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Résultats de recherche pour production

(7412 résultats)
Il y a 5 ans et 26 jours

Reprise de l’activité du groupe Ducerf

Les sites de production Ducerf Scierie, Bourgogne Bois Industrie et Les Bois profilés ont repris leur activité. La relance de la production a été réalisée dans le respect des consignes sanitaires afin de protéger les collaborateurs, les partenaires et les clients de l’entreprise. L’objectif est de répondre aux commandes des clients qui poursuivent leur activité durant cette période et de continuer à soutenir l’économie de la filière bois tant au niveau local, régional que national. Les équipes administratives et commerciales du groupe restent mobilisées en télétravail pour assurer la continuité du service.
Il y a 5 ans et 26 jours

UPM ProFi, vers un avenir plus durable

UPM développe des solutions renouvelables et responsables pour réduire la dépendance mondiale à l’égard des matériaux fossiles. Le composite bois-plastique (CBP) UPM ProFi constitue la première solution à l’échelle industrielle pour la valorisation des déchets issus de la production d’étiquettes auto-adhésives. Les lames de terrasse écologiques sont fabriquées principalement à partir de matériaux recyclés et sont recyclables.
Il y a 5 ans et 26 jours

Covid-19 : une commission du Sénat interpelle le Gouvernement sur le volet économique du plan d'urgence

Elles sont notamment le fruit des nombreuses alertes et remontées d'informations recueillies au fil de plus de 50 auditions d'acteurs économiques, l'audition de trois ministres et deux secrétaires d'État en trois semaines. Pour autant, elle relève encore plusieurs failles dans les mesures d'application. Pour la présidente de la commission, Mme Sophie Primas, « il faut d'urgence clarifier et affiner certains dispositifs, en amplifier les efforts sectoriels, si on veut limiter l'ampleur de la récession ».À la suite de la mise en œuvre du confinement, la commission des affaires économiques a mis en place un ensemble de sept cellules de veille, de contrôle et d'anticipation sectorielles. Leur objectif est triple : établir un lien direct avec les acteurs de terrain afin de proposer des améliorations aux mesures de soutien déployées dans les territoires, aider à préparer une reprise rapide de l'activité et déterminer les contours d'un modèle économique d'après‑crise, dynamique et souverain. Pour la présidente de la commission, Mme Sophie Primas, « l'ensemble des remontées d'informations témoigne de l'impérieuse nécessité de la continuité démocratique et institutionnelle en temps de crise ».Toutes ces informations, alertes et points de vigilance ont fait l'objet de nombreux échanges permanents avec les ministères compétents, avant et après les auditions des ministres, et plus formellement lorsque ces auditions n'ont pas permis de lever les incertitudes ou d'apporter de réponse concrète. L'ensemble des documents transmis est accessible ici.La vigilance exercée par la commission des affaires économiques a contribué à l'évolution de plusieurs dispositifs de soutien. Elle a notamment préconisé dès le début de la crise que la période de référence pour le calcul de la baisse d'activité pour le Fonds de solidarité ne soit plus le mois de mars 2019 mais une moyenne mensuelle du chiffre d'affaires sur les douze derniers mois ; elle avait également demandé à diminuer le seuil de 70% de baisse du chiffre d'affaires et à y rendre éligibles les entreprises en sauvegarde. Toutes ces suggestions devraient être appliquées très prochainement.Toutefois, des lacunes et incertitudes anxiogènes et préjudiciables à la pérennité de nos entreprises persistent. Premièrement, la commission rappelle au Gouvernement qu'il est impératif de clarifier précisément, par secteur et le plus tôt possible, les consignes sanitaires à respecter par les employeurs lors de la reprise d'activité afin que la responsabilité pénale de ces derniers ne soit pas susceptible d'être engagée. À ce titre, il convient de rappeler que le manque d'équipements sanitaires représente un frein insurmontable, dès aujourd'hui, à la poursuite de certaines activités. Deuxièmement, les spécificités sectorielles (activité saisonnière, professions libérales, bâtiment, etc.) devraient être mieux prises en compte et les aides affinées afin de s'y adapter et de gagner en efficacité. Quinze propositions concrètes pour le secteur agricole ont ainsi été transmises au ministre.Troisièmement, les exigences des établissements bancaires pour accorder des prêts, pourtant garantis à 90% par l'État, demeurent hétérogènes et parfois excessives (demande de visite médicale à l'emprunteur, de caution personnelle, de documents impossibles à élaborer, etc.). Un contrôle vigilant et réactif de l'État doit être mis en place ; autrement, la portée de cette mesure en serait amoindrie. La mise en place d'un Médiateur National du Crédit comme lors de la crise de 2008 apparaît comme étant essentielle.Quatrièmement, la commission juge primordial un sursaut européen. La Commission européenne dispose en effet d'outils non encore actionnés (par exemple, afin de soutenir les filières agricoles face au risque de surproduction) et certains correctifs devraient être apportés aux politiques européennes comme la PAC afin de mieux prendre en compte les ravages de cette crise sur la résilience de notre secteur agricole. Or ces décisions tardent à être prises retardant, de fait, leur efficacité.Ainsi que le note la présidente Primas, « nous devons poursuivre deux objectifs : sauver le tissu économique de nos territoires dès aujourd'hui, et préparer le monde d'après. Cette crise révèle que des transformations de notre façon de produire ou de consommer sont nécessaires. Pour ne citer qu'un exemple, le confinement met en lumière combien il est important et urgent pour nos PME de se numériser et de se moderniser afin de diversifier les canaux de vente. Il s'agit d'un constat maintes fois mis en avant, mais qui n'a jamais paru aussi vital qu'aujourd'hui ».
Il y a 5 ans et 26 jours

Dans le bâtiment, les usines redémarrent doucement mais sûrement

PARTAGES D'EXPERIENCES. Afin d'éviter la mise sous tension en mai, les sites de productions du secteur du Bâtiment reprennent progressivement leur activité, après un période d'arrêt, synonyme de réflexion et de mise en place de protocoles de sécurité. Plusieurs fabricants du secteur nous racontent comment ils ont vécu ces dernières semaines.
Il y a 5 ans et 26 jours

Cemex lance la production de solutions hydro-alcooliques

La production des solutions hydro-alcooliques Isoclean devrait couvrir les besoins des 10 000 salariés de Cemex en Europe pour un mois. [©Cemex] « Cemex Europe souhaite apporter une contribution à la crise actuelle et assurer un approvisionnement interne à ses salariés. » Une initiative à saluer. En effet, l’hygiène des mains est l’une des principales armes contre la pandémie actuelle de Covid-19. Mais les solutions hydro-alcooliques deviennent de plus en plus rares dans les commerces. « Nous avons décidé d’étudier la faisabilité de produire des solutions en interne. Et heureusement, il s’est avéré que nous avions la capacité de le faire », explique Dietmar Vötsch, directeur de la division mortiers et adjuvants de Cemex Europe. Tout a commencé par la volonté de l’industriel de mettre son travail d’équipe et ses solutions au service de ses collègues et de ses clients. Des solutions hydro-alcooliques Isoclean La production des solutions hydro-alcooliques Isoclean est le résultat d’un effort conjoint des divisions adjuvants, matériaux et achats. L’usine de Cemex Admixtures, à Salzkotten en Allemagne, est en train de fabriquer des quantités suffisantes. Ceci, pour couvrir les besoins des 10 000 salariés de Cemex en Europe pour un mois. En temps normal, cette entité produit des agents entraîneurs d’air, des réducteurs d’eau, des retardateurs et accélérateurs de prise du béton, ainsi que des superplastifiants. « Le site de production et les équipes sont donc bien positionnés pour produire des solutions hydro-alcooliques de qualité. »  Les formulations des solutions hydro-alcooliques sont recommandées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Et conformes à l’Arrêté du 3 avril 2020 émis par le ministère de la Transition écologique et solidaire. De fait, elles conviennent à une production locale assez simple. Il y a deux formulations. D’abord, l’Isoclean Who 1, solution alcoolique contenant 70 à 80 % d’éthanol. Puis, la deuxième, l’Isoclean 2, basée sur un mélange contenant 70 à 80 % d’alcool isopropylique. A destination des salariés et clients de Cemex Europe Les solutions sont fournies dans des bidons de 5 l avec un manuel d’utilisation et des consignes de sécurité. « Au cours des deux prochaines semaines, Cemex Admixtures constituera un stock correspondant à six mois de consommation. Une fois nos sites européens approvisionnés en quantité suffisante, nous prévoyons de les mettre à la disposition de ses clients à prix coûtant. Des dons seront même réalisés, dans la mesure du possible, auprès de certaines communautés locales. » Par ailleurs, les équipes de Cemex en Europe travaillent en étroite coordination avec leurs collègues basés au siège de l’entreprise au Mexique. Egalement dans la région EMEAA (Europe, Moyen-Orient, Afrique et Asie) et plus largement, aux Etats-Unis. Enfin, dans la région SCAC (Amérique du Sud, Amériques centrale et Caraïbes). « Nous partageons nos résultats, afin qu’ils puissent être exploités à l’international le plus rapidement possible. Nous espérons ainsi que nos efforts contribueront à assurer la sécurité de nos salariés et de nos parties prenantes externes », conclut Marcelo Catala, vice-président des solutions pour l’urbanisation de Cemex.
Il y a 5 ans et 26 jours

