Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour ponts

(1004 résultats)
Il y a 4 ans et 84 jours

Tempête Alex : à Breil-sur-Roya, assemblage et pose d’un pont de secours en un temps record

Depuis ce mercredi 24 février, Breil-sur-Roya dispose d’un pont provisoire installé en lieu et place d’un ouvrage emporté par la tempête Alex. Financé par le département des Alpes-Maritimes et la commune, il a été monté et posé en une semaine par le Centre national des ponts des secours.
Il y a 4 ans et 90 jours

Béton[s] le Magazine n° 92 saura vous rendre service !

Couverture de Béton[s] le Magazine n° 92 – Janvier/Février 2021. [©ACPresse] Retrouvez le n° 92 dans la boutique acpresse.fr. Ces dernières années, l’innovation touchant le béton a surtout été technique. Ainsi, entre Bap, BHP, Bis ou Bfup, le matériau est devenu pluriel. A présent, c’est le vocable “bas carbone” qui supervise ses évolutions. En revanche, côté services, les choses sont longtemps restées figées. Pour accéder au produit, chacun continue de téléphoner, d’envoyer une télécopie, parfois un mail. Puis, commence l’attente de la toupie. Mais où est-elle ? Elle est partie… Il y a longtemps ? … Il doit y avoir des embouteillages ! Et qu’en est-il de celui – particulier, artisan ou entrepreneur spécialisé – qui n’a besoin que de quelques dizaines de litres, à récupérer sous centrale ? Pas vraiment prévu dans l’organisation, car complexe à gérer. Le dossier “En Couverture” du Béton[s] le Magazine n° 92 a décidé de s’intéresser au sujet. Ainsi, pour répondre à la première attente, on voit que les industriels du BPE ont commencé à intégrer les innovations qu’offrent les nouvelles technologies. S’il est possible de commander un hamburger ou un jeans avec son smartphone, il n’y a aucune raison de ne pas pouvoir le faire pour son béton. Puis, de suivre la progression de la toupie via une application dédiée. Pour ce qui est des petits volumes, l’idée a aussi fait son chemin. On commence à parler “distribution automatique du béton”. Des mini-centrales autonomes font peu à peu leur apparition dans le paysage. Une borne permet de sélectionner son béton et de payer par carte bancaire. Avant de réceptionner sa commande. Tout est bon dans Béton[s] Retrouvez le n° 92 dans la boutique acpresse.fr. Côté “Acteurs”, Eqiom comme LafargeHolcim parlent “bas carbone”. Tandis qu’Anhydritec dévoile ses ambitions pour 2021. Mais l’occasion est surtout donné de découvrir Audemard, qui “rend possible l’impossible”. En effet, le groupe niçois vient de reprendre Teralta à l’Irlandais CRH ! La rubrique “Techniques & Architecture” nous emmène sur les bords du Rhône voir la rénovation des piles du viaduc autoroutier de Roquemaure. Puis, en Alsace, à la découverte d’un “lieu caché” : la maison de la jeunesse et des sports de Kintzheim. Un petit complexe imaginé par l’agence strasbourgeoise RHB Architectes. Dans le “Laboratoire de la Matière”, Paul Acker poursuit l’exploration de la fissuration des bétons, à travers l’exemple d’une dalle réalisée sur l’un des chantiers du Grand Paris. La partie “A la loupe” fait deux zooms produits : les logiciels pour les bétons et les rupteurs de ponts thermiques. Enfin, en cette période de crise sanitaire qui se poursuit, certains peuvent être amenés à s’interroger sur les responsabilités en cas de retard de chantier. Cette fois, c’est notre partenaire, le cabinet 1792 Avocats, qui apporte les bonnes réponses. Bonne lecture de ce nouveau numéro de Béton[s] le Magazine ! 
Il y a 4 ans et 91 jours

Les rupteurs de ponts thermiques

Le rupteur de ponts thermiques Isotec RT+ répond aux besoins croissants de réduire la consommation d’énergie des logements. [©Plaka] Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Placés au bon endroit, les rupteurs de ponts thermiques sont les amis des occupants d’un bâtiment. Ce sont eux qui permettent d’optimiser les performances techniques, en “comblant” les espaces où le froid et la chaleur peuvent s’immiscer. Structurels, non structurels, maçonnés ou encore parasismiques… Il existe une large offre selon le projet et la problématique du chantier. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 99 jours

Nouvelle Caméra thermique testo 883, une aide efficace pour les conseillers en rénovation énergétique

Elle voit tout et offre une assistance intelligente Recherche de ponts thermiques et défauts d’isolation, détection de vices de construction…, Pour conserver ou augmenter la valeur de leurs biens immobiliers, particuliers et entreprises font confiance aux recommandations des conseillers en rénovation énergétique. La nouvelle caméra thermique testo 883 a été spécialement développée pour ces professionnels qui ont besoin d’un outil aux fonctions intelligentes pour détecter la moindre différence de température d’un bâtiment, analyser en détail les images et réaliser rapidement des rapports thermographiques fiables avec une qualité d’illustration parfaite. Une qualité d’image parfaite La caméra thermique testo 883 bénéficie d’une résolution infrarouge de 320 x 240 pixels, extensible à 640 x 480 pixels grâce à la technologie testo SuperRésolution intégrée. En outre, la sensibilité thermique inférieure à 40 mK permet de mettre en évidence même les différences de température minimes lors du conseil en rénovation énergétique et de la thermographie des bâtiments. Rédaction aisée et rapide de rapports thermographiques professionnels Grâce l’écran tactile qui facilite l’accès au menu et à l’outil de rédaction de rapports du logiciel intuitif testo IRSoft, les rapports professionnels sont créés de manière rapide et aisée. Les images infrarouges et réelles s’affichent simultanément à l’écran dès l’analyse et sont automatiquement ajoutées à celuici. Différents modèles sont disponibles (format PDF ou RTF au choix), tant pour une documentation courte et rapide que pour des rapports détaillés. Ils reprennent toutes les informations pertinentes sur le lieu et les tâches de mesure, ainsi que les résultats des analyses. L’éditeur de rapport du logiciel permet aussi de générer des modèles personnalisés pour les compte-rendus individuels. Sans licence, le logiciel est téléchargeable gratuitement. testo ScaleAssist : Réglage automatique du contraste pour des images thermiques comparables Lors d’une thermographie de bâtiments, les professionnels sont souvent confrontés à la même problématique : les images d’un même objet peuvent différer en fonction de la température intérieure et extérieure. La technologie testo ScaleAssist résout ce problème en réglant automatiquement l’échelle de la caméra thermique de manière optimale après la saisie des températures intérieure et extérieure. Ceci offre deux avantages : l’obtention d’images thermiques comparables de manière objective et un contraste optimal. Les éléments qui dérangent ou n’ont pas d’importance sont automatiquement masqués et les défauts de construction ne sont affichés que s’ils existent réellement. De plus, le mode « humidité » aide à visualiser le risque de moisissures au niveau des failles thermiques dans l’image avec les couleurs du feu tricolore. Les valeurs de mesure nécessaires à cet effet, à savoir la température et l’humidité de l’air intérieur, peuvent être transmises sans fil à la caméra testo 883 par le thermo-hygromètre testo 605i en option. Grâce à ces fonctions, le professionnel voit tout de suite ce qui importe et offre à ses clients une détection précise et fiable. Toujours connecté pendant le travail L’App testo Thermography autorise le transfert des mesures en direct sur un Smartphone ou une tablette afin que le client les visualise en même temps. Téléobjectif interchangeable et mise au point manuelle pour un contrôle total Pour réaliser une thermographie précise des bâtiments ou d’objets éloignés, l’objectif standard 30° x 23° de la caméra thermique testo 883 est remplacable par un téléobjectif 12° x 9°. De plus, la mise au point manuelle garantit le contrôle total et des images thermiques nettes.   Avec une qualité d’image parfaite et la réalisation de rapports professionnels, la nouvelle caméra thermique testo 883, proposée seule ou en kit, constitue une véritable aide efficace pour les conseillers en rénovation énergétique.
Il y a 4 ans et 107 jours

Etude Ademe : les clés pour atteindre une rénovation performante

L’ADEME a étudié les conditions techniques permettant la rénovation des maisons individuelles au niveau Bâtiment Basse Consommation en moyenne nationale. Ce niveau, fixé par la Stratégie nationale bas carbone, est celui que doit atteindre le parc des maisons individuelles, pour respecter les objectifs de neutralité carbone à l’horizon 2050. La tendance actuelle des ménages français, analysée dans l’enquête TREMI pour la période 2016-2017, montre que 75% des travaux de rénovation en maisons individuelles n’ont pas permis de changer de classe de DPE. Il y a donc un enjeu majeur à accélérer le rythme des rénovations plus performantes. L’étude s’attache à définir les conditions techniques pour qu’une rénovation puisse être performante. Elle précise le nombre d’étapes maximum ainsi que les risques d’impasses techniques en cas de rénovation partielle. Elle s’inscrit dans le cadre du Plan de relance et du renforcement des dispositifs d’aide « MaPrimeRenov’ » et « Coup de POUCE CEE » vers les rénovations performantes diminuant à minima de 55% les consommations énergétiques. Les principaux constats de l’étude Pour les maisons individuelles datant d’avant 1982, un parcours de rénovation performante comprend nécessairement 6 postes de travaux : isolation des murs, de la toiture, du plancher bas, remplacement des menuiseries extérieures, systèmes de ventilation et de chauffage/Eau Chaude Sanitaire. L’étude pointe que la réalisation de travaux de rénovation énergétique, non coordonnés, peut conduire à des impasses techniques incompatibles avec une rénovation performante. L’étude montre aussi que l’ordonnancement des travaux est crucial pour le bon fonctionnement des systèmes de production de chauffage. La première étape doit préférentiellement viser les travaux d’isolation et de ventilation, pour éviter des pathologies et un surdimensionnement des systèmes de chauffage, grevant la performance des systèmes de production de chauffage. La rénovation performante doit privilégier les énergies renouvelables (EnR) pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire (poêle à bois, chaudières bois, pompes à chaleur, chauffe-eau solaire). Le système de chauffage choisi doit posséder un bon rendement, y compris à basse puissance puisque les besoins sont fortement réduits dans une rénovation performante. Elle doit veiller à assurer le confort et la santé des habitants en se prémunissant des conséquences d’une mauvaise ventilation, de ponts thermiques et de condensations qui peuvent provoquer le développement de moisissures et de pathologies diverses. Elle gagne pour cela à être réalisée en une seule étape et au maximum en deux ou trois grandes étapes cohérentes afin de traiter des interfaces et interactions entre postes de travaux. Elle exige d’être coordonnée par un pilote (maître d’oeuvre ou architecte, groupement d’entreprise, contractant général). Les travaux de rénovation de qualité et pensés dans leur ensemble méritent donc d’être encouragés via des aides financières attractives pour les travaux et leur conception et pilotage. Les récentes évolutions de MaPrimeRénov’ et des « coup de pouce » des Certificats d’économie d’énergie décidées dans le cadre du Plan de relance vont dans ce sens. https://www.ademe.fr/renovation-performante-etapes   Visuel : Pertes de chaleur d’une maison d’avant 1974 non isolée. Source : Guide Isoler sa maison de l’ADEME.
Il y a 4 ans et 112 jours

Les panneaux composites aluminium, une solution durable ?

Les panneaux composites aluminium ne sont pas seulement une aubaine pour les architectes et les façadiers. Cette solution, respectueuse de l’environnement, est également très convoitée pour la conception ou la rénovation de bâtiments durables. De multiples avantages Les panneaux composites aluminium sont des matériaux de plus en plus utilisés dans les projets de construction ou de rénovation de façades. Leurs nombreuses qualités séduisent aussi bien les architectes que les poseurs. Jusqu’à 66% plus léger que l’acier, l’aluminium composite est une solution idéale pour revêtir de grandes surfaces, telles que des façades. La légèreté des panneaux composites est également un atout en termes de coût financier. En effet, puisque les panneaux sont légers et faciles à transporter, le coût de mise en œuvre est relativement économique par rapport à d’autres matériaux, tels que le bardage aluminium. Le composite aluminium est aussi apprécié pour sa facilité d’entretien. Il suffit de le nettoyer une fois par an avec de l’eau claire à pression modérée. Les panneaux composites aluminium bénéficient d’une haute résistance à la corrosion et aux variations météorologiques (pluie, vent, neige…) grâce à leur couche protectrice. Leur durée de vie est supérieure à 30 ans. En cas d’incendie, ce matériau ne propage pas les flammes et ne libère pas de gaz toxiques. Enfin, l’aluminium composite offre une grande liberté architecturale. Disponibles en plusieurs coloris et avec différentes finitions, il est possible de créer des façades originales et modernes. Flexibles, les panneaux aluminium composites peuvent être pliés pour créer des formes ou pour être installés dans des endroits techniques (courbés…). Un pas en avant vers l’architecture durable Les panneaux en composite aluminium sont souvent utilisés pour les façades de bâtiments durables pour de nombreuses raisons. Un matériau recyclable Les panneaux composites en aluminium sont composés de matériaux recyclés tels que l’aluminium, le polymère et quelques minéraux. 100% recyclables, ces panneaux sont une solution durable qui conserve toutes ses qualités au fil des années. Des économies d’énergie possibles Les coûts énergétiques des bâtiments qui utilisent des panneaux composites aluminium sont également considérablement réduits. Le composite aluminium améliore l’isolation thermique des bâtiments en protégeant leur enveloppe. Cette solution est d’ailleurs très prisée par les architectes, pour des projets de construction ou de rénovation. Elle permet de diminuer la consommation énergétique des bâtiments en supprimant les ponts thermiques et en garantissant une meilleure qualité de l’air.
Il y a 4 ans et 119 jours

Manehome : un site unique de 22.400 m² pour regrouper 180 agents Enedis à Blois

Le lieu, à la Chaussée Saint-Victor près de Cap Ciné, a été choisi pour son potentiel en termes d’espace (22 400 m²) et de proximité avec l’autoroute A10. C’est clairement le choix de l’efficacité et de l’optimisation qui a été fait, choix qui se décline sur l’ensemble des points clés de ce projet.Réunir activités industrielles et tertiairesLe site a été conçu en arc de cercle, pour masquer l’intérieur, la cour et les équipements.La mixité des activités se traduit dans le concept même du bâtiment : une structure béton pour les bureaux et l’accueil du public, associée à une ossature métallique pour les locaux techniques. Un concept créé par Apside Architecture, qui allie les dimensions esthétiques et fonctionnelles, et qui a mis le cabinet de maîtrise d’œuvre du chantier, Manehome, face à des défis techniques de taille.3 défis techniques majeurs à releverSi le maître d’œuvre a un important rôle de coordination des équipes et d’organisation du chantier, il a en amont une mission délicate : apporter des solutions techniques qui vont permettre de concrétiser le concept architectural.La “signature” de ce bâtiment : une façade de 13 m de haut en béton apparentL’entrée principale donne sur un immense mur en béton gris, brut et épuré. Ce type de finition impose une solution technique innovante, le bétomur pour un rendu parfait. Ce sontdes murs béton préfabriqués avec isolation intégrée ce qui les rends ultra-performantsrépondant aux exigences de la RT 2012 et anticipant les futures réglementations de laRT 2020. Anticorrosion et étanche à l’air, le mur est également adapté à toute zone de sismicité 1 à 5. Les différents éléments, fabriqués hors site, sont assemblés sur place. Le coulage du béton vient consolider l’ensemble. Un assemblage qui demande une manipulation pointilleuse des différents modules, mais permet un important gain de temps sur le chantier et d’être moinstributaire des intempéries. Ces éléments, préfabriqués en région parisienne par SORIBA,sont en effet produits en intérieur, dans des conditions de travail optimales. Chaque élément est composé de deux parois béton préfabriquées servant de coffrage, d’une paroi isolante assurant l’isolation thermique par l’extérieur et d’un vide central permettant le coulage d’un noyau béton tout en limitant fortement les pertes thermiques.Faire cohabiter la structure béton et la structure à ossature métalliqueDifférentes solutions de jonction des structures en béton et en métal ont été étudiées enamont pour permettre d’assurer la jonction entre ses deux matériaux. C’est un véritabledilemme : l’évolution dans le temps des deux types de matériaux est très différente, ce qui ne permet pas de les lier. Pour autant, l’étanchéité doit être parfaite. Assurer la jonction entre l’ossature métallique bardée et les bétomurs doit donc être réalisé avec la plus grande rigueur afin d’assurer le calfeutrement entre les diverses zones. Pour optimiser cette jonction, bureaux d’études et entreprises intervenantes ont travaillé ensemble et choisi de mettre en attente les deux structures pour se coordonner et les achever simultanément, et non l’une avant l’autre. Finir l’une avant l’autre aurait pu créer des ponts thermiques et des défauts d’étanchéité.Pour prendre ce type de décision et coordonner les parties prenantes, il faut un véritable esprit collectif sur le chantier, une exigence qualité commune et un bon chef d’orchestre. C’est la mission du maître d’œuvre, Manehome, cabinet créé par Anthony Conte en 2014 qui relève quotidiennement ce type de défis : optimiser les solutions techniques, coordonner les intervenants sur les chantiers et assurer un véritable suivi sur le terrain.Aménagement modulaire des cloisons avec un haut niveau de traitement acoustiqueLe bâtiment est réalisé avec un niveau d’isolation acoustique élevé, rarement misen œuvre dans des locaux tertiaires. Ce qui a nécessité une étude préalable complexe.Le défi est cette fois de combiner un haut niveau d’isolation acoustique, avec des cloisons mobiles en verre qui permettent de redistribuer totalement les espaces de bureau et de réunion en cas de besoin et les réseaux électriques et informatiques qui passent en faux-plafond et faux-plancher.Il n’y a pas de cas préexistant auquel se référer. La solution a donc été tout d’abord calculée de manière théorique, puis mise en œuvre et testée dans une salle témoin. Les tests acoustiques ont validé la solution technique qui a alors été déployée sur les 3 450 m² de la partie tertiaire.Favoriser l'emploi local, les matériaux et les équipements françaisEnedis n’a pas vocation à être propriétaire de ses locaux. C’est donc un investisseur privé qui en est propriétaire et a délégué la construction au promoteur Essor. Essor a confié une partie de la maîtrise d’œuvre à Manehome, qui a piloté le chantier et coordonné les intervenants. Une vigilance toute particulière a été apportée au choix des prestataires, aussi bien pour les travaux que les équipements et matériaux. Sur le rapport qualité / prix de leur prestation, mais également sur leur proximité. Dans une logique responsable, les intervenants étaient des entreprises locales, de Blois ou des alentours, sauf pour deux prestations très spécifiques (faux-plancher et charpente couverture). Les matériaux et équipements made in France ont été privilégiés. Plus d’une centaine de personnes ont travaillé sur ce chantier pendant un an et demi, apportant une belle dynamique à l’emploi local et aux emplois induits.La maîtrise d'œuvre en univers incertainLe contraste est toujours saisissant entre la rigueur dont doit faire preuve une équipede maîtrise d’œuvre sur un projet de cette dimension et la diversité des aléas qui vontvenir perturber le chantier. Malgré une organisation méthodique et précise, le maître d’œuvre est amené à s’adapter sans cesse à des circonstances extérieuresinattendues. Un métier qui nécessite des nerfs en acier, surtout en 2020. Ainsi ce chantier a, tour à tour été : interrompu par un obus découvert sur site et qu’il a fallu désamorcer ; bouleversé par un accident quia fait quatre blessés avec arrêt immédiat des travaux par sécurité puis réorganisation ;ralentit par des intempéries ; et finalement bloqué par le confinement de mars-avril 2020.La crise sanitaire a nécessité une réinvention totale de l’organisation du travail sur siteManehome a pu reprendre les travaux dès la fin avril, en réorganisant totalement lesinterventions et le planning. Le respect des gestes barrière a limité le nombre d’intervenants en simultané sur le site. Pour optimiser une nouvelle organisation dans un contexte totalement inédit, il fallait : - bien connaître les spécificités des métiers de chacun pour proposer une organisation agileet efficace,- savoir conjuguer les impératifs du maître d’ouvrage et les contraintes multiples de laconstruction,- savoir parler le langage du client et celui du bâtiment, être la passerelle entre ces deuxunivers et maintenir le chantier dans un délai raisonnable sans compromis sur la qualité deréalisation.“Face à la crise Covid, il a été salvateur d’avoir des intervenants de proximité. Le planning est au cœur de leur métier et tout était à repenser. Cela les a amenés à prendre plus de responsabilités et d’initiatives, en relais avec nous qui avions une mobilité limitée en raison des restrictions de déplacement. La confiance a été primordiale.” Benoit Leroux, Directeur Travaux de la Maîtrise d’Ouvrage, groupe Essor
Il y a 4 ans et 123 jours

