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Il y a 2 ans et 213 jours

Nouveau bloc en béton cellulaire Ytong Compact 15 : Le mur isolant le moins épais du marché ! 

Ytong Compact 15 Pour relever le défi de la réglementation RE2020 et apporter le meilleur rapport qualité / prix / performances thermiques et énergétiques, Xella lance sur le marché le nouveau bloc en béton cellulaire Ytong Compact 15.Dédiée à la construction de maisons individuelles de plain pied, cette nouvelle solution constructive répond bien au délà des exigences de la RE2020 et présente un véritable intérêt économique. En plus d’offrir une maison durable et confortable, le bloc Ytong Compact 15 est 10 % plus isolant et 21 % moins épais qu’une maçonnerie traditionnelle. Résultat, il permet de réduire considérablement les factures liées au chauffage ou à la climatisation, et d’augmenter la surface habitable pour la même emprise au sol ! Aujourd’hui, sur le marché de la construction de la maison individuelle, le nouveau bloc en béton cellulaire Ytong Compact 15 est certainement l’une des meilleures alternatives aux maçonneries traditionnelles. Sa faible empreinte carbone et ses qualités intrinsèques permettent de répondre aux enjeux économiques, énergétiques et environnementaux. À ce titre, Franck Boissel, dirigeant de l’entreprise Quercy Habitat, spécialisée dans la construction de maisons basse consommation, qui a réalisé la première maison en Ytong Compact 15 à Belfort-du-Quercy (Lot), le confirme « Aujourd’hui avec la RE2020, on nous demande d’avoir des produits qui consomment encore moins d’énergie. Avec l’Ytong Compact 15, je pense avoir trouvé le produit idéal pour la conception de maisons moins énergivores ». Nouveau bloc Ytong Compact 15  Xella peut désormais répondre à tous les projets de maisons individuelles en béton cellulaire. Pour les maisons à étage et en zones sismiques, le bloc Ytong Compact 20 est idéal. Et pour faire davantage d’économies sur la construction de maisons individuelles de plain pied, hors zones sismiques, Xella a dévéloppé le bloc Ytong Compact 15. – Des surfaces habitables gagnéespour la même emprise au sol 21 % moins épais qu’une maçonnerie traditionnelle, les murs en Ytong Compact 15 permettent d’augmenter la surface habitable (SHAB) d’une construction jusqu’à 2,8 m² pour une maison de 100 m2, tout en étant 10 % plus isolants*. Pour Franck Boissel, dirigeant de l’entreprise Quercy Habitat et adepte depuis de nombreuses années des solutions constructives en béton cellulaire, le bloc Ytong Compact 15 permet clairement d’optimiser les surfaces habitables. « J’ai été séduit par le produit car nous avons des épaisseurs de blocs réduites qui vont nous permettre d’optimiser les surfaces habitables. Sur ce premier chantier, nous sommes restés sur la même emprise au sol mais grâce à cette maçonnerie nous avons pu augmenter la superficie de la maison ! » *10 % avec 120 mm isolant ITI Th32 – Un confort d’été conforme à la RE2020100 % minéral, le béton cellulaire Ytong Compact 15 est une véritable membrane hygrothermique. Son excellente inertie thermique et son très bon déphasage (10h) forment une barrière optimale contre les changements de températures.  Régulants, les murs Ytong Compact 15 améliorent le confort d’été en protégeant la maison de la chaleur en été et en la préservant de la rigueur hivernale, un atout non négligeable avec les périodes de canicules de plus en plus fréquentes. « Etant dans une région chaude, quand je propose le béton cellulaire, je promets à mes clients de gagner en confort d’été, un point particulièrement présent dans la nouvelle réglementation. Ils en sont très satisfaits. » ajoute Franck Boissel. « Le fait de proposer un produit qui a une forte inertie et un temps de déphasage plus important que d’autres matériaux nous permet de gagner en confort d’été. »– Des performances énergétiques supérieures aux exigences de la RE2020Plein et massif, le bloc Ytong Compact 15 offre une excellente isolation thermique. Avec ses 15 cm d’épaisseur, il est le plus performant pour atteindre le Bbio -30 % avec un R* de 1,36.Parfaitement étanche à l’air, il garantit des murs isolants qui ne nécessitent pas de matériaux d’isolation supplémentaire. Et une maison mieux isolée permet de réduire considérablement les factures de chauffage et de climatisation, un argument important face à la crise énergétique. Associé à 120 mm d’isolant ITI, le bloc Ytong Compact 15 est la seule solution constructive dont les performances thermiques permettent d’obtenir une maison individuelle 10 % plus isolée que les autres solutions du marché.Enfin, perspirant, il favorise l’évacuation de l’humidité, offrant une maison saine et un meilleur confort de vie pour les occupants.Avec le bloc Ytong Compact 15, 26 % de l’isolation des murs est garanti à vie.*R : Résistance thermique (m2.K/W)  – Un matériau économique…Composé à 80 % d’air, le béton cellulaire permet de profiter de constructions plus légères qu’avec un matériau classique.L’ergonomie, la légèreté et l’épaisseur réduite des blocs Ytong Compact 15 simplifient la mise en œuvre, limitent la pénibilité et facilitent les rénovations. Le béton cellulaire offre une meilleure maîtrise des coûts de construction par rapport à une construction maçonnée traditionnelle. … Avec de bonnes performances environnementales Le béton cellulaire est un matériau durable, fabriqué à partir de matières premières naturelles et minérales, et dont 25 % sont issues de matières premières recyclées. Sa production industrielle est peu énergivore et sa mise en œuvre produit moins de déchets et utilise moins de ressources (matériaux et eau). Résultat, le bloc Ytong Compact 15 offre un bon bilan carbone et ne représente que 5 % seulement de l’impact CO2 total d’une maison. www.xella.fr
Il y a 2 ans et 214 jours

Enthousiasmante Bauma

Bauma a réuni quelque 3 200 exposants. Comme à son habitude, le stand Liebherr était le plus grand de la foire munichoise. [©ACPresse] Comme à chaque édition, les chiffres restent vertigineux, même s’ils restent en retrait pour cette année. Ainsi, Bauma 2022 a réuni un total de 3 200 exposants originaires de 60 pays… Ceux-ci étaient 3 684 en 2019 ! La part des exposants internationaux a presque dépassé les 65 %. Par ordre d’importance, les dix premiers pays exposants étaient : l’Allemagne, l’Italie, la Turquie, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la France, les Etats-Unis, l’Autriche, l’Espagne et la Chine. Côté visitorat, plus de 495 000 personnes de plus de 200 pays ont fait le déplacement pour ce rendez-vous décalé de six mois par rapport aux dates initiales. Toutefois, elles étaient 627 603 en 2019. La proportion de visiteurs internationaux était d’environ 50 %. « Cette Bauma a de nouveau attisé l’enthousiasme et la fascination ! Nous sommes ravis que ce salon reste un moteur de l’industrie des équipements de construction. Ceci, grâce à la grande variété d’innovations, aux bonnes affaires et aux nombreux visiteurs de tous horizons », se réjouit Stefan Rummel, président de Messe München. Déjà impatient de se revoir Les grands exposants partagent cet enthousiasme. A l’image de Domenic Ruccolo, directeur de la stratégie de Wirtgen Group et vice-président commercial et marketing de la division Global Construction Equipment de John Deere : « Notre participation au salon Bauma a été la plus réussie de l’histoire de Wirtgen Group. Tout en étant l’occasion d’une première apparition commune avec notre maison-mère John Deere. » Quant à Steffen Günther, membre du conseil d’administration de Liebherr, il estime que : « Bauma s’est avérée être un salon très réussi pour nous. Nous avons généré beaucoup d’enthousiasme parmi un large public. Les échanges ont été exceptionnels. Nous attendons déjà avec impatience la prochaine édition. » En termes de transactions commerciales, Bauma a démontré une fois de plus qu’il était une plate-forme incontournable pour l’industrie de la construction. Comme le souligne Alexander Greschner, directeur des ventes de Wacker Neuson : « Les visiteurs ont afflué sur notre stand. Dès le premier jour, nous avons atteint un succès commercial d’un niveau similaire à celui de 2019… » Affaires conclues chez Peri Et Alexander Schwörer, propriétaire de Peri, de renchérir : « Toute l’équipe était très impatiente de voir comment le salon allait se développer en ces temps difficiles. Mais très vite, il était clair que cette Bauma serait un succès complet. Point important : la qualité des échanges que nous avons eus ont été exceptionnels à tous égards. Nous avons même signé un certain nombre de contrats directement sur le salon. En bref, Bauma 2022 a plus que dépassé nos attentes ». Des affirmations que Stefan Rummel et Reinhard Pfeiffer, co-présidents de Messe München, confirment largement : « En ces temps difficiles, Bauma a envoyé un signal fort au secteur des salons. Les industries ont besoin de tels événements où tout le monde peut découvrir directement les produits et avoir des échanges personnels ». Rendez-vous en avril 2025 Enfin, Bauma ne s’est pas contentée de montrer sa force en tant que plate-forme commerciale. Le salon a aussi ouvert la voie aux solutions de demain. « Les exposants proposaient des solutions pour relever les défis actuels liés à la neutralité en CO2, à l’automatisation et à la numérisation. C’est l’avenir, détaille Joachim Schmid, Dg de VDMA, l’association des machines et des matériaux de construction de la Fédération allemande des ingénieurs. On l’a vu avec les entreprises traditionnelles. Mais surtout avec la présence de près de 50 start-up, pour la première fois exposantes sur Bauma ». Tels les Montpelliérains de SoPump, ravis d’avoir été retenus par les organisateurs… Et Andreas Klauser, Pdg de Palfinger, de conclure : « En tant que premier salon mondial dans son domaine, Bauma donne aux exposants et aux visiteurs l’occasion de découvrir l’avenir dès aujourd’hui ! » Rendez-vous dans trois ans, du 7 au 13 avril 2025, pour la prochaine édition de Bauma.
Il y a 2 ans et 216 jours

Une fabrique de biscuits entre design et artisanat, avec Hi-Macs au premier plan

« Personne n'a dit que la modernité était incompatible avec la tradition », telle était la devise d'Aerts Speculaas, et les concepteurs de Kletz Studio ont relevé le défi d’entreprendre une métamorphose qui préserverait l’histoire et l’identité de l’entreprise.Les architectes d'intérieur en charge de tous les aspects du projet, de la conception initiale à la livraison finale, se sont attachés à « démontrer la force de la combinaison d'un design attrayant avec des matériaux appropriés, pour obtenir un espace à la fois moderne et traditionnel ». Cet hommage au patrimoine de la maison et à sa culture, se reflète dans le lumineux comptoir, construit en HIMACS, qui prend la forme d'un spéculoos belge, un biscuit traditionnellement servi à Noël.Pour magnifier la luminosité et l'espace, Kletz a utilisé HIMACS Alpine White, dont l'élégance et la pureté donnent au comptoir la place qu'il mérite. « Le design du comptoir se caractérise par des angles arrondis et des parois parfaitement lisses, et l'utilisation de la pierre acrylique HIMACS contribue à créer une atmosphère douce et apaisante », expliquent les concepteurs.Pendant la rénovation, la priorité était de s'assurer que la vitrine centrale mettrait en valeur les produits d'Aerts Speculaas, tout en assurant l'hygiène dans la zone environnante, qualités pour lesquelles HIMACS est la solution idéale, grâce à sa surface uniforme, non-poreuse et résistante à la saleté, aux germes et aux rayures.Les concepteurs voulaient renforcer la sensation d'espace et attirer l'attention sur les produits, afin de séduire les consommateurs : le minimalisme du magasin et l'utilisation intensive de la couleur blanche font contrepoids aux étagères de style industriel, dans un mélange parfait entre classique et contemporain.Cette combinaison, entre stratégie commerciale et design, s'étend à la tablette autour du comptoir, conçu en Sky Blue, de la collection HIMACS Solids, dont la forme fluide épouse parfaitement la forme du comptoir. Cette caractéristique est pratique pour les clients tout en assurant une hygiène et une esthétique, durable et facile à entretenirEn outre, l'utilisation de cette teinte azur contribue à l'objectif initial de coordonner un style moderne et méditerranéen avec le caractère traditionnel et coloré des carreaux de sol, qui rappellent les premiers jours de l’entreprise familiale.Aerts Speculaas est présent en Belgique depuis 1913. L'entreprise a débuté comme boulangerie familiale à Sombeke, dans la partie flamande du pays. Peu à peu, l'entreprise s'est spécialisée dans la production à petite échelle de spéculoos, un biscuit de Noël traditionnel, qui est devenu depuis son produit phare.Informations sur le projet :Lieu : Lokeren, Belgique Design : Kletz │www.kletz.be Fabrication et mise en œuvre : Kletz │www.kletz.be Matériau : HIMACS Alpine White S028 et Sky Blue S203│www.himacs.eu
Il y a 2 ans et 222 jours

weber éco mortier intègre 20% de résidus de production

La formulation de weber éco mortier fait appel à 20% de résidus de production d’autres mortiers, qui, s’ils n’étaient pas ainsi revalorisés, termineraient en décharge. Weber a investi pour adapter son outil industriel de Sorgues (84) afin de récupérer ces résidus et les réintroduire dans la fabrication de weber éco mortier. Au total, pas moins de 600 tonnes par an de résidus de production pourraient ainsi réinjectées dans le process, ce qui au-delà de limiter les déchets, réduit également la consommation de matières premières primaires. Par rapport à un mortier traditionnel (comme le weber mortier), la production de weber éco mortier éco permet une diminution de 35 % des émissions de CO2. Weber confirme également sa démarche de proximité et sa volonté de limiter l’empreinte carbone liée au transport en proposant ce nouvel éco-engagé au marché local du Sud-Est de la France. Les performances environnementales de ce dernier né de la gamme GO TP se doublent de performances techniques optimales. Polyvalent, il s’utilise pour les travaux de maçonnerie, le montage de blocs et briques, le rebouchage de trous ou encore le scellement de poteaux, boîtes aux lettres, clôtures… Sa faible absorption d’eau garantit une excellente durabilité. Cet article weber éco mortier intègre 20% de résidus de production est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 223 jours

Restaurant Osmans Töchter à Berlin-Charlottenburg

Le restaurant Osmans Töchter à Berlin-Charlottenburg est déjà le deuxième établissement de Lale Yanik et Arzu Bulut dans la capitale allemande. Les experts en gastronomie jugent le concept du restaurant comme un « délicieux équilibre entre cuisine traditionnelle et moderne ». Des ingrédients éprouvés, mais des recettes revisitées à la sauce moderne : c'est aussi le credo de l'architecte Heike Brandt. Son bureau, studiobrandt Berlin, a réalisé le réaménagement intérieur des locaux du restaurant de la Wielandstraße.
Il y a 2 ans et 223 jours

