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Il y a 2 ans et 151 jours

Prello transforme une longère normande en résidence traditionnelle de standing

Achevé en seulement 2 mois, ce projet de réfection a su répondre au grand enjeu du renouvellement des habitats traditionnels : concilier modernité et valorisation de l’identité architecturale locale.Une parenthèse pittoresque et paisible dans un village typique de la Haute-NormandieTransformer une maison de charme normande à colombages en un espace contemporain de bien-être, et ce tout en respectant l’esprit unique des lieux, tel était le nouveau pari de Prello.Nichée au cœur du département de l’Eure, dans un village pittoresque renommé pour ses petites ruelles boutiquières et son architecture typiquement haut-normande, la villa bénéficie d’un cadre privilégié entre littoral et campagne, à l’abri de toute nuisance. On éprouve ici le sentiment d’être hors du temps, presque hors du monde, loin de l’ordinaire, bien que la demeure soit située à proximité immédiate de toutes les commodités et à moins de trente minutes de Rouen.Cette belle résidence pouvant accueillir 11 personnes propose 292 m2 habitables répartis en 7 pièces principales sur 2 niveaux érigés sur une parcelle arborée de 4914 m2.Dès le départ, l’ensemble offre de beaux volumes parfaitement agencés et permettant différents usages : au rez-de-chaussée, une entrée, une cuisine rénovée et aménagée reliée à une grande salle à manger, un petit salon avec une cheminée et un bar, et une grande pièce de vie de 80 m2 ; à l’étage, trois chambres privatives avec toilette et douche, une chambre d’ami et une chambre d’enfants avec une salle de bain de bain commune ainsi qu’un bureau ; au sous-sol, une cave aménagée et un local technique ; au grenier, de grands espaces pour le rangement.À l’extérieur, tout a également été conçu pour garantir récréativité et détente, mais aussi praticité et autonomie à tous les résidents. Jouxtant la maison et sa terrasse, une piscine couverte et chauffée avec de grandes baies vitrées ouvrables fait face à un grand jardin. Juste à côté, un dernier bâtiment abritant un double garage et un home cinéma à l’étage complète le bien.Un subtil mélange de traditionnel contemporain Chauffage, isolation, assainissement, menuiserie, sol et revêtement… La maison était en parfait état et présentait de bonnes performances énergétiques lors de son acquisition par Prello.Récente mais restée « dans son jus », la villa nécessitait néanmoins des travaux de rafraîchissement, en particulier au niveau des peintures et des tapisseries – passées de mode et sans cohérence globale –, pour être pleinement en phase avec les attentes les plus exigeantes d’aujourd’hui. Confié à une architecte d’intérieur, le chantier s’est étalé sur 2 mois à peine, un temps record !5 grandes transformations ont ainsi été opérées, dans les espaces de vie comme de nuit. Les deux premières concernent le grand salon, qui a été entièrement repensé. Ici, la volonté était, d’une part, de donner un « coup de jeune » à la pièce, et d’autre part, d’y installer une salle de jeux.Dans cet objectif, un nouveau parquet a été posé, les peintures ont été rafraîchies et le mobilier a été intégralement remplacé. Ces modifications ont permis d’apporter luminosité et modernité à la pièce, à présent plongée dans des tons clairs de blancs, de beiges et de gris qui enveloppent l’espace de douceur. Équipé de trois grands canapés, d’un bar et d’un billard, le salon instaure désormais une ambiance chaleureuse, propice à des soirées mémorables en famille ou entre amis.La troisième transformation porte sur le petit salon avec cheminée, lui aussi mis au goût du jour. Une nouvelle fois, les peintures, l’ameublement et la décoration ont été repensés dans un style plus contemporain tout en conservant l’esprit rustique du bâti existant. Une association de couleurs tout en contraste avec des tons blanc / beige clair sur les murs qui apportent de la clarté. L’utilisation du bleu clair sur les colombages et du bleu foncé au plafond procure originalité et modernité à ce lieu singulier, tout en soulignant avec finesse les différents éléments architecturaux dans les tons naturels et doux.La quatrième transformation a consisté en l’embellissement de la salle à manger. Là encore, les peintures, l’ameublement et la décoration ont été complètement revus. Les couleurs claires et les matières naturelles ont été privilégiées pour valoriser la lumière naturelle de la pièce et mettre en avant les tomettes et poutres apparentes de la villa. Une grande nouveauté également : l’installation d’un panoramique sur mesure à même le mur de la salle. Ce grand décor confère une touche d’originalité tout en accentuant le caractère champêtre de la résidence. Enfin, la cinquième et dernière grande transformation concerne la salle de cinéma. Dans une grande pièce aux beaux volumes sous pentes, la salle a été réaménagée avec l’installation d'une VMC pour ajouter du confort de vie tout au long de l'année. Une peinture noire a été choisie, ainsi qu’un vidéo projecteur et un immense canapé, idéal pour des soirées films comme au cinéma en famille ou entre amis.Le projet de rénovation en brefLe lieu : Saint-Ouen-de-Thouberville (Eure).La surface : 292 m2 habitables (terrain de 4914 m2).Durée des travaux : 2 mois
Il y a 2 ans et 151 jours

Les lauréats des Grands prix SIMI 2022

Le palmarès 2022 a distingué 7 lauréats saluant des réalisations d’exception qui, chacune à sa manière, contribuent à « Faire de demain le plus bel endroit à vivre ».Grand prix SIMI 2022 immeuble de bureaux neuf – de 10.000 m2 :SIÈGE SOCIAL BLABLACAR PARIS (75011), présenté par 6EME SENS IMMOBILIERLe bureau, nouveau lieu de vie et d’échanges.Situé au cœur de 11e arrondissement de Paris, cet immeuble de 5000 m2 possède des qualités architecturales rares dans la capitale. Il réunit sur 8 niveaux des espaces de vie haut de gamme, une luminosité forte des bureaux, un auditorium de 175 places, un espace fitness, 8 cafétérias-tisaneries, de nombreux espaces extérieurs dont un rooftop végétalisé de 492 m2 doté d’un potager offrant une vue à 360° sur les toits de Paris...Ce véritable “Village» BlaBlaCar sert de point d’ancrage aux 500 employés de la société basés en France. Réalisé par 6e Sens Immobilier en collaboration avec le Studio Vincent Eschalier, ce nouveau bâtiment a été pensé d’abord comme un lieu de rencontres, où se mêlent espaces de travail partagés et espaces de vie. « Nous avons anticipé le changement d’usage du bureau, devenant un lieu de vie et d’échange, acteur de la cohésion sociale”, raconte Muriel Havas, Directrice de l’Environnement de Travail de BlaBlaCar.Bâtiment éco-responsable au cœur de Paris, s’inscrivant dans la démarche environnementale de BlaBlaCar, ce lieu aspire à être un modèle d’immeubles de bureaux aux usages responsables. Sa construction a respecté les critères énergétiques et environnementaux les plus exigeants et a obtenu les labels de performance environnementale BREEAM International “Very Good” et Wiresdscore Silver. Par ailleurs, “BlaBlaCar a imprimé dans la conception de son siège une intention de responsabilité, d’efficience, de bien- être et de bon sens”, souligne Damien Bertuli, DG associé de 6e Sens Immobilier.Pour conforter la politique de télétravail souple et ouverte à tous mise en œuvre par BlaBlacar, le « BlaBlaNomad », ce bâtiment a été conçu comme un lieu de rencontres entre les équipes « à même de renforcer la renforcer le lien humain, si fondamental à leur cohésion et à leur performance. » analyse Nicolas Brusson, cofondateur et CEO de BlaBlaCar. Pari réussi !Grand prix SIMI 2022 immeuble de bureaux neuf + de 10.000 m2 :SO POP SAINT-OUEN (93), présenté par COVIVIOUn projet en perpétuelle évolution.Avec ses 32.000 m² de bureaux et ses 4.000 m² d’espaces extérieurs, So Pop se construit, s’améliore, grandit au rythme de ceux qui y vivent, en intégrant l’ensemble des dimensions spatiales, sociales et culturelles.Dans le quartier de la Porte de Saint-Ouen et de la Porte Pouchet, cet immeuble tout en courbes et en larges volumes, dessiné par LBBA architecture, devient l’un des signaux d’un quartier en plein renouveau où tout s’invente et se réinvente - les Docks, l’espace 1789, le MOB Hôtel, le Conseil Général d’Île-de-France, les mobilités avec l’arrivée de la ligne 14, etc.Avec So Pop les technologies servent de ressources essentielles. En effet, la data produite in situ grâce à plus de 1.000 capteurs intelligents permet de monitorer l’immeuble. Ses services et ses surfaces privatives évoluent en fonction des données, des besoins et des habitudes. C’est dans un échange interactif avec les occupants que la métamorphose s’organise.Tel un musée, les larges surfaces murales blanches et noires du hall et de la galerie accueillent différentes expositions inspirantes et surprenantes. Le système d’assises Tribu, spécialement pensé et dessiné pour So Pop, se module pour former des ensembles cohérents et fonctionnels.Côté restauration, la palette est large grâce aux différentes offres : restaurant, cafeteria, click & collect... Côté ambiance, le restaurant principal, qui se transforme en espace de travail en dehors du déjeuner, s’inspire des marchés parisiens et audonniens et séduit par sa convivialité. Côté saveurs, des chefs et restaurateurs locaux invitent à la découverte de recettes traditionnelles mais aussi d’encas les plus exotiques.So Pop est le premier immeuble Covivio livré postCOVID. Il est une opportunité pour Covivio de marquer la transition entre l’avant et l’après : proposer un bâtiment prenant en compte les aspirations de changement de notre société avec un environnement professionnel (vraiment) évolutif et ajustable.Grand prix SIMI 2022 immeuble rénové ou réaménagement particulièrement innovantMETAL 57 BOULOGNE – BILLANCOURT (92), présenté par BNP PARIBAS REAL ESTATEUn immeuble de bureaux ouvert au public.« Metal 57 », c’est d’abord l’histoire du sauvetage, de la réinvention et de la métamorphose d’un bâtiment industriel en immeuble tertiaire.Livrée en 1984, la construction d’origine, « 57 Metal », avait été conçue pour être un atelier des usines Renault. Elle servit à du travail de modelage et de fonderie avant de se métamorphoser, au début des années 2000, en espace d’accueil de grands événements de communication de Renault suite au transfert du site de Boulogne-Billancourt à Saint Quentin. Puis désaffecté et menacé de se dégrader, l’édifice fut acquis en 2010 par un investisseur immobilier anglais décidé à faire table rase du passé pour construire une tour à la place...Pour sauver ce bâtiment emblématique conçu par l’architecte Claude Vasconi, Grand Prix National d’architecture, BNP Paribas Real Estate et l’architecte Dominique Perrault imaginèrent, en accord avec les ayant-droits de Claude Vasconi, un projet immobilier tourné vers le futur tout en préservant son histoire.Le choix fut fait de :Réhabiliter 50% du bâtiment d’origine (dont les sheds et la façade forteresse)Y intégrer un immeuble neuf en R+8 et rooftopFaire des 37.000 m2 du nouvel ensemble un site tertiaire : Fier de son passé comme le rappelle l’architecture, la structure, les volumes intérieurs et plusieurs caractéristiques de la décoration de l’immeuble réhabilitéRSE (3 certifications, 5 labels, agriculture urbaine, mobilités douces...)Multi-locataires (6 entreprises pour une utilisation à 100%)Equipé de grands plateaux de bureaux équipés en flex-offices avec 80% d’espaces collaboratifsDoté de nombreux services rassemblés autour d’une grande rue intérieureOuvert sur la ville et aux riverains (ERP 1ère catégorie)Cette porosité extérieure est une des grandes originalités de « Metal 57 » qui est une opération pilote d’ouverture d’un immeuble de bureaux au public. Ce qui va dans le sens d’une ville plus économe de ses ressources qui mutualise ses espaces et ses équipements. Habitants de Boulogne-Billancourt comme salariés des entreprises utilisatrices ou riveraines peuvent emprunter la rue intérieure qui dessert l’immeuble et autour de laquelle s’organisent de nombreux services.« Metal 57 » se veut ainsi un immeuble de destination pour se rencontrer, sociabiliser, trouver de nombreux services et bien sûr travailler.Grand prix SIMI 2022 immobilier logistiqueV.PARK COMPANS COMPANS (77), présenté par VIRTUO INDUSTRIAL PROPERTYRéalisation d’une messagerie bas-carbone de 15.273m² pour Colis Privé.Ce centre de tri et de distribution de colis d’une surface de 15.273 m² (dont 960 m² de bureaux) s’étend sur un terrain de 49.105 m² appartenant à Aéroports de Paris (ADP). Il a été conçu par le cabinet d’architecture Aeco tandis que la maîtrise d’œuvre confiée à CLC Ingénierie.La messagerie double-face dispose d’une halle de tri de 14.200 m², de 88 portes à quai et a été développée avec le soutien de l’aménageur ADP. Réalisé pour le compte de Colis Privé, spécialiste des livraisons de colis B2C à domicile et en point relais, il illustre désormais la démarche zéro émission nette de Virtuo, sur le périmètre de la construction de l’immeuble. Lancé en septembre 2021, ce projet pilote a ainsi concentré toutes les innovations et les réflexions du V.Lab de Virtuo, un laboratoire créé tout spécialement pour répondre à l’objectif de neutralité carbone des bâtiments développés par l’entreprise.Le projet du V. PARK COMPANS est né :D’un besoin : celui de Colis Privé (le client) de disposer d’une plateforme moderne et durable pour assurer sa croissance ;D’une attente forte : celle d’ADP en sa qualité d’aménageur éco-responsable qui souhaitait attribuer les terrains à un promoteur engagé dans une vraie démarche environnementale ;D’une exigence : celle de la Mairie de Compans d’accueillir sur son territoire un immeuble exemplaire, qui puisse servir de référence à de futurs promoteurs,D’une conviction : celle d’Argan (en sa qualité d’investisseur engagé) ;D’une volonté : celle de Virtuo (en sa qualité de porteur de projet) de s’inscrire dans une démarche innovante.C’est ainsi qu’un consensus a été trouvé, toutes les parties prenantes unies, autour d’un même projet et objectif, à la recherche de l’excellence... Virtuo a accompagné son client, son investisseur, ses partenaires, en étant à la hauteur de leurs attentes.Preuve en est, le V.PARK COMPANS n’est pas un bâtiment comme les autres. En effet, l’enjeu n’était pas de construire l’immeuble le plus imposant, ni le plus haut mais de pousser le curseur sur le volet de l’éco-responsabilité et celui de la recherche d’économie d’énergie, qui sont les vrais enjeux de demain. Virtuo a, par ses actions, réduit l’impact carbone du projet de 30% et initié une action complémentaire pour restaurer l’impact environnemental de son bâtiment. Il vise aujourd’hui à obtenir le Label BiodiverCity et la certification Breeam Excellent.Grand prix SIMI 2022 immobilier mixteL’ODYSSEE LES ULIS (91), présenté par SIVUn immeuble techtiaire, acteur du renouvellement économique du territoire.Conscient des enjeux sociétaux et notamment de la demande croissante des filières scientifiques sur le territoire de Paris-Saclay, SIV (Société foncière d’investissement du groupe Mercator) acquiert, fin 2020, l’Odyssée, un immeuble de bureaux de plus de 3.300m2 sur 3 niveaux aux Ulis, pour accueillir des laboratoires et start-ups scientifiques.Son challenge : Répondre aux besoins très spécifiques de la filière scientifique, tout en garantissant une sobriété énergétique Redéfinir les espaces : laboratoire, bureau, technique, privatif ou partagé, afin de créer un environnement collaboratif, innovant et dynamique Rénover l’immeuble en moins de six mois pour les premières livraisonsSon idéologie : Préservation des ressources et de l’environnement Performance technologique et innovation Développement de l’écosystème scientifique Collaboration étroite avec l’agglomération Paris-SaclayDans le cadre d’une démarche environnementale, SIV a pris le parti de rénover plutôt que détruire pour reconstruire. Son programme s’est articulé autour des principes de l’immobilier bas-carbone, à savoir un maximum de réemploi dans les matériaux, le choix de mobiliers recyclés ou encore le don d’équipements non utilisés.L’Odyssée accueille aujourd’hui 4 laboratoires sur plus de 80% de l’immeuble et joue un rôle d’acteur du renouvellement économique du territoire salé par l’agglomération de Paris Saclay. Il sera bientôt rejoint par un second programme sur la même parcelle : l’Iliade, développé par SIV en 2023.Grand prix SIMI 2022 immobilier mixteMORLAND MIXITE CAPITALE PARIS ( 75004), présenté par EMERIGELe prototype de la ville de demain.En plein cœur de Paris, la réhabilitation de l’ancienne cité administrative de la préfecture de la Seine incarne le prototype de la ville de demain : mixte, vertueuse, désirable. C’est là le site le plus ambitieux de l’Appel à projets urbains innovants « Réinventer Paris » lancé en novembre 2014 par la Ville de Paris auprès des promoteurs, investisseurs, concepteurs du monde entier et remporté par Emerige.Conçue par une équipe de grands talents français et internationaux composée de David Chipperfield Architects Berlin, CALQ, Michel Desvigne et Studio Other Spaces, Ólafur Elíasson et Sebastian Behmann, l’œuvre architecturale issue du patrimoine historique est aujourd’hui un modèle durable de la ville du futur rassemblant, en un maillage complexe et innovant, onze programmes différents : des bureaux, un marché alimentaire, une crèche associative, une piscine, un spa et un fitness, un hôtel 5 étoiles de 162 chambres, une auberge de jeunesse de 404 lits, des commerces, des restaurants, un bar, des logements sociaux et privés, de l’agriculture urbaine, une galerie d’art. Plus de 43.000 m² dédiés à une mixité fonctionnelle et sociale ou la promesse d’espaces de vie ouverts à tous, Parisiens et visiteurs de Paris.La dimension environnementale y est pionnière, enrichie par la présence d’agriculture urbaine et de forêts miniatures. Morland Mixité Capitale est emblématique de cette vaste reconfiguration des villes appelant chaque citoyen à participer à l’expérimentation de nouvelles manières de vivre ensemble.Grand prix SIMI 2022 coup de cœur du juryLE 1 SAINT THOMAS PARIS 75007, présenté par SOGELYM DIXENCELe nouveau site du campus parisien de Sciences Po.Situé en cœur d’îlot dans l’un des quartiers les plus renommés de Paris, Saint Germain des Prés, ce projet vise à regrouper dans l’ancien Hôtel de l’Artillerie plusieurs unités d’enseignement et de recherche de Sciences Po jusqu’alors disséminés.La préoccupation principale de l’équipe architecturale – Wilmotte & associés, Moreau Kusunoki et Pierre Bortolussi, architecte en chef des Monuments Historiques – a consisté à désenclaver la parcelle, à connecter les 3 cours existantes par un axe de circulation majeur et à relier ce nouveau bâtiment au 13 rue de l’Université, autre propriété de l’école. Ceci afin de proposer aux étudiants un grand site unique et unifié de 20.000 m2 aux articulations fluides tout en préservant la majesté des bâtiments à haute valeur patrimoniale. Pour ce faire, une large poutre horizontale de 4.300 m2 a été construite, véritable socle contemporain sur lequel repose le bâti ancien, fédérateur et garant de l’unité du lieu.Le lieu comprend trois beaux jardins paysagés par l’agence Mugo, un amphithéâtre de plein air pour favoriser les rencontres et accueillir les événements.La réalisation de ce campus a mis en avant le savoir-faire ancestral de nombreux métiers d’art (pas moins de 70 entreprises sont intervenues) notamment dans le domaine de la pierre, de la charpente et de l’architecture. Mêlant patrimoine, nature et innovation au cœur de la ville historique, cette réalisation exceptionnelle du nouveau campus de Sciences Po pose les jalons d’une nouvelle typologie de campus urbain pour le XXe siècle.Un jury d’experts présidé par :BERNARD MICHEL président du conseil d’administration de VIPARIS, le jury est composé de directeurs immobiliers de grandes entreprises françaises :GILLES ALLARD Président d’honneur de l’Association des Directeurs ImmobiliersJÉROME ARNAUD Directeur Immobilier groupe ALSTOMSABINE BRUNEL Directeur de l’Immobilier AXA FranceSOLANGE DARBES – PICCA Directrice de l’immobilier et des services généraux BANQUE DE FRANCEVALÉRIE FOURTHIES Directrice de l’Immobilier VEOLIA ENVIRONNEMENTFRÉDÉRIC GOUPIL DE BOUILLE Directeur exécutif SNCF IMMOBILIER Président de l’Association des Directeurs ImmobiliersADRIEN RAFFIN Real Estate Manager DOCTOLIBDIANE DE SARNEZ Directeur Immobilier – NAVAL GROUPMARIE-ALBA TERNISIEN Head of Corporate Real Estate STELLANTISEDDIE TURCON Directeur Immobilier Groupe VEEPEE
Il y a 2 ans et 152 jours

