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Résultats de recherche pour maison individuelle

(2222 résultats)
Il y a 2 ans et 239 jours

RÉNOSTANDARD : des solutions intégrées et innovantes pour la rénovation des maisons individuelles

Issu du programme PROFEEL, RénoStandard a permis de développer et tester sur le terrain des méthodes et outils innovants destinés à accompagner et optimiser le développement de la rénovation globale pour des gammes de maisons individuelles « standardisées ». Accompagné par des experts du CSTB sur une dizaine de domaines techniques – procédés spéciaux d'isolation, structure, humidité, étanchéité, sécurité incendie, confort, carbone, etc. –, ce travail collectif a permis de faire émerger de nombreuses innovations, de l'échelle du composant à celle du bâtiment et de son usage. Le dispositif RénoStandard se poursuivra jusqu'en 2025 dans le cadre de PROFEEL 2, via le projet RESTORE. Lire la suite En savoir plus : Les 11 projets de référence RÉNOSTANDARD Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 241 jours

Les nombreux changements réglementaires de l'été synthétisés

À venir : un projet de décret à l’étude. Il prévoira une réhausse de l’objectif de la 5e période de plus de 25 %, correspondant à près d’1,5 milliard d’euros par an supplémentaires versés sous forme de primes aux travaux, réalisés principalement pour les ménages en situation de précarité*.Remplacement du Coup de pouce Chauffage des bâtiments tertiaires par le Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels collectifs et tertiairesUn arrêté, paru le 3 août 2022**, est venu remplacer le Coup de pouce Chauffage des bâtiments tertiaires par le Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels et tertiaires. Ce nouvel arrêté transfère désormais le raccordement des bâtiments résidentiels collectifs aux réseaux de chaleur du Coup de pouce Chauffage vers le nouveau Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels collectifs et tertiaires. Le Coup de pouce Chauffage n’inclut maintenant plus que le raccordement des maisons individuelles aux réseaux de chaleur.Ces nouvelles dispositions entreront en vigueur pour toutes les opérations engagées, le 1er septembre 2022.Hellio est signataire de la charte d’engagement Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels et collectifs tertiaires.Exemple : Dans le cadre du raccordement d’un bâtiment tertiaire à un réseau de chaleur, deux critères techniques sont à respecter :Le bâtiment n’a jamais été raccordé à un réseau de chaleur avant la réalisation de l’opération,Le réseau de chaleur est alimenté majoritairement par des énergies renouvelables ou de récupération.* Source** SourceDans ce cas, le montant de prime CEE pour un bâtiment de 100m2 s’élève à 49.500 €.De nouvelles modifications concernant l’arrêté contrôlesL’arrêté du 20 juillet 2022***, paru le 4 août dernier, vient modifier l’arrêté du 28 septembre 2021 relatif aux contrôles dans le cadre du dispositif des CEE****. Deux fiches d’opérations standardisées sont ainsi modifiées :La BAR-TH-104 - pompe à chaleur de type air/ eau ou eau/ eau : modification de la liste des points à contrôler en ce qui concerne le dimensionnement de la pompe à chaleur.La BAR-TH-159 - pompe à chaleur hybride individuelle : modification de la liste des points à contrôler en ce qui concerne le dimensionnement de la pompe à chaleur, le taux de couverture, par la pompe à chaleur hors dispositif d’appoint, des besoins de chaleur pour le chauffage du logement et la vérification du mode de régulation.Une autre modification est apportée à la BAR-TH-159 - pompe à chaleur hybride individuelle: le taux de couverture de la PAC pour couvrir les besoins de chauffage du logement (hors dispositif d’appoint) doit être d'au moins 70 %. Ce taux de couverture est calculé pour le mode de régulation choisi par le professionnel réalisant l’opération. La note de dimensionnement inclut le calcul de ce taux.Ces nouvelles modifications entreront en vigueur à compter du 1er novembre 2022 pour toutes les nouvelles opérations engagées.Création, abrogation et révision de certaines fiches d’opérations standardisées dans le cadre du 46e arrêtéDans le cadre du 46e arrêté, l’arrêté du 25 juillet 2022***** vient créer, abroger et réviser certaines fiches d’opérations standardisées.La BAR-TH-169 - pompe à chaleur collective de type air / eau ou eau / eau pour l’eau chaude sanitaire est créée et vient mettre en place un système centralisé constitué d’une ou plusieurs pompes à chaleur associées à un ou plusieurs ballons de stockage et de puissance thermique nominale inférieure ou égale à 400 kW pour la production d’eau chaude sanitaire collective. La date d’entrée en vigueur de cette nouvelle fiche est prévue pour le 5 août 2022.*** Source**** Source***** SourceLa BAR-TH-112 - appareil indépendant au bois et la BAT-TH-116 - système de gestion technique du bâtiment pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire font l’objet d’une révision :BAR-TH-112 - appareil indépendant au bois : modification de la date d’abrogation de la fiche (1er octobre 2027), modification des paragraphes concernant l’artisan RGE et modification des conditions de l’appareil à installer.BAT-TH-116 - système de gestion technique du bâtiment pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire : ajout des spécifications suivantes sur la partie “dénomination et modification dans les conditions de délivrances”.Ces révisions entreront en vigueur le 1er octobre 2022.À compter du 1er septembre 2022, trois fiches d’opérations standardisées sont abrogées :La BAR-EQ-102 - lave-linge ménager de classe A++ ou A+++La BAR-EQ-103 - appareil de réfrigération ménager de classe A++ ou A+++La IND-UT-123 - moteur prémium de classe IE3
Il y a 2 ans et 248 jours

Risque de coupure du gaz russe, les solutions de chauffage en maison individuelle

Les Ministres de l’Energie de l’Europe sont réunis ce mardi matin 26 juillet pour mettre la dernière main au plan européen. Mais, dans une maison individuelle, comment remplacer le gaz russe ?
Il y a 2 ans et 252 jours

Comment économiser ou remplacer le gaz en maison individuelle ?

L’Europe s’attend à une coupure du gaz russe à l’automne. Voici quelques solutions pour réduire ou remplacer entièrement le gaz en maison individuelle dès maintenant et les aides financières disponibles.
Il y a 2 ans et 253 jours

Recul des ventes de logements neufs au deuxième trimestre

Au deuxième trimestre, 27.909 logements neufs ont été réservés par des particuliers. C'est 13% de moins qu'en 2021, année de "rattrapage" après les confinements de 2020, note le ministère, et nettement moins (-20,4%) qu'en 2019, dernière année avant la pandémie. Le nombre de logements mis sur le marché est également en baisse, de 11,7% sur un an, avec 28.733 nouvelles commercialisations. La chute est plus marquée pour les maisons individuelles, mais celles-ci représentent moins d'un dixième des mises en vente et des réservations. Les prix de vente moyens ont, eux, continué de grimper, de 4,9% pour les appartements et de 5,2% pour les maisons individuelles. La tendance à la baisse des ventes s'observe surtout dans les zones les plus tendues, soit l'Ile-de-France, la Côte d'Azur et à la frontière suisse. Seules les zones les moins tendues, hors des communes de plus de 50.000 habitants, voient l'offre augmenter, mais sur des volumes très faibles, le marché étant concentré sur les zones tendues et les grandes agglomérations. Un total de 13,5% des réservations se sont terminées par une annulation de la part des acquéreurs, une part en hausse, note le ministère, alors que la remontée rapide des taux d'intérêt a suscité des turbulences dans l'accès aux crédits.
Il y a 2 ans et 253 jours

L'immobilier algérien fait salon en France pour la 1ère fois

Au programme : un large panorama de l’offre immobilière algérienne, exclusivement dans le neuf, enrichi par des journées thématiques pour informer les visiteurs et les aider à construire leur projet en Algérie.Co-organisé par "OK AGENCE", une agence d'évènementiel française basée à Nîmes et "Lepestate.com", agence immobilière basée à Alger, leurs équipes ont su rester fortement mobilisées pendant la crise sanitaire, et continuent à travailler d'arrache pied pour la réussite de cet évènement, qui a été reporté 2 fois à cause de la crise du COVID-19.Pour Karina Tifoura, co-Organisatrice du SINA PARIS et Directrice de OK AGENCE : "Le SINA PARIS participe pleinement à la dynamique économique entre la France et l'Algérie, et se positionne comme un rendez-vous incontournable, d'une part, pour les membres de la diaspora algérienne de France ayants le projet d’achat ou de construction d’une maison individuelle en Algérie, et d'autre part, pour tous les opérateurs économiques français souhaitant pénétrer le marché du BTP en Algérie."Promoteurs immobiliers, organismes de financement, spécialistes en droit immobilier, architectes urbanistes, le SINA PARIS réunit pour la première fois à l'étranger, les futurs acquéreurs de la diaspora et plus de 25 professionnels de l’immobilier venus de l'est, du centre et de l'ouest de l'Algérie.Pour Sofiane Ouhab, Directeur de Lpestate.com et co-Organisateur du SINA PARIS : "En cette période de ralentissement de l'économie mondiale, il est plus que jamais nécessaire, de développer plus de perspectives commerciales entre les deux rives de la Méditerranée."
Il y a 2 ans et 254 jours

REP PMCB : Valobat, la FNB et l’UICB expriment leurs engagements communs pour la filière bois

Déjà engagée dans l’acte de construire avec tous ses métiers, la filière bois-construction figure parmi les premières contributrices dans l’enjeu de réduction des gaz à effet de serre.Valobat, candidat à l’agrément d’éco-organisme, aspire à être l'acteur de référence pour les produits bois et porte de grandes ambitions pour ce matériau aux multiples atouts. Début 2022, l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB) et la Fédération Nationale du Bois (FNB) entraient au capital de Valobat. Un message fort exprimant leur volonté partagée d’accompagner les acteurs du bois dans ces prochains changements, avec cinq objectifs prioritaires : Réussir l’engagement des entreprises dans la REP, Construire des critères d’éco-conception adaptés à la filière bois, Encourager le réemploi et la réutilisation des produits bois, Promouvoir le recyclage et la valorisation du bois,Obtenir la visibilité de l’écocontribution sur les devis et les factures. La filière française bois : des objectifs ambitieux Le bois est un matériau qui apporte de nombreux avantages au secteur de la construction et de la rénovation. Performante, la filière française fournit des produits biosourcés et d’origine renouvelable adaptés aux marchés. Ils contribuent à l’amélioration du bilan carbone du secteur. Les coproduits, ainsi que les produits bois en fin de vie, sont recyclés (panneaux) ou peuvent constituer une source d’énergie dans des équipements individuels ou collectifs (réseaux de chaleur). La filière s’est fixée des objectifs ambitieux : en doublant la part de marché du bois dans l’habitat collectif neuf (passer de 3% à 6%), en passant de 10% à 15% dans la maison individuelle, en portant à 15% la part de solutions bois utilisées dans la rénovation de bâtiments collectifs,en augmentant de 20% la part de marché du bois dans les solutions de réhabilitation et de rénovation des logements individuels. Cinq priorités partagées et des engagements forts Réussir l'engagement des entreprises dans la REP A compter du 1er janvier 2023, les entreprises du secteur bois concernées par la REP PMCB vont devoir adhérer à un éco-organisme tel que Valobat et s’acquitter du paiement d’une écocontribution associée à la commercialisation de leurs produits. C’est un engagement fort dans la construction de la filière et pour le respect de leurs obligations environnementales. Les engagements FNB, UICB et VALOBAT Mettre à disposition des entreprises une information fiable et construire un barème d’écocontribution adapté au secteur bois au travers du comité de secteur dédié. Afin de bénéficier d’une information privilégiée, elles peuvent préadhérer au projet d'éco-organisme Valobat - Valobat. Construire des critères d'éco-conception adaptés à la filière bois L’éco-conception des PMCB permet de maîtriser les coûts de gestion des déchets de démolition déconstruction et rénovation du bâtiment, d’améliorer les performances de collecte, et de valorisation (réemploi/réutilisation ou recyclage). Le bois dispose de nombreux atouts : origine biosourcée et renouvelable ainsi qu’un bilan carbone positif. L’engagement FNB, UICB ET VALOBAT Construire un barème reflétant les atouts et les ambitions du matériau bois en proposant des éco-modulations dès le barème applicable en 2024. Il sera proposé aux entreprises afin de les orienter dans des projets d’éco-conception de leurs produits dès 2024. Encourager le réemploi des produits bois Le réemploi est l’action prioritaire à mener dans la hiérarchie des modes de traitement des déchets. Dans un contexte de raréfaction des ressources, d’enjeux de dépôts sauvages et plus largement de gestion des déchets, il séduit de plus en plus d’acteurs qui s’engagent dans des initiatives exemplaires. La filière REP se voit fixer des objectifs très ambitieux. L’engagement FNB, UICB et VALOBAT Accompagner des expérimentations et la construction d’un cadre et de modalités de réemploi du bois. Cette action s’inscrit dans le plan d’actions et l’étude prévus au cahier des charges de l’agrément des éco-organismes. Promouvoir le recyclage et la valorisation du bois Le projet de cahier des charges des éco-organismes fixe des objectifs de recyclage pour le bois à 42% en 2024 et 45% en 2027. Le bois contribue également aux objectifs de la politique de souveraineté énergétique française. Valobat offrira aux détenteurs de déchets, notamment bois issus des chantiers et triés séparément, des solutions de reprise sans frais sur de nombreuses installations (déchèteries publiques ou professionnelles, distributeurs, points spécialisés). L’information des lieux et des consignes de tri facilitera le geste de tri. Un gage de performance afin d’alimenter en matière première l’industrie et les chaufferies bois.Les engagements FNB, UICB et VALOBAT Faire savoir aux entreprises concernées par la REP et à leurs clients que la filière bois est engagée dans des boucles d’économie circulaire concrètes et opérationnelles. Participer à des programmes de R&D et d’innovation sur les exutoires, techniques de tri et de recyclage du bois. Obtenir la visibilité de l'écocontribution sur les devis et les factures La visibilité de l’écocontribution implique l’affichage de son montant supporté par chaque produit ou matériau sur la facture ou le devis, et l’impossibilité de négocier commercialement son montant entre les fabricants et les différents intermédiaires. Si elle est prévue pour les produits électriques et électroniques ménagers et les meubles, les textes ne la prévoient pour les PMCB. Cette mesure constitue pourtant un outil essentiel et indispensable de lutte contre l’inflation, d’information du consommateur, de facilitation des déclarations à l’éco-organisme et une disposition particulièrement adaptée au secteur du bâtiment. L'engagement FNB, UICB et VALOBAT Coordonner leurs actions afin d’obtenir des pouvoirs publics ou du Parlement cette mesure indispensable.
Il y a 2 ans et 266 jours

