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Résultats de recherche pour londres

(1287 résultats)
Il y a 6 ans et 254 jours

Une maison victorienne prend des allures contemporaines

BRITISH. Au coeur de Londres, cette maison victorienne s'est refait une beauté. Subtil mélange de neuf et d'ancien, elle a su exploiter ses caractéristiques historiques pour retrouver son charme d'antan, tout en prenant des accents contemporains, avec, notamment, une extension en aluminium. Découverte.
Il y a 6 ans et 288 jours

Steelcase : LINC

Depuis le mois de novembre 2017, le siège européen de l'éditeur de mobilier tertiaire Steelcase prend place dans de nouveaux bureaux, à Munich (Allemagne). " Bureaux ", vous avez dit " bureaux " ? Non, un hub prénommé LINC " pour Learning + Innovation Center ", centré sur la créativité, la flexibilité et le bien-être. Un joli programme mis en place dans un magnifique écrin. Si le Design thinking ne vous dit rien, rendez-vous dans le quartier culturel de Munich, à l'angle de la Augustenstrasse et de la Brienner Strasse, dans les locaux européens de la marque de mobilier américaine Steelcase, pour découvrir l'application concrète de ses préceptes, à savoir la mise en "uvre de stratégies créatives au service des entreprises. Une réhabilitation de trois anciens immeubles de bureaux datant des années 1950, réalisée par les équipes de Henn Architectes et de Steelcase, incarnant les recherches de l'entreprise sur les espaces tertiaires de demain. Une quête d'innovation et de bien-être au travail qui prend par ailleurs la forme d'un magazine dont le nom, 360°, est à l'image de l'ouverture de la firme. Une quête initiée dans le siège de Steelcase, à Grand Rapids, dans le Michigan (USA), fief de l'éditeur. " Un bâtiment comme un outil de travail ", conclue Jessie Storey, designer chez Steelcase qui a travaillé sur le projet durant 3 ans pour que les idées de la société prennent vie dans ces locaux. Quant aux raisons de la désignation de Munich pour installer ses quartiers européens ? Monika Steilen, directrice de la communication, explique que plusieurs métropoles étaient pressenties : Paris, Londres, Istanbul et Berlin. C'est finalement la capitale de la Bavière qui l'a emporté pour son dynamisme économique et créatif, son positionnement central en Europe, la présence de nombreux établissements internationaux et l'implantation d'une usine de la marque au sud de la ville. Pour ce qui est du choix de cet ensemble bâti, elle raconte qu'il est dû au hasard d'une ballade dans la ville, après un an d'investigations infructueuses ! Sur 14 000 mètres carrés, les lieux dédiés à la création sont ainsi mêlés à d'autres fonctions " marketing, service clients, service informatique, etc. ", sans perception de hiérarchie entre les 240 collaborateurs. Ainsi, les dirigeants sont installés au 1er niveau du bâtiment, contrairement à un grand nombre d'entreprises où ces derniers occupent pour la plupart les parties hautes d'un édifice. Le but ? Briser la logique d'organisation en silos et la sectorisation par plateaux pour leur redonner une place centrale au centre des équipes et faciliter les prises de décisions.L'idée ? Provoquer les rencontres et en faire émerger des synergies, et peut-être même des innovations qui n'auraient jamais vu le jour dans une configuration spatiale plus traditionnelle et cloisonnée. La définition même de la sérendipité. Au c"ur de ce processus : un large escalier droit desservant les cinq niveaux de ce bâtiment en L traversant, et un WorkCafé situé en rez-de-chaussée avec mezzanine, conçu par le designer Patrick Jouin. Un secteur chaleureux habillé de noyer, dédié certes à la détente mais aussi aux rencontres et surtout à la sociabilisation, tout en permettant de s'emparer d'un endroit souvent sous-utilisé " seulement occupé aux heures de déjeuner.En parallèle, tout a été fait pour éviter une standardisation des espaces et du mobilier, se rapprocher au maximum du vocabulaire domestique, afin que salariés et invités se sentent ici un peu comme chez eux, au milieu des canapés, fauteuils et plantes. Un éventail de solutions et d'univers leur a alors été proposé afin de permettre de travailler assis, debout, allongé, dernière une cloison mobile, dans une aire ouverte, au calme dans une alcôve dégagée, sur une grande table ou à plusieurs dans un petit salon. Malgré les apparences, nous ne sommes pas là face à un système de flex office car les employés peuvent avoir un bureau, voire plusieurs ! Voilà tout l'intérêt de l'aménagement proposé par le LINC, qui évoluera probablement dans les années à venir grâce à des plateaux libres, en fonction du retour d'expérience des usagers. L'innovation, toujours l'innovation, dans ce qui est finalement un " shoowroom vivant ", comme le définit Jessie Storey. Un exemple à suivre aussi bien sur le fond que sur la forme. Pour en savoir plus, visitez le site de Steelcase  Photographies : DR
Il y a 6 ans et 306 jours

FreelandBuck : Urban Cabin 2018

Après Milan, Londres, New-York, Shanghai, ou encore Bruxelles, la firme automobile MINI poursuit son questionnement sur l'avenir de la vie en ville et le cas de Los Angeles (États-Unis), avec le prototype d'habitat Urban Cabin 2018. Aux manettes, le studio américain FreelandBuck et son logement modulaire ouvert sur l'espace public ! Face à la forte croissance de la population, l'augmentation des prix du loyer et le manque de place en milieu citadin, MINI, filiale anglaise du groupe automobile BMW s'intéresse à la façon dont l'architecture pourrait offrir une réponse flexible et en phase avec le monde d'aujourd'hui . Dans le même élan que ses voitures compactes citadines, elle propose donc divers prototypes de lieux de vie lors d'évènements internationaux : les Urban Cabins. À l'instar de ses prédécesseurs créés en 2016 par Asif Khan et par Sam Jacob en 2017, l'Urban Cabin 2018 se contente de peu d'espace pour offrir un maximum d'usages : structure en aluminium de plain-pied et de 15 mètres carrés installée sur le toit d'un ancien bâtiment industriel du XXe siècle dédié au co-working, à l'art et aux loisirs en plein air, elle ajoute cependant un espace public à la cabine afin de prolonger l'expérience de l'occupant.Elle se compose de deux boîtes blanches " dont l'une est surmontée d'un toit-terrasse " bardées en métal perforé, entre lesquelles se trouve un hall cubique semi-ouvert en polycarbonate translucide teinté. D'un côté se trouvent les pièces d'eau " cuisine et salle de bain ", et de l'autre la chambre à coucher avec ouverture zénithale si l'occupant souhaite passer une nuit à la belle étoile. L'intérieur est intégralement recouvert de panneaux de contreplaqué perforés de petites formes géométriques, permettant de laisser passer les rayons de soleil et d'installer un système d'étagères modulaires. Pour procurer d'avantage de lumière naturelle, deux ouvertures pivotantes ont été réalisées dans le mur de la cuisine, dont l'une se transforme en table à manger. Urban Cabin 2018 s'ajoute ainsi au panel de MINI Living, qui en est déjà à son troisième coup d'essai. Petit mais efficace ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Freelandbuck Photographies : Laurian Ghinitoiu
Il y a 6 ans et 306 jours

FreelandBuck : Urban Cabin 2018

Après Milan, Londres, New-York, Shanghai, ou encore Bruxelles, la firme automobile MINI poursuit son questionnement sur l'avenir de l'habitat en ville et le cas de Los Angeles (États-Unis), avec le prototype Urban Cabin 2018. Aux manettes, le studio américain FreelandBuck et son logement modulaire à la fois intimiste et ouvert sur l'espace public ! Face à la forte croissance de la population, l'augmentation des prix du loyer et le manque de place en milieu citadin, MINI, filiale anglaise du groupe automobile BMW, s'intéresse à la façon dont un module de micro-habitation peut s'adapter à différents environnements. Dans le même élan que ses voitures, compactes et citadines, elle propose donc divers prototypes de lieux de vie lors d'évènements internationaux : les Urban Cabins. À l'instar de ses prédécesseurs créés en 2016 par Asif Khan et par Sam Jacob en 2017, l'Urban Cabin 2018 se contente de peu d'espace pour offrir un maximum d'usages : structure en aluminium de plain-pied et de 15 mètres carrés installée sur le toit d'un ancien bâtiment industriel du XXe siècle dédié au co-working, à l'art et aux loisirs en plein air, elle ajoute cependant un espace public à la cabine afin de prolonger l'expérience de l'occupant.Elle se compose de deux boîtes blanches " dont l'une est surmontée d'un toit-terrasse " bardées en métal perforé, entre lesquelles se trouve un hall cubique semi-ouvert en polycarbonate translucide teinté. D'un côté se trouvent les pièces d'eau " cuisine et salle de bain ", et de l'autre la chambre à coucher avec ouverture zénithale si l'occupant souhaite passer une nuit à la belle étoile. L'intérieur est intégralement recouvert de panneaux de contreplaqué perforés de petites formes géométriques, permettant de laisser passer les rayons de soleil et d'installer un système d'étagères modulaires. Pour procurer d'avantage de lumière naturelle, deux ouvertures pivotantes ont été réalisées dans le mur de la cuisine, dont l'une se transforme en table à manger. Urban Cabin 2018 s'ajoute ainsi au panel de MINI Living, qui en est déjà à son troisième coup d'essai. Petit mais efficace ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Freelandbuck Photographies : Laurian Ghinitoiu
Il y a 6 ans et 312 jours