Économie circulaire, énergie, rénovation, logement... changements et entrées en vigueur au 1er janvier 2023

Mieux consommer, mieux produirePour les particuliers : Fin de la vaisselle jetable dans les fast-food pour les repas consommés sur place : La vaisselle jetable est interdite dès le 1er janvier 2023 dans les établissements de restauration rapide, pour tout ce qui est consommé sur place : les repas seront désormais servis dans de la vaisselle lavable et réutilisable. Cela concerne les enseignes servant plus de 20 couverts simultanément. Mise en place de la reprise en magasin des produits usagés pour les jouets, les articles de sport et de loisirs, ainsi que les articles de bricolage et de jardinage : Les consommateurs pourront désormais déposer leurs produits usagés ou cassés directement en magasin, dans des bornes de collecte spécifiques mises à disposition. Ils pourront ainsi être réparés pour avoir une deuxième vie ou seront sinon recyclés. Collecte de tous les déchets d’emballages plastiques dans le bac jaune : Tous les Français de Métropole pourront désormais trier les emballages plastique dans le bac jaune afin qu’ils soient recyclés. Pour les professionnels : Disponibilité des pièces détachées pendant au moins 5 ans pour allonger la durée de réparation des produits : Les pièces détachées des équipements électro-ménagers, des petits équipements informatiques et télécommunications, des écrans et des moniteurs, des outils de bricolage et de jardinage motorisés (perceuses, tondeuses à gazon…), des articles de sport et de loisirs, y compris les bicyclettes, les bicyclettes à assistance électrique et les engins de déplacement personnel motorisés, devront être disponibles pendant au moins 5 ans. Cette mesure permettra d’allonger la durée de réparation de ces produits. Les moquettes ou tapis utilisés dans le cadre d’événements (type salons) intègrent la filière REP des éléments d’ameublement : Cela leur permettra à présent d’être collectés, réutilisés et recyclés. Rappelons qu’en France, l'équivalent d'une route de moquette Lille-Marseille est jetée chaque année. Obligation pour les sites industriels manipulant des granulés de plastiques de se doter de filtres pour lutter contre la pollution du plastique : La loi anti-gaspillage prévoit l'obligation pour les sites manipulant des granulés de plastiques industriels de se doter d’équipements et de procédures pour prévenir les fuites de granulés plastiques dans l’environnement, et de faire l’objet d’inspections régulières par des organismes certifiés indépendants. Cette disposition entre en vigueur le 1er janvier 2023 pour les sites dont l’exploitation a démarré avant 2021. Démarrage de la nouvelle filière REP des déchets du bâtiment : A compter du 1er janvier 2023, les déchèteries qui collectent les déchets du bâtiment et les entreprises de la construction pourront demander à l’un des éco-organismes agréé pour cette nouvelle filière de prendre en charge gratuitement les déchets du bâtiment. Le maillage de points de collecte gratuits des déchets du bâtiment sera étendu tout au long de l’année 2023. Les déchets pourront ainsi être réutilisés ou recyclés. Mieux se loger Pour les particuliers : Revalorisation des aides personnelles au logement (APL) Au 1er janvier 2023, les aides personnelles au logement (APL) seront rehaussées. Il s’agit d’une revalorisation du paramètre de ressources R0 (niveau de ressources en dessous duquel l'aide est maximale), conformément à l'article D. 823-17 du Code de la construction et de l'habitation (revalorisation à l'IPCHT - Indice des prix à la consommation hors tabac, dont le niveau est supérieur aux 4% appliqués en juillet par décret n° 2022-1096 du 29 juillet 2022). En outre, pour répondre à la demande des collectivités ultramarines, le plafonnement à 6 personnes à charge dans le barème du calcul des aides en Outre-mer sera supprimé. Augmentation des plafonds de loyer du dispositif de réduction fiscal “Loc'Avantages” Les plafonds de loyer du dispositif de réduction d'impôt "Loc'Avantages" seront augmentés en 2023 de la variation de l'indice de référence des loyers (IRL) calculée entre les valeurs des deuxièmes trimestres 2021 et 2022, soit une hausse significative de + 3,60%. Révision des plafonds encadrant le logement locatif social et l'accession sociale à la propriété Au 1er janvier 2023, les plafonds encadrant le logement locatif social et l'accession sociale à la propriété seront revalorisés pour tenir compte de l'inflation et de l'évolution des coûts de construction. Ces revalorisations, qui visent notamment à garantir un ciblage social adéquat de ces dispositifs de soutien au logement, concerneront :les plafonds de ressources pour l'éligibilité à un logement locatif social (PLAI, PLUS, PLS) sur l'ensemble du territoire ;les plafonds de ressources et de prix d'acquisition pour le PSLA et le BRS ;les plafonds de loyer pour la phase locative du PSLA. Révision des plafonds de ressources dit « ANAH » Les plafonds de ressources dit « ANAH » concernant les ménages modestes et très modestes seront révisés à hauteur de 6,3% pour 2023 par rapport à 2022 afin d'intégrer les impacts de l'inflation observée en 2022. Ces plafonds de ressources sont également pris en compte pour vérifier l'éligibilité aux aides de l'ANAH - Agence nationale de l'habitat (MaPrimeRénov' Sérénité, MaPrimeRénov' Copropriétés, Habitat indigne), le dispositif MaPrimeRénov', les CEE (Certificats d'économie d'énergie) précarité énergétiques, le dispositif de garantie de couverture de reste à charge pour les plus modestes (FGRE) comme l’Éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ) et le prêt Avance rénovation (PAR). Démarrage du dispositif « MonAccompagnateurRenov » L'accompagnement obligatoire des ménages lors de rénovations énergétiques de l'habitat privé sera mis en œuvre à compter du 1er janvier 2023 et concernera dans un premier temps les rénovations pour lesquelles les aides MaPrimeRénov’ Sérénité (MPRS) seront mobilisées. Logement décent : évolution des critères La loi Climat & Résilience a demandé l'introduction d'un critère de performance énergétique minimal dans la définition du "logement décent". À compter du 1er janvier 2023, un logement sera qualifié de énergétiquement décent lorsque sa consommation d'énergie (chauffage, éclairage, eau chaude, ventilation, refroidissement...), estimée par le DPE et exprimée en énergie finale par mètre carré de surface habitable et par an, sera inférieure à 450 kWh/m2 en France métropolitaine. Les logements les plus énergivores, dont la consommation d'énergie dépasse cette valeur, ne pourront plus être proposés à la location.Mieux se déplacer Pour les particuliers : Plan national covoiturage du quotidien : Une prime de 100€ pour les primo-conducteurs À partir de janvier 2023, les conducteurs qui se lancent dans le covoiturage de courte distance recevront une prime de 100€, reversée par les plateformes de covoiturage, sous la forme d’un versement progressif : une première partie au 1er covoiturage (25€ minimum) et le reste au 10e covoiturage, dans un délai de 3 mois à compter de son premier covoiturage. Un soutien aux covoitureurs en complément des collectivités sur le principe 1 € de l’État pour 1 € de la collectivité Le Gouvernement soutiendra aussi le covoiturage dans la durée en finançant la moitié de l’incitation financière que proposent certaines collectivités aux conducteurs et passagers sur la base du principe 1 € de l’État pour 1 € de la collectivité. Cela incitera davantage de collectivités à lancer de tels dispositifs et celles qui le font déjà à les poursuivre.Prolongation et renforcement des aides à l’achat vélo Afin de favoriser l’équipement des ménages et notamment des plus précaires, les aides à l’achat de vélo (bonus et prime à la conversion) ont été renforcées du 15 août au 31 décembre 2022. Ces aides seront prolongés sur l’ensemble de l’année 2023. De plus, pour accompagner un nombre plus important de Français dans l’achat de vélos, les seuils d’éligibilité seront rehaussés, à partir du 1er janvier 2023, pour couvrir 50% des ménages les plus modestes (revenu fiscal de référence par part inférieur à 14.089 €, contre 13.489 € actuellement) et 20% pour les aides renforcées (revenu fiscal par part inférieur à 6.358 € contre 6.300 € actuellement). Le bonus écologique pour l’acquisition d’un véhicule neuf électrique À compter du 1er janvier 2023, le bonus écologique pour l'acquisition d'un véhicule neuf sera réservé aux voitures particulières électriques dont le coût d'acquisition est inférieur à 47.000 euros et la masse inférieur à 2,4 tonnes, et aux camionnettes électriques. Le montant d'aide pourra s'élever jusqu'à 5.000 euros pour l'acquisition d'une voiture et 6.000 euros pour une camionnette. Comme annoncé par le Président de la république lors du Mondial de l'automobile, ces montants d'aide seront augmentés de 2.000 euros pour les ménages dont le revenus de référence par part est inférieur à 14.089 euros (soit 50% des ménages), soit une aide maximale de 7.000 euros pour l'acquisition d'une voiture et 8.000 euros pour une camionnette. Concernant la prime à la conversion, elle sera réservée aux ménages dont le revenus de référence par part est inférieur à 22.983 euros (soit 80% des ménages). Son montant sera renforcé pour les ménages des deux premiers déciles de revenus (RFR/part inférieur à 6.358 €) et pour les ménages des cinq premiers déciles de revenus et gros rouleurs (RFR/part inférieur à 14.089 €) pour lesquels la prime pourra atteindre jusqu'à 6.000 euros pour l'acquisition d'une voiture et 10.000 euros pour l'acquisition d'une camionnette. De plus, le montant de la prime sera majoré de 1.000 euros dans les ZFE et jusqu'à 3.000 euros si une collectivité locale octroie une aide de même nature en ZFE. Pour les professionnels : Le forfait mobilités durables (FMD) Dans toute la fonction publique, le FMD passera au 1er janvier 2023 de 200€ à 300€.De plus, l'élargissement du FMD aux engins de déplacement personnel, motorisés et non motorisés, aux services de mobilité partagée, et la possibilité de cumul de ce forfait avec le remboursement partiel d’un abonnement de transport en commun sera possible de manière rétroactive au 1er septembre pour la fonction publique d'Etat et hospitalière, et applicables au 1er janvier pour la fonction publique territoriale. Entrée en vigueur du nouveau dispositif sur la captation aérienne de données Le 1er janvier 2023 entre en vigueur du décret n° 2022-1397 du 2 novembre 2022 portant application de l'article L. 6224-1 du code des transports relatif au régime encadrant la captation et le traitement des données recueillies depuis un aéronef dans certaines zones. Ces dispositions concrétisent la refonte, la modernisation et la simplification des dispositions actuelles relatives aux zones interdites de prise de vue aérienne. Les régimes d’autorisation pour les prises de vue en dehors du spectre visible et de déclaration préalable pour les prises de vue dans le champ du spectre visible sont supprimés. Subsiste un régime d’autorisation pour les prises de vue de zones identifiées comme particulièrement sensibles du point de vue de la défense ou de la sécurité nationale. Mieux protéger notre santé Qualité de l’air extérieur Plusieurs zones à faibles émissions sont renforcées au 1er janvier 2023 : Montpellier : renforcement des restrictions de circulation dans la ZFE-m : sont désormais concernés les Crit'air 5 et non classés pour les véhicules légers, Crit'air 4 et plus pour les véhicule utilitaire léger et les poids lourds ;Nice : entrée en vigueur des restrictions de circulation dans la ZFE-m pour les Crit'air 5 (véhicules légers et véhicules utilitaires légers), et Crit'air 4 et plus pour les poids lourds ;Reims : entrée en vigueur des restrictions de circulation dans la ZFE-m pour les Crit'air 4 et plus ;Strasbourg : poursuite des restrictions pour les véhicules Crit'air 5 et non classés. Le prix de la vignette Crit'Air passera de 3,70 à 3,72 € frais de port inclus pour un envoi en France. Qualité de l’air intérieur : un nouveau dispositif de surveillance Le dispositif de surveillance de l'air intérieur dans les établissements recevant du public (ERP) est révisé dans le cadre du quatrième Plan national santé environnement. Intégrant les acquis de la crise de la Covid-19, cette révision a permis de rendre la surveillance de la qualité de l’air intérieur (QAI) plus complète et adaptée tout en facilitant son appropriation par les acteurs concernés. Le dispositif révisé est désormais constitué des quatre volets suivants : une évaluation annuelle des moyens d’aération des bâtiments incluant notamment une mesure à lecture directe de la concentration en dioxyde de carbone de l'air intérieur ;un autodiagnostic de la QAI, réalisé au moins tous les quatre ans ;une campagne de mesures des polluants réglementaires réalisée à chaque étape clé de la vie du bâtiment pouvant impacter la QAI ;un plan d’actions régulièrement actualisé, proposant des actions correctives à mettre en œuvre afin d’améliorer la QAI en prenant en compte les résultats de la surveillance. Mise en place d’indicateurs de bruit dans les transports ferroviaires L'arrêté du 29 septembre 2022 pris en application de l’article 90 de la loi n°2019-1428 du 24 décembre 2019 d’orientation des mobilités fait suite à trois avis du Conseil National du Bruit rendus depuis l'adoption de la loi. Cet arrêté prévoit la mise en place d’indicateurs de gêne due à la soudaineté, la répétitivité et à l’intensité du bruit des infrastructures de transport ferroviaire. L’arrêté précise les modalités applicables d’évaluation des nuisances sonores des infrastructures de transports ferroviaires durant une période d’observation de 6 mois entre le 1er novembre 2022 et le 30 avril 2023 pour un panel représentatif d'infrastructures existantes, et pour deux années et demi à compter du 1er mai 2023 pour toute nouvelle infrastructure ferroviaire. Mieux prévenir les risques, mieux s’adapter Pour les particuliers : Décret n° 2022-1289 du 1er octobre 2022 relatif à l'information des acquéreurs et des locataires sur les risques L’information des acquéreurs et des locataires (IAL) fait partie des diagnostics immobiliers obligatoires que les propriétaires doivent adresser aux futurs acquéreurs ou locataires. Un état des risques doit figurer dans le dossier de diagnostic technique annexé à la promesse et à l’acte de vente ou au bail de location. A partir du 1er janvier 2023, ce dispositif d'information évolue : avant d'acheter ou de louer un bien, vous serez ainsi mieux informés des risques auxquels ce bien est exposé dès l'annonce immobilière, l’acheteur ou le locataire pourra se renseigner sur ces risques en allant sur le site georisques.gouv.fr ;l'état des risques sera remis dès la première visite du bien et non plus au moment de la finalisation de la transaction. Par ailleurs, l'état des risques intègre désormais le phénomène de recul du trait de côte : l’acheteur ou le locataire saura donc si le bien est soumis à ce phénomène lorsque la commune est concernée. Pour les professionnels de l'immobilier, leurs obligations évoluent : l'annonce immobilière, quel que soit son support devra comporter la mention suivante : “Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr” l'état des risques devra être remis dès la première visite et actualisé en tant que de besoin lors des phases suivantes de la transaction." Dans le domaine des sites et sols pollués (secteurs d’information sur les sols)Évolutions pour les vendeurs et bailleurs :obligation de transmettre un document d'information sur la pollution des sols dont le contenu est conforme au R. 125-26 du code de l'environnement (ce contenu n'était jusqu'alors pas défini),obligation d'annexer ce document dès la promesse de vente (ou au contrat préliminaire en cas de vente en l'état futur d'achèvement), et pas seulement à l'acte authentique, comme préalablement. Pour les professionnels Gestion des sites et sols pollués : publication du décret relatif à la définition des types d'usage dans la gestion des sites et sols pollués Évolutions pour les exploitants : Obligation de définir l'usage futur du site au moment où l'installation classée sera mise à l'arrêt définitif, pour les demandes d'autorisation déposées après le 1er janvier 2023 et les cessations notifiées après cette date (pour rappel l'usage est déterminé en concertation avec les maires ou les présidents d'EPCI compétent en matière d'urbanisme, et les propriétaires de terrain) Évolutions pour les porteurs de projets : Depuis la loi ALUR, un porteur de projet qui souhaite implanter une nouvelle activité avec un changement d'usage sur une ancienne installation classée pour l’environnement (ICPE), doit faire appel à un bureau d’étude qui certifiera ou non de la nécessité de dépolluer le site. Le facteur déclenchant cette obligation à savoir un changement d'usage, est précisé dans ce décret et s'appliquera dans ce contexte pour tous les permis de construire, permis d'aménager ou toutes les demandes préalables de travaux déposés à partir du 1er janvier 2023.Obligation pour les maîtres d'ouvrage de projets comportant un usage d'accueil de populations sensibles (jeunes enfants, femmes enceintes, personnes âgées, fragiles) de transmettre l'attestation prévue aux articles L. 556-1 et L. 556-2 du code de l'environnement (dite ATTES-ALUR) à l'Agence Régionale de Santé, et, si le site est un site ayant accueilli une installation industrielle, à l'inspection des installations classées. L'objectif est d'informer les services de l’État le plus amont possible de manière qu'ils soient en capacité de réagir en cas de projets susceptibles de présenter des risques pour la santé des populations destinées à fréquenter ces établissements. Suite à l’incendie de Lubrizol et de Normandie Logistique en septembre 2019 à Rouen, plusieurs mesures entreront en vigueur dès le 1er janvier pour améliorer la maîtrise des risques des sites industriels déjà en activité afin de garantir la sécurité des riverains vivant aux alentours de ces sites, ainsi que la préservation de l’environnement : Le stockage de liquide très inflammable dans des contenants susceptibles de libérer leur contenu, tels que des conteneurs plastiques, est désormais interdit au sein des installations de stockages de liquides inflammables à autorisation ainsi que dans les entrepôts de matières combustibles.Les installations de stockages de liquides inflammables à autorisation ainsi que les entrepôts de matières combustibles à autorisation et enregistrement doivent avoir réalisé au 1er janvier une « étude des flux thermiques en limite de site », qui doit permettre d’identifier les éventuels risques de propagation d’un incendie au voisinage immédiat (« effet domino »), puis définir et programmer, le cas échéant, les mesures correctives nécessaires pour remédier à cette situation. Entrée en vigueur pour les installations Seveso de la disposition visant l’identification des produits de décomposition dans les études de dangers et l’anticipation des premiers prélèvements environnementaux en cas d’accident. Les nouvelles études de dangers ou mises à jour réalisées après le 1er janvier devront ainsi contenir une partie spécifique relative à l’identification des produits de décomposition en cas d’incendie important. Il devient également obligatoire d’inclure dans les nouveaux plans d’opérations interne POI) ou lors des prochaines mises à jour, les dispositions relatives à l’organisation de ces premiers prélèvements environnementaux. L’ensemble des établissements Seveso Seuils bas devront avoir établi un plan d’opération interne au 1er janvier 2023. Prévention des pollutions industrielles L'arrêté ministériel du 24 août 2017 concernant les rejets de substances dangereuses dans l'eau en provenance des installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE), appelé arrêté "RSDE", a imposé la surveillance par les industriels de nouvelles substances dangereuses susceptibles d'être présentes dans les rejets de leurs effluents. Pour ces substances dangereuses visées par une directive européenne de 2013, après cette phase initiale de surveillance, l'exploitant doit, à partir du 1er janvier 2023, respecter des valeurs limites de concentration dans ses rejets dans l'eau mais aussi rechercher la réduction maximale de ses émissions. On trouve notamment dans cette liste de 27 substances, les dioxines, le mercure et une substance perfluorée, l'acide perfluororooctanesulfonique plus connus sous le nom de PFOS.Mieux engager les territoires Augmentation de la dotation globale de fonctionnement de 320 M€ - une première depuis 13 ans La dotation globale de fonctionnement (DGF) prévue dans le projet de loi de finances pour 2023 est portée de 210 à 320 M€ :200 M€ sur la dotation de solidarité rurale,90 M€ sur la dotation de solidarité urbaine,30 M€ sur la dotation d’intercommunalité.Grâce à cet effort inédit depuis 13 ans, 95% des communes verront leur dotation se maintenir ou progresser, contre la moitié en 2022 et un tiers en 2023 si rien n’avait été fait.Soutien aux collectivités en situation de tension énergétiqueLes mécanismes de soutien budgétaire mis en œuvre pour aider les collectivités locales à lutter contre les effets de l'inflation entrent en vigueur : amortisseur électricité, filets de sécurité, tarif règlementé de vente ;L'année 2023 verra la mise en œuvre effective du filet de sécurité voté dans la dernière LFR Ce sont aussi les ressources qui vont augmenter en 2023 : pas de plafonnement de l'indexation des bases fiscales, ce qui donnera des recettes supplémentaires aux collectivités. Le quintuplement de l'enveloppe à destination des communes en grande difficulté, qui atteint 10M€ Mise en place du fonds vert Mise en place d’un fonds d’accélération inédit pour la transition écologique dans les territoires (fonds vert) doté de 2 Md€. Complémentaire aux dotations d’investissement de l’État, le fonds vert répond à un triple objectif :renforcer la performance environnementale ; adapter les territoires au changement climatique ; améliorer le cadre de vie. Suppression de la CVAE qui entraîne, en compensation, le versement d'une fraction de TVA dynamique dès 2023 La suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) est étalée sur 2 ans (2023 et 2024). Le mécanisme de compensation proposé dès 2023 repose sur la TVA avec 2020-2023 comme période de référence. Il permet une augmentation de la compensation de 19,5% par rapport à la CVAE touchée en 2022. Pour le bloc communal, sa dynamique sera répartie selon des critères économiques de taille (surface et effectifs) des entreprises. Pour les départements, la dynamique sera soclée, à la demande de l’Assemblée des départements de France (ADF). Renouvellement de l'Observatoire des territoires Créé en 2004, l'Observatoire des territoires est placé auprès du ministre chargé de l'aménagement du territoire. Il est chargé de rassembler, d'analyser et de diffuser les données relatives aux dynamiques et aux disparités territoriales ainsi qu'aux politiques menées dans le champ de l'aménagement et du développement des territoires. Le mandat précédent de son conseil d'orientation a pris fin au 31 décembre 2022. S'inscrivant de façon pertinente dans l'action de l'État en faveur de la cohésion des territoires, son renouvellement a été acté par décret. Actualisation du classement des communes en ZRCV Partant du constat d'une perte de dynamisme et d'attractivité des villes moyennes, la loi portant évolution du logement, de l'aménagement et du numérique (Elan) du 23 novembre 2018 a donné aux élus locaux les moyens de revitaliser les centres-villes par la création d'un contrat intégrateur – l'opération de revitalisation de territoire (ORT). Afin de compléter ce dispositif, la loi de finances pour 2020 a créé les zones de revitalisation des centres-villes (ZRCV), adossées aux ORT. Il s'agit d'un outil de soutien fiscal aux petites et moyennes entreprises (PME) exerçant une activité commerciale ou artisanale. Un arrêté actualise, pour l'année 2023, la liste des communes éligibles aux ZRCV (101 communes sont ajoutées et 3 sortent du classement) : 474 communes sont éligibles en 2023 à ce dispositif.Le mandat précédent de son conseil d'orientation a pris fin au 31 décembre 2022. S'inscrivant de façon pertinente dans l'action de l'État en faveur de la cohésion des territoires, son renouvellement a été acté par décret. Améliorer l’information du public en garantissant la disponibilité de l'ensemble des documents d'urbanisme sur un site internet unique A compter du 1er janvier 2023, le caractère exécutoire des documents d'urbanisme sera conditionné à leur publication électronique sur le Géoportail de l'urbanisme. Cette publication sur le Géoportail de l'urbanisme était déjà obligatoire depuis le 1er janvier 2020, sans toutefois que l'absence de publication n'ait de conséquence pour les actes des collectivités territoriales. L’ordonnance n° 2021-1310 du 7 octobre 2021 portant réforme des règles de publicité, d'entrée en vigueur et de conservation des actes pris par les collectivités territoriales et leurs groupements renforce cette obligation en conditionnant désormais le caractère exécutoire des documents d'urbanisme à leur publication sur le Géoportail de l'urbanisme et à leur transmission aux services de l’État chargés du contrôle de légalité.
Il y a 2 ans et 152 jours

