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Résultats de recherche pour cloison

(819 résultats)
Il y a 6 ans et 13 jours

Séparer sans cloisonner : 8 claustras qui ont tout pour plaire

AJOURE. Idéal pour créer une séparation sans cloisonner son intérieur, le claustra s'invite dans toutes les pièces de la maison. Cette cloison ajourée laisse passer la lumière et possède un potentiel déco qui nous séduit de plus en plus. La preuve en images.
Il y a 6 ans et 16 jours

Jeune talent : Garance Vallée

Découverte au détour d'Instagram (@royalgarance), Garance Vallée incarne le design d'aujourd'hui. Un design décomplexé, décloisonné ; graphique et accessible. Entre dessin, peinture et trois dimensions, le cœur de Garance balance. Et puis, finalement, pourquoi choisir ? Zoom sur une créatrice à l'éclectisme assumé et aux réalisations résolument ancrées dans notre époque. Fille de l'artiste punk Kriki, Garance Vallée baigne depuis son plus jeune âge dans un univers coloré et créatif. Piquée par le gène de l'art, elle se spécialise dans l'architecture en se formant à l'ENSA de Paris la Villette sans pour autant arrêter la création plastique : dessin, peinture et projets de scénographie, rien n'échappe à l'œil de celle qui se fait appeler Royal Garance sur les réseaux sociaux. Véritable touche à tout, Garance est une esthète en perpétuelle quête de beauté. Aujourd'hui âgée de 25 ans, l'artiste nous régale de ses travaux pluriels qui ont d'ailleurs séduis l'architecte italienne Ada Tolla. Egalement tombée sous le charme, l'attachée de presse Martina Gamboni – fondatrice de Strategic Footprints – lui donne carte blanche en 2018 pour imaginer tout un espace présenté à la Design Week de Milan (Italie). La jeune designer y conçoit Terra, une pièce à vivre organique aux tonalités ocre et aux motifs variés et entre officiellement dans la cour des grands. Si ses dessins aux inspirations méditerranéennes peuplent nos feed sur Instagram, ils lui servent aussi de base pour son travail de designer. A partir de ses compositions en deux dimensions, l'artiste extrait certaines formes, les matérialisant en volume, en béton, en bois ou encore en plâtre. Un procédé qui confère à ses créations un aspect immédiat, comme dessinés directement dans l'espace avec une ligne incertaine, héritée de son amour du croquis. Un talent à suivre de près. Pour en savoir plus, visitez le site de Garance Vallée  Photographies : Mattiaiotti
Il y a 6 ans et 20 jours

Vivre Bois : prototype 3, du macro-meuble à la réversibilité

L’immeuble démonstrateur Balcons en forêt est le point d départ de ce prototype « du macro meubles à la réversibilité ». Éléments séparatifs fonctionnels, ces macro-meubles permettent d’optimiser l’espace. Ce projet expérimental se décline également sur un autre démonstrateur ADIVBOIS : l’immeuble Timber Loggias. Balcons en forêt  exploite les possibilités qu’offre la construction bois pour créer une architecture ouverte, constituée d’espaces plus libres, plus fluides, plus réversibles, et donc plus appropriables par les habitants, pour accompagner les évolutions des modes de vie. Espaces servants / espaces servis Balcons en Forêt décompose l’espace en deux familles : les espaces servants, qui concentrent l’ensemble des pièces de service (entrée, pièces humides : placées à proximité des réseaux) et les espaces servis, que sont les lieux de vie. Le prototype développé porte plus particulièrement sur les espaces servants. Autour de cet « espace servant », les « espaces servis » (une chambre, deux chambres, un grand salon, un bureau, une cinquième pièce, une buanderie, un loft) sont composés et recomposés librement selon les besoins des occupants. Les macro-meubles Cette « bande servante » s’appuie sur un ensemble de « macro-meubles », à la fois séparatifs et pouvant recevoir différentes fonctions et usages. Cette combinaison de fonctions permet de créer, par exemple, des rangements toute hauteur et d’optimiser les volumes afin de libérer de l’espace. Au-delà du rangement, ces cloisons-meubles peuvent intégrer des modules fluides (pièces d’eau) ou secs (rangement). Ils sont démontables, personnalisables, adaptables (PMR, par exemple). Les fonctions elles-mêmes sont flexibles. La bande servante est ainsi constituée d’une succession d’espaces qui peuvent être disposés librement et se transformer. Personnalisation / configuration Au-delà de la possibilité de reconfigurer les espaces (en déplaçant les cloisons-meubles) et de la réversibilité des fonctions, les « macro-meubles » peuvent être enrichis par une multitude d’options, pour s’adapter aux différentes configurations architecturales. De la même manière, revêtements et finitions sont choisis et combinés selon les désirs des habitants. Équipe BURI & INSIGHT Design Groupe HASAP, Agenceur-Intégrateur / Atelier Pascal Gontier, Architecte / SATHY, Architectes / R2K, Architectes / GGSV, Designer / iXot, Domotique   ADIVBOIS présente du 15 au 23 mai 2019 l’exposition VIVRE BOIS Solutions pour le Cadre de Vie des Immeubles à Vivre Bois à la Galerie au Roi à Paris.  
Il y a 6 ans et 31 jours

Saguez & Partners : Lab 114

Installé au sein de l'espace de pro-coworking Wellio Paris Montmartre, dans le 18ème arrondissement de la capitale, le Lab114, conçu par les équipes de Saguez & Partners, accueille les collaborateurs d'Orange dans un espace inspiré du monde du sport où le bureau traditionnel n'a pas sa place. Fini les box et autres open-space bruyants, place aujourd'hui à l'environnement de travail 2.0 ! Etendu sur 1 500 mètres carrés, le dernier projet de Saguez & Partners accueille les employés d'Orange dans un cadre unique inspiré du monde du sport et de ses valeurs : esprit d'équipe, dépassement de soi, efficacité et aspect ludique se mêlent dorénavant au milieu tertiaire. L'ensemble, flexible et modulable, répond aux anciens et nouveaux besoins des travailleurs. Situé au premier étage d'un ancien bâtiment manufacturier du 18ème arrondissement parisien, le Lab 114 est organisé autour d'un playground modulable d'environ 550 mètres carrés dont les marquages au sol, les couleurs tranchées et la signalétique renvoient à l'esthétique d'un gymnase. Un large espace qui se divise lui-même en plusieurs zones : le « Green », qui constitue la majeure partie de l'ensemble, est un lieu hybride modulable doté de panneaux blancs sur roulettes – qui font office de cloisons et de tableaux blancs – pouvant être utilisé comme salle de réunion, de travail, de réflexion etc. Ajouté à cela, la « Tribune », dissimulée derrière des portes coulissantes, est un amphithéâtre pouvant accueillir jusqu'à 90 personnes quand d'autres espaces répondent à des fonctions et besoins plus spécifiques : le « Labo », un espace de créativité ou encore la « Core Team », un bureau d'étude lié à la programmation du lieu. Une offre originale et ancrée dans les problématiques actuelles qui est agrémentée d'espaces de coworking ouverts à tous, de box plus traditionnels et d'une « Buvette », lieu de détente et de restauration au mobilier confortable et aux couleurs chaleureuses, accueillant aussi bien les employés en pause que ceux en quête d'un espace de réunion informel. Une nouvelle ère s'annonce. Pour en savoir plus, visitez le site de Saguez & Partners Photographies : DR
Il y a 6 ans et 35 jours

B720 Fermín Vázquez Arquitectos : Germina Fondació

Des couleurs chaudes et un espace réconfortant : voilà l'architecture promise par le studio madrilène B720 Fermin Vazquez pour la fondation Germina. Ce centre, situé au cœur de la municipalité catalogne de Badalone (Espagne), accueille des enfants et adolescents issus de milieux défavorisés, et leur prête un familier lieu de vie. De quoi réchauffer les coeurs avec un peu de couleurs. L'architecture sociale trouve dans ce centre d'accueil un bel exemple de générosité. Son extérieur en béton projeté et sa façade colorée orange vif forment un signal affectueux au cœur de la ville côtière de Badalone. Le bâtiment de 726 mètres carrés, constitué de deux anciennes unités de 4 et 6 étages, appartient désormais dans sa totalité à la fondation Germina. Cette dernière accompagne les enfants et familles vulnérables, issues de contextes difficiles. Ce nouveau centre offre un environnement agréable, chaleureux et optimiste qui transmet les valeurs de la fondation : le respect de la personne, un environnement commun, entre rigueur et innovation. Le centre administratif occupe le rez-de-chaussée de deux anciens bâtiments séparés. Les architectes de B720 Fermín Vázquez conservent l'aspect distinct des deux bâtis extérieurs mais unifient le projet dans un seul et même espace intérieur, qui accueille les espaces administratifs de la fondation, des workshops, une salle de jeu et une cuisine. Le rez-de-chaussée est fractionné par un astucieux jeu d'escaliers et de niveaux. Le pin brut qui habille l'intérieur contraste avec l'extérieur austère, et se fond tout autant dans son environnement urbain. L'intérieur est conçu comme d'un seul bloc, par un seul super-mobilier en bois qui à la fois compartimente et habille le lieu. Cet élément devient la structure du bâtiment, qui apparaît et disparaît sur toute la hauteur du bâtiment pour se métamorphoser en bureaux, cloisons, étagères et fenêtres.Imaginé comme un pavillon citadin avec des murs en brique blanches et des cloisons en bois, ses grilles en métal libère les cloisons et fait circuler la généreuse lumière le long du plafond dénudé. Les niveaux intermédiaires comportent un centre d'activité, tandis que les étages supérieurs accueillent des bureaux, couronnés d'un toit-terrasse et d'un jardin. Un centre plein d'âme ! Pour en savoir plus, visitez le site de B720 Fermin Vazquez Arauitecturos Photographies : Marc Goodwin
Il y a 6 ans et 35 jours

