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Il y a 2 ans et 302 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 305 jours

Les malaxeurs pour centrales à béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine En France, la production du béton en centrales passe par l’utilisation d’un malaxeur. Les acteurs proposant cet équipement incontournable sont nombreux sur notre territoire. De quoi permettre à chacun de trouver la perle adaptée à son besoin précis. Arcen : Des classiques toujours au goût du jour Arcen privilégie sa gamme des turbo-malaxeurs MEV sur le marché français. [©Arcen] Au niveau international, Arcen s’appuie sur les ventes des MDE, sa gamme de malaxeurs à doubles arbres horizontaux. Mais sur le marché français, ce sont les turbo-malaxeurs MEV qui restent la valeur sûre. « Ce sont des équipements que nous avons modernisés récemment, explique Emanuel Pinheiro, directeur général d’Arcen France. En effet, plus les bétons spéciaux se développent, avec leur forte adjuvantation, plus l’usure des équipements de production s’intensifie. Nous avons donc renforcé l’étanchéité des portes, la tenue des cuves ou encore le rotor, dont la mécanique a été revue. » En résumé, la gamme MEV, qui couvre des capacités allant de 500 l à 4 m3, a vu sa durabilité améliorée, ainsi que sa maintenance réduite et facilitée. « Certaines années, c’est notre produit le plus vendu », complète Emmanuel Pinheiro. Entre temps, Arcen a procédé à la “mise à jour” de sa gamme de malaxeurs planétaires MST. D’une capacité de production allant de 750 l à 4,5 m3, elle est à l’origine utilisée par les industriels du béton. Mais elle est de plus en plus demandé en BPE. BHS-Sonthofen rachète Eurostar Concrete Technology BHS-Sonthofen est historiquement un constructeur de malaxeurs à doubles arbres horizontaux. [©BHS-Sontofen] L’industriel BHS-Sonthofen vient d’acquérir l’Italien de Eurostar Concrete Technology1. Ce rachat constitue une opportunité d’élargir son portefeuille d’équipements, en y ajoutant des malaxeurs planétaires. Le rachat Eurostar correspond à la volonté de BHS-Sonthofen de consolider, à long terme, sa position dans le domaine des malaxeurs de haute qualité. « La combinaison de malaxeurs discontinus à doubles arbres horizontaux et de malaxeurs planétaires va nous permettre de réagir d’une manière plus spécifique aux exigences de nos clients », souligne Dennis Kemmann, Pdg de BHS-Sonthofen. Grâce à cette fusion, les clients d’Eurostar bénéficient de sites supplémentaires de SAV, à savoir ceux de BHS-Sonthofen. Mais aussi d’une gestion globale et complète des pièces de rechange. A l’issue de cette fusion, la marque Eurostar Concrete Technology est conservée et Mario Zaccaron, confirmé à son poste de président. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 305 jours

Ideal Work : « Nous recherchons des partenaires en France »

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. [©ACPresse] Jusqu’à son rachat par Bostik (groupe Arkema) en septembre 2020, c’est Eqiom qui assurait la distribution de la marque italienne Ideal Work sur le territoire national. Aujourd’hui, les choses sont différentes. Si Eqiom garde l’exclusivité sur l’Ile-de-France et le Grand Est – ses classiques zones de chalandise -, Ideal Work est en train de se déployer sur le reste du pays. « Nous sommes en train de développer nos équipes partout en France et sommes à la recherche de distributeurs locaux », explique Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. L’idée est de trouver 5 à 6 distributeurs régionaux pour assurer une proximité territoriale. En parallèle, Ideal Work continue à suivre en direct ses applicateurs historiques. Ceci, en attendant de trouver les distributeurs exclusifs ad hoc en mesure de le faire. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 305 jours

Carlana Mezzalira Pentimalli livre l’école de musique de Bressanone (Italie)

Dans la plus ancienne ville du Tyrol, l’agence Carlana Mezzalira Pentimalli a achevé en 2021 ‘Wunderkammer’, l’école de musique (5 312 m²) de Bressanone (Italie), une institution fondée en 1961 et un point de repère pour toute la région  Coût : 9, 84 M€. Communiqué. L’agence Carlana Mezzalira Pentimalli, installée à Trévise, a conçu depuis le […] L’article Carlana Mezzalira Pentimalli livre l’école de musique de Bressanone (Italie) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 306 jours

Atelier(s) Alfonso Femia signe en Italie un pôle logistique et de production

En Italie, à Marostica, le pôle logistique et de production signé Atelier(s) Alfonso Femia se dresse désormais entre l’horizontalité des terres agricoles environnantes et la sinuosité des collines avoisinantes. L’ouvrage de 44 303 m² de la société Vimar (maître d’ouvrage) a été livré en 2021 pour un budget de 27 M€. Communiqué. La réalisation du pôle […] L’article Atelier(s) Alfonso Femia signe en Italie un pôle logistique et de production est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 307 jours

Marseille: trois Français et un Italien pressentis pour réhabiliter cinq groupes scolaires GEEP

Fayat Bâtiment, GCC, Bouygues Bâtiment et l’Italien Impresa Percassi seraient les lauréats du marché global de performance lancé en avril 2021 par la Ville de Marseille pour réhabiliter cinq groupes scolaires de type GEEP dans les quartiers nord de la ville. Les premiers coups de pioche sont prévus au printemps prochain.
Il y a 2 ans et 313 jours

L'Association des maires de France (AMF) s'engage pour la reconstruction d'Irpin en Ukraine

"Nous annonçons aujourd'hui (mardi) une volonté forte de participer à l'échelle des collectivités locales à la reconstruction de l'Ukraine", a dit le président de l'AMF David Lisnard au côté du maire d'Irpin, ville de la banlieue de Kiev dévastée dans les premières semaines de l'invasion russe qu'il a présentée comme une "ville martyre et héroïque" pour avoir "stoppé l'attaque" sur la capitale ukrainienne."L'idée est que les collectivités françaises, les communes de France et les intercommunalités participent (à la reconstruction) par de l'ingénierie juridique, administrative, technique, ainsi que par la mobilisation de moyens financiers et celle des entreprises de nos territoires", a ajouté le maire LR de Cannes, qui s'est rendu en Ukraine dès le début de la guerre. "La ville d'Irpin a gagné, mais le prix a été très lourd", a reconnu M. Markouchine qui a insisté sur le besoin de reconstruire "avant l'hiver" certaines infrastructures de la ville où s'est rendu il y a deux semaines le président Emmanuel Macron, accompagné du Premier ministre italien Mario Draghi, le chancelier allemand Olaf Scholz et le président roumain Klaus Iohannis."L'un de nos plus grands problèmes, c'est l'infrastructure sociale, les écoles, les jardins d'enfants. Si on ne les reconstruit pas les enfants ne peuvent pas être scolarisés et les habitants ne peuvent revenir", a affirmé le maire qui a estimé à 50 millions de dollars les besoins les plus urgents.Selon l'AMF, 75% de la ville ont été endommagés, "avec plus de 12.000 bâtiments touchés et 885 bâtiments complètement détruits".
Il y a 2 ans et 314 jours

La collection i.life d’Ideal Standard : des possibilités infinies pour des salles de bains contemporaines

A l’occasion du Salone del Mobile 2022 qui s’est tenu à Milan, Ideal Standard a présenté ses nouvelles gammes i.life. La collection comprend trois offres distinctes : i.life B, S et A, chacune avec son propre caractère et ses propres caractéristiques de design, mais toutes conçues avec la même volonté : offrir des solutions accessibles et exceptionnelles pour la vie quotidienne. Les trois gammes sont complétées par différents produits pour le bain et la douche. Une offre infinie accessible La collection i.life a été conçue en collaboration avec le studio de design italien Palomba Serafini Associati (PS+A). Grâce à une grande variété de pièces – lavabos, meubles, baignoires et toilettes – les possibilités sont illimitées pour créer un espace unique et contemporain. Les nouvelles collections incarnent parfaitement l’approche SingularTM d’Ideal Standard en proposant des solutions dans toutes les catégories, pour offrir aux clients flexibilité et choix lors de la conception de leur salle de bains individuelle. SingularTM a, en effet, été spécifiquement développé pour rationaliser la conception des salles de bains et simplifier le processus de sélection. Cette approche permet aux architectes, designers, artisans, distributeurs et utilisateurs finaux de créer des espaces sur mesure pour tout secteur ou application. Le directeur du design d’Ideal Standard, Roberto Palomba, explique : «la nouvelle collection i.life est un véritable exemple de design qui crée une toile de fond pour la vie moderne, un design qui favorise un espace sûr, quelle que soit la taille ou la forme de votre salle de bains. Il s’agit d’une collection intelligente et polyvalente où le design, le confort et l’hygiène se conjuguent à merveille.» i.life B, simplicité et créativité i.life B est l’archétype du design léger, représentant la croisée entre la simplicité et la créativité, avec un résultat final saisissant. La gamme présente des formes géométriques douces dans les lavabos, les WC, les bidets et les meubles, avec une grande variété de modèles et de tailles, ce qui permet aux utilisateurs de profiter de la grâce du design quelles que soient les dimensions de l’espace. Les céramiques proposées par i.life B sont complétées par des meubles disponibles en sept finitions telles que blanc mat, beige sable, gris carbone mat et chêne naturel. La variété des options de couleurs proposées permet aux utilisateurs de personnaliser leurs espaces en choisissant des produits qui mettent en valeur leur salle de bains et reflètent leur vision du design. Deux couleurs de poignées différentes, Chrome brossé et Noir mat, viennent s’ajouter aux options de meubles pour donner aux clients une plus grande liberté de création. Le développement durable a également été pris en compte. Tous les bois utilisés pour la conception de toutes les gammes de meubles i.life sont certifiés PEFC, offrant ainsi des options écologiques pour la salle de bains de tous les jours. i.life S, des solutions gain de place Conçue spécialement pour gagner de la place avec des lavabos disponibles à partir de 45 cm de large, i.life S est parfaite pour l’aménagement des petits espaces (suites, salles de bains d’invités, petits appartements). Comme pour i.life B, les céramiques présentent des formes douces et carrées, ce qui contribue à donner un aspect léger et élégant à l’ensemble de la collection. Les lavabos, les toilettes et les bidets sont complétés par une sélection d’options de rangement innovantes, qui permettent de garder les salles de bains propres et bien ordonnées. Également disponibles en sept couleurs différentes, les meubles reflètent le design global de la collection et offrent des possibilités de conception infinies. i.life A, des formes épurées i.life A se caractérise par des céramiques aux formes douces et arrondies et un design accessible, ce qui rend la gamme à la fois pratique et élégante. Comprenant une variété de lavabos, i.life A offre un choix de pièces épurées et minimalistes, garantissant des solutions adaptées à chaque salle de bains, quelles que soient les exigences. Les céramiques peuvent être associées à des meubles assortis, disponibles dans les sept mêmes finitions que les produits B et S, pour aider les clients à obtenir un beau résultat. Des technologies éprouvées au service de l’hygiène et de l’installation Tous les WC d’i.life B et S bénéficient de la technologie innovante RimLS+ d’Ideal Standard. Grâce à une chasse d’eau puissante et à l’absence de rebord en surplomb, RimLS+ assure un nettoyage efficace de l’ensemble de la cuvette et un résultat sans éclaboussures. Les WC i.life sont également faciles à nettoyer, ce qui les rend indispensables pour des toilettes très fréquentées. L’installation a également été prise en compte avec le nouveau système de fixation caché, permettant aux professionnels de fixer des WC et des cuvettes suspendues au mur de manière beaucoup plus rapide et plus sûre. Le kit innovant EasyFix+ assure non seulement un gain de 10 % sur le temps d’installation, mais il garantit également que tous les éléments sont dissimulés dans la céramique afin de donner un aspect propre et contemporain à l’ensemble. Ce nouveau système permet de gagner du temps et de réduire les coûts sans compromettre la qualité. i.life douche et bain Les baignoires i.life, aux lignes incurvées, présentent un style contemporain qui s’harmonise avec l’ensemble de la collection. Elles sont disponibles dans un large choix de formes, y compris des baignoires duo, asymétriques et d’angle qui conviennent à une installation encastrée ou sur panneau. Un bord lissé et plus épais et des propriétés anti-rayures font des baignoires i.life un choix à l’épreuve du temps. La nouvelle gamme de parois de douche i.life, dotées d’un vitrage de 8 mm d’épaisseur, mesure deux mètres de haut et se caractérise par des profilés fins en aluminium poli avec de longues poignées solides, conformément à l’esthétique contemporaine de i.life. Pour répondre à toutes les configurations d’installation, un large choix de modèles et de tailles est proposé : parois pivotantes, pliables, coulissantes à une ou deux portes et parois fixes. La gamme de parois de douche i.life est complétée par les receveurs de douche Ultra Flat S i.life, disponibles en quatre finitions : blanc pur, gris béton, sable et noir. Carrés ou rectangulaires, ils se déclinent en 27 tailles. Les receveurs en résine texturée ont une finition gelcoat robuste, qui non seulement donne un aspect de surface « pierre » de qualité, mais présente également d’importantes propriétés antidérapantes. D’une épaisseur de 30 mm seulement et dotés d’une évacuation entièrement intégrée, ces receveurs assurent la finition parfaite de l’espace douche. La collection i.life peut être parfaitement associée aux robinets Ceraplan d’Ideal Standard, qui sont plus fins, plus simples et plus lisses que jamais. La gamme comprend différents modèles qui se marient parfaitement aux lavabos, aux vasques et aux bidets, ainsi qu’aux baignoires et aux espaces douches i.life. L’ensemble de la gamme i.life A, i.life S ainsi que les produits pour le bain et la douche sont disponibles dès maintenant. i.life B sera commercialisé à partir de septembre 2022. http://www.idealstandard.fr
Il y a 2 ans et 314 jours

