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Il y a 2 ans et 260 jours

A Rennes, un écoquartier en pointe contre les dômes de chaleur

Un immeuble de sept étages sorti récemment de terre construit autour d'un arbre datant de plusieurs décennies. Devant, une zone boisée et des fossés végétalisés bordant une rue sans voitures : bienvenue à La Courrouze, nouveau quartier de 110 ha, dans le sud de Rennes."On est dans un quartier de Rennes où, par temps de canicule ou des temps de fortes températures, on a des îlots de fraîcheur qui sont constitués parce que la présence du végétal est forte" explique Marc Hervé, premier adjoint à l'urbanisme à la Ville de Rennes.A La Courrouze, pas d'enrobé sur la chaussée. Au pied d'un immeuble, l'édile montre des pavés aux tons pastel qui forment une chaussée drainante, pour filtrer l'eau et nourrir la végétation.Sur les toits, des panneaux solaires. Plus loin, une école publique sur deux étages, semi-ouverte, qui illustre ces nouvelles constructions plus compactes, aérées.Métamorphosé, l'ancien quartier militaire de l'arsenal a ici laissé en héritage 40 ha de végétations à la capitale bretonne, qui expérimente une nouvelle façon de penser l'habitat à l'aune du réchauffement climatique."Hauteur écologique"Logements aidés, bureaux, commerces, parking-relais et aire de covoiturage, avant l'arrivée du métro en septembre : à terme, cet écoquartier vitrine initiée dans les années 2000 abritera 10.000 habitants et 8.000 emplois.Des opérations vouées à se multiplier si la métropole veut tenir son engagement de permettre que "90% des Rennais disposent d'un parc à 5 minutes de leur domicile" d'ici 2030 et briser "le dôme de chaleur" dont témoignent les écarts de températures. Le 18 juillet un nouveau record a été relevé, avec 9°C d'écart entre Rennes (23°C) et sa campagne (14°C).La métropole, qui a adopté son plan climat en 2019, espère faire de ce nouveau poumon vert une pierre angulaire de son plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi).Mais en contrepartie, la ville qui connaît une forte tension immobilière, assume son choix de construire en hauteur."Ce n'est pas antinomique" estime Marc Hervé. Avec une emprise au sol moins importante "la hauteur est écologique", argue l'élu qui souligne que le quartier consacre de grands espaces entre les immeubles qui peuvent atteindre 11 étages.La question de l'eauComment concilier dans les villes de l'ouest, Rennes, Nantes ou Angers, croissance démographique et développement économique sans pour autant rendre la ville plus dense et donc plus chaude ?"Cette équation n'est pas simple", répond Vincent Dubreuil, professeur en géographie à l'université Rennes 2 qui étudie depuis 30 ans le changement climatique en France."Il y a des politiques de désartificialisation, d'implantation de la végétation", mais cela "pose la question de l'eau, parce que pour être efficace contre les îlots de chaleur, la végétation doit consommer de l'eau".Alors que Rennes - classée en climat tempéré, avec des étés frais et un climat humide - risque de "basculer plus fréquemment dans une classe méditerranéenne", choisir une végétation et des arbres avec un indice de rafraîchissement important mais aussi plus gourmands en eau, n'est pas forcément pertinent, d'autant que le bassin rennais fait partie de ces régions pas très arrosées, observe le chercheur.Selon Vincent Dubreuil, "il faut penser dès maintenant à des solutions d'aménagements en terme de nature des matériaux, de couleurs des bâtiments et de végétation. Et prendre en compte le fait que, de toute façon, le climat sera plus chaud dans le futur".
Il y a 2 ans et 261 jours

Pire mois d'août en 12 ans pour les incendies en Amazonie

Les satellites de l'Institut national de recherche spatiale (INPE) ont détecté 33.116 foyers d'incendie en Amazonie le mois dernier, contre 28.060 en août 2021.Le mois d'août est habituellement le plus critique pour les feux de forêt, au cœur de la saison sèche.Pas moins de 3.358 foyers ont été identifiés pour la seule journée du 22 août, du jamais vu pour un comptage quotidien depuis septembre 2007.C'est un chiffre trois fois plus élevé que le 10 août 2019, dit "journée du feu", lorsque les agriculteurs brésiliens ont lancé une vaste opération de brûlis dans le nord-est. La fumée s'était propagée à Sao Paulo (sud), à quelque 2.500 kilomètres de là, suscitant une vive condamnation internationale.Sur les huit premiers mois de l'année, l'INPE a au total détecté 46.022 foyers d'incendie, une augmentation de 16% par rapport à la période janvier-août 2021.Pour ce qui est du mois d'août, l'Amazonie n'avait jamais autant brûlé depuis 12 ans (45.018 foyers en 2010).Depuis 2010, les quatre pires chiffres pour ce mois de l'année correspondent aux quatre années de mandat du président d'extrême droite Jair Bolsonaro (30.900 en 2019, 29.307 en 2020, 28.060 en 2021 et 33.116 en 2022), qui brigue un nouveau mandat en octobre."Cette augmentation effrénée du nombre des incendies ces quatre dernières années est étroitement liée à la hausse de la déforestation", explique Mariana Napolitano, de l'antenne brésilienne de WWF."La forêt amazonienne est tropicale et humide. Le feu ne fait pas partie de son cycle naturel. Les incendies n'arrivent pas de façon spontanée, ils sont toujours liés à des actions humaines", poursuit-elle.Selon les experts, ces incendies sont notamment provoqués par des agriculteurs qui défrichent illégalement les terres en brûlant les arbres. La déforestation est également au plus haut au Brésil, avec 3.988 km2 déboisés au premier semestre, un record depuis que ces données ont commencé à être compilées par le système de surveillance par satellite Deter de de l'INPE, en 2016.
Il y a 2 ans et 265 jours

Les centres de formation des apprentis s'inquiètent de la baisse de leur financement

Début juillet, France Compétences, l'organisme qui gère les CFA, avait indiqué que les sommes versées à ces structures diminueraient de 5% en septembre 2022. Elles baisseront de 5% supplémentaires en avril 2023.Depuis 2020, les CFA sont financés par les entreprises en fonction du nombre de contrats signés, et l'Etat s'est substitué aux régions pour compléter ce financement.Depuis cette réforme, les comptes de France Compétences sont dans le rouge : le déficit, de 3,2 milliards d'euros en 2021, pourrait atteindre 5,9 milliards en 2022, selon un rapport de la Cour des comptes en juin, qui s'alarmait d'"une impasse financière".La cause principale de ce déficit est la réforme du financement conjuguée à l'explosion des entrées de jeunes en apprentissage qui a quasiment doublé en deux ans pour atteindre le niveau record de 730.000 en 2021 et permis une hausse du taux d'emploi des jeunes.Pour combler une partie de ce déficit, l'Etat avait versé une subvention exceptionnelle de 2,75 milliards d'euros en 2021. La somme octroyée pour 2022 a été ramenée à 2 milliards d'euros dans la loi de finances rectificative votée en juillet 2022."On avait déjà dépensé de l'argent pour nos recrutements depuis janvier", indique à l'AFP Pascal Picault, président de la Fédération des directeurs des CFA (Fnadir). Avec un budget établi sans savoir que les subventions seraient diminuées, M. Picault redoute que "certains CFA réfléchissent avant d'ouvrir" certaines formations à la rentrée.La baisse des financements varie en fonction des secteurs d'activité, de 10 à 40% parfois, assure Yves Hinnekint, directeur de l'école de commerce Talis et de l'association Walt, qui regroupe des acteurs de la formation en apprentissage.Autre inquiétude mise en avant par Aurélien Cadiou, président de l'Association nationale des apprentis de France (Anaf): les CFA risquent de baisser leurs dépenses liés à la qualité de vie des élèves apprentis (activités sportives, rénovation des internats, etc.) et aux postes hors enseignement.La loi de finances rectificative votée cet été prévoit en revanche une enveloppe de 743 millions d'euros pour la prolongation des aides exceptionnelles accordées par l'Etat aux entreprises pour l'embauche d'alternants - 5.000 euros pour un mineur, 8.000 pour un majeur -jusqu'à la fin de l'année civile. Ces aides ne sont pas prises en charge par France Compétences.Le Gouvernement entend les protestationsLe gouvernement a accepté de revoir la baisse de financement prévue en septembre de certains contrats d'apprentissage, sur fond de vives protestations pendant l'été des centres de formation d'apprentis (CFA), a indiqué mercredi le ministère du Travail.Début juillet, France Compétences, l'organisme qui gère les CFA, avait annoncé une baisse en moyenne de 5% des niveaux de prise en charge des contrats d'apprentissage.Mais, sur certaines formations, la baisse des financements pouvait atteindre jusque 30% selon des responsables de CFA qui avaient tiré la sonnette d'alarme et craignaient de ne pouvoir ouvrir certaines sections en septembre."Des corrections doivent être effectuées sur 275 des 3.289 certifications (...) à la suite de vérifications réalisées par France Compétences sur sollicitation des branches professionnelles et des réseaux de CFA" et "à la demande" des ministres du Travail Olivier Dussopt et de la Formation professionnelle Carole Grandjean, a précisé le ministère dans un communiqué."Nous avons été entendus sur le court terme", s'est réjoui auprès de l'AFP Pascal Picault, président de la Fédération des directeurs des CFA (Fnadir)."Cette décision a été prise après une réunion lundi avec tous les acteurs et je pense qu'à l'avenir les CFA seront davantage consultés", s'est-il félicité.La Fnadir n'a cependant pas obtenu gain de cause sur le report de cette baisse, qui s'appliquera à tous les contrats d'apprentissage conclus à partir du 1er septembre (ou octobre pour ceux qui vont être corrigés) "alors que les budgets sont déjà établis", a regretté M. Picault.La Fnadir reste par ailleurs opposée à la seconde baisse de 5% envisagée pour l'instant en avril 2023.La baisse de la prise en charge de ces contrats résulte de la réforme de 2018 sur l'apprentissage qui a entrepris de rapprocher progressivement le niveau de la subvention du juste prix de la formation, explique le ministère délégué en charge de l'enseignement et de la formation professionnels.Les comptes de France Compétences sont par ailleurs dans le rouge: le déficit, de 3,2 milliards d'euros en 2021, pourrait atteindre 5,9 milliards en 2022, selon un rapport de la Cour des comptes en juin, qui s'alarmait d'"une impasse financière".La cause principale de ce déficit est la réforme du financement conjuguée à l'explosion des entrées de jeunes en apprentissage qui a quasiment doublé en deux ans pour atteindre le niveau record de 730.000 en 2021 et permis une hausse du taux d'emploi des jeunes.
Il y a 2 ans et 265 jours

L'explosion de l'inflation est le symptôme de notre dépendance aux hydrocarbures, selon le climatologue Rockström

"Depuis 1990, nous disons qu'il faut abandonner progressivement l'économie fondée sur les énergies fossiles au profit d'une économie basée sur les énergies renouvelables. Et maintenant, nous y voilà - nous nous prenons le mur", après "30 ans de sous- investissement", constate le scientifique, l'un des principaux artisans du concept de "limites planétaires" - seuils d'usage des ressources que l'humanité ne doit pas dépasser pour vivre dans un écosystème sûr.M. Rockström a travaillé deux ans sur sa contribution au rapport collectif "Earth For All : A Survival Guide for Humanity" (La terre pour tous: guide de survie pour l'humanité), publié mardi par le Club de Rome, ce groupe de réflexion de scientifiques et d'économistes fondé en 1968.L'ouvrage s'inscrit dans la lignée du célèbre rapport Meadows, publié en 1972 sous l'égide du Club de Rome. Ce document de référence, à l'origine de l'ouvrage "Halte à la croissance ?" ("Limits to Growth"), affirmait que le développement ne pouvait se poursuivre indéfiniment sans atteindre une limite de consommation des ressources.Cinquante ans plus tard, le nouveau rapport, auquel ont participé des auteurs du premier, prévoit deux scénarios de croissance.Le premier, surnommé "Too Little, Too Late" (trop peu, trop tard), verrait perdurer l'orthodoxie économique, aggravant les inégalités alors que le monde dépasse les objectifs de l'accord de Paris et s'oriente pour l'heure vers un réchauffement de 2,5 °C d'ici 2100 par rapport à la fin du 19e siècle.Le deuxième scénario, celui du "Great Leap" (Grand Bond), prévoit une mobilisation sans précédent des ressources pour mettre en oeuvre cinq changements sociétaux : l'éradication de la pauvreté et des inégalités, l'autonomie des femmes, une alimentation mondiale plus végétale et la décarbonation rapide de l'énergie.Les auteurs affirment que le Fonds monétaire international devrait accorder 1.000 milliards de dollars par an aux nations les plus pauvres pour créer des emplois verts et que les pays riches devraient annuler la dette de ceux à faibles revenus tout en accordant à leurs citoyens un "dividende de base universel".Scénario catastrophePour M. Rockström, le monde a atteint un "point d'urgence", car les catastrophes liées au climat - avec un réchauffement actuel de 1,1°C depuis l'ère industrielle - se produisent plus fréquemment que prévu."Nous y sommes: à 1,1 °C, les phénomènes que nous pensions voir à 2 °C se produisent beaucoup plus tôt et frappent plus durement", explique-t-il, après un été marqué par des records de sécheresse et de chaleur en Europe et en Chine, et des inondations cataclysmiques au Pakistan."Nous risquons de nous diriger vers un scénario catastrophe, non pas parce que nous injectons davantage de dioxyde de carbone et de gaz à effet de serre d'origine humaine, mais parce que le système terrestre lui-même commence à émettre ces gaz", compte tenu de la fonte de la calotte glaciaire du Groenland et de l'augmentation des feux de forêts.Les scientifiques devraient "envisager une palette beaucoup plus large de scénarios", afin de mieux intégrer des phénomènes certes peu probables mais extrêmement dévastateurs et qui pourraient conduire à un emballement du réchauffement.M. Rockström se dit toutefois "assez pessimiste" sur les capacités de réforme des gouvernements. "Il y a trois ans, j'aurais dit que j'étais optimiste - nous avons vu un élan post-Paris avec davantage de politiques publiques et d'entreprises qui s'engagent", a-t-il déclaré."Maintenant, avec l'effondrement post-Covid de la confiance du public et la montée du populisme, je n'ai pas l'impression que nous soyons vraiment prêts à mettre en œuvre tous ces pas de géant", s'inquiète-t-il."C'est pourquoi le timing est vraiment important. Nous devons relancer le débat et parler de l'urgence d'agir. Est-ce un défi ? Absolument."
Il y a 2 ans et 266 jours