Atelier du Pont : Monsieur Etienne

« Monsieur Etienne », voilà un nom bien étrange pour un appartement. Pas étonnant que l'Atelier du Pont ait voulu personnifier une réalisation aussi originale qu'ergonomique. Une mise en scène évolutive qui s'adapte aux besoins de ses propriétaires, au cœur de Paris (2ème). Dans un ancien bâtiment du 18ème siècle situé rue Etienne Marcel à Paris (2ème arrondissement), la rénovation d'un appartement de 90 mètres carrés renverse les notions d'habitat classique. Le logement se distingue par un grand « pivotant-paravent » et sa boîte en bois qui compartimente un volume généreux sans l'interrompre. L'habitat se libère de toutes ses cloisons avec un plan ouvert pour favoriser une expérience intuitive et transparente de l'espace. Ici, pas de portes, ni même de pièces à proprement parler mais un espace qui s'organise autour d'un bloc cuisine et salle de bain et qui sépare, sur le plan rectangulaire, la chambre de la pièce à vivre. Celle-ci s'installe en bout d'appartement, et jouit des vues et expositions les plus avantageuses. Elle dispose d'étagères encastrées dans le mur blanc qui libère la pièce équipée d'une méridienne, de deux transats en bois et d'un sofa en velours. La salle à manger, quant à elle, dispose d'une banquette accolée à l'ilot central de la cuisine. Cette dernière intègre le bloc en bois qui dissimule la salle d'eau, et adapte ses ouvertures et son opacité selon les besoins. Associé à des écrans rotatifs, le cube suffit à isoler les pièces de vie de la chambre.Les matières utilisées sont de choix : la pierre parisienne dénudée par la rénovation, côtoie avec simplicité le sol en chêne massif rafraîchi et le terrazzo en marbre gris de la salle de bain. Les fenêtres en enfilades éclairent de toute leur hauteur l'appartement entier, jusqu'au recoin le plus inattendu entre la cuisine et le salon, dans lequel se niche une généreuse bibliothèque. Une réinterprétation agréable de l'appartement typique parisien ! Pour en savoir plus, visitez le site de Atelier du Pont Photographies : Manuel Zublena
Il y a 6 ans et 43 jours

KLEIN® : Systèmes coulissants Rollglass+ et FRONT

Spécialiste des solutions adaptées aux différentes ouvertures, KLEIN® propose cette fois-ci des systèmes de cloisons et portes coulissantes vitrées sans cadres pour concevoir des espaces bureaux transformables et versatiles qui boostent le bien-être et la productivité des employés. De quoi conjuguer confort, intimité et élégance ! Le bien-être au travail est devenu l'une des principales attentes des salariés et la présence de lumière naturelle et l'aménagement adéquat des espaces multiplient leur productivité. Un constat qui n'a pas échappé à la société espagnole KLEIN® qui imagine des solutions visant à améliorer le confort et la motivation des employés du domaine tertiaire. Le verre, sous forme de cloisons et de portes coulissantes, permet un réagencement dynamique de l'espace tout en le modernisant. Il optimise la diffusion de lumière naturelle, clé dans la perception de bien-être.Les cloisons vitrées coulissantes sans cadre permettent de diviser ou fusionner les espaces selon les besoins. Les types d'ouvertures et d'accès choisis rendent la configuration spatiale flexible. Preuve en est avec leurs derniers produits, Rollglass+ et FRONT. Rollglass+, système pour cloisons coulissantes et fixes dans un même rail, installé à faux plafond, se rend absolument invisible. Sa mise en œuvre est particulièrement facile grâce à son rail spécialement conçu pour être encastré : il évite de faire une saignée dans les plaques de plâtre et assure une absolue intégration architecturale. Rollglass+ peut aussi être posé en applique au plafond. Il propose une ouverture linéaire ou un accès corner. FRONT combine la chaleur du bois à la modernité du verre et conforme des espaces bureaux inédits et spectaculaires. Ce système coulissant combine les cloisons vitrées fixes à des panneaux coulissants en bois. Sa version LIGNEA assure des jonctions vitrées en T et en L particulièrement soignées. Jouez avec le ton des finitions, l'essence du bois et la taille des panneaux pour assurer un rendu extrêmement qualitatif et personnalisé. FRONT peut s'encastrer à faux plafond ou s'installer en applique. Rollglass+ et FRONT intègrent le dispositif de freinage KSC-Klein Soft Closing. L'ensemble est certifié testé à 100.000 cycles par ift-Rosenheim. Pour en savoir plus, visitez le site de KLEIN®  Photographies : KLEIN®
Il y a 6 ans et 44 jours

Belval-Parquet : Rénovation à Noisy-le-Sec

Une vieille demeure achetée par un couple à Noisy-le-Sec retrouve sa splendeur d'antan. Les architectes Belval-Parquet conservent la source authentique de cette ancienne meunière, révélant ses plus beaux atouts en y ajoutant une touche contemporaine par la couleur. La maison, construite en 1895 par un cultivateur rue Carnot, retrouve de son charme d'époque grâce à la mise en œuvre d'un projet de rénovation minutieux.Réalisée en trois mois, la remise en état de cette habitation de 143 mètres carrés lui permet de conserver son caractère, manifesté par des boiseries et moulures d'origines. Avec un budget restreint, les architectes Belval-Parquet donnent aux propriétaires un lieu de vie qui correspond à leurs attentes, entre demeure historique et habitat contemporain. La maison s'étend sur deux niveaux. Les murs extérieurs de l'appentis rénové - qui abritait anciennement la buanderie et le débarras - sont en briques de terre cuite. Ses linteaux recouverts de plaquettes émaillés vert foncé introduisent le traitement résolument coloré de l'intérieur du foyer. Au rez-de-chaussée, le sol en damier de la cuisine prolonge le séjour en parquet brut se déroulant le long d'une cour végétalisée. Cette dernière est accessible via une large baie vitrée remplaçant les anciennes cloisons qui confinaient l'espace et baigne l'intérieur d'une lumière naturelle agréable. La salle-à-manger et le salon s'inscrivent dans une seule et même pièce à vivre éclatante, qui illumine les détails architecturaux de la structure d'origine. On retrouve ainsi un parquet en chêne et un carrelage en mosaïque minutieusement restaurés qui accompagnent l'escalier en bois brut et les moulures d'origine du plafond bleu Klein. A l'étage, le foyer ne perd pas de sa fraîcheur. Le couple dispose de deux chambres, dont une suite parentale et une dotée d'une salle de bain pour les enfants. La suite comporte une douche aux bleus contrastés, et la salle de bain commune est habillée d'un carrelage inspiré du terrazzo qui adoucit les murs jaune olive et le parquet en bois. La maison offre un visuel radical et épuré, en harmonie avec les valeurs et les goûts de ses habitants, et accorde son passé authentique avec une touche moderne et décalée. Un lieu sublimé par ses détails, épuré par ses couleurs franches, à l'image de leurs propriétaires artistes. Pour en savoir plus, visitez le site de Belval-Parquet Photographies : Philippe Billard
Il y a 6 ans et 48 jours

DREAM : Anis

Installé dans la ZAC Méridia à Nice (06), le projet Anis, conçu par le duo Lainsé-Roussel, propose une nouvelle vision du bâtiment tertiaire. Coursives dynamiques, façades végétalisées, et multiples lieux de rencontres font de cet ensemble un atout majeur du nouvel éco-quartier de la Riviera. Orchestré par les équipes de Devilliers & Associés, le technopôle Nice Meridia incarne le quartier méditerranéen 2.0, entre édifices spectaculaires, conscience écologique et recentralisation de l'homme au cœur des constructions. C'est dans ce cadre qu'est érigé Anis, projet de 7 000 mètres carrés associant bureaux et commerces. L'ensemble est pensé comme un nouveau standard de bâtiment tertiaire où l'organisation classique des circulations est entièrement revue. Traditionnellement installées au cœur du bâtiment, les coursives sont ici placées sur les façades, rythmant l'enveloppe des allers venues des usagers. Les circulations verticales desservent les espaces de travail au travers de larges terrasses arborées disposées en coursives, servant aussi bien de postes extérieurs que de lieu de détente et de rencontre. La végétalisation s'adapte aux passages des saisons, changeant au fil du temps et faisant vivre le projet tout au long de l'année. « Alors que l'architecture d'empilement vertical sépare les espaces et les personnes par niveau, les escaliers extérieurs mélangés à de vastes espaces communs recréent des liens entre les travailleurs. J'aime l'idée d'un bâtiment qui offre des espaces où les gens peuvent se rencontrer. » Nicolas Roussel, architecte Le fait de positionner la circulation à l'extérieur modifie également la disposition intérieure. En effet, ce parti pris permet aux maîtres d'œuvre d'imaginer des plateaux flexibles et attrayants ainsi que des points de rencontre réguliers. Plutôt que de protéger le bâtiment de l'extérieur avec des isolations et des cloisons lourdes, les concepteurs choisissent de privilégier des espaces extérieurs tempérés et d'ouvrir les salles. Avec l'arrivée des beaux jours, quel bonheur de pouvoir travailler dehors ! Pour en savoir plus, visitez le site de DREAM Photographies : Cyrille Weiner
Il y a 6 ans et 51 jours