La France doit avancer "à grande vitesse" sur la ligne Lyon-Turin

"Cela fait vingt ans que nous sommes en retard, aujourd'hui nous devons absolument finaliser ce projet", a déclaré l'ancienne Première ministre slovaque lors de l'assemblée générale de la Transalpine, association qui rassemble les collectivités et entreprises soutenant le Lyon-Turin.La responsable a salué les avancées, côté italien, de l'aménagement des voies d'accès au tunnel de 57,5 km en cours de creusement sous les Alpes entre la vallée de la Maurienne (Savoie) et le Piémont, côté italien. Une vingtaine de TGV et quelque 160 trains de marchandises doivent l'emprunter à l'horizon 2030."Je ne suis pas aussi satisfaite côté français", a ajouté Mme Radicova, déplorant que le gouvernement n'ait toujours pas choisi le tracé des voies d'accès. Une décision était prévue au premier trimestre 2022, mais elle n'est pas venue depuis, alors que la présidence française de l'Union européenne se termine jeudi soir."Je comprends les circonstances politiques, le président Macron n'a pas de majorité au Parlement et ce n'est pas facile de négocier dans ces conditions. Mais depuis six ans que je suis à ce poste, il y a toujours eu un +mais+", a relevé la coordinatrice. "Il est temps de prendre des décisions claires, c'est crucial. Nous ne voulons pas construire un tunnel vide", a-t-elle insisté.Faute de voies d'accès adaptées au trafic prévu, ce dernier serait ineffectif.L'Europe a accepté de financer la moitié des voies d'accès, dont le coût s'élève à 1,9 milliard d'euros côté italien (pour 55 km) et oscille entre 5 et 7 milliards côté français (pour 140 km), à la condition que les deux États formalisent leurs engagements dans un "acte d'exécution". Le chantier du tunnel lui-même avoisine les neuf milliards d'euros.Faute de décision française en 2022, "nous courons le risque de rater les financements européens jusqu'en 2027", a prévenu Paolo Foietta, représentant de l'Italie au sein de la Commission intergouvernementale qui suit le projet."Nous sommes dans le même bateau et nous n'aimerions pas perdre un milliard", a-t-il poursuivi devant l'assemblée générale de la Transalpine.L'association, que préside Jacques Gounon, était réunie mardi à Lyon à l'occasion des "Journées de l'Europe connectée", des rencontres sur le thème de la mobilité durable organisés jusqu'à jeudi par la Commission européenne.
Il y a 2 ans et 321 jours

Emmanuel Guyart, nouveau Directeur Commercial KE France

Cet homme de terrain a travaillé pour différents industriels partout dans le monde tout au long de sa carrière. Emmanuel GUYART débute chez Legrand en tant que Responsable de zone export sur l’Asie et le Moyen-Orient puis évolue vers le marché du textile technique. Il travaille notamment 7 ans chez Dickson-Constant comme Chef de Marché Marine et Directeur International puis 3 ans à Shanghai pour la maison mère Glenraven avant de rejoindre la société Serge Ferrari en tant que responsable France pour la gamme Mobilier & Marine.Emmanuel GUYART a rejoint KE France en mars 2022. Son goût pour l’élégance du design Italien s’allie à une forte conviction que le Made in France est incontournable pour l’avenir de nos industries. Ces deux critères l’ont naturellement amené à rejoindre KE France.Dans le cadre de ses fonctions, Emmanuel GUYART a la charge de la mise en place de la politique commerciale de KE France et de l’animation du réseau commercial : équipes terrain et administration des ventes. Il est également force de proposition pour la stratégie marketing.À 54 ans, ce père de deux grandes filles est un globe-trotter dans l’âme. Il a voyagé dans près de 80 pays. C’est également un amateur de sports nautiques et un amoureux de la nature.
Il y a 2 ans et 324 jours

LOFT 77 par Doyen Choi et Sarah Fournier, à Gênes (Italie)

En cinq principes fondateurs, Doyen Choi et Sarah Fournier illustrent avec Loft77 – Eco-densifier : Habiter autrement comment la mixité programmatique peut requalifier une zone urbaine délaissée.  Mention spéciale du concours Construire Acier 2022. Le thème du concours Construire Acier 2022 interrogeait les étudiants sur une thématique brûlante d’actualité pour laquelle les étudiants ont présenté des […] L’article LOFT 77 par Doyen Choi et Sarah Fournier, à Gênes (Italie) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 325 jours

Corinna Del Bianco à Montréal avec Archipelago

A l’Institut culturel italien de Montréal (Canada), l’architecte italienne Corinna Del Bianco ouvre ses carnets photographiques insulaires qui enquêtent sur les liens étroits qu’entretiennent les îles construites avec la mer et le grand paysage. Jusqu’au 16 septembre 2022. Un répertoire d’images et de récits conduit à la découverte des formes de vie de quelques petites […] L’article Corinna Del Bianco à Montréal avec Archipelago est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 326 jours

Au Brésil, une favela de Rio tourne à l'énergie solaire

"Certains habitants doivent choisir entre payer ces factures ou acheter à manger", déplore Stefano Motta, président de la première coopérative d'énergie solaire dans une favela au Brésil.Cette coopérative a installé 60 panneaux sur le toit du local d'une association de quartier, pour fournir de l'énergie à 34 familles.La production est connectée au réseau électrique local et le distributeur tient compte de cet apport d'énergie solaire pour réduire le montant des factures, avec un tarif variable selon la production.Résultat : une électricité moitié moins chère pour Marcia Campos, assistante sociale de 51 ans, bénéficiaire de ce projet mis en place en juillet 2021 par plusieurs associations, en partenariat avec l'ONG Revolusolar.Avant, sa facture s'élevait à 500 réais par mois (environ 95 euros), près de la moitié du salaire minimum au Brésil."Aujourd'hui, je paie autour de 260 réais, et j'ai même eu des mois à 180 réais" lors des périodes les plus ensoleillées, explique-t-elle.Au total, la favela compte 104 panneaux photovoltaïques, avec quatre installations, l'une d'entre elles sur le toit de l'auberge de jeunesse de la colombienne Bibiana Angel Gonzalez."Avant, on consacrait une bonne partie de notre maigre chiffre d'affaires au paiement de l'électricité", raconte-t-elle."Nous avions fait des devis de panneaux, c'était hors de prix. Mais en s'associant à d'autres, grâce à la coopérative, nous avons réussi à réduire les coûts de transport", ajoute-t-elle."Croissance rapide""Les habitants se plaignent de plus en plus du prix des factures d'électricité, et nous leur montrons que l'énergie solaire, c'est important pour l'environnement, mais aussi pour faire des économies", explique Stefano Motta, Italien de 45 ans originaire de Sicile installé depuis une dizaine d'années au Brésil.Il habite à Chapeu Mangueira, la favela voisine de Babilonia. André Luiz Campos, réceptionniste de 49 ans, n'est pas encore adhérent de la coopérative et a vu le montant de ses factures grimper en flèche ces derniers mois."J'ai juste un frigo, un congélateur et une télé et je paie 800 réais (150 euros) par mois. Comment est-ce possible ?", s'interroge-t-il. Le prix de l'électricité a augmenté de 7% en moyenne au Brésil en 2021 par rapport à 2020, une hausse qui devrait s'accélérer fortement cette année, à 21%, selon les dernières prévisions.Les tarifs ont notamment augmenté à cause de la sécheresse historique qui a touché le Brésil l'an dernier, dans un pays où 57,6% de l'énergie est fournie par des centrales hydroélectriques.Selon l'Association brésilienne d'Energie solaire (Absolar), la part du photovoltaïque dans la production nationale d'électricité est de seulement 1,8% dans ce pays tropical inondé de soleil.C'est pourtant "une alternative durable pour faire baisser le prix des factures des populations pauvres", assure Carlos Aparecido, spécialiste d'ingénierie électrique à l'Université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ).D'autant plus que le secteur connaît une "croissance rapide", avec une progression de 29,3% de la capacité installée en 2021."Une nécessité"Il estime par ailleurs que l'installation de panneaux photovoltaïques dans les favelas pourrait faire baisser le nombre de connexions sauvages au réseau électrique, qui représentent 1,5 milliard de réais (environ 300 millions d'euros) de pertes par an dans le pays, selon une association du secteur.Selon lui, les distributeurs "font payer la note aux consommateurs" pour compenser ces pertes.Stefano Motta espère que le succès du projet de Babilonia fera des émules à Rio, qui compte 763 favelas où vivent près d'1,4 million d'habitants, environ un quart de la population de la ville.La première à suivre l'exemple est Elma de Aleluia, fondatrice de l'ONG SER Alzira, dans la favela de Vidigal, toute proche du quartier chic de Leblon.Elle a installé des panneaux photovoltaïques en décembre dernier, grâce à des dons d'entreprises. "C'était une nécessité. Grâce à ces économies, on a plus de moyens pour investir dans nos projets" socio-éducatifs, explique la militante associative.
Il y a 2 ans et 328 jours

Pyrénées-Atlantiques : un nouveau hall d’accueil pour le centre hospitalier d’Oloron-Sainte-Marie

Le nouveau hall d’accueil du centre hospitalier d’Oloron-Sainte-Marie, dans les Pyrénées-Atlantiques, s’étend sur 400 m².
Il y a 2 ans et 328 jours

Puy-de-Dôme : travaux d’extension de réseaux de chaleur urbains au niveau de l’avenue d’Italie à Clermont-Ferrand

La circulation sera perturbée au niveau de l’avenue d’Italie, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), jusqu’au 26 août 2022.
Il y a 2 ans et 330 jours

Avec Ateliers Italie, la RATP transforme un site industriel en espace mixte

PROJETS. D'un atelier de maintenance vieillissant, inconfortable et non adapté au nouveau matériel roulant, assortis d'un espace tertiaire sous-utilisé dans le 13e arrondissement, la RATP a imaginé un site mixte comprenant des logements, des bureaux, et un atelier de maintenance dernier cri.
Il y a 2 ans et 334 jours

