolution de la règlementation alliée à la volonté d’éviter tout risque de chute de hauteur a poussé les utilisateurs à réduire l’espacement entre les poutrelles secondaires des coffrages. Jusqu’alors positionnées tous les 50 cm, ces dernières ont été rapprochées par la suite tous les 25 cm. Le système de coffrage Superdeck Neo est allé plus loin, en proposant un espacement maximal de 6 cm entre les secondaires. Ceci grâce à la conception de planchons d’une cinématique singulière. Ce dispositif permet de poser le contreplaqué en totale sécurité : les planchons étant interconnectés entre eux. En regardant les évolutions opérées par les différents composants des coffrages, on s’aperçoit que seule, la peau coffrante est un peu restée figée dans le temps… Avec Rezaplak Neo, Brand France (SGB – Hünnebeck) offre, pour la première fois, une peau coffrante fabriquée à 100 % en polypropylène. La conception en nid d’abeilles de l’âme donne au produit final une résistance compatible à une utilisation en plaque de coffrage. Recyclables à 100 % et ergonomiques, les plaques pèsent moins de 10 kg/m2. Utilisée avec de simples ventouses, leur manipulation se fait avec une très grande facilité, réduisant les risques de blessures et de TMS. Un compagnon seul peut manutentionner une plaque Rezaplak Neo. Pour la première fois, l’alliance du Superdeck Neo et du Rezaplak Neo offre un système de coffrage de planchers 100 % recyclable, sécurisé, ergonomique et gage d’une productivité optimale.
Il y a 5 ans et 199 jours

Soriba innove dans les bétons bas carbone

Stéphane Garnier, président de Soriba. [©ACPresse] Il faut le dire, Soriba était le seul industriel de la préfabrication à avoir participé à l’édition 2019 de Batimat. Les institutionnels ByBéton et le Crib ont certes été très présents, mais tout ceci est tout de même bien léger en regard du poids de la filière béton. Stéphane Garnier, président de Soriba, le regrette beaucoup : « L’absence de la filière a eu un impact négatif sur la fréquentation d’une partie des professionnels, en particulier celle des bureaux d’études structure ».  Et quand on sait le la cible principale de Soriba sont justement les donneurs d’ordre. Résultat, un bilan un peu mitigé, alors même que l’industriel vendéen avait beaucoup d’avancées à montrer.  Le stand était articulé autour des bétons architectoniques. Normal, c’est la spécialité de l’entreprise. Ainsi, chacun pouvait voir des échantillons à l’échelle 1 des murs à coffrage et insolation intégrés. Mais aussi des éléments d’habillage de façade.« Il s’agit de nos nouveaux éléments BétoMur Bardage, explique Stéphane Garnier. Ils sont réalisés en mortier fibré à ultra haute performance Effix Crea blanc issu de l’offre Ciments Calcia. » Une politique de ciments décarbonés Leur particularité : pouvoir présenter une grande dimension, c’est-à-dire jusqu’à 30 m2 pour une épaisseur minimale de 4 cm. Le produit est sous Atex de type A et résistant aux contraintes sismiques. « Ces éléments peuvent aussi être ajourés. Auparavant, nous les avions dans une épaisseur de 7 cm et plus, ce qui en limitait la dimension. » L’autre programme dévoilé par Soriba est sa démarche “bas carbone”. Dans ce sens, l’industriel a souhaité montrer sa capacité d’innovations et les possibilités qu’offrent les ciments à moindre impact carbone. Ceci, tout en s’inscrivant dans un process industriel standard et connu. L’idée n’est pas d’opérer une rupture technologique… Ainsi, en passant d’un CEM I à un CEM III du marché, les émissions de CO2 liées aux ciments sont divisées par 2. Et même par 3 dans le cas d’un ciment bas carbone “maison”. « C’est un CEM I additionné de laitier de hauts fourneaux réalisé dans le cadre d’une formulation maîtrisée en interne », précise Stéphane Garnier. Enfin vient l’exemple du ciment dit “décarboné”, qui divise la facture par 5. Là, Soriba met en œuvre un liant développé par l’industriel Hoffmann Green Cement Technologies. 
Il y a 5 ans et 200 jours

AdC : Se diversifier pour ne pas stagner

AdC est venu au salon Batimat, avec le MultiForm, un système de coffrages signé BT Innovation. [©AdC] Créée il y a 11 ans, Accessoires de Construction (AdC) est une filiale de l’Allemand Stahlwerk Annahütte, le principal fabricant de tiges filetées pour le secteur du BTP. « Nous évoluons autour de 3 activités, explique Etienne Jean, responsable commercial “levage”. La fabrication et la commercialisation de barres de précontrainte et de géotechnique, de systèmes de levage et de fixation. Mais aussi des Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 201 jours

M-Konstruktor part à la conquête de l’Europe

Artem Bagniuk, directeur commercial de M-Konstruktor. [©ACPresse] « Les marchés français et, plus largement, européens nous intéressent », annonce Artem Bagniuk, directeur commercial de M-Konstruktor. Derrière cette marque se cache un industriel russe spécialisé dans la construction de moules métalliques sur mesure. Mais aussi de silos à pulvérulents. Après une première présence sur World of Concrete Europe, en 2018, puis Bauma, en 2019, M-Konstruktor a exposé une nouvelle fois en France, à l’occasion de Batimat. « Ce salon est plus restreint que Bauma, mais son impact local Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 201 jours

Hussor renouvelle son logo

Nouveau logo Hussor. [©Hussor] Le fabricant de coffrages métalliques Hussor a profité de sa présence sur le salon Batimat pour dévoiler sa nouvelle identité visuelle. Exit le triple “H”, le nouveau logo s’articule autour d’un “H” bicolore rouge et gris, prolongé des autres lettres constituant la marque Hussor. Le logo est épuré et comme barré d’une diagonale, qui symbolise le progrès, le fait d’aller de l’avant. La base-line qui l’accompagne – “Proche de ceux qui construisent” – résume l’état d’esprit de l’industriel. « Nous avons toujours travaillé la proximité avec nos clients, qui utilisent nos outils au quotidien », explique Pierre Weinling, président d’Hussor. En d’autres termes, l’industriel souhaite rappeler que le client et le service se placent au centre de son activité. Qu’ils sont essentiels et qu’il ne l’a pas oublié… Bien entendu, Batimat a aussi été pour Hussor l’occasion de présenter ses dernières évolutions produits. Au programme, un système d’ancrage de banches, un lest métallique, un Centreur à clavette. Sans oublier quelques évolutions autour de son système Ergoform.
Il y a 5 ans et 205 jours

Nouvelle certification : “QB 07 – Murs en maçonnerie et éléments connexes”