Paris demande un métro plus accessible avant les JO

La Ville de Paris a demandé que la capitale puisse bénéficier de davantage d'escaliers mécaniques et de stations accessibles aux handicapés avant les jeux Olympiques 2024, comme l'avait Londres.
Il y a 6 ans et 313 jours

La Ville de Paris demande un métro plus accessible aux handicapés avant les JO

La Ville de Paris a demandé lundi que la capitale propose davantage d'escaliers mécaniques et de stations de métro accessibles aux handicapés avant les jeux Olympiques et paralympiques de 2024, comme l'avait fait Londres.
Il y a 6 ans et 318 jours

Axel Schoenert Architectes : Le Shift

Au c"ur du quartier de la Gare Saint-Lazare à Paris (8e), un ensemble immobilier rebaptisé le Shift a été entièrement repensé et rénové par l'agence Axel Schoenert Architectes. Un espace de co-working parisien livré en avril 2018 qui fait table rase de son passé résidentiel pour offrir un tout nouvel agencement au plus près du salarié d'aujourd'hui. Travailler en co-working c'est bien, dans un intérieur de haut-standing c'est mieux ! La société allemande de gestion d'actifs MEAG a ainsi confié la revalorisation de sa propriété situé au 54 rue de Londres à Paris, à l'agence Axel Schoenert Architectes. L'ensemble est composé de trois bâtiments en peigne d'une surface totale de 4 758 mètres carrés : une résidence en R+6 datant des années 1930 sur rue et un hôtel particulier de 1840 en R+5, parallèles et séparés par une cour, et en fond de parcelle une ancienne écurie du XIXe siècle avec patio, dorénavant bardée de verre et de métal. Des édifices fragmentés que le client a souhaité réunir et harmoniser afin d'y installer de vastes espaces de co-working pour le groupe SPACES, qui s'est lui-même chargé de l'aménagement de ses plateaux traversants, libérés de toute cloison intérieure. Pour permettre une libre circulation, deux cours végétalisées agrémentent les aires extérieures tandis qu'un escalier construit ex nihilo ajoute une fluidité à l'ensemble. La façade sur rue, exposée plein sud, accueille un bardage en Corian® blanc, matériau également utilisé pour l'habillage de l'escalier extérieur reliant les deux principaux édifices. L'assemblage de panneaux " réalisés sur-mesure " respecte le calepinage de l'immeuble haussmannien voisin et assure par ailleurs une résistance dans le temps aux intempéries, UV, à la chaleur et au feu " en même temps qu'il dissimule une épaisse isolation réduisant les coûts énergétiques. L'agence Axel Schoenert Architectes a donc su faire du Shift un pôle tertiaire attractif et harmonieux. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Axel Schoenert Architectes Photographies : Axel Schoenert Architectes
Il y a 6 ans et 323 jours

Christo : London Mastaba

Ne soyez pas surpris de voir une masse inhabituelle flotter sur le lac Serpentine si vous passez par Hyde Park à Londres (Royaume-Uni), ce n'est que Christo ! La star mondiale de l'art contemporain a en effet dévoilé lundi sa dernière "uvre, London Mastaba, visible jusqu'au 23 septembre 2018. Pour accompagner l'exposition de la Serpentine Gallery " Christo et Jeanne-Claude, barils et le ?mastaba? , 1958-2018 ", un prisme tronqué monumental, haut de plus de 20 mètres composé de pas moins de 7 506 barils métalliques rouges, bleu et mauve a été disposé sur le lac voisin ! Si le London Mastaba fait référence aux tombeaux funéraires antiques d'Égypte et de Mésopotamie, sa réelle signification questionne. Revendication écologique ? Objet religieux ou simple forme géométrique ? La réponse du plasticien américain est à la fois claire et ouverte : " Il n'y a pas de message ", déclare-t-il. C'est donc aux visiteurs de se faire leur avis eux-mêmes et d'émettre les hypothèses qui leur semblent plus plausibles. Le baril, matériau apprécié par l'artiste pour son faible coût et sa forme, qu'il a déjà utilisé par le passé dans quelques-unes de ses "uvres comme le Murs de barils de pétrole " le rideau de fer bloquant la rue Visconti à Paris (6e) de 1961 à 1962 afin de protester contre l'élévation du Mur de Berlin construit en août 1961. Dans un tout autre contexte, à Oberhausen (Allemagne), l'enceinte entièrement noire de l'un des plus grands réservoirs de gaz au monde s'est vue illuminée par une paroi immense et colorée composée de 13 000 barils en 1999. Dans le cas du London Mastaba, il faut remonter jusqu'en 1968, année où ce volume trapézoïdal a été installé pour la première fois dans l'atrium de l'Institut d'Art Contemporain de l'Université de Pennsylvanie, mais avec " seulement " 1 240 barils d'huile ! Un dernier conseil de Christo si vous vous interrogez encore : " Marchez autour, regardez-la, je ne peux rien dire d'autre ". Pour en savoir plus, visitez le site de Christo et Jeanne-Claude Photographies et Illustrations : 01) Wolfgang Volz02-07) Wolfgang Volz08) André Grossmann © 2017 Christo09) © 2017 Christo
Il y a 6 ans et 330 jours

Frida Escobedo : Pavillon Serpentine

Ce lundi 11 juin 2018 aux Kensington Gardens à Londres (Grande-Bretagne) a été inauguré le 18e pavillon d'été de la Galerie Serpentine. Aux commandes cette année : l'architecte mexicaine Frida Escobedo, qui a imaginé un espace rappelant les maisons de son enfance, appelées " celosía " " signifiant " jalousie ". Chaque année la Serpentine Gallery confie à un architecte la réalisation d'un pavillon à un architecte de renom pour sa programmation estivale. Alors que cette initiative a démarré en 2000 avec la célèbre architecte anglo-irakienne Zaha Hadid, voici que Frida Escobedo, architecte mexicaine de 38 ans, entre dans le cercle très fermé des maîtres d'"uvre choisis pour réaliser un bâti éphémère. Elle devient ainsi la plus jeune architecte à participer à l'événement. Ayant déjà créé des pavillons notamment pour la Triennale d'architecture de Lisbonne (2013) ou la Biennale d'architecture de Chicago (2017), elle expérimente le temps comme une interaction sociale, une notion philosophique exprimée par Bergson au début du XXe siècle, où la durée est considérée comme une conception intuitive. Le Pavillon Serpentine est donc le lieu d'une expérience autant personnelle que collective. L'ensemble se compose d'une piscine triangulaire autour de laquelle deux volumes rectangulaires disposés en angle se rejoignent pour former des entrées et un axe de circulation. Les murs sont faits de tuiles de ciment gris sombre posés en clairevoie, de fabrication britannique, créant des interstices offrant des vues sur le parc. Une cloison pivotante permet d'ouvrir et fermer l'accès à la structure. Au-dessus, le toit est conçu comme une canopée incurvée dont la face intérieure est faite de panneaux réfléchissants qui entrent en résonnance avec le bassin central ainsi que les effets de lumière variant tout au long de la journée, tel un " garde-temps qui en trace le passage ", comme le définit Frida Escodebo. L'occasion de célébrer l'avancée de la femme architecte lors d'un weekend bien mérité de l'autre côté de la Manche. Pavillon Serpentine ouvert au public du 15 juin au 7 octobre 2018, Kensington Garden, Londres (Grande-Bretagne) Pour en savoir plus, visitez le site de Frida Escobedo (http://www.fridaescobedo.net/new/) Photographies : Laurian Ghinitoiu
Il y a 6 ans et 340 jours

Boutique Cartier chez Harrods à Londres par Laura Gonzalez

L'architecte Laura Gonzalez a fait appel à l'Atelier Bernard Pictet pour la création des verres de la boutique Cartier située chez Harrods à Londres. Pour ce lieu, l'agence a imaginé un espace luxueux, précieux et intemporel, à l'image de la […] L'article Boutique Cartier chez Harrods à Londres par Laura Gonzalez est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 363 jours

Will Alsop, " le Maverick " : disparition d'un architecte non-conformiste

Will Alsop s'est éteint samedi 12 mai 2018 à l'âge de 70 ans. L'architecte anglais s'était fait remarquer, tout au long de sa carrière, par des "uvres originales aussi bien que controversées. En 2000, il recevait la plus prestigieuse distinction américaine en matière d'architecture, le Stirling Prize, pour sa réalisation de la bibliothèque de Peckham, dans le sud-est de Londres. Portrait d'un personnage à part dans l'univers architectural contemporain : the maverick. ...
Il y a 7 ans et 17 jours

