Résultats de recherche pour monuments historiques

La ministre de la Culture, Françoise Nyssen, a annoncé sa décision de classer les vestiges de la Corderie à Marseille au titre des monuments historiques. Pour rappel, c'est en 2017, à l'occasion de fouilles préventives avant la construction d'un immeuble par Vinci Immobilier, qu'une carrière de calcaire dont l'exploitation remonte au Ve siècle avant JC, avant été découverte. Les habitants s'étaient alors fortement mobilisés pour protéger leur patrimoine. Ils obtiennent aujourd'hui gain de cause.

À proximité de La City de Londres (Royaume-Uni), l'agence anglaise Make redonne vie à des vestiges romans par la création de 6 000 mètres carrés d'espace public, au milieu de deux nouvelles tours de bureaux. Une belle manière de nouer des liens entre architecture contemporaine et monuments historiques, tout ramenant de la verdure dans un tissu urbain dense ! Des remparts de l'époque romane aux édifices d'après-guerre, en passant par l'église médiévale St Alphage, le site ne manquait pas de références historiques. Des traces du passé qui étaient jusque-là dissimulées et qui se devaient d'être valorisées. Pour cela Make a proposé la mise en place d'un schéma directeur développant, au milieu de 22 000 mètres carrés de bureaux répartis en deux bâtiments, une promenade urbaine surélevée de plus de 350 mètres de long, comprenant quatre passerelles métalliques publiques qui enjambent trois rues piétonnes. Celle-ci est ponctuée de " jardins de poche " permettant d'apprécier une vue sur ce patrimoine londonien méconnu.Situés de part et d'autre du circuit, les deux ouvrages de 13 et 17 étages partagent un même traitement de façade où alternent verticalement béton armé et parois en verre. Une relation pour le moins originale entre l'espace public et des édifices, qui redonne à la ville son patrimoine ! Pour en savoir plus, visitez le site de Make Architects

À proximité de La City de Londres (Royaume-Uni), l'agence anglaise Make redonne vie à des vestiges romans par la création de 6 000 mètres carrés d'espace public, au milieu de deux nouvelles tours de bureaux. Une belle manière de nouer des liens entre architecture contemporaine et monuments historiques, tout ramenant de la verdure dans un tissu urbain dense ! Des remparts de l'époque romane aux édifices d'après-guerre, en passant par l'église médiévale St Alphage, le site ne manquait pas de références historiques. Des traces du passé qui étaient jusque-là dissimulées et qui se devaient d'être valorisées. Pour cela Make a proposé la mise en place d'un schéma directeur développant, au milieu de 22 000 mètres carrés de bureaux répartis en deux bâtiments, une promenade urbaine surélevée de plus de 350 mètres de long, comprenant quatre passerelles métalliques publiques qui enjambent trois rues piétonnes. Celle-ci est ponctuée de " jardins de poche " permettant d'apprécier une vue sur ce patrimoine londonien méconnu.Situés de part et d'autre du circuit, les deux ouvrages de 13 et 17 étages partagent un même traitement de façade où alternent verticalement béton armé et parois en verre. Une relation pour le moins originale entre l'espace public et des édifices, qui redonne à la ville son patrimoine ! Pour en savoir plus, visitez le site de Make Architects

À proximité de La City de Londres (Royaume-Uni), l'agence anglaise Make redonne vie à des vestiges romans par la création de 6 000 mètres carrés d'espace public, au milieu de deux nouvelles tours de bureaux. Une belle manière de nouer des liens entre architecture contemporaine et monuments historiques, tout ramenant de la verdure dans un tissu urbain dense ! Des remparts de l'époque romane aux édifices d'après-guerre, en passant par l'église médiévale St Alphage, le site ne manquait pas de références historiques. Des traces du passé qui étaient jusque-là dissimulées et qui se devaient d'être valorisées. Pour cela Make a proposé la mise en place d'un schéma directeur développant, au milieu de 22 000 mètres carrés de bureaux répartis en deux bâtiments, une promenade urbaine surélevée de plus de 350 mètres de long, comprenant quatre passerelles métalliques publiques qui enjambent trois rues piétonnes. Celle-ci est ponctuée de " jardins de poche " permettant d'apprécier une vue sur ce patrimoine londonien méconnu.Situés de part et d'autre du circuit, les deux ouvrages de 13 et 17 étages partagent un même traitement de façade où alternent verticalement béton armé et parois en verre. Une relation pour le moins originale entre l'espace public et des édifices, qui redonne à la ville son patrimoine ! Pour en savoir plus, visitez le site de Make Architects