Réouverture de la villa Savoye

Le CMN, en concertation avec la conservation régionale des monuments historiques, a souhaité que l’intervention reste dans le cadre d’une stricte réparation du dernier état historique connu du monument. Elle a été menée sous la maîtrise d’œuvre de Laurent Alberti, architecte urbaniste en chef de l’Etat, conservateur de la villa Savoye. Pour traiter l’ensemble des pathologies identifiées par le constat d’état, sur les murs, sols, portes, menuiseries et tablettes du 1er étage, plus d’une dizaine d’artisans ont œuvré sur ce chantier. La mise en couleurs a nécessité 210 litres des huit nuances de peintures issues de la gamme « Salubra », un nuancier de 43 couleurs que Le Corbusier formalisa en 1931, et qui combine différentes ambiances nommées « Claviers de couleurs ». L’ensemble des parquets, revêtements dévolus aux chambres, a été traité pour uniformiser leur aspect et intensifier leur protection. Les sols carrelés ont été nettoyés et le revêtement de la rampe a été changé entièrement. Les portes intérieures et donnant sur l’extérieur ont été restaurées sur site ou en atelier et complétées des rosaces et poignées manquantes. L’intervention sur la verrière de la rampe qui donne sur le jardin terrasse s’est concentrée sur le traitement des principaux points de corrosion et a nécessité la dépose de quelques vitres. Lors de la repose, plusieurs de ces vitres ont été changées avant la remise en peinture des mastics. Dans le souci d’améliorer la perception de l’espace originel du hall d’entrée, le mobilier destiné à l’accueil-billetterie a été installée derrière le guéridon.
Il y a 2 ans et 163 jours

Quel élément bien particulier 1 propriétaire sur 4 rêverait d'ajouter à son intérieur ?

La cheminée, l'élément le plus regretté en cette période de fêtes…Et c'est la cheminée (ou le poêle) qui est l'élément le plus regretté pour près d'un quart des propriétaires. Vient ensuite l'envie d'avoir une salle à manger plus grande, un salon plus spacieux (19%), pour accueillir de grandes tablées, ou des chambres en plus (19%) pour héberger confortablement ses invités.… mais pas le plus recherché pour un achat immobilier.En revanche, quand il s'agit de prioriser les éléments susceptibles de leur donner envie d'acheter un bien, seuls 13% de Français citent la présence d'une cheminée comme déclencheur de coup de cœur décisif. Le jardin, plébiscité lors des confinements liés à la crise sanitaire, reste incontournable (45% de citations), suivi par la taille du salon/salle à manger (30%) et la pièce en plus ou garage (20%). Si la cheminée ne semble séduire qu'en cette période hivernale, il n'est pas exclu qu'elle soit de plus en plus recherchée par des Français en quête d'économies d'énergie.* Enquête YouGov France, réalisée sur 1001 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire YouGov France pour le compte de SeLoger, du 28 au 29 novembre 2022.
Il y a 2 ans et 164 jours

Comment la pandémie a-t-elle redéfini l’usage et la conception du logement dans le monde entier ?

En s'appuyant sur les données provenant de 12 pays* en Europe, Amérique du Nord et au Moyen-Orient, PlanRadar fournit une analyse détaillée de l'influence de la pandémie sur la conception et l'usage du logement. Ainsi portée par le développement du travail à distance, la maison du futur se doit d'être davantage fonctionnelle, durable et connectée pour s'adapter aux nouveaux besoins de ses occupants. Le logement sera plus grand et modulableAujourd'hui en Europe, la République Tchèque est le pays en Europe où la surface minimum d'une pièce de vie est la plus grande : 16 m². L'Italie suit de près, avec une surface minimum de 14 m². La France semble se situer dans la moyenne (9 m²), loin des Etats-Unis (6,5 m²) et des Emirats Arabes Unis (3 m²).L'enquête de PlanRadar révèle surtout que dans la plupart des pays étudiés, la taille minimale des logements augmente, alors que les surfaces moyennes par habitant restent très disparates d'un pays à l'autre : 46 m² en Allemagne et 27,5 en Pologne par exemple. En Autriche, la taille des logements est passée de 86 m² dans les années 90 à 99,2 m² en 2015. En France, la taille minimum des logements pouvant bénéficier d'aides fiscales immobilières (Pinel) va doubler en 2023, pour passer à 28m² pour un T1. La tendance va donc vers une augmentation de la taille minimale des surfaces.Avec l'émergence du télétravail et du travail hybride, la frontière entre espace privé et espace de travail s'est progressivement amincie participant à l'émergence de nouveaux besoins et désirs de ses occupants. Ainsi, des millions de propriétaires et de locataires recherchent désormais des logements dotés d'un espace où ils peuvent travailler sans être interrompus par la vie de famille. Lorsque cela n'est pas possible, ils recherchent un mobilier flexible qui leur permet de transformer certaines pièces en bureau pendant la journée, avant de les réaménager en cuisine, salon ou chambre, la journée de travail terminée.L'étude de PlanRadar montre que les espaces multifonctionnels sont à présent une priorité dans 7 pays sur les 12 étudiés (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, Slovaquie, Italie et les Émirats Arabes Unis). Certains pays comme la France, les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Autriche affirment même que les bureaux à domicile seront une tendance clé à l'avenir.De nouvelles aspirations vers des espaces partagés et durablesDe plus en plus préoccupés par la crise climatique, les citoyens se tournent vers le « vivre durable ». Cette aspiration partagée dans la majorité des pays, se décline sous différents prismes. L'Allemagne, la France et la République Tchèque misent sur les matériaux biosourcés tandis que le Royaume-Uni priorise les maisons passives. De leur côté, les États-Unis orientent leurs efforts vers la mobilité durable avec le développement de bornes de recharge pour les véhicules électriques. Tous sont soucieux de l'impact du mobilier sur l'environnement. 9 pays sur les 12 interrogés s'attendent à ce que leurs meubles soient fabriqués à partir de matériaux recyclés, durables ou d'origine naturelle. Ainsi, quatre pays (Allemagne, Autriche, France et Hongrie) montrent un intérêt pour les meubles d'origine locale, à la fois pour soutenir les efforts de durabilité et pour éviter les retards d'approvisionnement observés pendant la pandémie de COVID-19. L'Allemagne quant à elle est le seul pays à exprimer un intérêt pour les surfaces autonettoyantes et les matériaux antibactériens.Enfin, l'enquête révèle que durabilité rime avec partage des usages. Privés d'espaces extérieurs pendant la pandémie, les habitants ont de nouvelles attentes en termes d'espaces verts. Ainsi, les Américains, les Britanniques et les Italiens sont particulièrement désireux de disposer d'un espace extérieur directement accessible depuis leur maison. Il ne s'agit pas nécessairement d'un jardin privé ; beaucoup s'intéressent aux espaces extérieurs communs.La maison connectée : une priorité pour la France et les Etats-UnisGrâce aux progrès technologiques, la domotique se développe et les maisons connectées ou « intelligentes » deviennent réalité. Ces équipements connectés doivent rendre les logements plus confortables, plus faciles à gérer et plus sûrs, mais doivent aussi permettre de réaliser des économies. C'est ce que révèle l'étude PlanRadar qui montre que l'ouverture aux technologies intelligentes se généralise dans le monde entier. Parmi les technologies les plus populaires, on retrouve les systèmes d'éclairage intelligents, les thermostats connectés et les dispositifs de sécurité domestique connectée. La France et les États-Unis sont les plus en avance de phase et prévoient l'adoption de 14 des 24 technologies répertoriées dans cette étude tels que (le thermostat et éclairage intelligents ainsi que les dispositifs de sécurité connectés).Retrouvez l'étude complète de ce troisième volet sur ce lien.*Étude menée par PlanRadar en juin 2022 sur les tendances et priorités des architectes concernant la construction, l'habitat et les bureaux du futur dans 12 pays Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Italie, Emirats arabes unis et Pologne. Les sources proviennent principalement des données publiques d'experts, d'instituts indépendants et d'organismes professionnels et gouvernementaux. En France, il s'agit principalement du Conseil national des architectes, du Ministère de la Transition écologique et de l'UNSFA.
Il y a 2 ans et 166 jours

Faire 2022 : 12 projets lauréats

Construire une maison à partir de matériaux 100% franciliens, créer de l'ombre, enquêter les métiers invisibles des villes et les jardins en toiture, etc. Pour sa sixième édition, FAIRE, le programme de soutien à la recherche et l'innovation porté par le Pavillon de l'Arsenal et dédié aux architectes, […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 169 jours

La magie des échecs

Construire une maison à partir de matériaux 100% franciliens, créer de l'ombre, enquêter les métiers invisibles des villes et les jardins en toiture, etc. Pour sa sixième édition, FAIRE, le programme de soutien à la recherche et l'innovation porté par le Pavillon de l'Arsenal et dédié aux architectes, […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 170 jours

Nestor Perkal, joyeux jongleur - Portrait

Construire une maison à partir de matériaux 100% franciliens, créer de l'ombre, enquêter les métiers invisibles des villes et les jardins en toiture, etc. Pour sa sixième édition, FAIRE, le programme de soutien à la recherche et l'innovation porté par le Pavillon de l'Arsenal et dédié aux architectes, […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 171 jours

Le Périphérique, futur axe structurant de la métropole parisienne ?

Construire une maison à partir de matériaux 100% franciliens, créer de l'ombre, enquêter les métiers invisibles des villes et les jardins en toiture, etc. Pour sa sixième édition, FAIRE, le programme de soutien à la recherche et l'innovation porté par le Pavillon de l'Arsenal et dédié aux architectes, […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 173 jours