Avec “QB 07 – Murs en maçonnerie et éléments connexes”, le CSTB étend sa certification de l’élément à l’ouvrage. [©DR] Avec “QB 07 – Murs en maçonnerie et éléments connexes”, le CSTB étend sa certification de l’élément à l’ouvrage. L’organisme certifiait jusqu’alors la performance de l’élément de maçonnerie isolé. « Parce qu’il souhaite répondre encore mieux aux attentes des acteurs, le CSTB propose à présent une certification à l’échelle de l’ouvrage. Et ce, afin de valoriser les performances globales du mur en maçonnerie », peut-on lire dans un communiqué de presse.  Rappelons que la certification QB 07 a été lancée en 2015. Elle est ouverte à tous les procédés de maçonnerie. Y compris les murs réalisés à l’aide de kits de coffrage isolant. Et pour lesquels QB 07 permet de certifier les caractéristiques thermiques, dimensionnelles et mécaniques. « Dans le cadre de la mise en place de cette évolution de la certification QB 07, le CSTB a conduit en parallèle des travaux de simplification des informations. Un seul certificat permettra désormais d’afficher les caractéristiques dimensionnelles, mécaniques et thermiques. En phase de conception, l’accès à l’information pertinente sera donc simplifié pour tous les acteurs d’un même projet. »     Ce qui change :. QB 07 – Murs en maçonnerie et éléments connexes” s’applique à présent à l’échelle de l’ouvrage. Elle permet de certifier les valeurs de dimensionnement structural du mur. Et non plus simplement de l’élément.. Cette certification donne la possibilité d’afficher des valeurs de résistance à la compression de calcul améliorées. Et ce, pour le dimensionnement des procédés de murs en maçonnerie entièrement certifiés.. De plus, elle intègre les performances thermiques du procédé, comme par exemple la résistance thermique du mur enduit.
Il y a 5 ans et 215 jours

Alphi et JeanFour signent un partenariat dans le coffrage

Joël Four, président de JeanFour, et Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi, signe un partenariat pour la distribution du coffrage modulaire VerticAL. [©ACPresse] Les coffreurs Alphi et JeanFour viennent de signer un partenariat exclusif. L’accord porte sur la distribution du coffrage pour voiles VerticAL à travers le réseau Alphi. Ainsi, il permettra le développement des ventes du coffrage modulaire construit par JeanFour, sous le nom de Modalu, en France. Mais aussi en Suisse et en Belgique. Ceci, en s’appuyant sur l’expertise de l’équipe technico-commerciale l’Alphi. L’outil assure en même temps un excellent complément de gamme, en faisant entrer Alphi dans le domaine du coffrage vertical. « Nous souhaitions nous développer dans cette direction, à travers un partenariat,confie Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi. Très vite, notre attention s’est portée sur JeanFour qui, outre un bon produit, possédait aussi des valeurs proches des nôtres. C’est une société familiale, qui fabrique en France. »Et puis, il y a aussi un proximité géographique, Alphi étant basé en Savoie et JeanFour, dans l’Ain… Près de 4 000 m2 de VerticAL dans le parc Alphi « Nous sommes une entreprise de taille modeste, à vocation industrielle,reprend Joël Four, actuel président de JeanFour. Alphi, lui, est très axé sur le service, ce qui crée une très grande complémentarité entre nos deux structures. »  En plus, JeanFour possède un très bel outil de production, largement robotisé. Outil qu’Alphi pourrait bien mettre à profit pour la fabrication de ses coffrages horizontaux. Qu’il s’agisse des produits actuels ou à venir.  Le partenariat tout juste signé porte sur le coffrage VerticAL, mais pas seulement. « Un autre système de coffrage issu de l’offre JeanFour enrichira le catalogue Alphi dans le courant du premier semestre 2020… », dévoile Alexandre Souvignet.  En attentant, ce sont entre 3 000 et 4 000 m2 de VerticAL, qui vont rejoindre dès à présent le parc Alphi. Ce volume sera réparti entre le nouveau dépôt francilien pour deux tiers, et celui du Rhône-Alpes, pour le solde. « Nos quinze technico-commerciaux ont déjà été formés au sein de l’usine JeanFour sur ce nouveau coffrage dans la gamme », conclut Alexandre Souvignet. Tout est donc prêt pour se lancer dans cette aventure inédite !
Il y a 5 ans et 215 jours

A Pantin, un bâtiment "brut de décoffrage"

PATRIMOINE. Depuis son inauguration en 1972, l'ancienne cité administrative de Jacques Kalisz, devenue Centre national de la danse, a suscité le désamour comme l'admiration. Cet édifice témoin du mouvement brutaliste a pourtant trouvé sa place dans le patrimoine pantinois, et plus largement celui de la Seine-Saint-Denis.
Il y a 5 ans et 220 jours

Coffrafrance lance sa solution 3DR® sur le marché français du bâtiment

Solution innovante au service de toutes les constructions en béton, 3DR® est un coffrage structurel pré-ferraillé, recouvert de parois filtrantes permettant l’évacuation instantanée de l’eau excédentaire contenue dans le béton pendant son transport.
Il y a 5 ans et 227 jours

Voiles de béton blanc matricé aux fines ondulations horizontales

Conçu par l’architecte Emile Aillaud à la fin des années 60, le quartier de La Grande Borne, à cheval sur les communes de Viry-Châtillon et de Grigny, fait l’objet d’un important programme de rénovation urbaine dans lequel vient s’inscrire l’opération très attendue de l’Accroche Nord. Conduite selon une démarche de conception-réalisation, la construction de cet ensemble compte plusieurs bâtiments à usage mixte comprenant 32 logements, 4000 m² de bureaux ainsi que des locaux à vocation sociale. Associés au projet dès la phase concours, l’architecte Thomas Bourdon et l’entreprise CIBETEC ont étudié les meilleurs choix techniques pour la réalisation des panneaux destinés à habiller les quatre bâtiments. Pour répondre au parti architectural, la solution a consisté à préfabriquer des panneaux en béton blanc matricé et lisse pour les parties inter-fenêtres d’une part et, d’autre part, des panneaux aux fines ondes horizontales (vibration de la lumière) pour la vêture générale, avec l’exigence d’un entretien facile. Ce sont au total 211 panneaux matricés en béton blanc brut C30/37, soit 1700 m², qui ont été fabriqués sur mesure par Cibetec. Leur réalisation a dû relever plusieurs défis : – Respecter le départ des ondes sur 3 moules différents pour que les panneaux fabriqués puissent s’aligner. – Des panneaux lisses de différents formats s’intercalent entre les parties vitrées, en rive ou en pied de panneau. Leur fabrication a nécessité de nombreux ajustements au niveau des moules. – Chaque panneau, d’une épaisseur de 20 cm, a été fixé sur les façades porteuses avec rupteurs thermiques. Toutefois, ces rupteurs thermiques ont constitué une réelle contrainte tant au niveau de leur positionnement, que par la gestion des différents modèles, même si un plan spécifique avait été fourni pour leur implantation. – Une attention particulière a été portée au positionnement des inserts car les joints verticaux de l’ensemble des panneaux ne sont jamais superposés. Au niveau des murs, la conception architecturale a multiplié la diversité des angles : 45°/51°/66°/69°/79°/84°/102°. Pour respecter cette particularité chaque angle a été numéroté et leur réalisation a nécessité l’utilisation de coffrages métalliques pour obtenir des arêtes parfaitement rectilignes.
Il y a 5 ans et 229 jours