En République démocratique du Congo, le président Tshisekedi inaugure ses premiers grands travaux

Après avoir sifflé début décembre la fin de la coalition avec son prédécesseur Joseph Kabila, "Fatshi béton" (son surnom) a ouvert à la circulation automobile quatre ponts routiers supposés faciliter le trafic dans la mégapole de plus de 10 millions d'habitants, sur fond de bouchons aggravés par un couvre-feu décrété le 12 décembre.Unanimement connus en RDC sous le nom de "sauts de mouton", ces échangeurs routiers qui enjambent des carrefours très fréquentés sont la vitrine du "programme d'urgence des 100 jours" lancés par le président de la République peu après son arrivée au pouvoir début 2019.Leur inauguration intervient alors que la mégapole en croissance constante vit à l'heure du couvre-feu (21h00-05h00) décrété par le président face à la recrudescence des cas de Covid-19 dans la capitale.Ce couvre-feu aggrave le trafic automobile aux heures de pointe. Dès le milieu de l'après-midi, des milliers de Kinois quittent leur lieu de travail dans les communes du centre-ville (Gombe, Ngaliema...) pour regagner leur domicile dans les zones périphériques (Limete, Ndjili...) pour un long périple. Pris d'assaut, les transports en commun ont tendance à augmenter leurs tarifs.Pendant deux ans, la circulation, déjà chaotique avec l'augmentation du parc automobile depuis quinze ans, a été ralentie par les chantiers des sauts de mouton, notamment sur la route de l'aéroport."L'attente était trop longue. On est fatigué. Cette cérémonie de sauts de mouton manque d'intérêt pour nous parce que le sacrifice que nous avons enduré ne peut réjouir personne", s'est plaint Jean Kabulo, vendeur ambulant rencontré dans la commune de la Gombe, où une tribune attendait le président de la République.SabotageDans un pays gangrené par la corruption, où la politique se confond avec l'affairisme, les "grands travaux" du président ont été marqués par une retentissante affaire de détournement de fonds.Son directeur de cabinet et principal allié politique, Vital Kamerhe, a été condamné à 20 ans de prison avec un entrepreneur libanais. Au terme d'une instruction et d'un procès bouclés entre avril et juin de cette année, ils ont été accusés du détournement d'environ 50 millions de dollars dans le financement d'un autre volet des grands chantiers, la construction de maisons pré-fabriquées.Avec l'inauguration des sauts de mouton, "Fatshi béton" conclut un mois de décembre mené tambour battant qui a redistribué les cartes du pouvoir en RDC, plus grand pays d'Afrique subsaharienne.Le 6 décembre, le chef de l'État a annoncé la fin de la coalition qu'il formait avec son prédécesseur Joseph Kabila, toujours majoritaire au Parlement.Dans la foulée, Tshisekedi a demandé une nouvelle majorité "d'Union sacrée" au Parlement pour soutenir sa politique de réformes - dont la lutte contre la corruption - soutenue par l'Union européenne et les États-Unis.Sur fond d'achat présumé des voix, le camp du président a enregistré des ralliements qui lui ont permis de renverser la présidente pro-Kabila de l'Assemblée, Jeanine Mabunda.En face, l'ancien président Joseph Kabila reste quasi-muet face à l'offensive de son successeur et les premières divisions et défections au sein de sa machine de guerre politique, le Front commun pour le Congo (FCC).Lundi, le président Tshisekedi en position de force a remis à leur place les gouverneurs des 26 provinces du pays très majoritairement acquis à l'ancien président Kabila."Les actes de sabotage des nouvelles politiques publiques que je compte impulser pour le reste de mon quinquennat ne seront ni tolérés, ni impunis", leur a-t-il lancé."C'est ainsi que sera sanctionnée avec sévérité toute tentative de déstabilisation du pays à partir d'une gouvernance provinciale quelle qu'elle soit", a-t-il ajouté.
Il y a 4 ans et 134 jours

Appel à projets pour une surveillance intelligente des ponts

Le centre d'études Cerema (1) lance un appel à projets "ponts connectés" visant à recenser les dernières innovations pour surveiller intelligemment l'état des ouvrages d'art.
Il y a 4 ans et 135 jours

Quels sont les avantages réels d’une rénovation du sol de la maison ?

La plupart des rénovations pour économiser de l’énergie concernent le plus souvent les murs, la toiture ou encore les portes et les fenêtres. Cependant, le sol est aussi remis en cause dans la déperdition thermique. La perte de chaleur par le plancher représente en effet 10% des dépenses en chauffage. Ce chiffre non négligeable mérite plus d’attention. L’isolation du sol aide ainsi à réduire la facture énergétique et mérite d’être notifiée auprès des propriétaires. Voici les avantages de ce type de travaux. Pour améliorer l’isolation d’une maison La réduction de la consommation énergétique commence par une meilleure isolation. La déperdition thermique contribue largement à augmenter la facture d’énergie. Elle résulte d’une mauvaise isolation, y compris au niveau du sol. Des travaux d’isolation du plancher ont des conséquences positives sur un logement. Les occupants profitent d’un confort optimal. Cette opération permet aussi de réduire de 10% la facture. Il faut savoir que la plus grande partie des dépenses énergétiques est attribuée au chauffage. Une isolation par le sol évite aussi les remontées d’humidité qui provoque une dégradation de la qualité de l’air. Elle élimine en sus les ponts thermiques. Il est ainsi crucial d’offrir des conseils pour améliorer l’isolation de votre sol afin de supprimer une fuite thermique. Comment aider un foyer à réussir une rénovation du sol ? Le travail d’un artisan du bâtiment ne se limite pas à exécuter les travaux désirés par son client. Il doit aussi conseiller pour que la rénovation puisse produire les effets escomptés, à savoir le confort et la réduction de la facture énergétique. Pour réussir la rénovation, le propriétaire devra faire attention aux points suivants : Choisir le bon isolant Un isolant performant possède de bonnes qualités thermiques. Cette performance se traduit par la capacité thermique de l’isolant. Opter pour un isolant avec une excellente conductivité Un bon isolant diffuse correctement la chaleur. Cet élément doit être pris en compte afin d’obtenir une bonne répartition de la chaleur ou de la fraîcheur. Mettre en place la bonne épaisseur Chaque pièce présente ses propres spécificités et pour obtenir le résultat espéré, il faut aussi évaluer la bonne épaisseur d’isolant. Vérifier la résistance à la compression Un isolant qui présente une faible résistance à la compression perd rapidement en efficacité. Sous l’effet d’une charge élevée, celui-ci a tendance se tasser. Par conséquent, il n’assure plus son rôle d’isolant. D’autres avantages liés à la rénovation du sol L’isolation du sol fournit d’autres avantages, autre que la réduction de la facture d’énergie comme : Un sol plus étanche Une rénovation du sol permet au propriétaire de choisir un isolant adapté à chaque pièce, en concertation avec l’artisan. Une salle d’eau nécessite par exemple un isolant qui présente une excellente résistance à l’humidité. Le plancher assure ainsi une meilleure étanchéité et préserve également le revêtement. Une pièce plus confortable Un sol rénové est un sol capable de stocker la chaleur ou la fraîcheur, malgré les variations thermiques à l’extérieur. Il maintient la pièce à une bonne température. De plus, il apporte une meilleure isolation sonore. Cette opération est aussi une occasion de rendre le plancher plus esthétique, en accord avec les tendances du moment.
Il y a 4 ans et 135 jours

L'Etat débloque des fonds pour évaluer les ponts des petites communes

L'Etat va débloquer 40 millions d'euros pour que les petites communes puissent recenser et évaluer leurs ponts, dont certains sont en mauvais état, a annoncé l'Etat.
Il y a 4 ans et 147 jours

Des maisons passives en Ytong Energie à Carquefou au sein du plus grand écoquartier de France

Plus de 600 logements y ont déjà vu le jour. Afin de généraliser le label Passivhaus, qui garantit au bâtiment une bonne qualité de l'air et un confort thermique été comme hiver, l'opération a été confiée à l'aménageur Loire-Atlantique Développement - SELA, qui s'est associé au bureau d'études TY eco², spécialisé dans la formation et l'accompagnement en construction durable et passive.Au sein de cet ambitieux programme respectueux de l'environnement et peu énergivore, lors de la première tranche de travaux, une trentaine de parcelles ont été acquises pour la construction de maisons individuelles. Parmi elles, quatre ont été réalisées en béton cellulaire Ytong Energie 25, une solution aux excellentes performances thermiques et d'étanchéité à l'air pour atteindre les niveaux passifs.D'une surface de 100 à 110 m² au sol et construites sur 2 niveaux, les quatre maisons requéraient environ 150 m² de béton cellulaire chacune. Propriétaires et constructeur, sur les conseils de l'aménageur et de TY eco², ont opté pour les blocs Ytong Energie 25.YTONG ENERGIE 25 : Des murs très isolants compatibles avec la construction passiveMartial Chevalier, gérant de TY eco², souligne la particularité de l’écoquartier de La Fleuriaye :« Cet ensemble de grande ampleur de bâtiments labellisés passifs inclut un lotissement libre de constructeurs. Ce choix audacieux a multiplié le nombre d’intervenants, de techniques, d’architectures, et a contribué à créer toute la richesse du quartier. Maisons en ossature bois, en voile béton banché ou en béton cellulaire... Les propriétaires de chaque terrain ont dû trouver les compétences d’un maître d’œuvre ou d’un architecte habilité par nos soins. Nous accompagnons donc les propriétaires du début à la fin pour répondre scrupuleusement au cahier des charges que nous avions écrit avec l’aménageur pour cet écoquartier. Au-delà du prérequis de la RT 2012 sur le territoire français, nous sommes allés chercher la performance passive avec des consommations et besoins en chauffage très faibles. »Performances thermiques et étanchéitéD’une excellente inertie thermique et offrant un très bon déphasage, qui permet de protéger de la chaleur en été et de la conserver l’hiver, le béton cellulaire est un matériau de premier choix dans la conception d’habitats passifs et bioclimatiques. Il forme une enveloppe thermique très isolante. Ainsi, les blocs Ytong Energie 25 offrent une valeur R = 2,78 m2 K/W pour un maximum de confort et un minimum de dépenses énergétiques.Pour Martial Chevalier de TY eco² : « Les blocs Ytong Energie 25 présentent l’avantage d’être très isolants dans la matière, ce qui les rend extrêmement précieux pour le travail de gestion des ponts thermiques. »Les murs Ytong Energie sont parfaitement étanches à l’air : pleins et massifs. Leur mise en œuvre collée à joint mince évite ainsi les déperditions d’énergie. Une large gamme d’accessoires complète ce système constructif : planelles, coquilles U et linteaux, coffres de volet roulant et colles permettent de traiter les ponts thermiques et de renforcer l’étanchéité et l’isolation du mur par l’extérieur.Clément Sikorski, propriétaire d’une des maisons passives en béton cellulaire de la Fleuriaye, témoigne des atouts de cette solution constructive : « Notre maison est certifiée passive puisque les tests d’étanchéité effectués avec TY eco² ont été passés avec succès. Nous y habitons depuis plus d’un an. Nous n’avons pas de chauffage, hormis un poêle à pellets qui nous permet d’ajuster la température quand on revient de vacances à Noël et qu’il fait vraiment froid, par exemple. C’est un chauffage de secours, qui crée une ambiance agréable l’hiver mais on ne s’en sert pas au quotidien. En une heure, on gagne 3 degrés. L’avantage d’une maison comme la nôtre, c’est sa grande inertie : la maison reste toujours dans la même fourchette de températures. On descend rarement sous 19° et en cas de canicule on ne dépasse pas le 24-25° C. »Un matériau propre et sainComposé de substances minérales naturelles, le béton cellulaire est durable, écologique et propre. Fabriqué à partir de matière première naturelles, le béton cellulaire est durable, écologique et présente une empreinte carbone réduite. Incombustible, ininflammable, ce matériau bénéficie d’une performance meilleure qu’A+. La perspirance, associée à une très bonne isolation, supprime les points froids et empêche le développement des moisissures.Murs Ytong à isolation rapportée : une excellente alternative pour la construction passiveOutre ses qualités de résistance thermique et d’isolation, les murs Ytong en béton cellulaire sont un mode constructif vertueux et très simples à mettre en œuvre. Ils présentent une alternative intéressante aux maisons à ossature bois pour les projets d’habitat passif. Madame Stefan, dont la maison est en cours de construction, raconte : « Nous n’avions pas envie d’une maison en bois, parce qu’on venait d’un quartier où les maisons à bardage bois vieillissaient très mal. Mon frère, qui travaille dans le bâtiment, m’a vanté les propriétés du béton cellulaire en termes d’isolation et nous avons suivi l’avis du constructeur. » Bénéficiant d’une bonne capacité portante, les blocs en béton cellulaire sont ergonomiques et légers (18 kg contre 22 pour un parpaing classique). De plus, ils sont plus faciles à travailler, à scier et à poser.Martial Chevalier, séduit par le béton cellulaire depuis une vingtaine d’années, développe : « Au toucher, le matériau est très agréable. Sa nature isolante permet un travail mécanique structurel de l’ouvrage couplé avec l’isolation, le tout avec des composants intéressants. Les blocs offrent des libertés d’un point de vue architectural puisqu’on les utilise en lieu et place des autres systèmes. La technique constructive du béton cellulaire s’apparente davantage aux savoir-faire des maçons actuels que celle de l’ossature bois. »Ronan M., conducteur de travaux du Cmiste Comeca, qui s’est chargé de la construction de deux des maisons, ajoute : « Sur le plan thermique, le produit est excellent, il dépasse très largement la brique et le parpaing. Ces maisons passives ont des normes très exigeantes par rapport à celles qui s’appliquaient sur les constructions il y a une dizaine d’années, le béton cellulaire s’y adapte très bien. »Raoul Féjean, ingénieur commercial chez Xella, qui a suivi le projet de La Fleuriaye, précise : « Aujourd’hui, pour réaliser des maisons passives, les projets doivent avoir un U paroi < 0,15W/m²K. Pour atteindre ces performances, le béton cellulaire utilisé en solution ITI comme à la Fleuriaye offre un rapport qualité-prix très intéressant. Avec des blocs Ytong Energie 25 et un isolant de 160 derrière, le coût au m² se situe entre 130 et 150 euros. Pour une paroi passive sur ce marché-là, c’est un tarif très économique. »Enfin, la légèreté du matériau constitue également un atout de taille pour la santé des équipes chargées de la mise en œuvre.A savoir :Le label PassivHaus comprend 4 critères principaux. Il s’agit de réaliser des constructions qui respectent les paramètres suivants :Un besoin de chauffage inférieur à 15 kWh d’énergie utile par m² de surface de référence énergétique et par an.Une consommation totale en énergie primaire (tous usages, électroménager inclus) inférieure à 120 kWh par m² de surface de référence énergétique par an.Une perméabilité à l’air de l’enveloppe mesurée sous 50 Pascals de différence de pression inférieure ou égale à 0,6 par heure.Une fréquence de surchauffe intérieure (> à 25°C) inférieure à 10 % des heures de l’année. Les murs en béton cellulaire Ytong contribuent à l’obtention du label PassivHaus grâce à ses performances en termes de résistance thermique, de traitement de ponts thermiques, d’étanchéité à l’air et de confort thermique.Projet La FleuriayeFiche constructive des maisons individuelles en béton cellulaireLieu : Carquefou (44)Aménageur : Loire-Atlantique Développement SELAConstructeur – bureau d’études : Comeca – Ty éco²Superficie : 100-160 m²/maisonSystème constructif : béton cellulaire Xella avec ITIIsolation murs : laine minérale 14 cmIsolation toiture : laine minérale 40 cmIsolation planchers : UP 23 + isolant polyuréthane 10 cmIsolation de l’enveloppe : U ≤ 0,15W/m²KMenuiseries/vitrages : Mixte pvc/alu ou bois/alu avec triplevitrage Uw mise en œuvre ≤ 0,85W/m²KBesoins de chauffage PHPP : ≤ 15KWh/m².anBesoins totaux en énergie primaire PHPP : ≤ 120kWh/m².anTest d’étanchéité à l’air n50 : ≤ 0,6 h-1Ventilation : VMC double flux rendement ≥ 0,75%P≤ 0,45W/M³/hChauffage : bouches chauffantesChauffage d’appoint : poêle à granulés (option)ECS : Ballon thermodynamiqueCoût : hors panneaux solaires entre 1.800 et 2.200 euros/m² (avec panneaux solaires : entre 2.200 et 2.600)
Il y a 4 ans et 148 jours

Ponts et voies fluviales : le plan de relance en soutien pour 2021

INFRASTRUCTURES. En cette fin d'année 2020, l'Etat multiplie les annonces pour impulser ou renforcer des travaux sur les ponts et les voies fluviales. Entre Programme national Ponts en deux volets, et mobilisation d'une enveloppe de 175 millions d'euros pour le fluvial, Batiactu fait le point.
Il y a 4 ans et 154 jours

Appel à projets « Ponts connectés »

« Ponts connectés » est un appel à projets lancé par le Cerema pour soutenir l&#8217;innovation en matière de surveillance des ponts. Jusqu’au 14 février 2021. L&#8217;état des ponts constitue un enjeu majeur de sécurité pour les usagers. Le rapport d&#8217;information du Sénat rendu en juin 2019 souligne le vieillissement de notre patrimoine et la [&#8230;] L’article Appel à projets « Ponts connectés » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 155 jours

Knauf Insulation présente la nouvelle Suspente RT pour tous les types de charpentes bois

La solution Suspente RTLa nouvelle Suspente RT convient à tous les types de charpentes bois, traditionnelles comme industrielles. Elle est utilisable en neuf comme en rénovation. Les Suspentes RT MAX et RT PLUS laissent place à la Suspente RT. Ainsi, tous les avantages des systèmes précédents sont conservés pour une pose plus simple.Cette nouvelle gamme de Suspentes RT est résistante grâce à la présence d’un insert métallique de diamètre8 mm et constitue une véritable barrière contre les ponts thermiques, car fabriquée en polyamide armé.4 longueurs sont proposées pour s’adapter selon les besoins des chantiers. La nouvelle Suspente RT assure un embrochage simple de l’isolant et sa tête vissable s’associe parfaitement aux systèmes d’étanchéité à l’air et à la vapeur d’eau de nos gammes RT MAX et RT PLUS.La Suspente RT c'est :Une nouvelle innovationUn nouveau mode de mise en œuvreUn nouveau brevetUne nouvelle couleurUn nouveau conditionnementKnauf Insulation fait de l’innovation une de ses priorités pour adapter au plus près ses produits et être à l’écoute des besoins des professionnels.Sans oublier pour la réalisation de plénums techniques, la Rallonge RT, compatible avec la Suspente RT. La Rallonge RT est l’accessoire indispensable à la réalisation de plénums techniques.Pour rappel, Knauf Insulation vous l’annonçait le mois dernier, le nouvel appui Acoustizap 2 NEO pour le doublage des murs sur ossature est disponible. Il promet une réelle économie de temps pour la réalisation des travaux, en neuf comme en rénovation.
Il y a 4 ans et 155 jours