Toitures d’exception pour la 17ème édition des Trophées Aléonard

Organisés chaque année par la Tuilerie Aléonard, les Trophées Aléonard valorisent le savoir-faire d’exception des maîtres-artisans couvreurs dans la mise en œuvre des traditionnelles tuiles plates en terre cuite. Premier chantier La couverture d’une maison individuelle en Saône-et-Loire, a été primée pour le premier chantier en tuile Aléonard pour l’entreprise Vercelli située à Sennecey-le-Grand (71). Cette catégorie récompense les entreprises réalisant pour la première fois une couverture en tuiles Aléonard. Composée de tuiles « Esprit Patrimoine » 16×27 rectangulaire Lune Cendrée, Ocre Lichen et Rouge de Mars, la qualité du panachage régulier de cette toiture de 834m2 est remarquable. Le couvreur a décidé de réaliser le panachage en atelier pour un rendu très élaboré. Les tuiles ont ensuite été réparties sur le toit en attraits. Ls faîtières ont été scellées à la chaux avec des crêtes et des embarrures. Ecornées en pieds et en tête, les tuiles de rive ont été scellées à la chaux sur le chevron de rive habillé en cuivre. Demeure Aléonard Cette catégorie récompense la réalisation d’une toiture Aléonard sur maison individuelle, maisons en bande, ou bâtiment d’habitation, neuf ou ancien. Dans cette catégorie, le lauréat est l’entreprise Nicolas Romain situé à Albon (14), pour la réalisation de la toiture d’une maison individuelle neuve construite dans l’Eure (27). Si le jury a souligné l’harmonie du mélange de quatre couleurs, il a particulièrement été séduit par la qualité technique nécessaire pour la réalisation de cette toiture de 320m2. Parmi les points singuliers, on note la qualité du faîtage scellé à crête de coq avec embarrures, les arêtiers corniers encastrés et les rives scellées (tuiles épaulées et écornées) ainsi que les lucarnes avec noues fermées permettant à cette maison neuve de s’intégrer parfaitement dans le paysage traditionnel de la region. Projet réalisé en Tuile Esprit Patrimoine 16×27. Teinte : Lune Cendrée, Rouge de mars, Vert de Lichen et Ocre Lichen Edifice & Patrimoine Cette catégorie récompense la réalisation en tuiles Aléonard d’un chantier de rénovation ou d’un bâtiment neuf, participant au Patrimoine régional ou national. C’est l’excellence du travail de Geneste-Naillier située à Clermont- Ferrand qui a été primée pour la réalisation de la toiture du Château de Montfort (63). L’ouvrage réalisé en tuiles « Saint Vincent » 16×27 Rouge Ardent, représente une surface de 500m2 dont 250 m2 ont été réalisés en tuile gironnées. Il comprend une tour octogonale et trois tours gironnées avec coyau. Le jury a salué la prouesse technique de ce chantier caractérisée par la continuité des tuiles dans les différents pans de toiture notamment au niveau des tours. Monument Historique Le lauréat dans cette catégorie est l’entreprise Pateu Robert située à Besançon (25) associée à l’Architecte Gaël Robin de l’atelier Archipat à Lyon (69) pour la rénovation du Château de Ray-sur- Saône (70). La qualité, l’harmonie et l’homogénéité du panachage en deux formats de tuiles a véritablement conquis le jury. La maîtrise technique nécessaire à la bonne réalisation de ce projet est impressionnante : le scellage de l’arêtier, le faîtage en crête de coq ainsi la noue à tranchis. C’est la continuité entre le deux pans de toiture qui a particulièrement attiré l’œil du jury. Seule une étroite collaboration entre l’architecte des Monuments Historiques et le couvreur, combiné à un savoir-faire exceptionnel des équipes, pouvaient permettre une telle qualité de mise en œuvre pour ce projet d’exception. Projet réalisé en tuiles M.H 17×27 Ocre Lichen 34%, Noir de Vigne 6%, Tuiles M.H 17×28 Noir de vigne 18%, Vert de Lichen 40%, Tuiles émaillées 2%. International La réalisation d’une maison individuelle en Belgique par l’entreprise H.E.M.B.V, accompagnée par l’agence d’architecture Rove Arcitecten a été élue par le jury qui a souligné la mise en œuvre moderne de la toiture et de la façade avec un panachage de 5 tuiles différentes. Le couvreur a réalisé divers points singuliers tel que l’angle de façade en arêtiers tranché, les rives avec des tuiles en demie ainsi que la gouttière encaissée. Le jury a salué la qualité de pose des tuiles en toiture, en bardage, ainsi que l’habillage en sous-face de débord, une technique peu utilisé en France car non encadré par les DTU. Le tout pour une architecture très moderne. Projet en tuiles Pontigny 16×27 : Rouge naturel 20%, Rouge flammé 20%, Brun flammé 20%, Vieilli naturel 20%, Ocre rose 20% Coup de cœur de l’internaute En parallèle des Trophées Aléonard, depuis 2017, les internautes passionnés du Patrimoine sont invités à désigner leur projet préféré. Du 05 septembre au 10 octobre inclus, les photos des réalisations dans les catégories Premier chantier, Demeure Aléonard, Edifice & Patrimoine et International ont été soumises à leur vote. Cette année, le « Coup de cœur » Aléonard a récompensé l’entreprise Geneste-Naillier située à Clermont-Ferrand (63), pour la réalisation pour la réalisation de la toiture du Château de Montfort dans le Puy-de-Dôme. Avec plus de 11 500 votes, cette réalisation a conquis le cœur et l’œil des internautes amoureux du patrimoine. Projet en tuiles « Saint Vincent » 16×27 Rouge Ardent, représentant une surface de 500 m2 dont 250 m2 en tuiles gironnées.
Il y a 2 ans et 226 jours

Transition énergétique : les consommateurs européens pourraient économiser 71 milliards d’euros en 2030

L'étude "Flexibilité de la demande dans l'UE : quantification des avantages en 2030" vise à combler une lacune importante car aucune autre projection de cette envergure n'a été réalisée jusqu'à présent dans l’UE. Elle constitue une analyse puissante de l'ampleur des réductions d'émissions et des économies de coûts réalisables si les ménages et les entreprises sont autorisés et encouragés à jouer un rôle plus actif sur la flexibilité de la demande en énergie.Parmi les résultats présentés, il est notamment expliqué que dans l’hypothèse de la pleine activation de la flexibilité des bâtiments, des véhicules électriques et de l'industrie, la situation en 2030 serait la suivante :37,5 millions de tonnes d'émissions de gaz à effet de serre économisées ;11,1 à 29,1 milliards d'euros économisés en investissements dans le réseau de distribution ;71 milliards d'euros seraient directement économisés par les consommateurs ;15,5 TWh (61%) correspondraient à la réduction des énergies renouvelables évitée.2,7 milliards d'euros supplémentaires pourraient être injectés sur la capacité de production de pointe.Pour Michael Villa, Executive Director de smartEn : « Nous sommes très heureux que, parmi les interventions de conception du marché d'urgence, un objectif de réduction de la demande d'électricité de pointe ait été introduit pour stimuler la consommation flexible en fonction du temps. Comme le souligne l'étude de DNV, le rôle des consommateurs est extrêmement judicieux à la fois maintenant, pour cette situation d'urgence, et en 2030, pour aider à intégrer l'électricité renouvelable et atteindre notre objectif de réduction de 55GHG de manière rentable. »Pour Daniele Andreoli, Head of Demand Response, Enel X Global Retail : « L'étude représente une étape cruciale pour le développement futur des solutions de flexibilité de la demande, car elle révèle et quantifie clairement le rôle déterminant de la consommation flexible pour réussir de manière durable et rentable la transition énergétique. »Pour Seydou Kane, Vice President, Public Affairs, Corporate, EMEA, Eaton : « Cette étude montre comment les ménages et les entreprises - ceux qui ont traditionnellement payé pour l'énergie - peuvent économiser de l'argent, en gagner et réduire la pression sur le réseau si on les encourage à investir dans des technologies qui leur permettent d'accéder aux avantages de la flexibilité. »Pour Carmen Munoz, Head of downstream activities, EDF R&D : « La flexibilité de la demande représente d'énormes opportunités de réduction des émissions et de gestion de crises. Nous serons ambitieux et prudents dans la promotion et le déblocage des investissements nécessaires uniquement pour les ressources qui peuvent effectivement atteindre la neutralité climatique. »L'étude DNV est une source précieuse d'informations pour soutenir les prochaines négociations Fit for 55 afin de stimuler le déploiement de ressources énergétiques plus numériques et décentralisées, et l'activation complète de la flexibilité de la demande au profit des consommateurs et de l'ensemble du système énergétique.Vous pouvez accéder au rapport complet ici.
Il y a 2 ans et 226 jours

Une gamme solaire complète qui répond à toutes les demandes du marché.

Pour répondre aux besoins en production d’énergie, EDILIANS a développé des solutions selon votre consommation, l’architecture de votre projet et votre budget.  EASY ROOF ACCESS Une solution fiable : résistante aux UV, à la rouille, à la grêle, à la neige et au vent. Un produit accessible : un excellent rapport qualité/prix ainsi qu’un montage rapide !   LA TUILE SOLAIRE MAX Une durabilité optimale : imputrescible, anti-corrosion et résistante, c’est la tuile en intégration la + sûre du marché ! Un modèle universel : la tuile solaire max s’adapte à tous les modèles de tuiles de couverture.   LA TUILE EN TERRE CUITE SOLAIREUne solution discrète : la tuile en terre cuite solaire s’intègre parfaitement à votre toiture et ne dénigre pas l’architecture de votre édifice.  Une pose familière : sa forme et ses caractéristiques de mise en œuvre sont identiques à leurs équivalents traditionnels en terre cuite. Pour les professionnels, c’est un réel gain de temps et de rentabilité.  
Il y a 2 ans et 226 jours

Les solutions solaires de demain : EDILIANS s’engage dès aujourd’hui !

EDILIANS a développé des solutions solaires pérennes pour toutes typologies de projets et surtout pour tous les budgets : la Tuile Solaire Max, sa tuile en terre cuite solaire ainsi que ses panneaux PV EASY ROOF ACCESS. L’EASY ROOF ACCESS est peu couteux, facile à installer et parfaitement étanche. Résistant aux UV, à la rouille et aux intempéries et dans une logique éco-responsable, il est 100 % recyclable ! La tuile terre cuite solaire est la solution idéale qui englobe le savoir-faire d’EDILIANS et la technologie solaire. Son esthétisme offre une parfaite intégration à l’architecture de votre édifice.   Ses caractéristiques et sa forme sont identiques à leurs équivalents en terre cuite traditionnels ; un gain de temps et de rentabilité pour les pros. Quant à la tuile solaire max, elle se distingue par sa performance énergétique et sa facilité de pose. Garantie imputrescible, anti-corrosion et résistante aux intempéries ! Bonus : pose simplifiée en plein carré ou à l’égout.
Il y a 2 ans et 227 jours

Les Trophées Placo récompensent deux bâtiments historiques

La 17e éditions des Trophées Placo vient de couronner sept lauréats pour des chantiers d’exception. Parmi eux, deux chantiers concernent des bâtiments historiques. Reconstruction technique de l’hôtel de ville de la Rochelle, bâtiment classé En juin 2013, le monument historique classé de l’Hôtel de Ville de La Rochelle était partiellement détruit par un incendie, alors qu’il venait d’être restauré. Si le mobilier avait pu être sauvé, les salles d’apparat et certains salons étaient endommagés. La rénovation spectaculaire de ce bâti, au long cours, au cœur du centre historique, répond à un double objectif. À la fois la restauration des parties classées, et la restructuration des espaces contigus afin d’offrir un bâtiment plus accessible et plus fonctionnel tout en préservant ses caractéristiques patrimoniales si singulières. Une reconstruction de l’édifice comme à son origine, intégrant des nouveautés telles que la création d’un puits central et d’une nouvelle Salle du Conseil Municipal au dernier étage. Le chantier a été piloté par l’Architecte en Chef des Monuments Historiques, Philippe Villeneuve, qui dirige la reconstruction de Notre-Dame de Paris. Durant deux ans, des études préalables ont permis de finaliser les plans d’exécution avec les bâtiments historiques et d’exécuter ensuite le chantier en 18 mois. Le bâtiment a été entièrement bâché et l’approvisionnement, complexe, s’est opéré par une trappe de visite coulissante au centre de l’édifice pour dispatcher les matériaux. Cet ouvrage présente la particularité de ne jamais avoir été hors d’eau avant sa finalisation, avec la couverture de la trappe par une verrière. Tout un panel de solutions techniques a été déployé : l’ensemble des plafonds sont sur ossature Stil Prim® Tech, tous les couloirs et les coursives du hall en Rigitone® Activ’Air® 8-15-20 Super, les cloisons de distribution monoparement en Placoplatre® BA 18S et les doublages en Placoplatre® BA 25, tous de grande hauteur (12 m). Hôtel de Ville, La Rochelle (17) Maître d’ouvrage : Ville de La Rochelle Entreprise du Club Placo® : Douzille (22 salariés) Architecte : Philippe Villeneuve Dates de début et fin de chantier : septembre 2018 – février 2020 Photo : Raphaël Demaret Restauration du retable de l’église Saint-Vincent de Cabrières-d’Avignon Construite vers 1787, Saint-Vincent de Cabrières-d’Avignon a subi des dégradations importantes ayant endommagé les ornements intérieurs, les moulures et les décors en gypserie. L’Atelier Zambelli, labellisé Entreprise du Patrimoine Vivant, a été missionnée pour restaurer à l’identique le retable datant du XVIème siècle. Ce dernier se compose de sculptures en plâtre, en partie teintées par le biais d’une technique traditionnelle de stuc-marbre, qui consiste à mélanger le plâtre aux pigments naturels pour reproduire l’aspect du marbre. Un savoir-faire unique, détenu par quelques entreprises d’excellence, qu’il est essentiel de préserver. Ce type de chantier requiert une préparation minutieuse selon son état de conservation. Le projet a ainsi nécessité un travail préalable d’analyse et de compréhension de l’ouvrage à restaurer. Un travail de recherche a été effectué dans un ouvrage italien spécialisé afin d’identifier les teintes des pigments du type de marbre. Un relevé des ouvrages à reconstituer a été réalisé, des gabarits créés pour le travail in-situ, le plâtre Molda® 3 Normal mélangé aux pigments naturels, et les ouvrages restant en place consolidés. Les travaux ont ensuite consisté à « curer » les parties abîmées, à reconstituer des moulures et des sculptures en plâtre, puis à reboucher et à façonner les parties en stuc-marbre à l’aide du mélange réalisé au préalable. L’intervention s’est opérée progressivement du haut (6 m) vers le bas pour sécuriser la réalisation. Une restauration de qualité réalisée selon une technique traditionnelle, gage de longévité de l’ouvrage, et un savoir-faire exemplaire de l’entreprise au service de la sauvegarde du patrimoine. Église Saint-Vincent, Cabrières-d’Avignon (84) Maître d’ouvrage : Commune Cabrières-d’Avignon Entreprise du Club Placo® : Atelier Zambelli Patrick (1-3 salariés) Dates de début et fin de chantier : avril – juin 2020 Le Club Entreprises Placo® rassemble une communauté unie d’entreprises passionnées qui s’engagent pour porter et valoriser le savoir-faire de la filière. C’est en 1989 qu’il lançait ses Trophées Placo® qui restent uniques dans l’univers du bâtiment par leur pérennité, la qualité des ouvrages présentés et l’excellence des entreprises participantes. Ce concours bisannuel met à l’honneur l’expertise des entreprises et la noblesse des métiers du plâtre. Cette année, sept prix ont été décernés : Prix Innovation & Développement Durable : Fondation Luma, Arles (13). Entreprise du Club Placo® : Ile-de-France Plâtrerie Prix Non Résidentiel et Prix Presse : Pouponnière, Fleury-sur-Orne (14). Entreprise du Club Placo® : Orquin Prix Patrimoine et Monuments Historiques : Hôtel de Ville, La Rochelle (17). Entreprise du Club Placo® : Douzille Prix Résidentiel : Villa Guyvonney, Royan (17). Entreprise du Club Placo® : Mandon Fils Prix du Jury : Église Saint-Vincent, Cabrières-d’Avignon (84). Entreprise du Club Placo® : Atelier Zambelli Patrick Prix du Public : Maison individuelle, création d’un escalier sur voûte sarrasine. Entreprise du Club Placo® : SARL Bonnin Dugué
Il y a 2 ans et 228 jours