L'Unafo publie les « Chiffres du Logement Accompagné »

Alors que la crise sanitaire met en exergue la nécessité d'accélérer la politique du Logement d'Abord, les résultats de cette enquête démontrent pourquoi cela ne pourra pas se faire sans un renforcement du logement accompagné.10.000 personnes qui entrent en logement accompagné viennent de la rue30% des personnes entrant dans un dispositif de logement accompagné proviennent d'un centre d'hébergement ou de la rue. Dans le détail, ce pourcentage monte même à près de 40% pour les seules résidences sociales.Si l'on rapporte ce pourcentage de 30% à la totalité des logements gérés par les adhérents de l'Unafo, cela représente près de 10.000 personnes.Ce chiffre, mis en relation avec celui de 70.000 personnes à la rue ou hébergées que la politique du Logement d'Abord a - selon les annonces du Gouvernement - permis de reloger en 2018, démontre l'apport du logement accompagné à cette politique du Logement d'Abord.L'enquête de l'Unafo dévoile donc la part méconnue et sous-estimée du logement accompagné dans la politique du Logement d'Abord, mais aussi dans bien d'autres politiques (migrants, jeunes, femmes victimes de violence conjugale).Le rôle des résidences sociales est majeur dans l'accès au logement pour les plus précairesLe logement accompagné renforce l'accès au logement pour les travailleurs précaires, les personnes sans ressources ou les bénéficiaires de minima sociaux, mais aussi des jeunes qui ne trouvent pas ailleurs de solution de logement.Le lien avec l'emploi reste important, en particulier dans les zones tendues, où le logement accompagné permet d'offrir un logement à des jeunes travailleurs, des travailleurs migrants, des travailleurs précaires et même des travailleurs en CDI (pour 16% des entrants), mais dont les revenus du travail, le statut ou les discriminations ne permettent pas d'accéder à un logement dans le parc social ou privé.L'enquête montre également :une hausse constante de la mixité, avec désormais 25% de femmes parmi les entrants, une part croissante de jeunes, de travailleurs précaires ou de familles monoparentales ;un âge médian à l'entrée en baisse à 30 ans contre 35 ans en 2013 ;un taux de sortie vers un logement social ou privé stable à 60% ;un taux de rotation moyen de 20% (soit deux fois plus que dans le parc locatif social).La crise sanitaire et l'après-criseAlors que tous les adhérents de l'Unafo sont mobilisés pour maintenir et renforcer les dispositifs d'accompagnement, cette enquête montre que le logement accompagné devra être pleinement reconnu dans le monde d'après-crise. Au-regard du rôle central du logement accompagné dans ces différentes publiques, l'Unafo alerte le Gouvernement sur la nécessité de prévoir un plan dédié permettant de prendre en compte les répercussions économiques de cette crise.Le secteur participe pleinement à de nombreuses politiques publiques et permet vraiment un accès à un logement. C'est donc à la définition d'une stratégie de production et de développement de l'offre de logement en résidence sociale, assortie des moyens à la hauteur des besoins, que cette crise devra aboutir. Il est temps d'accorder toute sa place au logement accompagné à la politique du Logement d'Abord.Pour retrouver l'ensemble des données de l'étude : www.unafo.org
Il y a 5 ans et 26 jours

Océwood redémarre

OCÉWOOD, marque du groupe OCÉPLAST, spécialisée dans l’aménagement extérieur de l’habitat, a repris sa production le 14 avril. Une décision destinée à permettre aux artisans et prestataires partenaires de poursuivre eux-mêmes leur activité, sans négliger les consignes sanitaires qui garantissent la sécurité des collaborateurs.« Nous mettons à la disposition de nos collaborateurs tout l’équipement de prévention nécessaire à la non-propagation du virus : gel hydroalcoolique, gants et masques à recharge individuelle. Les gestes barrières et de distanciation sociale sont également en vigueur : les plannings ont été modifiés et chaque collaborateur est sensibilisé. Un référent Covid-19 a été nommé dans chaque équipe pour s’assurer du respect des consignes », explique Bertrand Dubin, codirigeant d’OCÉPLAST. Le télétravail reste en vigueur pour tous les postes qui le permettent.Des mesures solidaires ont été mises en place pour faciliter l’accueil des partenaires logistiques : des vestiaires et douches sont mis à disposition des chauffeurs.
Il y a 5 ans et 27 jours

Lettre d’information à nos lectrices, lecteurs et partenaires.

Chères lectrices, chers lecteurs, chers partenaires, Tout d’abord, j’espère que vous êtes en bonne santé ainsi que toutes vos familles.  Depuis le lundi 16 mars, toutes nos équipes se sont organisées en télétravail afin d’assurer la continuité de l’information et la sécurité de nos collaborateurs. Si beaucoup d’imprimeurs ont été contraints à la fermeture, certaines équipes ont pu continuer leur activité, et nous avons, grâce à eux, pu publier et expédier les numéros prévus de nos magazines professionnels : 5façades n°143, Planète Bâtiment n°60 et Woodsurfer n°116. Cependant, compte tenu de la situation de confinement, certains d’entre vous n’ont pu les recevoir. Nous avons donc mis en place un dispositif exceptionnel : des versions numériques de ces magazines sont librement consultables depuis nos sites internet, tandis que nos rédactions print et Web sont, plus que jamais, mobilisées pour vous fournir une veille professionnelle et réglementaire sur ces mêmes sites, dans nos newsletters quotidiennes comme sur les réseaux sociaux.  Si le planning des parutions à venir dans les prochaines semaines pourrait subir quelques décalages compte tenu des aléas de production des chaines de fabrication, notre programme rédactionnel 2020 devrait, dans sa grande majorité, être respecté. Nous sommes à vos côtés dans cette période difficile et inédite. Nous restons à votre écoute si vous souhaitiez faire part de vos témoignages et des mesures mises en place pour relancer votre activité. Nous vous remercions pour votre confiance et votre fidélité. Prenez-soin de vous.Bernard LechevalierDirecteur de publication Woodsurfer n°116 5façades n°143 Planète Bâtiment n°60 Atrium n°85 Retrouvez toute notre actualité :www.bati-journal.com / www.atrium-patrimoine.com / www.woodsurfer.com / www.planete-batiment.com / www.5facades.com
Il y a 5 ans et 28 jours

Deux PME se lancent dans la production massive de visières de chantier

Deux entreprises du bassin de la Loire, Protecthoms et RBL Plastiques, se sont lancées dans la fabrication de visières d'hygiène destinées aux casques et casquettes de chantier. Avec une production de 500 000 unités par semaine, elles entendent répondre rapidement aux besoins des entreprises.
Il y a 5 ans et 28 jours

Confinement : le Plan de continuité d'activité de la filière bois validé

SECTEUR. La Direction générale du travail a validé le 10 avril 2020 le guide du Plan de continuité d'activité pour les entreprises de la filière bois. Un document de bonnes pratiques qui doit permettre de concilier les impératifs de production avec la sécurité sanitaire des salariés.
Il y a 5 ans et 32 jours

Pour les coopératives forestières, le bois doit être privilégié pour la relance

FILIÈRE. Les dispositifs de soutien mis en place par l'Etat pour aider les entreprises frappées par la crise du coronavirus ont été bien accueillis par les coopératives forestières, qui appellent néanmoins à considérer le bois de production française comme matériau à privilégier pour relancer économiquement le pays.
Il y a 5 ans et 33 jours

Modules à ossature bois pour des hôpitaux de campagne ?

