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Il y a 5 ans et 80 jours

Fermeture de Fessenheim : rénover l’éclairage offre les 10 TWh manquants

Pour le secteur de l’éclairage, le potentiel d’économies d’énergies offert par la rénovation des éclairages trop anciens, permettrait d’économiser l’équivalent de la production de Fessenheim, et même davantage. En 2013…Cet article Fermeture de Fessenheim : rénover l’éclairage offre les 10 TWh manquants est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 84 jours

COP 2020-2030 : Une feuille de route à 4 ans pour le Cérib

Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, lors de la signature du Contrat d’objectifs et de performance (COP) pour la période 2020-2030. [©A.Salesse] Le 18 février dernier, Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, a signé le Contrat d’objectifs et de performance (COP) pour la période 2020-2030. Un partenariat entre l’Etat, la Fédération de l’industrie du béton (Fib) et le Cérib. Ces dernières organisations étaient représentées par Bertrand Bedel, président de la Fib. Mais aussi, Philippe Gruat, président du Cérib, et Gilles Bernardeau, directeur général du Cérib.  Une feuille de route à quatre ans En effet, le COP 2020-2030 répond aux conclusions de la Mission Cattelot-Grandjean-Tolo et aux engagements exprimés par France Industrie. Dont la Fib est signataire. Ainsi qu’aux enjeux des politiques publiques pour la reconquête industrielle en France. Cinq valeurs ressortent : coopération, expertise, respect, innovation et bien-être au travail, qui animent le Cérib. Le tout complété par une politique RSE active. Ces valeurs « sont aussi un gage de pérennité et de développement pour le Centre, pour les PME et l’ensemble de l’industrie des produits en béton ». Ce Contrat donne ainsi au Cérib une feuille de route à quatre ans, vis-à-vis des bénéficiaires de ses services, de ses partenaires et de ses collaborateurs. La Mission “Organisation, missions et financements des Centres techniques industriels (CTI) et des Comités Développement économique (CPDE)”, diligentée par le Premier ministre, a remis son rapport le 25 juin 2019. Dans lequel il confirmait que« les CTI/CPDE jouent un rôle important de mutualisation et de péréquation au profit des PME industrielles». Et que « les CTI/CPDE remplissent des missions collectives utiles dans leur principe et qui ne sont pas prises en charge par ailleurs ». Le rapport a également conclu à la pertinence du modèle de financement par taxe affectée. Et proposé « en lieu et place du plafonnement, la définition dans les contrats d’objectifs et de performance d’une trajectoire des ressources de taxes affectées et d’une programmation correspondante des actions collectives». Les six grands enjeux du Cérib En accord avec la stratégie “Perspectiv’2025” portée par les politiques industrielles de la filière, le Cérib a retenu six grands enjeux.• Accroître l’impact des actions sur le tissu industriel. Ceci, auprès des PME/TPE par l’accompagnent du plus grand nombre au sein de l’industrie du béton. • Accompagner les PME/TPE vers l’industrie du futur. Et ce, grâce au déploiement de la construction numérique et du BIM. Et aux outils innovants de maîtrise de la production.• Répondre à l’intérêt des parties prenantes pour la transition écologique et énergétique. • Assurer la croissance pour la pérennité d’un service collectif par le développement des activités “ingénierie du feu et de la sécurité incendie”. Ainsi que celles “matériaux et durabilité ”.• Accélérer la transition vers l’économie circulaire dans la construction.• Accroître les coopérations et mutualisations entre les Centres techniques industriels. Ainsi, le Cérib réaffirme dans ce Contrat son engagement de « rendre les services d’intérêt général, de proximité, les plus appropriés à l’industrie du béton de façon efficiente. Ainsi que d’assurer un développement technologique, économique et harmonieux du Centre. En investissant de nouveaux domaines de rupture et d’avenir».
Il y a 5 ans et 85 jours

Magali Laurenço, directrice de Rhône Ciments

Magali Laurenço a rejoint Cem’In’Eu en tant que directrice de Rhône Ciments en janvier 2020. Cem’In’Eu est une start-up industrielle qui développe un concept de production et de commercialisation de ciment en Europe.
Il y a 5 ans et 85 jours

Nominations féminines chez Cem’In’Eu

Vincent Lefebvre et Franck Dupont, les deux fondateurs de Cem’In’Eu, se sont entourés de professionnels reconnus et expérimentés. L’équipe constituée attache beaucoup d’importance à la mixité et la présence de femmes à des postes clefs. Ils viennent de joindre le geste à la parole avec une double nomination. Laurence Lamy, nouvelle directrice marketing et digital  Laurence Lamy est la nouvelle directrice marketing et digital de Cem’In’Eu. [©Cem’In’Eu] C’est ainsi que Laurence Lamy est la nouvelle directrice marketing et digital de Cem’In’Eu. Convaincue de la pertinence du nouveau modèle économique proposé par ce cimentier, Laurence Lamy se donne pour objectif de « conférer à Cem’In’Eu la visibilité et la lisibilité indispensables pour le rayonnement des valeurs incarnées par ce nouveau modèle. Ce qui contribuera ainsi à son développement harmonieux au sein des territoires ». Diplômée de Sciences politiques – Lille et titulaire d’un master en management délivré par HEC, Laurence Lamy a occupé plusieurs postes au sein du groupe Imerys pendant près de 12 années. Ceci, dans des fonctions tournées vers le marketing, la communication et le commerce.  Magali Laurenço, directrice de Rhône Ciments Magali Laurenço est la nouvelle directrice de Rhône Ciments. [©Cem’In’Eu] De son côté, Magali Laurenço est nommé directrice de Rhône Ciments, la future usine cimentière Cem’In’Eu de Porte-lès-Valence (26). Elle aura la responsabilité de l’ensemble du site de production. Elle est désormais la seconde femme directrice d’usine du groupe. En effet, Audrey Bonnet assure la direction d’Aliénor Ciments, premier site de Cem’In’Eu. De formation ingénieur Arts et Métiers, Magali Laurenço a plus de 13 ans d’expérience en industrie cimentière chez Ciments Calcia, à des postes à responsabilités en process, maintenance et fabrication. Dernièrement, elle était directrice production et maintenance de l’usine HeidelbergCement de Cruas (07).
Il y a 5 ans et 87 jours

Tekla Structures : Le logiciel BIM pour l’industrie du béton

Tekla Structures, béton coulé sur site bénéficie de fonctionnalités adaptées à l’exécution d’éléments coulés sur site. Cela permet de créer des modèles 3D détaillés de structures en béton et de générer les informations de fabrication et de montage correspondantes. Tekla Structures est un outil puissant qui intègre les informations d’armature aux matériaux de construction et suit le projet dans son intégralité, de la conception à la construction. En effet, Il s’agit de la seule solution permettant l’intégration d’informations telles que les schémas d’armature des ferraillages et leur utilisation pour la construction. Des outils intuitifs pour l’industriel du béton Tekla Structures de Trimble est une solution logicielle performante, orientée BIM, idéale pour les constructions en béton préfabriqué. D’abord, le logiciel intègre la conception et l’exécution ainsi que la fabrication et la gestion de projet. De plus, vous pouvez rationaliser l’intégralité du processus de préfabrication du béton, du devis a la livraison. En effet, les outils intuitifs de Tekla Structures, vous permettent de modéliser précisément n’importe qu’elle structure. Mais aussi, d’utiliser les données extraites du modèle pour planifier et contrôler votre production. Enfin, en coordonnant efficacement toutes les opérations de conception, de fabrication et de montage. Vous sécurisez la qualité des informations transmises et réalisez vos projets de manière plus fluide, sans erreurs et sans gaspillage. Logiciel Tekla de Trimble Trimble produit les solutions logicielles Tekla. Ces derniers font partie du portefeuille de Trimble Buildings, pour les flux de travail Modélisation de l’Information du Bâtiment (BIM) et d’ingénierie structurelle avancés. La gamme de solutions Trimble pour la construction s’étend des stations totales aux logiciels avancés. Ainsi le secteur du bâtiment des outils nécessaires pour la transformation de la planification, de la conception, de la construction et du fonctionnement des bâtiments. Les logiciels Tekla sont au cœur du processus de conception et de construction. Ils s’appuient sur la libre circulation des informations, sur des modèles 3D réalistes et sur la collaboration. Pour plus d’informations sur les logiciels Tekla, rendez-vous sur : www.tekla.com
Il y a 5 ans et 87 jours

La construction métallique croit et recycle

Le Syndicat de la Construction Métallique de France (SCMF) représente le secteur de la construction métallique française avec plus de 800 entreprises. Après une année 2019 clôturant en production à 780 000 tonnes usinées, le marché de la construction métallique progresse de près de 4 % par rapport à l’année 2018, la croissance de 2008 avait déjà atteint près de 4,3 %. Fin janvier 2020, les carnets de commandes des entreprises adhérentes au SCMF représentent plus de 6 mois de visibilité. Un dynamisme qui, pour certaines régions ou secteurs d’activité, atteint même plus de 12 mois. Les bureaux d’études des constructeurs métalliques voient également leur activité progresser nettement. Développement durable et économie circulaire La filière acier milite pour une construction durable et responsable et rappelle que depuis toujours l’acier est recyclé. Actuellement, en France, 93 % à 97 % des aciers utilisés en construction métallique sont des aciers recyclés. L’acier est recyclable à l’infini sans perdre ses caractéristiques mécaniques. Cette qualité a également pour avantage de préserver les ressources naturelles en évitant de puiser dans les réserves de minerai de fer. Les chutes de production sont systématiquement recyclées, même les copeaux d’acier de perçage sont récupérés, ce qui permet d’atteindre un niveau de recyclage des aciers de récupération de 99 %. Les qualités naturelles de l’acier, conjuguées à la numérisation BIM et à la traçabilité de tous ses produits, font que la filière acier est déjà organisée pour le « diagnostic déchets avant démolition » et le réemploi. Photo : Extension Arena Nancy – SCMF
Il y a 5 ans et 91 jours

En 2020, SOPROFEN mise sur une combinaison unique de talents, de marques et de produits !

