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(7415 résultats)
Il y a 5 ans et 55 jours

Usines dans le bâtiment : fermera-fermera pas

SITE DE PRODUCTION. Dans un contexte tendu et incertain, difficile d'être sûr de prendre la bonne décision. Dans le Bâtiment, les industriels se posent tous la question : faut-il faire tourner les sites de production ? La réponse varie d'un fabricant à l'autre, avec néanmoins une volonté commune de ne pas mettre en péril la santé des collaborateurs.
Il y a 5 ans et 56 jours

Edilteco : Un nouvel agrément pour le Protherm Light

Protherm Light a été conçu pour la protection au feu des éléments de construction porteurs ignifuges. [©Edilteco] Edilteco reçoit une Evaluation technique européenne (ETE-18/1111) pour sa solution Protherm Light. Cet enduit thermo-isolant s’utilise aussi bien pour un usage interne qu’externe. Sa protection au feu répondait déjà aux exigences de la EN 13381. Désormais, Edilteco peut apposer le marquage CE sur le Protherm Light et, ainsi, toucher les différents marchés en Europe. De plus, l’ETE a permis à l’industriel d’effectuer une Déclaration des performances (DoP), mais le soumet aussi à des dispositions de contrôle de production. Une façon d’assurer une constance de performances sur le long terme. Protherm Light a été conçu pour la protection au feu des éléments de construction porteurs ignifuges, à l’image des membranes de protection horizontale, le béton, l’acier ou encore les bétons plats de type “sandwich”. La solution ne contenant pas de fibres et de consistance solide une fois sèche ne se désagrège pas, lorsqu’elle est touchée. Protherm Light présente donc un caractère de forte stabilité et durabilité. L’enduit dispose d’une résistance mécanique et à l’impact de 0,97 N/mm2 à la compression. Ses capacités à résister aux agents atmosphériques l’autorisent à être mis en œuvre à l’extérieur sur des supports très humides. Avec son temps de séchage rapide, il peut être lissé et/ou peint sans aucune contrainte de finitions. Le Protherm Light s’adapte aux réalisations comme les aéroports, les hôpitaux, les écoles ou les bâtiments touchant le grand public.
Il y a 5 ans et 57 jours

Rencontre avec : Florence Doléac

Créatrice « borderline » et prolifique, Florence Doléac imagine des objets, à mi-chemin entre art et design, avec beaucoup d’humour. La designeuse toulousaine, désormais basée à Douarnenez en Bretagne, nous a raconté, entre deux cours à l’École nationale supérieure des arts décoratifs, sa pratique du design, son rapport à la création et ses audacieux projets. Rencontre avec une artiste libre. Muuuz : Vous êtes représentée par la galerie Jousse Entreprise, une galerie d’art contemporain, vous travaillez en atelier et vous vous considérez comme une « designer borderline ». En cela, votre travail oscille entre art et design. Comment envisagez-vous le design ?Florence Doléac : C’est en étudiant et en pratiquant le design que j’ai découvert ses limites. Finalement, en tant que designer, on peut trouver des choses à dire et se positionner, puis refuser de faire certaines choses. J’ai essayé de faire du design industriel, mais tout en étant libre. Quand j’avais une bonne idée, j’essayais de trouver l’industrie qui pouvait la développer, mais ça ne fonctionnait pas. Les industries étaient intéressées, mais ce n’est pas comme ça qu’elles travaillent. Je n’ai jamais réussi à développer mes idées avec un industriel, car j’avais un imaginaire trop fervent par rapport au cahier des charges que le métier m’imposait en France. Comme j’étais frustrée par cela, je me suis naturellement laissée porter vers l’art. Comment décrirez-vous votre pratique du design ?Aujourd’hui, et surtout depuis mon installation en Bretagne, je mène une vie d’artiste plutôt que de designer. Après mes études et mon expérience avec le groupe Radi Designers, j’ai souhaité revenir au travail de la matière et à une pratique décloisonnée du design. Dans quelle mesure racontez-vous des histoires ?Je crois que c’est cette façon d’aborder la matière de manière libre qui me permet de raconter des histoires. Je me l’approprie, la distord, ou la magnifie. Parfois, c’est fainéant, maladroit, hasardeux. Je suis spontanée et intuitive, donc je n’essaye pas d’analyser en même temps que je produis. L’assise ADADA propose un rapport de convivialité nouveau et des postures régressives. Comment l’idée d’un design ludique vous est-elle venue ? Les objets ludiques existent depuis la nuit des temps, notamment dans les années 1990. J’ai toujours été sensible à la dérision et aux petits gestes drôles. Cela vient de mon enfance à la campagne. Je viens d’une famille qui aimait beaucoup l’humour et la construction d’objets. En ce moment, je crée justement un lieu associatif de savoirs techniques et ludiques à Douarnenez. Vous avez étudié le design industriel, mais aujourd’hui vous questionnez la fonction de l’objet et cherchez à perturber rapport que les usagers entretiennent avec lui. Vous décrivez d'ailleurs votre démarche comme une « critique douce du fonctionnalisme ». Pourquoi ? J’ai toujours observé les gens, leurs comportements individuels ou collectifs. Je me suis alors rendu compte de comiques de situation liés à des dysfonctionnements. Je suis fervente de ces défauts, problèmes et attitudes, où s’immisce l’humour. Je m’amuse. Je développe une forme de critique dans mon travail tout en m’attachant à parler de la fonction des objets. Je bouscule la relation que l’on entretient habituellement avec eux.  Le recours à l’humour est-il, selon vous, le moyen le mieux à même de questionner l’usage de l’objet ?Pour moi l’humour, c’est la cerise sur le gâteau, une énergie supérieure. Je suis sensible à cela, donc je cherche à faire sourire le public. L’humour est une invitation à lâcher prise à une époque où l’on rit de moins en moins. Vous avez décidé de lancer le projet Maxidreams, qui consiste à planter des lits sous des arbres et constituer une cartographie de lits placés sous des arbres différents. Quel rôle a joué l’album illustré de Maurice Sendak Max et les Maximonstres dans votre travail ?J’ai découvert ce livre pour enfants grâce à une amie, il y a quelques années. Ce livre a été une gifle. J’ai regardé les dessins et découvert la vie de Max. J’ai trouvé ça génial. Les forêts qui poussent dans la chambre de Max m’ont beaucoup questionné. Quel est le lit de rêve ? Est-ce que c’est la forêt qui pousse dans la chambre ? Ne serait-ce pas le lit qui pousse dans la forêt ? Ces réflexions m’ont inspiré, et j’ai fini par créer une communauté internationale de rêveurs avec des lits plantés dans la forêt. J’appelle tout un chacun à venir faire partie de Maxidreams et à construire son propre lit. J’ai installé deux lits des rêves dans la nature. Le premier dans les Cévennes à Gabriac, et le deuxième sur l’île de Nègrepelisse sous une canopée de tilleuls dans le cadre d’une exposition organisée par la Cuisine, centre d'art et de design. J’ai aussi pour projet de fabriquer un lit en France, de le transporter en voilier jusqu'aux États-Unis, puis de le planter sous des érables du parc l’Université Johns-Hopkins à Baltimore. J’ai déjà rencontré les chercheurs du Centre du sommeil de la faculté qui sont d’accord pour collaborer avec moi. Il ne manque plus qu’à trouver les fonds pour faire le voyage. J’ai également conçu avec le collectif Maximum, des anciens élèves, les Maxidodo, des lits monumentaux. Une de ces créations a d’ailleurs été acquise par un musée belge, le BPS22. Je suis maxi heureuse ! Pom Pom Dust dépeint l’univers domestique à travers une sorte de chorégraphie ménagère. En quoi votre design peut-il être féministe ?J’ai fait des provocations, mais elles vont au-delà du féminisme. Pom Pom Dust peut atteindre tout le monde, parler aussi bien à un homme qu’une femme. Ma pièce Fée du logis s’inscrit dans la même logique de provocation. Il s’agit de considérer le ménage comme un art de vivre ou une danse. Avec un petit peu d’imagination, les tâches ménagères peuvent devenir très ludiques. Je balaye les convenances et tourne en dérision notre rapport au quotidien pour raconter quelque chose. A qui votre design s’adresse-t-il ?Il s’adresse à tout le monde ! Je n’utilise pas des codes culturels précis. Mes pièces sont intemporelles et universelles. Elles piègent le public là où il ne s’y attend pas. Quel projet rêveriez-vous de réaliser ?J’ai longtemps voulu créer une super discothèque, mais aujourd’hui cela m’amuse moins. Je souhaite surtout développer mes deux projets actuels, Maxidreams et mon école de savoirs techniques et ludiques en Bretagne. Comment imaginez-vous le design de demain ?Less is more. J’espère qu’il y en aura moins. J’imagine un design écologique, un design respectueux de la planète et d’autrui, qui amènerait à une évolution des consciences. Les individus commencent toutefois à réagir. J’apprécie de vivre une ère où les causes d’ampleur deviennent interplanétaires, notamment grâce aux réseaux sociaux et à la nouvelle génération. Mes élèves aujourd’hui sont très portés sur l’écologie, l’humanitaire. Ce sont des enfants de la crise très critiques. Ils arrivent à l’école sensibilisés avec des envies de réinventer leur métier, d’amener des nouvelles énergies et de questionner l’économie, les matériaux, les modes de production. Pour en savoir plus, visitez le site de Florence Doléac et le site de la galerie Jousse Entreprise Photographies : 1) Michaël Huard / Say Who 2) Florence Doléac, Adada, 2010, fauteuil 6 places circulaire, balles pvc gonflables, textile enduit pvc, filet polypropylène, velcro. Vue de l’exposition Pom Pom Dust, galerie Jousse Entreprise, Paris, 2011, Courtesy de l’artiste et de la galerie Jousse Entreprise, Paris 3) Florence Doléac, En garde, 2010, polochons patères, plumes, coton, laine, cordes résinées, pitons métal, dimensions variables, © Paul Nicoué, Courtesy de l’artiste et de la galerie Jousse Entreprise, Paris 4) Florence Doléac, Bamakogistretti, 2016, calebasse, 40 cm diamètre, 60 cm H, Courtesy de l’artiste et de la galerie Jousse Entreprise, Paris 5) Florence Doléac et Maximum, Maxidodo, 2019, barrière Vauban acier galvanisé, flocage, étagères en bois Ipé, accessoires, 145 cm H x 270 L x 170 l, © Paul Nicoué, Collection de la Province de Hainaut. Dépôt au BPS22, Charleroi, Courtesy galerie Jousse Entreprise, Paris Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 57 jours

Aliaxis France (Nicoll) arrête ses usines

Le spécialiste des solutions dédiées au transport de fluides en matériaux de synthèse (Nicoll, Girpi et Aliaxis Utilities & Industry) a décidé le 17 mars d’interrompre immédiatement ses activités de production et de logistique sur ses sites industriels de Cholet (49), Harfleur (76), Mèze (34), Argenton-les-Vallées (79) et Frontonas (38), pour une durée de 15 jours minimum.
Il y a 5 ans et 58 jours

Covid-19 : La filière du béton à l’heure des choix

Bétons Solutions Mobiles a choisi de suspendre toute activité du fait de l’épidémie de Covid-19. [©BSM] C’est sous la forme d’un bref communiqué que Philippe Tibère-Inglese a annoncé la mise à l’arrêt complet de l’ensemble de la production de BPE de Béton Solutions Mobiles. « Covid-19 est une pandémie mondiale aux effets bien réels. Cela se passe chez nous. Nous avons, chacun de nous, un devoir individuel et collectif envers nos familles, nos collègues, notre nation. C’est pourquoi BSM a pris la décision de vous protéger, en organisant l’arrêt de la production et des livraisons, à compter de ce jour », écrit Philippe Tibère-Inglese.  Pour l’industriel, à la tête de 17 centrales à béton, dont 7 mobiles installées sur des chantiers, notamment du Grand Paris, cette décision commerciale et industrielle est lourde de conséquences. « Elle dépasse le simple objet mercantile et n’est que le reflet de l’esprit BSM. Parce que l’Humain est le cœur de nos entreprises, je vous demande de prendre soin de vos proches et de vous-même… », poursuit Philippe Tibère-Inglese. Bien entendu, il ne s’agit là que d’une mesure provisoire, le temps de la situation sanitaire retrouve son caractère normal.  Point.P, Edycem, Celtys ferment leurs portes En région Méditerranée, le groupe Bonifay a informé de la mise en place d’un plan de continuité de service. [©Bonifay] Cette annonce fait suite à celle de Point.P, mise en ligne sur son site Internet, de fermer toutes ses agences, service drive et livraison y compris « pour une durée indéterminée ».  Sur le secteur atlantique, Edycem (groupe Herige) a aussi informé de l’arrêt de l’ensemble de ces sites de production : centrales à béton, unités de préfabrication et siège social. Ceci, « jusqu’à nouvel ordre ».  En Bretagne, c’est le groupe Quéguiner (maison-mère de Celtys), qui a pris la décision de fermer l’ensemble de ses sites. Une annonce faite « le cœur lourd, mais avec la conviction qu’elle était inéluctable pour préserver la santé et la sécurité de tous ». Garandeau, Chausson et Bonifay poursuivent l’activité Les chantiers peuvent théoriquement poursuivre leur activité… [©ACPresse] Pour sa part, le groupe Garandeau a préféré limiter l’accès physique à ses agences Garandeau Matériaux aux seuls clients professionnels du bâtiment et aux fournisseurs… Idem pour Chausson Matériaux, qui « maintient l’activité pour les professionnels en compte uniquement ». Et à condition de passer ses commandes via le site internet, l’application mobile ou par téléphone, sachant que les libre-service et les salles d’expositions sont fermés jusqu’à nouvel ordre. Les livraisons, elles, restent assurées « dans le respect des mesures sanitaires ».  Enfin, en région Méditerranée, le groupe Bonifay a informé de la mise en place d’un « plan de continuité de service, afin de pouvoir accompagner les clients au mieux sur leurs chantiers compte tenu de la situation ». Toutefois, l’industriel préconise fortement« les commandes et paiements à distance, l’enlèvement des commandes type “drive”, et la livraison des matériaux et du BPE sur chantier ». Quant aux grands groupes de BPE, aucune annonce particulière n’a été faite pour l’heure, mais la situation peut évoluer à tout moment.  Du côté des syndicats Côté organisations professionnelles, la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) souligne que : « A cette heure, il est en théorie possible de poursuivre l’activité autant que possible, en prenant évidemment les précautions nécessaires et en respectant les gestes barrières ». Et de confirmer que « les activités relevant des travaux publics ne font pas l’objet d’interdiction ».  La Fédération française du bâtiment (FFB) relaie une information comparable : « Les entreprises du BTP bénéficient pour l’instant d’une souplesse, car leur activité ne leur permet pas, pour la grande majorité, de placer leurs salariés en télétravail… » Mais la FFB conclut en même temps que : « A cette heure, le ministère du Travail réfléchit toujours à l’arrêt général des chantiers, sauf dépannage et urgence ».  Pour sa part, la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) recommande aux chefs d’entreprises de cesser toutes activités, sauf exception : dépannage d’urgence et interventions sur site pouvant mettre en danger la sécurité des personnes et des équipements… Ce rapide tour d’horizon du secteur de la construction, quelques heures seulement après l’entrée en vigueur des décisions gouvernementales, montre une grande disparité dans les choix. Même si la fermeture progressive des plates-formes assurant la fourniture des matériaux entraînera, de facto, la mise à l’arrêt des chantiers. A suivre donc dans les heures et jours qui viennent.  Frédéric Gluzicki Bien d'autres entreprises ont annoncé la suspension de leur activité Ces dernières heures, c’est une véritable déferlante de suspensions d’activités qui a été annoncée au niveau de la filière béton. Et les choses continuent sans doute en ce moment même. Voici donc une petite liste non exhaustive :  Alkern - Arrêt de tous les sites de production, avec un redémarrage des activités début avril, si la situation sanitaire le permet. Brand - Fermeture des sites SGB Hünnebeck, en France comme au Luxembourg. Compobaie - Activité des usines et de la majorité des services, arrêtés de manière progressive. Copac-  Fermeture de tous les sites de production Cube - Suspension des activités sur l’ensemble des 18 unités de production de BPE, pendant 15 j au moins. DS Chapes- Fermeture et arrêt de l’activité, pour une durée encore indéterminée. Les contacts téléphoniques restent possibles au 04 92 55 96 92. ECMat Loc - Suspension de toutes les activités de production et de prestation, jusqu’à nouvel ordre. Fehr - Mise en place massive des actions de chômage partiel, y compris pour la direction et repli des activités BPE et préfabrication. Groupe Saint-Léonart - Fermeture de toutes les usines de préfabrication, pour une durée restant à déterminer. Direction commerciale et direction générale restent toutefois joignables pour répondre aux interrogations. Jean Four-Eurobress - Fermeture de l’usine pour une durée indéterminée. Le service commercial reste. Contact possible via contact@jfed.fr ou à adresser à son interlocuteur habituel. JPS Granulats - Arrêt toutes les activités Granulats, BPE, Ciment, pour une durée indéterminée. Seule est maintenue en service la fabrication de carbonate de calcium destinée à la nutrition animale. Hussor - Fermeture des services et mise en veille progressive de toute son activité, le temps de réaliser les dernières opérations logistiques déjà engagées. Loxam- Agences fermées jusqu’à nouvel ordre. Mais continuité de service... via LoxCall au 0800 20 40 80. Migma - Le Béton Autrement : Fermeture temporairement, jusqu’au 31 mars. Préfa-Ouest - Arrêt de l’activité. Mais contact possible, soit par téléphone 06 13 69 32 12, soit par mail. Servitech - Fermeture de toutes les agences. Le centre d’appels national reste ouvert et les réponses sont assurées aux messages en provenance du site servitech.fr.Par ailleurs, le centre logistique national de Limonest assurera la réception des pièces détachées et des machines en réparation. Teralta (île de la Réunion) - Fermeture de l’ensemble des sites, jusqu’à nouvel ordre. Tubesca-Comabi- Fermeture de l’ensemble des sites industriels pour une durée d’au moins 15 j. Mais le service commercial reste disponible pour répondre aux questions via adv@tubesca-comabi.com. Vinci Construction Grands Projets: Fermeture et mise en sécurité du chantier P03 de la ligne 15 du Grand Paris Express.
Il y a 5 ans et 58 jours