FREAKS : La Manutention

Le trio infernal FREAKS a encore frappé ! Et c'est cette fois-ci au cœur de la capitale, dans un lieu emblématique, que le studio présente sa nouvelle réalisation. La Manutention, installée au sein du Palais de Tokyo, est un programme de résidence dédié aux artistes performeurs qui évoluent durant un mois dans un cadre industriel et ergonomique. Une place de choix offerte aux artistes émergeants. Présent dès l'élaboration du célèbre centre d'art du 16ème arrondissement signé Lacaton & Vassal en 2002, le projet d'un appartement / studio consacré à la performance n'avait pourtant jamais abouti. Il aura en effet fallu attendre plus de 15 ans pour que La Manutention puisse enfin voir le jour. Après une campagne de mécénat lancée auprès des Amis du Palais de Tokyo ainsi que des partenaires du musée, le chantier, mené par Yves Pasquet, Cyril Gauthier et Guillaume Aubrey, fondateurs de FREAKS, débute enfin en 2018 pour aboutir en février dernier. La Manutention est un concept hybride entre lieu de vie et salle de répétition de 120 mètres carrés. Dénuée de cloison fixe, la surface totale a été pensée pour abriter différentes activités, aussi bien tournées vers la vie quotidienne que vers les répétitions et performances. Ainsi, on assiste à une découpe naturelle de l'espace en trois. Une zone de travail, au sud ouest, est agrémentée de barres fixée à un mur de miroirs toute hauteur, le tout placé sur un sol souple de danse sombre tandis que la parcelle du milieu est délimitée par une résine anthracite et du mobilier de réception en béton lisse. Le dernier tiers, placé au nord est, est dissimulé par des miroirs revêtus d'un traitement coloré dont le dégradé va du rouge au bleu et cache des espaces liés à la vie quotidienne : chambre, cuisine et salle de bain sont en effet mis à disposition du résident. Si les pièces techniques sont immobiles, l'espace de nuit, installé dans un module carré, peut être quant à lui être déplacé dans l'entièreté du lieu au gré des envies du locataire. Intégré dans l'esthétique manufacturière du Palais de Tokyo, le lieu décline 50 nuances de gris en alliant brutalité et épuration des lignes. Un flocage gris clair est appliqué au plafond, soulignant les poutres agrémentées d'éclairages tubulaires signés Sammode, appuyant un peu plus l'aspect industriel de l'ensemble, tandis que le mur côté fenêtre est volontairement laissé brut, rappelant le caractère dépouillé des espaces d'expositions adjacents. Le projet rend hommage au traitement architectural sobre et texturé de Lacaton & Vassal et prodigue aux jeunes artistes un cadre de vie et de travail rare. Un confort encourageant la création contemporaine dont a profité l'artiste canadien Miles Greenberg durant tout le mois de mars et qui a accueilli (et continuera d'accueillir) des noms tels que Paul Maheke, Regina Demina ou encore NSDOS, ici immortalisé. Une ode à l'art contemporain, dynamique et honnête. Pour en savoir plus, visitez le site de FREAKS Photographies : Ayka Lux
Il y a 6 ans et 65 jours

Archiee : EN Spa

La douceur nippone n'a pas encore dévoilé tous ses secrets... La première boutique de cosmétique EN Spa vient d'ouvrir ses portes à Paris (6ème). Un havre de paix japonais en plein cœur de Paris, comment y résister ? Dans le 6ème arrondissement de Paris, le EN Spa, spécialisé les soins de peau japonais, inaugure sa première boutique dans un bâtiment du 18ème siècle. L'occasion pour les férus d'esthétique tokyoïte de se faire prodiguer divers soins, massages et conseils dans une échoppe de 150 mètres carrés répartis sur deux niveaux exposant également une centaine de produits accessibles à la vente. « EN », pour « beauté », « cercle » ou encore « connexion » en japonais, rassemble les trois piliers de la marque dans sa boutique aux cloisons incurvées. Les architectes du studio d'architecture Archiee, Yusuke Kinoshita et Daisuke Sekine, en charge de la conception de l'officine, conservent les riches éléments structurels du bâtiment d'époque, y ajoutant des cloisons et des séparations curvilignes pour répondre au mieux à l'identité de la marque. Le rez-de-chaussée est divisé en deux parties : l'entrée, qui se fait par la porte est de la boutique, est directement prolongée par un escalier menant au sous-sol, tandis que l'espace dédié aux soins et aux conseils prend place à l'ouest. La partie orientale de la boutique dispose plusieurs échantillons de produits sur un présentoir encerclé par une cloison dorée composée de deux parois discontinues, permettant ainsi d'ouvrir les supports sur l'ensemble du magasin.Les murs en laiton poli doré aux finitions blanches offrent de douces réflexions difformes, conférant au lieu une apparence fantasque, presque irréelle. Le sol en béton blanc autour des séparations intimistes des espaces de soins permet de guider les visiteurs à travers le commerce, s'organisant autour d'un long parcours sinueux. Il immerge les clients dans la tradition japonaise qui veut que l'hospitalité soit toujours synonyme de patience et de longévité. Ce chemin conduit les visiteurs au sous-sol, accessible via un escalier en métal doré ajouré. Ce dernier débouche sur un couloir – agrémenté de part et d'autre de larges miroirs –, voûté aux murs en pierre dotés de présentoirs sur lesquels des essences de la marque sont disposées. Les produits sont exposés sur des étagères éclairées individuellement ainsi que dans les rangements en bois de paulownia, - une essence de bois japonaise appréciée pour sa faible densité -, à la manière d'un cellier. Cette disposition permet aux consommateurs de tester l'importante variété de parfums, qu'ils peuvent associer entre eux afin de créer leur propre fragrance. Dans cette partie de la boutique, deux cabines de massage cernées de parois ovales accueillent les visiteurs en quête de relaxation. Une expérience à tester sans attendre ! Pour en savoir plus, visitez le site de Archiee Photographies : David Foessel
Il y a 6 ans et 86 jours

YAD Space : Siège de Bouygues Immobilier

Depuis 2009, les locaux de Bouygues Immobilier prennent place dans la tour Galéo, un édifice notable conçu par Christian de Portzamparc à Issy-les-Moulinaux (92). Si l'enveloppe a suscité bien des réactions – aussi positives que négatives –, les bureaux des maîtres d'ouvrage ne brillaient pas par leur ergonomie. 10 ans plus tard, ce constat appartient désormais au passé. Décryptage du siège flambant neuf de la société, signé YAD Space. Jusqu'alors dispersés dans trois bâtiments, les équipes de Bouygues Immobilier ne bénéficiaient pas d'un environnement de travail fonctionnel et favorisant la communication et le travail d'équipe. Une problématique majeure à laquelle les équipes de YAD Space, agence de design spécialisée dans la conception et l'aménagement d'espaces, répondent en proposant un NWOW – soit « New Way of Working » -, regroupant dans un seul et même lieu tous les collaborateurs de l'entreprise.Si tous les usagers partagent désormais le même bâtiment, chaque étage reste dédié à un seul corps de métier – ressources humaines, communication, direction etc. L'objectif était donc de trouver le bon équilibre entre intimité et points de rencontre et de discussion, le tout dans un ensemble de 5 500 mètres carrés. Une tâche peu aisée au premier abord que les concepteurs ont su traiter avec intelligence et rigueur. L'intervention débute ainsi logiquement par le rez-de-chaussée où l'accueil des usagers a été repensé et déplacé dans le Galéo Café. Avec les parois sud et ouest entièrement vitrées, l'espace est lumineux et chaleureux ; une ambiance exacerbée par la large présence de bois dans les aménagements intérieurs, les revêtements de sol et le mobilier. D'inspiration scandinave, les nombreuses assises sont déclinées dans divers coloris et alternent les textures, faisant contraste avec cadres en métal et cloisons colorés, qui assoient un aspect industriel et brut. L'espace polyvalent met ainsi à disposition des visiteurs tout un panel de recoins et d'espace dédiés à des activités fluctuantes.Cette même dynamique, qui se retrouve dans les niveaux supérieurs, permet aux différents bureaux de faire part d'une identité propre et assumée. Le mélange enthousiaste entre les différentes unités de bureaux est néanmoins harmonisé par des espaces de co-working en open-space, équitablement répartis, qui font une transition visuelle aussi assumée que l'aménagement des espaces privatifs. Un lieu proactif où la concentration est stimulée, et qui ne risque pas d'ennuyer ! Pour en savoir plus, visitez le site de YAD Space Photographies : DR
Il y a 6 ans et 87 jours

