Résultats de recherche pour primaire

Bruno Cavagné, le président de la FNTP était l'invité de l'Assemblée générale de Canalisateurs de France. Il s'est exprimé sur l'actualité économique de la profession de la construction en général. Le programme des 2 finalistes de la primaire de droite a également fait l'objet d'une analyse. Selon la fédération, des dizaines de milliers d'emplois seraient perdus en cas de victoire du programme récessif de François Fillon

Le constructeur italien Mantovanibenne International (MBI) a lancé sa nouvelle pince Multisystem MS15R, un outil qui se veut polyvalent et donc destiné à des applications de démolition primaire comme secondaire, pour porteurs de 15 à 21 tonnes. L'équipement se compose d'une structure principale à laquelle il est possible d'adapter plusieurs versions de mâchoires.

Réaliser des feux réels dans un bâtiment de 4 étages : une première en France, conçue et coordonnée par le CSTB avec les Universités de Poitiers et de Lorraine, et le SDIS 85, en Vendée l'été dernier. Ces incendies expérimentaux ont marqué par leur ampleur : 15 chercheurs mobilisés pendant 6 mois de préparation et 3 jours d'essais, avec 2 mises à feu par jour. Un dispositif d'instrumentation inédit a reposé sur 600 points de mesure dans le bâtiment. Thomas Rogaume, professeur à l'Université de Poitiers, Pascal Boulet, professeur à l'Université de Lorraine, et Elizabeth Blanchard, chef de projet direction Sécurité Structure Feu au CSTB, partagent les enjeux et l'organisation de cette démarche expérimentale qui fait progresser la sécurité incendie du bâtiment. Pouvez-vous décrire la campagne d'essais feu ? Thomas Rogaume : Le bâtiment testé comportait 4 étages avec un logement de 5 pièces à chaque étage, reliés par une cage d'escalier. Nous y avons réalisé plusieurs essais pour étudier l'enfumage des lieux en cas d'incendie. Nous avons établi un foyer primaire (bûcher de bois) au rez-de-chaussée. Une fois le feu allumé, nous avons observé comment la fumée s'écoulait depuis la pièce où le feu a démarré, vers les pièces adjacentes du logement puis via la cage d'escalier, et enfin vers les logements situés aux étages supérieurs. Grâce aux capteurs déployés avec le CSTB et l'Université de Lorraine, nous avons pu suivre précisément l'évolution de la fumée et ses propriétés (température, vitesse d'écoulement, opacité, composition et hauteur de stratification), ainsi que les flux thermiques. 600 points de mesure, positionnés dans le bâtiment, ont permis de relever des données toutes les 1 à 6 secondes. La répétition du même essai 3 jours de suite a conforté la fiabilité des très nombreuses données recueillies. Cette campagne a également permis d'analyser la dynamique du feu. En effet, à côté du foyer principal, nous avons disposé deux sources combustibles secondaires (mousse polyuréthane) et observé les conditions de leur inflammation. Un peu comme si, dans notre quotidien, des coussins ou fauteuils situés à proximité de flammes, s'enflammaient et participaient au développement du feu, et notamment à son extension. Une organisation exceptionnelle? Pascal Boulet : Une organisation dont le succès repose sur la mutualisation des équipes, des compétences et des équipements scientifiques du CSTB et des Universités de Lorraine et de Poitiers. Cette synergie nous a permis de recueillir une cartographie complète et précise des phénomènes physiques mis en jeu. Et elle enrichit désormais le traitement des données. Chacun s'attache à modéliser l'ensemble des phénomènes physiques observés. L'Université de Poitiers étudie surtout la dynamique du feu, l'Université de Lorraine, les transferts thermiques, et le CSTB, l'écoulement de la fumée. Ensemble, nous avons prévu de rendre publics nos résultats courant 2017, très attendus par la communauté scientifique et le monde des sapeurs-pompiers, les préventionnistes* notamment. C'est aussi une très belle illustration des possibilités de coopération offertes par la mise en place depuis 2016 du laboratoire commun LEMTA/CSTB, suite à un accord qui cadre notre collaboration jusqu'en 2021. À terme, quels bénéfices les acteurs de la construction peuvent-ils attendre de ces essais ? Elizabeth Blanchard : L'analyse des données va permettre de fiabiliser les outils de l'Ingénierie Sécurité Incendie, utilisés dans l'évaluation du niveau de sécurité d'un établissement. Avec les résultats de ces essais de grande ampleur, nous allons en effet valider et enrichir nos modèles numériques pour une configuration de bâtiment à plusieurs niveaux. Cela constitue une avancée notable quand on connaît l'influence d'une cage d'escalier sur l'enfumage d'un bâtiment multi-étages. Concrètement, le CSTB envisage de mettre à l'épreuve et de faire évoluer son logiciel SCHEMA-SI dédié à l'analyse globale du risque incendie à l'échelle d'un établissement. Ce logiciel présente un grand intérêt, car il prend en compte la physique du feu (développement du feu, enfumage) et aussi l'impact des systèmes techniques de mise en sécurité (détecteur, alerte) et du comportement humain (personnel de sécurité) sur l'incendie. Les acteurs de la construction qui s'engagent dans une démarche performancielle au service de projets innovants, pourront ainsi disposer d'études prédictives plus précises en matière de sécurité incendie. Leurs libertés dans l'art de concevoir et de bâtir s'en trouvent élargies. À propos : la campagne d'essais feu a été menée à la Châtaigneraie (Vendée) du 19 au 21 juillet 2016 par le CSTB, l'Université de Poitiers (Institut Pprime et IRIAF), l'Université de Lorraine (LEMTA) et le SDIS 85. Cette campagne a également associé le bailleur social Vendée Logement, qui a mis à disposition l'immeuble de 4 étages pour réaliser les feux avant sa démolition. Les sapeurs-pompiers de Vendée (SDIS 85) ont réalisé des exercices sur place pour améliorer leurs techniques opérationnelles de lutte contre l'incendie. En savoir plus : Expertise en Sécurité Incendie du CSTB Essai feu hors norme sur un panneau en béton de 9 mètres de haut * Préventionniste : analyse les risques en présence dans les bâtiments, et préconise, par des avis et des conseils techniques, les mesures les plus adaptées pour limiter les effets d'un sinistre.