Ronan Blanchard, nouveau directeur général de Rector Lesage

Ronan Blanchard est nommé directeur général de Rector Lesage. [©Rector Lesage] Agé de 45 ans, Ronan Blanchard est nommé directeur général de Rector Lesage. Il succède à Pierre Laplante. Ce dernier dirigeait le groupe depuis 2010 et a fait valoir ses droits à la retraite. « C’est avec fierté , mais avec aussi un sentiment mêlé de devoir et d’obligation que j’ai pris la direction du groupe Rector en janvier dernier. Je la prends dans des circonstances particulières, alors que l’activité du BTP au niveau national et international (car nous sommes également implantés en Belgique et en Pologne ) est, d’ores et déjà, considérablement impactée par le Covid-19. Le groupe Rector a surmonté, au cours de son histoire plus que centenaire, les crises majeures du siècle dernier, et a toujours su faire preuve de résilience, pour s’adapter, puis se réinventer.Je suis très confiant en la capacité de notre groupe à supporter, une nouvelle fois, l’épreuve actuelle, et à préparer dès aujourd’hui notre rebond. Enfin, je suis heureux de revenir aujourd’hui à mes “premiers amours”, les métiers de la préfabrication béton et du bâtiment, pour accompagner l’un des grands leaders de la profession dans son plan de développement ambitieux. C’est avec agilité et grâce à notre fort pouvoir d’innovation que nous relèverons collectivement les grands défis de demain ! », indique Ronan Blanchard. Rémi Lesage, président du groupe se dit « confiant dans la capacité du groupe, sous le pilotage de Ronan Blanchard, à se réinventer au quotidien pour accompagner ses clients. Ainsi qu’ à répondre aux nouveaux enjeux du bâtiment d’aujourd’hui et de demain ».  Ingénieur en génie des procédés de formation et diplômé de l’Ecole nationale supérieure des industries chimiques, Ronan Blanchard débute sa carrière chez Bayer Elastomères. Il y occupe les postes de responsable études et contrôle projets, de responsable Supply Chain. Puis, de chef d’unité de production. En 2007, il rejoint le groupe Quéguiner, en qualité de directeur industriel de Celtys, sa branche préfabrication béton. Il prend la direction générale de Celtys en 2008, avant d’accéder à la direction générale du groupe. En 2017, il devient directeur général France de Kinedo et Watermatic (groupe SFA).
Il y a 5 ans et 58 jours

Boostheat étend l’emploi de sa technologie de compresseur thermique

Puissance accrue, production de froid, utilisation du solaire thermique, industrie, … Boostheat va diversifier son offre
Il y a 5 ans et 58 jours

Photovoltaïque : le consommateur doit parfois exécuter un contrat irrégulier

Un particulier qui avait acheté un système de production d'éléctricité photovoltaïque s'est vu contraint d'exécuter un contrat qui ne respecte pas les obligations du code de la consommation.
Il y a 5 ans et 58 jours

Ronan Blanchard nommé Directeur Général du groupe Rector Lesage

Ronan Blanchard est nommé Directeur Général du groupe RECTOR LESAGE, spécialiste de la préfabrication béton dans le domaine du bâtiment. Il succède à Pierre Laplante qui dirigeait le groupe depuis 2010 et qui a permis de confirmer la place de référent de RECTOR LESAGE au sein de son secteur d’activité. Ronan Blanchard, 45 ans, ingénieur en Génie des Procédés de formation, diplômé de l’École Nationale Supérieure des Industries Chimiques (ENSIC), débute sa carrière chez Bayer Elastomères, où il a été successivement Responsable Études et Contrôle Projets, Responsable Supply Chain puis Chef d’Unité de Production. En 2007, il rejoint le groupe Quéguiner, acteur indépendant des matériaux de construction, en qualité de Directeur Industriel de Celtys, sa branche préfabrication béton. Il prend la Direction Générale de Celtys en 2008, avant d’accéder à la Direction Générale du groupe. En 2017, il devient Directeur Général France de Kinedo et Watermatic (groupe SFA). Rémi Lesage, président du groupe RECTOR LESAGE se dit « confiant dans la capacité du groupe, sous le pilotage de Ronan Blanchard, à se réinventer au quotidien pour accompagner ses clients et répondre aux nouveaux enjeux du bâtiment d’aujourd’hui et de demain. » Interrogé, Ronan Blanchard déclare : « être heureux et fier de rejoindre le groupe RECTOR LESAGE afin de l’aider à relever les grands défis d’un univers en pleine mutation ». http://www.rector.fr
Il y a 5 ans et 58 jours

ViaCon-Tubosider France : des ouvrages qui traversent le monde

Depuis 2018, Tubosider France a intégré le groupe ViaCon, présent dans 18 pays d'Europe. Avec neuf sites de production, l'activité infrastructure routière et ferroviaire est au cœur de ses préoccupations et l'expérience se partage entre les différentes filiales.
Il y a 5 ans et 59 jours

Unibéton se réinstalle à côté de Meaux

Sur son site de Poincy, Unibéton a choisi de sédentariser une centrale à béton MasterMix de Skako Concrete. [©ACPresse] A Poincy, juste à côté de Meaux, en Seine-et-Marne, Unibéton dispose d’un site de production dédié au BPE. Toutefois, celui-ci a été mis en sommeil en 2008. « L’activité était en baisse, l’outil industriel, vieillissant et le personnel, difficile à trouver », résume Renaud Boucherat, directeur d’exploitation Ile-de-France – Nord-Ouest d’Unibéton. L’activité de Poincy avait ainsi été reportée sur les sites Unibéton de Mitry-Mory (77) et de Lagny-sur-Marne (77), tous deux distants de l’ordre de 30 km.   Au fil du temps, la situation a bien évolué, poussant l’industriel à revoir sa position.« Le développement urbain de l’agglomération de Meaux s’est accéléré. Il faut dire qu’elle est une excellente alternative à Marne-la-Vallée où les prix au m2 s’envolent. »Dans ce contexte nouveau, la décision de réhabiliter le site en vue d’une réouverture fut actée dès 2015. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); Des centrales à béton en rénovation Très vite, le choix s’est porté sur la sédentarisation d’une centrale à béton MasterMix dite “déplaçable”, de marque Skako Concrete. « Il s’agit d’une des deux centrales de ce type présentes dans notre parc réservé à la prestation locative sur site , indique Renaud Boucherat. La seconde est actuellement installée sur le chantier de construction de la gare Institut Gustave Roussy, sur la future ligne 15 du métro, à Villejuif. » Il n’est pas exclu qu’à l’issue de cette opération, cette unité de production soit, elle aussi, sédentarisée…  Aujourd’hui, Unibéton est entrée dans un cycle de rénovation de ses sites de production franciliens. L’industriel en compte 21 sur ce territoire. « Nous avançons à un rythme de 2 rénovations complètes par an. » La sédentarisation des unités Skako Concrete s’accompagnera sans doute de l’acquisition de nouveaux équipements mobiles pour assurer la continuité du service, en termes de prestation de production de BPE sur site.  Etanchéification indispensable du sol Toutes les eaux chargées sont déversées à même la plate-forme étanchéisée en béton, appelée “plateau de lagunage”. [©ACPresse]Par gravité, les eaux s’écoulent en direction du bassin agité, se débarrassant des éléments les plus lourds, qui restent sur la plate-forme. [©ACPresse]Le bassin agité des eaux de process bénéficie d’un volume de 146 m3. [©ACPresse]Une chargeuse sur pneumatiques Komatsu WA 200 assure l’alimentation en granulats de la centrale. [©ACPresse]Deux emplacements pour bennes de recyclage ont été prévus sur le site. [©ACPresse] A Poincy, rien n’a été conservé de l’ancienne centrale à béton. Après 8 années d’inactivité, il n’y avait pas grand-chose à sauver. D’autant que le site a servi, en plus, de décharge sauvage. « Nous avons dû opérer un important travail de préparation du site, comprenant le démantèlement de l’ancienne unité et le nettoyage de la zone, dépollution des sols y compris », détaille Karina Chaoui, directrice de production Unibéton Ile-de-France. Le terrain se développe sur une superficie de 5 500 m2, dont un peu moins de la moitié (2 700 m2) a été bétonné. L’étanchéification du sol est importante pour ce type d’installations, car il est primordial d’empêcher les eaux de la plate-forme de s’infiltrer directement. Qu’il s’agisse des eaux de pluie ruisselant sur la surface ou des eaux chargées liées aux process de production et/ou de nettoyage des outils (toupies, malaxeurs à béton…).  Dans le cadre de l’aménagement, les écoulements des eaux de pluie et des eaux de process ont été séparés. Les formes de pente ont bien été étudiées pour garantir un bon ruissellement des eaux. Et des margelles, mises en place pour limiter les pollutions. Ainsi, la zone “eaux de process” est parfaitement délimitée et identifiée visuellement.  Sur un plateau de lagunage Trémie de réception des granulats sur la centrale à béton. [©ACPresse]Au-dessous des 4 trémies de stockage prend place une goulotte tournante, qui assure la distribution des granulats dans les cases dédiées. [©ACPresse]Circuit de remplissage gravitaire des cuves à adjuvants. [©ACPresse]Pour assurer le transfert des adjuvants vers le malaxeur, l’option “pompes pneumatiques” a été privilégiée. [©ACPresseLes ciments et autres pulvérulents sont stockés dans 4 silos de 80 t de capacité chacun. [©ACPresse]Paul Cordelle est en charge du pilotage de la dernière-née des unités de production Unibéton. [©ACPresse] « Le génie civil a constitué un poste important au niveau du coût global de l’aménagement », confirme Renaud Boucherat. L’entreprise AEM s’est vue confier cette partie du chantier. Outre la construction de la plate-forme bétonnée, elle a assuré la réalisation du bassin d’orage, d’une capacité de stockage de 240 m3. Mais aussi et surtout, du bassin agité des eaux de process, d’un volume de 146 m3. La méthodologie choisie par Unibéton pour traiter, aussi bien les eaux de lavage du circuit de production que des toupies, est très simple. Toutes les eaux chargées sont déversées à même la plate-forme étanchéisée en béton, appelée “plateau de lagunage”. Par gravité, les eaux s’écoulent en direction du bassin agité, se débarrassant des éléments les plus lourds (sable, graviers), qui restent sur la plate-forme. A intervalles réguliers, la chargeuse de remplissage des trémies à granulats vient racler ces éléments au sol pour les déverser dans une benne de recyclage. Afin de limiter l’abrasion du béton, dû au raclement du godet de la chargeuse, des rails métalliques ont été intégrés dans le sol en béton du plateau de lagunage.  En toute logique, la benne de recyclage constitue le point de vidange des retours de béton frais dans les toupies. Deux emplacements pour bennes ont été prévus sur le site. Dès que pleines, les bennes sont évacuées vers un centre de traitement. Celui-ci valorise leur contenu en granulats recyclés, réutilisables pour la production de nouveaux bétons.  Sédentariser une centrale Skako Concrete D’une capacité de 2,66 m3 par gâchée, un malaxeur Skako Concrete constitue le cœur de la centrale à béton. [©ACPresse] L’option “bassin agité” permet d’éviter la sédimentation, en gardant les éléments fins (ciment et fillers) en suspension. L’eau chargée peut directement être réinjectée dans le process de production. Idem pour les eaux de pluie et de ruissellement, elles aussi, employées dans la fabrication de béton, après passage dans un bac déshuileur.  La centrale à béton n’a pas été construite sur mesure. Il s’agit d’un équipement issu de la gamme standard de Skako Concrete. Un malaxeur de la marque, d’une capacité de 2,66 m3par gâchée, en constitue le cœur. Il est associé à un bloc trémie, divisé en 4 cases de 50 t unitaires, et à 4 silos à pulvérulents de 80 t chacun.  Une chargeuse Komatsu WA 200 assure l’alimentation en granulats de la centrale. Elle s’approvisionne au niveau d’un stock primaire de 4 x 75 m3, aménagé au fond du terrain. Des mégablocs en béton en dessinent le pourtour. « Ce dispositif est pratique, car il permet de changer de configuration très rapidement, en cas de besoin. » La chargeuse déverse les matières premières dans une trémie de réception reliée à un tapis de transfert. Au-dessus des trémies de stockage prend place une goulotte tournante qui assure la distribution des granulats dans les cases dédiées. Ce dispositif est un des seuls aménagements réalisé sur mesure sur la centrale. « Nous avons confié à l’industriel EMCI l’installation et les adaptations nécessaires de cet outil de production », souligne Renaud Boucherat.  Basculement chez Command Alkon La centrale Unibéton de Poincy est implantée sur un terrain de 5 500 m2. [©ACPresse] Il n’y a pas de skip, mais un tapis de pesage et de reprise, qui part du dessous des trémies à granulats pour rejoindre le malaxeur. Juste à côté des trémies est installé le local à adjuvants. Celui-ci est fermé et chauffé : une installation à 100 % Unibéton. Le remplissage des cuves, au nombre de 8, d’une capacité unitaire de 2 400 l, est gravitaire, d’où la présence des bouches de remplissage en hauteur, accessible par un escalier sécurisé. Pour assurer le transfert des adjuvants vers le malaxeur, c’est l’option de pompes pneumatiques qui a été choisie, simple d’utilisation et d’entretien.  La centrale de Poincy est dimensionnée pour une production annuelle de l’ordre de 20 000 m3 de bétons. Entre 4 et 5 toupies doivent y être rattachées, à terme. Les bétons sont formulés sur la base des 3 ciments disponibles sur l’unité : CEM I 52,5 R et CEM II 42,5 originaires de la cimenterie Ciments Calcia de Couvrot (51) et CEM III 42,5 R LH PMES de la cimenterie Rombas (57). Côté granulats, les coupures disponibles sont 0/4, 4/10 et 4/20. Ils sont fournis par GSM, la filiale “granulats” d’HeidelbergCement. Une 4e case reste disponible pour toute coupure complémentaire. Idem au niveau des silos à pulvérulents. Pour les adjuvants, Unibéton travaille ici avec Sika.  Comme nombre d’unités du groupe, l’unité de Poincy a basculé sur le nouveau logiciel de pilotage Conactive Process (ou CP) de Command Alkon [Lire Béton[s] le Magazine n° 87, p. 22]. Celui-ci cohabite pour le moment avec le système de gestion et de suivi clients Boréal, interne à Unibéton.  Frédéric Gluzicki Equipements et intervenants Centrale à béton : MasterMix de Skako ConcreteChargeuse : Komatsu Génie civil : AEM Béton esthétique de sol : Elégance Minéral Concept Installation centrale : EMCI et Arteal Sondes de niveau : Véga Filtres : Wam Pompes pour adjuvants : WildenLogiciel de pilotage : Command Alkon Ciments : Ciments Calcia Granulats : GSM Adjuvants : Sika  [\inscrits]
Il y a 5 ans et 59 jours

