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Il y a 3 ans et 300 jours

16e édition du Concours Photo de l'Agence qualité construction : Éviter les désordres dans le bâtiment

La communication passe de plus en plus par l'image, celle-ci interpelle, suscite la curiosité, facilite la compréhension du désordre et devient un véritable « témoin »... Cet apprentissage par l'image, l'Agence qualité construction l'a inscrit dans sa vocation, le Concours Photo AQC en est l'un des grands vecteurs car il touche un large public. La diversité et le nombre de professionnels du bâtiment, d'amateurs de photographies, d'étudiants (287 candidats toutes catégories confondues) en sont la parfaite illustration.Le jury a particulièrement noté le nombre conséquent de photographies reçues (621 photos toutes catégories confondues) qui a rendu cette édition plus riche dans les thèmes abordés : enveloppe et ITE, équipements de ventilation, menuiseries, toiture-terrasse, ferraillage...Aux termes des délibérations, le jury, composé de professionnels du bâtiment, a récompensé 3 lauréats pour la catégorie générale, et exceptionnellement 4 lauréats pour la catégorie étudiant, pour encourager l'investissement et le travail de ces derniers.L'ensemble des photos lauréates et distinguées est disponible sur le site Internet de l'AQC https://qualiteconstruction.com, la rubrique « Nos Ressources ».Catégorie générale : des participants tous corps d'état !Les plus grands contributeurs de la catégorie générale restent majoritairement des experts en construction ainsi que des architectes. Mais les profils se diversifient au fil des éditions et viennent enrichir le champ des thématiques : maçons, responsables d'assainissement, techniciens en énergie, conseillers techniques d'organisations professionnelles, formateurs, enseignants, agents immobiliers, contrôleurs techniques...Leurs regards techniques et pointus leur permettent de « dénicher » tous les types de pathologies subies par le bâtiment en exploitation : soulèvement de chape sous un sol sportif, réseau EP obstrué par un bouchon de racine d'arbre, VMC fixée en façade extérieure nord sans isolation thermique, pose de menuiserie sans rejingot ni pente, positionnement anarchique de chevillage d'une ITE, section d'entrée d'air non conforme...Catégorie étudiant : le concours photo inscrit au programme de nombreuses écolesDepuis la création de cette catégorie, il y a maintenant sept ans, l'intérêt des établissements s'accentue : ils sont de plus en plus nombreux (13 établissements, contre 6 l'année précédente) à inscrire ce concours à leur programme de formation.Le jury a souligné la qualité de leurs candidatures, aussi bien en termes de photographies qu'en termes d'analyse et de proposition de solution pour tenter d'éviter le désordre observé. Il a exceptionnellement attribué un deuxième prix spécial cette année dans cette catégorie.Pédagogique, ce concours incite les étudiants à observer et rechercher les raisons qui ont engendré le désordre. Ils comprennent ainsi plus aisément les enjeux de conception, de mise en œuvre et du respect des bonnes pratiques. Cela vient aussi renforcer leur capacité d'analyse, ces étudiants se projetant ainsi plus aisément dans leurs futurs métiers.L'Agence qualité construction les félicite et les remercie de ce jeune regard qu'ils continuent chaque année à apporter sur les désordres dans le bâtiment.Catégorie Générale : Éviter les désordres dans le bâtiment, apprendre par l'image !
Il y a 3 ans et 303 jours

Deux nouvelles arrivées à l’architecture et l’ingénierie d’AREP

Benoît Stehelin rejoint la direction de l’Architecture en tant que Responsable de studioArchitecte et diplômé de l’École nationale supérieure d'architecture de Versailles, Benoît intègre le bureau d’études RFR à Paris puis participe à la création de T/E/S/S en 2007 après une expérience au sein d’agences d’architecture et à Dubaï pour ADPI. Il dirige, entre autres, le projet de reconstruction Roissy 2E et la conception de l’enveloppe de la Fondation Louis Vuitton. Il se spécialise ensuite dans la reconversion de bâtiments existants et la restauration du patrimoine. Il a notamment mené le projet de restauration et de transformation de la Bourse de Commerce de Paris en musée.Benoît rejoint la direction de l’Architecture d’AREP en juin 2021, convaincu qu’un élan commun des métiers de l’architecture et de l’ingénierie est indispensable pour atteindre les objectifs de construction bas-carbone. Son arrivée concomitante à celle de Lorenzo Ponzo va contribuer au renforcement des synergies entre les différentes directions métiers d’AREP.Fort de ses expériences antérieures, Benoît apportera, entre autres, une expertise supplémentaire aux projets de réhabilitation et contribuera au développement de ce secteur.« AREP a développé une grande expertise en transformation et réhabilitation du patrimoine de la fin du XIXe et XXe siècle. L’arrivée de Benoît dans notre équipe correspond à un renforcement du développement d’AREP hors gare. Je suis confiante en sa capacité à porter notre vision post-carbone », explique Fabienne Couvert, en charge de la direction de l’architecture d’AREP.Lorenzo Ponzo rejoint l’unité Structures et Façades en tant que Responsable de spécialistes StructuresDiplômé du Politecnico de Turin et de l’École Nationale des Ponts et Chaussées, Lorenzo Ponzo intègre en 2007 le bureau d’études T/E/S/S. Ingénieur structure, il participe à la conception et au suivi des travaux de la Fondation Louis Vuitton à Paris puis dirige l’équipe projet de la Fondation LUMA à Arles. Il contribue à de nombreuses autres réalisations de structures et d’enveloppes, dont la réhabilitation de la coupole de la Bourse de Commerce à Paris.Enseignant à l’École Nationale Supérieure d’Architecture Paris-Malaquais, il intervient régulièrement lors de conférences à l’École des Ponts ParisTech.En juin 2021, il rejoint l’équipe Structures et Façades de la direction de l’ingénierie d’AREP, notamment pour renforcer les synergies avec les équipes de conception architecturale sur des projets en site complexe.« Nous sommes très heureux d’accueillir Lorenzo parmi nous. Il va nous faire bénéficier de son expérience éprouvée des ouvrages de grande technicité et architecturalement ambitieux. Son expertise de la réhabilitation et du réemploi va s’exprimer sur un patrimoine existant riche et en constante évolution » annonce Hervé Botté, en charge de la direction de l’ingénierie d’AREP.
Il y a 3 ans et 304 jours

Rockwool dévoile Rockacier C nu Energy pour l'isolation des Toitures-Terrasses photovoltaïques

Plus performant avec son lambda 38, Rockacier C nu Energy garantit une meilleure isolation, des qualités incombustibles et une parfaite stabilité dimensionnelle.Rockacier C nu Energy est un produit durable avec une durée de vie de plus de 55 ans et recyclable à l’infini.Répondant déjà aux critères des ETN sur le marché, Rockacier C nu est la solution référence pour les systèmes photovoltaïques visés par un ATEx/avis technique.Quoi ?Rockacier C nu Energy est un panneau isolant en laine de roche pour une étanchéité bitumineuse ou synthétique fixée mécaniquement. La compressibilité du produit, classe C, permet un emploi sur des toitures techniques. Le produit est éligible au service de recyclage Rockcycle.Pourquoi ?Optimisé pour les zones techniques, ce panneau isolant permet d’isoler les toitures-terrasses inaccessibles sur éléments porteurs en tôle d’acier nervurée. Il permet aussi de sécuriser votre chantier de par ses propriétés incombustibles, avec une réaction au feu Euroclasse A1.Quand et où ?En vente depuis le 15 Mai 2021 dans les négoces.Signes particuliersRockacier C nu Energy dispose d’un lambda 38. L’épaisseur en une couche va jusqu’à 200 mm, là où les autres produits proposent une gamme d’épaisseurs limitée à 160 mm. Enfin, il garantit une excellente tenue dans le temps et répond aux réglementations incendie les plus strictes.À savoirLa largeur et la longueur des panneaux en laine de roche restent stables face aux variations d’humidité et de température. Cette stabilité dimensionnelle rend possible les solutions en simple couche, limite les ponts thermiques, permet une utilisation optimale des fixations et évite de solliciter la membrane.
Il y a 3 ans et 318 jours

Seine-et-Marne : des projets d’aménagement routier au nord et au sud du département

Le Département de la Seine-et-Marne engage la réfection de quatre ponts à Ormes-sur-Voulzie et l’aménagement d’un giratoire à Juilly.
Il y a 3 ans et 323 jours

Une nouvelle gamme d’isolants pour soubassements

ISOVER s’associe à Placo et Jackon Insulation pour lancer Peritherm. Ce système est dédié à l’ITE et à la protection mécanique des parties apparentes des murs de soubassements. Il est recommandé pour l’isolation de la partie semi-enterrée extérieure des maisons individuelles, logements collectifs et bâtiments tertiaires. Il est idéal en construction neuve pour atteindre le label BBC. En rénovation, il permet un gain substantiel en limitant les ponts thermiques entre la dalle porteuse et le mur extérieur. Il permet également de limiter les déperditions thermiques des murs extérieurs de soubassement et une protection pérenne de l’étanchéité. C’est un panneau associant un isolant en polystyrène extrudé Jackodur® Plus 300 SF (certifié ACERMI) et un parement en plaque de ciment Placo® haute dureté.
Il y a 3 ans et 328 jours

Strasbourg : deux des quatre tours des Ponts-Couverts en rénovation

Des travaux de rénovation viennent de débuter sur deux des quatre tours des Ponts-Couverts, à Strasbourg.
Il y a 3 ans et 330 jours

Sur l’Ile de Nantes, le Wattignies, l’autre lieu unique

Urbanisme transitoire et fédérateur. Emblématique de l’île de Nantes, à la croisée des quartiers République-Les Ponts, les Fonderies et Mangin, le Wattignies est un lieu résolument convivial tourné vers le quartier, un espace d’expérimentation culturelle et sociale et une galerie marchande de l’ESS (économie sociale et solidaire). Le Wattignies est un ancien garage Euromaster occupé […] L’article Sur l’Ile de Nantes, le Wattignies, l’autre lieu unique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 330 jours

Un temps béni pour les ponts cyclables

Les ponts cyclables n’ont rien à envier à leurs homologues des modes motorisés. Pour répondre aux besoins croissants de la petite reine, les virtuoses de l’ingénierie et des entreprises spécialisées déploient toute la palette des matériaux et techniques, en neuf comme en réhabilitation.
Il y a 3 ans et 345 jours

Edilteco France : L’entrevous Deltivoutain+CI sous Avis technique

Le Deltivoutain+CI &#8211; pour correcteur Intégré &#8211; est un entrevous permettant de limiter les ponts thermiques. [©Edilteco France] Le Deltivoutain+CI &#8211; pour correcteur intégré &#8211; est un entrevous permettant de limiter les ponts thermiques. Efficace, mais surtout très fonctionnel, il intègre dès sa fabrication un correcteur de ponts thermiques sécable (Up < 0,27 W/m².K) en sous face. Conçu en polystyrène (PSE), ce rupteur se casse facilement à la main. Une fois mis en œuvre, il réduit le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur. Ceci, dans le cas d’une isolation par l’intérieur (ITI). Sous Avis technique du CSTB Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis technique du CSTB. Celui-ci est délivré par le Groupe spécialisé n° 20 “Produits et procédés spéciaux d’isolation” et le Groupe spécialisé n° 3.1 “Planchers et accessoires de plancher”. Cet Avis technique certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier. Et garantit la durabilité, ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique. De leur côté, les professionnels du BTP ont plébiscité cette innovation par le biais de la 9eédition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du BTP. Ils ont décerné à Edilteco France le label “Elu innovation par les professionnels du BTP”, dans la catégorie “Structure, Façade, Maçonnerie”.&nbsp;
Il y a 3 ans et 350 jours

Nouvelle caméra thermique Testo 883

La caméra thermique Testo 883 voit tout et offre une assistance intelligente. [©Testo] La nouvelle caméra thermique Testo 883 a été spécialement développée pour les professionnels qui ont besoin d’un outil aux fonctions intelligentes pour détecter la moindre différence de température d’un bâtiment. Pour analyser en détail les images et pour réaliser rapidement des rapports thermographiques fiables avec une qualité d’illustration parfaite. Grâce à cette caméra thermique, aucune anomalie thermique pendant la maintenance électrique et mécanique n’est oubliée. Les plus de la caméra thermique Testo 883 La Testo 883 voit tout et offre une assistance intelligente. Elle recherche les ponts thermiques et les défauts d’isolation. Elle enregistre directement dans l’image thermique le lieu de mesure correspondant. Ceci, grâce à la technologie Testo SiteRecognition. En effet, cette dernière prend en charge l’enregistrement et la gestion des images thermiques de manière automatique. En évitant les confusions et les erreurs d’évaluation, cette fonction fait gagner du temps au technicien. Car l’attribution manuelle des images n’est plus nécessaire. De plus, la sensibilité thermique inférieure à 40 mK permet de mettre en évidence même les différences de température minimes lors du conseil en rénovation énergétique et de la thermographie des bâtiments. La caméra thermique bénéficie d’une résolution infrarouge de 320 x 240 pixels, extensible à 640 x 480 pixels. Pour réaliser une thermographie précise des bâtiments ou d’objets éloignés, son objectif standard 30° x 23° est remplaçable par un téléobjectif 12° x 9°. Toujours connecté pendant le travail Outre la gestion des lieux de mesure, le logiciel Testo IRSoft permet de réaliser aussi l’analyse, le traitement et la documentation détaillés des images thermiques. Il est téléchargeable gratuitement sur : www.testo.com/irsoft. Enfin, l’App Testo Thermography offre de nombreux atouts au technicien. Notamment, la réalisation d’analyses rapides sur site ou l’intégration des valeurs de mesure de la pince ampèremétrique Testo 770-3 dans l’image thermique. Et également l’utilisation d’un smartphone ou d’une tablette comme deuxième écran… Grâce à l’écran tactile qui facilite l’accès au menu et à l’outil de rédaction de rapports du logiciel intuitif Testo IRSoft, ces derniers sont créés de manière rapide et aisée. Les images infrarouges et réelles s’affichent simultanément à l’écran dès l’analyse et sont automatiquement ajoutées à celui-ci. Différents modèles sont disponibles (format PDF ou RTF au choix), tant pour une documentation courte et rapide que pour des rapports détaillés. Ils reprennent toutes les informations pertinentes sur le lieu et les tâches de mesure, ainsi que les résultats des analyses.
Il y a 3 ans et 350 jours

Isolation : quelles sont les failles dans un bâtiment ?