Les matériaux de construction dans la tourmente des incertitudes en ce début d’automne

Sur fond de climat social troublé (grève des raffineries, réforme des retraites...), le risque d’une récession s’accroît pour 2023. Pour le moment, le secteur du bâtiment bénéficie d’un stock de permis conséquent qui soutient son activité mais du côté des travaux publics, les carnets de commandes sont sans relief. Dans ce contexte de dynamique constructive contrastée, ralentie et contrainte, la demande de BPE et de granulats reculera en 2022. L’impact sur les chantiers de la forte hausse des coûts et des devis (report, retard, annulation, révision des projets...) conjuguée aux tensions géopolitiques et énergétiques devrait sans nul doute affecter de nouveau la demande de matériaux en 2023, dans des proportions encore difficiles à définir à ce jour compte tenu de l’étendue des incertitudes qui entourent les scénarios.Chiffres clés :En 2022, la production de matériaux reculerait de :-3% pour le BPE-4% pour les granulatsEn 2023, un nouveau repli est attendu.En août, le repli des matériaux se modère un peuD’après les résultats encore provisoires pour le mois d’août, la production de BPE et de granulats aurait de nouveau fléchi au regard de l’an passé, mais plus modestement. Côté granulats, l’activité se serait certes redressée de +4,5% par rapport au mois de juillet (données CVS-CJO) mais les volumes demeurent -3,3% en dessous de ceux d’août 2021. Sur les trois derniers mois connus, les productions de granulats cèdent encore -5,5% par rapport aux trois mois précédents et -6,2% sur un an. En cumul sur les douze derniers mois glissants, la tendance s’inscrit en repli de -2,7% tandis qu’elle atteint -3,3% en cumul sur les huit premiers mois de l’année. S’agissant du BPE, l’activité du mois d’août a enregistré un recul de -1,4% sur juillet (données CVS-CJO) pour des volumes inférieurs de -1% à ceux d’août 2021. Sur le dernier trimestre connu, les livraisons ont perdu -1,5% par rapport aux trois mois précédents (mars-avril-mai) et reculent de -3,1% par rapport à la même période de l’an passé. En cumul depuis janvier, les livraisons de BPE fléchissent de -2,3% comparé aux huit mêmes mois de 2021 tandis que le cumul glissant des douze derniers mois affiche une baisse de -2%. Le mouvement de repli de l’activité, un peu plus marqué pour les granulats que pour le BPE, même s’il se confirme, aurait donc plutôt cessé de s’amplifier cet été. Du côté des autres matériaux, l'indicateur de l'UNICEM traduit le même mouvement. Après un premier trimestre en hausse de +1,5% sur un an et un deuxième trimestre en net repli (-5,1%), l’activité matériaux stabilise son recul autour de -2,5% sur un an au cours des huit premiers mois de 2022.Des permis logements a un point haut... Mais après ?La dernière enquête menée par l’INSEE auprès des professionnels du bâtiment en septembre confirme que le climat des affaires est stabilisé à un point haut. Dans le gros œuvre, l’activité prévue comme l’activité passée demeurent haussières et les carnets de commandes restent ancrés à un haut niveau (9,5 mois d’activité). Le solde d’opinion sur les prix prévus rebondit, conséquence de l’inflation du coût des intrants et de l’énergie. S’il est vrai que les difficultés d’approvisionnement et d’embauche se modèrent un peu (48% des entreprises du gros œuvre ne peuvent produire plus contre près de 62% en janvier), elles restent néanmoins à un niveau très élevé au regard du passé (34% en moyenne). En revanche, l’évolution prévue des effectifs se contracte et l’opinion des chefs d’entreprise sur leurs carnets de commandes s’émousse un peu, signe sans doute d’une moins bonne visibilité à moyen terme et que le point haut de leur activité a sans doute été atteint. Il est vrai que les dernières données en termes de ventes de logements traduisent un repli sensible, aussi bien du côté des promoteurs que des constructeurs de maisons individuelles.Chez ces derniers, les ventes ont accusé un recul de -21% en août sur un an, laissant le glissement annuel des huit premiers mois de l’année en baisse de -27% environ (et inférieur de 17,3% à sa moyenne de long terme selon Markemétron), soit la tendance attendue pour 2022 avec un total de 102.000 unités. Le durcissement des conditions d’octroi de crédits (critères HCSF), le relèvement des taux d’intérêt et des prix immobiliers, la guerre en Ukraine et ses conséquences sur l’inflation et la crise énergétique ont érodé le pouvoir d’achat et la solvabilité des ménages. Même si la hausse des taux demeure limitée et que la mise en place du bouclier tarifaire a permis de limiter la ponction sur leur revenu disponible, les conditions financières et psychologiques ne semblent plus réunies pour mettre en place des projets d’investissement.Après une année 2021 particulièrement dynamique, le nombre de permis logements devrait plonger en 2023, augurant d’une chute à venir de la construction.Pour l’heure, le nombre de logements autorisés continue de croître, atteignant un point haut à 523.000 unités sur un an à fin août (soit +14% sur un an). Les effets d’anticipation (entrée en vigueur des normes RE2020, hausse des coûts, loi ZAN...) ont d’abord suscité un rebond des dépôts de permis dans l’individuel en début d’année, depuis relayé par le collectif. Mais côté mises en chantier, le rythme ne suit pas : avec 384.900 logements commencés à fin août sur un an, la tendance est stable sur un an (+0,5%) et se replie de -5,6% sur les trois derniers mois connus. Les difficultés rencontrées par les entreprises pour répondre à la demande, conjuguées à la complexité de résoudre l’équation « client » pour ajuster les coûts aux devis et prix finaux, peuvent expliquer cet écart croissant entre le nombre des permis d’une part et le démarrage (effectif ou pas !) des travaux de l’autre. Dans ce contexte logistique et financier tendu, un allongement sensible des délais de mise en chantier (retards, reports) ainsi que des durées de réalisation des travaux, voire leur annulation, ne sont pas exclus. Ce faisant, la prévision de demande de matériaux pour 2023 apparaît plus que jamais un exercice périlleux. Si 2022 pourrait au final se solder par un repli de la production de BPE proche de -3% (en brut) et de -4% pour les granulats, la tendance de l’an prochain est soumise à des aléas et incertitudes majeurs, y compris sur un plan géopolitique, avec des actions et décisions gouvernementales encore en cours (sujet énergétique au niveau européen, arbitrages PLF23...). Un nouveau recul des productions de matériaux pour 2023 apparaît cependant pour l’heure l’hypothèse la plus probable.TP : un rebond des marchés conclus... à confirmerCe d’autant que la conjoncture des travaux publics demeure morose et sans dynamique comme en atteste le volume d’heures travaillées, en repli de - 2,5% sur les douze derniers mois glissants. En août, selon la FNTP, les facturations ont certes progressé en valeur sur un an, mais en gommant l’effet des hausses de prix (déflateur index TP01 à 11,4% fin juillet), elles restent en recul de - 2,8% et de - 8,5% sur un an en cumul depuis janvier. Les prises de commandes ont toutefois rebondi en août (+ 20% en volume) mais ce sursaut ne permettra sans doute pas de sauver l’année (- 7,6% en volume sur douze mois glissants) alors même que 2022 marque l’étape du mi-chemin électoral, traditionnellement caractérisé par le retour en force des projets des municipalités. Et cette frilosité des collectivités locales ne saurait se justifier par la hausse des dépenses de fonctionnement (+4,9% prévus en 2022) plus rapide que celle des recettes (+3,2%), le solde de ces deux blocs dégageant une épargne brute de 43 milliards d’euros...
Il y a 2 ans et 228 jours

SWAO, la menuiserie multi-matériaux, la liberté de tout choisir

Le positionnement marchéChoix, conseil, pose des menuiseries, SWAO se positionne comme un facilitateur pour le client qu’elle accompagne de bout en bout. Celui-ci est principalement orienté vers le professionnel : artisans, constructeurs de maisons individuelles. SWAO touche aussi bien les besoins des primo accédants que le segment haut de gamme. Ses portes et fenêtres standards ou sur mesure sont conçues pour s’intégrer en neuf comme en rénovation. Engagée, SWAO défend l’innovation et la qualité française de ses produits, comme le démontrent les labels Origine France Garantie et label fenêtre alu. Swao est également le mécène de l’association Toit à moi qui défend l’accès au logement pour les personnes les plus défavorisées. La marque contribue au fonctionnement de l’association en reversant 50 cts d’euros à cette dernière pour chaque menuiserie vendue ainsi que des participations à la rénovation des appartements...Les points fortsComme un « couteau suisse » de la menuiserie, SWAO couvre tous les besoins en menuiseries extérieures. Pour cela, la marque mise sur une offre de portes d’entrées en multiples matériaux : Acier, Aluminium, Mixte, PVC (intérieur bois/extérieur aluminium) et Bois.Pour une offre vraiment complète, SWAO propose aussi des portes de garage coordonnées. Côté fenêtres, 3 gammes PVC et les volants roulants associés (traditionnels, à lames orientables, solaire) et 2 aluminium (Optimoalu et Ouvrant discret) composent le catalogue.Parmi ses innovations, SWAO fait évoluer sa gamme aluminium Ouvrant discret en 2022 pour gagner en clair de vitrage, design et qualités thermiques (présenté sur le salon), une solution qui combine les avantages de l’ouvrant visible et l’ouvrant caché. Cette exclusivité optimise l’apport lumineux tout en offrant un produit esthétique. SWAO a également conçu un coulissant ALU doté d’une chicane au design exclusif et d’une poignée ergonomique.Facile à poser, elle est également totalement compatible avec I-Secure, le système de maison connectée développé par Swao.Les chiffres clésSWAO, des modèles qui font consensusAnthony DURAND, Design manager du groupe CETIH : « SWAO est une marque située dans une forme de neutralité. Elle est très orientée sur le service et la technologie. Ses modèles de portes ont une tonalité organique, les formes tout en rondeur. Les produits sont consensuels, faciles à comprendre et à identifier ».Les nouveautés 2022Pour accompagner la progression des besoins sur le marché des produits connectés et répondre aux questions de confort et de sécurité, SWAO propose I-SECURE. Ce capteur de position autonome et invisible est intégré dans l’ouvrant de la menuiserie et permet ainsi d’en connaître en permanence la position : verrouillé, en aération, ventilé. I-SECURE a été développé en partenariat avec FERCO, fabricant de ferrures et serrures et avec Delta Dore.Le capteur est aussi compatible avec la box TYDOM pour contrôler les accès et sécuriser le domicile à distance.À compter du 1er/01/2022 une nouvelle filière « Responsabilité Elargie du Producteur » (REP) sera créée pour les produits et matériaux de construction du Bâtiment. Elle vise à responsabiliser les émetteurs sur le marché de produits ou matériaux de construction sur la gestion des déchets en versant une éco contribution.Dès 2019, CETIH pour sa marque SWAO a signé la charte d'engagement volontaire pour le recyclage des menuiseries en fin de vie et s'engage dans la marque FERVAM (Filière Engagée pour le Recyclage et la Valorisation des menuiseries).Cette charte vise à promouvoir les bonnes pratiques nécessaires à la maitrise de la qualité de collecte et de traitement des déchets de menuiseries, et à informer sur les moyens existants pour une valorisation la plus vertueuse que possible.
Il y a 2 ans et 229 jours

Les avantages des volets motorisés

Les volets sont un choix courant pour les propriétaires qui souhaitent couvrir leurs fenêtres pour obstruer la lumière ou protéger leur intimité. Leur design, leur modernité et leur élégance combinés à l’aspect durable et à la facilité d’entretien les rendent idéaux pour les habitats d’aujourd’hui. Les volets motorisés pour une meilleure isolation Les volets motorisés améliorent l’isolation thermique et l’isolation phonique de votre habitat. En effet, leurs matériaux permettent une baisse de la déperdition de chaleur quand les volets sont fermés. De plus, si vous vivez proche d’une route, les volets motorisés isoleront votre logement des bruits extérieurs. En plus de garder la chaleur, les volets motorisés peuvent s’ouvrir complètement et laisser entrer autant de lumière naturelle que possible. Ainsi, vous pouvez éteindre les chauffages et les luminaires et réaliser des économies d’énergie et budgétaires. Si vous souhaitez les ouvrir pour laisser passer le soleil sans que votre logement ne soit à la vue de tous toute la journée, vous pouvez programmer vos volets pour qu’ils s’ouvrent et se ferment à des moments précis de la journée. Les volets motorisés vous permettront de garder la chaleur dans votre salle de bain ainsi que de profiter de cet espace intime à toute heure de la journée grâce à la fermeture partielle ou totale des volets. Les volets motorisés pour un meilleur sommeil Si vous n’arrivez pas à vous endormir à cause d’une pièce qui n’est pas assez sombre ou alors que vous n’en pouvez plus de votre réveil à la sonnerie agressive, les volets motorisés sont votre solution. Vous pouvez choisir des volets motorisés avec une opacité maximale pour bloquer la lumière, votre chambre sera donc aussi sombre que possible, ce qui améliorera la qualité du sommeil. De plus, en programmant vos volets pour qu’ils s’ouvrent progressivement le matin, vous vous réveillerez lentement et naturellement plutôt que brusquement. Les volets motorisés pour éviter les vols Les paramètres d’automatisation ajoutent de la sécurité lorsque vous n’êtes pas chez vous. En effet, lorsque vous pensez à la sécurité domestique liée aux volets, vous pouvez penser qu’il s’agit de fermer les volets pour empêcher les passants de regarder à l’intérieur. Bien que cela puisse être vrai, les volets motorisés offrent une approche bien plus bénéfique que de simplement garder vos rideaux fermés. Comme les volets motorisés peuvent fonctionner automatiquement tout au long de la journée, ils donnent l’impression qu’il y a quelqu’un chez vous. Ainsi, même si vous êtes à des milliers de kilomètres, les voleurs seront moins tentés. Les volets motorisés pour une meilleure sécurité La conception sans fil offre une sécurité maximale pour les enfants et les animaux domestiques. En effet, les autres couvre-fenêtres plus traditionnels sont dotés d’un système à cordon et constituent un danger pour les jeunes enfants et les animaux domestiques. Les cordons présentent un risque de suffocation lorsque les enfants s’y emmêlent. Contrairement aux autres couvre-fenêtres, les volets motorisés sont dotés d’un système sans fil. Cela fait d’eux l’une des options les plus sûres pour les parents et les propriétaires d’animaux. Les volets motorisés pour protéger votre intérieur L’exposition directe au soleil peut entraîner une décoloration et des dommages irréversibles sur les meubles de votre maison. Les volets motorisés aident les propriétaires à protéger leurs objets de valeur en permettant une programmation automatisée pour contrôler la quantité de lumière qui entre dans la pièce et à quel moment. Un tel réglage vous permet de protéger vos meubles et décorations sans avoir à vous rappeler de les fermer vous-même. Les volets motorisés pour augmenter la valeur de votre logement Si les volets motorisés vont vous permettre de vous sentir bien chez vous, ils peuvent également ajouter de la valeur en cas de vente. Les acheteurs potentiels peuvent facilement faire la différence entre des volets motorisés installés par des professionnels et des couvre-fenêtres achetés en magasin. Lorsqu’ils vont visiter le logement, les acheteurs qui voient des volets motorisés parfaitement installés et stylisés seront plus attirés et donc plus susceptibles d’acheter.
Il y a 2 ans et 230 jours