Carnet de commandes "record" et nette hausse du bénéfice pour Spie

Le groupe de services techniques aux entreprises Spie affirme son rebond post-confinements avec un bénéfice net en hausse de 26,8% et continue sa politique d'acquisitions, a annoncé le groupe.
Il y a 2 ans et 273 jours

Résultats record et ambitions relevées pour Nexans, porté par l'électrification

Le groupe français de câbles industriels Nexans a enregistré au premier semestre des résultats record et relève ses ambitions pour 2022, porté par sa stratégie de recentrage sur l'électrification.
Il y a 2 ans et 279 jours

Lutte contre le réchauffement climatique et économies d’énergie – SOLAR-PAINT à la conquête des toits de France

Alors que la France fait face à des records de chaleur depuis le début de l’été, la société SOLAR-PAINT annonce le succès du déploiement de sa peinture réflective SOLARCOAT® pour les bâtiments industriels, commerciaux et publics, quelques mois après sa mise sur le marché. Avec l’accélération de la demande des entreprises pour rafraîchir leurs bâtiments […]
Il y a 2 ans et 285 jours

En 2021, un nouveau record de piscines installées

Le chiffre d’affaires 2021 des pisciniers a bondi de 32% sur un an, « grâce à l’effet booster du Covid et une météo favorable », selon la Fédération des professionnels de la piscine.
Il y a 2 ans et 291 jours

Résultats records pour Rexel au premier semestre 2022

RÉSULTATS. Le spécialiste de la distribution de matériels électriques, Rexel, annonce un premier semestre "record" et confirme la hausse de ses objectifs pour 2022.
Il y a 2 ans et 294 jours

1er semestre en hausse et cession de la branche Solutions de Haute Température pour Imerys

RÉSULTATS ET CESSION. Le groupe Imerys, spécialisé dans la production et la transformation des minéraux industriels, affiche une santé de fer au premier semestre 2022 avec un chiffre d'affaires record en hausse de 18,7%. Il annonce aussi la cession de sa branche Solutions de Haute Température.
Il y a 2 ans et 298 jours

Résultats records pour Holcim au premier semestre 2022 boostés par sa nouvelle division

RÉSULTATS. Le cimentier, Holcim, annonce des résultats records et ce, des ventes au bénéfice net. L'industriel souligne tout particulièrement les performances de sa nouvelle division "Solutions et Produits" spécialisée notamment dans la toiture et l'isolation.
Il y a 2 ans et 299 jours

L'immobilier logistique est à un tournant au 2e trimestre 2022

Pierre-Louis Dumont, Directeur Exécutif Agence I&L France et François-Régis de Causans, Directeur Investissement I&L dressent le bilan du 1er semestre et se projettent pour la suite de l’année 2022.Des utilisateurs prudents mais actifsAvec près de 717.000 m² placés en logistique à l’échelle de la France, l’activité ralentit au 2ème trimestre après un record des volumes de transactions en 2021 et au 1er trimestre de l’année. Le 1er semestre totalise plus d’1,9 M de m² placés, une performance tout à fait honorable dans un environnement chahuté. « Le recul de la demande placée au 2ème trimestre s’explique en partie par l’adoption de positions attentistes de la part des utilisateurs en réponse au climat économique et géopolitique » commente Pierre-Louis Dumont, Directeur Exécutif Agence I&L France. Signe encourageant, les dernières semaines du trimestre ont été marquées par un redémarrage de l’activité, portée par le retour en force des logisticiens et le dynamisme des acteurs de la grande distribution.Les tensions sur l’offre s’intensifient dans l’Hexagone, contraignant fortement le niveau des transactions sur les marchés de la Dorsale à l’exception des Hauts-de-France. Ainsi, le taux de vacance (hors Hauts-de-France) est en forte baisse et atteint à date 2,4%. « Cette faiblesse structurelle de l’offre face aux besoins réels des utilisateurs sur ces secteurs occasionnera un tassement inévitable de l’activité au cours de l’année 2022 » précise Pierre-Louis Dumont. En outre, plusieurs facteurs pourraient freiner la dynamique d’activité et le renouvellement de l’offre : d’une part, un questionnement sur l’évolution de la demande exprimée au regard des perspectives macroéconomiques ; d’autre part, les difficultés grandissantes pour développer des bâtiments logistiques en raison de la hausse des coûts de construction et de la raréfaction foncière. Ces tensions à l’offre participent à la croissance soutenue des valeurs locatives sur les marchés sous-offreurs.L’investissement I&L poursuit sa dynamique malgré la montée des incertitudesL’investissement I&L totalise plus de 2,8 Mds d’€ au cours du 1er semestre 2022, témoignant de l’attrait toujours marqué pour la classe d’actifs. Ce dynamisme reflète la solidité des fondamentaux du marché de la logistique couplée à la tendance haussière des loyers. Bien que la conjoncture actuelle complexifie les prises de position à court terme, les liquidités restent abondantes. « Les produits avec des flux locatifs sécurisés et indexés à long terme sont toujours recherchés tandis que les produits plus exposés aux risques attirent les investisseurs en quête de rendements élevés et de potentiel de réversion » commente François-Régis de Causans, Directeur Investissement I&L. Toutefois, « l’accroissement significatif des taux de financement et le climat d’incertitudes actuel participent à l’essor de positions attentistes de la part de nombreux investisseurs, qui devraient perdurer dans les deux prochains mois » souligne François-Régis de Causans.Les perspectives du 2ème semestre s’annoncent néanmoins porteuses d’opportunités pour ceux souhaitant tirer profit des mutations en cours dans la supply chain.
Il y a 2 ans et 300 jours

Récession ou résilience ? La croissance française au printemps révélée le 29 juillet

L'indice des prix à la consommation, en progression régulière entre avril (4,8% sur un an) et juin (5,8%), devrait lourdement peser sur le PIB. Au plus haut depuis les années 1980, l'inflation risque de franchir un nouveau palier en juillet; l'institut national de la statistique (Insee) dévoilera sa première estimation vendredi 29 juillet.Dans leurs dernières prévisions, la Banque de France et l'Insee tablent respectivement sur une croissance du Produit intérieur brut (PIB) de 0,2% et de 0,25% entre avril et juin par rapport au trimestre précédent.Des anticipations proches de celles que les deux instituts avaient formulées au premier trimestre... qui s'était finalement soldé par un recul de 0,2% du PIB, précipité par une consommation des ménages en chute libre (-1,5%)."Il y a un risque négatif comme au premier trimestre", reconnaît Stéphane Colliac.Mais l'économiste de BNP Paribas "ne pense pas que ce soit un risque de récession" et s'attend plutôt à une croissance nulle.Inflation"Au regard des indicateurs, on s'attend à ce que le taux de croissance soit très mou, mais pas à une nouvelle chute", avance également Mathieu Plane pour l'Observatoire français des conjonctures économiques.Traditionnel moteur de la croissance française, "la consommation des ménages a déjà beaucoup baissé au premier trimestre", relève Stéphane Colliac, à tel point qu'une nouvelle baisse de la même ampleur au deuxième trimestre lui semble improbable.Sur les deux premiers mois du trimestre (avril et mai), l'indicateur a d'abord fléchi de 0,7% avant de se redresser d'autant. L'estimation de la consommation des ménages en juin sera dévoilée vendredi par l'Insee.Si le gouvernement tente ces jours-ci de faire passer au Parlement une batterie de mesures de soutien à la consommation, elles ne produiront leurs effets sur le portefeuille des Français qu'à partir du troisième trimestre.De quoi alimenter l'inquiétude des consommateurs, dont le moral végète au ras des pâquerettes depuis plusieurs mois sur fond de guerre en Ukraine.Malgré ce sombre tableau, plusieurs éléments peuvent inciter à l'optimisme. La consommation devrait par exemple se redresser dans plusieurs secteurs pénalisés au début de l'année par les restrictions sanitaires liées au variant Omicron."On a un rebond attendu de la restauration et de l'hébergement, (mais) aussi des transports, avec beaucoup de gens dans les trains depuis quelques mois", énumère Stéphane Colliac.EpargneAutre variable qui pourrait soutenir la consommation : la mobilisation de l'épargne accumulée au plus fort de la pandémie de Covid-19."D'habitude, quand on a un choc inflationniste sur les prix, l'épargne sert un peu de variable d'ajustement". Or au premier trimestre, "ça n'était pas du tout le cas", souligne Mathieu Plane.Une récente étude du Conseil d'analyse économique (CAE) pointait d'ailleurs une "stabilisation sur un point haut" de l'épargne des ménages les plus aisés, avec un "stock d'épargne supérieur de plus de 10% à celui qui correspondrait à la tendance pré-crise sanitaire", détaillait ainsi l'organisme rattaché à la Première ministre.Une réserve dont sont en revanche privés les ménages les moins aisés, qui auraient dépensé intégralement leur surcroît d'épargne, selon le CAE. Du côté des entreprises, l'activité a montré de premiers signes de ralentissement en juin, mais reste en croissance.En matière de commerce extérieur enfin, la France aligne depuis plusieurs mois des déficits record mais "on a eu d'évidence un rebond des flux touristiques (...) et des exportations aéronautiques" susceptibles d'équilibrer la balance commerciale, observe Stéphane Colliac.Une faible hausse du PIB au deuxième trimestre maintiendrait en vie la prévision de croissance annuelle du gouvernement (+2,5%), légèrement plus optimiste que celle de l'Insee et de la Banque de France (+2,3%).A l'inverse, en cas de stagnation et surtout de récession, "ça devient compliqué" de tenir l'objectif gouvernemental, juge Stéphane Colliac.Mardi, le Fonds monétaire international (FMI) a nettement revu à la baisse sa prévision de croissance pour la France en 2022, à 2,3% contre 2,9% attendus fin avril dans ses précédentes projections.
Il y a 2 ans et 305 jours

Sika : vers une année 2022 record ?