Kimmel Eshkolot : L28

Dans leurs jeunes années, les restaurateurs bénéficient rarement de leur propre espace pour s'exprimer et sont bien souvent contraints de reproduire la cuisine d'un autre, à défaut de pouvoir laisser libre court à leur créativité. Un constat malheureux qui inspire des entrepreneurs israéliens qui imaginent alors le L28, premier établissement partagé mis à la disposition des chefs indépendants en plein cœur de Tel Aviv (Israël). Un concept généreusement étudié qui prend forme grâce à l'intervention des architectes Kimmel Eschkolot. Au menu du L28, nommé après la rue Lilienblum au sein de laquelle il prend place, une cuisine évolutive, dirigée alternativement pas les jeunes chefs émergents de la région. Localisé dans le nouveau siège social de Start-Up Nation construit par Kimmel Eshkolot, le L28 met à l'honneur les cuisiniers les plus créatifs qui ne peuvent pas encore développer leur propre restaurant. Une approche unique dans un pays au contexte architectural attrayant, qui vise, à long terme, à lancer la carrière de jeunes professionnels. Composé d'une cuisine ouverte, de plusieurs espaces de restauration, en bar, ou en salle, et d'une mezzanine privative, l'ensemble affiche ses tons chauds et naturels grâce à l'usage de lattes de bois, de selleries en cuir et de verdure, qui contrastent avec le sol en résine et les rampes en acier noir. Le bureau d'architecture israélien Kimmel Eshkolot exploite la double hauteur du restaurant en installant des lattes modulables au plafond, qui se prolongent légèrement à la verticale et se plient aux différentes aires du restaurant. Un assemblage qui se décline par la suite en arches, suspensions, ou en garde-corps qui délimitent les différentes parties. L'épaisseur et le positionnement des tiges forment des motifs ondulés qui tamisent la lumière et la visibilité entre les différentes parties du L28. Au-dessus des espaces de restauration, le rideau de bois s'élève et s'abaisse pour réguler le niveau d'intimité, laissant les lampes longilignes en suspension compléter le paysage. Près des grandes cloisons vitrées qui donnent sur la rue, les designers disposent des sièges en cuir brun et des tables basses destinées à accueillir les visiteurs. Dans une disposition plus formelle, des sièges doublés en tissus gris sont installés autour de tables rondes et séparent les gourmands du bar et des cuisines. Ces derniers font face à un mur végétalisé qui s'élève jusqu'en mezzanine, et des étagères depuis lesquelles les préparateurs peuvent se servir en épices.Pour parachever l'offre du L28, les architectes conçoivent une ferme urbaine sur le toit du bâtiment qui accueille des résidences de chefs d'une durée de 6 mois afin que ces derniers puissent travailler à partir de produits locaux et de saisons. De quoi concurrencer les étoilés du Guide Michelin ! Pour en savoir plus, visitez le site de Kimmel Eshkolot Architects Photographies : Amit Geron
Il y a 6 ans et 91 jours

Taller Estilo Arquitectura : Kaleidos House

Quoi de mieux qu'un défi de taille pour réveiller l'imagination des architectes ? Preuve en est avec l'étroite Kaleido House, située à Mexico (Mexique), à laquelle les équipes de Taller Estilo Arquitectura confèrent profondeur et volume. Une résidence fonctionnelle qui joue de ses particularités spatiales pour adopter des airs cristallins. La Kaleidos House se loge dans un terrain long et étroit du centre de la capitale mexicaine. S'étendant sur 69 mètres pour une largeur de seulement 4 mètres, la demeure a une surface totale de 280 mètres carrés. Une disproportion qui rendait jusqu'alors le logement peu exploitable que les architectes de Taller Estilo Arquitectura ont su détourner par des jeux de lumière et d'illusions afin offrir aux propriétaires une maison ergonomique sur deux niveaux. Les maîtres d'"uvre transforment la longue et monotone traversée de la maison en un chemin sinueux et rythmé par des ouvertures semi-circulaires et une piscine de même forme et des jardins intérieurs. Des percées sont placées tout le long de la résidence au-dessus du patio central et des escaliers hélicoïdaux jaunes pour assurer un accès généreux à la lumière zénithale. Les murs et plafonds de la maison sont constitués d'un aggloméré gris poli et le sol du premier niveau conserve lui aussi le caractère brut du mortier. Les planchers du premier étage, qui accueillent les chambres, sont quant à eux conçu à partir de béton martelé, apportant un peu plus de chaleur aux espaces de repos.S'amusant de ces détails de texture, les architectes ont conservé l'ancienne partie de la maison datant des années 1970 sur la façade, composée d'un revêtement en pâte peinte en stuc rouge, matériaux et couleurs caractéristiques de la région, tranchant avec le bloc monolithique de la structure nouvellement ajoutée. Les concepteurs ont décidé de n'utiliser aucune cloison complète, leur préférant des murs en verre réflectifs pour les chambres. Des miroirs sont insérés dans ces parois par des tubes, créant une illusion d'optique en déviant la lumière et en isolant les chambres des autres parties de la maison. Les écrans kaléidoscopiques récupèrent ainsi la lumière naturelle à tout moment de la journée grâce aux perforations en demi-cercle, pour la détourner en une infinité de reflets, variant d'une heure à l'autre de la journée. Des procédés simples qui renversent pourtant la tendance : si la volumétrie de l'ensemble était une contrainte au départ, elle devient désormais un véritable atout.Lumières et matières, de quoi rendre cette maison éblouissante ! Pour en savoir plus, visitez le site de Taller Estilo Arquitectura Photographies : David Cervera
Il y a 6 ans et 99 jours

Knauf innove avec son système Knauf HydroProof

Dans chaque typologie de bâtiment (habitation, Établissement Recevant du Public, tertiaire ou activité industrielle), les locaux humides nécessitent la mise en "uvre de solutions adaptées au classement des pièces selon les catégories définies par la réglementation. Knauf innove avec Knauf HydroProof®, son nouveau système pour cloison, contre-cloison et plafond intérieur.
Il y a 6 ans et 113 jours

Vous n'en avez pas marre? des poncifs en matière d'urbanisme ?

L'exposition "Décloisonnons la ville" ne dit rien des problèmes urbains et tout du jargon qui habite le discours sur la ville de demain. Et si c'était cela le vrai sujet : l'univers de Bisounours auquel nous condamne forcément un événement […] L'article Vous n'en avez pas marre? des poncifs en matière d'urbanisme ? est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 119 jours

" La Marseillaise ", bureaux vue sur mer

La tour de bureaux " La Marseillaise ", commandée par Marc Pietri, président du groupe Constructa, et imaginée par l'architecte Jean Nouvel, a été inaugurée le 25 octobre dernier dans les Bouches-du-Rhône. Construite en quatre ans par des filiales de Vinci Construction, c'est Siniat et l'entreprise locale Art Déco qui se sont chargées des cloisons. La spécificité du bâtiment ? Il s'agit de la seule tour de bureaux disponible en location face à la mer. De quoi donner envie d'y travailler !
Il y a 6 ans et 120 jours

Chez Bouygues Expo, ça décloisonne grave à la Cité de l'architecture

Au fond de la Cité de l'architecture, dans les souterrains près de la cave et loin des regards, une expo Bouygues Immobilier. Visite. Jusqu'au 11 mars 2019, l'unique Cité de l'architecture & du Patrimoine à Paris présente l'exposition ?Décloisonnons la […] L'article Chez Bouygues Expo, ça décloisonne grave à la Cité de l'architecture est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 121 jours

"Décloisonnons la ville", une exposition pour faire tomber les murs

RENDEZ-VOUS. Du 30 janvier au 11 mars 2019, le laboratoire Demain la ville propose une exposition intitulée "Décloisonnons la ville" à la Cité de l'architecture et du patrimoine, à Paris. A travers des exemples concrets de solidarités citadines et d'innovations collectives, l'évènement tient à démontrer que le prolongement du tissu urbain permet la continuité du lien social. Focus.
Il y a 6 ans et 127 jours

Formzero : Planter Box House

L'agence Formzero, basée à Kuala Lumpur (Malaisie), imagine une demeure au sein de laquelle la nature semble reprendre ses droits ! Composée de blocs de béton agglomérés sur trois niveaux, la maison permet à ses résidents de cultiver leur passion et leur potager, conférant à l'ensemble un aspect situé entre ouvrage brutaliste et jardin en plein air. Erigée à l'aide d'un coffrage en bambou fendu fourni par la population indigène " les Temuan ", le bâtiment de 340 mètres carrés à la volumétrie marquée célèbre l'architecture vernaculaire de la péninsule. Nommée la Planter Box House, la construction honore un mode de vie durable et auto-suffisant : entre jardin, ferme et habitat, cette réalisation permet à une cascade de plantes de traduire l'architecture tropicale dans son environnement de manière contemporaine et contrastée, en privilégiant une exposition lumineuse et une ventilation naturelle pour l'ensemble du bâti. Chaque bloc héberge une jardinière et l'ensemble contient une large variété de plantes " près de 40 espèces ", ainsi qu'un système d'irrigation interconnecté que le couple peut modifier à sa guise, et chaque réservoir est pensé pour la rétention d'eau de pluie. De la composition du sol au niveau d'eau, les propriétaires peuvent ainsi garder un "il averti sur leurs plantations. L'entrée et l'espace à vivre sont séparés de l'arrière du bâtiment par un escalier central qui mène aux deux autres niveaux de la résidence. Ne comportant que des cloisons en verre, la cuisine et le salon en double hauteur donnent accès au mur végétal de l'arrière de l'édifice via une baie vitrée en pleine hauteur, baignant ainsi les espaces de vie de lumière naturelle et les faisant bénéficier d'une ventilation optimale. En montant la première série de marche, les usagers accèdent au premier étage comportant une chambre et un bureau, tandis que le second étage, quant à lui, accueille une chambre doté d'un escalier héliocoïdale donnant accès au toit. La Planter Box House regorge d'astuces pour incarner le mode de vie sain et généreux de ses habitants, tout en inscrivant avec brio sa conception contemporaine dans un environnement luxuriant. Pour en savoir plus, visitez le site de Formzero. Photographies : Ameen Deen
Il y a 6 ans et 127 jours

Décloisonnons la ville ! A la Cité de l'architecture

L'exposition ?Décloisonnons la ville !' de la Fondation d'Entreprise Bouygues Immobilier entend changer le regard sur la ville de demain. A Paris, à la Cité de l'architecture & du patrimoine, jusqu'au 11 mars 2019. Nouvel urbanisme, économie collaborative et durable, […] L'article Décloisonnons la ville ! A la Cité de l'architecture est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 134 jours