Avec 8.950 défaillances enregistrées au troisième trimestre 2022, la barre des 38.000 défaillances sur 12 mois est franchie

Avec 8.950 procédures collectives ouvertes entre le 1er juillet et le 30 septembre, le niveau des défaillances augmente de 69% comparé à l’été 2021, un taux jamais observé depuis 25 ans. Sur 12 mois glissés, la barre des 38.000 défauts a été franchie. Avec 10.000 procédures de plus sur un an (+34%), la France renoue avec les niveaux de défaillances de l’été 2020, mais reste encore loin des 53.500 procédures observées fin septembre 2019.Dans le détail des secteurs, les activités B2C (commerce de détail, restauration, services à la personne) sont toujours durement fragilisées. Des signaux préoccupants émergent dans le bâtiment (second œuvre, fabrication et négoce de matériaux). Du côté des régions, si tous les territoires sont dans le rouge, la région PACA semble le mieux résister. A l’inverse, les Hauts-de-France - où les défauts ont doublé durant l’été - retrouvent une situation équivalente à 2019. Enfin, la hausse de la sinistralité chez les PME de moins de 50 salariés fait flamber le nombre d’emplois menacés, qui approche désormais 33.000.Pour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Le nombre des défaillances d’entreprises augmente très vite. Les difficultés, qui se concentraient ces derniers mois sur les activités B2C se propagent et n’épargnent plus les PME. Le contexte économique très tendu mine la confiance des acheteurs et la montée des risques fait trembler les directions financières. Les mauvais chiffres du mois d’août (+ 98% vs. Août 2021), période pourtant traditionnellement plus calme, témoignent de l’urgence de certaines situations. Nous sommes encore loin des 50.000 procédures annuelles mais l’accélération très forte de ces derniers mois pourrait impacter les fournisseurs qui peineraient à gérer la démultiplication soudaine des défauts de clients, a fortiori de PME. 10.000 défaillances de plus sur un an, ce sont aussi de nombreuses factures qui resteront impayées. »Le nombre de défaillances en hausse de 69%, un taux jamais observé en plus de 25 ansLes records se suivent d’une année à l’autre, mais pour des raisons diamétralement opposées. Avec moins de 5500 défaillances, le niveau de sinistralité du 3ème trimestre 2021 était le plus bas jamais observé en 25 ans. Cet été 2022, 8950 entreprises ont défailli entre le 1er juillet et le 30 septembre 2022, c’est 68,5% de plus qu’un an plus tôt. Une hausse record, jamais observée jusqu’à aujourd’hui. Si l’on ne franchit pas encore le seuil des 10.000 procédures de l’été 2019, le retour aux standards d’avant Covid s’accélère.A titre de référence, au cours des 25 dernières années, des hausses de plus de 20% n’ont été observées qu’à trois autres reprises : lors de la crise financière de 2008 (+ 22% au 4ème trimestre 2008 et au 1er trimestre 2009) et au 1er trimestre 2002 (+25%) en comparaison d’un 1er trimestre 2001 perturbé par la grève des juges des tribunaux de commerce.Sur 12 mois glissés, la barre des 38.000 ouvertures de procédure collective est dépassée pour la première fois depuis l’été 2020. Une augmentation de 10.000 défaillances sur un an, qui ne ramène pas pour autant la France à ses niveaux de défauts de septembre 2019 (53.500).Les procédures de sauvegarde restent toujours peu nombreuses (229) au regard de l’ensemble des ouvertures mais en ce 3e trimestre 2022, leur nombre dépasse les seuils d’avant crise. C’est même la valeur estivale la plus haute depuis 2016.Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 63,2% avec 2109 jugements prononcés. Elles représentent toujours moins d’un jugement sur quatre (24%), un taux inférieur aux 30% relevés avant Covid.Les liquidations judiciaires directes (LJ), concentrent encore près des trois quarts (74%) des jugements d’ouverture. Ce taux est nettement supérieur à celui constaté avant la crise sanitaire (68%). Elles ont concerné 6612 entreprises, soit une augmentation de 71,3%.Les entreprises les plus jeunes de plus en plus vulnérablesLes entreprises âgées de zéro à cinq ans concentrent 45% de l’ensemble des ouvertures de procédure. Parmi elles, celles de moins de trois ans, nées avec la crise sanitaire sont durement impactées (+70,6%), un phénomène encore plus marqué chez les entreprises de trois à cinq ans (+81,6%). L’essentiel (86%) des jeunes entreprises défaillantes sont des sociétés commerciales créées sous le statut de SARL ou, de plus en plus, de SAS (dont SASU) peu capitalisées (capital social médian de 2000 euros). Les défaillances de PME accélèrent et retrouvent les seuils de 2019 Les trois quarts des procédures concernent des TPE de moins de trois salariés (6720 sur un total de 8950). Les TPE de trois à neuf salariés comptent 1500 défaillances. Ce sont donc elles qui donnent la tendance trimestrielle. La situation se complique pour les PME de moins de cinquante salariés. 439 PME de dix à dix-neuf salariés ont défailli cet été, c’est 77% de plus qu’il y a un an et désormais plus qu’à l’été 2019 (381). Les PME de vingt à quarante-neuf salariés font face à une accélération encore plus marquée. Ce trimestre, le nombre de défauts a plus que doublé (+111%) pour atteindre 186 ouvertures, soit un niveau approchant celui de l’été 2019 (193). Ces PME défaillantes se situent dans de nombreux secteurs, en particulier le BTP, le transport, la restauration, l’industrie ou le commerce automobile. La plus forte vulnérabilité de ces PME fait flamber le nombre d’emplois menacés, qui approche désormais 33.000. A l’opposé, les sociétés défaillantes de plus de cinquante salariés sont relativement peu nombreuses (55) et tentent de résister (+22%). Les défaillances en hausse dans tous les secteursToutes les régions « dans le rouge » : la PACA résiste mieux, les Hauts de France à la peineLes Hauts de France, seule région à retrouver la sinistralité de 2019 La région enregistre son douzième mois consécutif de hausse du nombre de défaillances d’entreprises et les mois de cet été n’ont pas donné de signes d’amélioration. Les ouvertures de procédure ont plus que doublé (+116%) et dépassent désormais le niveau du 3e trimestre 2019 (875 vs 828).La Corse accuse la plus forte augmentation du nombre de défautsLa région compte 54 entreprises en défaillance ce 3e trimestre contre 21 un an plus tôt soit une augmentation de +157%. Aucune autre région ne présente une dégradation aussi rapide.Dans quatre autres régions, l’augmentation des défaillances d’entreprises dépasse + 80%En Occitanie, les ouvertures de procédure sont en hausse continue depuis neuf mois. L’été marque même une accélération avec un bond de plus de 130% en août. Sur le trimestre ; la région enregistre 814 défauts (+91%).En Auvergne-Rhône-Alpes, la hausse des défaillances, ininterrompue depuis novembre 2021, est plus forte encore cet été 2022 (+87%). La région compte 1050 ouvertures de procédures.En Pays de la Loire, les défauts ont explosé de 314% en août. Sur trois mois la hausse est de 87% (360 procédures).La Normandie a enregistré un mois de juillet très dégradé (+138%) qui a pesé sur la tendance trimestrielle (82%).Trois régions enregistrent une dégradation comprise entre +60% et +80%La Bretagne a enregistré une augmentation de 103% du nombre de défaillances d’entreprises en juillet et 206% en août. A la faveur d’un bien meilleur mois de septembre, la région limite la hausse trimestrielle à +77% ;Le Centre Val de Loire a stabilisé les ouvertures de procédures en septembre mais sur le trimestre l’augmentation reste sensible (+71%).La Bourgogne-Franche-Comté fait à peine mieux que la moyenne nationale (+64%).Trois régions passent juste sous 60% En Nouvelle-Aquitaine, Ile-de-France et Grand Est, l’évolution du nombre de défaillances est comprise entre 58 et 59%.Provence-Alpes-Côte d’Azur, la meilleure performance régionale La région a contenu la hausse des défauts à 31% en août et sous les 5% en septembre. Dans ces conditions, sur trois mois, la région Provence-Alpes-Côte d’Azur contient l’augmentation à « seulement » 37%. Pour Thierry Millon : « L’hypothèse d’un volume de défaillances d’entreprises contenu sous la barre symbolique des 40.000 en 2022 reste à ce stade plausible mais compromise. Le risque de pénurie d’énergie et l’envolée des prix complexifient fortement l’équation budgétaire des prochains mois pour de très nombreuses entreprises, quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité. D’autant qu’au-delà des factures qui flambent, s’ajoute la problématique du remboursement des dettes (classiques et/ou PGE) ou auprès des Urssaf. Ces dernières ont joué un rôle tampon durant la crise mais, à l’instar du reste de l’économie, le retour à la normale prévaut et avec lui les échéances de règlement qu’il va falloir tenir. Par conséquent, en début d’année prochaine, les tribunaux pourraient retrouver davantage d’assignations déposées par l’organisme en action en recouvrement. La remontée des défaillances d’entreprises qui semble donc bien irréversible se poursuivra en 2023. Anticipation et prévention, resteront les mots d’ordre. »
Il y a 2 ans et 231 jours

Le street art au secours des rues décaties de Johannesburg

Bongani Mahlathi de son vrai nom, 32 ans, est une figure d'un mouvement artistique qui s'est emparé depuis plusieurs années des immeubles du centre urbain. Et ses portraits aux visages noirs et blancs, qui laissent la couleur à des fonds souvent inspirés des tissus traditionnels africains, ont aujourd'hui une valeur commerciale.Sa dernière réalisation en cours est une commande, payée quelques milliers d'euros, d'une des plus grandes plateformes mondiales de musique en streaming: les portraits de quatre artistes locaux, parmi lesquels la chanteuse d'afro soul Simphiwe Dana ou la sensation amapiano Nobuhle, apparaissent peu à peu sur ce mur de Johannesburg, mélange de bars branchés et entrepôts délabrés."Dbongz" avait déjà réalisé une série de portraits en hommage à des artistes sud-africains décédés, sur d'énormes piliers de béton soutenant l'autoroute, dans le quartier culturel de Newtown."L'art a changé l'environnement et la façon dont les gens pensent la ville. Ils voient maintenant une ville lumineuse, alors qu'elle était avant terne, quelconque et aussi un peu craignos", explique-t-il à l'AFP.Originaire du township de Mohlakeng, dans l'ouest de Johannesburg, l'artiste noir est aussi connu pour ses immenses portraits d'enfants réalisés dans leurs quartiers déshérités de la périphérie."Ca donne confiance aux gens, ça leur fait du bien de se voir dans une lumière différente, plus grands que dans leur quotidien pas toujours fameux", dit-il.Faire revivre le centreLe centre historique de l'agglomération de six millions d'âmes a sombré dans une ère de dégradations et d'incurie d'abord dans les années 1980 lors des sanctions internationales imposées contre le régime de l'apartheid. Puis lorsque dans la foulée de l'élection de Nelson Mandela en 1994, les Sud-Africains blancs ont fui, emportant avec eux les commerces, vers les banlieues cossues protégées par de hauts murs.Des immeubles entiers ont été abandonnés, les entrées des hôtels ont été murées, laissant souvent là tout le mobilier.Au début des années 2000, ces propriétés vacantes sont finalement devenues le terrain de jeu d'entrepreneurs audacieux. Des étages entiers d'anciens bureaux ont été transformés en appartements, dans un centre-ville qui cherche à se renouveler depuis des années.Des tours laissées à l'abandon ont été transformées en logements à loyers modérés. L'une de ces façades a repris des couleurs grâce à l'artiste Hannelie Coetzee, avec le portrait d'une femme sur 166 mètres carrés, réalisé à partir de plus de 2.000 assiettes, soucoupes et bols."La ville est un lieu froid, bétonné, très quadrillé. L'art y apporte une douceur ou un moment de réflexion auquel on ne s'attend pas forcément", dit-elle.La chevelure qui monte dans les étages s'inspire de la façon dont les Sud-Africaines adaptent des coiffures traditionnelles pour leur donner un côté branché.Connu pour son portrait emblématique de Barack Obama avec le message "HOPE" (espoir, ndlr), l'Américain Shepherd Fairey a posé aussi son empreinte sur la ville avec un portrait de Nelson Mandela sur un immeuble de dix étages qui domine la ville. Là aussi une commande, du promoteur immobilier sud-africain, Adam Levy.Ces œuvres, de manière subliminale, donnent aux gens "la sensation qu'ils comptent, qu'on s'intéresse à eux", elles montrent "qu'il existe une sorte de machine en coulisses qui s'intéresse" à la vie du quartier, relève l'homme d'affaires. Ce qui peut induire l'envie de rendre au collectif et lancer ainsi un cercle vertueux."C'est comme ça qu'on commence à bâtir une culture", dit-il.
Il y a 2 ans et 233 jours

Habiter une planète qui se réchauffe : Abécédaire de la transition de la construction et des matériaux

