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Il y a 6 ans et 317 jours

Exsud : Air du Temps

À Liernu (Belgique), à quelques encablures de Namur, un ancien corps de ferme résonne aux chants des casseroles : L'Air du Temps, un restaurant de haut vol tenu par le chef Sang-Hoon Degeimbre. Un ensemble de quatre bâtiments datant du début du XXe siècle qui s'offre cette année une seconde jeunesse, grâce à l'architecte d'intérieur wallonne Charlotte Esquenet, de l'agence Exsud. Liernu, non loin de Namur, dans un lieu que les GPS peinent à trouver ; vous voici arrivés à une adresse qui porte bien son nom : le très hors du temps Air du temps, un hôtel-restaurant de 11 chambres et 35 couverts installés ici depuis 6 ans, et créé il y a 20 ans dans une ancienne friterie située non loin. Né en Corée puis adopté à l'âge de 4 ans par une famille belge de la région, Sang-Hoon Degeimbre a gardé de son histoire un "il ouvert sur le monde, une soif insatiable de découverte, qu'il retranscrit aujourd'hui dans ses plats. Un virtuose des accords en bouche " qui se prédestinait à devenir pharmacien ", finalement devenu chef le jour où il a ouvert son premier établissement, à l'âge de 28 ans, après avoir expérimenté le service en salle, la sommellerie ainsi que la boucherie. Celui qui ne se repose jamais sur ses lauriers file aujourd'hui comme personne la métaphore végétale dans un établissement unique en son genre dont 80 % des plats provient du potager, et d'où ne sort aucun déchet " grâce au recours au compost, à la réduction en poudre des plantes non utilisées aux fourneaux ou en présentation, ou encore à la mise en bocal de 1,5 tonne de végétaux en hiver. Un lien à la terre que l'on retrouve dans la vaisselle " comptant pas moins de 1 300 pièces " réalisée artisanalement par l'atelier de poterie local Bibenbou, avec la matière extraite du site. En somme, une réécriture contemporaine et culinaire de l'adage de Lariboisière " Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme " ou du plus religieux " Souviens-toi que tu es poussière et que tu retourneras à la poussière ". Un positionnement tout en humilité réincarné dans les casseroles du chef. " La nature décide de nos menus ", explique Benoît Blairvacq, jardinier de l'établissement, ancien assureur et banquier, qui a littéralement tout quitté pour "uvrer pour ce virtuose de la cuisine. " Je suis tombé amoureux de San, de son travail. Il avait tous les produits nécessaires mais il lui manquait les légumes. Je me suis donc mis à en produire. Je n'avais jamais fait ça de ma vie ! ", livre-t-il.Sur 3 hectares de parcelles ironiquement prénommés Versailles I, II et III, ce poète du végétal fait pousser 400 espèces de plantes, avec un "il aussi aimant qu'exigeant. C'est en toute logique que l'homme aux mains vertes refuse donc toute adjonction d'eau ou de pesticides " à tel point que 2 des 5 hectares que compte la propriété ne sont pas cultivés et font office de zones tampon vis-à-vis des champs voisins, moins strictes quant à l'utilisation de produits chimiques. Un champ placé au c"ur du projet d'extension de cet ancien corps de ferme, qui régale les papilles mais aussi les yeux. Un ensemble qui se compose de quatre édifices en brique en R+2 organisés autour d'une cour centrale carrée, avec cuisine d'un côté, pénates réservées aux stagiaires et salle de petit-déjeuner de l'autre, ety six nouvelles chambres " dont deux suites de 60 mètres carrés ", qui s'ajoutent aux cinq préexistantes situées en face au-dessus du restaurant. " Il y avait là des animaux, plaisante Benoît Blairvacq. Mais ils n'étaient pas aussi bien lotis ! "Au c"ur de ce coup de neuf : la salle de réception, où San n'hésite pas à venir saluer ses invités. Précédemment subdivisée en trois pièces étroites, elle est prolongée au sud-est par une galerie de 25 mètres par 8, en verre et métal, vitrée toute hauteur sur le jardin, si bien qu'on se croirait à l'extérieur ! En somme " une fenêtre ouverte sur le monde ", comme le définit le patron des lieux, doublement étoilé depuis 2007. Une douceur aussi bien présente dans les assiettes, dans les fauteuils club mis à disposition des hôtes, que sur le sol duveteux en moquette ou au plafond composé de 2 000 pièces ondulées de balsa fraisé à la fois décoratives et acoustiques. Une quatrième collaboration tout en ocre, donc couronnée de succès pour San et l'agence Exsud, qui s'étaient rencontrés chez iCook, une table tenue par Philippe Watteyne " finaliste de Top Chef Belgique, pour la petite histoire. Autour d'un accord mets/vins " ou mets/eaux aromatisées ", sur une bande sonore reprenant des chants d'oiseaux locaux, l'immersion est donc totale. Vous êtes ici au palais des sens. Pour en savoir plus, visitez le site d'Exsud Photographies : DR
Il y a 6 ans et 337 jours

Événement : Les Défis urbains 2018

De la Fabrique citoyenne et poétique des Capucins à Brest (29), à l'initiative Cycle Terre à Sevran (93), la troisième édition des Défis urbains a distingué 23 réalisations participant à la construction d'une ville confortable et inclusive, et mobilisant des partenariats avec de multiples acteurs. S'il est un constat unanimement exprimé par les lauréats des 3e Défis urbains, le 25 juin, à Paris, c'est que l'aboutissement d'un projet nécessite à la fois de la volonté politique et de la coopération entre acteurs. Organisés par le groupe Innovapresse, éditeur, notamment, de Traits urbains et de la lettre Urbapress, les Défis urbains récompensent " des réalisations d'initiative publique et/ou privée en faveur d'une ville durable, inclusive, accessible, partagée, innovante, connectée, équilibrée, confortable et économe, à différentes échelles ".Pour cette 3e édition, le jury " composé de Bénédicte de Lataulade, présidente de l'Acad ; Basile Delacorne, rédacteur en chef adjoint d'Innovapresse ; Karine Hurel, directrice de mission à la Fnau ; Jean-Luc Poidevin, P-DG de Nexity Villes & Projets ; et Marie-Christine Vatov, rédactrice en chef d'Innovapresse ", a distingué 23 opérations lauréates, dans une vingtaine de catégories. Il a souhaité les redistribuer pour illustrer trois échelles d'approche, celle de l'humain et de l'accompagnement citoyen, celle du quartier, celle de la stratégie territoriale. Cette année, deux catégories n'ont d'ailleurs pas produit de lauréats : la " ville intelligente ", pour laquelle le jury a estimé que les candidatures ne répondaient pas de manière suffisamment globale aux enjeux ; et le " renouvellement urbain des quartiers sensibles ", qui a suscité très peu de candidatures. Le jury a trouvé cela significatif de la manière dont ces sujets sont appréhendés actuellement en France.En matière d'approche citoyenne, il a été particulièrement impressionné par la Fabrique citoyenne et poétique des Capucins à Brest (29), qui a reçu la mention du jury, une démarche artistique participative expérimentale d'aménagement des espaces publics de la Zac des Capucins, sur trois ans (2016 à 2018), utilisant toutes sortes d'outils : une " opération divan " de l'ANPU (agence nationale de psychanalyse urbaine), un atelier de production et d'expérimentation de mobiliers, l'événement " Tous aux Capucins " à l'occasion de l'inauguration de la médiathèque, une création chorégraphique avec des habitants, un " Grand Jeu " pour construire la ville avec 128 modules... L'opération a mobilisé les services de Brest métropole et de la Ville, Brest métropole aménagement, le centre des arts de la rue Le Fourneau, le Centre d'Art contemporain Passerelle, les collectifs Bureau Cosmique et Les ManufActeurs, la CDC, la Région, le Département, l'État, l'Europe. Citoyens mobilisés et sensibilisésLa Ferme des possibles à Stains (93), ferme agroforestière engagée dans une démarche d'agriculture biologique, propose des parcours de découverte, des ateliers pratiques et des journées de sensibilisation sur les pratiques agricoles innovantes ; elle mise sur l'économie sociale et solidaire, en lien avec des associations et structures d'aide par le travail et d'insertion.Mascobado (" MAiSon COopérative BAtie avec DOuceur ") à Montpellier (34), est un habitat participatif bioclimatique (23 logements dont 5 sociaux) conçu par ses habitants, doté de petits jardins privatifs et de nombreux espaces partagés (salle conviviale avec cuisine, atelier de bricolage, chambres d'amis, terrasse collective, stationnement vélos et voitures, espaces de rangement...), et porté par Promologis, avec comme assistant à maître d'ouvrage Hab-Fab / Toits de Choix. Espaces publics au quotidienÀ l'échelle du quartier, plusieurs espaces publics ont été primés, au premier rang desquels le Parc de la Senne à Schaerbeek (Belgique), l'une des communes de Bruxelles-Capitale, un parc linéaire inséré dans la ville, particulièrement remarqué par le jury pour la finesse de l'intervention, et pour l'attention portée à toutes les dimensions de l'aménagement, allant du grand paysage au mobilier urbain, avec comme maître d'ouvrage l'IBGE (Institut bruxellois pour la Gestion de l'environnement) et pour maître d'"uvre La Compagnie du Paysage. Serge Kempeneers, directeur de la Division espaces verts de l'IBGE, insiste sur la nécessité de " faire quelque chose de bien dans ces espaces, pour éviter qu'ils deviennent des voiries ". Reconversions du bâti et développement de centralitésPour la reconversion d'un immeuble industriel en 85 logements sociaux avec crèche et parking, boulevard Ornano à Paris (18e), les principales interventions ont consisté à ouvrir la cour vers le c"ur d'îlot, au sud, conserver les façades majeures, réinterpréter les façades secondaires en les enrichissant d'une nouvelle identité, inscrire une trame de logements dans un tissus industriel hétérogène... Maître d'ouvrage : Linkcity pour Paris Habitat ; architectes : Marc Younan architectes et Eddy Vahanian. Pour en savoir plus, visitez le site des Défis urbains Photographies :01) Fabrique citoyenne et poétique des Capucins à Brest (29) © lefourneau.com02) Mascobado à Montpellier (34) © MC Lucat03) Senne à Schaerbeek (Belgique)04) 85 logements sociaux avec crèche et parking, boulevard Ornano à Paris (18e) ©Daniel_Moulinet
Il y a 6 ans et 342 jours