Buitex étend sa gamme Cotonwool aux panneaux en laine de coton

Alors que les produits Cotonwool étaient jusqu'ici uniquement disponibles en vrac pour les combles perdus, Buitex, spécialiste de l'isolation, a annoncé l'extension de sa gamme et propose désormais des panneaux en laine de coton. La gamme s'étend donc à l'ensemble de la maison, que ce soit pour les combles aménagés, les cloisons, les murs intérieurs, ou les planchers intermédiaires. Une solution d'isolation performante, mais aussi biosourcée, qui fait la part belle au renouvelable.
Il y a 6 ans et 167 jours

Cotonwool, disponible en panneaux de laine de coton

Déjà disponible en vrac à souffler pour les combles perdus, Cotonwool est désormais disponible en panneaux. La solution s'ouvre ainsi à l'isolation de l'ensemble de la maison : combles perdus, combles aménagés, cloisons, murs intérieurs ou encore planchers intermédiaires.
Il y a 6 ans et 170 jours

Cet appartement s'est vu doubler la surface de son salon

AVANT/APRÈS. Cet appartement parisien possédait de nombreux atouts mais était figé dans un style démodé. Surtout, il était trop cloisonné au goût de son propriétaire, qui souhaitait pouvoir agrandir les pièces de vie. De gros travaux de démolition en ont révélé tout le potentiel.
Il y a 6 ans et 175 jours

Atelier Novembre : Conservatoire à rayonnement départemental

Le territoire du campus Paris-Saclay (91) ne cesse de s'agrandir ! Il est désormais pourvu d'un conservatoire dédié à l'enseignement de la musique, des arts dramatiques et de la danse. Coup de projecteur sur ce nouvel ajout à ce qui s'annonce comme l'un des pôles étudiants majeurs de l'Île de France. Placé en bordure du lit de l'Yvette et du Parc Botanique de Launay, le bâtiment de 1 660 mètres carrés compose avec un site naturel d'exception. L'ensemble est divisé en quatre volumes immaculés, correspondant à la diversité d'enseignement proposée par l'établissement, reliés les uns aux autres par des espaces communs vitrés. Des jeux de transparences qui permettent des vues sur l'extérieur mais qui décloisonne également l'ensemble, favorisant les circulations et l'appréhension du lieu. Le projet est scindé en deux par un axe de distribution autour duquel les constructions sont réparties de part et d'autre, deux par deux. A l'est de cette rue, le bâtiment d'entrée en L, qui fait face à l'entrée du campus universitaire, bénéficie d'une grande façade vitrée. Il s'ouvre sur un hall épuré en béton construit en double hauteur et pourra, à terme, accueillir des expositions et des supports d'informations. Les deux niveaux supérieurs accueillent les salles de classe dédiées aux leçons de musique individuelles. Sur le côté opposé de la parcelle se tient le bloc consacré aux arts dramatiques et chorégraphique. Au centre de cet ensemble, l'auditorium, point essentiel de la conception, est ouvert sur la rue et peut recevoir jusqu'à 300 spectateurs dans un espace ergonomique. Adjacentes, les salles de répétitions communes ainsi que l'espace d'audition font, elles, face aux espaces verts et au jardin intérieur, s'insérant dans le U que crée l'insertion de chacune des parties et offrant aux étudiants la possibilité de profiter du grand air entre deux cours de musique. Un projet contemporain qui ne dénature pourtant pas l'environnement dans lequel il se situe. Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Enseignement Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et de l'Atelier Novembre Photographies : Takuji Shimmura
Il y a 6 ans et 177 jours

En France, les immeubles ont du mal à être polyvalents

Bureaux, logements, commerces... Un immeuble peut-il jouer plusieurs rôles, simultanément ou successivement? La question intéresse le secteur immobilier, mais se heurte en France à une réglementation sévère et des investisseurs aux habitudes cloisonnées.
Il y a 6 ans et 178 jours

Atelier Féret & Fréchon : Complexe sportif de la Villette

Qui a dit que le sport devait se pratiquer dans un espace sombre et cloisonné ? Certainement pas les équipes de l'Atelier Féret & Fréchon ! Installé dans une praire arborée de deux hectares, le Complexe sportif de la Villette de Caudebec-lès-Elbeuf (76) joue avec son environnement et laisse pénétrer la nature en son sein. Situé dans l'ancien parc de la clinique Saint-Côme " aujourd'hui disparue ", le projet comprend un ensemble de 2 340 mètres carrés abritant les locaux du club de judo et de l'association de la force athlétique ainsi que deux aires de stationnement, l'une de 30 places pour les usagers réguliers de la salle, l'une de 70 places réparties sur les accotement d'une allée plantée, dédiées aux compétitions. La séparation des 100 places de parking permet un impact léger sur l'environnement paysager. Un traitement épuré que l'on retrouve également dans la conception du pavillon bas logeant sous le même toit l'ensemble des activités. Le bâtiment sobre revêtu de briques perforé et de menuiserie en aluminium anodisé est dénué de signes indiquant la nature de l'ensemble. Le tout est surplombé d'une toiture en zinc débordante et est ceinturé d'une large galerie vitrée dont les ouvertures sont doublés d'un claustra bois. Un ajout qui permet à la lumière naturelle d'inonder le lieu tout en connectant les espaces intérieurs au parc. Deux sheds longitudinaux construits en sure?le?vation des longs-pans des salles sportives captent les rayons du soleil a? l'est et a? l'ouest. Les cimaises inte?rieures blanches des sheds permettent à ces lumières de réfléchir sans perturber les pratiques sportives. L'ensemble, plain-pieds, est organisé autour du club house et du hall d'accueil desservant en enfilade les trois volumes principaux : le dojo, la salle de force athlétique et l'espace de réunion. A hauteur d'homme, les claustras bois extérieurs filtrent des stries de lumie?re blonde qui font échos aux volumes des charpentes en en bois massif et lamelle?-colle?, suggérant une esthétique proche de celles des dojos et des salles d'arts martiaux orientaux. Un havre zen en plein coeur de la Seine Maritime. Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Sport Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et de l'Atelier Féret & Fréchon Photographies : DR
Il y a 6 ans et 179 jours

AFAA Architecture : VillaRte

Confiée à l'agence lyonnaise AFAA Architecture, la réalisation du nouveau siège régional de Rte " Réseau Transport Électricité ", est caractérisée par des choix architecturaux forts et une volumétrie quasi-sculpturale. Un projet marqué par un objectif double : faire du bâtiment un site de haute sécurité tout en l'ouvrant sur l'espace urbain. Située sur la frange ouest de la ZAC des Girondins du 7e arrondissement de Lyon, anciennement occupée par les locaux de Poste-immo et de la Banque Postale, la VillaRte s'inscrit dans un îlot jardin composé de six bâtiments " le siège de la société ainsi que cinq immeubles de logement ", organisés autour d'un espace vert commun. L'ensemble de 14 130 mètres carrés est régi par deux pôles contradictoires et essentiels à ce type de construction : être un site à la sécurité infaillible sans que les employés ne se sentent enfermés et que les différents services soient cloisonnés. Les maîtres d'oeuvre ont donc eu la tâche ardue de proposer un bâtiment à la fois fermé et ouvert, impénétrable et agréable. Des contraintes majeures dont on trouve un début de réponse sur la façade en terre cuite émaillée blanche, presque brutaliste, adoucie par la présence de fenêtres bandeaux verticales à la géométrie implacable, offrant aux salariés le confort d'évoluer dans des espaces de travail baignés de lumière naturelle. L'ensemble est scindé en deux par une faille verticale entièrement vitrée dissimulant le hall d'entre?e ainsi que les paliers d'e?tage. Grâce à une volumétrie morcelée, les constructeurs ont également pu insérer un grand nombre de terrasses, permettant aux usagers du bâtiment de prendre l'air à chacun des sept niveaux de la VillaRte. Comme creusés à même le volume, ces espaces extérieurs sont revêtus de cassettes métalliques cuivrées ainsi que de câbles de cuivre visibles, rappelant ainsi l'activité du lieu. L'aménagement intérieur est quant à lui pensé pour favoriser les échanges entre les occupants. En effet, l'un des problèmes majeurs de l'ancien siège de la compagnie était le peu d'interaction entre les salariés. Une lacune à laquelle il fallait absolument remédier dans l'élaboration des nouveaux locaux. Ainsi, un restaurant inter-entreprises a été installé au rez-de-chaussé quand un espace détente nommé " la place du village " bénéficie à lui seul de trois terrasses. Adieu les bureaux cloisonnés, bonjour les plateaux de travaux libres favorisant la circulation et l'émulation de groupe ! VillaRte se veut être un lieu où il fait bon de travailler, prenant en considération le bien-être de ses salariés. Pour en savoir plus, visitez le site de AFAA Architecture Photographies : Didier Boy de la Tour
Il y a 6 ans et 182 jours