Comment le secteur de l'énergie s'organise face au coronavirus

APPROVISIONNEMENT. Au moment où les mesures gouvernementales s'amplifient pour contenir la propagation du coronavirus, le secteur de l'énergie s'organise lui aussi pour maintenir un niveau de production électrique suffisant. Ceci dit, la demande en électricité devrait baisser dans les prochains jours, du fait du ralentissement de l'économie et du confinement des citoyens.
Il y a 5 ans et 62 jours

Protherm Light® d’Edilteco France® obtient son nouvel agrément ETE-18/1111

Après la conformité à l’EN 13381, le nouvel agrément ETE-18/1111 – porte d’entrée sur le marché européen – salue les améliorations techniques de la gamme PROTHERM  LIGHT®, une gamme complète d’enduits de protection contre le feu. En quête de toujours plus d’innovation, de performances et de certification exigeante de ses produits, EDILTECO obtient un agrément européen, dépassant la conformité à l’EN 13381. L’expertise réglementaire de certification des produits EDILTECO ne cesse de se renforcer. Enduit Protherm Light® L’ETE-18/1111, UN NOUVEL AGRÉMENT EUROPÉEN QUI SUPPLANTE LA CONFORMITÉ À l’EN 13381 Déjà conforme à l’EN 13381, Protherm Light® entrait dans la classification de haute résistance au feu. EDILTECO, dans un souci de performance et une volonté et de répondre aux normes européennes en matière de préconisations préventives au feu, vient d’obtenir l’ETE-18/1111, attestant une qualité absolue de l’enduit Protherm Light®; enduit conçu pour la protection au feu des éléments de construction porteurs : – produits ignifuges au feu comme membrane de protection horizontale, – produits ignifuges pour protéger les éléments porteurs en béton, – produits ignifuges pour protéger les éléments porteurs en acier, – produits ignifuges pour protéger les éléments porteurs en béton plat type sandwich. L’Évaluation Technique Européenne, tout comme la normalisation, est un outil essentiel au service de la compétitivité avec, pour finalité supérieure, le marquage CE, valant passeport pour l’exportation et l’expansion de Protherm Light® sur le marché européen. L’obtention de cette ÉTE par Edilteco lui a donc permis d’effectuer une Déclaration des Performances (DoP), et d’apposer le marquage CE. De même, l’obtention de cette ÉTE soumet Edilteco à des dispositions de contrôle de production supervisées et propres à ce niveau de certification, permettant de s’assurer de la constance des performances de Protherm Light® sur le long terme. L’OBTENTION DE L’ETE 18/1111 : UNE NOUVELLE CONFIRMATION DE LA FIABILITÉ DE PROTHERM LIGHT® Parce que la protection des personnes contre les risques d’incendie, dans les établissements recevant du public et dans les immeubles d’habitation, est une préoccupation constante, EDILTECO poursuit son engagement et sa volonté d’innovation technologique, visant à protéger des vies humaines en sauvegardant les infrastructures. Avec Protherm Light®, enduit pré-mélangé léger thermo-isolant, pour un usage interne et externe, Edilteco commercialise un enduit de protection au feu le plus polyvalent et le plus certifié du marché français et maintenant, européen. Protherm Light® ne contenant pas de fibre, ce mortier solide (une fois sec) ne se désagrège pas quand on le touche, et présente donc un caractère de forte stabilité et durabilité.   Par sa conception, sa composition et sa facilité d’application, Protherm Light® est un enduit de protection incendie aux multiples avantages : – caractéristiques de résistance mécanique et à l’impact renforcées : 0,97 N/mm² à la compression, – excellente capacité d’isolation thermique λ=0,079 W/ mK), – forte résistance aux agents atmosphériques : PROTHERM LIGHT® peut être appliqué à l’extérieur surdes supports très humides, – temps de séchage très rapide, – lissé et/ou peint, PROTHERM LIGHT® n’impose aucune contrainte dans le choix des finitions.   Protherm Light®permet de protéger un grand nombre de supports : des éléments structurels (poteaux béton, acier… ) PROTHERM LIGHT® c’est donc l’assurance d’une grande fiabilité technologique pour les professionnels de la prévention, quant aux produits susceptibles d’être utilisés dans des infrastructures comme des aéroports, des hôpitaux, des écoles, touchant le grand public. Avec l’obtention de l’ETE 18/1111, c’est, une nouvelle fois, toute l’expertise d’EDILTECO qui se voit consacrée, de par les réponses apportées aux exigences législatives et réglementaires concernant les revêtements de protection au feu, en assurant la croissance performative de ses systèmes isolants. Gageons que la technologie révolutionnaire de Protherm Light n’a pas fini de s’exporter !
Il y a 5 ans et 63 jours

Nouveau guide "Solutions Voirie & Réseaux"

Le Groupe Fabemi, acteur des matériaux de construction, regroupe 3 grandes divisions – Gros œuvre, Terrasse & jardin, Voirie & réseaux. Les produits usinés sur ses 13 sites de production évoluent en fonction de la demande et sont l’aboutissement de recherches basées sur une démarche innovante.
Il y a 5 ans et 63 jours

Spie confiant dans son modèle après une belle année 2019

Le spécialiste des services énergétiques a vu sa production augmenter de 3,8% à 6, 92 Mds € et son bénéfice net s'accroître de 65,6% à 151, 4 M€.
Il y a 5 ans et 63 jours

Le Groupe Lorillard investit et affiche une compétitivité renforcée

Aujourd’hui, le Groupe Lorillard figure parmi les plus grands fabricants de menuiseries industrielles en France avec ses 6 sites de production répartis à travers le pays. Le Groupe a décidé d’accélèrer et de doubler ses capacités d’investissements industriels destinés, notamment, à une automatisation et robotisation des usines qui doivent afficher une compétitivité renforcée face à la concurrence des pays de l’Est. Il envisage un plan d’investissement de 32 millions d’euros sur 5 ans, hors croissance externe, dont 21 millions d’euros pour les 3 prochaines années, afin d’atteindre le chiffre d’affaires de 200 millions d’euros à l’horizon 2022. Cette nouvelle politique d’investissements s’accompagne d’une nouvelle dynamique d’automatisation, mais ne signifie pas que le Groupe automatise ses usines pour remplacer des salariés, bien au contraire, 60 personnes ont été recrutées en 2019 et plus de 30 postes sont actuellement à pourvoir.
Il y a 5 ans et 65 jours

ELAN de mauvais ALUR pour le logement social

  La privatisation du logement social est devenue un mode de production massif de rentabilité. Il suffit de quelques calculs et de s’en remettre à la Loi. Explications d’arrière-cuisine. Chacun se souvient des combats menés contre la loi ELAN « […] L’article ELAN de mauvais ALUR pour le logement social est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 65 jours

Ambitions 2020, le Groupe Lorillard muscle son jeu et double ses capacités d’investissements

« Le monde bouge, les marchés bougent, les entrepreneurs doivent s’adapter ». Ces quelques mots prononcés par Thierry LUCE, le Président du Groupe Lorillard, témoignent d’une volonté forte d’accroître de manière continue la taille et le potentiel de la société afin de conserver sa place parmi les leaders. « Il est aujourd’hui nécessaire de continuer à investir pour résister à une pression concurrentielle nationale et internationale toujours plus importante. » Fort de ce postulat, le Groupe Lorillard envisage un plan d’investissement de 32 millions d’euros sur 5 ans, hors croissance externe, dont 21 millions d’euros pour les 3 prochaines années, afin d’atteindre le chiffre d’affaires de 200 millions d’euros à l’horizon 2022.   RECRUTEMENTS, LORILLARD MUSCLE SON JEU Lorillard recherche de nouveaux talents pour renforcer ses équipes. Près de 30 offres d’emplois sont en ligne sur le site Internet du Groupe, parmi lesquelles : un Directeur Supply Chain pour l’ensemble des sites du Groupe, des ingénieurs conducteurs de travaux pour Paris, des ingénieurs pour le service Recherche & Développement, des ingénieurs de projets industriels, des chefs de chantier, des dessinateurs, des responsables de production, des métreurs, des poseurs, des menuisiers d’atelier, des technico-commerciaux, etc. 2020, NOUVELLE DYNAMIQUE D’INVESTISSEMENTS Le Groupe accélère et double ses capacités d’investissements industriels destinés,  notamment, à une automatisation et robotisation des usines qui doivent afficher une compétitivité renforcée face à la concurrence des pays de l’Est. Si plus de 10 millions de fenêtres par an sont fabriquées en France, il n’en demeure pas moins que plus de 10% de part de marché provient de l’importation, ce qui est une part non négligeable du marché à réinterroger. Cette nouvelle politique d’investissements s’accompagne d’une nouvelle dynamique d’automatisation, mais ne signifie pas que le Groupe automatise ses usines pour remplacer des salariés, bien au contraire. Comme évoqué un peu plus haut, 60 personnes ont été recrutées en 2019 et plus de 30 postes sont actuellement à pourvoir. L’autre facteur favorisant cette dynamique est le vieillissement de la pyramide des âges : les personnes partant à la retraite ne seront pas forcément remplacées, ce qui permettra de stimuler l’optimisation des talents sur des postes pour lesquels un savoir-faire humain est nécessaire. Côté investissements, 7 millions € vont donc être dédiés aux outils industriels, notamment 5,2 millions dans le bois. En effet, l’activité bois est très porteuse, l’UFME relève 3% de croissance en France pour cette filière en 2019. Le marché du bois opère une évolution notable sur le marché des chantiers de rénovation où la demande client est de plus en plus forte, ainsi que dans le neuf, ce qui est encore plus récent et inhabituel. L’objectif est donc d’augmenter la capacité de production bois du Groupe à plus de 25 % d’ici 2022. Lorillard est N° 1 sur le bois en France, pour son volume de production, tout en assurant une grande variété d’essences : Chêne, Mélèze, Pin, Moabi, Sapelli. Pour ne prendre que deux exemples, les carnets de commande de la marque Bourneuf sont approvisionnés à un an, ce qui représente un portefeuille de commande de près de 18 millions € ; ceux de Lorillard le sont à 8 mois avec une usine à Chartres qui produit 60 menuiseries bois/jour. Ainsi, ce sont : 2,6 millions € qui seront investis chez Bourneuf pour intégrer un nouveau centre d’usinage au sein du futur agrandissement de près de 1000 m² de l’usine (février 2020). Une tronçonneuse, une déligneuse et une raboteuse 4 faces y seront également installées (septembre 2020) permettant d’améliorer la productivité de près de 25 %. Pour répondre à l’accroissement des commandes, 1,5 millions € seront investis à l’usine de Chartres avec un nouveau centre d’usinage (corroyeuse) qui permettra d’améliorer la productivité, ainsi qu’une seconde cabine de laquage automatisée (pour la garantie 10 ans des finitions). Cette automatisation viendra soutenir les équipes, déjà en 3-8, pour leur permettre d’assurer plus de 50 % de la production bois sur les 3 ans à venir. 1,1 millions € seront investis à l’usine de Rodez chez Molenat pour intégrer une ponceuse automatique pour les ouvrants et les dormants, un centre d’usinage pour le cintrage des menuiseries, ainsi qu’un système d’assemblage et de palettisation automatisé. Des outils qui soulageront les équipes, des tâches à faible valeur ajoutée, pour concentrer les efforts sur d’autres outils de production, afin d’accroître la fabrication en passant la capacité de production des équipes en 2-8 dès le mois de juillet 2020. Pour le reste, 1,8 millions € seront dédiés aux investissements sur la chaîne aluminium de Chartres. Une nouvelle ligne automatisée va être mise en place pour le vitro-sertissage avec encollage des angles. Cette ligne s’intègre à la continuité d’optimisation de l’usinage aluminium qui, l’an passé, avait accueilli un nouveau centre de débit et d’usinage automatisé. L’objectif étant d’augmenter le volume de production de châssis aluminium de 120/ jour actuellement à 250/ jour fin 2020. 2020 s’annonce donc comme une année confortant la place de leader français de la menuiserie du Groupe Lorillard, et peut-être davantage …
Il y a 5 ans et 66 jours

EGGER ose les couleurs vives !