BHS-Sonthofen rachète Eurostar Concrete Technology

BHS-Sonthofen rachète l’Italien Eurostar Concrete Technology. [©BHS-Sonthofen] Le spécialiste allemand du malaxeur à doubles arbres horizontaux BHS-Sonthofen vient d’annoncer le rachat de l’industriel italien Eurostar Concrete Technology. Effective depuis le 18 mars dernier, l’opération fait suite au choix de Mario Zaccaron, Pdg d’Eurostar, de céder son entreprise… Ceci, à un constructeur de machines renommé, afin de garantir son développement dans le futur. Pour BHS-Sonthofen, cette acquisition constitue une formidable opportunité d’élargir son propre portefeuille d’équipements, en y ajoutant des malaxeurs planétaires. Pouvant traiter des gâchées jusqu’à 6 m3. A partir de maintenant, ces technologies de malaxage complémentaires offrent aux clients des deux entreprises une plus grande flexibilité, en termes d’équipements et de services. Une nouvelle offre de malaxeurs planétaires Les malaxeurs planétaires sont souvent utilisés pour la production de bétons pour la préfabrication et de bétons spéciaux en BPE. L’acquisition d’Eurostar Concrete Technology correspond à la volonté de BHS-Sonthofen de consolider, à long terme, sa position de partenaire compétent dans le domaine des malaxeurs de haute qualité. « La combinaison de malaxeurs discontinus à doubles arbres horizontaux et de malaxeurs planétaires va nous permettre de réagir d’une manière plus spécifique aux exigences de nos clients », souligne Dennis Kemmann, Pdg de BHS-Sonthofen. Ces attentes comprennent, d’une part, des options flexibles pour les applications les plus diverses et, d’autre part, un réseau de services après-vente vaste et fiable. Grâce à cette fusion, les clients d’Eurostar bénéficient de sites supplémentaires de SAV, à savoir ceux de BHS-Sonthofen. Mais aussi d’une gestion globale et complète des pièces de rechange, dans le monde entier. « Pour les constructeurs d’unités de production du béton et les partenaires commerciaux, cette extension signifie un portefeuille de produits encore plus attractif, d’un niveau technique élevé et doté d’une technique d’entraînement robuste », poursuit Dennis Kemmann. Comme les malaxeurs à doubles arbres horizontaux de BHS-Sonthofen, ceux d’Eurostar Concrete Technology disposent d’entraînements conçus sur mesure. La marque Eurostar est maintenue Par ailleurs, les modèles commerciaux des deux industriels se complètent, tous deux étant fabricants d’équipements destinés à des clients finaux, à des constructeurs d’installations et à des revendeurs. « Ce n’est qu’une des nombreuses raisons qui font que BHS-Sonthofen est notre partenaire idéal, confie Mario Zaccaron. Eurostar Concrete Technology et BHS-Sonthofen profiteront toutes les deux de cette acquisition. Grâce à l’expérience et au vaste réseau de BHS-Sonthofen, nous pourrons encore améliorer l’efficacité de notre production et aussi conquérir de nouveaux marchés. » A l’issue de cette fusion, la marque Eurostar Concrete Technology est conservée et Mario Zaccaron, confirmé à son poste de président. De même, la continuité des activités commerciales est assurée sur le site d’Eurostar, près d’Udine, en Italie. L’objectif final est de pérenniser la position de l’industriel sur ces marchés, tout en poursuivant le développement de l’offre de malaxeurs. BHS-Sonthfen confirme vouloir continuer à travailler avec le réseau habituel existant mis en place par Eurostar. Ainsi qu’avec les personnes déjà en charge du développement technique et commercial.
Il y a 2 ans et 342 jours

Jonk : Avec le temps, va, tout s’en va…

Silo en béton, en Belgique. [©Jonk] Jonk s’est d’abord penché sur l’urbex1 pour photographier, dans des lieux abandonnés, des graffitis hors du commun, inédits et aboutis, que l’on ne trouvait pas dans les rues. « Là, les artistes ne sont pas dérangés, ils prennent leur temps. » Et au-delà des graffitis, il s’est rendu compte qu’il aimait ses lieux pour ce qu’ils étaient. Le fait que Dame Nature reprenne toujours ses marques lorsque l’humain a déserté l’a interpelé. « Ma passion pour ces graffitis s’est mue en passion pour ces friches abandonnées que se réapproprient la nature, jusqu’à devenir mon activité professionnelle. » Un travail optimiste Le photographe mêle ainsi dans ses œuvres l’esthétique et la poésie des ruines à une réflexion plus large sur l’homme et la nature. « Quoique l’homme fasse, s’il ne la maîtrise plus, la végétation finit par tout phagocyter. Avec le temps, ce que l’humain a construit disparaît. Ce que j’aime par-dessus tout, c’est la dualité entre des constructions très brutes avec des murs en béton et la délicatesse d’une liane ou d’un lierre qui s’insinue partout, qui s’immisce, s’infiltre, inonde… C’est la reconquête du végétal. » Son travail se veut optimiste. L’artiste cherche « à faire prendre conscience au spectateur que nous ne sommes rien face à la nature. Qu’au lieu de poursuivre un processus de colonisation destructeur, nous devrions au contraire la respecter, lui permettre de s’épanouir pour que les bénéfices soient réciproques ». Alors que l’impact de la société sur son environnement n’a jamais été aussi fort, ces photographies cherchent aussi et surtout à éveiller les consciences. Jonk est un fondu d’urbex. Il parcourt le monde pour dénicher des lieux abandonnés où la nature reprend petit à petit, mais inexorablement, ses droits. [©Jonk]Usine, en Italie. [©Jonk]Ville fantôme, à Taïwan. [©Jonk]Réservoir, à Taïwan. [©Jonk]Construction inachevée, en Moldavie. [©Jonk]Théâtre, en Akbhazie. [©Jonk]Gymnase, en Akbhazie. [©Jonk] Jusqu’à l’enfouissement « Il est poétique, presque magique, de voir la nature reprendre ce qui a été sienne, réintégrer par des fenêtres cassées et des fissures les espaces construits, puis délaissés par l’homme, jusqu’à les engloutir totalement. » Pour faire simple, la nature est plus forte et, quoi qu’il advienne de l’homme, elle sera toujours là. « J’ai eu une conscience écologique dès mon plus jeune âge. Cela m’a rendu attentif à la nature qui m’entoure. Parfois, elle s’immisce dans des endroits inattendus et revient occuper des lieux, dont nous l’avions chassée. » Dans sa progression inexorable, elle commence par reprendre des éléments extérieurs comme une statue dans le parc d’un château français ou une camionnette, en Belgique. Ensuite, elle reprend l’extérieur d’une villa italienne avant d’infiltrer l’intérieur d’un château croate. Puis, elle pousse dans un théâtre cubain ou un palais polonais, avant d‘envahir un château monténégrin. Ensuite, avec plus de temps, elle emprisonne une villa taïwanaise de ses fortes racines. L’étape suivante ? L’écroulement, puis l’enfouissement. Ainsi, que restera-t-il de notre civilisation ? Dans l’exposition “Naturalia” qui se tient au 50 avenue Gambetta, 75020 Paris, sur les grilles du square Edouard Vaillant, retrouvez le long cheminement entre mémoire et oubli, ruines et végétation, modernité et antiquité. Muriel Carbonnet 1L’exploration urbaine, abrégée en urbex, est une pratique consistant à visiter des lieux construits et abandonnés par l’homme. Les expos de Jonk Grilles du square Edouard Vaillant Derrière la mairie du XXe arrondissement, Paris Expo solo en plein air Jusqu’au 26 juin L'impossible sauvage  Musée d'ethnographie de Neuchâtel (Suisse) Expo collective Du 18 juin au 25 février Exodes Villa Les Myrtes, Saint-Raphaël Expo collective Du 1er juillet au 30 septembre Château du Plessis-Macé Expo solo immersive Du 15 juillet au 6 novembre
Il y a 2 ans et 344 jours

Un trio d'industriels veut développer des vitrages isolants avec store intégré

ENTRÉE AU CAPITAL. Le fabricant de produits verriers, Riou Glass, et le spécialiste des stores techniques, Pellini, viennent d'entrer au capital du transformateur de produits verriers italien Cappelletti & Roleri. En ligne de mire : déployer sur le marché des vitrages isolants avec store intégré.
Il y a 2 ans et 347 jours

RGD : « Nous faisons tout pour le béton, sauf le béton »

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Richard Guérin, président-fondateur de la société Recherche Gestion Développement. [©RGD/Pierre Ardouin] Qui est RGD ? Richard Guérin : C’est l’acronyme de Recherche Gestion Développement, une entreprise œuvrant à augmenter la durabilité des bétons armés. Le point de départ de RGD est un brevet sur un système de protection : un mortier aux micro-billes de type “anodes sacrificielles”. Aujourd’hui, cette spécialité constitue une bonne part de notre chiffre d’affaires… Vingt ans : quel bilan ? Malgré tout ce que nous avons traversé, je pense que je le referai. Mais sans doute d’une manière un peu différente, compte tenu de l’expérience accumulée. RGD fait tout pour le béton, sauf le béton ! Ainsi, nous assurons la revente exclusive de mortiers industriels de marques Ruredil, filiale de Chryso Italie, et Drizoro, d’origine espagnole. Ces produits permettent d’intervenir sur des marchés spécifiques de la réparation, du calage/scellement. Ils sont proposés en vente directe, car nous ne passons pas par le négoce. Drizoro, ce sont aussi des plats et des toiles carbone sous ATE, destinés aux renforcements structurels. Mais nous distribuons aussi, et ce depuis 2006, le système PBO, fabriqué par l’Italien Laterlite. Il s’agit d’une grille en kevlar à noyer dans une matrice cimentaire. Sa particularité est de pouvoir être appliquée sur support humide et d’être résistante au feu. Bien entendu, le cœur de l’activité reste la protection contre la corrosion. RGD importe les systèmes d’anodes sacrificielles CPT et Corrpre, complémentaires l’un de l’autre. A quoi s’ajoutent des solutions par courant imposé. Par ailleurs, nous distribuons la marque suisse Rascor. Celle-ci propose un système d’injection derrière les ouvrages de génie civil en vue de (re)créer une étanchéité. Enfin, RGD propose quelques adjuvants de type “accélérateurs pour mortiers et enduits”. Ou encore des agents de cure non filmogène, en phase aqueuse et sans solvants. RGD est-il aussi un fabricant de produits ? Tout à fait ! Nous bénéficions d’une unité de production de 1 000 m2, basée à Sérézin-sur-Rhône. Nous y fabriquons des peintures et des lasures pour bétons verticaux comme horizontaux. Ce sont des produits en phase aqueuse sur une base silicate. Les peintures sont, elles, surtout destinées à une utilisation en toitures, sur tuiles béton par exemple. Voire même sur tuiles amiantées, car permettant d’encapsuler les matériaux les constituant. Il y a dix ans, nous avons racheté la marque MP2, dont nous avons repris la fabrication des produits. Ces peintures vont du transparent à l’opaque, dans toutes les nuances Ral, y compris métallisées. Et nous sommes en mesure de répondre aux demandes “sur mesure”. Les produits MP2 sont proposés via un réseau de revendeurs de peintures spéciales. Toujours côté production, nous fabriquons des hydrofuges, des inhibiteurs de corrosion, des agents anti-mousse, tous disponibles en marque blanche. Comment voyez-vous les vingt ans à venir ? Je fais le vœu que RGD soit toujours là et qu’il ait consolidé sa place de spécialiste de spécialités que les autres ne proposent pas ! Quels sont les axes stratégiques du moment ? Nous en avons trois, tous centrés sur le développement durable. A travers des peintures réfléchissantes anti-UV et anti-infrarouge. Leur objectif est de permettre de lutter contre les îlots de chaleur, en réduisant de plus de 10 °C les températures ambiantes. Le deuxième axe est de proposer de solutions bas carbone de réparation d’ouvrage, sans solvants à base hydraulique. Enfin, nous continuons à travailler au développement de notre offre d’anodes sacrificielles. Notamment, des produits encore plus faciles à mettre en œuvre, de faible épaisseur ou faible encombrement. Propos recueillis par Frédéric Gluzicki Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 347 jours

Mapei : « Nous allons poursuivre l’essor »

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Christophe Jeauneau est le directeur général de Mapei France depuis 2015. [©ACPresse] L’année 2022 est celle du 85e anniversaire de la naissance de Mapei. Quel regard portez-vous sur le chemin parcouru par cette entreprise ? On pourrait dire que c’est vieux… Mais pour un groupe familial, c’est l’âge de la maturité, de l’engagement et de la pérennité. Rodolfo Squinzi a fondé Mapei, en 1937, à Milan et a développé le marché italien. Son fils Giorgio en a assuré l’internationalisation et la diversification. Au fil des ans sont apparues les gammes “Adjuvants”, “Chimie de la construction”, “Etanchéité” et “Sols industriels”. Aujourd’hui, la 3e génération à la tête de l’entreprise a pour objectif d’en poursuivre l’essor. Mapei reste une des rares entreprises familiales du secteur de la construction. Mais le véritable évènement ne sera-t-il pas le 40e anniversaire de la création de Mapei France, fêté en 2024 ? Depuis son arrivée sur le territoire français en 1984, puis en 1989, avec le siège et l’usine de Toulouse Saint-Alban, Mapei a connu un important développement. Pour moi, les 40 ans marqueront une étape où Mapei ne sera plus seulement vue comme un industriel de la colle et du carrelage. Mais comme un acteur légitime de l’ensemble des secteurs du gros œuvre et du second œuvre. Toutefois, il reste encore un peu de travail à accomplir… D’autant plus que nous devrions atteindre d’ici là les 150 M€ de chiffre d’affaires ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 349 jours