Ouvrages d'art : le Gouvernement propose un soutien en ingénierie aux petites communes

SÉCURITE DES PONTS. L'Etat mobilise une enveloppe de 40 millions d'euros dans le cadre du plan de relance afin que ces collectivités locales apprennent à mieux connaître les ouvrages dont elles ont la charge.
Il y a 4 ans et 155 jours

L'Etat débloque 40 M€ pour l'évaluation des ponts des petites communes

Tirés du plan de relance, ces 40 millions d'euros d'ingénierie permettront d'"aider les petites communes à connaître leur patrimoine d'ouvrages d'art", sous la houlette du Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema).
Il y a 4 ans et 155 jours

Xella, solution maison passive : Des maisons passives en Ytong Energie au sein du plus grand écoquartier de France à Carquefou

Située en proche périphérie de Nantes, la ville de Carquefou (44) accueille l&rsquo;écoquartier de La Fleuriaye. Avec de nombreux bâtiments associant du collectif à de la maison individuelle, un Institut médico-éducatif (IME), un centre équestre et 5 000 m² de tertiaire, ce programme constitue le plus grand ensemble certifié Bâtiment passif de France et d&rsquo;Europe. Plus de 600 logements y ont déjà vu le jour. Afin de généraliser le label Passivhaus, qui garantit au bâtiment une bonne qualité de l&rsquo;air et un confort thermique été comme hiver, l&rsquo;opération a été confiée à l&rsquo;aménageur Loire-Atlantique Développement &#8211; SELA, qui s&rsquo;est associé au bureau d&rsquo;études TY eco2, spécialisé dans la formation et l&rsquo;accompagnement en construction durable et passive. Au sein de cet ambitieux programme respectueux de l&rsquo;environnement et peu énergivore, lors de la première tranche de travaux, une trentaine de parcelles ont été acquises pour la construction de maisons individuelles. Parmi elles, quatre ont été réalisées en béton cellulaire Ytong Energie 25, une solution aux excellentes performances thermiques et d&rsquo;étanchéité à l&rsquo;air pour atteindre les niveaux passifs. D&rsquo;une surface de 100 à 110 m2 au sol et construites sur 2 niveaux, les quatre maisons requéraient environ 150 m2 de béton cellulaire chacune. Propriétaires et constructeur, sur les conseils de l&rsquo;aménageur et de TY eco2, ont opté pour les blocs Ytong Energie 25. YTONG ENERGIE 25 : Des murs très isolants compatibles avec la construction passive Martial Chevalier, gérant de TY eco2, souligne la particularité de l&rsquo;écoquartier de La Fleuriaye : « Cet ensemble de grande ampleur de bâtiments labellisés passifs inclut un lotissement libre de constructeurs. Ce choix audacieux a multiplié le nombre d&rsquo;intervenants, de techniques, d&rsquo;architectures, et a contribué à créer toute la richesse du quartier. Maisons en ossature bois, en voile béton banché ou en béton cellulaire&#8230; Les propriétaires de chaque terrain ont dû trouver les compétences d&rsquo;un maître d&rsquo;œuvre ou d&rsquo;un architecte habilité par nos soins. Nous accompagnons donc les propriétaires du début à la fin pour répondre scrupuleusement au cahier des charges que nous avions écrit avec l&rsquo;aménageur pour cet écoquartier. Au-delà du prérequis de la RT 2012 sur le territoire français, nous sommes allés chercher la performance passive avec des consommations et besoins en chauffage très faibles. » Performances thermiques et étanchéité D&rsquo;une excellente inertie thermique et offrant un très bon déphasage, qui permet de protéger de la chaleur en été et de la conserver l&rsquo;hiver, le béton cellulaire est un matériau de premier choix dans la conception d&rsquo;habitats passifs et bioclimatiques. Il forme une enveloppe thermique très isolante. Ainsi, les blocs Ytong Energie 25 offrent une valeur R = 2,78 m² K/W pour un maximum de confort et un minimum de dépenses énergétiques. Pour Martial Chevalier de TY eco2 « Les blocs Ytong Energie 25 présentent l&rsquo;avantage d&rsquo;être très isolants dans la matière, ce qui les rend extrêmement précieux pour le travail de gestion des ponts thermiques. » Les murs Ytong Energie sont parfaitement étanches à l&rsquo;air : pleins et massifs. Leur mise en œuvre collée à joint mince évite ainsi les déperditions d&rsquo;énergie. Une large gamme d&rsquo;accessoires complète ce système constructif : planelles, coquilles U et linteaux, coffres de volet roulant et colles permettent de traiter les ponts thermiques et de renforcer l&rsquo;étanchéité et l&rsquo;isolation du mur par l&rsquo;extérieur. Clément Sikorski, propriétaire d&rsquo;une des maisons passives en béton cellulaire de la Fleuriaye, témoigne des atouts de cette solution constructive : « Notre maison est certifiée passive puisque les tests d&rsquo;étanchéité effectués avec TY eco2 ont été passés avec succès. Nous y habitons depuis plus d&rsquo;un an. Nous n&rsquo;avons pas de chauffage, hormis un poêle à pellets qui nous permet d&rsquo;ajuster la température quand on revient de vacances à Noël et qu&rsquo;il fait vraiment froid, par exemple. C&rsquo;est un chauffage de secours, qui crée une ambiance agréable l&rsquo;hiver mais on ne s&rsquo;en sert pas au quotidien. En une heure, on gagne 3 degrés. L&rsquo;avantage d&rsquo;une maison comme la nôtre, c&rsquo;est sa grande inertie : la maison reste toujours dans la même fourchette de températures. On descend rarement sous 19° et en cas de canicule on ne dépasse pas le 24-25° C. » Un matériau propre et sain Composé de substances minérales naturelles, le béton cellulaire est durable, écologique et propre. Fabriqué à partir de matière première naturelles, le béton cellulaire est durable, écologique et présente une empreinte carbone réduite. Incombustible, ininflammable, ce matériau bénéficie d&rsquo;une performance meilleure qu&rsquo;A+. La perspirance, associée à une très bonne isolation, supprime les points froids et empêche le développement des moisissures. Murs Ytong à isolation rapportée : une excellente alternative pour la construction passive Outre ses qualités de résistance thermique et d&rsquo;isolation, les murs Ytong en béton cellulaire sont un mode constructif vertueux et très simples à mettre en œuvre. Ils présentent une alternative intéressante aux maisons à ossature bois pour les projets d&rsquo;habitat passif. Madame Stefan, dont la maison est en cours de construction, raconte : « Nous n&rsquo;avions pas envie d&rsquo;une maison en bois, parce qu&rsquo;on venait d&rsquo;un quartier où les maisons à bardage bois vieillissaient très mal. Mon frère, qui travaille dans le bâtiment, m&rsquo;a vanté les propriétés du béton cellulaire en termes d&rsquo;isolation et nous avons suivi l&rsquo;avis du constructeur. » Bénéficiant d&rsquo;une bonne capacité portante, les blocs en béton cellulaire sont ergonomiques et légers (18 kg contre 22 pour un parpaing classique). De plus, ils sont plus faciles à travailler, à scier et à poser. Martial Chevalier, séduit par le béton cellulaire depuis une vingtaine d&rsquo;années, développe : « Au toucher, le matériau est très agréable. Sa nature isolante permet un travail mécanique structurel de l&rsquo;ouvrage couplé avec l&rsquo;isolation, le tout avec des composants intéressants. Les blocs offrent des libertés d&rsquo;un point de vue architectural puisqu&rsquo;on les utilise en lieu et place des autres systèmes. La technique constructive du béton cellulaire s&rsquo;apparente davantage aux savoir-faire des maçons actuels que celle de l&rsquo;ossature bois. » Ronan M., conducteur de travaux du Cmiste Comeca, qui s&rsquo;est chargé de la construction de deux des maisons, ajoute : « Sur le plan thermique, le produit est excellent, il dépasse très largement la brique et le parpaing. Ces maisons passives ont des normes très exigeantes par rapport à celles qui s&rsquo;appliquaient sur les constructions il y a une dizaine d&rsquo;années, le béton cellulaire s&rsquo;y adapte très bien. » Raoul Féjean, ingénieur commercial chez Xella, qui a suivi le projet de La Fleuriaye, précise : « Aujourd&rsquo;hui, pour réaliser des maisons passives, les projets doivent avoir un U paroi < 0,15W/m2K. Pour atteindre ces performances, le béton cellulaire utilisé en solution ITI comme à la Fleuriaye offre un rapport qualité-prix très intéressant. Avec des blocs Ytong Energie 25 et un isolant de 160 derrière, le coût au m2 se situe entre 130 et 150 euros. Pour une paroi passive sur ce marché-là, c&rsquo;est un tarif très économique. » Enfin, la légèreté du matériau constitue également un atout de taille pour la santé des équipes chargées de la mise en œuvre. A savoir : Le label PassivHaus comprend 4 critères principaux. Il s&rsquo;agit de réaliser des constructions qui respectent les paramètres suivants : • Un besoin de chauffage inférieur à 15 kWh d&rsquo;énergie utile par m² de surface de référence énergétique et par an. • Une consommation totale en énergie primaire (tous usages, électroménager inclus) inférieure à 120 kWh par m² de surface de référence énergétique par an. • Une perméabilité à l&rsquo;air de l&rsquo;enveloppe mesurée sous 50 Pascals de différence de pression inférieure ou égale à 0,6 par heure. • Une fréquence de surchauffe intérieure (inférieur à 25°C) inférieure à 10 % des heures de l&rsquo;année. Les murs en béton cellulaire Ytong contribuent à l&rsquo;obtention du label PassivHaus grâce à ses performances en termes de résistance thermique, de traitement de ponts thermiques, d&rsquo;étanchéité à l&rsquo;air et de confort thermique. PROJET LA FLEURIAYE Fiche constructive des maisons individuelles en béton cellulaire Lieu : Carquefou (44) Aménageur : Loire-Atlantique Développement SELA Constructeur &#8211; bureau d&rsquo;études : Comeca &#8211; Ty éco 2 Superficie : 100-160 m2/maison Système constructif : béton cellulaire Xella avec ITI Isolation murs : laine minérale 14 cm Isolation toiture : laine minérale 40 cm Isolation planchers : UP 23 + isolant polyuréthane 10 cm Isolation de l&rsquo;enveloppe : U  inférieur/égal 0,15W/m2K Menuiseries/vitrages : Mixte pvc/alu ou bois/alu avec triple vitrage Uw mise en œuvre inférieur/égal 0,85W/m2K Besoins de chauffage PHPP : inférieur/égal 15KWh/m2.an Besoins totaux en énergie primaire PHPP : inférieur/égal 120kWh/m2.an Test d&rsquo;étanchéité à l&rsquo;air n50 :  inférieur/égal 0,6 h-1 Ventilation : VMC double flux rendement supérieur/égal 0,75%    P inférieur/égal 0,45W/M3/h Chauffage : bouches chauffantes Chauffage d&rsquo;appoint : poêle à granulés (option) ECS : Ballon thermodynamique Coût : hors panneaux solaires entre 1 800 et 2 200 euros/m2 (avec panneaux solaires : entre 2 200 et 2 600) TY eco2 ZA La Touche &#8211; 35890 Bourg des Comptes Tél : 0299521438 &#8211; contact@tyeco2.com www.tyeco2.com
Il y a 4 ans et 168 jours

Une isolation efficace et performante des toitures végétalisées ou photovoltaïques

Rock Up C et Rockacier C, la réponse aux exigences de tous les types de toitures terrassesPour une isolation optimale des toitures végétalisées ou photovoltaïques, il est important de choisir un isolant performant et durable.Les solutions d'isolation ROCKWOOL couvrent tous les types de terrasses : bois, acier ou béton.Toitures terrasses inaccessibles, application zones techniques, toitures photovoltaïques ou végétalisées, TAN standard ou TAN grande portée, membrane bitumineuse ou synthétique, étanchéité soudée en plein ou fixée mécaniquement, étanchéité apparente ou couverture métallique… Quelles que soient les spécificités techniques et règlementaires, les produits ROCKWOOL seront parfaitement adaptés.Sécurité et performances techniques, acoustiques et mécaniquesLes solutions ROCKWOOL allient toutes les qualités nécessaires pour une isolation sans faille : sécurité incendie maximale, performances thermiques et acoustiques exceptionnelles, très bonnes performances mécaniques et stabilité dimensionnelle dans le temps.Autres points forts : outre leur excellent comportement à l'eau, avec Rock Up C et Rockacier C, il n'y a pas de création de ponts thermiques à la jonction entre panneaux et la conductivité thermique reste stable dans le temps.Réduisez votre facture énergétiqueAvec 43 % de la consommation énergétique et 23 % des émissions de CO2, les bâtiments représentent un enjeu majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. Optez pour les solutions d'isolation ROCKWOOL pour vos toitures terrasses : faites des économies d'énergie tout en limitant les émissions de dioxyde de carbone.Sérénité et tranquillité à la cléIsoler ses bâtiments efficacement, c'est bien ; dans la durée c'est encore mieux.ROCKWOOL attache une importance particulière à la durabilité et garantit à ce titre trois performances essentielles pendant 25 ans :Performance thermiqueStabilité dimensionnellePerformance au feuAvec les solutions ROCKWOOL, l'isolation thermique de vos toitures terrasses reste optimale malgré les années qui passent.En savoir plus sur les solutions ROCKWOOL pourl'isolation des toitures et terrasses béton et maçonnées
Il y a 4 ans et 169 jours

Jacques Pommeraud, Directeur général Afrique et France de Bureau Veritas élu Président de la COPREC

Avant de rejoindre Bureau Veritas en 2018, Jacques Pommeraud travaillait pour SAP en tant que Senior Vice-Président Customer Success. Il a débuté sa carrière dans le Conseil en Stratégie au sein de McKinsey & Co, à Paris et Boston. En 2009, il intègre Atos pour prendre la direction du Lean et étend progressivement ses responsabilités jusqu'à être nommé Directeur Général de Canopy Cloud, joint- venture entre Atos, EMC2 et VMware. En 2014, il rejoint Salesforce Inc, en tant que Senior Vice-Président & Directeur Général Success Services, basé à San Francisco, aux Etats-Unis. Jacques Pommeraud, 44 ans, est diplômé d'un Master d'Ingénierie de l'Ecole Nationale des Ponts et Chaussées (France) et est titulaire d'un MBA à l'INSEAD.Jacques POMMERAUD indique : « Je suis honoré d’être élu Président de la COPREC et d’avoir la confiance de mes pairs pour représenter notre profession. La crise sanitaire que nous traversons a particulièrement mis en lumière l’importance de nos métiers d’essais en laboratoires, inspections et certifications qui constituent un pilier essentiel pour la santé et la sécurité de tous les Français. Je salue l’engagement total de l’ensemble des acteurs de notre filière, qui ont permis aux pouvoirs publics et aux acteurs économiques de relever les défis historiques que nous rencontrons. Aujourd’hui plus que jamais, nous sommes aux côtés des entreprises et des institutions pour soutenir la relance et pour les accompagner dans les transitions environnementales, numériques ou les nouveaux modes de consommation. L’expertise, l’agilité et l’intensité des efforts des femmes et des hommes qui composent notre collectif ont profondément changé le regard sur notre profession, une véritable filière de confiance. »À propos du secteur :Créée en 1991, la COPREC réunit les organismes tierce partie qui réalisent des activités de Testing, Inspection, Certification. Ils contribuent à l’amélioration de la qualité, de la sécurité et de la performance dans tous les secteurs (environnement, santé, industries, construction et infrastructures, collectivités, services aux gouvernements, loyauté, food, marine, automotive...)3 milliards de chiffres d’affaires (France) et 35.000 emplois directLa COPREC se compose de 40 membres (leaders : Apave, Bureau Veritas, Dekra, Qualiconsult, Socotec, SGS) et de 300 experts répartis dans 5 délégations : Equipements, Construction, Environnement, Sécurité Incendie, Certification
Il y a 4 ans et 170 jours

Comment bien choisir la menuiserie de sa construction ?

Faire un choix optimal pour la menuiserie d’une construction, c’est prendre en compte plusieurs critères. Au nombre des plus importants, figure l’isolation thermique fournie par l’ouverture. Idéalement, la menuiserie doit permettre aux résidents de faire des économies sur le coût de leur consommation d’énergie (chauffage, électricité…). L’autre paramètre à prendre en compte, c’est le type de matériau utilisé et sa beauté. Enfin, la conception et la pose de la menuiserie doivent être confiées à un professionnel du métier pour un rendu efficient. Plus de détails vous sont donnés dans cet article. Quel type de menuiserie faut-il privilégier ? D’entrée, il importe de signifier que la conception et la pose d’une fenêtre ou de n’importe quelle ouverture nécessitent l’intervention d’un menuisier compétent à l’image du groupe-millet.com. Cependant, le choix du matériau revient au client. La menuiserie en PVC est l’une des plus prisées sur le marché en raison des nombreux avantages qu’elle offre. En effet, le matériau a une grande facilité à s’accorder aux exigences des consommateurs. Il est à la fois résistant et très malléable. Mieux, il est d’un coût généralement accessible. Toutefois, le PVC reste limité en termes de design et de beauté comparativement à l’aluminium. Les coloris de PVC disponibles sur le marché sont très limités au regard des possibilités offertes par l’aluminium. Aussi, le matériau ne répond pas toujours aux besoins d’installation de grandes baies vitrées. L’aluminium présente quant à lui, un réel avantage pour ce qui est de sa malléabilité. Le matériau s’adapte parfaitement à toutes formes de construction et à divers styles. Qu’il s’agisse d’une construction neuve ou d’une rénovation, les fenêtres en aluminium y apportent généralement, une plus grande valeur. La matière est de même assez durable et ne contient aucun produit nocif pour la santé des résidents. Elle est écologique et s’entretient avec une grande facilité. Il importe cependant que signaler que le défaut de ponts thermiques rend l’aluminium un peu moins isolant que les autres matières. Néanmoins, il reste tout de même un matériau recommandable en raison de ses nombreux autres avantages. Il est un choix beaucoup plus avantageux que le PVC et le bois même s’il est plus onéreux. Pourquoi faire appel à des menuiseries de qualité ? Si vous souhaitez avoir des ouvertures (fenêtres, portes…) en aluminium de qualité, vous ne pouvez pas vous contenter d’un bricolage. L’intervention d’un bon menuisier est requise pour vous fournir un travail sur-mesure, mais pas que. Il peut aussi s’occuper de divers autres travaux d’aménagement ou d’emménagement afin d’optimiser vos rangements intérieurs. D’ailleurs, l’une des plus grandes qualités d’un menuisier de qualité à l’image de ce que propose le site www.sybaie.pro, c’est sa polyvalence. Généralement, ce genre de travailleur est aussi bien compétent pour les travaux de rénovation que pour les installations sur les constructions neuves. Pour un choix optimal, vous gagnerez à procéder à un comparatif de devis en ligne. Vous choisirez alors le professionnel qui vous propose un service répondant le mieux à vos besoins et dont le tarif est à la hauteur de votre budget. Veillez aussi à vérifier les références du travailleur et à tenir compte des garanties offertes. Pour finir, il faut simplement retenir que le design et l’attrait offerts par la menuiserie aluminium apportent une réelle valeur aux constructions neuves et celles rénovées. Il est cependant conseillé de solliciter les services des menuisiers qualifiés et compétents aussi bien pour la conception que pour la pose de l’ouverture en aluminium.
Il y a 4 ans et 170 jours