Avec sa nouvelle Collection & Services 2020-22, EGGER fait évoluer sa palette de décors unis et octroie une place de choix aux couleurs vives. La peinture n’est plus le seul domaine à pouvoir user de cette tendance, l’audace des couleurs vives embrase également l’univers du meuble et de l’agencement intérieur. Ces dernières années le style scandinave, prônant les couleurs pastels, et le style industriel, combinant couleurs sombres et matériaux bruts, régnaient en maître sur le monde de la décoration intérieure. Oubliés le jaune ensoleillé ou l’orange vitaminé ! Du moins pour quelques temps, car aujourd’hui, les couleurs vives et flamboyantes reviennent sur le devant de la scène, par touches pour un style pop ou pour une pièce entière de style monochrome. C’est dans cet esprit que le leader du marché des panneaux de particules a favorisé les couleurs éclatantes qui attirent l’œil. Le vert et le bleu se sont toujours imposés en matière d’agencement intérieur et d’ameublement, et ce dans de nombreuses pièces de la maison, grâce à leurs multiples nuances : d’un bleu turquoise intense pour inviter à l’évasion à un bleu glacier pour une touche de fraîcheur mentholée, le vert n’est pas en reste si vous optez pour un intérieur naturel grâce à un vert printemps ou un vert pomme pour une note plus gourmande. Le jaune se positionne comme révolutionnant nos intérieurs et devient incontournable lorsqu’il s’agit d’illuminer une pièce, tout comme le orange, couleur vive par excellence, ne laissant personne indifférent, mais qui apporte indéniablement chaleur et gaieté aux espaces. Enfin, le rose n’est plus réservée aux chambres des petites filles et confère à d’autres pièces de la maison élégance et originalité.Grâce à une nouvelle Collection & Services 100% coordonnée, Egger souhaite favoriser la personnalisation et créer toujours plus d’émotion en offrant une gamme complète de décors unis, bois et matières. À propos de EGGERFondé en 1961, Egger est leader sur le marché des panneaux dérivés du bois et des stratifiés décoratifs. Egger, dont le siège social se situe à Saint Johann in Tirol (Autriche) est une entreprise familiale et emploie environ 9900 personnes dans 19 sites de production, dont deux en France (dans les Landes et les Vosges). Pour en savoir plus, visitez le site d'Egger. Photographies : Egger La Rédaction
Il y a 5 ans et 70 jours

RTE certifie un boîtier pour baisser automatiquement le chauffage

INNOVATION. Afin d'assurer l'équilibre du système électrique national, RTE et la société Voltalis lancent un équipement inédit permettant aux particuliers volontaires de baisser automatiquement leur chauffage. Au-delà d'une meilleure maîtrise de la consommation énergétique, le boîtier évite aussi de mettre en service des moyens de production souvent polluants.
Il y a 5 ans et 70 jours

Prysmian remporte un projet de raccordement au réseau éolien offshore en France pour RTE

Prysmian remporte un projet de raccordement au réseau éolien offshore en France pour RTE  Le Groupe déploie toutes les capacités et ressources nécessaires à la transition énergétique  Les technologies de câbles sous-marins sont essentielles à la croissance de l’énergie renouvelable Le Groupe Prysmian, leader mondial dans le secteur des systèmes de câbles et systèmes  pour l’énergie et les télécommunications, a décroché un contrat de plus de 150 millions d’euros avec le Réseau de Transport d’Électricité (RTE) pour le développement de deux systèmes sous-marin et terrestre de câbles de transport d’énergie afin de relier le parc éolien maritime situé entre les îles d’Yeu et Noirmoutier au réseau électrique continental français. Le parc éolien maritime est développé par la société Les Eoliennes en Mer d’Ile d’Yeu et Noirmoutier, à laquelle le gouvernement français a accordé une production d’une capacité de 500 MW. RTE, le gestionnaire du réseau de transport français nommé par le gouvernement français va concevoir, construire, entretenir et assurer l’exploitation des deux liaisons de 225 kV (sous-marin et terrestre) afin de relier le parc éolien maritime au réseau. Le projet de liaison du parc éolien maritime au réseau permettra d’exporter 500 MW d’énergie verte et renouvelable, sur une distance sous-marine d’environ 27 km et une distance terrestre souterraine d’environ 30 km. Prysmian fournira son approche exhaustive clé en main pour la conception, la fourniture, l’installation et la mise en service de deux câbles sous-marins tripolaires extrudés HVAC (haute tension à courant alternatif) 225 kV avec armure simple fil, qui atteindront la côte à la plage de La Barre-de-Monts. Prysmian sera également chargé de fournir et raccorder deux circuits de câbles terrestres extrudés HVAC 225 kV qui relieront la côte à la sous-station de Soullans. Les câbles sous-marins seront produits dans les centres d’excellence du groupe Prysmian à Pikkala (Finlande) et à Arco Felice (Italie), tandis que les câbles terrestres seront fabriqués dans l’usine de Gron (France). Les opérations d’installation seront prises en charge par le Cable Enterprise, l’un des trois navires câbliers d’avant-garde du Groupe. La livraison et la mise en service sont prévues pour 2023, sous réserve de la réception de l’ordre d’exécution attendu d’ici mars 2020 concernant les études préliminaires, et d’ici juin 2020 pour le projet dans son ensemble. « Nous sommes fiers de contribuer au développement d’infrastructures ayant une telle importance stratégique », a déclaré Hakan Ozmen, EVP, Unité Projets, Prysmian Group. « Non seulement ce contrat renforce notre relation avec RTE, mais il confirme également le leadership mondial de Prysmian en répondant au besoin de réseaux électriques plus performants afin de soutenir la transition énergétique », a conclu M. Ozmen. Prysmian joue déjà un rôle important en fournissant à RTE ou aux autres clients des solutions de transport d’électricité durables et efficaces. Le Groupe a en effet récemment participé à des projets clés en France, comme les parcs éoliens maritimes de Fécamp, Courseulles-sur-Mer et Saint-Nazaire (attribués par EDF Renouvelables), en plus de l’interconnexion reliant le Royaume-Uni et la France, l’interconnexion Piémont-Savoie reliant la France et l’Italie, et l’interconnexion INELFE reliant l’Espagne (Santa Llogaia) et la France (Baixas).  
Il y a 5 ans et 70 jours

Embellir Paris avec une fresque en bardage StoVentec Glass

Sto participe à l’appel à projets « Embellir Paris » en fournissant, dans le cadre d’une opération de mécénat, les produits nécessaires à la réalisation d’une fresque sur un long mur du boulevard Raspail. Cette fresque colorée est l’œuvre de l’architecte plasticien Aldric Beckmann, c’est l’un des vingt projets sélectionnés dans le cadre de l’appel à projets lancé en novembre 2018 par la Ville de Paris. L’architecte conçoit une fresque en panneaux de verre émaillés composée selon une gamme colorée inspirée des éléments paysagers présents autour du site. A partir d’une série de photos du boulevard Raspail pixélisées, il décompose le paysage en différentes gammes d’éléments géométriques colorés où l’on reconnaît le bleu du ciel, le blanc des nuages, le vert des arbres ou le beige des immeubles. « Le résultat est une fresque abstraite qui, via une trame géométrique définie, donne a  voir depuis le boulevard Raspail une réinterprétation paysagère de l’environnement selon un principe de reflet et de miroitement », expose Aldric Beckmann qui donne à cette fresque composée de triangles colorés le nom de Tangram, en référence au jeu chinois composé de plaques géométriques. La Ville de Paris alloue à chaque projet lauréat une subvention de 50 000 euros maximum et incite les artistes à trouver des partenaires pour financer la production de leur oeuvre. Aldric Beckmann s’associe au fonds de dotation Proarti, premier acteur du mécénat culturel et du financement participatif entièrement voué à la création artistique et à la découverte culturelle, qui aide les artistes à diversifier leurs sources de financement. Ensemble, ils envisagent un partenariat avec un industriel, Sto en l’occurrence, qui produit précisément les panneaux de verre émaillé StoVentec Glass nécessaires à l’oeuvre et leur système d’accrochage. Les équipes techniques de Sto réalisent l’étude de faisabilité de la fresque, optimisent le calepinage élaboré par l’architecte et coordonnent la production des panneaux préfabriqués avec l’usine Verotec du groupe Sto. Le bardage rapporté StoVentec Glass, a  base de grands panneaux de verre collés sur une plaque en mortier de granulats de verre expansé avec liant époxy, est mis en oeuvre par l’emboîtement de rails agrafes en aluminium, intégrés à l’arrière des panneaux, sur un réseau de rails horizontaux en aluminium fixés directement sur le support. C’est l’entreprise d’étanchéité et façade Sietech, partenaire de Sto depuis plus de quinze ans et déjà familiarisée avec le produit StoVentec Glass, qui se voit confier l’installation de l’oeuvre. Les panneaux rectangulaires préfabriqués en usine réunissent six triangles de couleurs toujours différentes. Livrés sur le chantier, ils sont mis en oeuvre en deux semaines, du 9 au 21 décembre 2019.
Il y a 5 ans et 71 jours

Photovoltaïque : un bilan positif en 2019

CHIFFRES. Les statistiques liées aux installations photovoltaïques en 2019 sont tombés, et ils sont bons. Le secteur enregistre notamment une production d'électricité d'origine solaire photovoltaïque en hausse de 8% par rapport à 2018.
Il y a 5 ans et 71 jours

Une cascade de pompes à chaleur pour une solution 100% renouvelable

Panasonic présente une nouvelle réalisation : l'installation de deux pompes à chaleur Aquarea en cascade couplées à des panneaux photovoltaïques dans un mas de 200 m2 dans le Gard. Le système, quasiment autonome d'un point de vue énergétique, assure le chauffage et la production d'eau chaude sanitaire pour une famille de 6 personnes.
Il y a 5 ans et 71 jours

DU 1 ER AU 3 AVRIL 2020, LORILLARD ENTREPRISE ET LOREBAT REPRÉSENTERONT LE GROUPE LORILLARD

SUR LE SALON NORDBAT À LILLE STAND E14, À CHARTRES, 03/2020 Acteurs majeurs des marchés de la construction des Hauts-de-France, les équipes de Lorillard Entreprise et Lorebat travaillent au quotidien aux côtés de professionnels régionaux. Entités BtoB du Groupe Lorillard, ces 2 entreprises sont également des acteurs de terrain qui ont tissé leurs relations grâce à un service de proximité et des produits sur mesure. Une offre particulièrement appréciée par les artisans indépendants, les entreprises publiques et privées comme par les bailleurs sociaux, collectivités territoriales en recherche de solutions adaptées. Cette année encore, Le salon Nordbat sera l’occasion pour le Groupe Lorillard d’être à la disposition de l’ensemble de ses clients professionnels en proposant des produits et des services correspondants aussi bien à la fourniture qu’au chantier. Cette année un panel de 4 menuiseries sera mis à l’honneur sur le stand et présentera concrètement la diversité de l’offre produit du Groupe : LOMNIA, nouvelle fenêtre en composite fibre de verre – TWINEA 2, nouveau coulissant composite fibre de verre – Lena 58, menuiserie en bois aux lignes contemporaines et KHELYS, une menuiserie aluminium à ouvrant visible. Conçue en composite fibre de verre, LOMNIA allie performances thermiques, confort, esthétisme et sécurité. Au cœur de cette équation gagnante, la technologie Hybrid Premium Composite (HPC), qui permet de réduire la taille du profilé au profit d’une surface de vitrage plus importante (15% de lumière en plus, par rapport à une fenêtre en PVC, donc moins de besoins en éclairage artificiel). Dotée d’excellentes performances thermiques (coefficient Uw de 1,2W/m²) et d’isolation, grâce à ses trois joints d’étanchéité, LOMNIA répond aux plus hautes exigences en matière d’économies énergétiques. Outre ses qualités isolantes et thermiques, elle affiche un design aux lignes particulièrement élégantes et épurées. De nombreuses possibilités de personnalisation, avec un large choix de couleurs sont par ailleurs proposées. Enfin, côté sécurité, elle dispose de 3 avantages décisifs : un châssis renforcé en fibre de verre qui demande davantage de temps pour forcer son ouverture. Son ouvrant semi-masqué permet à la fenêtre d’être moins accessible depuis l’extérieur. 3 joints d’étanchéité rendent les gâches plus difficiles à atteindre, en cas d’effraction. Menuiserie LOMNIA en composite fibre de verre, aux lignes élégantes et épurées. Bénéficiant lui aussi de tous les atouts du HPC, le nouveau coulissant TWINÉA 2 se dessine avec des profilés amincis au profit d’une surface de vitrage plus importante, TWINÉA 2 bénéficie de 15% de lumière en plus, par rapport à une fenêtre en PVC standard, offrant ainsi un clair de vitrage maximum. Conforme à la norme PMR, TWINÉA 2 est doté d’un seuil extra-plat, d’une hauteur de 25mm, proposé en 2 versions : avec recueil d’eau (spécialement prévu pour les coulissants exposés à la pluie) et sans. Le coulissant est ergonomique et facilement manœuvrable en raison d’un faible coefficient de frottement ainsi que d’une bonne résistance à l’abrasion ou à la déformation irréversible progressive. Equipée d’un vitrage de 28 mm avec une couche basse-émissivité, un intercalaire isolant et du gaz Argon (à très faible conductivité thermique) cette menuiserie offre une isolation thermique optimale. Elle est notamment dotée d’excellentes performances, avec un coefficient Uw de 1,4 W/ m², un Sw de 0,50, un TLw de 64%, ainsi qu’un affaiblissement acoustique de 35 dB. Enfin, sa crémone à crochets à 3 points de verrouillage et son dispositif anti dégondage lui garantissent un bon niveau de sécurité. TWINÉA 2 est disponible en 2, 3 et jusqu’à 4 vantaux. Coulissant TWINÉA 2 en composite fibre de verre, aux profilés amincis pour un clair de vitrage plus important. Conçue dans l’objectif d’atteindre un coefficient élevé d’apports solaires (Sw = 0,47) et de transmission lumineuse (TLw à 59%), KHELYS favorise l’apport de l’énergie gratuite du soleil dans le logement, et contribue donc à réduire les dépenses liées au chauffage. La conception en aluminium de KHELYS assure sa légèreté : poids faible et forte stabilité dimensionnelle, même pour des grandes surfaces. Elle se double d’une grande sécurité grâce aux ferrures à renvoi d’angle et galets champignons ; galets champignons qui, grâce à leur système anti-décrochement sont retardateurs d’effraction. La robustesse est assurée par l’assemblage des ouvrants et des dormants en coupe d’onglet, puis leur sertissage. Dans les angles, des équerres d’assemblage métalliques sont collées pour renforcer la solidité de l’ensemble. Parmi ses autres propriétés, on lui reconnaît une résistance mécanique, résistance à la corrosion, ductilité, recyclabilité. KHELYS sera notamment présentée avec un volet roulant solaire. Menuiserie KHELYS en aluminium, favorise l’apport de l’énergie solaire pour la réduction des dépenses liées au chauffage. Fenêtre aluminium à ouvrant visible, KHELYS présente une esthétique soignée jusque dans les finitions pour un rendu contemporain et épuré. KHELYS bénéficie d’un coefficient de performances thermiques (Uw) de 1,4, obtenu grâce à ses profilés à rupture de pont thermique par barrettes isolantes de nouvelle génération et au vitrage qui l’équipe : un double vitrage de 28mm, avec gaz Argon et intercalaire. De conception traditionnelle, la fenêtre bois LENA 58 traduit toute l’éloquence de son matériau : chaleur et authenticité. Ses parcloses droites offrent des lignes contemporaines, propices aux architectures modernes. Disponible en plusieurs essences de bois, LENA 58 sait parfaitement répondre aux exigences des bâtiments protégés du patrimoine. Dotée d’ouvertures à la française (à frappe) ou coulissantes, la menuiserie LENA 58 est disponible en fenêtre et porte-fenêtre. Les finitions « Lena Color », garanties 10 ans, viennent parfaire l’équation gagnante : esthétisme, confort et sérénité. Entrepreneur et fabricant industriel le Groupe Lorillard conjugue différents métiers et différents marchés. Cette polyvalence qui se fonde sur la pluralité des activités et des produits des marques du Groupe, lui permet de répondre aussi bien aux besoins des artisans locaux et prescripteurs, qu’aux maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre du bâtiment. Une compétence qui se révèlera sur le salon Nordbat avec le double pavillon Lorillard Entreprise et Lorebat. Les équipes Lorebat et Lorillard Entreprise vous accueilleront chaleureusement sur leur stand E14 du 1er au 3 avril au Grand Palais de Lille. A propos du Groupe Lorillard : Fondé en 1936 à Chartres et présidé par Thierry Luce, le Groupe LORILLARD figure parmi les leaders français de la menuiserie industrielle surmesure. Première entreprise indépendante du secteur, LORILLARD couvre l’ensemble du marché de la fenêtre et maîtrise la fabrication de ses produits grâce à un pôle industriel intégré. Elle est actuellement l’une des seules entreprises à décliner son offre dans quatre matériaux : bois, PVC, aluminium et mixte. Chiffres-clés : 1050 collaborateurs – chiffre d’affaires 2019 : 180 millions d’euros – production annuelle : 1 200 menuiseries par jour – 300 logements équipés ou rénovés par jour. www.lorillard.fr
Il y a 5 ans et 71 jours