Racheté il y a un an par le groupe Bouyer Leroux, SOPROFEN a rejoint le pôle fermetures de ce numéro un français sur le marché des briques de mur et de cloison. Aujourd’hui, l’entreprise présente une équipe dirigeante renouvelée et affirme son ambition de devenir « leader durablement, rentablement et différemment » grâce à des investissements commerciaux et industriels.  La force d’un outil industriel soutenu par une équipe soudée Créé en 1984 à Mertzwiller, SOPROFEN a débuté comme fabricant de profilés PVC. Devenu concepteur gammiste de volets roulants, l’entreprise a élargi au fur et à mesure ses activités pour s’inscrire comme un acteur majeur sur le marché de la fermeture. Aujourd’hui, SOPROFEN compte 495 collaborateurs répartis sur ses 8 sites de production en France (Mertzwiller, Froideconche, Champagney, Marssac sur Tarn, Lassay, Cholet) et en Belgique (Lokeren, Charleroi), sur une surface totale de plus de 55.000 m2. Cette organisation lui garantit un maillage territorial optimal pour distribuer ses solutions innovantes de volets roulants, portes de garage, protections solaires, vitrages de balcons, ses accessoires de pose et pièces détachées. Implanté au cœur de ses marchés, SOPROFEN se distingue par sa stratégie de distribution multi-canal :  les revendeurs installateurs, fabricants et réseaux avec la marque SOPROFEN FERMETURES, les négoces avec TBS PRO racheté en 2012, qui connaît dernièrement une croissance de plus de 20%, les services assurés par SOPROFEN DISTRIBUTION. Cette personnalisation marché, avec pour chacun une marque propre et une force de vente dédiée, permet à SOPROFEN de bénéficier d’un certain équilibre si l’un des canaux est en retrait. Cette proportion se retrouve aussi dans son activité équitablement répartie entre le marché du neuf et la rénovation. Fidèle à cette qualité des produits et des services qui ont fait son succès, des valeurs partagées avec le Groupe Bouyer Leroux, SOPROFEN souhaite aujourd’hui poursuivre son développement grâce aux compétences de chacun, en commençant par celles de sa nouvelle équipe de direction. Autour d’Emmanuel Lesage, Directeur Général, SOPROFEN peut compter sur l’expertise de collaborateurs historiques (Laurent Darous – Directeur Commercial, Renaud Pflazgraf – Directeur Marketing et Olivier Hess – Directeur Recherche & Développement) qui ont été rejoints par Frank Kessler – Directeur Financier, Emmanuel Lerch – Directeur des Ressources Humaines et Jean-Michel Paucod – Directeur Général Adjoint en charge de l’industrie. Ainsi constitué, le nouveau comité de direction a défini la vision de SOPROFEN pour le futur : « devenir un leader durablement, rentablement et différemment grâce à une équipe soudée où chacun est acteur et entrepreneur du succès commun ». De nouvelles ambitions et des projets stratégiques à 5 ans Avec un chiffre d’affaires consolidé de 113 millions d’euros en 2019 et un prévisionnel de 120 millions en 2020, SOPROFEN vise les 150 millions d’euros, hors croissance externe, dans les 5 ans à venir. Pour atteindre cet objectif ambitieux, le fabricant s’appuie sur un certain nombre de projets stratégiques. D’un point de vue commercial, afin de se développer prioritairement en Belgique, aux Pays Bas et au Luxembourg, les effectifs de la force de vente seront augmentés de 25% sur les trois prochaines années, tous réseaux de distribution confondus. Ce renforcement des équipes s’accompagne : d’une digitalisation soutenue visant à simplifier la prise de commandes grâce à une part de l’EDI qui passera progressivement de 30 à plus de 60% et grâce à la plateforme numérique E-SoPro, de services et d’outils d’aide à la vente spécifiques par canal de distribution (lancement d’une cellule chantier en 2019, hotline technique, ouverture d’un 5ème centre de formation agréé…). Installé en Belgique depuis plusieurs années via son site de production de Charleroi et son magasin Allo Volet, SOPROFEN est bien implanté sur le marché wallon (30% de part de marché). Sa volonté est désormais de pénétrer le marché flamand en dupliquant ce modèle dans les Flandres et à Bruxelles pour atteindre 15 millions d’euros d’ici 3 ans, puis 20 millions. En ce qui concerne l’offre produits, outre la fabrication de plus de 300.000 volets par an parmi lesquels le bloc-baie PSE2 aux performances supérieures en terme d’isolation, d’étanchéité et de perméalibité à l’air, SOPROFEN ambitionne d’augmenter la capacité de production de ses usines d’ici 5 ans notamment en : doublant celle dédiée aux portes de garage (actuellement à 12.000 unités par an), tout en continuant à proposer des solutions toujours plus qualitatives, très faciles à poser pour l’installateur et personnalisables à l’envie (laquage, applique, hublots…) pour le particulier, à l’image de la nouvelle version de sa porte de garage latérale, développant l’unité de production de stores screen lancée récemment à Marssac sur Tarn pour accompagner le vif succès rencontré par cette solution de protection solaire (historiquement plutôt présente au Bénélux, en Suisse et en Allemagne) qui arrive en France notamment chez le particulier via le Screen Zip. En tout, ce sont une vingtaine de millions d’euros qui seront investis dans les outils de production. Autre levier de croissance, la 2ème monte des volets roulants pour lequel, avec plus de 4 millions de volets par an, le parc installé à réparer est estimé à plus de 100 millions. Grâce à son nouveau site internet www.allo-volet-service-store.fr qui compte 5.000 références produits destinées à la pose et modernisation de fenêtres et de volets roulants, SOPROFEN entend bien devenir un des acteurs leader de ce marché et passer de 1,6 à 5 millions d’euros de chiffre d’affaires avec cette seule activité d’ici les quatre prochaines années. Enfin, pour développer son chiffre d’affaires, SOPROFEN va s’appuyer sur la force unique de prescription du groupe Bouyer Leroux qui va pouvoir proposer des solutions éco-performantes comme par exemple, la brique Mono’Mur associée au store screen, et ainsi apporter aux architectes, maîtres d’ouvrage, promoteurs, cmistes… une réponse pour construire (ou rénover) un habitat sain et économe en énergie.
Il y a 5 ans et 92 jours

Reproduction et exposition de la charpente de Notre-Dame à Pantin

La reproduction d'un segment de la charpente de Notre-Dame, réalisée par des apprentis des Compagnons du Devoir, est exposée depuis mardi et jusqu'à jeudi à Pantin, a annoncé le centre de formation dans un communiqué.
Il y a 5 ans et 92 jours

Les solutions contructives Xella ont participé au projet « Sur le chemin de l’école » à Montbrison médaillé d’or au Challenge LCA-FFB – Le béton cellulaire, un atout décisif pour ce programme bas carbone

« Sur le chemin de l’école » est un ambitieux projet mené en plein coeur de Montbrison (42) dans la Loire, pour lequel l’entreprise Société Construction du Forez (SCF) a été retenue par la municipalité pour réhabiliter l’ancienne école classée tout en construisant 41 logements collectifs, un parking public et des locaux dédiés aux activités professionnelles. Véritable prouesse technique tant sur le plan thermique qu’énergétique, ce programme immobilier de 3812 m2 sur 4 niveaux est en avance sur la future réglementation énergétique, la RE2020, puisqu’il est labellisé E+C- avec un niveau de performance E2C2 en zone H1C validé par Promotelec. Du choix des matériaux aux équipements, tout a été mis en oeuvre pour atteindre les meilleures performances énergétiques. Daniel Dumas, dirigeant de l’entreprise SCF et adepte du béton cellulaire Ytong, a naturellement choisit cette solution constructive pour l’enveloppe du bâtiment. Les performances thermiques, la facilité et la rapidité de sa mise en oeuvre de ce matériau en font une solution idéale pour répondre aux contraintes de ce type de projet de logements collectifs en R+3. Xella, qui a contribué à la performance énergétique de ce projet atypique et bas carbone, se félicite de la médaille d’or remportée par son partenaire SCF dans la catégorie «Réalisations remarquables promoteurs» au challenge de l’habitat innovant 2020 de LCA-FFB (organisation des Constructeurs et aménageurs de la Fédération française du bâtiment).   « Sur le chemin de l’école »… Daniel Dumas, dirigeant de l’entreprise Société Construction du Forez (SCF) est à l’origine du projet « Sur le chemin de l’école ». Inspiré par cette école de Montbrison, qui était celle de son enfance, il a souhaité lui offrir une seconde vie en créant un ensemble de logements collectifs, un parking public et des locaux dédiés à des professions libérales. Pour Daniel Dumas, la médaille d’or obtenue lors du Challenge de l’habitat innovant 2020 de LCA-FFB est une très belle récompense. « C’est une reconnaissance de la profession pour ce que nous réalisons depuis maintenant plus de 20 ans. En effet, nous entretenons une politique de projets, parfois ambitieux, mais en privilégiant toujours la qualité et le confort des occupants. Nous travaillons sur le système constructif, ce qui nous permet d’obtenir des performances plus qu’intéressantes aussi bien au niveau carbone qu’énergie. »   Un bâtiment à énergie positive et faible empreinte carbone L’architecte Jacques Didier, qui a travaillé aux côtés de Daniel Dumas, a imaginé dans la continuité de cette école un nouveau bâtiment, relié par une passerelle. Symbolisant le lien entre le passé et le présent, cette passerelle longe la façade de l’ancien établissement scolaire. Des escaliers en cascade permettent d’atteindre le 4e étage coiffé d’une grande et élégante verrière. Positionnée au faîtage d’une toiture en forme d’avion, elle inonde de lumière l’ensemble des parties communes jusqu’au rez-de-chaussée. L’entreprise SCF a combiné les meilleurs matériaux et équipements pour atteindre des valeurs énergétiques exemplaires : -15% sur le niveau de Cep et -50% sur le niveau de Bbio par rapport à l’exigence de la RT2012. Ces résultats ont d’abord été obtenus par un bâti performant qui combine la maçonnerie isolante en béton cellulaire Ytong Verti 25 à la laine de verre, isolant thermique par l’intérieur sélectionné par le constructeur. Cette enveloppe thermique a été associée à un système 100% électrique «effet joule», un chauffage par le sol rayonnant et une production d’eau chaude thermodynamique couplée à la VMC. Les occupants des logements bénéficient ainsi d’une consommation énergétique particulièrement réduite avec une facture estimée à moins de 300 euros TTC/an pour un T3 de 72 m2.   Le béton cellulaire, un matériau à haute performance thermique… L’évidence dans le choix du matériau pour ce projet vient de la longue expérience Daniel Dumas avec le béton cellulaire. « Cela fait un peu plus de 10 ans qu’on l’utilise. Nous avions commencé par les murs Ytong en maisons individuelles. Ensuite, nous voulions utiliser ce matériau pour les immeubles. Les équipes Xella m’ont confirmé, à l’époque, qu’on pouvait faire du R+4. Depuis, tous nos immeubles sont construits à 100% en béton cellulaire avec notamment la gamme Ytong Verti. » Ce choix a finalement permis de positionner SCF comme une entreprise innovante. « Le choix du matériau fait notre différenciation. Dans le secteur, nous étions les seuls à en proposer. Nous construisions des maisons bien mieux isolées que les autres ! On pouvait facilement en vanter les performances thermiques… Aujourd’hui, de plus en plus de clients se sentent concernés par les questions thermiques et énergétiques.»   … qui offre un grand confort de vie Avec les produits Ytong, l’entreprise SCF garantit également aux propriétaires un bâti sain et performant, qui leur offrent un meilleur confort de vie et d’importantes économies d’énergie. D’ailleurs, le confort d’été est aussi un argument fort « La chaleur rentre moins vite dans leur maison que dans une maison en parpaing. Ils gardent davantage de fraîcheur, ce qui est important surtout avec les épisodes de canicules se succèdent. »   et qui a de l’avenir Daniel Dumas a donc bien l’intention de rester fidèle au béton cellulaire : « Je sais que nous sommes performants et la preuve est faite avec ce chantier très exigeant. En obtenant ce label E+C-, nous nous rapprochons grandement de la future réglementation thermique. C’est le but, nous devons continuer à avancer. Ainsi, nous aurons moins d’efforts à faire pour être conformes à la nouvelle réglementation. » En effet, utiliser les solutions constructives saines et durables Xella, c’est être déjà prêt pour l’avenir et la mise en application de la RE2020. Les performances thermiques et environnementales des murs Ytong Verti permettent de prétendre à des labellisation E+C- ouvrant droit au bonus de constructibilité.   Une simplicité de mise en oeuvre Autre atout, la facilité et la rapidité de pose des blocs Ytong. « C’est assez simple, ça ne demande pas de matériel extraordinaire. Avant, avec le parpaing, c’était plus fatigant, nous avions besoin de plus de matériel… Le béton cellulaire a permis un important gain de temps et au niveau des coupes, avec la scie, on réalise un travail parfait. Cela se prête très bien à la construction de maisons sur-mesure qui comportent parfois des angles, des Y, des formes qui sortent de l’ordinaire. » explique Daniel Dumas. Le format du bloc permet un gain de temps de l’ordre de 30%. La pose est facilitée par la légèreté des blocs, moins de 20 kg, et leur maniabilité.   Avantage du béton cellulaire Ytong Verti • Matériau plein et porteur sur toute la surface d’appui qui permet de construire jusqu’à R+4 niveaux. Les murs peuvent résister aux aléas du temps tout en conservant durablement leurs performances. • Performance environnementale : répond au label E+C-. • Propriétés coupe-feu : Une résistance au feu REI 180 min, une résistance mécanique Rcn de 4,50 MPa et une liberté de choix de l’isolant jusqu’à R+4. • Efficacité thermique 3 en 1 avec une maçonnerie à fort pouvoir isolant, un R à partir de 1,43 jusqu’à 2 avec rupteur de pont thermique intégré, et une excellente étanchéité à l’air avant la pose de l’enduit extérieur. Le système constructif Ytong Verti se compose de 3 éléments essentiels : blocs à poignées, chaînage vertical et chaînage horizontal.
Il y a 5 ans et 92 jours