Theodóra Alfreðsdóttir : Mold

Terre de la chanteuse Björk, du groupe de rock Sigur Rós ou de l'architecte Guðjón Samúelsson, l'Islande est également connue pour son festival de design, le DesignMarch, qui fêtait récemment son 10e anniversaire. L'occasion pour la créatrice locale exilée à Londres, Theodóra Alfreðsdóttir, de présenter son dernier projet aussi raffiné que déluré : Mold. Un nom évocateur pour une collection qui l'est a priori moins. En effet, Mold " comprenez " moules " en anglais ", semble plus proche de l'"uvre abstraite que de l'outil technique. Et pourtant ! À travers ce travail, la designer a voulu prolonger la vie de cet objet qui ne sert qu'à dupliquer dans l'ombre ; à créer, mais qui n'est jamais exposé. En effet, une fois qu'il a rempli son rôle, qu'advient-il de ce moule ? Sous l'impulsion de Theodóra Alfreðsdóttir, ce qui était jusqu'alors de simples patrons tombés en désuétude se mue en sculptures aux tonalités pastel. Exposés à côté des formes qu'ils sont capables de produire à l'infini, les moules en MDF sont non seulement mis en valeur pour leur beauté mais également pour sensibiliser les spectateurs au monde matériel, à l'artisanat et à la valeur des choses que l'on néglige parfois. En effet, le développement technologique ou la consommation à outrance nous ont peu à peu détachés des processus de fabrication. L'objectif était donc ici de mettre en lumière ce qui nous est habituellement dissimulé ou auquel nous ne prenons plus la peine de réfléchir. Cette exposition, l'artiste la voit comme une première étape de recherche. Elle souhaiterait pousser sa création encore plus loin et s'intéresser aux procédés industriels, tels que la céramique coulée par exemple. Une collection qui, au-delà de son esthétisme pop, pousse à se questionner sur nos modes de consommation. Pour en savoir plus, visitez le site de Theodóra Alfreðsdóttir Photographies : DR
Il y a 7 ans et 17 jours

Theodóra Alfreðsdóttir : Mold

Terre de la chanteuse Björk, du groupe de rock Sigur Rós ou de l'architecte Guðjón Samúelsson, l'Islande est également connue pour son festival de design, le DesignMarch, qui fêtait récemment son 10e anniversaire. L'occasion pour la créatrice locale exilée à Londres, Theodóra Alfreðsdóttir, de présenter son dernier projet aussi raffiné que déluré : Mold. Un nom évocateur pour une collection qui l'est a priori moins. En effet, Mold " comprenez " moules " en anglais ", semble plus proche de l'"uvre abstraite que de l'outil technique. Et pourtant ! À travers ce travail, la designer a voulu prolonger la vie de cet objet qui ne sert qu'à dupliquer dans l'ombre ; à créer, mais qui n'est jamais exposé. En effet, une fois qu'il a rempli son rôle, qu'advient-il de ce moule ? Sous l'impulsion de Theodóra Alfreðsdóttir, ce qui était jusqu'alors de simples patrons tombés en désuétude se mue en sculptures aux tonalités pastel. Exposés à côté des formes qu'ils sont capables de produire à l'infini, les moules en MDF sont non seulement mis en valeur pour leur beauté mais également pour sensibiliser les spectateurs au monde matériel, à l'artisanat et à la valeur des choses que l'on néglige parfois. En effet, le développement technologique ou la consommation à outrance nous ont peu à peu détachés des processus de fabrication. L'objectif était donc ici de mettre en lumière ce qui nous est habituellement dissimulé ou auquel nous ne prenons plus la peine de réfléchir. Cette exposition, l'artiste la voit comme une première étape de recherche. Elle souhaiterait pousser sa création encore plus loin et s'intéresser aux procédés industriels, tels que la céramique coulée par exemple. Une collection qui, au-delà de son esthétisme pop, pousse à se questionner sur nos modes de consommation. Pour en savoir plus, visitez le site de Theodóra Alfreðsdóttir Photographies : DR
Il y a 7 ans et 17 jours

Theodóra Alfreðsdóttir : Mold

Terre de la chanteuse Björk, du groupe de rock Sigur Rós ou de l'architecte Guðjón Samúelsson, l'Islande est également connue pour son festival de design, le DesignMarch, qui fêtait récemment son 10e anniversaire. L'occasion pour la créatrice locale exilée à Londres, Theodóra Alfreðsdóttir, de présenter son dernier projet aussi raffiné que déluré : Mold. Un nom évocateur pour une collection qui l'est a priori moins. En effet, Mold " comprenez " moules " en anglais ", semble plus proche de l'"uvre abstraite que de l'outil technique. Et pourtant ! À travers ce travail, la designer a voulu prolonger la vie de cet objet qui ne sert qu'à dupliquer dans l'ombre ; à créer, mais qui n'est jamais exposé. En effet, une fois qu'il a rempli son rôle, qu'advient-il de ce moule ? Sous l'impulsion de Theodóra Alfreðsdóttir, ce qui était jusqu'alors de simples patrons tombés en désuétude se mue en sculptures aux tonalités pastel. Exposés à côté des formes qu'ils sont capables de produire à l'infini, les moules en MDF sont non seulement mis en valeur pour leur beauté mais également pour sensibiliser les spectateurs au monde matériel, à l'artisanat et à la valeur des choses que l'on néglige parfois. En effet, le développement technologique ou la consommation à outrance nous ont peu à peu détachés des processus de fabrication. L'objectif était donc ici de mettre en lumière ce qui nous est habituellement dissimulé ou auquel nous ne prenons plus la peine de réfléchir. Cette exposition, l'artiste la voit comme une première étape de recherche. Elle souhaiterait pousser sa création encore plus loin et s'intéresser aux procédés industriels, tels que la céramique coulée par exemple. Une collection qui, au-delà de son esthétisme pop, pousse à se questionner sur nos modes de consommation. Pour en savoir plus, visitez le site de Theodóra Alfreðsdóttir Photographies : DR
Il y a 7 ans et 22 jours