Un collectif d’acteurs du bâtiment a répondu à l’appel lancé par le ministère de la Défense afin d’aider à trouver des solutions innovantes de soutien pour la prise en charge des malades dans des hôpitaux de campagne durant la crise du Covid-19. Initié par Smart Building Alliance, le projet réunit Batimat et plusieurs intervenants du secteur de la construction. Le projet imaginé rassemble de nombreuses innovations : fabrication hors-site, conception BIM, suivi de projet transversal et ingénierie concourante, ouvrages durables et réutilisables pour d’autres missions, formation en e-learning des équipes de montage, etc… La solution inédite  prévoit de déployer des unités réalisées en modules bois, comprenant environ 15 chambres de soins intensifs et les locaux associés, sur une base de 2 unités sous 6 semaines environ, puis 2 à 4 unités toutes les deux semaines en fonction des besoins.  En s’appuyant sur 7 centres de production déjà présents sur l’ensemble du territoire, la capacité de production permettrait ainsi d’exploiter, à proximité des hôpitaux, 105 lits à partir de 15 mai et 210 lits à partir du 30 mai. Le collectif a transmis le projet au ministère de la Défense et se tient à la disposition des pouvoirs publics.  Membres du collectif  Maîtrise d’ouvrage : Nacarat Conception et production : AIA Division Projets Hospitaliers ; Dhomino ; Leco Réalisation : Spie Batignolles ; Snerct ; Compagnie de Construction ; Douillard Construction ; La Maison abordable Gestion des risques, sécurité et conformité, assistance technique, BIM : Socotec Fourniture des matériaux de construction et mobilisation du réseau artisan : Saint-Gobain Gestion de la logistique et des transports : IDEA Logistique Sourcing et approvisionnement des composants : EXSO Support juridique : Cabinet GB2A Coordination des actions : Batimat ; Leco
Il y a 5 ans et 34 jours

Christophe Pivel, nouveau Directeur commercial de Sto France

Avec plus de 20 ans d’expérience dans la gestion des ventes et du marketing, le développement de produits et de marché dans l’industrie et les matériaux de la construction, Christophe Pivel occupe le poste de Directeur commercial de Sto France depuis novembre dernier. En tant que Directeur commercial, sa mission est triple : optimiser la performance commerciale afin de conforter la part de marché ITE de Sto ; poursuivre le développement de Sto sur les activités de ravalement et de bardage pour asseoir sa position de spécialiste de la façade (dans l’activité de chantier classique mais également dans les solutions de façade sur ossature bois et métallique qui font appel à une production hors site) et adapter l’organisation commerciale afin d’augmenter la satisfaction client. Son équipe se compose de 5 Directeurs de régions, du Responsable du service développement et du Responsable du service clients.
Il y a 5 ans et 34 jours

Reprise des activités pour Janneau Menuiseries

Le groupe Janneau Menuiseries après un arrêt total de sa production, a prévu dès le 8 avril une reprise progressive de ses activités, reprise qui fait l’objet de nombreuses mesures sanitaires pour assurer en priorité la sécurité des employés. Le cœur de la protection repose sur l’application stricte de gestes barrières de distanciation sociale : covoiturage interdit, arrivées en décalé, suppression du pointage qui engendre des rassemblements, fermeture des vestiaires et salles de pause… Les collaborateurs doivent respecter la distance de 1,5 m minimum en cas de déplacement hors de leur poste de travail. La protection des salariés est complétée par la fourniture de matériel de protection adaptée comme les gants, du gel hydro alcoolique, des masques ou des visières pour les opérations de manutention qui doivent s’effectuer de manière rapprochée. L’enjeu est également la désinfection systématique et plusieurs fois par jour des espaces de travail. A ce titre, de nouvelles procédures sont mises en place à tous les postes mais aussi pour les lieux communs. Un effort particulier est porté sur les lieux sensibles comme les sanitaires, et une gestion stricte des déchets est en place. Photo : Bottereau
Il y a 5 ans et 34 jours

Foster+Partners partage la conception d'un prototype de visière faciale réutilisable

Pour contribuer à la lutte contre Covid-19, l’agence britannique Foster+Partners a conçu un prototype de visière faciale polyvalente, pouvant être nettoyée et réutilisée. Destiné à une production de masse rapide, l’agence partage le modèle de conception pour encourager sa fabrication. Le partage en open-source du prototype ainsi que la liste des matériaux nécessaires à la fabrication de la visière faciale a été conçu par une équipe de designers industriels, de modélistes,...
Il y a 5 ans et 34 jours

Covid-19 : reprise partielle de l’activité pour Norsilk

Norsilk annonce la reprise partielle de la production sur le site de Boulleville (27), ainsi qu’à Honfleur (14), site logistique et station de traitement. En raison de l’épidémie du Covid-19, l’activité était en suspens depuis le 16 mars dernier. Après seulement 10 jours d’arrêt, lundi 30 mars, l’ensemble des mesures sanitaires ont été réunies pour donner la possibilité à 80 % des effectifs de reprendre le travail, permettant d’atteindre 75 % de la capacité de production de l’usine. Précautions prises Pour assurer la sécurité des salariés, l’entreprise a procédé à la désinfection de l’ensemble des postes de travail ainsi que des parties communes, et un réaménagement complet des différentes lignes de production a été réalisé.  Chaque collaborateur reprenant le travail s’est vu remettre une note d’information et a assisté à des démonstrations de manipulations de l’outil de production. « C’est ainsi que nous n’avons pu rouvrir que 6 lignes sur 7, car pour une d’entre elles, il était impossible de respecter les règles de distanciation obligatoire et donc de faire travailler les collaborateurs dans des conditions suffisantes de sécurité, précise Pierre-Yves Guégan, président de Norsilk. Il a également fallu envisager une modification horaire pour que les deux équipes, celle du matin et celle de l’après-midi, ne se croisent pas. De plus, la prise de température sera obligatoire pour tous à la mise de poste, du gel hydroalcoolique et des masques seront mis à disposition, les postes de travail désinfectés et une distance d’un mètre cinquante entre chaque salarié sera observée. Après dix jours d’arrêt, nous devons désormais nous préparer à une reprise progressive et si l’équipe commerciale reste confinée en télétravail, elle n’en demeure pas moins à la disposition de l’ensemble de nos clients pour répondre à l’ensemble des demandes. » L’entreprise a par ailleurs passé commande de bois brut. Un bateau provenant de Finlande est attendu dans les prochains jours avec, à son bord, plusieurs milliers de m3 de matières premières, destinées à répondre aux besoins de l’ensemble des 3 segments d’activité ; Industrie, Négoce et GSB. 
Il y a 5 ans et 34 jours

L'État va soutenir l'électricité renouvelable face à la crise sanitaire

Le gouvernement a annoncé plusieurs mesures pour accompagner les projets de production d'électricité renouvelable, notamment le maintien de certains tarifs d'achat et l'allongement de délais.
Il y a 5 ans et 35 jours

En 2019, le monde s'est résolument lancé sur la voie des énergies renouvelables

ÉNERGIE. En 2019, les énergies renouvelables ont représenté près des trois quarts des ajouts de capacités de production énergétique dans le monde, selon l'Agence internationale pour les énergies vertes. Celles-ci ont vu leur capacité totale installée bondir de 176 GW l'année dernière, 90% de la hausse provenant du solaire et de l'éolien.
Il y a 5 ans et 35 jours

Toutes les solutions pour intégrer une production d’énergie dans les bâtiments

La RE2020, même à reculons, devrait encourager la production d’énergie sur site en construction neuve. Quelles sont les solutions disponibles ?
Il y a 5 ans et 36 jours

LD Contrôles étoffe son équipe parisienne

Abdelkader Mellal et Fabrice Lapié travaillent au développement de LD Contrôles Paris. [©LD Contrôles] Dans le cadre de son développement, le laboratoire LD Contrôles Paris se devait d’élever son niveau technique sur des bétons, de plus en plus exigeants avec le Grand Paris. « L’arrivée d’Abdelkader Mellal en tant que responsable technique va nous permettre d’étoffer notre staff parisien. Ce dernier est déjà composé de Steeve Berghman, responsable de laboratoire, et de François Simon, directeur d’agence », résume Fabrice Lapié, gérant de LD Contrôles. Abdelkader Mellal sera en charge de l’étude des CCTP, du développement et de la mise au point des formulations en laboratoire et sur site de production. Il assurera aussi l’assistance technique, la réalisation des essais courants et spécifiques dans le cadre de la certification NF BPE. Titulaire d’un master en physico-chimie de la matière et applications, Abdelkader Mellal a travaillé pendant 5 ans au sein du Service technique contrôle et qualité d’Unibéton (HeidelbergCement Group). Ceci, comme responsable de laboratoire région Ile-de-France. « Fort de ses expériences passées chez Chryso, Colas Gabon ou Unibéton, Abdelkader a développé une expertise dans la formulation de bétons techniques pour parois moulées longues rhéologies, de bétons auto-plaçants (Bap), de bétons à hautes performances (BHP), pour les chantiers du Grand Paris et divers ouvrages en Ile-de-France. » Ce qui permet à LD Contrôles d’étendre son expertise, étant lui-même présent sur les chantiers de la ligne 14, la ligne 15, sur le viaduc de Guerville (78), le pôle fiduciaire de la Banque de France à La Courneuve, ou encore la tour Duo, à Paris.
Il y a 5 ans et 36 jours