Limeparts et Drooghmans Geveltechnieken fusionnent pour ne devenir qu'un

Le 25 juin dernier, les entreprises Limeparts et Drooghmans ont fusionné afin d'assembler leur expertise dans le domaine des revêtements de façades ventilés. L'objectif, augmenter leur croissance, leur offre et leur chiffre d'affaires. Le site de Limeparts à Genk en Belgique constituera la base arrière commerciale et administrative de l'entité.
Il y a 6 ans et 348 jours

Évènement : Design Parade Hyères et Toulon 2018

Depuis 2006, la Design Parade Hyères, à l'initiative de la Villa Noailles, sensibilise le public au design et permet à de jeunes espoirs de la discipline d'être mis en avant. Une distinction complétée il y a deux ans par une nouvelle manifestation, tournée cette fois vers l'architecture d'intérieur et la ville voisine : la Design Parade Toulon. Direction le Var donc, où, dès le 28 juin prochain, vous pourrez découvrir ce que ces nouvelles éditions nous réservent ! Tous les étés commencent de la même manière. Les jours rallongent, les manteaux retournent au placard. Dans la douce région Provence-Alpes-Côte d'Azur, ce rituel est complété par le festival annuel organisé par la Villa Noailles. C'est donc au rythme du chant des cigales que les villes d'Hyères et de Toulon offrent aux vacanciers et aux autochtones de découvrir le patrimoine d'une partie du Var sous un tout nouvel angle : celui des arts décoratifs. Place également à la jeunesse avec un concours organisé par discipline, dans le but de promouvoir la nouvelle génération de créateurs, comme le faisaient en leur temps les propriétaires de la demeure édifiée de 1923 à 1925, Marie-Laure et Charles Noailles, qui recevaient en ces murs Jean Cocteau, Man Ray et bien entendu l'architecte des lieux : le moderne Robert Mallet-Stevens. Une histoire perpétuée aujourd'hui car depuis 2003, la villa Noailles est un centre d'art et de design qui tente de promouvoir la création avant-gardiste et les talents de demain. À Hyères, capitale française du design pour l'occasion, c'est un jury présidé par le designer Philippe Malouin qui a nommé les dix finalistes du Grand prix Design Parade Hyères parmi plus de 200 candidatures. Des jeunes talents " dont les réalisations seront exposées durant la manifestation ", qui aspirent tous à décrocher la première place du podium, et ainsi bénéficier d'un séjour de recherche d'un an à la Cité de la céramique de Sèvres et au Centre International de Recherche sur le Verre et les Arts plastiques de Marseille (CIRVA). L'heureux lauréat deviendra à son tour l'un des membres du jury de la prochaine édition du festival et profitera d'un workshop offert par l'éditeur de meubles Vitra au Domaine de Boisbuchet (Belgique).Deux autres récompenses sont également prévues au programme. Tout d'abord, le prix SAMMODE, qui offre au vainqueur une bourse de recherche et de création d'un montant de 5 000 euro axée sur la lumière, ainsi qu'un support technique des équipes de la marque. Par ailleurs, la Mention spéciale " Eyes on Talents x Frame " récompensera l'un des participants pour l'excellence du design et l'innovation de son projet en lui faisant bénéficier d'une communication auprès des marques membres de la communauté éponyme, ainsi que dans le magazine Frame.La sélection s'annonce rude avec des réalisations toutes plus intéressantes les unes que les autres ! On y retrouve ainsi la créatrice portugaise Sara de Campos, partie prenante de l'installation collaborative Workbays Village organisée par l'ECAL et la marque de meuble Vitra, qui revisite cette année la hotte du vendangeur, ou encore le vainqueur du Prix du Jury Rado Star Prize 2017, le designer niçois Julien Manaira qui présente la même étagère qui avait tant plu lors de ce précédent prix. Assises, textiles ou encore luminaires, c'est un panel complet des formes que peuvent prendre le design qui est ici présenté. Bien que le concours soit au c"ur de la manifestation hyéroise, celle-ci est également accompagnée d'un marché de pièces de design et de plusieurs expositions présentant d'une part les travaux de Philippe Malouin, d'Arthur Hoffner (Prix du public Design Parade 2017) et de Carolien Niebling (Grand Prix Design Parade 2017), et d'autre part les talents d'ébénistes de François Passolunghi. Enfin, les 14 chambres de l'Hôtel local mythique La Reine Jane seront également investies et revisitées par 14 designers dont François Azambourg et Constance Guisset, pour ne citer qu'eux. Établi sur le même modèle, le concours d'architecture d'intérieur de la Design Parade Toulon était présidé par le maître d'"uvre Pierre Yovanovitch qui avait la lourde tâche de départager les 60 dossiers présélectionnés autour du thème " Une pièce à vivre dans une villa en bord de Méditerranée ". " Mes choix ont été influencés par la diversité des propositions et leur souffle, du plus abstrait au plus figuratif. " Pierre Yovanovitch, architecte De ce choix résulte un ensemble de dix projets, tous plus originaux et inventifs, parmi lesquels ceux du duo diplômé de l'école Camondo, Kim Haddou & Florent Dufourcq, ou encore du sortant de l'ESAD d'Orléans, Antoine Chauvin. Chacun de ces jeunes concepteurs a présenté sa vision du sujet donné à l'Ancien Evêché de Toulon afin d'obtenir, peut-être, le Grand prix Design parade Toulon Van Cleef & Arpels. Un sésame qui comprend une bourse de 5 000 euros offerte par Van Cleef & Arpels, une exposition personnelle à Toulon dans le même lieu historique, une participation au jury de la Design Parade 2019 ainsi que la possibilité d'une exposition au MAD de Paris. Peuvent s'ajouter à cela d'éventuelles collaborations avec le Nouveau Musée National de Monaco et l'éditeur de luminaire Blackbody. Mais ce n'est pas tout ! Les concourants peuvent également remporter la Mention spéciale " Eyes on Talents x Frame " qui offre les mêmes avantages que celle remise à l'occasion du concours de design d'Hyères. Toujours dans un esprit de cohérence et d'harmonie entre les deux festivals, la Design Parade Toulon comprend également diverses expositions, parmi lesquelles l'une est consacrée au travail de Pierre Yovanovitch mais également de la maison Lesage intérieurs ou d'Alexandre-Benjamin Navet, Grand Prix 2017. Tout un programme qui sera inauguré dès le jeudi 28 juin et ce jusqu'au 1er juillet . Et si vous avez déjà prévu autre chose pour le weekend prochain, pas de panique : les expositions restent accessibles jusqu'au 30 septembre 2018 ! Que la Design Parade commence ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Design Parade Photographies : DR
Il y a 6 ans et 349 jours

ZUMI : Acoustic Panel

Rendre des panneaux acoustiques attrayants ? Oui, c'est possible ! La preuve avec ZUMI, start-up belge qui y ajoute un éclairage élégant. Un produit qui, en plus de son esthétique soignée et de sa lumière de qualité, améliore les espaces de vie en réduisant la pollution sonore. La genèse de ce projet réside dans la rencontre de Stephen Mees, fondateur de ZUMI et d'Alex Gaspar, propriétaire d'Autodialog, une start-up spécialisée dans l'automobile, qui désirait doter d'une solution acoustique et lumineuse ses nouveaux locaux de 55 000 mètres carrés à Anvers (Belgique). Pour combler les désirs de la jeune entreprise, ZUMI imagine donc, sous le label SOUNDSCAPE, la gamme Acoustic Panel, une solution basée sur des panneaux suspendus " verticalement ou horizontalement ", d'une épaisseur variant entre 6 et 8 centimètres et d'une dimension maximale de 3 mètres par 2. Le modèle existe en plusieurs finitions : vinyle tissé contemporain ou un panel de couleurs et de motifs quasi-infini nommé Abet Laminati. Le panneau bénéficie d'iun coefficient d'absorption acoustique de 0,9, permettant ainsi de filtrer les pollutions sonores, une donnée essentielle dans un cadre tertiaire, qui assure confort et confidentialité des usagers. Mais la force d'Acoustic Panel, réside surtout dans le mélange des genres. Loin de se cantonner à la qualité du son, l'ensemble est également lumineux. En effet, ses concepteurs y ont intégré la technologie PI-LED, une innovation comprenant des rails de led encastrés à éclairage indirect visant à harmoniser la densité lumineuse en fonction des besoins des utilisateurs. Le résultat est aérien et feutré, conférant à l'espace une certaine intimité et beaucoup charme. Un bijou technologique aussi esthétique que fonctionnel. Plus d'informations sur le site de ZUMI À propos de ZUMI ZUMI est un fabricant belge de solutions d'éclairage LED sur-mesure et acoustiques. Créée en 2014, la petite entreprise gravit des marches dans le secteur des luminaires grâce à sa quête permanente d'innovation et son utilisation de technologies toujours plus développées. Acoustic Panel est lauréat des MIAW 2018 dans la catégorie Aménagements / Solution acoustique.Plus d'informations sur le site des MIAW. Le choix de la rédaction De par sa multiplicité de fonctions et son allure contemporaine, Acoustic Panel a su attirer le regard de Muuuz qui lui décerne sans aucune hésitation le Muuuz International Award 2018 dans la catégorie Aménagements / Solution acoustique. 
Il y a 6 ans et 349 jours