Événement : Soirée Design Cream à Materials & Light

Design Cream ? Quèsaco ? Un événement présentant le travail de la crème de la crème des designers et des architectes, pardi ! Et qui dit casting prestigieux, dit format de choix. Le jeudi 26 mars, à 19h, les dix créateurs réunis à l'occasion du salon Materials & Light nous feront ainsi découvrir de manière atypique leurs créations, inspirations et projets en 20 images, projetées à 20 secondes d'intervalle. Les soirées Design Cream, créées par le touche-à-tout Benjamin Girard de l'agence Design Project, visent à offrir une scène à la crème de la crème des créateurs afin qu'ils présentent leurs projets à un large public, dans un format spécifique, rythmé et concis, et dans une ambiance décontractée. De quoi assurer un succès planétaire à ces rassemblements ! Tout tient dans le format, nommé Pecha Kucha : les invités disposent de 20 diapositives, montrées durant 20 secondes chacune, et qui défilent automatiquement ; soit 6 minutes et 40 secondes pour chacun d'eux. Pas de bla-bla : les différents intervenants exposent ici l'essence même de leurs réalisations. Cette Design Cream exceptionnelle sera également l'occasion de créer des rencontres et confronter les idées, durant le cocktail qui aura lieu après la présentation, en clôture du salon Materials & Light organisé au Carreau du Temple à Paris (3e) par le magazine d'a en partenariat avec Muuuz : deux jours d'expositions, de workshops et de rencontres sur le thème des matériaux de l'architecture et du design. Pour tous les intéressés, s'inscrire ici. Venez nombreux ! . Margaux KellerAprès cinq ans d'études en design à l'école ENSAAMA Olivier de Serres puis à l'école Boulle, elle obtient en 2010 un diplôme de design et d'architecture intérieure avec les félicitations du jury pour le projet "Design (sans) vergogne". Elle se forme par la suite sur les bancs de l'agence Philippe Starck, aux côtés d' Eugeni Quitllet. En 2011, elle est sélectionnée pour faire partie de l'équipe de design de la Fabrica, centre de recherche en communication du groupe Benetton. En 2012, Margaux Keller retourne dans sa ville d'origine et de coeur, Marseille, pour fonder sa propre agence de design global. Elle y développe des partenariats très variés : Yves Saint Laurent Beauté, Roche Bobois, Cartier, Made.com, La Redoute Intérieurs, Habitat, SIA Home Fashion, CFOC concept store, Vista Alegre, KparK, La Monnaie de Paris, etc. .   Samuel AccoceberryDiplômé de l'Ecole Nationale Supérieure d'Art de Nancy et de l'école Raymond Loewy en Esthétique industrielle. Samuel a collaboré pendant 10 ans pour de prestigieuses agences de design en France et en Italie, tel que : Arik Levy, Antonio Citterio, et Rodolpho Dordoni. En 2010, il lance son propre studio et travaille avec différentes sociétés en tant que designer et directeur artistique. Il a été honoré en 2013 par le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris pour l'ensemble de ses créations ainsi que pour son travail. Il a reçu également différents prix internationaux, dont 3 Red Dot Design Awards et un German Design Award ; et été exposé au Musée d'Art Moderne et au Musée des Arts Décoratifs de Paris, au Musée de la Céramique de Vallauris, à la Triennale Design Museum de Milan et au Design Museum de Holon. .   Elise FouinDans son cabinet curieux, Elise Fouin est toujours prête à faire des démonstrations concrètes. Comment a-t-elle pétri toutes ses sources d'inspiration pour cristalliser un travail si singulier ? Elle vient de la région Franche-Comté où elle a grandit dans un ancien monastère. Elle se forme à l'Ecole Boulle à Paris, d'abord à l'orfèvrerie, puis elle passe de la fabrication à la conception, en se tournant vers le design de mobilier. Une formation double, comme une balance, pour trouver son point d'équilibre. Pour son diplôme en 2003, elle fait encore un pas de côté, s'aventure avec succès vers la mise en "uvre du papier, en designer qui se donne la liberté de l'artiste. Car c'est avec ses mains d'abord que cette designer apprivoise la matière. Friande d'imprévus, à l'écoute du comportement des matériaux, elle parie sur une mise en forme inattendue. Les usines sont un de ses terrains de jeu favoris, où elle traque chutes et rebuts.  .   Desormeaux/Carrette StudioLe Studio Désormeaux/Carrette est un studio de design créé par Nathanaël Désormeaux et Damien Carrette en janvier 2014. Studio de design industriel, sa vocation est de créer des objets reproductibles en série. Le studio accompagne aujourd'hui des clients allant de la startup aux grandes marques des secteurs de l'ameublement et de l'objet de grande consommation. La passion des matériaux et une sensibilité pour la narration de l'objet sont les fondements de leur démarche créative. La déconstruction est au centre de la méthodologie. C'est en décomposant et en repensant de manière holistique l'objet qu'ils en dégagent le c"ur technique. Leur travail consiste alors à sublimer la technicité pour ne pas seulement l'intégrer mais la transcender afin qu'elle devienne c"ur esthétique de l'objet. .   Charlotte JuillardCharlotte Juillard est une jeune designer et directrice artistique française. Après des études d'architecture d'intérieur à l'Ecole Camondo à Paris (14e), ainsi qu'un échange d'un an et demi en Italie à la Fabrica (centre de recherche et de Communication du groupe Benetton - Treviso) elle décide de monter en 2014 son propre studio de création allant du design d'objet à la scénographie. Elle croit au retour à la valeur du travail manuel où la gestuelle de l'artisan devient le centre d'un projet. Ses pièces s'inscrivent dans une volonté de pérennité où textures et formes, douceur et féminité s'allient au profit d'une même ambition, offrir une évidence à l'objet. Cherchant à mettre l'échange au centre de ses recherches, elle crée un espace de réflexion ouvert qui lui permet d'aborder les projets avec une ambition et une poétique nouvelle. Elle travaille actuellement pour de nombreux clients tels que Molteni, ligne Roset, Monoprix ou encore Christian Lacroix. .   Didier VersavelArchitecte d'intérieur, designer et graphiste, Didier Versavel fait partie de cette nouvelle génération de French talents " touche à tout ". Issu de l'Ecole Boulle, il intègre ensuite une agence reconnue dans le design mobilier. Là, il apprend que le designer doit être polyvalent pour s'impliquer autant sur la création de produits que sur leur communication. En 2006, il crée son propre studio et déploie son talent tous azimuts. Ses nombreuses collaborations l'emmènent à s'exprimer, par exemple, dans le domaine du design de mobilier manufacturé avec Désio ou les 3 Suisses ; dans le secteur de l'objet industriel avec des créations de portes surprenantes pour Drakkar ; ou encore en architecture intérieure avec le Groupe ACCOR qui lui commande des concepts d'espaces hotelliers. Il entretient des partenariats fructueux aussi bien avec la grande distribution, des éditeurs, qu'avec des artisans d'art comme les Compagnons du Devoir. .   Antoine PhelouzatAntoine Phelouzat est un designer cosmopolite, il grandit à Los Angeles et se forme au design en Angleterre. À Londres il collabore avec Tom Dixon et Michael Young, à Paris il collabore avec Arik Levy et Noé Duchaufour-Lawrence. Aujourd'hui il vit et travaille à Paris, il est naturellement tourné vers l'international et entretient des collaborations de longue date avec l'Inde et l'Amérique du Nord. Son savoir-faire s'exprime à toutes les échelles, du petit objet artisanal de galerie à l'architecture commerciale aéroportuaire, en passant par le produit de grande série. C'est cette amplitude d'action que lui offre une approche globale du design qu'il affectionne particulièrement. Les matières, processus de fabrications et le bon sens sont autant d'ingrédients qu'il utilise et détourne mais toujours en essayant de surprendre, d'interpeller l'utilisateur, d'échanger avec lui, ses travaux nous apparaissent alors familiers et surprenant. .   Yoonseux ArchitectesL'agence est dirigée par les architectes franco-coréens Kyunglan Yoon et Philippe Seux. L'association de deux cultures occupe une place déterminante dans la définition des projets, notamment au travers de la relation des espaces intérieurs et extérieurs, de la captation de lumière, de la dimension sensible et tactile des différents espaces, des matériaux. Comme un appareil de tactilité, le corps est entièrement sollicité dans une expérience sensorielle avec les différents états de surface de matière et de lumière. La recherche et l'activité de l'agence se développe à l'occasion de concours nationaux et internationaux dont de très grands projets tels que le Satellite 3 de l'Aéroport Charles de Gaulle, la Mairie de Nice. Sous l'impulsion de ces projets, l'approche architecturale de l'agence se synthétise autour des thèmes de la structure et de la lumière. Kyunglan Yoon et Philippe Seux accordent une grande importance au système constructif, à la compacité du bâti, aux matières brutes, mais encore et surtout à l'expérimentation sensorielle de la lumière. .   Jules LevasseurJules Levasseur est designer plasticien, diplômé de l'ESAD de Reims en 2013, actuellement en résidence aux Ateliers de Paris. Il démarre son activité indépendante en poursuivant son projet de diplôme, alors en collaboration avec la Tuilerie Royer et la Métallerie Barras. Ainsi, il rencontre l'industriel GEWISS en 2013 qui lui permet de démarrer une collaboration de longue durée. Ses rencontres avec les artisans Renaud Marin et Agir Céramique lui offrent l'opportunité de s'initier à la tapisserie et à la Céramique. Lauréat du Grand Prix de la Création de la ville de Paris en 2014, il obtient une place au sein de la Chaire IDIS, nouvelle structure de recherche de l'ESAD de Reims, dans laquelle il réalisera son projet Folie Végétale, Prix de l'Innovation à Jardins, Jardin en 2016. Sa collaboration avec l'entreprise PETRUS en 2015, primée par le RADO STAR PRIZE la même année, démontre bien son implication auprès des métiers de l'artisanat ouvrier, à travers lesquels la démarche design trouve un sens particulièrement contemporain. En 2017 il fonde le Studio Marin-Levasseur en s'associant avec Renaud Marin.  .   Leonard KadidAujourd'hui designer à temps plein, Léonard Kadid se destinait pourtant à une carrière d'architecte. En effet, ses différentes expériences professionnelles et sa sensibilité particulière aux détails le poussent rapidement vers la création de mobilier. Zoom sur une jeune pousse du design prometteuse.À à peine trente ans, et après avoir fait ses armes dans des agences de renom, telles que Dominique Perrault Architecture ou Herzog & de Meuron, Léonard Kadid, diplômé l'École Polytechnique de Lausanne (Suisse) et de l'École d'Architecture de la Ville et des Territoires de Marne-la-Vallée, compte déjà de beaux projets à son actif. C'est dans ces studios qu'il s'initie à la pratique du design, à laquelle il a décidé de se consacrer intégralement en début d'année. En résultent des ouvrages raffinés, aux formes proches de l'abstraction, dont la grande sobriété s'adapte à tous les intérieurs. . Soirée Design Cream, Materials & Light, au Carreau du Temple à Paris (3e), le 26 avril à 19h Pour en savoir plus, visitez le site de Materials & Light et de l'agence Design Project Photographies : DR
Il y a 7 ans et 43 jours

Gundry & Ducker : North Audley Canteen

Inspiré de l'âge d'or d'Hollywood, ce petit bar souterrain a de quoi attirer les foules de travailleurs du quartier de Mayfair à Londres (Royaume-Uni) après leur dure journée de labeur. Un lieu d'un autre temps signé par l'agence Gundry & Ducker, où matériaux nobles, teintes pastel et mobilier confortable créent une ambiance conviviale. Ce qui était à l'origine un établissement sombre et peu engageant renaît aujourd'hui de ses cendres, sous la houlette de l'agence locale Gundry & Ducker. Plus question de broyer du noir dans ce lieu souterrain : camaïeu rose sur les murs, mobilier aux couleurs vives et lumière diffuse constituent l'âme de ce bistrot de 34 mètres carrés, dont le cadre noble et raffiné peut accueillir jusqu'à 22 convives. " Nous nous sommes intéressés au Hollywood des années 1940 pour sa combinaison d'optimisme et de glamour, un contraste délibéré avec l'esthétique industrielle, encore commune à Londres. " Gundry & Ducker Dans ce boudoir poudré prennent place trois banquettes en velours bleu (une circulaire, deux rectangualires), qui encadrent des tables en marbre rosé ; ainsi qu'un comptoir en inox et ses étagères en laiton, dans une composition rappelant les speak easy de la prohibition américaine. Une finition métallique que l'on retrouve par ailleurs dans les suspensions sphériques et les miroirs circulaires accrochés aux parois. Des éléments qui procurent une sensation d'agrandissement de l'espace de cette étroite surface, tout en l'éclairant largement... elle qui ne bénéficie d'aucune source de lumière naturelle. Une absence de fenêtre qui ne fait pourtant pas du North Audley Canteen un endroit obscur.De quoi se déconnecter du quotidien le temps d'un verre. Pour en savoir plus, visitez le site de Gundry & Ducker Photographies : Andrew Meredith
Il y a 7 ans et 51 jours

Un morceau de cité déplacé de Londres à Venise

Le V&A présentera Robin Hood Gardens: A Ruin In Reverse à la 16e Exposition internationale d'architecture, en collaboration avec La Biennale de Venise. Un film commandé à l'artiste coréen Do Ho Suh documentera l'architecture et les intérieurs de la cité brutaliste londonienne actuellement en cours de démolition.
Il y a 7 ans et 52 jours