Fdes collective pour les produits et systèmes préfabriqués en béton

Quelque 90 % des produits et systèmes préfabriqués en béton disposent d’une Fdes collective vérifiée pour anticiper la future RE 2020. [©Fib] Quelque 90 % des produits et systèmes préfabriqués en béton, destinés au bâtiment disposent d’une Fiche de déclaration environnementales et sanitaires (Fdes) collective. Et ce, établie par le Cérib, à la demande de la Fédération de l’industrie du béton (Fib). C’est un enjeu majeur pour anticiper la future Réglementation environnementale (RE 2020).  Les Fdes vérifiées de la plupart des éléments de maçonnerie en béton étaient déjà disponibles dans la base Inies. Neuf nouvelles Fdes collectives ont été approuvées. Elles couvrent les principaux produits destinés au secteur du bâtiment dans différentes conditions de mise en œuvre. A savoir, les murs à coffrage intégré (MCI), les murs à coffrage et isolation intégrée (MC2I), les prédalles en béton armé et précontraint. Puis, les dalles alvéolées, les poteaux en béton armé et les poutres en béton précontraint. D’autres Fdes vérifiées seront mises en ligne sur la base Inies dans les semaines qui viennent. Et ce, pour quatre types d’escaliers préfabriqués en béton, pour les panneaux architecturaux pleins et à isolation intégrée, pour les poutrelles en béton. Ainsi que pour les tuiles en béton. Le configurateur Environnement IB L’ensemble des Fdes collectives a été établi sur la base des unités fonctionnelles les plus représentatives des solutions constructives préfabriquées en béton. Afin de permettre leur ajustement en fonction des projets, Environnement IB (le configurateur des Fdes collectives de l’industrie du béton) a été développé par le Cérib. Et ce, pour les murs à coffrage intégré (MCI). Puis, les prédalles en béton armé et précontraint, les dalles alvéolées, les poteaux en béton armé et les poutres en béton précontraint. Il est conçu pour permettre des évaluations environnementales des bâtiments aisées, rapides et adaptées par les bureaux d’études. Il permet de produire des Fdes configurées au format PDF, des fichiers Excel reprenant les indicateurs environnementaux par modules et paramètres de configuration. Ainsi que des fichiers XML standardisés pour importer les résultats des configurations dans les logiciels d’ACV bâtiments agréés.  Environnement IB, comme les Fdes des produits préfabriqués en béton, seront accessibles directement sur la base nationale Inies. Consulter les Fdes établies par le Cérib ici.
Il y a 5 ans et 230 jours

90 % des produits et systèmes préfabriqués en béton ont une FDES

90 % des produits et systèmes préfabriqués en béton destinés au bâtiment disposent d’une Fiche de Déclaration Environnementales et Sanitaires (FDES) collective, établie par le CERIB à la demande de la Fédération de l’Industrie du Béton. Les FDES vérifiées de la plupart des éléments de maçonnerie en béton de granulats courants étaient déjà disponibles dans la base INIES : blocs de granulats courants posés à joint épais ou à joint mince, blocs de coffrage ainsi que les entrevous en béton. Neuf nouvelles FDES collectives ont été approuvées. Elles couvrent les principaux produits destinés au secteur du bâtiment dans différentes conditions de mise en œuvre : murs à coffrage intégré (MCI), murs à coffrage et isolation intégrée (MCII), prédalles en béton armé et précontraint, dalles alvéolées, poteaux en béton armé, poutres en béton précontraint. D’autres FDES vérifiées seront mises en ligne sur la base INIES dans les semaines qui viennent pour quatre types d’escaliers préfabriqués en béton, pour les panneaux architecturaux pleins et à isolation intégrée, pour les poutrelles en béton ainsi que pour les tuiles en béton. Disposer d’une FDES vérifiée représentative des produits mis sur le marché est devenu un enjeu majeur pour les acteurs de la construction afin de répondre à la nouvelle réglementation environnementale, d’enrichir l’expérimentation E+C- et d’anticiper la future RE2020.
Il y a 5 ans et 234 jours