Milliken : Arctic Survey

Pour sa deuxième collection de revêtements de sol en format " planches ", l'entreprise américaine Milliken imagine Arctic Survey, une gamme inspirée de l'évolution de la glace en Arctique. On y retrouve ainsi des motifs organiques dessinés dans des tonalités froides rappelant l'atmosphère si particulière de la calotte glaciaire. Plus qu'un simple système de revêtement de sol, Arctic Survey est une invitation au voyage. Après s'être intéressé au mouvement pictural américain Colorfield Painting l'année dernière, la firme s'est cette fois-ci inspirée des récits de l'explorateur irlandais Ernest Shackleton qui, en 1901, s'illustre comme l'un des premiers connaisseurs de la région polaire. Ces études inspirent aux équipes de conception de Milliken des motifs en relief aux profondeurs variables, semblables à des traces dans la neige, ainsi que des compositions aux tonalités éthérées mêlant opacité et translucidité que l'on retrouve sur ce format cher au c"ur de Milliken, la " planche " : une dalle rectangulaire de 25 x 100 centimètres. Réalisées à partir de fils de nylon tuftés, bouclés et texturés, et agrémentée en partie inférieure d'une mousse constituée à 90 % de matériaux recyclés, les bandes se déclinent en trois motifs de tailles et compositions variables. Le premier modèle, Isotherm, à l'aspect linéaire et aux lignes verticales n'est pas sans rappeler les points de températures de cartes météorologiques. Grâce à une variation de son épaisseur et à son aspect géométrique, l'ensemble aux couleurs sobres et discrètes semble être en relief. Le motif d'Expedition " la deuxième série d'Arctic Survey ", est hachuré et symbolise les rapports entre latitude et longitude ; tandis que la dernière déclinaison, Shackleton, est une interprétation plus littérale de la glace et semble presque se fissurer sous nos pas, tant les ornements sont réalistes. L'ensemble des planches peut être fourni avec le système breveté TractionBack® améliorant aussi bien la solidité du produit que qualité de l'air intérieur. Dans un souci de durabilité, Arctic Survey est intégré au programme " Carpet Take Back " développé par la marque, permettant de renvoyer les dalles usagées afin qu'elles soient recyclées. De quoi prendre un grand bol d'air frais tout en gardant ses pieds bien au chaud. Plus d'informations sur le site de Milliken À propos de Milliken Fondée en 1865 aux États-Unis, Milliken est une entreprise spécialisée dans les revêtements de sols pour architectes d'intérieur et designers. Possédant plus de 7 000 collaborateurs, la société dispose de 41 usines de production réparties sur l'ensemble des continents " États-Unis, Australie, Inde, Chine, en France, en Belgique et au Royaume-Uni, où se trouve leur siège européen. Milliken place le développement durable au c"ur de sa production. Arctic Survey est lauréat des MIAW 2018 dans la catégorie Matériaux et revêtements / Moquette.Plus d'informations sur le site des MIAW Le choix de la rédaction L'inspiration d'Arctic Survey et son rendu aux motifs recherchés font de ces planches un produit unique. C'est pourquoi, la rédaction de Muuuz est fière de décerner à Arctic Survey le Muuuz International Award 2018 dans la catégorie Matériaux et revêtements / Moquette. 
Il y a 6 ans et 363 jours

Mésarchitecture : XYZ Lounge

À Gand (Belgique), la Zebrastraat, complexe résidentiel et culturel datant de 1906, a été sauvé de la destruction en 2001 par la Fondation Liedts-Meesen, qui continue de le faire évoluer avec la livraison du XYZ Lounge, un bar-restaurant réaménagé par le cabinet Mésarchitecture, créé par l'artiste et architecte français Didier Faustino. Entre marbre et rose pastel, le lieu a été imaginé pour favoriser les rencontres. Dans la rue Zebrastraat, entre deux immeubles en R+2 en brique, un passage mène à une cour ovale abritant un complexe résidentiel, des salles de séminaire, un espace d'exposition ainsi qu'un restaurant : le XYZ Lounge. Sur 360 mètres carrés de plain-pied, l'établissement est conçu comme un lieu d'échange mais aussi de restauration. Il se compose d'un hall d'entrée et d'une nef tout en longueur, accueillant un bar, qui dessert deux espaces latéraux : d'une part une salle munie d'un écran de projection et d'un comptoir, et d'autre part une pièce plus petite donnant accès à une terrasse extérieure, pouvant servir de succursale. Dans cette organisation symétrique des matériaux évoquant la teinte et la sensualité de la chair sont mis en place : panneaux de marbre, doublages de stuc moulé, plafonds textiles, revêtements bois et surfaces lumineuses. Une composition délicate coiffée par une charpente métallique préfabriquée sur-mesure.Le mobilier a été conçu pour l'occasion par Didier Faustino. Les comptoirs, les îlots et les suspensions lumineuses sont réalisés en marbre clair et les tabourets hauts en tube d'acier laqué verts-gris et cuir. Enfin, des sièges géométriques roto-moulés en polypropylène provenant de la collection Delete Yourself, confectionnée en 2016 par Didier Faustino et dévoilée à la PlusDesign Gallery de Milan sont mis à disposition, pouvant être agencés de différentes façons. Un " espace-interstice ", comme le nomme Didier Faustino, où convergent les trajectoires entre cocktails et réunions. Pour en savoir plus, visitez le site de Didier Faustino Photographies : Felipe Ribon et David Boureau
Il y a 7 ans et 0 jours

La Belgique met du baume au c"ur des paysagistes conseil de l'Etat

A l'issue d'une harassante montée par une sente escarpée jusqu'au sommet du terril qui domine Charleroi, le spectacle du reflux de la marée industrielle wallonne a saisi les paysagistes conseil de l'Etat, au terme de leur séminaire annuel réuni du 30 mai au 2 juin à travers quatre villes belges : Malines, Bruxelles, Anvers et Charleroi. Dans le défi que relève la ville wallonne, les français trouvent une source d'inspiration pour consolider le modèle du paysagiste conseil.
Il y a 7 ans et 11 jours

Claeys / Haelvoet Architecten : Réserve patrimoniale Potyze

La campagne d'Yprès (Belgique) est une vaste nécropole où l'on compte quelque 170 cimetières militaires, dont celui de Saint-Charles de Potyze en face duquel une réserve de patrimoine culturel a été édifiée en 2017. Destinée au stockage de collections d'"uvres d'art et d'objets liés à la Première Guerre mondiale, elle est l'un des témoins de ce lieu chargé d'histoire. En Belgique, la ville d'Yprès garde les stigmates de batailles où les Allemands ont notamment utilisé le gaz moutarde pour la première fois en 1915, une arme de destruction massive qui ne fait pas de différence entre soldats et civils. Scène de nombreux combats dévastateurs, elle est entièrement détruite durant le conflit, avant d'être reconstruite à l'identique en 1921, faisant d'elle une cité flamande à l'allure pittoresque. Afin d'offrir un espace de stockage temporaire et central aux différents musées alentour, dédiés à ce moment tragique de l'histoire, le gouvernement flamand, la province de Flandre occidentale et l'association culturelle intercommunale CO7, choisissent l'agence Claeys / Haelvoet Architecten, basée à Courtrai (Belgique). Une réserve de 1 830 mètres carrés de surface de plancher qui, sous une enveloppe homogène en bardeaux d'argile rouge et brun, quasi-aveugle pour des raisons évidentes de conservation, s'intègre parfaitement au paysage architectural local. Ce volume de base rectangulaire, avec toiture à quatre pans, est réparti verticalement en deux niveaux et horizontalement en deux zones à l'esthétique brute avec sa structure en béton et sa charpente en lamellé-collé apparentes. La première héberge des pièces techniques " telles qu'une chambre froide, une salle de quarantaine ou encore de conditionnement ", et les bureaux du personnel éclairés naturellement par une baie vitrée à chaque étage côté nord. La seconde consiste en une surface de stockage de 1 300 mètres carrés subdivisée en quatre zones : une pour les supports à palettes, une pour les objets fragiles tels que les peintures et les textiles, une autre pour les objets métalliques et enfin une sécurisée pour l'armurerie.Le tout est généreusement isolé par l'extérieur, à l'exception du sol, ce qui a pour conséquence de réduire l'amplitude thermique des pièces, et donc d'offrir de bonnes conditions de conservation, mais aussi de limiter les frais de production. Un dispositif complété par des panneaux solaires qui répond à un désir d'économie d'énergie aussi bien lors de la construction que de l'exploitation, qui lui vaut la médaille d'or du Prix Publica 2017 pour " le bâtiment public le plus innovant du point de vue technique ". Un style sobre pour une efficacité à toute épreuve.   Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Claeys / Haelvoet Architecten Photographies : Piet-Albert Goethals
Il y a 7 ans et 11 jours