Le chauffage représente 60 % de la consommation énergétique des bâtiments et la facture flambe si la construction est mal isolée. Les déperditions thermiques alourdissent inévitablement la facture d&rsquo;électricité et il faudra entamer des travaux d&rsquo;isolation de l&rsquo;extérieur ou de l&rsquo;intérieur. Faisons le point sur les failles en matière d&rsquo;isolation dans un bâtiment. Les failles d&rsquo;isolation d&rsquo;un bâtiment Les déperditions thermiques dans un bâtiment peuvent provenir du toit, des murs, des portes, des fenêtres, des planchers bas, des ponts thermiques ainsi que des fuites et du renouvellement de l&rsquo;air. Le toit, les murs et le renouvellement de l&rsquo;air Les professionnels de l&rsquo;isolation se doivent de savoir d&rsquo;où viennent les pertes de chaleur afin de conseiller au mieux les clients. L&rsquo;artisan peut recommander à son client d&rsquo;isoler son bâtiment avec Hellio, afin de réduire les déperditions thermiques. Il est à noter que : 30 % des déperditions thermiques dans un bâtiment proviennent du toit, lorsque la chaleur s&rsquo;échappe des combles mal ou pas isolés 20 % proviennent des murs avec une déperdition de la chaleur en raison d&rsquo;une isolation insuffisante à l&rsquo;extérieur le renouvellement de l&rsquo;air et les fuites, quant à eux, représentent également 20 % des pertes de chaleur dans un bâtiment Les ponts thermiques, les ouvertures et les planchers bas Les ponts thermiques sont responsables de 5 % des déperditions de chaleur dans une construction. Il s&rsquo;agit de zones discontinues entre les parois de la structure et les matériaux qui finissent par rompre la barrière isolante. Les joints et les vitrages des portes et des fenêtres causent 15 % des pertes thermiques, tandis que 10 % proviennent des sols mal isolés. Isolation optimale : les solutions et les subventions existantes Une bonne isolation permet de maintenir un confort thermique optimal dans un bâtiment, en été comme en hiver. Elle réduit également les bruits provenant de l&rsquo;extérieur et permet d&rsquo;économiser sur la facture énergétique. Votre rôle sera donc également de renseigner vos clients à ce sujet. Les solutions pour une isolation optimale Les solutions d&rsquo;isolation d&rsquo;un bâtiment sont nombreuses, mais l&rsquo;idéal est de se tourner vers un professionnel qui pourra diagnostiquer l&rsquo;efficacité énergétique du logement. Il sera également en mesure d&rsquo;identifier les sources des déperditions à traiter. Pour diminuer les pertes de chaleur dans un bâtiment, il conviendra de réaliser des travaux d&rsquo;isolation du toit, des sols et des murs. Il faudra également : réduire les pertes thermiques en isolant par l&rsquo;extérieur, limiter les fuites d&rsquo;air via un calfeutrage ou de la mousse polyuréthane, opter pour des portes ainsi que des fenêtres isolantes. Isolation : les aides disponibles en 2021 L&rsquo;État propose de nombreuses aides financières afin de vous accompagner dans votre volonté de transition énergétique pour le bâtiment. Ces aides permettent le financement de toute ou partie des opérations de rénovation énergétiques engagées. Les postes éligibles sont le changement de chauffage ainsi que les postes d&rsquo;isolation thermique. En 2021, les Français peuvent bénéficier des CEE (certificats d&rsquo;économies d&rsquo;énergie) qui concernent des travaux liés à l&rsquo;enveloppe de l&rsquo;habitat. Il peut s&rsquo;agir de l&rsquo;isolation de la toiture/des combles, des planchers bas et des murs. Ils peuvent également profiter de la prime Coup de Pouce Isolation s&rsquo;ils sont classés en tant que ménages « modestes ».
Il y a 3 ans et 357 jours

Tour Hekla : Tel un diamant ciselé au cœur de pierre

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Imaginée par l’Atelier Jean Nouvel, la tour Hekla &#8211; dite aussi “Rose de Cherbourg” &#8211; prend la forme d’une composition prismatique en contraste avec la plupart des immeubles voisins orthogonaux ou parallélépipédiques&#8230; [©Ateliers Jean Nouvel] La parcelle est contrainte, mais elle voit déjà prendre forme celle qui deviendra un des fleurons du panorama du quartier d’affaires de La Défense, près de Paris. Avec ses 220 m de haut attendus, la tour Hekla y occupera la deuxième marche du podium, juste derrière la tour First. L’édifice s’inscrit dans le secteur de la Rose de Cherbourg, en pleine reconfiguration. Et occupe un terrain de 1 900 m2, jusqu’à présent délaissé, car ceint de voies de circulation et enjambé de ponts. Hekla est surtout la première tour de bureaux signée Jean Nouvel implantée au cœur de La Défense.   Bien qu’il y soit peu visible, le béton constitue le matériau privilégié. La construction doit en engloutir quelque 60 000 m3. Les seules parties en béton réellement visibles devraient être les sept poteaux circulaires monumentaux, de près de 16 m de haut, qui soutiendront le lobby de la tour.  Sur le plan structurel, la tour Hekla s’articule autour de trois éléments principaux, très classiques pour ce type de constructions. Autour d’un noyau central intégrant trémies d’escaliers et d’ascenseurs prennent place des planchers périphériques et des poteaux porteurs positionnés derrière les façades auto-portantes en verre et menuiseries métalliques. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 359 jours

Pour la rénovation des ponts, les collectivités vont bénéficier d'un plan de soutien

INFRASTRUCTURES. De la définition des travaux à leur mise en oeuvre, les collectivités sont accompagnées par la Banque des territoires pour rénover des ponts. Un dispositif lancé récemment qui contribue à la résilience des territoires.
Il y a 3 ans et 359 jours

Vigilance autour du futur Label RE2020

La Réglementation Environnementale 2020 (RE2020) a pour objectif d’assurer que le secteur de la construction contribue à la baisse drastique des émissions de gaz à effet de serre nécessaire pour que la France honore ses engagements nationaux et européens. L’Etat a souhaité la mise en œuvre d’un Label de manière conjointe à la RE2020. Le GTQE (Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe) souhaite rappeler les points de vigilance à prendre en compte dans l’élaboration du Label afin que celui-ci puisse être un signe de soutien à l’innovation, à l’exemplarité des acteurs et surtout synonyme d’une enveloppe de qualité. Ce groupe de travail, animé par le Pôle Fibres-Energivie, est engagé en faveur de l’élaboration d’un label ambitieux : Un BBio renforcé. Dans le cadre de l’élaboration de la RE2020, les derniers arbitrages gouvernementaux adoptés – sans unanimité – par le CSCEE en avril 2021 sur l’indicateur Bbio ont réduit les exigences de performance énergétique des petits collectifs et des maisons individuelles sans apporter de compensation pour les grands bâtiments. Il est, par conséquent, impératif de relever les ambitions dans le cadre du Label. A ce titre, le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe soutient un renforcement généralisé de l’indicateur Bbio à RT2012-40%. Un indicateur Bbio ambitieux bénéficie au renforcement de l’enveloppe si et seulement si les points singuliers de l’enveloppe dont les ponts thermiques sont systématiquement traités via un maintien des garde-fous. L’article 31 de l’arrêté Exigences de la RE2020, relatif au traitement des ponts thermiques, révèle un manque d’ambition et ce, alors que les solutions techniques ont largement évolué durant la période d’application de la RT2012 et sont désormais compatibles avec l’ensemble des modes constructifs à un prix optimisé. Le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe soutient l’instauration une valeur Psi L9 strictement inférieure à 0,4 W/ml-°K dans le cadre du Label. Dans sa rédaction actuelle, l’article 31 présente des imprécisions concernant la notion de « conditions hivernales » qui pourraient porter atteinte à l’intégrité de l’enveloppe des bâtiments et à la santé des occupants. En effet, suivant l’hypothèse des températures extérieures et intérieures considérées dans certaines zones climatiques, cet article pourrait avoir comme conséquence le non-traitement des ponts thermiques des bâtiments et aboutir à des solutions constructives moins performantes que la RT2012. A ce titre le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe recommande dans le cadre du label une température d’air de référence extérieure à -7°C, et une température d’air intérieure à +20°C, seule manière d’assurer la cohérence des exigences. LE GTQE recommande la mise en place d’un suivi de la performance énergétique par une procédure de commissioning obligatoire dans le cadre du label. Si cette proposition apparaissait trop ambitieuse, le commissioning serait rendu obligatoire à minima pour les typologies de bâtiments suivants : petite enfance, EHPAD, santé, enseignement. Il recommande également de mettre à jour les bibliothèques de bases de données de ponts thermiques à partir des configurations et des méthodes constructives actuelles. Le GTQE recommande de mettre en place une méthode de contrôle de l’application de la RE2020 que ce soit en déclaratif de calculs ou en performances réelles par les services de l’urbanisme des collectivités locales.
Il y a 3 ans et 363 jours

Pourquoi les produits en terre cuite permettent de réduire les ponts thermiques ?

Ces déperditions énergétiques engendrent au-delà de l’inconfort dans l’habitat, des factures de chauffage élevées et des émissions de CO2 supplémentaires. Plus un logement est bien isolé, plus ce dernier aura la capacité de limiter les ponts thermiques, et donc de garder la chaleur à l’intérieur du logement.Terre cuite bio’bric : un matériau 100% français naturellement isolant Les solutions constructives bio’bric sont fabriquées à base d’argile ; ressource locale renouvelable extraite à proximité des 9 sites de production répartis en France. La cuisson de l’argile permet de transformer le matériau en terre cuite et de lui conférer un fort pouvoir isolant. La haute performance thermique des briques est liée à leur géométrie, et notamment leurs alvéoles. Plus la géométrie des briques est complexe, plus elles sont isolantes.La performance thermique dans l’enveloppe du bâtiment Plus la résistance thermique de la brique est élevée et les ponts thermiques traités grâce à des accessoires, plus l’enveloppe du bâtiment sera isolée. Les déperditions d’énergie seront significativement réduites et cela permettra de limiter l’épaisseur d’isolant additionnel dans les murs. bio’bric propose ainsi une large gamme de briques allant d’une résistance thermique de 0,75 à 1,5 m².K/W. Elles sont ainsi au minimum 4 fois plus isolantes qu’une maçonnerie traditionnelle non isolante (Rth = 0,2 m².K/W).Des accessoires en terre cuite pour une façade homogèneLes ponts thermiques sont souvent observés au droit des ouvertures et à la jonction des planchers avec la façade. Ils entrainent des problèmes d’inconfort ainsi que des risques de dégradations éventuelles de la construction, comme l’apparition de condensation et de points froids. Le choix d’accessoires comme des planelles isolées ou linteaux / coffres de volet roulant en terre cuite permet d’obtenir une façade 100% terre cuite homogène et une performance pérenne. bio’bric propose des packs associant la brique de mur à ses accessoires en terre cuite pour réduire significativement ces ruptures d’isolation en maisons individuelles et logements collectifs. Début 2020, bio’bric ajoutait à sa gamme de produits la planelle supeRmax ; meilleure performance du marché avec une résistance thermique de 1,7 m².K/W. Associée à la brique spécial collectif, la bgv’costo th+ (R = 1,5 m².K/W), bio’bric propose le système d’excellence pour la construction de bâtiments à étages : Ψ L9 = 0,26 W/m².K en plancher béton.Pour en savoir plus : cliquez ici.* Source étude UVED
Il y a 3 ans et 364 jours