Carte de visite 2020 d'ENGIE France Renouvelables

Présentation des activités d’ENGIE dans les énergies renouvelables : Partenaire de référence des collectivités et des entreprises engagées dans la transition zéro carbone, nous sommes le premier développeur d’énergies renouvelables en France : 1er producteur éolien, 1er producteur solaire, 1er producteur alternatif hydroélectrique, et pionner dans la production de gaz verts.
Il y a 5 ans et 92 jours

Seimat : Recul des ventes des matériels pour le béton

Les toupies affichent – 11 %, passant de 1 295 unités vendues en 2018 à 1 148 unités en 2019. [ACPresse] Le Seimat* vient de publier les chiffres de vente des matériels sur BTP en France. Et, ils ne sont pas terribles, du moins en ce qui concerne ceux dédiés au béton ! C’est d’ailleurs le seul secteur en recul… Celui-ci atteint – 11 % en moyenne, en nombre de matériels vendus. Mais tous les matériels pour le béton ne sont pas impactés de la même manière. Certains tirent même bien leur épingle du jeu. Dans le détail, les toupies affichent – 11 %, passant de 1 295 unités vendues en 2018 à 1 148 unités en 2019. Les pompes automotrices perdent, quant à elles, un quart de leur vente entre 2018 et 2019. Elles finissement l’année à – 24 %, soit 68 unités en 2019, face à un joli 89 unités en 2018.  – 10 % attendus en 2020 A contrario, les pompes de chantier progressent de 14 % sur un an (14 unités en 2018 vs 16 en 2019) et les malaxeurs-pompes, de 8 %. Ceux-ci ont atteint le chiffre de 94 unités vendues en 2019, contre 87 en 2018. En global, toutes catégories confondues, les matériels pour béton ont achevé l’année à 1 326 unités. Fin 2018, ils étaient à 1 485 unités vendues. Le Seimat souligne que cette baisse générale est observée. Ceci, malgré une activité soutenue, en termes de production de béton prêt à l’emploi (BPE) pour les secteurs du bâtiment comme des travaux Publics. Pour 2020, le Syndicat projette des ventes une nouvelle fois en baisse, de l’ordre de – 10 %. *Syndicat des entreprises internationales de matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage, manutention.
Il y a 5 ans et 93 jours

Les Misérables aux Oscars ou la favela made in France

Aux Oscars, Les Misérables sans défense face aux parasites, tout comme J’ai perdu mon corps face à une franchise Pixar vieille de 20 ans. Si la production cinématographique française est repartie bredouille d’Hollywood, la force de ces deux films qui […] L’article Les Misérables aux Oscars ou la favela made in France est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 93 jours

Le numéro 85 d’Atrium patrimoine et restauration est paru.

Le numéro 85 d’Atrium est paru. Découvrez son éditorial: PASSAGE DANS L’ESPACE-TEMPS Le musée, média essentiel de transmission des valeurs liées au patrimoine, mérite toute notre attention. Il donne à voir et, bien sûr, à penser. Il forme un passage dans l’espace et dans le temps. Aujourd’hui soumis, comme l’ensemble de la société, à de fortes injonctions, il doit restituer et transmettre les connaissances accumulées dans les collections sans en trahir l’essence. Comment rendre compréhensible, par des esprits contemporains individualistes et pétris de certitudes, des productions culturelles issues d’une société tellement différente, sans porter un jugement de valeur anachronique. La réécriture historique, tellement à la mode, constitue un écueil certain. Cet enjeu rend ce média passionnant, subtil et dangereux. Suivre la ligne de crête entre incompréhension et révisionnisme pour déboucher sur le meilleur en évitant le pire. Humilité, respect et amour du patrimoine doivent guider l’action de professionnels conscients de leur immense responsabilité afin de réussir une transmission sans trahison. Bonne lecture Bernard Lechevalier – Rédacteur en chef Découvrir le numéro en cliquant ici Vous souhaitez avoir le numéro 85 d’Atrium patrimoine et restauration ? rendez-vous sur Kiosque 21
Il y a 5 ans et 93 jours

Street art à Bonneuil-sur-Marne

Dans le cadre de son programme d'art urbain, la Fondation du Groupe Colas invite des artistes à intervenir sur les sites de production du Groupe. A Bonneuil-sur-Marne, une usine d'enrobés a servi de page blanche à l'artiste marseillais @alfe.fm.
Il y a 5 ans et 97 jours

En 2019, les ENR ont couvert un quart de la consommation électrique

ÉNERGIE. Le Panorama de l'électricité renouvelable 2019 montre que les énergies vertes ont produit 53.609 MW l'année dernière, un niveau en hausse de 2.347 MW. La production électrique renouvelable a ainsi pu couvrir 23% de la consommation française. En parallèle, le ministère de la Transition écologique a annoncé les lauréats de la 9e période de l'appel d'offres d'installations photovoltaïques sur bâtiments.
Il y a 5 ans et 97 jours

La plateforme de mutualisation des poseurs

En direct du salon Eurobois 2020, nous allons parler d’une plateforme de mutualisation de poseurs avec nos invités. Invités : Philippe Jarniat – L’Ameublement Français Frédéric Sorret – HASAP Coralie Lemire – Lito Production
Il y a 5 ans et 97 jours

Carl Fredrik Svenstedt Architecte : Chai Delas Frères

Le nouveau chai de la Maison Delas Frères, signé Carl Fredrik Svenstedt, est un monolithe raffiné à la façade remarquable, installé au cœur de la commune de Tain l’Hermitage (26). Retour sur un ensemble qui met l'architecture et le vin à l'honneur. La maison Delas Frères prend place au centre du village de Tain l’Hermitage, commune caractérisée par ses coteaux et ses terrasses ondulantes plantées en vigne. Déjà implantée dans la région depuis des années, la maison se voit désormais enrichie d’un ensemble destiné à la production et à l’accueil du public imaginé par l’agence Carl Fredrik Svenstedt Architecte. Leur intervention s’articule en deux temps : la réhabilitation d’un hôtel particulier existant en un lieu de réception et la création d’un chai vinicole. Déjà existant mais tombé en désuétude, un hôtel particulier conserve sa façade bourgeoise de la fin du XIXème siècle mais se voit transformé en un lieu d’accueil et une maison d’hôtes de 11 chambres destinées aux séjours des amateurs de vin. Au rez-de-chaussée, des salles de réceptions et une cuisine attendent les convives quand au sous-sol, une cave voûtée abrite les plus grands crus de la maison. Cette structure domine un jardin clos de murs dont les espaces verts ont été conçus par Christophe Ponceau et Mélanie Drevet. Le nouveau chai, quant à lui, s’élève face à une colonnade de pierres du caveau de vente et de dégustation – installé derrière un mur de clôture donnant sur la rue – et est dissimulé derrière une imposante façade de calcaire culminant à 7,6 mètres et s’étalant sur 80 mètres de long. Véritable marqueur d’identité du lieu, ce voile de pierre réinterprète le relief de la région grâce à ses courbes poétiques. Cette longue façade dissimule le cuvier et le chai à barriques ainsi que des locaux de travail et de production ayant accès à une arrière-cour prévue pour recevoir des véhicules agricoles. Si cet ensemble est destiné au processus de conception du vin, il contribue néanmoins à faire rayonner la région. En effet, il propose un parcours œnologique aux visiteurs qui pénètrent dans l’enceinte via une double rampe desservant les deux étages de la structure et permettant, grâce à deux baies vitrées, d’apercevoir le cuvier et le chai à barrique. Et pour prolonger le séjour, un chemin relie directement le chai à l’hôtel particulier, concluant le parcours. Un enchantement pour tous les amateurs de bon vin. Pour en savoir plus, visitez le site de Carl Fredrik Svenstedt Architecte Photographies : Dan Glasser Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 99 jours