Claeys / Haelvoet Architecten : Réserve patrimoniale Potyze

La campagne d'Yprès (Belgique) est une vaste nécropole, où l'on compte quelque 170 cimetières militaires, dont celui de Saint-Charles de Potyze, en face duquel une réserve de patrimoine culturel a été édifiée en 2017 par l'agence Claeys / Haelvoet Architecten. Destinée au stockage de collections d'"uvres d'art et d'objets liés à la Première Guerre mondiale, cet espace de stockage est l'un des témoins de l'histoire du lieu. En Belgique, la ville d'Yprès garde les stigmates de batailles durant lesquelles les Allemands ont notamment utilisé le gaz moutarde pour la première fois en 1915, une arme de destruction massive qui ne fait pas de différence entre soldats et civils. Scène de nombreux combats dévastateurs, elle est entièrement détruite durant le conflit, avant d'être reconstruite à l'identique en 1921, faisant d'elle une cité flamande à l'allure pittoresque. Afin d'offrir un espace de stockage temporaire et central aux différents musées alentour, dédiés à ce moment tragique de l'histoire, le gouvernement flamand, la province de Flandre occidentale et l'association culturelle intercommunale CO7, choisissent l'agence Claeys / Haelvoet Architecten, basée à Courtrai (Belgique). Le résultat : une réserve de 1 830 mètres carrés de surface de plancher qui, sous une enveloppe homogène en bardeaux d'argile rouge et brun, quasi-aveugle pour des raisons évidentes de conservation, s'intègre parfaitement au paysage architectural local. Ce volume de base rectangulaire, avec toiture à quatre pans, est réparti verticalement en deux niveaux et horizontalement en deux zones à l'esthétique brute avec sa structure en béton et sa charpente en lamellé-collé apparentes. La première héberge des pièces techniques " telles qu'une chambre froide, une salle de quarantaine ou encore de conditionnement ", et les bureaux du personnel éclairés naturellement par une baie vitrée à chaque étage côté nord. La seconde consiste en une surface de stockage de 1 300 mètres carrés subdivisée en quatre zones : une pour les supports à palettes, une pour les objets fragiles tels que les peintures et les textiles, une autre pour les articles métalliques et enfin une sécurisée pour l'armurerie.Le tout est généreusement isolé, à l'exception du sol, ce qui a pour conséquence de réduire l'amplitude thermique des pièces, et donc d'offrir de bonnes conditions de conservation, mais aussi de limiter les frais de fonctionnement. Un dispositif complété par des panneaux solaires qui répond à un désir d'économie d'énergie aussi bien lors de la construction que de l'exploitation, qui lui a valu de recevoir la médaille d'or du Prix Publica 2017 pour " le bâtiment public le plus innovant du point de vue technique ". Un style sobre pour une efficacité à toute épreuve.  Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Claeys / Haelvoet Architecten Photographies : Piet-Albert Goethals
Il y a 7 ans et 11 jours

Claeys / Haelvoet Architecten : Réserve patrimoniale Potyze

La campagne d'Yprès (Belgique) est une vaste nécropole, où l'on compte quelque 170 cimetières militaires, dont celui de Saint-Charles de Potyze, en face duquel une réserve de patrimoine culturel a été édifiée en 2017 par l'agence Claeys / Haelvoet Architecten. Destinée au stockage de collections d'"uvres d'art et d'objets liés à la Première Guerre mondiale, cet espace de stockage est l'un des témoins de l'histoire du lieu. En Belgique, la ville d'Yprès garde les stigmates de batailles durant lesquelles les Allemands ont notamment utilisé le gaz moutarde pour la première fois en 1915, une arme de destruction massive qui ne fait pas de différence entre soldats et civils. Scène de nombreux combats dévastateurs, elle est entièrement détruite durant le conflit, avant d'être reconstruite à l'identique en 1921, faisant d'elle une cité flamande à l'allure pittoresque. Afin d'offrir un espace de stockage temporaire et central aux différents musées alentour, dédiés à ce moment tragique de l'histoire, le gouvernement flamand, la province de Flandre occidentale et l'association culturelle intercommunale CO7, choisissent l'agence Claeys / Haelvoet Architecten, basée à Courtrai (Belgique). Le résultat : une réserve de 1 830 mètres carrés de surface de plancher qui, sous une enveloppe homogène en bardeaux d'argile rouge et brun, quasi-aveugle pour des raisons évidentes de conservation, s'intègre parfaitement au paysage architectural local. Ce volume de base rectangulaire, avec toiture à quatre pans, est réparti verticalement en deux niveaux et horizontalement en deux zones à l'esthétique brute avec sa structure en béton et sa charpente en lamellé-collé apparentes. La première héberge des pièces techniques " telles qu'une chambre froide, une salle de quarantaine ou encore de conditionnement ", et les bureaux du personnel éclairés naturellement par une baie vitrée à chaque étage côté nord. La seconde consiste en une surface de stockage de 1 300 mètres carrés subdivisée en quatre zones : une pour les supports à palettes, une pour les objets fragiles tels que les peintures et les textiles, une autre pour les articles métalliques et enfin une sécurisée pour l'armurerie.Le tout est généreusement isolé, à l'exception du sol, ce qui a pour conséquence de réduire l'amplitude thermique des pièces, et donc d'offrir de bonnes conditions de conservation, mais aussi de limiter les frais de fonctionnement. Un dispositif complété par des panneaux solaires qui répond à un désir d'économie d'énergie aussi bien lors de la construction que de l'exploitation, qui lui a valu de recevoir la médaille d'or du Prix Publica 2017 pour " le bâtiment public le plus innovant du point de vue technique ". Un style sobre pour une efficacité à toute épreuve.  Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Claeys / Haelvoet Architecten Photographies : Piet-Albert Goethals
Il y a 7 ans et 14 jours

Événement : Triennale de Bruges

Classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, Bruges (Belgique) n'existe pourtant pas que par son passé ! Preuve en est, la nouvelle édition de sa Triennale, ressuscitée " puisque le projet datant des années 1960 avait été avorté en 1974 ", qui présente un grand nombre d'"uvres d'art contemporaines plus spectaculaires les unes que les autres répondant toutes au thème énigmatique de " Liquid City ". " Liquid City ", quèsaco ? Il s'agit d'un détournement du concept de " société liquide " pensé par le sociologue et philosophe Zygmunt Bauman dans les années 2000, qui fait référence à la fluctuation et au mouvement perpétuel de la société moderne. Un clin d'"il que la Venise du Nord s'approprie et mêle à l'omniprésence de l'eau qui la caractérise. Une matière première propice à la réflexion et qui a guidé les travaux des artistes et architectes invités à y exposer jusqu'à mi-septembre. Quelles soient subaquatique ou en surface, les interventions in situ oscillent entre propositions architecturales concrètes, qui se veulent solidaires et écologiques, et ouvrages temporaires ayant pour but premier d'égailler la ville et d'intéresser les visiteurs à la construction, tout en donnant un nouveau souffle à l'une des capitales patrimoniales européennes. L'occasion notamment de découvrir l'Acheron I de Renato Nicolodi, une structure en bois recouverte de ciment, flottant littéralement sur l'un deux canaux. Une représentation de l'entrée des enfers, royaume d'Hadès dans la mythologie grec, qui doit son nom à une rivière du nord-est de la Grèce dont le nom signifie " rivière de la tristesse ". Une réalisation conceptuelle aussi fascinante autant par la prouesse technique dont elle fait preuve que par son sens fantasque. Plus gai, le pavillon Selgascano imaginé par l'agence espagnole éponyme : une structure organique aux parois translucides rouges projetant des rais de lumière colorée sur le cours d'eau sur lequel elle prend partiellement place. L'occasion de méditer les pieds dans l'eau, tout en voyant la vie en rose. Mais un événement d'une telle envergure est également une tribune, une opportunité de dénoncer les travers de la société, de partager son opinion avec le plus grand nombre. Une notion bien intégrée par les New Yorkais de Studiokca qui transforment un bassin du centre-ville, proche de la statue de Jan Van Eyck, en petit bout d'océan où émerge une baleine bleue d'une douzaine de mètres de haut. À défaut d'avoir pu placer un réel cétacé en plein c"ur de la Belgique, pas moins de 5 tonnes de déchets plastiques tirés de la Grand Bleu ont permis de reconstituer le mammifère surgissant de l'eau. Une sculpture aussi impressionnante qu'engagée qui, espérons-le, sensibilisera un peu plus les esprits sur la pollution des océans. Une manifestation qui permet non seulement de découvrir les "uvres de Wesley Meuris, John Powers ou encore Monir Shahroudy mais surtout de découvrir Bruges sous un nouvel angle, celui d'une ville contemporaine et ancrée dans l'actualité. Une triennale vivante et passionnante qui promet de réchauffer l'été de la capitale de Flandre-Occidentale. Pour en savoir plus, visitez le site de la Triennale de Bruges Photographies :1) à 5) Iwan Baan6) à 9) DR
Il y a 7 ans et 21 jours