Le SNBVI contribue au Groupe de Travail Qualité de l'Enveloppe

Conformément aux annonces des Ministres de la Transition écologique et du Logement, le renforcement de l’enveloppe des bâtiments doit prévaloir car la « meilleure énergie est celle que l’on ne dépense pas ». Pour y parvenir, la RE2020 entend diminuer l’impact carbone de la construction des bâtiments et donner la priorité à la sobriété énergétique.Afin de valoriser les bâtiments qui anticiperont les étapes de la RE2020 ainsi que la prise en compte de critères nouveaux dans la préfiguration des bâtiments de demain, l’Etat a souhaité la mise en œuvre d’un Label de manière conjointe à la RE2020. Il n’est pas évident de se positionner sur l’architecture et le contenu d’un label accompagnant la RE2002 alors que les textes de loi de la réglementation ne sont pas encore publiés. Cependant le GTQE souhaite rappeler les points de vigilance à prendre en compte dans l’élaboration du Label afin que celui-ci puisse être un signe de soutien à l’innovation, à l’exemplarité des acteurs et surtout synonyme d’une enveloppe de qualité. Le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe, animé par le Pôle Fibres-Energivie, est engagé en faveur de trois points principaux à prendre en compte dans l’élaboration d’un label ambitieux :1) Un BBio renforcéDans le cadre de l’élaboration de la RE2020, les derniers arbitrages gouvernementaux adoptés – sans unanimité – par le CSCEE en avril 2021 sur l’indicateur Bbio ont réduit les exigences de performance énergétique des petits collectifs et des maisons individuelles sans apporter de compensation pour les grands bâtiments. Il est, par conséquent, impératif de relever les ambitions dans le cadre du Label. A ce titre, le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe soutient un renforcement généralisé de l’indicateur Bbio à RT2012-40%.Un indicateur Bbio ambitieux bénéficie au renforcement de l’enveloppe si et seulement si les points singuliers de l’enveloppe dont les ponts thermiques sont systématiquement traités via un maintien des garde-fous. L’article 31 de l’arrêté Exigences de la RE2020, relatif au traitement des ponts thermiques, révèle un manque d’ambition et ce, alors que les solutions techniques ont largement évolué durant la période d’application de la RT2012 et sont désormais compatibles avec l’ensemble des modes constructifs à un prix optimisé.Le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe soutient l’instauration une valeur Psi L9 strictement inférieure à 0,4 W/ml-°K dans le cadre du Label.De plus, dans sa rédaction actuelle, l’article 31 présente des imprécisions concernant la notion de « conditions hivernales » qui pourraient porter atteinte à l’intégrité de l’enveloppe des bâtiments et à la santé des occupants. En effet, suivant l’hypothèse des températures extérieures et intérieures considérées dans certaines zones climatiques, cet article pourrait avoir comme conséquence le non-traitement des ponts thermiques des bâtiments et aboutir à des solutions constructives moins performantes que la RT2012. A ce titre le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe recommande dans le cadre du label une température d’air de référence extérieure à -7°C, et une température d’air intérieure à +20°C, seule manière d’assurer la cohérence des exigences.2) Une méthode de suivi de la qualité des études à la réalisationLe CEREMA (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement) a publié en avril 2021 les résultats d’une étude intitulée « Bâtiments démonstrateurs à basse consommation d’énergie – Enseignements opérationnels Evaluations 2012-2019 ». Cette étude présente un retour d’expérience national portant sur 166 bâtiments à basse consommation. L’enseignement principal mis en avant est que les performances attendues à la conception ne sont pas atteintes en exploitation. L’étude note l’enseignement suivant sur les parois opaques : « Parois opaques : Maîtriser les points singuliers en particulier les ponts thermiques pour limiter les déperditions. Optimiser la mise en œuvre de l'isolation et de l'étanchéité à l'air »Le CEREMA met en avant que la seule solution est de penser la performance à toutes les étapes et d’intégrer la notion de « coût global ».Le GTQE est en accord avec cette position et promeut depuis plusieurs années la mise en œuvre d’une méthode de suivi de la qualité telle que le commissioning.Extrait du Livre Blanc du GTQE - 2018 : « Le commissioning fixe simplement un cadre afin d’identifier les causes d’erreurs possibles et mettre en cohérence les actions […]. Pour être efficace, le commissioning doit être intégré dès la passation des marchés ».Extrait du Communiqué de Presse du GTQE - Novembre 2020 : « Le commissioning d’un bâtiment peut être compris comme une démarche de qualité globale qui a pour objectif de garantir la conformité des performances du bâtiment avec les documents contractuels ». LE GTQE recommande la mise en place d’un suivi de la performance énergétique par une procédure de commissioning obligatoire dans le cadre du label. Si cette proposition apparaissait trop ambitieuse, le commissioning serait rendu obligatoire à minima pour les typologies de bâtiments suivants : petite enfance, EHPAD, santé, enseignement. Il recommande également de mettre à jour les bibliothèques de bases de données de ponts thermiques à partir des configurations et des méthodes constructives actuelles.3) Contrôle de l’application de la RE2020Le GTQE soutient également un contrôle indépendant de l’application de la RE2020 afin que la réglementation soit réellement efficace et qu’aucun moyen ne permette de s’en échapper. Cette méthode doit être définie précisément, articulée avec le suivi de la qualité (commissioning) et adoptée sur tous les projets soumis à la RE2020.Le GTQE recommande de mettre en place une méthode de contrôle de l’application de la RE2020 que ce soit en déclaratif de calculs ou en performances réelles par les services de l’urbanisme des collectivités locales.Alors que l'État français a récemment été condamné pour son inaction climatique, il est nécessaire que le Label RE2020 se montre ambitieux et techniquement irréprochable. Il convient de rappeler que les bâtiments construits à partir de 2020 représenteront 30% du parc immobilier français en 2050. Par conséquent, sans des exigences strictes et renforcées, ils ne pourront pas respecter les ambitions de la Stratégie Nationale Bas Carbone et il sera impossible de sortir de la spirale des rénovations coûteuses des logements.
Il y a 4 ans et 1 jours

Dans l'Orléanais, le pont Cotelle, symbole des petits ouvrages d'art à restaurer

REPORTAGE. L'État a débloqué 40 millions d'euros en décembre 2020 pour recenser et évaluer les ouvrages d'art communaux. Une première réponse au rapport du sénateur Hervé Maurey, rendu en juin 2019, qui dénonce l'état alarmant des ouvrages d'art en France. Pour sa part, la métropole d'Orléans (Loiret) n'a pas attendu l'implication des parlementaires pour surveiller et entretenir ses ponts, voire les reconstruire.
Il y a 4 ans et 8 jours

A Londres, Illuminated River et pollution lumineuse font le pont

Illuminated River est une collaboration de l&#8217;artiste new-yorkais Leo Villareal avec des architectes locaux (Lifschutz Davidson Sandilands) pour illuminer les ponts sur la Tamise. Idée lumineuse&#160;? Chronique d’Outre-Manche. Peu importent les signes du zodiaque, il n’y a pas de constellation d’étoiles plus grande que l’Emeu céleste. Cette forme longue comme un oiseau gracieux en vol [&#8230;] L’article A Londres, Illuminated River et pollution lumineuse font le pont est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 13 jours

Plus de 10 milliards d'euros du plan de relance pour les collectivités locales

Ces aides comprennent 2,5 milliards de financement exceptionnel pour l'investissement, dont 2 milliards déjà attribués pour 9.000 projets à l'initiative des collectivités locales et validés par les préfets, d'après Bercy.Par ailleurs, 3,7 milliards d'euros sont attribués aux collectivités sur des thématiques arrêtées au niveau national comme la réhabilitation de friches, la rénovation de ponts ou l'accélération de la transition numérique.Enfin, un mécanisme de compensation de pertes de recettes, notamment dans les transports en commun, a été mis en place pour 4,2 milliards d'euros, dont 2,8 milliards pour l'année 2020.Pour les transports en commun, ces compensations sont en majorité des avances remboursables avec des taux d'intérêt nul et dont la durée de remboursement est généralement comprise entre 6 et 10 ans."La priorité des prochaines semaines et des prochains mois", c'est de "déployer le plus vite possible le plan de relance pour que nos compatriotes en voient les résultats concrets dans les territoires, qu'ils voient qu'on commence à rénover tel bâtiment public, que telle piste cyclable va sortir de terre, que telle usine va pouvoir développer une nouvelle ligne de production", a détaillé le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, au cours d'une conférence de presse à Bercy.Il a souligné que la rapidité de la mise en oeuvre du plan avait permis de soutenir la croissance."Ce déploiement nous a permis d'obtenir au premier trimestre 2021, malgré les mesures de confinement, un bon chiffre de croissance" de 0,4%, a-t-il rappelé, "c'est un des meilleurs chiffres européens".Il a aussi confirmé "que nous visons pour 2021 un chiffre de croissance de 5% pour l'économie française et que nous continuons à viser de revenir à la situation d'avant-crise dès l'année 2022".Alors que des économistes plaident pour une rallonge du plan de relance français, Bruno Le Maire a souligné que la priorité était au déploiement des fonds déjà programmé, puis à l'évaluation des dispositifs déjà mis en place à partir du mois de juillet. "Nous verrons en septembre où en est notre économie et quels sont nos besoins: nous le ferons sur la base de cette évaluation qui aura été faite collectivement à l'été."Le ministre délégué aux Comptes publics Olivier Dussopt a pour sa part assuré que le gouvernement veillait à ce que les collectivités locales "conservent un maximum de leurs recettes de manière à préserver leur niveau d'épargne" et ainsi "leur propre capacité d'investissement et de co-financement".Fin 2020, ces collectivités ont vu leurs recettes de fonctionnement diminuer de 1,7% tandis que leurs dépenses de fonctionnement progressaient de 0,2%, soit l'augmentation la plus basse des 25 dernières années, a reconnu le ministre.Outre le maintien des dotations globales de fonctionnement promis par le président de la République, "nous avons mis en place au cours de l'année 2020 des mécanismes de protection en garantissant aux collectivités du bloc communal (communes et intercommunalités) le fait qu'elles disposeraient de recettes fiscales et domaniales au moins égales" à la moyenne de ces mêmes recettes "de 2017 à 2019", a-t-il fait valoir.Lundi, une enquête de l'Association des maires de France (AMF) révélait qu'un tiers des communes envisageaient d'augmenter cette année la taxe foncière pour faire face aux pertes de recettes provoquées par la crise sanitaire et la suppression progressive de la taxe d'habitation, qui, selon le secrétaire général de l'AMF Philippe Laurent, "n'est pas non plus compensée entièrement" par l'Etat.
Il y a 4 ans et 13 jours

Plan de relance: plus de 10 milliards d'euros pour les collectivités locales

Le gouvernement a annoncé jeudi 6 mai 2,5 Mds € de financement exceptionnel pour l'investissement, 3,7 Mds € pour la réhabilitation de friches, la rénovation de ponts ou l'accélération de la transition numérique et un mécanisme de compensation de pertes de recettes, notamment dans les transports en commun de 4,2 Mds €, dont 2,8 milliards pour l'année 2020.
Il y a 4 ans et 13 jours

L'entrevous Deltivoutain + CI d'Edilteco® France reçoit un avis technique du CSTB