En Libye, les troglodytes de Ghariane veulent sortir de l'ombre

Creusées dans la roche avec des outils rudimentaires, ces demeures centenaires se fondent dans les flancs rocailleux du Jabal Nefoussa, et au-delà des frontières - autrefois inexistantes - avec la Tunisie."Nous partageons ce patrimoine (...). De Nalout (en Libye) jusqu'à Gabes (en Tunisie), c'est le prolongement des mêmes tribus", explique à l'AFP Youssef Al-Khattali, chercheur en histoire.De tailles et formes différentes selon l'usage, ces cavités appelées "damous" en dialecte libyen s'enfoncent dans les entrailles de la montagne. Tempérées l'hiver et préservant la fraîcheur l'été, elles ont été "conçues pour avoir des usages polyvalents et ont perduré dans le temps, d'où leur importance dans l'histoire de l'architecture libyenne", souligne M. Khattali. Des siècles durant, les habitants de Ghariane, qui culmine à environ 700 mètres d'altitude, y ont vécu, prié et enterré leurs morts. "Il y a d'abord eu les maisons troglodytes destinées aux humains et à leurs bêtes, puis les constructions conçues comme lieux de culte" - des temples juifs et églises chrétiennes dont la plupart ont été transformées par la suite en mosquées - "mais aussi des lieux de sépulture", comme le montrent des stèles tombales "qui remontent à l'époque phénicienne", poursuit l'historien.Méthodes primitivesCette technique de construction a également servi aux habitants pour défendre et protéger leur ville des invasions. Certaines constructions avaient un usage "purement militaire. On peut encore distinguer les vestiges des fortifications à certains endroits de la montagne et ce qui reste des tours de guet", dit M. Khattali.Toutefois, quelle que soit la méthode de conception, la taille ou l'usage, le choix de l'emplacement ne peut pas être dû au hasard. Il faut connaître la nature de la roche pour éviter que le toit ne s'effondre pendant l'excavation, faite à la force des bras."Mon cinquième arrière-grand-père a construit cette cour souterraine il y a 355 ans" avec des outils simples comme la "gouffa", un panier tissé en feuille de dattier pour transporter les gravats, et un "tajouk", une sorte de hache, raconte al-Arbi Belhaj, descendant d'une longue lignée de Ghariani."Autour de la cour carrée à ciel ouvert au centre du damous, huit familles de neuf membres au moins se partageaient les lieux", dit-il.Aujourd'hui, ce propriétaire de la plus ancienne maison troglodyte de Ghariane, se vante d'être le "dernier petit-fils à y être né", en 1967.Attraction touristiquePeu fréquentées en raison de l'insécurité qui règne dans le pays depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, les villes berbères du Jabal Nefoussa avec leurs maisons troglodytes ont longtemps été une attraction touristique.Dès 1936, l'Italie, ex-puissance coloniale en Libye, lui accordait déjà de l'importance en publiant "le premier guide touristique mettant à l'honneur" ces constructions primitives aujourd'hui abandonnées par leurs propriétaires au profit de logements standards.Certaines habitations sont vieilles de plus de 2.300 ans mais peu d'entre elles ont laissé de traces. Une dizaine tiennent encore debout mais une seule habitation troglodyte a résisté et sert aujourd'hui de "maison témoin".Occupée jusqu'en 1990, le damous de la famille Belhaj est devenu, après restauration, une attraction touristique.Les visiteurs peuvent déambuler de pièce en pièce en contrepartie d'une petite somme symbolique."L'entrée coûte l'équivalent d'un dollar lorsqu'on est Libyen, deux dollars s'il s'agit d'un étranger", explique M. Belhaj.Les familles s'y rendent le weekend pour découvrir ces espaces insolites, prendre une tasse de thé ou et "se réunir autour d'un repas".
Il y a 2 ans et 350 jours

Eclisse se démarque auprès des étudiants en architecture

Sur chaque panneau, un échantillon physique est directement connecté à la bibliothèque numérique, pour un accès facile et rapide à ses caractéristiques techniques. Actif en digital, ECLISSE adhère immédiatement à cette démarche pédagogique innovante.Son objectif : informer les futurs architectes des nouvelles techniques, évolutions et innovations du marché des portes d’intérieur. Développés par la maison mère Italienne, les châssis à galandage et les huisseries invisibles ECLISSE bénéficient d'un savoir-faire reconnu par leur design et leur qualité. Les portes d'intérieur, en perpétuelle évolution, proposent de nouveaux aménagements d'espaces sur le marché français, belge et luxembourgeois. Pour l’année scolaire 2021/22, ECLISSE a choisi de valoriser son huisserie ECLISSE 40 et son châssis Syntesis® Line. L'huisserie permet d'installer une porte battante invisible et architecturale. D'un côté, la porte est à fleur de mur et de l'autre, son cadre en aluminium est apparent pour donner de la profondeur. Le châssis Syntesis® Line, quant à lui, permet d'installer une porte coulissante à galandage. La porte coulisse à l'intérieur de la cloison et laisse un mur épuré d'habillage de finition.En septembre 2021, Franck Dietmann, Directeur d’Archimatérial, installe avec ses équipes les 32 panneaux connectés ECLISSE, dans la rubrique « Aménagement & mobilier ». Le panneau connecté ECLISSE 40 Accessible à 25.000 étudiants et 4.000 enseignants architectes en France, Belgique et au LuxembourgEchantillon physique de l'huisserie ECLISSE 40.Visuels et illustrations de mise en situation. Dimensions et montage de l’huisserie et du chassis.QR Code pour accéder à la bibliothèque numérique : caractéristiques techniques, installation et vidéo de mise en oeuvre des produits.La connaissance des nouveaux matériaux et de leurs évolutions est essentielle aux élèves architectes ; elle peut en effet faire la différence lors de la présentation de projets. L’accès dématérialisé aux produits présentés physiquement incite les étudiants à mieux découvrir l’univers de la matière. Depuis la rentrée, la documentation Eclisse a été téléchargée 1200 fois. En juin, viendra s’ajouter le nombre de scans effectués sur le panneau connecté par les étudiants.En moyenne, chaque année, cinq écoles adhèrent à la Matériauthèque Campus, soit 2.000 étudiants architectes. D’ici la fin 2022, Eclisse participera à l’animation d’une table ronde. Un événement qui permet aux élèves un échange direct avec le fabricant, pour compléter leurs connaissances des matériaux, les procédés de fabrication, de mise en oeuvre et de recyclage. « Ce partenariat est une première pour ECLISSE et nous sommes convaincus de son efficacité pédagogique. Les étudiants en architecture sont tous connectés et sont potentiellement nos futurs prescripteurs. Ils ont aussi des projets, des suggestions et des interrogations pertinentes à remonter à notre service recherche et développement, » déclare Christian Renévot, Directeur Général d’Eclisse France.
Il y a 2 ans et 358 jours

Pour les 190 ans du Groupe Blanchon, rencontre avec Guillaume Clément, Président Directeur Général

Batinfo : Pourriez-vous nous présenter le Groupe Blanchon ?Guillaume Clément : Le Groupe Blanchon a été fondée il y a 190 ans afin de fournir des solutions fiables pour la protection, la décoration, l'entretien et la rénovation du bâtiment, de l'habitat et des lieux de vie, avec un focus particulier sur le bois utilisé en intérieur (parquet, boiseries, meubles) et en extérieur (terrasses, bardages). Le groupe développe, fabrique et commercialise une vaste gamme de vernis techniques, de produits de finition et de peintures, en restant toujours à la recherche de nouvelles innovations. Nous sommes partenaires des utilisateurs, des négoces bois et matériaux et des grossistes peinture, des industriels de revêtements sols et des grandes surfaces de bricolage.En raison de notre longue histoire en France nous restons attachés à une production locale de qualité. Nous comptons actuellement 420 collaborateurs dans le groupe dont 250 en France et nos 3 plus grandes usines se situent en région Rhône-Alpes. Nous vendons plus de 10000 références, à plus de 8500 clients dans 55 pays, avec une présence forte en Europe. Notre très puissante implantation en France nous permet de nous développer à l’international avec ambition et détermination. Le développement international reste un enjeu stratégique pour l'entreprise et nous projetons de réaliser à terme 50% de notre chiffre d'affaires à l'export. En 2020 nous avions un chiffre-d'affaires de 75 millions d'euros, en 2021 nous avons dépassé les 100 millions de CA et nous nous sommes donnés un objectif de 150 millions de CA en 2025.Batinfo : Nouveaux produits verts, développement en Europe, nouvelle identité graphique... ce 190e anniversaire est-il le début d'une nouvelle ère pour le groupe ?« Protéger c’est dans notre nature » depuis 190 ans...Le Groupe Blanchon a évidemment rencontré plusieurs défis depuis sa création et notamment avec les changements en lien avec la prise de conscience écologique de la fin du XXème siècle. L'arrêt des solvants dans les années 90 a par exemple été un challenge pour nous qui produisons des vernis et des peintures. Mais cela nous a amené à développer notre technologie biosourcée, à lancer une démarche RSE et aujourd'hui plus d'une centaine de nos produits bénéficient de l'Écolabel Européen.Depuis de nombreuses années maintenant, nous nous sommes engagés dans une démarche éco-responsable pour limiter autant que possible notre empreinte environnementale. Nous misons notamment sur l'éco-conception en privilégiant des formulations en phase aqueuse, des matières premières renouvelables et des produits à faible émissions de Composés Organiques Volatiles (COV). Nous produisons dans des usines efficientes, propres et respectueuses de l'environnement, sans rejets dans l'eau, l'air ou le sol, en veillant à un bilan carbone mesuré et en réduisant ou supprimant de façon drastique les solvants. Les consommateurs ont également un rôle à jouer dans cette démarche écologique et c'est pourquoi nous fournissons des conseils sur la bonne utilisation des produits, des recommandations données aux utilisateurs pour protéger l'environnement et nous incitons à privilégier la rénovation plutôt que le remplacement. Valoriser les emballages recyclables, le tri sélectif et le retraitement des déchets en filière spécialisée sont évidemment des points clés pour limiter notre impact sur l'environnement de la création de nos produits à leur fin de vie.Le développement à l'international relève aussi du défi pour une entreprise française privilégiant la production locale. Nous nous développons en Angleterre, en Pologne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie et partout en Europe. Pour l'instant 60% de notre chiffre-d'affaires vient de la France et 40% de l'Europe mais nous créons de nouvelles équipes régulièrement pour augmenter notre présence à l'étranger.Mais le futur s'avère aussi jonché d'obstacles. Comme dans beaucoup de métiers liés à l'artisanat ou au BTP, attirer des jeunes talents est difficile. Nous devons trouver une solution pour rendre nos métiers à nouveau attractifs. Face à ce défi que représente le recrutement et la conservation du savoir-faire des artisans qui travaillent avec nos produits, créer une académie pour les professionnels puis pour les particuliers dans un second temps peut être une solution à envisager.Batinfo : Quelles sont vos ambitions pour l'avenir ?Pour assurer la pérennité du Groupe, et relever les enjeux environnementaux de notre planète, une évidence : proposer des produits toujours plus performants, éco-responsables et consolider la présence de nos marques sur le plan international. Notre modèle économique, bâti sur 3 activités complémentaires –le grand public, les professionnels du bâtiment et les fabricants industriels de revêtements de sols- doit continuer à s’exporter partout dans le monde. Nous avons accéléré nos implantations en Belgique et aux Pays-Bas avec les acquisitions de Ciranova et de Rigo Verffabriek au cours des 10 derniers mois. L’Europe est notre maison commune et le Groupe Blanchon a vocation à en devenir l’un des leaders incontournables dans l’offre de solutions durables de produits de protection pour les matériaux bois notamment.
Il y a 3 ans et 0 jours