RÉSULTATS. Le spécialiste suisse de la chimie, Sika, annonce un premier semestre 2022 record avec un chiffre d'affaires et un bénéfice net en forte hausse, et ce dans un contexte difficile.
Il y a 2 ans et 305 jours

Bureaux : Marseille continue de battre des records

CONJONCTURE. La cité phocéenne continue sur sa très bonne lancée de 2021 en termes d'immobilier de bureaux, qu'il s'agisse des transactions ou de l'investissement. Les meilleurs segments du marché se situe toujours sur Euroméditerranée.
Il y a 2 ans et 308 jours

Les défaillances d'entreprises s’accélèrent avec une hausse de 49% sur un an

Avec 9.826 procédures collectives ouvertes entre le 1er avril et le 30 juin, le niveau des défaillances augmente de 49% par rapport au 2ème trimestre 2021, après avoir atteint +35% au 1er trimestre. La hausse s’accélère. Sur 12 mois glissés, on enregistre une augmentation générale de 15% pour 34.200 jugements. Les niveaux sont au plus haut depuis octobre 2020. S’ils restent inférieurs à ceux de 2019, année de référence pré Covid, l’écart se resserre. Avec 800 entreprises qui tombent en défaut chaque semaine, les courbes laissent présager un total de 37.000 défauts sur l’année 2022.Les secteurs d’activité B2C (service à la personne, restauration, commerce) sont les plus fragilisés et les jeunes structures créées juste avant ou pendant la crise sont en souffrance (+136%). Les PME, avec 731 procédures ouvertes en 3 mois, dépassent les seuils de 2019. Dans les territoires, la hausse concerne toutes les régions. La tendance est particulièrement marquée dans les Hauts de France, où le nombre de procédures double, et en Centre Val-de-Loire, qui dépasse ses niveaux d’avant crise.Pour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Les chiffres de fin 2021 et du premier trimestre 2022 démontraient un retour à la réalité sur le front des défaillances. Depuis février, la tendance à la hausse s’accélère nettement avec une augmentation mensuelle moyenne de 45%. Nous approchons désormais des niveaux observés en 2019, période de référence d’avant crise. Les plus petites entreprises de moins de 3 salariés sont les plus touchées, en particulier les plus jeunes, qui présentent des taux de liquidation identiques à 2019. Autre signal d’inquiétude, les PME sont aussi de plus en plus nombreuses à faire défaut et retrouvent des seuils identiques à l’avant crise. »En hausse de 49,2% au 2ème trimestre 2022, le nombre de défaillances d’entreprises se rapproche des niveaux d’avant crise Covid9.826 entreprises sont tombées en défaillance entre le 1er avril et le 30 juin 2022, soit une hausse de 49,2% par rapport à la même période de 2021. L’augmentation est nette et de plus en plus rapide mais les niveaux restent encore très inférieurs à ceux du printemps 2019 et ses 12.300 procédures.Sur 12 mois glissés, 34.200 entreprises ont fait défaut. La hausse générale est «seulement» de 15% en raison des niveaux de juillet à octobre 2021 qui étaient encore à la baisse (-16%). En tendance annuelle, les volumes de défaillances sont donc plutôt similaires à la situation de fin 2020. (35.500 en octobre 2020 et 34.000 en novembre 2020 sur 12 mois glissés). Avec 289 dossiers enregistrés ce trimestre, le nombre de procédures de sauvegarde est au plus haut depuis 2018 et augmente de 75%. Ce dispositif représente cependant seulement 3% de l’ensemble des procédures. Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 55,5% pour 2325 jugements prononcés. Elles représentent moins d’un jugement sur quatre (24%), un taux très en-dessous des 30% relevés au 2e trimestre 2019. 73% des jugements se concluent sur des liquidations judiciaires directes (LJ), un taux très supérieur aux niveaux observés traditionnellement (68%). Elles ont visé 7212 entreprises, soit une augmentation de 46,4%.La détresse des jeunes entreprises « Covid »La création d’entreprises n’a jamais été aussi dynamique. Alors que l’Insee annonçait un record de près d’1 million de nouvelles immatriculations pour la seule année 2021, 2,6 millions d’entreprises ont vu le jour en 3 ans, dont 700.000 sociétés commerciales. Mais ces structures commerciales sont aussi les plus fragiles. Elles représentent 85% des défaillances et même 93% des défaillances d’entreprises de moins de 3 ans. Certes, on crée plus d’entreprises mais on en perd plus.Un des indicateurs les plus marquants de ce trimestre concerne justement les jeunes structures dont les niveaux de défaillances explosent de 136%, avec 1750 procédures ouvertes. 1411 d’entre-elles ont été directement liquidées, un nombre très proche de celui du 2e trimestre 2019 (1431). Les jeunes restaurateurs (272), particulièrement fragilisés, sont quasi cinq fois plus nombreux qu’un an plus tôt à faire défaut.Les PME défaillantes quasi aussi nombreuses qu’avant la crise93% des entreprises en cessation de paiement sont des TPE, une part relativement constante. Avec 9095 procédures enregistrées, leur nombre augmente de 47% sur un an.Du côté des PME, la hausse s’accélère bien plus nettement. Avec 731 cessations contre 420 un an plus tôt, le niveau des défaillances augmente de 74%. In fine, les PME affichent des volumes similaires à la période d’avant crise.Une tendance d’autant plus marquée dans les PME des services informatiques (+100%) et du transport routier de marchandises (+200%).Les défaillances en hausse dans quasi tous les secteursPour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Ce premier semestre se termine sur une tendance sans équivoque : la remontée des défaillances amorcée en fin d’année dernière est très nette. Pourtant le climat des affaires ne s’effondre pas, en dépit d’un alignement de facteurs géopolitiques et macroéconomiques qui inciteraient à l’attentisme. L’inflation, la flambée des prix de l’énergie, les ruptures de chaînes d’approvisionnement, la fermeture de certains marchés ralentissent la croissance mais l’économie tient et les entreprises résistent. Sur ces 12 derniers mois, plus de 34.000 sociétés sont tombées mais nous sommes encore loin des pics de la crise financière de 2008 qui dépassaient les 64.000, ni même les 52.000 procédures enregistrées en 2019. Notre tissu d’entreprises résiste donc mais les courbes que nous observons doivent nous préparer à enregistrer entre 35.000 et 40.000 défauts à la fin de l’année. Car le spectre de la récession plane et les entreprises ne pourront continuer à piocher éternellement dans leur trésorerie en attendant la reprise de la consommation des ménages. L’épargne des Français continue toujours d’augmenter. La Banque de France estime l’épargne totale à 319 milliards d’euros au 1er trimestre 2022, dont 151 milliards sont dus au « surplus Covid ». Pour aider les entreprises à faire face, l’exécutif déploie de nouveaux dispositifs de soutien comme l’ouverture d’un guichet d’aide « gaz & électricité » ou le maintien du plan d’accompagnement de sortie de crise (cf. encadré ci-dessous). Pour l’heure, Altares observe que les retards de paiement sont encore globalement maitrisés. Un signal d’autant plus important alors que la relation fournisseur et la résilience des chaines d’approvisionnement ont été particulièrement malmenées au gré des confinements successifs et de la guerre en Ukraine. Le Gouverneur de la Banque de France écarte pour le moment l’hypothèse d’une récession pour ces prochaines années. L’incertitude commande donc à la prudence. La vigilance et le pilotage au plus près de ses portefeuilles d’entreprises clientes et fournisseurs est de mise. Mais in fine, la résilience pourrait bien se confirmer cette année encore comme le maître mot de nos entreprises. »
Il y a 2 ans et 313 jours

Menacée par la montée des eaux, New York se protège derrière un mur

L'ouragan Sandy en 2012 et les tempêtes Ida et Henri cet été ont provoqué la mort de dizaines d'habitants et des milliards de dollars de dégâts dans la plus grande ville des Etats-Unis. Avec sa géographie si particulière, la "grosse pomme" est extrêmement vulnérable aux intempéries et a fini par adopter ces dernières années un plan titanesque baptisé "résilience climatique" chiffré à 20 milliards de dollars.Il faut dire que des experts redoutent une montée des eaux de 20 à 75 cm à l'horizon 2050 qui menacerait New York de submersion, en particulier l'île de Manhattan, encadrée par l'océan Atlantique, l'East River et l'Hudson River.Au total, la mégapole de plus de 8,5 millions d'habitants compte 836 km de littoral.Chantier de 1,45 milliard de dollarsDans le sud-est de Manhattan, des travaux pour un budget de 1,45 milliard de dollars ont ainsi débuté pour ériger un mur et des digues contre les inondations.Sur le chantier, coincé entre l'East River et la voie rapide qui la longe, Tom Foley, directeur du département de la conception et de la construction de la ville de New York, explique à l'AFP avoir également projeté de "surélever le parc dans cette zone" au bord de l'eau, où vivent quelque 110.000 New-Yorkais.Sur quatre kilomètres, l'espace vert va être complètement surélevé de trois mètres et l'érection d'un mur anti-inondations doit permettre d'éviter les dégâts catastrophiques provoqués par les derniers ouragans et tempêtes qui se forment au-dessus de l'Atlantique.Ahmed Ibrahim, superviseur des travaux, montre sur place l'installation de "pylônes qui servent de fondations profondes" et des "parois de métal qui formeront un mur de séparation souterrain pour nous protéger des inondations".L'électrochoc SandyLa prise de conscience des autorités new-yorkaises date d'octobre 2012 après l'électrochoc de l'ouragan Sandy qui avait provoqué la mort d'au moins 44 personnes, des dégâts de 19 milliards de dollars et l'absence d'électricité pendant des semaines, rappelle Sara Nielsen, directrice de la planification des parcs de New York.Dans ce quartier hyper dense du sud-est de Manhattan, l'eau était montée à un niveau record de 2,7 mètres au-dessus du niveau de la mer.Pour Sara Nielsen, après l'ouragan Katrina qui avait frappé la Nouvelle-Orléans en 2005, "Sandy a été la première catastrophe qui a accéléré notre approche du changement climatique". L'experte se félicite qu'aujourd'hui la ville, aux infrastructures parfois délabrées, se dote de "projets très importants pour protéger les New-Yorkais".La ville "investit plus de 20 milliards de dollars (dans un plan pluriannuel de) +résilience climatique+ avec une stratégie à plusieurs niveaux pour la protection de notre littoral", explique à l'AFP Jainey Bavishi, directrice du bureau du maire de New York pour la "résilience climatique".Poumon vertPas vraiment une ville arborée - à l'exception du poumon vert géant de Central Park - Manhattan va également replanter des milliers d'arbres de différentes espèces autour du chantier et améliorer les réseaux souterrains d'égouts, d'évacuation des eaux usées et d'électricité.Les urbanistes cherchent aussi à améliorer l'habitat, l'un des talons d'Achille de New York, notamment en raison du nombre de logements en sous-sol exposés aux inondations et de la piètre qualité des constructions et des isolations thermique et phonique des logements."Il y a un million de bâtiments à New York. Nous les modernisons partout où c'est possible", assure Jainey Bavishi, vantant "l'un des codes de construction les plus résilients au monde".Reste que le projet de mur anti-inondations ne plaît pas à tout le monde. Des associations de riverains le contestent devant la justice et le chantier ne devrait pas être achevé avant 2026.Terry, résident du quartier qui refuse de donner son patronyme, reconnaît que c'est "une bonne idée" mais regrette que "les choses avancent lentement".Pour Jainey Bavishi, New York et son programme de "résilience climatique" peut s'inscrire dans le volet environnemental du plan de 1.200 milliards du président Joe Biden, voté au Congrès, pour investir massivement dans les infrastructures aux Etats-Unis.
Il y a 2 ans et 314 jours

Construire plus performant avec les systèmes de chauffage et de rafraîchissement Wavin