  L’agence Daudré-Vignier & associés signe un nouvel équipement scolaire - une école de 18 classes, maternelles et primaires - sur le plateau de Saclay.

En partenariat avec l'école Saint-Yves, Lamotte Promoteur réhabilite et construit de nouveaux locaux pour la maternelle et la primaire. En parallèle, il lance son programme Eozen de 32 logements.

Ils sont venus à l’appel de la Fédération française du Bâtiment et ont répondu à certaines questions jugées sensibles. Ils, ce sont les candidats de la primaire à droite…

Le Plan Santé au Travail 3, adopté le 8 décembre 2015, donne la priorité à la prévention primaire et au développement de la culture de la prévention dans les entreprises. L'OPPBTP a pour objectif de faire en sorte que 100 % des entreprises du BTP aient un document unique et un plan d'action à jour d...

En bordure du parc naturel de Yellowstone, le Tippet Rise Art Center accueille des performances artistiques et musicales au c"ur de milliers d'hectares de nature préservée. Différents architectes et designers, parmi lesquels Ensamble studio, sont régulièrement conviés à investir le parc d'expériences inédites où se marient art, architecture et paysage.   En 2010, Arup, Gunnstock Timber Frames et Alban Bassuet, directeur du centre, livrait l'Olivier Music Barn, salle de concert et centre névralgique du projet, évoquant une grange traditionnelle. Plus loin, le Tiara accueille les visiteurs sous une monumentale canopée de bois. Le parc est également ponctué de de différentes sculptures imaginées par Patrick Dougherty, Mark di Suvero ou Stephen Talasnik. " How the current local fauna and ranching activity can coexist with the added artistic and architectural interventions is a challenge that the project needs to embrace " Ensamble studio Sollicités à son tour par le Tippet Rise Art Center, le studio Ensamble imagine trois installations permanentes. Inspirés par les formations géologiques des environs et les processus naturels dont elles résultent, les designers espagnols conçoivent des modules monumentaux qu'ils assemblent deux à deux, ainsi qu'une série de cavernes formant des habitats primaires cultivant une relation des plus intimes avec leur environnement. Avec ses stries, ses plies et ses strates, le béton armé qui les composent racontent une histoire ancestrale. " [The structures] resonate with the immensity, the roughness, the silence and the magic loneliness of the place amplifying its values, and situate our actions in an ambiguous position between nature, architecture and art; they can be one and all, or a completely different category that only makes sense where it was born. " Ensamble studio Photographies : Ensamble Studio Pour en savoir plus, consultez le site d'Ensamble studio.    