Wardian Londres, un programme résidentiel au sommet

Dominant le quartier financier prestigieux de l’Isle of Dogs sur le quai de Canary Wharf de Londres, le programme résidentiel de luxe, Wardian, s’ancre toute en transparence. Le complexe construit par EcoWorld Ballymore se compose de deux tours résidentielles de 50 et de 55 étages qui abritent au total 768 logements,ce qui en fait l’un des programmes les plus haut de Grande Bretagne.   Immédiatement reconnaissables à leurs balcons généreux et à leurs profils élancés, les deux tours sont situées au-dessus d’un podium, qui abrite un grand hall, des installations communes, des commerces, une salle de cinéma et un café au bord de l’eau.  Le complexe a été habillé de façades vitrées de haute technicité signées WICONA, participant directement au confort thermique et acoustique des usagers. Pour répondre aux besoins particuliers des immeubles de grande hauteur soumis à une forte exposition (vent, pluie) WICONA a développé pour ce projet la fenêtre à translation WICSLIDE 150 « Pull and Slide », depuis commercialisée en gamme. Une première mise en œuvre spectaculaire. Crédit photo : John Kees  Inspiré par l’explorateur Dr Nathaniel Bagshaw Ward Wardian London a été inspiré par le grand explorateur et innovateur Dr Nathaniel Bagshaw Ward, responsable de la création du Wardian Case, utilisé pour transporter des plantes autour du monde à l’apogée de l’Empire britannique.  Le projet s’inspire de la botanique et de l’idée des serres portables tout en considérant la durabilité comme un autre facteur clé. Le renommé cabinet de design Glenn Howells Architects a été chargé d’élaborer non seulement le concept global et la conception détaillée, mais aussi une grande partie de l’aménagement intérieur. Le choix d’utiliser des portes WICLINE 75 de WICONA, des vitrages coulissants WICSLIDE 150 PS sur mesure et des fenêtres WICLINE 90 SG, tous intégrés dans la solution de façade à éléments personnalisée, a été défini par le constructeur de façade tchèque Sipral.  Les installations techniques contribuant de manière significative à la consommation d’énergie d’un bâtiment tout au long de son cycle de vie, la gestion des apports solaires et la volonté d’éviter le recours à la climatisation ont été des principes majeurs dans la philosophie de conception du Wardian. Par conséquent, en plus d’aménager des jardins sur le toit avec des arbres matures pour tempérer l’air entrant, la conception des tours fait un usage impressionnant de mesures passives pour protéger les espaces de vie contre les apports solaires.  Crédit photo : John Kees  « Le projet s’inspire de la botanique et de l’idée des serres portables inventées par Nathaniel Bagshaw Ward, tout en considérant la durabilité comme un autre facteur clé. La conception du complexe Wardian avec des terrasses en saillie permet de limiter les apports solaires et ainsi de réduire de 42% la charge de refroidissement par rapport à des tours dont les façades sont moins ombragées. Cette réduction devrait atteindre 55% d’ici 2050 face au réchauffement climatique.   Au lieu de miser sur des systèmes de climatisation, les jardins de toit du Wardian rafraîchis-sent l’air entrant tout en offrant à chaque logement un grand espace ombragé. La végétalisation contribue également à la qualité de l’air, tout en créant un environnement relaxant et convivial. Nous avons aussi étroitement collaboré avec Sipral pour mettre au point les spécifications du vitrage et satisfaire aux exigences en matière d’apport solaire mais avons également dû investir beaucoup d’efforts pour relever les défis d’isolation acoustique. Les niveaux inférieurs qui font face à ligne de métro léger DLR ont été dotés d’une seconde couche de vitrages alors qu’une grande partie de la façade orientée vers l’aéroport de Londres City a été équipée de vitrages insonorisants. »  Porte-parole de Glenn Howells Architects. Ouverture maximale et confort optimal  Spécifiés en fonction de leur position sur les façades des deux tours, les systèmes de fenêtres et de portes WICONA installés par Sipral assurent une réduction sonore de 35 dB ou de 41 dB, obtenue à la fois par le soin apporté aux détails des châssis et par l’utilisation de verre acoustique. La majorité des fenêtres, y compris les éléments de balustrade peints en arrière, affichent une valeur de 1,0 W/m2K.  Les appartements et les penthouses sont équipés de fenêtres WICLINE 90 SG, avec plus de mille unités installées sur les deux bâtiments. Le contrat de Sipral incluait l’installation de 3 525 m2 de façade rideau dotés de plus de 50 éléments sur mesure tels que des capots.  Crédit photo : John Kees  Crédit photo : John Kees  Le système WICLINE offre à la fois une flexibilité esthétique et un haut niveau de fonctionnalité, permettant ainsi au spécificateur d’optimiser la performance énergétique, l’isolation acoustique et la sécurité. Comme tous les autres systèmes WICONA, il est compatible avec les différents types de façade WICTEC, des assemblages classiques à montants et traverses aux grandes façades à éléments, voire même aux façades à vitrage structurel. WICTEC satisfait pleinement aux exigences des essais de résistance aux intempéries et au feu définies par la norme EN 13830 et s’adapte facilement à presque tous les styles architecturaux grâce à la disponibilité de différents types de profilés.  « Le Wardian a été un projet difficile face aux défis acoustiques et d’autres exigences technologiques qui ont nécessité une solution de façade à éléments sur mesure. Notre client Sipral a fourni à cet effet des portes de balcon WICLINE 75, des fenêtres WICLINE 90 SG et des portes coulissantes WICSLIDE 150 PS, alors que la façade à éléments même a nécessité la mise au point de 54 nouveaux profilés. » Tim Rook, concepteur de projet pour Wicona  Parties-prenantes Projet: Wardian  Lieu: London, Royaume-Uni  Architecte: Glenn Howells  Façades par: SIPRAL  Solutions WICONA: WICTEC EL evo (solution personnalisée), WICLINE 75, WICLINE 90 SG, WICSLIDE 150 PS (solution personnalisée)  Photographe: John Kees 
Il y a 2 ans et 176 jours

Poêles, chaudières biomasse et cheminées : Mano Mano observe une forte hausse des ventes

VENTES. La marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano, a constaté une forte hausse des ventes d'appareils comme les poêles, les chaudières biomasse ou les cheminées.
Il y a 2 ans et 177 jours

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Il y a 2 ans et 180 jours

La colocation se réinvente pour séduire toutes les générations

Avec ses immeubles de nouvelle génération équipés de salle de coworking ou de restaurants, ses appartements ou maisons rénovés proposant des chambres spacieuses et pléthore de services - salle de sports, de cinéma ou cours de cuisine - l'habitat partagé s'est métamorphosé.Plébiscitée par les étudiants en raison du coût souvent exorbitant de l'immobilier dans certaines villes, il s'ouvre désormais aux actifs "en transition" professionnelle."Les jeunes repoussent leur décision d'acquisition" pour des questions "de budget et de liberté", explique Benoît Joubert, un des cofondateurs de The Babel Community, qui propose des immeubles mixant "coliving", avec de multiples espaces partagés, et coworking pour les entrepreneurs locaux.Il n'est donc plus rare de voir des trentenaires tenter de vivre dans le partage pendant quelques mois pour prendre la température d'une ville, constate Benoît Joubert.C'est ce qu'a fait Pauline, 28 ans. Saisonnière dans l'animation, elle s'est installée en colocation en banlieue de Nantes entre deux contrats à l'automne. "Ça m'a évité les démarches" d'internet, d'électricité et l'achat de meubles, explique-t-elle.Comme un studioLa France a pris le train de la colocation bien après les pays anglo-saxons ou asiatiques. En cause, un "manque de produits" adaptés et la frilosité des propriétaires, dit Sébastien Champion, directeur et fondateur associé du réseau d'agences Colocatère.Si la colocation est largement associée dans l'imaginaire commun au film "l'Auberge espagnole" (2002), ce n'est toutefois pas ce que recherchent les locataires, avertit M. Champion.Et notamment les plus aisés, qui souhaitent profiter, en plus de grandes salles communes, d'espaces privés ressemblant davantage à un studio qu'à une chambre chez l'habitant.Certains restent néanmoins contraints de partager une salle de bain, car le prix de ces nouvelles formes d'habitat partagé, dans des logements décorés et rénovés, avoisine voire égale ceux des studios classiques.Depuis moins de dix ans, les entreprises de colocation ou coliving se sont multipliées et redoublent d'initiatives pour attirer de nouveaux locataires, particulièrement des CSP+.La Casa a choisi de proposer des maisons thématiques pour ses locataires, en majorité des actifs de 30 ans de moyenne d'âge, selon son fondateur et PDG, Victor Augais. Casa "verte" agrémentée d'un grand jardin, Casa "des chefs" pour les gourmets ou Casa "des sportifs" avec salle de sport...Les demandes affluent, avec en moyenne "huit candidatures par chambre" disponible, selon M. Augais.Ouverture aux seniorsCorentin Durin, 26 ans, y a loué une chambre toute équipée quand il a obtenu son premier CDI. "Je suis quelqu'un de sociable, je n'avais pas envie de vivre seul" dans une chambre de bonne ou un petit studio parisien, explique-t-il.Les "services inclus évitaient les problèmes" entre colocataires, détaille-t-il encore, notamment le passage d'une femme de ménage deux fois par semaine dans les parties communes. Financièrement, ces nouveaux habitats peuvent être "plus chers" qu'une colocation classique, confirme-t-il, mais les prestations font qu'il "s'y retrouvait" quand même.Outre ce public de jeunes actifs, Casa doit s'ouvrir au printemps prochain aux seniors, via deux maisons en banlieue parisienne. Une réponse au "besoin" de trouver une alternative aux Ephad, assure Victor Augais.Les personnes âgées "encore autonomes" y partageront des espaces communs en profitant de chambres adaptées.Une idée déjà mise en place par l'entreprise CetteFamille qui offre, en périphérie des grandes métropoles, des colocations de huit seniors, assistés en permanence d'auxiliaires de vie.Cette formule permet de s'implanter "là où les grands opérateurs ne vont pas" et de "faire revenir des services d'aide à domicile" dans les zones rurales "qui sont souvent des zones blanches", relève Paul-Alexis Racine Jourdren, son président et cofondateur.A l'origine, CetteFamille réalisait de l'accueil familial, qui permettait d'orienter un senior dans une famille d'accueil."Mais nous avions beaucoup de demandes et pas assez de familles", détaille M. Racine Jourdren, alors que les personnes âgées réclamaient "de la proximité, de la sécurité et du lien social". C'est finalement la colocation qui s'est imposée.
Il y a 2 ans et 180 jours

FIS V Zero, la première résine sans substances nocives ! fischer France engagé avec EcoTree dans le reboisement des forêts françaises dans le cadre d’une campagne inédite 

Depuis plus de 60 ans, fischer parfait sa démarche environnementale à bien des niveaux car limiter l’impact des produits utilisés dans l’industrie, la construction, la décoration… sur l’environnement et la santé des utilisateurs est une vraie nécessité. En tant que pionnier dans le domaine des solutions de fixation durables, fischer a mis au point la première résine sans substances nocives :  FIS V Zero.Avec une formule chimique brevetée, sans peroxyde de benzoyle, la FIS V Zero est plus respectueuse de l’homme et de l’environnement. Puisqu’aucune substance dangereuse n’entre dans sa composition, elle est exempte de pictogrammes de danger et de fiche de données de sécurité. De plus, les cartouches usagées peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels.Au cours du premier semestre, pour soutenir le lancement de la résine sans substances nocives FIS V Zero et accentuer son engagement en faveur de l’environnement et du développement durable, fischer s’est associé à EcoTree et Papier Ensemencé. Ces partenariats inédits, avec des acteurs qui œuvrent pour l’environnement et dont les missions sont vertueuses, prennent tout leur sens avec la résine FIS V Zero fischer.  SOUTENIR DES DÉMARCHES ENVIRONNEMENTALES VERTUEUSESActeur français engagé, EcoTree œuvre à la préservation et à la valorisation des forêts françaises ainsi qu’à la protection de la biodiversité. fischer s’est engagé à ses côtés pour participer au reboisement.Ainsi, en achetant la résine FIS V Zero, les utilisateurs ont contribué au reboisement de forêts françaises, gérées par EcoTree. Ce sont 2000 arbres, 1000 pins maritimes et 1000 chênes sessiles dits « chênes noirs », qui ont été plantés dans la forêt de Berné (Morbihan).Fidèle à sa démarche de développement durable, fischer a souhaité faire évoluer ses supports de communication, favorisant des matériaux recyclés, recyclables et biodégradables, en s’associant à Papier Ensemencé, une start-up qui conçoit des solutions de communication éco-responsables. Aussi, pour promouvoir l’opération sur la résine FIS V Zero, ancrée dans une démarche environnementale, fischer a opté pour un flyer ensemencé, 100% biodégradable. Une fois le flyer humidifié et planté, les graines qu’il renferme donnent naissance à de belles fleurs des champs. Véritable alternative au recyclage, le papier ensemencé est l’illustration parfaite du zéro déchet !À travers cette belle opération FIS V Zero et l’aide des nombreux distributeurs partenaires, fischer a mis en exergue l’art de mixer innovation et environnement. Des partenariats vertueux que l’entreprise entend bien renouveler. FIS V Zero : PLUS RESPECTUEUSE DE L’HOMME ET DE L’ENVIRONNEMENT Innovante, la résine FIS V Zero fischer est exempte de peroxyde de benzoyle, une substance couramment utilisée dans les scellements chimiques et classée comme allergisante, irritante pour les yeux et dangereuse pour l’environnement. fischer a remplacé ce composé par des substances plus respectueuses de l’environnement et un nouveau procédé de durcissement breveté.Grâce à cette formulation classée A+, la résine répond aux exigences les plus élevées pour maintenir une bonne qualité de l’air intérieur avec de faibles émissions de COV (Composés Organiques Volatils) comme le confirme le certificat Eurofins Indoor Air Comfort Gold, ce qui la rend idéale pour une utilisation dans des pièces fermées.UNE RÉSINE POLYVALENTELa résine FIS V Zero fischer convient à toutes les applications de fixation chimique courantes dans le domaine du bâtiment comme du bricolage. Elle permet le scellement de fers à béton, la fixation de garde-corps, de stores bannes, de mains- courantes, d’éléments de charpente, de constructions métalliques, d’équipements de jardins, de cuisines et de sanitaires… et est agréée pour tous les matériaux de construction (brique pleine, brique pleine silico-calcaire, bloc creux en béton léger, maçonnerie creuse…). Avec la FIS V Zero, l’ancrage se fait sans contrainte d’expansion, ce qui permet des distances aux bords et des entraxes réduits.  D’une résistance au feu R120, elle dispose d’ETE pour béton fissuré et non-fissuré, maçonnerie creuse et pleine et reprise de fers à béton.Flexible, cette résine d’injection peut être utilisée tout l’année sur les chantiers, dans des trous de forage inondés et par des températures de -10°C à 40°C. Son temps de durcissement est de 60 minutes à une température de 22 °C.PLUS DE CONTRAINTE DE RECYCLAGE ET DE STOCKAGE Pratiques, que l’on soit professionnel du bâtiment ou particulier, les cartouches usagées de la FIS V Zero peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels.Et, puisqu’aucune substance nocive n’entre dans sa composition, elle est la seule résine à être exempte de pictogrammes de danger sur l’étiquette et de fiche de données de sécurité, ce qui lève les contraintes de logistique et de stockage liées aux produits chimiques. Comme les autres scellements d’injection, la FIS V Zero s’injecte dans le trou de perçage nettoyé. Lors de l’extrusion du produit, les 2 composants (résine et durcisseur stockés séparément) sont mélangés et activés dans le bec mélangeur. Les cartouches ouvertes peuvent être réutilisées. www.fischer.fr
Il y a 2 ans et 184 jours

FOAMGLAS – 25 ans de garantie sur l’isolation des toitures du Centre aquatique de Vitry-le-François… 

@foamglas Oui, c’est possible. Et, c’est surtout remarquable de pouvoir appliquer à ce type de  bâtiment une durée de garantie de 25 ans. Cette garantie concerne : 1. les performances thermiques, 2. l’étanchéité à l’eau de l’isolant et 3. l’absence de condensation dans la toiture. Le Centre aquatique de Vitry-le-François bénéficie de 25 ans de garantie pour ses toitures. Un bâtiment fort sollicité par l’humidité de l’air extérieur, classé en Très Forte Hygrométrie par les DTU.Le maître d’ouvrage du Centre aquatique de Vitry-le-François a demandé à son architecte, CHABANNE ARCHI\\INGE, une conception d’ensemble privilégiant un objectif d’économie sur le long terme lors de l’exploitation de la piscine. Il a été décidé d’isoler toutes les toitures en FOAMGLAS®. Ainsi, le Centre aquatique gagne sur trois critères.  À la réception de l’ouvrage, Owens Corning FOAMGLAS® délivrera une GarantieToiture25® garantissant au total, en tenant compte de la décennale de l’entreprise, la pérennité de la performance thermique, l’étanchéité à l’eau et l’absence de condensation dans toutes les toitures du Centre aquatique pendant 25 ans. De nombreux aspects de l’ouvrage ont été travaillés avec un objectif de durabilité fixé par la Communauté de communes de Vitry-le-François, Champagne et Der (51). Ainsi, par exemple, c’est de l’inox qui a été retenu pour réaliser l’étanchéité et le revêtement des bassins.Il est encore rare que les toitures fassent l’objet d’une telle analyse tant l’Assurance Décennale est bien installée dans les esprits en France. Les dix ans de garantie qu’offre l’entreprise au maître d’ouvrage sont souvent considérés comme suffisants. Or, 10 années passent bien vite et refaire une toiture de piscine au frais du contribuable 15 ans après sa construction n’est pas satisfaisant d’un point de vue écologique et financier. La même analyse vaut pour les toitures actives (avec accès piétons, véhicules, jardins, installations photovoltaïques…) : refaire les toitures plates avec un nouvel isolant et une nouvelle étanchéité, avec dépose préalable des complexes existants, coûte très cher. Avec la seule Assurance Décennale, la maîtrise d’ouvrage se trouve à la merci d’une mauvaise mise en œuvre ou d’une conception peu qualitative entraînant des désordres au bout de 12 à 14 ans.  La GarantieToiture25®, une avancée considérableFace à cette situation, et fort de l’expérience de 60 ans d’isolation thermique de toitures parmi les plus contraignantes, Owens Corning FOAMGLAS® propose depuis 3 ans une GarantieToiture25®. Soit 25 ans de garantie thermique de la toiture et 15 ans sur l’étanchéité de la toiture après la garantie décennale. Deux critères sont exigés pour d’obtenir cette garantie : en conception, l’isolation des relevés d’étanchéité (ou la mise en place de chanfreins en FOAMGLAS®) et, en phase chantier, l’établissement d’un plan d’assurance qualité par l’entreprise en collaboration avec l’Équipe Technique de Owens Corning FOAMGLAS®. Ce plan d’assurance qualité demande la présence du technicien FOAMGLAS® au démarrage des travaux d’isolation et d’étanchéité afin de délivrer un training rigoureux des compagnons, et son intervention à tout moment du chantier avec l’accord de l’entreprise d’étanchéité. Ce dispositif apporte une amélioration reconnue de la gestion des risques en phase chantier et in fine une garantie contractuelle apportée par Owens Corning FOAMGLAS® au maître d’ouvrage qui confère une valeur considérable à l’ouvrage.Cette garantie souligne aussi deux points importants restant à améliorer dans l’acte de construire :– À ce jour, les fabricants ne sont pas obligés de garantir leurs matériaux isolants une fois mis en œuvre, ni même de garantir dans le temps une partie de la résistance thermique annoncée dans leur validation technique. En effet, les PV ACERMI concernant les isolants engagent l’ACERMI sur des valeurs obtenues en sortie d’usine seulement et suivant un protocole d’essai précis visé par les normes EN. Obtenir un engagement de 25 ans sur 100 % de maintien de la performance thermique de l’isolation de la toiture représente une avancée considérable.– L’Assurance Décennale engage l’entreprise d’étanchéité pour 10 ans sur l’étanchéité de l’ouvrage. Du point de vue écologique et financier (économie des matériaux, transport, immobilisation de l’ouvrage, gestion des déchets…) refaire une toiture 15 ans après sa réfection devient peu satisfaisant. Disposer d’une garantie complémentaire de 15 ans sur l’étanchéité après la décennale de l’entreprise représente, là aussi, un progrès considérable pour l’ouvrage et le maître de l’ouvrage.Les Services de la Communauté de communes de Vitry-le-François, Champagne et Der, appuyés par les analyses de CHABANNE ARCHI\\INGE, ont bien analysé ces diverses données. CHABANNE ARCHI\\INGE a proposé les deux solutions avec leurs incidences financières, et il a été décidé d’isoler toutes les toitures en FOAMGLAS®. À la réception de l’ouvrage, Owens Corning FOAMGLAS® délivrera une GarantieToiture25® garantissant au total, en tenant compte de la décennale de l’entreprise, l’isolation thermique et l’étanchéité de toutes les toitures du Centre aquatique pendant 25 ans.  Le verre cellulaire sécurise totalement les toitures de piscine. Pourquoi ?Le verre cellulaire sait garantir 25 ans une résistance thermique constante dans le temps et une absence de condensation dans les toitures de piscine, quel que soit l’élément porteur : bac acier, bac acier acoustique, bois ou dalle béton. FOAMGLAS® garantit une réelle performance thermique des toitures, même celles des bâtiments les plus sollicités par l’humidité de l’air intérieur, classés en Très Forte Hygrométrie par les DTU. Isolé avec du verre cellulaire (isolant étanche dans la masse, mis en œuvre avec le collage des plaques entre elles sur toute leur épaisseur), la couche isolante de la toiture d’une piscine restera sèche, et gardera, toute la vie du bâtiment, une performance thermique intacte. Si sa Résistance Thermique d’origine est de 5 m².K/W, soit une Conductance Thermique de 0,2 W/m².K, alors, 25 ans plus tard, la conductance de la toiture sera toujours de 0,2 W/m.K ! La GarantieToiture25® d’Owens Corning FOAMGLAS® l’atteste.Seule une isolation en verre cellulaire permet cette performance très économique pour le maitre d’ouvrage !   En piscine, la garantie d’une absence de condensation en toiture est essentielle, tant les risques sont grands lorsque la température extérieure est froide, compte tenu de l’air intérieur du bâtiment très humide. Comme sur le sujet de la résistance thermique, FOAMGLAS® est au rendez-vous : le verre cellulaire est de perméabilité nulle (PV du CSTB) et les plaques sont collées entre elles avec une colle imperméable à la vapeur. Si l’épaisseur de la couche isolante est de 18 cm (Rth = 5), alors il y aura une épaisseur de colle de 18 cm située au droit des joints de FOAMGLAS® ! Ainsi, l’humidité intérieur de la piscine ne peut pas migrer dans une couche isolante de FOAMGLAS®, qui est pare-vapeur dans la masse. Et, le point de rosée (appelé aussi température de rosée) ne peut pas être atteint par la vapeur située à l’intérieur de la piscine. Il ne peut donc pas y avoir de condensation dans la toiture. www.foamglas.fr
Il y a 2 ans et 187 jours