A. Acier (vert)Pour construire les 246 milliards de mètres carrés qui ont vu le jour en 2020 sur la planète (+1% par rapport à 2019), le ciment et l'acier restent de loin les deux premiers matériaux utilisés et les plus émetteurs de CO2.Pour verdir la construction, les sidérurgistes, surtout en Europe, prévoient de produire un acier "vert" d'ici 2050 en remplaçant le charbon émetteur de CO2 par de l'hydrogène vert pour fondre le minerai de fer. Mais les investissements à prévoir sont gigantesques et cela revient à augmenter les coûts d'au moins "30%", prévient Christian Gollier, directeur général de la Toulouse school of economics.B. Béton + ciment Quatorze milliards de mètres cubes de béton sont coulés par an selon l'Association mondiale du ciment et du béton basée à Londres.La Chine seule, entre 2011 et 2013, a consommé 50% de plus de ciment que les Etats-Unis durant tout le XXe siècle, souligne le géographe britannique David Harvey. Or le béton émet plus de CO2 que l'aviation en raison de la présence de ciment, dont le liant, baptisé clinker, doit être chauffé à 1.400 degrés pour sa fabrication.Un espoir scientifique même ténu: par biomimétisme avec les coraux, il est possible de fabriquer un ciment à partir de carbonate de calcium, qui séquestre du CO2!En attendant, pour la construction de masse, tout le secteur mise sur des bétons décarbonés, notamment en remplaçant le liant du ciment par du "laitier", un déchet de sidérurgie. Mais la "sidérurgie est elle-même très émettrice de CO2", relève Christine Leconte, présidente du Conseil de l'ordre des architectes en France qui parie plutôt sur des matières "locales", terre ou pierre, pour réduire les émissions.C. Climatisation - chauffage Selon une étude du laboratoire national des énergies renouvelables de Palo Alto (Etats-Unis) parue en mars, la climatisation est responsable à elle seule de 4% des émissions mondiales. Cercle vicieux: plus la planète se réchauffe, plus les climatiseurs se multiplient.Certains architectes comme le zimbabwéen Mick Pearce ont conçu des systèmes de climatisation biomimétique s'inspirant de la nature. Sur le modèle des termitières qui régulent leur propre température en laissant une multitude de conduits permettant à l'air de circuler, il a conçu le plus grand immeuble commercial d'Harare, Eastgate. Le bâtiment se rafraîchit la nuit en stockant l'air frais et expulse l'air chaud pendant la journée.Certains systèmes de ventilation ou de chauffage basés sur le fonctionnement des abeilles dans une ruche (swarm logic), où les appareils d'un même immeuble sont connectés entre eux, permettent aussi de réguler les pics de demande.E. Efficacité énergétiqueC'est le principal défi à relever car le type d'énergie utilisée pour chauffer ou refroidir un bâtiment détermine le poids de ses émissions. En 2020, les investissements mondiaux dans le secteur ont fait un bond sans précédent de 11,4% à quelque 184 milliards de dollars, selon le rapport de l'Alliance mondiale du bâtiment et de la construction de l'ONU. Mais, tout cela reste loin de l'objectif à atteindre pour tenir les engagements de l'accord de Paris sur le climat: les émissions de CO2 du bâtiment devraient décroître de 50% d'ici 2030 par rapport à 2020, soit 6% par an, ce qui implique une baisse de 45% de la consommation d'énergie par mètre carré dans le monde, un rythme cinq fois plus rapide que ce qui s'est fait jusqu'à présent!I. IsolationFace aux vagues de chaleur ou au froid hivernal, il vaut mieux investir dans l'isolation de l'enveloppe des bâtiments qu'augmenter la climatisation ou le chauffage. Les murs conservent mieux la chaleur que les vitres, mais le double-vitrage se développe partout, voire le triple vitrage pour certains bâtiments "passifs" du nord de l'Europe.J. "Jardin de pluie"Conçu pour capter l'eau de pluie qui s'écoule du toit d'une maison ou d'une allée, il retient l'eau brièvement après précipitation. Ces jardins constitués de roches, de plantes et d'arbustes adaptés aux conditions sèches font partie des solutions d'adaptation au réchauffement fondées sur la nature.M. Matériaux bio ou géosourcesBois, chanvre, liège, lin, paille, ouate de cellulose: ces matériaux, issus de matière végétale renouvelable, concourent significativement au stockage du carbone atmosphérique et à la préservation des ressources naturelles. Leur utilisation est encouragée autant pour la construction que pour l'isolation et la rénovation.Problème, en Afrique, où certains de ces matériaux ont longtemps été utilisés pour l'habitat traditionnel, la croissance urbaine galopante se fait essentiellement via le ciment ou l'acier, déplore la géographe Armelle Chopin, auteur de "matière grise de l'urbain, la vie du ciment en Afrique" (2020).R. Réduire/recycler/utiliser"Nous essayons de donner une deuxième vie aux matériaux, parfois ils viennent du chantier de démolition, nous essayons de transformer les obstacles en solutions. Réduire les matériaux est le meilleur moyen de réduire l'empreinte carbone du bâtiment", expliquent Irene Perez et Jame Mayol, qui ont fondé l'agence d'architecture Ted'Arquitectes à Palma de Mayorque (Espagne). Tous deux favorisent le réemploi des matières, comme de plus en plus d'architectes.La construction d'une maison individuelle consomme 40 fois plus de ressources que la rénovation, et celle d'un bâtiment de logements collectifs environ 80 fois plus, ajoute l'Agence française de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie.T - Terre crueLa construction en terre crue, ancestrale, est en pleine renaissance. Et l'industrie cherche à développer des techniques pour massifier l'usage de bétons de terre.Parmi les techniques remises au goût du jour: Le pisé, terre compactée et coffrée, le torchis (terre crue coupée de paille ou de bouses animales), la bauge (couches successives de torchis damées sans ossature).La terre, matériau peu onéreux, et local, contribue à la régulation de l'humidité et surtout au lissage des températures intérieures, notamment en cas de canicule.On la trouve au Canada (Centre culturel du désert Nk'Mip), dans la région autrichienne du Vorarlberg, ou sous forme de panneaux préfabriqués de pisé, à Lyon en France.Le studio Renzo Piano a livré en 2021 à une ONG italienne un hôpital pour enfants à Entebbe en Ouganda, tout en pisé, réalisé à partir des terres d'excavation, surmonté de panneaux photovoltaïques.L'architecte germano-burkinabé Francis Kéré, lauréat du prestigieux prix Pritzker en 2022, a fait de la construction à partir de matériaux locaux, dont la terre, sa marque de fabrique, estampillée "high tech durable".U - UrbanismeLes experts recommandent de freiner les constructions nouvelles, favoriser la rénovation en centre-ville, arrêter l'étalement urbain, voire "reconstruire la ville sur la ville".V - Vitrage photovoltaïqueDes panneaux de verre permettent de produire de l'électricité à partir de la lumière solaire filtrée. Encore chère, cette technique émergente préfigure les bâtiments connectés de demain, mais se heurte à la pénurie de matériaux, en particulier celle des silicium.
Il y a 2 ans et 233 jours

SAINT-ASTIER : Entreprise du Patrimoine Vivant

L’entreprise familiale SAINT-ASTIER®, premier producteur français indépendant de chaux hydrauliques naturelles destinées à la conservation et à la préservation du bâti ancien, vient d’obtenir le label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) décerné par l’Institut National des Métiers d’Art (INMA), association reconnue d’utilité publique. Cette distinction atteste de la reconnaissance de l’excellence du savoir-faire traditionnel reconnu de SAINT-ASTIER®, qui fête également ses 110 ans d’existence en 2022. Depuis l’origine, le fabricant français a toujours misé sur la production de chaux hydraulique naturelle haut de gamme en proposant des solutions de qualité, et adaptées aux différentes contraintes de chantiers. Valeurs gagnantes grâce à la reconnaissance de ses produits par les professionnels de la restauration des édifices du patrimoine, mais également par l’emploi de ses chaux dans l’éco-construction, dans les constructions neuves ou encore en décoration intérieure en France et à l’international.
Il y a 2 ans et 234 jours

Reims : Des logements collectifs en R+2 imprimés en 3D béton

Le bailleur social Plurial Novilia va édifier un immeuble collectif R+2 de 12 logements et 1 700m de surface habitable, à Bezannes. [©Hobo architecture] Après Viliaprint, le bailleur social Plurial Novilia, filiale du groupe Action Logement, entend repousser une fois encore les limites de la construction. Installé au cœur de la Zac de Bezannes, à Reims (51), ce maître d’ouvrage va édifier un bâtiment d’habitation collectif en R+2 à haute performance énergétique. Douze logements sociaux seront proposés à la location. La particularité de ce nouveau projet, baptisé ViliaSprint2, est de s’appuyer sur l’impression 3D béton de ses voiles porteurs. Une impression sur site  Grâce à l’apport technique du coffreur allemand Peri, les façades de l’immeuble seront imprimées sur site. De marque Cobod, l’imprimante 3D est composée d’un portique mobile et équipée d’une tête d’impression multi-directionnelle Bod2. Elle permet d’empiler les couches de béton les unes sur les autres pour former les murs. Et peut atteindre 1 m/s en vitesse d’impression. « Nous voulons aller encore plus loin, en expérimentant l’impression sur site, déclare Johnny Huat, directeur général de Plurial Novilia. Nous pensons que l’automatisation de la phase de gros œuvre nous permettra de générer une vraie plus-value. Autant en amont sur la conception architecturale qu’en phase opérationnelle sur la productivité, la sécurité et l’ergonomie au travail. »  Avec le célèbre Bod2, imprimante 3D de construction Cobod, le groupe Peri imprime en 3D les murs en béton. [©Peri] Une période charnière  Face à la hausse des matières premières, du coût de l’énergie, ainsi qu’aux enjeux environnementaux, les professionnels de la construction sont à la recherche de nouveautés. « Aujourd’hui, il nous faut prendre le virage de la transition écologique. C’est pourquoi Holcim fournit un béton spécial peu carboné, souligne Bruno Arcadipane, président d’Action Logement. Mais nous devons garder des coûts raisonnables et augmenter la production pour faire face à la demande. Cela doit nous pousser à trouver d’autres manières de construire. Un projet audacieux comme celui de ViliaSprint2 intègre notre vision stratégique, qui est de ne pas subir les crises. Il est essentiel d’imaginer des solutions nouvelles, adaptées à un contexte complexe et fluctuant. » Une architecture qui tire profit du numérique L’apport de l’impression 3D sur ViliaSprint2 se ressent dès la visualisation du concept architectural imaginé par le cabinet bordelais Hobo. « Nous voulons faire de l’impression 3D une solution pour l’architecture bas-carboniste de demain, explique Frédérik Dain, directeur du cabinet Hobo. Pour ViliaSprint2, nous avons cherché l’efficience, l’économie de matière, l’adaptation et la justesse dans une forme de simplicité frugale. Le but est de maximiser le rendement des formes pour offrir la plus grande surface avec le moins de matière. » Avec ses formes arrondies, son recours aux matériaux biosourcés et son orientation pensée pour un ensoleillement optimal, ce projet offre la possibilité d’une bien plus grande créativité architecturale.  Comparer et mesurer 2 méthodes de constructions  En parallèle, un second bâtiment sera édifié sur la même parcelle, mais, cette fois-ci, de manière traditionnelle. Les deux procédés constructifs pourront être comparés. Ils seront mesurés aussi bien en phase de chantier (délais, nuisances, ergonomie/pénibilité pour les équipes…) qu’en phase d’occupation (performances du bâti, coûts…). Les résultats seront partagés avec l’ensemble des bailleurs sociaux réunis au sein d’Action Logement.
Il y a 2 ans et 234 jours

Moins de logements à louer : à qui la faute ?

Que se passe-t-il ?Plusieurs réseaux d'agences interrogés par l'AFP estiment que le nombre de biens mis en location a diminué depuis un an.Foncia, spécialiste de la gestion locative, évalue cette baisse à 10%, le réseau d'agences Nestenn à 11%, la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim) à près de 15% et le portail d'annonces Bien'ici à 5% au troisième trimestre."Les grandes villes sont très affectées, mais ce ne sont plus les seules", affirme Olivier Alonso, président de Nestenn.Et la demande flambe encore davantage. Le promoteur Nexity a ainsi constaté "beaucoup plus de contacts supplémentaires par annonce. Au premier trimestre, on avait un tiers de demandes de location de plus que l'année dernière", a affirmé la directrice générale Véronique Bédague devant des investisseurs fin septembre. Selon Bien'ici, le nombre de demandes par annonce a même grimpé de 80% au troisième trimestre, encore davantage dans le Sud-Est.La chaîne se grippeL'assèchement de l'offre locative vient d'abord... des locataires eux-mêmes. Ils restent en effet de plus en plus longtemps dans leur logement."On a eu moins de départs de locataires, pour une raison qui est qu'il y a un attentisme dans la chaîne globale du parcours des Français", explique à l'AFP Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim.En cause : la difficulté accrue pour devenir propriétaire, avec la hausse rapide des taux d'intérêt, et le taux d'usure, au-delà duquel il est légalement interdit de prêter, qui exclut les emprunteurs les moins aisés."Environnement économique, instabilité, incertitude, taux d'usure qui ne monte pas aussi vite que l'inflation et donc les banques refusent des prêts (...) tout ça, de manière indirecte, contribue à ralentir le marché de la location", liste Laurence Batlle, présidente de Foncia ADB.Le neuf en panneLe ralentissement de la construction neuve commence également à peser.C'est un grief récurrent des promoteurs : depuis quelques années, les maires sont plus réticents à autoriser des constructions.Si les permis de construire atteignent actuellement des niveaux record, c'est une hausse en trompe-l'oeil, consécutive à un afflux de demandes en décembre 2021, avant l'entrée en vigueur d'une règlementation environnementale plus stricte.Et le nombre de chantiers commencés ne suit pas, avec une pénurie de matériaux et la flambée des prix de l'énergie qui freinent le secteur du bâtiment."Cette offre en moins, elle contribue à figer le marché", explique Mme Batlle."On ne peut pas acheter là où on veut aller, mais on a besoin d'y habiter, on a besoin d'un logement, et donc, ça se transforme en demande de location", selon Mme Bédague.Passoires thermiquesDepuis le mois d'août, les propriétaires de logements à étiquette énergétique F ou G, les plus énergivores, ne peuvent plus augmenter leur loyer.Et à partir du 1er janvier prochain, les logements "indécents" par leur consommation seront interdits à la location. Suivront, en 2025, l'ensemble des G de métropole, puis les F en 2028 et les E en 2034.Si la mesure est censée inciter les propriétaires-bailleurs à rénover leurs logements, des professionnels craignent que certains les retirent du marché.Selon un sondage auprès de professionnels commandé par la Fnaim, seulement 32% des propriétaires de logements F et G choisissent pour l'instant de le rénover ; et 26% de le vendre."Je pense qu'on n'a pas mesuré l'impact que ça pourrait avoir sur l'offre disponible dans le parc privé locatif", craint son président."On ne le voit pas encore, nuance Laurence Batlle. Mais c'est une tendance qui va forcément prendre du poids dans les années à venir."Locations saisonnièresDernier danger : la transformation d'appartements en locations touristiques de courte durée. Selon le sondage commandé par la Fnaim, 6% des propriétaires de passoires thermiques envisagent cette solution."Dans beaucoup de villes, la location saisonnière a pris le pas sur la location traditionnelle", témoigne Olivier Alonso, voyant une clientèle professionnelle se détourner de l'hôtellerie traditionnelle à son profit.
Il y a 2 ans et 235 jours

Crédit immobilier : un meilleur accès à l'assurance emprunteur... mais plus cher !

L'assurance emprunteur, obligatoire dans les faits, couvre divers risques comme le décès, la maladie ou l'invalidité. Elle protège à la fois les emprunteurs et les banques contre un éventuel défaut de remboursement.Avec la loi Lemoine, entrée en vigueur au 1er juin pour les nouveaux prêts, ceux qui empruntent moins de 200.000 euros ne sont plus soumis à un questionnaire de santé pour assurer leur crédit, à condition aussi que le remboursement total s'effectue avant leurs 60 ans.Pour les personnes malades ou ayant été malades récemment, "vous passez de l'impossible au possible", salue auprès de l'AFP Kévin Spreux, directeur de développement de Prelys Courtage, le cabinet qui a accompagné Emma.Lors de sa première tentative, elle avait dû se soumettre à un questionnaire de santé car le crédit, sur 25 ans, l'emmenait justement au-delà de 60 ans. Comme attendu, son dossier a été refusé. Le fait qu'elle soit en rémission depuis 2020 n'a rien changé: "On garde une étiquette de cancéreuse", constate Emma, pour qui la loi Lemoine permet de "remettre un peu de justice".En ramenant la durée d'emprunt de 25 à 23 ans, elle a pu rester dans le cadre prévu par la législation et obtenir son prêt.Hausse généraleComme elle, de nombreuses personnes se sont saisies de cette évolution de la législation pour essayer d'être mieux assurées, témoigne Prelys Courtage.En assurant des personnes auparavant exclues ou dont les dossiers étaient acceptés moyennent le versement d'une surprime, les assureurs prennent toutefois à leur charge un risque qu'ils estiment difficile à quantifier.Cela peut "créer un effet d'aubaine pour les personnes sachant qu'elles vont mourir", a résumé cyniquement le patron d'un assureur mutualiste devant des journalistes.Si certains assureurs ont promis de ne pas augmenter leurs tarifs, comme CNP Assurances, filiale du groupe La Banque Postale et leader de ce marché, voire de les baisser pour les jeunes, tels le Crédit Agricole, numéro deux de l'assurance emprunteur, c'est loin d'être le cas de tous.Nombre de primes ont augmenté. Dans quelles proportions? Selon une étude du cabinet Vertone qui a comparé 1.700 tarifs d'assureurs non bancaires, avant et après le passage de la loi, les tarifs appliqués aux emprunteurs qui échappent au questionnaire de santé ont bondi de 49% en moyenne, avec de très fortes disparités.Olivier Le Gallo, directeur général du courtier en ligne Magnolia.fr, estime pour sa part que cette augmentation tournait plutôt autour de 20%.Les nouvelles dispositions de la loi, comme le raccourcissement du délai de droit à l'oubli, qui dispense de déclarer certaines maladies cinq ans après l'arrêt des protocoles thérapeutiques contre dix ans auparavant, sont "des progrès sociétaux mais qui ont un prix", relève-t-il auprès de l'AFP.Boum des appelsAutre évolution de la loi, aux fortes répercussions: la possibilité de changer d'assureur n'importe quand et non plus seulement au cours de la première année puis à la date anniversaire de la signature du contrat. Chez Magnolia.fr, il y a eu "une explosion des demandes assez incroyable" avec un triplement des appels lors de la première semaine de septembre, dès que la nouvelle législation s'est appliquée aux anciens prêts, selon M. Le Gallo.L'assurance emprunteur est un marché détenu à environ 85% par les banques qui réalisent des marges importantes au détriment du pouvoir d'achat des emprunteurs, dénoncent depuis plusieurs années les associations de consommateurs et les assureurs eux-mêmes.Début octobre, le régulateur européen de l'assurance a d'ailleurs pointé les bancassureurs, évoquant "des risques importants de préjudices pour le consommateur" et "une gestion insuffisante des conflits d'intérêts".Résilier un contrat souscrit via une banque au profit d'un assureur traditionnel peut permettre d'économiser plusieurs milliers, voire dizaines de milliers d'euros, sans réduire la couverture des risques puisque ce changement ne peut être effectué qu'à protection équivalente.Et les banques qui traînaient les pieds auparavant jouent désormais "le jeu et sont réactives" depuis ces bouleversements législatifs, note M. Le Gallo.
Il y a 2 ans et 235 jours