Eugène Freyssinet : Magicien du béton

Eugène Freyssinet a consacré la deuxième partie de sa carrière au béton précontraint et à son utilisation. [©Freyssinet International] Louis Vicat découvre en 1817 le “ciment hydraulique”, capable de durcir sous l’eau. Fabriqué industriellement à partir de 1845 et plus connu sous le nom ce “Ciment Artificiel” ou “Ciment Portland”. Il est déjà très utilisé par les grands constructeur de la fin du XIXe et début du XXe. Nommé ingénieur des Ponts et Chaussées à Moulins en 1905, Eugène Freyssinet découvre immédiatement les fantastiques possibilités de ce matériau, sa simplicité de fabrication, son aptitude au moulage et sa résistance mécanique, permettant de supplanter la pierre et d’égaler le métal. Cependant, il a très tôt l’intuition que la physique de ce matériau n’est pas aussi simple, lorsqu’il s’agit de réglementer son utilisation. C’est en 1903, en visitant les consoles de la rue de Rome au-dessus des voies de la gare St Lazare avec son professeur et maître Rabut, qu&rsquo;il pressent certaines insuffisances et pièges de ce matériau. Et dès lors, il n’aura de cesse de tenter d’y remédier ou du moins de s’en accommoder par des dispositions constructives adéquates. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m&#039;inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 173 jours

Cellodrain® Ultra, première solution d'isolation et de drainage des parois enterrées en polystyrène expansé graphité

Isolation thermique : grâce aux qualités du polystyrène expansé graphité, Cellodrain® Ultra bénéficie d’une excellente performance thermique (lambda λ de 0.031 W/(m.K) et permet d’atteindre des résistances thermiques très élevées, jusqu’à 6,45 m².K/W, en limitant les épaisseursDrainage des eaux pluviales : disposant d’une surface à ergots protégée par un géotextile, Cellodrain® Ultra assure une fonction de drainage performanteProtection de l’étanchéité : les bords feuillurés 4 côtés des panneaux forment une protection optimale de l’étanchéité du supportOutre sa performance thermique élevée, Cellodrain® Ultra offre des performances mécaniques permettant un enfouissement jusqu’à 3 mètres de profondeur. Il convient ainsi parfaitement pour la construction de bâtiments d’habitation ou les ERP (Établissements Recevant du Public). Grâce à une finition gaufrée sur la face arrière, Cellodrain® Ultra peut être posé facilement sur les murs porteurs en béton ou en maçonnerie (NF DTU 20.1). Véritable gain de temps sur le chantier, la solution Cellodrain® Ultra permet à la fois de réduire les ponts thermiques du plancher bas, les déperditions des parois enterrées (RT 2012 et RE 2020) et les risques de condensation sur les parois intérieures, sans avoir à poser plusieurs éléments. Il évite également l’accumulation d’eau contre les murs et permet de préserver le bâti sur le long terme. Pour proposer un nouveau produit à la fois performant thermiquement et capable d’assurer les fonctions de drainage et de protection, HIRSCH Isolation a associé plusieurs atouts pour proposer une solution unique.Cellodrain® Ultra Caractéristiques techniquesÉpaisseur (mm) 80 100 120 140 160 180 200R (m².K/W) 2,55 3,20 3,85 4,50 5,15 5,80 6,45Dimensions : 1 250 mm x 600 mm - Conductivité thermique : 0.031 W/(m.K) - Comportement au feu : Euroclasse ECellodrain®Ultra & Cellocem® Ultra : une solution globale pour les murs en soubassementPour assurer une parfaite continuité d’isolation thermique des murs enterrés jusqu’à l’isolation par l’extérieur des façades, HIRSCH Isolation propose une solution prête à l‘emploi avec les panneaux Cellocem® Ultra. Seul complexe d’isolation et de protection des soubassements certifié ACERMI en totalité (isolant + parement), Cellocem® Ultra associe un isolant en polystyrène expansé graphité et un parement en plaque ciment. Totalement imputrescibles, les panneaux Cellocem® Ultra assurent isolation et protection mécanique en une seule opération !L’association de Cellodrain® Ultra en partie enterrée et de Cellocem® Ultra en soubassement assure une solution optimale pour l’isolation et la protection des constructions. Fabriqué en France, Cellocem® Ultra est compatible bâtiment passif et BEPOS.
Il y a 4 ans et 177 jours

L'enveloppe des bâtiments : des perspectives concrètes pour une démarche de qualité globale

De nombreux projets de construction présentent des décalages observés importants entre les performances énergétiques attendues et celles obtenues en phase d’exploitation.Après avoir pointé du doigt les aspects à considérer et à approfondir concernant la qualité de l’enveloppe, le Groupe de Travail sur la Qualité de l’Enveloppe (GTQE) s’attache, dans ce 3ème volet, à proposer des perspectives pour tendre vers une enveloppe de qualité et ce, notamment au travers de la méthode dite du « commissioning », de l’apport du numérique et de l’automatisation des mesures et des vérifications.Le commissioning, un suivi de qualité depuis la programmation jusqu’à l’exploitationLe commissioning d’un bâtiment peut être compris comme une démarche de qualité globale qui a pour objectif de garantir la conformité des performances du bâtiment avec les documents contractuels. Il se différencie de la notion de « commissionnement » qui consiste en une mission partielle d’assistance et d’aide à la mise en service des équipements. L’approche anglo-saxonne le définit d’ailleurs comme un outil de management complet de la qualité, qui a pour objectif d’éviter un trop grand décalage entre les objectifs fixés en amont, les moyens mobilisables et les résultats obtenus. De plus, il s’avère nécessaire de dépasser la seule cible d’un chiffre de consommation énergétique comme critère d’évaluation d’une performance et de pilotage des projets, sachant que le confort ou la qualité de l’air sont tout aussi essentiels.Le GTQE déplore des freins au développement de cette méthodeLe cahier des charges de l’opération au stade de la programmation reste généralement peu qualitatif, sans spécifier le niveau de performance attendu en exploitationLe facteur qualité est ainsi souvent laissé de côté par les maîtres d’ouvrage, en se satisfaisant d’obligations de moyens et non pas d’obligation de résultatEnfin, trop peu de moyens techniques, méthodologiques et financiers s’avèrent disponibles pour atteindre les objectifs ambitieux en exploitation du fait de l’absence d’analyse des coûts liés à la non-qualitéPar ailleurs, si l’on constate que le coût du commissioning complet d’un bâtiment neuf représente environ entre 0,6 et 1 % du coût total de l’opération (incluant les coûts de la maîtrise d’ouvrage, de la maîtrise d’œuvre et de la construction2), le temps de retour sur investissement s’évalue entre zéro et dix ans, selon le type de gains compris (les consommations d’énergie seules ou bien l’ensemble des gains directs et indirects). Précisons de plus que ces données peuvent varier en fonction de la complexité de l’opération et du périmètre de la mission de commissioning. En revanche, la baisse des non-qualités impliquera de facto une réduction notable des coûts internes (détection, correction, prévention…) comme des coûts externes, souvent supportés par le client (baisse de productivité, utilisation d’équipements de secours, surcoût liés aux consommations énergétiques, insatisfaction, perte de renommée…). Rappelons à ce titre qu’une étude du Lawrence Berkeley National Laboratory3 estime que si les gains en économie d’énergie s’échelonnent de 0,21 à 2,05 $/m², les gains indirects (économies en travaux modificatifs ou curatifs, coûts de maintenance…) peuvent s’élever jusqu’à 74,9 $/m² !« Le commissioning s’impose dans le cadre de la démarche de qualité du PROJET. La démarche représente un investissement en amont pour prévenir des non-qualités en aval et pour assurer une période de garantie fluide ainsi qu’une valeur perçue élevée du PROJET.Le commissioning doit être interprété comme la mise en œuvre d’un outil de management de la qualité totale, reposant sur des processus de validation intégrée durant tout le cycle de vie du bâtiment, et pour le moins, sur toute la durée du PROJET, depuis la programmation initiale jusqu’à sa livraison, avec l’intégration en option de la phase d’exploitation sur les premières années. Par voie de conséquence, les attendus du commissioning et la création de valeur qui en découle sont la délivrance d’une validation d’un bâtiment, basée principalement sur l’évaluation en continu de la performance et de la conformité de son enveloppe et de ses équipements techniques. » Edward WOODS, Directeur du Pôle Technique - Immobilier d’Entreprise au sein de Bouygues Immobilier.Le numérique, l’automatisation de la mesure et de la vérification au service de la qualitéPour le GTQE, l’utilisation du numérique peut avoir un impact notable sur l’économie globale d’un projet de construction. Mieux, il peut véritablement améliorer les délais, limiter, voire éviter les erreurs humaines. Compte-tenu de l’importance d’une expertise technique pour assurer la mission de commissioning, leur généralisation pose un enjeu de modèle économique.« Il est donc nécessaire d’imaginer l’apport du numérique pour permettre un déploiement et une appropriation de cette pratique à l’ensemble des projets sur le territoire avec une mutualisation des connaissances, des bons réflexes et pratiques vertueuses, en particulier concernant la qualité thermique de l’enveloppe des bâtiments. Il semble légitime d’imaginer les pistes d’exploitation du numérique afin d’assister les acteurs du bâtiment dans leur démarche pour améliorer la qualité globale des opérations. Un facteur primordial dans un contexte d’accélération de la dynamique BIM où il reste beaucoup à faire. » Et de conclure : « Le numérique représente une formidable opportunité pour analyser et partager les expériences dont les réussites continueront à faire progresser l’ensemble de la filière. » Jean-Luc SADORGE, Directeur Général du Pôle Fibres-ÉnergivieÀ titre d’exemple, mentionnons que la société CMDL - MANASLU Ing. développe une solution innovante de mesure automatisée qui permettra de réaliser, lors de la réception des bâtiments, une vérification exhaustive des conditions de confort des occupants nécessaires aux opérations préalables de réception, et de mesurer la performance de l’éclairage artificiel, suivant un maillage des zones conforme à la norme EN 12464.Le GTQE milite activement sur 4 fondamentaux à respecter pour une RE2020 garante d’une qualité de l’enveloppeLa RE2020 doit être ambitieuse pour atteindre les objectifs de la Stratégie Nationale Bas Carbone, avec une exigence toute particulière sur l’indicateur Bbio positionnée à RT2012-40%. Le niveau moyen des bâtiments collectifs produits entre 2012 et 2018 présente un Bbio RT2012-20%, une RE2020 avec une exigence de Bbio à RT2012-10% représenterait un recul.La consommation d’énergie primaire (Cep) doit être équivalente à : standard RT 2012 - 20%Il est nécessaire de traiter correctement les ponts thermiques. L’aspect doit être non dérogatoire au risque que le recours à la dérogation ne devienne systématique. Les avantages du traitement des ponts thermiques ne se limitent pas seulement à lutter contre le risque de condensation. Ils engendrent diminution des consommations énergétiques, des charges de chauffage, des émissions de GES, tout en améliorant le confort été comme hiver, la qualité de l’air et, enfin, la prévention des sources de désordres structurels.Il devient nécessaire d’actualiser les bibliothèques des outils de calcul réglementaire. En effet, les performances thermiques ayant évolué favorablement avec des résistances thermiques des parois courantes en hausse, l’influence des ponts thermiques devient prédominante.Les membres du Groupe de Travail sur la Qualité de l’Enveloppe : Pôle ALEARISQUE, DRABER-NEFF, courtier en assurances, cabinet d’ingénierie énergétique MANASLU, société MEDIECO, Groupement du MUR MANTEAU, bureau d’études POUGET Consultants, société SCHÖCK France, Syndicat National des Bardages et Vêtures Isolées (SNBVI), Pôle FIBRES-ÉNERGIVIE.
Il y a 4 ans et 177 jours

En Grande-Bretagne, l'épineuse question de la rénovation des ponts

INTERNATIONAL. Souvent inadaptés à la circulation telle qu'elle l'est au XXIe siècle, les ponts britanniques datant de l'époque victorienne se révèlent être un véritable casse-tête à rénover, entre la colère des usagers et l'imbroglio autour de qui va régler la facture.
Il y a 4 ans et 179 jours

Le bardage de bois : la solution rénovatrice des revêtements extérieurs

La plupart des particuliers accordent aujourd’hui un grand intérêt à l’esthétique de leur façade. Pour cette raison, il recherche toujours un revêtement pouvant allier esthétisme, durabilité et bonne isolation. Ce faisant dès que vous êtes sollicité pour des travaux de rénovation ou de construction d’une nouvelle maison, il est de bon ton que vous proposiez au client une solution qui répond la plus à ses attentes. L’une des tendances du moment qui tentent de séduire de nombreux particuliers en matière de revêtement extérieur est le bardage de bois. Ses propriétés et son côté décoratif en font aujourd’hui le revêtement le plus plébiscité. Nous vous proposons d’en savoir plus dans la suite de cet article. Le bardage de bois, qu’est-ce que c’est ? Vous le savez, le bois est un matériau qu’on ne présente plus dans l’aménagement intérieur et extérieur des maisons. Depuis toujours, ce beau matériau s’est révélé particulièrement omniprésent dans l’architecture d’une construction. Aujourd’hui encore, il s’est adapté à l’évolution du temps et est devenu la pièce maîtresse dans nombre de travaux réalisés dans une maison. Il est plus incontournable avec une nouvelle tendance : le bardage de bois. En effet, le bardage de bois est un élément de parement composé de planches de bois qui sont fixées sur une ossature secondaire solidarisée à la structure porteuse. Grâce à un chevauchement des planches, ce type de matériau habille correctement la façade extérieure d’une maison lui offrant un aspect unique. Ainsi, qu’il s’agisse d’une rénovation ou d’une nouvelle construction, ce revêtement pourra rassembler toutes les attentes de vos clients. Pourquoi ce regain d’intérêt pour le bardage de bois ? Sans s’enorgueillir, les revêtements en bardage de bois semblent être la solution idéale du moment pour faire face aux aléas du temps. Il est de plus en plus apprécié dans l’hexagone en raison de ses multiples atouts. En effet, le bardage de bois présente : Un aspect naturel et chaleureux qui lui donne la possibilité de rendre naturelle la maison qu’elle brade. Ce revêtement s’adapte à tous les types d’habitation. Une forte capacité d’élimination des ponts thermiques évitant ainsi les pertes énergétiques Une polyvalence sans nul pareil qui offre la possibilité de personnaliser le revêtement extérieur des maisons grâce à une large palette de choix, de coloris et de design une facilité de pose et d’installation permettant de gagner plus de temps comparativement aux autres types de revêtement. En outre, le bardage en bois assure une sécurité optimale pendant une dizaine d’années. Ceci permet au consommateur de créer un réel retour sur investissement. Toujours est-il qu’il faudra accorder une attention toute particulière aux différentes essences de bois qui sont utilisées, car, il en va de la réussite du chantier. Quelles sont les essences de bois utilisées comme bardage de bois ? Plusieurs essences de bois sont appropriées pour faire du bardage de bois. Cependant, il convient de tenir compte de l’apparence et de la durabilité dans son choix. Parmi la large palette de lame de bois disponible et dont vous pouvez faire usage pour réaliser vos différents chantiers de revêtement extérieur, on peut retrouver : les lames de bois composite qui sont constituées d’un mélange de fibres et de polymère. Ceux-ci sont bien résistants aux aléas climatiques ; Les lames en bois massif ; Les lames en lamellé-collé. Ces différentes lames de bois proviennent pour la plupart des bois durs tropicaux ou encore des bois thermiquement traités.
Il y a 4 ans et 180 jours

Un coffrage pour pont signé Rudy Ricciotti

La pile du pont de l’Huveaune a été dessinée par Rudy Ricciotti. Le coffrage est, lui, l’œuvre d’Atout Coffrage. [©Atout Coffrage] Fin 2019 et début 2020, Bouygues Construction s’est attelé à l’édification du Boulevard Urbain Sud à Marseille. Avec, en particulier, la réalisation de deux ponts sur l’Huveaune. Au cœur du projet, la pile d’un pont dessiné par l’architecte Rudy Ricciotti. Cette dernière, en forme de “Y” aux lignes arrondies et étirées, devait, à l’origine, être imprimée en béton noir. Trop complexe, cette option est abandonnée pour la conception d’un coffrage et d’un béton coulé en place, avant d’être peint. Basé à Villard-Bonnot (38), l’industriel Atout Coffrage a été choisi pour la conception et la fabrication du coffrage. «&nbsp;Nous réalisons souvent ce type de pièces pour le génie civil, explique Irvann Demartino, ingénieur d’affaires pour l’entreprise. Celle-ci présentait des formes complexes, qui venaient s’ajouter à un gabarit conséquent de 4,15 m x 4,95 m x 8,86 m. Nous l’avons conçue en un total de huit pièces, boulonnables entre elles et équipées de centreurs.&nbsp;» En tout, l’industriel a travaillé pendant trois mois sur la conception de ce coffrage en bois dans son bureau d’études interne, avant de passer un mois dans sa fabrication en atelier. Une fois le coulage réalisé, la pile a été peinte et protégée contre les graffitis. «&nbsp;Nous construisons des coffrages comparables une à deux fois par an, car nous sommes équipés en machines pour ces conceptions. Ainsi, depuis, nous avons livré un coffrage pour la pile d’un pont réalisé par Baudin Châteauneuf, au Mesnil-Amelot (77), sur le contournement Est de Roissy.&nbsp;»
Il y a 4 ans et 180 jours