Steelcase : BIVI

Si le modèle des startups " et notamment de leurs espaces de travail " a ses détracteurs, il fait également de nombreux adeptes. Convivialité, vivacité, naturel sont autant de qualités que les partisans de ces entreprises innovantes mettent en avant pour les défendre. C'est pour " insuffler " cet esprit particulier que l'éditeur de mobilier Steelcase®, spécialisé dans le tertiaire, propose aujourd'hui BIVI, une collection de mobilier de bureau aussi flexible qu'un couteau-suisse. Composée de plusieurs modules différents pouvant être associés à l'envi, parmi lesquels des banquettes, des cloisons visuelles, de petites commodes, des tables et même des racks pour skates, BIVI (dont le nom vient de "bivouac") est le fruit de longues études d'observation opérées au sein de véritables startups. " Nous avons mené une enquête auprès de plus de 500 entreprises de moins de 100 employés pour comprendre quels sont les facteurs qui forgent la culture startup ", expliquent les porte-paroles de la marque. Ainsi ont-ils identifié quatre valeurs qui définiraient ce modèle d'entreprise : la passion (pour le travail et transmise par un "leader", l'authenticité (impliquant de pouvoir se comporter avec ses collègues un peu comme à la maison), la personnalité (être au travail n'est pas incompatible avec le fait de partager ses passions) et enfin la souplesse (chaise et bureau ne sont plus des incontournables : un pouf peut aussi très bien faire l'affaire !). Côté matériaux et couleurs, la collection joue aussi la carte de la pluralité : diverses finitions sont donc proposées pour souligner davantage l'esthétique déjà prononcée de la gamme. Un moyen selon Steelcase® de présenter des produits visibles et assumés pour des consommateurs plus sensibles au design, loin, très loin du classique bureau gris, froid et impersonnel qui faisait jusqu'à peu loi dans nos espaces de travail... Pour en savoir plus, visitez le site de Steelcase®  Photographies : Steelcase®
Il y a 6 ans et 183 jours

Benoit Rotteleur : Paris-Shangaï

Rénové par l'architecte Benoit Rotteleur, cet appartement localisé dans le 15e arrondissement de Paris, tire plus que jamais parti de sa situation, au 10e étage de la Tour Perspective I érigée en 1973 sur les plans de Michel Proux et Henri Pottier. Aujourd'hui baptisé Paris-Shanghai, le bien a été optimisé pour valoriser la vue sur la Capitale, gagnant au passage une chambre en plus. Retour sur une opération chirurgicale et équilibrée. Février 2018. Lénaïc et Louis, de retour à Paris après plusieurs années passées à Shanghai, viennent de signer le compromis de vente d'un bien situé au 10e étage de la Tour Perspective I, dans le 15e arrondissement de Paris. De haut standing, l'appartement vitré sur deux côtés propose une vue imprenable sur la Capitale : un atout majeur ! Toutefois, il nécessite d'être rafraîchi, tandis que ses 90 mètres carrés distribués par un couloir central ne sont pas optimisés pour ses nouveaux propriétaires : il ne dispose que d'une chambre, et la grande pièce de vie est étonnement cloisonnée, presque labyrinthique. C'est ainsi que le couple fait appel à l'architecte Benoit Rotteleur, qui évolue dans le même coworking qu'un cousin de Louis, pour ajouter une pièce de nuit, rendre leur cohérence aux volumes et donner une réelle identité à l'appartement. Si l'architecte résout rapidement la question de la chambre en plus en prolongeant la cloison existante dans le séjour pour le diviser définitivement et ainsi installer ici la pièce de nuit, ses efforts sont surtout concentrés sur l'articulation des différentes espaces, et donc sur les circulations. Alors décide-t-il de s'inspirer des angles arrondis des murs de l'entrée pour retravailler le couloir central de distribution, qui " s'élargit désormais au fur et à mesure que l'on pénètre dans l'appartement, accompagnant le regard jusqu'au salon ", comme l'explique Benoit Rotteleur. Concrètement, ce dispositif se traduit par la création d'un meuble dessiné sur mesure, constitué au niveau d'" une banquette avec des tiroirs à chaussures et un meuble console " au niveau de l'entrée, et d'" étagères en frêne en massif fixées sur des pattes métalliques invisibles " dans le salon. " La réécriture des volumes avec des lignes pures et l'usage de matériaux clairs ont permis de mettre en avant l'atout majeur de l'appartement, la vue, tout en apportant davantage de fonctionnalité et d'efficacité ", conclut Benoit Rotteleur, que l'on ne saurait contredire. Pour en savoir plus, visitez le site de Benoit Rotteleur  Photographies : Antoine SeguinIllustrations : Benoit RotteleurMobilier : RBC Paris
Il y a 6 ans et 199 jours

L'ACERMI lance un nouveau moteur de recherche sur Internet pour trouver un isolant certifié

L'Association pour la Certification des Matériaux Isolants accompagne l'innovation des isolants depuis 1984 en validant en usine et en laboratoire les caractéristiques techniques des isolants thermiques. Avec 654 isolants certifiés en 2013 et plus de 800 à ce jour, l'association rassure les bureaux d'études, prescripteurs, professionnels, assureurs et acheteurs quant aux performances et à la stabilité des produits selon l'usage désiré. Pour faciliter la recherche d'un isolant certifié, l'ACERMI a mis en place un moteur de recherche permettant d'identifier rapidement un isolant certifié parmi ceux référencés. Ce moteur de recherche présente un avantage très utile pour la prescription : recherche un isolant selon son usage. Un nouveau moteur de recherche avec plusieurs critères Disponible gratuitement sur le site www.acermi.com, le moteur de recherche est simple à utiliser. L'internaute peut affiner sa recherche en sélectionnant une des 29 familles d'isolants certifiés et/ou un des 32 usages différents. À titre d'exemple, un prescripteur ne recherchera plus " Isolant O2L2 semi-rigide ", mais " Isolant utilisable en bardage rapporté ". Ceci offre un vrai gain de temps aux acteurs et permet de ne pas se tromper dans la sélection de l'usage. En plus des usages et familles, l'utilisateur peut aussi taper un ou plusieurs mots-clés dans le moteur, sélectionner un fabricant et indiquer une résistance thermique sur une échelle de 0 à 10 m².K/W. Cette matrice répond au besoin des prescripteurs qui est de trouver un produit adapté à leur besoin. Sept catégories d'usages pour trouver un isolant certifié Le moteur inclut sept catégories d'usages au choix : Sols et planchers Murs donnant sur l'extérieur : isolation thermique par l'intérieur Murs donnant sur l'extérieur : isolation thermique par l'extérieur Murs isolation thermique intégrée Cloisons Toitures inclinées et plafonds Toitures terrasse Ces usages évitent également aux acteurs de rechercher en parallèle ces informations généralement présentes sur les documentations des isolants. Enfin, chaque usage est vérifié par l'ACERMI pour une fiabilité parfaite des résultats de recherche.
Il y a 6 ans et 203 jours

Sophie Lallias : Ouvrir sa cuisine

La véritable difficulté pour un architecte chargé de modifier une seule pièce ou deux sans intervenir sur l'ensemble d'une réalisation ne repose pas tant dans le fait de répondre au cahier des charges que dans la nécessité de proposer une solution subtile, optimisant l'existant sans ostentation. Un défi parfaitement relevé par Sophie Lallias, qui livre en 2016 à Clermont-Ferrand une cuisine ouverte sur salle à manger, en toute discrétion... En 2016, un couple et son jeune enfant, propriétaires d'un ancien appartement à Clermont-Ferrand (63) contactent l'architecte Sophie Lallias. En effet, ils souhaiteraient ouvrir leur cuisine très exiguë sur la salle à manger, ce qui leur permettrait " en plus de jouir de davantage d'espace " de cuisiner sans se couper de leurs invités. Du point de vue esthétique, ils n'ont aucune exigence " " ils ne m'ont imposé aucun matériaux, aucune couleur ", insiste la conceptrice " et voudraient simplement que Sophie Lallias propose une solution permettant de préserver le cachant de l'existant, dû aux moulures, cimaises en bois, parquet en chevrons et autres cheminées. Bien qu'elle aspire au résultat le plus naturel et évident possible, l'architecte n'a pas le choix, elle doit abattre la cloison qui sépare la cuisine de la pièce de vie attenante. Mais avant, elle retire le parquet pour ne pas l'altérer ; plus tard, celui-ci sera reposé et entièrement poncé et vernis, pour davantage d'uniformité. Or, Sophie Lallias se trouve très vite confrontée à un obstacle bien plus important qui menace l'homogénéité du projet : la différence de hauteur de plafond entre les deux pièces désormais réunies. Loin de se décourager, elle imagine une enveloppe préfabriquée en atelier, composée de panneaux de bâti pin déroulé " un matériau qui lui est cher ", laquelle ceint la pièce sur trois côtés, comble le vide sous plafond et offre enfin une multitude de rangements. " Cela m'a permis de délimiter les espaces sans les diviser tout en créant une alcôve chaleureuse ", explique la conceptrice. Dans le même souci de continuité, elle choisit un papier peint bleu marine orné de formes géométriques dorées qu'elle applique indifféremment dans la salle à manger comme dans la cuisine. Sélectionnés avec soin, couleurs et détails contribuent à adoucir le projet. Sophie Lallias atténue ainsi son geste architectural grâce à l'utilisation de mélaminé vert opale pour les façades des placards de cuisine ainsi qu'un stratifié de la même teinte pour le plan de travail et la crédence. Couplé à l'absence de poignées, ce choix permet d'effacer la dimension fonctionnelle de la cuisine au maximum. Le résultat global n'en parait que plus naturel, comme si, finalement, l'architecte n'était jamais intervenue. Et c'est bien en cela que réside toute son élégance... Pour en savoir plus, visitez le site de Sophie Lallias Photographies : Benoit Alazard
Il y a 6 ans et 205 jours

Mieux gérer la maintenance de son parc immobilier grâce au BIM d'AC Environnement

La première étape de conception de cette maquette numérique consiste à réaliser, avec des matériels laser, des captures point par point, aux dimensions réelles, des murs, cloisons, portes, fenêtres, planchers et plafonds du bâtiment...
Il y a 6 ans et 210 jours