Le nouveau pavillon Serpentine, un hommage à la nature et à la durabilité

ARCHITECTURE. La Serpentine Gallery, qui présente des oeuvres d'architectes internationaux, a choisi l'architecte Lina Ghotmeh pour la conception de l'ouvrage éphémère qui occupera une partie des jardins de Kensington en 2023. La Franco-Libanaise s'inspire du feuillage des arbres et des huttes d'un peuple malien.
Il y a 2 ans et 191 jours

L'immobilier ancien ralentit mais résiste à l'incertitude économique

Les prix, qui grimpent depuis le début de la pandémie, ont progressé de 6,4% au troisième quart de l'année par rapport à 2021. Un léger ralentissement par rapport aux 6,8% du deuxième trimestre et aux 7,3% du premier.Cette hausse suit la courbe des transactions qui, après avoir atteint un pic au 3e trimestre 2021 (plus de 1,2 million de ventes), reflue doucement mais reste à un niveau très élevé avec 1,13 million de ventes conclues en douze mois."On constate que ce marché immobilier est très, très résistant sur la France entière", a commenté Thierry Delesalle, président de la commission statistiques des Notaires du Grand Paris."Nous sommes étonnés de cette vigueur qui perdure alors que tous les feux ne sont plus au vert", a-t-il déclaré.L'inflation alimentée par les prix de l'énergie et le resserrement des conditions de crédit ne semblent ainsi pas encore avoir d'impact sur l'immobilier ancien.Les statistiques des notaires, basées sur les ventes définitivement conclues, reflètent l'état du marché avec retard par rapport à celles des réseaux d'agences, qui se fient plutôt aux promesses de vente. Mais elles sont plus exhaustives.L'impact du taux d'usure, qui interdit d'emprunter au-delà d'un certain taux d'intérêt et bloque l'accession à la propriété de certains ménages, n'est donc pas entièrement intégré, la préoccupation à ce sujet ayant commencé à grimper cet été.L'inquiétude vis-à-vis des retraites, avec une réforme annoncée dans les prochains mois, peut plutôt ramener des Français vers l'investissement locatif, vu comme un complément de revenus, a estimé Me Delesalle.La tendance observée depuis 2020, qui voit les maisons se renchérir beaucoup plus vite que les appartements, continue: elles ont augmenté deux fois plus vite, 8,2% contre 4,1%.Crise de l'énergieDeux explications à cela, commente pour l'AFP Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents: "les fameuses tendances post-Covid, avec les gens qui ont cherché un jardin", et les prix de l'immobilier devenus inaccessibles dans les grandes villes, qui poussent des ménages vers le périurbain."Il y a des personnes qui n'ont pas le choix, des gens qui sont contraints d'acheter dans ces territoires et d'utiliser leur voiture, et c'est d'autres frais qui en pâtiront ensuite", dit-il."On peut dire que la crise Covid est derrière nous et que la crise de l'énergie (...) redistribue complètement les cartes", a jugé Christian Godard, des Notaires du Grand Paris.La future interdiction de louer des logements trop énergivores commence aussi à avoir des conséquences sur les prix, ont relevé les notaires."Forcément, sur les maisons, ça a plus d'influence, et les prix sont plus négociés que pour les appartements quand vous avez une mauvaise étiquette thermique", a détaillé Me Delesalle."Vu la difficulté aujourd'hui de trouver des entreprises qualifiées pour faire des travaux, vu l'augmentation du coût des travaux (...), ça peut, je pense, peser un peu dans la balance et faire hésiter les investisseurs et les acquéreurs", a également jugé Me Godard.Les prix des appartements suivent des tendances totalement différentes dans les trois plus grandes villes du pays: ils continuent de refluer à Paris (-1,2%), tandis qu'ils progressent doucement à Lyon (+1,9%) et flambent à Marseille (+10,8%)."Marseille est une ville qui rattrape son retard", avance Thomas Lefebvre. "Les prix restent bas par rapport à d'autres agglomérations, et c'est ça qui porte le marché.""Vous avez aussi un marché marseillais qui est en très forte pénurie d'offre", ajoute-t-il.Dans la capitale, la baisse des prix continue d'épargner les arrondissements les plus chics (VIe, VIIe, VIIIe, XVIe) ainsi que le XIe, sans doute du fait du retour des acheteurs étrangers après la fin des mesures sanitaires.
Il y a 2 ans et 191 jours

Var : inauguration de la résidence intergénérationnelle « Les Jardins d’Agrippa » à Fréjus

Dans le département du Var, plus de 9 millions d’euros ont été nécessaires pour réaliser la résidence « Les Jardins d’Agrippa », un projet...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 199 jours

Quel portail choisir pour votre extérieur ?

Vous souhaitez clôturer votre espace extérieur et y ajouter un portail. Toutefois, vous ne savez pas lequel choisir. Quels matériaux choisir ? Quel système d’ouverture préférer ? Nous vous aidons à choisir. Choisir les matériaux Il existe différents matériaux pour les portails. Parmi eux, nous retrouvons : Le bois ; L’aluminium ; Le fer ; Le PVC. Tous ses matériaux sont parfaitement adaptés pour l’extérieur et les aléas naturels. Votre choix va surtout être esthétique. Le matériau devra s’adapter à vos goûts et besoins, mais aussi à votre budget. Choisir le style Il existe un grand nombre de styles de portails différents. Certains présentent des aspects pratiques pendant que d’autres sont plus esthétiques. Le portail ajouré Le portail ajouré est un portail offrant une ouverture plus ou moins importante. Cette ouverture interlame va permettre à la lumière de passer. Ainsi, si votre portail se trouve en face d’une fenêtre, la lumière pourra s’immiscer dans votre intérieur même avec le portail fermé. Le portail à bas plein Ce modèle ne laisse pas passer la lumière sur la partie inférieure de votre portail. Si cela peut être vu comme un aspect sécuritaire, ce bas plein est essentiellement présent pour donner un aspect esthétique à votre fermeture extérieure, notamment si vous possédez un muret à la même hauteur. Cela permettra un rendu de continuité. Le portail à bas plein va permettre à la lumière de passer, mais la luminosité sera moins importante qu’avec le portail ajouré. Le portail plein Le portail plein est un modèle qui offre une intimité aux propriétaires. Cependant, il ne permet à aucune lumière de passer. Ce type de portail est donc plus choisi pour son aspect de protection de l’intimité et de sécurité que pour son esthétisme. Néanmoins, il existe de nombreuses possibilités de personnalisation pour le rendre attrayant et original. Le portail courbé Ce modèle va être constitué de plusieurs panneaux. Il va surtout être utilisé pour les fermetures en arc de cercle. Ce type de fermeture peut être une obligation ou un choix. Certains propriétaires n’auront pas d’autre choix. Toutefois, ce détail peut être esthétique si vous souhaitez faire une ouverture originale en forme d’arc de cercle. Le portail ondulé Le portail ondulé est souvent vu comme le portail le plus esthétique. L’ondulation peut être présente sur le dessus afin de former une vague, mais ce sont aussi les barreaux qui peuvent être ondulés dans le but de donner du volume. Ce modèle va permettre un large choix de personnalisation et attire plus le regarde de par son originalité. Choisir l’ouverture L’ouverture de votre portail peut être une obligation ou un choix en fonction de votre terrain. Le portail battant L’ouverture battante est vue comme l’ouverture classique. Elle consiste à pousser les deux vantaux qui constituent le portail vers l’intérieur de votre allée ou de votre jardin. Cette ouverture nécessite donc d’un espace de dégagement suffisant. Un extérieur vaste et constamment dégagé est alors à préférer. Toutefois, si cela n’est pas le cas, il est possible d’ouvrir votre portail vers l’extérieur. Cependant, votre ouverture ne doit pas déboucher sur la voie publique et vous devez consulter les accords municipaux. Le portail coulissant Cette ouverture latérale va permettre un gain de place considérable. C’est l’option à préférer si votre espace intérieur est trop petit pour accueillir un portail battant. En plus d’être pratique grâce à son gain de place, ce portail est esthétique de par sa discrétion lorsqu’il est ouvert. En effet, il va épouser votre clôture en occupant un minimum d’espace grâce à son unique vantail. Le portail manuel Le portail manuel par définition va devoir être ouvert à la main. Si cette ouverture nécessite de sortir de sa voiture pour l’ouvrir et la fermer, elle reste abordable et ne présentera aucun problème mécanique. Le seul entretien sera l’entretien du portail en lui-même. Le portail automatique Le portail automatique est vu comme la solution de facilité. Cette ouverture va permettre de commander le portail à distance grâce à une télécommande. Toutefois, un entretien mécanique va être nécessaire afin d’éviter les pannes. De plus, même avec de l’entretien, votre portail peut tomber en panne et nécessiter une intervention payante. Enfin, les portails automatiques coûtent plus cher qu’un portail manuel. Le choix de votre portail se fera en fonction de vos besoins, vos envies, vos goûts et votre budget. Cependant, il est important de spécifier qu’un portail représente un plus lors de la vente d’une maison. Il est donc primordial de faire un portail plus fonctionnel et pratique qu’esthétique.
Il y a 2 ans et 194 jours

Elcia recycle son stand Batimat : l’équivalent en CO2 de 10 allers-retours Paris/Madrid en avion économisé

Un stand réemployé pour 4 tonnes d’émissions de CO2 économiséesLa seconde vie du stand 100% éco-conçu ELCIA s’est ouverte dès la fermeture des portes du salon BATIMAT. Présentes lors du démontage, les équipes de MUTO EVENT ont récupéré 98% de ses matériaux (les 2% de pertes correspondant aux chutes et éléments souillés et donc inutilisables après dépose), soit plus de 1.941 kilos !En étant réemployés et non jetés, c’est l’équivalent de 3.955 kilos d’émissions de CO2 qui ont été évités (voir méthode de calcul ci-après).4 tonnes d’émissions de CO2, cela représente :10 allers-retours Paris/Madrid en avion1 tour du monde en voiture diesel559 mois passés en visioconférence212 jours de chauffage au gaz d’un foyer françaisPour Vincent RAIMBAULT, Fondateur et Directeur Général de MUTO EVENT : « Notre objectif est de transformer tous les déchets de l’événementiel en ressources pour l’ESS (Economie Sociale et Solidaire). »Que sont devenus les matériaux du stand d'Elcia ?Quelques exemples (entre autres) :#1 Des cloisons et du mobilier avec notre DropPaperLes DropPaper (papier léger) qui ornaient le stand ont été en grande partie récupérés par PROCÉDÉS CHÉNEL, une entreprise spécialisée dans la création de cloisons, plafonds, luminaires et mobiliers pour les concepteurs d’expositions, de l’événementiel ou encore de l’architecture intérieure.#2 Le mélaminé des armoires au cœur de lieux collectifs, de foyers ou encore de cours de récréationLes armoires qui ont servi de rangement lors du salon ont été données à LA FACTO, qui accompagne associations, coopératives et habitants dans leur projet de construction, de fabrication de mobilier, d’aménagement de parcelles ou de locaux. Quelques exemples de réalisation : lieux collectifs, cours de récréation d’écoles, chapiteaux mobiles pour des théâtres ou encore foyers sociaux.#3 Le bois contreplaqué du bar va s’installer dans le quotidien de particuliersAu centre du stand, le bar en bois était un lieu de rencontres et de sourires. Une convivialité qui perdurera puisque le bois contreplaqué a été donné aux ATELIERS CHUTES LIBRES. Cet atelier parisien collecte le bois afin de permettre à des particuliers de construire lampes, jardinières, bancs ou encore tables basses.Comment est calculée l’équivalence en émissions de CO2 ?MUTO EVENT s’appuie sur la méthodologie de référence QuantiGES de l’ADEME. Cette méthode précise les règles de calcul des émissions évitées, permises par l’activité d’une entreprise ou par une action spécifique (en l’occurrence pour MUTO EVENT : le réemploi d’un matériau).Pour calculer le nombre total d’émissions de CO2 évitées, l’étude retient la différence entre les émissions qui auraient été émises si les matériaux n’avaient pas été réemployés, et celles réellement émises lorsque MUTO EVENT réemploie ces matériaux.Les gains sont doubles grâce à l’action de réemploi : on économise à la fois sur le coût écologique du déchet évité, mais également sur celui du matériau neuf qui n’est pas acheté en remplacement !Qui est MUTO EVENT ?Chaque année, des milliers de tonnes de bois, plastiques, moquettes et textiles événementiels sont consommées et jetées en vrac après seulement quelques heures d’utilisation... Ce constat, dramatique pour l’environnement, Vincent RAIMBAULT y a assisté en première ligne, étant lui-même issu du secteur événementiel. C’est convaincu de l’énorme potentiel du réemploi qu’il a créé MUTO EVENT, Société à Mission engagée contre l’événementiel à usage unique. Leur devise : « Faire pour re-faire, pas pour défaire ». Pour cela, MUTO EVENT accompagne les entreprises engagées écologiquement avec des solutions 100% clés-en-main dédiées au réemploi des aménagement événementiels.
Il y a 2 ans et 198 jours

Le Jardin Minéral de Joséphine Chevry enfin sauvé

Les sculptures de Joséphine Chevry ont retrouvé leur splendeur d’antan. [©Lisa Ricciotti] Novembre 2020 – Novembre 2022, la boucle est enfin bouclée. A La Grande Motte, le Jardin Minéral a retrouvé sa superbe, dans l’esprit tout balladurien, de celui qui a voulu cette ville balnéaire hors du commun. Il aura fallu deux ans entre le premier interview de Joséphine Chevry et l’inauguration du Jardin Minéral en grande pompe avec les élus. Il aura donc fallu faire jouer tout le réseau de Béton[s] le Magazine pour trouver les mécènes en les personnes d’Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi, de Rogerio Ribeiro, Pdg de RGB, et d’Olivier Crombé, Dga chez RGB. Lire aussi : Il faut sauver les sculptures de Josephine Chevry « Je suis si heureuse d’avoir été soutenue par votre magazine et, par voie de conséquence, par mes mécènes qui ont assuré l’intégralité de la rénovation du Jardin. Mes sculptures en forme de peignes ont été rénovées, reconstituées. Je me retrouve dans les dunes comme dans les années 1968 avec des personnalités aussi folles que pouvait l’être Jean Balladur. Je peux voir de mon vivant mon Jardin retrouvé sa stature d’avant. Je suis comblée », explique, émue, Joséphine Chevry. Le Jardin Minéral dans toute sa splendeur A 86 ans, la sculptrice voit enfin son rêve se réaliser. Béton[s] le Magazine est fier d’avoir apporté sa pierre à l’édifice. En cette matinée du 12 novembre, sous un soleil radieux et une température clémente pour un samedi du mois de novembre, quelque 300 personnes ont assisté à l’inauguration du Jardin Minéral avec Stephan Rossignol, maire de La Grande Motte. « Nous avons toujours épaulé Joséphine. C’est dans notre ADN de soutenir des projets de défense du patrimoine architectural grand-mottois. Nous sommes surtout intervenus dans le débroussaillage de la dune avec les services des espaces verts de la Ville. Le Point Zéro de La Grande Motte retrouve son aspect originel comme l’avait voulu Jean Balladur à l’époque, une cité-jardin avant l’heure », intervient Stephan Roussignol. Lire aussi : Le groupe RGB rejoint Alphi dans la sauvegarde du Jardin Minéral La sculptrice Joséphine Chevry lors de l’inauguration de son Jardin Minéral, le 12 novembre 2022. [©Frédérique Mondain] Tous les intervenants ravis « C’est une belle aventure que nous avons suivie avec enthousiasme et passion. Nous sommes tombés sous le charme de Joséphine et de son Jardin. L’aider semblait tout naturel. Il aura fallu un article et un reportage dans votre magazine pour que l’on dise “banco, on y va” ! », se souvient Alexandre Souvignet, qui a entraîné dans son sillage le groupe RGB. Ce dernier a pris en charge le nettoyage et la réfection de toutes les sculptures, de la même manière qu’Alexandre. Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi, premier industriel à avoir répondu présent pour le mécénat. [©Frédérique Mondain]Joséphine Chevry avec en arrière-plan, le Jardin Minéral restauré. [©ACPresse]Joséphine Chevry et Stephan Roussignol, maire de La Grande Motte. [©ACPresse] « Nous avons participé avec passion à la réfection des sculptures de Joséphine. Nous sommes tombés sous le charme de cette sculptrice au grand cœur. Nous avons mis à sa disposition nos équipes avec André Cruz, comme chef d’équipe, qui s’est investi à fond », interviennent Rogerio Ribeiro et Olivier Crombé. Les projets continuent Et Elisabeth Grimon, présidente de l’association de l’artiste “Sous le vent, le béton”, de conclure : « Nous n’avons rien lâché. Nous avons beaucoup travaillé. Nous nous sommes rapprochés de la Ville et des autres instances pour faire valider notre Déclaration préalable de travaux avec tout leur soutien, aboutie fin juin 2022. Notre association est très soudée et active autour de Joséphine. Nous avons fait front en période Covid. Nos mécènes nous ont permis de retrouver le Jardin initial comme l’avait voulu Joséphine Chevry en 1968. C’était un très grand moment d’émotion pour nous. Nous avons pu monter une exposition de photos et un film au centre culturel de la ville pour montrer tout le travail réalisé, les différentes étapes de chantier. Et le soir, nous avons proposé une pièce de théâtre “Un air de famille”, jouée par Le théâtre du Triangle de Castelnau-le-Lez. Un beau livre est en préparation pour retracer l’aventure, ainsi qu’un film réalisé par Ichu Lin ». Le Jardin Minéral a retrouvé sa splendeur d’antan. Pour l’heure, les Grand-Mottois et les promeneurs se sont déjà réappropriés cet espace où se mêlent minéral et végétal sur une vue de mer dégagée. Une très belle réussite. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 200 jours