Cemex, le matériau en ligne de mire

Cet article est à retrouver dans le n°91 de Béton[s] le Magazine. Au cœur de ses recherches, Cemex garde en ligne de mire le matériau. [©Cemex] Pour Cemex, la digitalisation de la fabrication et, par conséquent, de la construction est un axe de recherche majeur. Depuis une dizaine d’années, la R&D du groupe s’attache à développer et à imaginer les technologies innovantes de demain. «&nbsp;L’impression 3D est une activité que nous englobons dans ce que nous appelons la “fabrication digitale”, explique Davide Zampini, directeur de la R&D du groupe Cemex. Depuis 10 à 15 ans, nous avons tout d’abord suivi ce qui se passait dans ce domaine et depuis quelque temps, nous nous sommes davantage concentrés dessus.&nbsp;» Observateur, puis acteur, le groupe garde en ligne de mire son cœur de métier&nbsp;: le matériau. «&nbsp;Beaucoup de personnes cherchent à adapter le béton ou autre au robot d’impression ou à une technique digitale. Nous avons une autre façon de voir les choses… La question principale qu’il faut se poser est&nbsp;: “de quel type de matériaux avons-nous besoin pour l’automatisation ou la robotisation&nbsp;?” Nous appelons ça l’innovation “By Design”. La relation entre les machines et le matériau est très importante. Il y a aujourd’hui différentes approches et nous essayons de comprendre à chaque fois quel est le projet, l’objectif final et le matériel utilisé.&nbsp;» Dans la réflexion sur “l’encre”, Cemex part avec un atout de taille. Viable d’un point de vue économique La R&D du groupe Cemex s’intéresse de près à la digitalisation de la fabrication. [©Cemex] «&nbsp;Nous avons l’avantage d’avoir nos propres adjuvants à travers Cemex Admixtures. L’imprimante 3D ne va pas toujours fonctionner avec les mêmes matériaux au même endroit. Le ciment peut changer d’un territoire à un autre, c’est un challenge pour l’impression 3D&nbsp;! Les adjuvants et les additions permettent cette adaptation et de répondre aux questions de robustesse et de flexibilité.&nbsp;» Le groupe voit la discipline comme une façon d’industrialiser la construction. «&nbsp;En ce moment, nous développons plusieurs systèmes constructifs innovants. Nous pensons que l’impression 3D va nous permettre d’étendre notre offre produits. L’important est de pouvoir rendre le procédé économiquement viable.&nbsp;» En effet, si l’avancée technologique peut être bénéfique à différents niveaux pour le monde de la construction, elle a néanmoins un coût. «&nbsp;Aujourd’hui, il y a beaucoup de discussions autour de l’impression 3D, mais personne ne mentionne vraiment combien cela coûte. Et les prix sont encore trop élevés. Nous nous concentrons sur comment rendre le béton […]1 pour l’impression accessible&nbsp;? La normalisation et la réglementation restent aussi un challenge. » Pour Cemex, l’impression 3D va compléter la construction «&nbsp;sous plein d’aspects intéressants&nbsp;». La digitalisation, une possible évolution de la préfabrication… «&nbsp;La discipline évoluera au fur et à mesure de sa standardisation. Nous sommes au stade du développement. C’est-à-dire produire les meilleurs matériaux accessibles à ceux qui “impriment”. La prochaine étape nécessitera de s’interroger d’un point de vue constructif. Est-ce que nous pourrons construire des ponts&nbsp;? Quels designs pour quelles performances&nbsp;? Quels sont les matériaux que nous pouvons combiner&nbsp;? Pourra-t-on construire des bâtiments à plusieurs étages…&nbsp;?&nbsp;» 1[Et par là il faut entendre, le béton prêt à l’emploi]. Aller plus loin : Dossier : L'impression 3D Imprimer tout ou une partie d’une construction plutôt que de la couler en béton. Mais est-ce vraiment l’avenir de la construction ? Quelles sont les limites de ce procédé ? Qu’en est-il des matériaux utilisables ? Il est temps d’en savoir plus... Trois questions à… Céline Florence, responsable de la chaire “Béton”, à l’ESTP Paris Parmi ses 10 laboratoires, l’ESTP Paris accueille la chaire “Ingénierie des bétons” depuis 2014. Céline Florence en est la responsable. Elle nous parle de l’impression 3D et comment cette discipline s’est installée sur les paillasses. Groupe Peri en première ligne sur l’impression 3D Coffrages, étaiements, échafaudages… Depuis 2 ans, l’industriel allemand Peri a ajouté l’impression 3D béton à la liste de ses savoir-faire. Il dispose d’une équipe dédiée à cette nouvelle technologie et d’une participation au sein de Cobod. Constructions 3D développe le plug & play Lutter contre le mal-logement grâce à une technologie de pointe ? C’est l’objectif de Constructions 3D. La start-up développe des solutions clefs en main sur le principe du “plug & play”. Au pays de l’ultra-personnalisation avec le groupe Saint Léonard « De façon générale, l’impression 3D nous permet d’évoluer », déclare Bertrand Malet, directeur développement et R&D du Groupe Saint Léonard. Comment la discipline embrasse-t-elle le monde de la préfabrication ? Dans la construction hors site, les deux peuvent se compléter mutuellement. C’est tout du moins ce que croit le groupe. Vicat : sur terre comme en mer Concernant l’impression 3D, Vicat met un point d’honneur à travailler en partenariat. Ces collaborations permettent au groupe de développer des produits spécifiques pour ce domaine. Focus sur 3 projets avec Olivier Martinage, ingénieur R&D et chargé de projet impression 3D. Ciments Calcia : « Un prémix bien dosé et bien pesé » Comment les cimentiers s’emparent-ils de l’impression 3D ? Patrick Mézière, responsable projet innovation chez Ciments Calcia, nous explique la démarche du groupe HeidelbergCement. L'incontournable XTreeE Que ce soit en France ou dans le monde, XtreeE a réussi à s’imposer comme un acteur incontournable de la fabrication additive. Saint-Gobain Weber Beamix, dans le concret Saint-Gobain Weber Beamix, filiale néerlandaise du groupe éponyme, dispose de sa propre usine d’impression 3D béton, à Eindhoven. Une façon de développer son savoir-faire et de prendre part à des projets concrets.  Impressions lunaires Comment vivre de manière durable sur la lune ? Spécialisé dans l’impression 3D, l’industriel texan Icon a été chargé de trouver des réponses à travers le projet Olympus. &nbsp;
Il y a 4 ans et 181 jours

HIRSCH Isolation propose la première solution d’isolation et de drainage des parois enterrées en polystyrène expansé graphité : Cellodrain® Ultra

Destiné à l’isolation thermique par l’extérieur (ITE) des soubassements et des murs enterrés (hors cuvelages), Cellodrain® Ultra est une solution 3 en 1 : • Isolation thermique : grâce aux qualités du polystyrène expansé graphité, Cellodrain® Ultra bénéficie d’une excellente performance thermique (lambda λ de 0.031 W/(m.K) et permet d’atteindre des résistances thermiques très élevées, jusqu’à 6,45 m².K/W, en limitant les épaisseurs ; • Drainage des eaux pluviales : disposant d’une surface à ergots protégée par un géotextile, Cellodrain® Ultra assure une fonction de drainage performante ; • Protection de l’étanchéité : les bords feuillurés 4 côtés des panneaux forment une protection optimale de l’étanchéité du support. Outre sa performance thermique élevée, Cellodrain® Ultra offre des performances mécaniques permettant un enfouissement jusqu’à 3 mètres de profondeur. Il convient ainsi parfaitement pour la construction de bâtiments d’habitation ou les ERP (Établissements Recevant du Public). Grâce à une finition gaufrée sur la face arrière, Cellodrain® Ultra peut être posé facilement sur les murs porteurs en béton ou en maçonnerie (NF DTU 20.1). Véritable gain de temps sur le chantier, la solution Cellodrain® Ultra permet à la fois de réduire les ponts thermiques du plancher bas, les déperditions des parois enterrées (RT 2012 et RE 2020) et les risques de condensation sur les parois intérieures, sans avoir à poser plusieurs éléments. Il évite également l’accumulation d’eau contre les murs et permet de préserver le bâti sur le long terme.
Il y a 4 ans et 182 jours

fischer GAMME DE FIXATION GREENLINE

La 1ère gamme d’ancrages au monde à base de matières premières renouvelables fischer s’efforce de développer des solutions de fixations et d’ancrages toujours plus performantes et innovantes, tout en minimisant l’impact sur l’environnement. Par ailleurs, nombreux sont les artisans et les bricoleurs soucieux de limiter l’impact de leurs travaux de construction, de rénovation ou de décoration sur l’environnement. Pour répondre à leurs besoins, fischer a développé la première gamme de fixations au monde issue de matières premières renouvelables : Greenline. Innovants, les produits Greenline offrent les mêmes performances, la même sécurité et capacité de charges que les produits similaires traditionnels fischer. Avec cette gamme Greenline, fischer peut répondre à de nombreux chantiers qui exigent l’utilisation de produits et de matériaux durables. &nbsp; Une gamme durable De qualité allemande, la gamme Greenline fischer est fabriquée avec 50 à 80 % de matières premières renouvelables. Elle se compose de 7 familles de produits qui permettent de réaliser de multiples applications dans de nombreux matériaux de construction : &#8211; La cheville universelle UX Green, &#8211; La cheville à expansion SX Green, &#8211; La cheville pour plaques de plâtre GK Green, &#8211; La cheville à frapper N Green, &#8211; La fixation dans matériaux isolants FID Green, &#8211; La cheville pour béton cellulaire GB Green, &#8211; La résine d’injection chimique tous matériaux FIS Green 300 T. &nbsp; Fabriquée avec plus 50 % de matières premières renouvelables Avec la qualité éprouvée du nylon fischer, les chevilles UX Green, SX Green, GK Green, N Green, FID Green et GB Green sont fabriquées avec plus de 50 % de matières premières d’origine végétale, de l’huile de ricin utilisée comme matériau de base pour le polyamide. Cette huile n’est pas utilisée pour l’alimentation de l’homme et des animaux, et n’entre donc pas en concurrence avec les surfaces agricoles Les chevilles Greenline ont été testées et contrôlées par le centre TÜV Rheinland DIN CERTCO et appartiennent à la catégorie « Biosourcés 50-85 % ». Leur emballage est plus respectueux de l’environnement puisqu’il est fabriqué avec 90 % de papier recyclé. Quant à FIS Green 300 T, elle est la première résine de scellement à contenir plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. Sa formulation sans styrène a été entièrement revisitée pour contenir des composants organiques, à la place de composants chimiques complexes, qui permettent de répondre aux différentes fonctions des résines réactives, des additifs, des plastifiants et des polymères thermoplastiques. &nbsp; Des produits performants et fiables Résistantes, les chevilles Greenline garantissent une tenue parfaitement sûre et les mêmes propriétés et niveaux de charges que les chevilles nylon fischer traditionnelles. Simples à utiliser, elles permettent un montage rapide et une mise en oeuvre aisée. Sûre, la résine bicomposante FIS Green 300 T est parfaitement adaptée à la fixation de charges lourdes dans différents matériaux et présente les mêmes caractéristiques techniques et de performances que ses homologues traditionnels. Elle bénéficie d’une EPD (Déclaration environnementale de produit) délivrée par l’Institut Allemand pour la Construction et l’Environnement (Institut für Bauen und Umwelt e.V.). Classé A+, le scellement FIS Green 300 T peut être utilisé en intérieur, sans risque, du fait de sa très faible émission de composés organiques volatils. Il détient une évaluation technique européenne (ETE) pour les fixations dans la maçonnerie et le béton non fissuré. &nbsp; UX Green &#8211; Cheville pour tous les matériaux La cheville nylon UX Green s’expanse dans des matériaux de construction pleins et forme un noeud dans des matériaux creux et en plaques. Elle peut être utilisée avec des vis à bois, des vis pour panneaux de particules et des vis d’espacement pour fixer des cadres, lampes, tringles à rideaux, armoires suspendues&#8230; Elle est disponible avec ou sans bord, dans des diamètres 6 à 12 mm. La UX GREEN 8&#215;50 R permet de supporter jusqu‘à 20 kg pour une fixation en brique creuse. &nbsp; SX Green &#8211; Cheville à quadruple expansion La cheville nylon UX Green à quadruple expansion offre des capacités de charge élevées dans la plupart des matériaux (béton cellulaire, maçonnerie pleine, brique creuse, briques silico-calcaires&#8230;). Le dispositif anti-torsion verrouille fermement la cheville dans le trou de perçage pour plus de sécurité. Elle convient pour la fixation de cadres, lampes, étagères légères, meubles TV&#8230; Avec bord, la UX Green empêche tout glissement dans le trou de perçage. Sans bord, elle permet une profondeur d’ancrage plus importante. Elle est disponible dans des diamètres 5 à 12 mm. La SX GREEN 6&#215;30 permet de supporter jusqu‘à 65 kg pour une fixation dans le béton. &nbsp; GK GREEN &#8211; Cheville pour plaques de plâtre La cheville nylon GK Green pour plaques de plâtre permet une fixation sûre par verrouillage de forme grâce à son filetage auto-taraudeur. Elle se visse au ras de la surface des plaques de plâtre simple et double. Sa conception compacte permet une installation sûre dans des murs où l’épaisseur du panneau et la profondeur du trou sont inconnues. Elle s’utilise avec des vis à bois, à tôle et à panneaux de particules d’un diamètre de 4 à 5 mm ainsi que divers crochets et oeillets. Elle est parfaite pour fixer cadres, lampes, installations électriques, accessoires d‘ameublement&#8230; La GK GREEN permet de supporter jusqu‘à 8 kg pour une fixation dans les plaques de plâtre de 12.5 mm. &nbsp; N Green &#8211; Cheville à frapper La cheville à frapper N Green permet un montage rapide au marteau dans la plupart des matériaux de construction. La butée interne évite l‘expansion prématurée la cheville. Elle s’utilise pour les fixations traversantes de cadres, goulottes de câblage, structures secondaires en bois ou métal&#8230; La N GREEN 8&#215;80/40 permet de supporter jusqu‘à 24 kg pour une fixation dans la pierre naturelle. &nbsp; FID GREEN &#8211; Cheville pour fixation dans les isolants La cheville FID Green s’utilise uniquement dans l‘isolant pour un montage sans ponts thermiques. Le filetage spécial en spirale permet un montage simple sans préperçage dans les enduits fins. Elle permet de fixer des lampes extérieures, boîtes aux lettres, système d’alarme directement dans l’isolant&#8230; Elle existe en longueur 50 ou 90 mm. La FID GREEN 50 permet de supporter jusqu‘à 5 kg pour une fixation dans un panneau isolant. &nbsp; GB Green &#8211; Cheville pour béton cellulaire La cheville GB GREEN est une fixation spéciale pour le béton cellulaire. Ses nervures spiralées extérieures créent un verrouillage de forme dans le matériau de construction et assurent une résistance optimale. Une fois le trou de forage prépercé, elle s’applique au marteau pour fixer des lampes, étagères, chemins de câble, tuyaux&#8230; Elle existe en taille 8 et 10. La GB GREEN 8 permet de supporter jusqu‘à 20 kg pour une fixation dans le béton cellulaire PB2. &nbsp; Points de vente : Grandes surfaces de bricolage, Négoces
Il y a 4 ans et 183 jours

Dotation exceptionnelle : le CMN engagera d’importants chantiers de restauration en 2021

Dans le cadre du plan de relance, le Centre des monuments nationaux bénéficiera d’une dotation exceptionnelle de 40 millions d’euros pour soutenir le patrimoine et valoriser les métiers d’art et les savoir-faire d’excellence à travers la restauration de monuments historiques qui lui ont été confiés en gestion par l’Etat. Ce sont ainsi quatorze monuments du réseau du CMN qui seront concernés à partir de 2021. Il est prévu : &#8211; La restauration des remparts nord du château d’Angers – Maine-et-Loire (6,5 M€ / d’avril 2021 à décembre 2022) ; &#8211; La restauration des façades du palais du Tau à Reims, dans le cadre d’un programme de restauration complet du bâtiment et d’aménagement d’un nouveau parcours de visite – Marne (2,5 M€ / de fin 2021 à fin 2022) ; &#8211; L’achèvement de la restauration des façades et toitures de la « Merveille » de l’abbaye du Mont-Saint-Michel, engagée grâce à une première subvention du ministère – Manche (1 M€ / du 1er trimestre 2021 à décembre 2022) ; &#8211; La restauration de la dernière partie du chemin de ronde des remparts de la cité de Carcassonne, permettant au public d’effectuer un tour complet du circuit des remparts – Aude (4,5 M€ / à partir de mai 2021) ; &#8211; L’aménagement, avant les épreuves des Jeux olympiques de 2024, d’un nouveau ponton, de nouveaux espaces d’accueil et d’un restaurant au château d’If – Bouches-du-Rhône (6 M€ / en 2022) ; &#8211; La restauration de l’abbaye de Beaulieu-en-Rouergue et l’aménagement d’un musée exposant l’importante collection de peintures des époux Brache-Bonnefoi – Tarn-et-Garonne (3 M€ / de janvier 2021 à avril 2022) ; &#8211; La restauration de la contrescarpe du château de Villeneuve-Lembron – Puy-de-Dôme (2,2 M€ / de septembre 2021 à novembre 2022) ; &#8211; La restauration, en vue de son ouverture au public, de la terrasse nord du château de Cadillac – Gironde (3 M€/ de mai 2021 à l’été 2022) ; &#8211; La restauration de la charpente, de la toiture et des souches de cheminées du château de Montal – Lot (2,9 M€ / de mai 2021 jusqu’à décembre 2022) ; &#8211; La restauration du « logis du gouverneur » et l’aménagement des espaces d’accueil et d’un parcours d’introduction à la visite pour les tours et remparts d’Aigues-Mortes – Gard (1 M€ / de septembre 2021 à septembre 2022) ; &#8211; L’achèvement de la restauration de la caserne Rochambeau de la place forte de Mont-Dauphin – Hautes-Alpes (3,6 M€ de septembre 2021 jusqu’à début 2023) ; L’achèvement de la restauration de l’aile Sarcus du château de Bussy-Rabutin – Côte-d’Or (1 M€ / jusqu’à fin 2021) ; &#8211; La restauration des façades et toitures de l’aile des Preuses, de la tour Alexandre et la tour Godefroi de Bouillon du château de Pierrefonds – Oise (2 M€ / jusqu’à fin 2023) ; La restauration de la chambre de l’Evêque du château de Carrouges – Orne (1 M€ / de 2021 à 2022) Quant au château de Villers-Cotterêts, il bénéficie dans le cadre du plan de relance d’une enveloppe spécifique supplémentaire de 100 millions d’euros (qui s’ajoutent aux 85 millions déjà prévus), destinée à la création, dans le château restauré, de la Cité internationale de la Langue française. Le CMN poursuit par ailleurs les chantiers déjà engagés, notamment la restauration de la Colonne de Juillet de l’Hôtel de la Marine à Paris, la restauration du pavillon du roi du château d’Oiron, ou encore l’aménagement du musée du site archéologique d’Ensérune. Les opérations de restauration prévues en 2021 dans le cadre du programme d’investissement de l’établissement, comme la restauration de la toiture de la chapelle du château d’Aulteribe, ou la restauration du château de Vincennes (restauration du châtelet, de la barbacane est, des ponts-levis, du pont-dormant et des pavillons) seront engagées comme prévu.
Il y a 4 ans et 188 jours