Cet Avis Technique, document de référence pour les professionnels de la construction, certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier, et garantit la durabilité ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique.Un système ingénieuxHabituellement, les rupteurs sont des éléments indépendants, des pièces supplémentaires aux entrevous que les professionnels ajoutent à leur stock. Pour simplifier cela, DELTIVOUTAIN + CI a été conçu avec un rupteur intégré en sous face et sécable, de manière à faciliter la gestion des stocks et la préparation des chantiers. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN+ CI intègre dès sa fabrication un correcteur de pont thermique sécable (UP 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main.Parfaitement découpé à la forme de chaque entrevous, le rupteur vient ensuite se fixer sur la partie supérieure du hourdis.Conçu en polystyrène (PSE), une fois mis en œuvre, le rupteur va réduire le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur dans le cas d’une isolation par l’intérieur.Le rupteur sécable sur chaque entrevous corrige le pont thermique créé notamment par la continuité des éléments en béton de la dalle vers le chaînage du mur. Il sépare la partie courante du plancher avec celle du chaînage périphérique et l’interruption locale de la dalle de répartition sur tout ou partie de son épaisseur.Si l’utilisation du rupteur n’est pas nécessaire, la partie sécable reste en place et ne gêne pas la mise en œuvre de l’entrevous. Ce concept innovant de produit « 2 en 1 » permet aux artisans de ne pas avoir à gérer de stock de rupteurs sur leur chantier et génère beaucoup moins de déchets.Une mise en oeuvre rapide et pratiqueLa mise en œuvre de DELTIVOUTAIN + CI est similaire à celle des entrevous en polystyrène classiques, mais plus économique car elle ne nécessite pas de poutrelles périphériques et ne requiert pas de faux entraxe.En effet, l’entrevous de départ est un entrevous complet, non découpé, qui se pose en rive de plancher. Le rupteur sécable va venir se positionner au-dessus de l’entrevous de manière à épouser le chanfrein et assurer une parfaite correction du pont thermique dans le sens longitudinal, en rive du plancher. Il n’est donc pas nécessaire de poser une poutrelle en périphérie du plancher comme lors de l’utilisation de rupteurs longitudinaux « traditionnels ».Dans le sens transversal, de façon identique, le rupteur sécable sera recoupé pour être adapté à la largeur de l’entrevous, afin de juste le recouvrir. Il sera positionné sur la face supérieure afin d’assurer une correction du pont thermique en about de plancher.Afin de garantir le maintien des performances mécaniques, les entrevous ont une épaisseur de corps suffisante. En finalité, une seule découpe sera nécessaire pour la pose de l’entrevous d’arrivée, qui comme celui de départ, sera posé en rive de plancher, sans ajout de poutrelle.L’utilisation d’ancres plastiques sera nécessaire pour assurer le blocage des correcteurs de ponts thermiques lors du coulage du béton de la dalle.La livraison des poutrelles est systématiquement accompagnée d’un plan de préconisation de pose qui fournit les informations nécessaires à la mise en place des rupteurs.Caractéristiques techniquesLargeur du rupteur en partie haute : 50 mmUp 0.27 à 0,15Epaisseur des planchers compatibles : 17 – 20 - 25mm (hauteurs coffrantes intégrant 5 mm de béton)Entraxe des poutrelles des planchers compatibles :600 - 630/640 -700 mmLongueur des pièces CI : 1250 mm à recouper sur chantierPSE Certifié ACERMIDestiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d'assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l'isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en oeuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation.Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d'une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l'économie d'éléments structurels devenus inutiles
Il y a 4 ans et 16 jours

Une isolation extérieure au triple bénéfice pour une résidence à Montrouge

Les 48 familles locataires de la résidence de la Vanne, à Montrouge (Hauts-de-Seine), apprécient la nouvelle image de leur immeuble ainsi que le confort apporté par les travaux réalisés en 2019. Cet immeuble de neuf étages situé au 46 ter rue de la Vanne a été construit au tournant de la décennie 1970. Après une consultation des habitants en 2017, CDC Habitat Social lance un projet global de rénovation énergétique du bâtiment : l'isolation complète des façades, l'isolation de la toiture terrasse, l'installation d'un système performant de ventilation mécanique contrôlée (VMC), le remplacement de la ventilation des parties communes en tirage naturel par un dispositif sous asservissement et le remplacement des fenêtres et portes-fenêtres, ainsi que la rénovation des parties communes et l'aménagement des espaces extérieurs.Objectif label BBC Effinergie rénovationAvant travaux, la consommation énergétique du bâtiment calculée par le bureau d'études thermiques ATPS est de 212 kWh/m².an. « Notre objectif est d'atteindre après travaux le niveau de performance du label BBC Effinergie rénovation, soit une consommation d'énergie primaire de 104 kWh/m².an », avance Raphaël Athané, responsable de programmes au sein de Grand Paris Habitat, GIE maîtrise d'ouvrage de CDC Habitat.Pour les façades, c'est l'isolation thermique par l'extérieur (ITE) qui s'impose comme la solution la plus efficace pour atteindre cet objectif ambitieux puisqu'elle constitue une véritable enveloppe du bâtiment. En outre, elle présente l'avantage de ne pas réduire la surface habitable et d'être mise en œuvre sans entrer dans les logements. « Ce bâtiment du début des années 1970 se prêtait bien à une telle réhabilitation thermique, observe Raphaël Athané. Sa forme parallélépipédique sans décrochements, compacte, était particulièrement adaptée à une isolation par l'extérieur ».Isolant incombustibleMais l'incendie de la tour Grenfell reste dans toutes les mémoires. Survenu en juin 2017 dans un immeuble de logements sociaux de 24 étages à Londres, il a fait près de 80 morts. Le feu serait parti d'un studio du quatrième étage et se serait propagé par une fenêtre ouverte vers les étages supérieurs par le bardage et un isolant inflammable posés lors d'une récente rénovation.Depuis ce drame, la réglementation est plus exigeante, demandant dans certains cas de vérifier la masse combustible mobilisable en cas d'incendie. Aussi les professionnels se montrent-ils prudents dans le choix des isolants.Pour la résidence de la Vanne, le maître d'œuvre Eric Roumilhac choisit la sécurité en prescrivant sur l'ensemble de la façade la mise en œuvre d'un système d'isolation extérieure avec isolant incombustible constitué de panneaux de laine de roche. « Avec une épaisseur de 160 mm de laine de roche, nous améliorons même grandement le niveau de sécurité de l'existant vis-à-vis du risque de propagation d'un incendie par la façade car les portes-fenêtres superposées sont ici très proches et ne sont pas séparées par des dalles de balcons », argumente Eric Roumilhac.Préparation du supportSuite à l'appel d'offres, c'est la société Isovéo qui est sélectionnée pour réaliser les travaux d'isolation de façade. Créée en 2014 par Adam Saadana, cette jeune entreprise en pleine croissance compte aujourd'hui une quinzaine de salariés et réalise des chantiers de ravalement et d'ITE dans toute l'Île de France.Six compagnons œuvreront en 2019 sur le chantier pendant huit mois, en se coordonnant avec l'entreprise chargée du remplacement des menuiseries, pour venir à bout des quelque 1 400 m² d'ITE. « Les façades d'origine en béton ne présentent aucune pathologie particulière, constate le dirigeant de l'entreprise, si ce n'est un encrassement naturel dû à la pollution et aux intempéries. »Une fois les trois nacelles installées sur la façade, les compagnons réalisent un sondage général et le piochage des quelques parties de béton non adhérentes (cloquage/ parties soufflées). Après un lavage de toute la surface avec ajout d'un décontaminant anticryptogamique, les fers apparents sont dérouillés et passivés par l'application d'un anti rouille puis les éclats de béton réparés. La pose de l'ITE peut alors commencer.Une façade lissée« Sur ce premier gros chantier que nous réalisions avec des produits Sto, un conseiller technique s'est rendu sur le site pour réaliser la préconisation technique, se souvient Adam Saadana. Il nous a guidés dans le choix des produits et nous a apporté des conseils de mise en œuvre ». Les panneaux de laine de roche de 160 mm d'épaisseur sont calés et chevillés sur le support. Les nez de dalles saillants du bâtiment d'origine, sources de ponts thermiques, sont enveloppés dans l'isolant. Les compagnons doivent ainsi jouer avec les différences d'épaisseurs pour lisser la façade dont l'aspect se trouve modernisé. Quant aux encadrements de fenêtres, ils sont isolés avec 40 mm de laine de roche.Une couche de base armée d'un treillis d'armature en fibre de verre est ensuite posée sur l'isolant. Il s'agit du même mortier-colle (StoLevell Uni) qui a servi à coller celui-ci sur la façade.Enfin, l'enduit de parement Stolit K taloché d'aspect mat vient assurer la finition du système d'ITE. Il a été choisi dans une teinte lumineuse : un blanc légèrement teinté de gris (RAL 9001).Les appuis de fenêtre sont habillés de tôle d'aluminium 20/10e prélaqué formant goutte d'eau, comme les couvertines des acrotères.L'objectif de performance thermique est atteint et même dépassé puisque la consommation énergétique est désormais de 101 kWhep/m².an. Et la résidence a gagné une image modernisée.Fiche technique Type de bâtiment : isolation par l'extérieur d'un immeuble de logementsLocalisation : 46 ter rue de la Vanne, 92120 MontrougeSurface de façade traitée : 1 400 m² Maître d'ouvrage : CDC Habitat Social – GIE Grand Paris HabitatArchitecte : David GoiMaître d'œuvre d'exécution : Eric Roumilhac, économiste de la constructionEntreprise applicatrice : IsoveoDate de livraison : 2020Solutions utilisées : ITE StoTherm Minéral avec isolant laine de roche et enduit de finition Stolit K 1,5
Il y a 4 ans et 21 jours

Les ponts du Val de Loire objets de toutes les attentions

Les ponts du Val de Loire constituent un motif emblématique du paysage exceptionnel du Val de Loire, reconnu au niveau international. Dans le but de mieux connaître, préserver et mettre en valeur ce patrimoine remarquable, la DRAC Pays de Loire pilote une étude typologique menée par le cabinet Paume, en partenariat avec l’École des arts et métiers d&rsquo;Angers et la Conservation départementale du patrimoine de Maine et Loire. Elle co-organise, avec la Mission val de Loire, un séminaire radio et une exposition programmée pour l&rsquo;été 2021 à Chalonnes-sur-Loire, en partenariat avec la municipalité, grâce au concours du photographe Thierry Degen. Un podcast de 6 épisodes est prévu autour des notions de connaissance, transmission, transformation, restauration, contemplation&#8230;
Il y a 4 ans et 23 jours

Avis technique pour le Deltivoutain+CI d’Edilteco

Deltivoutain+CI d’Edilteco bénéficie désormais d’un Avis technique du CSTB. [©Edilteco] Deltivoutain+CI&nbsp;(pour correcteur intégré) est un entrevous à rupteur de pont thermique intégré. Très fonctionnel, ce rupteur est intégré en sous face dès la fabrication de l’entrevous. Il offre une correction thermique&nbsp;Up&nbsp;< 0,27&nbsp;W/m2.K. Il est&nbsp;sécable et se casse aussi à la main. Brevetée, cette solution bénéficie désormais d’un Avis technique du CSTB. Ce dernier est délivré par les groupes spécialisés 3.1 (Planchers et accessoires de plancher) et 20 (Produits et procédés spéciaux d’isolation). Cet Avis technique garantit la durabilité, ainsi que l’efficacité du correcteur de ponts thermiques. En parallèle, les professionnels du BTP ont plébiscité le&nbsp;Deltivoutain+CIpar le biais de la 9eédition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du secteur. Ils ont décerné à Edilteco France le label “Elu innovation par les professionnels du BTP”, dans la catégorie “Structure, Façade, Maçonnerie”. Ce concours est une distinction qui salue la force novatrice de l’entreprise en matière technique et technologique.
Il y a 4 ans et 26 jours

Avec le dispositif "ponts connectés", l'Etat veut moderniser ses infrastructures

INFRASTRUCTURES. Le ministre chargé des Transports vient d'annoncer les lauréats du programme "ponts connectés", pour assurer la maintenance des ponts dans l'hexagone. Des outils technologiques seront déployés, notamment des capteurs pour notifier des changements de comportement structural.
Il y a 4 ans et 26 jours

Dix-sept projets retenus pour une surveillance intelligente des ponts

Les solutions retenues, qui font beaucoup appel aux capteurs autonomes sans câblage des ouvrages et à l'intelligence artificielle, ont été annoncées vendredi par le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari, lors d'une visite au viaduc de Millau (Aveyron), selon ses services.Le ministère avait reçu 39 candidatures et un jury d'experts a sélectionné les projets "les plus porteurs, les plus intéressants aussi en termes de potentiel d'innovations", a-t-on précisé dans son entourage.Les lauréats vont installer des démonstrateurs sur des ponts, "et si ces démonstrateurs fonctionnent bien, ce que l'on souhaite, ils pourront être déployés à plus grande échelle", a-t-on ajouté de même source.L'Agence nationale de la cohésion des territoires et le Cerema avaient appelé à "penser autrement" la surveillance de l'état des ponts en utilisant "les dernières innovations en matière d'instrumentation, télécommunication, traitement de données et intelligence artificielle (...) en complément des méthodes classiques d'inspections visuelles".Ces expérimentations devraient coûter 8 millions d'euros, dont 4 millions apportés par le gouvernement.Dans la foulée de l'effondrement du viaduc de Gênes (Italie) en août 2018 et avant celui d'un pont à Mirepoix-sur-Tarn (Haute-Garonne) en novembre 2019, un rapport sénatorial avait pointé en juin 2019 l'état préoccupant d'"au moins 25.000 ponts" routiers en France, mettant l'accent sur l'assistance aux petites collectivités territoriales.Parmi ces ouvrages problématiques, les sénateurs avaient compté 7% des ponts de l'Etat, 8,5% des ponts des départements, et "probablement 18 à 20%" des ponts des communes et des intercommunalités, s'étonnant de l'"absence d'un recensement exhaustif des ponts gérés par les collectivités territoriales".Les sénateurs avaient réclamé un "plan Marshall" pour les ponts, avec un fonds d'aide aux collectivités locales doté de 1,3 milliard d'euros sur dix ans.Le gouvernement a débloqué en décembre une enveloppe de 40 millions d'euros pour que les petites communes puissent recenser et évaluer leurs ponts, avec l'assistance du Cerema.Les communes ont jusqu'au 30 avril pour déposer leur demande, a rappelé le ministère vendredi. La réalisation des recensements et visites sur le terrain devrait démarrer cet automne, a-t-il précisé.
Il y a 4 ans et 26 jours