FREAKS : Sammode Research and Innovation Center

Sammode – Société d’Application des Méthodes MODernes d’Éclairage électrique – est une entreprise familiale française, spécialisée dans l’éclairage industriel et architectural, connue pour ses tubes fluorescents hermétiques très résistants. Fondée en 1927 à Châtillon-sur-Saône (88) par Louis Lemaire pour fabriquer des luminaires de qualité, Sammode ambitionne aujourd’hui de concevoir éclairages – techniques ou décoratifs –, toujours plus performants. La société se tourne vers l’innovation et créé un centre de recherche dernier cri – le Sammode Research and Innovation Center –, qu’elle a installé dans les locaux d’une ancienne imprimerie réhabilitée par le talentueux trio de FREAKS. Situé dans la ville de Lamotte-Beuvron, en Sologne (41), le Sammode Research and Innovation Center est un centre de recherche et développement, qui vient compléter les services marketing et commercial situés à Paris et le site de production historiquement implanté dans les Vosges (88). L’entreprise a fait appel à l’agence FREAKS, créée en 2007 par les architectes Yves Pasquet, Cyril Gauthier et Guillaume Aubry, pour réaliser la réhabilitation d’un ancien hangar industriel en un laboratoire de recherche et de développement constitué de salles de travail, d’étude et de production de prototypes. Afin de répondre aux impératifs du programme et aux ambitions de l’entreprise, l’équipe de FREAKS a opté pour des opens paces, des généreux espaces de bureaux ouverts, envisagés comme des plateformes d’échange. Seules les salles laboratoires, qui requièrent un aménagement technique spécifique, sont fermées et isolées pour tester la qualité, la résistance, les paramètres et les normes de chaque nouveau prototype. Les espaces de travail, répartis sur un seul niveau, s’organisent en trois entités distinctes de 350 mètres carrés chacune : un espace de bureaux et d’espaces partagés, une zone de montage et une partie dédiée au prototypage des luminaires. Les salles de réunion, semblables à des serres de jardin en verre, laissent visibles les recherches collectives tout en isolant les conversations grâce à un vitrage acoustique innovant. À l’exception des quatre cellules construites en structure bois, étanches à l’air et à la lumière, qui abritent des salles de tests, les espaces sont ouverts, fluides et partagés. À l’extérieur, le bâtiment revêt désormais une enveloppe argentée, une alternance de tôles ondulées inox pleines et perforées qui crée des jeux de transparence. La mise en lumière de la façade, réalisée par Sammode, est un clin d’œil évident aux activités du centre. L’aménagement d’une terrasse en prolongement de la façade, ainsi que la création d’un patio végétalisée et la plantation de plusieurs végétaux, assurent également à l’équipe travaillant sur le site un confort de vie certain. Réhabilité, le centre est un espace propice à l’innovation et la recherche, de la conception à la réalisation des nouvelles solutions d’éclairage et collections de luminaires design. Pour en savoir plus, visitez le site de FREAKS Photographies : David Foessel, Elisa Welz Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 99 jours

C'est en Alsace que Fichet conçoit le «safe building» résistant au terrorisme

L’entreprise française concentre à Baldenheim (Bas-Rhin) sa production de menuiseries de sûreté, qu’il a significativement remanié en conséquence des récents attentats.
Il y a 5 ans et 100 jours

Net coup de frein de l'activité pour les matériaux de construction au quatrième trimestre 2019

Le freinage de l'activité, graduel depuis le printemps, s'est brusquement accéléré au début de l'automne. Les chiffres du quatrième trimestre confirment en effet une nette contraction de la production des matériaux de construction, tirant vers le bas les moyennes annuelles 2019.
Il y a 5 ans et 100 jours

La construction métallique tourne rond

Le Syndicat de la construction métallique de France a confirmé, pour la 5ème année consécutive, toute la dynamique d'une filière qui affiche une activité en hausse de plus de 3,5 % en 2019 (soit 3,8 milliards d’euros) et des carnets de commandes à fin janvier 2020 représentant en moyenne 6 mois de production
Il y a 5 ans et 100 jours

Les énergies renouvelables, de plus en plus compétitives

A l’occasion des Assises de la Transition Energétique, l’ADEME a publié une mise à jour de son étude 2017 sur les « Coût des énergies renouvelables en France ». L’éolien terrestre et les centrales au sol photovoltaïques sont aujourd’hui des moyens de production d’électricité compétitifs vis-à-vis des moyens conventionnels : pour les installations mises en service entre 2018 et 2020, les coûts de production pour l’éolien terrestre seront compris entre 50 et 71 €/MWh et 45 et 81 €/MWh pour les centrales au sol photovoltaïques, alors que les coûts de production d’une nouvelle centrale à gaz à cycle combiné sont compris entre 50 et 66 €/MWh. Ainsi, sur la période 2015-2020, les coûts de production de ces deux technologies devraient baisser respectivement de 18 et 40%. Ces résultats confirment ceux de la publication de la Commission de Régulation de l’Energie de février 2019, qui constate, par exemple, que 30% des projets de centrales au sol de grande taille ont un coût moyen de 48€/MWh. Chez les particuliers, les solutions bois énergie offrent des coûts de revient moins élevés et donc globalement plus compétitifs que leurs concurrents conventionnels : entre 62 et 129 €/MWh contre une fourchette de 129 à161 €/MWh pour le fioul et de 99 à 115 €/MWh pour le gaz. Les pompes à chaleur géothermiques se rapprochent de la solution gaz avec des coûts de production entre 81 et 126 €/MWh. Le même constat est observé pour les pompes à chaleur air/eau dont les coûts de production sont respectivement compris entre 87 et 143 €/MWh. Néanmoins, le développement des solutions EnR chez le particulier nécessite le maintien des aides publiques. En effet, même les solutions les plus compétitives (bois énergie et géothermie), peinent à se développer à cause de barrières freinant le passage à l’action (le coût de l’investissement initial est particulièrement élevé). Dans le collectif, hors subvention, les solutions EnR ayant le plus fort potentiel de développement (biomasse, solaire thermique ou géothermie de surface) sont plus coûteuses que les solutions gaz : la biomasse (51-96 €/MWh), le solaire thermique sur toiture (64-165 €/MWh) et la géothermie de surface (88–140 €/MWh) ont un coût supérieur à ceux d’une chaudière gaz (51-85 €/MWh). La géothermie profonde (15 -55 €/MWh) et la récupération de chaleur sur UIOM (15-29€/MWh) ont, elles, des coûts de production très compétitifs, mais leur potentiel de développement est plus limité et elles nécessitent le développement d’un réseau de chaleur pour être exploitées; leurs coûts de production ne sont donc pas directement comparables à ceux d’une chaudière gaz en pied d’immeuble.
Il y a 5 ans et 100 jours

Krohne nomme un nouveau président du conseil d’administration

Rolf Theenhaus (à droite) cède la présidence du conseil d’administration de Krohne à Michael Rademacher-Dubbick. [©Khrone] Michael Rademacher-Dubbick prend la présidence du conseil d’administration de Krohne. Tandis qu’Attila Bilgic, Stephan Neuburger, Ingo Wald et Ansgar Hoffmann forment le nouveau comité de direction du groupe. Ces changements annoncent un passage générationnel au sein de l’entreprise familiale. Après presque 40 ans de présidence du conseil d’administration de Krohne, Rolf Theenhaus se retire. Michael Rademacher-Dubbick, qui a dirigé le groupe “avec succès pendant plus de 25 ans” en tant qu’actionnaire dirigeant,prend sa relève. Mettant ainsi en avant le lien étroit et permanent entre la famille propriétaire et ses activités. Le nouveau comité de direction Attila Bilgic est le nouveau directeur général et porte-parole du comité de direction du groupe Krohne. Il est responsable des secteurs de la recherche et du développement, de la propriété intellectuelle, de la production, de la gestion de la qualité, du marketing et de la gestion de produit. Quant à Stephan Neuburger, il « stimulera la croissance dans de nouveaux secteurs d’activité en tant que » directeur du développement. Ingo Wald et Ansgar Hoffmann sont nouvellement nommés au comité de direction. En sa qualité de directeur financier, Ingo Wald est chargé des services “finances et ressources humaines”. Le quatrième membre, Ansgar Hoffmann, est le nouveau directeur des ventes et est aussi responsable de l’informatique. 
Il y a 5 ans et 104 jours

Fabemi propose une offre vraiment « béton »

Depuis sa création en 1961, le Groupe Fabemi poursuit son ascension en diversifiant sa production au moyen de technologies innovantes. Jusqu’au milieu des années 1980, cette entreprise familiale implantée à Donzère, dans la Drôme provençale, ne fabriquait que des blocs béton pour la construction.
Il y a 5 ans et 106 jours

VIPros : le programme de fidélité dédié aux professionnels du bâtiment devient multi-canal avec une palette de services élargie !