Découverte d’un quartier artisanal antique dans le Nord

À​ Famars (Nord), une nouvelle campagne de fouilles de l’Inrap a révélé l’existence du quartier artisanal de Fanum Martis, à l’emplacement du futur Technopôle Transalley., habité du Ier au IVe siècles puis utilisé aux XVIIe et XVIIIe siècles. Alors que de nombreux artefacts préhistoriques ont été découverts au cours des premières campagnes de fouilles réalisées sur le Technopôle, aucun lieu d’occupation n’a été exploré. Cependant, la partie basse du terrain recèle des traces d’un habitat datable d’entre 30000 et 14000 avant notre ère. La Protohistoire n’est représentée que par quelques structures attribuables à l’Âge du Bronze moyen (1435-1290 avant notre ère) et final (1005-840 avant notre ère). Les premières traces d’occupations de Fanum Martis remontent aux années 40 de notre ère. Les vestiges de cette première installation sont dispersés et placés à distance d’un fossé ceignant mares ou flaques. Les lambeaux d’un chemin de terre sont à associer à cette période, tout comme quatre inhumations réparties sans ordre apparent et caractérisées par un manque de soin au défunt. Alors que l’incinération prévaut à cette période, ces inhumations semblent plus être des rejets que de véritables sépultures.Dès la seconde moitié du Ier siècle, la localité se développe. En plusieurs endroits, un habitat associé à de nombreuses activités de production est installé en périphérie du cœur urbain implanté sous l’actuel centre de Famars. Dans le secteur du Mont Houy, un parcellaire normé est établi tandis que les infrastructures et monuments publics (aqueduc, thermes, théâtre) s’élèvent dans l’agglomération. Les potiers, mais aussi, les forgerons, les vanniers, les tanneurs sont établis dans différents quartiers. La ville va connaître son apogée à la fin du IIIe siècle – début du IVe siècle de notre ère, période à laquelle elle est le pôle économique de la région et couvre environ 200 hectares. Vers 320, la fonction de Fanum Martis change : elle devient le siège des troupes militaires et du préfet des lètes nerviens (praefectus laetorum Nerviorum (in) ​Fanomantis Belgicae secundae). La ville se réduit alors à un castellum (place forte). Tout au long de l’Antiquité, la plupart des constructions sont bâties en bois et en torchis, parfois fondées sur solin de grès, matériau provenant des carrières voisines. Si elles disposent généralement d’un cellier, trois sont pourvues de caves maçonnées en opus mixtum (appareil combinant lits de moellons de pierres et lits de brique). L’édification ultérieure du castellum (vers 320) ayant nécessité énormément de matériaux de réemploi dont les élévations explique qu’aucune élévation n’a été reconnue sur ces fondations de blocs de grès ou de craie damée. La présence de fragments de suspensura (sol suspendu), de pilettes et de rejets de béton de tuileau atteste la présence d’hypocaustes (système de chauffage par le sol) dans les demeures les plus vastes. Toutefois, seules les bases de l’un d’entre eux ont été découvertes lors des opérations précédentes dans le secteur du Technopole. Les fouilles menées en 2019 ont permis d’identifier une zone de tannerie, l’atelier d’un glutinarius (fabricant de colle) et la présence d’une bourrellerie/cordonnerie, attestée par des alènes (poinçon servant à percer le cuir) et un lissoir. L’utilisation de l’os de bœuf pour la fabrication de colle par extraction du collagène s’avère être une activité importante sur ce site du IIIe au début du IVe siècle. La campagne de 2019 a également livré onze fours à céramique venus compléter la série des quinze déjà connus. Les ateliers produisent majoritairement des cruches et des amphores, mais aussi des pots lustrés destinés à la présentation ou encore des vases à visages moulés.La période moderne est représentée par quelques foyers témoignant de la présence de troupes de Louis XIV en cantonnement lors des sièges de Valenciennes de 1656, 1677, et de celles du général Dampierre lors de la guerre de la Première Coalition en 1793. Source : InrapPhoto : Statuette en céramique représentant Mercure – S. Lancelot, Inrap
Il y a 5 ans et 72 jours

Allô ! Maman, bobo…

Les industriels proposent des mortiers spécifiques. [©ACPresse] Dans “Il était une fois la vie”, la célèbre série qui raconte aux enfants (et même aux grands) les secrets du corps humain, les globules blancs interviennent en héros, dès que le corps subit une agression extérieure ou autre. Si les bétons ne sont pas encore dotés des Maîtres Globus, Hémo et Globine, les industriels proposent des mortiers spécifiques pour y pallier. Ces solutions servent à la réparation des bétons structurels ou non, évoluant au contact de l’eau de mer ou sur la terre ferme. Comme les petits personnages de la série, ces produits existent pour prendre soin des bétons, leur donner parfois une seconde jeunesse. Et surtout éviter des catastrophes… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Ces solutions se plient aussi à la norme européenne NF EN 1504, qui détermine “Les termes relatifs aux produits et systèmes utilisés pour la réparation, la maintenance et la protection, la restauration et le renforcement des structures en béton…” Son paragraphe 3 définit les caractéristiques de réparation structurale (classes de mortier R3 et R4) et non structurale (R1 et R2). Il existe ainsi, plusieurs remèdes, pour différents maux. Sivagami Casimir Cantillana : Adepte des milieux agressifs En réparation structurale ou non, le Betoreno FI402 s’adapte à de nombreux milieux. [©Cantillana] Cantillana s’illustre dans la fabrication de mortiers (et de bétons) sur les marchés belges, néerlandais et français. Afin d’étoffer sa gamme de mortiers pour la réparation des bétons, l’industriel a développé la solution Betoreno FI402. Renforcé de fibres et de polymères, ce produit est classé R4 selon la NF EN 1504-3. Il peut s’appliquer dans de nombreuses circonstances, notamment en milieu agressif. En contact avec l’eau de mer ou des sulfates par exemple. En effet, le Betoreno F1402 dispose d’une bonne résistance au gel, aux sels et aux sulfates. De plus, la densité élevée du mortier permet une application sur support exposé à la carbonatation, à la pénétration d’humidité ou encore d’huile. La solution est résistante à la corrosion et à la saponification. Stable, même en sous-face, le mortier de Catillana se met en œuvre manuellement ou par projection, jusqu’à 10 cm d’épaisseur par couche verticale. Le Betonreno F1402 est disponible en sac de 25 kg sur des palettes de 1 t. Cermix : A prise rapide Le Cermirep Rapid R3 est prêt à l’emploi conditionné dans des sacs de 25 kg.[©Cermix] Dans la famille des mortiers de réparation, Cermix propose le Cermirep Rapid R3. Comme son nom l’indique, ce produit présente l’avantage d’être à prise rapide dans le cadre de réparation de tuyaux béton, d’angles et de piliers de poutres ou encore d’allèges de balcons dégradées par la corrosion des armatures. Ce mortier mono-composant de couleur gris clair, conforme à la NF EN 1504-3, contient des fibres, des ciments spéciaux sélectionnés et adjuvantés par des résines. Il s’adapte à la réparation structurale et au rejointoiement des éléments en béton en contact avec l’eau de mer. Prêt à l’emploi, le Cermirep Rapid R3 ne nécessite pas d’ajout d’eau et s’applique à la truelle. Il dispose d’une bonne thixotropie et d’une résistance à la compression de 15 MPa après 2 h et 45 MPa à 28 j. Le mortier de Cermix est compatible avec les bétons de classe d’exposition (selon la EN 206-1), X0, XC1, XC2, XF1, XA1, XA2 et XA3. Et n’affecte pas les armatures, avec sa formule sans chlorure. Il est conditionné en sacs de 25 kg. GCP Applied Technologies : Durable dans le temps L’Omnitek RM Fiber bénéficie d’une résistance à la compression d’environ 40 MPa à 24 h et 80 MPa à 28 j. [©GCP Applied Technologies] GCP Applied Technologies propose l’Omnitek RM Fiber. Ce mortier s’utilise aussi bien pour la réparation générale des bétons à la verticale et à l’horizontale, que pour le reprofilage de joints, d’angles et d’éléments pré-moulés endommagés et de structure. Il s’adapte aux constructions exposées à l’eau de mer, à des environnements corrosifs ou au gel. L’Omnitek RM Fiber est ainsi doté d’une bonne résistance à la carbonatation, aux chlorures, aux cycles gel-dégel et aux produits chimiques. La solution de GCP Applied Technologies est composée de polymères modifiés, qui assurent une meilleure adhérence. Et elle est renforcée de fibres, afin de garantir une réparation durable sans fissures en surface. Sa consistance thixotrope permet une utilisation rapide et facile. Avec une application manuelle, de 10 à 50 mm, l’Omnitek RM Fiber bénéficie d’une résistance à la compression d’environ 40 MPa à 24 h et 80 MPa à 28 j. Il est certifié CE et conforme à la NF EN 1504-3. Groupe RGD : De multiples possibilités Le groupe RGD dispose de plusieurs solutions pour la réparation des bétons. [©RGD] Le groupe RGD dispose d’une large gamme de produits, notamment pour la réparation des bétons. Le mortier coulable à retrait compensé Exocem G3 PVA a été imaginé pour les coulées massives de structures soumises à des charges d’impact. Ainsi, il se met en œuvre dans le cadre de réparations de poutres en béton armé, de tabliers de structures de pont, d’éléments structurels exposés aux agents agressifs (pluie acide, carbonatation, sels de dégel…). Ou encore dans l’objectif de réaménager les sols spéciaux ou de remplacer des dalles arméesavec maille électro-soudée. Quant au Maxrite 500, ce mortier renforcé par des fibres synthétiques a été conçu pour la réparation des supports exposés à une grande agressivité ambiante. Il protège aussi les armatures, prolongeant ainsi, la durée de vie de la zone réparée. Sa bonne thixotropie permet une application sans coulure sur les surfaces verticales et sur les plafonds sans coffrage. Enfin, le groupe RGD propose le Ruredil X Mesh Gold. Il s’emploie pour le renforcement des structures en béton armé et en béton précontraint, y compris celles soumises à l’action du feu ou aux hautes températures. Le Ruredil X Mesh Gol est constitué d’une maille de fibres de PBO (polyparaphénylène - 2,6 - benzobisoxazole) et d’une matrice inorganique stabilisée,conçue pour rendre solidaire la maille au support de béton. Imerys Aluminates : Rapide et costaud Le Fast & Fondu d’Imerys est un mortier à prise rapide. [©Imérys] Anciennement Kerneos, Imerys dispose dans son catalogue produitsdu mortier prêt à l’emploi Fast & Fondu. La solution est préconisée pour la réparation des bétons ou la préparation de travaux. Elle est composée d’un liant à base d’aluminates de calcium. Le mortier s’adapte aux applications contraignantes, telles qu’une situation de prise et de montée en résistance rapide ou encore de travaux en milieu marin et ceux,qui nécessitentune remise en service rapide. Fast & Fondu est à l’épreuve de la corrosion, de la chaleur (jusqu’à 550 °C), des huiles et des environnements agressifs. Il affiche une résistance en compression de 2 MPa à 1 h et passe à 20 MPa à 6 h. Après le coulage et l’application, le compagnon n’a pas besoin de curer ou de couvrir le produit. Le mortier est disponible en sac papier de 25 kg.   Mapei : Rapide et costaud Le Mapegrout T60 F se distingue par sa résistance aux agressions chimiques. [©Mapei] Les mortiers de réparations structurels de Mapei se composent de deux gammes : Planitop et Mapegrout. Conformes à la norme NF EN 1504-3, de classe R3 ou R4, ces solutions sont destinées à la réparation de tous types d’ouvrages de bâtiment, travaux publics et génie civil. Elles s’appliquent manuellement ou par projection. Ces produits répondent aux exigences des différents projets et résistances chimiques. Ils présentent de multiples caractéristiques techniques : prise rapide ou normale, thixotrope, coulable ou encore fibré… Le Planitop 400 F s’illustre pour son délai de talochage réduit, qui permet des interventions plus rapides, pour sa finesse et ses performances mécaniques. Le Mapegrout T60 F se distingue par sa résistance aux agressions chimiques, notamment aux sulfates et chlorures. Il s’adapte bien aux réparations structurelles en bord de mer par exemple. Enfin, pour plus de confort d’utilisation, Mapei a optimisé ses packagings. Le Planitop 400 F bénéficie ainsi de l’ouverture Sprint, plus rapide, pratique et plus propre. Et de la technologie Low Dust pour réduire les émissions de poussières lors de la préparation du produit. Mapegrout T60 F est,quant à lui,disponible en sac plastique, résistant aux intempéries,et permettant un stockage du mortier sans protection lors de la durée du chantier. Parexlanko : Une vaste proposition Le 770 Lankorep Fin Rapide retarde la progression de la carbonatation.[©Parexlanko] Si Parex et sa marque Parexlanko sont en passe d’être rachetés par Sika, c’est pour les performances de leurs produits et la profondeur de leurs gammes. Dans la catégorie “mortier de réparation”, Parexlanko propose 3 solutions à ce propos. Le 770 Lankorep Fin Rapide est un mortier fibré à retrait compensé à prise rapide. Il est constitué de sables, de ciments spéciaux, de fibres et d’additifs. Utilisé pour la réparation des surfaces de béton, la restructuration d’ouvrages dégradés ou encore le renforcement de structures affaiblies, le mortier dispose d’une porosité très fermée,qui retarde la progression de la carbonatation. Tout comme le 732 Lankorep Structure, qui rassemble les mêmes caractéristiques d’application. Une fois mis en œuvre, ce dernier forme un film passif à la surface de l’armature, la protégeant ainsi de la corrosion. Le 732 Lankorep Structure dispose d’une résistance à la compression de 30 MPa à 1 j, puis 65 MPa à 28 j. Enfin, Parexlanko a conçu une solution spéciale pour la restauration de bâtiments anciens, ouvrages en béton et bâtiment classés Monuments Historiques. Le 734 Lankorep Patrimoine est un mortier composé de sables, de liants spéciaux, de fibres, ainsi que de chaux aérienne et d’additifs. PCI : A chaque béton sa solution Le PCI Polycret 315 conserve ses performances, grâce à son temps de prise rapide.[©PCI] Pour la réparation des bétons, PCI dispose d’une très large gamme de solutions. « Dans ce domaine, nous résonnons en fonction de la NF EN 1504 paragraphe 3, explique Alexandra Dupré, responsable marché systèmes pour la construction. Elle fixe un cadre pour l’utilisateur et explique quel mortier utiliser pour quel béton. Il faut que le produit utilisé ait des propriétés similaires au support qui va l’accueillir. »Ainsi les offres de PCI se différencient par ses fonctions, ses épaisseurs d’application et la notion de rapidité de prise. « Aujourd’hui nous arrivons à être rapide ! »A l’image du PCI Polycret 315. Ce mortier fibré de réparation structurelle (de 5 à 50 mm) conserve ses performances, grâce à son temps de prise rapide, même à de basses températures. Sa formulation ralentit l’effet de la carbonatation grâce à son pH élevé passivant l’acier. De plus, ses fibres permettent de réduire les effets du retrait initial. Le PCI Polycret 423 Rapid est aussi utilisé pour une remise en service rapide. Le PCI Polycret 317 (de 5 à 70 mm) dispose de plusieurs consistances possibles. A terme fluide, le mortier peut être utilisé en génie civil, TP, bâtiments ou en façade pour tous types de réparation. Il est résistant aux agressions, aux cycles gel/dégel et aux sels de déverglaçage. L’industriel compte aussi dans sa gamme de produits les PCI Polycret 421, PCI Polycret 327, PCI Nanocret R4 ou encore le PCI Nanocret R4 Fluid. PRB : La gamme Répar en action Le PRB TP Répar R4 PR a la particularité de bénéficier d’une prise rapide.[©PRB] Considérées comme des mortiers de classe R4, selon la NF EN 1504-3, les solutions PRB TP Répar R4 et PRB TP Répar R4 PR sont toutes deux composées de liants hydrauliques, de sables, de fibres et d’adjuvants. Leur domaine d’emploi comprend la réparation des bétons, la restructuration d’ouvrages dégradés ou encore le traitement des fissures passives. Le PRB TP Répar R4 PR bénéficie d’une prise plus rapide. Avec un début de prise à 30 mn et de fin de prise à 60 mn (à 20 °C),quand le PRB TP Répar R4 enregistre 3 h et 3 h 30 aux mêmes températures. Dans la classe R3, selon la NF EN 1504-3, PRB propose aussi le PRB TP Répar R3 PR. Ce mortier fin rapide fibré présente des résistances mécaniques élevées en compression (15 MPa à 24 h et 35 MPa à 28 j) et en flexion (3 MPa à 24 h et 9 MPa à 28 j). Il dispose aussi d’une bonne tenue en milieu agressif. RSI : Adaptable aux contraintes chantier Mise en œuvre du PSM avec ajout de gravillons, et coloré sur mesure pour se fondre dans l’existant après sablage. [©RSI] Spécialisé dans la conception, la fabrication et la vente de produits pour l’industrie routière, autoroutière et le génie civil, Route Service Industrie (RSI) propose ses propres solutions pour la réparation des bétons. Le PSMP est un mortier fibré composé de CEM III 52,5 L CE PM-ES-CP1 NF, de granulats 0/2, de fibres et d’adjuvants spécifiques. Conforme à la norme NF EN 1504-3 (classe R2), il est résistant aux milieux agressifs et ne contient pas de produit chloré. Le PSMP peut être mis en œuvre dans le cadre de renforcement de réseaux d’assainissement par projection, d’enduction des piédroits et de voûtes en ouvrages souterrains (ovoïdes, tunnels…). Ou encore dans la réparation d’éléments bétons non structurels. De son côté, le PSM dispose d’une résistance à la compression de 7 MPa à 24 h, de 30 MPa à 7 j et de 40 MPa à 28 j. Le mortier se gâche à l’eau, au malaxeur mécanique, à la bétonnière ou en machine à projeter. Il s’applique à la truelle ou projeté. Comme le PSMP, il peut être formulé sur-mesure pour répondre aux différentes contraintes de chantier, avec un ajout de retardateur/accélérateur de prise, de colorants, de colloïde, de sable 0/4 ou encore, en changeant la qualité de ciment. Saint-Gobain Weber : Option anticorrosion Weber.rep Rapide de Weber intègre une fonction anti-corrosion.[©Weber] Selon Saint-Gobain Weber, en France, 75 % des volumes de réparations structurales des bétons nécessitent un passivant pour traiter les armatures. « Une opération technique, coûteuse et chronophage,qui nécessite en effet de dégager etde nettoyer complètement les armatures. Puis, d’appliquer un passivant en couche épaisse et d’attendre une heure que le produit sèche pour enfin appliquer le mortier de réparation. »C’est pourquoi Saint-Gobain Weber a lancé le weber.rep Rapide. L’industriel intègre ainsi, la fonction anti-corrosion à ce mortier de réparation fibré de classe R4. Cette caractéristique permet de réduire la pénétration des ions chlorure (pollution, sel de déneigement…) et d’augmenter la résistance à la carbonatation du béton. Le mortier convient à tous types de réparations ponctuelles. Il est utilisable en horizontal, vertical, sous-face, en intérieur ou extérieur. Saint-Gobain Weber propose aussi le mortier fibré weber.rep Surface. Il bénéficie de 3 fonctions : anti-corrosion et réparation et surfaçage. Il est conditionné en sac de 25 kg. Sika : Une nouveauté "Swiss made" Sika propose un nouveau mortier le Sika MonoTop-310 R.[©Sika] Sika complète sa gamme de mortiers de réparation avec un tout nouveau Sika MonoTop-310 R. La solution a été imaginée pour une remise en service ultra rapide. Dédiéà la réparation des bétons en bâtiment, génie civil et ouvrage  d’art, ce mortier se glisse dans la classe R3. Il dispose d’une durée pratique d’utilisation de 15 mn et d’un temps de prise d’environ 25 mn à 20 °C. Le Sika MonoTop-310 R s’applique par passe,avec des bandes de 3 mm à 70 mm d’épaisseur. Le compagnon peut obtenir une présentation d’aspect fini et prêt à peindre à partir de 4 h de séchage. Le produit est conditionné en sac de 20 kg, qui intègre une poignée pour faciliter le transport et améliorer le confort d’utilisation. Il est aussi muni d’une ouverture facile. Sika propose d’autres mortiers de réparation conformes à la norme européenne. Qu’ils soient polyvalents (Sika MonoTop-311 FR et Sika MonoTop-410 R) ou spécifiques (Sika MonoTop-612 F, Sika MonoTop-412 N et Sika MonoTop-432 R). Technique Béton : Un mortier NF bi-composant Application du mortier Fibralchoc NV sur un angle en partie en sous face et en partie en verticale.[©Technique Béton] « Nous sommes les seuls en France à avoir un mortier NF bi-composants dans notre gamme Ravalchoc », explique David Platel, directeur technique & production chez Technique Béton. Ravalchoc est une solution de réparation de classe R4 selon la NF EN 1504-3 et selon la NF 030-Afnor Certification. Le composant A est formulé sur la base de ciment de sable et d’additifs. Le B est formé par la combinaison de résines en émulsion. Thixotropie, hautes résistances, le mortier s’adapte à de nombreux domaines d’application. La version Ravalchoc blanc peut être utilisée sur béton… blanc. « Nous avons aussi un nouveau mortier, le Fibralchoc NV. De couleur gris clair, il peut être appliqué en sous-face avec une épaisseur de 50 à 60 mm. »Ce mortier est composé de charges minérales et d’additifs, renforcé par des fibres synthétiques pour le reprofilage de surface des bétons. Il est destiné aux réparations ponctuelles. t-mix : Enrichi en résines et en fibre   Le t-mix MP2R est pompable sur de grandes longueurs (supérieures à 130 m).[©t mix] Le t-mix MP2R se présente sous la forme d’un mortier industriel fibré à projeter par voie mouillée. Le produit est enrichi en résines et fibres synthétiques. Il s’utilise pour la réparation et la réhabilitation structurale. La solution t-mix peut être mise œuvre, afin d’assurer le renforcement et la réparation d’ouvrages souterrains, le rejointoiement et le remplissage de joints d’ouvrages maçonnés et souterrains. Ou encore le confortement de voûtes, et pieds droits de réseaux d‘assainissement et le re-chemisage de galeries. Le t-mix MP2R est pompable sur de grandes longueurs (supérieures à 130 m) et bénéficie d’une bonne résistance à l’abrasion, aux milieux agressifs et aux eaux sulfatées. Les compagnons peuvent obtenir le t-mix MP2R en sacs de 25 kg en palettes de 1,6 t. Mais aussi en bigbags et en silos (pour les poids spéciaux). Un conditionnement,qui permet aux opérateurs d’optimiser leurs conditions de travail (propreté et encombrement), selon t-mix. VPI : Une offre globale Le Répatech R4 K140 peut être utilisé pour la réparation structurelle des ouvrages de Génie Civil.[©VPI] VPI dispose d’une offre globale “réparation”. La gamme s’étend du traitement de l’acier au confortement des ouvrages. Ainsi, l’industriel propose le Répastructure R3 K130. Conforme à la NF EN 1504-7, ce mortier a la particularité de pouvoir être directement appliqué sur les armatures des bétons. Composé de ciment, de charges minérales, d’adjuvants spécifiques et de fibres, il est destiné à la reprise ponctuelle ou généralisée de bâtiments et d’ouvrages d’art. Mais aussi à la protection anti-corrosion. Le produit de VPI accepte différents types de revêtement après séchage. Il s’applique à la truelle à raison de 5 à 40 mm par passe, sans coffrage. De son côté, le Répatech R4 K140 peut être utilisé pour la réparation structurelle des ouvrages de génie civil, selon la NF EN 1504-3, classe R4. Il est compatible avec un environnement agressif (de type XA3 régi par la NF EN 206/CN). Le mortier bénéficie d’une bonne résistance à l’eau de mer et aux eaux à forte teneur en sulfates. Il offre une résistance à la compression de 20 MPa à 24 h et 50 MPa à 28 j. VPI met aussi à la disposition la gamme Technica. Ces mortiers et bétons projetés par voie mouillée sont utilisés pour réparer de manière durable et conforter les ouvrages. [/abonnes]
Il y a 5 ans et 73 jours