Nouvelles cloisons vitrées résistantes au feu de très grandes dimensions

D'abord en quête de transparence et de légèreté, les architectes créèrent ensuite des bâtiments défiant la technologie grâce à des surfaces de vitrage toujours plus grandes. Une exigence technique qui implique de la part des fabricants une capacité à innover sans cesse afin de repousser les limites de la conception. Un défi à la hauteur de l'expertise de Promat.
Il y a 6 ans et 211 jours

HAO Design : Le Casse-Noisette

À Kaohsiung (Taïwan), les architectes de l'agence HAO Design ont imaginé une chambre pleine d'espièglerie pour deux fillettes tout aussi malicieuses. En plus des couchages, ce royaume auquel les bambines accèdent par une petite porte dissimulée abrite une multitude de recoins propices au jeu : un véritable Pays des Merveilles... À Taïwan, dans la municipalité de Kaohsiung, les architectes de l'agence HAO Design livrent en 2018 la rénovation complète d'un appartement pour un couple et ses deux filles. Une opération d'envergure au cours de laquelle le bien a perdu une pièce mais gagné en optimisation. Parmi les points forts de la proposition des architectes : la chambre des enfants, cas d'école de traitement intelligent et ludique de l'espace domestique. Installée au milieu de l'appartement, entre la chambre des parents et le séjour ouvert sur cuisine, cette petite pièce carrée est accessible par une minuscule porte en tôle rose " qui n'est pas sans rappeler celle d'un container " intégrée aux rayons de la bibliothèque du séjour. " Évoquant la porte qu'emprunte Alice après avoir bu la potion ", comme se plaisent à le rappeler les concepteurs, cet aménagement est surtout d'ordre récréatif, puisqu'il existe un second passage, plus conventionnel. Ainsi, une cloison vitrée équipée d'un ouvrant donne sur le couloir et permet aux parents de surveiller les maîtresses des lieux ainsi que d'entrer sans devoir se mettre à quatre pattes ! Une précaution également utile pour quand les deux fillettes auront grandi. À l'intérieur, c'est tout un univers de jeux et de divertissement qui est mis à la disposition des occupantes grâce à l'aménagement imaginé par l'équipe d'HAO Design. Au-dessus des deux couchages positionnés face à face se trouve en effet une petite cabane, comme " une forteresse ", selon les mots des architectes. Accessible par une échelle, elle dispose même d'un toboggan permettant de s'en échapper rapidement en cas d'attaque de la vilaine Reine de c"ur et de ses sbires ! Pour en savoir plus, visitez le site de HAO Design Photographies : DR
Il y a 6 ans et 231 jours

Atelier Wilda : L'Atelier du peintre

Localisé dans le 14e arrondissement de Paris, cet ancien atelier de peinture appartenant autrefois à Pierre Lemaire est devenu un pied-à-terre aussi spacieux que lumineux suite à l'intervention de l'Atelier Wilda. Un résultat tout sauf évident que l'architecte est parvenu à atteindre en optimisant ces 50 mètres carrés jusque dans les moindres recoins... 1970, Paris, le 14e arrondissement. Le peintre Pierre Lemaire, aidé de son fils Claude, transforme un garage situé Passage de la Tour de Vanves en atelier. Ici, ils aménagent un espace de travail, une kitchenette, un wc-douche, ainsi qu'un coin repos. S'agissant d'un lieu dédié à la création, et non à la détente, ils ne prennent pas la peine d'ériger de murs ni de cloisons, si bien que toutes les pièces, y compris les toilettes, sont ouvertes les unes sur les autres. En 2014, après le décès de Claude Lemaire, l'atelier revient à sa fille, Christine. Elle l'utilise alors comme pied-à-terre pour héberger ses proches lorsqu'ils viennent lui rendre visite à la Capitale. Mais très vite, l'héritière réalise que le bien n'est pas optimisé pour cet usage, peu propice au confort et à l'intimité. En 2017, elle fait alors appel à Willy Durieu, architecte fondateur de l'Atelier Wilda et ami de la famille. Sa mission : installer un séjour avec cuisine ouverte, deux chambres dont une d'appoint ainsi qu'une salle d'eau digne de ce nom dans les 50 mètres carrés que compte le local. Rien d'insurmontable, sauf que la réglementation en vigueur interdit toute extension de l'existant, tandis que maitres d'"uvre comme d'ouvrage aimeraient conserver " la grande fluidité et sensation d'espace offerte par l'atelier ". Il faudra donc cloisonner en veillant bien à " ne pas dégrader cette qualité spatiale ", résume Willy Durieu. Pour accomplir cette tâche, le concepteur joue principalement sur deux critères : la lumière et l'optimisation des espaces. Le faux-plafond est supprimé, révélant les belles poutres en bois de la charpente ainsi qu'une agréable hauteur sous plafond. Un atout que Willy Durieu ne manque pas d'exploiter : au fond du volume, il installe la chambre principale avec la salle d'eau attenante, et crée au-dessus une petite cabane. Largement ouverte sur le séjour et accessible par un escalier à pas japonais, elle accueille un lit d'appoint et un bureau escamotable. En bas, le salon quant à lui offre une belle surface à vivre, notamment grâce à la cuisine qui épouse le mur côté cour et occupe de ce fait un minimum de place. Question luminosité, l'architecte n'est pas en manque de d'idées " ni de ressources ! Il élargit les ouvertures zénithales et perce une large fenêtre dans la cabane, donnant sur le Passage de la Tour de Vanves. L'embrasure happe ainsi le regard du visiteur, dès son entrée, offrant bel et bien le sentiment de grandeur tant escompté. Une impression renforcée par le mobilier conçu sur mesure. En bois et contreplaqué blanc, celui-ci propose de nombreux rangements et limite la quantité de commodes et autres placards nécessaires au confort des habitants. Un parti pris qui permet à Willy Durieu d'économiser encore quelques centimètres carrés, pour un résultat à la fois chaleureux et agréable, que Pierre Lemaire n'aurait, à l'époque, probablement pas boudé... Pour en savoir plus, visitez le site de l'Atelier Wilda  Photographies : David FoesselIllustrations : Atelier Wilda
Il y a 6 ans et 232 jours

FREAKS architectes : La Tournette

De plus en plus reconnu pour ses projets aussi singuliers qu'optimisés, le trio de l'agence FREAKS architectes élabore en 2018 la Tournette, un studio organisé autour d'un volume central mobile et modulable. Une innovation discrète dont l'efficacité repose sur la combinaison du multiple et de l'illusion. Paris, le 13e arrondissement. C'est ici qu'un couple d'architectes retraités possède un atelier d'artiste, ouvert sur la rue par une verrière caractéristique de cette typologie. En 2018, le duo " qui réside le plus souvent en campagne " décide de convertir les 30 mètres carrés du volume en pied-à-terre parisien. Ici, ils voudraient pouvoir vivre confortablement et être en mesure d'inviter des amis pour diner. Enfin, ils aimeraient avoir assez d'espace libre pour exercer les diverses activités induites par le battement de leur vie dynamique ; une gageure, dans un si petit studio. Choisissant de faire travailler la jeune génération plutôt que de cogiter eux-mêmes, les maîtres d'ouvrage font appel à Yves Pasquet, Cyril Gauthier et Guillaume Aubry de l'agence FREAKS, qui élaborent une solution pour optimiser ce local très restreint. Profitant de la belle hauteur sous-plafond, les concepteurs aménagent une chambre en mezzanine sous laquelle sont installées les pièces d'eau, dont la cuisine ouverte sur le reste du studio. Un moyen efficace de rejeter les espaces les plus fonctionnels au fond du volume, économisant ainsi un maximum de surface pour le séjour. Ici, Yves Pasquet, Cyril Gauthier et Guillaume Aubry imaginent une pièce modulable grâce à l'idée de tournette " nom donné au plateau tournant des pièces de théâtre ou d'opéra qui permet de changer rapidement la scénographie " soufflée par leur cliente ! Réinterprétant cet élément rotatif pour lui donner un usage domestique, le trio conçoit donc un bloc monolithe immaculé dont la forme rappelle celle d'une borne d'autoroute. Très légère, la structure est facilement déplaçable par les habitants pour cloisonner l'espace au gré de leurs besoins, et peut même faire office de table à manger grâce à un panneau escamotable. Peinte en blanc, comme le reste de l'appartement, elle se fond parfaitement dans ce décor à vivre... Rusé, singulier et modulable : aucun doute, ce projet est bel et bien signé FREAKS architectes. Pour en savoir plus, visitez le site de FREAKS architectes  Photographies et illustrations : David Foessel et FREAKS
Il y a 6 ans et 232 jours