Top des villes les plus attractives pour l'investissement immobilier européen

CLASSEMENT. L'entreprise en conseil immobilier Colliers International a réalisé une étude sur les "Villes européennes d'influence". Parmi celles examinées, Paris se classe deuxième derrière Londres et devant Madrid. Lyon finit dans le top 30.
Il y a 7 ans et 63 jours

Sella Concept : Omar's Place

Apporter du soleil et de la chaleur dans un immeuble victorien ? Un défi brillement relevé par le studio Sella Concept avec l'Omar's Place, un restaurant méditerranéen contemporain aux matières nobles et aux tonalités éclatantes, réalisé en plein c"ur de Londres (Angleterre). Divisé en deux espaces " le rez-de-chaussée, lieu de restauration principal pouvant recevoir jusqu'à 36 convives, et le sous-sol abritant une cave à vin privative où 50 personnes peuvent dîner dans une ambiance intimiste ", l'Omar's Place est un endroit lumineux dans lequel les murs en terre cuite et le parquet se mêlent à un mobilier voluptueux en velours et laiton. Bâti sur un plan rectangulaire, le bistrot à la palette organique s'ouvre sur un bar au comptoir en terrazzo surmonté de suspensions minimalistes dorées qui se reflète dans un miroir circulaire placé derrière les boissons. Un motif rond que l'on retrouve dans de nombreux éléments : les tables " également en terrazzo ", les sièges signés Carl Hansen, et la découpe murale délimitant l'alcôve où une autre salle à manger prend place. Les parois sont longées de banquettes confortables orangées et de plantes exotiques, rappelant les origines égyptiennes du propriétaire, Omar Shabaan. " Notre concept est synergique en termes d'identité de marque et d'intérieurs . Dans les pays méditerranéens, tout tourne autour du soleil " des ingrédients de cuisine à l'expérience et au mode de vie dans la région. Ceci est devenu l'élément central de notre conception. " Sella Concept La carte est à l'image du lieu : raffinée et conviviale, et propose des plats originaux, tous réalisés à base de produits issus de pays méditerranéens. Un concept alliant hospitalité du sud et élégance anglaise. Pour en savoir plus, visitez le site de Sella Concept Photographies : Nicholas Worley
Il y a 7 ans et 72 jours

Bordeaux encadre à son tour les locations type Airbnb

Après Paris, Londres ou Amsterdam, la ville de Bordeaux, l'un des grands centres d'attraction touristique en France, a mis en place une régulation stricte des locations de logement via des plates-formes comme Airbnb, qui prend effet jeudi.
Il y a 7 ans et 73 jours

La tour Canaletto de Londres vient d'être terminée

  A Londres, l’agence d’architecture mondialement connue UNStudio vient de terminer les travaux de la tour résidentielle Canaletto de 22 000 m². Cette dernière utilise le concept de regroupement de plusieurs étages pour créer une belle alliance de «communautés verticales».
Il y a 7 ans et 83 jours

7/7 " SOS Brutalism : devenir gris en beauté

La redécouverte du Brutalisme s'accompagne d'expositions. Brutal and Beautiful, à Londres, en 2012, s'attachait à faire redécouvrir le volet britannique… Cet article 7/7 – SOS Brutalism : devenir gris en beauté est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 101 jours

Événement : Exposition " Globes "

  Depuis l'origine, les hommes ont imaginé et cherché à illustrer ce qui se trouvait au-delà de l'horizon, déclinant notre planète sous une forme plane, puis de coupole, et enfin de sphère au XVIIe siècle. La 2D devenait alors 3D. Un changement si radical qu'il n'aurait pu échapper aux architectes qui s'en saisirent dans leurs projets. Une fascination que la Cité de l'Architecture et du Patrimoine de Paris (16e) propose de redécouvrir au travers de l'exposition " Globes ". Il est de ces histoires " avec un petit comme avec un grand H ", qui tiennent parfois du miracle tant elles ne semblent être dues qu'aux seules tribulations du hasard. " Globes " est l'une d'elles ; la définition même de la sérendipité : une découverte réalisée au hasard de recherches portant sur un autre sujet.L'aventure de cette exposition, et avant elle, de cette thématique de recherche, commence ainsi avec une discussion : celle de son commissaire, Yann Rocher " historien de l'architecture et enseignant ", avec un musicien à qui il demande quelle serait sa salle de concert idéale. Le mélomane répond qu'elle serait sphérique et tournante. Il n'en fallait pas plus pour piquer la curiosité de Yann Rocher. Ce touche-à-tout et chercheur en sciences sociales a exploré des sujets aussi passionnants qu'atypiques : les théâtres utopiques ou encore l'histoire des théories et représentations de la destruction dans la culture allemande, avant de se lancer dans un tel projet. Une transversalité et une ouverture à l'image du sujet décliné en 15 thèmes et 90 projets, présenté à la Cité de l'architecture et du patrimoine jusqu'au 26 mars. Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles. " L'exposition "Globes" s'adresse aux amateurs de merveilleux comme aux assoiffés d'érudition. Elle révèle en creux la succession de visions sur la planète : fragment du cosmos pour les hommes de la Renaissance, enjeu de conquête scientifique à partir des Lumières, milieu à protéger depuis l'entrée dans l'ère de l'anthropocène. " Yann Rocher, commissaire de l'exposition " Globes " De l'Antiquité à nos jours, la manifestation tente de retracer l'évolution de la vision sphérique de notre planète. Celle-ci commence au premier siècle avant Jésus-Christ dans les temples romains, dont le plus digne représentant est le Panthéon de Rome construit aux alentours de l'an 125 ; symbolisation s'il en est de la voûte terrestre. Puis " Globes ", fait un saut dans le temps et transporte le visiteur au XVIIIe siècle, siècle des Lumières et de l'invention du planétarium, dont la forme n'est plus liée à un imaginaire mais à une théorie scientifique, celle de Galilée, développée un siècle auparavant grâce à l'observation directe des planètes, qu'avait introduite Copernic au XVIe siècle. Avec ces deux figures, c'est tout une représentation du monde qui change. À l'ethnocentrisme succède l'héliocentrisme. Un changement de paradigme, qui met fin aux interprétations erronées, mais qui n'entache en rien l'imagination des architectes. Finalement, voûtes, tholos, rotondes et monoptères se succèdent entre les murs de la Cité de l'architecture et de patrimoine, par le biais de planches didactiques " il n'en fallait pas moins pour appréhender un sujet aussi complexe que complet ", et de fascinantes maquettes " dont une grande partie a été spécialement réalisée en impression 3D pour l'événement ", avant de mener à la première sphère architecturale, celle imaginée par Louis-Étienne Boullée, parangon en la matière.Puis vient le XIXe siècle et avec lui le développement des Expositions universelles, durant lesquelles les architectes rivalisent d'imagination et multiplient les géoramas et panoramas tridimensionnels de la Terre par le biais desquels les visiteurs peuvent explorer le globe terrestre, depuis l'intérieur comme l'extérieur. Une course à la représentation à laquelle Yann Rocher donne le nom de " ballet sphérique ", à l'image de cette époque de mondialisation et d'ouverture sur le monde où chaque Nation tente alors d'imposer symboliquement sa grandeur.Au début du XXe siècle elle est même le support de la propagande soviétique, avant de devenir le symbole d'une conquête à la fois politique et scientifique : celle de l'espace. Soviétiques et Américains se lancent alors dans une lutte acharnée. En 1957, l'URSS réalise la mise en orbite du premier satellite mondial, Spoutnik. Un affront auquel les États-Unis répondent par le programme Apollo, qui mènera l'Homme au-delà d'une frontière qu'il n'avait jusque-là jamais franchie, celle de la Terre, foulant alors le sol de la Lune. Une révolution et une victoire symbolique sur l'ennemi fièrement mise en scène dans le dôme imaginé par Shoji Sadoa et Buckminster Fuller pour l'US Pavilion exposé à Montréal (Canada) en 1967. Finalement ce n'est pas ici la forme qui compte mais avant tout l'imaginaire qu'elle a suscité, notamment dans l'architecture. Un domaine qui rencontrait alors la géographie, l'astronomie, puis la science-fiction. Les planches et modèles réduits de l'exposition montrant peu d'exemples bâtis existants, on en vient à se demander lesquels de ces 90 projets affiché, ont été réalisés ou simplement fantasmés. Et n'est-ce pas ici tout l'intérêt d'une telle exposition surfant à la frontière des représentations scientifiques et artistiques, aux confins de l'imaginaire et du réel ? " Globes ", jusqu'au 26 mars à la Cité de l'architecture et du patrimoine, Palais de Chaillot, Paris (16e) Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'architecture et du patrimoine Photographies/Illustrations :1) Pavillon des USA pour l'Exposition universelle de Montréal, R.Buckminster Fuller,S.Sadao,P.Chermaye,T.Rankie,I.Chemaye,1967 ©Estate of Buckminster Fuller3) Intérieur du Panthéon à Rome, Giovanni Paolo Panini, 1747 ©Cleveland Museum of Art4) Étienne-Louis Boullée, projet de cénotaphe de Newton, élévation géométrale ©BNF, Estampes et photographie5)Maquette de la Terre, Leicester Square, Londres, Illustrated London News, 1851 ©DR6) Géorama, paru dans L'illustration, 1846 ©DR7) Monumento colosal en memoria de Cristobal Colon, Chicago et Paris, Scientific American (detail), 1890 ©D.R.8) Globe céleste (ou Cosmorama), 1897-1900, Le Figaro illustré n°128, novembre 1900 ©DR9) Alfons Mucha, Pavillon de l'Homme, deuxième version, 1897 ©Galerie nationale de Prague-NG K 3163410) Elisée Reclus, Globe terrestre au 320 000me pour l'Exposition universelle de Paris, 1900 ©Archives Nationales11) Elisée Reclus, Globe terrestre pour l'Exposition universelle de Paris, 1900. Coupe ©SIAF-CAPA-Archives d'architecture du XXe siècle Fonds Bonnier12) Aerial Globe et Globe tower, Saint Louis World's Fair et Coney Island, 1901-1908 ©DR13) Construction du globe de l'Office central du télégraphe Moscou, Arkady Shaikhet, 1928 ©Coll of Alex Lachmann-Courtesy of Nailya Alexander Gallery14) Photographie des maquettes 2 et 1, 1965 ©NASA Langley Research Center (NASA-LaRC)-LRC-1965-B701_P-05579 Les Puces du design, du 9 au 12 novembre à Paris Expo, Hall 3.1, Portes de Versailles, Paris (15e)
Il y a 7 ans et 127 jours