Election du nouveau Bureau de l’Association Domexpo : Daniel Lair-Lachapelle réélu Président

Il est aujourd’hui reconduit dans ses fonctions, tout comme Fabien Cuminal, et Jean-Luc Touzeau, respectivement Vice-président et Trésorier de l’Association.L’association Domexpo est le salon permanent de la maison individuelle en Île-de-France et regroupe sur 4 villages (Baillet-en-France / Moisselles, Coignières, Mareuil-les-Meaux et La Ville du Bois) près de 60 pavillons et 20 constructeurs de maisons individuelles.Son nouveau conseil d’administration*, désigné lors de la dernière assemblée générale et chargé de représenter l’ensemble des constructeurs adhérents lors des réunions stratégiques, vient d’élire le Bureau de l’Association, aujourd’hui composé de :Daniel Lair-Lachapelle, reconduit dans ses fonctions de Président de Domexpo. Parallèlement à ses fonctions chez Domexpo, il est Directeur commercial Paris Ouest du Groupe HEXAÔM (Maisons France Confort et Maisons Balency) et Responsable du développement foncier.Fabien Cuminal, directeur général de l'entreprise Cofidim, est réélu Vice-président.Jean-Luc Touzeau, Président des Maisons JLT, est également réélu Trésorier de Domexpo.Ces membres travailleront en étroite collaboration avec Luc Coutelen, Secrétaire général de Domexpo, pour mettre en application les décisions prises lors des différentes réunions Domexpo en termes de déploiement, communication…* Quentin Bourdon (BDL), Fabien Cuminal (Cofidim), Daniel Lair-Lachapelle (Maisons France Confort), Ludovic Lapeyre(Maisons Balency), Bruno Lesterlin (Groupe Lesterlin), Didier Lukan (Demeures d’Île-de-France), Jean-Philippe Martin(Maisons Pierre), Jean-Luc Touzeau (Maisons JLT).
Il y a 2 ans et 270 jours

3 nouvelles entreprises pour le réseau Vertikal

Une expansion qui témoigne de la force de la cooptation au sein de ce réseau spécialiste de la rénovation de façades de maisons individuelles et petits collectifs, qui se démarque par la rigueur de son concept et la formation de ses franchisés, toujours dans la perspective de proposer des prestations de qualité à ses clients finaux.Avec ces trois nouvelles ouvertures, le réseau VERTIKAL renforce sa présence en Île-de-France (5 implantations), sur la région Pays-de-la-Loire (4 implantations) et en PACA (3 implantations), et porte à 29 le nombre de ses Applicateurs Exclusifs implantés partout en France.Viennent de rejoindre le réseau :Pictural Façades, Applicateur Exclusif sur le sud-ouest de la Loire-Atlantique dirigée par Marwène Souissi, issu du domaine du BTP, ancien technicien couvreur et peintre en bâtiment.Ravalement du Var, née de l’association entre Mathieu Chouteau, Applicateur Exclusif historique du groupement d’entreprises VERTIKAL à la tête de Façades du Var depuis 2016, et Théo Duval, ancien électricien et désormais plus jeune Applicateur du Réseau.Trianon Façades, dirigée par Paul Lindemann, issu du domaine du marketing, ancien technicien-commercial d’une entreprise historique du groupement: Ravalement du Roy. Implantée en Ile-de-France, Trianon Façades intervient sur le nord-est des Yvelines.Pour Christian Badia, Fondateur de VERTIKAL : « Deux de ces trois nouvelles ouvertures sont issues de la cooptation au sein même du réseau. Le concept VERTIKAL, sa rigueur et la qualité de l’accompagnement que nous apportons à nos franchisés, amènent nos Applicateurs Exclusifs à recommander à leur entourage de nous rejoindre. Aussi, la force de VERTIKAL passe par notre programme de formation/reconversion. Elle permet à tout un chacun, quel que soit le secteur d’activités dont il est issu, d’avoir l’ambition de réussir en tant qu’Applicateur VERTIKAL. »En Gironde, l’entreprise Atelier Façades vient d’être reprise par Emmanuel Blanc, ancien chef d'entreprise en rénovation d'habitat désormais reconverti dans la rénovation de façades de maisons individuelles et petits collectifs, intervenant sur le centre-ouest du département de la Gironde.
Il y a 2 ans et 270 jours

Les professionnels appellent à préciser d’urgence les modalités pratiques de mise en œuvre des aides financières sur le fioul domestique

Pour le fioul domestique, le prix moyen en 2021 s’élevait à 0,90 € par litre. Ce prix moyen est passé à 1,44 € par litre au premier semestre 2022 et a même atteint un pic de 1,69 € par litre en juin 2022. Actuellement en retrait à 1,57 € par litre, il reste cher en valeur absolue. La consommation moyenne des maisons individuelles se situe à 2 000 litres/an et concerne 3 millions de maisons individuelles en résidence principale. L’effort budgétaire engagé est louable, il correspond à l’excédent de TVA encaissé du seul fait de la hausse du prix au seul premier semestre 2022 (+ 9 cts par litre) et ne tient donc pas compte des recettes excédentaires de TVA à venir pour le second semestre 2022. L’apport en recette de TVA supplémentaire liée à la hausse du prix du fioul domestique peut être estimé à plus de 500 millions d’euros pour 2022. En attendant la prise d’effet de cette mesure, les commandes d’approvisionnement sont à l’arrêt. Les consommateurs attendent la concrétisation des annonces. II est donc urgent de connaître les modalités pratiques et la période pendant laquelle la réduction sera appliquée. Selon les statistiques de mises à la consommation*, la réduction de prix devrait représenter a minima 12 cts du litre TTC pour les volumes à livrer jusqu’en fin d’année, compte tenu de l’enveloppe budgétaire, soit environ 7 % sur le prix de vente actuel. Le seul mécanisme pouvant rapidement être mis en œuvre est analogue au dispositif portant sur les carburants qui vient d’être prolongé jusqu’à fin août, dans l’attente des décisions gouvernementales pour l’étendre jusqu’à la fin de l’année. Le fioul domestique F30 (biofioul F30), dont la mise sur le marché est prévue avant fin août pour l’alimentation des chaudières neuves, sera intégré au dispositif de réduction de prix.* Statistiques du Comité Professionnel du Pétrole
Il y a 2 ans et 275 jours

Une nouvelle étude revoit le nombre de "passoires énergétiques" à la hausse

D'après le nouveau mode de calcul du diagnostic de performance énergétique (DPE), qui étiquette depuis 2021 les logements de A à G selon leur consommation d'énergie et leur niveau d'émission de gaz à effet de serre, 17,3% du parc des résidences principales sont classées F ou G. En janvier 2018, l'ONRE évaluait le nombre de passoires énergétiques à 4,8 millions parmi les résidences principales, soit 16,7% du parc. Selon la nouvelle étude publiée en juillet, environ 1,5 million de résidences principales (5% du parc) sont au contraire considérées "peu énergivores", étiquetées A ou B par le DPE.La part de passoires énergétiques est plus élevée parmi les résidences secondaires (32%, soit 1,2 million de logements) et parmi les logements vacants (27%, soit 0,8 million de logements).Le mode de chauffage et les caractéristiques du logement (surface, date de construction...) "influent sur les performances énergétiques", précise l'étude.Ainsi, "les logements chauffés au fioul sont 44% à être classés F ou G (...) Au contraire, les logements chauffés au gaz ou au bois et par un réseau de chaleur apparaissent plus performants énergétiquement (respectivement 12% et 13% d'étiquettes F et G)", selon l'ONRE.Par ailleurs, "les logements les plus petits sont les plus énergivores" : près de 34% des logements de moins de 30m2 ont une étiquette F ou G, contre 13% des habitations de plus de 100m2.Les passoires énergétiques sont aussi plus fréquentes parmi les maisons individuelles que parmi les habitats collectifs, et dans le parc privé que dans le parc social.
Il y a 2 ans et 277 jours

Rénovation énergétique : les aides et le reste à charge des ménages en situation de précarité énergétique