Événement : Together! La nouvelle architecture communautaire

" Together! La nouvelle architecture communautaire ", acte 2. Après le Vitra Museum de Weil am Rhein (Allemagne), c'est au tour du CID, Centre d'innovation et de design du Grand-Hornu (Belgique), d'accueillir cette exposition montée par les architectes et historiens Ilka et Andreas Ruby et l'agence d'architecture allemande EM2N. Une expérience immersive dans le logement communautaire d'hier et d'aujourd'hui à découvrir jusqu'au 1er juillet 2018. Cette année, c'est donc à la Belgique d'accueillir l'exposition " Together! ". Un titre évocateur, que nous ne ferons pas l'affront de traduire ici. Une analyse du vivre ensemble résumée par un nom, suivi d'un point d'exclamation qui pourrait faire croire à une injonction alors qu'il indique au contraire l'évidence : allons ensemble citoyen ! Une épopée en quatre actes livrée dans l'imposante halle du CID, réservée au stockage du foin durant le XIXe siècle, au sein de l'ancien complexe minier du Grand-Hornu. L'ensemble est classé patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 2012 et est aujourd'hui reconverti en lieu d'art et de culture. Un endroit qui fait sens, puisqu'il a par ailleurs été édifié au même moment que la cité ouvrière voisine composée de 450 maisons en bande avec jardin, répondant aux idéaux de vie communautaire de son propriétaire : Henri De Gorge, un industriel paternaliste et philanthrope. Dans un premier temps, les commissaires proposent de revenir sur l'histoire de ces utopies pas si utopiques à travers le monde, du XIXe à la fin du XXe siècle : du phalanstère de Guise (02) érigé par Charles Fourier pour Jean-Baptiste Godin " créateur des poêles du même nom ", au squat suisse de Wohlgroth à Zurich (Suisse) ayant été occupé par une centaine de personnes dans les années 1990. Trente exemples présentés sous forme de panneaux explicatifs courts ou de vidéos et accompagnés de bulles de BD suspendues donnant quelques clés de compréhension pour le visiteur, permettent de mieux cerner les tenants et aboutissants de telles opérations ; indiquant par exemple qu'" Après la Seconde Guerre mondiale, le modèle [du logement] évolue. Son but est d'intégrer les fonctions urbaines à l'habitat ". Des modèles qui se sont " en grande partie soldés par des échecs, face aux individualismes ", explique Marie Pok, directrice du CID. Puis, 21 maquettes d'une cité imaginaire, réalisées par l'agence EM2N et disposées à hauteur d'yeux, laissent imaginer ce que serait une ville dont tous les rez-de-chaussée des bâtiments seraient publics.Des modèles réduits qui introduisent la troisième séquence de l'événement, où une reproduction d'habitat partagé à l'échelle 1:1 a été montée. Imaginée par l'architecte Lionel Jadot et la société Cohabs proposant ce type d'opérations sur le territoire belge, elle constitue un exemple à taille réelle de l'application concrète et contemporaine de principes de vie en communauté, où chacun des quatre habitants accepte de diminuer sa surface de plancher personnelle au profit d'une autre : collective cette fois. " L'offre immobilière a peu changé sur le marché (...). Elle correspond à d'anciens modes de vie. Nous avons besoin d'alternatives. C'est ce que montre l'exposition : la faisabilité d'une alternative. " Lionel Jadot, architecte Et si le visiteur n'est pas convaincu, il ne lui reste plus qu'à consulter les études de cas réalisées partout dans le monde, montrées à la fin de l'événement, tels que le projet R50 construit en 2013 à Berlin (Allemagne), où les résidents ont conçu main dans la main avec les architectes Ifau et Jesko Fezer + HEIDE & VON BECKERATH leur appartement et ont décidé conjointement de réserver un hall en double-hauteur aux activités de la communauté. À découvrir également, l'ensemble Sargfabrik, installé dans la capitale autrichienne ; un projet lancé dans les années 1980 par une bande de copains et qui a abouti en 1996 à la réalisation d'un immeuble-village semi-public composé de 75 unités de 45 mètres carrés, avec de multiples espaces partagés comme une toiture plantée, un restaurant ou une piscine ouverte 24/24h " un service auquel la plupart des locataires n'aurait pas pu prétendre seuls. À Séoul (Corée du Sud), l'opération Songpa de l'agence américano-coréenne Ssd rassemble depuis 2014 sous une enveloppe métallique à clairevoie, 16 micro-logements modulaires de 12 mètres carrés chacun pouvant être réunis. De petits espaces de vie individuels compensés par des surfaces interstitielles librement appropriables, auxquelles se mêlent une galerie d'art, un café et un magasin de jouets. " En étant inventifs, les gens trouvent des solutions pour répondre aux manquements du marché ", résume, sourire aux lèvres, Andreas Ruby. Nous laisserons ainsi le mot de la fin au commissaire : " si on regarde l'histoire, c'est notre modèle qui est inhabituel " ! " Together! La nouvelle architecture communautaire ", jusqu'au 1er juillet 2018 au CID, Grand-Hornu (Belgique) Pour en savoir plus, visitez le site du CID Photographies :01) Maquette d'une ville collective, Together! © Hannes Henz Architekturfotograf02-10) Together! au CID © Tim van de Velde11) Familistère de Guise, 1890 © Collection Familistère de Guise12) R50, Ifau et Jesko Fezer + HEIDE & VON BECKERATH © Andrew Alberts13) Sargfabrik, Vienne (Autriche), 1992-1996, BKK-3 © stadt Wien-ma-18-r-Christanell14-15) Sargfabrik, Vienne (Autriche), 1992-1996, BKK-3 © Hertha Hurnaus16) Micro-logements Songpa, Séoul (Corée du Sud), 2014, Jinhee-Park/Ssd
Il y a 7 ans et 46 jours

BigMat perd la moitié de ses agences en Belgique

Le groupe BodyMat qui exploite 13 points de vente en Wallonie a quitté BigMat pour créer Allmat.
Il y a 7 ans et 48 jours

Total débourse 1,4 milliard pour acquérir Direct Energie

ÉNERGÉTICIENS. C'est une grosse acquisition que vient de signer Total en se portant acquéreur de presque 75 % du capital de Direct Energie. Le groupe pétrolier français explique poursuivre activement son développement dans le secteur du gaz et de l'électricité sur le marché national et en Belgique.
Il y a 7 ans et 82 jours

Les dernières créations du Groupe Alkern pour l'aménagement extérieur

Le Groupe Alkern, premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton (France et Belgique), est reconnu pour ses offres produits innovantes et de qualité, qu'il s'agisse de construction, de travaux publics ou bien encore d'aménagement extérieur.
Il y a 7 ans et 105 jours

IVC Group va doubler la capacité de production mondiale de vinyle

2018 promet d'être une année passionnante, IVC Group ayant la volonté de doubler la capacité de production mondiale de vinyle. Afin de répondre à la demande croissante, tant de la part des consommateurs que des architectes et des prescripteurs, IVC Group a investi dans deux usines à la pointe de la technologie, dont une à Avelgem, en Belgique.
Il y a 7 ans et 106 jours

Aires Mateus : Faculté de Tournai

À Tournai (Belgique), au c"ur d'un îlot composé d'anciens bâtiments industriels et hospitaliers du XVIIIe siècle, se trouve un intrigant volume sculptural tout de blanc paré. Une réalisation minimaliste signée par l'agence portugaise Aires Mateus hébergeant la nouvelle Faculté d'architecture et d'urbanisme de l'École Saint-Luc. Désireuse d'améliorer sa visibilité et d'offrir à ses 600 étudiants en architecture des espaces de travail plus grands, l'École Saint-Luc a lancé en 2014 un appel d'offre pour la réhabilitation de son second campus, situé dans l'hyper-centre de Tournais. L'îlot, autrefois occupé par des entreprises bancaires, est constitué de plusieurs bâtiments datant de différentes époques, séparés par une vaste cour comprenant des maisons de campagne au nord, d'anciens locaux industriels du XIXe siècle à l'est et d'un vieil hôpital du XVIIIe siècle à l'ouest. Face à des agences telles que Lacaton & Vassal, Robbrecht & Daem, V+ et AAVO, le projet des maîtres d'"uvre portugais d'Aires Mateus a été retenu grâce à un étonnant monolithe de béton inséré entre les constructions existantes, dans un plan en L traversant la parcelle de part en part. L'édifice hébergeant un hall d'accueil dans son aile la plus longue et un auditorium de 300 places dans l'autre, permet d'une part de redéfinir les limites de la cour arborée et d'autre part d'apporter à la Faculté, une façade d'entrée emblématique, positionnée entre deux immeubles tertiaires en brique rouge, et matérialisée par une forme géométrique triangulaire en creux, faisant office de préau protecteur. L'imposant volume en léger retrait de la rue, ponctué par un entrelacs d'escaliers menant à l'étage où se trouvent les ateliers des élèves, constitue ainsi un objet sculptural, indépendant de son contexte et de ses constructions " presque " mitoyennes. Une proposition surpenante apportant un vent d'air frais à cet ensemble de constructions anciennes. Pour en savoir plus, visitez le site d'Aires Mateus Photographies : Tim Van de Velde
Il y a 7 ans et 106 jours

Aires Mateus : Faculté de Tournai

À Tournai (Belgique), au c"ur d'un îlot composé d'anciens bâtiments industriels et hospitaliers du XVIIIe siècle, se trouve un intrigant volume sculptural tout de blanc paré. Une réalisation minimaliste signée par l'agence portugaise Aires Mateus hébergeant la nouvelle Faculté d'architecture et d'urbanisme de l'Université Catholique de Louvain autrefois situé sur le campus de l'Institution Saint-Luc. Désireuse d'améliorer sa visibilité et d'offrir à ses 600 étudiants en architecture des espaces de travail plus grands, l'Université Catholique de Louvain a lancé en 2014 un appel d'offre pour la réhabilitation de son second campus, situé dans l'hyper-centre de Tournais. L'îlot, autrefois occupé par des entreprises bancaires, est constitué de plusieurs bâtiments datant de différentes époques, séparés par une vaste cour comprenant des maisons de campagne au nord, d'anciens locaux industriels du XIXe siècle à l'est et d'un vieil hôpital du XVIIIe siècle à l'ouest. Face à des agences telles que Lacaton & Vassal, Robbrecht & Daem, V+ et AAVO, le projet des Portugais d'Aires Mateus a été retenu grâce à un étonnant monolithe de béton inséré entre les constructions existantes, dans un plan en L traversant la parcelle de part en part. L'édifice hébergeant un hall d'accueil dans son aile la plus longue et un auditorium de 300 places dans l'autre, permet d'une part de redéfinir les limites de la cour arborée et d'autre part d'apporter à la Faculté, une façade d'entrée emblématique, positionnée entre deux immeubles tertiaires en brique rouge et matérialisée par une forme géométrique triangulaire en creux, faisant office de préau protecteur. L'imposant volume en léger retrait de la rue, ponctué par un entrelacs d'escaliers menant à l'étage où se trouvent les ateliers des élèves, constitue ainsi un objet sculptural, indépendant de son contexte et de ses constructions " presque " mitoyennes. Une proposition surpenante apportant un vent d'air frais à cet ensemble de constructions anciennes. Pour en savoir plus, visitez le site d'Aires Mateus Photographies : Tim Van de Velde
Il y a 7 ans et 106 jours