Immobilier : les prix ont baissé à Londres, une première en huit ans

Selon la banque Nationawide, qui a mené l'étude, il faut s'attendre à un nouveau ralentissement du marché au plan national en 2018, avec des prix prévus en hausse très modeste de 1%.
Il y a 7 ans et 143 jours

Un rapport sur l'incendie de la tour Grenfell appelle à revoir la règlementation en matière de construction

Une enquête menée après l'incendie de la tour Grenfell à Londres a appelé lundi à revoir la règlementation en matière de construction, et averti qu'à force de rogner sur les dépenses, on met en danger des habitants.
Il y a 7 ans et 145 jours

Karakusevic Carson Architects et Maccreanor Lavington : Dujardin Mews

Dans le cadre de la reconstruction du quartier de Ponders End, au nord de Londres (Angleterre), les Britanniques Karakusevic Carson Architects et Maccreanor Lavington ont conçu l'ensemble de logements sociaux Dujardin Mews. Situés sur une ancienne zone industrielle très dense, ces édifices en brique tentent de recréer l'ambiance des rues traditionnelles de la capitale. Souffrant d'un manque de logements et d'équipements publics, le quartier de Ponders End a été classé en 2011 par la Municipalité comme aire à réurbaniser en priorité. Ce programme de redynamisation comprendra ainsi à termes un collège de 900 élèves avec terrains de football et de basket, et plus de 1 000 nouvelles résidences réparties dans l'ensemble de l'arrondissement. Cependant, dans la ville de Big Ben les zones constructibles sont rares. C'est donc à l'emplacement d'une ancienne centrale électrique, rasée depuis, entre des pavillons typiques des années 1970 et le futur établissement scolaire, que le duo d'architectes a dû imaginer 38 habitations individuelles, destinées autant à des familles défavorisées qu'à des membres de la classe moyenne. Le projet se compose d'un axe de circulation principal nord-sud de 12,5 mètres de large, de part et d'autre duquel sont placés deux types d'hébergements. Côté ouest, les parcelles tout en longueur d'une quinzaine de mètres de profondeur sont occupées par des maisons de trois étages de 80 mètres carrés qui disposent chacune de trois chambres et d'un jardin. À l'est, longeant la cour du collège, se trouvent des résidences de deux étages de 95 mètres carrés comprenant quatre pénates. Afin d'éviter des vis-à-vis indésirables entre habitants et élèves, les maîtres d'"uvres britanniques ont imaginé des logis disposant d'un pignon aveugle face au bâtiment d'enseignement, avec une toiture en dents de scie offrant intimité et apport de lumière naturelle zénithale, et une terrasse de 35 mètres carrés percée d'un patio illuminant les pièces de vie du niveau inférieur. Entièrement construit en brique de terre crue, le groupe d'édifices disposé des deux côtés d'une voie pavée recrée l'ambiance et l'échelle des rues londoniennes. Une belle reconversion pour un site à l'origine peu charmant. Pour en savoir plus, visitez le site de Karakusevic Carson Architects et de Maccreanor Lavington Photographies : Karakusevic Carson Architects et Maccreanor Lavington
Il y a 7 ans et 158 jours

Snøhetta : Aesop

Entre l'agence norvégienne d'architecture Snøhetta et la marque de cosmétique australienne Aesop, c'est une véritable histoire d'amour qui a débuté quand la firme a confié au studio le soin de dessiner sa boutique d'Oslo (Norvège). Six autres magasins ont suivi. La dernière en date, située à Londres (Royaume-Uni), a été imaginée comme un repaire futuriste de méchants de James Bond. C'est dans le quartier branché de Chelsea que prend place le nouveau point de vente d'Aesop, enseigne de soins pour la peau aux échoppes originales. Sur 108 mètres carrés, l'espace commercial de plain-pied est organisé autour d'un point central, d'où partent douze arches s'étendant vers les murs d'enceinte, à la manière d'un origami lentement déplié. Ce pilier est cerné par un évier circulaire " point commun de tous les magasins de la marque ", réalisé en acier inoxydable poli et en fibre de verre dont la nature réfléchissante évoque un miroir d'eau, une fontaine de jouvence. Les parois et les voûtes sont enduites d'argile rosée provenant du sud-ouest du pays, qui rappelle la base naturelle des produits, tout en contrastant avec les étalages verticaux en acier disposés le long des cloisons. Le tout offre, à l'image des soins proposés par Aesop, un savant mélange entre contemporanéité et tradition grâce à assemblage de matières et textures. Un écrin raffiné et énigmatique qui s'inscrit dans la continuité des réalisations uniques proposées par Snøhetta pour l'entreprise, aux quatre coins du monde. Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta Photographies : Paola Pansini
Il y a 7 ans et 165 jours

Jacques Hondelatte, à Londres

La galerie Betts Project présente à Londres une exposition sur le travail de l'architecte français Jacques Hondelatte (1942-2002), l'un des architectes français qui a le […] L'article Jacques Hondelatte, à Londres est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 172 jours

Le " Biotope " de Bouygues n'accueillera pas l'Agence européenne du médicament à Lille

Les Européens votaient ce lundi 20 novembre pour décider où iront les agences de l'UE déménageant de Londres à cause du Brexit. Lors d'un vote à Bruxelles, que des diplomates ont comparé à l'imprévisible concours télévisé de l'Eurovision, seules Milan, Amsterdam et Copenhague sont restées en lice après un premier tour.
Il y a 7 ans et 179 jours

Jean-Paul Viguier, fondateur de l'agence Jean-Paul Viguier et Associés

Jean-Paul Viguier est un architecte et urbaniste dont l'agence "Jean-Paul Viguier et Associés, Architecture et Urbanisme" a réalisé un chiffre d'affaires de 8,7 millions d'euros en 2016. Basée à Paris, elle emploie une centaine de collaborateurs et possède des bureaux à Londres et New-York.
Il y a 7 ans et 180 jours

Jean-Michel Wilmotte, directeur de l'agence Wilmotte

Jean-Michel Wilmotte est un architecte, urbaniste et designer dont l'agence emploie 225 collaborateurs et mène à bien des réalisations dans 27 pays. Implantée à Paris et Nice, son développement s'est accompagné de la création de deux filiales basées à Londres et à Venise, et elle dispose aussi de bureaux à Séoul. L'agence "Wilmotte et associés" a réalisé en 2016 un chiffre d'affaires de 28,3 millions d'euros.
Il y a 7 ans et 182 jours

Événement : While We Wait

Réalisée par l'agence OMA, le bâtiment Concrete de l'Alserkal Avenue à Dubaï (Émirats Arabes Unis), accueille jusqu'au 18 novembre une installation immersive : While We Wait. Imaginée par les architectes et designers palestiniens Elias et Yousef Anastas, cette "uvre sculpturale et audiovisuelle rend hommage à leur terre natale. Inspirée par la Cremisan Valley où le mur de séparation entre Israël et la Palestine est édifié, l'installation While We Wait est composée de morceaux de pierre issus de diverses régions du pays d'origine du duo, assemblés en une structure autoportante pyramidale à l'aspect poreux et alvéolé. Représentant les liens fragiles qui unissent la Palestine à son histoire, l'ouvrage est accompagné de projections vidéo qui témoignent du climat particulier qui règne dans cette région. Loin de dénoncer frontalement le conflit israélo-palestinien ou la situation géo-politique singulière qu'occupe ce territoire sur l'échiquier mondial, l'"uvre agit comme une ode aux paysages, aux mélanges des cultures et des religions qui font l'identité d'une patrie. Le projet, commandité par le Victoria and Albert Museum de Londres, institution spécialisée dans la sculpture et les arts décoratifs, a également été présenté lors de la dernière London Design Week et devrait être installé de manière pérenne par la suite dans la Cremisan Valley. Une façon poétique de sensibiliser le monde à l'histoire de la Palestine. While We Wait, jusqu'au 18 novembre 2018 à Concrete (Émirat Arabes Unis). Pour en savoir plus, visitez le site de Elias et Yousef Anastas Photographies : DR
Il y a 7 ans et 183 jours