Les travaux de rénovation énergétique sont la pierre angulaire pour atteindre cet objectif mais ils restent hors de portée pour les plus précaires en raison du reste à charge parfois colossal en fonction des postes. En parallèle, des aides existent, MaPrimeRénov' et les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) pour les plus connues, mais elles subissent régulièrement des évolutions réglementaires, parfois à la hausse mais aussi à la baisse.Pour dresser un état des lieux des variations depuis janvier 2021 jusqu'à juillet 2022, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, s'est intéressé à l'évolution des primes et du reste à charge des ménages modestes[1] et précaires[2] sur les principaux postes de travaux (rénovation globale, isolation des murs, isolation des combles, chaudière biomasse, pompe à chaleur air/eau et chaudière gaz), en prenant en compte les différentes évolutions réglementaires.[1 ]Correspondants à la couleur jaune du barème MaPrimeRénov'[2] Correspondants à la couleur bleu du barème MaPrimeRénov'Méthodologie de l'étude HellioPour réaliser son étude sur la précarité énergétique, Hellio s'est appuyé sur l'étude de l'Ademe 2019 pour estimer le coût des travaux pour l'isolation des murs (100 m2), l'isolation des combles (100 m2), la pompe à chaleur, la chaudière gaz, et sur ses propres chantiers pour la rénovation globale[3] (maison de 150 m2) et la chaudière biomasse[4]. La hausse du coût des chantiers constatée depuis le 1er mars 2022 est estimée sur la base des retours terrain de Hellio.Le montant des primes, incluant MaPrimeRénov' et les CEE, est calculé via les données moyennes de Hellio.Cap sur la rénovation globale et le chauffage ENRConsidérée comme LA priorité des travaux à mener, la rénovation globale est portée par plusieurs aides : MaPrimeRénov'[5] et le Coup de pouce Rénovation performante en maison individuelle[6]. Mais son reste à charge demeure très élevé : entre 35.253 € et 41.664 € au 1er juillet 2022, après 2 évolutions réglementaires.Le 1er janvier 2022 est intervenue une baisse des aides accordées (-29% pour les précaires et –24% pour les modestes), liée aux changements de calculs du Coup de pouce Rénovation performante, entraînant une hausse du reste à charge de 5.292 € pour les précaires et de 3.565 € pour les foyers modestes[7]. Une augmentation qui s'est accentuée depuis mars 2022 avec la hausse du coût des chantiers en raison de la guerre en Ukraine (hausse des matières premières, augmentation des prix de l'énergie, etc.). À l'inverse, grâce au cumul désormais possible de MaPrimeRénov' Sérénité et du Coup de pouce des CEE depuis 1er juillet 2022, les aides augmentent de 116% et 95%, respectivement pour les précaires énergétiques et les foyers modestes. Une évolution qui permet aux précaires de revenir au niveau de reste à charge de 2021, aux alentours de 35.000 €, mais qui reste cependant trop élevé et empêche inévitablement les ménages modestes et précaires de franchir le pas. Dans la pratique, il peut être difficile pour le moment d'obtenir l'aide MaPrimeRénov' Sérénité. En effet, celle-ci est conditionnée par l'évaluation d'un interlocuteur Mon Accompagnateur Rénov', dont les modalités restent encore inconnues : le texte réglementaire n'a toujours pas été publié à ce stade.[3] Hors programme Habiter Mieux Sérénité[4] Les coûts estimés par l'Ademe pour la rénovation globale et la chaudière biomasse semblaient sous-estimés par rapport à la moyenne constatée par Hellio sur le terrain[5] À condition d'atteindre au moins 35% d'économies d'énergie[6] À condition d'atteindre au moins 55% d'économies d'énergie[7] Calcul basé sur 40 chantiers Hellio de travaux de rénovation globale (hors programme Habiter Mieux Sérénité)Du côté du chauffage, la chaudière biomasse et la pompe à chaleur air/eau tirent leur épingle du jeu.Stables depuis le 1er janvier 2021, les aides pour l'installation d'une chaudière biomasse ont connu une seule évolution : l'augmentation de MaPrimeRénov' de 1.000€ le 15 avril 2022. Estimé à 1.629€ pour les précaires et 4.703€ pour les modestes, le reste à charge ne baisse pas pour autant en raison de l'impact de la guerre en Ukraine qui engendre une hausse du prix des travaux.La tendance observée pour la pompe à chaleur air/eau est identique. La seule évolution concerne l'augmentation de 1.000€ MaPrimeRénov' le 15 avril 2022, portant le montant des primes à 9 000€ pour les précaires et 8.000€ pour les modestes. Cette aide supplémentaire ne permet pas de baisser le reste à charge moyen, estimé à 4.681€ pour les précaires et 5.681€ pour les modestes. Elle suffit seulement à absorber la hausse des prix des matériaux, les ménages devant même débourser un peu plus en juillet 2022 par rapport à février 2022.Les aides pour les mono-gestes d'isolation et de chaudière gaz en bernePourtant jugés comme incontournables si pas encore réalisés, les travaux d'isolation des murs sont de moins en moins subventionnés, le reste à charge est en très forte hausse : +400% pour les ménages précaires et +81% pour les modestes entre janvier 2021 et juillet 2022. Ce poste de travaux a été impacté par 2 révisions des aides à la baisse. La bonification des CEE pour les précaires a pris fin le 31 décembre 2021 avec une 1ère baisse importante des aides de près de 21% et une hausse du reste à charge de 2.695 €. La 2e baisse des aides CEE pour les travaux d'isolation des murs et la hausse du coût des chantiers liée au conflit russo-ukrainien ont ensuite provoqué un doublement du reste à charge entre le 1er janvier 2022 et le 1er juillet 2022 pour les ménages précaires, et un quasi doublement pour les ménages modestes.Les aides aux travaux d'isolation des combles ont subi 2 baisses successives liées à l'évolution du Coup de pouce Isolation. Le reste à charge moyen a bondi de 1.200 € à 3.395 € entre janvier 2021 et juillet 2022 pour les précaires et de 1.700 € à 3.955 € pour les modestes.La 1ère révision le 1er juillet 2021 a donné lieu à une baisse des aides de près de 18% (précaires) et 25% (modestes) et donc, en parallèle, à une augmentation du reste à charge moyen de 800 € pour les précaires et de 1.000 € pour les modestes.Enfin, plus récemment, l'arrêt du Coup de pouce Isolation depuis le 1er juillet 2022, couplé au contexte de hausse des prix des matériaux dû au conflit russo-ukrainien, entraîne une nouvelle augmentation du reste à charge moyen.À l'inverse des équipements utilisant les énergies renouvelables, et dans le contexte géopolitique actuel, la chaudière gaz n'a plus le vent en poupe !L'arrêt du Coup de pouce Chauffage gaz et émetteurs le 30 juin 2021 a entraîné une baisse des aides de près de 41% pour les précaires et de 36% pour les modestes. Entre la baisse des primes accordées et la hausse des prix des matériaux constatée, le reste à charge moyen a de son côté augmenté de plus de 48% pour les précaires et de 27% pour les modestes entre janvier 2021 et juillet 2022.Les aides pour la chaudière gaz connaîtront un nouveau coup d'arrêt le 31 décembre 2022 avec la suppression de MaPrimeRénov'.Cette étude conforte les orientations stratégiques données à la rénovation énergétique : mettre fin aux mono-gestes considérés comme inefficaces au profit de travaux plus globaux. En parallèle, le soutien aux solutions de chauffage ENR témoigne de la volonté de sortir de l'énergie gaz pour ne plus dépendre de la Russie.Pour Pierre Maillard, PDG de Hellio : « Le dispositif des CEE, 1er outil d'aide à la rénovation énergétique, se doit d'être renforcé pour atteindre nos objectifs de rénovation énergétique et accélérer la transition énergétique. Soyons ambitieux, sortons de nos zones de confort, ayons un haut niveau d'exigence. La massification de la rénovation énergétique et l'atteinte de nos objectifs communs d'économies d'énergie ne pourra se faire que par des dispositifs vertueux et permettant l'atteinte d'économies d'énergie réelles. Il faut travailler sur le dispositif des CEE en ce sens ».
Il y a 2 ans et 277 jours

Tout savoir pour bien choisir un constructeur de maisons individuelles

La mise en œuvre d’un projet de construction nécessite le recours à un professionnel. Sur le marché, plusieurs constructeurs proposent leurs services aux populations, avec des offres aussi flatteuses les unes que les autres. Compte tenu de la sensibilité de l’opération, il vous revient d’identifier un professionnel capable de vous offrir une habitation sure et économique. Pour réussir votre choix, nous vous invitons à découvrir dans ce billet tout ce que vous devez savoir pour bien choisir un constructeur de maisons individuelles. Analyser les offres disponibles Tout projet pour construire une maison en Rhône-Alpes avec un terrain doit commencer par une analyse minutieuse des offres disponibles. Nous vous conseillons donc de contacter plusieurs entreprises de construction de maisons individuelles, pour voir les différentes possibilités qui s’offrent à vous. Que ce soit une maison contemporaine ou traditionnelle, n’hésitez pas à demander des catalogues de réalisation mentionnant le coût global de chaque projet. En général, la plupart des propositions sont des modèles en 3D issus de logiciels de conception assistés par ordinateur. Pour un choix judicieux, vous devez pouvoir décoder les illustrations en les comparant à des photos non retouchées d’une construction réelle, ou à des souvenirs de maisons que vous avez vues par le passé. Ceci est très important, si vous ne voulez pas vous retrouver avec une maison qui ne ressemble en rien au modèle pour lequel vous avez opté. Par ailleurs, en fonction du budget requis pour la réalisation des différents projets, vous pourrez sélectionner les constructeurs à qui vous pouvez confier votre chantier. Enfin, si vous souhaitez des ajustements particuliers pour disposer de la maison de vos rêves, veuillez discuter avec les professionnels, pour identifier ceux qui sont capables de vous satisfaire véritablement. Ceci dit, un bon constructeur doit pouvoir vous dire non et s’expliquer, si vos exigences ne respectent pas les normes en matière de construction. Opter pour un constructeur de proximité Pour une mise en œuvre efficace, vous ne pouvez vous contenter du contact virtuel avec votre constructeur. Pour cela, nous vous conseillons de privilégier un professionnel de votre région avec qui vous pourrez régulièrement échanger sur les détails de l’opération. Par ailleurs, cette option vous permettra d’effectuer un suivi plus efficace de votre chantier. Enfin, le choix d’un prestataire de proximité vous permettra de gagner du temps, et d’économiser les frais de déplacement. Ce dernier point pourrait vous paraître anodin, mais n’oubliez pas que vous devrez effectuer de nombreux aller-retour entre votre maison et le bureau du constructeur d’une part, et visiter régulièrement votre chantier pour vous assurer d’une mise en œuvre conforme à vos attentes d’autre part. Opter pour un contrat de construction d’une maison individuelle (CCMI) En raison des nombreux abus constatés, la législation française prévoit depuis 1990 le recours à un contrat de construction d’une maison individuelle, appelé CCMI. Contrairement au permis de construire, et aux normes thermiques qui sont imposées, l’adoption de ce type de contrat est facultative. Ceci dit, pour être à l’abri des dépenses inutiles, le choix de ce contrat qui est devenu l’un des standards du secteur de la construction de maison serait une option judicieuse. En adoptant le CCMI, vous bénéficierez des garanties de bon achèvement des travaux, et de protection financière. Il s’agit notamment : D’une garantie de parfait achèvement et de bon fonctionnement qui oblige le constructeur d’une maison à prendre en charge la réparation ou le remplacement des éléments défectueux sur une période minimale d’un an après la livraison du chantier. Que ce soit donc pour des travaux d’envergure ou non, vous avez le droit de contacter le professionnel à qui vous avez confié votre projet de construction ; D’une garantie décennale qui obligera votre constructeur à intervenir en cas de malfaçons constatées, sur une période de dix ans, à partir de la date de livraison de votre maison ; D’une caution solidaire obtenue par votre constructeur auprès d’une maison d’assurance ou d’une banque. Ainsi, même si l’entreprise de construction tombe en faillite, elle pourra s’assurer de l’achèvement de votre projet via d’autres artisans ; Des garanties financières telles que les modalités de versement, les pénalités à appliquer en cas de retard ; Du droit de rétractation si le constructeur ne respecte pas les exigences du contrat. Toutefois, bien que le constructeur soit assuré, votre responsabilité pourrait être mise en cause dans certaines situations. En effet, le CCMI prévoit une assurance dommages-ouvrages qui protège le maître d’ouvrage vis-à-vis de tout accident ou incident se produisant sur le chantier. Tenir compte de la réputation du constructeur La réputation est un critère déterminant dans le choix de tout prestataire. Nous vous conseillons donc de contacter vos proches qui ont réalisé un projet de construction, pour avoir une idée de la qualité de prestation offerte par l’entreprise qui s’est occupée de l’exécution de leur projet. En fonction des retours, vous pourrez identifier le constructeur à qui vous pouvez faire confiance. L’autre alternative de vérification de la réputation consiste à visiter des plateformes spécialisées en ligne. En effet, que ce soit la durabilité des matériaux utilisés, la qualité de la prestation, ou le respect des prix convenus, vous pourrez repérer sur ces sites des commentaires d’usagers qui vous permettront d’identifier une entreprise capable de prendre en charge convenablement la mise en œuvre de votre projet de construction. Pour finir, toujours pour vous assurer d’une exécution impeccable, n’hésitez pas à demander à l’entreprise de construction un catalogue des projets qu’elle a exécutés ces dernières années. Vous pourrez donc vous déplacer pour voir ce à quoi ressemblent leurs réalisations, et contacter directement les propriétaires pour avoir plus de précisions sur la qualité des travaux exécutés, et le dérouler de la collaboration avec l’entreprise. S’assurer de la compétence du constructeur La réalisation d’un projet de construction ne doit pas être prise à la légère, car c’est un secteur régi par une règlementation stricte. En effet, en dehors des contraintes environnementales, la RE 2020 a renforcé les obligations en termes de consommation énergétique. Des plafonds en matière de chauffage, d’éclairage, d’eau chaude sanitaire, de ventilation ou de refroidissement doivent désormais être respectés. Vous devez donc vous assurer que votre constructeur dispose d’une équipe d’artisans compétente et rompue à la tâche.
Il y a 2 ans et 280 jours

VR 90 et VR 70 – les BSO SCHENKER STORES pour les baies XXL

Les BSO VR 90 (90 mm de large) et VR 70 (70 mm de large) sont des stores à lames aluminium qui se différencient par leur élégante apparence et leurs dimensions. Pouvant couvrir jusqu’à 11m² de surface, ces brise-soleil orientables sont aussi bien adaptés aux maisons individuelles qu’aux bâtiments tertiaires.  Ils s’ajustent de manière optimale […]
Il y a 2 ans et 281 jours

Tri’n’Collect poursuit son développement avec l’ouverture de six nouvelles agences