Huit millions d'euros et dix-sept solutions pour ausculter les ponts des collectivités

Les entreprises lauréates de l’appel à projet « ponts connectés » ont été désignées par le ministre délégué aux transports lundi 23 avril. Cette initiative doit permettre de développer des solutions facilitant l’entretien des ouvrages pour les collectivités de taille modeste.
Il y a 4 ans et 28 jours

Paris-2024 : soupçons de propos sexistes et racistes, trois salariés de la Solideo suspendus

Cette enquête a été confiée "il y a quelques jours" au déontologue de la Solideo à la suite de l'envoi de questions par le journal en ligne Mediapart au sujet de propos sexistes, racistes et homophobes tenus au sein de l'établissement public, selon La Solideo."Nous avons été saisis de questions de la part de Mediapart qui nous a rapporté des accusations extrêmement graves et choquantes, suffisamment graves pour déclencher une enquête en interne et suspendre trois salariés afin de pouvoir établir la véracité des choses", a-t-elle expliqué.Selon les témoignages recueillis par Mediapart qui a publié dimanche un article sur le sujet, sur les trois salariés visés par ces accusations, deux sont des cadres de la société placés à des postes-clés."Il y a déjà eu des dysfonctionnements dans le passé qui ont été traités avec sérieux et à la hauteur de ce qui avait été établi, pas forcément sur les mêmes salariés. Mais là, il s'agit de nouvelles accusations, extrêmement graves", a précisé la Solideo.L'audit pourrait déboucher sur des sanctions concernant les salariés visés par ces accusations, a-t-elle ajouté.La Solideo, établissement public industriel et commercial (Epic) qui emploie une centaine de salariés, est présidée par la maire PS de Paris Anne Hidalgo.Chargée de construire les ouvrages pérennes pour les JO de Paris, la Solideo supervise 62 ouvrages allant du village des athlètes à des rénovations de gymnases, en passant par des ponts et passerelles."Les comportements déviants peuvent arriver dans n'importe quelle organisation", a réagi, contacté par l'AFP, le cabinet d'Anne Hidalgo qui affirme ne pas avoir eu connaissance de "l'étendue des accusations" avant l'enquête de Mediapart.Selon ce dernier, le cabinet a pourtant récupéré en novembre 2020 le rapport d'une ancienne directrice de la communication de Solideo alertant sur les "propos misogynes, racistes et homophobes échangés au quotidien".Si "cette ex-collaboratrice licenciée" a bien "fait état d'une série de choses" auprès du cabinet, celui-ci a "clos le chapitre" car la personne en question n'a pas "voulu saisir officiellement la maire, préférant s'en tenir à une solution transactionnelle avec son employeur"."Si ce que dit Mediapart est avéré, c'est particulièrement choquant", ajoute l'équipe de l'élue socialiste, qui "fait confiance" au directeur général de Solideo Nicolas Ferrand "pour prendre les décisions qui s'imposent à l'issue de l'enquête contradictoire"."Aucune décision n'a été prise pour lutter contre les responsables de tels propos jusqu'à ce que Mediapart s'en saisisse et enquête", a dénoncé la conseillère de Paris (La France Insoumise) Danielle Simonnet."A la Mairie de Paris, de tels faits se multiplient et revêtent un caractère systémique", soutient l'opposante à la maire, qui reproche à l'exécutif parisien de "couvrir les agissements et propos sexistes, racistes, LGBTphobes, au nom de l'entre-soi".
Il y a 4 ans et 29 jours

Schöck dévoile le dernier né de sa gamme de rupteurs de ponts thermiques, Rutherma type DFi

Une réponse concrète à la réglementation thermique qui évolue en réglementation environnementale, avec un atout décarbonationLe DFi fait peau neuve en matière thermique, fort d’un nouveau corps isolant, du Néopor® (alliage de styrène et de graphite de granit) en lieu et place du polystyrène expansé. Cette évolution s’accompagne d’une meilleure conductivité thermique puisqu’il passe d’un lambda de 0.035 w/m.K à 0.031 w/m.K. L’innovation Schöck porte aussi sur un nouveau positionnement des aciers inox du Rutherma DFi, conférant un triple intérêt. D’abord structurel, car la conséquence directe est d’augmenter ses efforts tranchants de 22 % ainsi que la reprise des moments jusqu’à 83 %. Puis thermique, puisque le nombre d’aciers inox a été réduit sur sa longueur d’1 mètre, sachant que moins d’aciers se traduit par moins de conductivité thermique, donc plus de performance thermique. Enfin, le DFi se prévaut d’un faible poids en carbone (kilo de CO2/Ml), grâce à la faible densité de ses armatures en inox.En cours de validation, une FDES pour le DFi devrait bientôt figurer dans la base INIES et confirmera, à l’instar des modèles type DF, qu’il s’impose comme le rupteur de ponts thermiques le plus économe du marché en matière de carbone. Schöck prend soin de toujours faciliter le travail des professionnels du bâtiment et de répondre ainsi à leurs attentes. Soulignons que Rutherma DFi assure une mise en œuvre, simple, rapide et sécure, grâce au système tenon-mortaise (emboîtement entre chaque rupteur) et aux pattes de fixation en forme de Z.
Il y a 4 ans et 29 jours

Avis technique pour l’entrevous « DELITIVOUTAIN + CI »

« DELTIVOUTAIN + CI » d’Edilteco France est un entrevous avec un rupteur intégré permettant d’amoindrir limiter les ponts thermiques. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB&hellip;Cet article Avis technique pour l’entrevous « DELITIVOUTAIN + CI » est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 30 jours

L’entrevous « Deltivoutain + CI » d’EDILTECO® France reçoit un avis technique du CSTB et la reconnaissance des professionnels du btp avec le label Sageret

« DELTIVOUTAIN + CI » – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré permettant de limiter les ponts thermiques. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1« Planchers et accessoires de plancher » qui ont examiné respectivement ce procédé. Cet Avis Technique, document de référence pour les professionnels de la construction, certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier, et garantit la durabilité ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique. De leur côté les professionnels du BTP ont plébiscité cette innovation par le biais de la 9ème édition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du BTP. Les professionnels ont décerné à EDILTECO® France le label « Élu innovation par les professionnels du BTP », dans la catégorie « Structure, Façade, Maçonnerie », pour le DELTIVOUTAIN + CI. Ce concours qui distingue et récompense les produits et les matériels les plus innovants dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, est, pour EDILTECO®, un véritable gage de reconnaissance de la qualité et des performances de ses produits par ses pairs. C’est également une distinction qui salue la force novatrice de l’entreprise en matière technique et technologique. UN SYSTEME INGENIEUX Habituellement, les rupteurs sont des éléments indépendants, des pièces supplémentaires aux entrevous que les professionnels ajoutent à leur stock. Pour simplifier cela, DELTIVOUTAIN + CI a été conçu avec un rupteur intégré en sous face et sécable, de manière à faciliter la gestion des stocks et la préparation des chantiers. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre dès sa fabrication un correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Parfaitement découpé à la forme de chaque entrevous, le rupteur vient ensuite se fixer sur la partie supérieure du hourdis. Conçu en polystyrène (PSE), une fois mis en œuvre, le rupteur va réduire le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur dans le cas d’une isolation par l’intérieur. Le rupteur sécable sur chaque entrevous corrige le pont thermique créé notamment par la continuité des éléments en béton de la dalle vers le chaînage du mur. Il sépare la partie courante du plancher avec celle du chaînage périphérique et l’interruption locale de la dalle de répartition sur tout ou partie de son épaisseur. Si l’utilisation du rupteur n’est pas nécessaire, la partie sécable reste en place et ne gêne pas la mise en œuvre de l’entrevous. Ce concept innovant de produit « 2 en 1 » permet aux artisans de ne pas avoir à gérer de stock de rupteurs sur leur chantier et génère beaucoup moins de déchets. &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE RAPIDE ET PRATIQUE La mise en œuvre de DELTIVOUTAIN + CI est similaire à celle des entrevous en polystyrène classiques, mais plus économique car elle ne nécessite pas de poutrelles périphériques et ne requiert pas de faux entraxe. En effet, l’entrevous de départ est un entrevous complet, non découpé, qui se pose en rive de plancher. Le rupteur sécable va venir se positionner au-dessus de l’entrevous de manière à épouser le chanfrein et assurer une parfaite correction du pont thermique dans le sens longitudinal, en rive du plancher. Il n’est donc pas nécessaire de poser une poutrelle en périphérie du plancher comme lors de l’utilisation de rupteurs longitudinaux « traditionnels ». Dans le sens transversal, de façon identique, le rupteur sécable sera recoupé pour être adapté à la largeur de l’entrevous, afin de juste le recouvrir. Il sera positionné sur la face supérieure afin d’assurer une correction du pont thermique en about de plancher. Afin de garantir le maintien des performances mécaniques, les entrevous ont une épaisseur de corps suffisante. En finalité, une seule découpe sera nécessaire pour la pose de l’entrevous d’arrivée, qui comme celui de départ, sera posé en rive de plancher, sans ajout de poutrelle. L’utilisation d’ancres plastiques sera nécessaire pour assurer le blocage des correcteurs de ponts thermiques lors du coulage du béton de la dalle. La livraison des poutrelles est systématiquement accompagnée d’un plan de préconisation de pose qui fournit les informations nécessaires à la mise en place des rupteurs. &nbsp; CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES – Largeur du rupteur en partie haute : 50 mm – Up 0.27 à 0,15 – Epaisseur des planchers compatibles : 17 – 20 – 25 mm (hauteurs coffrantes intégrant 5 mm de béton) – Entraxe des poutrelles des planchers compatibles : 600 – 630/640 -700 mm – Longueur des pièces CI : 1250 mm à recouper sur chantier – PSE Certifié ACERMI Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 4 ans et 33 jours

Rénovation énergétique : "S'impliquer dans cette filière, c'est sauver la planète"

ÉNERGIE. La députée Marjolaine Meynier-Millefert a tenu une conférence sur le thème de la décarbonation du bâtiment à l'École des Ponts ParisTech. Elle a appelé les acteurs du bâtiment à se rassembler et à favoriser la formation, alors que la demande de rénovation explose.
Il y a 4 ans et 36 jours