La Direction régionale des Affaires culturelles (DRAC) Ile-de-France a publié le 26 mars 2018 l'arrêté confirmant l'inscription de la Maison de la radio au titre des Monuments historiques. Cette décision historique fait suite à une demande initiée par Radio France […] L'article Historique, la Maison de la radio est un monument est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

La Maison de la radio, le siège de Radio France situé en bord de Seine dans le sud-ouest de Paris, vient d'être inscrit aux monuments historiques.

Réhabiliter un bâtiment inscrit à l'inventaire des Monuments historiques, sans le trahir ni se contenter de simples travaux de rénovation : une véritable gageure ! Sauf, peut-être pour l'agence ACAU Architectes qui signe ici un projet à l'identité marquée, sans pour autant affecter les constructions alentours. Explications. Construit il y a plus de 400 ans, le lycée Corneille à Rouen (76) fait partie de ces bijoux inscrits à l'inventaire des Monuments historiques encore en fonction, mais dont l'âge les rend partiellement inappropriés aux usages actuels. C'est pour pallier ces lacunes que la région Haute-Normandie en a confié la réhabilitation à l'agence ACAU Architectes, en plusieurs phases, comme en témoigne la livraison de ce bâtiment, première étape du projet global, abritant le restaurant des lycéens ainsi que l'infirmerie. Implanté entre la cour haute et la cour basse de l'établissement, le nouveau volume affiche une contemporanéité assumée tout en s'inscrivant parfaitement dans un contexte datant du XVIe siècle. La recette de cette réussite paradoxale ? Les matériaux et formes choisis. Ainsi, si le recours à une enveloppe en brique facilite l'intégration du restaurant dans l'enceinte du collège " la terre cuite étant omniprésente dans l'existant ", le volume, lui, tranche avec le mélange d'architectures classique et gothique des lieux. L'extension est ainsi équipée d'une toiture terrasse praticable, et présente un intérieur particulièrement épuré et lumineux, grâce à des façades sud et ouest généreusement vitrées, protégées par l'enveloppe de brique, comme percée d'une multitude de meurtrières pour faire office de brise-soleil. Conférant au projet un air de lanterne la nuit tombée, ces ouvertures ajoutent également une touche de verticalité, en écho aux constructions existantes. Un bel hommage, humble et assuré à la fois. Intitulé du projet : Lycée Corneille (phase 1 : bâtiment restauration et infirmerie)Lieu : Rouen (76)Maîtrise d'ouvrage : Région Haute-NormandieMaîtrise d'"uvre : ACAU ArchitectesSurface : 24 000 m2Montant des travaux : 34 500 000 ¤ HT (coût total)Calendrier : Livraison 2016 (phase 1) Photographies : Grégoire Auger Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Enseignement - Maternelle, primaire et secondaire Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de ACAU Architectes

Marie-Amélie Tek, Architecte du patrimoine, GFTK architectes : " Un immeuble du patrimoine est un immeuble bâti qui a des qualités patrimoniales : son ancienneté, sa rareté, l'authenticité des décors, leur originalité, sa construction par un architecte de talent, un maître d’ouvrage de renom? Tout l’ensemble de notre patrimoine bâti n'est pas protégé Monuments historiques? Certains bâtis … Cet article BATIMAT 2017 – Rénovation patrimoniale est apparu en premier sur Planète Bâtiment.

Spécialiste de l'échafaudage, Layher possède également une réputation d'expert des chantiers de restauration des monuments historiques. Le dernier en date ? L'Hôtel de la Marine, situé Place de la Concorde, à Paris.