JCB va produire des respirateurs en Grande Bretagne

JCB est sur le point de redémarrer la production d’une de ces usines, afin de se joindre à l'effort national pour la fabrication de respirateurs, a annoncé la société aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 36 jours

Avec testo Saveris Restaurant, Testo digitalise et facilite la traçabilité du Plan de Maîtrise Sanitaire des micro-brasseries Ninkasi

Créé en 1997 à Lyon, NINKASI est né d’une idée simple : implanter le concept des micro-brasseries américaines en France. Alchimie parfaite entre production de bières de qualité, offre de restauration en partenariat avec des acteurs locaux et organisation de concerts, NINKASI compte aujourd’hui 18 points de vente en Rhône-Alpes. Soumis aux règles strictes de l’HACCP garantissant la traçabilité des denrées alimentaires et le suivi de la chaîne du froid, NINKASI a choisi testo Saveris Restaurant pour digitaliser entièrement son Plan de Maîtrise Sanitaire et bénéficier d’une solution centralisée et une surveillance à distance de chaque point de vente. NINKASI, hauts lieux de brassage C’est à Lyon, haut lieu de tradition brassicole au XIXème siècle que NINKASI, en référence à la déesse de la bière, voit le jour en 1997. Après un voyage aux Etats-Unis, son fondateur décide d’implanter en France le concept des micro-brasseries américaines. Une ancienne usine de transports à Gerland est alors transformée en lieu de vie et de brassage humain inédit avec une fabrique de bières, un premier restaurant et une salle de concert. Remportant un franc succès, ce concept est aujourd’hui décliné dans 18 points de vente en région Rhône Alpes. testo Saveris Restaurant, une solution numérique HACCP complète et ergonomique Comme tous les restaurants, NINKASI est soumis aux règles strictes de l’HACCP, procédure que doit, tous les jours, réaliser chaque établissement pour identifier, évaluer et maîtriser les dangers significatifs liés à la sécurité alimentaire. Afin de simplifier au quotidien la démarche HACCP, de réaliser et visualiser facilement les enregistrements du Plan de Maîtrise Sanitaire (PMS) de chaque point de vente, Nicolas Cressens, Directeur des Opérations de NINKASI, recherchait une solution totalement digitalisée. « Nous réalisions notre PMS en version papier. Ceci nous posait des problématiques d’accès aux informations. Nous recherchions une solution centralisée nous permettant d’avoir une vue d’ensemble sur la qualité de saisie des relevés par nos équipes ». Avec ses outils entièrement connectés garantissant une fiabilité totale, la solution numérique de gestion automatisée de la qualité testo Saveris Restaurant l’a totalement séduit. Il a ainsi choisi d’équiper chaque point de vente avec : . une poignée multifonctions avec sonde pour vérifier la qualité des huiles de friture, . un thermomètre infrarouge bluetooth 104 IR BT pour prendre la température à cœur des aliments, . des enregistreurs de température installés sur les points chauds à l’entrée de la chambre froide qui, s’il y a dépassement de seuil, envoient une alarme sur la tablette ou un smartphone pour mettre en place une action corrective. Tous ces appareils de mesure connectés transfèrent automatiquement les résultats relevés à . une tablette, intégrant un logiciel intuitif personnalisé, faisant office d’unité de contrôle opérationnelle. Cette dernière permet de valider les procédures de qualité et d’accéder à un contrôle à distance. L’ensemble des données est enregistré sur la tablette et sauvegardé dans le Cloud. . une imprimante pour éditer les étiquettes des DLC secondaires à apposer sur les aliments en cours d’utilisation. En supprimant l’édition de tirages papier, testo Saveris Restaurant simplifie les procédures ainsi que les contrôles imposés par l’HACCP. Il garantit que les prescriptions de conformité sont respectées en permanence. « La tablette guide les employés du restaurant de manière intuitive et conviviale pour tous les vérifications et toutes les actions correctives à mettre en place. Toutes les données du restaurant, infalsifiables lors de la prise de relevés, sont saisies et documentées » explique Nicolas Cressens. Source de gain de temps et de sécurité, testo Saveris Restaurant permet au Responsable des Opérations de NINKASI d’aller rechercher facilement les informations archivées de tous les établissements. « Enfin, dans une cuisine, les outils sont mis à rude épreuve, les appareils de mesure testo répondent parfaitement aux contraintes de cet environnement » ajoute le Responsable. Avec la solution de gestion de la qualité automatisée testo Saveris Restaurant, NINKASI garantit la qualité et la fraîcheur de son offre tout en facilitant à ses équipes la démarche HACCP. http://www.testo.com
Il y a 5 ans et 36 jours

Chez Calcia, les ouvriers ne veulent pas revenir travailler

Une partie des salariés du cimentier dénonce un « non-respect du confinement » et « des conditions de travail insuffisantes », alors que les usines de production reprennent progressivement leur activité dans toute la France.
Il y a 5 ans et 40 jours

Zéro accident sur le site britannique d’Iggesund en 2019

En 2019, aucun accident ne nécessitant un arrêt de travail n’a été à déplorer sur le site d’Iggesund Paperboard de Workington, au Royaume-Uni. C’est d’autant plus remarquable que plus de 320 personnes sont employées dans cette usine d’industrie lourde. David Inglesfield, responsable santé et sécurité du site de Workington explique que les bons résultats année après année n’ont rien d’un hasard. Ils sont au contraire le fruit d’efforts systématiques pour créer les conditions d’un lieu de travail sans accident. « Cela fait des années que nous avons instauré une culture de la sécurité, et nous nous efforçons en toutes circonstances de préserver cette approche », explique D. Inglesfield pour résumer les facteurs de cette réussite. « La sécurité est l’affaire de tout le monde et elle exige l’engagement de chacun. Chacun doit également avoir le courage de remettre en cause les comportements à risque. Pour que tout le monde garde en permanence à l’esprit la notion de sécurité, cette question doit toujours figurer en bonne place dans l’ordre du jour des réunions. » Un autre facteur clé de ces bons résultats est la capacité à apprendre des incidents en analysant leurs causes et en effectuant des contrôles réguliers, d’où une amélioration des pratiques. Dans l’usine de Workington, qui fabrique le carton Incada, la planification des procédures de contrôle et de suivi est également essentielle. « Il faut être conscient de la nécessité d’améliorer constamment les procédures et savoir que la sécurité n’est jamais un acquis », souligne le responsable. Sur le site d’Iggesund, en Suède, qui compte environ 800 employés, neuf accidents donnant lieu à un arrêt des travail sont survenus en 2019. « L’usine de Workington est pour nous un véritable modèle en matière de proactivité et de réussite sur le plan de la santé et de la sécurité. L’une des procédures en place consiste par exemple à étudier immédiatement les circonstances en cas d’accident du travail. Dans le cadre de la prévention des accidents sur l’ensemble de nos sites, nous veillons à apprendre en permanence les uns des autres », précise Therese Rahm, responsable de la communication chez Iggesund Paperboard en Suède. Le groupe Holmen, dont l’entreprise fait partie, met en œuvre de nombreuses mesures en faveur de la santé et de la sécurité dans le but d’assurer pour l’ensemble de son personnel un lieu de travail sans accidents. La sécurité des conditions de travail constitue en permanence une priorité et elle fait l’objet d’un suivi étroit au plus haut niveau de l’entreprise. L’ensemble des sites du groupe est conforme à la norme OHSAS 18001, ce qui signifie que la santé et la sécurité font l’objet de procédures systématiques. Les différentes usines du groupe sont en cours de préparation en vue des modalités de la norme ISO 45001, ou bien elles évoluent déjà vers ce dispositif qui exige notamment une plus grande participation des organes de direction des entreprises. Iggesund Iggesund Paperboard fait partie du groupe forestier suédois Holmen, l’une des cent entreprises les plus respectueuses du développement durable dans le monde selon l’indice du Pacte mondial des Nations unies. Le chiffre d’affaires d’Iggesund est tout juste supérieur à 500 millions d’euros et son produit phare, l’Invercote, est vendu dans une centaine de pays. L’entreprise a deux gammes de produits, l’Invercote et l’Incada, toutes deux positionnées dans le haut de gamme de leurs segments respectifs. Depuis 2010, Iggesund a investi plus de 380 millions d’euros dans l’amélioration de son efficacité énergétique et la réduction des émissions d’origine fossile issues de sa production. Iggesund et le groupe Holmen recensent toutes leurs émissions d’origine fossile dans le CDP (Projet de divulgation des émissions carbone). Les informations environnementales font partie intégrante d’un rapport annuel conforme aux règles les plus rigoureuses de la Global Reporting Initiative en matière de développement durable. Iggesund était une usine sidérurgique à ses débuts, en 1685, mais elle fabrique du carton depuis plus de 50 ans. Les deux usines de l’entreprise, implantées dans le nord de la Suède et dans le nord de l’Angleterre, emploient 1 500 salariés.   Pour en savoir plus: Iggesund Paperboard Therese Rahm, Communication Manager, Iggesund Paperboard, +46 70 595 56 10, therese.rahm@holmen.com www.iggesund.com
Il y a 5 ans et 40 jours