Tri’n’Collect, la start’up spécialiste dans la gestion des déchets de chantierTri’n’Collect est né en 2019 de deux constats : 90 % des déchets sont recyclables à condition qu’ils soient triés à la source et les artisans ont peu de solutions de tri sur chantier.En 2 ans et demi, les agences de Tri’n’Collect ont sauvé de l’enfouissement plus de 4.300 tonnes de chutes de matériaux et autres déchets de chantier qui ont pu être valorisés localement dans le respect de la hiérarchie des modes de traitement des déchets.Une tonne de déchets recyclés générant 10 fois plus d’emploi qu’une tonne de déchets enfouis, Tri’n’Collect a accueilli 20 nouveaux collaborateurs en 2022 et franchi ainsi le cap de 50 collaborateurs !Des ouvertures d’agences portées par un alignement des facteurs écologiques, réglementaires et économiquesDe plus en plus d’acteurs du bâtiment s’engagent pour une construction durable tout en étant soumis aux nouvelles obligations règlementaires (tri 7 flux sur chantier, traçabilité de déchets, etc.) ainsi qu’à la pression inflationniste des coûts de traitement de déchets.Une stratégie de maillage du territoire avec une ambition nationale à horizon 2025La stratégie de développement territorial de Tri’n’Collect s’inscrit dans une logique de proximité afin de limiter le transport de déchets entre les chantiers, les lieux de massification et enfin celui de traitement et valorisation (conformément à l’article Article L541-1 du code de l’environnement relatif à la Prévention et gestion des déchets). L’optimisation des tournées de collectes permet un périmètre départemental d’interventions.Déjà présent dans 6 villes de l’ouest de la France, Nantes, Lorient, Angers, Rennes, La Roche sur Yon et Bordeaux, Tri’n’Collect a ouvert deux nouvelles agences à Brest et La Rochelle sur ce 1er semestre pour accompagner, au plus près, les acteurs du bâtiment du Finistère et de Charente Maritime dans la gestion maîtrisée de leurs déchets de chantier.L’agence de Brest, située sur la commune de Guipavas, opère déjà sur près de 80 chantiers, essentiellement des constructions de maisons individuelles.Celle de La Rochelle, basée à Lagord, débute son activité par le plus grand projet d’aménagement confié à Tri’n’Collect. Avec un peu plus de 100 terrains à bâtir, l’opération « ZAC de la Gare » du Crédit Mutuel Aménagement Foncier, représentera, à terme, plus de 80 tonnes de CO2 économisées grâce aux solutions de tri à la source. A noter que cette agence bénéficie d’un écosystème d’acteurs engagés dans la transition écologique, grâce à la démarche La Rochelle Territoire Zéro Carbone.Pour Romain Bouchet, notre Directeur Régional Sud-Ouest : « Ces ouvertures d’agences sont envisagées dès que plusieurs facteurs clés sont réunis : la validation de l’attractivité du territoire avec le potentiel du marché de la construction, la contractualisation avec des clients pour amorcer l’activité, et l’identification d’un écosystème de filières de valorisation. »D’ici septembre, 3 autres agences seront ouvertes : le Morbihan est renforcé avec une agence annexe à Vannes, les agences de Tours et Bayonne adresseront chacune les départements de l’Indre-et-Loire et les Landes. Il ne reste qu’à trouver le dépôt pour l’agence de Caen !A terme chaque agence collectera entre 600 tonnes et 2.000 tonnes de déchets par an.D’ici 2025, l’ambition de Tri’n’Collect est de déployer une quarantaine d’agences et ainsi couvrir le territoire national.
Il y a 2 ans et 282 jours

7 Français sur 10 souffrent de la chaleur dans leur logement

La souffrance thermique, un enjeu majeur en France69% des Français déclarent souffrir des températures trop élevées dans leur logement lors de périodes de forte chaleur. Ils sont notamment 30% à en souffrir de plus en plus souvent. Un problème qui, selon les prévisions de Météo France, va s’accentuer. Force est de constater que les épisodes caniculaires se sont multipliés dans le pays ces dernières années. Sur les 43 vagues de chaleur observées depuis 1947, seules 9 ont eu lieu avant 1989. En seulement onze ans, entre 2010 et 2021, 19 ont touché l’Hexagone (source : Météo France).9 français sur 10 (88%) considèrent qu’il est important de trouver une solution pour réduire la température dans les logements, dont près de la moitié (46%) à très court terme. Un constat partagé par Hervé Lamy, Délégué Général du Groupement Actibaie, syndicat membre de la FFB (Fédération Française du Bâtiment) : « Les problématiques de chaleur ne sont pas l’apanage des passoires thermiques, qui totalisent déjà 5 millions de logements. Même les logements très performants sur la thermique d’hiver peuvent être très inconfortables lors de période de fortes chaleurs. Il est temps que les pouvoirs publics prennent à bras le corps ce sujet pour les logements existants, comme ils l’ont fait dans le neuf avec la RE 2020. »Une solution durable : les stores et voletsFermer les stores et/ou volets est de loin la première action mise en place pour rafraîchir le logement pour 82% des Français, suivi par aérer les pièces la nuit (77%), fermer les fenêtres en période d’ensoleillement (62%) utiliser un ventilateur (41%) et enfin un climatiseur (21%).Pour Hervé Lamy, des solutions durables pour réduire la température existent. « Les stores et volets sont en effet très efficaces pour réduire la température intérieure. En maison individuelle, l’indicateur d’inconfort (DH) peut être réduit de 40% en installant des volets et des stores manuels. S’ils sont automatisés, cet indicateur peut encore être abaissé de 20% supplémentaires. Des mesures dans une école récemment rénovée ont montré que l’écart peut être de 10°C entre l’extérieur et l’intérieur uniquement grâce aux protections solaires. »Ces solutions sont d’autant plus prisées que près de la moitié des propriétaires se disent prêts à équiper ou rénover leur logement pour l’installation ou l’automatisation de stores et volets si une aide financière de l’Etat était proposée. « Aujourd’hui les dispositifs d’aides à la rénovation énergétique n’intègrent pas la problématique du confort d’été. Les stores et volets sont totalement exclus. Sur ce sujet, la France est à la traîne comparée à nos voisins allemands ou italiens qui ont sauté le pas. C’est un non-sens social et écologique, incompatible avec les objectifs environnementaux fixés par l’État. »Limiter le recours à la climatisationSi aujourd’hui 21% des Français ont recours à la climatisation, près d’un cinquième (19%) des non-utilisateurs déclare avoir l’intention d’acheter un climatiseur, ce qui porterait le taux d’équipement des foyers français à 40%.Selon un rapport de l'Ademe publié en juin 2021, la climatisation est aujourd'hui responsable de près de 5% des émissions d'équivalent CO2 du secteur du bâtiment en France. « Il est urgent de rénover les logements pour limiter le recours à la climatisation, trop énergivore. Il faut penser impact environnemental et sobriété énergétique... C’est devenu une nécessité dans le contexte géopolitique actuel, mais aussi et surtout, pour faire face à l’aggravation du réchauffement climatique. »
Il y a 2 ans et 282 jours

Algar (ex Permettez-moi de Construire) lance deux nouvelles offres BtoB destinées aux professionnels du BTP

Algar est un service complet de facilitation des procédures légales permettant aux propriétaires d'obtenir des autorisations d'urbanisme, 100% en ligne.La start-up prend en charge l'intégralité du processus : analyse des règlements d'urbanisme, constitution du dossier, impression et envoi à la mairie. Le propriétaire a accès à un tableau de bord dédié, afin de suivre l'avancement de son dossier. Une fois l'accord de la mairie obtenu, le propriétaire reçoit son panneau réglementaire pour que les travaux puissent commencer.Deux nouvelles offres voient le jour pour répondre aux attentes des acteurs du BTP :Algar PRO (BtoBtoC) s'adresse aux professionnels du bâtiment (artisans, courtiers en travaux, maîtres d'œuvre, marchands de biens, architectes d'intérieur...) qui souhaitent obtenir plus facilement les autorisations d'urbanismes nécessaires pour les chantiers de leurs clients. La simplification de ces procédures permet aux professionnels de gagner du temps et ainsi de se concentrer sur leur cœur de métier tout en planifiant au mieux leurs interventions.Algar CMI (BtoB) s'adresse aux constructeurs de maisons individuelles (de 10 à 8000 maisons par an) qui souhaitent externaliser tout ou une partie de la gestion des procédures de permis de construire. La collaboration avec Algar CMI permet à ces professionnels de gagner en flexibilité et en productivité tout en bénéficiant d'une expertise pointue du sujet.Cette étape importante pour l'entreprise s'accompagne également d'une évolution de la marque : Permettez-moi de construire est en effet devenue « Algar », un nom moins descriptif et plus inspirationnel.« Algar c'est un peu le capitaine de navire qui vous emmène à bon port, le génie qui exauce les vœux et permet à chacun d'accéder à ses projets d'habitat en conformité et avec sérénité. Je suis très fier de cette nouvelle marque, très fidèle à ce qu'est aujourd'hui Algar et à ses ambitions » Aurélien De Nunzio, co-fondateur de AlgarEn seulement quelques années, la start-up a su convaincre des milliers de clients, professionnels et particuliers, autour d'un concept qui pallie des démarches souvent lourdes et compliquées grâce à un service 100% digital et transparent.
Il y a 2 ans et 283 jours

Nouvelle Pompe à chaleur aérothermique (air/eau) Split Inverter Réversible Compress 3400 AWS

Une fois n’est pas coutume, Bosch Thermotechnologie fait évoluer son offre de Pompes à chaleur aérothermiques avec la nouvelle gamme Split Inverter Réversible Compress 3400 AWS. Ses atouts : optimiser le confort du foyer comme celui de l’installateur et de l’entreprise de maintenance. Dédiée à la maison individuelle, la Compress 3400 AWS est développée pour […]
Il y a 2 ans et 284 jours