Erigée entre le 15e et le 16e siècle, l’Eglise Notre-Dame de Saint-Calais dans la Sarthe, classée aux titres des Monuments Historiques en 1840 fait l’objet d’une campagne de restauration jusqu’en 2019. La restauration extérieure de l’église porte sur les parements de pi...

Bâti en 1897 par l'architecte danois Neckelmann Skjold, le palais de justice de Strasbourg est l'un des fleurons architecturaux de la ville. Après 15 ans de négociation, le tribunal a enfin pu être restauré de 2013 à 2016 par les agences espagnoles Garcés.De Seta.Bonet Arquitectes et Serra-Vives-Cartagena, lauréates du concours lancé un an plus tôt. Le maître d'"uvre s'est ici lancé dans un vaste programme de rénovation et un agrandissement de ce monument de 7 200 mètres carrés de surface utile. Depuis l'extérieur, seul l'ajout d'une nouvelle toiture en inox dépassant légèrement des façades classées au patrimoine des Monuments historiques trahit l'intervention. L'intérieur a quant à lui totalement été repensé afin de faire pénétrer les rayons du soleil au c"ur de l'édifice. Dès l'entrée, la lumière naturelle prédomine donc grâce à l'adjonction d'un patio central sur lequel donne également au rez-de-chaussée la salle des pas perdus, la cafétéria, la bibliothèque et la salle d'audience ; et la circulation des deux étages. Une partie de ce dernier est couverte par une verrière, l'autre est plantée et laissée à l'air libre. Un projet à la fois audacieux et contemporain qui respecte néanmoins le caractère historique de l'édifice, à l'intérieur comme à l'extérieur. Les faux raccords sont inexistants et c'est une atmosphère solennelle qui se dégage de cette architecture. Photographies : Adrià Goula Pour en savoir plus, visitez le site de Garcès " De Seta " Bonet Arquitectes et de Serra - Vives - Cartagena Arquitectes    

Bâti en 1897 par le Danois Neckelmann Skjold, le palais de justice de Strasbourg est l'un des fleurons architecturaux de la ville. Après 15 ans de négociation, le tribunal a enfin pu être restauré de 2013 à 2016 par les agences espagnoles Garcés.De Seta.Bonet Arquitectes et Serra-Vives-Cartagena, lauréates du concours un an plus tôt. Le maître d'"uvre s'est ici lancé dans un vaste programme de rénovation et un agrandissement de ce monument de 7 200 mètres carrés de surface utile. Depuis l'extérieur, seul l'ajout d'une nouvelle toiture en inox dépassant légèrement des façades classées au patrimoine des Monuments historiques trahit l'intervention. L'intérieur a quant à lui totalement été repensé afin de faire pénétrer les rayons du soleil au c"ur de l'édifice. Dès l'entrée, la lumière naturelle prédomine donc grâce à l'adjonction d'un patio central sur lequel donne également au rez-de-chaussée la salle des pas perdus, la cafétéria, la bibliothèque et la salle d'audience ; et les circulations des deux étages. Une partie de ce dernier est couverte par une verrière, l'autre est plantée et laissée à l'air libre. Un projet à la fois audacieux et contemporain qui respecte néanmoins le caractère historique de l'édifice, à l'intérieur comme à l'extérieur. Les faux raccords sont inexistants et c'est une atmosphère solennelle qui se dégage de cette architecture. Photographies : Adrià Goula Pour en savoir plus, visitez le site de Garcés . De Seta . Bonet Arquitectes et de Serra - Vives - Cartagena Arquitectes    