Biodiversité en ville, concevoir un ensemble cohérent

Penser la biodiversité en ville passe par une approche globale de l’urbanisme dont découlent des outils techniques innovants afin de construire des infrastructures naturelles homogènes et harmonieuses. La biodiversité et, à plus forte raison, la question de la nature en ville sont des sujets encore émergents. Une science qui a débuté par des outils pratiques, plus que par une assise scientifique. Un tâtonnement dont l’exemple le plus représentatif n’est autre que les ruches qui, un temps, ont poussé comme des champignons sur les toits des villes. « Les ruches en milieu urbain sont un peu une fausse bonne idée, car elles peuvent avoir un effet négatif sur la biodiversité. Les abeilles à miel, très nombreuses, entrent en compétition avec d’autres pollinisateurs, les abeilles dites “solitaires”. Installer une seule et unique espèce de pollinisateur, ce n’est pas ça la biodiversité », développe Frédéric Madre, directeur associé de Topager et chercheur associé au Centre d’écologie et des sciences de la conservation (Cesco/Muséum national d’histoire naturelle-CNRS-Sorbonne université). Les toitures végétales ne se limitent plus à quelques espèces de sédums, mais se déclinent de mieux en mieux, afin d’accueillir une biodiversité des plus variées, et rendre des services écosystémiques.Photo : Soprema Entreprises Penser les trames et défragmenter Penser la biodiversité en ville, selon les experts, passe désormais par une approche globale, dont découlent des outils techniques de construction d’infrastructures naturelles. « Nous sommes de plus en plus sur une vision holistique de l’urbanisme pour la biodiversité », décrit Frédéric Madre. Cette approche se caractérise par une structuration de la nature en ville autour des trames vertes, bleues, brunes et noires et la communication entre lesdites trames. Cette approche « vise à maintenir et à reconstituer un réseau d’échanges pour que les espèces animales et végétales puissent, comme l’homme, circuler, s’alimenter, se reproduire, se reposer », détaille le ministère de la Transition écologique dans un communiqué. Cette planification urbaine doit être réalisée à l’échelle des agglomérations, puis des quartiers et enfin des bâtiments, dernière échelle de l’aménagement urbain. Pour une intégration plus fine de la biodiversité. La trame verte correspond au végétal. Elle regroupe les parcs, jardins, arbres d’alignement, et, bien entendu, les très médiatisées toitures végétalisées. Ces dernières d’ailleurs, de plus en plus complexes, ne se limitent plus à quelques espèces de sédums, mais se déclinent sous de nombreuses formes (extensives, semi-extensives, etc.), afin d’accueillir une biodiversité des plus variées, et rendre des services écosystémiques, notamment sur la question de la gestion de l’eau. En urbanisme, l’approche à travers la trame verte consiste aussi à éliminer les discontinuités en ville. L’idée ? Que les poumons verts soient reliés entre eux, à l’aide de pas japonais par exemple, afin de favoriser le déplacement des espèces. La trame bleue, elle, concerne toute la trame hydrique (zone humide, mare, rivière…). Trames vertes et bleues se superposent dans des zones dites « d’interface » (milieux humides et végétation de bords de cours d’eau par exemple). La trame brune, soit les sols, « constitue tout un réseau trophique (chaînes alimentaires reliées entre elles, ndlr) indispensable pour que les racines dialoguent avec les micro-organismes, que les déchets de végétaux se dégradent convenablement et nourrissent d’autres végétaux, etc. », décrit Sophie Rousset- Rouvière, déléguée générale de l’Asso­ciation des toitures et façades végétales (Adivet). Et enfin, la trame noire concerne les espèces nocturnes. À savoir, dessiner l’urbanisme en préservant des zones afin qu’animaux et insectes nocturnes puissent circuler sans être trop perturbés par l’éclairage artificiel par exemple. Sur le terrain, « il peut s’agir d’équiper une avenue d’un éclairage intelligent, qui ne s’allumera qu’en présence de piétons, favorisant ainsi la circulation des espèces nocturnes lorsqu’il est éteint », détaille Frédéric Madre.  Le pas japonais consiste en une succession de secteurs naturels ou semi-naturels, de surfaces réduites, reliant deux réservoirs de biodiversité, afin que certaines espèces puissent circuler de l’un à l’autre.Photo : Elisabeth Gruchmann (Adivet) Techniques et services écosystémiques Au-delà de la seule sauvegarde, la biodiversité en ville prend un caractère utilitaire. Ce sont les fameux services écosystémiques, soit la lutte contre les îlots de chaleur urbains, la gestion des eaux pluviales, ou, dans une moindre mesure, la gestion de ressources avec les fermes urbaines. Là encore, la conception des outils censés ramener de la biodiversité en ville est aussi pensée au travers de ces services rendus. « Les infrastructures vertes permettent de réaliser des économies grâce aux services écosystémiques rendus », assure Frédéric Madre. Sans oublier le besoin de vert toujours plus fort exprimé par les citoyens. D’après une étude NewCorp Conseil, 92 % des Français estiment qu’il n’y a pas suffisamment de nature en ville.  Lucien Brenet Le schéma de cohérence territoriale (SCoT) et le plan local d’urbanisme (PLU) jouent un rôle majeur dans la bonne application des trames.Photo : BMI Siplast Outil 1 : Une toiture végétalisée aux usages différenciés L’immeuble de bureaux Respiro est situé en zone urbaine dense, à Nanterre (Hauts-de-Seine). Ses deux toitures-terrasses (1 500 m2 au total) sont conçues comme un outil d’accueil de la biodiversité. Les deux espaces ont été végétalisés suivant deux méthodes distinctes. La végétalisation extensive en R + 3 repose sur le principe du WildRoof. Près de 650 m2 de bacs acier accueillent une flore sauvage qui colonise un substrat nu. « Au R+3, l’aspect service esthétique et bien-être n’était pas le plus important. Nous avons plutôt installé des substrats, des nichoirs, pour que le vent et les oiseaux amènent spontanément des espèces locales », indique Frédéric Madre. Au R + 2, cette terrasse accessible de 860 m2 repose sur un support béton. La végétalisation semi-extensive est compo­sée de plantes indigènes installées sur un substrat de 8 à 25 cm d’épaisseur. Les variations d’épaisseur de substrat permettent d’intégrer de petites buttes pour accueillir de petits arbustes. Son fonctionnement écologique s’inspire des prairies sèches : diversité des strates végétales, microhabitats (buttes, mares), ni fertilisation ni amendements, pas de traitements chimiques. Le renouvellement se fait naturellement. La toiture comprend un petit potager de 13 m2 à but pédagogique. Un suivi écologique de l’Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France, dans le cadre de l’étude Grooves (Green Roofs Verified Ecosystem Services), a identifié 107 espèces d’invertébrés différentes. Le projet a été subventionné par l’Agence de l’eau Seine-Normandie (AESN) au titre de la bonne gestion des eaux pluviales. Le bâtiment, lui, rend également des services écosystémiques de rafraîchissement et de gestion des eaux pluviales. Le programme a été élaboré en partenariat avec le Muséum national d’histoire naturelle.  Sur ce projet, la microtopographie du substrat et la palette de plantes ont été travaillées afin d’accueillir des variétés locales et méditerranéennes, plus résistantes à la sécheresse en toiture. Ce qui permet aussi d’adapter la palette végétale aux changements climatiques.Photo : Respiro Outil 2 : Des jardins de pluie urbains pour gérer les eaux pluviales Les jardins de pluie urbains, réalisés et entretenus par Les Jardins de Gally en collaboration avec les start-up Source urbaine et Vertuo, sont présentés comme une solution de gestion des eaux pluviales en zones urbaines imperméabilisées. Cette installation hors-sol de faible emprise ne nécessite pas de travaux de réseaux. Il s’agit d’un stockage temporaire associé à une réserve utile et disponible d’eau de pluie en contact direct sous le substrat. L’installation récupère l’eau de pluie acheminée depuis les toitures. « Ces jardins contribuent au rafraîchissement urbain et à la diminution des îlots de chaleur. De plus, ils peuvent être colonisés par des animaux et des végétaux. Ces puits urbains peuvent être installés hors-sol, ou à la faveur de réfection de certains réseaux », détaille Pierre Darmet, directeur marketing et développement commercial Les Jardins de Gally. La technique peut accueillir une large palette végétale : des espèces mellifères, locales, et horticoles, des caduques et persistantes pour l’évapotranspiration, ou encore, des saules pour les plus grosses installations. Projet de l’Académie du climat à Paris, ancienne mairie du 4e arrondissement, avec Vertuo.Photo : Gally Vertuo Paris 2020 Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Biodiversité en ville, concevoir un ensemble cohérent est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 201 jours

Equiper sa pompe avec des accessoires adaptés

Spécialiste du décolletage, BOUTTÉ répond à tous les besoins de raccordement en eau de la maison et du jardin. Le fabricant français dispose d’une gamme complète de raccords et d’accessoires pour tous types de pompes : • de surface – avec ou sans surpresseur -, • immergées, • et d’évacuation. Les pompes de surface Le […]
Il y a 2 ans et 206 jours

Alpes-Maritimes : la commune de Nice aménage un parking souterrain sous la place Wilson

À Nice (Alpes-Maritimes), la Ville prévoit de créer un parc souterrain de six étages sous le jardin...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 201 jours

Un duo d'architectes restaure en profondeur le Grand Rex pour fêter ses 90 ans

Des particularités qui lui ont permis de résister au temps, à la différence de nombreux établissements contemporains aujourd’hui disparus. S’il a été profondément remanié au cours de son histoire, mais sans toutefois toucher à la grande salle, le Grand Rex renoue aujourd’hui avec son aspect originel et reste l’un des témoins les plus emblématiques d’une période faste pour l’architecture des cinémas français de l’entre-deux guerres. À l'occasion des 90 ans de vie de ce lieu mythique du paysage culturel parisien, le duo d'architectes Grichka Martinetti et Stéphane Thomasson a été appelé à restaurer en profondeur le monument afin de le rajeunir en lui offrant un futur nourri de son passé légendaire. Après plusieurs mois de travaux, la nouvelle façade sera dévoilée au public le 8 décembre prochain.Pour Alexandre Hellmann, Directeur général délégué du Grand Rex par Laurent Cottilon : « C’est à Jacques Haïk, le créateur du Grand Rex que l'on doit la décoration de la Grande salle. Jacques Haïk était franco-tunisien et voulait un cinéma qui évoque son pays, d’où ce jardin méditerranéen art déco, avec ses arbres, ses statues qui lui rappelaient son enfance. Au départ, Jacques Haïk voulait créer une salle de plus de 5.000 places, mais il n’a pas pu le faire pour des raisons administratives. Il est donc revenu à une formule de 4.000 sièges, avec de nombreux strapontins. Les grands fauteuils en cuir que l’on connaît aujourd’hui qui datent des années 60/70 sont désormais la signature du Grand Rex. » Extrait du texte ReXnovation par Philippe Trétiack, journaliste et écrivain : « Mieux qu’un rideau de scène, une gigantesque bâche destinée à envelopper des mois durant la totalité d’un bâtiment. Sous ce drap taille magnum : le Grand Rex, mythique cinéma affichant comme seul et unique programme sa propre renaissance. Pour acteurs, des bataillons d’ouvriers, maçons, peintres, serruriers, électriciens, informaticiens avec à leur tête un duo d’architectes enthousiasmés par leur tâche et dopés par leur bâche. Car oui tout est né d’elle et de l’obligation de la suspendre pour mieux protéger les passants des scories provoquées par l’indispensable ravalement de l’édifice. Au départ d’ailleurs, il n’était question que de cela, ravaler et assurer l’étanchéité déficiente des toitures de cet immeuble édifié en 1932, retouché dans les années 70, dénaturé dans les années 80. Nettoyer le cinéma, lui redonner belle allure, c’était la moindre des choses pour un anniversaire, son 90e.Mais voilà que dans la tête de Grichka Martinetti et Stéphane Thomasson, les architectes appelés à mener à bien cette entreprise, a surgi une idée d’apparence saugrenue, faire de cette bâche non pas une contrainte mais une chance, qui permettrait d’assurer un nettoyage et carrément un lifting pour le restaurer en profondeur afin de le rajeunir en lui offrant un futur nourri de son passé légendaire.Édifice aux façades inscrites à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques par Jack Lang en 1981, Le Grand Rex est le dernier exemple encore debout de cinéma à l’architecture Art déco. Il est l’œuvre d’un premier duo d’architectes, le français Auguste Bluysen, auteur entre autres de la Biscuiterie LU à Nantes et du casino du Touquet, et de l’américain John Eberson. Ce dernier fut le grand manitou des cinémas de style dit « atmosphérique ». Il en édifia des dizaines Outre-Atlantique. En France, le Grand Rex en est l’unique et dernier représentant. » Extrait de l'interview de Bruno Blanckaert, Directeur général du Grand Rex par Olivier Nuc :« L’histoire d’amour entre la salle parisienne inspirée par le Radio City Music Hall de New York et la musique a commencé il y a plus de quarante ans, avec un concert de Billy Joel. Le songwriter américain, rare sur nos terres, a en effet inauguré ce qui est devenu un temple des musiques populaires, dans leur acception la plus large. En quatre décennies, le Grand Rex a accueilli aussi bien les plus grands noms de la pop et du rock, les ténors de la chanson française, des jazzmen, tout en s’ouvrant largement aux musiques lusophones, du Portugal au Brésil. « Aux débuts, j’ai commencé par organiser des concerts les mardis et jeudis », se souvient Bruno Blanckaert, directeur de la salle. « A cette époque-là, j’aimais la pop de la Côte Ouest ». S’il est initialement difficile de convaincre les acteurs traditionnels du métier, une nouvelle génération de producteurs va accompagner l’émergence du Grand Rex dans les salles incontournables de Paris. »Le Grand Rex en quelques chiffres (par an) :1 million de spectateurs2.702 places dans la Grande salle, la plus grande salle de cinéma au monde100 Avant-Premières150.000 spectateurs pour les dessins animés de Noël et la Féerie des Eaux70.000 visiteurs au Rex Studios
Il y a 2 ans et 205 jours

La découpe mobile automatisée arrive en France

La découpe mobile automatisée arrive en France chez NOMAD ROBOTICS pour libérer les employés du travail fastidieux et épuisant de la coupe des carreaux La découpe mobile automatisée arrive sur le marché français. Nomad Robotics propose assurément la solution plus performante d’entre elles : le Cut’nMove. Autonome, intuitif et adaptatif sont les principaux caractères de cette solution. Elle propose un système entièrement équipé qui permet de s’adapter à vos besoins. En bref, le Cut’nMove c’est : Un système entièrement équipé Un Software intuitif Une augmentation de la productivité Une découpe adaptative Nomad Robotics, expert et distributeur en solution robotiques, à destination de la construction, lance cette solution robotique. Le Cut’nMove est la solution robotique mobile révolutionnaire de découpe mobile automatisée, elle vient révolutionner le quotidien de nombreux projet de construction en accélérant considérablement les tâches compliquées et supprimant des tâches répétitives voir dangereuses pour les salariés. Pourquoi le Cut’nMove plutôt qu’un autre ? Cut’nMove est une plateforme technologique révolutionnaire qui amène les robots directement sur le chantier de construction. Alors que la plupart des projets de construction nécessitent l’aide humaine, le Cut’nMove vient automatiser les découpes de pavés, qui sont des tâches compliquées lorsqu’on utilise la méthode traditionnelle.  Avec sa petite taille, son boîtier pour remorque de voiture et ses commandes faciles sur iPad, Cut’nMove est le robot coupeur de carreaux agile et mobile qui va révolutionner le pavage et le jardinage paysager. Cette solution est en réalité un système complet permettant de s’adapter à une multitude de situation grâce à sa technologie révolutionnaire. Sa plateforme robotisée de coupe de carreaux est hébergée dans le châssis d’une remorque de voiture, le Cut’nMove est mobile et se transporte facilement d’un chantier à un autre. Le système est équipé d’un robot 6 axes connecté au cloud pour une liberté de coupe totale. Le robot est monté avec une lame diamantée, qui peut typiquement couper des carreaux de béton, céramique, granite, brique, marbre, pierre naturelle et bien d’autres. La taille de l’objet peut aller de 10 x 10 cm à 60 x 80 cm et de 4 à 16 cm d’épaisseur. Un générateur embarqué est présent sur la solution, cela augmente sa capacité d’automatisation et prouve encore une fois que le Cut’nMove est autonome grâce à l’alimentation électrique autonome. L’aspirateur complète le système afin de gérer les découpes de carreaux lourds en diminuant considérablement les particules de poussières. De plus, la solution est équipée de la mise à niveau automatique qui permet le déploiement de celle-ci sur des terrains irréguliers. L’ensemble du système est commandé par une interface iPad facile à utiliser. Vous n’avez plus besoin de former vos salariés pendant de longues périodes, l’IPad est un outil de la vie de tous les jours. Pour utiliser le Cut’nMove, il vous suffit de l’accrocher à votre voiture, de le déployer et de couper, il n’a jamais été aussi facile d’effectuer ces tâches compliquées. Une utilisation simplifiée, au service de besoins changeants Cut’nMove décharge le travail de coupe des carreaux et permet de se concentrer sur l’artisanat du pavage. En automatisant le processus de coupe, il peut être réalisé en toute sécurité par une seule personne alors qu’un travail de pavage nécessite deux personnes avec la méthode traditionnelle. Cette solution permet donc de doubler votre productivité. Grâce à l’interface IPad, l’environnement de travail de vos salariés sera plus ergonomique, changeant ainsi l’image entière des chantiers. Cut’nMove vous permet de créer facilement des conceptions avancées, accélérant ainsi considérablement les tâches compliquées. Enfin, c’est un procédé sûr et silencieux qui encapsule la poussière, l’eau et les particules dans son environnement fermé, augmentant la sécurité du travail à des niveaux sans précédent, réduisant le niveau de bruit au travail et éliminant les particules de poussière provenant de la coupe processus. Pourquoi a-t-il été créé ? Cut’nMove est une solution robotique mobile révolutionnaire, la première en son genre, pour la découpe adaptative sur site de tuiles de construction. Nous avons créé Cut’nMove pour libérer les paveurs du travail fastidieux et éprouvant de la coupe de carreaux et permettre la création de motifs de carrelage avancés en appuyant simplement sur un bouton.  Il fonctionne en synchronisation avec un processus de pavage conventionnel, automatise le processus de coupe et vous permet de doubler la quantité et qualité de travail dans le même temps. Comparaison de la méthode traditionnelle au Cut’nMove Avec la méthode traditionnelle, les risques étaient nombreux : Nombre de particules de poussière élevé (14,4 mg/m3 en moyenne) Niveaux sonores élevés > 110 dB  Inconvénients pour les citoyens  Mauvaise ergonomie  Risque de blessures liées au travail Avec le Cut’nMove, les risques sont considérablement réduits : Moins de particules de poussière provenant de la coupe, en moyenne 0,212 mg/m3 Faibles niveaux sonores
Il y a 2 ans et 205 jours