Convaincus de la nécessité d’améliorer l’efficacité des bâtiments pour réduire la consommation d’énergie, les services Recherche et Développement de Wavin ont développé des systèmes complets de planchers chauffants rafraîchissants basse température et de plafonds climatiques très peu énergivores adaptés à l’habitat résidentiel, collectif et au tertiaire. Pré-études avant-projet, études techniques, conception, assistance chantier... Wavin accompagne ses clients à chaque étape du projet avec une offre sur-mesure. Elle inclut l’ensemble des composants et accessoires nécessaires à la pose des planchers chauffants : dalles isolantes, tubes caloporteurs, système de régulation...Durables, efficaces et invisibles, les solutions de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement Wavin diffusent une température homogène et constituent un moyen simple d’optimiser la performance énergétique des bâtiments. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin. Ce système comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes, qui rendent ces solutions de chauffage particulièrement simples d’utilisation et d’installation. Les solutions de chauffage et rafraîchissement Wavin offrent ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée, tout en assurant des performances énergétiques éprouvées.Plancher chauffant rafraîchissant basse température WavinPerformant et invisible, le plancher chauffant rafraîchissant basse température Wavin garantit une répartition uniforme de la chaleur dans toutes les pièces et permet de profiter d’une température idéale du sol. Cette solution s’intègre facilement à l’habitat résidentiel, collectif et aux bâtiments tertiaires grâce à sa discrétion et sa conception sur-mesure. Ce dispositif de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement est particulièrement adapté pour apporter un confort thermique homogène et agréable à ses occupants et ce même dans les grands espaces. L’association d’une pompe à chaleur, économe en énergie, avec une solution PCRBT* équipé d’un système de régulation, est idéale pour améliorer la performance globale du système de chauffage et rafraîchissement. Cette combinaison offre de très bons rendements et répond aux très hautes exigences en termes de performance énergétique des bâtiments.Le système complet de planchers chauffants/rafraîchissants Wavin bénéficie à ce titre de la reconnaissance CERTHITERM, la première marque de qualité en France à garantir le niveau de performances thermiques globales des systèmes complets de planchers, murs ou plafonds chauffants/rafraichissants hydrauliques basse température.*plancher chauffant rafraîchissant basse températureDalles isolantes à plots Phonixx Grande performance acoustiqueÉléments de base de tout projet de plancher chauffant basse température, les dalles isolantes ont un rôle primordial pour assurer la bonne isolation du sol, limiter les pertes de chaleur et assurer la durabilité du système de chauffage. Avec des résistances thermiques élevées allant de 0,75 à 5,55 m2K/W, les dalles isolantes Wavin certifiées QB ou ACERMI (Association pour la CERtification des Matériaux Isolants) comptent parmi les plus performantes du marché.Parmi elles, les nouvelles dalles isolantes Phonixx Wavin qui réduisent significativement la transmission des bruits de chocs. En effet, pour un excellent confort acoustique, elles offrent une réduction des nuisances sonores et des bruits d’impacts entre étages allant jusqu’à 21 dB, une valeur record ! Elles permettent ainsi d’obtenir une meilleure efficacité sans avoir recours à une sous-couche acoustique complémentaire.Légères et faciles à manipuler, ces dalles s’installent rapidement et sans difficulté pour gagner un temps considérable sur les chantiers. De plus, leur qualité et leur rigidité permettent la circulation des personnes lors de leur installation.Enfin, la composition mono-matière des dalles isolantes à plots Phonixx facilite leur recyclage tant lors de leur mise en oeuvre (chutes de chantier) qu’en fin de vie.Une barrière anti-oxygène protectrice au coeur de la structureFiable et durable, la nouvelle génération de tubes en Polybutylène Wavin Flexius BAO intègre désormais une Barrière Anti-Oxygène. Elle permet d’éviter le développement de boues dans les circuits fermés de plancher chauffant garantissant ainsi un bon fonctionnement sur le long terme. Ordinairement placée en périphérie extérieure des tubes, la BAO est ici intégrée au coeur de la structure du tube, la protégeant de tout endommagement lié aux aléas de chantier et garantissant sa performance. Ainsi, il n’y a aucun risque de dégradation de la BAO lors de la mise en oeuvre, lui garantissant une durée de vie optimale.Disponibles en plusieurs longueurs, les couronnes de nouveaux tubes Wavin Flexius BAO répondent aux besoins de toutes les tailles de chantiers de plancher chauffant et rafraîchissant. Leur grande flexibilité a inspiré le nom de cette nouvelle génération de tubes Wavin Flexius BAO qui facilite la réalisation des boucles au sol, quelles que soient les conditions de pose : froid, espaces restreints, pas de pose serrée etc.Très résistants à l’épreuve du temps, ces tubes caloporteurs sont naturellement inertes à la corrosion, aux impacts et à l’écrasement. Ils bénéficient d’un Avis Technique et de la certification Qualité pour le Bâtiment (QB) du CSTB. Par ailleurs, dans une logique de développement durable, Wavin travaille sur un programme pour réutiliser les chutes de mise en oeuvre des tubes Flexius BAO afin de les réintégrer dans la production d’autres produits de son catalogue.Une installation intelligente, connectée et sur-mesureUne bonne maîtrise des températures est indispensable pour optimiser la performance énergétique du bâtiment. En neuf comme en rénovation, les solutions de plancher chauffant et rafraîchissant Wavin distribuent la chaleur de manière uniforme et réduisent la consommation d’énergie. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile intuitif ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin qui comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes. Véritable « cerveau » de l’installation, cette solution très simple d’installation puis d’utilisation au quotidien permet un pilotage précis du confort climatique pièce par pièce, tout en limitant la consommation énergétique : jusqu’à 15% d’économies d’énergie de chauffage*.Avec sa programmation très précise, les températures sont ajustées en fonction des heures d’utilisation des pièces et du confort souhaité, des apports extérieurs… Sentio bénéficie par ailleurs d’une certification Eu.Bac qui valide sa capacité à maintenir précisément une température cible malgré l’inertie inhérente à un système de plancher chauffant : valeur de CA = 0,5 K.Enfin, Sentio de Wavin peut également optimiser le rendement énergétique de l’installation en adaptant la température du fluide caloporteur en fonction des conditions climatiques extérieures, grâce à une unité de mélange et une sonde extérieure proposées en option. Il offre ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée et des économies d’énergie significatives puisque le générateur ne produit que ce qui est nécessaire en maximisant l’utilisation des calories.*Source Ademe 2022
Il y a 2 ans et 315 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 322 jours

Recul des ventes de maisons qui ont atteint un prix record au m³ au 1er trimestre

Le marché des maisons individuelles vers lequel les Français s'étaient tournés avec la crise Covid s'essouffle avec des prix atteignant des records au premier semestre 2022, selon Century 21.
Il y a 2 ans et 326 jours

Quelles solutions pour climatiser une maison sans clim ? Claude Lefrançois

En 2022, nous avons connu la plus grosse canicule jamais vécue en juin avec des températures de plus 40° dans de nombreuses régions.  Le dérèglement climatique est maintenant une certitude comme l’atteste le Giec et la cause est essentiellement due à l’homme. On bat des records de chaleur quasiment chaque année. Cela veut dire qu’on va […]
Il y a 2 ans et 328 jours

La rénovation énergétique est "une bombe à retardement" (Jean-Marc Torrollion, Fnaim)

IMMOBILIER. Alors que le marché immobilier est en phase de ralentissement après des années record, la Fnaim, qui a présenté sa note de conjoncture semestrielle le 29 juin, rappelle à l'exécutif que la rénovation des logements est "le sujet de quinquennat" qui s'ouvre et appelle à un changement de paradigme.
Il y a 2 ans et 330 jours

"Les prix au mètre carré en France battent des records", selon Century 21

IMMOBILIER. Le groupe d'agences immobilières a présenté les chiffres de l'immobilier ancien au premier semestre 2021. Le prix moyen au mètre carré des maisons individuelles a cru d'environ 10% dans toute l'Hexagone.
Il y a 2 ans et 330 jours

L'inflation va encore accélérer en France pesant sur la croissance cette année

Au total sur l'année, l'inflation atteindrait en moyenne 5,5%, du jamais-vu depuis 1985, ce qui amputerait le pouvoir d'achat des ménages de 1% en dépit des mesures de soutien public en place ou annoncées, soit sa plus forte contraction depuis 2013, marquée alors par la politique d'austérité post-crise financière.Comme la Banque de France - qui a publié mardi la même prévision de croissance et sensiblement la même prévision d'inflation (5,6%) sur l'année -, l'Insee estime qu'après un net bond en juin à 5,9% du fait de la hausse des prix du pétrole, de l'alimentation et des services, l'inflation serait ensuite plutôt soutenue par les augmentations de prix hors énergie "en répercussion des hausses passées des coûts de production", c'est-à-dire les prix des matières premières et les augmentations de salaires.Face à cette situation que beaucoup de Français n'ont jamais connue, la confiance des ménages parait "particulièrement affaiblie", a souligné lors d'une conférence de presse Julien Pouget, chef du département de la conjoncture à l'Insee.Et ce n'est pas la revalorisation automatique du Smic attendue en août ou septembre selon lui, du fait de l'inflation, qui sera de nature à les rassurer.Ils devraient ainsi accroître leur épargne, qui a déjà atteint un niveau record durant la crise sanitaire, et rester prudents dans leurs dépenses, avec une consommation attendue en hausse modérée (+2,3%), après un recul de 1,5% au premier trimestre.Ces prévisions intègrent les mesures de soutien du pouvoir d'achat prises ou annoncées (revalorisations des retraites, minimas sociaux et du traitement des fonctionnaires, bouclier tarifaire sur l'énergie, prime de pouvoir d'achat, suppression de la redevance, etc.), qui "contribueraient à rehausser le revenu disponible brut des ménages d'environ 1 point de pourcentage en 2022", sans totalement annuler l'impact de l'inflation, selon l'Insee.Du côté des entreprises, tandis que l'industrie et le bâtiment continueront de lutter contre la hausse de leurs coûts et les difficultés d'approvisionnement engendrées par la guerre en Ukraine, les services "porteraient l'essentiel de la croissance au deuxième semestre".L'économie pourrait toutefois compter sur un petit rebond des exportations, mais à condition que l'épidémie de Covid-19 en Chine ne vienne pas de nouveau freiner le commerce mondial.Dans ce contexte, l'emploi résisterait encore cette année, avec 260.000 créations d'emplois attendues et un taux de chômage qui baisserait à 7% à la fin 2022.
Il y a 2 ans et 330 jours

Recul des ventes de maisons qui ont atteint un prix record au mètre carré au 1er trimestre

"Ce mouvement vers les maisons, ou achat chlorophylle, se confirme dans les chiffres d'achats de maison dans la France entière comme en Île-de-France, à tel point qu'il a enflammé les prix et crispé ce marché", a indiqué le nouveau président de Century 21 Charles Marinakis, lors d'une conférence de presse.En 2022, les prix moyens au mètre carré ont continué la hausse qu'ils connaissent depuis 2014-2015 atteignant de nouveaux records, tant pour les maisons (2.552 euros le m²) que pour les appartements (4.061 euros le m²). Ce qui représente une hausse de respectivement 21% et 28% sur les quinze dernière années.Cependant au premier semestre 2022 le nombre de vente ont reculé de 7,9% pour les maisons, tandis que les ventes d'appartement continuaient leur hausse de 1,7% par rapport aux six premiers mois de 2021, selon les chiffres de Century 21.La région Provence Alpes Côte d'Azur est celle qui voit ses prix progresser le plus vite en un an : +15,5% pour les maisons et +10,8% pour les appartements.En Île-de-France, si "les confinements successifs avaient donné envie aux cadres parisiens de réaliser des sauts de puce en périphérie pour gagner en surface (...) cet épisode s'achève", avec notamment "l'augmentation du prix du carburant et celui de l'énergie", selon un communiqué de Century 21.Le marché de Paris intra-muros se comporte lui "à l'inverse des tendances nationales", selon M. Marinakis. Le prix au m² parisien est stable, "ce qui favorise le dynamisme du marché immobilier dont les ventes augmentent de 17,3% en un an".Avec une inflation à 5,2% à date, "la question du pouvoir d'achat va devenir cruciale pour la très grande majorité des ménages, et le reste-à-vivre le point d'achoppement quand il s'agira de souscrire un emprunt auprès des établissements bancaires", estime le réseau immobilier que cela "devrait entraîner une nette décélération de la hausse des prix immobiliers, dans les prochains mois.
Il y a 2 ans et 334 jours

La Cour des comptes s'alarme d'une "impasse financière" de l'apprentissage

"L'alternance connaît une impasse financière", souligne la Cour dans un rapport dédié et un référé aux ministres de l'Economie et du Travail sur la "situation financière préoccupante" de France compétences, l'organisme qui gère les dispositifs d'alternance et de formation professionnelle.Prévu à 3,2 milliards en 2021 - malgré une subvention exceptionnelle de 2,75 mds - le déficit de France compétences, qui finance notamment les centres de formation d'apprentis (CFA) à partir de la contribution des entreprises, pourrait grimper à 5,9 milliards cette année, ce qui nécessitera un nouveau coup de pouce financier.En cause, la réforme du financement conjuguée à l'explosion des entrées de jeunes en apprentissage qui a quasiment doublé en deux ans pour atteindre le niveau record de 730.000 en 2021 et permis une hausse du taux d'emploi des jeunes."Le développement des effectifs d'apprentis, objectif affiché de la réforme, n'a pas été anticipé, pas plus que la croissance du coût unitaire par apprenti", déplore la Cour.Depuis 2020, le financement des CFA repose, non plus sur des subventions régionales complétant les versements des entreprises, mais sur un financement au contrat (5.000 euros pour un CAP maçon par exemple) dans une logique de guichet ouvert.Ce changement a fait augmenter le coût moyen par apprenti "d'au moins 17%", selon la Cour, qui recommande une diminution des niveaux de prise en charge, à l'ordre du jour du prochain conseil d'administration de France compétences le 30 juin.Le secondaire à la traîneVantée par Emmanuel Macron -qui se fixe l'objectif d'un million d'apprentis pour le second quinquennat- cette "croissance inédite" du nombre d'apprentis s'explique en partie par la réforme de 2018, qui a libéralisé l'apprentissage en termes de conditions d'entrée et d'offre de formation.Mais elle est aussi due aux aides décidées pendant la crise sanitaire et versées depuis la rentrée 2020 par l'Etat. Cette prime - 5.000 euros pour un mineur, 8.000 pour un majeur - rend le coût de la première année quasi nul pour l'employeur.Selon la Cour, le coût total des dépenses d'apprentissage a doublé en 2021 à 11,3 milliards d'euros, dont 5,3 mds de financement des CFA et 4 mds d'aides exceptionnelles.L'exécutif compte prolonger ces aides exceptionnelles jusque la fin de l'année."Il est particulièrement important que la stratégie nationale de l'alternance veille à l'efficience de la dépense publique en priorisant les situations où l'apprentissage apporte une réelle plus-value", avertit la Cour.La hausse des effectifs a été surtout portée par les apprentis du supérieur qui sont devenus majoritaires depuis 2020. Or, à partir de la licence, "la plus-value sur l'insertion professionnelle est faible", selon la Cour même si cela "contribue à démocratiser, professionnaliser et financer l'enseignement supérieur".Autre bémol, la multiplication des formations s'est faite davantage dans des secteurs tertiaires que dans les secteurs en tension comme l'industrie ou le BTP.Si le nombre d'apprentis dans le secondaire augmente peu, "c'est en raison du profil de ces élèves de plus en plus jeunes à la sortie de la classe de troisième, peu mobiles, probablement hésitants à entrer dans une formation plus exigeante", estime la Cour pour qui l'apprentissage "reste mal connu et moins considéré" par les professeurs de collège.Elle appelle à "sécuriser les parcours en favorisant les passerelles entre voie scolaire et apprentissage" et à renforcer l'accompagnement des jeunes pour limiter le taux de rupture des contrats.
Il y a 2 ans et 337 jours