Hausse des matières premières : une crise à facteurs multiples

La hausse des coûts de matières premières impacte directement la production des matériaux de construction. [©ACPresse] Depuis plusieurs mois, le secteur des matériaux de construction est touché par une hausse des coûts de matières premières, voire de pénurie… Les différents syndicats et regroupements de professionnels alertent sur ces phénomènes qui impactent toute la chaîne de valeur. En cause ? Un amoncellement de facteurs. Pour Frédéric Boisse, secrétaire général du SNMI1 et du Mur Manteau : « Il y a eu plusieurs points de chauffe. Au Texas, l’hiver a été très rude et les productions de pétrole en ont subi les conséquences. Le pétrole est devenu plus rare et cela a généré une augmentation des prix du baril et donc des matières chimiques. » De son côté, le Syndicat national des industries de peinture, enduit et vernis (Sipev) fait le même constat. « Nous traînons plusieurs “boulets” et des difficultés d’approvisionnement, détaille Pascal Hoareau, président du Sipev. C’est une accumulation d’évènements qui a engendré l’augmentation des prix et la raréfaction des produits. Par exemple, une importante industrie a brûlé en Allemagne. Le Brexit impacte le transit du titane. Et certaines résines passent par le Texas qui a vécu une vague de froid. De nombreux matériaux sont concernés. Nous n’avons jamais connu ça auparavant. Toutes les entreprises sont touchées, que ce soit des PME ou des grands groupes. Pour la première fois, nous sommes obligés de refuser des commandes. Nous n’arrivons plus à fournir. Alors que nous sentons une reprise avec une augmentation de la demande dans le bâtiment. Mais nous ne fabriquons pas suffisamment en Europe. Car il n’y a pas que la France qui est concernée. » Une multitude de facteurs ont impacté le marché des matières premières Et Amaury Omnès, président de Afipeb2, de poursuivre : « Nous sommes dans un environnement mouvant. Cette hausse des prix est un record historique absolu et le styrène est très concerné ». Selon l’Association, le prix des billes de styrène aurait ainsi augmenté de 100 % depuis le premier déconfinement, c’est-à-dire, il y a moins d’un an. « De plus, les coûts des flux intercontinentaux ont explosé. C’est un phénomène unique. » La question de l’indépendance et de la réindustrialisation en France est essentielle. [©ACPresse] En effet, la crise sanitaire a engendré une déstructuration des marchés. D’autant plus que l’Asie a repris de plus belle depuis plusieurs mois. La Chine a mis un coup d’accélérateur dans son développement. « Le pays est en pleine expansion et investit dans ses structures et infrastructures, observe Frédéric Boisse (SNMI). Il absorbe naturellement les matières premières. La France ne détient pas des tonnes de matières de base et transformés ou des métaux rares… » Et Amaury Omnès (Afipeb) de compléter, « La Chine a repris très fortement et compte entre six mois et un an d’avance… » Tous les matériaux impactés Avec cette crise majeure pour les acteurs du BTP, la question de l’indépendance et de la réindustrialisation française est essentielle. « Il y a une réflexion à avoir sur la production européenne, reprend Amaury Omnès. Nous avons besoin de l’industrie en France. Nous avons pu le remarquer pendant cette pandémie. » Pascal Hoareau (Sipev) appuie cette réflexion. « Il faut se réveiller au niveau de l’Europe et reprendre notre indépendance. Il y a encore des freins à la relocalisation. Nous désintéressons les investisseurs avec trop de contraintes et un peu trop de rigueur. En France, le Plan de relance ne met pas suffisamment les moyens pour attirer les industries dans nos régions. Au Sipev, nous sommes engagés dans la chimie du végétal et le biosourcé. Ce sont des sources stratégiques d’autonomie. » Aujourd’hui, il est difficile de savoir quand la course folle des prix va s’arrêter. Selon le Synad : « La situation est complexe et mondiale, ce qui rend difficile de savoir jusqu’où iront les pénuries de matières premières et leurs conséquences. Ne disposant pas de visibilité à court terme, nos adhérents restent mobilisés. » Et Frédéric Boisse, de conclure : « Il faut travailler avec bon sens et solidarité, et éviter de tomber dans la spirale de la surconsommation, comme on a pu l’observé avec l’achat massif de papier toilettes lors du premier confinement… » 1Syndicat national des mortiers industriels.2Association française de l&rsquo;isolation en polystyrène expansé dans le bâtiment.
Il y a 4 ans et 40 jours

JO-2024 de Paris : le village des médias a-t-il la poisse ?

Avec le village des athlètes et le centre aquatique olympique (CAO) de Saint-Denis, le village des médias fait partie des chantiers amiraux des JO-2024. Leur lancement s'échelonne sur 2022 et tout doit être bouclé pour décembre 2023. Construit sur les communes de Dugny, La Courneuve et Saint-Denis, et sur une partie du parc départemental Georges-Valbon, le village des médias doit accueillir techniciens et journalistes du monde entier à l'été 2024, avant d'être transformé en éco-quartier de 1.300 logements."La Seine-Saint-Denis a besoin de logements", répètent en coeur élus et aménageurs, qui réclament la part "d'héritage" promise par les JO pour ce département très pauvre.Un argument martelé en septembre dernier quand le village des médias semblait menacé au milieu de discussions des organisateurs visant à faire des économies. Il sera finalement construit en deux fois, avant et après 2024. Mais, la suspension ordonnée mardi par la Cour administrative d'appel de Paris fait figure de premier obstacle judiciaire dans le mécano des JO. Jusqu'ici, seul un échangeur autoroutier à Saint-Denis avait donné lieu à une procédure, mais les travaux avaient pu reprendre."Regarder l'impact""Il faut regarder l'impact sur le calendrier et les suites", explique pudiquement la Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques), affairée depuis mardi soir à éplucher l'ordonnance en référé qui a suspendu une partie de l'autorisation environnementale délivrée par le préfet de Seine-Saint-Denis en novembre 2020.Celui-ci peut représenter une autorisation, en attendant un recours au fond qui prendra sans doute plusieurs mois. Depuis un an, le directeur général de la Solideo, Nicolas Ferrand, l'assure: malgré le confinement, "les délais sont tenus". Chargée de construire les ouvrages pérennes pour les JO, elle supervise 62 ouvrages allant du village des athlètes à des rénovations de gymnases, en passant par des ponts et passerelles.S'agissant du village des médias, le temps presse néanmoins.Selon les termes de l'ordonnance, la Solideo et la préfecture de Seine-Saint-Denis, ont défendu l'urgence des travaux, car "les tâches de viabilisation réalisées doivent impérativement être effectuées avant la mise à disposition des lots aux opérateurs immobiliers, dont le début des chantiers doit se faire au plus tard le 30 septembre 2021".En clair, les lots ont été attribués à des promoteurs et doivent être viabilisés d'ici septembre, afin d'être à l'heure pour les Jeux.JO prétextePour les deux associations qui ont saisi la justice (le Mouvement national de lutte pour l'environnement MNLE 93 et le Collectif pour le Triangle de Gonesse), il s'agit d'une opération d'aménagement nocive pour l'environnement, avec les JO en guise de prétexte.A cet égard, le juge des référés a mis en avant le fait qu'il n'est pas avancé de "solutions alternatives permettant de limiter l'atteinte portée aux espèces protégées et, en particulier, d'éviter l'urbanisation, sur une superficie d'environ huit hectares, de la frange sud-ouest de l'aire des Vents laquelle pouvait en tout état de cause faire l'objet d'une réhabilitation adaptée à son état"."On est dans l'aménagement du territoire plus que dans les Jeux", reconnait l'un des acteurs du dossier. Quant un autre concède "des difficultés" sur le village des médias, "depuis la candidature" de la France aux JO. "En même temps, politiquement, ce serait compliqué d'y renoncer", commente une autre source.Interrogé par l'AFP, le conseil départemental de Seine-Saint-Denis n'a pas encore réagi.Autre péripétie autour du village, la plus grande incertitude règne autour de sa desserte via la ligne 16, au Bourget, qui a peu de chance d'être prête à temps.De son côté, le comité d'organisation Paris 2024, chargé d'organiser les épreuves, dont l'épreuve de tir non loin du village des médias, n'a pas souhaité s'exprimer.
Il y a 4 ans et 42 jours

La neutralité carbone sur le Pont

L’école des Ponts ParisTech organise un webinaire international sur le bâtiment. Intitulé "Stratégie Neutralité Carbone dans l'immobilier et le bâtiment à travers le monde à horizon 2050", il aura lieu du 12 au 16 avril.
Il y a 4 ans et 42 jours

Visite virtuelle de la Tour Heinrich des Ponts-Couverts de Strasbourg

Numérisée en 3D, dans le cadre d’un projet d’étude mené par la DRAC Grand Est, en partenariat avec l’Eurométropole de Strasbourg et l’INSA de Strasbourg, la tour Heinrich des Ponts-Couverts, monument emblématique de Strasbourg, inaccessible au public, est proposée en visite virtuelle. Les Ponts-Couverts de Strasbourg, qui dans leur état actuel datent d’une reconstruction dans les années 1860, sont des vestiges des fortifications de la ville. Reconstruits une première fois au XVIe siècle, à l&#8217;emplacement des anciens ponts couverts (« gedeckten Brücken ») médiévaux, dont les plus anciens témoignages remontent au XIIIe siècle, ils ont perdu leurs toits et leurs galeries en bois depuis le XVIIIe siècle. Lisa Urfer et François Potentini, étudiants en 5e année à l&rsquo;INSA, ont collaboré avec Maxime Werlé et participé à la numérisation 3D de la tour. Dans le cadre de son projet de fin d&rsquo;études (PFE), Lisa Urfer poursuit des travaux de modélisation de la tour Heinrich. https://www.youtube.com/watch?v=7tRatINzri4 &nbsp;
Il y a 4 ans et 47 jours

Rénover une terrasse avec Owatrol

Synonyme de fiabilité et d'authenticité, le bois est souvent choisi dans les constructions de notre nouveau millénaire en particulier pour les terrasses qu'il habille avec sa beauté naturelle. Attention : qui dit beauté, dit soin ! L'heure n'est plus au délaissement et la tendance est à l'entretien pour faire renaître, à la protection pour faire durer ! On ne change pas, on prend soin, on améliore, on pérennise ! Pérenniser n'est pas si simple : il faut apprendre les bons réflexes car le bois vit et requiert une attention particulière. Le secret : avant de lui appliquer quelque finition que ce soit, il faut qu'il soit propre, puis choisir la finition adaptée.Marche à suivre et conseils d'OwatrolÉtape nettoyage : rappels essentielsOn dégrise un bois gris par l'usure du temps (UV, pluie …).On déshuile un bois encrassé par une ancienne finition huilée qui a cuit au soleil.On décape un bois avec un ancien revêtement très filmogène ou une ancienne peinture.Les conseils nettoyage d'Owatrol® :NET-TROL®, véritable cure de jouvence, dégrise en 15 min les bois juste gris, suivi d'un rinçage.AQUANETT® déshuile les bois encrassés par de vieilles huiles en 20 minutes, suivi d'un rinçage puis stabilisation.DILUNETT® décape jusqu'à 8 couches de peinture ! Suivi d'un rinçage puis stabilisation.Une fois le bois prêt, il faut le protéger :Étape protection - choisir la finition : huile, lasure ou saturateurL'huile apporte un bel aspect mais va souvent noircir dans le bois sous l'effet des UV et risque de l'encrasser. L'entretien est alors plus compliqué.La lasure apporte une finition filmogène qui risque de s'écailler dans le temps, il faudra décaper pour la maintenance.Le saturateur nourrit le bois en profondeur par imprégnation, sans laisser de film en extérieur. L'entretien est simple.Les conseils d'Owatrol® : le cas des bois exotiquesLes bois exotiques, ou les bois durs d'une façon générale, véhiculent l'idée qu'ils vont durer toujours tant ils sont durs et donc résistants… Mais comme toutes les autres essences, sans protection ils vont griser, ternir, se tacher, se déformer et parfois même se fendiller.Avec leurs pores très fins ou fermés ces bois denses ne laissent pas les produits pénétrer. Il faut donc un produit avec d'excellentes qualités de pénétration pour contrer cette densité. Seuls les saturateurs imprègnent et pénètrent en profondeur.Zoom : AQUANETT® + NET TROL® + d.1 "qualité marine" : comment rénover une terrasse en teckCette terrasse anciennement lasurée, grisée et vieillie sous l'effet des UV a été d'abord déshuilée avec AQUANETT® puis stabilisée et éclaircie au NET-TROL®. Ensuite pour nourrir son bois dense, le D.1 a été préconisé.D.1 mode d'emploi : Comme son titre l'indique, le D.1 possède des qualités marine qui font toute la différence. Il a été conçu pour les ponts de bateaux des climats extrêmes de Scandinavie pour résister à toutes les agressions violentes de ces latitudes vents, soleil, sel, pluie, neige. Sa résistance hors pair l'a fait tout naturellement gagner la terre ferme et ses qualités d'imprégnation exceptionnelles en font un saturateur de choix.Grâce à sa formulation technique qui lui confère une extrême fluidité, il rentre dans les supports pour les protéger de l'intérieur, en s'infiltrant partout. Il apporte en profondeur tous les principes actifs qui vont nourrir de l'intérieur, les fibres du bois exotique. À base d'huiles végétales, le D.1 nourrit intensément en profondeur.Dedans et aussi dehors : en rentrant dans le support, le D.1 ne laisse pas de film en surface et fait corps avec le bois en l'imprégnant : la protection est totale. Il le protège alors durablement de l'abrasion et des agressions.Maintenance simplifiée : grâce à l'effet vaccin du saturateur qui reste en mémoire dans le support, il suffit d'une passe en entretien après le nettoyage du bois au NET-TROL®.
Il y a 4 ans et 58 jours

LafargeHolcim entre au capital de XtreeE, dont il devient un des actionnaires de référence