Abloy Beat, une clé 100% digitale pour la sécurité des infrastructures critiques

Cette clé s’applique sur tous types d’accès et s’adapte à tous les environnements, même les plus atypiques. Ainsi, BEAT contrôle à distance et en temps réel des zones inaccessibles jusqu’à présent telles que des portes, des trappes, des armoires ou encore des grilles, etc.Les organisations ont un besoin croissant de sécuriser leurs accès avec une solution digitale, sans clé physique, mais toujours hautement sécurisée. Que ce soit pour compléter leur installation existante ou pour avoir une solution autonome, ce besoin se fait particulièrement sentir dans les zones reculées ou dans les cas où l’utilisation d’une clé physique comporte un risque de corruption ou un danger pour l’utilisateur.ABLOY BEAT, une nouvelle dimension de haute sécurité digitaleDédiée au secteur de l’eau, de l’énergie, des télécommunications, du transport ou encore de la logistique, cette offre, unique sur le marché, répond aux besoins directs des différentes infrastructures critiques. BEAT apporte une solution pour renforcer la sécurité des sites sensibles en multipliant le nombre de points de contrôle des accès atypiques (portes, trappes, armoires, grilles, etc).La clé digitale utilisée pour toute la gamme de produits BEAT permet de piloter l’ensemble des éléments de verrouillage à distance et en temps réel via un smartphone et les identifiants Seos®. Ainsi, un administrateur peut déverrouiller de chez lui et à n’importe quel moment une installation pour permettre à un utilisateur d’accéder sur un site.La technologie Seos® garantit une sécurité optimale sur l’ensemble des infrastructures critiques et permet à la clé digitale d’être protégée par une technologie d’identification de premier rang. Fournie par HID Global, une société du groupe ASSA ABLOY, l’application Seos® assure une sécurité par deux clés de cryptage (privée et publique - PKI), offre une communication sécurisée de bout en bout et une approche IoT moderne permettant des fonctionnalités poussées d’analyse et de surveillance à distance.Grâce à l’interface CIPE Manager, les clés, serrures et droits d’accès peuvent être gérer de n’importe où et à tout moment. Ce superviseur assure une gestion décentralisée des différents points d’accès sur les sites distants. ABLOY BEAT peut être géré avec CIPE Manager ou par un système tiers, à l’aide d’intégration via API ou SDK.ABLOY BEAT, une solution unique de contrôle d’accès basée sur la technologie Bluetooth Low EnergyLa communication basée sur la technologie Bluetooth Low Energy (BLE) offre aux infrastructures critiques la possibilité de piloter à distance l’ensemble de leurs dispositifs de verrouillage. De par le développement de l’offre de produit ABLOY BEAT et l’intégration d’un gateway dans la solution, BEAT permet de piloter depuis n’importe où et n’importe quand l’ensemble des produits d’une infrastructure critique.“Notre innovation apporte également une maîtrise complète des sites pour suivre en temps réel l’état des produits de verrouillage. De ce fait, l’administrateur peut savoir si les portes sont bien verrouillées et être alerté de la moindre activité suspecte. Le gateway, disponible dans notre offre de produits, est autonome en énergie et en communication, ce qui en fait un allié de taille pour les infrastructures critiques.” indique Dominique JARDIN, Directeur d’activité Critical Infrastructure France chez ASSA ABLOY Global Solutions.ABLOY BEAT, une offre de produits digitales en constante progressionL’offre de produits digitale d’ASSA ABLOY a été imaginée pour répondre aux besoins futurs en offrant des solutions de sécurité et de contrôle d’accès de haut niveau pour répondre aux exigences les plus strictes en matière de protection des infrastructures critiques. Ainsi, pour que les utilisateurs puissent bénéficier d’une expérience 100% digitale, ASSA ABLOY a récemment fait évoluer son offre BEAT et propose, désormais, une gamme de solutions intégrant un cadenas, un contrôleur, un cylindre, une poignée rotative, un tube de dépôt de clé et un gateway.
Il y a 2 ans et 206 jours

Quel revêtement choisir pour une terrasse ?

Lieu privilégié pour profiter de l’extérieur d’une maison au printemps, la terrasse crée un lieu convivial ouvert sur un jardin, une piscine ou simplement sur un balcon. De nombreux matériaux sont disponibles pour sa construction, comme le carrelage, la pierre, les pavés, le béton, le gazon synthétique et le bois. Découvrez quels sont les revêtements adaptés pour tous vos espaces extérieurs.  Le bois : intemporel et traditionnel Choisir le bois pour construire une terrasse, c’est avant tout choisir un matériau chaleureux, écologique, durable et facile à travailler. Cependant, tous les bois ne peuvent pas être utilisés. Pour une terrasse, il est d’usage d’opter pour du bois résineux ou des bois exotiques.  Le bois résineux fait partie des essences de bois les moins chères du marché. Pin, mélèze ou cèdre rouge, les bois résineux sont très résistants, mais nécessitent toutefois un traitement insecticide et fongicide et un entretien régulier. Nettoyez votre terrasse en bois régulièrement.  Les bois exotiques forment le haut de gamme des essences de bois pour la réalisation d’une terrasse. Extrêmement denses et naturellement imputrescibles et résistants aux intempéries, ces bois ont une durabilité intrinsèque incomparable, c’est pourquoi ils sont si appréciés pour une utilisation en terrasse.  Le bois composite : l’alternative durable Très différent du bois naturel, on peut dire que le bois composite est un hybride entre le bois et le plastique, parfois de fibres végétales comme le chanvre ou le bambou. Contrairement aux planches en bois naturel qui peuvent être vissées, les bois composites ont des fixations avec clips. Ils peuvent être considérés comme une alternative au bois exotique, victime d’une déforestation massive.  Le bois composite semble réaliste, mais demande beaucoup moins d’entretien que le bois naturel. Il se nettoie facilement avec de l’eau et du savon noir. En prime, le bois composite est résistant au feu, de sorte que votre famille reste en sécurité. La pierre naturelle : unique et authentique Choisir la pierre naturelle, c’est choisir un matériau durable, écologique, et facile à entretenir. Fondamentalement, la pierre naturelle pour l’extérieur doit aussi être robuste, résistante aux intempéries et antidérapante.  Pierre de Bourgogne, ardoise, granit ou pierre bleue, privilégiez la pierre brossée, sablée ou striée qui sera moins glissante. Les pierres naturelles à surface rugueuse sont très appréciées pour les espaces extérieurs, notamment car il est agréable de marcher pieds nus dessus.  Pour profiter longtemps de votre sol en pierre, imperméabilisez votre terrasse pour protéger la pierre. Nettoyer régulièrement à l’eau tiède savonneuse à l’aide d’un balai-brosse, sans oublier de rincer à l’eau claire.  Le carrelage : chic et élégant La pose de carrelage sur votre terrasse améliorera non seulement l’apparence de votre espace extérieur, mais donnera également l’avantage d’un revêtement de sol durable. Pour garantir cela, il convient de respecter certaines normes.  Le classement UPEC qui correspond à la résistance à l’usure à la marche (U), au poinçonnement et chocs (P), à l’eau (E) et aux agents chimiques (C).  La norme PEI comprise entre 3 et 5 qui indique la résistance à l’abrasion, mais surtout la solidité face au gel et aux intempéries.  Norme de glissance pieds chaussés. Elle définit le degré d’adhérence des carreaux. Moins ça glisse, moins il y a de risques de chutes. Petits ou grands, en imitation pierre, en céramique (grès cérame, faïence ou tomettes) ou en ciment, il existe des carreaux de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Attention, certains carrelages comme la faïence, restent fragiles.  Le béton : moderne et résistant Le béton est un matériau polyvalent et peu coûteux. Désactivé, drainant, fibré, imprimé ou précontraint, le béton est privilégié dans la construction des terrasses, car il résiste très bien aux conditions météorologiques extrêmes. Le béton est fait pour supporter un trafic intense, et conserve sa fière allure au fil du temps qui passe.   Son principal avantage réside dans sa pose qui ne nécessite pas de joints, ce qui empêche les mauvaises herbes de s’y installer. Et vu qu’une terrasse en béton peut se couler, les possibilités d’aménagement peuvent se faire sur mesure. Vous pouvez même changer l’apparence de la surface de votre béton, pour donner l’illusion que votre terrasse est composée de grandes dalles bétonnées. 
Il y a 2 ans et 225 jours

Rhône : l’aménagement des « Terrasses de la Presqu’île » à Lyon se poursuit.

Cet automne 2022 marque le lancement des travaux d’aménagement du jardin fluvial, prévus dans le cadre du projet « Terrasses de la...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 206 jours

Une maison de Melbourne de style fédération, rénovée et agrandie avec un pavillon de jardin.

Située à Fairfield, Melbourne (Australie), cette maison est un excellent exemple d’architecture de style fédération, répandue en Australie de la fin du 19e au début du 20e siècle. Oscar Sainsbury Architects (OSA) a rénové le bâtiment et a également agrandi l’espace disponible avec un nouveau pavillon de jardin soigneusement positionné. L’intervention maximise à la fois […]
Il y a 2 ans et 207 jours

Mano Mano Pro s'attaque au marché allemand

INTERNATIONAL. Déjà présente dans 4 pays, la branche professionnelle de la marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano Pro, poursuit son développement et s'implante en Allemagne.
Il y a 2 ans et 212 jours

decouvrir approcher visiter le bim s invite dans le projet de reamenagement des 54 hectares autour de la tour eiffel

Le concours « Grand site tour Eiffel » organisé par la Ville de Paris, en partenariat avec Autodesk, a nécessité, en amont des propositions paysagères, une modélisation 3D des 54 hectares destinés à être réaménagés en vue des Jeux Olympiques de Paris 2024. Architectes, géomètres, ingénieurs et chefs de projet : une poignée d’experts s’est mobilisée pour relooker les jardins légendaires de la Dame de Fer depuis le Trocadéro jusqu’à l’École Militaire. Découvrez comment s’articule le projet au cœur de chaque spécialité.
Il y a 2 ans et 212 jours

Assa Abloy annonce l’acquisition d’Alcea et renforce sa position sur le marché des infrastructures critiques

ASSA ABLOY développe son activité Critical Infrastructure avec l’acquisition d’ALCEAASSA ABLOY a récemment annoncé avoir reçu l’ensemble des approbations réglementaires nécessaires permettant clôturer l’acquisition de la société française ALCEA. La fusion des opérations d’ALCEA dans l’activité Critical Infrastructure d’ASSA ABLOY Global Solutions peut désormais se poursuivre.Pour Jorma ISSAKAINEN, vice-président Senior de l’activité Critical Infrastructure d’ASSA ABLOY Global Solutions : « Grâce à l’acquisition d’ALCEA, nous complétons notre offre logicielle et concrétisons ainsi notre stratégie autour des solutions centrées sur le contrôle d’accès. Notre objectif est de renforcer notre expertise et de devenir le leader mondial dans les environnements de protection des infrastructures critiques. »Pour Pascal LENGLART, Fondateur d’ALCEA : « ALCEA a été fondée en 1995 et emploie aujourd’hui 120 personnes. Il était important pour ALCEA, et donc pour ses clients, que la motivation première de cette acquisition soit la dimension industrielle du projet. »Pour Bruno ALSINA, Directeur des opérations d’ALCEA : « Nous sommes ravis que les solutions, relations et services d’accompagnement que nous avons développés avec nos clients s’inscrivent dans la continuité et bénéficient de la dynamique d’un des principaux groupes de sécurité au monde. »ALCEA, le concepteur français de solutions de sûretéALCEA, qui réalise un chiffre d’affaires de 20 millions d’euros, est un fabricant de logiciel de supervision de sûreté et de matériel de commande électronique associé. ALCEA propose une offre complète et évolutive pour répondre aux besoins de sécurisation des sites publics comme privés.Pour Dominique JARDIN, Directeur d’activité Critical Infrastructure France chez ASSA ABLOY Global Solutions : « ALCEA dispose d’une forte expertise en matière de contrôle d’accès, notamment dans les secteurs des télécommunications et des transports. Cette expertise s’inscrit parfaitement dans l’offre que nous proposons à nos clients. Grâce à cette acquisition, nous proposons désormais une offre complète et sur-mesure pour répondre aux besoins des infrastructures critiques. »La solution de surveillance ALWIN, le produit phare d’ALCEAALWIN est une solution de supervision sûreté et le produit phare d’ALCEA. Cette solution est certifiée par l’Agence Nationale de la Cybersécurité en France (ANSSI). Le système ALWIN est un logiciel modulaire et ouvert qui pilote différents dispositifs : des accès, des caméras de surveillance, des capteurs de détection d’intrusion. La solution ALWIN intègre déjà les solutions Aperio et CLIQ d’ASSA ABLOY et prochainement ABLOY BEAT.ExpoprotectionALCEA et Critical Infrastructure participeront à la prochaine édition du salon Expoprotection, du 15 au 17 novembre à Paris, porte de Versailles.
Il y a 2 ans et 213 jours

A Lagord, Bouygues Immobilier livre Alma Terra, la première résidence du quartier bas carbone Atlantech

Un environnement unique en FranceAvec Alma Terra, Bouygues Immobilier livre la toute première résidence située au cœur du pôle ATLANTECH, le premier quartier bas carbone français, créé à l’initiative de la Communauté d’Agglomération de la Rochelle.Unique en Europe, ATLANTECH se veut précurseur dans les domaines du développement durable, de la mobilité douce et de l’écoconstruction. A la fois quartier d’habitation et espace d’activité dédié à la transition énergétique, ATLANTECH est conçu comme un territoire d’innovation en matière d’écologie, au service de l’habitat de demain.Insérée au cœur de cette environnement, Alma Terra comprend 1000 m2 de jardins potagers partagers, des composteurs collectifs, des récupérateurs d’eaux pluviales, et dispose également de panneaux photovoltaïques en toiture sur 135 m2, facilitant et incitant ainsi la mise en place de comportements vertueux au sein de la résidence.Une sobriété énergétique labelliséeNichés dans un îlot de végétation les appartements de la résidence viennent de se voir décerner la plus haute performance du label E+C-. Initié par le Ministère chargé de l’Environnement, ce label évalue la performance énergétique et environnementale des bâtiments sur l’ensemble de leur cycle de vie.La résidence Alma Terra a obtenu le niveau E3C2, soit la plus haute performance du label. Une labellisation qui garantit une limitation de l’empreinte carbone pour la construction et le fonctionnement, un confort thermique optimum été comme hiver et une diminution des coûts énergétiques du logement. Murs en ossature bois aux derniers étages, façades végétalisées au rez-de-chaussée, isolation thermique, chaufferie bois collective et panneaux photovoltaïques sont autant d’éléments garantissant de réelles performances énergétiques sans négliger pour autant la qualité de vie. Lors de la construction d’Alma Terra, Bouygues Immobilier a également collaboré avec le réseau Biotop en matière de gestion et de valorisation des déchets. Biotop a accompagné Bouygues Immobilier pendant toute la durée du chantier. L’objectif ? Identifier et mettre en œuvre des solutions de gestion des déchets en lien avec la stratégie de développement durable et d’économie circulaire de Bouygues Immobilier. Pendant ses 15 mois d’intervention, Biotop a collecté près de 6,5 tonnes de déchets recyclables. Ainsi, près de 5.000 tonnes d’équivalent CO2 ont pu être évitées.Présenté dans le cadre des prix décernés par la fédération des promoteurs immobiliers de France (FPI), le projet Alma Terra avait reçu en 2020 la Pyramide d’Argent du bâtiment bas carbone.
Il y a 2 ans et 221 jours

Le roman fictionnel d’un monde meilleur à venir

Avec ‘Des Années ‘70 aux Confins des Années 2020’, l’architecte Michel Kada’an Bourdeau revisite pour Chroniques comment l’architecture et la pratique des hommes et femmes de l’art ont évolué en quarante ans à peine. Première partie (I/IV) : le roman fictionnel. Commencer des études d’architecture en 1976 est avoir vingt ans dans une période post-pompidolienne et […] L’article Le roman fictionnel d’un monde meilleur à venir est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 221 jours

Atelier du Pont livre 70 logements sociaux et commerces à Saint-Denis

Portée par Immobilière 3F, la transformation du Fort de l’Est à Saint-Denis en parc habité est répartie en 5 lots. Atelier du Pont a réalisé l’un de ces projets avec la construction de 70 logements sociaux et 4 commerces.Pour comprendre l’essence même du projet du nouveau quartier, il faut parcourir une partie de l’histoire de Paris et de son enceinte de Thiers. Créée en 1841 sous Louis-Philippe et son ministre Adolphe Thiers pour protéger la capitale des armées étrangères, le Fort de l’Est faisait partie d’une série de forts, judicieusement placés pour renforcés l’enceinte de Thiers, rendant ainsi la ville imprenable.Cette zone militaire a longtemps été mise de côté. Aujourd’hui, elle prend une nouvelle direction avec des logements et des commerces ayant pour objectif de développer cette partie de la ville.Anticipant la densification le long du chemin de Crèvecœur, le projet s’implante à l’alignement des rues et ouvre deux larges percées visuelles entre le futur Parc du Glacis et l’espace paysager côté rue.Le projet est organisé en trois petits bâtiments dont deux sont reliés au rez-de-chaussée par les halls d’entrée et les commerces. Au rez-de-chaussée, un passage planté chemine.D’abord privatif, il sera ensuite rétrocédé à la ville et permettra d’accéder au nouveau parc du Glacis à l’arrière du projet. Dans cette partie, une noue paysagère prend place.À l’entrée du quartier et face à la station de tramway, une émergence à R+8 marque l’angle et se distingue comme un signal.Le projet propose une architecture modeste, élégante et pérenne, et offre à chaque habitant des qualités d’usages qui font la force de l’opération : des vues, du soleil et un espace extérieur privatif ou partagé agréable.Sur rue, la façade en briques et plaquettes foncées forge l’identité du projet. Côté parc, la façade est sobre et rythmée par les balcons filants et le béton lasuré. Chaque logement est muni d’un balcon, d’une loggia ou d’un petit jardin. Sur les toitures, de grandes terrasses accessibles et partagées dotées d’espaces de détente et de potagers apportent des sas de respirations, contribuant notamment à créer du lien entre les habitants.La majorité des logements offre une double-orientation permettant d’apporter de la lumière à l’espace de vie. Au dernier niveau, des duplex offrent une vue sur tout Paris.Fiche Technique :Programme : 70 logements sociaux et 4 commerces, Saint-Denis Fort de l’Est (93)Maître d’ouvrage : Immobilière 3FMO déléguée : BatiplaineAdresse : chemin de CrèvecœurPerformances environnementales : Certification NF Habitat HQE Profil d’entréeSurface : 5.214 m2 SDPCoût travaux : 10.350.000 € HTBureaux d’études : EVP (Structure), WOR (Fluides & Environnement), AXIO (économie)Entreprise générale : Bouygues ConstructionLivraison : 2021
Il y a 2 ans et 228 jours

Le prix et l'espace extérieur, premiers critères des acquéreurs de logements, selon un sondage