Le nombre de créations d’entreprises artisanales atteint un record en 2021

Le nombre de créations d’entreprises artisanales s’envole en 2021En 2021, 250 000 entreprises artisanales ont été créées en France. Un chiffre en hausse de 13% (+29 000 entreprises créées) par rapport à 2019 et la situation d’avant-crise sanitaire. Un entrepreneur sur quatre créé aujourd’hui son entreprise dans l’artisanat.Marielle Vo-Van Liger, Directrice Marketing et Communication MAAF : « La création d’entreprises artisanales s’est envolée en France en 2021 pour atteindre un niveau bien supérieur à celui de 2019. La crise sanitaire, qui a pourtant lourdement et durablement affecté l’économie française, n’a en rien entamé la motivation des Français désireux de se lancer dans l’entrepreneuriat artisanal. Cette dynamique favorable témoigne de l’attrait toujours intact du secteur de l’artisanat et de la force des vocations qu’il suscite. C’est en particulier le cas dans les communes rurales où la création d’entreprises a connu une belle envolée et participe pleinement à la quête de redynamisation de ces territoires. » Un fort dynamisme entrepreneurial dans les communes ruralesEn 2021, ce sont les communes rurales qui ont enregistré la plus forte augmentation des créations d’entreprises artisanales (+23%), suivies par les petites villes de moins de 10 000 habitants (+21%). En comparaison, la dynamique est beaucoup plus faible dans les métropoles de plus de 200 000 habitants (+13%).Deux facteurs peuvent expliquer ce dynamisme de l’entrepreneuriat artisanal dans les milieux ruraux. D’abord, le départ de citadins vers les campagnes et le développement du télétravail, conséquences de la crise sanitaire. De nombreux Français ayant souffert des confinements en ville on fait le choix de s’installer à la campagne et certains d’entre eux y ont sans doute développé une activité artisanale, telle que la vente à distance de produits artisanaux ou des métiers d’art par exemple.Deuxième facteur : le dynamisme des activités du bâtiment dans les communes rurales. Fortement impacté par la crise, le secteur du bâtiment a connu un fort effet rattrapage en 2021, générant un surcroit de marché. Un contexte porteur pour la création d’entreprise : la plupart des entreprises artisanales créées dans les communes de moins de 5 000 habitants sont en effet des entreprises du bâtiment.Hausse des immatriculations dans la plupart des activités, l’artisanat de l’alimentation de plus en plus attractif Sur les plus de 300 activités qui composent le secteur de l’artisanat, les 10 grandes activités de l’artisanat du bâtiment et des services concentrent à elles seules la moitié des créations d’entreprises.Elles enregistrent quasiment toutes une augmentation des immatriculations – pour atteindre des niveaux supérieurs à ceux de 2019 – à l’exception des activités de taxis-VTC et de coiffure, lourdement touchées par la crise sanitaire.Les résultats du baromètre ISM-MAAF témoignent de l’attractivité grandissante de l’artisanat de l’alimentation : les activités de fabrication de biscuits ont par exemple enregistré un bond de 46% des créations d’entreprises par rapport à 2019, de même que les chocolateries (+34%) et les pâtisseries (+27%). Les métiers d’art, ces métiers du « geste » emprunts d’authenticité, attirent également les entrepreneurs : +30% d’immatriculations en 2021.Catherine Élie, directrice des études de l’Institut Supérieur des Métiers : « L’augmentation des créations d’entreprises dans l’artisanat de l’alimentation témoigne du bouleversement des habitudes de consommation des Français ces dernières années, entre avènement des circuits courts, volonté de « manger local » et développement de la consommation nomade. Par ailleurs, la crise sanitaire et les confinements successifs ont conduit de nombreux Français à se questionner sur leur carrière professionnelle et à faire le choix de se réorienter vers des métiers de passion comme le sont les métiers d’art. En milieu rural, les créations d’entreprises progressent fortement dans ces activités ainsi que dans les activités du bâtiment qui tirent elles aussi profit de l’exode des citadins. La majorité des créations sont néanmoins des micro-entreprises dont la viabilité économique et les marchés seront à confirmer. » Toutes les régions concernées par l’envolée des créations d’entreprises à l’exception de l’Île-de-FranceLa plupart des régions enregistrent une augmentation des immatriculations. On observe les plus fortes hausses dans le Grand Est (+27% par rapport à 2019), les Pays de la Loire (+27% également) et en Bretagne (+26%). Viennent ensuite les régions Bourgogne-Franche-Comté, Centre-Val de Loire, Nouvelle-Aquitaine et Occitanie qui affichent une hausse des immatriculations supérieure à 20%. Les Hauts-de-France, la Normandie, l’Auvergne-Rhône-Alpes et la Provence-Alpes Côte d’Azur ferment la marche avec des augmentations comprises entre 11 et 15%.Seule l’Île-de-France affiche un recul des créations d’entreprises artisanales (-4%) qui s’explique par la baisse des immatriculations des taxis-VTC et plus globalement par la chute des créations dans les activités de service et de fabrication. La propension à créer une entreprise artisanale varie selon les départements : si, en moyenne, la création d’entreprise artisanale concerne 8 adultes âgés de 25 à 60 ans sur 1000, ce taux est deux à trois fois plus élevé dans les départements méditerranéens qu’il ne l’est sur le littoral de la Manche. Les départements des Alpes-Maritimes et du Var sont ainsi les plus entreprenants de France s’agissant d’activités artisanales.
Il y a 2 ans et 342 jours

En dépit d'une croissance record des ENR, 2021 serait "un rendez-vous manqué"

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. L'augmentation plus que marquée des capacités de production d'énergies renouvelables durant l'année dernière n'aura pas compensé la hausse de la consommation d'énergies fossiles, selon un rapport. Aggravée par le conflit russo-ukrainien, la crise énergétique qui frappe le monde entier contribue à générer des profits "exceptionnels" pour les producteurs de combustibles fossiles.
Il y a 2 ans et 342 jours

Nouveau record d'installations pour les énergies renouvelables attendu en 2022

Photovoltaïque, éolien, barrages... les infrastructures nouvelles ont atteint un niveau inédit en 2021, offrant 295 gigawatts (GW) de capacité supplémentaire.Et la tendance se poursuit, malgré le renchérissement des matières premières, du transport et les difficultés d'approvisionnement le long de la chaîne de production, puisque que 320 GW additionnels sont prévus cette année -- l'équivalent des besoins en courant de l'Allemagne, ou de la production électrique européenne issue du gaz, estime le rapport actualisé de l'AIE sur le Marché de l'énergie renouvelable.Le solaire photovoltaïque devrait représenter 60% de cette croissance. L'éolien terrestre, qui avait plongé de 32% en 2021 après une année 2020 exceptionnelle, devrait retrouver peu à peu son rythme.Les installations d'éolien offshore inaugurées en 2022 devraient surpasser de 80% celles de 2020 (même si c'est un recul de 40% par rapport à 2021, les développeurs chinois ayant multiplié les chantiers l'an dernier pour profiter d'une subvention touchant à sa fin). Fin 2022, la Chine devrait dépasser l'Europe pour devenir la première région du monde en terme de capacités dans l'éolien marin.Globalement, l'essor des renouvelables est particulièrement marqué en Chine, en Inde, dans l'UE, en Amérique latine, grâce à de forts soutien publics. Cela compense un déploiement moins important que prévu aux Etats-Unis, où le cadre de soutien est plus incertain et les équipements photovoltaïques importés d'Asie ont pâti des sanctions commerciales.Dans l'UE, la croissance des renouvelables a en revanche bondi de 30% en 2021, à 36 GW, dépassant le record de 35 GW enregistré il y a dix ans. Les projets dans les tuyaux pour 2022 et 2023 pourraient ainsi nettement réduire la dépendance de l'UE à l'égard du gaz russe, note l'AIE, qui alerte cependant : ce résultat dépendra aussi de mesures d'efficacité énergétique et visant à juguler la demande.La croissance globale des renouvelables devrait en outre perdre son élan dès 2023 à en juger par les politiques en place aujourd'hui, met aussi en garde l'Agence : "en l'absence de mesures plus soutenues" dans les six mois à venir, la croissance des capacités devrait stagner l'an prochain, la progression du solaire ne parvenant pas à compenser un déclin de 40% dans l'expansion hydroélectrique."Accélérer la délivrance des permis et fournir des incitations adaptées au déploiement des énergies renouvelables sont parmi les principales actions dont disposent aujourd'hui les gouvernements pour s'attaquer au défi de la sécurité énergétique et des marchés tout en préservant les objectifs climatiques", souligne le directeur de l'AIE, Fatih Birol.
Il y a 2 ans et 344 jours

Inauguration d'un nouveau parc solaire géant à Gien dans le Loiret, mais la France encore loin du compte

L'an dernier a vu un niveau record de construction de sites solaires dans l'Hexagone.A Gien, le parc de 75 ha d'une capacité de 55 mégawatts (MW) peut alimenter environ 40.000 personnes en électricité. Avec lui, le groupe pétro-gazier TotalEnergies, qui veut se diversifier, atteint désormais un total de 1 gigawatt (GW) de capacité solaire ou éolienne en France. Il vise 4 GW en 2025."Ca n'est qu'un début et TotalEnergies a bien l'intention d'être un acteur majeur de cette transformation" énergétique, a déclaré Stéphane Michel, directeur Gaz, renouvelables et électricité pour le groupe, en inaugurant les lieux vendredi sous un soleil de circonstance.Mais la France n'est à ce jour pas le pays le plus accueillant pour les renouvelables. A 13 GW de capacité, elle devrait rater son objectif pour 2023 (20 GW), et ce alors que le président Emmanuel Macron veut désormais pousser à 100 GW en 2050.Pour Stéphane Michel, en France, "le grand sujet c'est l'accès au foncier". Pour trouver des zones d'implantation, le groupe a signé une convention avec la fédération agricole FNSEA, et mène des projets pilotes dans l'agrivoltaïsme permettant de mêler productions agricole et d'énergie."Être informés"A Gien, c'est le propriétaire du terrain qui est venu voir l'énergéticien.Michel Beaumont ne savait que faire de cet espace agricole, selon lui peu fertile, dans lequel il avait investi pour tenter d'implanter un parc animalier.Le photovoltaïque, "c'est le plus beau projet qu'on pouvait faire, car on en a besoin," dit cet entrepreneur de travaux publics, qui a signé un bail de location de 20 ans, pour un montant non précisé.Le projet n'a pas fait l'objet de recours. Mais le processus a duré huit ans, entre instruction, études environnementales, fouilles archéologiques qui ont in fine réduit la surface, aménagement de mares et de haies...Pour impliquer les riverains, une part du projet (38 millions d'euros d'investissement au total), a aussi fait l'objet d'un financement participatif de 2,2 millions d'euros, souscrit par 200 habitants.Le maire (DVD) de Gien, Francis Cammal, se félicite d'un projet alliant "nature et technologie": "la triste actualité (en Ukraine) rend plus cruciale une nécessité évidente. Il faut accroître la part des énergies renouvelables et réussir ensemble la transition énergétique du pays".Il salue aussi les retombées fiscales -- plusieurs dizaines de milliers d'euros, dit-il à l'AFP -- et le "souci de concertation". "Il faut être informés, car nous nous interrogeons, par exemple, sur la durabilité des panneaux."En France, TotalEnergies affiche une certaine modestie dans ses ambitions solaires ou éoliennes."A Gien, on a trouvé un équilibre entre coût et acceptabilité. On n'est pas forcement convaincu que de plus grandes centrales puissent faire sens, si un projet doit prendre 15 ans et n'est pas garanti d'aboutir. Il n'y a pas de course à la taille pour la taille".La situation est différente aux Etats-Unis, en Inde, au Chili, en Espagne, ou au Qatar où "on met en production 800 MW au milieu du désert, et ce n'est pas un problème".Selon lui, la multinationale consacre aujourd'hui 25% de ses investissements annuels aux renouvelables et à l'électricité, en croissance organique ou en acquérant des entreprises.Le groupe commence aussi à internaliser certaines fonctions, de recherche-développement, calcul et modélisation, etc., dit encore le responsable du groupe.TotalEnergies réalise à ce jour environ 5% de ses ventes dans les renouvelables et l'électricité (y compris d'origine gazière), le reste provenant de ses activités traditionnelles.
Il y a 2 ans et 347 jours