Un noir luminescent pour sublimer le béton

Les ouvertures sont l’interface avec la ville, une zone d’échanges entre un extérieur ouvert et un intérieur plus intime, mais qui se dévoile. [©ACPresse] “Quelle belle couleur que la couleur noire, l’envers obscur de nos rêves”. Est-ce cette citation, tirée de l’ouvrage “En attendant la montée des eaux”, roman signé Maryse Condé, qui a guidé le cabinet Lan Architectes dans le choix de la teinte des bétons du Théâtre du Maillon, à Strasbourg ? Ou bien est-ce une autre considération ?« Le noir donne une plus grande abstraction aux choses », justifie Francisco Martinez, architecte en charge du suivi du chantier. Cohérent pour un lieu d’expression et de concept, par définition…  Situé dans le quartier de Wacken, au Nord de Strasbourg, le nouveau Théâtre du Maillon sera investi par une compagnie théâtrale, qui occupe aujourd’hui un hall du Parc des expositions, mitoyen. « Cette troupe aime occuper des lieux singuliers, sortir des murs… C’est cet esprit de théâtre, qui a guidé le projet. » D’une manière générale, un théâtre suit une certaine logique, linéaire. Il y a un espace public, qui figure l’entrée, puis la salle principale et, enfin, les coulisses. Le Maillon, lui, est évolutif, flexible. Il reprend une trame urbaine. Cinq grands espaces modulent le lieu : une cour d’entrée au Sud, une grande salle de 750 places avec gradins rétractables, un espace de convivialité, une salle secondaire de 250 places et un espace logistique au Nord.  Une simplicité trompeuse D’immenses ouvertures carrées, de 6 m de côté, percent les voiles. La lecture de l’échelle du bâtiment en est perturbée.[©ACPresse] A cela s’ajoute une cour ouverte de stockage. Des “rues” divisent ces zones, qui chacune, peuvent être ouvertes ou fermées. Une partie des murs intérieurs est mobile. Ainsi, la petite salle peut constituer le prolongement de l’espace de convivialité… Et la cour, devenir un espace de représentation en plein air. Une enveloppe en béton noir ceint le lieu, sans le confiner. D’immenses ouvertures carrées, de 6 m de côté, percent les voiles. La lecture de l’échelle du bâtiment en est perturbée. « Ces ouvertures sont l’interface avec la ville. »La zone d’échanges entre un extérieur ouvert et un intérieur plus intime, mais qui se dévoile.  L’entreprise belfortaine Albizzati assure les travaux de construction du nouveau théâtre. « Ce projet est très exigeant en termes de précisions sur les bétons. Les façades sont trompeuses, simples en apparence et très complexes dans les faits », explique Alain Albizati, gérant de l’entreprise éponyme. Coulés en une seule levée, les voiles se développent sur une hauteur de 14,20 m. A chaque fois, ils intègrent deux ouvertures sur la hauteur. Pour leur coulage, l’entreprise a loué des banches TP de Sateco, car elles autorisent la mise en place de contre-peaux coffrantes et sont adaptées à des coulages de grande hauteur. Un partenariat à cinq  Coulés en une seule levée à l’aide de banches TP de Sateco, les voiles se développent sur une hauteur de 14,20 m.[©ACPresse] « Le travail de préparation des banches a été fait en partenariat avec Hans Coffrage, une entreprise vosgienne avec qui nous collaborons régulièrement », souligne Alain Albizati. Les voiles intègrent un dessin de poteaux et de poutres en bas-relief, séparé des parties planes par des joints en creux. Pour certaines, les contre-peaux de coffrage sont à usage unique. D’autres voient quelques réutilisations, compte tenu d’une répétitivité de la trame des façades.  Les encadrements des ouvertures bénéficient d’un travail préparatoire tout aussi précis. De tailles imposantes, les mannequins, qui y sont insérés avant bétonnage, nécessitent un contreventement important. Tout comme les voiles de grande hauteur, après décoffrage. « Ce chantier est un véritable partenariat à cinq entre l’architecte, le bureau d’études, le fournisseur de béton, l’adjuvantier et nous-même, l’entreprise. »Car, si la mise en place des outils coffrants est un morceau de bravoure, le béton des voiles en est un autre… En premier lieu, il est auto-plaçant, entraînant toute une cohorte d’exigences. A commencer par une ouvrabilité limitée à 2 h, avec un but précis : ne pas risquer d’augmenter la pression dans le coffrage du fait d’un démarrage de prise tardive…  Un duo plastifiant – superplastifiant « Chaque campagne de bétonnage voit la mise en place de 45 à 65 m3de béton. La vitesse de montée du béton dans le coffrage est de l’ordre de 2 m/h, cadence ajustée par la tension enregistrée sur les tiges traversantes, serrées à la clef dynamométrique », explique Alain Albazati. Ces tiges sont au nombre de 154, réparties selon une maille régulière et précise sur l’ensemble des 200 m2de coffrage !  « Le béton noir représente un volume total de 1 700 m3, contre 1 400 m3de béton classique de classe de consistance S3, détaille Hervé Richet, chef de secteur Bas-Rhin Sud chez Eqiom Bétons. Il s’agit d’un C 30/37, d’une résistance réelle mesurée supérieure à 40 MPa. Ce choix a permet d’optimiser un peu l’épaisseur des voiles, en amont des travaux. Celle-ci oscille entre 35 et 45 cm.Pour répondre au cahier des charges imposé pour le béton noir, Eqiom a travaillé de concert avec BASF CC, le fournisseur des adjuvants. Et la palette était riche. L’ouvrabilité et la fluidité ont été gérées par un duo plastifiant – superplastifiant. « Pour ce faire, nous avons proposé un couplage MasterPolyheed 520 et MasterGlenim Sky 841 »,dévoile Dominique Cuadras, responsable de secteur Centre-Est BASF CC. Et Michaël Nowak, ingénieur technico-commercial BASF CC de poursuivre :« Cette synergie a permis d’obtenir de manière concomitante une bonne réduction d’eau, et une consistance fluide et homogène. Les effets d’émulsion ont été minimisés, évitant les phénomènes de bullage ou les traînées inesthétiques ». Sublimer le noir Les voiles intègrent un dessin de poteaux et de poutres en bas-relief, séparé des parties planes par des joints en creux.[©ACPresse] Clef de voûte du projet, la teinte noire a été obtenue par l’introduction du pigment MasterColor 100 Noir Intense, lui aussi issu du catalogue Master Builders Solutions (BASF CC). Beaucoup plus prononcé qu’un noir classique, ce pigment apporte la profondeur et l’éclat attendus par l’architecte. Teinte encore renforcée par l’emploi du MasterPel 795. Quatrième constituant BASF CC du béton, cet additif apporte une protection contre les efflorescences, tout en intensifiant la couleur et l’aspect brillant du béton. « La MasterPel 795 empêche la formation de carbonate de calcium en surface et limite la pénétration de l’eau dans le béton, augmentant d’autant sa résistance aux cycles de gel/dégel », poursuit Michaël Nowak. Enfin, pour sublimer la teinte noire, une fois les bétonnages achevés, l’ensemble de l’enveloppe sera revêtu du MasterPel 300. Cet agent assure la double fonction d’hydrofuge et d’oléofuge. En phase aqueuse, non filmogène, il sera appliqué par pulvérisation. Et apportera une protection complémentaire contre les efflorescences pour un béton plus noir que jamais, lisse et lumineux. Un vrai décor de théâtre… Frédéric Gluzicki
Il y a 5 ans et 235 jours

Une nécropole antique exceptionnelle à NARBONNE

Aux portes de Narbonne, une nécropole antique est actuellement fouillée par une équipe de l’Inrap, sur prescription de la Drac Occitanie, en préalable à l’aménagement d’un nouveau quartier. Par son importance et son exceptionnel état de conservation, ce site est une découverte majeure pour l’archéologie française et bénéficie d’un important financement public, de la mobilisation des collectivités. La nécropole est structurée par des enclos maçonnés, implantés selon un parcellaire régulier. Ceux-ci permettent de discerner des groupes distincts dont il est possible de comparer les pratiques respectives. Ces concessions, accolées, parfois séparées par des chemins de desserte, présentent des petits monuments ornés d’enduits peints. Des plaques peuvent être apposées sur les monuments. Leurs épitaphes documentent les couches les plus modestes de la plèbe urbaine (esclaves ou affranchis) d’origine essentiellement italienne ; elles témoignent également de la prospérité économique de ces milieux plébéiens. Les sépultures sont majoritairement des crémations : sont présents de nombreux bûchers et des tombes simples – souvent protégées par une couverture ou un coffrage de tuiles. La sépulture comporte les ossements brûlés placés dans un contenant accompagné d’un dépôt de cruches en verre ou en céramique, parfois associées à des vases à parfum et des lampes.  La diversité des structures funéraires, leur état de conservation, la superposition des sols et des tombes font de ce site un cas unique en Gaule, la nécropole de Narbonne apparaît d’ores et déjà comme la référence pour l’étude des pratiques funéraires en Gaule romaine, mais aussi pour la connaissance de la plèbe durant l’Antiquité. Le site est à proximité immédiate du musée archéologique Narbo Via qui, dès 2020, présentera sur 8 000 m² le patrimoine et le récit exceptionnel de la Narbonne antique. Aménagement : Alenis​​ Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Occitanie) Recherche archéologique : Inrap​ Responsable scientifique : Valérie Bel, Inrap Photo : Vue de drone de la nécropole antique de Narbonne – Denis Gliksman – Inrap
Il y a 5 ans et 274 jours