Chantier de Saint-Maur-des-Fossés : la réussite d’une synergie collaborative

Missionnés par le cabinet Verna Architectes, pour un projet global de rénovation et d’isolation d’une copropriété à Saint-Maur-des-Fossés, Lorillard Façade et Lorenove Grands Comptes signent une collaboration efficiente avec l’entreprise Alpac (système de précadre thermo isolant). Une collaboration tripartite pour un projet de rénovation et d’isolation global À l’origine du chantier de Saint-Maur-des-Fossés, se trouve un projet de rénovation d’une petite copropriété, en vue d’une amélioration énergétique globale pour les 9 copropriétaires vivant rue Gabriel Péri à Saint-Maur-des-Fossés. Ce chantier, porté par le Cabinet Verna Architectes, a pour objectifs l’isolation et le ravalement de la façade arrière du bâtiment (200m² de surface comportant de nombreuses ouvertures), le traitement de pignons, ainsi que la rénovation des parties communes. L’entrée, abîmée par le temps, a été entièrement rénovée. Lorillard Façade est intervenue pour la partie ravalement et isolation de la façade arrière du bâtiment et le traitement de pignons ainsi qu’en travaux de peinture intérieure : remplacement de plafond en parties hautes, et rafraîchissement de la cage d’escalier. La réouverture d’une trémière (antérieurement comblée) en toiture, avec pose de verrière, par Lorenove Grands Comptes, a permis à la lumière d’entrer à nouveau dans les parties communes. Des travaux d’étanchéité ont également été engagés, dont une réunification de la chaudière. Et enfin, le système de ventilation a été repensé, avec l’installation d’une ventilation mécanique et l’intervention d’un bureau d’étude d’ingénierie thermique. La copropriété a donc fait l’objet d’une isolation par le haut -toiture et planchers hauts et par le bas -caves. L’isolation du passage voiture – un passage traversant couvert, emprunté aussi bien par les piétons que par les véhicules de tout type a également été conduite par le Groupe Lorillard. Toute la complexité du chantier a alors consisté dans la synchronisation de la pose des encadrements avec le ravalement lui-même, sachant que des garde-corps de sécurité ont dû être déposés, pour adopter un système de garde-corps provisoire, le temps que les garde-corps définitifs soient fabriqués aux dimensions voulues. Et c’est la solution ALPAC PRESYSTEM® qui a été retenue, signant ainsi la 1ère collaboration entre Alpac et le Groupe Lorillard, pour faciliter la mise en œuvre, et obtenir un rendu esthétique parfait. &nbsp; LORILLARD & ALPAC : solidarité & synergie d’experts Il est plusieurs points communs entre les équipes d’Alpac et du Groupe Lorillard : un haut niveau d’expertise, une même exigence du travail bien fait, une forte adaptabilité/réactivité aux imprévus, et un savoir-faire dans les règles de l’art. Concepteur et fabricant de précadre thermo-isolant, Alpac adapte ses solutions aux fenêtres – intégrant tous types d’occultations (volets roulants, persiennes, brise-soleil, et stores) – ainsi qu’aux portes, en ITE comme en ITI. PRESYSTEM® est le premier précadre thermo-isolant conçu intégralement en polystyrène. Pour les entreprises, les poseurs de fenêtres et les concepteurs, Alpac est un collaborateur sûr, fiable et flexible, habitué à proposer des solutions sur-mesure. Si le chantier de Saint-Maur-des-Fossés n’est pas d’une envergure importante de par sa taille (20 encadrements), une première collaboration est toujours une expérience unique. Pour le Groupe Lorillard, travailler avec ce produit innovant était donc une première. Le système Alpac précadre thermo-isolant (prémonté à emboiter dans la baie) est un système unique et complet, qui associe, au stade de la fabrication dans des conditions de précision et de qualité extrêmes, tous les éléments qui seront insérés entre le gros œuvre et la menuiserie extérieure. Le précadre PRESYSTEM® arrive sur chantier préassemblé et prêt à être posé, permettant d’effectuer, en une seule intervention, l’habillage complet fini du tour de baie de la fenêtre, supprimant ainsi les différentes phases du processus. Si le chantier de Saint-Maur-des-Fossés n’est pas d’une envergure importante de par sa taille (20 encadrements), une première collaboration est toujours une expérience unique. Pour le Groupe Lorillard, travailler avec ce produit innovant était donc une première. Le système Alpac précadre thermo-isolant (prémonté à emboiter dans la baie) est un système unique et complet, qui associe, au stade de la fabrication dans des conditions de précision et de qualité extrêmes, tous les éléments qui seront insérés entre le gros œuvre et la menuiserie extérieure. Le précadre PRESYSTEM® arrive sur chantier préassemblé et prêt à être posé, permettant d’effectuer, en une seule intervention, l’habillage complet fini du tour de baie de la fenêtre, supprimant ainsi les différentes phases du processus. Outre la haute expertise industrielle et technique, Alpac, propose des solutions sur-mesure en produisant des pièces uniques, s’adaptant à tous les types d’encadrements, et réalisées en différentes versions selon le type de finition du mur. &nbsp; Une collaboration exigeante au service du client La collaboration entre Lorillard Façade, Lorenove Grands Comptes et Alpac est l’illustration qu’une parfaite liaison entre façade et menuiserie a pu être assurée. Si initialement, les équipes n’avaient jamais travaillé ensemble, ce qui pouvaient poser quelques appréhensions ou questions quant au déroulement du chantier ou à la combinaison des différentes phases d’actions, la collaboration des équipes a parfaitement fonctionné : chacun, dans un souci d’humilité et d’exigence du travail bien fait, apprenant de l’Autre, et s’adaptant aux inconnues de l’équation et/ou aux imprévus. &nbsp; L’industrialisation du produit Alpac, éliminant les défauts de production tout en assurant des prestations rapides et de qualité, a permis à l’équipe de Lorenove Grands Comptes une mise en œuvre facilitée et une réduction des coûts du chantier. De la prise de cotes, au retour du précadre préfabriqué, jusqu’à la pose (phase pour laquelle tout le travail de retour en tableau de l’isolant et de traitement des arrêtes était évité grâce au rail intégré dans l’isolant et non en débords, la collaboration s’est avérée efficace et très rapide : un avantage considérable pour les professionnels intervenants (toutes les pièces arrivant en une seule livraison) comme pour les copropriétaires, qui ont vu le temps de chantier extrêmement réduit. Outre la simplicité de l’opération, la perfection des finitions due au choix des matériaux, donne un rendu unique : un rendu esthétique aux finitions très nettes en retour tableau, à laquelle s’ajoute la finition en peinture sur les plaques de fibre-ciment. Le système des montables, très bien pensé, et l’intégration du volet roulant dans l’isolant, permettent de dégager la fenêtre du volet roulant, offrant ainsi un gain d’éclairage naturel. Gain qui ne se fait nullement au détriment de l’isolation (laine de roche de chez Rockwool de 160 mm d’épaisseur) assurant, pour les copropriétaires, une parfaite isolation thermique et acoustique, les performances pouvant atteindre jusqu’à 30% de réduction des ponts thermiques. Cette efficacité énergétique contribue par ailleurs à réduire les dépenses de chauffage et de refroidissement pour les copropriétaires, dont le confort de vie est nettement amélioré, tout en participant à la protection et au respect de l’environnement. Avec le chantier de Saint-Maur-des-Fossés, Lorillard Façade, Lorenove Grands Comptes et Alpac marquent une synergie collaborative réussie, en terme d’intention, en apportant une réponse sur-mesure et de haute qualité aux attentes des copropriétaires, ainsi qu’en terme de modalités, en respectant un cadre financier équilibré. Cette collaboration efficiente pourrait fort bien se renouveler très rapidement ! &nbsp; &nbsp;
Il y a 4 ans et 190 jours

L’Ile-de-France signe pour plus de bois et de biosourcé

L’Hester, Rosny-sous-Bois. [©Sergio Grazia] Pour arriver à la neutralité carbone d’ici 2050, la route est longue… Dans l’état, le bâtiment fait toujours partie des activités les plus émettrices de carbone. Le choix des matériaux de construction, la performance globale du bâtiment sont autant de paramètres, qui pèsent dans la balance. Comme l’avait souligné l’association BBCA en 2018, 60 % du bilan carbone d’un bâtiment sont liés à sa construction. La Stratégie nationale bas carbone prévoit la réduction de 49 % (par rapport à 2015) de l’empreinte du secteur d’ici 2030. Si la rénovation est un axe important dans cet objectif, la construction neuve est aussi un enjeu majeur. La RE 2020 devrait engager le processus et ainsi éviter de construire les passoires thermiques de demain. Pourtant certains professionnels du secteur s’inquiètent de l’efficacité de la nouvelle réglementation. Et si la révolution environnementale venait d’ailleurs&nbsp;? Comme le dit si bien Julien Vidal dans son ouvrage éponyme «&nbsp;Ça commence par moi&nbsp;»&nbsp;! C’est le message que semble aujourd’hui porter la Région Ile-de-France. Appuyé par l’interprofession FIBois Ile-de-France, le Pacte Bois-Biosourcés rassemble près de 28 aménageurs et maîtres d’ouvrage. En créant de nouveaux marchés dans la région, le pacte a pour but d’accompagner la structuration des filières des matériaux biosourcés sur tout le territoire national. «&nbsp;Il incarne la solidarité entre les territoires, via la mise en place de relations vertueuses entre nos villes et nos forêts&nbsp;», explique Paul Jarquin, président de FIBois Ile-de-France. Près de 28 signataires au Pacte Bois-Biosourcés Ainsi, les signataires1 s’engagent à réaliser en 4 ans, entre 10 % et 40 % de constructions neuves ou réhabilitations en bois et/ou biosourcés. La moitié des bâtiments devra intégrer du bois en structure. Ils devront mettre tous les moyens en œuvre pour atteindre un objectif de 30 % de bois et matériaux biosourcés français. Et utiliser impérativement du bois issu de forêts gérées durablement. Enfin, les parties prenantes devront garantir l’atteinte de ces engagements via des référents bois. Ou encore, la formation des équipes de maîtrise d’ouvrage et le partage des connaissances avec les autres signataires… De son côté, la FIBois Ile-de-France compte soutenir de manière active les 28 engagés depuis le début. D’ailleurs, l’interprofessionnel a annoncé la mise en place d’un Observatoire de la construction bois et biosourcés en Ile-de-France dès 2021. Elle met en avant 4 axes de suivi&nbsp;: la traçabilité des matériaux pour favoriser les circuits courts, la régénération de la forêt francilienne, la valorisation de la ressource forestière locale. Et un accompagnement sur la complémentarité et les ponts avec des labels et certifications. Tels les labels BBCA, Bâtiment biosourcé ou E+C-… De plus, les signataires pourront bénéficier du regard des partenaires de la filière forêt-bois. A l’image de l’association BBCA, Collect’if Paille, Construire en Chanvre Ile-de-France. Ou encore, l’UICB et Ekopolis… 1Les signataires aménageurs&nbsp;: EPA Marne, EPA Sénart, EPA Paris-Saclay, EPFIF, Grand Paris Aménagement, EPA Orly Rungis Seine Amont, Paris et Métropole Aménagement, Semapa, Société du Grand Paris, Solideo.Les signataires bailleurs sociaux&nbsp;: Elogie-Siemp, CDC Habitat &#8211; Grand Paris Habitat, Groupe 3F, Paris Habitat, RIVP.Les signataires promoteurs immobiliers&nbsp;: Aventim, Bouygues Immobilier, CDU Immo, Continental Foncier, Icade, Kaneah, Linkcity, Marignan, Redman, REI Habitat, SemParisSeine, Woodeum.Les collectivités&nbsp;: La Région Ile-de-France.
Il y a 4 ans et 195 jours

Vinci gagne un contrat de 450 millions d'euros pour une autoroute australienne

"Vinci remporte le contrat de l'autoroute Sydney Gateway", a déclaré le groupe dans un communiqué.Le marché comprend la construction d'une portion d'autoroute vers l'aéroport de Sydney, principale ville australienne.Il "prévoit la construction et la rénovation de cinq kilomètres de voies, ainsi que la réalisation d'un échangeur, de 19 ponts, d'un autopont reliant les terminaux de l'aéroport et de pistes cyclables et piétonnes", détaille Vinci.Le marché représente un équivalent de 900 millions d'euros et Vinci partage le contrat à parts égales avec le groupe local John Holland.
Il y a 4 ans et 197 jours

Rénovation énergétique des bâtiments : une priorité nationale

En effet, un bâtiment mal isolé laisse la chaleur s'échapper par ses parois et vers l'extérieur. Pour passer à un bâtiment basse consommation, il faut penser à protéger " l'enveloppe globale " de manière pérenne. Le choix des matériaux est important. Il conditionne l'efficacité des travaux engagés, leur durabilité et le confort. La laine de roche ROCKWOOL est l'une des solutions les plus efficaces en matière d'isolation thermo-acoustique. Elle possède également d'excellentes propriétés en protection incendie et conserve ses performances pendant plus de 55 ans. Signataire de la charte FAIRE depuis son lancement en avril 2019, ROCKWOOL s'est engagé à soutenir le Plan de Rénovation énergétique des bâtiments qui vise à faire baisser la consommation énergétique et à éradiquer la précarité énergétique en 10 ans.Améliorer le confort tout en réduisant les dépenses énergétiques Grâce à sa densité et à la conductivité thermique, la laine de roche augmente l'inertie thermique de la paroi, permettant ainsi de conservant la chaleur à l'intérieur. Mais elle empêche également la chaleur de rentrer à l'intérieur lors des périodes estivales et garantie que la maison reste fraîche en été. Le confort thermique de l'habitat est alors amélioré, et les dépenses liés au chauffage et à la climatisation sont réduites, et ce tout au long de l'année, été comme hiver. Les produits ROCKWOOL offrent également une excellente protection acoustique : ils isolent et amortissent les vibrations et le bruit en absorbant ainsi de nombreuses nuisances sonores (voisins, trafic routier, ferroviaire ou aérien). Enfin, la sécurité de l'ouvrage est prioritaire. Il convient notamment d'anticiper le premier des risques : l'incendie. La laine de roche est non combustible par nature, elle agit pour contenir le feu et empêcher sa propagation et ne dégage pas de fumées toxiques. Rénover les murs extérieursFaçade sous enduit20 à 25% d'énergie passe par les murs. En rénovation, que ce soit en maison individuelle ou en appartement, les techniques d'isolation par l'extérieur ne sont pas toujours possibles. Alors comment faire ? ROCKWOOL propose des solutions qui s'adaptent à tous les styles architecturaux.La technique de pose d'isolant sous enduit est courante aujourd'hui lors d'un ravalement de façade. Il existe aujourd'hui des techniques permettant de reproduire à l'identique les détails architecturaux des façades appelés modénatures. Elles sont alors transposées sur la nouvelle façade de manière à conserver l'aspect du bâtiment ou bien à lui donner un nouveau style architectural.Les performances de la laine de roche associées à un large choix de coloris et de finitions couvrent tous les projets en rénovation. Avec la gamme Ecorock, ROCKWOOL propose plusieurs solutions dédiées à l'isolation par l'extérieur sous enduit.Isolation des murs extérieurs par l'intérieurLorsque vous ne souhaitez pas réaliser la rénovation des murs par l'extérieur (mur en pierre ou patrimoine architectural particulier), ROCKWOOL vous propose des solutions d'isolation par l'intérieur. Découvrez Rockmur, notre nouvelle solution thermo-acoustique polyvalente idéale pour isoler les murs par l'intérieur et les cloisons. Il apporte tout le confort souhaité tant dans son installation que dans son utilisation. Cette solution garantit des économies d'énergie, améliore le confort et maintient l'esthétique de la façade existante.Isoler la toitureLa toiture représente jusqu'à 30% des déperditions de chaleur d'un bâtiment. ROCKWOOL propose des solutions d'isolation adaptées à tous types de travaux autour de la toiture : en combles aménagés, combles perdus ou en isolation de la toiture par l'extérieur (sarking).Transformer les combles en espace de vie de qualitéVous souhaitez aménager les combles perdus en un espace agréable à vivre tout en apportant du confort intérieur : Rockcomble Evolution est la solution qui répond à toutes vos attentes. 100% laine de roche et 100% premium, cette solution vous offre un gain de temps et de confort de pose (jusqu'à 50% de temps gagné lors de la pose de l'isolant par rapport à une solution bicouche).Rockcomble Evolution assure un excellent confort intérieur non seulement en hiver, mais également en été, permettant de retarder et d'atténuer le transfert du flux de chaleur de l'extérieur vers l'intérieur et vice-versa et apporter ainsi du confort et du bien-être.Isoler les combles perdus pour un meilleur confortLes combles perdus, bien qu'inhabités, nécessitent une isolation performante qui permet d'apporter un confort thermique été / hiver dans les étages inférieurs, tout en réduisant la consommation d'énergie.L'isolation des combles perdus par soufflage est une méthode simple et rapide, adaptée à la rénovation. Cette technique du soufflage permet d'isoler les combles perdus dans les zones difficiles d'accès en éliminant les ponts thermiques. Jetrock 2 est la solution en laine de roche à souffler qui garantit une performance réelle et durable avec son lambda 44, meilleure performance thermique du marché en laine minérale soufflée. Réellement stable au vent sans déflecteur (jusqu'à une vitesse de vent de 126 km/h), ce produit est insensible à l'eau et à l'humidité grâce à son caractère non hydrophile et très durable dans le temps (classement S1).Il est également possible d'isoler les combles perdus à l'aide de rouleaux en laine de roche.Isoler les combles par l'extérieurAfin de donner un aspect esthétique à la maison, il est possible de conserver les éléments intérieurs apparents de la charpente de la toiture en choisissant d'isoler par l'extérieur (sarking).Rockciel, l'isolant spécial sarking, permet de limiter les déperditions de chaleur en hiver et évite la surchauffe des pièces sous-jacentes l'été tout en réduisant les bruits extérieurs. Il offre un gain de surface dans l'habitation, une durabilité dans le temps et d'excellentes performances thermiques ! Quel que soit votre projet, il existe une solution ROCKWOOL pour tous vos travaux de rénovation !
Il y a 4 ans et 198 jours

Airium isole désormais les combles perdus

En collaboration avec l’industriel PRB, LafargeHolcim lance une nouvelle application pour sa mousse minérale Airium : l’isolation des combles perdus. [©LafargeHolcim] En collaboration avec l’industriel PRB, LafargeHolcim lance une nouvelle application pour sa mousse minérale Airium : l’isolation des combles perdus. Depuis sa commercialisation en 2017, la mousse Airium est mise en œuvre dans les blocs béton des industriels du GIE France Blocs (Alkern, Fabemi et Seac), leur conférant une isolation performante. Désormais, elle est applicable en combles perdus. Ainsi, LafargeHolcim s’appuie sur son réseau d’applicateurs formés, agréés et suivis par les équipes Airium et PRB, capables d’intervenir sur l’ensemble du territoire. Un partenariat qui va accélérer le développement commercial de la solution, tout en ciblant un réseau d’applicateurs “premium”. Ceci, parmi les entreprises d’isolation de combles (souffleurs), le réseau de chapistes LafargeHolcim et le réseau de façadiers de PRB. Enfin, pour célébrer le lancement de cette offre conjointe, PRB et Airium seront présents au départ le 8 novembre prochain du Vendée Globe sur le bateau de Kevin Escoffier. Un partenariat avec PRB « Le partenariat avec Airium offre un grand intérêt pour PRB, car nous sommes déjà très présents sur le marché de l’isolation du bâtiment,souligne Jean-Jacques Laurent, président du directoire de PRB.&nbsp;Cette innovation nous permet d’élargir notre offre pour nos clients façadiers. Mais aussi spécialistes de l’isolation, avec une solution performante et haut de gamme pour isoler les combles. »&nbsp;Et François Petry, directeur général LafargeHolcim France, d’affirmer :&nbsp;« L’innovation est un axe de développement fort pour LafargeHolcim. Cette nouvelle application Airium Combles offre de toutes nouvelles possibilités pour leur isolation, pour le neuf comme pour la rénovation. Sa faible empreinte carbone est un atout de plus pour répondre à la priorité donnée par le gouvernement à la rénovation énergétique avec la PrimeRénov’ ». Pour l’isolation des combles perdus Les équipes de recherche et développement de LafargeHolcim ont ainsi mis au point une mousse dédiée à l’isolation des combles perdus, permettant une performance thermique maximale en hiver. Ainsi qu’un confort maximal face aux pics de chaleur en été. Grâce à un temps de déphasage supérieur à 9 h. Cette solution est éligible aux combles à 1 € dans le cadre du dispositif des Certificats d’économie d’énergie (CEE). La texture fluide d’Airium assure un remplissage dans tous les recoins pour supprimer les ponts thermiques. Autres avantages pour les combles, la mousse résiste au feu, aux rongeurs, mais aussi au vent, grâce à sa rigidité une fois sèche. De plus, fabriquée et pompée sur place, elle ne dégage aucun COV. Et présente un bilan carbone réduit de 26 kg CO2/m3, soit 4,6 kg eq CO2/m² pour R = 7 m2.K/W. Enfin, sa composition 100 % minérale en fait un produit entièrement recyclable pour favoriser l’économie circulaire.
Il y a 4 ans et 198 jours

XtreeE remporte de nouveaux projets et accélère le développement de son réseau d'unités d'impression 3D