Lancé en 2017, le programme de fidélité VIPros, dédié aux artisans et regroupant des marques référentes et complémentaires dans l’univers du bâtiment, évolue pour offrir encore plus de services à ses adhérents et à ses membres. Cette démarche collective a été initiée dans l’objectif de favoriser les liens directs entre les industriels et les professionnels du bâtiment, en partenariat avec les distributeurs ; de quoi créer de véritables synergies entre les différents acteurs du marché. Pour les artisans, le programme VIPros est un formidable outil d’accompagnement au quotidien avec des informations en temps réel sur la valeur ajoutée des produits et les innovations des marques partenaires,mais aussi les cadeaux et les services proposés en échange de leur implication et de leur fidélité.Pour les marques partenaires, ce concept permet de mutualiser les moyens pour accroîtrel’impact de leur action auprès de leurs clients utilisateurs. Pour les distributeurs, VIPros encourage le trafic et leur permet d’accroître leur chiffre d’affaire. Deux ans après le lancement de ce concept unique et multi-marques, le pari est réussi. Pour dynamiser le programme sur le terrain, fédérer de nouveaux industriels, recruter de nouveaux membres artisans, développer davantage de proximité, de rencontres et d’échanges entre les différents interlocuteurs, valoriser les innovations et les services des industriels sur les points de vente et sur la toile, VIPros élargit sa palette d’outils et de services dédiés avec une offre véritablement multi-canal.   VIPros AUJOURD’HUI Ce sont 20 industriels, soit 28 marques partenaires, présents dans des secteurs complémentaires tels que le sanitairechauffage, l’électricité, la quincaillerie, l’outillage et la fourniture industrielle, et plus de 3000 artisans tout corps de métier confondu qui ont adhéré au programme de fidélité VIPros. Plus de 250 distributeurs ont pu bénéficier de chiffre d’affaire additionnel, généré par les avantages fidélité VIPros. Entré dans une nouvelle dynamique, VIPros accueille aujourd’hui de nouveaux adhérents, les sociétés Assa Abloy et Gerflor. Ils rejoignent ainsi Bessey, Bosch, Brennenstuhl, Dolex, Fein, Gölz, Greenlee, Kärcher, Erko, Kinedo, Klauke, Lacme, Leborgne, Mantion, Map Industrie, Mermier, Reisser, Roth, Sam, SER, Sia Abrasives, Theodore, Valentin, Watermatic et Wedi.   UNE OFFRE DE SERVIVES COMPLÈTE ET MULTI-CANAL www.vipros.fr Une plateforme digitale qui fait peau neuve Gratuite et ouverte à tout public, la plateforme VIPros permet aux artisans d’accéder à l’ensemble des services du programme de fidélité via le portail en ligne www.vipros.fr, depuis un Smartphone, une tablette ou un ordinateur. Arborant une nouvelle charte graphique, plus dynamique, une nouvelle baseline « Avantage aux pros ! » et une homepage plus didactique, ce portail a été entièrement revisité pour être plus facile de navigation et en parfaite adéquation avec l’univers du bâtiment. Outre, la bibliothèque de fiches techniques et de vidéos de mise en oeuvre, le SAV, les offres promotionnelles des marques partenaires… la plateforme propose désormais : – Un formulaire d’inscription intuitif, pour que les artisans gagnent du temps lors de leur adhésion sur la plateforme. En entrant le nom de l’entreprise, le système remplit automatiquement le siret et les champs de l’identité de l’entreprise. – Une liste de courses dans le compte des artisans, pour faciliter leurs achats. – Un nouvel Espace cadeaux dans lequel l’artisan peut convertir ses VIPoints cumulés au sein d’un seul et même compte (des points fidélité acquis lors d’achat de produits de marques partenaires) en carte cadeau, à valoir dans plus de 600 enseignes, ou commander directement ses billets pour de prochains spectacles, des cadeaux à vocation professionnelle (coffrets de chantier, bouteilles isothermes, lunch box…) et/ou de nouveaux services pour développer leur activité professionnelle (création de site internet, logiciel, signalétique…). Le VIPoint devient ainsi une monnaie d’échange dans le système VIPros.   De nouveaux services pour les artisans Les membres artisans peuvent également utiliser leurs VIPoints pour bénéficier des nouveaux services proposés par VIPros. Formation RGE Le programme VIPros permet aux artisans d’accéder aux formations RGE dans le cadre de leur activité. Bosch Car Service VIPros travaille en partenariat avec le réseau de garages Bosch Car Service pour permettre aux artisans de faciliter l’entretien de leur véhicule de société et de bénéficier d’offres et services personnalisés pour leur entreprise. Droit pour moi En partenariat avec VIPros, cette plateforme de professionnels du droit et de la réglementation répond à toutes les questions juridiques que peuvent se poser les professionnels du bâtiment, et les accompagne en leur proposant de nombreux services (création de contenu, production d’articles…).   Nouveaux logiciels professionnels VIPros s’est associé à des starts-up pour étoffer le programme avec des logiciels destinés à simplifier le quotidien des professionnels. Ainsi : – l’Appli-devis va faciliter les devis des artisans, – Sfereno, logiciel RGE, va simplifier l’évaluation énergétique d’un bâtiment lors de travaux de rénovation, – Batibuzz est l’application pour des chantiers connectés permettant aux artisans de photographier, de partager et de classer en dehors de leur photothèque personnelle leurs réalisations.   De nouveaux services et outils pour les marques Une interface Print Pour mutualiser les coûts de production des outils de communication et de promotion, les marques peuvent accéder au nouveau service print de VIPros. Une interface Print 3MA facilite la création de PLV, affiches, signalétiques, packaging… Démos Tour, l’animation terrain Événement itinérant en extérieur, le Démos Tour est un concept créé par VIPros pour que les marques partenaires puissent rencontrer les utilisateurs et les équipes de vente des distributeurs. Cet espace d’échange, de découverte, de démonstration et de formation, mis en place chez les revendeurs, permet aux industriels de présenter leurs nouveautés mais aussi leurs différentes gammes de produits. Initié cette année, cet évènement multi-marques d’univers complémentaires a réuni pour cette 1ère édition près de 1000 visiteurs lors des 4 dernières étapes. Le Démos Tours permet également aux marques partenaires de mutualiser les coûts de l’organisation d’une tournée de démonstration, des supports, des outils de communication… Pour 2020, le dispositif et la logistique seront améliorés et le nombre d’étapes amplifiées. Des containers pliables, plus faciles à transporter et plus rapides à installer, permettront d’accueillir plusieurs marques, dont un espace VIPros. Le marquage et l’aménagement seront également optimisés pour assurer une meilleure visibilité aux marques et aux produits.   Un nouveau Dashboard Véritable mine d’informations, le nouveau dahsboard VIPros permet aux industriels de consulter en temps réel toutes les données liées au programme fidélité. Sous forme de tableaux et de graphiques, ce rapport mensuel permet de visualiser rapidement le nombre d’artisans référencés sur la plateforme, leur typologie (âge, corps de métier…), leur localisation géographique, les produits achetés et générateurs de VIPoints, le temps passé sur le portail…   De nouveaux outils de communication Emission VIPros TV L’émission VIPros TV est l’un des nouveaux outils digitaux du programme. Relayée sur les réseaux sociaux VIPros (chaîne YouTube, Facebook, Linkedin) et le webmag VIPRosmag, ce support technique, sous format vidéo, permet aux marques partenaires de délivrer des informations et des conseils d’utilisation sur leurs produits. Cette émission aborde également l’actualité VIPros et les sujets réglementaires et de droit avec l’expertise de Droit pour moi dans la « Minute juridique ». VIProsmag, le nouveau webmag des pros du bâtiment Cette nouvelle plateforme éditoriale permet aux artisans de se tenir informés des dernières tendances, des réglementations récentes, des actualités chantiers, des innovations produits… dans l’univers du bâtiment. En outre, ils peuvent profiter de conseils avisés sur l’utilisation de leur produit acheté chez une marque partenaire. Une présence sur les réseaux sociaux Pour multiplier les moyens de communication, le programme VIPros investit les réseaux sociaux – Linkedin, Twitter, Facebook et YouTube – afin de relayer vers un large public professionnel tous les événèments du collectif VIPros, les actualités du monde du bâtiment et les nouvelles réglementations.   LA PAROLE à Hugues LECOMTE Directeur général de VIPros  » L’objectif à la base de VIPros, c’est de créer un lien fort entre marques et artisans pour permettre justement à ces derniers d’acheter les produits les mieux adaptés à leurs besoins auprès de leurs distributeurs habituels. Cette relation qui se crée entre industriels et “Pros” n’est pas une relation commerciale et unilatérale : son objectif, est au contraire de donner la possibilité aux marques de mieux comprendre les besoins des utilisateurs pour mieux y répondre. De leur côté les artisans peuvent gagner en compétence et en performance, grâce au support technique et aux services proposés par les marques. Il y a 3 ans, nous avons partagé cette vision avec quelques partenaires qui ont cru en ce projet au point d’en financer l’étude et le développement, pour aboutir à une première version de la plateforme VIPros. Aujourd’hui, nous avons largement passé le cap de la période d’amorçage : nous savons que stratégiquement la démarche est bonne, les artisans participent et ont des attentes. Les marques ont compris de leur côté qu’elles sont plus fortes en “meute”, ce qui ne les empêche pas de garder leur indépendance et des services spécifiques pour leurs meilleurs clients. Nous sommes sur la bonne voie pour faire de VIPros une référence pour tous les acteurs du secteurs, grâce à la proposition de services et de contenus de qualité. Pour 2020, nous avons prévu deux grands chantiers. Le premier, c’est une réflexion commune sur les services proposés, suite aux retours et aux utilisations constatées aujourd’hui sur la plateforme. Le deuxième, c’est une évolution de l’espace cadeaux, avec un véritable développement de la partie “cadeaux pros” : nous voulons créer un écosystème avec des partenaires en capacité d’apporter des services et des contributions intéressants pour les artisans d’un point de vue professionnel. Par la suite, nous allons oeuvrer pour simplifier, accélérer et, à terme, automatiser l’accès aux VIPoints. Pour finir, sur le long terme, nous aimerions décliner le concept VIPros à d’autres secteurs d’activité que le bâtiment, pour d’autres catégories professionnelles. »
Il y a 5 ans et 106 jours

Parutions Fabemi 2020 : « Solutions Planchers » et « Solutions Blocs »

Deux guides indispensables pour une mise en œuvre réussie Le Groupe Fabemi, qui se distingue par sa démarche innovante dans le domaine des matériaux de construction, met à la disposition des professionnels du bâtiment deux guides pratiques dédiés à la mise en œuvre des planchers et des murs en béton de dernière génération. Ces parutions 2020, intitulées « Solutions Planchers » et « Solutions Blocs », fournissent toute la documentation nécessaire aux différents acteurs de la construction. Chaque type d’ouvrage (maison individuelle, petit collectif, bâtiment tertiaire, ERP, séparatif parking, piscine…) trouve dans ces catalogues thématiques sa solution Fabemi détaillée, illustrée de schémas clairs et de tableaux explicites, les produits employés (poutrelles, entrevous, blocs courants et isolants) et les accessoires. Structurés et présentés à l’identique, les deux guides Fabemi 2020 abordent, sous forme de croquis en 3D avec coupes verticales, les différents styles de bâti correspondant à un projet de montage précis. Chaque partie de l’édifice est référencée, avec un renvoi aux pages consacrées aux produits et accessoires Fabemi préconisés. La maquette des deux guides met en valeur leur contenu technique grâce à une animation graphique, visuelle et textuelle d’une grande cohérence.   « Solutions Planchers » Poutrelles, entrevous et accessoires En fonction du projet schématisé dès les premières pages du guide (Maison individuelle et Petit collectif ), il existe une grande variété de montages planchers Fabemi, qui fait l’objet d’un chapitre fourni, décliné en dix solutions. Suit la partie dédiée aux poutrelles et entrevous Fabemi, à leurs usages et à leurs hautes performances. Il est facile de se repérer au fil des pages, car des onglets indiquent les thèmes des 5 principaux chapitres sur la mise en œuvre du projet : Montages planchers, Produits, Accessoires, Solutions pour le traitement des ponts thermiques et Préconisations générales de pose. Chaque étape du montage est développée point par point, illustrée de photos et de croquis complétés par des tableaux techniques sur les caractéristiques de chaque produit préconisé selon l’ouvrage à réaliser. Les dernières pages de « Solutions Planchers » fournissent des informations sur le logiciel Raid®, développé par le Bureaux d’Études Fabemi, qui permet de réaliser des plans de pose conformes aux réglementations en vigueur, en précisant le quantitatif complet des produits nécessaires à la réalisation du plancher. Le guide distingue deux catégories de blocs : « Produits à coller » et « Produits à maçonner ». Chaque catégorie est déclinée en une gamme complète de solutions Fabemi. Quant au chapitre « Accessoires », il regroupe les poutres, planelles, rupteurs thermiques… avec les conseils de pose, les qualités et les caractéristiques produits. Le glossaire final apporte un éclairage utile sur les termes techniques employés. Enfin, la dernière page fournit les coordonnées des sites de production et de stockage des produits Fabemi en France.   « Solutions blocs » Blocs creux, pleins, coffrants, drainants et thermiques Du fait de leur variété et de leur complémentarité, les blocs béton développés par Fabemi couvrent tous les besoins : murs enterrés, de soutènement, porteurs, thermiques, acoustiques, feu, para-sismiques, cloisons… Les diverses solutions – blocs courants (à coller, à maçonner) et blocs isolants – sont adaptées à chaque type de construction : maison individuelle (passive, en zone sismique), petit collectif, bâtiment tertiaire, bâtiment industriel, ERP, séparatif parking et piscine. Onze solutions blocs Fabemi sont proposées, en fonction du chantier à mettre en œuvre. La documentation sur les produits, les conseils de pose et les tableaux correspondant aux performances et spécificités de chaque élément en béton sont remarquablement mis en scène au moyen de photos, croquis et références. Les onglets thématiques servent de repères pour faciliter la recherche.
Il y a 5 ans et 106 jours