Holcim Belgique présente sa nouvelle collection de sacs ciments

Après la fusion avec Lafarge, Holcim Belgique a revu l'ensemble de ses gammes ciments, pour intégrer trois nouvelles solutions, tout en revoyant de fond en comble le packaging de ses produits. L'article Holcim Belgique présente sa nouvelle collection de sacs ciments est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.
Il y a 7 ans et 111 jours

Infopro Digital s'étend vers l'Allemagne avec l'acquisition de DOCUgroup

Le groupe Infopro Digital (Le Moniteur, L'Usine Digitale, Batiproduits?) est en cours d'acquisition de DOCUgroup, leader germanophone de l'information professionnelle dans le domaine de la construction, de l'immobilier et de l'architecture en Allemagne, Suisse et Autriche.   Infopro Digital accélère son développement à l'international avec le projet d'acquisition du groupe allemand. DOCUgroup dispose de deux activités principales : L'information Projets avec sa plateforme électronique d'abonnement IBAU, regroupant près d'un million de projets de construction publics et privés. L'information Produits avec ses plateformes Heinze et Baunetz permettant aux architectes et bureaux d'études d'accéder à une base de données de plus de 500 000 produits. Ces plateformes digitales annoncent environ 15 millions de visites chaque année. DOCUgroup est donc une bonne opportunité pour renforcer l'offre d'Infopro Digital à destination des professionnels de la construction : selon Julien Elmaleh, DG d'Infopro Digital, " L'ADN de DOCUgroup correspond parfaitement à celui d'Infopro Digital : des bases de données et des plateformes digitales qui permettent à des professionnels de développer leur activité commerciale et de disposer d'une information détaillée de qualité ". Avec cette acquisition, Infopro Digital compterait plus de 1300 collaborateurs à travers le monde : France, Belgique, Pays-Bas, Etats-Unis, Hong Kong, Allemagne, etc. et pourrait atteindre les 440 M¤ de chiffre d'affaires. De quoi devenir une véritable ETI européenne, selon Christophe Czajka, Président d'Infopro Digital.   Lire le communiqué complet sur le site d'Info Digital
Il y a 7 ans et 116 jours

Détachement : le certificat de sécurité sociale écarté en cas de fraude

Dans un arrêt du 6 février 2018, la Cour de justice de l'Union européenne se prononce sur un cas de détachement de travailleurs bulgares en Belgique.  
Il y a 7 ans et 165 jours

Guard Industrie à l'assaut de la Belgique et des Pays-Bas

Guard Industrie s'implante en Belgique et aux Pays-Bas, en créant Guard Industrie Distribution BVBA, qui sera dirigée par Martin Van Ekeren. L'article Guard Industrie à l'assaut de la Belgique et des Pays-Bas est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.
Il y a 7 ans et 188 jours

Jasper Léonard : New York Resized

" La grosse pomme ", " la ville qui ne dort jamais "... Tant de périphrases pour désigner la grandeur de la métropole américaine aux multiples gratte-ciels. Grâce à des effets de focus, le photographe belge Jasper Léonard se joue de ce gigantisme et des rapports d'échelle, dans un livre sorti le 20 novembre dernier, New York Resized. Et si, pour une fois, vous dominiez la côte est des États-Unis ? Si la mention de l'effet " Tilt-shift " ne vous est pas familière, elle l'est pourtant pour tous les utilisateurs du filtre éponyme d'Instagram. Le " Tilt-shift ", soit " décalage d'inclinaison " en français, désign l'effet consistant à de ne flouter que l'arrière-plan d'un cliché, renforçant ainsi l'effet de perspective, tout en renforçant l'importance majeure de ce qui se trouve au premier plan. Cette technique agissant sur la mise au point, réalisée grâce à l'association d'un boîtier de caméra sans miroir avec un objectif dépareillé, permet à l'artiste de capturer des scènes de la vie quotidienne de Big Apple avec un point de vue fantasmé : celui d'un géant. " Nos cerveaux savent que ce genre de flou est un signal que l'échelle est probablement petite. " Jasper Léonard, photographe Ses prises de vues aériennes qui semblent capturer des maquettes et non d'authentiques rues de NYC sont accompagnées de citations de New Yorkais emblématiques, comme la journaliste Alister Cooke ou la chanteuse Lana Del Rey. Et bien que l'"il de Léonard ait également appliqué ce même traitement à sa/ses toile(s) de la ville d'Anvers (Belgique), la technique semble avoir été imaginée spécialement pour être expérimentée sur la ville qui ne dort jamais. De quoi redécouvrir Manhattan, Brooklyn ou le Queens dans un ouvrage qui, à l'approche de Noël, saura trouver sa place sous le sapin du Rockfeller Center. Pour en savoir plus, visitez le site de Jasper Léonard Photographies : Jasper Léonard
Il y a 7 ans et 196 jours

Renouvellement urbain à Montignies-sur-Sambre, signé StarTech

La Cité du Centenaire à Charleroi, en Belgique, est une opération de réhabilitation d'un quartier de 1959 inspiré des cités jardins, et transformé en écoquartier. […] L'article Renouvellement urbain à Montignies-sur-Sambre, signé StarTech est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 197 jours

Les lauréats internationaux des Green Solutions Awards 2017 sont dévoilés !

Le 15 novembre 2017, à l’occasion de la COP 23 qui se tenait à Bonn, Construction 21 a décerné ses prix internationaux pour les Green Solutions Awards 2017. Grand prix Ville durable :  – Réhabilitation de la Cité du Centenaire, Montignies-sur-Sambre, Belgique – Maître d’ouvrage : La Sambrienne – Architecte : Startech Management Grand prix Infrastructure … Cet article Les lauréats internationaux des Green Solutions Awards 2017 sont dévoilés ! est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 7 ans et 200 jours

Green Solutions Awards 2017 : le triomphe de la Belgique

Avec trois lauréats différents dans le palmarès des Green Solutions Awards 2017, la Belgique devance la France (deux récompenses). Les gagnants de ce concours international, révélés à Bonn dans le cadre de la COP23, présentent un ensemble de solutions destinées à inspirer les professionnels de la construction durable dans le monde entier. Tour d'horizon.
Il y a 7 ans et 224 jours

Alkern développe des solutions maçonnées bio-sourcées

Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton, en France et en Belgique, le Groupe développe des solutions bio-sourcées et vise l’économie locale.
Il y a 7 ans et 228 jours

Compagnie O Architects : Topsportschool Antwerp

Le Fort VI, ancienne place militaire d'importance d'Anvers (Belgique), accueille aujourd'hui la Topsportschool, une école pour sportifs de haut niveau imaginée par Compagnie O Architects. Le studio livre ici une réinterprétation de l'archétype défensif, confrontant légèreté et transparence du verre à la massivité d'un socle de béton. Le Fort VI fait partie d'un ensemble de neuf forteresses édifié par l'architecte militaire belge Henri-Alexis Brialmont en 1859 tout autour d'Anvers, dans le but de renforcer la position stratégique de la ville. Si deux de ces constructions ont été détruites lors des bombardements de la Première Guerre mondiale, les autres ont été réhabilitées au fil du temps en musées, logements ou même en aire de jeux. Le bastion situé le plus au sud, dans le quartier de Wilrijk, accueillait en 2000 quatre terrains de football et dix cours de tennis communaux. La construction de l'établissement entreprise afin d'offrir de nouvelles carrières d'excellence à l'université d'Anvers, s'est donc naturellement positionnée au centre. L'école de sport érigée sur un plan carré de 70 mètres de côté, se compose de deux entités superposées : une dédiée aux pratiques sportives au rez-de-chaussée et au premier niveau, et une autre hébergeant un pôle scolaire comprenant salles de cours et administration au deuxième et dernier étage. Cette compacité spatiale permet une optimisation des déplacements des étudiants aux emplois du temps chargés.Les zones d'entraînement tout en longueur comprennent une salle de gymnastique de 800 mètres carrés et une autre de 3 000 mètres carrés en double hauteur, séparées par des vestiaires, locaux techniques et circulations. Au-dessus, se trouvent deux pièces de 300 mètres carrés, dédiées à la musculation et l'étude. Les classes, bureaux de gestion et zones de repos sont disposées au second niveau, en L autour d'un patio central qui apporte une généreuse lumière à l'intérieur et offre un espace de recréation aux sportifs. . Afin d'identifier les différentes activités " sport d'un côté, étude de l'autre ? , l'agence belge recourt à deux matérialités et deux géométries aux puissants contrastes : un sous-bassement massif en béton banché de plus de neuf mètres de hauteur rappelant l'architecture des bases sous-marines ; et, au-dessus, un parallélépipède au vitrage réfléchissant qui semble défier la gravité. Une machine à exceller qui ne manque pas de mettre en valeur l'architecture des vestiges de guerre, emblématique du paysage urbain de la région. Pour en savoir plus, visitez le site de Compagnie O Photographies : Bart Gosselin et Tim Van De Velde
Il y a 7 ans et 230 jours