Action Logement creuse ses pertes en 2021

L'ex 1% Logement, piloté par patronat et syndicats et financé par un prélèvement sur les entreprises (PEEC), a augmenté son activité tous azimuts: production et rénovation de logements, aides à la mobilité professionnelle, garantie locative Visale...Au total, il a investi quelque 12,5 milliards d'euros."Une institution comme Action Logement n'est pas là pour faire du résultat, elle est là pour déployer son utilité sociale sur l'ensemble des territoires", a justifié le président du groupe, Bruno Arcadipane.Depuis 2019, le groupe, assis sur plusieurs milliards d'euros de trésorerie, s'est engagé, sous la pression de l'Etat, dans un plan d'investissement volontaire (PIV) colossal.L'année dernière, il a obtenu plus de 48.000 autorisations de construire des logements sociaux et intermédiaires, un record, et plus du tiers du total national.Ses dirigeants souhaitent encore accélérer le rythme de construction en 2022, malgré les difficultés économiques: inflation, pénurie de matériaux, effets de la guerre en Ukraine, etc."On est le premier bailleur de France et il est impossible pour nous de ne pas avoir des ambitions extrêmement fortes", a déclaré Bruno Arcadipane.Le nombre de bénéficiaires de la garantie Visale, destinée aux moins de 30 ans et élargie à tous les salariés gagnant moins de 1.500 euros net par mois, s'est élevé à 230.000, avec un objectif de 330.000 pour 2022 et de 500.000 à terme.En 2022, dernière année de son plan d'investissement, le groupe devrait rester dans le rouge, pour revenir à l'équilibre en 2023."Les grands enjeux pour l'avenir, pour nous, après la période de mobilisation très forte de réserves du PIV qui continue en 2022, ça va être de retrouver à partir de 2023 un équilibre entre nos ressources et nos dépenses", a affirmé la directrice générale Nadia Bouyer.Objet récurrent de guéguerres avec l'Etat au sujet de son financement, Action Logement s'est vu prélever en 2021 un milliard d'euros au bénéfice du Fonds national d'aide au logement, en plus de ses participations au renouvellement urbain ou au programme Action Coeur de ville.Les recettes ont baissé de 300 millions d'euros, l'Etat ayant renoncé à verser une compensation à l'exonération de la PEEC pour les entreprises de 20 à 50 salariés.
Il y a 2 ans et 347 jours

Nouveau record d'investissements pour Action Logement en 2021

RÉSULTATS. L'organisme paritaire, qui poursuit son plan d'investissement volontaire, a investi 12,5 milliards d'euros en 2021, et lancé, notamment, la production de 48.000 nouveaux logements. Le résultat net est, de ce fait, en chute libre.
Il y a 2 ans et 347 jours

Les plus gros consommateurs d'énergie très peu incités à l'efficacité énergétique

Le dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), principale aide financière des travaux d'économies d'énergie tant pour les particuliers que les professionnels, doit permettre à la France d'atteindre près de la moitié de ses objectifs européens. Mais il est largement sous-exploité par ces secteurs.Dès lors, l'augmentation significative du volume d'obligation des CEE, tant en CEE classiques qu'en CEE précarité, semble indispensable pour inciter les secteurs consommateurs d'énergie et émetteurs de CO2 à lancer des travaux d'économies d'énergie, atteindre les objectifs nationaux et européens et consolider les filières professionnelles dont la France a besoin. Le coût de cette mesure sur les prix de l'énergie serait limité. Calculs et éclairage du groupe Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie et pionnier du dispositif des CEE depuis 2008.« Il est évident que la non rehausse du marché des CEE, ce dispositif d'aide privée qui pèse plus de 5 milliards d'euros annuels, en baisse de 25 % sur 12 mois, a aujourd'hui des répercussions sociales, économiques et environnementales majeures. Sa résolution doit être un des dossiers prioritaires de la Première ministre chargée de la planification écologique. L'atteinte de nos objectifs nationaux et européens, avec près de 40 % d'économies d'énergie à réaliser d'ici 2030, en dépend ! », soutient Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio.Le transport, l'industrie, le tertiaire et l'agriculture plus gros consommateurs d'énergie devant le secteur résidentiel Selon le dernier bilan énergétique de la France en 2021 publié en avril 2022, la consommation d'énergie primaire de la France en 2021 est en hausse de 7,7 % (2 769 TWh).De son côté, la consommation finale d'énergie s'établit à 1 778 TWh en 2021, dont 1 627 TWh à usage énergétique. Cette dernière a augmenté de 9,1 % et revient à son niveau de 2019.Dans le détail, la consommation d'énergie du transport s'élève approximativement à 511 TWh, soit près de 32 % du total. En parallèle, celle de l'industrie s'élève à 312 TWh, soit près de 20 %. À cela s'ajoute la consommation des bâtiments tertiaires estimée à 275 TWh, soit 17 %, et celle de l'agriculture et de la pêche autour de 50 TWh, soit 3 %.En somme, les secteurs industriels et commerciaux représentent près de 72 % de la consommation totale ! Parallèlement, les émissions de CO2 liées à l'énergie rebondissent de 8,5 % sans retrouver leur niveau de 2019, les secteurs énoncés précédemment étant responsables de près de 90 % du total.Une sous-exploitation des CEE par ces secteurs aggravée par un marché en crise Paradoxalement pour ces secteurs industriels et commerciaux, le dispositif des CEE, instrument principal de la politique énergétique en matière d'incitation aux travaux d'efficacité énergétique et de réduction des consommations d'énergie, ne représente en moyenne que 33 % des CEE délivrés depuis le 1er janvier 2022, avec le même ordre de grandeur sur les quatre dernières années. Le secteur qui profite des 67% restants est le résidentiel, représentant 28 % de la consommation d'énergie.De plus, l'actualité du marché des CEE n'est pas incitatrice à l'efficacité énergétique : le cours accuse une baisse des incitations financières de l'ordre de 30 % sur ces deux dernières années causée par la surproduction des CEE par rapport à des obligations [2] devenues insuffisamment ambitieuses.En effet, la production de CEE bat tous les records (avec des moyennes de 83 TWhc de délivrances CEE et 72 TWhc de dépôts CEE sur le début d'année 2022) pour une obligation de volume pour la 5ème période critiquée pour être mal calibrée (43 TWhc en comptant la surproduction de la 4ème période estimée à 450 TWhc, 52 TWhc par mois hors surproduction).Cette situation du marché des CEE provoque de lourdes conséquences, tant sur le plan économique, social qu'environnemental : Une baisse des aides et une augmentation des restes à charge financiers pour les travaux d'efficacité énergétique pour les particuliers et les entreprises, dans un contexte inédit d'explosion des prix de l'énergie. Plusieurs sociétés décalent, annulent ou n'envisagent simplement pas de lancer leurs projets d'efficacité énergétique en raison de la faible incitation actuelle des CEE. Une confiance rompue dans le dispositif par les utilisateurs finaux qui se retrouvent avec un reste à charge doublé ou triplé par rapport à il y a quelques mois et ne peuvent plus lancer leurs travaux.Un manque d'ambition qui se traduira par la non atteinte des objectifs français et européens en matière de baisse des consommations énergétiques alors que l'objectif 2020 a été atteint sur le fil grâce, ou à cause, du contexte sanitaire de 2020. À rappeler également que la révision de la directive efficacité énergétique devrait être actée d'ici la fin d'année, avec une augmentation probable de l'objectif 2030 actuel de 32,5% à 36%-39%.Doubler l'obligation du volume des CEE de la 5ème période pour atteindre les objectifsÀ ce titre, étant donné une moyenne mensuelle actuelle de 83 TWhc de délivrance de CEE et 450 TWhc de stocks de CEE, il est projeté une obligation CEE totale pour la 5ème période de 4 500 TWhc, soit un quasi doublement de l'objectif actuel.Avec la probable augmentation de 11 % de l'objectif européen, aujourd'hui à 32,5 % d'économies d'énergie [3] à réaliser d'ici 2030, l'obligation potentielle pourrait même s'élever à plus de 5 000 TWhc si la volonté politique était d'utiliser le dispositif pour atteindre l'objectif européen et national.Plusieurs acteurs de la filière ont émis une recommandation similaire de doublement voire de triplement des aides financières dédiées aux économies d'énergie [4], de même que la Convention Citoyenne pour le Climat [5] a proposé de quadrupler l'objectif (3 à 4 fois), ce qui porterait l'obligation à plus de 6 000 TWhc.Pour rappel, les forfaits des fiches d'opérations standardisées sont révisés régulièrement à la baisse, compte tenu de la réévaluation des références du parc et du marché pour mieux refléter l'économie d'énergie réelle : le montant d'incitations financières versées par opération sera donc limité.Si l'on souhaite atteindre l'objectif des 700 000 travaux de rénovation annoncés par le Président lors de sa campagne de réélection, une rehausse de l'obligation du volume des CEE est indispensable afin d'augmenter considérablement les incitations financières.Cette rehausse nécessaire aura pour première incidence de diminuer fortement les restes à charge et ainsi encourager les consommateurs et les acteurs de la filière à réaliser des travaux d'économies d'énergie.Au-delà du volume d'obligation additionnel conséquent, Hellio insiste sur l'importance d'augmenter à la fois l'obligation classique et l'obligation précarité. En effet, une rehausse de l'obligation précarité permettra de lutter contre la précarité énergétique mais ne stimulera pas les travaux d'efficacité énergétique dans les secteurs cités précédemment, notamment à cause de la fongibilité des CEE précarité (un CEE précarité peut remplir l'obligation classique), et laissera donc de côté les secteurs industriels et commerciaux.[1] https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/bilan-energetique-de-la-france-en-2021-donnees-provisoires-0 [2] emmy.fr ; Prix emmy spot CL Avril 2020 : 8,46 ; Prix emmy sport CL Avril 2022 : 5,93 ; Baisse de 29,9 % [3] https://www.consilium.europa.eu/fr/policies/green-deal/fit-for-55-the-eu-plan-for-a-green-transition/ [4] https://www.fedene.fr/wp-content/uploads/sites/2/2014/09/20171003-PROPOSITIONS-BD.pdf [5] https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/pdf/rf/ccc-rapport-final-seloger.pdf
Il y a 2 ans et 347 jours