Des fjords en terres toscanes avec Fiandre Architectural Surfaces

Sur les collines du Chianti, en Italie, l’agence GEZA Architettura livre les quelque 42 000 m2 ...More about Cet article Des fjords en terres toscanes avec Fiandre Architectural Surfaces est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 1 jours

Bilan positif pour le salon GIC/Italian Concrete Days

Les GIC/Italian Concrete Days ont réuni plus de 5 000 visiteurs sur 3 j. [©GIC/Italian Concrete Days] La 4eédition des GIC/Italian Concrete Days vient de s’achever sur une note très positive. Avec 5 000 visiteurs confirmés, 234 exposants présents sur 15 000 m2de foire, 8 conférences organisées et 27 prix décernés, le plus grand salon européen du béton a tenu toutes ses promesses.  Organisés tous les deux ans, les GIC/Italian Concrete Days se sont déroulés du 28 au 30 avril dernier, à Piacenza, ville située dans le Nord de l’Italie sur l’axe Milan – Bologne. La sécurité au travail, l’éco-durabilité et l’innovation en ont été les thèmes fédérateurs. « Cette 4eédition peut être considérée comme celle du redémarrage d’un salon important, dans lequel les acteurs du secteur ont retrouvé l’enthousiasme, dont ils avaient manqué durant la pandémie du Covid. Chacun d’entre nous a pu constater la grande passion qui a uni exposants et visiteurs pendant toute la durée de ce salon »,constate Fabio Potestà, directeur de Mediapoint & Exhibitions, organisateur des GIC/Italian Concrete Days. Et de poursuivre : « C’est le même enthousiasme que j’ai vu lors de la cérémonie des Italian Concrete Technology Awards. Ces prix qui récompensent les entreprises et professionnels italiens du secteur du béton qui se sont distingués au cours des 36 derniers mois. » Rendez-vous en 2024 La présence de visiteurs et d’acteurs du béton étrangers a été particulièrement importante pour l’organisateur, confirmant le rôle croissant des GIC/Italian Concrete Days dans le panorama européen des salons. Un grand succès a aussi été remporté par la formule inédite “GIC by Night”. Il s’agissait d’un programme spécial de soirées dédié aux exposants et à leurs invités… « Cette édition se clôt sur un bilan très positif quant à la qualité des visiteurs, en majorité des acteurs de la “supply chain” du béton, reprend Fabio Potestà. Une satisfaction croissante, si l’on considère le moment économique très particulier pour l’ensemble de la filière. Je ne peux donc que remercier tous les exposants et, en même temps, promettre que nous continuerons à faire plus et mieux pour améliorer notre événement. »D’autant que la 5eédition est déjà annoncée pour 2024, toujours au Piacenza Expo. Mais avec des dates qui restent encore à préciser, pour éviter les chevauchements avec d’autres événements reportés à cause du Covid et/ou à la suite du conflit en cours entre la Russie et l’Ukraine.
Il y a 3 ans et 7 jours

Guerre en Ukraine : Beaucoup de (gros) perdants, peu de (vrais) gagnants

Coface a revu à la hausse son estimation du coût pour l'économie mondiale à environ un point de pourcentage en 2022. Cependant les conséquences du conflit se feront surtout sentir à partir du deuxième semestre, et se matérialiseront encore davantage en 2023 et au-delà. Le risque politique, qui avait considérablement augmenté au niveau global avec la pandémie, est exacerbé par la hausse des prix des produits alimentaires et énergétiques. Aucune région ne sera véritablement épargnée des retombées économiques de cette guerre, et après les chocs successifs des années 2020, notre perception reste d’actualité : le monde a changé, sans retour possible.L'Europe en pleine tourmenteL'importance des belligérants dans la production de nombreuses matières premières et les craintes de ruptures d'approvisionnement ont entraîné une flambée des prix, entraînant une baisse du revenu disponible des ménages et donc de la consommation. La volatilité et l'incertitude pèseront aussi lourdement sur les décisions d'investissement des entreprises dont la situation financière risque de se dégrader sensiblement, les coûts de production continuant à augmenter ou restant élevés. Au-delà des économies d'Europe centrale et orientale, qui ont des liens économiques importants avec la Russie, les pays d'Europe occidentale sont les plus exposés en raison de leur forte dépendance aux combustibles fossiles russes. L’Allemagne et l’Italie dont les économies sont les plus dépendantes du gaz russe devraient être fortement impactés (1,6 point de PIB en moins). L'impact serait plus faible mais toujours significatif dans le reste de l’Europe.Les effets inflationnistes poussent la Fed à agir plus rapidement que prévuOutre atlantique, l'impact sur la croissance devrait être plus modeste en raison d’une exposition commerciale et financière limitée à la Russie et à l'Ukraine. Néanmoins, aux USA, le taux d'inflation global a atteint son plus haut niveau en 41 ans, porté par les prix des denrées alimentaires et de l'énergie. Abstraction faite de ces éléments, la croissance des prix sur une base mensuelle s'est atténuée, mais reste nettement supérieure à l'objectif de 2% de la Fed, et l’incite à agir plus rapidement que prévu.Après une première augmentation de taux des fonds fédéraux en mars, la plupart des membres du comité de politique monétaire se sont déclarés favorables à ce que celui-ci atteigne un niveau "neutre" d'ici fin 2022, soit un taux estimé entre 2 et 3%. Il s'agirait d'un des cycles de resserrement les plus agressifs depuis les années 1990 et contribuera à modérer la croissance américaine, d’où notre révision à la baisse de la prévision de croissance du PIB américain pour 2022, à 2,7%.Aucune région ne sera épargnée par l'inflation importée et les perturbations de chaînes d'approvisionnementLe continent africain, où est estimé un effet négatif net global de 0,5 point, est un parfait exemple de la manière dont la situation actuelle affecte les économies émergentes avec l'intensification des pressions inflationnistes, le début du resserrement de la politique de la Fed et son impact sur les flux de capitaux. L'Asie ne sera pas épargnée par les conséquences de la guerre, auxquelles s'ajoute le ralentissement en Chine lié au variant Omicron. Un conflit prolongé en Europe ou une nouvelle escalade aura un impact négatif net estimé à 0,5 point sur la croissance du PIB en 2022. L'Amérique latine est une autre région vulnérable à un resserrement de la politique de la Fed, mais devrait bénéficier de la hausse des prix des matières premières. L'effet net de la guerre dans la région – que nous estimons à -0,1 point – est encore incertain et pourrait ne pas se faire pleinement sentir dans un avenir proche. Pour consulter l'étude complète : cliquez ici
Il y a 3 ans et 7 jours

SIPE, centrales à béton SELF pour la distribution en libre-service

En 2021 SIPE a lancé sur le marché sa toute dernière nouveauté : la centrale à béton en libre service SELF. Elle fonctionne exactement comme une station essence : le client positionne son camion-toupie ou sa camionnette, choisit la recette et la quantité du béton sur un écran tactile, paye et charge le béton en toute autonomie. La centrale SELF s’adresse à plusieurs protagonistes de la filière du béton : particuliers, carrières à agrégats et négoces de matériaux, fournisseurs de BPE, chantiers de grande taille, producteurs de blocs béton. Le service SELF est disponible sur plusieurs modèles de centrale à béton de la gamme SIPE: horizontale, verticale, fixe ou mobile. Cliquez le lien pour visionner la vidéo de présentation du SELF : https://www.youtube.com/watch?v=G3bW9GoUeUE SIPE, producteur de malaxeurs et de centrales à béton SIPE est un producteur italien de malaxeurs et centrales à béton, actif sur le marché depuis 1979. Dans son usine en Italie, près de Milan, SIPE produit des solutions pour toute l’industrie du béton : chantiers de toute taille, fournisseurs de BPE, préfabricants, laboratoires, producteurs de réfractaires et de pavés.  La gamme proposée par SIPE s’appuie sur la connaissance du béton et l’innovation technologique, qui mènent à l’objectif primaire – qui est aussi le slogan – de SIPE : permettre à ses clients de produire du béton de qualité.  Site internet : www.sipeitalia.com/fr/  
Il y a 3 ans et 11 jours

Podcast #12 – Arcosanti : Et au milieu du désert, une cité utopique

Raconté par Muriel Carbonnet – Production & réalisation : Sivagami Casimir Article original paru en juillet 2021 dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine C’est une ville en béton compacte et éco-responsable, conçue dans les années 1970 et édifiée depuis par plus de 8 000 personnes. Elle émerge du désert de la Sonora, à 110 km, au Nord de Phoenix, en Arizona, aux Etats-Unis. Ici l’architecture est travaillée. Les formes sont cubiques, angulaires ou absidiales. Les infrastructures unissent le béton brut et le bois. Les fenêtres sont plus volontiers rondes que rectangulaires. Les toits sont construits en escaliers. Et les bâtiments individuels se fondent les uns dans les autres à travers un réseau de couloirs donnant sur le désert environnant. Vous êtes à Arcosanti, une cité écologique créée de toutes pièces par l’Italo-Américain Paolo Soleri (1919-2013). ACPresse · Podcast ACPresse Arcosanti Ecolos avant l’heure Adepte de l’Arcologie (contraction d’architecture et d’écologie), l’architecte voulait montrer qu’il était possible de développer un projet urbain unique. Tout en respectant l’environnement. Thème peu en vogue il y a 50 ans – en dehors peut-être du mouvement hippie -, mais qui trouve tout son sens à notre époque. Ses idées semblent aussi logiques qu’attrayantes… Il s’agit bien d’un “laboratoire urbain”, comme l’annonce le panneau de bienvenue aux portes d’Arcosanti. Dans cette ville idéale auto-suffisante, les habitants n’ont plus besoin de voitures, la notion même de route n’a plus aucun sens. Les espaces de vie et de travail sont indistincts. Fini aussi les ampoules le jour, l’air conditionné l’été, même au beau milieu du désert ! L’ensemble forme un drôle de hameau ramassé, couvert d’oliviers et de cyprès, comme un peu d’Italie que l’architecte aurait semé çà et là. Un zeste loufoque.  Les espaces de vie et de travail sont indistincts. Ici, le Café, moments conviviaux en perspective. [©Elitemedia.network] Les principes de l’Arcologie Le projet s’appuie sur une structure communautaire dirigée par Paolo Soleri. Les réalisations d’Arcosanti ont toutes été construites avant 1990. Le “Crafts III” sert de centre d’accueil pour les visiteurs. Il comprend des magasins et des logements. Sa climatisation est passive organisée autour de systèmes de ventilation et de grandes baies. Le “Ceramics Apse” est une abside en béton coulé en place, en utilisant un moule en terre. Sa forme permet de capter le maximum de lumière en hiver et le minimum en été. On y fabrique des carillons éoliens (“Wind Bell”), l’une des sources de revenus de la communauté. Les formes sont cubiques, angulaires ou absidiales. Les infrastructures unissent le béton brut et le bois. Les fenêtres sont plus volontiers rondes que rectangulaires. [©Rosa Menkman]L’ensemble forme un drôle de hameau ramassé, couvert d’oliviers et de cyprès, comme un peu d’Italie que l’architecte Paolo Soleri aurait semé çà et là. [©Jan Pauw]Les toits sont construits en escaliers. Et les bâtiments individuels se fondent les uns dans les autres à travers un réseau de couloirs donnant sur le désert environnant. [©Ted Major] Le béton à l’honneur Le “East & West Housing” est un bâtiment d’habitation en béton coulé en place ou préfabriqué. Les “Vaults” sont constitués de deux voûtes en berceau non jointives et ouvertes à leurs extrémités, utilisées pour l’organisation d’ateliers, de réunions… Leur partie inférieure est réalisée en béton aussi, tandis que leur partie supérieure est formée de panneaux de béton préfabriqués. Des espaces sont accolées de part et d’autre sur le côté Est pour le stockage et l’atelier paysagiste. Et sur le côté Ouest pour les activités commerciales. Le sommet de la voûte sert de belvédère… Une vie communautaire et assez drastique somme toute pour les quelque 80 personnes qui vivent encore là au quotidien. [©Cody from Phoenix]Les “Vaults” sont constitués de deux voûtes en berceau, utilisées pour l’organisation d’ateliers, de réunions… [©Graeme Maclean] Piscine au milieu du désert environnant. [©heather vescent] Une vie communautaire et assez drastique somme toute pour les quelque 80 personnes qui vivent encore là au quotidien. Défendant toujours les principes de Paolo Soleri, même après sa disparition… Et qui fera peut-être de nouveaux adeptes, l’écologie étant dans l’air du temps ! En savoir plus sur la cité d’Arcosanti Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 13 jours