Le recul d’activité dans les matériaux se modère en mai

La flambée des coûts de l’énergie, rajoutée aux tensions sur l’offre déjà attisées par le rebond d’activité post COVID, a eu pour conséquence de faire bondir les coûts de production dans le bâtiment et les travaux publics. Même si les carnets demeurent bien remplis, plus dans le gros œuvre que dans les TP d’ailleurs, les chantiers peinent à se réaliser, faute de facteurs de production disponibles côté entrepreneurs et/ou faute de financements suffisants côté clients, qu’ils soient publics ou privés. Cette complexité à boucler l’équation coûts-prix-devis pèse sur la demande de matériaux qui pourrait au final afficher un repli en 2022, prolongeant ainsi la tendance observée au cours des trois derniers mois sur le marché du granulat et du BPE. Mai, meilleur qu'avril, mais moins bon qu'en 2021 Selon les résultats encore provisoires pour le mois de mai, la production de matériaux se serait redressée par rapport à avril, un mois marqué par un repli sensible de l’activité. Ainsi, la production de granulats aurait augmenté de +1,6% mais demeure en retrait de -4% par rapport à celle de mai 2021 (données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, l’activité des granulats observe un repli de -4,9% comparé aux trois mois précédents et de -4,6% au regard de la même période d’il y a un an. En cumul sur les cinq mois de l’année, la tendance s’inscrit sur une pente négative de -1,5%, soit un rythme un peu moins élevé que celui de la tendance calculée sur les douze derniers mois (-1,8%). Du côté du BPE, les livraisons de mai ont également grimpé par rapport à avril (+3,1%) mais s’affichent en deçà de celles de mai 2021 (-2%). Au cours du trimestre mars-avril-mai, les volumes de BPE livrés ont cédé -3,8% par rapport aux trois mois précédents et -5,4% par rapport au même trimestre de l’année 2021. En cumul sur les douze derniers mois, l’activité du béton se replie désormais de -3,2% sur un an, tandis que sur les cinq premiers mois de l’année, le recul atteint -1,8%. L'indicateur matériaux de l'UNICEM connaît lui aussi un fléchissement en mai plus modéré qu’en avril, avec, respectivement, un recul de -2,7% contre -8,7% sur un an (données CJO). Après un premier trimestre en hausse de +1,4% en glissement annuel, l’activité du panier de matériaux de l'UNICEM se contracte désormais de -1,6% sur un an pour les cinq premiers mois de l’année, seul le segment des tuiles et briques demeurant haussier sur la période, sans doute porté par la dynamique constructive de la maison individuelle. Chiffres clés Perspectives 2020/2021 (production) Granulats : - 4% BPE : - 3% Bâtiment et TP : Tensions sur l'offre et les coûts Interrogés en juin par l’INSEE, les professionnels du bâtiment se sont montrés un peu moins optimistes sur leur activité future mais leur opinion sur l’activité passée s’est à nouveau améliorée, maintenant ainsi l’indicateur du climat des affaires à haut niveau. Les carnets de commandes se situent toujours à un point historiquement élevé dans le gros œuvre (9,8 mois) et le ressenti des professionnels quant à ces carnets demeure très favorable et largement au-dessus de la moyenne de long terme, ce qui écarte l’hypothèse de carnets artificiellement gonflés par des retards et difficultés de réalisation des chantiers. Pour autant, ces dernières restent prégnantes et près de la moitié des entreprises de gros œuvre (48,6%) sont encore dans l’incapacité d’accroître leur production (une part en léger repli par rapport au mois de mai à 57,4%) tandis que 72% d’entre elles sont confrontées à des obstacles qui limitent leur activité (personnel, approvisionnement...). On notera toutefois que la part des entreprises du bâtiment faisant face à des difficultés d’offre se stabilise en juin, voire se modère, à l’inverse de celles faisant face à des difficultés de demande dont la part, après avoir atteint un point bas, tend à se redresser. Il faut peut-être y voir les premiers signes des effets du renchérissement du coût des chantiers et des difficultés à conclure le démarrage de travaux. L’inflexion récente des mises en chantier de logements pourrait confirmer cette assertion. En effet, sur les trois derniers mois allant de mars à mai, les logements commencés ont stagné par rapport aux trois mois précédents, déjà en recul (CVS-CJO), laissant la tendance à -5% sur un an. C’est le segment du collectif qui marque le plus le pas (-16% sur le trimestre) tandis que, du côté de l’individuel, la dynamique reste enclenchée (+12%). Au total, à fin mai et en cumul sur un an, un peu plus de 388.000 logements ont été commencés, soit +0,5% en glissement annuel. En revanche, la vigueur des permis ne se dément pas même si depuis avril le flux se modère nettement : en effet, l’anticipation de la RE2020 a généré une abondance de dépôts fin 2021 qui, compte tenu des délais d’instruction (d’environ trois mois pour l’individuel) a boosté les autorisations au premier trimestre. A fin mai, 502.800 logements étaient autorisés sur un an (dont 46% en collectifs), soit +16,4% par rapport à l’année précédente. Mais sur les trois derniers mois (mars à mai), le rythme fléchit sensiblement sur l’individuel par effet de contrecoup (-11,9% par rapport au trimestre précédent) à la différence du collectif encore soutenu (+16,6%). Ce stock de permis, qui préfigure les futurs chantiers, devrait alimenter la demande de matériaux au moins sur 2022-début 2023 sauf si les pesanteurs actuelles continuent de limiter l’ouverture des travaux et d’en freiner les délais de réalisation. Côté non résidentiel, le rebond des permis et mises en chantier reste quant à lui bien engagé et constitue un facteur de soutien plutôt encourageant. Avec 27 millions de m2 de locaux commencés à fin mai sur un an (+8,3%), le rythme de progression s’est accéléré sur les trois derniers mois (+20,2%), permettant de renouer avec les niveaux d’avant la pandémie. Quant aux surfaces autorisées, elles s’inscrivent sur une tendance de +10% sur les trois derniers mois, les ouvrages commerciaux (+66,7%), industriels (+32,1%) ou encore les bureaux (+22,4%) affichant les plus fortes accélérations. Le tableau apparaît un peu plus sombre côté travaux publics où l’activité a également connu un freinage depuis mars. En dépit d’un mois de mai mieux orienté, les travaux réalisés en cumul depuis janvier se stabilisent sur un an en valeur mais ressortent en repli de -8,6% en volume. De même, les prises de commandes, bien qu’en hausse de +4,6% en valeur sur la même période, basculent en baisse de -4,8% en volume, une fois corrigées de l’inflation des coûts (par l’indice TP01). Alors que les conditions étaient réunies pour un réveil des carnets (cycle électoral, Plan de relance...), l’atonie de la commande publique éloigne encore la perspective de redémarrage des travaux. Perspectives matériaux 2022 Dans le bâtiment comme dans les TP, les contraintes d’offre, l’inflation des coûts, des prix et des devis pèsent donc sur le volume des chantiers en cours ou à réaliser ce d’autant que le stock de commandes peine à s’étoffer, comme pour les travaux publics. Ce faisant, l’ajustement de la demande de matériaux devrait être plus marqué côté granulats que BPE : initialement attendue autour de +1% en 2022, l’activité des granulats pourrait se replier de - 4% tandis que les volumes de BPE, qui devaient se stabiliser à leur haut niveau de 2021, enregistreraient un recul de -3%.
Il y a 2 ans et 287 jours

De plus en plus de franciliens choisissent de faire construire dans des départements limitrophes

En 2021, ce sont plus de 9 400 ménages franciliens qui ont demandé une autorisation de construire une maison neuve, soit une hausse de +34% par rapport à l’année précédente.Le Baromètre Domexpo souligne également une augmentation du nombre de franciliens choisissant de faire construire en dehors de leur région d’origine, notamment dans des départements limitrophes (passant de 23% en 2020 à 31% en 2021).Focus sur les résultats avec Domexpo...Projet de vie envisagé de longue date ou conséquences directes de la Covid-19 : en 2021, 9.409 ménages franciliens ont choisi de faire construire une maison individuelle et ont demandé une autorisation de construction, soit +34% par rapport à 2020 (et de +10% par rapport à 2019).Le dernier Baromètre Domexpo s’intéresse à la région choisie par ces particuliers, parmi lesquels :6.057 sont restés fidèles à l’Île-de-France, soit 64% (v/s 69% en 2020). Comme l’année dernière, les départements de prédilection sont la Seine-et-Marne (77) pour 34% d’entre eux, les Yvelines (78) pour 21% et l’Essonne (91) pour 19%.3.352 ont choisi de faire construire dans une autre région de France, soit 36% (v/s 31% en 2020).Focus sur les ménages qui font construire en dehors de l’Île-de-France...Parmi les 3 352 ménages franciliens qui ont souhaité faire construire une maison neuve en 2021 en dehors de l’Ile-de-France :35% ont choisi un département de la bordure Atlantique (v/s 33% en 2020), principalement en Vendée (85), dans le Morbihan (56) et en Gironde (33) ;31% l’ont fait sur un département limitrophe à la région francilienne (v/s 23% en 2020). Le trio de tête est composé de l’Oise (60), de l’Eure-et-Loir (28) et de l’Eure (27). Cette augmentation s’explique principalement par les envies / besoins des franciliens de s’éloigner des centres urbains, tout en conservant une activité professionnelle en région parisienne. Cette tendance a notamment été favorisée par la généralisation du télétravail ;7% ont opté pour la bordure Méditerranéenne (v/s 12% en 2020), essentiellement sur les départements du Var (83) et de l’Hérault (34).Pour Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo : « L’achat de maisons individuelles neuves a commencé à augmenter dès l’automne 2020 et s’est intensifié en 2021, notamment en Île-de-France, avec une hausse de 34% des demandes d’autorisations de construire. Les semaines de confinement liées à la Covid-19 ont en effet renforcé la volonté des Français de vivre dans une maison avec un jardin, et parfois celle de s’éloigner des centres urbains... Pour cela, en raison notamment de la tension sur les prix des terrains en Île-de-France mais aussi de la raréfaction de ceux-ci, les franciliens choisissent, de plus en plus souvent, de faire construire en dehors de l’Île-de-France, tout y en restant à proximité. Ils n’ont aujourd’hui plus peur de s’éloigner de cette région et de passer plus de temps dans les transports pour se rendre sur leur lieu de travail. L’Oise (60), l’Eure-et-Loir (28) ou l’Eure (27) figurent ainsi parmi les départements de prédilection. Rappelons aussi que la généralisation du télétravail a aussi permis d’amplifier cette tendance. »
Il y a 2 ans et 290 jours

BWT France lance son réducteur de pression d’eau BWT D1

Conçu et fabriqué avec le savoir-faire et l’expertise de BWT France, ce réducteur de pression diminue les consommations d’eau, apporte une protection aux équipements et une barrière contre les impuretés. Une autre façon de préserver durablement nos ressources.Pourquoi réduire la pression d’eau ?Une pression excessive de l’eau de ville a des effets dommageables souvent méconnus.D’abord une surconsommation d’eau inutile, puisqu’on estime que 1 bar de pression en trop génère 20% de consommation d’eau supplémentaire. Pour une famille type de 4 personnes cela représente environ 120 € annuels*.Trop de pression nuit également à tout le circuit résidentiel de distribution d’eau sanitaire -canalisations, chaudière, installations sanitaires, robinetterie et appareils électroménager consommant de l’eau- et peut entrainer une usure prématurée de ces équipements.Enfin, une pression excessive peut générer des « coups de bélier » sonores et très néfastes pour la plomberie (fuites, déformation de conduits, cassures, usure des joints…).La solution pour parer à tous ces problèmes : l’installation d’un réducteur de pression pour diminuer la pression d’eau à la valeur souhaitée et à la juste valeur nécessaire.*Pour une consommation moyenne de 150 m3/an au prix moyen de 4 € le m3Le réducteur de pression BWT D1 : une nouvelle barrière protectriceConcepteur, fabricant et intégrateur de solutions de traitement d’eau, BWT France est leader dans son domaine et maîtrise toute la chaîne du traitement de l’eau de la maison. En ajoutant un réducteur de pression à sa gamme, BWT propose une nouvelle solution simple et efficace pour une eau de qualité et le confort des utilisateurs.Conçu comme une station de protection, ce réducteur en bronze assure comme fonction principale de réguler la pression entrante (jusqu’à 16 bars) à la valeur souhaitée (conseillée et pré-réglée d’usine à 3 bars). L’utilisation d’un effet Venturi breveté optimise le contrôle de pression et limite les pertes de charge sur l’installation. La graduation visible des deux côtés de la molette facilite le réglage et le contrôle de la valeur de pression sortante.Pour améliorer encore la qualité de l’eau, le BWT D1 est également équipé d’un tamis filtrant 160µm en inox qui retient les impuretés les plus grossières de l’eau (sables, particules, résidus de tartre ou de corrosion…) et protège l’installation. Son bol en plastique transparent permet un contrôle facile de l’état du filtre. En cas d’encrassement il se démonte sans outil.Le + produit : en enregistrant son réducteur de pression BWT D1 sur l’appli mobile BEST WATER HOME du fabricant, l’utilisateur reçoit des notifications pour le remplacement et le nettoyage du tamis filtrant en inox et peut suivre ses économies d’eau en temps réel.Pour en savoir plus sur le réducteur de pression BWT D1 : cliquez iciLe bon moment, les bons arguments pour faire le bon choixDans le cas d’une installation existante, le réducteur de pression est recommandé lors d’un remplacement de chaufferie ou de ballon d’eau chaude sanitaire (ECS). Et généralement, il vient compléter le système de filtration à l’arrivée d’eau générale.Pour une nouvelle installation, il est idéal de s’équiper de la station de protection E1 : une station complète et prête-à-installer qui combine 5 fonctions : filtration à 90µm, réducteur de pression, manomètre de contrôle, clapet anti-retour et vanne de coupure d’eau. La station E1 offre une protection maximale du réseau d’eau contre impuretés et excès de pression, pour un encombrement minimal.En maison individuelle, collective ou appartement, ces deux solutions BWT réduisent considérablement les risques de grippage des équipements et prolongent leur durée de vie. Elles réduisent la consommation d’eau. Enfin, elles offrent aux utilisateurs le confort d’une eau sans Impuretés et composants indésirables.Pour en savoir plus sur la station de filtration BWT E1 : cliquez ici
Il y a 2 ans et 291 jours