Réalisation des plans de coffrage avec Tekla Structures

Webinar en français le 25 septembre Ingénieurs et projeteurs béton, venez découvrir au cours de cette démonstration comment générer des plans de coffrage normalisés avec Tekla Structures. Suivez ce webinar et découvrez : La création du modèle 3D BIM (poteau, poutre, voile, dalle…)La génération de plans de coffrage de plancher haut et les coupes associéesL’extraction des quantitatifs Inscrivez-vous maintenant le 25 septembre de 14h à 15h
Il y a 5 ans et 334 jours

Impression 3D en béton : Entre essais physiques et simulations numériques

I – Quels sont le contexte et la problématique ? Echantillons de béton imprimé et moulé. [©Insa Toulouse] L’impression 3D appliquée aux matériaux cimentaires est une technique récente de construction, pour laquelle le matériau, extrudé par une buse, est déposé par couche, sans nécessiter de coffrage Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne. Par rapport aux techniques de construction in situou de préfabrication, les principaux avantages de l’impression 3D sont la liberté architecturale, la réduction des coûts de matériaux par un design optimisé et de main-d’œuvre, ainsi qu’une production rapide, efficace et sûre. Imprimer en 3D nécessite un béton assez fluide pour être extrudé, mais suffisamment ferme pour ne pas s’affaisser une fois déposé. Les propriétés de ce béton sont dépendantes des facteurs, tels que l’environnement, la vitesse d’impression, le chemin d’impression, la forme de la buse, la hauteur de couche et la géométrie de l’élément. Par conséquent, la formulation d’un béton imprimable est primordiale et doit sans cesse être adaptée dès que l’un de ces facteurs est modifié.  Par ailleurs, la réalisation d’essais permettant d’étudier le comportement des structures imprimées est très coûteuse en temps et en argent. D’où la pertinence de développer des approches numériques pour simuler le comportement de ces structures et étudier leurs propriétés. De plus, pour s’assurer que le béton imprimé vérifie certaines normes de construction (notamment celles liées à la stabilité des bâtiments), la réalisation d’essais sur béton durci visant à tester la résistance mécaniqueest aussi nécessaire.  Au vu de ces différentes remarques, une étude comprenant une partie expérimentale et une partie numérique a été réalisée au Laboratoire matériaux et durabilité des constructions (LMDC) à Toulouse, dans le cadre de la chaire “Construction et Innovation” soutenue financièrement par l’entreprise GA Smart Building.  II – Quelle est la nature du programme expérimental ? Dans cette étude, le béton imprimé est constitué d’un ciment CEM I 52,5 N (30 % de la masse du mélange sec), de filler calcaire (10 %), de kaolin (10 %), de sable siliceux naturel (50 %), d’un superplastifiant (0,4 % d’extrait sec par rapport à la masse de ciment) et d’eau potable (avec un E/C de 0,31). Les propriétés au jeune âge ont été mesurées à 30 mn, ce qui correspond au temps nécessaire pour imprimer un objet. A l’état durci, des essais mécaniques ont été réalisés pour déterminer les résistances en compression, traction et flexion.  Les échantillons ont été extraits d’objets en forme de U, imprimés au laboratoire IRDL de l’université Bretagne Sud [Image 1]. La résistance en compression a été évaluée dans deux directions : chargements perpendiculaire (D-1) et parallèle (D-2) aux couches imprimées. De même, des essais de flexion dans le plan (D-1) et hors plan (D-2) ont été réalisés pour étudier le comportement anisotrope. Afin de comparer les comportements mécaniques des bétons imprimés et coffrés, des échantillons ont été coulés dans des moules, en utilisant la même formulation. Dans la suite de cet article, le béton coulé est appelé “béton de référence”, tandis que le béton imprimé garde son nom. III – Comment se présente l’approche numérique ? Géométrie des modèles étudiés. [©Insa Toulouse] Pour prédire le comportement des objets imprimés, des simulations ont été effectuées, en utilisant le logiciel aux éléments finis “Comsol Multiphysics” et en adoptant le critère de plasticité de Mohr-Coulomb. Les valeurs des paramètres ont été fixées conformément aux mesures réalisées sur béton frais : masse volumique (2 000 kg/m3), module d’élasticité (240 kPa), cohésion (2,1 kPa), angle de frottement (25°) et coefficient de Poisson (0,3). Par ailleurs, deux objets creux – l’un à section circulaire [Image 2a] et l’autre à section carrée [Image 2b] – ont été imprimés. Ces deux géométries ont été modélisées et les résultats, en termes de nombre maximal de couches imprimables et de mode de rupture, sont comparés aux résultats expérimentaux. L’article Impression 3D en béton : Entre essais physiques et simulations numériques est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 5 ans et 334 jours

Les coffrages Schöck ASE prêts à monter, au cœur d'une préfabrication facilitée

En droite ligne de sa nouvelle baseline "porteur de fiabilité", Schöck élargit encore son panel de solutions et services, à destination cette fois des préfabricants. Schöck a en effet développé des éléments de coffrage de rives qui s’adaptent idéalement aux lignes de production pour optimiser le processus de préfabrication.
Il y a 5 ans et 337 jours

Comment réaliser un plancher en dalles flottantes ?