Les époques et les humeurs de Murat Tabanlioglu

  L'agence de design et d'architecture Tabanlioglu Architects, reconnue internationalement, avec des bureaux à New York, Dubai et Londres, expose actuellement ses travaux réalisés à travers la planète, à l'Architekturgalerie München de Munich, en Allemagne, jusqu'au 11 novembre.
Il y a 7 ans et 184 jours

Wright & Wright Architects : Longwall Library

Plus de 160 ans après sa construction, la bibliothèque Longwall du Magdalen College intégré à la prestigieuse institution de l'Université d'Oxford, se refait une beauté. Conçue par l'agence anglaise Wright & Wright Architects, l'extension et la rénovation de l'ancienne bâtisse victorienne comprend deux nouvelles ailes revalorisant le cloître planté qu'elles longent. L'histoire de la Longwall Library commence en 1851, lorsque l'architecte britannique John Chessell Buckler entreprend d'élaborer qui devait être le hall de l'établissement de renom, une partie de l'Université tombant en ruine. Quelques années plus tard, sans raison apparente, la construction de la masure victorienne à l'allure médiévale, reconnaissable par sa tourelle, ses massifs créneaux en pierre de calcaire et de ses majestueuses fenêtres, s'arrête brusquement. En 1928, l'architecte Giles Gilbert Scott, célèbre pour avoir crée les fameuses cabines téléphoniques rouges de Londres, reprend le flambeau et transforme le monument en bibliothèque, qu'il livre en 1931. D'une capacité d'accueil de seulement 48 lecteurs, pour plus de 600 élèves au Magdalen College, la bâtisse devient très vite obsolète. En 2014, l'académie d'excellence fait alors appel à l'agence britannique Wright & Wright Architects, reconnue pour ses réalisations pour de grandes institutions telles que l'Université de Cambridge ou bien le Royal College of Art de Londres. Leur intervention consiste en la restauration du bâtiment au vieillissement avancé ? toit fuyant, planchers occultant les ouvertures, mauvaise acoustique et autre pollution de l'air ? , et en la création de deux pavillons supplémentaires disposés de plain-pied en L. Cette surface additionnelle bipartite, longeant à l'ouest l'ancien édifice et au sud la rue située un niveau plus haut, permet de redéfinir les limites du clos qu'elle entoure. Contre la bâtisse d'origine, un parallélépipède de 27 mètres de long et de 9 mètres de large, accueille des bureaux et, accolés, une salle de séminaire et des espaces de stockage. Il est relié à la deuxième aile perpendiculaire par un patio et un large sas où se trouvent des assises offrant une zone de discussion ou d'attente aux étudiants. Cette partie neuve héberge une salle de lecture de 22 mètres de long et 10 de large d'une capacité d'accueil de 120 étudiants, avec 3 200 mètres linéaires de rangement, et une salle d'études de 30 mètres carrés juxtaposée à l'ensemble dans un volume carré. Les larges ouvertures vitrées de l'agrandissement réalisé en pierre calcaire de Clipsham, extraite au nord du pays, et la terrasse sinueuse sur laquelle il est orienté invitent les érudits à profiter du calme de l'endroit et à consulter les nombreux livres mis à disposition, tout en apportant de la vie au jardin qui était jusque-là peu occupé. Quant à l'ouvrage ancestral, méticuleusement restauré en pierre de taille calcaire provenant de la région de Cotsworld, à l'ouest de l'Angleterre, il héberge au rez-de-chaussée des rayonnages et dans sa tour carrée un escalier hélicoïdal menant au bras ouest de l'extension et aux étages à deux nouveaux plateaux de lecture superposés de 132 mètres carrés chacun. Ces mezzanines sont détachées de la façade afin de faire entrer la lumière naturelle au plus profond du lieu et de mettre en valeur la beauté de ses vitraux de plus de cinq mètres de hauteur et sa majestueuse charpente en bois. De quoi étudier en toute sérénité dans un environnement respectueux de l'histoire. Pour en savoir plus, visitez le site de Wright & Wright Architects Photographies : Dennis GilbertIllustrations : Wright & Wright Architects
Il y a 7 ans et 190 jours

Les plans d'Herzog & de Meuron pour l'extension du Royal College of Art de Londres dévoilés

L'agence Herzog & de Meuron a présenté ses plans pour l'extension du Battersea campus du Royal College of Art de Londres. En novembre 2016, le Royal College of Art de Londres annonçait que les architectes Herzog & de Meuron étaient les lauréats du concours international pour la construction du campus de Battersea, quartier du sud-ouest de Londres.   Les architectes étaient en compétition avec six autres agences parmi lesquelles figuraient Lacaton & Vassal, le Studio Gang ou encore...
Il y a 7 ans et 190 jours

Cure de jouvence pour le siège de Scotland Yard

REHABILITATION. Pour la rénovation du nouveau siège de Scotland Yard à Londres, "le Curtis Green", du nom de son architecte, une entrée a été entièrement vitrée et habillée de bois avec le concours d'une entreprise frnaçaise. Découverte.
Il y a 7 ans et 198 jours

David Adjaye et Ron Arad, grands gagnants du concours pour le Mémorial de l'Holocauste de Londres

Les architectes David Adjaye et Ron Arad et les urbanistes Gustafon Porter + Bowman ont remporté le concours international pour le Mémorial national de l'Holocauste en Grande Bretagne. Les architectes étaient en compétition avec  une centaine de candidats et 10 finalistes dont nous avions présenté les projets en février dernier. Parmi ces derniers figuraient l'agence Zaha Hadid associée à Anish kapoor, le studio Libeskind ou encoreFoster + Partners.   Les lauréats ont été choisis...
Il y a 7 ans et 204 jours

Rencontre avec : India Mahdavi

  Du Moyen-Orient dont elle est originaire, à Paris où elle réside, l'insaisissable architecte et designer India Mahdavi, s'est confiée à Muuuz sur sa pratique du métier, si singulière, unique ; et sur sa production éclectique, à l'image d'une artiste voguant de continent en continent aux grés des vents. Muuuz : Aucune de vos réalisations ne ressemble à une autre, pourtant, lorsque l'on observe l'ensemble de votre travail, un style unique se dessine. Comment définiriez-vous votre patte ?India Mahdavi : Pop, polychrome, polyglotte.  Vous entretenez un rapport fort à la couleur et vous situez à mille lieux des intérieurs épurés qui ont le vent en poupe. Comment travaillez-vous ce " matériau " et pourquoi ce parti pris ?La couleur est pour moi un langage, une forme d'expression. Elle est liée à mon enfance, à toutes les villes où j'ai vécu, de Cambridge Massachussets (USA), à Vence (06) dans le Sud de la France. Je pense, je vis en couleur. " Ce n'est pas un parti pris, c'est un point de vue, un point de vie. " India Mahdavi, architecte et designer Vous êtes née à Téhéran (Iran) d'un père iranien et d'une mère égyptienne, vous avez vécu à Cambridge (USA), à Heidelberg (Allemagne), à Vence (06) et à Paris, étudié à New York " Cooper Union, School of Visual Arts et Parson Academy. Comment toutes ces influences impactent-elles votre processus créatif et de quelle(s) manière(s) les retrouvent-ont dans votre travail ?Toutes ces influences m'ont nourrie, elles m'ont construite. Mes créations s'en ressentent, sans doute, parce que cette enfance nomade a fait que j'ai toujours aimé inventer des moments, comme on raconte des histoires. J'étais celle qui venait d'ailleurs, et finalement j'ai appris dans l'exil des leçons qu'on n'apprenait pas à l'école : une certaine manière de considérer la vie comme une récréation permanente. D'où ces espaces libres, ces formes colorées, rondes, protectrices et joyeuses, je pense bien sûr à ces meubles, ces objets conçus comme des familles, les Bishop ou les Bluff, qui s'assemblent, se placent et correspondent les uns aux autres. Concernant le Moyen-Orient, vous étiez membre du comité de sélection de la première édition de la Beirut Design Fair. Quel rôle pensez-vous que cette région a à jouer dans la scène mondiale du design et de l'architecture ?Je pense sincèrement que cette région a un rôle à jouer pour le futur. Parce que l'attachement à la terre, à la lumière, à des gestes ancestraux, y cohabite avec les technologies les plus poussées. La tradition peut se réinventer sans se parodier, elle est nourrie par la mémoire populaire, et par le fait qu'elle se transmet, de génération en génération, autour de l'art de vivre notamment. En Orient, on sait encore recevoir. On sait encore vous dire " Soyez le bienvenu ". Quelles créations vous ont le plus marquée lors de cet événement ?Le travail d'Anastasia Nysten qui a remporté le Talent Award pour sa Troll Chair, parce qu'elle exprime la générosité de l'Orient et qu'elle a su réinterpréter un pouf, cet objet a priori un peu mou et nonchalant auquel elle a su donner une structure.  Comment imaginez-vous le design et l'architecture d'intérieur de demain ?J'imagine que la réalité augmentée coïncidera avec des expériences singulières, liées à des émotions, des rencontres, des désirs, à un savoir-faire, à tout ce qui peut résister à la standardisation des lieux, des comportements. L'architecture, comme le design, sont d'abord des réponses sensibles, humanistes, à des questions, irréductibles au formatage et au lissage. Pour en savoir plus, visitez le site d'India Mahdavi Photographies :1) Portrait d'India Mahdavi © Paolo Roversi2) The sketch, Londres (Royaume-Uni) © Rob Whitrow3 et 6) True Velvet, Pierre Frey © DR4) Bishop © DR5) Bluff © DR7) Valentino, Londres (Royaume-Uni) © courtesy of REDValntino8) Ladurée, Genève (Suisse) © Julian9) Ladurée, Genève (Suisse) © Annik Wetter10) Ladurée, Genève (Suisse) © Julian Schlosser - Taka production8) Troll, Anastasia Nysten © DR
Il y a 7 ans et 207 jours