Un partenariat d'innovation pour la conception d'une passerelle en béton imprimé en 3D - une première mondialeEn prévision des Jeux Olympiques de 2024, Plaine Commune Grand Paris a confié au groupement dirigé par Freyssinet en association avec Lavigne & Cheron Architectes, Quadric, XtreeE et LafargeHolcim la conception et la réalisation d'une passerelle piétonne de 40 mètres dont le tablier sera entièrement réalisé en béton imprimé 3D structurel.Ce projet, qui combine des expertises technologiques complémentaires, ouvre la voie à la réalisation d'éléments architecturaux et structurels complexes en béton et au développement de solutions personnalisées sur mesure, à coûts et délais maîtrisés.Pour cette première mondiale, avec l'impression en 3D de béton structurel, la construction entre pleinement dans l'ère de l'industrialisation 4.0. La conception numérique de l'ouvrage, la réalisation dans des conditions industrielles des éléments de la passerelle et leur assemblage rapide sur le chantier apportent agilité et frugalité : moins de transport, suppression des coffrages, donc moins de matière consommée (objectif de réduction de 60% comparé aux ouvrages en béton) et une grande liberté dans les formes pour les architectes, dans un budget maîtrisé.Cet ouvrage, qui combine la conception numérique et la construction par impression 3D, sera précurseur d'une nouvelle typologie de conception, pouvant être déclinée en France et dans le monde… et valide pleinement le procédé d'impression 3D mis au point par XtreeE depuis 2015, date de sa création.Une technologie d'impression 3D hors site éprouvée offrant de multiples débouchésContrairement à la grande majorité des systèmes existants, le système d'impression « ouvert » développé par la startup permet d'imprimer non seulement divers types de béton - lui ayant permis de collaborer étroitement avec divers partenaires industriels (LafargeHolcim, Vicat, Heidelberg…) - mais aussi d'autres matériaux tels que les plâtres, les argiles et les géopolymères.Combinée à la préfabrication hors site, cette technologie protégée par plusieurs brevets internationaux permet d'accroître de manière significative la qualité garantie du rendu, d'abaisser les coûts, de diminuer les nuisances pour les riverains, d'augmenter la sécurité sur les chantiers et de réduire la pénibilité pour les ouvriers. XtreeE a ainsi été en mesure de démontrer la viabilité de l'impression 3D en prenant part à plus d'une quarantaine de réalisations et projets en cours, qu'il s'agisse d'éléments architecturaux, d'infrastructures ou encore de mobilier intérieur et extérieur. Parmi les plus emblématiques, on pourra notamment citer les pylônes télécoms conçus sur mesure par Art & Fact Innovation, la conception des murs porteurs des cinq maisons individuelles du projet « Viliaprint© » porté par le bailleur social Plurial Novilia, ou encore celui d'aménagement et de mobilier urbain, piloté par le Groupe Saint-Léonard et réalisé pour le compte de la ville d'Istres.La somme de ces réalisations témoigne non seulement de la croissance du marché de l'impression 3D pour la construction - estimé à près de 40 milliards de dollars US en 2027 à l'échelle mondiale - mais aussi et surtout de la maturité de la technologie développée par XtreeE, qui démontre sa capacité à passer à une dimension industrielle et internationale.L'ouverture prochaine de deux nouvelles unités d'impression 3D connectées aux États-Unis et au Japon en est la matérialisation. Elles lui permettent en outre de consolider son modèle de développement et conforte l'objectif qu'elle s'est fixé : structurer un réseau de 50 unités à l'horizon 2025.Un réseau d'unités d'impression 3D connectées pour une meilleure collaborationEn effet, après son usine pilote de Rungis, un premier système opérationnel à l'École des Ponts ParisTech (France) et l'ouverture aux Emirats Arabes Unis en juin 2019 d'une deuxième unité de production, opérée par Concreative, XtreeE accélère son déploiement pour atteindre cinq unités opérationnelles d'ici fin 2020, et en prévoit l'ouverture de deux autres dès le 1er trimestre 2021, en France notamment.Ce réseau doit permettre à terme de produire efficacement, aux quatre coins du globe, des éléments de construction structurels sur mesure, sur la base de sa technologie. « En se dotant d'une unité d'impression 3D connectée, nos clients acquièrent non seulement la capacité de produire eux-mêmes, au plus proche de leur marché, mais aussi celle de maîtriser la chaine numérique de conception de leurs réalisations en collaborant au sein du réseau que nous sommes actuellement en train d'étendre », conclut Alban Mallet.
Il y a 4 ans et 202 jours

Le ScanTubes® : relevé 3D à grand rendement et inspection photogrammétrique de structures tubulaires

Pour répondre aux enjeux de surveillance et de gestion de la durabilité des infrastructures de génie civil tout en prenant en compte les problématiques de contraintes d’exploitation et d’exhaustivité des constats, SITES a développé une solution dédiée innovante conforme aux instructions techniques ITSEOA : le ScanTubes®. Ce système unique offre la possibilité de réaliser l’inspection visuelle et géométrique de différents types d’ouvrages tout en minimisant le délai d’intervention et les impacts sur l’exploitation (tunnels routiers et ferroviaires, puits, etc.). L’outil ScanTubes® parcourt des structures tubulaires horizontales ou verticales pour réaliser automatiquement des photos haute résolution à 360° à partir de 12 caméras industrielles numériques calibrées avec des flashes asservis. Concrètement, le système ScanTubes® est poussé sur un chariot routier ou ferroviaire, ou bien suspendu au bout d’un câble, et prend dynamiquement des images jusqu’à une vitesse de 3 km/h. Un odomètre déclenche précisément les clichés et les rattache en points kilométriques. Ce relevé exhaustif permet ensuite de modéliser via traitement photogrammétrique le jumeau numérique de l’ouvrage afin d’être inspecté et potentiellement comparé dans le temps lors de futures inspections. &nbsp; EN EXEMPLE INSPECTION DÉTAILLÉE DE LA LIGNE b DU MÉTRO DE RENNES MÉTROPOLE Sur la future ligne b du métro de Rennes Métropole, SITES a déployé son système ScanTubes® pour le compte de la Semtcar (Société d’Économie Mixte des Transports Collectifs de l’Agglomération Rennaise), Maître d’Ouvrage sur cette infrastructure de transport en commun en construction. En quelques heures, 8 600 m du métro (environ 8 000 m de tunnel et 600 m de tranchées couvertes) ont été parcourus et entièrement photographiés à 360°. Le jumeau numérique créé à l’issue de ce relevé sert de support aux experts SITES pour inspecter, relever de potentiels désordres, extraire une cartographie précise et donner au Maître d’Ouvrage une vision globale de l’état de la structure. Ce procédé permet également de conserver une archive numérique (visuelle et géométrique) de l’installation à l’instant t &nbsp; LE SYSTÈME SCANTUBES® PAR SITES L’inspection sur la base des supports numériques permet aux ingénieurs de détecter, d’identifier et de cartographier tous les décollements, les fissures, les venues d’eau ou encore les traces d’infiltration avec un seuil de détection de l’ordre du millimètre. SITES met à profit ce système dans le cadre de relevés et d’inspections de tunnels routiers ou ferroviaires, de conduits de ventilation, d’intérieurs de piles de ponts, de silos, de puits, de cheminées ou de conduites forcées en France et à l’International. &nbsp; A propos Fondé en 1984, SITES est un acteur référent et indépendant qui apporte son expertise et son savoir-faire au service d’infrastructures durables. SITES, compte plus de 400 docteurs, ingénieurs et techniciens, 5 agences en France, 3 filiales en Chine, en Afrique du Sud et en Arabie Saoudite, générant un chiffre d’affaires de 35.1 M€ en 2019. Avec plus de 5 000 structures suivies en France et à l’international, les équipes de SITES interviennent sur tous types de structures (nucléaire, infrastructure de transport, énergie, industrie sensible, patrimoine et monument historique, bâtiment, voisinant naturel et défense) avec un large spectre de compétences : ingénierie, monitoring, instrumentation, expertise, inspection ou encore assistance technique aux maîtres d’ouvrage. &nbsp; Contacts Presse : Sylvain KOLLI Chargé de communication 04 37 49 94 98 &#8211; sylvain.kolli@sites.fr Christelle THAVEL DUBOURG Consultante Sénior RP-Social Media 06 13 82 17 68 &#8211; christelle.d@oxygen-rp.com Anne MASSON Directrice Clientèle anne@oxygen-rp.com
Il y a 4 ans et 205 jours

L’importance d’une isolation des combles

Une isolation des combles sert à garder l’air chaud dans l’habitation par des matériaux isolants afin d’éviter la déperdition de la chaleur et d’économiser de l’énergie. Cette méthode est la plus efficace pour réduire la consommation de l’énergie des climatiseurs ou des ventilateurs tout en stabilisant la température dans le logement. L’isolation de comble se fait par l’intérieur de la toiture. Plusieurs méthodes sont appliquées pour rendre les combles étanches et confinés. À quoi sert une isolation de combles ? Une isolation des combles  est utile pour réduire les échanges de chaleur entre l’intérieur du bâtiment et l’environnement extérieur. Elle permet de diminuer les besoins énergiques du chauffage pour améliorer la température à l’intérieur d’une maison. D’après l’opinion des spécialistes, une isolation des combles sert à mieux conserver la chaleur à l’intérieur en hiver et à garder la fraicheur de l’air en été. De ce fait, une meilleure isolation des combles réduit la consommation d’énergie qui est actuellement très onéreuse. Elle permet aussi en même temps de contribuer à la lutte contre le gaspillage énergétique et à la lutte contre le réchauffement climatique. En réalité, le comble se trouve sous la toiture délimité par le dernier plancher et les versants du toit. En étant le soutien de la charpente et des poutres, il peut garantir la sécurité de la maison. Il peut être aménagé ou non. Pour éviter la déperdition de la chaleur, il est utile de bien l’isoler pour faire face aux intempéries et aux contraintes climatiques existantes. Ce genre de travaux permet d’empêcher l’air chaud d’échapper dans cet espace et de stabiliser la température dans le logement. Il permet aussi de garantir le confort thermique de chaque chambre. En outre, l’isolation des combles perdus ou aménagés est une bonne initiative pour améliorer la performance énergétique du logement. Une maison bien isolée diminue exponentiellement sa consommation énergétique et fait baisser ses charges en électricité. On participerait également à la protection de l’environnement. Une consommation énergétique très élevée engendre une énorme émission de gaz à effet de serre qui pollue l’écosystème. &nbsp; Principe d’isolation de combles Il existe différentes façons pour isoler un comble notamment l’isolation par le plancher où on installe des couches de laines minérales, des rouleaux ou des panneaux afin d’encloisonner les combles et de ne laisser aucun échange d’air dans la toiture. Mais avant d’effectuer les travaux, il faut considérer les problèmes de la toiture et s’assurer que l’endroit est totalement en bon état. Dans le cas où il existe une fissure au niveau des tuiles, il faudrait remplacer le toit par un nouveau. Tout type d’anomalie sur la toiture serait un obstacle au mauvais fonctionnement des isolants. Effectivement, il peut y avoir des fuites d’eau, des problèmes d’étanchéité ou encore des ponts thermiques si l’isolation n’est pas très bien réalisée. Il existe trois types de toiture notamment le toit-terrasse, la toiture sur combles aménagés et les combles perdus. Pour ces derniers, les isolants comme la laine minérale et les panneaux de polystyrène sont utilisés pour l’isolation. En ce qui concerne les combles aménageables, les rouleaux de laine minérale sont aussi adaptés ainsi que les isolants synthétiques et les plaques de plâtres. Les isolants adaptés à ce type de combles sont les rouleaux de laine végétale qui peuvent être installés au-dessous de la toiture, le pare-vapeur qui limite la transmission de vapeur d’eau, les isolants synthétiques comme le polystyrène, le polyuréthane ou simplement les couches de plâtre et crépis. Pour les combles perdus, les laines minérales et les panneaux de polystyrène peuvent faire l’affaire en les posant simplement sur le plancher. Pour l’isolation de comble par les murs, elle se fait sur la façade en améliorant l’étanchéité de la toiture et en débouchant la gouttière si nécessaire. Cette technique d’isolation des combles nécessite l’imperméabilité de la couverture afin d’éviter toute infiltration et fuite d’eau venant de l’extérieur vers l’intérieur. Avantages d’une isolation des combles Une isolation des combles de qualité est très avantageuse pour une maison parce qu’elle peut offrir un confort optimal. Elle apporte aussi d’autres potentialités comme la réduction de la consommation énergétique. Actuellement, le coût de l’énergie ne cesse d’augmenter et l’isolation thermique se présente comme une solution à long terme pour économiser de l’énergie consommée par la climatisation ou la ventilation. Les isolants permettent ainsi de garder l’air frais durant l’été et de conserver l’air chaud pendant l’hiver. Ce qui apporte une efficacité éco énergétique d’une habitation et une réduction des dépenses en énergie. L’isolation des combles offre également une excellente isolation sonore. Les isolants pour intérieur comme l’isolation des murs et des fenêtres contribuent à une isolation thermique, mais en même temps à l’absorption du son qui vient de l’extérieur. Ils réduisent la propagation du son à l’intérieur de la maison et offrent une certaine intimité et tranquillité de la demeure. Par ailleurs, une isolation des combles performante supprime les risques de condensation qui est souvent responsable de la dégradation prématurée du bâtiment. En effet, un comble isolé est plus résistant et bénéficie en même temps d’une performance thermique. Comparaison d’une maison avec et sans isolation des combles Comme cité au-dessus, l’isolation des combles permet de réduire les déperditions de chaleur à travers les parois et les isolants. Durant la saison d’été, elle fait obstacle à la chaleur extérieure et en hiver, elle apporte un excellent confort à l’intérieur de chaque pièce de la maison. Si une maison est bien isolée principalement au niveau des combles, les occupants peuvent donc être sûrs de vivre sereinement. Ils n’auront pas besoin d’installer un nouveau système de chauffage qui peut être très coûteux au niveau de la facture. Ensuite, un comble bien isolé permet également de profiter d’un excellent classement sur l’étiquette du Diagnostic de Performance énergétique. Une maison avec isolation des combles dépense moins d’énergie électrique pour le chauffage. Elle économise jusqu’à 30 %. Ce n’est pas tout, les propriétaires qui décident de faire ce genre de travaux bénéficient d’une aide financière venant de l’État. On peut donc dire qu’une maison bien isolée au niveau des combles offre un excellent confort et une performance énergétique par rapport à la maison non isolée.
Il y a 4 ans et 211 jours

Roger Lacroix : En toute discrétion …

Retrouvez cet article dans le n° 74 de Béton[s] le Magazine C&rsquo;est en 1960 que Roger Lacroix rejoint la SGE, revenant aux sources du génie civil. Il réalise alors le premier pont d’Oissel (76). [©Freyssinet] Ce sont ses amis et anciens collègues, qui parlent le mieux de Roger Lacroix (1928-2016). Ce polytechnicien et ingénieur des Ponts et Chaussées, qui a œuvré dans l’ombre, aux avancées du monde de la construction. De par ses actions au sein de différents grands groupes de BTP. « Roger Lacroix a fait progresser l’art de construire. Il avait le don de simplifier les questions les plus complexes [&#8230;]. Mon père, à qui il avait succédé comme président de la Fédération internationale de la précontrainte, ne tarissait pas d’éloges à son endroit. En ce qui me concerne, j’ai pu apprécier sa faculté de mener à bien les expertises judiciaires les plus ardues. Alliant la compétence technique, l’autorité pour diriger les débats et le sens du théâtre », se souvient Frank Guyon, président de l’Association Eugène Freyssinet. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 74 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 218 jours

ConstruirAcier récompense 10 projets d'architecture en acier aux échelles variées et expressions fortes

« Ce palmarès témoigne et exprime à quel point l'acier est bien cet outil indispensable à la fabrication d'immeubles dont la destination ne se résume pas au monde industriel mais s'élargit aux ouvrages dont l'usage est domestique, le contenu technique ou la dimension publique accomplie. »-Francis Soler, Président des 6e Trophées Eiffel Déléguée générale et directrice de la communication de ConstruirAcier, Charlotte Flores a salué l'audace architecturale des réalisations primées et rappelé que la filière acier-construction s'inscrit bien dans cette dynamique créative. « Le matériau acier propose aujourd'hui des solutions innovantes pour construire bien, fiable, rapide, responsable, durable, résilient, économique et performant, a-t-elle souligné. La crise sanitaire et économique que traverse le monde et la France pousse aujourd'hui à reconsidérer les schémas d'action et de pensée dans la construction. Patrimoniale, industrielle et architecturale, pleinement ancrée dans les territoires avec ses 175 000 emplois, dotée d'une forte capacité de production, la filière acier-construction est prête pour apporter le meilleur dans la construction française et participer aux grands chantiers des métropoles ». Les 10 lauréats des 6e Trophées Eiffel dans 10 catégories sont…Catégorie APPRENDRE - regroupe tous les lieux d'enseignement publics ou privés, centres de formation, crèches Lycée Léonard de Vinci, St Germain en LayeMaître d'ouvrage : Région Ile-de-France, Maîtrise d'ouvrage déléguée : IDF Construction DurableArchitecte : TANK Architectes & COSABET : Bollinger + GrohmannConstructeur métallique : Baudin-ChâteauneufConstructeur : Colas Catégorie ARCHITECTURE ET INGENIERIE (nouvelle catégorie 2020)Hippodrome PARIS LONGCHAMPMaître d'ouvrage : France GALOPArchitecte : Dominique Perrault ArchitecteBET : TRACTEBELBE METAL : JAILLET-ROUBYCatégorie DIVERTIR -regroupe stades, gymnases, salles de sport, équipements culturels...Halle multifonctionnelle - Le forûm, Soults-sous-ForêtsMaître d'ouvrage : Commune de Soultz-Sous-Forêts, HohwillerArchitecte : RHB ArchitectesBET : ALEC STRUCTUREConstructeur métallique : WILHELM SACatégorie FRANCHIR - regroupe viaducs, ponts, passerelles et tout ouvrage de franchissement Passerelle de l'Aiguille Rouge, Bourg-Saint-MauriceMaître d'ouvrage : ADSArchitecte : SG ArchitecteBET : KEOPSConstructeur métallique : Bellet IndustrieCatégorie HABITER - regroupe logements collectifs ou individuelsVilla Rohan, BordeauxMaître d'ouvrage : Natcha COSTAArchitecte : Atelier CambiumBET : C3Constructeur métallique : C2BCatégorie TRAVAILLER - regroupe immeubles de bureaux, bâtiments de production, de logistiques, de commerce... BT6 – Réhabilitation d'un entrepôt et surélévation du bureaux, BèglesMaître d'ouvrage. SCI Terres NeuvesArchitecte : Nadau Architecture / Faye Architectes et AssociésBET : IBCConstructeur métallique : SOBLACOCatégorie INNOVATION - présente une innovation architecturale et environnementale majeureSuper Pausée, PloemelMaître d'ouvrage : La Belle FolieArchitecte : vous architectureBET : Yohann LesléConstructeur métallique : BfactoryCatégorie PRIX SPECIAL RESTRUCTURATION (nouvelle catégorie 2020 souhaitée par Francis Soler). Carré Michelet, la DéfenseMaître d'ouvrage : Gecina (Eurosic)Architecte : Cro&Co ArchitectureBET : CE IngénierieConstructeur métallique : Gagne Catégorie VOYAGER - regroupe gares, aéroports, pôles de transport, parkings, téléphériques...Nouveau Terminal T1, Aéroport de Lyon-Saint ExupéryMaître d'ouvrage : Aéroports de LyonArchitecte : Rogers Stirk Harbour – Partners / ChabanneBET : Technip TPS Catégorie INTERNATIONAL - présente un projet architectural internationalDen Blå Planet, l'aquarium national du Danemark, CopenhagueArchitecte : 3XNMaître d'ouvrage : The Building Foundation, Den Blå PlanetComposition du jury des Trophées Eiffel 2020Président du Jury :Francis Soler, architecteJacques Sebbag, architecte, archi5Olivier Leclercq, architecte, vice-président de la maison d'architecture, Île-de-FranceMitsu Edwards, ingénieure directrice adjointe, Eckersley O'CallaghanAmélie Luquain, architecte et journaliste spécialisée, Le MoniteurNadège Mével, rédactrice en chef EXEGilles Davoine, rédacteur en chef de AMCChristophe Leray, rédacteur en chef de Chroniques d'architectureDavid Abittan, rédacteur en chef de tema.archiChristine Le Nouy, secrétaire générale SCMFPour Stéphane Herbin, architecte, Directeur du département Innovation au CTICM (centre technique et industriel de la construction métallique), présent lors de la remise des Trophées Eiffel « Il faut construire, encore plus aujourd’hui, en s’interrogeant sur « le bon matériau au bon endroit ». « A travers ces trophées, nous en avons une belle illustration. Au-delà de ses propriétés de protection anti-feu, de légèreté et de solidité, l’acier permet de répondre aux préoccupations environnementales et aux enjeux de l’économie circulaire. Les solutions constructives de l’acier sont propices à l’économie de ressources et au réemploi. Elles permettent de s’associer à tout autre matériau pour aborder la construction neuve et la rénovation. Grâce à la poutre cellulaire, il est possible de gagner un étage en plus tous les sept niveaux. Les produits de construction en acier sont aussi recyclés jusqu’à 98 % pour les poutres.Engagée dans le Comité Stratégique de Filière « Industries pour la construction », la filière place l’innovation au cœur de ses priorités : transition numérique et industrie du futur, fabrication additive, BIM, traçabilité et modularité grâce à la préfabrication, déconstruction programmée, prévention de la production de déchets… Dans l’analyse du cycle de vie qui prend en compte 26 indicateurs, l’acier a des résultats très significatifs concernant 25 critères en matière d’impact de zone photochimique, de déchets, d’eau…Le critère carbone, quant à lui, est un sujet de recherche avancée pour limiter son impact. L’acier est un matériau démontable, évolutif, qui favorise la réhabilitation, la surélévation et la mixité des matériaux. Ces atouts sont à prendre en compte aujourd’hui. »
Il y a 4 ans et 218 jours