ACO France rachète l’entreprise OCIDO

L’année 2020 démarre fort pour ACO France. En effet, le spécialiste des solutions de drainage de surface et de prétraitement des eaux usées et de ruissellement, annonce l’acquisition de la société OCIDO. Fondée en 2000, OCIDO est une entreprise familiale, basée à Friville-Escarbotin dans la Somme (80) qui conçoit, fabrique et commercialise des systèmes de prétraitement des eaux pluviales. Une synergie qu’ACO France entend bien mettre à profit. François Desebbe, Directeur Général d’ACO France insiste sur l’importance de ce rachat qui constitue une nouvelle étape dans le développement de l’entreprise : « Il s’agit d’une opportunité unique pour ACO de renforcer sa présence sur le marché de la gestion des eaux pluviales et de compléter son activité dans le prétraitement et le stockage. Les produits de l’entreprise OCIDO vont venir étoffer notre gamme afin de mieux répondre aux besoins de nos clients, en France comme à  l’International ». Ainsi, grâce à la pluralité de son offre, ACO propose une expertise pour intervenir sur l’ensemble du cycle de l’eau. En effet, chaque solution de la chaîne ACO permet de Collecter, Prétraiter, Stocker, Restituer les eaux de surface. Employant 160 personnes, ACO France joue un rôle essentiel dans le maintien du tissu social et participe à la dynamique économique de sa région. Ainsi, l’accord signé prévoit de garder la vingtaine de salariés et de maintenir les activités d’OCIDO sur son propre site de production. « Il est essentiel pour nous de préserver le savoir-faire industriel d’OCIDO et de capitaliser sur une fabrication «Made in France» avec un personnel qualifié » déclare François Desebbe. Avec ce rachat, ACO se dote également d’une capacité de production supplémentaire destinée au rotomoulage et prévoit de prochains investissements sur le site de production d’OCIDO en vue de le mettre aux standards du Groupe. Rappelons que l’entreprise ACO France réalise un chiffre d’affaires de 40 millions d’euros. Implanté sur plus de 4 hectares à Notre-Dame-de-L’Isle (27), l’entreprise possède un site de production de 3 700 m² d’ateliers (béton polymère et chaudronnerie inox), un centre logistique de 2 300 m², des aires de stockage de 20 000 m² et 1 500 m² de bureaux.
Il y a 5 ans et 73 jours

Le biométhane en grande forme en 2019

CONJONCTURE. En 2019, la capacité de production de biométhane en France a augmenté de 63 % en un an, pour s'élever à 2,2 TWh/an. Au total, 123 installations ont injecté du biométhane dans les réseaux de gaz naturel. Une progression qui devrait continuer, car plus de 1.000 projets sont en file d'attente.
Il y a 5 ans et 76 jours

Avec Wall’up, le chanvre construction entre dans l’ère industrielle

Créée par la SAS éponyme réunissant sept associés (trois entreprises de charpente bois, les deux chanvrières franciliennes, un architecte impliqué dans la filière chanvre et un innovateur breton, le seul non francilien parmi les fondateurs), la première usine dédiée aux façades mixtes bois et chanvre sortira de terre à partir de mai à Aulnoy (Seine-et-Marne). Elle vise une production annuelle de 70 000 m2, après un investissement évalué dans une fourchette de 2 à 3 millions d’euros.
Il y a 5 ans et 76 jours

En 2018, la production de chaleur nucléaire a légèrement augmenté en Europe

ÉNERGIE. La production de chaleur d'origine nucléaire a un peu progressé à l'échelle de l'Europe en 2018, d'après les chiffres du service de statistiques Eurostat. 13 Etats-membres comptaient à cette date des réacteurs en fonctionnement sur leur sol, et la France reste le pays le plus "nucléarisé" du Vieux Continent.
Il y a 5 ans et 78 jours

Les fenêtres Speci’al K de Kawneer sur le Pavillon 52

Réalisé par l’architecte Rudy Ricciotti pour le promoteur immobilier Cardinal, le Pavillon 52 est un bâtiment aux formes courbes et énigmatiques situé en bord de Saône dans le quartier Confluence à Lyon. D’une superficie totale de 7.500 m2 sur 6 étages, ce bâtiment, certifié BREEAM niveau GOOD, se compose d’un empilement de blocs à géométrie variable, constituant chacun un niveau, revêtu d’une mantille de béton faisant office de filtre solaire. Pour répondre aux contraintes de performances thermiques, esthétiques et économiques du projet, la société de menuiseries ALQUIER a fabriqué et installé les fenêtres aluminium SPECI’AL K de Kawneer. Situées à l’arrière du brise-soleil constitué par les lames de béton fibré haute performance, elles offrent un clair de vitrage optimisé permettant de laisser passer un maximum de lumière naturelle. Une mantille de béton, qui s’enroule autour de l’édifice, fait office de brise-soleil et limite ainsi le recours à la climatisation, des panneaux photovoltaïques en toiture, un système d’éclairage intelligent, une production par pompe à chaleur avec échanges thermiques sur la nappe phréatique, des menuiseries aux performances thermiques élevées… plancher chauffant. ©Kawneer
Il y a 5 ans et 78 jours