FREAKS architectes : La Tournette

De plus en plus reconnu pour ses projets aussi singuliers qu'optimisés, le trio de l'agence FREAKS architectes élabore en 2018 la Tournette, un studio organisé autour d'un volume central mobile et modulable. Une innovation discrète dont l'efficacité repose sur la combinaison du multiple et de l'illusion. Paris, le 13e arrondissement. C'est ici qu'un couple d'architectes retraités possède un atelier d'artiste, ouvert sur la rue par une verrière caractéristique de cette typologie. En 2018, le duo " qui réside le plus souvent en campagne " décide de convertir les 30 mètres carrés du volume en pied-à-terre parisien. Ici, ils voudraient pouvoir vivre confortablement et être en mesure d'inviter des amis pour diner. Enfin, ils aimeraient avoir assez d'espace libre pour exercer les diverses activités induites par le battement de leur vie dynamique ; une gageure, dans un si petit studio. Choisissant de faire travailler la jeune génération plutôt que de cogiter eux-mêmes, les maîtres d'ouvrage font appel à Yves Pasquet, Cyril Gauthier et Guillaume Aubry de l'agence FREAKS, qui élaborent une solution pour optimiser ce local très restreint. Profitant de la belle hauteur sous-plafond, les concepteurs aménagent une chambre en mezzanine sous laquelle sont installées les pièces d'eau, dont la cuisine ouverte sur le reste du studio. Un moyen efficace de rejeter les espaces les plus fonctionnels au fond du volume, économisant ainsi un maximum de surface pour le séjour. Ici, Yves Pasquet, Cyril Gauthier et Guillaume Aubry imaginent une pièce modulable grâce à l'idée de tournette " nom donné au plateau tournant des pièces de théâtre ou d'opéra qui permet de changer rapidement la scénographie " soufflée par leur cliente ! Réinterprétant cet élément rotatif pour lui donner un usage domestique, le trio conçoit donc un bloc monolithe immaculé dont la forme rappelle celle d'une borne d'autoroute. Très légère, la structure est facilement déplaçable par les habitants pour cloisonner l'espace au gré de leurs besoins, et peut même faire office de table à manger grâce à un panneau escamotable. Peinte en blanc, comme le reste de l'appartement, elle se fond parfaitement dans ce décor à vivre... Rusé, singulier et modulable : aucun doute, ce projet est bel et bien signé FREAKS architectes. Pour en savoir plus, visitez le site de FREAKS architectes  Photographies et illustrations : David Foessel et FREAKS
Il y a 6 ans et 244 jours

Dot Architects : Baitasi House of the Future

La maison de demain sera-t-elle entièrement vitrée, saturée d'écrans et régentée par un robot sur roulettes autoritaire ? Rien n'est moins sûr, à en croire l'agence dot Architects qui signe en 2017 la rénovation d'une maison traditionnelle à Pékin (Chine) pour le compte d'une entreprise spécialisée dans les hautes technologies. Leur tour de force ? Allier domotique et respect de l'existant, sans pour autant tomber dans le cliché. À l'origine de cette maison à la fois traditionnelle et ancrée dans le présent " pour ne pas dire le futur ", une commande formulée par une société spécialisée dans les hautes technologies auprès de l'agence dot Architects. Leur requête ? Transformer un pavillon d'habitation d'un quartier historique de Pékin en logement adapté aux pratiques quotidiennes des jeunes. Comprendre : un écrin à la fois confortable et pratique, propice au travail à domicile, permettant d'inviter amis et collègues. Pour répondre à ce cahier des charges, les concepteurs se sont d'abord attelés à rendre sa superbe à ce vieil édifice en structure bois, coiffé d'une toiture recouverte de tuiles traditionnelles ondulées, ouvert sur cour et dont le plan se résume à un simple volume de base rectangulaire. Le plafond et les cloisons en très mauvais ont donc été retirés, révélant au passage une surface plutôt agréable et surtout une sublime charpente traditionnelle. Côté aménagement, deux boîtes en bois fixées sur rails offrent la possibilité de moduler l'espace : en mode jour, elles peuvent être accolées aux murs afin de libérer la place nécessaire à l'installation d'un grand bureau. En mode nuit, il est possible de les faire coulisser au milieu de la pièce pour ménager l'apparition de deux chambres. En outre, un troisième bloc " fixe celui-ci " abrite un lit escamotable permettant à un convive supplémentaire de faire de beaux rêves. À noter que les habitants n'ont pas à déplacer ces systèmes manuellement, puisque chaque volume peut être commandé via un écran de télévision en apparence classique mais intelligent, lequel permet également de contrôler l'éclairage, les rideaux, l'alarme de sécurité et même les appareils électroménagers. Avant-gardiste, la Baitasi House of the Future l'est également grâce à sa cuisine et ses toilettes regroupées dans un bloc à part, implanté dans la cour et conçu grâce au système Wikihouse, logiciel en open-source dédié à la construction d'habitation. Une option privilégiée pour sa rapidité d'exécution " le volume a été fabriqué numériquement " et pour son impact moindre sur le site. Preuve que l'architecture individuelle de demain peut être à la fois smart et mesurée, n'en déplaise à Disney et à sa Maison du futur, film sorti en 1999 dans lequel le personnage principal, tout de parpaings et d'enduit, malmène ses occupants... Pour en savoir plus, visitez le site de Dot Architects Photographies : Wu Qingshan
Il y a 6 ans et 245 jours

Les grandes étapes pour réaliser une cloison de garage avec ThermiWall d'Unilin

Panneau isolant préfabriqué autoportant, ThermiWall est idéal pour réaliser une cloison séparative isolante dans le cadre d'un aménagement intérieur. Il est généralement employé dans la maison individuelle avec garage intégré afin de créer une séparation avec les pièces de vie.
Il y a 6 ans et 260 jours

Spécial garage en maison individuelle : Knauf propose un système de cloison isolante pour la séparation entre locaux chauffés et non chauffés

Avec sa cloison garage isolante, Knauf propose un nouveau système spécialement dédié à l'isolation thermique et acoustique entre habitat et locaux non chauffés.
Il y a 6 ans et 261 jours

Smartvoll : Kutscherhaus

Quand il s'agit de petits espaces, l'agence Smartvoll voit les choses en grand ! C'est en partant d'une ancienne maison de cocher de 35 mètres carrés de surface de plancher, enclavée et sombre, que les architectes autrichiens livrent en 2017 un studio lumineux en plein centre de Vienne (Autriche). Une réhabilitation pensée au millimètre. Dans l'arrière-cour d'un ancien musée transformé en logements collectifs, une maison de cocher en R+1 avait résisté aux effets du temps et à la pression foncière. L'aménagement intérieur correspondait jusqu'à sa rénovation au mode de vie d'un conducteur de véhicules à cheval du début du XXe siècle : avec un rez-de-chaussée réservé aux bêtes et un étage comprenant cuisine et pièce de vie séparées par de fines cloisons. De cet agencement, Smartvoll ne conserve que la structure périphérique, dans le but de créer au-dessus d'un garage une pièce unique, articulée autour d'un meuble-îlot multifonction. Cette "uvre centrale en bois, dessinée sur-mesure, intègre un lit double, zone de repas et canapé. Les pièces d'eau et rangements sont quant à eux camouflés par une paroi courbe implantée dans le long des parties aveugles de cette ancienne dépendance.Pour amener un maximum de lumière dans cette surface ouverte sur une seul de ses côtés, les architectes ont doté la façade principale de larges baies coulissantes qui desservent une terrasse en porte-à-faux camouflée par une claire-voie métallique blanche coulissante, visant à garantir l'intimité des occupants, dans un contexte urbain dense avec des vis-à-vis importants. Cette peau assure également l'unité de l'ensemble et dissimule l'escalier déporté en extérieur par les maîtres d'"uvre et qui dessert les différents niveaux ainsi que le toit-terrasse. Un habillage ondulé qui fait totalement oublier la demeure initiale. Une nouvelle jeunesse pour une maison structurée par le passé ! Pour en savoir plus, visitez le site de Smartvoll Photographies/Illustrations : Dimitar Gamizov/Smartvoll 
Il y a 6 ans et 261 jours

Smartvoll : Kutscherhaus

Quand il s'agit de petits espaces, l'agence Smartvoll voit les choses en grand ! C'est en partant d'une ancienne maison de cocher de 35 mètres carrés de surface de plancher, enclavée et sombre, que les architectes autrichiens livrent en 2017 un studio lumineux en plein centre de Vienne (Autriche). Une réhabilitation pensée au millimètre. Dans l'arrière-cour d'un ancien musée transformé en logements collectifs, une maison de cocher en R+1 avait résisté aux effets du temps et à la pression foncière. L'aménagement intérieur correspondait jusqu'à sa rénovation au mode de vie d'un conducteur de véhicules à cheval du début du XXe siècle : avec un rez-de-chaussée réservé aux bêtes et un étage comprenant cuisine et pièce de vie séparées par de fines cloisons. De cet agencement, Smartvoll ne conserve que la structure périphérique, dans le but de créer au-dessus d'un garage une pièce unique, articulée autour d'un meuble-îlot multifonction. Cette "uvre centrale en bois, dessinée sur-mesure, intègre un lit double, zone de repas et canapé. Les pièces d'eau et rangements sont quant à eux camouflés par une paroi courbe implantée dans le long des parties aveugles de cette ancienne dépendance.Pour amener un maximum de lumière dans cette surface ouverte sur une seul de ses côtés, les architectes ont doté la façade principale de larges baies coulissantes qui desservent une terrasse en porte-à-faux camouflée par une claire-voie métallique blanche coulissante, visant à garantir l'intimité des occupants, dans un contexte urbain dense avec des vis-à-vis importants. Cette peau assure également l'unité de l'ensemble et dissimule l'escalier déporté en extérieur par les maîtres d'"uvre et qui dessert les différents niveaux ainsi que le toit-terrasse. Un habillage ondulé qui fait totalement oublier la demeure initiale. Une nouvelle jeunesse pour une maison structurée par le passé ! Pour en savoir plus, visitez le site de Smartvoll Photographies/Illustrations : Dimitar Gamizov/Smartvoll 
Il y a 6 ans et 273 jours

Cloisons : avantage aux plaques de gypse... performantes

Ce marché en bonne santé est plus que jamais dominé par la plaque de gypse, de plus en plus technique. L’innovation vient aussi des colles et accessoires, plus toujours performants.