La briqueterie née dans la commune des Rairies, berceau français de la terre cuite, a su se faire un nom et toucher une clientèle internationale. Le 27 janvier dernier, la société a lancé son nouveau site internet www.rairies.com : on vous donne nos observations d'un point de vue web !   Sur ce nouveau site, on retrouve des objectifs clairement définis : l'entreprise angevine a voulu mettre en valeur ses produits, ses showrooms et ses réalisations. La boutique vient en second plan, une volonté de communiquer alors sur son savoir-faire en premier lieu.   Une page d'accueil dynamique assez bien organisée La page d'accueil du site est plutôt dynamique, claire et épurée, la " règle des 3 éléments " est respectée dans les sliders et autres sections. La charte graphique est harmonieuse et agréable à l'"il. Les photos sont de bonne qualité et donnent envie. Cependant, certains problèmes d'UX (Expérience Utilisateur) se font sentir : des écritures blanches sur une photo très claire, quelques petits bugs d'affichage, multiplicité des éléments cliquables? On perd un peu le fil ! Des pages riches, presque parfaites Le site est assez riche en contenu : les pages produits sont plutôt bien fournies, malgré la ligne " Lire la suite " qui cache 90% du texte : si ce texte est important, pourquoi ne pas l'afficher directement pour le visiteur ? Le reste des pages reprend l'aspect design qu'on trouve sur les sites d'architecture avec une charte graphique épurée et moderne. La page des showrooms présente bien les deux lieux d'exposition à Paris et aux Rairies, des " laboratoires de tendances ". L'apparence de la page peut faire penser à un guide d'accès à un musée avec une introduction rappelant les caractéristiques artistiques, des photos prises à l'intérieur du lieu, le plan d'accès et les coordonnées. Un bon point qui renforce le côté esthétique des produits de la société. Les réalisations, quant à elles, sont joliment présentées à la manière d'un portfolio de photographies et sont classées par type (monuments historiques, carreaux muraux, façades en briques, sols, etc.). Les photographies des réalisations sont d'ailleurs un élément clé pour les entreprises de façades de bâtiments, on retrouve cette même volonté de photos haute qualité sur le site du façadier Acodi. Enfin, la partie boutique aurait mérité quelques améliorations visuelles : il est recommandé d'avoir son contenu important " above the fold " (en français : au-dessus de la ligne de flottaison), c'est-à-dire visible sur la page dès le premier coup d'"il, sans avoir à la dérouler. Ainsi, les produits ne sont pas tous visibles (seuls 3 produits le sont). La faute au texte, encore plus allongé si l'on clique sur " Lire la suite ". Cette tendance des industriels à commercialiser leurs produits directement sur une partie boutique en ligne se voit de plus en plus sur le web, nous l'avions déjà remarqué lors de notre article sur la boutique du fabricant Kampmann.   En résumé, le nouveau site de Rairies Montrieux présente un bel effort graphique et offre du contenu riche, bien que souvent caché volontairement.   Vous souhaitez nous confier la réalisation de votre nouveau site internet ? Contactez notre équipe de spécialistes du web !