ARTE : Collection Architectures

Présents depuis 1996 sur nos petits écrans, la collection Architectures de la chaîne franco-allemande Arte est une série de documentaires initiée par le producteur Richard Copans, et l'auteur et réalisateur Stan Neumann. Ce format court et monothématique d'une vingtaine de minutes, axé sur une réalisation architecturale iconique, revient cette année avec de nouveaux épisodes à visionner les 22 et 29 octobre. Avec plus de 60 films répartis en onze coffrets DVD, Architectures traverse le temps avec des enquêtes toujours plus approfondies sur des bâtiments emblématiques, dévoilant ainsi le moindre de leurs petits secrets. Après avoir abordé lors de la dernière saison Roissy 1 ou encore la Maison d'hôtes Wan Shan à Hangzhou (Chine), le programme s'attaque désormais à quatre projets éclectiques répartis à travers le monde et les époques : la Prison de la Santé à Paris (14e), réalisée par Joseph Auguste Émile Vaudremer en 1867 ; la Green School de Bali (Indonésie) livrée en 2008 par John et Cynthia Hardy ; la Médiacité à Liège (Belgique) signée Ron Arad et la Bibliothèque d'Exter de Louis Kahn située dans le New Hampshire (États-Unis). Si les deux premiers sujets ont déjà été diffusés, il est encore temps de se rattraper le 22 octobre pour découvrir les dessous du complexe commercial belge caractérisé par sa toiture monumentale largement vitrée ; puis, la semaine suivante, l'ensemble monumental et géométrique des rayonnages américains, l'un des derniers chefs d'"uvre de Louis Kahn, célèbre architecte new-yorkais d'origine estonienne décédé il y a près de 50 ans. Qui a dit que femme du dimanche matin ne pouvait pas rimer avec culture et architecture ?   Architectures, les 22 et 29 octobre à 11h15 sur Arte. Pour en savoir plus, visitez le site d'Arte Photographies : Richard Copans1) Bibliothèque, Exter (États-Unis), Louis Kahn2) Green School, Bali (Indonésie), John et Cynthia Hardy3) Prison de la Santé, Paris (14e), Joseph Auguste Émile Vaudremer4) Médiacité, Liège (Belgique), Ron Arad
Il y a 7 ans et 232 jours

Événement : LafargeHolcim Awards

Tous les deux ans, la fondation LafargeHolcim remet une série de prix internationaux à des projets mêlant architecture, urbanisme et paysage, réunis sous la bannière du développement durable. Il y a quelques semaines, c'était au tour des lauréats de la zone Europe de recevoir leur précieuse récompense, à l'occasion d'une cérémonie organisée à Marseille (13)... au Mucem, pardi ! La fondation LafargeHolcim est née en 2003 d'un constat de l'entreprise cimentière : le rôle fondamental de l'architecture, de l'ingénierie, de l'urbanisme et de l'industrie du BTP, dans la construction d'un monde durable est souvent mésestimé. Pour encourager les talents de demain à emprunter la voie de l'écologie, l'institution a ainsi créé un prix, qui récompense depuis 2005 des concepts et projets exemplaires, au travers de trois catégories " LafargeHolcim Award, Acknowledgement et Next Generation ", et de leurs trois médailles " or, argent et bronze. Nouveauté de cette édition 2017-2018 : la section Building Better Recognition, couronnant un bâtiment distingué lors d'une précédente édition, qui a depuis été bâti et a prouvé qu'il méritait l'obtention du précieux sésame. Une variété de récompenses à l'image de la diversité de sujets et programmes abordés. Les cinq critères de l'organisation pour remettre ces distinctions : le progrès, l'intégration au contexte, l'humain, les performances environnementales et la prospérité économique.La compétition se déroule en deux étapes. Un premier round " régional ", par zone géographique (Europe, Amérique du nord, Amérique latine, Asie Pacifique et Moyen-Orient Afrique ; puis un second, mondial, le Global LafargeHolcim Award, qui élit parmi les lauréats arrivés en tête de la première phase, les trois que les organisateurs estiment être les meilleurs. Au total, de par le monde, plus de 5 000 candidatures ont été reçues à l'occasion de ce cinquième opus de l'événement. Elles ont minutieusement été étudiées par un jury pluridisciplinaire dont les membres ont été choisis par le Conseil de la fondation, représenté par Marc Angélil, professeur d'architecture et de design à l'ETH de Zurich. " La culture de la discussion diffère d'un jury à l'autre. Mais les choses qu'ils ont tous en commun m'impressionnent énormément. Les ressemblances sont plus grandes que les différences. " Marc Angélil, professeur d'architecture et de design à l'ETH de Zurich et membre du Conseil de la Fondation LafargeHolcim Le décor général étant planté, revenons-en à la zone géographique qui est la nôtre : l'Europe. Cette année, douze candidatures émanant du Vieux continent ont été primées, avec une mention spéciale pour l'immeuble Lieu de vie, couronné en 2014 d'un Holcim Awards argent (lors de sa phase de conception), et qui reçoit cette année le Building Better Recognition Europe pour une exécution qui a depuis tenu toutes ses promesses. Cette réalisation modèle de plus de 4 000 mètres carrés mixe divers programmes " espaces sportifs, un restaurant et une cafétéria ", superposés et subtilement imbriqués, dans un mélange d'ouverture et de fermeture, de surfaces intérieures et d'extérieures. L'unité architecturale et la compacité de la construction " en béton, bien entendu ", camoufle des activités hétéroclites entremêlées avec des espaces publics disposés de manière verticale sur cinq niveaux : une place piétonne, des terrasses et une aire de parking et de livraison. Les circulations sont ici un prolongement de la rue et mènent jusqu'à un toit-terrasse hébergeant un terrain de basket, pour une mixité d'usages et d'usagers. " Un bâtiment minimaliste qui répond à un budget qui l'est tout autant ", conclue son concepteur, l'architecte français Gilles Delalex, de l'agence Muoto. Outre la France, la Belgique a été mise à l'honneur avec deux projets bruxellois qui ont reçu ex-aequo la médaille d'or du Holcim Award Europe. Le premier, Mix-city, mêle deux typologies qui sont en général peu associées : logement et manufacture. Son ambition : transformer une usine de béton en centre de vie car pour ses concepteurs " une bonne ville a une industrie ". L'équipe a ici répondu à la demande très simple de la Commune : qu'au bruit, à la poussière et aux flux générés par l'activité succède un équipement à valeur ajoutée pour la ville. Pour cela, BC architects and studies a imaginé une dalle surélevée, permettant de couvrir et restreindre ces principales nuisances, tout en transformant le lieu un espace public, à l'abri du trafic routier.Le second projet bruxellois, Logistic Frameworks, dessiné par TETRA architecten, s'intéressait quant à lui à un centre de tri proche du Canal, au nord de la capitale, que les maîtres d'"uvre proposent, autour d'un large patio planté, d'ouvrir à de nouveaux usages : bureaux, ateliers et espace de coworking, afin de redynamiser cette zone en devenir. Le prix Next Generation Europe, destiné à encourager les jeunes pousses du domaine, a cette année été remis à la Polonaise Margorzata Mader pour sa reconversion d'une usine en immeuble de logement, dans la ville de Lodz (Pologne), largement touchée par la désindustrialisation. L'Acknoledgement Prize Europe revient pour sa part à l'Asociatia Culturala Grivita 53, Codrin Tritescu et Architect Office Codrin Tritescu, pour leur projet de théâtre communautaire et l'impulsion culturelle majeure qu'il propose pour la bourgade. Il s'agit en effet du premier édifice de ce type construit dans la ville depuis 1946. Une promotion 2017-2018 pleine d'avenir, dont certains lauréats recevront peut-être à leur tour un Prix Building Better Recognition lors d'une prochaine édition, s'ils ont la chance de voir leur concept devenir réalité.Pour tous ceux qui souhaiteraient mettre leur pierre à l'édifice, et qui ont la ferme volonté de faire tourner leurs méninges comme des toupies à béton, l'appel à candidatures sera lancé dès la mi-2019. Pour en savoir plus, visitez le site de la Fondation LafargeHolcim Photographies :01) Lieu de vie, Muoto, Saclay (France), LafargeHolcim Award Europe 2014 et LafargeHolcim Award for Better Building Recognition Europe 201703) Post-War collective, Milinda Pathiraja et Ganga Ratnayake, Ambepussa (Sri Lanka), Silver Global LafargeHolcim Award 201504) PS1, David Benjamin, New-York (USA), Bronze LafargeHolcim Award North America 201402 et 05) Mix-City, BC architects and studies, Bruxelles (Belgique), Gold LafargeHolcim Award Europe ex-aequo 201706) Logistics Framework, TETRA architecten, Bruxelles (Belgique), Gold LafargeHolcim Award Europe ex-aequo 201707) Ecommunity, Malgorzata Mader, Lodz (Pologne), Next Generation LafargeHolcim Award Europe 2017
Il y a 7 ans et 263 jours