Actionnaire d’XtreeE à hauteur de 20%, LafargeHolcim France devient administrateur et rejoint ainsi les Cofondateurs de l’entreprise, Vinci Construction Invest et le fonds d’investissement Shibumi International. Cette opération vise à renforcer l’association des savoir-faire techniques et de R&D entre les deux entreprises pour accélérer le développement et la commercialisation de solutions industrielles 4.0 pour la construction durable de bâtiments et d’infrastructures.L’impression 3D de matériaux pour la construction est en effet une des réponses à la nécessaire transition écologique de ce secteur économique. Elle permet de :limiter les quantités de matériaux utilisées grâce à la conception et à la fabrication numériques : jusqu’à moins 60% de béton en moins sur certaines réalisations ;mettre en œuvre de nouveaux matériaux imprimables structurels à empreinte CO2 réduite ; réaliser des éléments structurels complexes en béton imprimé à coûts et délais maîtrisés grâce à des solutions sur mesure ;réduire les nuisances des chantiers et d’améliorer la qualité des constructions, grâce à la fabrication hors-site.Ainsi, en prévision des Jeux Olympiques de 2024, le groupement Freyssinet / Lavigne & Cheron Architectes / Quadric / XtreeE / LafargeHolcim travaille déjà à la conception et la réalisation pour Plaine Commune Grand Paris d’une passerelle piétonne de 40 mètres franchissant le canal Saint Denis. Son tablier sera entièrement réalisé en béton imprimé 3D structurel, permettant ainsi de réduire de 60% les quantités de matière nécessaires et donc l’empreinte carbone de l’ouvrage.« La transformation écologique du secteur de la construction et plus particulièrement du béton passe aussi par la révolution numérique et les nouvelles performances environnementales qu’offre l’impression 3D. En renforçant notre partenariat stratégique avec XtreeE, un des leaders les plus innovants dans ce domaine, nous ouvrons un nouveau chapitre pour nos matériaux innovants et pour l’évolution des modes constructifs. »François Petry, directeur général de LafargeHolcim FranceXtreeE, développeur d’un réseau international pour l’impression 3D bétonXtreeE vise à accélérer en France et à l’international le développement d’un réseau d’unités industrielles d’impression 3D connectées.En effet, après son usine pilote de Rungis, un premier système opérationnel à l’École des Ponts ParisTech (France) et l’ouverture aux Emirats Arabes Unis en juin 2019 d’une deuxième unité de production, XtreeE a accéléré son déploiement en 2020 avec deux nouvelles unités, au Japon et aux États-Unis. Trois autres unités verront le jour en 2021. Ce réseau doit permettre à terme de produire efficacement, aux quatre coins du globe, des éléments de construction structurels sur mesure, sur la base de sa technologie.XtreeE pourra désormais bénéficier de la forte implantation internationale de LafargeHolcim, de ses capacités de R&D sur son site de L’Ile d’Abeau (France) et de la force de prescription d’un acteur leader dans les matériaux de construction innovants.« L’expertise de LafargeHolcim dans les bétons à haute performance, ainsi que ses savoir-faire sur toute la chaîne de valeur de la construction vont venir enrichir le développement national et international de notre réseau d’unités d’impression 3D connectées. Avec ce réseau, nos clients acquièrent non seulement la capacité de produire eux-mêmes, au plus proche de leur marché, mais aussi la maîtrise de la chaîne numérique, de la conception à la réalisation »Alban Mallet, CEO d’XtreeE
Il y a 4 ans et 65 jours

Comment procéder à l’isolation des murs intérieurs ?

Le sentiment de confort à l’intérieur de l’habitat est majoritairement dû à sa température ambiante. En effet, une température adaptée à la saison, chaud en hiver et frais en été, permet à ses locataires de s’y sentir à l’aise. Afin d’éviter des écarts voire des baisses de températures, il est primordial de choisir une bonne isolation. De plus, une isolation de qualité réduira votre facture d’énergie et par conséquent engendrera peu de coûts supplémentaires. Alors, quoi de mieux que l’isolation thermo-acoustique ? Ce procédé d’isolation possède de nombreuses qualités qui lui permettent de s’imposer de plus en plus au sein des foyers de manière durable. Choisir le bon isolant Le plus dur dans les travaux d’isolation est de choisir le parfait isolant. Vous avez l’embarras du choix en la matière, mais tout dépend des caractéristiques de votre maison. Dans bien des cas, utiliser un isolant thermo-acoustique peut être une bonne idée. Comme son nom l’indique, ce type d’isolation permet à la fois de bien vous chauffer (isolation thermique) et d’atténuer le bruit de l’extérieur et de l’intérieur (isolation phonique) pour vous garantir un confort maximum. Si vous avez une maison en bordure de route que vous souhaitez chauffer, n’hésitez plus ! À installer dans les murs, et disponible pour quelques centaines d’euros le m2, c’est le must des isolants proposés par les grandes marques. Cette isolation vous permettra d’améliorer votre confort de vie, de réduire votre impact environnemental mais aussi d’effectuer des économies sur vos factures d’énergie. Pour les petits budget, la laine de verre ou bien la ouate de celluloses peuvent également être de bonnes alternatives. Cependant, ces techniques possèdent quelques points négatifs, le principal étant l’apparition de ponts thermiques. Au fil des années, la laine ou la ouate va s’affaisser, ce qui créera un espace dans vos murs qui laissera passer le froid. A contrario, le procédé de l’isolation projetée permet de répandre la matière de manière uniforme et ainsi éviter les ponts thermiques. Pour ceux qui ont un petit budget, un isolant en laine de verre, en chanvre ou en celluloses, voire en fibre de bois peut également être une bonne idée. Ce sont les classiques de l’isolation. Il s’adapte à toutes les pièces et est facile à installer. Depuis plusieurs années, ils ont prouvé leur valeur. Pour l’isolation des murs, la mousse polyuréthane est également une alternative très en vogue. C’est une technique efficace et rapide qui consiste à verser de la mousse isolante dans les murs. L’isolant coûte assez cher, mais est très efficace pour couvrir chaque cm2 de vos murs. Cette isolation peut s’adapter à des combles aménagés. Mais si vous avez des combles perdus à isoler, on vous recommande le soufflage. C’est non seulement moins cher, efficace, mais c’est aussi plus rapide. Un Professionnel RGE pour vous aider Pour profiter des avantages du pacte d’isolation solidaire et garantir la réussite de votre projet d’aménagement, on vous conseille de faire appel à un professionnel RGE. Mais qu’est-ce que le label RGE ? Il s’agit d’un label que seuls les prestataires reconnus par l’État peuvent porter. Il est synonyme de compétence et de fiabilité. Il est important de vérifier que l’artisan engagé possède ce label avant les travaux, afin de s’assurer qu’ils soient éligibles aux aides. Il vous faut maintenant chercher votre artisan. Il existe plusieurs moyens de le trouver. Tout d’abord, sur Internet, mais veillez à choisir le prestataire qui aura la meilleure réputation. Vous pouvez également vous faire accompagner par l&rsquo;agence nationale de l&rsquo;habitat (Anah) ou encore avoir recours au bouche-à-oreille. L’isolation thermo-acoustique : des travaux qui prennent du temps mais qui sont bénéfiques. Cette isolation à base de polyuréthane projeté est un processus qui requiert du temps. Il faudra en effet démonter les murs avant de procéder à la mise en place des isolants. Vous devez donc prendre des dispositions pour votre hébergement. Tout le temps des travaux, votre maison sera inhabitable. Après la mise en place des isolants, ce qui peut prendre quelques jours en fonction de l’importance des travaux à faire, l’artisan procédera à la remise en état des lieux, à savoir la fixation des murs et aux colmatages des éventuels trous. Néanmoins, le jeu en vaut la chandelle ! Cette technique possède de nombreux avantages. Elle jouit d’une résistance optimale aux moisissures et d’une résistance thermique élevée. Cette technique est également capable de s’adapter aux imperfections de toutes les surfaces, ce qui n’est pas le cas de tous les isolants. En outre, il s’agit d’un procédé à la certification QB, gage de qualité et de sécurité. L’isolation polyuréthane est une solution durable avec un faible impact carbone. Quand rénover l’isolation de votre maison ? Contrairement à certaines informations, il n’est pas nécessaire de rénover votre isolation tous les ans. Il vous suffit de bien choisir votre isolant et votre prestataire. Mais alors, comment savoir si vous devez procéder à cette rénovation ou non ? Quand la performance énergétique de votre résidence commence à défaillir, il est temps de faire quelques changements. Si vous avez poussé votre appareil de chauffage dans ses retranchements, mais que vous sentez tout de même un courant d’air, c’est également le moment pour d’engager un professionnel de l&rsquo;isolation pour vous accompagner dans la rénovation de votre habitation. Vous devez contacter un professionnel qui procèdera à un bilan thermique. Il s’agit d’un diagnostic d’isolation sur votre logement. Cela vous permettra de savoir s’il faut rénover ou non. En ce qui concerne la laine de verre, elle est assez économique et fait partie de l’un des isolant les plus performants. Pour ce qui est de l’isolation de polyuréthane, son atout majeur est sa longévité. En effet, contrairement aux isolation à la laine de verre ou ouate de celluloses, celle-ci a une plus grande durabilité dans le temps. Son installation par projection empêche l’apparition de ponts thermiques, et par conséquent perdure dans le temps. De plus, tout comme la liane de verre, elle est l’une des isolation les plus performante. De quelles aides pouvez-vous bénéficier ? Dans le cadre de la réduction de la consommation d’énergie, l’État français va l’inciter grâce à différentes stratégies. L’une d’elles consistant à financer les travaux d&rsquo;économies d&rsquo;énergie des habitations. La rénovation de l’isolation d’un habitat peut être une action onéreuse. Cependant, l’isolation projetée est moins coûteuse que dans l’imaginaire collectif. Il existe plusieurs aides, auxquelles elle est éligible, qui faciliteront le financement de ces travaux de rénovation. Depuis le 1er janvier 2020, l’État a mis en place une nouvelle aide : Ma Prime Rénov’. Il s’agit d’une aide financière reversée à la fin des travaux de rénovation énergétique. Cette prime varie, de 2000 à 20 000 euros, en fonction des revenus du propriétaire du futur logement rénové et des travaux engagés. Ces travaux doivent être réalisés par un professionnel RGE afin de pouvoir avoir recours à la prime. En 2021, quatre catégories de revenus seront créées afin de déterminer le montant de la prime. C’est une prime cumulable avec d’autres, sous certaines conditions. On peut également avoir recours à la prime CEE si les travaux sont réalisés par un artisan RGE. Il s’agit d’un dispositif mis en place en 2006 qui oblige les fournisseurs d’énergie à financer partiellement les travaux de rénovation énergétique faits par les particuliers. Il est intéressant de noter que cette prime est cumulable avec « Ma Prime Rénov’ » tout comme avec le crédit d’impôt. Le montant de cette prime dépend de la zone géographique mais aussi des caractéristiques de l’installation. Elle peut également donner lieu à une prime bonifiée si les revenus sont modestes. Certains artisans, comme Syneris par exemple, propose aux particuliers de leur monter le dossier de demande de CEE ou d’autres démarches administratives liées aux travaux d’isolation , afin de faciliter leur changement énergétique.
Il y a 4 ans et 70 jours

Foamglas, un isolant incompressible et étanche

Foamglas, un isolant incompressible et étanche, offrant une isolation thermique durable. [©Foamglas] L’isolation thermique constitue le premier facteur d’économie d’énergie. Pour mieux isoler les bâtiments à faible consommation d’énergie, le positionnement de l’isolation thermique à l’extérieur des parois enterrées joue un rôle essentiel. L’isolant utilisé est choisi en fonction de ses performances qui conditionnent la pérennité thermique de la construction. Mais ce dernier est soumis à des contraintes de charges, aux insectes ou encore à l’humidité. Le produit Foamglas a été conçu pour répondre à toutes ces problématiques. De par ses bulles de verre étanches à l’air, à la vapeur et à l’eau, cet isolant protège les dalles basses en béton et les murs enterrés. Comment utiliser l’isolant Foamglas ? Foamglas a l’avantage de convenir à une application verticale et horizontale. En fonction de sa référence (T3+, T4+, S3 et F), l’isolant affiche un lambda allant de 0,036 W/m.K à 0,05 W/m.K. Pour l’isolation sous radier, les panneaux Foamglas sont posés librement sur une couche d’égalisation ou sur un béton propre. La mise en œuvre se fait à joints secs et serrés avant celle du radier en béton armé. Sa résistance à la compression (jusqu’à 160 t/m2 avec Foamglas F) et son incompressibilité apportent, dans ce cas précis, des solutions thermiques, mais aussi structurelles. En ce qui concerne l’utilisation en isolation sous dalle basse portée, il s’agit du même procédé. Les panneaux Foamglas sont posés, puis recouverts de la couche de désolidarisation et de la dalle basse. Foamglas a l’avantage de convenir à une application verticale et horizontale. [©Foamglas] Un produit responsable et durable Du côté de l’isolation des murs enterrés, la rigidité que propose l’isolant Foamglas permet de recevoir directement la terre ou avec un drainage approprié. Enfin, pour l’isolation en vide sanitaire, les panneaux sont collés et fixés avec des rupteurs de ponts thermiques sous la dalle en béton. &nbsp; Foamglas s’inscrit aussi dans une démarche éco-responsable. En effet, il est composé à 66 % de verre recyclé provenant de pare-brise et de fenêtres. Lors de la déconstruction des ouvrages, le verre cellulaire est en capacité d’être réutilisé à l’infini. De plus, l’isolant Foamglas est fabriqué par des énergies propres hydroélectriques ou éoliennes.
Il y a 4 ans et 70 jours