Un cadre hospitalier à Marseille jugé pour favoritisme

"Un système à la marseillaise marqué par une proximité inadaptée et illégale entre un agent public et un entrepreneur ami" : c'est ce qu'a dénoncé lundi le procureur du tribunal correctionnel de Marseille.Le prévenu, poursuivi pour prise illégale d'intérêts, favoritisme et recel d'abus de biens sociaux, était responsable des services techniques de l'hôpital psychiatrique Edouard-Toulouse à Marseille.De 2007 à 2011, le prévenu avait signé pour 1,2 million d'euros de contrats au profit d'une société, D2G Construction, dans laquelle il détenait un quart des parts. Parmi eux, ce sont trois marchés publics d'un montant global de 547.000 euros que le tribunal a disséqués. Le gérant de la société attributaire de ces contrats avec l'hôpital ne disposait d'aucun salarié ni même de matériel. Il faisait travailler un sous-traitant qui a reconnu n'employer que des salariés non déclarés, recrutés à la journée devant des distributeurs de matériaux et payés cent euros la journée pour un maçon, soixante euros pour un manœuvre.Contre le gérant de D2G Construction, le procureur a également réclamé deux ans de prison avec sursis, une amende de 20.000 euros et une exclusion durant cinq ans des marchés publics. Une amende de 50.000 euros a été requise contre la société D2G Construction, aujourd'hui en sommeil.A la barre, le cadre hospitalier recruté en 2003 par l'hôpital a reconnu avoir été "négligent".Selon le procureur, le responsable des services techniques faisait bénéficier son ami entrepreneur d'informations privilégiées permettant à D2G Construction de déposer des offres très offensives. Pour le chantier de rénovation des sanitaires d'un pavillon estimé à 250.000 euros, la société avait par exemple remporté le marché avec une offre inférieure de 100.000 euros.Dénonçant des "petits arrangements entre amis", l'avocate du centre hospitalier a évoqué "une trahison" et réclamé 100.000 euros de dommages et intérêts.Me Bernard Hini a plaidé "l'absence d'intention délictuelle" de son client, "un homme d'une parfaite honnêteté, bardé de diplômes", qui aurait fait l'objet d'une vengeance après avoir conduit une enquête sur des malversations commises par deux cadres de l'hôpital.Le tribunal rendra sa décision le 23 mai.
Il y a 3 ans et 19 jours

Lyon-Turin : Systra s'impose sur la maîtrise d'oeuvre des gares

CONTRAT. Telt, le maître d'ouvrage de la section transfrontalière du Lyon-Turin ferroviaire, a attribué les marchés de maîtrise d'oeuvre pour la construction des gares internationales, à Saint-Jean-de-Maurienne côté français, et à Suse côté italien, pour un montant total de 23 millions d'euros. Ce sont des sociétés d'ingénierie bien connues de part et d'autre des Alpes qui ont été choisies.
Il y a 3 ans et 22 jours

En Espagne, l'éolien porté par des vents favorables

"Ici, on est sur un terrain propice", assure Joaquin García Latorre, directeur de projet chez Enel Green Power España, en désignant les gigantesques mâts dressés sur les hauteurs de Villar de los Navarros, village d'une centaine d'âmes de la région de Saragosse (nord-est).Le groupe hispano-italien a choisi ce site bien exposé au vent pour implanter l'une des plus grandes fermes éoliennes du pays : le parc Tico Wind, regroupant 43 turbines d'une puissance globale de 180 mégawatts-heure (Mwh)."Ce parc est entré en phase de production en novembre" et sera pleinement opérationnel "d'ici un mois", explique Joaquin García Latorre, alors que des ouvriers s'affairent autour de ces immenses machines, culminant à plus de cent mètres de hauteur."Il y a ici entre 2.500 et 3.000 heures de vent par an. Cela signifie que nous pourrons produire près de 471 gigawatts-heure (GWh) annuellement", soit "l'équivalent de la consommation de 148.000 foyers", ajoute le responsable d'Enel.De la Galice au Pays basque en passant par l'Andalousie, les projets de ce type se multiplient depuis plusieurs années en Espagne, deuxième pays d'Europe derrière l'Allemagne et cinquième pays au monde en matière de puissance éolienne installée.Selon le gestionnaire du réseau électrique espagnol, l'éolien est devenu la première source d'électricité dans le pays l'an dernier avec 23% contre 21% pour le nucléaire et 17% pour le gaz."L'éolien bénéficie d'une situation favorable", même s'il existe encore "des freins" à son développement, très dépendant des enchères organisées par le gouvernement, juge Francisco Valverde Sanchez, spécialiste du secteur au cabinet Menta Energia.Après un boom au début des années 2000 grâce à l'octroi d'aides publiques, la filière avait subi un brusque coup d'arrêt en 2013, suite à l'arrêt des subventions en pleine crise économique.Depuis, elle est repartie de l'avant : la puissance installée de l'Espagne,qui accueille au total 1.265 parcs éoliens, est ainsi passée de 23,4 gigawatts en 2018 à 28,1 gigawatts en 2021, selon l'Association espagnole des entreprises éoliennes (AEE)."Grenier énergétique"Nombreuses zones peu peuplées, cadre juridique porteur, tissu industriel de pointe... "L'Espagne est actuellement l'un des marchés les plus intéressants pour les investisseurs", souligne Juan Virgilio Márquez, directeur général de l'AEE.Troisième exportateur mondial d'aérogénérateurs, le pays accueille plusieurs poids lourds des renouvelables, à l'image d'Iberdrola ou de Naturgy. "Cela explique le dynamisme du secteur" et "l'appétit" qu'il suscite, insiste M. Márquez.Un appétit qui va au-delà des seuls acteurs de l'énergie : en novembre, le multimilliardaire espagnol Amancio Ortega, fondateur de Zara, a ainsi injecté 245 millions d'euros dans un parc du nord-est du pays.Cette dynamique va-t-elle se poursuivre? En 2020, Madrid s'est engagé à porter d'ici 2030 la part du renouvelable (éolien, solaire...) dans l'électricité à 74% contre 47% actuellement. Ce qui induit la mise en service de 22 gigawatts en huit ans.Pour atteindre cet objectif, le gouvernement compte sur l'essor de l'éolien offshore, à ce stade balbutiant, mais pour lequel l'Espagne dispose d'un fort potentiel, avec ses milliers de kilomètres de côtes."Il s'agit d'un objectif ambitieux" qui implique "d'accélérer encore le déploiement" du secteur, relève Francisco Valverde Sanchez. Ce qui ne pourra se faire, selon lui, qu'à condition d'alléger "la bureaucratie", qui retarde nombre de dossiers.Selon l'AEE, près de 600 projets sont actuellement en cours d'examen par les services de l'Etat. Dans le cadre de son plan de réponse économique à la guerre en Ukraine, Madrid s'est engagé à accélérer la procédure pour les projets inférieurs à 75 MW.L'Espagne "dispose des ressources suffisantes pour devenir le premier pays européen pour la production et l'exportation d'énergies renouvelables", indispensables pour "l'indépendance énergétique" de l'UE, a insisté mercredi le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez.Un message relayé par l'ensemble de la filière depuis l'invasion russe de l'Ukraine. "L'Espagne dispose d'un grand potentiel éolien (...) Elle pourrait devenir le grenier énergétique de l'Europe", résume Juan Virgilio Márquez.
Il y a 3 ans et 28 jours

"Nous sommes toujours en train d’adapter les locaux aux progrès de la médecine et de ses technologies", Brunot Cazabat (IHF)

Plongée au coeur d'ouvrages stratégiques, complexes et en mutation permanente avec le président des ingénieurs hospitaliers de France.
Il y a 3 ans et 28 jours

Tarkett publie son rapport 2021 de responsabilité sociale et environnementale

Entièrement audité par un tiers indépendant - KPMG -, ce rapport décrit les performances significatives de l'entreprise en matière de développement durable et sa forte ambition, dont de nouveaux objectifs climatiques.Tarkett a récemment défini sa feuille de route ambitieuse Climat 2030 sur l'ensemble de sa chaîne de valeur[1], visant à réduire de 30 % les émissions de gaz à effet de serre. Cela couvre les émissions des activités du Groupe (Scope 1) et de son énergie achetée (Scope 2) – ainsi que celles issues du reste de sa chaîne de valeur, des fournisseurs aux clients finaux (scope 3).« Au cours des deux dernières années, nous avons réduit nos émissions de gaz à effet de serre[2] de 27 %. Nous voulons désormais aller plus loin en mettant en place cette feuille de route climatique ambitieuse. Nous construisons de plus en plus de partenariats dans l'économie circulaire et l'action climatique, par nos choix engagés pour les personnes et la planète. Ensemble avec notre écosystème, nous contribuons activement aux objectifs de développement durable des Nations Unies et il est essentiel que nous nous lancions dans cette aventure avec nos clients », explique Fabrice Barthélemy, Président du Directoire de Tarkett.Au-delà de son ambition d’être un acteur clé dans l'économie circulaire, le Groupe met également l'accent sur l'utilisation de matériaux de qualité, contribuant à la santé et au bienêtre des personnes. Dans le cadre de sa responsabilité sociale, Tarkett protège et développe également ses équipes, crée une culture de la diversité et de l’inclusion tout en soutenant ses communautés locales.Tarkett a réalisé des progrès considérables avec son programme de reprise et de recyclage Tarkett a réalisé des progrès considérables avec ReStart®, son programme de collecte et de recyclage, en transformant les revêtements de sol en fin d’usage et les matériaux recyclés en nouveaux revêtements de sol. Cela permet de réduire les déchets et l'empreinte carbone, en diminuant le besoin de matières premières vierges tout en évitant l'enfouissement et l'incinération.Au cours des 11 dernières années, l'entreprise a collecté l'équivalent de 11 tours Eiffel (112 000 tonnes) de revêtements de sol dans le cadre de son programme ReStart® en Europe, en Amérique du Nord et au Brésil, dans huit centres de recyclage.De solides progrès dans ReStart® ont été réalisés au centre de recyclage de moquette unique de Waalwijk, aux Pays-Bas, au centre de recyclage de vinyle à Ronneby, en Suède et au centre de recyclage de linoléum à Narni, en Italie. Ensemble, ces centres de recyclage ont augmenté leur collecte ReStart® de 69 % par rapport à 2019. En complément des progrès réalisés avec ReStart®, 15% des matières premières (147 000 tonnes par an) sont des matériaux recyclés en 2021, l’objectif étant d'atteindre 30% en 2030. Tarkett a réduit son empreinte carboneDouze sites de production dans dix pays s'approvisionnent en électricité 100% renouvelable et 38% de la consommation totale d'énergie provient d'énergies renouvelables.Les émissions de gaz à effet de serre provenant de l'électricité achetée, de la consommation de vapeur et de la combustion de carburant sur les 34 sites de production de Tarkett dans 19 pays ont été réduites de 44 % par rapport à 2010, ce qui correspond aux émissions annuelles de gaz à effet de serre de 21 000 habitants européens.[3]Les systèmes de chauffage à énergie fossile ont été remplacés par des systèmes électriques ou à biomasse. Par exemple, l'usine de Jacareí (Brésil) a changé la source d'énergie de sa presse à chaud du gaz naturel à l'électricité, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre associées. Jacareí s'approvisionne désormais en électricité 100 % renouvelable à partir de sources hydroélectriques, solaires et éoliennes.Des exemples récents illustrant notre performance RSEEn Suède et en Belgique, nous avons collaboré avec IKEA pour collecter et recycler les revêtements de sol usagés de leurs magasins à Stockholm (Suède) et Arlon (Belgique). Plus de 14 500 m2 de matériaux ont été collectés puis traités dans notre site de recyclage à Ronneby (Suède).Tarkett est le seul fabricant de moquette en Europe capable de recycler entièrement ses dalles de moquette commerciale, grâce à son centre de recyclage de moquette unique à Waalwijk (Pays-Bas) et en étroite collaboration avec son fournisseur Aquafil. Recycler 1 m² de revêtement de sol en dalles de moquette EcoBase® après utilisation permet d'économiser 10 kgCO2e.En Europe, nous déployons des couches de remplissage renouvelables à utiliser dans le gazon artificiel. Le remplissage PureMix, qui mélange des noyaux d'olive broyés avec un remplissage en liège existant, a été déployé sur le terrain de football de la municipalité de La Haye (Pays-Bas). A Saint-Ouen (France), lors de la rénovation du gazon artificiel du terrain d'entraînement de l'école de football Red Star, des matériaux recyclés et renouvelables ont été utilisés. Un remplissage composé de sable récupéré d'un ancien gazon artificiel a été utilisé avec des noyaux d'olives concassées PureSelect.En Europe, notre solution de remplissage sportif ProMax HydroFlex - fabriquée en Allemagne - est composée à 30% de polyéthylène recyclé provenant de terrains en gazon artificiel en fin d'usage.Aux États-Unis, nous avons incorporé du PVB recyclé post-utilisation dans notre ethos® Modular avec Omnicoat Technology™, une solution de revêtement de sol souple de haute qualité fabriquée à partir de matériaux sains et sûrs, dont 33 % de PVB recyclé post-consommation. De 2004 à 2021, nous avons réutilisé 37 000 tonnes de films PVB provenant de 36 millions de pare-brise.Dans le cadre de notre programme Tarkett Cares et afin de soutenir les communautés locales, nous avons impliqué nos équipes dans plus de 700 initiatives solidaires, avec 3 300 jours de bénévolat de nos collaborateurs et plus d'un million d'euros de dons de produits (2017-2021).1 Compare à 2019, scope 1, 2 and 32 Emissions de gaz à effet de serre comparées à 2019, Scope 1 & 23 EuroStat a rapporté en 2021 que l'empreinte carbone totale de l'UE-27 était égale à 6,7 tonnes de CO2 par personne en 2019. Les émissions absolues de GES (scope 1 et 2) des sites de production de Tarkett en 2021 représentent 177 500 tonnes de CO2e, ce qui correspond à une réduction de plus de 140 000 tonnes CO2e par rapport à 2010.
Il y a 3 ans et 31 jours