Eurobois 2020 : bilan de cette édition

Le salon Eurobois s’est déroulé du 4 au 7 février dernier à l’Eurexpo à Lyon. Retour sur le salon du bois, des techniques de transformation et de l’agencement  ! Tous les 2 ans, le salon Eurobois donne l’opportunité aux acteurs de différents secteurs de se rencontrer, d’échanger et d’exposer leurs dernières technologies. Après 4 jours de salon, le bilan est positif : on compte 29 100 professionnels, 420 exposants dont un tiers d’étrangers et une représentation renforcée du secteur de l’agencement mais aussi celui de la 1ère transformation. > Retrouvez notre vidéo sur la valorisation des métiers du bois sur notre plateau TV à Eurobois Une mobilisation croissante des professionnels  Avec 29 100 professionnels accueillis (+25% vs 2018) durant les 4 jours, et 420 exposants et marques (+11% vs 2018) dont 30% de nouvelles entreprises, cette édition est marquée par des indicateurs à la hausse.  Ancré au coeur d’une région porteuse, le salon a profité d’un rayonnement national avec plus de 45% de visiteurs issus de territoires hors Auvergne Rhône-Alpes (un visitorat hors région AuRA en hausse de 35%).  Autre réussite cette année : une très forte progression du nombre de professionnels issus du secteur de l’agencement (multiplié par 3 par rapport à 2018) et une croissance notoire du nombre de visiteurs issus de la 1ère transformation (multiplié par 2 par rapport à 2018).  Un salon national ouvert vers l’international En 2020, Eurobois a accentué son ouverture à l’international et consolidé son rayonnement au-delà du territoire français. En effet, le salon a accueilli 32% d’exposants étrangers provenant principalement d’Allemagne, d’Italie, d’Autriche, de Belgique et d’Espagne. Les visiteurs internationaux, issus de plus de 50 pays, représentaient quant à eux 6% du visitorat global, soit 1,5 fois plus qu’en 2018. Emploi et formation un axe majeur poussé par Eurobois Un campus dédié à l’emploi et la formation a été mis en place lors de cette édition. Cet espace a permis de présenter et valoriser les métiers, aux centres de formation de rencontrer des candidats et aux entreprises de proposer leurs offres. Le Campus Eurobois c’est 10 organismes de formation, 30 conférences animées par les organismes de formation et Pôle Emploi autour de plusieurs thématiques, 40 offres d’emploi publiées et 1 journée dédiée à l’emploi à été organisée le 5 février avec la présence de Pôle Emploi qui a mobilisé des professionnels en recherche d’emploi et animé des ateliers. > Retrouvez notre vidéo sur la formation et l’industrie lors de notre plateau TV à Eurobois 2020 L’innovation au centre du salon avec l’industrie 4.0 Les Trophées Eurobois ou La Canopée, le concours national d’innovation dédié à la filière forêt-bois organisé par Forinvest et l’ESB, ont mis en lumière les évolutions technologiques et de projets iconoclastes.  Mais l’innovation, c’était bien sûr l’industrie 4.0 présentée grandeur nature sur des stands. Longtemps considérée comme abstraite, elle s’est matérialisée à travers une multitude de machines et solutions destinées à la digitalisation et à la robotisation des outils de production. Un élément clé à l’heure où les scieurs et les fabricants sont engagés dans une politique de modernisation de leurs outils industriels. >Découvrez notre plateau TV sur l’industrie 4.0 présent sur Eurobois Bati-journal TV était présent lors d’Eurobois 2020, découvrez toutes les conférences, tables rondes et interviews sur notre chaîne YouTube ! ©Eurobois
Il y a 5 ans et 78 jours

RE 2020 : Enphase décrypte les impacts pour les acteurs du photovoltaïque

Dès le 1er janvier 2021, la nouvelle norme de construction RE 2020 entrera en vigueur et remplacera la RT 2012. Si elle se veut plus ambitieuse en matière de réduction des consommations d’énergie et d’émissions de CO2, elle n’impose rien en matière d’énergies solaires. À partir du 1er janvier 2021, les professionnels du bâtiment devront appliquer la RE 2020 pour toute nouvelle construction collective, individuelle ou tertiaire. L’objectif de cette nouvelle norme est de réduire les consommations énergétiques et les émissions de CO2. Et améliorer le confort de vie, notamment pendant les étés caniculaires. La RE 2020, les normes prévoient : – l’abandon des bâtiments « Bepos » (Bâtiment à énergie positive), leur construction ne sera finalement pas une obligation. Ce label répond aux demandes des entreprises, de plus en plus soucieuses de leur impact environnemental et impliquées pour le réduire. Pour devenir BEPOS, la pose de panneaux photovoltaïques sera indispensable– l’obligation de compenser l’utilisation d’une chaleur non-renouvelable par une source d’énergie renouvelable. Les seuils ne sont pas encore précisés mais cette règle devrait encourager l’achat de pompes à chaleur, au détriment des chaudières gaz. Aucune obligation prévue autour du photovoltaïque. Le recours à la chaleur solaire n’est pas imposé par la RE 2020. Les nouveaux usages devraient également pousser les professionnels et les particuliers à se tourner vers la production d’énergie solaire. « Le photovoltaïque va être porté par les usages. En effet, la consommation d’électricité à usage mobilier est devenue très forte. Et le développement de la mobilité électrique devrait soutenir la demande. L’énergie solaire apporte une solution économique et responsable à ces deux enjeux », ajoute Richard Loyen, délégué général d’ENERPLAN, le syndicat des professionnels de l’énergie solaire.
Il y a 5 ans et 78 jours

Command Alkon lance Conactive Process, le successeur du CE2

L’interface graphique est une des composantes du logiciel Conactive Process de Command Alkon. Tous les éléments de la centrale sont ainsi représentés sur l’écran du PC. [©Command Alkon] La Renault 4L a marqué son époque. Produite entre 1961 et 1992, adulée par certains, elle n’en demeure pas moins dépassée aujourd’hui. En termes de performances comme de sécurité… C’est cet exemple parlant qu’a choisi Nicolas Leroy, responsable commercial de zone, pour expliquer les changements qui s’opèrent en ce moment au sein de Command Alkon.  La mutation est centrée sur le terrain des logiciels. « Nous entrons dans une phase de transition qui doit s’achever en 2025 », explique Gaël L’Hopital, directeur des opérations pour la France [voir le calendrier plus bas]. La première brique de cette évolution s’appelle Conactive Process, ou CP pour faire simple. Il s’agit ni plus ni moins du logiciel de pilotage des centrales à béton qui remplacera à terme l’historique CE2. Un héritage de Concrete Equipement, entreprise reprise par Command Alkon en 2008. « Le CE2 est basé sur une technologie qui a plus de 20 ans, développé initialement en Visual Basic, langage de programmation qui n’est plus supporté par Microsoft depuis quelques années… » De fait, réaliser des mises à jour ou des développements était devenu de plus en plus compliqué. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Tout un éco-système logiciel pour l'univers des bétons La remise à plat de l’offre logiciels de Command Alkon va permettre aux utilisateurs de ce type de solutions de bénéficier de fonctionnalités inédites. Mais aussi de nouveaux outils. En attendant, la migration entre les anciens et les nouveaux systèmes sera très progressive. Début 2020 marque ainsi la fin de la commercialisation officielle du logiciel de pilotage de centrales à béton CE2. Ce moment coïncide avec la mise sur le marché du tout nouveau Conactive Process (CP). Toutefois, les utilisateurs actuels du CE2 ne seront pas laissés à l’abandon. Des mises à jour et des évolutions seront encore proposées, pour le parc existant, jusqu’à la mi-2021. Les correctifs (bugs, dysfonctionnements) seront poursuivis jusqu’à la mi-2022. Enfin, la fin du support technique est programmée pour le courant de l’année 2023. Le calendrier de transition entre les logiciels CEC et CM (suivi de commandes) suit le même enchaînement, mais avec une année de décalage. C’est-à-dire, une fin de commercialisation du CEC courant 2021 et une fin du support technique, à l’aube de l’année 2025. Pour Command Alkon, le déploiement de sa nouvelle offre de logiciels pour centrales à béton ouvre de larges perspectives. Car c’est un véritable éco-système que l’éditeur est sur le point de proposer. Autant de briques qui pourront communiquer entre elles, fournissant toujours plus d’informations pour encore plus de service au client final. Rajouter des briques au CP et au CM Command Alkon Moisture Sensor est un capteur d’humidité pour sables et graviers. [©Command Alkon] • Directement intégré au contrôle des processus du logiciel CP, Command Alkon Moisture Probe est un capteur d’humidité pour sables et graviers. Il propose une technologie de mesure prise par micro-ondes. • MobileTicket n’est autre que la dématérialisation des bons de livraison. Le service fonctionne en lien avec le logiciel CM, sur tablette sous Android et via le Cloud. Bien entendu, il permet de prendre en compte les ajouts d’eau réalisés dans le béton sur chantier. • TrackIt sert à géolocaliser les toupies en temps réel et de savoir ainsi où se situe la commande d’un client. • En test actuellement en France, CommandAssurance permet de savoir ce qui se passe à l’intérieur de la toupie. Implanté dans la cuve et alimenté par panneau solaire, un capteur mesure en permanence la plasticité du béton. L’information s’intègre à la gestion de la commande. Principe de fonctionnement du CommandAssurance. [©Command Alkon] • MobileJobSite est destiné à géolocaliser une toupie, mais côté client... Service “premium”, il garantit de la part du fournisseur de BPE une transparence totale. C’est aussi un gain, car il n’a plus besoin de gérer les appels entrants récurrents accompagnés de leur question rituelle : « Où est ma toupie ? » • Apex, lui, a vocation d’automatiser le fonctionnement des carrières et des dépôts de granulats. A son arrivée, le camion est identifié, pesé à vide, chargé et de nouveau pesé. Toutes les données sont centralisées. • Enfin, Connex Platform s’adresse à tous les acteurs de l’acte de construire : fournisseurs, producteurs, transporteurs, entrepreneurs. C’est la plate-forme de collaboration pour le bâtiment de Command Alkon. Elle permet de faire le lien entre tous les outils disponibles, via le Cloud. Ceci, pour placer le client au centre de son éco-système. Command Alkon en bref Command Alkon déploie son logiciel CP sur l’ensemble du parc de centrales Unibéton. [©ACPresse] Depuis sa création en 1976, aux Etats-Unis, Command Alkon a beaucoup appuyé sa stratégie de développement sur les fusions et les acquisitions. Pour ce qui touche la France, la plus marquante é été celle de Concrete Equipement, en 2008. Pour le groupe, en revanche, l’intégration du Néerlandais TotalManagement Systems (TMS), en 2010, s’est avérée décisive, en ce qui concerne le marché européen. En effet, c’est sur ses technologies que s’appuie aujourd’hui la nouvelle offre logicielle pour centrales à béton signée Command Alkon. A savoir, les programmes Conactive Process (CP), dédié au pilotage des unités de production, et Conactive Management (CM), destinés au suivi des commandes. Après 45 années d’existence, Command Alkon affiche une large présence internationale. Toutefois, l’Europe centrale, la Scandinavie, l’Afrique et une partie du Moyen-Orient restent encore des territoires à conquérir. Tout comme le Japon et la Corée du Sud. Ce qui n’empêche pas l’éditeur de réaliser un chiffre d’affaires de 130 M$ (120 M€), en 2019 et d’employer près de 600 collaborateurs. Dont 75 % ont une expérience terrain. En déploiement chez Unibéton La zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) est couverte par 80 collaborateurs et génère 11 % du chiffre d’affaires du groupe. Enfin, la France compte une équipe de 17 personnes, pour un chiffre d’affaires de 2,5 M€.« Les solutions Command Alkon ont été déployées sur quelque 900 centrales à béton sur le territoire national,résume Gaël L’Hopital, directeur des opérations pour la France. A l’heure actuelle, 600 sites sont sous contrat de maintenance, ce qui représente 85 producteurs de BPE. » Le dernier très grand déploiement s’opère en ce moment chez Unibéton, qui a fait le choix de faire basculer tout son parc vers le logiciel CP. Aujourd’hui, 140 unités sur les 209 que compte l’industriel en sont déjà équipées. L’essentiel des unités de production de BHR, d’Eqiom (le Réunionnais Teralta y compris), d’Edycem, de Garandeau, du Groupe Pigeon ou encore de Point.P sont autant de références fortes pour Command Alkon.
Il y a 5 ans et 78 jours

Toupret investit 14 millions d'euros dans son 3ème site industriel en France

Alors que le pôle industriel est un des piliers de la transformation du Groupe, TOUPRET lève le voile sur de nouveaux moyens industriels et logistiques. Le leader de la fabrication d'enduits de préparation des murs se dote d'un hub logistique de grande envergure, et d'une nouvelle unité de production d'enduits en pâte pour les gros volumes.
Il y a 5 ans et 78 jours

Le Mobilier national promeut la laine française avec Sheila Hicks

Pour l’édition 2020 des Journées Européennes des Métiers d’Arts, Le Mobilier national s’associe à l’Institut national des métiers d’art pour proposer l’exposition Matières à l’œuvre dans la Galerie des Gobelins (Paris 13e). Cet événement est l’occasion de découvrir des individualités, des savoir-faire mais également des matières qui occupent une place incontournable dans les métiers d’art. La création est également mise à l’honneur avec la Carte blanche à Sheila Hicks et une présentation de la jeune artiste-designer Camille Gasser. Depuis le XVIIe siècle, les manufactures nationales tissent ses tapis et ses tapisseries avec de la laine. Ces fibres textiles n’ont que très rarement été d’origine française. Il apparaissait urgent de repenser l’origine de ces matières premières. Aussi, le Mobilier national a-t-il entrepris une démarche en vue de développer une production de tapisserie et de tapis qui intègre progressivement les laines venant des troupeaux français. Ce projet a séduit Sheila Hicks, la grande artiste américaine vivant en France et qui, depuis de nombreuses années, intègre cette matière première dans la réalisation de ses œuvres internationalement reconnues. La Carte blanche raconte une histoire de la laine française, depuis la matière brute jusqu’au fil, tissé, qui devient art. C’est une histoire de fibre, mais c’est avant tout une histoire de paysage et de territoire, de femmes et d’hommes, d’animaux et de filatures qui, avec patience et savoir-faire, élaborent une matière qui devient œuvre. Exposition gratuite du 3 avril au 3 mai 2020.
Il y a 5 ans et 79 jours

Testo Saveris LifeScience, Solution modulaire complète de monitoring des données de mesure : traçabilité éprouvée et adaptée