Événement : Brussels Design September

Durant le mois de septembre, la capitale belge vibre au rythme du design. Au programme, une centaine d'événements en tout genre et en tout lieux. Amateurs de la discipline, à vos agendas ! Certaines villes organisent leur semaine du design " design fair, design week, design show ou encore design festival tous azimuts ", d'autres leur mois. C'est l'ambitieux choix fait par Bruxelles. Un dessein à la hauteur son héritage historique en la matière. Pour promouvoir la discipline dont elle est l'une des dignes figure de proue, elle mise sur une multitude d'événements culturels et commerciaux disséminés dans le centre-ville et les communes alentour. À l'honneur, créations belges, bien entendu, mais aussi tchèques, polonaises, italiennes, françaises, etc., montrées dans des lieux aussi divers que complémentaires tels que des boutiques, galeries, ateliers, musées et, pour la première fois cette année, dans l'espace public. En partenariat avec la marque automobile MINI, l'installation Breathe investit ainsi le bassin de la Place Sainte-Catherine sur lequel une plateforme en bois et quelques tables semblent flotter. Un ensemble aquatique, végétal mais surtout dépolluant conçu par Ruud Belmans, directeur créatif du studio anversois Pinkeye. Ce dernier a en effet pris le parti du moindre impact environnemental et propose, toutes proportions gardées, d'assainir l'atmosphère de la cité par l'implantation de 1 300 plants de chèvrefeuille positionnés sur un lit de pierres d'olivine. Durant l'événement, le tout devrait absorber l'équivalent de 43,75 tonnes du CO2 présent dans l'air. " Habiter consciemment ne doit pas être synonyme de moyens coûteux ", juge-t-il. Au-delà de cet aménagement urbain, la Capitale prend le parti de célébrer l'architecture et le design qui ont fait sa renommée au début du siècle dernier, notamment par le biais d'une exposition consacrée à l'Art Nouveau au Brussels Design Museum ; d'un marché vintage dédié au mobilier du XXe siècle ; ou encore d'un hommage au designer d'après-guerre Ado Chale au Palais des Beaux-Arts - BOZAR pour les intimes. D'autres institutions, privées comme publiques, offrent quant à elles une transition entre production actuelle et patrimoine historique, à l'exemple de l'Atelier Jespers, réalisé en 1928 par le moderne Victor Bourgeois, qui accueille les luminaires de l'artiste chypriote Michael Anastassiades. Ou encore le Musée Horta, qui joue le rôle de trait d'union entre Art Nouveau et contemporain, avec la présentation des "uvres de l'Espagnol Nacho Carbonell : mobiliers mi-organique, mi-onirique. " Je veux créer des objets avec des éléments fantaisistes ou chimériques, qui vous permettent de vous échapper de la vie quotidienne ", livre l'artiste qui vit aujourd'hui à Eindhoven (Pays-Bas). La relève est donc assurée, comme le prouvent également les exhibitions " Belgitude " et " New Belgians " proposées au MAD. Pour l'occasion, à l'entrée de cette plateforme du design et de la mode belge installée depuis peu dans des locaux épurés dessinés par les architectes V+ et le collectif ROTOR, trône une série de clichés aériens produits par la photographe Laetitia Bica qui, tels des instantanés introspectifs, explorent les émotions créées par les objets et le mobilier, et leurs interactions avec le corps. Les curieux découvriront donc en ces murs des prototypes issus de dix partenariats établis entre un designer et une entreprise locale, à l'image de l'association de Jean-François d'Or et de la Maison Vervloet, spécialiste de la ferronnerie d'art ; puis une sélection de pièces de jeunes designers belges de moins de 35 ans, révélée lors du Salone de Milan. " La créativité et l'innovation seront le point fort de cette édition. " Roel Rijssenbeek, commissaire de Brussels Design September Les FabLabs, dont la production sera montrée à la BIP, Maison de la Région, sont l'ultime étape de l'ellipse temporelle écrite par les organisateurs de la manifestation. Ces lieux d'échange, d'invention, d'expérimentation et de production ouverts à tous, liant électronique, robotique et impression 3D, encouragent chacun à inventer et finalement à écrire le prochain chapitre du design. Design d'hier et de demain se donnent donc rendez-vous pendant un mois à Bruxelles, une Capitale à la fois berceau et incubateur du domaine. Brussels Design September, jusqu'au 29 septembre 2017, Bruxelles (Belgique) Pour en savoir plus, visitez le site de Brussels Design September Photographies :1) Atelier d'Ado Chale2) " Breathe ", MINI LIVING, Ruud Belmans3) Michael Anastassiades, Atelier Jespers6 et 7) Ado Chale, BOZAR8 et 9) Nacho Carbonell, Maison Horta © Christopher_Smith10) " New Belgians ", MAD © Marek Swoboda11) Jean-François d'Or et la Maison Vervloet, photo Laetitia Bica
Il y a 7 ans et 265 jours

Le géotechnicien français Géotec absorbe les sondes du n°1 belge

Le groupe Géotec, numéro trois des études géotechniques en France, poursuit sa politique d'acquisition, en Belgique cette fois. Il vient de racheter l'entreprise Verbeke, leader sur son marché.  
Il y a 7 ans et 277 jours

Engie adopte la technologie solaire translucide d'Heliatek pour ses façades

Les bâtiments d'Engie Laborelec de Linkebeek (Belgique) se sont parés durant l'été de films photovoltaïques organiques sur les vitrages et sur les murs. Une technologie innovante fournie par Heliatek, société allemande dont le groupe français est actionnaire. Le but : tester l'intégration et le fonctionnement de capteurs solaires en conditions réelles.
Il y a 7 ans et 313 jours

Atlas Copco Belgique recrute !

Le constructeur Atlas Copco recherche 150 nouveaux collaborateurs au sein de sa filiale en Belgique dont la moitié comprend des postes d'ouvriers.
Il y a 7 ans et 313 jours

Derbigum décline des produits d'étanchéité durables

La « Rolls » de la membrane d’étanchéité est fabriquée en Belgique, par Derbigum. Elle combine durabilité et indéniable actualité, avec ses déclinaisons… à base végétale.
Il y a 7 ans et 314 jours

2500 fidèles ont accueilli Liebherr en France et en Belgique

Le Liebherr on Tour 2017 compact a touché à sa fin le 30 juin dernier.
Il y a 7 ans et 315 jours

Bodarwé mise sur Liebherr en Belgique

Le groupe belge Bodarwé qui intervient dans les secteurs de la construction de routes, du terrassement, de l'extraction et des transports a fait l'acquisition de la pelle sur chenilles Liebherr R 936 qui apporte plus de confort et répond aux récentes normes d'émission.
Il y a 7 ans et 316 jours

Carve + OMGEVING : be-MINE Playground

Dans le cadre du projet be-MINE, visant à développer le tourisme du site minier de Beringen (Belgique), l'agence wallonne Carve + OMGEVING conçoit un terrain de jeu original multipliant les possibilités d'activités. Placé sur le flanc d'un terril de 60 mètres de haut, ce dernier contribue à revaloriser l'ancien territoire industriel. L'intervention se situe sur le plus grand site industriel archéologique de Flandre, caractérisé par une allure escarpée, due à son immense terril haut de 60 mètres, d'autant plus visible que la région est plate. Ce terrain d'aventures de 1 200 mètres carrés créé par Carve + OMGEVING s'inspire de la topographie de cet environnement et plus globalement du glorieux passé de l'exploitation de charbon. Le projet se compose de trois parties : une place circulaire réalisée à base de charbon située au sommet du tumulus, une surface de jeu facettée installée dans la pente du mont, dont la couleur s'inspire du combustible riche en carbone, et une forêt de poteaux en bois agrémentée de filets et de cordes délimitant l'espace d'amusement, tout en permettant à ses usagers de l'escalader. L'espace d'aventure est doté d'un toboggan, de petites grottes dans lesquelles les enfants peuvent s'amuser à ramper pour passer d'un point à un autre et de divers parcours dont le niveau de difficulté augmente au fur et à mesure que l'on s'approche du sommet. Une belle réalisation favorisant la réhabilitation d'un paysage patrimonial considérable de Flandre en une région attractive et touristique. Pour en savoir plus, visitez le site de Carve + OMGEVING  Photographies : Benoît Meeus
Il y a 7 ans et 327 jours

Un nouveau site de production de laine de roche pour Knauf Insulation

Knauf Insulation a annoncé un investissement de 100 milliions d'euros dans un site de production très moderne de laine de roche en Belgique qui devraient créer 120 emplois.
Il y a 7 ans et 334 jours

H.Essers commande 210 semi-remorques Kögel

Le prestataire logistique H.Essers, basé à Genk en Belgique, a récemment passé commande pour 210 nouvelles semi-remorques Kögel Cargo Rail pour un usage multimodal.
Il y a 7 ans et 335 jours

Port d'Anvers : quelles mobilités pour le transport de marchandises ?

L'Autorité portuaire d'Anvers lance un appel public à projets pour développer "des solutions de mobilité nouvelles ou améliorées pour le transport des marchandises" entre la France et la Belgique.
Il y a 7 ans et 336 jours

Case vend sa première pelle à rayon court en Belgique

Terrassement Berger, une entreprise belge de terrassement basée à Crisnée, vient de faire l'acquisition d'une pelle compacte Case CX245D SR auprès de son concessionnaire Dannemark SA.
Il y a 7 ans et 347 jours

Bruxelles : le salon de la démolition DDR remporte les suffrages

Tenu à Bruxelles, en Belgique, du 14 au 16 juin dernier, le salon DDR, qui rassemblaient les professionnels de la démolition, de la décontamination et du recyclage, a fait sensation dans la profession.