Focus sur les travaux de ramonage

Le ramonage d’une cheminée est une opération obligatoire chaque année. Il est même imposé par la loi au cas où vous l’oublierez. Il faut aussi prendre certains points en compte avant de vous lancer. Vous obtiendrez ainsi une opération répondant pleinement à vos attentes et profitez du rendement de votre chauffage. Principe du ramonage d’une cheminée Ramoner une cheminée est une opération qui consiste à nettoyer le conduit comme il se doit. L’objectif est d’éliminer toutes les salissures qui peuvent se présenter à travers les parois intérieures de la construction. Cela peut s’avérer indispensable pour assurer le bon fonctionnement de votre chauffage. Il vous est conseillé de contacter un artisan ramoneur pour assurer la qualité du travail. En effet, vous éviterez de vous retrouver en mauvaise posture pendant les prochaines combustions si vous vous fiez à un spécialiste. Le point sur la règlementation Il suffit en principe de vous rendre auprès de la mairie pour vous informer sur la règlementation concernant le ramonage. Vous allez alors consulter le « règlement sanitaire départemental ». Ce document indique que vous devrez ramoner votre cheminée au moins une fois par an. Cela peut parfaitement augmenter jusqu’à 3 fois selon l’état de votre installation. Il faudra aussi solliciter un professionnel comme ce ramoneur dans le Var sur ce site : https://www.ramoneur-83-var.fr/ pour réaliser l’opération comme il se doit. Le ramonage appartient au propriétaire ou au locataire ? Le ramonage d’une cheminée revient normalement à la personne qui occupe le bâtiment. Cela est principalement valable pour une maison individuelle que vous soyez locataire ou propriétaire. Vous pouvez en outre vous tourner vers le syndic si vous avez des conduits collectifs. La présence de ce type d’entretien dans votre contrat de bail peut en outre changer les choses. Il suffit de vérifier le document pour déterminer la personne qui doit faire le travail. Les risques en cas de négligence Notez avant tout que vous allez vous exposer à une amende pouvant atteindre jusqu’à 450 € si vous négligez cette intervention. Il y a aussi le risque de voir votre indemnité de prise en charge baisser en cas de sinistre. En effet, votre assureur peut parfaitement évoquer votre négligence en cas d’incendie provoqué par la cheminée non entretenue. La suffocation par le CO est aussi un risque à ne pas négliger. Combien coûte un ramonage de cheminée ? Il est important de bien préparer votre budget avant de valider la réalisation d’un ramonage. Notez que le montant exact peut dépendre de l’état de votre cheminée. Il faudra aussi déterminer la technique que vous allez appliquer. Une intervention mécanique n’aura certainement pas le même prix qu’une opération chimique. Il suffit de demander un devis auprès de l’artisan que vous souhaitez engager pour vous faciliter les choses. N’oubliez pas votre certificat de ramonage Il se peut que vous soyez tenté de réaliser l’intervention tout seul. Notez en outre que vous ne pourrez pas demander une attestation de ramonage si vous prenez une telle décision. Ce type de document ne peut être délivré que par un artisan professionnel. Vous devrez alors contacter ce dernier pour réaliser le travail. Vous allez pouvoir vous en servir à tout moment quand il sera demandé. Votre compagnie d’assurance peut par exemple exiger ce certificat en cas de sinistre.
Il y a 2 ans et 293 jours

Gard : KP1 installe des planchers chauffants/rafraîchissants

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La solution Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant développée par KP1 et ThermAK a été mise en œuvre dans la réalisation de 66 villas à Laudun-l’Ardoise. [©KP1] Dans le cadre d’un programme social à Laudun-l’Ardoise, le maître d’œuvre Sud Ingénierie et le maître d’ouvrage Sud Invest ont opté pour une solution innovante. Le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant a ainsi été utilisé pour la réalisation de 66 villas. Développé par KP1 et ThermAK1, ce plancher structurel isolant intègre un système de chauffages réversibles. Et il répond aux exigences de la RE 2020. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Occitanie Au-delà du plancher en béton préfabriqué, livré prêt à poser avec l’isolant, le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant dispose de rupteurs de pont thermique. Assurant une bonne continuité de l’isolation. Car ce système “4-en-1” se compose d’un kit “chauffage et rafraîchissement” intégré, d’entrevous et de rupteurs. Le plancher structural bénéficie d’une dalle de compression très fine de 56 mm. Répondre aux exigences de la RE 2020 Sur le chantier, environ 3 personnes étaient en charge de la pose de 15 à 20 planchers de 45 m2 . Et ce, sur 3 à 4 j de travail. « Les tuyaux étant directement intégrés dans la dalle de compression, ce qui évitait aussi de couler la chape flottante. Laquelle est requise pour les planchers chauffants traditionnels et qui peut mettre plusieurs semaines à sécher », explique Grégory Dieudonné, maître d’œuvre du projet. Et de poursuivre : « Au-delà du confort de marcher pieds nus l’hiver et de ne pas souffrir de la chaleur l’été, le bilan économique est très intéressant ». En effet, pour une maison individuelle de 115 m2 de surface habitable, la facture d’électricité atteint une moyenne de 70 €/mois. Avec en hiver une température intérieure de 21 °C et, en été, une consigne de rafraîchissement à 26 °C. 1Société issue de l’association de KP1 et de Thermacome Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 294 jours

Saint-Gobain veut industrialiser la construction en terre

"C'est une première mondiale qui démarre en France", a annoncé Patrice Richard, directeur de la distribution du groupe: un programme de masse visant à réutiliser à partir de 2023 la terre d'excavation de chantiers, aussi bien pour bâtir des maisons individuelles que des immeubles à étage.A l'origine, le groupe cherchait depuis 2019 à répondre à la demande d'un des plus grands aménageurs publics d'Europe, Euroméditerranée, qui pilote la rénovation des quartiers déshérités du nord de Marseille."Ils nous ont dit: +Le gouvernement et les normes françaises nous imposent du bois et des matériaux biosourcés pour faire baisser les émissions de CO2 de la construction, mais nous n'avons pas de bois: que peut-on faire avec de la terre? Parce que nous avons de la terre+", se souvient M. Richard.En alliant ses forces de recherche, ses usines et son réseau de distribution de matériaux Point P, Saint-Gobain a imaginé la possibilité de remplir des murs à ossature de bois avec un "béton de terre" projeté ou coulé, ou de construire avec des parpaings composés de terre, d'un liant à base de déchets de sidérurgie, de concassage de béton recyclé et de végétaux comme le chanvre.Des idées au MarocOutre le fait qu'elles sont économiques, les maisons en torchis ou en pisé, que l'on trouve du Maroc à l'Amérique latine en passant par le Sahara ou le Yémen, ont trois qualités: elles offrent un meilleur confort en été et en hiver, une meilleure hygrométrie, et une meilleure isolation phonique.Autant de facteurs issus des cultures traditionnelles très recherchés pour adapter la construction moderne au réchauffement climatique, tout en faisant baisser les émissions carbone du secteur de la construction, alourdies par celles de la fabrication du ciment. A lui tout seul, le ciment émet trois fois plus de carbone que le transport aérien.Le béton de terre, s'il ne permet pas encore de bâtir des murs porteurs, pourrait aussi permettre de réduire les consommations de sable, de plus en plus rare, soulignent ses promoteurs."Nous sommes allés prendre des idées au Maroc", précise M. Richard. "Ce que nous ne pouvions pas répliquer, ce sont des murs aussi épais que là-bas, et surtout nous devions trouver une solution demandant moins de main-d'oeuvre."Avec la technique de projection de béton de terre dans une structure porteuse en bois, on débouche sur un bâtiment "négatif en carbone", assure-t-il.Cette technique devrait aussi permettre de consommer moins d'énergie pour chauffer ou rafraîchir le bâtiment puisque la terre a la capacité de stocker la chaleur en été (au moins 15 heures), de freiner le froid en hiver, d'aspirer l'humidité quand il y en a trop, ou en rejeter si l'air est trop sec.Maisons "test""A condition de ne pas l'utiliser en façade", avertit néanmoins Manu Foucher, façadier qui craint les lézardes et craquellements dus à la sécheresse, malgré le chanvre incorporé dans la recette pour limiter le retrait de la terre lorsqu'il fait sec.A l'utilisation, avec un camion-pompe qui remplit de béton de terre l'ossature-bois, M. Foucher trouve "qu'on gagne du temps sur le chantier". Saint-Gobain s'est engagé à lancer des programmes de formation pour les artisans.Pour l'instant, une poignée de maisons "test" sont prévues en France et le groupe a signé deux projets d'immeubles dont la construction devrait démarrer en 2023.Côté coûts, le projet "était surnommé Dacia au début", du nom de la voiture à bas coût de Renault qui s'est avérée un succès commercial, explique M. Richard. "Un mur fourni et posé ne devait pas coûter plus qu'un mur de base" en béton, sinon il ne pourrait jamais prendre son envol, souligne-t-il."Les fabricants de béton ne sont pas des concurrents, ce sont des partenaires, car nous les aidons à décarboner les immeubles, et on ne pourra pas se passer de la portabilité des bâtiments (les fondations en béton armé), mais grâce à la terre on pourra être conforme aux nouvelles normes de construction françaises RE2020", espère Michel Daniel, directeur aménagement et ville durable chez Saint-Gobain.
Il y a 2 ans et 294 jours

ONDULINE® FLEXOUTUILE – Le système de sous-toiture qui permet la réutilisation des anciennes tuiles et garantit l’étanchéité des toitures en tuiles même après de grosses intempéries

En France, la plupart des toitures sont recouvertes de tuiles différentes en fonction des régions (tuiles canal, tuiles plates ou mécaniques). Ce mode de couverture est apprécié pour sa fiabilité. Mais pour garantir une étanchéité pendant 30 ans, il doit être associé à un système de sous-toiture adapté. Pour éviter les fuites et renforcer la protection des toitures en tuiles contre les risques d’infiltrations (fortes pluies, orages, grêle, neige) et le soulèvement des tuiles par le vent, le leader mondial des solutions de toitures légères ONDULINE a développé FLEXOUTUILE : ce système de sous-toiture ingénieux largement éprouvé assure une étanchéité parfaite et durable des toitures en tuiles. Économique, FLEXOUTUILE offre la possibilité de conserver et de réutiliser les tuiles originales, très pratique en période de pénurie de tuiles, grâce aux différents profils de plaques disponibles (largeur de tuiles allant de 17 à 23 cm). Légères et très flexibles, les plaques bitumées de sous-toitures ONDULINE FLEXOUTUILE sont très simples à installer. Elles s’adaptent à tous les types de tuiles y compris sur des charpentes anciennes. Ce système de sous-toiture assure la pérennité du bâti, en neuf comme en rénovation, en le protégeant des défauts d’étanchéité qui peuvent survenir au fil des années à cause des conditions climatiques ou suite à l’altération des tuiles. ONDULINE FLEXOUTUILE Une pose simplifiée qui s’adapte parfaitement à la charpente existante Les plaques ONDULINE FLEXOUTUILE sont hautement perméables à l’eau et offrent une protection durable et totalement étanche de la toiture contre l’humidité, le vent et la condensation, même lorsqu’une tuile se casse. Très simples à manipuler, à découper et à installer, ces plaques de sous-toitures légères (2,9 Kg/m2) et flexibles s’adaptent à tous les types de charpentes y compris les charpentes anciennes qui peuvent être un peu déformées. Différents profils de plaques sont disponibles (largeur de tuiles allant de 17 à 23 cm) afin d’être installés sur tous types d’ouvrages : les bâtiments historiques, les Établissements Recevant du Public, les bâtiments agricoles, les maisons individuelles et les bâtiments commerciaux. Les bâtiments sont hors d’eau dès la mise en place des plaques et cette étanchéité est garantie 6 mois sans tuiles. La sous-toiture ONDULINE FLEXOUTUILE est dotée d’un système de marquage qui permet de positionner facilement et rapidement les tuiles, en assurant un alignement parfait. La pente de la couverture doit être de 18 % minimum. De plus, sa résistance accrue et sa grande rigidité permettent notamment de marcher sur les plaques, pour une pose facilitée et plus sûre. Un matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture ONDULINE FLEXOUTUILE contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement forte et visible. De plus, les émissions de CO² sont réduites grâce au poids allégé des matériaux qui limite l’impact lors du transport.
Il y a 2 ans et 295 jours

Préparons l’avenir énergétique de demain

LA RECONSTITUTIOND’UN GROUPE DE PREMIER PLAN LES CHIFFRES A CE JOUR Historique LA POMPE À CHALEUR, SOLUTION LA PLUS ADAPTÉE AUX NOUVELLES DISPOSITIONS ENVIRONNEMENTALES Une forte croissance attendue du parc en France, 1er marché du Groupe D’ici 2030, 40% des maisons individuelles chauffées actuellement à l’électricité et 20% de celles chauffées au gaz devraient être […]
Il y a 2 ans et 296 jours

Construction de maison individuelle : 3 astuces pour bien choisir son constructeur