Dans le secteur des sciences de la vie, l’assurance qualité est primordiale. La nouvelle solution de monitoring des données de mesure centralisée testo Saveris LifeScience enregistre et analyse l’ensemble des données ambiantes critiques (température, humidité) dans les grands espaces et pendant le transport. Elle avertit instantanément en cas de violation des limites et permet d’avoir une vue d’ensemble, et en temps réel, de la conformité de chaque site. Grâce à son triple stockage sécurisé des données de mesure (dans l’enregistreur, dans la Base et dans la base de données), le système fonctionne avec ou sans communication avec le PC et sauvegarde les données de manière fiable, même en cas de problème de transmission ou de panne de courant. Le système s’adapte ainsi à toutes les situations et aide toutes les entreprises du secteur à réaliser leur travail de manière rapide, efficace et conforme aux directives GxP. testo Saveris, un système modulaire pour une plus grande flexibilité et pour toutes les applications La solution de monitoring des données de mesure testo Saveris comprend la Base testo Saveris V3.0 qui représente le cœur du système, mais aussi trois modèles d’enregistreurs de données testo 150 répondant à toutes les applications : testo 150 TUC4 (4 entrées pour sondes numériques) permettant le remplacement de la sonde étalonnée pendant le fonctionnement et évitant tout interruption de process. testo 150 TC4 (4 entrées pour sondes thermocouples) adapté aux applications industrielles et à la mesure en conditions extrêmes. testo 150 DIN2 (2 entrées pour sondes standard) pour l’utilisation de toutes les sondes testo selon les applications. Uniques sur le marché grâce à leurs modules de communication interchangeables, les enregistreurs de données testo 150 permettent à l’utilisateur de choisir la technologie de communication la mieux adaptée à son infrastructure : WiFi, Ethernet ou radio testo UltraRange (transfert autonome et fiable des données de mesure sur de grandes portées). Logiciel testo Saveris CFR, un accès aux données de mesure à tout moment Grâce au principe ERES (Electronic Records and Electronic Signatures) et à l’Audit Trail du logiciel testo Saveris CFR, la conformité à la norme 21 CFR Part 11 de la FDA américaine et à l’annexe 11 des directives GMP européennes est assuré. Toutes les données de mesure sont enregistrées de manière centralisée et documentées via des rapports PDF sécurisés ou CSV. En cas d’alarme, l’utilisateur reçoit au choix une information via email, SMS ou directement sur l’écran de l’enregistreur par une double identification (voyant lumineux et pictogramme). Les alarmes intervenues sont listées et détaillées dans l’historique sous forme de tableau. testo Saveris Cockpit, une surveillance multisites Le module testo Saveris Cockpit permet une consultation des données via un navigateur web. Grâce à l’intégration complète des plans du bâtiment, les alarmes sont clairement identifiées à l’écran. Chaque acquittement d’une alarme doit être terminé par une signature électronique personnalisée, ainsi que par un commentaire obligatoire sur l’événement. Lorsqu’une certitude de 99% ne suffit pas La solution testo Saveris est synonyme de gain de temps grâce à son système de mesure automatisé, sa documentation centralisée et ses fonctionnalités d’alarme. Elle permet une sécurité élevée des données de mesure dans les process de production, de stockage et transport des produits pharmaceutiques, mais aussi dans le contrôle des salles blanches. Les services associés Testo Testo offre une gamme complète de services pour les prestations de maintenance, de métrologie et de qualification / validation. Le laboratoire d’étalonnage Testo Industrial Services est accrédité COFRAC en température, humidité et pression (120 accréditations pour les grandeurs thermodynamiques, dimensionnelles, électriques et mécaniques) et propose des prestations d’étalonnage en laboratoire ou sur site. Cartographies de volume sous accréditation COFRAC. Une large gamme de prestations de services en ligne (hotline dédiée et forum en ligne) ou sur site, Des contrats de maintenance adaptés à chaque besoin. Des services de validation en concordance avec le GAMP5. Avec la nouvelle solution testo Saveris LifeScience, les entreprises ont l’assurance d’être en conformité avec les directives en vigueur grâce à un système fiable et des services de grande qualité.
Il y a 5 ans et 79 jours

L'Allemagne va aider la Côte d'Ivoire à doubler sa production d'énergies renouvelables

La Côte d'Ivoire et l'Allemagne ont signé à Abidjan un accord visant à permettre au pays d'Afrique de l'Ouest de doubler sa production d'énergies renouvelables d'ici dix ans.
Il y a 5 ans et 79 jours

OCÉWOOD bientôt disponible sur HerculePro !

OCÉWOOD bientôt disponible sur HerculePro ! OCE WOOD, marque de la société OCE PLAST est une gamme de portails et clôtures fabriquées en France, plus précisément près de La Roche sur Yon, en vendée (85). Cet industriel très surprenant, a inscrit depuis son origine dans son ADN la notion d’écologie associée à la performance. C’est ainsi que la matière première constituant ses produits est issue pour sa quasi totalité de recyclage, auquel, par un procédé très technique de co-extrusion y est ajouté de l’anas de lin (partie de la tige du lin habituellement détruite par combustion). Ainsi, l’entreprise inclus du PVC recyclé et de la matière végétale habituellement détruite. Un exemple méritant d’être souligné, de valorisation et de réussite avec un produit fini qualitatif ! En outre, l’entreprise annonce que son mode de production ne génère aucun déchet non réutilisable et des procédés très pointus dans le domaine d’une industrie propre. À découvrir prochainement dans la liste de vos bibliothèques disponibles. www.ocewood.fr/
Il y a 5 ans et 79 jours

Projet national Recybéton : L’usage des granulats recyclés dans les bétons

Les bétons de démolition vont pouvoir offrir une seconde vie à leurs constituants, granulats en tête. [©ACPresse] Dans le cadre du projet national Recybéton, quelque 47 partenaires (maîtres d’ouvrage, entreprises de construction, producteurs de matériaux, ingénieries, assureurs ou encore organismes de recherche) se sont mobilisés durant 6 ans, afin de mettre en œuvre un projet de recherche collaborative. Ainsi de 2012 à 2018, Recybéton a produit différents outils, qui rendent compte des acquis scientifiques dans le domaine du recyclage du béton. En vue de promouvoir et d’accompagner l’utilisation des granulats recyclés dans la production de nouveaux bétons, le projet national a aussi émis plusieurs recommandations. « Ces dernières identifient les possibilités ouvertes à l’usage des granulats recyclés dans les bétons et dressent une liste des bonnes pratiques aux différentes étapes de leur utilisation », précise Recybéton.  I – Quelles sont les exigences, en termes de production des granulats recyclés et de la durabilité des bétons ?  Pour la caractérisation et le contrôle des granulats recyclés, Recybéton préconise de respecter les exigences des normes NF EN 12 620 et NF P 18-545 en y apportant quelques ajustements. Lorsque le béton est soumis à un environnement XF3 ou XF4, chaque lot de gravillons recyclés utilisé doit faire l’objet d’un essai de gélivité. Dans le cadre de la prévention de l’alcali-réaction, le consortium conseille d’éviter l’utilisation des essais crible (essai microbar et à l’autoclave). Il faut ainsi privilégier le bilan des alcalins et/ou l’essai à long terme. Du côté de la durabilité des bétons, Recybéton conseille de prendre en compte un nouveau taux de sulfates plafond pour le granulat recyclé, en limitant plus sévèrement le taux de sulfates pour l’ensemble des granulats de la formule. Il faut aussi utiliser le bilan des alcalins ou l’essai à long terme pour évaluer le risque de développement de l’alcali-réaction d’une formule de béton recyclé. De plus, il convient de prendre des valeurs limites de taux d’incorporation des granulats recyclés supérieures aux valeurs indiquées dans la norme NF EN 206/CN : 2014, pour les gravillons recyclés de type 1 ou 2. Et pour les sables recyclés présentant une absorption d’eau limitée. Pour chaque type de granulats recyclés considéré, ces valeurs dépendent de la classe d’exposition du béton et du rapport Eeff/Leq. Ces valeurs limites sont valables, quelle que soit la résistance à la compression du béton. Les granulats doivent faire l’objet d’essais spécifiques en fonction de leur emploi final. [©ACPresse] II – Quel dimensionnement pour les ouvrages en béton, contenant des granulats recyclés ? L’usage des granulats recyclés peut s’envisager non seulement pour le béton armé, mais aussi pour le béton précontraint sous certaines conditions plus restrictives. Au terme de ses recherches, le projet Recybéton recommande d’utiliser les règles actuelles de calcul de l’Eurocode 2, lorsque le taux d’incorporation des granulats recyclés est faible (pas applicable dans le cas de bétons précontraints). Pour des taux intermédiaires, il faudrait modifier de manière forfaitaire certains modèles de calculs de l’Eurocode 2. A savoir : la densité, la résistance en traction, le module d’élasticité, le fluage et le retrait, la relation (σ-ε) en compression pour l’analyse non linéaire. Mais aussi l’analyse. des effets du second ordre et certains paramètres d’état limite de service (ELS) et d’état limite ultime (ELU). Si les dosages de granulats recyclés sont élevés, il faut mettre en place des procédures, afin de limiter la variabilité des propriétés du béton recyclé et de contrôler de manière expérimentale les propriétés mécaniques critiques du matériau, en plus des modifications pré-citées.  Le béton armé, comme précontraint (sous certaines conditions), peut s’envisager avec des granulats recyclés. [©ACPresse] III – Comment formuler un béton contenant des granulats recyclés ? Dans sa liste de recommandations, Recybéton s’est questionné sur la formulation des bétons dotés de granulats recyclés. Le groupe de recherche en est venu à la conclusion qu’il convient d’appliquer la démarche générale de formulation, sous réserve de considérer certaines spécificités. Comme prendre une marge de sécurité plus importante sur la résistance à la compression moyenne visée. Vérifier les propriétés secondaires (par exemple, le module élastique, la résistance en traction, le retrait ou le fluage) lorsqu’elles sont critiques pour le projet de construction. Mais aussi évaluer le rapport Eeff/Leq, en pensant à la portion volumique des granulats recyclés, tout comme l’ajustement de l’eau efficace. De plus, la formulation doit prendre en compte l’absorption importante d’eau des granulats recyclés dans le calcul de l’eau totale dans le mélange.  IV – Quid de la production et du contrôle ?  L’intégration de granulats recyclés oblige à quelques adaptations dans le process de production du béton. [©ACPresse] L’usage de granulats recyclés nécessite quelques adaptations dans le procédé de fabrication. En termes de stockage de coupures supplémentaires ou l’utilisation de pré-mélanges. Mais aussi sur l’impact des moindres performances du granulat recyclé : absorption plus forte, humidité potentiellement plus forte, résistance à l’attrition et à la fragmentation plus faible. Lorsque la présence de granulats recyclés dans le béton est prise en compte dans la conception de l’ouvrage, la densité du béton devra être contrôlée en même temps que la résistance en compression. De plus, pour les forts taux de recyclage, les propriétés mécaniques critiques pour le projet devront être surveillées par un programme de contrôle approprié. Par ailleurs, le bon de livraison du béton prêt à l’emploi doit être adapté selon les taux de substitution adoptés. V – Comment assurer le béton formulé sur la base de granulats recyclés ? Pour le producteur de granulats recyclés ou de bétons en contenant, le respect de l’ensemble des recommandations de Recybéton facilite l’assurabilité complète quoique facultative des matériaux recyclés. Du fait de produits défectueux, vices cachés ou responsabilité avec ou sans faute. Pour l’entreprise de travaux, l’utilisation de ces bétons entre dans le périmètre de l’assurance décennale obligatoire liée à certains ouvrages. A noter que l’utilisation de ces derniers, au-delà des pratiques reconnues comme des techniques courantes, nécessite impérativement l’information préalable à l’assureur. VI – Booster son bilan environnemental ? Murets réalisés en béton intégrant des granulats recyclés. [©Pierre Vuillemin] Le caractère éco-respectueux des bétons de granulats recyclés issus de la déconstruction est peu valorisé par les méthodes actuelles de calcul de l’Analyse de cycle de vie (ACV). Et surtout au regard de l’indicateur lié au prélèvement de ressources renouvelables. Recybéton recommande de pratiquer l’ACV, selon la norme EN 15804/CN, en utilisant les données de la filière lorsqu’elles sont disponibles et validées, en attendant la publication des règles et exigences décrites dans les PCR (Product Category Rules) à paraître. Il préconise enfin de compléter l’ACV par l’évaluation de nouveaux indicateurs d’impacts (par exemple, économie en granulats naturels, accroissement de la part recyclée des déchets générés par la déconstruction ou flux transportés en t/km). Et d’adapter le circuit d’acheminement des matériaux et la formulation des bétons recyclés de manière à minimiser les indicateurs d’impact.  Source : Synthèse des recommandations du projet national Recybéton. 
Il y a 5 ans et 79 jours

Réfrigération, rafraîchissement et pompes à chaleur sans compression

Lors de l’exposition ChangeNow, plusieurs start-ups ont présenté d’innovantes solutions sans compression pour le froid et la production de chaleur
Il y a 5 ans et 80 jours

Visite ministérielle chez ACO pour la signature du contrat de transition écologique.

Vendredi 7 février, Sébastien Lecornu, Ministre chargé de la Cohésion des Territoires et des Relations avec les Collectivités Territoriales, accompagné d’Emmanuelle Wargon, Secrétaire d’Etat auprès de la Ministre de la Transition Ecologique et Solidaire et Eric Lombard, Directeur Général de la Caisse des Dépôts et Consignations, se sont rendus au siège de l’entreprise ACO France à Notre-Dame-de-L’Isle (27). Les ministres ont profité de cette venue en terre normande pour visiter le site de production de l’entreprise, spécialisée dans les solutions de drainage de surface et de prétraitement des eaux usées et de ruissellement. Un déplacement qui s’inscrivait dans le cadre de la signature du Contrat de Transition Ecologique (CTE) avec la communauté de Seine Normandie Agglomération (SNA). Avec 26 actions concrètes en matière de transition écologique et plus de 26 millions d’euros engagés, ce contrat signé avec la communauté de Seine Normandie Agglomération touchera plus de 85 000 habitants dans la région normande. Si ACO France a été choisie comme lieu officiel pour la signature de ce contrat, c’est en raison de sa démarche conjointement engagée avec Seine Normandie Agglomération pour le lancement de ce plan de transition écologique. En effet, en tant qu’acteur reconnu de la protection de l’environnement, ACO France est particulièrement sensibilisée aux enjeux environnementaux et le prouve chaque jour, depuis plus de 40 ans, en proposant des solutions qui oeuvrent pour une gestion plus écologique et plus durable des eaux pluviales. Une implication qui se traduit également sur le site d’ACO France où plusieurs mesures concrètes ont été mises en oeuvre en faveur de l’environnement : – la formation de 3 référents environnement chargés de mettre en place un plan d’actions favorisant plus d’économies d’énergie au niveau de l’isolation, de l’éclairage et du chauffage, – la réfection du réseau de collecte des eaux usées et pluviales, – des séances de sensibilisation du personnel au développement durable, – la participation de l’école ITII (Institut des Techniques d’Ingénieur de l’Industrie) à ce projet de transition écologique, – le renforcement du tri des déchets et la réduction de l’utilisation des gobelets plastique aux machines à café, – la présence de ruches afin de sauvegarder les abeilles et encourager la biodiversité. D’autres projets sont actuellement en phase de gestation avec notamment, pour objectif à horizon 2023, l’obtention de la certification ISO 14001.
Il y a 5 ans et 80 jours

Fermeture de Fessenheim : rénover l’éclairage offre les 10 TWh manquants

Pour le secteur de l’éclairage, le potentiel d’économies d’énergies offert par la rénovation des éclairages trop anciens, permettrait d’économiser l’équivalent de la production de Fessenheim, et même davantage. En 2013 la consommation d’énergie liée à l’éclairage en France était de 56 TWh (source : ADEME). Cela inclut l’éclairage des bâtiments résidentiels et non résidentiels, ainsi que l’éclairage extérieur (dont l’éclairage public). Les installations d’éclairage obsolètes et énergivores offrent un potentiel d’économie d’énergie de 40 à 80 %, selon leur nature et selon les applications. Un scénario prudent, tenant compte des rénovations déjà effectuées les dernières années, peut retenir la valeur de 40 % d’économies : ce sont donc environ 22 TWh qu’il est possible d’économiser simplement, sans dégrader l’éclairage, voire en l’améliorant. Pourtant, le rythme des rénovations de décolle pas : le nombre d’installations rénovées chaque année reste faible, et les économies générées bien inférieures à ce qu’elles pourraient être. Les exigences de performance fixées par la réglementation sont d’un niveau satisfaisant pour l’éclairage, mais l’absence de moyens de contrôle de la conformité de ces travaux fait craindre des résultats décevants.