Le coffreur JeanFour se mobilise pour produire des lits médicalisés

JeanFour – Eurobress se mobilise pour produire des lits médicalisés. [©JeanFour – Eurobress] La pandémie de Covid-19 impacte chacun de nous. Mais certains se mobilisent plus que d’autres pour apporter leur aide en cette période si particulière. L’industriel JeanFour – Eurobress est de ceux-là. Ce spécialiste du coffrage métallique, en acier comme en aluminium, a choisi de rester ouvert pour fabriquer des lits médicalisés, en lieu et place de sa production habituelle. « Notre petite “contribution ” pour faire face à cette épidémie », peut-on lire sur la page LinkedIn de l’industriel. Une initiative qui mérite d’être mise à l’honneur.  Installé à Perrex, dans l’Ain, JeanFour – Eurobress assure la construction de toute une ligne de coffrages de voiles droits et courbes. Mais aussi des plates-formes de travail en encorbellement et des accessoires de coffrages. L’industriel dispose aussi d’un atelier dédié aux moules sur mesure et autres mannequins.  Depuis le mois de novembre 2019, JeanFour – Eurobress est le partenaire industriel du Savoyard Alphi. Lui-même spécialiste du coffrage de dalles en aluminium. Et maintenant, du coffrage de voiles à travers la banche modulaire VerticAL, dont il assure la distribution à travers son réseau. 
Il y a 5 ans et 40 jours

« Nous ne sommes pas dans une crise de confiance »

Patrick Abadie, président de Delville Management : « Nous ne sommes pas dans une crise de confiance ». [©Delville Management] Nul besoin d’être devin pour se rendre compte qu’une crise est là… Pour autant, il ne s’agit pas une crise de confiance, comme ce fut le cas de celles de 2008, de 1990 (avec le Guerre du Golfe) ou encore de l’historique crise de 1929 ! Président-fondateur de Delville Management, Patrick Abadie ne se veut « ni optimiste ni pessimiste » quant à la situation actuelle. En quelques mots, Delville Management est un cabinet spécialisé dans le management de transition, c’est-à-dire dans le pilotage provisoire d’entreprises confrontées à un problème de management. Il est ainsi amené à être en contact avec nombre de sociétés de tous horizons. Soit un superbe point d’observation.  Constat : la pandémie du Covid-19 touche les secteurs d’activités de manière très inégale. Hors alimentaire, le commerce est pour ainsi dire à l’arrêt. A contrario, la logistique est en surchauffe, tout comme l’agro-alimentaire, qui tourne à plein régime. Avec le lancement de production de masques, les entreprises du textile ne savent plus où donner de la tête. Idem pour le secteur de la parfumerie, qui produit d’importantes quantités de gels hydro-alcooliques. Les chantiers vont redémarrer fortement « Pour ce qui est du secteur de la construction, il n’est pas à l’arrêt complet, reprend Patrick Abadie. Les petits chantiers continuent bien à travailler, même si c’est d’une manière allégée. » Après la levée du confinement, l’activité devrait remontrer en puissance très rapidement. Les chantiers ont juste été suspendus et non annulés. Ceux démarrés avant cette crise sanitaire seront poursuivis et achevés. Le travail ne va pas manquer… Et les besoins en matériaux seront importants et concentrés. Il y aura aussi des retards à rattraper, même si on sait déjà que les délais initiaux ne pourront être respectés. En parallèle, une reprise vigoureuse provoquera des embauches, avec un recours important à l’intérim, pour des raisons de flexibilité.  A vrai dire, la véritable interrogation dans le secteur de la construction concerne l’après. « Quel va être l’impact sur les futurs chantiers, ceux qui n’ont pas encore été signés ? », interroge Patrick Abadie. On sait déjà que beaucoup de grands chantiers, tels ceux du Grand Paris, continueront à être soutenus par l’Etat ou les collectivités territoriales. Mais la question demeure en ce qui concerne les projets privés, à l’image de la promotion immobilière. Il devient donc essentiel, pour les entreprises du BTP, de bien prévoir et organiser leur trésorerie pour les mois qui viennent…  D’une manière générale, « on peut espérer un fort rebond de l’activité dès l’arrêt du confinement », explique Patrick Abadie. En effet, après plusieurs semaines de vie monacale, les Français auront envie d’acheter ! « Aujourd’hui, nous sommes bloqués chez nous et nous ne pouvons pas consommer. C’est une perte sèche pour certains secteurs, mais une perte passagère. » Des chiffres d’affaires calculés sur 9 mois  En attendant, l’Etat joue bien son rôle. Des entreprises ont déjà reçu, sans même en avoir fait la demande, le remboursement de leurs avances sur charges. Une initiative qui renfloue des trésoreries mises à mal. Toutefois, pour beaucoup d’entreprises, le chiffre d’affaires de l’année 2020 correspondra à seulement 9 ou 10 mois d’activité. Un manque à gagner qu’il faudra compenser d’une manière ou d’une autre. Ne nous y trompons pas, la crise laissera des traces. Si certains secteurs profitent à plein – et malgré eux – de cette crise, d’autres ne reverront jamais le chiffre d’affaires perdu. La restauration en est l’exemple le plus flagrant puisqu’on ne mangera pas plus, une fois le confinement levé… Il faudra aussi répondre aux interrogations sur le modèle de production mondialisé. « Il y aura un avant et un après Covid-19 dans l’empreinte industrielle française,estime Patrick Abadie. Il sera nécessaire de trouver le bon niveau de rééquilibrage entre le danger de trop dépendre de l’Asie et celui du “tout fabriqué en France”, non viable sur le plan économique. » Enfin, reste le cas des entreprises les plus en danger, celles qui l’étaient déjà, avant la crise. Des restructurations pourraient survenir dans les secteurs les plus fragiles, ainsi que des mouvements au niveau de l’actionnariat. A suivre donc dans les mois qui viennent…
Il y a 5 ans et 41 jours

Syndicats de la menuiserie extérieure : préparation pour la reprise en douceur

L’organisation professionnelle représentative des concepteurs, fabricants et installateurs de menuiseries aluminium (SNFA) et l’Union des Fabricants de Menuiseries (UFME) se mobilisent pour mettre en place les conditions de sécurité adaptées permettant d’envisager la reprise de leur activité. Alors que les sites de production ont pour la majorité suspendu leurs activités depuis deux semaines, ces organisations professionnelles ont à cœur d’accompagner et de soutenir les professionnels de la filière. Elles ont entrepris une opération de concertation et de coordination avec leurs adhérents pour déployer deux dispositifs en vue d’une reprise progressive. Le premier : la mise en place de plans de continuité d’activité propres à chaque site de production sur la base de consignes validées par le Ministère des Solidarités et de la Santé et le ministère du Travail et de représentants de salariés, reprises dans le guide de l’UIMM. Le second dispositif est la définition commune des règles de sécurité renforcées sur les chantiers, que ce soit sur les gros chantiers ou chez les particuliers, et spécifiques aux métiers de la filière, conformément au Guide de l’OPPBTP à paraître.
Il y a 5 ans et 41 jours