La construction d’une maison reste un projet majeur dont la réussite nécessite beaucoup de préparations et la considération de nombreux paramètres. Parmi ceux-ci, le choix du constructeur revêt une grande importance. Pour vous aider à bien sélectionner votre constructeur de maisons individuelles, voici quelques astuces à prendre en compte. 1.Considérer l’expérience du constructeur Dans ce domaine, l’expérience du constructeur qui doit vous accompagner dans la concrétisation de votre projet représente un paramètre capital. Pour vérifier l’expérience d’un constructeur, vous pouvez effectuer votre petite enquête, surtout en visitant les anciennes réalisations de ce dernier. Une autre façon de s’assurer qu’un constructeur fournit des services de qualité, consiste à chercher à disposer des avis d’anciens clients. À cet effet, sachez que les avis sur le constructeur Maisons Pierre s’avèrent très positifs, ce qui fait de ce professionnel une référence dans le secteur.  Par ailleurs, le constructeur de maison individuelle à choisir doit jouir d’une grande compétence technique. En effet, ce professionnel doit conduire toutes les opérations de construction, de la création des plans jusqu’à la livraison du chantier, en passant par la réalisation des travaux. Ainsi, son savoir-faire doit englober des qualités de concepteur, d’architecte, de superviseur de travaux et autres. 2.Vérifier les garanties proposées Un autre élément à ne pas négliger lors du choix de votre constructeur concerne les garanties indispensables. En réalité, la loi impose aux constructeurs de souscrire des garanties réglementées. Ces dernières doivent être souscrites auprès des organismes de crédit ou d’une compagnie d’assurance. Voici quelques garanties qui doivent apparaitre dans le CCMI (contrat de construction de maison individuelle) : La garantie de livraison à prix et délais convenus : elle vous protège contre les risques de mauvaise exécution ou d’inexécution des travaux dans le temps convenu ; La garantie de parfait achèvement : elle dure un an à compter du moment où vous recevez la clé de votre maison neuve et couvre les imperfections constatées dans celle-ci ; La garantie de bon fonctionnement : elle couvre pendant deux ans les dommages qui empêchent le bon fonctionnement des éléments et appareils dissociables de l’habitation ; La garantie décennale : elle couvre durant dix ans les imperfections de construction et les dégâts qui ne permettent pas de profiter pleinement de la maison. Avant d’opter pour un constructeur, veuillez donc vérifier que celui-ci s’avère bien couvert par ces différentes garanties, ou tout au moins par la garantie de livraison à prix et délais convenus ou la garantie de parfait achèvement. 3.Tenir compte de l’aspect financier du projet En sollicitant les services d’un constructeur, vous allez confier toutes les opérations de construction à ce dernier. Ainsi, la facture de ce professionnel sera plus conséquente par rapport à d’autres spécialistes du domaine comme les entrepreneurs. Avant de vous lancer, vous devez donc bien évaluer ce que le projet va coûter en termes de prix, dont le coût de la prestation du constructeur. La rémunération de celui-ci varie souvent selon son savoir-faire, sa renommée et son expérience. Cependant, ne pensez pas que plus le professionnel en question coûte cher, plus il parait compétent. Des tarifs élevés ne constituent pas forcément des preuves d’efficacité dans ce secteur. Lors de votre évaluation, recherchez surtout le professionnel qui affiche le meilleur rapport qualité-prix.
Il y a 2 ans et 297 jours

Recul des ventes de maisons qui ont atteint un prix record au m³ au 1er trimestre

Le marché des maisons individuelles vers lequel les Français s'étaient tournés avec la crise Covid s'essouffle avec des prix atteignant des records au premier semestre 2022, selon Century 21.
Il y a 2 ans et 297 jours

Lancement de la 11ème édition du Prix National de la Construction Bois

Le Prix National de la Construction Bois a reçu, cette année, 549 candidatures. Elles sont réparties en quatre catégories (Bâtiment public ou tertiaire, Maison individuelle, Aménagement intérieur ou extérieur et Logement collectif). Le jury de l’édition 2022 est composé de Dominique Gauzin-Müller (marraine du PNCB, architecte spécialiste de l’architecture écologique), Christine Leconte (co-présidente du jury, architecte et Présidente du Conseil National de l’Ordre des Architectes) et Nicolas Barthes (co[1]président du jury, ingénieur et dirigeant du bureau d’études Be Bois). Ces derniers souhaitent placer cette 11ème édition sous le signe de la créativité et de l’innovation. Le PNCB s’appuie sur le réseau régional de Fibois France, composé d’une trentaine de prescripteurs répartis sur le territoire. Ces derniers sillonnent la France afin de susciter des candidatures et valoriser des projets variés, de l’architecture du quotidien aux ouvrages exceptionnels, dans des zones urbaines et rurales. Ainsi, la richesse territoriale des savoir-faire et des spécificités de chaque région est représentée au sein de ce concours. L’essence de bois ou l’utilisation qui en est faite est en effet particulière à chaque région française. Cet article Lancement de la 11ème édition du Prix National de la Construction Bois est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 298 jours

Nouvelle gamme de Box Rupteurs Equatio : Moins de références, plus de performances thermiques compatibles RE2020

La RE2020 prévoit un renforcement des exigences en matière de performance environnementale des bâtiments neufs. Pour aider les professionnels à ajuster celles des planchers en maisons individuelles et maisons groupées et atteindre le niveau d’isolation exigé par la réglementation, RECTOR leur propose, depuis 2012, un système de Box dans lesquelles sont réunis les rupteurs et accessoires nécessaires à l’optimisation thermique d’un plancher Equatio à tous les niveaux d’un bâtiment. Aujourd’hui, dans une volonté de simplifier et d’optimiser ce système, RECTOR revient avec une nouvelle gamme de Box plus performante thermiquement et avec un contenu ajusté générant moins de déchets. Une nouvelle gamme de Box pour répondre à tous les besoins Rationnalisée, la gamme de Box de rupteurs thermiques de RECTOR se décline désormais en 3 références pour la pose d’un plancher isolé Equatio à tous les niveaux d’un logement : Box Vide Sanitaire comprenant 6 rupteurs d’about et 3 nouveaux rupteurs de rive Thermosten d’un mètre de long améliorant le PSI du plancher et 2 Rectofix. Réunis dans une même boîte, ces composants sont complémentaires aux poutrelles RS et entrevous RectoSten M4 de RECTOR. Bien isoler le vide sanitaire étant indispensable pour atteindre la performance thermique imposée par la RE2020 et apporter un confort agréable aux futurs occupants, le plancher Equatio VS a été conçu pour y répondre de manière optimisée en combinaison avec la Box Vide sanitaire. Box Etage & Toit-terrasse comprenant 11 rupteurs d’about et 7 rupteurs de rive Thermosten ; composants complémentaires aux poutrelles RS, entrevous RectoLight et entrevous RectoSten Coffrant. Le traitement des ponts thermiques étant une nécessité à tous les niveaux du logement, RECTOR a pris en compte les nouvelles hypothèses de la RE2020 en intégrant dans ses calculs l’association du rupteur et de la planelle isolante pour gagner en performance. En effet, il faut désormais aller au-delà du ratio réglementaire de 0,6 W/m.K pour atteindre le niveau de BBIO attendu. Box Sous-Sol & Toit-terrasse comprenant 11 rupteurs d’about et 7 rupteurs de rive ThermoSten, ainsi que 36 points d’ancrage. Associée aux poutrelles RS et aux entrevous RectoSten M1 de Rector, cette Box permet de réaliser une toiture-terrasse conforme et pérenne en traitant à la fois les ponts thermiques et le point de rosée. En fonction du chantier, RECTOR propose de choisir entre deux types d’étanchéité, à chaud ou à froid, pour déterminer la Box nécessaire en toiture-terrasse. Enfin, pour chacune des Box, des compléments de gammes sont proposés pour moduler le niveau de performance du plancher et apporter une réponse sur-mesure à chaque chantier : complément rupteurs d’about VS, sous-sol et toit-terrasse, complément ThermoRefend, kit rehausses Rehau pour plancher chauffant ou chauffant/rafraîchissant, complément rupteurs de rives sous-sol, … Des Box conçues dans une démarche éco-responsable Anticipant la REP Bâtiment et dans le cadre de sa démarche RSE, RECTOR a ajusté le contenu de ses Box afin de générer moins de pertes et de déchets sur les chantiers. Pour réduire leur impact environnemental, le fabricant utilise également des cartons recyclés et recyclables. Une logistique simplifiée En réduisant le nombre de références de Box à stocker et en repensant leur design, avec un code couleur pour une meilleure lisibilité sur le parc de stockage, RECTOR a également pensé à ses clients distributeurs. Complète, compacte et pratique, la nouvelle gamme de Box de rupteurs Equatio de RECTOR témoigne de la volonté du fabricant d’éléments en béton précontraint et béton armé de proposer aux professionnels de la construction des solutions adaptées à leur besoin. http://www.rector.fr/
Il y a 2 ans et 298 jours

Nouvelle gamme de Box Rupteurs Equatio – Moins de références, plus de performances thermiques compatibles RE2020

La RE2020 prévoit un renforcement des exigences en matière de performance environnementale des bâtiments neufs. Pour aider les professionnels à ajuster celles des planchers en maisons individuelles et maisons groupées et atteindre le niveau d’isolation exigé par la réglementation, RECTOR leur propose, depuis 2012, un système de Box dans lesquelles sont réunis les rupteurs et […]
Il y a 2 ans et 303 jours

Fin de l'aventure pour le constructeur des maisons Phénix

« Phénix, pour que chacun ait sa maison » : tel était le slogan des maisons Phénix, une société du groupe Geoxia. Trois usines de l'entreprise ont obtenu un sursis car l'État a décidé de financer leur poursuite d'activité afin de finir en bonne et due forme des chantiers en jachère. Concernant les chantiers ouverts, Bercy a ajouté que les assureurs s'en occuperaient pour la suite, en prenant en charge le recrutement de la main-d'œuvre et les pénalités de retards ainsi que les surcoûts.Maisons Phénix a été créée en 1946 et s'est vite faite une place en France grâce à un modèle de maison individuelle standardisée, rapide et peu chère à bâtir. La société employait 1.150 personnes et, en 2021, réalisait un chiffre d'affaires de 252 millions d'euros. Après des premières difficultés financières à la fin des années 2000, Maisons Phénix avait vu son accès aux financements des banques coupé et la crise sanitaire suivie de la hausse des prix des matériaux et de l'énergie provoquée par la guerre en Ukraine ont eu raison de la société.Le plan « Grands Licenciements » a été activé par le ministère de l'Économie "pour aider les salariés à retrouver un emploi dans un secteur que l'on sait en forte demande de main d'œuvre".
Il y a 2 ans et 303 jours

Isolation des sous-faces par projection de laine de verre

Knauf Insulation présente une solution améliorée et plus adaptée pour une parfaite isolation des sous-faces de plancher. La laine minérale de verre à projeter JETSPRAY All In One Thermal est un produit d’isolation thermique par projection pneumatique de laine minérale de verre avec liant sur parois horizontales, poutres ou structures de bâtiment. Le procédé est constitué du produit isolant JETSPRAY All In One Thermal, associé au primaire d’accrochage JetSpray Primer Plus. Le Système est destiné à l’isolation thermique et à l’absorption acoustique des parkings ouverts ou fermés de bâtiments commerciaux et d’habitations, des bâtiments de stockage y compris agricole, des passages couverts ou balcons fermés, mais également des vides sanitaires de constructions normalement ventilés, ainsi que des caves et garages de maisons individuelles. Le nouveau système proposé par Knauf Insulation permet d’optimiser l’action et la pose car le liant a été intégré dans les sacs directement sur la ligne de fabrication. Désormais, il y a 2 réferences au lieu de 3. Cet article Isolation des sous-faces par projection de laine de verre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 303 jours

L'OPPBTP lance une étude pour améliorer les conditions de travail des charpentiers

Cette étude métier porte sur les conditions de travail d’une activité spécifique représentative du métier de charpentier en construction bois : la construction de maison individuelle avec murs à ossature bois.
Il y a 2 ans et 303 jours

Geoxia au bord du gouffre… La crise du logement au pas de charge

Le groupe Geoxia, constructeur de maisons individuelles – soit Maisons Phénix, Maison familiale, Maison Castor, Maison Briot, Phénix évolution et évolutiv’habitat – a été placé en liquidation judiciaire le 28 juin 2022 (14 sur 17 sociétés plus précisément). Les offres de reprise ne tenant pas la route, le groupe en avait appelé au Président de […] L’article Geoxia au bord du gouffre… La crise du logement au pas de charge est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 304 jours

Maison individuelle : le groupe Geoxia en liquidation, l'Etat va faire un geste

LIQUIDATION. Le tribunal de Nanterre a tranché, en prononçant la liquidation du groupe Geoxia, spécialisé dans la construction de maisons individuelles. Aucune solution de reprise n'a pu être trouvée pour l'entité qui avait été placée en redressement judiciaire. Le ministère de l'Économie, contacté par Batiactu, va réagir pour soutenir les ménages et les salariés concernés.
Il y a 2 ans et 304 jours

"Les prix au mètre carré en France battent des records", selon Century 21

IMMOBILIER. Le groupe d'agences immobilières a présenté les chiffres de l'immobilier ancien au premier semestre 2021. Le prix moyen au mètre carré des maisons individuelles a cru d'environ 10% dans toute l'Hexagone.
Il y a 2 ans et 305 jours