"On sent la marque, bien évidemment, de la pandémie, du confinement", a analysé Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos, lors de la présentation de l'étude.59% des Français interrogés ayant acquis un bien dans les cinq dernières années ont cité le prix comme critère indispensable et sans compromis possible, et autant pour l'espace extérieur (jardin, terrasse ou balcon).Le type de logement (maison ou appartement) vient juste derrière, avec 56% des acquéreurs jugeant ce critère non négociable. Un chiffre qui grimpe à 69% pour les acheteurs de maisons, dont c'est le critère le plus important."La maison reste l'aspiration majoritaire des Français", a estimé Brice Teinturier. "Il y a un imaginaire autour de la maison", pas nécessairement lié à un critère précis, a-t-il ajouté.Le sondage, réalisé sur un échantillon de 3.056 personnes dont 1.664 ayant changé de logement (propriétaires ou locataires) dans les cinq dernières années, a été réalisé en avril, dans les premiers mois de la crise ayant entraîné une flambée des coûts de l'énergie.Signe d'un attachement toujours fort à la voiture, un acquéreur sur deux (47%) a considéré le parking comme un critère indispensable.Et seulement un sur trois (34%) dit s'être préoccupé de la classe énergétique de son futur logement lors de ses visites précédant l'achat.De nombreux acquéreurs ont aussi eu de mauvaises surprises après leur achat : deux sur trois (68%) ont déclaré avoir été gênés par des aspects qu'ils n'avaient pas remarqués; et un sur deux (52%) déclare avoir identifié des travaux indispensables après son emménagement.Les principales mauvaises surprises identifiées après coup concernent l'inconfort thermique et acoustique : le froid (17%), le chaud (13%), le bruit des voisins (16%) et de la rue (12%). L'ampleur des charges et des dépenses vient ensuite (11%).
Il y a 2 ans et 228 jours

Eco-mobilier agréé par l’Etat pour le recyclage des produits et matériaux de construction du bâtiment

Les fabricants, distributeurs et autres metteurs sur le marché pourront adhérer à l’éco-organisme dans les prochains jours. Pour Dominique Mignon, Présidente d’Eco-mobilier : « Ce nouvel agrément est la reconnaissance des compétences, du professionnalisme et de l’expertise dont nous faisons preuve depuis plus de dix ans sur l’ameublement. Le Conseil d'administration et les équipes sont fiers de cette confiance qui leur est témoignée. » Eco-mobilier devient ecomaison Acteur historique pour le tri, la collecte, le réemploi et le recyclage des éléments d’ameublement et de la literie, Eco-mobilier a étendu en 2022 son activité aux articles de bricolage et de jardin et aux jouets. Avec les produits et matériaux de construction du bâtiment, et bientôt les textiles de décoration, Eco-mobilier devient le premier éco-organisme de la maison multifilière et multimatériaux. Pour Dominique Mignon, Présidente d’Eco-mobilier : « Eco-organisme référent pour tout l’univers de la maison, c’est naturellement qu’Eco-mobilier devient ecomaison. » La campagne d’adhésion auprès des fabricants et distributeurs des PMCB sera signée ecomaison. Pendant plusieurs mois, les deux noms cohabiteront pour opérer une transition fluide auprès des adhérents et partenaires et assurer une continuité de service optimale pour tous. Un accord avec Ecominéro pour apporter une solution globale Un accord de coopération croisée entre ecomaison et Ecominéro - agréé pour la catégorie 1 des matériaux inertes - a été signé pour la prise en charge de tous les matériaux du bâtiment. Ainsi ecomaison et Ecominéro proposeront aux fabricants et distributeurs la possibilité d’adhérer sur les deux catégories sur leurs plateformes respectives. Pour Dominique Mignon, Présidente d’Eco-mobilier : « Apporter une réponse réglementaire et opérationnelle sur les deux catégories, inertes et non inertes, répond à notre volonté de proposer aux adhérents et à leurs clients distributeurs, artisans et particuliers, des solutions globales et simples. »
Il y a 2 ans et 229 jours

La Grande Mosquée de Paris, monument parisien emblématique, célèbre son centenaire

Le président de la République devrait dévoiler à cette occasion une plaque marquant entre autres la "reconnaissance" de la République pour ses soldats musulmans, a-t-elle indiqué à l'AFP.Construite bien avant les grandes vagues d'immigration, la GMP est la première mosquée métropolitaine érigée à l'ère contemporaine.Il s'agit, pour "les autorités de l'époque", de "rendre un hommage très fort aux musulmans pour leur sacrifice pendant la Première Guerre mondiale", dit à l'AFP le recteur actuel, Chems-Eddine Hafiz.Quelque 70.000 soldats de l'armée française, de confession musulmane, sont morts durant la Première Guerre mondiale, selon une estimation du ministère de la Défense.En 1920, un projet de loi dont le rapporteur est Edouard Herriot, alors député, et qui prévoit un Institut musulman comportant notamment une mosquée, une bibliothèque, une salle de conférence, est voté au Parlement.Fait marquant: il comporte une subvention de "500.000 francs", 15 ans après la loi de 1905 de séparation des Eglises et de l'Etat. Cela a été permis grâce "à un montage juridique", via un enregistrement au tribunal religieux d'Alger, "alors département français, dans lequel la loi de 1905 ne s'appliquait pas", selon le recteur.Parallèlement, une souscription est lancée dans tout l'empire colonial pour que les musulmans participent à sa construction."Impérialismes européens"En mars 1922, l'orientation de la future salle de prière par rapport à La Mecque est décidée. Le 19 octobre de la même année a lieu l'inauguration solennelle des travaux du futur bâtiment, en présence du maréchal Hubert Lyautey, stratège militaire et figure emblématique de la colonisation française au Maroc, sur un terrain des Hôpitaux de Paris.Quatre ans seront ensuite nécessaires à son édification et la mosquée est officiellement inaugurée en 1926.Sa construction correspondait aussi à "des motifs géostratégiques, en pleine lutte entre impérialismes européens", souligne Dorra Mameri-Chaambi, chercheuse à l'EHESS, qui a consacré une thèse au rôle de la Grande Mosquée dans l'islam en France."Avec les accords Sykes-Picot de 1916, les puissances impériales souhaitaient dépecer l'Empire ottoman. La période était également propice à offrir des gages de sympathie aux sujets musulmans de l'Empire colonial français", et à "conforter la France dans son rôle de puissance musulmane d'Europe", dit-elle.Sadek Sellam, auteur de La France et ses musulmans (Fayard), insiste sur le fait que "plusieurs projets" de mosquées ou d'institutions musulmanes à Paris avaient émergé, notamment dans certains milieux islamophiles, "dès 1846 puis en 1895".Avec son style hispano-mauresque, ses jardins et patios à l'andalouse, ses zelliges et moucharabiehs et son minaret haut de 33 m, l'édifice religieux, flanqué dès l'origine d'un restaurant et d'un hammam, est devenu un bâtiment emblématique de la capitale.Proche du Quartier latin, entre vieux immeubles parisiens et Jardin des plantes, il est classé à l'inventaire des "monuments historiques" depuis 1983. Sa construction est en béton armé avec des matériaux décoratifs (tuiles vertes, faïences, mosaïques, fer forgé) provenant du Maghreb. "C'est clairement une architecture maghrébine" qui a été retenue, observe Mathieu Lours, historien de l'architecture.Pour autant, "avec l'utilisation de techniques modernes - le béton-", mais aussi "l'importance majeure donnée à la coupole", "la recherche d'un grand volume à l'intérieur comme ce que souhaitent les catholiques à la même époque (dans leurs églises), on se dit que c'est vraiment un édifice religieux des années 1920", dit-il.Pour quelques jours, la GMP présente une trentaine de panneaux mettant en avant plusieurs personnalités: le premier directeur de l'institut, Kaddour Ben Ghabrit, le maréchal Lyautey, Edouard Herriot, ou encore l'islamophile Paul Bourdarie, directeur de La Revue indigène, soutien du projet dès 1915.
Il y a 2 ans et 229 jours

Rencontre avec Rémy Montrieux, PDG de Rairies Montrieux, sur la salon Batimat 2022

Batinfo : Pouvez-vous nous présenter l'entreprise Rairies Montrieux et son histoire ?Rémy Montrieux : Rairies-Montrieux est une entreprise qui existe depuis 110 ans. Je suis à sa tête depuis les années 70 et je suis la 5ème génération de la famille à gérer l'entreprise. Du côté Montrieux, je suis la 3ème génération car l'entreprise a été créé en 1910 par mon grand-père. En 1985 nous avons racheté la briqueterie voisine appartenant au côté maternel de ma famille et de ce côté-ci j'étais la 5ème génération. Rairies Montrieux est donc une entreprise familiale, multigénérationnelle porteuse d'un savoir-faire ancré dans la tradition française.À l'origine, l'entreprise était axée sur la fabrication de tomettes et carreaux de sols rustiques en terre cuite. Dans les années 70, le marché des carrelages en terre cuite était un secteur très porteur car il y avait énormément de projets de rénovation de fermettes. Au début des années 2000 l'arrivée du mouvement minimaliste entraina un arrêt brutal du secteur. A la recherche de nouveaux débouchés, nous avons réorienté notre stratégie vers les produits de façade. Ce choix s'est avéré gagnant car aujourd'hui ces produits représentent la grande majorité de notre activité.Batinfo : Quelle est votre positionnement sur le marché aujourd'hui ?Nous produisons aujourd'hui des briques, des carreaux et des plaquettes de parement en terre cuite naturelle ou émaillées pour les sols, murs intérieurs, façades extérieures et aménagement de jardins. Nous continuons à enrichir nos gammes façades dont le succès ne s'est jamais démenti avec une croissance continue depuis leurs lancements, jusqu'à supplanter nos produits historiques et devenir notre activité principale. Cette année encore nous avons ajouté de nouvelles références à notre nuancier afin de permettre à nos clients professionnels, dont beaucoup d'architectes, de réaliser des projets toujours plus personnalisés.Batinfo : Quel est la prochaine étape pour Rairies Montrieux ?Rémy Montrieux : Nous avons évidemment beaucoup de projets pour l'avenir. Nous souhaitons par exemple continuer à moderniser nos outils de production. Nous avions fait le choix dès le départ d'utiliser des chaudières biomasse dans nos usines. L'utilisation du bois pour la cuisson, pour les tomettes et le séchage naturel, nous permet aujourd'hui de maitriser nos coûts en énergie tout en étant plus respectueux de l'environnement en réduisant au maximum la consommation d'énergie fossile.Nous avons également à cœur de travailler sur la pénibilité au travail afin de préserver la santé de nos collaborateurs.Nous allons également poursuivre nos projets sur la réduction et la valorisation de nos déchets et de nos invendus. Nous travaillons actuellement avec l'architecte Gaëtan Engasser de l'Agence Engasser & Associés spécialisé dans l'utilisation de matériaux de récupération pour réaliser des projets uniques et écoresponsables.Nous continuerons bien sur à développer nos gammes de briques de formes et nous pouvons déjà vous annoncer que nous participerons à la construction de plusieurs bâtiments pour un grand événement sportif en 2024.Notre objectif est de passer d'un chiffre-d'affaire de 12 millions d'euros aujourd'hui à 20 millions dans 4 ans.
Il y a 2 ans et 229 jours

A Londres, la nouvelle vie de l'emblématique centrale électrique de Battersea

Située au sud de la Tamise, la réhabilitation de la centrale construite dans les années 1930 est le dernier exemple en date des projets de transformation d'anciens sites industriels de la capitale britannique.Entamés en juillet 2013, les travaux qui auront coûté 9 milliards de livres (environ 10,2 milliards d'euros) ont pris fin et le site ouvre vendredi au public.Ses 16 hectares accueillent désormais plus de 250 boutiques, cafés et restaurants, plus de 270.000 m2 d'espaces commerciaux ainsi que des appartements, un théâtre, un hôtel, un espace événementiel et 24 hectares de jardins.Au total, les concepteurs du projet estiment que 25.000 personnes vivront ou travailleront sur le site, résultat du "plus minutieux projet de restauration d'un bâtiment post-industriel de Londres", selon Ben Walker, de l'agence LDA Design qui y a contribué.Devenue culte depuis que le groupe Pink Floyd en a fait la couverture de son album Animals en 1977, la centrale avait auparavant fait l'objet de nombreuses critiques. Au début de sa construction, la stabilité de ses cheminées avait été mise en doute, et certains sceptiques l'avait qualifiée de "gigantesque et inutilement laide".Au plus fort de son activité, la centrale produisait un cinquième de l'électricité consommée à Londres, fournissant notamment le palais de Buckingham et le Parlement.Mais dans les années 1970, son utilité avait diminué, avec la montée en puissance de nouvelles sources de production d'électricité dans l'estuaire de la Tamise. Une première unité de la centrale avait été mise à l'arrêt en 1975, et la seconde en 1983.Plusieurs projets avortés avaient ensuite tenté de réhabiliter le bâtiment, qui a progressivement perdu sa toiture et est tombé petit à petit en ruine. Jusqu'à son rachat en 2012 par un consortium d'investisseurs malaisiens. Les architectes ont dû faire face à de nombreux défis pour transformer la centrale, notamment pour respecter la vision de l'architecte Giles Gilbert Scott, qui a joué un rôle majeur dans sa construction, en créant de "nouveaux et immenses espaces".Bijou Art décoAprès avoir craché de la fumée pendant un demi-siècle, les quatre cheminées de 8,4 mètres de diamètres avaient notamment souffert de la corrosion et elles ont dû être démontées avant d'être reconstruites à l'identique.Désormais, les visiteurs pourront monter au somment de l'une d'entre elles via un ascenseur en verre pour profiter d'une vue panoramique sur Londres. D'autres éléments du bâtiment d'origine ont été conservés, comme l'espace qui abritait la turbine de la première unité de la centrale, un bijou Art déco. Autre trace du passé du site: le quai de 133 mètres de long qui servait à charger le charbon depuis la rivière est désormais bordé de boutiques et de restaurants.La centrale de Battersea est la dernière sur une longue liste de sites industriels rénovés dans la capitale britannique.Une autre centrale électrique londonienne, celle de Bankside, également conçue par Giles Gilbert Scott, abrite ainsi depuis 2000 la Tate Modern, le musée d'art moderne de Londres.Pour Tom Goodaal, associé du cabinet Related Argent, spécialiste des rénovations urbaines et qui a notamment travaillé sur la réhabilitation de la gare de King's Cross à Londres, Battersea va susciter un grand attrait car elle est un exemple de ce que peut être "le mélange heureux de l'ancien et du moderne".Mais son succès sur le long terme viendra de "la magie" qui pourra advenir dans la manière dont le public prendra possession de ses espaces. "Ce sera la capacité des gens à déambuler entre les bâtiments et à en profiter sans avoir besoin de faire partie d'un club particulier qui lui donnera sa vraie valeur", ajoute-t-il.
Il y a 2 ans et 229 jours

INOHADAYS 2022 Jeudi 1er décembre 2022 « S’engager, ensemble, pour l’avenir » Une journée de réflexion stratégique consacrée aux enjeux de la RSE

INOHA, Les Industriels du Nouvel Habitat, organise les INOHADAYS le jeudi 1er décembre 2022 à Paris, à l’espace Saint-Martin. Rendez-vous incontournable de la filière, cette journée de réflexion stratégique et d’échanges, placée sous la thématique « s’engager, ensemble, pour l’avenir », mettra à l’honneur les enjeux de la RSE. Elle sera suivie de la Nuit By INOHA. INOHADAYS, une journée riche en partageS’inscrivant dans les orientations stratégiques 2025 d’INOHA pour engager et accompagner la filière du Nouvel Habitat dans sa démarche RSE, cette journée de conférences a pour but d’éclairer les industriels et de prendre de la hauteur sur les problématiques et les enjeux du secteur. Les distributeurs seront invités cette année comme intervenants pour faire part de leur vision sur le sujet mais aussi comme participant pour s’engager, ensemble, pour l’avenir. Cette journée sera rythmée par trois keynotes et trois tables-rondes :• Stratégie de décarbonation : une réalité pour la filière,• Économie circulaire : des entreprises qui réussissent,• Réindustrialisation : entre responsabilité et attentes. Des personnalités et des experts du secteur interviendront durant toute la journée, notamment :• Nathalie Boyer, Déléguée Générale d’OREE et Vice-présidente du Conseil National de l’économiecirculaire,• Nicolas Dufourcq, Directeur Général de la BPI France,• Louis Gallois, Co-Président de la Fabrique de l’Industrie,• Jean-Marc Jancovici, Président de The Shift Project,• Christophe Mistou, Directeur Général du groupe Mr Bricolage,• Alain Rabec, CEO de Kingfisher France. La Nuit by INOHA, une soirée d’échanges autour des 7ème Trophées d’INOHACette journée de réflexion et de partage sera suivie par la Nuit by INOHA organisée à l’Atelier des Lumières, lieu d’histoire et centre d’art numérique à Paris. Mêlant convivialité et échanges, cette soirée, réunissant industriels et distributeurs du secteur, sera ponctuée par la remise des 7ème Trophées INOHA. Cette cérémonie est l’occasion pour les adhérents d’INOHA de mettre en lumière leurs actions dans les catégories suivantes :• Prix de l’innovation,• Prix de la communication,• Prix de la RSE et de bénéficier d’une grande visibilité devant l’ensemble des acteurs de la filière du Nouvel Habitat. La sélection des lauréats aura lieu le 9 novembre par les membres du jury suivants : Jérôme Bedier, Président de l’Agence du Don en Nature,Pierre Dieuzeide, Rédacteur en chef de Zepros Habitat,Arnaud Disdero, Rédacteur en chef de Système DGuillaume de Bodard, Président de la Commission Environnement et Développement Durable de la CPME,Jean-Luc Guéry, Président d’INOHA,Dominique Mignon, Directrice Générale d’Eco-MobilierAnne-Marie Sargueil, Présidente de l’Institut Français du Design. « Les débats qui seront menés tout au long de la journée par des personnalités et experts du secteur permettront, j’en suis sûr, de mieux appréhender les enjeux et l’étendue de la RSE et ainsi de mieux accompagner les adhérents d’INOHA à développer des offres durables. Travaillons ensemble pour une industrie responsable, engagée et durable ! » Jean-Luc Guéry, Président d’INOHA. Programme : https://www.inoha.org/actualites_tendances/inohadays-et-la-nuit-by-inoha/ A propos d’INOHAAssociation professionnelle des Industriels du Nouvel Habitat, INOHA fédère, depuis 1978, les fabricantsde produits manufacturés destinés à l’entretien, au bricolage, à l’aménagement extérieur, au jardinage, àl’amélioration de l’habitat et à la construction résidentielle neuve. INOHA les fédère pour les aider à accélérer leur développement dans une approche multi-canal et s’engage auprès d’eux à les éclairer, à construire et à peser dans un esprit de partage, d’engagement et de respect. INOHA et ses adhérents sont au service des Français qui font de leur habitat une valeur refuge, source de leur bien-être. INOHA10 rue de Sèze75009 ParisTél. : 01 53 42 36 42 www.inoha.org