Une dalle flottante est la structure de fondation de base utilisée pour les bâtiments sans sous-sol (garages, remises, granges…). Les dalles flottantes en béton doivent être isolées. Il existe plusieurs manières pour isoler une dalle flottante. L’isolation est soit intégrée directement dans le béton, soit entre différentes couches de béton, soit directement sur le béton. Ces ajouts coûtent beaucoup moins cher que la construction d’une fondation complète les coûts d’excavation et de bétonnage dépassent de loin les coûts d’isolation. Quand privilégier les dalles flottantes ? La construction de dalles flottantes nécessite des prérequis. Le bâtiment doit posséder une fondation pour supporter le poids total des dalles. Les dalles flottantes sont privilégiées dans des structures légères type garage, qui ne disposent pas d’énormes fondations. Dans ce cas, les dalles flottantes s’avèrent être les plus appropriées et plus économiques par rapport à la construction de dalles classiques. Comment poser des dalles flottantes ? Suivez nos conseils pour réaliser un plancher en dalles flottantes. Excavation du site pour la construction de dalles flottantes La phase initiale de la construction de dalles flottantes consiste à défricher le terrain et à excaver la zone conformément.  L’étape consiste également à effectuer un drainage, afin que l’eau puisse s’écouler à travers la base de gravier. La tranchée construite est scellée avec du géotextile et des graviers, ce qui éliminera l’eau des fondations. Pose de la base de gravier pour le drainage Cette étape consiste à poser un lit de gravier sous une construction pour la stabiliser et la drainer. L’objectif est d’empêcher que l’eau ne stagne sous la construction, cela risquerait de la fragiliser et de provoquer des problèmes d’humidité. Pour réaliser une tranchée drainante, il est recommandé d’utiliser du gravier à granulométrie 10/20 ou 20/40. Pour une tonne de graviers achetée, il faut prévoir de dépenser 20€. Coffrage des dalles Le coffrage de dalles doit être réalisé avec des planches en bois solides et bien fixées pour supporter le poids du béton, dans la tranchée creusée. Coulage des dalles flottantes Le béton est coulé dans le coffrage de la dalle. Il doit être bien compacté pour rendre la dalle pleinement productive. Vous pourrez le réaliser vous-même ou à l’aide d’un vibrateur mécanique. Avantages des dalles flottantes La construction en dalles flottantes peut être utilisée dans les zones de chantier ayant une capacité de charge moindre. C’est un système avantageux au niveau économique. Les fondations à dalle flottante sont une bonne solution pour les extensions de maisons. Les dalles flottantes agissent comme une barrière face à l’humidité venant du sol. Cela évite les infiltrations d’eau et le givrage. À l’aide d’un support antivibratoire, la dalle peut également être isolée au niveau acoustique et vibratoire. Ainsi, le confort des occupants est amélioré. Les dalles flottantes ne nécessitent pas d’excavation en béton. Elles peuvent être intégrées directement dans des tranchées. Inconvénients des dalles flottantes Les fondations de dalles flottantes ont un niveau d’isolation acoustique inférieur aux autres types de planchers, mais cela peut être corrigé avec des suspensions en élastomères pour lutter contre les bruits et les vibrations.  
Il y a 5 ans et 337 jours

Comment faire un sol pavé ?

Pour réaliser une allée de garage soignée, rien de tel que les pavés. Le pavage est une solution esthétique et à la portée de tous, tant au niveau économique que mise en œuvre. Il est nécessaire de réaliser votre pavage sur du béton pour supporter le poids des voitures qui rouleront sur votre allée. Il est plus difficile de réaliser un pavage sur un sol en béton que sur un sol en sable.  Cependant, si vous suivez toutes ces étapes, vous réussirez votre sol en pavés sans problème. Étape 1 : choisir le bon pavé Un certain nombre de pavés sont disponibles pour diverses applications. Les briques en terre cuite sont généralement utilisées pour les allées et les abords de piscine. Les briques en ciment sont plus polyvalentes et couvrent une variété d’applications. Du point de vue économique, les briques en ciment sont les plus avantageuses. Etape 2 : préparer la pose Comme pour la plupart des projets, la préparation est essentielle au succès. Faites un dessin pour visualiser le résultat que vous souhaitez obtenir. Cela vous permettra d’établir le calepinage de sol, nombre et disposition des pavés nécessaires pour vos travaux. Avant d’installer vos pavés, vous devez déjà prévoir une pente pour que l’eau s’écoule correctement. A l’aide d’une pelle, creusez une pense d’environ 2,5% dirigée vers la rue. Vous pouvez également prévoir une allée légèrement bombée et creuser de part et d’autre de cette allée. Compactez la zone, soit à l’aide d’une estampeuse à main (s’il s’agit d’une petite zone), soit d’un compacteur à plaque (facile à utiliser et facile à louer dans un magasin d’outillage). Cela garantit une base solide à vos pavés. Étape 3 : pose des matériaux de base Si le sol est suffisamment compacté et solide, vos pavés resteront fermes. Une fois que le compactage est réalisé, vous pouvez poser la dalle bétonnée qui servira de support à votre pavage. L’épaisseur de la dalle en béton doit être d’au moins 25 centimètres. Étape 4 : réalisation du coffrage Une fois que la dalle bétonnée a été posée, commencez le coffrage. Le coffrage est une structure provisoire qui permet de maintenir le béton en place en attendant son durcissement. Pour ce faire, recouvrez le béton de planches en bois de 3 centimètres environ d’épaisseur. Étape 5 : pose du pavage Nous vous conseillons de poser votre pavé en chevron, c’est-à-dire en forme de V, pour garantir la stabilité des pavés. Partez d’un coin et poursuivez sur le côté. Pour vous assurer de garder une ligne droite, utilisez des ficelles et des piquets de repère. Placez les pavés les uns à côté des autres, aussi serrés que possible pour assurer une finition solide. Préparez-vous à couper les pavés pour qu’ils s’intègrent dans la zone et ne dépassent pas votre délimitation. Vous pouvez utiliser une meuleuse d’angle équipée d’une lame en diamant. Gardez à l’esprit que si les bords de votre pavé ne sont pas contre un mur, vous devrez poser les pavés verticaux de délimitation sur un lit de ciment pour vous assurer qu’ils ne bougeront pas. Étape 6 : Scellement Une fois que tout le pavage a été posé, vous êtes prêt à couler le mortier de jointoiement. Le mortier de jointoiement est un mélange de ciment et d’agrégats (graviers et sables) qui permet de solidifier la construction. N’utilisez pas du ciment seul, sinon vos joints risqueraient d’être friables et votre allée de pavés ne sera pas étanche, malgré la pente creusée au début de vos travaux. Pour calculer la quantité de mortier de jointoiement nécessaire, il existe des calculateurs qui déterminent le volume de produit nécessaire pour la réalisation de vos travaux. Remplissez les joints avec le mortier de jointoiement pour bloquer les pavés en place.   Vous connaissez désormais toutes les étapes nécessaires pour réaliser votre sol en pavés.
Il y a 5 ans et 339 jours