Disparition de Jean-Claude Garcias, critique d'architecture et associé de l'agence TGTFP

Professeur agrégé d’anglais, Jean-Claude Garcias aborde l’architecture à travers Christopher Wren, l’architecte de la cathédrale Saint-Paul, à Londres, auquel il… Cet article Disparition de Jean-Claude Garcias, critique d'architecture et associé de l'agence TGTFP est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 219 jours

Nathalie du Pasquier : From Time to Time

Membre du Groupe Memphis " mouvement de design créé en Italie au cours des années 1980 ", Nathalie du Pasquier s'illustre également dans le domaine de la peinture. La Pace Gallery de Londres (Angleterre) lui consacre une exposition rétrospective où cette seconde carrière est mise à l'honneur avec des "uvres qui s'inscrivent dans la continuité des travaux précédents de l'artiste : structurés, colorés, et complètement barrés ! Si son nom ne vous dit rien, son parcours parle de lui-même : tantôt pilier du Groupe Memphis, tantôt créatrice pour la marque de vêtements californienne American Apparel, la touche-à-tout Bordelaise basée à Milan depuis 1979 avait jusque-là caché au public son talent pour la peinture. C'était sans compter sur la Pace Gallery, institution londonienne de renom, qui consacre cet été une exposition à l'artiste par le biais d'une cinquantaine de travaux mêlant sculptures, dessins et tableaux. Les réalisations en deux-dimensions y surfent entre abstrait et figuratif, à la manière d'une installation de Joseph Kosuth. Les natures mortes géométriques semblent sortir du cadre pour se positionner en rond de bosse sur les murs de la Pace Gallery, dans une scénographie imaginée par l'artiste elle-même. " Grâce à la représentation, j'ai appris à chercher et à transformer ce que j'ai vu dans une peinture. Le travail abstrait est un autre type de position : je deviens un constructeur, un inventeur. " Nathalie du Pasquier, plasticienne Cette exhibition semble donner des idées à d'autres organismes d'envergure puisque l'Institute of Contemporary Art de Philadelphie (USA) exposera des "uvres de la Française jusqu'au 23 décembre 2017. Un comble pour celle qui clamait haut et fort " Je peins par plaisir, pas pour finir dans les journaux. " Pour en savoir plus, visitez le site de Nathalie du Pasquier Photographies : DR Pace Gallery
Il y a 7 ans et 221 jours

IF_DO : Dulwich Pavilion

À l'occasion de ses 200 ans, la célèbre Dulwich Picture Gallery de Londres (Royaume-Uni) confie à l'agence britannique IF_DO le soin de réaliser un pavillon connectant son architecture à son paysage, grâce à une structure aérienne et réfléchissante. Conçu en 1817 par l'architecte anglais John Soane, la Dulwich Picture Gallery est connue pour être la première galerie d'art publique du pays. Sa stricte volumétrie, ses façades en brique et ses linteaux en pierre, typiques de l'époque georgienne lui confèrent une allure majestueuse, que souligne un jardin anglais verdoyant. C'est cette connexion entre la galerie et son environnement qu'ont cherché à développer les concepteurs du pavillon, vainqueurs du concours organisé en partenariat avec le Festival d'Architecture de Londres. Ce trait d'union architectural prend la forme d'une plateforme en bois de 200 mètres carrés, installée sur la pelouse et sur laquelle sont fixés trois panneaux en miroir supportant le toit constitué de poutres treillis en bois habillées d'un léger voilage métallique suspendu. Trois autres planches, cette fois-ci mobiles, sont également disposées, et trouble le rapport à l'environnement qu'elles reflètent. " Les fragments du bâtiment apparaissent dans le paysage et les fragments du paysage dans le bâtiment, tandis que la translucidité des écrans crée une superposition d'images en mouvement. " ID_DO L'utilisation de l'aluminium réfléchissant sur les trumeaux, ajoutée au style éthéré de la toiture, contribue à insérer la construction dans le site végétal qui s'y réverbère, et permet d'intégrer à l'environnement georgien de la construction d'origine un élément contemporain sans pour autant le dénaturer. Un moyen original et actuel de célébrer l'anniversaire d'une construction iconique vieille de 200 ans. Pour en savoir plus, visitez le site de IF_DO Photographies : Joakim Boren
Il y a 7 ans et 225 jours

ITE et risque incendie : "Il faut apprécier la performance globale de la façade"

ENTRETIEN. L'incendie de la tour Grenfell, à Londres, puis le rapport du CSTB sur la réglementation incendie dans les bâtiments résidentiels, ont placé les isolants thermiques et les produits de façade au coeur des discussions. Quelle est la position et l'analyse de Kingspan, spécialiste dans ce domaine ? Olivier Naulin, directeur commercial, répond à Batiactu.
Il y a 7 ans et 226 jours

Ai Weiwei : D'ailleurs c'est toujours les autres

L'artiste conceptuel chinois Ai Weiwei investit le Palais de Rumine de Lausanne (Suisse), hébergeant le Musée cantonal des Beaux-Arts mais également d'archéologie et d'histoire, de zoologie, de géologie et de la monnaie. Une exposition monumentale à la hauteur de la réputation du célèbre plasticien. L'exhibition " dont le titre fait référence à l'épitaphe de Marcel Duchamp " D'ailleurs c'est toujours les autres qui meurent " ", retrace le parcours créatif d'Ai Weiwei à travers une grande rétrospective, au sein de laquelle on retrouve par exemple la série des doigts d'honneur qui ont fait son succès ainsi que des "uvres plus récentes, évoquant notamment la situation des réfugiés. Car derrière la superstar de l'art contemporain subsiste un homme mettant son savoir-faire au service de la dénonciation. Utilisant une infinité de médiums " photographies, porcelaine, bois, jade ou vidéos ", le plasticien conteste ouvertement le système politique chinois. Si sa mère patrie l'a vu naître, elle l'a aussi traqué, censuré, enfermé et expulsé. En voulant le faire taire, elle a braqué les yeux du monde entier sur lui, personnalité maudite de l'Empire du Milieu. Parfois agressives, souvent poétiques, les "uvres d'Ai Weiwei retracent visuellement l'histoire cachée de son pays d'origine et exposent les facettes cachées du régime chinois. On retrouve par exemple à Lausanne une partie des graines de tournesols peintes à la main exposées à la Tate Modern de Londres, en 2010, évoquant le peuple se tournant aveuglément vers Mao ou encore Blossom, un tapis de fleurs de porcelaine faisant écho à la campagne des cents fleurs de Mao, vaste répression ayant poussé de nombreux artistes locaux à l'exil, dont le père d'Ai Weiwei, le poète Ai Quing. Une exposition forte, contribuant à affirmer la place plus qu'acquise d'Ai Weiwei dans le paysage de la création contemporaine. Pour en savoir plus, visitez le site d'Ai Weiwei Photographies : Ai Weiwei et Alfred Weidinger
Il y a 7 ans et 232 jours

Événement : London Design Fair

Situé à Shoreditch, quartier branché de Londres (Royaume-Unis), la London Design Fair accueille, jusqu'au 24 septembre, l'un des plus importants événements du design au monde. L'occasion pour les créateurs, architectes, fabricants, éditeurs ou amateurs de la discipline de se retrouver dans un cadre dynamique au c"ur de la capitale anglaise. La manifestation rassemble plus de 500 exposants venus des quatre coins du monde, dans des lieux très divers. Le British Craft Pavilion, accueille par exemple les travaux du céramiste Reiko Kaneko ou du studio londonien Forest + Fond présentant des objets sculpturaux en bois et des pièces textiles atypiques. Le Craft & Design, structure entièrement dédiée à la jeune création, compte également parmi les lieux à visiter sans faute. " À mesure que la London Design Fair continue de croître, nous ajoutons des éléments nouveaux et pertinents, et nous nous inspirons de composants ayant déjà fait leurs preuves. " Jimmy MacDonald, fondateur et directeur de la London Design Fair En effet, à chaque édition l'événement n'a de cesse d'enrichir son offre, avec cette année deux nouveautés : le Guest Country, programme consacré à l'artisanat des États-Unis, et le Pavillon de la conception suédoise, mettant en valeur des créations scandinaves remarquables.En plus des créations novatrices de chacun des exposants, il est également l'occasion de découvrir en avant-première la cabane urbaine du designer britannique Sam Jacob pour Mini Living ou encore l'expérience immersive de Flynn Talbot installée dans la Consort Prince Gallery. Un événement qui ravira les passionnés de design. London Design Fair, jusqu'au 24 septembre 2017, Shoreditch, Londres (Royaume-Unis). Pour en savoir plus, visitez le site de la London Design Fair Photographies : DR London Design Fair