Le palais des Vieilles Procuraties, joyau de Venise, retrouve sa splendeur

Témoin silencieux des siècles traversés par la Sérénissime, cet ancien haut-lieu du pouvoir vénitien est prêt à livrer ses secrets au visiteur, invité à s'engouffrer dans une enfilade d'arcades entourées de poutres en bois et de murs de briques.Pour les trois premiers jours d'ouverture, la visite est réservée aux seuls Vénitiens, dont 3.000 ont répondu présents en 72 heures, avant de s'élargir à partir du 13 avril aux touristes du monde entier.Maître d'oeuvre de cette transformation d'une surface de 12.000 m2, l'architecte anglais de renommée internationale David Chipperfield a été chargé par l'assureur italien Generali, propriétaire du palazzo, d'insuffler une nouvelle vie à cet édifice iconique."La place Saint-Marc figure parmi les plus célèbres du monde, mais aucun d'entre nous n'a jamais imaginé ce qui se cache derrière ces façades construites par plusieurs architectes sur une centaine d'années", a déclaré M. Chipperfield à l'AFP.Erigées au XIIe siècle, les Procuratie Vecchie furent dévastées par un incendie en 1512. L'édifice vénéto-byzantin fut remplacé en 1538 par une structure à trois étages, dans le style classique de la Renaissance italienne.Lion ailéJusqu'à la chute de la République de Venise en 1797, les procurateurs, hauts magistrats qui secondaient le Doge, chargés du Trésor de la ville mais aussi des Affaires sociales, y ont travaillé tout en y occupant des logements gratuitement.Sous les combles de l'édifice s'étendent désormais les locaux spacieux de The Human Safety Net, une fondation lancée par Generali pour venir en aide aux personnes les plus vulnérables, dont des réfugiés, ainsi que des salles d'exposition et un auditorium."Les procurateurs s'occupaient des veuves, orphelins et pauvres. Pour nous, c'est un bel hommage à l'histoire et à l'identité de ce bâtiment d'y avoir The Human Safety Net, qui oeuvre pour l'inclusion sociale", a expliqué sa directrice Emma Ursich.A la gauche de l'entrée principale, le lion ailé de Saint Marc, symbole de la cité mais aussi l'emblème de Generali, est incrusté dans le mur de marbre blanc. Une plaque commémore la naissance en 1831 à Trieste de l'assureur, qui a pris ses quartiers à Venise l'année suivante."L'édifice avait été malmené pendant une très longue période, des décorations ont été enlevées, des escaliers, ascenseurs et salles de bains rajoutés, de manière très désordonnée. Notre responsabilité était de lui rendre une certaine intégrité", commente M. Chipperfield.Le chantier aura duré trois ans, après une phase de conception de 24 mois visant à préserver autant que possible les structures existantes.Au premier étage, où Generali a toujours quelques bureaux après avoir transféré en 1990 son siège italien dans les environs de Venise, à Mogliano Veneto, les fresques et peintures murales ont été entièrement restaurées pour leur redonner de l'éclat.La demeure de Sissi"Ce n'est un secret pour personne que travailler avec l'administration en Italie est assez compliqué", ironise David Chipperfield. Planter le moindre clou dans un édifice historique réclame d'innombrables autorisations.Quant aux artisans, "vous pouvez vous retrouver avec les meilleurs du monde", car il y a une longue tradition en Italie, "ils restaurent des bâtiments depuis mille ans"."Il était essentiel de collaborer avec les artisans et fournisseurs locaux, en utilisant des techniques et des matériaux qui font partie de la tradition vénitienne", explique Cristiano Billia, directeur associé de David Chipperfield Architects Milan.Ainsi, pour les sols, murs ou plafonds, ont été utilisés le pastellone, un produit naturel à base de chaux, le terrazzo, composé d'un mélange de fragments de marbre coloré et de ciment, ou encore le marmorino, un enduit de finition à effet satiné.Juste en face, de l'autre côté de la place, se dressent les Nouvelles Procuraties, dont la construction fut achevée en 1640 et qui hébergeaient au milieu du XIXe siècle d'illustres membres de la dynastie des Habsbourg comme l'impératrice Sissi, pendant le règne des Autrichiens sur Venise.Sa demeure donnait sur les très secrets Jardins Royaux longeant le Grand Canal, eux-mêmes rouverts au public en 2019 à l'issue de cinq ans de restauration.
Il y a 3 ans et 32 jours

Var : le centre hospitalier de la Dracénie à Draguignan va être modernisé

À Draguignan, plusieurs aménagements seront réalisés au sein du centre hospitalier de la Dracénie.
Il y a 3 ans et 32 jours

Francis Kéré récompensé par le prix Pritzker 2022

Francis Kéré a été appelé pour la rénovation de l’Assemblée nationale du Burkina-Faso. [©Kéré Architecture] Le prix Pritzker 2022 connaît son vainqueur. L’architecte germano-burkinabé Francis Kéré reçoit ainsi la précieuse distinction. Et c’est Tom Pritzker, le président de la Fondation Hyatt, qui a annoncé le lauréat de ce prix considéré, comme le plus prestigieux en matière d’architecture. Né au Gando au Burkina Faso, Francis Kéré transforme les sociétés à travers l’architecture. Ses méthodes de travail se connectent aux régions dans lesquelles il exerce grâce à l’utilisation de matériaux locaux, respectueux de l’environnement. Francis Kéré est à l’origine d’institutions scolaires contemporaines, d’établissements de santé ou encore de logements professionnels au Burkina Faso. Il s’intéresse aux territoires où les ressources sont fragiles. « Tout le monde mérite la qualité, tout le monde mérite le luxe et le confort, souligne Francis Kéré. Et les préoccupations liées au climat et à la rareté nous touchent tous. » Et Tom Pritzker d’ajouter : « Francis Kéré est un pionnier de l’architecture durable pour les habitants des terres d’extrêmes raretés. Il est à la fois architecte et serviteur. Améliorant la vie et les expériences d’innombrables citoyens dans une région du monde parfois oubliée ». L’impact de Francis Kéré Tout a commencé en 2001, où la rénovation d’une école primaire du Gando, au Burkina Faso, a dévoilé les bases de la philosophie de Francis Kéré. En effet, l’architecte voulait bâtir un établissement pour répondre à un besoin essentiel de la communauté. Mais aussi, pour remédier aux inégalités sociales. Il voulait concevoir une infrastructure capable de lutter contre la chaleur extrême et les mauvaises conditions d’éclairages liées aux ressources limitées. Pour cela, il a collecté des fonds à l’échelle internationale. Tout en créant des opportunités pour les citoyens d’accéder à une formation professionnelle artisanale. Lire aussi : Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal reçoivent le prix Pritzker 2021 Pour la réalisation de l’école, Francis Kéré a utilisé une argile locale renforcée par du ciment pour former des briques aux propriétés thermiques bioclimatiques. Retenant ainsi l’air frais à l’intérieur, tout en permettant à la chaleur de s’échapper à travers le plafond. Cela a permis une ventilation sans interventions mécaniques. Le succès de ce projet a fait passer le nombre d’élèves de l’école de 120 à 700 élèves. S’en est suivi ensuite la construction de logements pour les enseignants en 2004, une extension de l’école, en 2008 et d’une bibliothèque, en 2019. L’impact de Francis Kéré sur l’architecture du Burkina Faso a suscité l’intérêt du gouvernement burkinabé. En effet, il a été appelé pour la rénovation de l’Assemblée nationale du pays. Après un soulèvement en 2014 qui a détruit l’ancienne structure, l’architecte a conçu un bâtiment pyramidal en gradins et en treillis. Le projet constitue l’un des plus ambitieux de Francis Kéré. Enfin, de nombreuses œuvres construites par Kéré se situent sur le continent africain. Certaines se situent dans des pays comme le Kenya, le Mali, le Mozambique, la République du Bénin ou le Soudan. Des pavillons ont aussi été imaginés en Allemagne, au Danemark, aux Etats-Unis, en Italie, au Royaume-Uni et en Suisse. Parmi les réalisations importantes figurent Xylem au Tippet Rise Art Center (2019, Montana, Etats-Unis), le Parc national du Mali (2010, Bamako, Mali) et l’Opéra Village (Phase I, 2010, Laongo, Burkina Faso).
Il y a 3 ans et 33 jours

Architectes et piscines, histoires d’eau

En 2020, les Pool Design Awards ont récompensé le savoir-faire des architectes en matière de piscines sur-mesure. En attendant les résultats du concours 2022, découverte des projets lauréats pour chaque catégorie. Le plus bel « Espace Wellness »Centre de santé du Grand Hotel Terme di ComanoBianchetti Architettura et Atelier 2 – Italie Le projet fait […] L’article Architectes et piscines, histoires d’eau est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 34 jours

La start-up Deepki lève 150 millions d'euros

Deepki, qui n'avait levé que 10,5 millions d'euros jusqu'à maintenant, s'adresse aux grands propriétaires de parcs immobiliers tertiaires, investisseurs, banques, compagnies d'assurances ou grandes entreprises comme le groupement des Mousquetaires (Intermarché) en France.Son logiciel va chercher automatiquement de nombreuses données sur les bâtiments - factures d'énergie ou d'eau, informations de construction, en passant par l'exposition solaire, ou la proximité des transports en commun... - puis les utilise pour évaluer la performance environnementale des bâtiments, et proposer des améliorations.La jeune pousse de 150 salariés, déjà installée en France, au Royaume-Uni, en Espagne et en Italie, table sur 200 recrutements en 2022, avant 400 en 2023, selon son cofondateur et directeur général Vincent Bryant."Nous voulons nous renforcer en Europe", "nous implanter aux États-Unis" et "réaliser des acquisitions d'acteurs concurrents qui sont de qualité mais plus petits que nous", a indiqué à l'AFP M. Bryant.L'entreprise est suffisamment sûre d'elle-même pour publier son chiffre d'affaires, une décision rarissime chez les start-up toujours très pudiques sur ce chapitre : 15 millions d'euros en 2021, et un doublement prévu à 30 millions d'euros en 2022.Les ventes sont portées par les contraintes réglementaires "de plus en plus nombreuses" en France et en Europe sur la qualité environnementale des bâtiments, a expliqué M. Bryant.Tous les grands acteurs immobiliers "savent que s'ils n'ont pas des bâtiments qui sont performants d'un point de vue environnemental, il va y avoir des décotes (de valeur) sur leurs bâtiments", a-t-il ajouté.En France, le "décret tertiaire" paru en 2019 oblige notamment tous les bâtiments tertiaires de plus de 1.000 m2 à prendre les mesures nécessaires pour réduire leur consommation d'énergie de 40% d'ici à 2030, 50% d'ici à 2040, et 60% d'ici à 2060.La levée de fonds de Deepki annoncée mercredi est menée par les fonds d'investissement européens One Peak et Highland Europe, basés à Londres, avec d'autres investisseurs comme Bpifrance ou ses investisseurs historiques Hi Inov et Statkraft Ventures.
Il y a 3 ans et 34 jours