Schöck confirme son expertise en ITE et ITI avec plusieurs réalisations dans les Hauts-de-France

Toujours à Lille, dans la ZAC Arras, c'est une résidence étudiante de 130 appartements doublée de 43 logements collectifs qui accueillent les solutions Schöck. Deux autres bâtiments résidentiels ont également été équipés de rupteurs de ponts thermiques, l'un à Roubaix, dans le cadre de la reconversion d'un ancien site des 3 Suisses, l'autre à Armentières.Un florilège de réalisations qui montre l'étendue du savoir-faire de ce fervent défenseur de l'homogénéité de l'enveloppe des bâtiments sachant répondre à toutes les configurations de chantiers possibles : qu'il s'agisse de façades en briques, en béton peint et matricé, ou encore de mur rideau, à l'instar de la richesse des systèmes constructifs particulièrement variés des façades dans le Nord.Biotope de Lille, mode constructif en ITE et façade rideau74 balcons en porte-à-faux traités thermiquement et structurellement grâce aux 450 unités de rupteurs Schöck Rutherma® type K, K-BH et ESi ; 470 m2 de prémurs isolés avec environ 2 000 connecteurs thermiques Schöck Isolink®.Le 27 décembre 2019, la Métropole Européenne de Lille s'est vue remettre les clés du bâtiment qui doit accueillir prochainement ses 30 000 m2 de bureaux sur 7 étages, au cœur du 3ème quartier d'affaires de France (après Paris et Lyon).Imaginé par les architectes Henning Larsen Architects (Copenhague) et Keurk Architectures (Lille), avec pour maître d'ouvrage Linkcity Nord-Est et constructeur Bouygues Bâtiment Nord-Est1, le Biotope s'avère ambitieux en matière de qualité environnementale, affichant 5 certifications BREEAM, WELL, E+C-, Biodivercity et Wiredscore. Sa conception s'appuie sur la recherche du bien-être et de la performance de ses occupants, en favorisant notamment la lumière (via de grandes ouvertures donnant sur des terrasses végétalisées) et l'usage de matériaux naturels comme le bois ou la pierre.Initialement envisagé dans le cadre de la candidature de Lille à l'accueil de l'Agence Européenne des Médicaments, le bâtiment devait être réalisé en seulement un an et demi. Cette rapidité de construction est restée un objectif majeur quand la MEL s'est finalement vue confier le projet. En vue de garantir l'homogénéité thermique du bâtiment, Schöck a été retenu pas Bouygues Construction pour la fabrication et la livraison de rupteurs adaptés à la configuration de ce chantier.Autre critère qui a imposé Schöck sur le marché : le fait que ses solutions soient les seules du marché sous Avis Technique en configuration sismique en ITE, or le bâtiment, de catégorie d'importance 3, est construit en zone 2.C'est ainsi que Schöck a déployé 200 ml de rupteurs Schöck Rutherma® type K pour les balcons en porte-à-faux classiques et 100 modèles Schöck Rutherma® type K-BH pour les balcons décalés vers le haut (décalage de 30 à 60 cm par rapport au nu supérieur du plancher). 150 unités complémentaires Schöck Rutherma® module ESi, garantissant une reprise des efforts sismiques, ont été intercalées entre les éléments Schöck Rutherma® type K et K-BH.Notons également que 470 m2 de prémurs isolés au rez-de-chaussée ont intégré des connecteurs thermiques Schöck Isolink® pour garantir l'homogénéité de l'enveloppe du bâtiment.En droite ligne de sa politique d'accompagnement client et la traçabilité de ses produits, Schöck a assuré un suivi complet des différentes phases d'intégration des rupteurs dans les balcons chez le préfabricant et sur le chantier auprès de Bouygues Construction afin de s'assurer que les rupteurs suivent la ligne courbe des balcons.Schöck Rutherma® type KLe rupteur Schöck Rutherma® type K, affichant un corps isolant de 80 mm d'épaisseur, est un élément structurel et thermique pour les balcons en porte-à-faux. Améliorant les performances acoustiques en termes de bruits d'impacts selon le référentiel QUALITEL H&E, les rupteurs Schöck présentent donc une valeur ajoutée thermique ET acoustique.Schöck Rutherma® type K-BHCette variante du type K s'applique dans des configurations où le nu supérieur de la dalle du balcon est décalé par rapport au nu supérieur de la dalle intérieure.Schöck Isolink®Ces connecteurs en fibres de verre représentent une alternative aux armatures en acier inoxydable pour le raccord des parois en béton des panneaux sandwich ou mur à coffrage et isolation intégrée. Avec des avantages exceptionnels : résistants au milieu alcalin et à la corrosion, ces connecteurs se révèlent faciles à découper et bénéficient d'une très faible conductivité thermique.Schöck Rutherma® module ESiPour répondre à des exigences parasismiques, des modules type ES ou ESi (Eléments Sismiques) existent en ITE et peuvent être mis en place afin d'être conforme à la réglementation en vigueur.Lille, Zac ArrasSchock participe à la construction d'une résidence étudiante de 130 appartements en ITI et d'un collectif de 43 logements, via ses rupteurs Schöck Rutherma® DF.Au sein de la dynamique Zac Arras Europe, où vient de s'implanter la nouvelle chambre des métiers ainsi que de nombreux sièges sociaux (dont le groupe Décathlon), bénéficiant également de nouveaux équipements sportifs et culturels, Schöck est intervenu, en 2019, à la fois sur une résidence étudiante de 130 appartements et un immeuble de 43 logements (NF Habitat et RT 2012) pour Bouygues Immobilier.La singularité de la résidence étudiante, à l'accès sécurisé avec un bel espace paysager central, se situe dans ses façades matricées signées par l'Agence Zig Zag Architecture. En effet, on associe souvent un mur matricé à l'impossibilité d'y poser des rupteurs. Or, Schöck maîtrise parfaitement l'exercice. Dans le cadre d'un rendu matricé, un seul arrêt de bétonnage s'avère nécessaire au lieu des deux habituels : c'est cette solution clé en main que propose Schöck.La pose de rupteurs Schöck Rutherma® type DF a été réalisée intégralement sur chantier et là-encore l'entreprise de maçonnerie a pu apprécier l'accompagnement et le suivi dispensés par les intervenants Schöck. L'interaction et les échanges réguliers avec l'entreprise de construction Holbat, le BE Thermique et le BE Structure, afin d'atteindre la conformité RT 2012 de l'immeuble collectif, ont véritablement contribués au succès du projet.Les rupteurs dalle-façade ont été mis en place sur les planchers intermédiaires (situés entre 2 logements) et les planchers hauts (toiture terrasse).Concernant les 43 logements collectifs, 30 ml de rupteurs Schöck Rutherma® type Ki ont également été mis en œuvre sur les coursives.Schöck Rutherma® type DF, DF-VMEléments de jonction entre la dalle intérieure et la façade, les rupteurs type DF comportent, en partie inférieure, 4 pattes de fixation par mètre qui peuvent être agrafées au coffrage pour assurer un maintien optimal lors du coulage béton de la dalle : une sécurité garantissant une stabilité renforcée du rupteur sur le plancher.Schöck Rutherma DF vient de célébrer ses 20 ans d'ATec et se révèle le seul rupteur du marché à bénéficier d'une FDES, affichant un impact carbone de 14.4 kgCO2/ml contre une valeur INIES de 120 kgCO2/ml calculée par le CSTB. Un véritable atout pour les architectes et les bureaux d'études thermiques quant à leurs choix de solutions techniques pour atteindre les labels du E+ C- !Roubaix et ArmentièresRespectivement 44 et 33 appartements collectifs, ayant bénéficié d'un traitement des ponts thermiques en ITIA Roubaix, porté par le promoteur BC Neoximo et signé par l'agence Maes Architectes et Urbanistes, le projet a consisté à convertir un ancien entrepôt des 3 Suisses et à construire une résidence neuve de 44 logements. Au-delà du traitement classique des liaisons dalles-façades avec des rupteurs, Schöck Rutherma® type DF (251 ml au total), l'intérêt de cette réalisation portait sur une solution globale de fourniture de rupteurs associée à la celle des coffrages de rives de dalles Schöck ASE. Dans le cas de la résidence de Roubaix, 216 unités d'une longueur de 1,25 ml (longueur spécifique pour un usage chantier) ont été nécessaires pour coffrer les rives de dalles.Concernant la résidence de 33 logements d'Armentières conçue par l'agence Delassus Dumoulin Prévost Architectes et réalisée pour Pierres & Territoires de France Nord (du T2 au T4), des rupteurs Schöck Rutherma® type Ki30 ont été retenus afin de traiter les ponts thermiques des balcons en ITI (80 ml) et assurer l'homogénéité de la façade. Soulignons que pour ce chantier, un intervenant Schöck est passé à chaque niveau de plancher (PH RDC, PH R+1 et PH R+2), s'assurant que les équipes de construction étaient correctement formées à la pose des rupteurs.Schöck ASERappelons que Schöck ASE répond à la réalisation d'éléments de construction en béton apparent - rives de prédalle, balcon, mur, coffrages de poutre, ou encore coffrages de rive dans une configuration de pose avec rupteurs - dont la surface homogène (en béton fibré extrudé C40/50), sans bulles ni aspérités, représente un véritable atout esthétique.Livrés prêts au montage, dans une longueur maximale de 2.70 ml, il suffit simplement de couper ces ASE pour obtenir la dimension et l'angle souhaités. Leur assemblage est également facilité grâce aux clips de jonction droits et d'angles qui assurent un alignement parfait, les queues d'arondes créant une liaison mécanique avec le béton frais.
Il y a 4 ans et 224 jours

L’école des Ponts ParisTech et Sanef s’associent pour une chaire

Signature de la chaire industrielle Sanef-Abertis par Sophie Mougard, directrice de l’École des Ponts ParisTech et Arnaud Quémard, directeur général de Sanef le 1er octobre 2020 [© Anthony Gasparetto] L’école des Ponts ParisTech et Sanef annoncent la création d’une chaire industrielle sur 4 ans, baptisée Sanef-Abertis. Cette dernière a pour thème l’auscultation non destructive des armatures de précontrainte extérieures des ouvrages d’art. Son objectif ? Travailler sur l’étanchéité des gaines de précontrainte. Et donc sur le bon fonctionnement des câbles que celles-ci renferment. Cette idée de chaire est apparue après la rupture d’un câble sur le pont de l’Ile de Ré en septembre 2018. Surveiller et rénover les précontraintes extérieures sont désormais une obligation. Par ailleurs, la chaire industrielle Sanef-Abertis désire acquérir une expertise dans le domaine de la rénovation. Celui-ci permettrait de sécuriser, de surveiller et d’organiser des travaux de maintenance sur les ouvrages d’art.  De plus, Jonas Aparicio, ingénieur à l’école des Ponts, souhaite développer une méthode qui permettrait de simuler les conditions climatiques sur terrain. Et donc, à terme d’analyser les points de corrosion, d’évaluer les défauts et leurs évolutions. La chaire industrielle Sanef-Abertis sera dirigée par Gilles Foret, directeur de recherche et professeur à l’école des Ponts Paris-Tech. Du côté de Sanef, Julien Castres Saint-Martin, directeur du patrimoine, et Yannick Jeanjean, responsable génie civil du groupe, seront chargés de l’encadrement.
Il y a 4 ans et 233 jours

Les mesures gouvernementales pour la rénovation énergétique des logements sont-elles efficaces ?

Un Français sur cinq se trouvant actuellement en situation de précarité énergétique, c'est à dire que plus de 10% du budget de son foyer est consacré à l'énergie, Emmanuelle Wargon, la ministre du logement a notamment détaillé une enveloppe de 20.000 euros par foyer pour une rénovation globale du logement (isolation des murs, des combles et planchers et installation d'une pompe à chaleur).Objectif : rénover 500.000 logements par an jusqu'en 2050 en commençant par supprimer les passoires thermiques occupées par des personnes aux revenus modestes à horizon 2025.En parallèle de ces annonces, une étude du ministère de la transition écologique fait état de 4,8 millions de « passoires thermiques » sur les 29 millions de résidences principales que compte l'Hexagone. Des chiffres préoccupants puisque 17 % des logements sont considérés comme très énergivores et seuls 6,6 % des logements sont classés A et B, c'est-à-dire le niveau bâtiment basse consommation (BBC) à atteindre pour tous les biens d'ici à 2050, tel qu'exigé par la loi de transition énergétique pour la croissance verte de 2015.Côté bâtiments publics, malgré les 4 milliards d'euros prévus, beaucoup de chemin reste aussi à parcourir. Une étude réalisée en 2018 par TEKSIAL-CODA Stratégies rapportait que la moyenne des objectifs de rénovation thermique pour les collectivités ne représentait que 0,3% de leur parc de logements.L'avis de professionnels concernés par ces mesuresRockwool fabricant de solutions d'isolation en laine de roche« De manière globale, ce plan de relance est une bonne chose qui va donner un élan positif à la rénovation énergétique des bâtiments à laquelle Rockwool participe activement. Nous observons qu’il reste un flou sur la période de validité de certaines aides proposées par l’Etat, mais ce plan présente toutefois des avancées importantes, notamment la revalorisation de MaPrimeRénov’ cumulable avec les certificats d’économies d’énergie et un focus sur les opérations très efficaces du point de vue rénovation énergétique.Attention toutefois au reste à charge pour les foyers modestes, si nous saluons l’effort sur le cumul des aides et l’enveloppe de 20.000 euros par foyer pour une rénovation globale du logement, cette somme pourrait s’avérer insuffisante au regard des travaux à réaliser.Avec 500.000 logements à rénover par an jusqu’en 2050 et les passoires thermiques à éradiquer à horizon 2025, le gouvernement s’est fixé un objectif compliqué mais atteignable et c’est là que la lisibilité des aides et des offres aura toute son importance. Aujourd’hui, les systèmes d’aides sont encore trop nombreux et trop complexes.Quelques conseils dans cette optique, pour les logements des particuliers, nous recommandons de privilégier d’abord la toiture ; la déperdition de chaleur se faisant essentiellement par les combles, aménagés ou perdus. Il est possible de réaliser ces travaux spécifiques de façon très rapide. Et côté grands bâtiments, l’isolation par l’extérieur reste la plus efficace pour supprimer les ponts thermiques. Mais pour des travaux durables et efficaces, il ne faudra pas raisonner uniquement « thermique » mais étudier l’impact acoustique, le confort d’été et surtout la sécurité incendie ! Il faut alors choisir des matériaux aux performances prouvées et certifiées par des organisme tiers. »-Matthieu Biens, directeur marketing et développement produits pour la France et l’Europe du Sud RockwoolTeksial solutions clefs en main pour la maîtrise de la consommation énergétique« Nous nous réjouissons de l’effort massif consenti en faveur de la rénovation thermique par l’Etat dans le cadre du Plan de relance. Le plan et les modalités d’exécution pour le mettre en œuvre seront déterminants. Il faudra veiller notamment à ce que le traitement administratif des dossiers des particuliers éligibles à MaPrimRénov’ puisse suivre le rythme des demandes. L’ensemble des acteurs devront également prendre les mesures nécessaires pour garantir une qualité et un suivi des travaux irréprochables, comme nous nous y engageons chez Teksial.Pour parvenir à cet effort collectif, il faut plus que jamais sensibiliser et accompagner les Français et notamment les foyers les plus modestes, dans la réalisation de leurs travaux de rénovation énergétique, c’est l’engagement de Teksial. A travers un accompagnement sur mesure comprenant la budgétisation du chantier, la constitution du dossier, le choix des artisans agréés via un réseau de professionnels de confiance, ainsi que la vérification de la conformité des travaux et ce à moindre coût, nous permettons aux Français une meilleure maîtrise de leur facture d’énergie et une meilleure lisibilité des aides.Nous considérons également que la réussite du plan de relance dépendra de la capacité de l’ensemble des acteurs à garantir la fiabilité des travaux réalisés et. Sans quoi l’accélération de la rénovation thermique des logements ne pourra progresser, alors qu’elle est une activité essentielle pour diminuer la consommation d’énergie et développer l’activité économique.En ce sens, nous saluons la décision des organismes de qualification d’augmenter dès à présent les audits de contrôles pour les travaux d’isolation ou de changement des chaudières réalisés par les professionnels du bâtiment qualifiés RGE. Le contrôle est primordial pour veiller à la fiabilité des travaux et nous croyons fermement que ces contrôles constituent un outil efficace.Chez Teksial, nous développons un partenariat renforcé avec nos artisans afin de les informer sur les dispositifs d’aide et de les former aux meilleures pratiques et nous nous engageons à des contrôles qualité systématiques des chantiers à travers des enquêtes de satisfaction auprès des clients. »-Jean-Baptiste Devalland, Directeur Général de TeksialSFCB : Syndicat Français des Chaudiéristes Biomasse« Comme toute la profession, je me félicite que les 9e et 10e déciles soient réintégrés dans le dispositif Ma Prime Renov'. Cependant, des interrogations demeurent sur les modalités d'attribution de ces aides. Une des possibilités, et celle que nous redoutons le plus, soit que ces ménages aient à réaliser un bouquet de travaux pour pouvoir en bénéficier. Cette condition rendrait les montages de dossier ingérables pour les consommateurs, qui pourraient se décourager face aux multiples parties prenantes qu'un tel dispositif implique.En parallèle, je continue d'alerter sur la gestion des dossiers par l'ANAH. Nous comprenons leur difficulté à traiter de multiples demandes en même temps. Nous savons que l'afflux constant de dossiers les oblige à recourir à des sous-traitants, parfois pas assez qualifiés, pour mener à bien les demandes de subventions. Face à cette situation, nous nous sentons démunis et frustrés, nous aimerions les aider si nous le pouvions. Malheureusement, la communication avec l'ANAH reste impossible aujourd'hui, malgré de multiples tentatives. Le discours du Gouvernement lui-même est en contradiction avec la situation que nous vivons. Emmanuelle Wargon ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, nous indique qu'il n'y a pas de problèmes de traitement alors qu'au quotidien, nos clients installateurs font face à de nombreux dossiers bloqués ; qu'en est-il des 61.000 dossiers validés. De plus, la Ministre se félicite de voir 100.000 dossiers traités d'ici la fin de l'année mais l'objectif initial annoncé n'était-il pas deux fois plus élevé... ?Par ailleurs, notre filière reste ralentie par la délivrance de la certification Qualit'ENR qui doit être renouvelée par les professionnels chaque année. Nous constatons de plus en plus de retard parmi ces demandes. L'impact sur l'activité de nos installateurs est majeur, l'éligibilité des travaux aux dispositifs d'aide étant conditionnée à la qualification des professionnels.Nous sommes dans une situation à deux vitesses où notre filière est en pleine expansion et se porte bien mais où nous devons faire face à de multiples freins. »-Eric Trendel, Président du SFCB