Refonte et d’extension du musée d’art et d’histoire du Judaïsme

Ouvert en 1998, à l’initiative conjointe du ministère de la Culture, de la Ville de Paris et des institutions du Judaïsme, le musée d’art et d’histoire de Judaïsme (mahJ) a pris une place importante dans le paysage des institutions muséales françaises. La qualité de sa collection, sa politique d’expositions temporaires, une offre de médiation très large, une riche programmation dans son auditorium permettent au public de découvrir l’universalité des productions artistiques et culturelles issues du judaïsme. « Musée de France » installé dans l’hôtel de Saint-Aignan, conçu par Pierre Le Muet (1591-1669), chef-d’œuvre d’architecture du XVIIe siècle mis à disposition par la Ville de Paris, le mahJ est aujourd’hui présidé par Mme Dominique Schnapper, sociologue, membre honoraire du Conseil constitutionnel, et dirigé par Paul Salmona. Après deux décennies ayant permis d’accueillir plus de deux millions de visiteurs, le mahJ s’est engagé, avec le soutien du ministère de la Culture et de la Ville de Paris, dans une ambitieuse redéfinition de son parcours muséographique fondée sur un nouveau projet scientifique et culturel approuvé en 2016. Ce projet permettra de renforcer les points forts de cette institution originale dévolue au judaïsme comme fait de civilisation et ainsi de montrer l’ancrage très ancien des juifs en France, remontant à l’Antiquité dans certaines régions ; de faire connaître le processus républicain d’émancipation et d’intégration des juifs dans la nation ; de mettre en valeur l’originalité du franco-judaïsme depuis le XIXe siècle ; d’accorder une place accrue au judaïsme du bassin méditerranéen, en particulier maghrébin et levantin ; d’évoquer l’arrivée massive des juifs d’Afrique du Nord dans les années 1960 ; et de rendre compte de la vitalité du judaïsme dans la France d’aujourd’hui. Il permettra de magnifier une collection unique en Europe par sa richesse et son caractère international (France, Italie, Europe centrale et orientale, Maghreb, Levant…) et parmi les plus belles au monde ; de présenter une remarquable collection contemporaine dans un cadre mieux adapté ; et de rendre les œuvres plus accessibles grâce aux technologies les plus récentes. Il s’accompagnera d’une extension des espaces de l’hôtel de Saint-Aignan visant à augmenter les surfaces dévolues à la collection permanente et aux expositions temporaires, ainsi que celles des réserves muséales. Ce projet est à l’étude par la Ville de Paris, propriétaire de cet édifice classé au titre des Monuments Historiques et situé dans le secteur sauvegardé du Marais, afin de déterminer les contours de cette opération qui sera financée par les pouvoirs publics ainsi que par des soutiens privés et devrait être achevée à horizon 2026. Photo : Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
Il y a 5 ans et 107 jours

Delair : L’analyse des bâtiments prend son envol

Les drones Delair analysant un site de production Cemex. [©Delair] Parmi les douze start-up retenues dans le cadre de l’incubateur LH Accelerator, de LafargeHolcim, figure Delair. Start-up par définition, l’entreprise n’en est pas moins une structure déjà importante. Elle emploie plus de 150 collaborateurs et possède des antennes à Toulouse, en France, à Los Angeles, aux Etats-Unis et à Singapour… Delair est aujourd’hui le n° 1 européen d’un marché en pleine explosion. « Au départ, nous concevions et fabriquions des drones pour l’industrie, explique Benjamin Hugonet, directeur commercial pour la zone d’Europe, du Moyen-Orient et de l’Afrique. En 2019,avec le lancement du logiciel de Delair.AI, nous sommes devenus les spécialistes de la capture et du traitement de données pour l’industrie. » Le jumeau numérique du chantier Dans le détail, Delair propose à ses clients des drones à la vente, mais aussi le service accompagnant leur utilisation. Ainsi, les drones captent des données, en survolant les sites de construction. Et le logiciel Delair.AI en fait l’analyse. « Le vol du drone permet la création d’une maquette numérique. L’évolution du chantier est ensuite analysée avec chaque vol. Cela permet de connaître en direct chaque étape franchie, facilitant la gestion des plannings. A terme, cela prendra en compte aussi les commandes et la logistique. » Présente sur des marchés aussi divers que les mines, l’énergie ou la défense, la solution Delair.AI permet aussi la maintenance des bâtiments. « Le jumeau numérique du chantier ou du bâtiment, qui évolue avec chaque vol de drone, permet de créer des alertes, en fonction des besoins des clients. Notamment pour signaler les maintenances à faire sur une construction. Chaque demande de clients est aussi, l’occasion pour, nous de développer une nouvelle solution, afin de répondre à leurs besoins », conclut Benjamin Hugonet.  Yann Butillon
Il y a 5 ans et 107 jours

Tenue De Ville : Collection « Poème »

La marque belge Tenue De Ville lance une nouvelle collection de papiers peints haut de gamme. Tendance et figurative, la ligne « Poème » décline un univers onirique à travers quarante-et-une références invitant à la contemplation. Certaines créations marient figures animales et motifs végétaux quand d’autres affichent des paysages panoramiques. Toutes ornées de couleurs intenses, ces tapisseries d’exception proposent de rehausser la décoration de nos intérieurs. La maison de papiers peints Tenue De Ville a lancé, depuis sa création en 2015 par Alexia de Ville, six collections qui affichent un style assumé : « City Garden » (2015), « Ode » (2016), « Balsam » (2017), « Saudade » (2018), « Spice » (2019) et « Poème » (2020). Aujourd’hui installée à Bruxelles (Belgique) dans un atelier lumineux et accompagnée par sa directrice marketing Julie Coupain, la créatrice belge redéfinit le processus de production des papiers peints, qu’elle dessine ou peint, en privilégiant désormais la fabrication locale à la demande, l’impression numérique et la transformation des chutes en produits dérivés. Soucieuses de l’environnement, Alexia de Ville et Julie Coupain mènent Tenue de Ville à une production réfléchie respectueuse des normes écologiques et à une distribution à plus petite échelle. Avec la collection « Poème », la créatrice s’inspire de la nature et propose de s’offrir un moment d’évasion. Les papiers peints de cette nouvelle gamme proposent en effet des ambiances variées qui invitent à la méditation. Les pastels de Toscane, par exemple, nous plongent au cœur de l’été dans un paysage typiquement italien. Le papier peint Eve, qui se décline en quatre coloris, orchestre quant à lui la rencontre de serpents et d’oiseaux dans une nature sauvage. La palette travaillée de « Poème » marie des teintes estivales avec des couleurs plus froides. Alexia de Ville crée l’harmonie de ces pièces en osant des associations de couleurs audacieuses. Dans sa création MAO Royal, le gris perle se conjugue à l’ocre, au rouge carmin, au vert émeraude, au bleu canard ou encore à l’indigo. Les dessins d’inspiration végétale se combinent ici avec des teintes sophistiquées, sublimant ainsi l’ensemble. En renouvelant sa créativité à chaque collection, l’artiste belge nous séduit cette année avec des panoramas rêvés, des récits animaliers, des motifs figuratifs, des décors floraux et des compositions colorées. Une collection aussi poétique que tendance. Pour en savoir plus, visitez le site de Tenue de Ville Photographies : Tenue de Ville Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 107 jours

Programmation pluriannuelle de l’Energie : de la visibilité, mais le développement de certaines filières est compromis

Le Gouvernement a présenté, ce 20 janvier, un projet révisé de Programmation pluriannuelle de l’Energie (PPE), qui est soumis à la consultation publique jusqu’au 19 février prochain. Véritable feuille de route énergétique de la France pour les dix prochaines années, ce texte va permettre d’accélérer le déploiement des énergies renouvelables mais devra être accompagné de nouvelles mesures. Parmi les points positifs, le texte trace des perspectives ambitieuses de développement de la chaleur renouvelable, ce qui marque l’importance de ce secteur dans la stratégie de décarbonation de notre mix énergétique. Dans un contexte de gel de l’évolution de la trajectoire de la taxe carbone, le Syndicat des énergies renouvelables (SER) se félicite de la stabilisation du Fonds Chaleur à 350 M€ à partir de 2022 si aucune évolution de la fiscalité carbone n’intervient d’ici là. De la même manière, la PPE confirme que les biocarburants de première génération resteront un levier essentiel de décarbonation du secteur des transports. La PPE permettra aussi aux filières électriques de poursuivre leur dynamique de développement, avec des rythmes de 1 850 MW par an pour l’éolien terrestre et de près de 3 000 MW par an pour le solaire photovoltaïque. La contribution de l’hydroélectricité restera, quant à elle, essentielle, avec des marges de progression plus limitées mais réelles et clairement identifiées. Pour la filière du gaz renouvelable, la version révisée de la PPE est une déception. Le SER regrette que le projet révisé maintienne un objectif de 6 TWh de biogaz injecté en 2023, ce qui représente un recul par rapport à la PPE actuellement en vigueur. En l’état, la PPE est donc décorrélée de la dynamique observée sur le terrain, où les projets se développent rapidement. En parallèle, la trajectoire de baisse des coûts pour les projets qui seront développés à travers les appels d’offres reste trop brutale et risque de compromette le développement des projets futurs. La PPE représente par ailleurs une véritable occasion manquée pour deux filières désormais condamnées par l’absence de perspectives de développement. « Avec la non-poursuite des projets de cogénération bois, la France se prive à la fois d’un moyen efficace de lutte contre le changement climatique et d’un levier important pour structurer l’amont de la filière forestière. Et avec l’absence de soutien à la géothermie électrique disparaît également la possibilité de développer une filière de production locale de lithium, et cela au moment précis où la France souhaite jouer un rôle de premier plan dans le développement d’un outil industriel pour les batteries » regrette Jean-Louis Bal, président du SER. Source : SER
Il y a 5 ans et 108 jours