Dans le cadre d'une initiative menée par le réseau national de promotion de l'ingénierie dans l'éducation, une journée porte ouverte sur le site de fabrication Terex a été proposée à un groupe composé d'élèves et d'enseignants de l'école primaire de Conventry (Angleterre).

Un premier jalon important a été atteint sur le chantier du réacteur nucléaire de nouvelle génération de Flamanville : les montages mécaniques du circuit primaire principal ont été achevés permettant l'assemblage de composants cruciaux. La prochaine étape devrait être franchie au début de 2017, avant le démarrage du réacteur, fin 2018. Précisions.

En Alsace, l'agence Manuelle Gautrand Architecture livre le Forum, vaste équipement public alliant modularité et flexibilité au sein de 13 volumes savamment assemblés sous une étonnante peau de métal déployé. L'ensemble prend place dans un quartier résidentiel hétéroclite, composé de maisons et de pavillons de faible hauteur, mêlés à quelques collectifs de grande taille et petites entreprises qui y trouvent leurs bureaux et leur ateliers, ainsi qu'une école maternelle et primaire. Les architectes ont conçu un projet capable de se glisser harmonieusement entre ces différentes échelles bâties. Le Forum est un équipement public destiné à accueillir des événements aussi divers que des manifestations sportives, associatives ou culturelles. Les éléments d'accueil, bureaux et vestiaires nécessitent des faibles volumes tandis la Salle des Fêtes et le Grand Hall nécessitent des volumes beaucoup plus imposants. Le projet se composent donc de 13 volumes distincts, assemblés les uns aux autres en un vaste jeu de volumes progressifs : les volumes les plus imposants sont entourés des plus petits. L'ensemble se développe sur un unique niveau, autorisant une fonctionnalité et une flexibilité maximales entre ces différents volumes. "Pensé comme la pièce d'un puzzle unique, chaque espace s'emboite dans la continuité du suivant, permettant une circulation fluide et des flux rapides entre les fonctions, où aucun couloir ou galerie ne sont nécessaires" Manuelle Gautrand Architecture. Chaque espace se voit ainsi alouer une grande modularité. Le Grand Hall, par exemple, vaste de 1 870 m² et haut de 13 mètres, doit pouvoir abriter différents usages : pratiques sportives, concerts, spectacles, expositions, salons? Un jeu de cloisons mobiles rétractables permet d'obtenir différentes organisations. Un système similaire régie la Salle des Fêtes. L'ensemble du bâtiment peut également être unifié à l'occasion d'évènements de très grande envergure. Le caractère hétéroclite des différents volumes est atténué par une unité architecturale, tant par la forme que le revêtement. Chaque volume présente ainsi une toiture à deux pentes, s'inspirant des toitures alentours. L'orientation de ces faces pliées alterne, tantôt Nord-Sud, tantôt Est-Ouest, de manière à capter une lumière à chaque fois différente. Le revêtement en métal déployé offre quant à lui unicité et originalité au projet. L'ensemble s'habille de deux enveloppes aux fonctions complémentaires : une première enveloppe structurelle constituée de parois en béton armé ou d'un complexe léger métallique, assure les isolations thermiques et acoustiques. La seconde peau est constituée de métal déployé fixé sur de grands cadres, d'une couleur inspirée du cuivre naturel. Cette teinte se marie aux toitures en tuiles orangées et aux cheminées en briques des alentours. Un vernis translucide a été appliqué, permettant de garder en arrière-plan la perception de l'aluminium brillant des plaques de métal déployé, dans lequel le fabricant a inséré des pigments contenant de la poudre de cuivre. Le plénum ainsi créé répond à deux enjeux techniques : il masque tous les équipements techniques, nombreux et imposants, et assure une protection thermique en été, plongeant toutes les toitures formant le clos-couvert, ainsi que ses équipements techniques, dans une ombre relative qui les protège, tout en procurant une ventilation naturelle. Additionnée à la faible quantité de surfaces vitrées du bâtiment, cette isolation performante limite les déperditions en énergie et fait du Forum un exemple en matière de faible consommation d'énergie. Les architectes ont choisi de prolonger les ambiances extérieures à l'intérieur des espaces. Aux façades métalliques cuivrées répondent un long bar et un lustre enveloppés des mêmes grands panneaux aux teintes cuivrées. La lumière ainsi filtrée projette sur les murs, sols et plafonds le motif caractéristique du métal déployé. Les différentes parois sont sobrement teintées de gris. Elles forment ainsi un receptacle idéal au jeu de lumière et mettent en valeur l'éclat du métal. Photographies : Luc Boegly et Guillaume Guerin Pour en savoir plus, consultez le site de Manuelle Gautrand Architecture.  