Les travaux du tunnel de Tende dans la vallée de la Roya devraient reprendre en avril côté français

La réunion de la Conférence Intergouvernementale (CIG) des Alpes du Sud a validé le 1er avril une solution technique qui "permet la relance des travaux et notamment la reprise du percement du tunnel sur le front d'attaque français avant la fin du mois d'avril 2022, les travaux du tunnel côté italien étant en cours depuis novembre 2021", a indiqué le ministère dans un communiqué.La délégation française souhaiterait autoriser la circulation des usagers locaux avant la mise en service au trafic général. L'organisme de gestion des routes italiennes, l'Anas, s'est engagée à chercher à apporter une réponse favorable à cette demande, tout en soulignant les difficultés d'une telle solution, selon le ministère."Cette liaison est vitale pour relancer l'activité de la Roya", a souligné Charles-Ange Ginesy, président du Conseil départemental des Alpes-Maritimes, sur Twitter. "Or la Commission intergouvernementale prévoit l'achèvement du nouveau tube du tunnel pour l'automne 2023 et le rétablissement d'une pleine circulation mi-2025".Le doublement du vieux tunnel de Tende, datant de 1882, avait déjà dû être stoppé en 2017 par un scandale de vol de matériaux et de fraude. Le percement de la deuxième galerie venait de reprendre quand la catastrophe météorologique a eu lieu.Côté rail, la conférence a approuvé le lancement d'études sur la mise en sécurité et la pérennisation de la ligne Coni-Tende-Vintimille, qui a repris partiellement fin décembre 2021. Financées à parts égales par la France et l'Italie, elles seront menées pendant deux ans par SNCF Réseau.En octobre 2020, la tempête Alex a provoqué des crues exceptionnelles dans les Alpes-Maritimes, causant au total dix morts, huit disparus et deux milliards d'euros de dégâts, en particulier dans les vallées dévastées de la Vésubie et de la Roya.
Il y a 3 ans et 35 jours

Le spécialiste français en géothermie Groupe Géotec fait l'acquisition de l'Italien CSI

Après un partenariat d'une quinzaine d'année, le Groupe Géotec finalise en janvier 2022 l’acquisition de CSI, société italienne de géotechnique spécialisée dans les forages profonds ou difficiles d’accès.
Il y a 3 ans et 35 jours

EDILTECO® Group partenaire et distributeur exclusif de CarbonCure pour la France, l’Italie, la Belgique, le Luxembourg et la Hollande.

Edilteco® Group a conclu un partenariat de distributeur exclusif avec la société de technologie d’élimination du carbone  » CarbonCure Technologies « . Ce partenariat va permettre à Edilteco® Group d’offrir à ses clients des solutions innovantes et éprouvées pour la réduction de leur empreinte carbone dans la construction. S’inscrivant dans sa stratégie de progrès, ce partenariat […]
Il y a 3 ans et 36 jours

Le solaire pourrait fournir rapidement l'équivalent d'un à deux EPR, selon la filière

La prise de conscience de nos besoins en énergie, sur fond de flambée des prix du gaz et du pétrole, de centrales nucléaires vieillissantes puis de guerre en Ukraine, est l'occasion d'accélérer le développement des ressources renouvelables, souligne Daniel Bour, président d'Enerplan, le syndicat des professionnels du solaire."La France détient le record d'Europe de la lenteur", relève-t-il.De fait, malgré une année 2021 record avec plus de 2 gigawatts (GW) d'installations nouvelles, elle accuse un retard criant dans la réalisation de ses objectifs solaires, fixés par l'État.Le pays, qui prévoit 20 GW de capacités installées en 2023, n'en est qu'à 13 GW - mélange de résidentiel, de toitures et d'ombrières grandes et moyennes et de centrales au sol (pour 60%).Le président Emmanuel Macron a proposé en février à Belfort de décupler les projets pour atteindre 100 GW en 2050.Mais pour Daniel Bour, Belfort "c'était avant l'Ukraine et la prise de conscience de la dépendance au gaz. Le solaire peut faire plus": 200 GW au moins.Et pour l'immédiat, il a un plan: réaliser 25 GW supplémentaires d'ici 2025, l'équivalent d'un à deux réacteurs EPR - quand la France ne prévoit pas d'inaugurer de nouveau réacteur avant 2037 (hors EPR de Flamanville en chantier depuis 2012).Pour le secteur du solaire, l'objectif n'a rien d'extraordinaire: "L'Allemagne, l'Italie... ont déjà fait 10 GW en un an"."Car les gouvernements avaient une volonté claire de les pousser", souligne Daniel Bour. "En France, l'enjeu n'était pas le même: le pays était plus décarboné", via le nucléaire. "Sauf qu'aujourd'hui, ça a évolué".Usines en EuropePour montrer son efficacité, la profession propose de se concentrer d'abord sur les terrains dégradés, avec une simplification de la procédure d'instruction pour ces sites aujourd'hui soumis aux mêmes contraintes administratives que les sites naturels sensibles.Anciennes carrières, anciennes mines, zones de déchets enfouis, terrains délaissés d'autoroutes, autour d'aéroports ou de voies de chemin de fer... "l'armée en a aussi", souligne-t-ilEnerplan appelle à "des mesures dérogatoires, pour un temps limité", par directive ou par la loi, pour accélérer le processus d'attribution des permis."Le solaire est soumis à trois codes - de l'environnement, de l'énergie, de l'urbanisme - qui peuvent se contredire entre eux et il y a de telles couches d'obligations que cela aboutit à des blocages", décrit Daniel Bour."Fonçons là où on peut foncer!", dit le responsable, qui veut aussi rassurer: "quand des terrains posent problème, pas question de dérogation. Mais il y a des terrains dégradés ou pollués pour lesquels on en fait trop; pour ceux-là, il y aurait toujours une étude environnementale, mais abrégée", suggère-t-il.Le solaire "est facilement mobilisable, et c'est un investissement quasi exclusivement privé", plaide-t-il encore. L'État en a longtemps garanti les prix, mais au niveau actuel du marché de l'électricité, il est désormais bénéficiaire net.Au fur et à mesure que les panneaux photovoltaïques s'étendent, le secteur ne craint-il pas une montée des réticences, comme pour l'éolien?"On a besoin d'ici 2025 d'environ 13.000 hectares, 120 ha par département, c'est raisonnable", répond Daniel Bour. "Mais oui, il faut faire attention, ne pas concurrencer l'agriculture, discuter avec la population, s'insérer dans le paysage. Et puis, à quelques exceptions près, on ne favorise pas le modèle des très grandes centrales".Enfin, le solaire a un autre argument, un autre impératif en fait: l'installation en Europe d'usines de panneaux solaires, insiste-t-il.Mais le continent n'a-t-il pas déjà perdu la bataille face aux Chinois?"Pas du tout!" répond Daniel Bour: "La technologie bouge sans cesse, on la trouve partout. Et la crise a surenchéri le coût du transport, s'installer en Europe devient rentable"."La Chine a inondé le marché car elle disposait d'un grand marché intérieur. Si ici il y a plus de volume, tout naturellement les industriels viendront".
Il y a 3 ans et 39 jours

La construction hors site poursuit sa montée en puissance sur le salon Batimat

Avec son partenaire, le Groupe Hors Site, BATIMAT est le seul salon à donner une telle visibilité à ce mode constructif à travers un espace dédié, un baromètre exclusif et des contenus riches (ateliers, colloque, rencontres...).Sujet aujourd’hui incontournable dans le domaine de la construction, la construction Hors- Site poursuit son développement en France mais reste encore loin des performances enregistrées dans les principaux pays européens. L’ACIM (Association des Construction Industrialisées et Modulaires) estime ainsi que le marché français représentait en 2019 un chiffre d’affaires de 854 M€ et un effectif de 3 688 salariés pour un volume de 439.000 m2 d’unités implantées. Du 3 au 6 octobre BATIMAT met, une nouvelle fois, en lumière ce mode constructif avec des acteurs incontournables du secteur, un espace de 3 000 m2 et des événements dédiés.Les exposantsDes start-ups : Clovis Technologies, Vestack... ;Des sociétés de conseil et de lean management : Delta Partners... ;Une offre multi-matériaux : Sybois, Rector Lesage, Containex...Parmi ces exposants, certains, déjà présents en 2019, font leur retour sur cet espace : Cougnaud, Technologies&Habitat, Avelis, Normétal.De nouveaux venus font leur apparition, et parmi eux, de grands noms tels que : Araymond (un leader de grands marchés industriels automobile), Eiffage ou ARCELOR avec Steligence®, mais aussi E-Loft, GSCM ou encore GoBo House. La participation d'ultra spécialiste comme Wieland Electric ou Ipelec ou de leaders industriels comme Araymond, valident l’accélération de l'industrialisation du secteur de la construction.Liste des exposants du secteur HORS SITE au 21 mars 2022 :Araymond, France (nouveau)Arcelormittal Europe SA, Luxembourg (nouveau)Avelis, FranceClovis Technologies, France (nouveau)Containex, Autriche (nouveau)Cougnaud, FranceCubeco, France (nouveau)Delta Partners, France (nouveau)Eiffage Construction, France (nouveau)E Loft, France (nouveau)Gobo.House, France (nouveau)Groupe Briand, France (nouveau)GSCM, France (nouveau)Ipelec, France (nouveau)Mitek Industries SAS, France (nouveau)Normetal Construction Modulaire, FrancePagin SRL / Gold Infissi SRL, Italie (nouveau)Pinnacle LGS DMCC, Émirats Arabes Unis (nouveau)Sybois, France (nouveau)Technologies et Habitats, France (nouveau)Techno Pieux, France (nouveau)Tecnostrutture, Allemagne (nouveau)Vestack, France (nouveau)Wieland electric, France (nouveau)Les événementsLes visiteurs pourront assister, chaque jour à des ateliers pratiques de 30 minutes chacun, animés par les exposants du secteur Hors site. Au total, ce sont 35 ateliers qui auront lieu durant les 4 jours du Salon. Un Colloque international du hors site sur le thème « Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone » se tiendra aussi pendant le salon.Une étude inéditeAfin d’accompagner la filière de la construction Hors-Site et accélérer la reprise du bâtiment en France, BATIMAT, Campus Hors-Site et TBC créent un baromètre prospectif pour le secteur de la construction Hors-Site en France.Les premiers résultats de l’étude, dévoilés en novembre 2021, révèlent que 82 % des non- utilisateurs de cette méthode pensent y avoir recours dans le futur et 71 % que la part de la construction Hors-Site va augmenter dans les 12 prochains mois. Toutefois, le manque de connaissance sur les procédés (65 %) et sur l’écosystème des acteurs présents sur le marché (51 %) restent des freins pour un passage à l’acte. « Ce premier baromètre nous démontre bien que le Hors-Site est largement connu des professionnels, qu’ils soient utilisateurs ou non, et qu’ils éprouvent finalement beaucoup d’intérêt pour cette méthode constructive » indique de son côté Guillaume Loizeaud, Directeur de Batimat.Il ajoute : « S’il existe des attentes qui n’ont pas encore été comblées, il ne fait aucun doute que les avantages identifiés feront largement pencher la balance en faveur du Hors-Site.Un nouveau baromètre sera édité et les résultats dévoilés à l’occasion du salon BATIMAT.Une série de podcastsPour diffuser les savoirs et aider les professionnels à se former et s’informer, Pascal Chazal (CEO de Campus hors-site) anime une série de podcasts sur Batiradio, 9 épisodes sont déjà disponibles.