A.Doc présentera son nouveau logiciel métier de modélisation 3D à Eurobois

Une solution métier dédiée artisans pour créer rapidement des projets d’agencements de façon intuitiveDéveloppé par A.DOC et venant compléter avantageusement le logiciel de modélisation 3D SketchUp Pro, SketchArtisan est un nouveau logiciel d’applicatif et de conception métier destiné aux artisans professionnels du bâtiment tels que cuisinistes, bainistes, plombiers, menuisiers, décorateurs et agenceurs de tout type dans le cadre de leurs projets clients d’agencements intérieur & extérieur.En effet, conçu spécifiquement afin d’apporter au logiciel SketchUp Pro les outils nécessaires pour modéliser, présenter, quantifier et fabriquer les projets des utilisateurs, SketchArtisan permet en un temps record de réaliser notamment l’agencement d’une cuisine, d’une salle de bain, d’un dressing ou même d’un Van !De la conception jusqu’à la réalisation, SketchArtisan aidera les artisans à toutes les étapes de leur projet et permettra d’augmenter facilement et considérablement la performance de gestion du projet, le quantitatif et le plan de fabrication.Grâce aux nombreuses fonctionnalités et outils intégrés SketchArtisan se veut en effet un nouvel atout important pour les artisans en leur apportant une aide précieuse pour :La Création des projets d’agencements en 3D de façon intuitive à l’aide des générateurs de meubles et de panneaux ainsi que la mise en valeur des projets grâce au générateur de textures et à celles présentes telles que Egger®.La Présentation des projets aux clients à partir de la conception 3D (planches de présentations clients, images photo-réalistes, animations, présentations à 360°, ...).La Fabrication avec la génération à tout moment du projet, des fiches de débits, des éclatés et des vues d’élévations. SketchArtisan permet à l’artisan de réaliser ses plans de fabrication détaillés et de générer des fichiers DXF.Au final, le nouveau logiciel SketchArtisan devrait rapidement trouver sa place auprès de nombreux artisans grâce aux avantages conséquents qu’il pourra apporter à ses utilisateurs avec notamment la réalisation de présentations parfaites pour les clients finaux, le calcul rapide des fiches de débits, la génération automatique des éclatés et de nomenclatures, la séduction des clients grâce à des vues 360°, ..., le tout sans omettre un temps de travail rentabilisé au maximum !Une solution performante pour dessiner et quantifier facilement les projets à l’aide de générateurs dédiésAfin de pouvoir aider au mieux les artisans dans la mise en place de leur projet, SketchArtisan a été développé de manière à être un logiciel intuitif, complet et facilement utilisable par le plus grand nombre.Aussi, et pour optimiser son utilisation, SketchArtisan se compose de 2 modules distincts et complémentaires :Un module Dessin 3D avec bibliothèques de textures qui permet de :Concevoir des agencements en 3D très rapidement, grâce à de puissants générateurs de meubles et de panneaux, à des bibliothèques d’objets paramétriques, au dictionnaire de mots clés, et d’en obtenir le débit à tout moment. D’un simple clic, l’utilisateur obtient l’éclaté des meubles, les mises en pages rapides et à l’échelle, les détails de fabrications et les élévations de son projet. Les outils de rendu réaliste permettent en quelques minutes de produire les images, les animations et les visites en 360°.Gérer les textures avec des bibliothèques de textures telles qu’Egger® accompagnées de leurs codes articles, qui rempliront les fiches de débits. Le générateur de textures permet d’incorporer dans la bibliothèque de nombreuses matières en quelques clics.Un module quantitatif qui permet de :Analyser la conception en temps réel et générer des fiches de débits à jour.Paramétrer de puissants filtres en fonctions des besoins pour obtenir des fiches de débits, des panneaux, des poignées, des portes et autres. A l’aide des filtres l’utilisateur peut obtenir toutes les quantités dans toutes les unités (m2, m3, ML).Identifier les pièces grâce à un générateur d’étiquettes.Remplir les en-têtes des fiches de débits et des devis avec un gestionnaire de client.
Il y a 2 ans et 350 jours

Bilan du Carrefour International du Bois 2022 (16è édition)

L’interprofession Fibois Pays de la Loire, organisatrice de ce rendez-vous unique en Europe, a accueilli cette année 607 exposants (vs. 563 en 2018). Ces professionnels du bois venus de quelque 40 pays différents ont vu affluer 14 000 visiteurs, soit 20 % de plus que lors de la précédente édition. Avec un taux de fréquentation inédit et une forte progression du nombre de visiteurs étrangers, le Carrefour International du Bois a tenu toutes ses promesses et s’impose une fois de plus comme le temps fort incontournable de toute la filière bois. Le mot du Président Jean Piveteau“Cette édition 2022 est triplement exceptionnelle : le nombre d’exposants était déjà un record, que vient asseoir le taux de fréquentation en progression de plus de 20 % par rapport à la précédente édition; mais plus encore me stupéfait la montée en gamme des stands et de l’offre de produits. La filière bois s’est véritablement professionnalisée et n’a plus rien à voir à ce qu’elle était il y a 30 ans à la création du Carrefour International du Bois.”, confie Jean PIVETEAU, Président du Carrefour International du Bois.Le mot de Jean Bureau, Président de Fibois Pays de la Loire :Le bois, un matériau biosourcé porteur d’espoir et d’avenir“Cette édition est exceptionnelle par l’enthousiasme des exposants et des visiteurs, dont le plaisir de se retrouver après une si longue absence a été véritablement palpable durant ces 3 jours. Elle se clôture sous les meilleurs auspices : un marché du bois euphorique et de belles perspectives d’avenir pour le bois dans son aspect écologique”, atteste Jean Bureau, Président de Fibois Pays de la Loire. Le mot de Géraldine Cesbron, commissaire générale du Carrefour International du Bois : L’innovation et la montée en gamme des produits au coeur du Carrefour International du Bois 2022“Cela s’impose aux sens, c’est visuel, palpable, la qualité et la technicité actuelles des produits témoignent de la capacité qu’a la filière bois à répondre aux défis technologiques et écologiques de demain”, s’enthousiasme Géraldine CESBRON, commissaire générale du Carrefour International du Bois. Témoignages ExposantsMDP Finition, la PME nantaise qui participe pour la première foisPremière participation au Carrefour International du Bois pour cette PME 100 % locale (Haute Goulaine, 44), filiale dédiée au vernissage de bois du Groupe MDP et de la sous-traitance nautisme, agenceur et fabricant de panneaux. Détenteur de 2 chaînes de vernis de 1900 mm de largeur quasi uniques en Europe (seulement 2 machines en Europe), MDP Finition est venu en quête de nouveaux clients qui lui permettraient d’exploiter pleinement son bijou industriel qui ne l’est qu’à 40 % actuellement. “Nous sommes très satisfaits des rencontres que nous avons faites sur le salon, et nous entendons bien occuper un emplacement de choix sur la prochaine édition”, déclare Jacky Bourgeais, Responsable MDP Finition. Sierolam, 5ème édition pour l’industriel espagnol 5ème participation pour SieroLam, spécialiste de la première et deuxième transformation du bois, issu de ses propres forêts. Habitué de ce rendez-vous business unique en Europe, SieroLam participe avant tout pour fidéliser ses clients. “Cette édition a une saveur particulière pour nous, il nous tenait vraiment à coeur de recréer du lien avec nos clients, que nous avons presque tous réussi à voir en l’espace de 3 jours”, explique Alexandre Flambard, International Business Developement Manager.
Il y a 2 ans et 350 jours

Lorenove lance sa campagne promotionnelle estivale « Un été en mouvement »

Au gré des saisons, Lorenove initie ses campagnes promotionnelles, annonciatrices d’aides financières attribuées aux particuliers, et les aident à s’équiper de nouvelles menuiseries performantes. Depuis le confinement de 2020 et les évolutions qu’il a généré sur la vie courante, l’engouement des Français pour les travaux de rénovation n’a pas diminué. L’étude de janvier dernier, de TBC Innovations, sur le marché de la fenêtre, le confirme avec des résultats exceptionnels : qui qualifient même l’année 2021 d’année record, avec un volume de vente de fenêtre en croissance de +8% par rapport à 2020, soit près de 11 millions d’unités vendues. Des ventes que le marché n’aurait pas connu depuis plus de 10 ans ! Il est évident que la rénovation représente le premier débouché pour les ventes de fenêtres, notamment et également grâce à la TVA à 5,5% et les aides des pouvoirs publics. Ces travaux de rénovation énergétique découlent d’une volonté des particuliers d’améliorer l’isolation de leur logement, accrue par la hausse des coûts de l’énergie. Mais sans les aides de l’état et sans argent, il est hypothétique d’imaginer que les particuliers puissent trouver les ressources et réaliser les travaux nécessaires. C’est pourquoi, la saison estivale ne déroge pas à la coutume Lorenove et accueillera dès le 11 juin, jusqu‘au 25, la campagne « Un été en mouvement ». C’est aussi le moment pour les particuliers de se pencher sur le sujet afin que les travaux d’isolation soient réalisés avant que le froid n’arrive. Durant 2 semaines, Lorenove donne un coup de pouce financier aux propriétaires, en leur offrant une reprise de 150 € par fenêtre, porte-fenêtre ou coulissant, quels que soient le matériau et la gamme choisis. Forte de plus de 40 années d’existence, l’enseigne fait preuve d’une expérience manifeste, gage de fiabilité et de tranquillité pour les clients. Fabriquées en France, toutes les menuiseries sont garanties et les mots d’ordre : transparence, savoir-faire et proximité, sont des engagements majeurs de l’enseigne. Autant de bonnes raisons de faire confiance au spécialiste de la rénovation des menuiseries et fermetures ! Partager la publication « Lorenove lance sa campagne promotionnelle estivale « Un été en mouvement » »
Il y a 2 ans et 354 jours

Interview de Jean-Pierre Guallarano, Président de Créazur France

Batinfo : Pouvez-vous nous présenter Créazur France ?Jean-Pierre Guallarano : CREAZUR France est concepteur-distributeur d’articles de salles de bain et de kitchenettes destinés à 3 canaux de distribution essentiels : la promotion immobilière par des prescriptions ou des référencements auprès de promoteurs immobiliers nationaux, la vente en ligne en B2C sur www.cuisibane.com et la vente en ligne en B2B sur www.creazurpro.com.Nous avons choisi d'être concepteurs en plus de distributeurs parce que plus de 80% de nos produits sont conceptualisés dans notre bureau R&D et disposent pour la plupart de brevets ou de propriétés industrielles.Nous distribuons de nombreuses familles de produits telles que les plans vasques et vasques en résine de synthèse, les receveurs de douche extra plat en résine allégée, les meubles de salles de bains, les miroirs éclairants à LED, les parois de douche, les DOUCH’ETANCH, concept de remplacement de baignoire par une douche en une journée, la robinetterie et les kitchenettes avec planiquartz (plan de travail monobloc avec évier moulé).Nous stockons nos produits dans nos dépôts 40.000 m3 et bientôt, fin 2022, 60.000 m3. Ce volume de stockage nous permet de répondre à un besoin de stocks permanents pour assurer des livraisons à nos clients sous 3 à 4 jours.Notre entreprise connaît des croissances importantes à deux chiffres chaque année et compte actuellement 30 salariés.Batinfo : Quelles sont les innovations faites par Créazur France ?Jean-Pierre Guallarano : Elles sont nombreuses et très différenciantes par rapport à la distribution classique. Forts d’une longue expertise de l’équipe dirigeante sur l’activité de « fourniture et pose » d’abord, et maintenant de distributeur uniquement, notre objectif a toujours été de concevoir des produits de qualité et de durabilité au meilleur prix avec des conceptions permettant des gains de productivité sensibles à la pose.Pour n’en citer que quelques-unes, nous avons par exemple imaginé il y a 10 ans le vidage du « trop plein moulé » pour nos vasques et certains éviers. Nous avons été aussi les précurseurs de l’augmentation sensible de 8 à 12 cm des vides sanitaires à l’arrière des meubles de salle de bain pour permettre un confort de pose.Nous avons également conçu il y a près de 10 années des meubles de salle de bain adaptés pour les PMR (les gammes ALTEA ou EPURE) qui rencontrent un grand succès. Ce concept est aujourd’hui repris pas d’autres fabricants.Nos receveurs de douche en résine, pourtant plus solides aux « crash test », pèsent environ 50% de moins que ceux qui sont sur le marché grâce une matière allégée « la créasine ». Les installateurs qui les posent savent que ces receveurs diminuent la pénibilité et se manipulent avec un poseur au lieu de deux, d’où encore un gain de pose.Le process breveté « STOP WATER » est adopté sur l’ensemble de nos parois de douche. Il permet une étanchéité mécanique entre le profilé mural vertical et le mur d’appui du profilé.La nouvelle gamme de meubles de salles de bain ROSINOX met sur le marché un meuble « tout en inox » avec des finitions « bluffantes » similaires au bois et aux laques. Ce meuble, offre une longévité « à vie » évitant les déposent et reposes dans les univers très humides des salles de bains.L’astucieux meuble KORA permet, dans un espace réduit, de positionner un meuble de salle de bain avec un espace lave-linge intégré.Les solutions « DOUCH’ETANCH » et « DOUCH’EXPRESS » permettent le remplacement d’une baignoire par une douche en un temps record de 24h sans réfection des faïences murales et des carrelages de sol.Batinfo : Pouvez-vous nous présenter vos projets à venir ?Jean-Pierre Guallarano : Nous démarrons dès début juin 2022 l’extension d’un dépôt de stockage de 2.000 m² pour agrandir notre dépôt actuel de 4.000 m². Notre capacité de stockage atteindra donc d’ici fin 2022 6.000 m² sur une hauteur de 10 m. Pour développer encore d’avantage nos actions environnementales, nous installons déjà près de 1.000 m² de panneaux photovoltaïques sur notre bâtiment actuel.Nous acquérons actuellement une réserve foncière de près d’un hectare en juxtaposition de notre structure actuelle en prévision des fortes croissances que nous attendons pour les futures prochaines années.Nous ouvrirons notre commercialisation à l’export en 2023 sur l’Allemagne, le Bénélux, la Suisse et l’Autriche.
Il y a 2 ans et 355 jours