Partenariat entre Hoffmann Green et O.T.E

Dès cette année et jusqu’à fin 2024, le ciment Hoffmann Green H-Eva Sol remplacera le ciment Portland dans le cadre des travaux d’enfouissement des fibres optiques. [©Hoffmann Green] Hoffmann Green annonce la signature d’un partenariat commercial d’une durée de trois ans avec O.T.E. Cette dernière entreprise est un acteur des secteurs du numérique, du génie civil et des ouvrages d’art en milieu industriel. Le contrat porte sur la fourniture de l’H-Eva Sol, le ciment 0 % clinker et à base d’argile activée de Hoffmann Green. Concrètement, dès cette année et jusqu’à fin 2024, H-Eva Sol remplacera le ciment Portland dans le cadre des travaux d’enfouissement des fibres optiques. Un marché en pleine croissance sur l’ensemble du territoire national. Ce partenariat permettra ainsi de réduire de 95 % l’empreinte carbone du procédé Greenpose, co-développé avec la société Tesmec. Ceci, en comparaison à la méthode traditionnelle d’enfouissement micro-rive avec remblaiement béton utilisant du ciment Portland.
Il y a 2 ans et 235 jours

Ambitieux programme de requalification urbaine "Chelles-Foch" en entrée de ville de Chelles

En lieu et place d’une friche présente depuis plus de 10 ans située avenue du Maréchal Foch, en entrée de ville, à seulement 600 mètres de la gare du RER E qui relie Paris et de la future ligne 16 du métro, du centre-ville historique de Chelles et à proximité de nombreux commerces, l’opération Chelles-Foch s’intègre dans un environnement urbain dynamique.Programme mixte ambitieux répondant aux besoins du territoire, l’opération s’étendra sur 8.750 m² SDP et accueillera :Un bâtiment de 33 logements gérés par in’li et dotés d’une double exposition (et pour certains d’une triple) offrant une grande luminosité. Chaque logement bénéficiera d’un espace extérieur (balcon ou terrasse).Une résidence pour séniors de 117 logements (T1, T2 et T3), pour le compte de l’OPPCI Esprit Pierre Résidences (Groupe Spirit), qui sera gérée par Les Girandières, filiale du Groupe Réside Etudes. Adaptée aux besoins spécifiques des séniors autonomes, elle offrira une large palette de services : restaurant, coiffeur, salon de massage, salle polyvalente, salle de gym, services de linge… Un jardin d’agrément permettra aux résidents de partager des moments de convivialité et de profiter des espaces verts. Un programme à la croisée de l’hôtel, de la résidence gérée et du logement traditionnel, issu d’une réflexion approfondie autour des usages et du bien-être. Cette résidence pour séniors, souhaitée par la Ville, vient opportunément compléter le parcours résidentiel des Chellois.Un commerce en pied d’immeuble viendra compléter l’offre de services de proximité du quartier pour le compte d'AVM Holding.Une conception architecturale dans la pure tradition chelloiseL’architecte, MAIREA Architecture a su répondre aux attentes de la Ville en reprenant les codes de l’architecture chelloise traditionnelle (toitures en pente, façades en brique et pierre, modénatures) dans la continuité du tissu urbain local tout en respectant les contraintes du terrain. Trois axes ont guidé l’écriture architecturale : marquer l’entrée de la ville, créer un profil urbain et séquencer les bâtiments.Les labellisations environnementales visées par ce projetLa résidence services pour les séniors sera labellisée E2C1 et atteindra le niveau de performance énergétique RT2012-17%, et les logements seront eux certifiés NF Habitat HQE. Ces critères environnementaux s’inscrivent dans la démarche RSE de Linkcity et de l’ensemble de ses partenaires.Pour David MARQUET, Directeur Général Adjoint Linkcity Ile-de-France : « C’est un travail de longue haleine qui a été mené, intégrant notamment la réhabilitation complète des sols. Ce projet symbolise l’esprit partenarial de Linkcity : architecte, investisseurs, exploitant, entreprises, tous associés pour satisfaire la commune de Chelles et réaliser un projet ambitieux porteur pour le territoire. »Pour Benjamin STUTZMANN et Alexandre PARVEZ, respectivement Président et Directeur des Acquisitions chez SPIRIT REIM SERVICES : « Nous sommes très heureux de cette première acquisition pour le compte de notre fonds ESPRIT PIERRE RESIDENCES. Cette résidence correspond parfaitement à notre cible, à savoir un actif de qualité, sécurisé sur le long terme avec un exploitant de premier ordre. Elle répond aux exigences de la labellisation ISR du fonds, notamment en matière de réversibilité, qui se valorisera dans la durée grâce à la transformation en cours à l’entrée de Chelles et la desserte prochaine par le Grand Paris Express. »Pour Damien ROBERT, Président du directoire d’in’li : « In’li poursuit son engagement en faveur du développement de l’offre en logements intermédiaires en zones tendues, en Ile-de-France. Le partenariat avec la ville de Chelles est en ce sens exemplaire. Il s’inscrit dans une logique territoriale alliant offre de transport, développement urbain raisonné, services et logements. C’est grâce à ce type de démarche que nous répondrons aux défis du Grand Paris de demain ! »
Il y a 2 ans et 237 jours

Colas réalise dans l'Oise une piste cyclable avec un enrobé innovant à l’empreinte carbone réduite

La réalisation de cette nouvelle section s’intègre dans le projet de liaisons Véloroutes et voies vertes entre Compiègne (Oise) et Villers-Cotterêts (Aisne) ; ce projet est destiné à encourager les circulations douces, à développer le vélotourisme et à favoriser l’écomobilité dans cette région touristique.Vegecol est un enrobé innovant conçu par le laboratoire de recherche de Colas. Il est fabriqué localement à partir de granulats et d’un liant à base de résine végétale dérivée du pin, produit en France. Ce liant permet une réduction d’émissions de gaz à effet de serre estimée à 60% comparé aux solutions traditionnelles. Vegecol fait également partie de la gamme des enrobés à température abaissée, ce qui limite la consommation d’énergie lors de sa fabrication.Composé d’un liant translucide, Vegecol a la particularité de mettre en valeur la couleur naturelle des granulats et permet ainsi de réaliser un revêtement esthétique adapté aux sites touristiques. Cette solution a su convaincre l’Architecte des Bâtiments de France qui a validé son utilisation à proximité du château de Pierrefonds, classé au titre des monuments historiques. Pour Jérôme Corman, chef d’établissement Colas de Senlis : « Nous sommes fiers d’avoir obtenu la confiance de la communauté de communes des Lisières de l’Oise ainsi que celle de l’Architecte des Bâtiments de France pour ce projet situé à proximité du site remarquable qu’est le Château de Pierrefonds. Cela confirme qu’outre ses qualités environnementales, Vegecol est aussi un produit très qualitatif. » Après plusieurs opérations menées avec succès depuis l’an dernier, il s’agi d’une nouvelle référence d’envergure pour Vegecol qui poursuit ainsi son déploiement, avec un prochain chantier déjà programmé dans le Jura et des projets à venir à l’international.
Il y a 2 ans et 240 jours

Edilians : Le photovoltaïque rouge, une solution efficace et esthétique

Préservez l’esthétisme de votre toiture tout en produisant votre propre énergie avec les tuiles solaire rouge d’EDILIANS qui se divisent en 2 gammes avec la tuile solaire max et les tuiles terre cuite solaire que sont l’Alpha Solaire, la HP 10 Solaire et la Rhôna Solaire. Les tuiles terre cuite solaires  Elles sont la solution idéale qui allie le savoir-faire de la terre cuite d’EDILIANS et l’esthétisme du rouge à la technologie photovoltaïque. C’est l’accord parfait entre la qualité des argiles, l’esthétisme des toitures modernes et la performance énergétique !   Les + des tuiles en terre cuite solaire : Un esthétisme inégalé : avec une intégration parfaite et discrète  Une simplicité de pose : forme et caractéristiques de mise en œuvre identiques à leurs équivalents en terre cuite traditionnels  Un véritable gain de temps et de rentabilité pour les professionnels de la toiture Une étanchéité irréprochable héritée des propriétés inhérentes à la terre cuite Une solution évolutive dans le temps : les tuiles en terre cuite solaire s’adaptent à une toiture existante en toute facilité La longévité et la fiabilité d’un matériau durable garanti 30 ans* La Tuile Solaire Max : C’est une solution spécialement conçue pour allier performance énergétique, évolutivité et facilité de pose, tout en respectant l’esthétisme de votre toiture ! Les + de la Tuile Solaire Max : Une durabilité optimale. Imputrescible, anti-corrosion et résistante aux intempéries Une imperméabilité sans failles depuis plus de 18 ans. Universelle, grâce à son châssis unique elle s’intègre parfaitement avec tous les modèles de tuiles de couverture. Une pose simplifiée en plein carré ou à l’égout.   *Garantie 30 ans lorsque posé avec des tuiles Edilians
Il y a 2 ans et 243 jours

Les levées de fonds françaises résistent, mais la croissance effrénée est terminée

Selon les chiffres de la banque d'affaires Avolta, le financement en capital-risque des jeunes pousses "tech" a augmenté de 30% en France sur les trois premiers trimestres de 2022, alors qu'il a eu tendance à reculer, parfois très significativement, ailleurs dans le monde: - 56% en Chine, -29% aux Etats-Unis, - 19% au Royaume-Uni, - 27% en Allemagne...Le total des montants levés en France sur l'ensemble de 2022 devrait être autour de 15,5 milliards d'euros, contre 12,3 milliards d'euros en 2021, prévoit Avolta.Les données préliminaires du baromètre In Extenso Essec montrent également une progression de 30% des montants levés par les start-up françaises sur les 9 premiers mois de l'année.Mais les deux baromètres montrent également que le ralentissement des levées de fonds est bien là.Les 15,5 milliards de capital levé cette année prévus par Avolta ne représentent qu'une hausse de 26% sur 2021, alors que les levées de fonds avaient doublé entre 2020 et 2021.De même le total levé n'a atteint que 2,5 milliards d'euros au troisième trimestre, alors qu'il était encore de 5 milliards au premier trimestre de l'année.Le baromètre In Extenso Essec relève de son côté que les levées de fonds du troisième trimestre 2022 sont inférieures de 40% à celle d'un an auparavant."Le pic de la bulle a été atteint au premier trimestre de 2022 et la tendance s'oriente globalement vers un atterrissage, avec des prévisions de temps difficiles", a indiqué à l'AFP Patricia Braun, la présidente d'In Extenso Innovation."Ca s'est clairement ralenti, on a sauvé le mois de septembre grâce à de grosses levées", a commenté de son côté Franck Sebag, associé chez EY, qui publie également chaque semestre un baromètre des levées de fonds."Mais la France est probablement le pays en Europe le mieux positionné pour résister" à ce mouvement de baisse des investissements en capital risque dans les start-up, a-t-il indiqué à l'AFP.Selon Avolta, les plus grosses opérations continuent à un rythme "à peu près normal".Mais ce sont les petites levées de fonds, celles qui interviennent au début de la vie de la jeune pousse qui sont en recul significatif, estime le banquier d'affaires.Par secteur, l'édition logiciel ou la finance, moteurs traditionnels des levées de fonds, sont en stagnation, souligne Avolta.Selon cette banque d'affaires, les start-up de la santé sont les plus valorisées par les fonds d'investissement, avec des valeurs d'entreprises fixées à 8 fois leur chiffre d'affaires (valeur médiane).Viennent suite les jeunes pousses immobilières et financières, à respectivement 6,3 et 6,2 fois leur chiffre d'affaires (valeur médiane).A l'inverse, les start-up des transports et de l'alimentaire sont les moins valorisées, à respectivement 2,3 et 2,5 fois leur chiffre d'affaires (valeur médiane).
Il y a 2 ans et 243 jours