Egger : Sols stratifiés de style Pure Nature

Egger propose différents styles d’agencement concernant sa gamme de sols, du lumineux Light Living, au vintage Used Novelty, sans oublier l’intemporel Modern Classics. Au plus près des tendances, Egger a également développé des décors authentiques invitant la nature dans votre maison : le style Pure Nature se compose de décors bois et autres reproductions de matériaux naturels au charme brut et raffiné. Depuis quelques années, apparaît un réel désir de renouer avec la nature. Au-delà d’un style de vie à proprement parler, de plus en plus de matériaux naturels sont travaillés en ameublement et en décoration intérieure. Les revêtements de sol ont également été impactés par cette tendance et une entreprise comme Egger, spécialisée dans les produits à base de bois, ne pouvait passer à côté. Dans l’optique de proposer des décors toujours plus authentiques, le style Pure Nature s’est naturellement imposé comme l’agencement par excellence pour se plonger dans une ambiance chaleureuse propice au bien-être et à la détente. Les décors reproduction bois, notamment les chênes, se distinguent par un aspect bois authentique orné de nœuds et d'irrégularités mis en valeur dans une teinte naturelle, soulignant notamment la rusticité du sol. D’autres reproductions bois comme le frêne présentent des aspects bois incomparables dans des tons clairs naturels, conférant au sol un rendu vivant d'une rare authenticité. Au-delà des décors, Egger ajuste également les dimensions des lames de ses sols stratifiés : alors que le format large met particulièrement en valeur les lames d'inspiration maison de campagne, les lames étroites aux bords chanfreinés confèrent au sol un aspect bois plus vrai que nature. Les lames longues quant à elles sont particulièrement adaptées aux grandes pièces et donnent un aspect lames de bois parfait associées aux bords chanfreinés en V. S’ajoute au côté design un aspect écologique inégalé : le sol stratifié se compose essentiellement de bois et est exempt de PVC et de plastifiants. Il crée donc une atmosphère saine dans la pièce. À PROPOS DE EGGER Fondé en 1961, Egger est leader sur le marché des panneaux dérivés du bois et des stratifiés décoratifs. Egger, dont le siège social se situe à Saint Johann in Tirol (Autriche) est une entreprise familiale et emploie environ 9900 personnes dans 19 sites de production, dont deux en France (dans les Landes et les Vosges). Pour en savoir plus, visitez le site de Egger Photographies : Egger La Rédaction
Il y a 5 ans et 108 jours

Bati-Journal TV vous donne rendez-vous à Eurobois du 04 au 07 février 2020 !

À l’occasion du salon Eurobois à Lyon, Éditions des Halles, réalise en partenariat avec les organisateurs de l’événement et avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt une nouvelle édition du plateau Bati-Journal.TV. Ce plateau TV, animé par le journaliste Stéphane Miget (rédacteur en chef de Planète Bâtiment et 5façades), sera situé au coeur du salon Eurobois. Vous retrouverez, au programme de cette nouvelle édition; des émissions, des événements et des interviews autour des grandes thématiques du salon : la première transformation, la deuxième transformation, l’agencement, le matériau bois ou encore l’outillage. Dès le mardi 4 février, retrouvez toutes les émissions sur bati-journal.tv, eurobois.net, franceboisforet.fr et sur les sites des médias partenaires. PROGRAMME DU PLATEAU TV* Mardi 04 février 10h00 – Cadre de vie en bois localFabrice Poncet – La Fabrique 11h30 – Discours inauguration 13h30 – Le bois et le patrimoinePhilippe Jarniat – L’Ameublement FrançaisSébastien Fleury – HASAPJérôme Carraz – Les Compagnons du Devoir 14h30 – L’outillage portatif libère des contraintes chantierPierrick Auboiron – SECIMPAC 15h45 – La parole à EumaboisJuergen Koeppel – Eumabois 17h00 – Les Trophées Eurobois Mercredi 5 février 10h00 – Conséquences du changement climatique sur la gestion forestièreSamuel Resche – Fibois Auvergne-Rhône-AlpesTancrède Neveu – Plantons pour l’Avenir 11h00 – Le numérique et les métiers du boisAndré Charignon – Les Ateliers CharignonLaurent Mazies – Biesse FranceRégis Blandin – 2020Mathieu Hugnon – Les Compagnons du Devoir 13h00 – Aménager, c’est assemblerChristophe Chenu – Blum 14h00 – La parole à FRENCHTIMBER 15h00 – Les grandes tendances de l’industrie bois 15h45 – Valoriser les métiers du boisBénédicte Muller – Fibois Auvergne-Rhônes-AlpesCécile Gueux – Pôle EmploiMathieu Hugnon – Les Compagnons du DevoirRaphaël Moronnoz – Menuiserie Moronnoz 16h45 – Concours Innovation La Canopée Jeudi 6 février 10h00 – Le douglas, d’ingénierieSabrina Pedrono – France Douglas 11h00 – Construire autrement : le design global avec le boisPhilippe Jarniat – L’Ameublement FrançaisSolène Jacques – I CosaChristophe Chenu – Blum 12h00-12h45 – Mixité des matériaux dans l’agencement 13h30-14h15 – Évolutions des normes environnementales dans le bâtiment : les impacts sur l’usage du boisJacques Bouillot – Eiffage ImmobilierJean-Denis Forterre – CAPEB Rhône-Alpes 14h15-15h00 – Wood Surfer x AménagementAnna Ader – Wood SurferAlice Heras – Journaliste 15h00 – Comment faire pour être informé des évolutions de mon métier ?Nicolas Digaire – Les Compagnons du Devoir 16h – Scierie 2025par Maurice Chalayer Vendredi 7 février 10h00 – Industrie 4.0Christophe Chenu – BlumLaurent Mazies – Biesse FranceRégis Blandin – 2020Michel Loyer – Finega Group 11h00 – Formation et industrieGwénaël Gehin – AFPIA Nord EstLaurent Mazies – Biesse France 12h00 – Sécurité et pénibilité du travailleurFrédéric Weidish – AuwärterEmmanuel Troccon – A2CPhilippe Gouget – ALD Construction 13h15 – La plateforme de mutualisation des poseursPhilippe Jarniat – L’Ameublement FrançaisFrédéric Sorret – HASAPCoralie Lemire – Lito Production 14h00 – La parole à Anne-Catherine Loisier 16h00 – Concours des Jeunes Charpentiers *Ce programme peut être soumis à modification. Un événement organisé par Éditions des Halles et Eurobois, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt et en partenariat avec Wood Surfer et L’Atelier Bois. Suivez toute l’actualité du plateau TV sur Twitter avec @bati_journalTV
Il y a 5 ans et 111 jours

De l'hydrogène vert sera produit dès 2021 en Vendée

L'entreprise nantaise Lhyfe a levé 8 millions d'euros de fonds pour installer en Vendée un premier site industriel de production d'hydrogène vert, qui sera opérationnel au premier semestre 2021.
Il y a 5 ans et 111 jours

Chryso : De plus en plus actif dans la chape

Axel Bermond, directeur commercial de Cemexa, et Marc Plançon, directeur adjoint de la BU Béton du groupe Chryso. [©Chryso] Ces derniers mois, Chryso a fait bouger les lignes du petit monde des chapes fluides. Déjà détenteur de la marque Belitex, l’industriel a Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 112 jours

360 Paris Music Factory : un nouveau lieu musical au coeur de la Goutte d'Or

Le 360 Paris Music Factory va bientôt démarrer ses activités: un immeuble sorti de terre en plein cœur du quartier populaire de la Goutte d'Or dans le XVIIIe arrondissement de Paris, dédié à la création musicale, la production et la diffusion.
Il y a 5 ans et 112 jours

HeidelbergCement lance une étude de captation et de stockage du CO2

Pour faire baisser ses émissions, HeidelbergCement veut capter et stocker le CO2. Lehigh Cement est la filiale Nord-américaine du groupe HeidelbergCement. En collaboration avec des experts de l’International CCS Knowledge Centre, l’industriel a annoncé la réalisation d’une étude de faisabilité sur la capture, à grande échelle, du carbone et de son stockage (CCS). Une solution envisagée pour réduire les émissions de gaz à effet de serre au Canada. L’étude visera la faisabilité de capturer la majeure partie du CO2 issu des gaz de combustion. Elle se fera sur la cimenterie d’Edmonton dans la province d’Alberta, au Canada, réduisant ainsi les émissions liées à la production de ciment. L’étude va porter sur l’ingénierie, la conception technique, l’estimation des coûts et l’analyse complète de rentabilité. Le projet local ERA  (Réduction des émissions d’Alberta) a annoncé un soutien à l’initiative CCS, à hauteur de 1,4 M$C (environ 960 000 €). Un taux de captage de CO2 de 90 à 95% « C’est une première en Amérique du Nord dans l’industrie du ciment d’étudier la faisabilité de CCS, en tant que solution définitive pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, déclare le docteur Bernd Scheifele, président du directoire du groupe HeidelbergCement. Nous ciblons un taux de captage de CO2 de 90 à 95% dans notre cimenterie d’Edmonton. Ce projet est une autre étape importante dans notre objectif d’obtenir la neutralité carbone pour le matériau béton d’ici 2050. » Le 5 septembre dernier, HeidelbergCement et l’énergéticien norvégien Equinor avaient déjà signé un protocole d’accord sur le captage et le stockage du CO2 de la cimenterie Norcem, à Brevik, en Norvège. La feuille de route du groupe HeidelbergCement projette la réduction, d’ici 2030, de ses émissions nettes spécifiques de CO2 par tonne de ciment de 30 % par rapport à 1990. Cet objectif a été validé par leScience Based Target Initiative (SBTI) et est en ligne avec les objectifs de l’Accord de Paris. Il fait du groupe HeidelbergCement la première entreprise cimentière au niveau mondial à avoir ses objectifs de réduction de CO2 approuvés. Le groupe concrétisera son objectif de neutralité carbone du béton d’ici 2050.
Il y a 5 ans et 112 jours

OCÉWOOD : une croissance au profit d’une économie circulaire, écologique et humaine

Après quatre années de recherche, OCÉWOOD® a développé en 2017 une deuxième génération de lames composites, composées de PVC recyclé et d’anas de lin. Ce résidu agricole de la culture du lin a été revalorisé par OCÉPLAST pour remplacer la farine de bois. Par cette démarche volontariste dans l’économie circulaire, l’entreprise contribue à réduire la part de déchets PVC enfouis ou rejetée dans la mer. Pour faire du recyclage une solution esthétique, OCÉWOOD® s’est associé à l’agence de design 6° Designers pour la conception de nouvelles gammes. Une collaboration récompensée du Prix Janus 2019 des composants et matériaux. Délivrés chaque année par l’Institut Français du Design, les Janus viennent honorer les entreprises et les collectivités qui s’inscrivent durablement dans une démarche de progrès au service de la Personne, de l’Industrie et de la Cité. Pour accompagner sa croissance en 2020, OCÉWOOD® investit sur tous les fronts : R&D, agrandissement du site de production, nouveaux outils, industrie 4.0, digitalisation… avec comme fil rouge, l’innovation au service du consommateur.
Il y a 5 ans et 112 jours

Pourquoi faut-il inclure un indicateur stockage carbone dans la RE2020 ?