Découvrez la sélection d'écoles maternelles et primaires, de bâtiments d'enseignement supérieur et de résidences universitaires retenus cette année aux ArchiDesignclub Awards. Lycée Germaine Tillon, Castelnaudary (11) - Cusy Maraval Architectes et Hamerman Rouby En Occitanie, ce lycée conçu par les agences Cusy Maraval Architectes et Hamerman Rouby est le fruit d'une double préoccupation : offrir aux étudiants un lieu agréable pour étudier tout en apportant de la cohérence au site abritant deux autres établissements scolaires. . Collège Robert Desnos, Orly (94) - Emmanuelle Colboc et Associés À Orly (94), les étudiants du collège Robert Desnos viennent d'inaugurer leur nouvel établissement. Zoom sur un projet lumineux, habillé de briques, signé par l'agence parisienne Emmanuelle Colboc et Associés. .   Groupe Scolaire Port Chemin Vert, Aubervilliers (93) - archi5 À Aubervilliers (93), un tout nouveau groupe scolaire marque le renouveau d'un ancien quartier industriel. Dessiné par l'agence archi5, ce projet ultra-ludique présente toutes les caractéristiques nécessaires au confort optimal des écoliers. Prêts à faire votre rentrée ? .   Lycée Corneille, Rouen (76) - ACAU Architectes Réhabiliter un bâtiment inscrit à l'inventaire des Monuments historiques, sans le trahir ni se contenter de simples travaux de rénovation : une véritable gageure ! Sauf, peut-être pour l'agence ACAU Architectes qui signe ici un projet à l'identité marquée, sans pour autant affecter les constructions alentours.  .   Pôle de l'enfance et Ecole Pierre-Perret, Serris (77) - Ameller, Dubois et Associés À Serris (77), tout près du fameux parc à thèmes consacré à la plus célèbre des souris, l'agence Ameller, Dubois et Associés signe un projet d'école et de pôle enfance loin de l'architecture fantasmagorique de ses alentours. Comme une volonté de s'émanciper du soft power de Mickey Mouse. .   Ecole, La Couyère (35) - ATELIER 56S Petite par son programme, cette école dessinée par les architectes rennais de l'ATELIER 56S est pourtant grande par le confort de vie qu'elle propose à ses usagers. Retour un projet humble mais parfaitement exécuté. .   Ecole des Beaux-Arts, Nantes (44) - FRANKLIN AZZI ARCHITECTURE et Architectures Chabènes & Scott Dans le cadre de la transformation de l'Île de Nantes, l'ancien site industriel Alstom a été complètement reconfiguré. Parmi les divers programmes que ses six halles accueillent " université, bureaux, restaurant etc. ", deux d'entre elles abritent désormais l'École des Beaux-Arts, réalisation lumineuse et spacieuse signée Franklin Azzi. .   Neurocampus, Bordeaux (33) - VIB architecture Livré à la fin de l'année 2016 par l'agence VIB architecture, ce bâtiment accueille des laboratoires de recherche en neurosciences, offrant à ses usagers un cadre de travail optimisé, notamment par sa volumétrie. .   ENSAE ParisTech, Gif-sur-Yvette (91) - CAB Architectes Les concepteurs de l'agence CAB ARCHITECTES, spécialisés dans le béton, signent cette fois un projet millimétré en acier. Situé à Palaiseau, c'est un écrin géométrique tout adapté pour accueillir l'ENSAE ParisTech... .   Campus CentraleSupélec, Gif-sur-Yvette (91) - OMA et Gigon Guyer Architekten L'École Centrale Paris s'installe sur le plateau de Saclay, à Gif-sur-Yvette (91) dans un ensemble aérien traversé par une rue intérieure comprenant aussi bien des salles dédiées à l'enseignement que des bureaux ou espace de restauration et de repos. Plus qu'un établissement scolaire, le Campus CentraleSupélec est un nouveau lieu de vie de la commune de l'Essonne. .   CFA des métiers du bâtiment, Brétigny (91) - archi5 " Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ", dit un célèbre proverbe. Un adage démenti par les concepteurs d'archi5, lesquels ont tout mis en "uvre pour réaliser un centre de formation des apprentis aussi agréable à vivre que remarquable visuellement, prouvant que la forme importe autant que le contenu. .   Maison des sciences de l'homme, Paris (6e) - François Chatillon Architectes Chargées de rénover la Maison des sciences de l'homme réalisée entre 1965 et 1969 par Marcel Lods, Paul Depondt et Henri Beauclair, les agences François Chatillon Architecte et Michel Rémon & Associés ont dû remettre aux normes une construction iconique sans l'altérer. Retour sur une restauration pas tout à fait comme les autres... . 93 logements, Paris (14e) - Bruther  En gagnant le concours de cette résidence pour chercheurs, les architectes de l'agence Bruther se sont vus confier la mission délicate d'intégrer ce projet à un site si particulier au patrimoine impressionnant : la Cité Internationale universitaire de Paris (13e). Une difficulté à laquelle leur pragmatisme a su répondre. .   Résidence Cornil, Marseille (5e) - A+Architecture Dépoussiérer l'image des résidences étudiantes, une gageure ? Par pour l'agence A+Architecture, laquelle vient de livrer un bâtiment de près de 200 chambres tout en bois et " cerise sur le gâteau ! " conçu en seulement 14 mois. .   Résidence Olympe de Gouges, Toulouse (31) - PPA, scalene architectes et AFA Conjointement, les agences PPA, scalene architectes et AFA ont réfléchi à la manière de proposer un maximum d'intimité aux usagers d'une résidence de 600 logements étudiants. Ils signent ainsi à Toulouse (31) un projet facilement appropriable par ses habitants et inspiré du modèle du cloître. .   Cité Internationale Paul Ricoeur, Rennes (35) - Hérault Arnod architectes Érigée dans le cadre du remaniement du quartier du Colombier à Rennes (35), la Cité internationale Paul Ricoeur rassemble quatre programmes distincts " un centre sportif, des locaux de l'Université de Bretagne-Loire, une résidence pour chercheurs étrangers et un restaurant universitaire ", au sein d'une enveloppe unitaire éthérée. . Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et votez pour le meilleur projet la catégorie Enseignement  