3 métiers d’avenir dans la construction

Le secteur de la construction est sujet à de nombreuses évolutions, que ce soit à cause des nouvelles technologies ou des départs à la retraite. Au Québec, d’ici 2029, le milieu devrait d’ailleurs atteindre un niveau de pénurie de main-d’œuvre record, accélérant ainsi la création de nouveaux métiers dont voici les 3 plus prometteurs. Manœuvre en construction Bien qu’un emploi de manœuvre en construction demeure dans la partie « traditionnelle » du secteur, il est tout de même considéré comme une branche d’avenir. En effet, bien au-delà de l’utilisation des technologies, comme pour les deux prochains métiers, cette profession fait partie des piliers de la construction. On remarque tout de même une certaine évolution dans les compétences à acquérir pour prétendre à ce poste. En effet, les tâches sont variées et il est souvent demandé aux candidats d’être de plus en plus agiles, avec une faculté d’adaptation et de collaboration. Surtout parce que les professionnels occupant ce métier sont amenés à : – Charger et décharger les matériaux. – Monter des échafaudages. – Accompagner les ouvriers qualifiés dans la réalisation des travaux. – Niveler l’environnement de travail pour faciliter l’accès aux chantiers. Bien que ces tâches ne soient pas exhaustives, elles n’en demeurent pas moins plurielles. D’un point de vue plus général, les manœuvres en construction garantissent la bonne réalisation des travaux, en secondant le travail de leurs collègues. Un poste qui demeure donc essentiel au secteur de la construction. Quel est le diplôme nécessaire pour travailler comme manœuvre en construction ? Les recruteurs recherchent des candidats ayant obtenu leur certificat de compétences « occupation ». Toutefois, il est également possible de travailler comme manœuvre sans diplôme. Quel est le salaire d’un professionnel en manœuvre en construction ? Au Québec, le salaire pour un professionnel en manœuvre en construction est fixé selon les conventions collectives avec lesquelles il travaille. Spécialiste en domotique La domotique fait partie intégrante des nouveaux métiers tels qu’on l’entend dans cette expression. Bien qu’elle soit à 100 % liée avec les nouvelles technologies, elle fait également entièrement partie du métier de la construction. En effet, intervenant après la construction des bâtiments, le spécialiste en domotique s’intéresse particulièrement à la création d’un habitat intelligent, basé sur le concept de smart home. Son objectif est alors d’utiliser ses connaissances en matière de technologies et de sécurité pour rendre le bâtiment plus sûr. Il s’occupe de créer les systèmes de sécurité comme les alarmes, les détecteurs de bris de vitre, les caméras et autres capteurs. Selon le type de structures (résidentielle, institutionnelle ou professionnelle), il peut également être amené à réfléchir à l’automatisation totale d’un bâtiment. Doté d’un amour pour les nouvelles technologies, autonome et doué d’un esprit d’équipe, le spécialiste en domotique travaille avec l’ensemble des équipes sur le projet en construction, et l’intègre dans toutes les étapes. Quel diplôme est nécessaire pour devenir spécialiste en domotique ? Le futur spécialiste doit obtenir une attestation de formation prouvant sa spécialisation dans l’installation de systèmes d’habitation intelligente. Toutefois, cette attestation requiert l’obtention préalable : – D’unités de 3e secondaire en langue seconde et mathématiques. – D’une attestation d’équivalence à la 3e secondaire. – D’une attestation de réussite au test de développement général. Quel est le salaire d’un spécialiste en domotique ? À Montréal, un spécialiste en domotique perçoit en moyenne 47 000 $ annuel. Ce salaire est tout de même sujet à des fluctuations selon les entreprises. Coordinateur BIM Dans le secteur de la construction, le coordinateur BIM (building information modelling) est spécialisé dans le bâti immobilier modélisé. En d’autres termes, il utilise les nouvelles technologies pour générer un plan 3D du bâtiment à construire. Grâce à cela, il permet à toutes les branches de la construction de travailler collectivement en visualisant l’ensemble des structures, des mécaniques, de l’électricité et de la plomberie à mettre en place. Un coordinateur BIM doit alors posséder des compétences en conception 3D, mais également être agile, faire preuve d’adaptabilité, de communication et de management, puisqu’il coordonne et renseigne les différentes équipes de construction. Quel diplôme obtenir pour devenir coordinateur BIM ? Deux situations sont possibles. Le candidat peut se spécialiser en conception de maquette numérique durant son cégep. Il faudra toutefois faire attention à intégrer un cégep délivrant l’attestation d’étude collégiale correspondante. Une expérience dans le domaine de la coordination et de la construction sera un plus pour démarrer sa carrière. En revanche, si le candidat est ingénieur ou architecte de formation, il peut obtenir un DESS en BIM et innovations numériques pour approfondir ses connaissances et se former. Quel est le salaire d’un coordinateur BIM ? Dans la région de Montréal, un coordinateur BIM peut percevoir jusqu’à 48 000 $ annuel, en moyenne. Le secteur de la construction demeure un secteur d’avenir Au Canada, le secteur de la construction est en constante évolution, surtout avec l’arrivée des nouvelles technologies. De nombreux métiers émergent de plus en plus, sans pour autant mettre de côté les postes plus traditionnels comme les maçons ou les carreleurs qui demeurent essentiels au secteur.
Il y a 2 ans et 245 jours

Grand Prix de l’AFEX 2023 : appel à projets

Le Grand Prix de l’AFEX 2023 a été lancé le mardi 27 septembre avec la publication du traditionnel appel à projets préalable à la sélection des dix projets du palmarès. Jusqu’au 20 janvier 2023. Dans le cadre de ses missions, l’AFEX organise tous les deux ans, depuis 2010, le Grand Prix AFEX de l’architecture française […] L’article Grand Prix de l’AFEX 2023 : appel à projets est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 248 jours

une solution complete pour une toiture energetiquement performante

Le combo gagnant pour une toiture à l’allure authentique, traditionnelle et à la fois sophistiquée ? Le tout parfait d’une isolation renforcée ? Ne cherchez plus et optez pour le combo de la tuile terre cuite, une solution solaire et du sarking.
Il y a 2 ans et 248 jours

une solution complete pour une toiture energetiquement performante

Le combo gagnant pour une toiture à l’allure authentique, traditionnelle et à la fois sophistiquée ? Le tout parfait d’une isolation renforcée ? Ne cherchez plus et optez pour le combo de la tuile terre cuite, une solution solaire et du sarking.
Il y a 2 ans et 248 jours

Réalisation des courbes de régression pour évaluer la résistance hydrostatique à long terme des tubes multicouches à base de matériaux de synthèse

Le CSTB a mis en place une nouvelle méthode d'évaluation pour garantir la durée de vie à 50 ans des tubes multicouches et optimiser la conception des produits. Cette méthode, basée sur la réalisation des courbes de régression, s'appuie sur des essais hydrostatiques sur les canalisations multicouches (métalliques, polymères dont PPR renforcé de fibre de verre) combinés à de la simulation numérique. Elle consiste à estimer, pour chaque type de matériau, la résistance des tubes à une température et une contrainte hydrostatique donnée, c'est-à-dire le temps qui s'écoule jusqu'à sa rupture. La résistance hydrostatique à long terme des tubes à 50 ans est alors obtenue par exploitation statistique des résultats de mesure. Réalisés dans les laboratoires du CSTB accrédités Cofrac, ces essais valident la durée de vie minimale de 50 ans et attestent la conformité des tubes multicouches aux exigences des normes ISO 9080 et ISO 17456. Ils permettent également d'optimiser la conception des produits pour les améliorer tout en préservant leurs performances. Résistance chimique des canalisations Après plus de 10 années de travaux R&D, le CSTB a mis en place plusieurs outils expérimentaux permettant d'étudier le comportement des tubes et autres produits en contact avec l'eau destinée à la consommation humaine face aux agressions chimiques des produits de désinfection. Le vieillissement des produits en milieu hospitalier conduit à de nombreux sinistres. Pour répondre à ces remontées de terrain, le CSTB a développé un protocole d'essai permettant d'évaluer la résistance des matériaux aux attaques chimiques des produits désinfectants sur les canalisations, notamment sur les matériaux polymères et élastomères utilisés dans les réseaux de distribution d'eau potable. Les produits certifiés QB08 pourront être évalués selon ce protocole et faire l'objet d'un classement, à l'instar de la robinetterie sanitaire certifiée NF 077, qui bénéficie depuis 2019 du classement « M ». Complémentaire au classement ECAU, il certifie une utilisation en milieu médical. Des essais sont également menés afin d'adapter ce protocole aux flexibles de raccordement certifiés QB10. Révision du Guide Technique pour l'évaluation des flexibles de raccordement Le Guide Technique n°3813 a été révisé. Les modifications concernent les exigences d'essais pour l'évaluation des flexibles de raccordement, qui, sous Avis Techniques, sont utilisés pour diverses applications telles que le sanitaire, le chauffage ou le refroidissement. Les exigences pour l'évaluation des flexibles de raccordement évoluent. Selon la précédente version du guide, le demandeur était libre de revendiquer ou non une conformité à la norme européenne NF EN 13618 pour les applications sanitaires. Dorénavant, la conformité à cette norme est exigée. Le GS14.1 a également décidé que le terme « climatisation » devait être remplacé dans les Avis Techniques par « refroidissement » pour éviter toute ambiguïté entre les transports de flux et d'air. L'ensemble du guide a été modifié en conséquence. PVC biosourcé dans les réseaux de distribution d'eau potable : une réponse aux attentes de performance environnementale ? Le PVC biosourcé, matière plastique élaborée en partie ou en totalité à partir de ressources renouvelables, semble de plus en plus utilisé dans la conception des matériaux de construction. Produit non traditionnel dans le domaine de la plomberie, le PVC biosourcé doit présenter, à l'instar de tous les produits, des conditions d'aptitude à l'usage afin de prouver que ses performances techniques et sa durabilité sont équivalentes à celles des matériaux traditionnels. Le CSTB est également prêt à accompagner les industriels dans l'évaluation la plus juste des performances environnementales de ces produits biosourcés, à l'heure où la méthode d'évaluation n'est pas encore stabilisée à l'échelle européenne et fait encore débat. Solutions & Performances - Numéro 9 : « Plomberie » Le numéro 9 de Solutions & Performances est consacré à la plomberie et à la robinetterie sanitaire, un secteur qui s'ouvre de plus en plus à l'éco-conception. PDF 1.07 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 248 jours

Réaliser des réseaux d'alimentation en eau avec du PEX

Une entreprise artisanale spécialisée dans les travaux de plomberie et de zinguerie propose à ses clients des tuyaux en polyéthylène réticulé (PEX ou PER) à la place du cuivre pour réaliser les réseaux d'alimentation en eau. Le PEX est plus facile à installer, surtout dans des espaces contraints, et il présente l'avantage d'être plus durable. Ces tuyaux, de diamètre 63, concernent uniquement l'équipement des zones commerciales. Impact en prévention Grâce à la légèreté du PEX, le travail en hauteur est facilité. La manutention est allégée, ce qui réduit les risques de blessure aux mains (un accident sur trois ans avec du cuivre) ; La suppression de l'étape de soudure élimine les fumées et le risque d'incendie. Le risque chimique disparaît également, étant donné que les plombiers n'utilisent plus de décapant pour le cuivre. Sécuriser les tuyaux d'alimentation en eau avec le PEX Plus flexible, le PEX a une durée de vie plus longue que le cuivre et ne présente pas les risques de fuites liés à ce matériau traditionnel. Il est également une bonne alternative économique en raison de l'augmentation du coût des matières premières. Le chef d'entreprise propose systématiquement le PEX à ses clients, notamment pour les surfaces de vente. En savoir plus : OPPBTP - Réaliser des réseaux d'alimentation en eau avec du PEX Solutions & Performances - Numéro 9 : « Plomberie » Le numéro 9 de Solutions & Performances est consacré à la plomberie et à la robinetterie sanitaire, un secteur qui s'ouvre de plus en plus à l'éco-conception. PDF 1.07 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 248 jours

Réaliser des réseaux d'alimentation en eau avec du PEX

Une entreprise artisanale spécialisée dans les travaux de plomberie et de zinguerie propose à ses clients des tuyaux en polyéthylène réticulé (PEX ou PER) à la place du cuivre pour réaliser les réseaux d'alimentation en eau. Le PEX est plus facile à installer, surtout dans des espaces contraints, et il présente l'avantage d'être plus durable. Ces tuyaux, de diamètre 63, concernent uniquement l'équipement des zones commerciales. Impact en prévention Grâce à la légèreté du PEX, le travail en hauteur est facilité. La manutention est allégée, ce qui réduit les risques de blessure aux mains (un accident sur trois ans avec du cuivre) ; La suppression de l'étape de soudure élimine les fumées et le risque d'incendie. Le risque chimique disparaît également, étant donné que les plombiers n'utilisent plus de décapant pour le cuivre. Sécuriser les tuyaux d'alimentation en eau avec le PEX Plus flexible, le PEX a une durée de vie plus longue que le cuivre et ne présente pas les risques de fuites liés à ce matériau traditionnel. Il est également une bonne alternative économique en raison de l'augmentation du coût des matières premières. Le chef d'entreprise propose systématiquement le PEX à ses clients, notamment pour les surfaces de vente. En savoir plus : OPPBTP - Réaliser des réseaux d'alimentation en eau avec du PEX Solutions & Performances - Numéro 9 : « Plomberie » Le numéro 9 de Solutions & Performances est consacré à la plomberie et à la robinetterie sanitaire, un secteur qui s'ouvre de plus en plus à l'éco-conception. PDF 1.07 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 248 jours

Réalisation des courbes de régression pour évaluer la résistance hydrostatique à long terme des tubes multicouches à base de matériaux de synthèse

Le CSTB a mis en place une nouvelle méthode d'évaluation pour garantir la durée de vie à 50 ans des tubes multicouches et optimiser la conception des produits. Cette méthode, basée sur la réalisation des courbes de régression, s'appuie sur des essais hydrostatiques sur les canalisations multicouches (métalliques, polymères dont PPR renforcé de fibre de verre) combinés à de la simulation numérique. Elle consiste à estimer, pour chaque type de matériau, la résistance des tubes à une température et une contrainte hydrostatique donnée, c'est-à-dire le temps qui s'écoule jusqu'à sa rupture. La résistance hydrostatique à long terme des tubes à 50 ans est alors obtenue par exploitation statistique des résultats de mesure. Réalisés dans les laboratoires du CSTB accrédités Cofrac, ces essais valident la durée de vie minimale de 50 ans et attestent la conformité des tubes multicouches aux exigences des normes ISO 9080 et ISO 17456. Ils permettent également d'optimiser la conception des produits pour les améliorer tout en préservant leurs performances. Résistance chimique des canalisations Après plus de 10 années de travaux R&D, le CSTB a mis en place plusieurs outils expérimentaux permettant d'étudier le comportement des tubes et autres produits en contact avec l'eau destinée à la consommation humaine face aux agressions chimiques des produits de désinfection. Le vieillissement des produits en milieu hospitalier conduit à de nombreux sinistres. Pour répondre à ces remontées de terrain, le CSTB a développé un protocole d'essai permettant d'évaluer la résistance des matériaux aux attaques chimiques des produits désinfectants sur les canalisations, notamment sur les matériaux polymères et élastomères utilisés dans les réseaux de distribution d'eau potable. Les produits certifiés QB08 pourront être évalués selon ce protocole et faire l'objet d'un classement, à l'instar de la robinetterie sanitaire certifiée NF 077, qui bénéficie depuis 2019 du classement « M ». Complémentaire au classement ECAU, il certifie une utilisation en milieu médical. Des essais sont également menés afin d'adapter ce protocole aux flexibles de raccordement certifiés QB10. Révision du Guide Technique pour l'évaluation des flexibles de raccordement Le Guide Technique n°3813 a été révisé. Les modifications concernent les exigences d'essais pour l'évaluation des flexibles de raccordement, qui, sous Avis Techniques, sont utilisés pour diverses applications telles que le sanitaire, le chauffage ou le refroidissement. Les exigences pour l'évaluation des flexibles de raccordement évoluent. Selon la précédente version du guide, le demandeur était libre de revendiquer ou non une conformité à la norme européenne NF EN 13618 pour les applications sanitaires. Dorénavant, la conformité à cette norme est exigée. Le GS14.1 a également décidé que le terme « climatisation » devait être remplacé dans les Avis Techniques par « refroidissement » pour éviter toute ambiguïté entre les transports de flux et d'air. L'ensemble du guide a été modifié en conséquence. PVC biosourcé dans les réseaux de distribution d'eau potable : une réponse aux attentes de performance environnementale ? Le PVC biosourcé, matière plastique élaborée en partie ou en totalité à partir de ressources renouvelables, semble de plus en plus utilisé dans la conception des matériaux de construction. Produit non traditionnel dans le domaine de la plomberie, le PVC biosourcé doit présenter, à l'instar de tous les produits, des conditions d'aptitude à l'usage afin de prouver que ses performances techniques et sa durabilité sont équivalentes à celles des matériaux traditionnels. Le CSTB est également prêt à accompagner les industriels dans l'évaluation la plus juste des performances environnementales de ces produits biosourcés, à l'heure où la méthode d'évaluation n'est pas encore stabilisée à l'échelle européenne et fait encore débat. Solutions & Performances - Numéro 9 : « Plomberie » Le numéro 9 de Solutions & Performances est consacré à la plomberie et à la robinetterie sanitaire, un secteur qui s'ouvre de plus en plus à l'éco-conception. PDF 1.07 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 248 jours