Teralta reprend des actifs LafargeHolcim à La Réunion

Teralta vient de reprendre la carrière LafargeHolcim de Bras-Panon, sur l’île de La Réunion. [©Teralta] Filiale du groupe CRH et rattachée à Eqiom, Teralta vient de faire l’acquisition de l’activité “granulats” de LafargeHolcim à Bras-Panon, sur l’île de La Réunion. Ce rachat fait suite à l’annonce du groupe cimentier suisse, en octobre 2019, d’une volonté de recentrer ses activités. Une stratégie qui incluait un plan social, avec la fermeture de plusieurs sites, dont celui de Bras-Panon. Située dans l’Est de l’île, la carrière bénéficie d’une capacité de production d’environ 700 000 t annuelles de granulats d’origine alluvionnaire et emploie une équipe de 10 personnes. La matière première extraite est issue de la rivière du Mât, toute proche. Une centrale à béton y est aussi implantée, mais reste propriété de LafargeHolcim. En reprenant ce site, Teralta poursuit sa stratégie de croissance et de développement. Depuis plusieurs années déjà, le cimentier s’est engagé sur le territoire Est de l’île. Ceci, avec des positionnements stratégiques de sites comme sa centrale à béton à Saint-André, ou récemment une carrière alluvionnaire à Sainte-Anne. Ciment, béton, granulat et préfabrication comme expertise Aujourd’hui, Bras-Panon consolide ce positionnement et permet à Teralta de répondre à la demande en granulats pour le béton, ainsi qu’aux autres produits du bâtiment. De nombreux projets sont en phase de réflexion pour développer les secteurs touristiques et agricoles. Et plus largement, participer à l’essor urbain et aux besoins de déplacement des générations futures. Cette stratégie s’inscrit aussi dans l’un des cinq engagements de Teralta : la proximité. Ainsi, en se positionnant sur le secteur Est, le cimentier confirme sa présence au plus près de ses clients. Depuis plus de 50 ans, Teralta participe à la construction de l’île de La Réunion. A travers une expertise qui se concentre autour de quatre activités : le ciment, le béton, le granulat et la préfabrication. Il propose un large panel de solutions pour la construction, la rénovation et l’aménagement décoratif. Et pour garantir un service de proximité, Teralta couvre l’ensemble du territoire de l’île grâce à ses implantations au Port, à Saint-Louis, à Sainte-Marie, à Saint-André et, maintenant, à Bras-Panon.
Il y a 5 ans et 41 jours

Contrôle des bétons : Prise en compte de l’environnement à tous les niveaux

Fabrice Lapié, Directeur général LD Contrôles. [©ACPresse] Basé à Aurillac, préfecture du Cantal, LD Contrôles a très vite profité de marchés liés à d’importants chantiers. Comme la fin de la construction du viaduc de Millau ou celle du nouveau tunnel du Lioran. Avec les années, le laboratoire a développé son activité dans la plupart des régions de France. Il s’appuie, aujourd’hui sur une dizaine d’agences réparties sur l’ensemble du territoire métropolitain. Au programme : Arras (62), Chalon-sur-Saône (71), Chanteloup-en-Brie (77) Clermont-Ferrand (63), L’Isle-d’Abeau (69), Lure (70), Saint-Emilion (33), Signes (83), Toulouse (31) et Tours (37). Ceci, en plus, de son siège d’Aurillac, « Des bétons courants aux bétons fibrés à ultra hautes performances, nous maîtrisons les propriétés de tous ces matériaux. Dès la préparation du chantier, nous apportons nos conseils sur le choix des bétons les plus appropriés, détaille Fabrice Lapié, directeur général de LD Contrôles. Nous réalisons des formulations répondant aux exigences réglementaires à un coût optimisé. Nous accompagnons aussi nos clients dans le choix et le contrôle de granulats. Nous épaulons les carrières. Depuis la rédaction des manuels de maîtrise de la production de granulats, jusqu’à l’assistance aux audits de certifications. » Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 5 ans et 42 jours

Après un changement d’organisation, AMCC affiche une nouvelle identité visuelle, symbole du renouveau de la marque

Fabricant de menuiseries PVC, aluminium, mixtes et bois pour le neuf et la rénovation, AMCC est l’interlocuteur privilégié des professionnels de la fermeture depuis plus de 70 ans. Suite à l’évolution stratégique du groupe Atrya, auquel elle était jusqu’alors intégrée dans le pôle BtoB Chantier, AMCC devient l’une des marques de référence d’une nouvelle holding nommée AT Partner. L’occasion pour l’entreprise d’opérer un changement d’organisation et d’adopter une nouvelle identité visuelle.   Le renouveau d’AMCC Initiée en 2019, la transformation du pôle BtoB Chantier d’Atrya en une holding nommée AT Partner est effective depuis début 2020. Dirigée par Lars Platow, elle réunit 4 marques de référence dans le métier de la menuiserie : AMGO, CLOSY, NORBA MENUISERIE et AMCC. La nouvelle société AT Partner, dont l’ensemble des services supports a été regroupé à Gundershoffen (Alsace), compte 500 collaborateurs et 3 usines de production en France qui fabriquent plus de 1500 menuiseries par jour.   Ce changement d’organisation s’accompagne d’une refonte des logos. Du passé, les codes couleurs historiques des différentes filiales ont été conservés, à savoir le vert et le gris pour AMCC. Aux formes désormais rectangulaires et à la typographie plus contemporaine facilement déclinable sur tous les supports, le nouveau logo modernise l’image d’AMCC. Autre modification significative, un pictogramme illustre le cœur de métier de l’entreprise souligné par les mots « fenêtres » et « portes » en baseline. La signature d’appartenance à la holding AT Partner est discrètement présente à côté de cet ensemble.   Ce graphisme original reflète la volonté de l’entreprise d’insuffler une nouvelle dynamique à la marque AMCC, au service de toujours plus d’innovations et de services pour ses clients.   Une digitalisation des métiers et des services Le renouveau d’AMCC va de pair avec une transformation digitale, plus que jamais au cœur de la stratégie de l’entreprise, comme en témoigne :   ➤ les récents investissements entrepris dans l’usine de Châteauroux qui ont permis d’une part l’automatisation de la ligne de soudure et, d’autre part la robotisation de la pose du ferrage des dormants,   ➤ le développement d’une application mobile téléchargeable gratuitement sur Google Play et l’Apple Store. A l’aide de leur smartphone, les clients revendeurs peuvent ainsi consulter l’ensemble des documents techniques dont ils ont besoin sur les chantiers et accéder à leur Espace Pro pour suivre leurs commandes. Ces fonctionnalités sont bien évidemment toujours disponibles sur le site internet www.amcc-fenetres.fr,   ➤ la présence de la marque sur les réseaux sociaux (Facebook et LinkedIn) pour retrouver chaque semaine des informations inédites.   En parallèle, les services physiques restent opérationnels à l’image de la hotline technique dont les équipes ont été renforcées et bénéficient désormais des derniers moyens de communication (visioconférence, skype, vidéos de démonstrations…) pour répondre quotidiennement à toutes les demandes des clients.   A la conquête de nouveaux partenaires pour le Club AMCC En 2020, AMCC vise le développement de son réseau d’artisans et revendeurs de menuiseries membres du Club AMCC. Cela passe notamment par une force de vente composée de 15 personnes harmonieusement réparties sur le territoire national, mais aussi par le recrutement d’une responsable des ventes chargée d’apporter une nouvelle dynamique.   Ce renforcement des équipes est soutenu par : ➤ le lancement de produits toujours plus innovants avec des gammes exclusives réservées aux membres du Club AMCC pour qu’ils puissent se démarquer de la concurrence, ➤ des outils marketing mis à la disposition des clubistes pour participer à la réussite de leur activité, ➤ des outils d’aide à la vente tels que showrooms co-financés, catalogues personnalisés et mini sites Internet Club AMCC pour gagner en visibilité.   Avec le changement d’organisation et la nouvelle identité visuelle, l’ensemble de ces moyens mis en place devraient permettre à AMCC de réussir à enrichir son réseau de partenaires et de les aider à prendre le cap de la croissance. http://www.amcc-fenetres.fr
Il y a 5 ans et 42 jours