Le constructeur des Maisons Phénix au bord de l'abîme

"Phénix, pour que chacun ait sa maison." Ce slogan publicitaire, matraqué tout au long des années 70, a fait de cette entreprise un symbole de l'accession de masse à la maison individuelle.Aujourd'hui, son modèle économique, fragilisé, s'est vu asséner le coup de grâce par les soubresauts du marché du fait de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine.Aucun repreneur viable ne s'est manifesté pour reprendre l'ensemble de son activité, mettant en danger les plus de 1.100 salariés du groupe."Faute de repreneur à date, la liquidation judiciaire prononcée à la fin du mois est désormais à craindre", écrivent, dans une lettre ouverte à l'Elysée et au ministère de l'Economie, dirigeants et représentants des salariés du groupe.Faute d'avoir accès aux financements bancaires, après de premières difficultés à la fin des années 2000, la direction a frappé à la porte du ministère de l'Economie pour lui réclamer une rallonge de quelque 70 millions d'euros. Elle s'est vu opposer une fin de non-recevoir."L'Etat ne peut pas financer seul les pertes passées et futures, sans aucun actionnaire. Il peut soutenir un repreneur mais ne peut pas se substituer à un actionnaire", tranche-t-on à Bercy. "L'absence de repreneur est bien le signal des difficultés structurelles de l'entreprise".AffaiblissementCar le modèle économique de Geoxia, basé sur ses fameuses maisons Phénix à bas coût, semble à bout de souffle.Elle fabrique en effet dans ses propres usines leur ossature, des charpentes métalliques qu'elle apporte toutes faites sur les chantiers.Une structure de fonctionnement plus lourde que la plupart des constructeurs, qui aujourd'hui font appel à des sous-traitants locaux, et bâtissent dans des matériaux plus classiques, parpaings ou briques.Et ses usines, indissociables de sa production, deviennent un fardeau économique en période de vaches maigres, de quoi décourager des repreneurs potentiels.Autre écueil : la hausse des prix de l'immobilier et l'assèchement des aides à l'achat ont découragé les ménages modestes, coeur de cible des maisons Phénix."Avec les contraintes de construction qui se sont ajoutées année après année, l'envolée des prix des matériaux et l'augmentation des prix des terrains, le client moyen qui achète une maison aujourd'hui, il est sensiblement différent de celui qui achetait il y a cinq ou six ans", résume Damien Hereng, président de la Fédération française des constructeurs de maisons individuelles.Et Geoxia n'a pas su monter en gamme à temps.Amertume"Aujourd'hui les gens avec un bas revenu ou un salaire normal n'auront plus accès au rêve français qui est d'avoir une maison individuelle", lâche Fernando Cabete Neves, délégué syndical CFTC chez Geoxia. "L'état d'esprit, c'est un état d'esprit d'amertume, de gâchis. On est en train de mettre sur le carreau 1.195 salariés, on va sacrifier tous ces gens-là", regrette-t-il."C'est triste parce que c'est une marque avec une notoriété énorme, j'espère pour eux que l'histoire n'est pas tout à fait terminée", confie Damien Hereng.Du côté de la profession, on s'inquiète pour les quelque 1.600 clients toujours en attente d'être livrés, et pour qui les délais risquent de s'allonger.Mais pas de risques sur le reste des constructeurs, a voulu rassurer le président du pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment, Grégory Monod. "Geoxia ne représente pas le marché", a-t-il déclaré jeudi à la presse.La maison individuelle, décriée pour son impact environnemental et la dépendance à la voiture qu'elle induit, continue d'être plébiscitée par les Français, surtout depuis le confinement du printemps 2020, avec des prix en constante progression.
Il y a 2 ans et 308 jours

Pour les constructeurs de maisons, l'incertitude politique s'ajoute à la crise économique

CONVENTION POLE HABITAT. Alors que le secteur n'a pas réussi à faire du logement un des thèmes de la longue séquence politique qui s'achève, l'absence de majorité claire au Parlement inquiète des promoteurs et constructeurs de maisons individuelles déjà très affectés par le contexte économique. Le Pôle Habitat-FFB, qui tient sa convention nationale, le 23 juin, demande des mesures d'urgence.
Il y a 2 ans et 308 jours

“Les Coulisses du Bâtiment” font leur entrée en scène

“Les Coulisses du Bâtiment” auront lieu les 13 et 14 octobre prochains. [©FFB] “Les Coulisses du Bâtiment” auront lieu les 13 et 14 octobre prochains. A l’occasion de la 20e édition, près de 200 chantiers et ateliers seront exceptionnellement accessibles dans toute la France. Organisé par la FFB, l’évènement permettra aux jeunes de découvrir gratuitement la face cachée et tous les secrets du monde de la construction ou de la rénovation. Maisons individuelles, immeubles de bureaux ou encore monuments historiques ouvriront leurs portes pour dévoiler leurs “coulisses” à différentes étapes d’avancement des travaux. Lire aussi : Le CCCA-BTP lance sa plate-forme pour les jeunes L’objectif de cette opération est de faire connaître le monde du bâtiment d’une manière originale et interactive. C’est aussi l’occasion de permettre aux visiteurs d’être les témoins des réalisations de demain et de se forger leur propre opinion sur le secteur. Chaque année, “Les Coulisses du Bâtiment” attirent 75 000 visiteurs. L’évènement propose des visites sécurisées et animées par les professionnels eux-mêmes. Toutes les infos sont disponibles [ici].
Il y a 2 ans et 309 jours

Le calcul environnemental dans la RE2020

Le calcul environnemental requiert de nombreuses données précises et une grande attention. Mais ne remet pas en cause la conception classique des maison individuelles et des logements collectifs, pour l'instant.
Il y a 2 ans et 309 jours

Les Coulisses du bâtiment : quand les jeunes découvrent les métiers du bâtiment

A l’occasion de la 20è édition des Coulisses du bâtiment, évènement convivial et gratuit organisé par la Fédération Française du Bâtiment (FFB), les jeunes pourront découvrir la face cachée d’un chantier ou d’un atelier et tous les secrets de construction ou de rénovation d’un bâtiment. Maisons individuelles, immeubles de bureaux, monuments historiques, etc… ouvriront leurs palissades pour dévoiler leurs coulisses à différentes étapes d’avancement des travaux !L’objectif de cette opération est de faire découvrir le monde du bâtiment d’une manière originale et interactive. C’est aussi permettre aux visiteurs, essentiellement des jeunes, d’être les témoins des réalisations de demain et de se forger leur propre opinion sur le secteur. De quoi, leur donner un premier aperçu des métiers du bâtiment, un secteur aux multiples facettes. Les Coulisses du Bâtiment, c’est :75.000 visiteurs environ chaque année ;Près de 1.640.000 visiteurs sur 4.700 sites depuis 2003 ;Des visites animées par les professionnels eux-mêmes et sécurisées avec port du casque obligatoire ;Des sites généralement ouverts de 09h00 à 17h00 ;Toutes les infos sur www.lebatiment.fr
Il y a 2 ans et 311 jours

Le secteur du BTP mis à rude épreuve

L’inquiétude se renforce sur le logement neuf à moyen terme. [©ACPresse] Le BTP s’accroche. Malgré les difficultés d’approvisionnement et de recrutement, l’activité du secteur garde une bonne dynamique sur le début 2022, selon la FFB. En témoigne le niveau élevé des carnets de commandes de plus de sept mois à la fin mars. Les entreprises résistent, notamment grâce au lancement des remboursements des prêts garantis par l’Etat (PGE). Ainsi, le nombre de défaillances sur les quatre premiers mois de 2022 s’avère 40 % inférieur à celui de 2019. Lire aussi :L’Ecima fait part de son inquiétude au nouveau gouvernement En parallèle, l’emploi continue de progresser avec plus de 8 000 postes créés sur le premier trimestre. Depuis le printemps 2020, le BTP affiche 86 600 postes supplémentaires, soit une hausse de 7 %. Cependant, le secteur peine à trouver de nouvelles recrues. A cela s’ajoute une crise des matériaux qui reste toujours d’actualité. La hausse des prix des matériaux Selon l’Insee, entre novembre 2021 et avril 2022, les prix de l’acier et de l’aluminium ont augmenté de 27 %. Les tuiles enregistrent aussi une hausse de 20 %, tout comme les produits en PVC (16 %), en céramique (12 %), en cuivre ou encore en plastique (10 %). De manière générale, l’index BT01 calculé par l’Insee résume l’ensemble des coûts d’une entreprise moyenne du bâtiment. Il affiche une hausse de + 3 % sur les trois premiers mois de 2022. En comparaison, sur l’ensemble de l’année 2021, les chiffres montraient une hausse de + 5 %. Lire aussi :Bourgogne – Franche-Comté : Bonne tenue de la construction dans l’Est Par ailleurs, des craintes sur l’activité en 2023 se font ressentir. En effet, l’inquiétude se renforce sur le logement neuf à moyen terme. La FFB et d’autres acteurs de la construction ont déjà signalé sa probable chute à l’horizon de la fin 2022. En témoigne la baisse de 8 % des permis de construire pour les maisons individuelles en avril 2022 par rapport à avril 2021. Quant au logement collectif, les ventes continuent de plonger et la situation des permis progresse lentement sous l’effet de l’anticipation de la RE 2020. Les Assises du BTP très attendues Pour redresser la barre, la FFB compte sur les Assises du BTP. Annoncées par le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, ces dernières permettront d’aborder tous les sujets de préoccupations que le secteur subit. « Il faudra revenir sur la solidarité de la filière et réfléchir sur l’indexation des prix des marchés et des aides comme les CEE et MaPrimeRénov’ », déclare Olivier Salleron, président de la FFB. Les Assises du BTP seront aussi l’occasion d’aborder la transition écologique et numérique. Un point crucial pour la transformation du secteur, en termes de marchés, d’emplois ou de formations. Ce regroupement devrait ainsi permettre de réguler tout un secteur qui maintient le cap, mais qui fait face à de nombreuses menaces qui le fragilisent…
Il y a 2 ans et 317 jours

Thermactif®, la solution unique de sol chauffant-rafraîchissant ultra-réactif évolue vers une 2de génération, pour répondre encore mieux aux besoins de confort et à la RE2020

Précurseurs sur le marché, Thermacome et Anhydritec ont imaginé Thermactif®, le premier système complet de sol chauffant/rafraîchissant ultra-réactif, dès 2014. Répondant à la RT 2012 et aux besoins sociétaux, cette 1ère génération a fait valoir de nombreux atouts, comme la chape THERMIO®+ à haute performance thermique garantie, une régulation performante et certifiée et une garantie de 20 ans unique sur le marché. Après plus de 500 000 m² réalisés, notamment dans le non-résidentiel, Thermactif® évolue vers une 2de génération pour répondre aux nouvelles exigences thermiques et environnementales et proposer des solutions adaptées à chaque segment de marché de la construction. Cette nouvelle solution de sol chauffant-rafraîchissant ultra-réactif est conçue pour répondre aux exigences de confort toutes saisons. Thermactif 2de Génération s’inscrit dans les nouvelles directives réglementaires de la RE2020 qui favorisent : la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie ; la diminution de l’impact carbone de la construction des bâtiments ; la garantie de fraîcheur en cas de forte chaleur. Grâce à ses composants de haute technologie, Thermactif 2de Génération améliore la performance thermique des bâtiments et réduit de 40 % l’empreinte carbone du système (par rapport à un sol avec une chape ciment traditionnelle). Thermactif 2de Génération associe en effet un système de plancher chauffant/rafraîchissant fin et ultra-réactif à une nouvelle technologie de chape fluide Thermio® Max à forte conductivité thermique (l=2,5 W/m.K)  et à faible épaisseur (1.5 cm au-dessus du tube), ce qui augmente l’émission thermique de + 40 %, en chaud comme en froid. Résultat : un sol chauffant-rafraîchissant 3 fois plus réactif d’un système classique qui permet d’atteindre la température de confort en moins de 20 minutes ! Innovation Anhydritec, La Chape Liquide® Thermio® Max assure un rafraîchissement ultra performant grâce à la technologie COOL-TEC® qui apporte une effusivité très élevée, garantissant une capacité d’absorption de la chaleur 40 % supérieure à une chape ciment. En confort d’été, la technologie COOL-TEC® permet d’abaisser de la température de 5 à 7 °C par rapport à la température extérieure. Pour aller plus loin et répondre encore plus finement aux besoins constructifs, Thermacome et Anhydritec ont imaginé des solutions adaptées pour chaque secteur du bâtiment : maison individuelle, logement collectif, non-résidentiel et rénovation. Thermactif 2de Génération se décline ainsi en 4 solutions, chacune imaginée pour apporter le meilleur confort, mais également faciliter la mise en œuvre sur les chantiers. Toutes les solutions Thermactif 2de Génération bénéficient de la chape Thermio® Max de 1,5 cm seulement au-dessus du tube.