Edilians : Une gamme solaire complète pour répondre à tous les chantiers

Pour la production d’énergie solaire par la toiture, EDILIANS a développé un ensemble de solutions pouvant répondre à tous les types de projets et de budgets grâce à sa Tuile Solaire Max, ses tuiles en terre cuite solaire ainsi que ses panneaux photovoltaïques EASY ROOF ACCESS.  Les + du EASY ROOF ACCESS : La solution est reconnue pour sa fiabilité et sa facilité d’installation résistante aux UV, à la rouille, à la grêle, à la neige et au vent. Un excellent rapport qualité/prix Haute fiabilité et parfaite étanchéité du produit Facilité d’entretien et de pose car le montage est rapide et s’effectue en 6 heures pour une installation de 3 kWc (avec 2 personnes). Il est “également 100 % recyclable avec 0 déchet de sa production jusqu’à sa fin de vie. Les + des tuiles en terre cuite solaire : Un esthétisme inégalé : avec une intégration parfaite et discrète, l’identité architecturale est préservée  Une simplicité de pose : forme et caractéristiques de mise en œuvre identiques à leurs équivalents en terre cuite traditionnels  Un véritable gain de temps et de rentabilité pour les professionnels de la toiture Une étanchéité irréprochable héritée des propriétés inhérentes à la terre cuite Une solution évolutive dans le temps : les tuiles en terre cuite solaire s’adaptent à une toiture existante en toute facilité La longévité et la fiabilité d’un matériau durable garanti 30 ans* Les + de la Tuile Solaire Max : Une durabilité optimale. Imputrescible, anti-corrosion et résistante aux intempéries Une imperméabilité sans failles depuis plus de 18 ans. Universelle, grâce à son châssis unique elle s’intègre parfaitement avec tous les modèles de tuiles de couverture. Une pose simplifiée en plein carré ou à l’égout.
Il y a 2 ans et 248 jours

Edilians : Une gamme solaire complète pour répondre à tous les chantiers

Pour la production d’énergie solaire par la toiture, EDILIANS a développé un ensemble de solutions pouvant répondre à tous les types de projets et de budgets grâce à sa Tuile Solaire Max, ses tuiles en terre cuite solaire ainsi que ses panneaux photovoltaïques EASY ROOF ACCESS.  Les + du EASY ROOF ACCESS : La solution est reconnue pour sa fiabilité et sa facilité d’installation résistante aux UV, à la rouille, à la grêle, à la neige et au vent. Un excellent rapport qualité/prix Haute fiabilité et parfaite étanchéité du produit Facilité d’entretien et de pose car le montage est rapide et s’effectue en 6 heures pour une installation de 3 kWc (avec 2 personnes). Il est “également 100 % recyclable avec 0 déchet de sa production jusqu’à sa fin de vie. Les + des tuiles en terre cuite solaire : Un esthétisme inégalé : avec une intégration parfaite et discrète, l’identité architecturale est préservée  Une simplicité de pose : forme et caractéristiques de mise en œuvre identiques à leurs équivalents en terre cuite traditionnels  Un véritable gain de temps et de rentabilité pour les professionnels de la toiture Une étanchéité irréprochable héritée des propriétés inhérentes à la terre cuite Une solution évolutive dans le temps : les tuiles en terre cuite solaire s’adaptent à une toiture existante en toute facilité La longévité et la fiabilité d’un matériau durable garanti 30 ans* Les + de la Tuile Solaire Max : Une durabilité optimale. Imputrescible, anti-corrosion et résistante aux intempéries Une imperméabilité sans failles depuis plus de 18 ans. Universelle, grâce à son châssis unique elle s’intègre parfaitement avec tous les modèles de tuiles de couverture. Une pose simplifiée en plein carré ou à l’égout.
Il y a 2 ans et 249 jours

Embarcations protégées au titre des Monuments historiques au Grand Pavois

Le Grand Pavois à La Rochelle vient d’ouvrir ses portes jusqu’au 2 octobre 2022. Plus d’une centaine d’embarcations protégées au titre des Monuments historiques naviguent en Nouvelle-Aquitaine. Elles reflètent les usages, les métiers des hommes qui les ont utilisées et également construites, participant à une identité maritime forte sur l’arc Atlantique. Pendant tout le week-end, des agents de la Conservation régionale des Monuments historiques de la DRAC Nouvelle-Aquitaine présenteront la diversité de cette flotte et les principes fondamentaux de l’entretien et de la restauration des bateaux traditionnels à coque bois. Une brochure est publiée pour cette occasion : ” Bateaux Monuments historiques en Nouvelle-Aquitaine – Restauration et entretiens des bateaux en bois “. Elle témoigne des savoir-faire approfondis des dessinateurs navals, des charpentiers de marine et des nombreux passionnés qui les entretiennent et les restaurent afin de les faire perdurer et naviguer. Consulter la brochure  
Il y a 2 ans et 249 jours

Embarcations protégées au titre des Monuments historiques au Grand Pavois

Le Grand Pavois à La Rochelle vient d’ouvrir ses portes jusqu’au 2 octobre 2022. Plus d’une centaine d’embarcations protégées au titre des Monuments historiques naviguent en Nouvelle-Aquitaine. Elles reflètent les usages, les métiers des hommes qui les ont utilisées et également construites, participant à une identité maritime forte sur l’arc Atlantique. Pendant tout le week-end, des agents de la Conservation régionale des Monuments historiques de la DRAC Nouvelle-Aquitaine présenteront la diversité de cette flotte et les principes fondamentaux de l’entretien et de la restauration des bateaux traditionnels à coque bois. Une brochure est publiée pour cette occasion : ” Bateaux Monuments historiques en Nouvelle-Aquitaine – Restauration et entretiens des bateaux en bois “. Elle témoigne des savoir-faire approfondis des dessinateurs navals, des charpentiers de marine et des nombreux passionnés qui les entretiennent et les restaurent afin de les faire perdurer et naviguer. Consulter la brochure  
Il y a 2 ans et 249 jours

Projet de 19 folies architecturales pour 2025 à Neuilly-sur-Seine

Entreprises, marques et institutions publiques qui se porteront candidates pour occuper un ou plusieurs de ces pavillons de 35 m³ pourront choisir entre deux propositions architecturales : la folie en terre crue d'Edouard François et celle en verre de Manuelle Gautrand.La première, cube de terre crue présentant des voûtes et alvéoles stratifiées protégé par un écrin de verre, naîtra d'imprimantes 3D.La seconde est un savant agencement de briques de verre issues de verrières récupérées, polies ou mates, assemblées en continu ou en moucharabieh."Economiques en carbone", "esthétiques", construites "à partir de matériaux recyclés", les folies seront "ouvertes aux expérimentations technologiques", a expliqué le maire de Neuilly-Sur-Seine Jean-Christophe Fromantin.Leur vocation est de donner au public "une expérience différente du commerce traditionnel", a souligné l'élu.Ce projet "suscite un grand intérêt", s'est félicité M. Fromantin qui recevra des entreprises et acteurs publics intéressés, parmi lesquels des marques de luxe et des musées. "On jugera de l'intensité et de la diversité des expériences" que ces prétendants aux folies pourront apporter.Ces 19 "petites extravagances architecturales", inspirées du XVIIe siècle, animeront les 2 kilomètres de l'avenue Charles-de-Gaulle entre la Porte Maillot et La Défense, à l'ouest de Paris, "une zone de très forte activité avec 40.000 emplois salariés", selon le maire."L'idée est de redonner de l'attractivité à cette avenue qui était devenue une autoroute urbaine", en installant ces folies et en revégétalisant deux de ses dix hectares avec près de 600 arbres et en privilégiant les mobilités douces.Le coût de réhabilitation de cette avenue est estimé à plus de 58 millions d'euros, financés principalement par la Ville avec des subventions des collectivités territoriales et des partenaires institutionnels.Chaque entreprise ou institution publique qui occupera ces folies jouira d'une autorisation d'occupation temporaire (AOT) de 15 ans et devra financer son coût de construction, à savoir 600.000 euros.
Il y a 2 ans et 249 jours

Projet de 19 folies architecturales pour 2025 à Neuilly-sur-Seine

Entreprises, marques et institutions publiques qui se porteront candidates pour occuper un ou plusieurs de ces pavillons de 35 m³ pourront choisir entre deux propositions architecturales : la folie en terre crue d'Edouard François et celle en verre de Manuelle Gautrand.La première, cube de terre crue présentant des voûtes et alvéoles stratifiées protégé par un écrin de verre, naîtra d'imprimantes 3D.La seconde est un savant agencement de briques de verre issues de verrières récupérées, polies ou mates, assemblées en continu ou en moucharabieh."Economiques en carbone", "esthétiques", construites "à partir de matériaux recyclés", les folies seront "ouvertes aux expérimentations technologiques", a expliqué le maire de Neuilly-Sur-Seine Jean-Christophe Fromantin.Leur vocation est de donner au public "une expérience différente du commerce traditionnel", a souligné l'élu.Ce projet "suscite un grand intérêt", s'est félicité M. Fromantin qui recevra des entreprises et acteurs publics intéressés, parmi lesquels des marques de luxe et des musées. "On jugera de l'intensité et de la diversité des expériences" que ces prétendants aux folies pourront apporter.Ces 19 "petites extravagances architecturales", inspirées du XVIIe siècle, animeront les 2 kilomètres de l'avenue Charles-de-Gaulle entre la Porte Maillot et La Défense, à l'ouest de Paris, "une zone de très forte activité avec 40.000 emplois salariés", selon le maire."L'idée est de redonner de l'attractivité à cette avenue qui était devenue une autoroute urbaine", en installant ces folies et en revégétalisant deux de ses dix hectares avec près de 600 arbres et en privilégiant les mobilités douces.Le coût de réhabilitation de cette avenue est estimé à plus de 58 millions d'euros, financés principalement par la Ville avec des subventions des collectivités territoriales et des partenaires institutionnels.Chaque entreprise ou institution publique qui occupera ces folies jouira d'une autorisation d'occupation temporaire (AOT) de 15 ans et devra financer son coût de construction, à savoir 600.000 euros.
Il y a 2 ans et 250 jours

PALAZZETTI – Gamme foyers Ecopalex GTM

Le nouveau chauffage au bois, un choix vraiment durable Palazzetti présente sa nouvelle gamme de foyers à bois Ecopalex® GTM : une solution technologique et économique pour de grandes performances. Conçus pour rénover rapidement d’anciennes cheminées traditionnelles avec peu de travaux de maçonnerie, les nouveaux inserts Palazzetti constituent une véritable installation de chauffage efficace, écologique, sûre et économique et […]
Il y a 2 ans et 251 jours

Gard : Des villas aux planchers chauffants/rafraîchissants pour KP1 et ThermAK

La solution Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant développée par KP1 et ThermAK a été mise en œuvre dans la réalisation de 66 villas à Laudun-l’Ardoise. [©KP1] Dans le cadre d’un programme social à Laudun-l’Ardoise, le maître d’œuvre Sud Ingénierie et le maître d’ouvrage Sud Invest ont opté pour la solution Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant. Ceci, pour la réalisation de 66 villas. Développé par KP1 et ThermAK (société issue de l’association de KP1 et de Thermacome), ce plancher structurel isolant intègre un système de chauffages réversibles. Et répond aux exigences de la RE 2020. Au-delà du plancher en béton préfabriqué, livré prêt à poser avec l’isolant, le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant dispose de rupteurs de pont thermique assurant une bonne continuité de l’isolation. Car ce système “4-en-1” se compose d’un kit “chauffage et rafraîchissement” intégré, d’entrevous et de rupteurs. Le plancher structural bénéficie d’une dalle de compression très fine de 56 mm. Sur le chantier, environ 3 personnes étaient en charge de la pose de 15 à 20 planchers de 45 m2 sur 3 à 4 j de travail. « Les tuyaux étant directement intégrés dans la dalle de compression, ce qui évitait aussi de couler la chape flottante. Laquelle est requise pour les planchers chauffants traditionnels et qui peut mettre plusieurs semaines à sécher », explique Grégory Dieudonné, maître d’œuvre du projet. Et de poursuivre : « Au-delà du confort de marcher pieds nus l’hiver et de ne pas souffrir de la chaleur l’été, le bilan économique est très intéressant ». En effet, pour une maison individuelle de 115 m2 de surface habitable, la facture d’électricité atteint une moyenne de 70 €/mois. Avec en hiver une température intérieure de 21 °C et, en été, une consigne de rafraîchissement à 26 °C.
Il y a 2 ans et 251 jours

Mills : Davantage de sécurité collective

Mills sécurise encore plus le montage de coffrages de planchers avec le garde-corps GCC. [©Mills] Associé à la tour d’étaiement Touréchaf et aux poutrelles MP3, le garde-corps GCC Mills permet de monter et de démonter en protection collective un coffrage horizontal traditionnel (composé de poutrelles) reposant sur des tours d’étaiement. Le GCC Mills est constitué de montants réglables verticalement et de lisses horizontales coulissantes et articulées. Il s’installe depuis une tour d’étaiement Touréchaf. Dans un premier temps, l’opérateur depuis la tour fixe sur cette dernière, les montants extensibles GCC en position fermée. Il les relie ensuite avec les lisses extensibles placées horizontalement. Comme pour un étai, il rehausse les coulisses des montants GCC une par une pour placer les lisses du garde-corps à la bonne hauteur par rapport au futur coffrage du plancher. La coulisse se règle à l’aide de trous espacés tous les 5 cm et d’une broche imperdable. Une lumière astucieuse permet un ajustement rapide de la sortie de la coulisse et du niveau du futur coffrage. Le GCC Mills fournit ainsi une plus grande sécurité, tout en améliorant le rendement de coffrage. Sa mise en œuvre est simple. Il est conçu et fabriqué en France dans l’usine Mills située en Corrèze. Batimat – Hall 4 – Stand D12 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 252 jours

Cemex : Dans l’air du temps

Le béton Vertua constitue l’offre bas carbone de Cemex. [©Cemex] Les PME, traditionnels visiteurs de Batimat, doivent prévoir une halte sur le stand Cemex. En effet, l’industriel du BPE y présente ses réponses aux enjeux de la construction d’aujourd’hui et de demain. En première ligne figure son offre de bétons bas carbone Vertua. Lancée en 2018, elle affiche une réduction de l’empreinte carbone pouvant atteindre la neutralité, grâce à un système de compensation des émissions produites. Mais pour y voir clair, Cemex indique les performances de ses bétons, non plus en pourcentages, mais en poids réels d’émissions. Hors compensation, celles-ci sont inférieures à 100 kg de CO2 par m3 de béton (qui pèse 2,35 t en moyenne, pour mémoire). Le second centre d’intérêt peut être Cemex Go. Il s’agit de la plate-forme d’intégration de la relation client de l’industriel. Digitale, celle-ci permet de demander une offre de prix, d’accéder à l’historique de ses commandes, de préparer les prochaines, de suivre les livraisons en temps réel ou encore d’accéder aux documents administratifs. Enfin, chacun peut découvrir la marque Cemex Circle, qui pilote l’engagement de Cemex dans l’économie circulaire et la protection de l’environnement. Batimat – Hall 1 – Stand M122 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 255 jours

Le Roi Charles III d’Angleterre, chantre de l’architecture durable

Ce n’est un secret pour personne, le nouveau roi d’Angleterre, Charles III, successeur de sa mère, la reine Elizabeth II, est un fervent défenseur de l’environnement. Mais saviez-vous qu’il avait aussi une passion pour l’urbanisme et l’architecture traditionnelle ?   Un engagement chevillé au corps depuis longtemps A de nombreuses occasions, alors qu’il n’était encore que […]