L'intervention du studio JUNG Architectures sous l'"il bienveillant de l'architecte du Patrimoine Simon Buri, a permis la sauvegarde et la restitution de cet ensemble architectural situé en plein c"ur des Climats de Bourgogne inscrits cette année au Patrimoine mondial de l'Unesco. L'ancien Hôpital de Meursault (Côte d'Or), communément appelé "la Léproserie", est un édifice de style roman fondé au début du XIIème siècle par Hugues II, duc de Bourgogne. Cette auberge hospitalière où venaient se soigner les malades et les pauvres s'organisait en trois parties : la porterie, la salle des pauvres et la chapelle. Au XIXe siècle, les bâtiments sont reconvertis en ferme agricole. Depuis 1926, le bâtiment est inscrit au titre des Monuments Historiques, mais est laissé à l'abandon. Désormais, un bureau d'information touristique se trouve dans l'ancienne porterie. La salle des pauvres et la chapelle regroupent de nouveaux espaces d'expositions temporaires. La création d'une nouvelle aile abrite un pavillon de dégustation et forme une sorte de cour intérieure faisant penser à un cloitre moderne en résonnance avec l'ancienne utilité du bâtiment. Cette intervention contemporaine se veut sobre et minimaliste, formant un mariage harmonieux des matériaux : les vieux murs en pierre de Bourgogne ont été rénovés et sublimés par l'extension en zinc juxtaposant ainsi l'ancien et le moderne. La réhabilitation de ce lieu vieux de plus de 800 ans, a permis de lui redonner une seconde vie le dédiant à la culture propre à cette région. Intitulé du Projet : Ancienne LéproserieLieu : MeursaultMaitrise d'ouvrage : Commune de MeursaultMaitrise d'"uvre : JUNG ArchitectureSurface : 500 m2Montant des travaux : 2 800 000 ¤ HTCalendrier : Livraison mars 2015 Photographies Martin Argyroglo Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2017 dans la catégorie Culture, Restructuration / Réhabilitation Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et  de Jung Architectures 

La Collection Lambert à Avignon a rouvert  après deux années de travaux d'extension et de réhabilitation, et s'étend maintenant sur deux hôtels particuliers du 18e siècle, présentant ainsi la totalité de cette collection d'art contemporain. Les architectes Laurent Berger et Cyrille Berger se sont chargés de créer des espaces tendant vers la neutralité, avec matériaux puissants tels que le béton blanc comportant des agrégats de marbre. Pour le projet d'extension, trois nouveaux bâtiments ont été réalisés par les deux architectes : un atrium afin d'articuler la liaison entre les hôtels de Caumont et de Montfaucon, une extension située entre les deux cours et enfin une vaste salle dont la hauteur permet d'exposer les "uvres les plus monumentales de la collection. Ainsi, les nouveaux espaces d'exposition s'étendent sur 6000m² et permettent de présenter la collection Lambert dans son ensemble. Ces trois nouvelles extensions ne présentent pas d'ouvertures, contrastant ainsi par leur aspect extérieur avec les deux demeures du 18ème siècle classées au titre des monuments historiques. Un travail important a été fait sur la luminosité afin de valoriser au mieux la collection Lambert inscrite au patrimoine national depuis 2012. Intitulé du Projet : Extension et réhabilitation de la Collection Lambert en AvignonLieu : AvignonMaitrise d'ouvrage : Ville d'AvignonMaitrise d'"uvre : Berger&BergerSurface : 5 000 m2Montant des travaux : 9 500 000  ¤ HTCalendrier : Livraison juillet 2015 Photographies : Berger&Berger Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2017 dans la catégorie Culture, Restructuration/Réhabilitation Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de Berger&Berger.