L’OCDE demande des mesures fortes face au Covid-19

Angel Gurria est le secrétaire général de l’OCDE. [©OCDE] Réunis par visio-conférence en fin de semaine dernière, les dirigeants du G20 ont été appelés à intensifier leurs efforts par Angel Gurria, secrétaire général de l’OCDE. L’Organisation de coopération et de développement économiques a expliqué à cette occasion que chaque mois, le confinement entraînait une perte de 2 % dans la croissance du PIB annuel. Le seul secteur du tourisme pourrait voir son activité plonger de 70 % cette année ! Pour Angel Gurria, les pays ne doivent pas se soustraire à leurs obligations sanitaires. « Les coûts élevés imposés par les mesures de santé publique prises aujourd’hui sont nécessaires, afin d’éviter des conséquences bien plus tragiques. Et un impact bien pire sur nos économies demain. Des millions de morts et l’effondrement des systèmes de santé nous décimeraient au niveau financier et en tant que société. La priorité des gouvernements est donc de ralentir cette épidémie et de sauver des vies humaines. » Vers un Plan Marshall mondial Pour l’OCDE et son secrétaire général, il est urgent de mettre en place un Plan Marshall mondial, qui s’appuierait sur six points dits “essentiels”. A commencer par la recapitalisation des systèmes de santé et épidémiologiques. Mais aussi la mobilisation de tous les leviers macro-économiques : politiques monétaires, fiscales et structurelles. Il faut aussi lever les restrictions commerciales actuelles, en particulier pour les fournitures médicales nécessaires. Ainsi qu’apporter un soutien aux pays en voie de développement et à faible revenu, qui sont vulnérables. Sans oublier de partager et de mettre en œuvre les meilleures pratiques, afin de soutenir les travailleurs et tous les individus, qu’ils aient un emploi ou pas. Et enfin, de maintenir les entreprises à flot, notamment les petites et moyennes entreprises, avec des programmes de soutien pour les secteurs les plus affectés, tels que le tourisme. Recul des PIB en conséquence du confinement. [©OCDE] Pas assez de recul Pour l’OCDE, il est encore difficile d’analyser les conséquences économiques du Covid-19 et des confinements qui en découlent. Les différentes économies nationales ne devraient pas réagir de la même manière. « Dans toutes les économies, cet impact vient en grande partie du coup porté à la production du commerce de détail et de gros, ainsi que sur les services professionnels et immobiliers. Il existe des différences notables entre pays dans certains secteurs. Ainsi, l’arrêt de la production dans le domaine des transports est par exemple assez important dans certains pays, tandis que le déclin des activités touristiques et de loisirs est très problématique dans d’autres. L’impact des fermetures d’entreprises pourrait entraîner une réduction de 15 %, ou plus, du niveau de production dans les économies avancées et les principales économies de marché émergentes. Dans l’économie médiane, la production déclinerait de 25 %. » Impact par pays selon la nature de l’économie. [©OCDE]
Il y a 5 ans et 46 jours

Béton[s] le Magazine nouveau est arrivé ! Lisez-le gratuitement…

Béton[s] le Magazine n° 87 Développement durable, gaz à effet de serre, consommation d’énergie… Les industriels se retrouvent en première ligne face aux enjeux environnementaux.Dans le domaine de la construction, ils ont un rôle majeur à jouer : l’usage généralisé du béton n’est pas sans conséquence sur des émissions mondiales de carbone. Alors quelles stratégies sont mises en place pour s’inscrire dans cette démarche environnementale ? Béton[s] le Magazine vous donne des éléments de réponse avec : Notre dossier consacré au recyclage des bétons de démolition, à travers des exemples concrets, des retours d’expérience et la mise en avant des projets nationaux Recybéton et Fastcarb ;Ultibat Green, la nouvelle gamme de bétons bas carbone de Point.P ;La construction d’un collège Ada Lovelace, durable et respectueux de l’environnement, avec le récit du cabinet A+ Architecture La réduction des déficiences énergétiques des bâtiments avec la pose des rupteurs de ponts thermiques Plaka Group ;L’association “Unicem Entreprises engagées” avec l’extension de la Charte Environnement à l’ensemble des champs de la RSE ;La démarche globale vis-à-vis de la préservation de l’environnement de la société LD Contrôles. A découvrir aussi : les interviews, les reportages, les pages En Région, les focus sur le pompage du béton et sur les mortiers de réparation structurale des bétons, les start-up et le Passé simple… Process industriels des matériaux de construction Cette édition de Béton[s] le Magazine est aussi accompagnée d’un nouveau supplément Process industriels entièrement consacré aux process de production des matériaux de construction issus de la filière minérale. Unités de préfabrication d’éléments en béton, centrales de production de bétons prêts à l’emploi, usines de production de mortiers, cimenteries, carrières, unités de production d’armatures pour bétons…, nous vous invitons à retrouver tout le savoir-faire de la chaîne industrielle, en découvrant en ligne et gratuitement ce premier numéro de Process industriels. Feuilletez l’intégralité des deux magazines en accès libre, enrichis de liens dynamiques pour toujours plus de compléments d’information. Cliquez pour lire Cliquez pour lire Vous êtes abonnés ? En vous connectant avec votre compte premium, téléchargez les PDF enrichis : de Béton[s] le Magazine 87 de Proces Industriels Bonne lecture ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 46 jours

Agenceurs solidaires avec les commerçants exposés au Covid-19

Fabricant-agenceur à Marans, près de La Rochelle (17), la société JCD Agencement, gérée par Jean-Pierre Demeyère a décidé d’être solidaire avec les nombreux commerçants qui restent ouverts en cette période de crise sanitaire Covid-19. Elle s’est ainsi lancée dans la production de protections en plexiglass, à poser sur des comptoirs des pharmaciens, boulangers, buralistes… Le nom du dispositif : « Le paravirus ».  Les équipements sont fabriqués et livrés gratuitement aux commerçants sur 3 départements : Charente-Maritime (17), Deux-Sèvres (79) et Vendée (85). « « Le bouche à oreille fonctionne bien et les départements limitrophes nous contactent pour être livrés. » – précise Jean-Pierre Demeyère. Depuis le 21 mars, 680 « paravirus » ont déjà été livrés et 600 dispositifs supplémentaires le seront en fin de semaine. Le dirigeant de JDC Agencement appelle toute la filière à suivre le mouvement. « Idéalement, il faudrait fabriquer environ 200 000 dispositifs. Si chacun s’y met, tous les points de vente de France peuvent être protégés d’ici la fin de semaine. »  Pour faire face aux dépenses liées à l’achat de matière première, le plexiglass, la société a lancé une cagnotte en ligne : https://www.onparticipe.fr/cagnottes/3P3PPuNZ L’interprofession Fibois Nouvelle-Aquitaine a lancé un appel auprès de l’ensemble de ses adhérents pour les inciter à fabriquer des masques ou des protections en plexiglass. De son côté, SCM France a demandé à sa force de vente de se faire le relais de cette initiative auprès des menuisiers-agenceurs de la France entière. 
Il y a 5 ans et 47 jours

Rebond en janvier pour les matériaux de construction

Après une année 2018 dynamique et revue à la hausse pour les granulats (avec les résultats définitifs de l'enquête annuelle), l'activité a atteint un “point haut” fin 2018 - début 2019. S'est ensuite amorcé un repli graduel des volumes tout au long de l'année, laissant l'évolution de la production sur une quasi stabilité en moyenne annuelle en BPE et en granulats.
Il y a 5 ans et 48 jours

Se former pendant le confinement

Plusieurs solutions existent pour se former pendant le confinement. [©Affaires photo créée par tirachardz – fr.freepik.com] Depuis près de 10 jours, le monde connaît une crise aussi bien sanitaire qu’économique… Le secteur du BTP est, lui aussi, paralysé entre l’arrêt de certains chantiers, des changements au sein des usines de production, mais aussi, la fermeture des CFA et centres de formation. Si certains peuvent poursuivre leurs activités par le télétravail, d’autres se retrouvent parfois au chômage technique, partiel ou ont posé des congés. Chacun compte, comme avec un calendrier de l’Avent, le jour où les repas de famille ou entre amis reprendront. En attendant, il faut trouver de quoi s’occuper. Plusieurs organismes mettent à disposition des outils pédagogiques ou des Mooc (Massive open online courses). L’Afpa diffusera durant 3 mois des modules gratuits sur www.mooc.afpa.fr. De nouveaux outils seront régulièrement mis en ligne pour aider à réfléchir sur son projet professionnel : recherche d’emploi, découverte des métiers du numérique, activer son compte personnel de formation ou encore préparation de l’entrée en formation. L’organisme met aussi à disposition des CFA des Mooc. Les titres professionnels du BTP concernés par ce programme sont : chef d’équipe gros œuvre, façadier-peintre, chef d’équipe aménagement-finitions et technicien d’études du bâtiment en dessin de projet. Pour la continuité de la formation des jeunes apprentis, le CCCA-BTP a créé et mis à disposition, via une rubrique dédiée sur son site Internet : ccca-btp.fr, des contenus pédagogiques. Assurer la continuité de la formation Les utilisateurs ont ainsi accès à des modules de formation, guides méthodologiques, sitographies, supports audiovisuels… Ces dispositifs sont immédiatement exploitables par les formateurs des organismes de formation aux métiers du BTP, dans les domaines de l’enseignement général (français, mathématiques et sciences…) et de l’enseignement professionnel (dans toutes les filières métiers). « Nous disposons de l’expertise et de l’expérience pour répondre à la situation exceptionnelle que nous connaissons, grâce aux modalités que nous avons déjà expérimentées et déployées aux 77 CFA du BTP à gouvernance paritaire, explique Jean-Christophe Repon, président du CCCA-BTP. C’est ce qui nous permet aujourd’hui d’être réactifs et d’être en mesure de proposer des solutions de cette ampleur. C’est aussi ce qui fait l’honneur de nos professions du bâtiment et des travaux publics pour assurer la continuité de la formation des jeunes à nos métiers. » De son côté, le Plan Bâtiment durable poursuit ses Mooc. Sur son site www.mooc-batiment-durable.fr, plusieurs sessions débuteront les prochains jours. A l’image des thématiques : Construire en terre crue aujourd’hui le 31 mars 2020 ou encore le biomooc – Découvrir le bâtiment biosourcé animé par Karibati et Ville & Aménagement durable. L’Ademe propose aussi sur sa plate-forme www.formations.ademe.fr des outils pédagogiques. Sur Infociments, les professionnels pourront participer le 31 mars à un Webinar nommé : “Guide environnemental du gros oeuvre : Faites les bons choix constructifs pour atteindre les objectifs de la RE 2020”. Sur inscription, cette conférence sera animée par Laurent Truchon, de Cimbeton et Yannick Ondo, de Cogeci. Enfin, parmi toute l’offre, Novabuild s’intéresse à la construction résiliente et bas carbone. Le collectif des acteurs engagés vers la construction durable en Pays de la Loire diffusera son Webinar le 1er avril. C’est aussi la date du top départ du Mooc Bâtiment Passif et bas carbone. En effet, la Maison Passive a décidé de rejouer son cours en ligne en ces temps perturbés. Il s’adresse aux professionnels comme aux particuliers ayant un projet de conception ou de construction.
Il y a 5 ans et 49 jours