Coffrages Schöck ASE : Prêts à monter

Livré depuis l’usine dans une longueur maximale de 2,70 ml, il suffit de couper le coffrage Schöck ASE pour obtenir la dimension et l’angle souhaités. [©Schöck] Schöck élargit son panel de solutions et services, à destination des préfabricants, avec les coffrages Schöck ASE, prêts à monter. Ces éléments de coffrage de rives s’adaptent aux lignes de production pour optimiser le processus de préfabrication. Grâce à ces coffrages, tous les éléments préfabriqués bénéficient d’un aspect lisse et d’un parement impeccable. On parle ici de rives de prédalles, prémurs, balcons, rives de poutres ou encore de coffrages de rive dans une configuration de pose avec rupteurs. Schöck ASE se destine à la réalisation d’éléments de construction en béton apparent, dont la surface homogène (en béton fibré extrudé C40/50), sans bulles ni aspérités, s’avère un véritable atout esthétique. Livré depuis l’usine dans une longueur maximale de 2,70 ml, il suffit de couper ce coffrage pour obtenir la dimension et l’angle souhaités. Son assemblage est aussi facilité grâce aux clips de jonction droits et d’angles, qui assurent un alignement parfait, les queues d’arondes créant une liaison mécanique avec le béton frais. L’innovation Schöck ASE décline 4 usages distincts : • Schöck ASE DW0 s’utilise pour les rives de poutres et de prédalles, les réservations de portes, fenêtres ou encore les trémies d’escaliers. Dépourvu de joint d’étanchéité, son profil chanfreiné assure une finition irréprochable ;  • Schöck ASE DW1, pour les balcons, dispose d’un joint caoutchouc efficace, qui permet d’une part, d’assurer l’étanchéité lors du coulage du béton. Et d’autre part, d’obtenir une goutte d’eau parfaite, en retirant le joint après coulage ; • Schöck ASE DW2, dédié aux MCI/MC2I avec ou sans réservations, se dote de deux joints caoutchouc, garantissant dans le même temps son positionnement vertical, lors du coffrage et l’étanchéité, lors du coulage du béton ; • Enfin, Schöck ASE P, extrudé en usine, affiche un profilé chanfreiné, utilisé dans le cas de trémies, qui s’insère dans les prédalles.  L’article Coffrages Schöck ASE : Prêts à monter est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 5 jours

Paschal : La relève s’appelle Neorast

Avec Neorast, Paschal dévoile le successeur potentiel de son Treillis. [©ACPresse] Neorast est le nom du tout nouveau système de coffrage vertical lancé par Paschal. Léger et polyvalent, il s’inscrit entre le Treillis et la Logo.3. Il est d’ailleurs compatible avec le premier. Et il n’est pas exclu qu’il le remplace à terme… Les panneaux du Noerast présentent une épaisseur de 7,50 cm, comme le Treillis. La principale caractéristique du produit est sa résistance : 50 kN/m2, soit 40 % de mieux que le Treillis. De quoi répondre à la majorité des besoins sur chantier. Ceci, pour un poids en recul de 25 %, toujours comparé au Treillis. Comme avec son aîné, l’assemblage entre panneaux se fait à l’aide d’une goupille. Mais la jonction par bride sera aussi possible. De même, les trous oblongs intégrés au cadre permettent un décalage entre panneaux, pour les ajuster en hauteur. L’élément de base est de 90 cm x 150 cm. Et le plus grand se développe sur 180 cm x 300 cm.  L’article Paschal : La relève s’appelle Neorast est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 23 jours

Peri : SkyMax et accessoires en développement

SkyMax constitue une nouvelle approche du coffrage de dalles pour Peri. [©ACPresse] Au niveau de son stand à l’occasion de la Bauma, Peri avait vu les choses en très grand, comme à son habitude. Le lieu était organisé autour une sorte d’arène de démonstration, dont le pourtour, une sorte de coursive en pente douce, dévoilait produits existants et innovations. C’est là, au niveau de la 3e ou 4e halte que le visiteur pouvait découvrir le SkyMax. Ce coffrage de dalles s’articule autour de panneaux coffrants de 2 m x 1 m, déclinés en deux versions : une classique cadre aluminium et CP bakélisé, ou un inédit cadre et peau composite. Mais l’originalité du système vient de la tête de décintrement, qui permet de donner une méthode à la phase de décoffrage : on réalise l’opération par petites zones. Ainsi, ce dispositif assure le remplacement logique et sécurisé des étais de coffrage par des étais de séchage. Une autre halte pouvait se faire en rez-de-chaussée, sous la coursive. Cette zone dévoilait ce que Peri appelle l’activité “Components” ou “Accessoires”. Afin d’aider ses clients, l’industriel propose toute une série d’éléments complémentaires au coffrage, regroupés en trois catégories. La ligne “A” réunit les accessoires classiques de coffrage, comme les étais de la marque. Vient ensuite la ligne “B”. Y sont rassemblés des produits dits “d’entrée de gamme” (étais, poutrelles…) destinés à la vente et pour des usages limités. Enfin, la ligne “C” compte les accessoires destinés à rester dans le béton, comme les cales d’armatures, les goupilles de fixation… Ces produits ont été sélectionnés par Peri et certains sont même fabriqués spécialement pour lui. L’idée de l’activité “Components” est de proposer tout ce dont les clients peuvent avoir besoin sur leurs chantiers et que Peri pourra livrer en même temps que le coffrage. L’article Peri : SkyMax et accessoires en développement est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 23 jours

Trimble : un Webinar dédié aux activités du béton coulé sur site

Bureaux d’études et entreprises, tirez profit de la maquette BIM avec le logiciel Tekla Structures spécialement conçu pour répondre à vos activités du béton coulé sur site. Suivez gratuitement et en rediffusion ce webinar où vous découvrirez : La modélisation simple et intuitive des éléments bétonLa génération de quantitatifs issus du modèleLa production de plan de coffrageLa modélisation du ferraillage 3DLa gestion et le phasage des coulages bétonLes outils pour les coffrages horizontaux et verticaux En effet, les logiciels Tekla vous permettent de planifier et gérer efficacement, de communiquer clairement et de couler le béton efficacement. Ils augmenteront votre productivité au bureau et sur le chantier, vous gagnerez du temps dans la planification du coulage et des métrés. Avec les fonctionnalités uniques de Tekla pour la manutention du béton, le logiciel permet aux entreprises de rationaliser leur travail de la pré-construction au coulage, vous serez ainsi assuré de réussir tous vos projets. Visionner l’enregistrement du webinar. L’article Trimble : un Webinar dédié aux activités du béton coulé sur site est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 25 jours

Constructeur en ouvrages d'art

Le constructeur en ouvrages d'art élabore et installe les coffrages (moules) dans lesquels sera coulé le béton pour réaliser une partie d’un ouvrage de Travaux Publics.
Il y a 6 ans et 33 jours

Louées soient les banches !