Alkern, leader des produits préfabriqués en béton, prêt pour le bas carbone et la RE2020

Ainsi, si en 2010 l'industriel affichait un CA de 122 millions d'euros avec près de 650 salariés, Alkern réalise aujourd'hui plus de 200 millions de CA avec un millier de collaborateurs, soit un doublement de sa taille en l'espace de 10 ans.Reconnaissons d'ailleurs le savoir-faire d'intégrateur du Groupe Alkern qui cible chaque acquisition, permet à des sociétés parfois sans succession de perdurer et de se développer au sein d'un groupe prônant la sécurité et la performance.Précisons que ce chiffre d'affaires est réalisé à 90% en France et 10% en Belgique, et qu'il est généré par trois domaines principaux d'expertise :le bâtiment avec une large gamme de solutions en béton pour la construction de maisons individuelles et bâtiments collectifs (blocs béton, poutres, planchers, appuis de fenêtre,…) qui représente 45% du CA ;l'aménagement extérieur : terrasses, pavés, margelles, pour 30% ;et les TP (voirie, aménagement urbain, assainissement et réseaux secs) à hauteur de 20%.Avec 51 sites répartis sur le territoire hexagonal (et 2 en Belgique), Alkern, dirigé depuis début 2020 par Xavier Janin, produit 100% localement et revendique désormais, par exemple, la fabrication de plus de 2 blocs béton par seconde.Cette production locale et le maillage densifié des usines Alkern s'accompagnent aussi d'une importante R&D. Un département qui se focalise notamment sur la réduction de son impact environnemental, tout en apportant des solutions aux problèmes majeurs d'aménagement du territoire (performance thermique des bâtiments, gestion des eaux de ruissellement, réduction des îlots de chaleur urbains…).Xavier Janin, président d'Alkern depuis 1 an, précise : « Nous avons la particularité de pouvoir intervenir sur toute la chaîne de décision : depuis la conception jusqu'à la livraison sur site. Nous avons 53 usines et des bureaux d'études, qui nous permettent, en amont des projets, d'assister les maîtres d'œuvre et les maîtres d'ouvrage à dimensionner nos offres pour leurs projets et leurs besoins. »La Proximité, le credo ALKERNLe marché de la préfabrication béton exige une grande proximité avec les clients, afin de répondre au mieux aux attentes régionales (formats, couleurs, réglementations, etc.) et apporter une assistance technique adaptée. Grâce à son maillage industriel particulièrement homogène, le Groupe Alkern répond parfaitement aux exigences de tous ses clients en leur proposant de larges gammes de produits, où qu'ils soient situés sur l'ensemble du territoire national. Les structures commerciales et administratives, décentralisées en région, favorisent et renforcent les relations directes entre le site de production et le client, créant ainsi un véritable gage de simplicité et d'efficacité dans les partenariats établis.2020 : Bilan d'une année hors normesAprès un démarrage dynamique en 2020, l'élan des premiers mois a été brutalement arrêté par la pandémie de COVID-19.Alkern a su réagir rapidement, suite à l'arrêt brutal de l'activité et s'organiser afin de reprendre les livraisons, à la demande de ses clients, sous une semaine.En terme d'activité, l'intérêt des ménages confinés pour leur extérieur s'est traduit par une croissance notable de l'activité Amex chez Alkern (+20% entre juin et décembre 2020 versus 2019). Le rattrapage des chantiers arrêtés et la mise en place de protocoles sanitaires plus simples sur les chantiers de maisons individuelles ont aussi permis à Alkern de réaliser une croissance de 10% de son activité bâtiment, sur la même période. En revanche, la baisse du nombre de permis de construire sur le 2nd semestre est une alerte. Enfin, l'activité TP a pâti du report des élections municipales, du décalage des chantiers et du faible niveau d'appels d'offres, se traduisant par une baisse de l'activité de 20%, sur la fin d'année.En parallèle, devant cette situation exceptionnelle, 2020 a aussi été un accélérateur de modernisation avec la mise en place de nouvelles manières de travailler (outil de réunion à distance, digitalisation de certains process) et une organisation commerciale plus proche des clients.En résumé, Alkern a su faire face à une année 2020 compliquée et a permis de lancer des chantiers structurants pour l'entreprise.Xavier Janin de préciser : « Lors du premier confinement, nous avons arrêté toutes nos activités tout comme la majorité des acteurs du BTP. Cela étant, dès le 24 mars nous pouvions livrer nos clients avec des mesures sanitaires strictes et nous avons su, par la suite, répondre à la demande de rattrapage des chantiers qui avaient été mis en veille. D'un point de vue organisation et management, la crise de la Covid-19 a été un véritable accélérateur de décision. Le fait d'avoir travaillé dans un environnement instable et imprévisible, nous a en effet amenés à mettre en place des points quotidiens pour prendre des décisions de façon très rapide. Cela nous a forcé à repenser notre façon de travailler. Le virage digital a été pris au sein de notre organisation, là où nous n'avions pas conscience de nos limites avant les restrictions de déplacement imposées par la Covid-19. Ces technologies sont désormais devenues des standards pour nos réunions. Nous avons ainsi réécrit notre stratégie : la modernisation de l'entreprise, l'intensification de la prescription de nos produits, une R&D plus soucieuse de l'environnement et la poursuite de notre croissance externe, sont désormais les sujets qui nous mobilisent ».Indicateurs de performance environnementale Alkern 2020Alkern affiche une politique environnementale volontariste et soutenue qui sera encore renforcée sur les prochaines années. À travers les indicateurs détaillés ci-dessous, Alkern suit son impact environnemental et met en avant les avantages du matériau béton :La décarbonation des bâtimentsAinsi grâce à l'utilisation de blocs rectifiés Alkern à la place de blocs traditionnels ; l'économie de l'impact carbone représente l'équivalent de 28 millions de kilomètres parcourus en voiture en 2020. De même, mentionnons le remplacement de produits d'origine pétrochimique (PSE) par une mousse 100% minérale (partenariat Airium®), qui a permis l'économie de quelques 5.525 m3 de PSE, soit le volume moyen d'un immeuble de 20 étages.Produits s'inscrivant dans l'économie circulaireDe même, l'utilisation de matières premières recyclées (remplacement de granulats par de la coquille Saint-Jacques broyée par exemple), est à l'origine d'une économie de 2,2 tonnes de granulats. Tout comme la réutilisation des palettes qui permet de préserver 37 300 m3 de bois ou encore le recyclage de déchets de laine de roche qui a atteint 8 237 tonnes l'an dernier.Gestion de la ressource en eauLa gestion de la ressource en eau constitue un autre axe de la politique environnementale du groupe Alkern. Ainsi, la diminution de la consommation d'eau par l'utilisation des blocs joints minces vs blocs traditionnels a permis d'économiser l'équivalent de 4 piscines olympiques. Autre aspect écologique d'avenir, la diminution de l'imperméabilisation des sols: en effet, grâce à la gamme O' et ses 5 références drainantes, Alkern a aménagé quelque 78.385 m2 de surfaces perméables (soit 13 terrains de foot). Enfin, précisons que le stockage d'eau de pluie par l'Hydrocyl (destiné à la réalisation de chaussées réservoirs) a permis de créer le stockage de 1.400 m3 d'eau pluviale.RE2020 Alkern ready : cap sur la performance environnementale pour des bâtiments mieux isolés au moindre impact carboneAlkern, et ses équipes R&D, travaillent depuis longtemps sur la performance thermique et bas carbone de ses produits et a ainsi lancé toute une gamme de blocs béton rectifiés et majoritairement isolés. Ces blocs d'une résistance thermique entre 0,3 et 2,14 m2.K/W répondent aux enjeux de la RE2020 pour la maison individuelle. Pour le bâtiment collectif et l'enjeu de traitement des ponts thermiques, Alkern a lancé en 2020 le système R+MUR, solution économique de paroi bas carbone affichant une empreinte carbone entre -30 et -70% moindre que les solutions standard actuelles.L'engagement d'Alkern pour améliorer l'impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d'€ ont été investis sur les sites d'Izeaux (38) et Mouy (77), d'une part dans l'intégration d'une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d'autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100% minérale Airium®, permettant de proposer un bloc 100% recyclable, sans étape de tri.Objectif : certification ISO 14001 pour l‘ensemble des sites pour 2024Au-delà de la certification de l'intégralité de ses sites ISO 14001 pour 2024, Alkern s'engage dès cette année à ce que chacun de ses 51 sites français s'approprie pleinement l'un de ces objectifs : réduction de la consommation de matières premières, réduction des consommations d'énergie, réduction de la consommation en eau, réduction de la production de déchets et réduction de l'impact local des opération.A ce propos Xavier Janin confirme : « Avec cette R&D plus soucieuse de l'environnement, nous répondrons aussi aux nouvelles réglementations environnementales. À l'évidence, les bâtiments de demain seront plus vertueux et émettront moins de CO2. La diminution de l'impact carbone de nos processus de fabrication comme de nos produits est au cœur de nos préoccupations. Nous avons la chance d'avoir déjà avec les blocs préfabriqués en béton une des solutions la plus bas carbone du marché mais nous travaillons à lancer des solutions encore plus vertueuses pour garder un coup d'avance sur les solutions constructives alternatives. »Les leviers de croissance pour soutenir cette stratégie :Une nouvelle vitrine digitale pour particuliers et professionnelsLe digital, durant le confinement, a connu un essor important, et Alkern a décidé de prendre le virage de ces outils, tant pour ses clients BtoB, ses partenaires (réseaux de distribution et de poseurs/installateurs), que pour le BtoC. Ainsi, Alkern lance en 2021 une initiative e-business pour apporter plus de supports et de réponses à ses clients.La 1ère étape est le lancement, le 1er mars, du nouveau site internet Alkern, nouvelle vitrine digitale présentant l'ensemble de l'offre.Plus moderne, développé en responsive design, le nouveau site web Alkern présente l'ensemble des produits fabriqués par Alkern, et fournit également aux visiteurs des contenus pédagogiques et utiles pour le choix des produits et leurs mises en œuvre.Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, Alkern emploie plus de 1.000 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires de plus de 200 millions d'euros. Le Groupe s'appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l'aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 76 jours

A Marseille, Bouygues TP et Rudy Ricciotti livrent deux ponts en un

A l’est de Marseille, dans le quartier de Saint-Loup, proche d’un nœud autoroutier, le groupement de conception-réalisation, piloté par Bouygues Travaux publics avec l’agence d’architecture Rudy Ricciotti, a livré en février, à la Métropole Aix-Marseille-Provence, deux ponts métalliques aux lignes fluides pour se fondre dans un tissu urbain. Enjambant le fleuve côtier l’Huveaune, ils sont posés sur trois appuis conçus sur le principe du profil Naca utilisé pour la construction d'ailes d'avion ou de quilles de bateau de manière à favoriser l'écoulement de l'eau dans une zone soumise au risque inondation.
Il y a 4 ans et 82 jours

Des nouveautés en bambou

MOSO international, spécialiste des solutions en bambou pour l&rsquo;intérieur comme l&rsquo;extérieur, apporte des innovations majeures à sa gamme de lames de terrasse Bamboo X-treme® qui permettent de gagner du temps lors de la pose. L’entreprise ajoute à sa gamme une lame de 30 mm d&rsquo;épaisseur (137 x 30 mm), spécialement adaptée pour habiller des projets architecturaux exigeants, tels que des passerelles piétonnes ou des ponts. Soucieux d&rsquo;améliorer la qualité de ses produits, MOSO propose désormais une gamme de lames de terrasse finies en usine avec le saturateur Sikkens Cetol WF 771. Ce procédé offre un avantage en termes de gain de temps. D&rsquo;une part, l&rsquo;artisan est dispensé d&rsquo;une étape de finition lors de la pose et d&rsquo;autre part, la terrasse est immédiatement utilisable. En plus des lames avec une face lisse et striée standard, MOSO propose désormais une lame de terrasse avec une face striée V et une face brossée en 155 mm de large. La lame brossée et striée V est réversible :  côté strié laissant apparaître les fines stries pour un design élégant ou côté brossé pour une installation sécurisée. La lame de terrasse version brossée obtient d&rsquo;excellents résultats en termes de résistance à la glissance ce pour des installations autour de piscines ou dans des zones à trafic intense. Par ailleurs, la nouvelle lame « bombée » se révèle très pratique, avec un léger bombage de 1,5 mm, l&rsquo;eau s&rsquo;écoule directement sur le côté, de sorte que les lames sèchent rapidement et se salissent moins. La nouvelle forme facilite également l&rsquo;installation puisque cette dernière ne requière aucune pente. Les lames de terrasse bombées sont disponibles en 155 mm de large. Photo : Candlewood Lake &#8211; Photographer/Design: Rob Turner Studios &nbsp;