Trois nouveaux outils professionnels dans la gamme Subcompact d'AEG

Avec sa gamme SUBCOMPACT, AEG accroît la puissance des outils et la productivité des professionnels.Ces 3 nouveaux outils viennent compléter la gamme SUBCOMPACT déjà existante comprenant : une perceuse-visseuse, une perceuse-visseuse percussion, une visseuse à chocs, une boulonneuse à chocs et une mini-scie multi-matériaux.Nouvelle technologie moteur & compacité extrêmeLes outils de la gamme SUBCOMPACT sont équipés de la toute dernière technologie moteur Brushless à rotor extérieur, une exclusivité AEG. La conception de ce moteur a permis de réduire considérablement la taille des outils sans faire aucun compromis sur les performances des machines. La dimension du moteur est réduite de 60 %**, son diamètre de 27 % et sa longueur de 24 %, entraînant une compacité et une diminution importante du poids de l’outil. Plus petits, plus légers, ces outils garantissent à l’utilisateur de travailler sans fatigue, plus longtemps et plus facilement, y compris dans les endroits les plus difficiles d’accès.Tous les outils de la gamme SUBCOMPACT sont compatibles avec l’ensemble des batteries PRO 18V AEG.**vs moteur 18V AEG standard.Scie sabre “une main” Brushless SUBCOMPACT 18V : puissance, compacité et polyvalenceGrâce à son moteur Brushless, ses 3 200 cps/min et sa course de 22 mm, cette scie sabre est idéale pour la découpe de multi-matériaux (bois, cuivre, PVC…) et garantit des coupes rapides et sans effort.Utilisable à une seule main, pour plus de praticité et de sécurité, elle dispose d’un variateur de vitesse situé sur l’interrupteur pour un réglage facile en fonction du support et un contrôle total de la découpe.Son système de fixation Fixtec™ permet le changement rapide de lame et sans outil.Son design compact et sa poignée avec revêtement Softgrip offrent une maniabilité qui combine contrôle, légèreté et liberté de mouvement pour travailler dans toutes les positions, y compris dans des zones difficiles d’accès. Pour plus de précision dans le travail, son patin est pivotant pour s’adapter aux surfaces de découpe et des LED intégrées éclairent la surface de travail pendant la coupe.Scie circulaire 165 mm Brushless SUBCOMPACT 18V : des records de puissanceCette nouvelle scie circulaire réunit toutes les fonctionnalités et performances nécessaires aux professionnels.Elle est aussi puissante qu’une scie circulaire filaire avec à son moteur Brushless et sa technologie HD-SYNC™ qui optimisent sa puissance grâce à une meilleure communication entre le moteur et la batterie.Avec ses 5 000 tr/min, elle assure des coupes rapides et sans effort dans tous types de bois. Sa lame de 165 mm de diamètre atteint une profondeur de coupe de 57 mm.Elle dispose d’un système de blocage d’arbre pour le changement rapide de la lame et d’une clé Allen qui est embarquée sur la machine.Robuste, elle est dotée d’un carter aluminium ultra résistant et d’une base en magnésium. Sa semelle inclinable est pourvue d’une graduation gravée jusqu’à 56° pour plus de précision dans le travail et une durabilité maximale.Elle dispose d’une prise aspirateur et d’une soufflerie d’éjection des poussières pour un travail impeccable et des surfaces toujours propres.Sa poignée avec revêtement Softgrip micro-texturé assure une excellente prise en main. Pour assurer un travail de qualité quel que soit le niveau de luminosité, un système de LED intégré améliore la visibilité de la ligne de coupe garantissant des coupes précises et soignées.Perceuse-visseuse d’angle Brushless SUBCOMPACT 18V : la seule référence avec un moteur Brushless du marchéElle déploie un couple de 42 Nm qui en fait la perceuse-visseuse d’angle la plus performante du marché.À sa puissance s’ajoutent une extrême compacité et un poids plume qui en font l’outil idéal pour les agenceurs et cuisinistes, notamment lorsqu’ils travaillent dans les endroits difficiles d’accès.Elle s’adapte facilement à tous types d’applications et de configurations avec ses deux vitesses allant de 0 à 500 tr/mn et de 0 à 1 900 tr/min.Conçue pour faciliter le travail des professionnels, elle dispose d’une large gâchette pour travailler à distance sans difficulté et d’un mandrin de grande profondeur pour réaliser des vissages et dévissages à bout de bras dans les endroits exigus.La poignée dispose d’un revêtement micro-texturé Softgrip pour un meilleur contrôle de l’outil ; afin d’assurer une visibilité optimale, la perceuse-visseuse d’angle SUBCOMPACT AEG est dotée d’un éclairage LED intégré.
Il y a 2 ans et 355 jours

139 bâtiments bois de plus de 8 étages dans le monde fin février 2022

Le CTBUH a recensé les projets bois d’au moins 8 étages, en distinguant le tout bois, le bois-béton, le bois-acier et le béton-bois-acier. Le record de hauteur est de 86,6 m, pour l’instant.
Il y a 3 ans et 3 jours

Trecobat, 50 ans et toujours plus vert

Le constructeur breton de maisons individuelles, né en 1972, affiche un carnet de commandes record et vise la neutralité carbone en 2050.
Il y a 3 ans et 4 jours

Ingérop réalise "la meilleure année de son histoire" en 2021

RÉSULTATS. Le groupe Ingérop a dévoilé son bilan 2021, le 19 mai 2022. Une année "exceptionnelle" et même "historique", puisqu'il atteint un niveau d'activité record.
Il y a 3 ans et 4 jours

Herige monte en puissance pour l’année 2022

Benoît Hennaut, président du directoire d’Herige. [©Charles Marion/Herige] En 2020, le groupe Herige annonçait les grandes lignes de son projet de transformation articulé autour de trois piliers : “l’humain”, “l’environnement”, “l’innovation et le digital”. Il a pour ambition d’être un acteur majeur pour tous ses clients et tous ses territoires. Tout en contribuant à l’évolution et à la décarbonation des secteurs de la construction et de l’industrie. Cet objectif se caractérise par une montée en puissance du groupe. En effet, le chiffre d’affaires d’Herige a atteint 720 M€ en 2021. Un record ! Les trois corps de métiers du groupe, que sont la menuiserie industrielle (Atlantem), le béton (Edycem) et le négoce (VM), ont contribué à cette croissance. Tout comme les récentes acquisitions d’Activence (Paca) et d’Audoin & Fils Béton (Aquitaine). Ces filiales s’adaptent aux nouvelles normes du secteur et proposent des solutions capables de répondre aux enjeux actuels. Ainsi, Herige place l’environnement au cœur de ses activités. Il a mis en place une politique RSE qui touche tous les métiers. En témoigne la filiale de négoce VM qui développe ses offres biosourcées pour contribuer à la rénovation énergétique des bâtiments. Herige engagé dans la RSE Mais aussi, le groupe lutte contre la surexploitation de matières premières. Il veut privilégier l’économie circulaire et mieux valoriser les déchets. « La priorité est d’être dans le “faire”, en encourageant la prise d’initiative, déclare Caroline Lutinier, directrice RSE et communication d’Herige. Cela, afin de favoriser au mieux l’appropriation de ces enjeux par toutes nos parties prenantes. Nous voulons aussi nous inscrire dans une démarche de dialogue à la fois à l’interne et à l’externe. La communication sera donc essentielle, afin de fédérer et d’encourager l’engagement de chacun. » Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Par ailleurs, Herige a signé un partenariat avec WWF, en 2021, pour une durée de trois ans. Cette collaboration porte sur plusieurs thématiques comme le climat ou encore la biodiversité. Elle a pour objectif de réduire l’empreinte carbone du groupe et de préserver les forêts françaises, en soutenant le projet “Cœur Forestier de la France”. En ce qui concerne le pilier “innovation et digital”, la data est au cœur des priorités d’Herige. Le groupe s’ancre pleinement dans la transition numérique. Il compte bien enrichir les données BIM de VM, moderniser les outils d’Edycem ou encore accompagner Atlantem dans la transformation digitale, avec la solution Digit’Am. Les services d’Herige Au niveau des datas, Herige a pour ambition d’exploiter au mieux ces données. Une réflexion a été engagée en interne, afin de mieux valoriser la donnée au service du pilotage de la performance interne (économique, RH, et environnementale), des clients, des fournisseurs et des parties prenantes. Après avoir déjà analysé les pratiques et dégagé une trentaine d’usages identifiés, Herige prépare une stratégie de budgétisation et de déploiement de nouveaux procédés dans les mois à venir. La RSE d’Herige place aussi l’humain au cœur de sa politique RH. Le groupe propose des opportunités de formation et de développement de carrière. Lire aussi : Herige entre au capital de Valobat Il souhaite mettre en œuvre des dispositifs comme la digitalisation du système d’information RH. Cela, afin d’assurer le suivi des entretiens annuels. Ainsi, il adapte ses moyens pour répondre aux attentes des équipes et attirer de nouveaux talents. Il a notamment lancé la Herige Académie, qui propose des parcours de formation “leaders” et “sprint managers”. Cette dernière place la RSE au cœur de l’enseignement. Enfin, Herige a créé “Graines d’impact”. Ce collectif a pour objectif de partager, en interne, la feuille de route de la société pour renforcer l’engagement RSE. Pour cela, une newsletter est diffusée chaque mois. Elle permet d’informer les collaborateurs sur les actions en cours.
Il y a 3 ans et 6 jours

Kit d’occultation Clovision – Une installation en un temps record

L’aménagement du jardin passe souvent par l’installation d’une clôture. Indispensable, elle permet de délimiter et de sécuriser l’espace de vie autour de la maison mais aussi de préserver la tranquillité et l’intimité des occupants vis à vis du voisinage ou de la rue. Son aspect esthétique et décoratif est de plus en plus privilégié pour embellir cet espace de vie, si important lorsque les beaux jours reviennent. Pour occulter le jardin en toute simplicité, Clovision, une marque française située en Gironde, propose une solution innovante : un kit d’occultation pour clôtures en lames PVC 100 % recyclables. 9 minutes. C’est le temps qu’il faut à un seul et unique poseur pour installer le kit d’occultation Clovision sur une section de 2,5 m. La création de ce système breveté de support de lames a permis à l’entreprise de répondre à une attente précise dans le domaine de la pose de clôture : la rapidité d’installation. Aucun outil n’est nécessaire pour fixer le kit d’occultation. La pose est accessible à tous et ne demande pas d’avoir accès aux 2 côtés de la clôture. Disponible en 5 hauteurs et 5 couleurs au choix (gris, noir, bambou, vert et blanc), le kit d’occultation Clovision est compatible avec la plupart des panneaux rigides en acier du marché. Un montage express : Clipser, glisser et c’est terminé ! Le kit d’occultation Clovision est un système performant breveté qui permet de créer en toute simplicité un espace protégé et chaleureux, et d’occulter la vue des regards indiscrets, tout en protégeant du vent. Un seul poseur est nécessaire pour installer en seulement 9 minutes un intervalle de clôture de 2,5 m avec le kit d’occultation Clovision. Très simple à poser sur la plupart des panneaux en acier du marché, il ne nécessite pas d’avoir accès aux 2 côtés de la clôture. Il suffit d’accrocher le supports de lames aux pieds des panneaux, de faire glisser les lames PVC occultantes à travers le panneau puis de les insérer dans les supports de lames. Un jeu d’enfants ! Une solution efficace et sans entretien Le kit d’occultation Clovision, c’est l’assurance d’une clôture esthétique et discrète associée à la robustesse et la solidité des lames PVC inaltérables à double profils. Fabriquées en France, elles n’ont pas besoin d’entretien spécifique après leur installation. 100 % recyclable, le PVC est un matériau élégant et très résistant parfait pour occulter durablement le jardin. Des essais, les plus rigoureux et d’une durée de 18 mois, sur les matières premières et produits finis ont été effectués avant la commercialisation du kit d’occultation Clovision. Ces tests ont permis d’obtenir un produit haut de gamme, résistant et garanti 5 ans.
Il y a 3 ans et 6 jours

Un chiffre d'affaires record pour Consentino en 2021 et 685 nouveaux emplois créés

Le groupe espagnol Consentino a augmenté son chiffre d'affaires de 30% à 1 401 millions d'euro en 2021. Son bénéfice net a augmenté de 59%. La filiale française du groupe enregistre une croissance de 47%.