Le réchauffement de notre planète (pdf) et l’épuisement des ressources (pdf) nous obligent, nous dit-on aujourd’hui, à passer d’une économie basée majoritairement sur des ressources non renouvelables à une économie basée sur des ressources biosourcées (issues de la biomasse), que ce soit sur le plan énergétique ou sur l’ensemble des activités de production de produits […]
Il y a 5 ans et 114 jours

En 2018, la France a été le deuxième producteur européen de briques et de tuiles

MATÉRIAUX. En 2018, la production de briques, tuiles et autres produits de construction en terre cuite de l'Hexagone s'est chiffrée à 899 millions d'euros. Une soixantaine d'entreprises se partagent le marché, concentré pour l'essentiel en Occitanie, Nouvelle-Aquitaine et Auvergne-Rhône-Alpes.
Il y a 5 ans et 115 jours

Les investissements dans les énergies renouvelables en légère hausse en 2019 grâce à l'éolien offshore

Les investissements en matière de capacités de production d'énergies renouvelables ont crû légèrement l'an dernier, avec un premier marché mondial, la Chine, en recul, mais un record atteint aux États-Unis et un bond de l'éolien offshore, selon une étude publiée jeudi.
Il y a 5 ans et 118 jours

En Vendée, de l'hydrogène "vert" sera produit à partir du premier semestre 2021

ENERGIE. Un premier site de production d'hydrogène vert devrait être opérationnel en Vendée au premier semestre 2021. Après avoir levé 8 millions d'euros, l'entreprise nantaise Lhyfe en a fait l'annonce.
Il y a 5 ans et 118 jours

De l'hydrogène vert sera produit en Vendée dès 2021

L'entreprise nantaise Lhyfe a annoncé jeudi avoir levé 8 millions d'euros de fonds pour installer en Vendée un premier site industriel de production d'hydrogène vert, qui sera opérationnel au premier semestre 2021.
Il y a 5 ans et 118 jours

Expertise Data & Software : un véritable atout pour l'accompagnement technique des clients Roto

Elément fondamental pour la fabrication de menuiseries, le paramétrage informatique requiert souvent un investissement conséquent. L'équipe technique Roto paramètre, conseille, et contribue à l'optimisation de la production de ses clients avec des compétences précises du vaste panel de logiciels qui s'offre aux fabricants.
Il y a 5 ans et 118 jours

Rencontre avec : Cutwork

Depuis sa création en 2016, le studio d'architecture et de design Cutwork propose des solutions flexibles et fonctionnelles adaptées à la réalité de nos modes de vie contemporains. À l'occasion du lancement de leur projet social Cortex Shelter – un prototype d’abri durable pour les réfugiés –, la rédaction de Muuuz a rencontré les deux fondateurs de la start-up : l'architecte franco-japonais Antonin Yuji Maeno et l'entrepreneuse américaine Kelsea Crawford. Muuuz : Quelle est la genèse de Cutwork ? Antonin Yuji Maeno : Cutwork est né de la rencontre entre trois personnalités, un architecte, une entrepreneuse, Kelsea Crawford, et un investisseur, le designer graphique Robert Nakata. Avec Kelsea, nous avons fondé notre studio en 2016 autour d’une réflexion sur les nouvelles manières de vivre – la fin de la famille mononucléaire et la grande fragmentation des liens sociaux –, de travailler – la croissance exponentielle des travailleurs indépendants – et de produire – le début de l’économie collaborative, l’essor des technologies de pointe et la fabrication digitale –, car nous avons réalisé que le monde avait beaucoup évolué depuis trois décennies. Depuis 2016, on a réalisé des projets clés : une partie de la Station F, le mobilier des espaces de coliving Flatmates (ajouter le lien vers notre article) et l’abri pour les réfugiés Cortex Shelter. Tous ces projets s’appuient sur une analyse des nouveaux usages de la ville et de l’espace causés par l’arrivée des nouvelles technologies. Nous nous sommes spécialisés dans la conception et l’aménagement d’espaces de coworking et de coliving, car nous avons observé les changements profonds de notre société. Grâce à l’ordinateur portable, la fonction de la pièce n’est plus préétablie : on peut travailler partout, dans le salon, la salle à manger ou encore la chambre. La destination des pièces et des lieux n’est plus standardisée. L’enjeu de notre studio est donc de rendre les espaces plus souples. Kelsea Crawford : Aujourd’hui, nous souhaitons embaucher afin d’agrandir notre équipe de six architectes et designers pour faire face aux projets d’ampleur qui nous tombent dessus, notamment le premier coliving de Russie et la fondation de l’artiste Takesada Matsutani à Paris. Quels ont été vos parcours respectifs ? En quoi vos profils sont-ils complémentaires ? Antonin Yuji Maeno : J’ai d’abord étudié l’architecture à l’École Nationale Supérieure d'Architecture de Paris Belleville, puis celle de Paris La Villette. Ensuite, je suis partie un an en Inde pour travailler avec l’architecte Balkrishna Vithaldas Doshi, qui a reçu le prix Pritzker en 2018. A mon retour, j’ai suivi une formation d’entreprenariat dans les domaines de l’ingénierie, des matériaux et des techniques à l’École Nationale Supérieure d'Arts et Métiers pour développer mon procédé breveté de métal pliable. Ce produit a d’ailleurs été le point de départ de notre studio et lui a donné son nom. Kelsea Crawford : J’ai fait des études de communication et de journalisme à l’Université de Géorgie (Etats-Unis), mais mon parcours d’entrepreneur a commencé dès ma plus tendre enfance. Mon père m’a toujours poussée à entreprendre. A vingt ans, j’ai fondé ma première entreprise de marketing digital en Géorgie. Puis je l’ai vendue, avant de venir m’installer en France où j’ai rencontré Antonin. Pour Cutwork, je m’occupe surtout de la communication, du marketing, des budgets et du business plan, tandis qu’Antonin se charge de la partie créative. Il est aussi très doué pour l’entreprenariat et l’innovation, ce qui est rare. Avec votre mobilier modulable réalisé pour les appartements Flatmates, vous vous êtes référés à la conception japonaise de l’espace. Qu’en est-il de l’utilisation de ces notions architecturales nippones dans votre travail ?Antonin Yuji Maeno : Nous nous inspirons constamment de la conception japonaise de l’espace. Notre idée est de rendre les espaces plus flexibles, plus modulables, et donc plus proches de la manière dont nous vivons réellement dans les villes. Les Japonais sont les maîtres du design compact et des intérieurs modulables. Kelsea Crawford : En France, on utilise un mot pour désigner l’espace, alors qu’au Japon plusieurs termes le définissent. Les notions WA, BA et MA désignent l’espace et ce qui s’y passe. WA nomme l’harmonie, l’espace de concentration, BA signifie l’espace de collaboration, le lieu où il se passe quelque chose, et la notion MA est synonyme d’interstice, l’espace de liberté dans lequel l’inattendu peut se produire. La combinaison de ces trois notions nous permet de repenser et de réévaluer notre conception occidentale de l’espace. Cutwork est né de l’invention de votre procédé innovant de pliage de métal. Quel est son intérêt écologique ? Antonin Yuji Maeno : Notre procédé permet de fabriquer uniquement à la demande. Produire des éléments d’architecture et des pièces de mobilier à la demande est une réponse concrète au contexte de crise écologique actuelle, car ce mode de fabrication évite la délocalisation de la production, la surproduction et le stockage inutile de marchandises invendues. Kelsea Crawford : Cette technologie a l’avantage d’être très efficace. Les pièces métalliques sont produites grâce à des machines de découpe laser à partir de fichiers digitaux. Les pièces de mobilier peuvent donc être fabriquées à proximité du lieu où elles seront montées, puis installées. Le contexte politique et la crise écologique actuels influencent donc votre travail et vos projets. Quel avenir pour le design ? Dans quelle mesure peut-il être une réponse à ces problématiques-là ? Antonin Yuji Maeno : Les changements actuels justifient l’existence de Cutwork. Au niveau environnemental, nous sommes conscients de l’importance du choix des matériaux et des modes de production. C’est pourquoi, nous refusons la production de masse, ainsi que les projets qui ne préservent pas l’environnement et la dignité humaine. Cutwork a d’ailleurs été référencée par l'EIT Climate-KIC parmi les trente premières start-up CleanTech d'Europe.Kelsea Crawford : Notre approche est politique, car nous réfléchissons à la manière d’habiter la ville en tenant compte de la crise environnementale et des enjeux sociaux actuels. Notre conception du design et de l’architecture lutte contre la précarité et l’isolement. La promesse de notre coliving réside dans l’aménagement d’espaces partagés modulables. Avec Cortex Shelter, vous vous tournez vers une architecture sociale. Pourquoi ce projet ? Est-ce également une façon de parler d’un sujet politique extrêmement actuel à travers un dispositif concret ? Antonin Yuji Maeno : Nous avons travaillé avec la société Cortex Composites, qui a inventé et développé le béton roulé, un béton textile mobile sur lequel il suffit d'ajouter de l'eau pour fabriquer des canaux d’irrigation agricole et des murs de rétention durables. Kelsea a rencontré son dirigeant à une conférence Hello Tomorrow qui réunit les acteurs de l’innovation. Suite à cet événement, Cortex Composites nous a missionné pour réfléchir à des applications architecturales de son produit. De cette collaboration est née cette idée de logements abordables, à la fois faciles à fabriquer et durables. Constitué d’une structure de tubes en métal pliables et de pans de ciment, Cortex Shelter est une solution d’habitat pour les réfugiés installés dans des camps. Kelsea Crawford : L’abri Cortex Shelter peut être construit par deux personnes en moins d’une journée. Conçu pour être assemblé facilement à la main avec des matériaux trouvés sur place, la construction du logement ne nécessite aucune compétence technique et aucun équipement. Cortex Shelter permet d’améliorer les conditions de vie des réfugiés, en leur offrant une certaine stabilité et une plus grande sécurité. L’intérêt de ce nouvel abri est de prendre en compte la réalité concrète des camps de réfugiés, car les solutions actuelles destinées à abriter des réfugiés comme les tentes n’offrent pas des conditions de vie décentes. Aujourd’hui, les camps ne sont plus des espaces transitoires, mais sont bâtis comme des villes. Certains réfugiés vivent plusieurs décennies dans le même camp. Si vous aviez un budget illimité et zéro contrainte, quel serait votre projet rêvé ? Antonin Yuji Maeno : Notre projet rêvé pourrait être la conquête de l’espace… Réaliser le premier coliving du futur sur une autre planète, la Lune ou Mars. J’aimerais aussi concevoir une petite cabine préfabriquée à installer sur les toits des immeubles déjà existants. Kelsea Crawford : Nous aimerions également travailler sur des projets urbains de grande ampleur qui ont un véritable impact social sur le long terme. La réalisation d’un coliving intergénérationnel, où cohabiteraient des jeunes et des seniors, serait une belle avancée sociale. Pour en savoir plus, visitez le site de Cutwork Photographies : © Ladegaine Léa Pagnier