Sur les toits, la ville

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Il y a 5 ans et 49 jours

Nouvelle pelle hydrauliques Volvo : EC950F

La pelle hydraulique sur chenilles EC950F de 90 tonnes de Volvo Construction Equipment (Volvo CE) offre l'équilibre parfait entre puissance et stabilité pour traiter de grands volumes dans les applications les plus difficiles. Équipé d'un moteur Volvo D16 de 450 kW fournissant un couple élevé à faible régime et conforme aux dernières normes internationales sur les émissions, cette machine est conçue pour une production sur site rapide et efficace.
Il y a 5 ans et 49 jours

Matériels : quand les usines se mettent en sommeil

Alors que la production de matériels de construction reprend en Chine, les usines françaises ont dû fermer leur porte le temps que l’épidémie passe. L’industrie allemande devrait bientôt suivre.
Il y a 5 ans et 49 jours

Saint-Gobain adapte sa stratégie face à la pandémie

Saint-Gobain adapte sa stratégie face à la pandémie. [©Saint-Gobain] Présent à travers le monde, le groupe Saint-Gobain a dû s’adapter à la crise du Coronavirus. Du côté de son activité de distribution, l’industriel a fait évoluer ses modes de services (ventes enlevées, livraisons ou ventes à distance), et particulièrement en France où les enseignes se sont arrêtées quelques jours avant de reprendre progressivement. Une façon pour le groupe de suivre la reprise partielle des chantiers. Sur ses sites de production, Saint-Gobain a opéré des ajustements. « La marche des usines est adaptée en permanence à l’évolution de la situation », indique le groupe. L’industriel explique aussi que la totalité des sites chinois a désormais repris leurs activités pour suivre de façon rapide la demande. Afin de limiter les impacts économiques, Saint-Gobain prévoit des baisses d’investissements industriels en 2020 par rapport à 2019. Une réduction qui ira au-delà des 200 M€ initialement annoncés, en reportant tous les projets prévus dans les prochains mois. « Nous adapterons la structure des coûts et le report des dépenses, en utilisant les mesures locales appropriées, notamment en matière d’emploi et de chômage partiel. » Cependant, Saint-Gobain affirme bénéficier d’une situation financière stable pour faire face à cette crise. « Au 31 décembre 2019, le groupe disposait de 5 Md€ de disponibilités et équivalents de trésorerie. » Par ailleurs, les sources de financement ont tout de même été renforcées avec : une nouvelle ligne de crédit syndiquée de 2,5 Md€ qui s’ajoute à des lignes de crédit de “back-up” confirmées et non utilisées de 4 Md€, et un accès au nouveau programme d’achat d’urgence lancé par la Banque centrale européenne, le 18 mars dernier. En dehors des mesures pour le groupe et selon nos confrères du Figaro, Pierre-André de Chalendar, Pdg de Saint-Gobain et Benoît Bazin, directeur financier ont décidé de participer à l’effort collectif. Ils comptent ainsi verser à l’AP-HP « l’équivalent de ce que représenterait pour nous une mise au chômage partiel en France, durant tout le temps que durera cette crise. » Soit 16 % de leur salaire net, sous forme de don.
Il y a 5 ans et 50 jours

Carte de visite d'ENGIE France Renouvelables - 2020

Partenaire de référence des collectivités et des entreprises engagées dans la transition zéro carbone, Engie est le premier développeur d’énergies renouvelables en France : 1er producteur éolien, 1er producteur solaire, 1er producteur alternatif hydroélectrique, et pionner dans la production de gaz verts.
Il y a 5 ans et 53 jours

Covid-19 : L’industrie cimentière reste mobilisée

L’objectif de la filière cimentière reste la pérennité de l’approvisionnement en matériaux. [©ACPresse] Le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) a publié un communiqué rappelant que les cimenteries avaient préparé la crise lié au Coronavirus. « Sur les sites de production, les postes de travail le nécessitant et les espaces collectifs ont été adaptés. ici, pour que les mesures barrières soient respectées de manière stricte, afin de préserver la santé des salariés, des clients, fournisseurs et sous-traitants. Des actions de sensibilisation du personnel, sur le mode de transmission du virus et les bons gestes à adopter, ont également eu lieu. »  Cependant, l’objectif du syndicat reste la pérennité de l’approvisionnement en matériaux des entreprises et surtout des chantiers. « Nous sommes consciente des graves conséquences économiques que représente un arrêt brutal et prolongé des chantiers. Aussi, l’industrie cimentière met tout en œuvre pour assurer une garantie de service et d’approvisionnement auprès de l’ensemble des acteurs de la construction. » Ayant remarqué un arrêt progressif des chantiers et une baisse des livraisons, « Le Sfic appelle donc les pouvoirs publics à prendre les mesures adéquates pour réunir les conditions nécessaires à une reprise de l’activité, tout en ayant pleinement conscience que la protection des salariés et le respect des mesures prises demeurent prioritaires. »
Il y a 5 ans et 53 jours

Usines dans le bâtiment : fermera-fermera pas

SITE DE PRODUCTION. Dans un contexte tendu et incertain, difficile d'être sûr de prendre la bonne décision. Dans le Bâtiment, les industriels se posent tous la question : faut-il faire tourner les sites de production ? La réponse varie d'un fabricant à l'autre, avec néanmoins une volonté commune de ne pas mettre en péril la santé des collaborateurs.
Il y a 5 ans et 54 jours

Edilteco : Un nouvel agrément pour le Protherm Light

Protherm Light a été conçu pour la protection au feu des éléments de construction porteurs ignifuges. [©Edilteco] Edilteco reçoit une Evaluation technique européenne (ETE-18/1111) pour sa solution Protherm Light. Cet enduit thermo-isolant s’utilise aussi bien pour un usage interne qu’externe. Sa protection au feu répondait déjà aux exigences de la EN 13381. Désormais, Edilteco peut apposer le marquage CE sur le Protherm Light et, ainsi, toucher les différents marchés en Europe. De plus, l’ETE a permis à l’industriel d’effectuer une Déclaration des performances (DoP), mais le soumet aussi à des dispositions de contrôle de production. Une façon d’assurer une constance de performances sur le long terme. Protherm Light a été conçu pour la protection au feu des éléments de construction porteurs ignifuges, à l’image des membranes de protection horizontale, le béton, l’acier ou encore les bétons plats de type “sandwich”. La solution ne contenant pas de fibres et de consistance solide une fois sèche ne se désagrège pas, lorsqu’elle est touchée. Protherm Light présente donc un caractère de forte stabilité et durabilité. L’enduit dispose d’une résistance mécanique et à l’impact de 0,97 N/mm2 à la compression. Ses capacités à résister aux agents atmosphériques l’autorisent à être mis en œuvre à l’extérieur sur des supports très humides. Avec son temps de séchage rapide, il peut être lissé et/ou peint sans aucune contrainte de finitions. Le Protherm Light s’adapte aux réalisations comme les aéroports, les hôpitaux, les écoles ou les bâtiments touchant le grand public.