  Le Quadrilatère Richelieu, " maison mère " de la Bibliothèque Nationale de France, regroupe de nombreuses et prestigieuses collections. Au début des années 2000, l'ancienneté? de l'édifice a mené au constat sans équivoque de l'obsolescence du site, de ses installations techniques et de sécurité?, des conditions d'accueil du public, de travail et de conservation des collections. De plus, bien que maintes fois remanié, le bâtiment n'avait jusque là jamais fait l'objet d'une intervention globale, ce qui avait conduit a? donner une forme et une complexité? très singulière a? la bibliothèque. Des études sont donc engagées en 2007 sur la totalité? du Quadrilatère. Les travaux entrepris dès 2011 sont organisés en deux phases, dont la première vient d'être achevée. Au terme des études, il est apparu qu'un axe majeur du parti architectural devait être le redéploiement de la distribution. Les architectes ont alors défini de nouveaux principes distributifs en cohérence avec les grands ensembles architecturaux qui structurent la géographie du site. Pour les circulations verticales, l'atelier Bruno Gaudin imagine un jeu de colonnes distributives qui viennent irriguer " de la cave au grenier " le vaste mille-feuille architectural. Escaliers et ascenseurs sont alors disposés de manière a? s'immiscer dans les interstices de l'édifice, entre les grandes pièces, sans en perturber l'unité?. Pour les circulations horizontales, le principal enjeu était la redéfinition des espaces accessibles au public et la clarification des flux. Les architectes créent deux entrées pour un hall unique : côté? cour et côté? jardin. Le hall d'accueil est alors pense? comme un espace transversal qui relie les deux rives du Quadrilatère, jusqu'ici disjointes, ainsi que les deux grandes salles de lecture " la salle ovale (BNF) et la salle Labrouste (INHA) - le rez-de-chaussée et le piano Nobile.La rénovation de la salle Labrouste est confiée a? Jean François Lagneau, architecte en chef des monuments historiques, qui a rendu la vivacité? des couleurs voulues par l'architecte d'origine tout en mettant la salle au normes, qui sont particulièrement sévères pour ce type d'établissement. Le magasin central, qui lui n'est pas protégé? au titre des Monuments Historiques, a fait l'objet d'une importante refonte sécuritaire (stabilité? au feu des structures en fonte notamment) et fonctionnelle, avec l'idée de faire de cet espace une salle de lecture publique dans le prolongement de la salle Labrouste. En tout six salles de lecture situées dans le périmètre de la phase 1 ont fait l'objet d'un travail architectural ajuste? selon leur spécificité? patrimoniale. Les travaux de mises aux normes s'adaptent et s'architecturent ainsi selon les espaces. Ils se montrent ou se cachent, sculptent les murs, les plafonds, les fenêtres. Neuves ou installées dans des locaux patrimoniaux, ces salles restent toujours inspirées par l'esprit des lieux. Intitulé du Projet : Quadrilatère RichelieuLieu : ParisMaitrise d'ouvrage : Ministère de la Culture et de la Communication, Ministère de l'Éducation NationaleMaitrise d'"uvre : Bruno Gaudin et Virginie Bregal ArchitectesSurface : 68 000 m2 SHON dont 35 000 m2 en phase 1Montant des travaux : phase 1 : 70 800 M¤ HTCalendrier : Livraison phase 1 mai 2016 Photographies : Takuji Shimmura, Marchand & Meffre Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2017 dans la catégorie culture, restructuration/réhabilitation Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub  et de Bruno Gaudin et Virginie Bregal Architectes