Piazza Coffrages, spécialiste de la location de banches inox, se développe dans l'Hexagone. Et innove avec une offre longue durée.
Il y a 6 ans et 123 jours

OPEN Architecture: Ucca Dune Art Museum

Le musée d'art UCCA à Qinhuangdao (Chine), conçu par OPEN Architecture, est sculpté dans les dunes de la cité côtière asiatique. Formée d'un réseau de galeries de béton, elle n'est accessible qu'à marée basse, faisant de ses visites des moments d'exception. Un design expérimental qui reflète l'humeur d'un pays en perpétuelle mutation. Sous les ergs d'une des côtes du Golf du Bohai, en Chine, la firme d'architecture pékinoise, Open Architecture, érige de discrets cratères de béton. Construite pour résister aux inlassables va-et-vient des vents et marées, l'infrastructure se niche, discrète, sous les dunes ainsi excavées. Au lieu de défier les forces de la nature, l'architecture s'empare d'un geste primitif qui fait appel à nos souvenirs d'enfants : celui de creuser, infatigablement, des caves qui désormais accueillent de façon permanente les cavités d'un musée. L'ensemble forme un réseau de cellules immaculées de 930 mètres carrés qui héberge un programme varié comportant une dizaine de galeries et studios de tailles différentes, ainsi qu'un café. Le bâtiment attend prochainement d'autres travaux qui visent à connecter le musée à l'océan par une passerelle praticable. Le complexe est revêtu d'une coquille en béton formée d'un bardage bois linéaire composant le coffrage. Ce dernier est ensuite recouvert de béton dont la texture irrégulière est volontairement conservée par les concepteurs. Lové dans son écrin de sable, le bâtiment profite ainsi de températures stables puisque celui-ci est équipé d'une pompe à chaleur géothermique à faible émission qui refroidit la structure pendant la journée. Pour familiariser le visiteur aux profondeurs de la construction, un long tunnel énigmatique l'emmène d'abord dans un espace de réception, pour laisser ensuite soudainement entrer un faisceau de lumière au-dessus d'une vaste galerie multifonctionnelle, via une ouverture zénithale circulaire. Un escalier hélicoïdal mène ensuite à un poste d'observation extérieur offrant des vues d'exception sur le paysage azuré. À travers les multiples percées et puits de lumière présents dans le bâtiment, de forme et d'orientation variables, le visiteur a accès à l'expression d'un bâtiment dans son contexte : en constante mutation. Véritable invitation à la contemplation, ce musée d'art plonge le visiteur dans l'univers instable du littoral, en permanence soumis aux forces mouvantes de son environnement. Pour en savoir plus, visitez le site de OPEN Architecture Photographies : Wu Qingshan
Il y a 6 ans et 128 jours

Euromac 2 affiche de nouvelles ambitions

Euromac 2, spécialisé dans la fabrication de blocs de coffrage isolants, annonce son rachat, effectif depuis octobre 2018, par de nouveaux actionnaires issus du milieu de la construction et de la promotion.
Il y a 6 ans et 129 jours

Formzero : Planter Box House

L'agence Formzero, basée à Kuala Lumpur (Malaisie), imagine une demeure au sein de laquelle la nature semble reprendre ses droits ! Composée de blocs de béton agglomérés sur trois niveaux, la maison permet à ses résidents de cultiver leur passion et leur potager, conférant à l'ensemble un aspect situé entre ouvrage brutaliste et jardin en plein air. Erigée à l'aide d'un coffrage en bambou fendu fourni par la population indigène " les Temuan ", le bâtiment de 340 mètres carrés à la volumétrie marquée célèbre l'architecture vernaculaire de la péninsule. Nommée la Planter Box House, la construction honore un mode de vie durable et auto-suffisant : entre jardin, ferme et habitat, cette réalisation permet à une cascade de plantes de traduire l'architecture tropicale dans son environnement de manière contemporaine et contrastée, en privilégiant une exposition lumineuse et une ventilation naturelle pour l'ensemble du bâti. Chaque bloc héberge une jardinière et l'ensemble contient une large variété de plantes " près de 40 espèces ", ainsi qu'un système d'irrigation interconnecté que le couple peut modifier à sa guise, et chaque réservoir est pensé pour la rétention d'eau de pluie. De la composition du sol au niveau d'eau, les propriétaires peuvent ainsi garder un "il averti sur leurs plantations. L'entrée et l'espace à vivre sont séparés de l'arrière du bâtiment par un escalier central qui mène aux deux autres niveaux de la résidence. Ne comportant que des cloisons en verre, la cuisine et le salon en double hauteur donnent accès au mur végétal de l'arrière de l'édifice via une baie vitrée en pleine hauteur, baignant ainsi les espaces de vie de lumière naturelle et les faisant bénéficier d'une ventilation optimale. En montant la première série de marche, les usagers accèdent au premier étage comportant une chambre et un bureau, tandis que le second étage, quant à lui, accueille une chambre doté d'un escalier héliocoïdale donnant accès au toit. La Planter Box House regorge d'astuces pour incarner le mode de vie sain et généreux de ses habitants, tout en inscrivant avec brio sa conception contemporaine dans un environnement luxuriant. Pour en savoir plus, visitez le site de Formzero. Photographies : Ameen Deen
Il y a 6 ans et 144 jours

Pose de béton avec Wirtgen sur l'A7 allemande

Dans le cadre de l'élargissement de l'autoroute A7 entre Hambourg et Bordesholm, le consortium autoroutier Via Solutions Nord et le groupement d'entreprises ARGE A7 Hambourg-Bordesholm ont sollicité un atelier de pose Wirtgen, composé de 2 machines à coffrage glissant SP 1500 et d'une machine de traitement de surface TCM 180i, pour la pose du béton bicouche.
Il y a 6 ans et 170 jours

La brique de terre cuite à bancher : seul petit élément de maçonnerie à obtenir un DTA pour acrotères hauts

Le Document Technique d'Application n°16/14-701_V1 couvre désormais la réalisation d'acrotères hauts à l'aide de briques terre cuite de coffrage ou " brique à bancher " montées à joints minces ou épais de mortier. La brique terre cuite à bancher est ainsi le seul petit élément de maçonnerie à obtenir un DTA pour la pose en acrotères hauts (jusqu'à 1,30 m).
Il y a 6 ans et 184 jours

Dans le Kentucky, Wirtgen facilite la pose des trottoirs et caniveaux

La société américaine Fox Enterprises a recours à des machines à coffrage glissant Wirtgen dans le cadre de son activité de pose de bordures de trottoirs, de caniveaux et de barrières de sécurité en béton.
Il y a 6 ans et 185 jours

En Allemagne, la passerelle de Kinzig est opérationnelle

Les travaux de coffrage et de bétonnage de la passerelle de Kinzig, implantée entre Steinach et Bollenbach, sont désormais terminés.
Il y a 6 ans et 185 jours

En Allemagne, la passerelle de Kinzig est opérationnelle

Les travaux de coffrage et de bétonnage de la passerelle de Kinzig, implantée entre Steinach et Bollenbach, sont désormais terminés.