Au terme de l'appel à projets lancé par Bordeaux Euratlantique, la tour de grande hauteur Hyperion proposée par l'architecte Jean-Paul Viguier a été sélectionnée. D'une hauteur de 57 mètres, cet immeuble de logements en structure primaire bois prendra place sur le site du lot 8.4 du quartier Saint-Jean-Belcier. Une seconde tour en bois, projet de Art & Build Studio Bellecour, a également été sélectionnée pour un îlot voisin. Découvrez les projets lauréats en images.

  Au c"ur de la petite commune de Void-Vacon, dans un environnement diffus entre un gymnase, un magasin et une zone pavillonnaire des années 80, StudioLada Architectes conçoit une maison de santé bioclimatique ouverte sur le paysage de prairie tout en protégeant l'intimité des cabinets médicaux. Cette Maison de santé pluridisciplinaire accueille les cabinets médicaux de quatre médecins généralistes, un dentiste, un kinésithérapeute, un infirmier, une sage femme, un orthophoniste, ainsi qu'un local associatif et un logement de fonction. Le volume horizontal est déduit des contraintes environnantes : entièrement clos au nord du côté de la N4 et largement ouvert au Sud pour profiter de l'apport solaire et du paysage. L'intimité des locaux médicaux est préservée grâce à des vues biaises et des claustras ajourés en bois. Les stationnements sont regroupés au nord du site, préservant les vues depuis le bâtiment sur un paysage végétal au sud.L'édifice est composé d'une structure mixte : un double mur de refend en pierre calcaire locale accueille les circulations et confère une sérénité aux espaces intérieurs ; l'enveloppe est composée d'une ossature bois à isolation renforcée et d'un bardage bois ajouré. Les poutres primaires en lamellé-collé reposent sur trois appuis : le mur central de pierre et les deux murs latéraux en bois. Le bardage associe deux épaisseurs superposées de lames de mélèze verticales en quinconce. L'épaisseur du bardage permet de protéger le pare-pluie et d'animer la façade avec des jeux d'ombres et de lumière. Cinq bandeaux ceinturent le volume et s'ouvrent au Sud sur un principe de sheds. Le débord du bardage bois permet de protéger des hauts rayonnements solaires estivals et de laisser passer les rayons lumineux bas en hiver. Le chauffage de l'édifice est assuré par géothermie sur nappe phréatique. Intitulé du projet: Maison de Santé Lieu: Void-Vacon (55) Maîtrise d'ouvrage: Communauté de Commune de Void Maîtrise d'"uvre: Christophe Aubertin - Studiolada Architectes Surface: 705 m2 Montant des travaux: 1 400 000 ¤ HT Calendrier: livraison Janvier 2014 Photographies: Nicolas Waltefaugle, Olivier Jouanneau, Christophe Aubertin Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignClub Awards 2016 dans la catégorie Santé / Maisons de santé et résidences médicalisées Pour en savoir plus, visitez le site de Studiolada Architectes  

Situé à la place de la résidence de La Forestière, le nouveau groupe scolaire Claude Dilain de Clichy-sous-Bois accueille des classes de maternelles et de primaires. La jeune agence d'architecture Tank a proposé pour cette école un volume circulaire renfermant en son centre le cours de récréation. L'entrée dans l'enceinte de l'école se fait par le sud, à l'angle de l'allée Henri Barbusse et du boulevard Émile Zola. Le hall d'entrée distribue les deux ailes est et ouest et la cour centrale. L'aile est contient le programme des maternelles disposé au rez-de-chaussée. Un long couloir côté cour distribue les salles de classe, les ateliers de jeux ainsi que les dortoirs. Au rez-de-chaussée de l'aile ouest sont placés les programmes communs (réfectoire, w.c,) et les bureaux des enseignants. Dans le hall d'accueil, un escalier distribue le programme des primaires. Six salles de classe sont disposées au premier étage et cinq sont au deuxième étage. Dans la cour de récréation, un simple grillage sépare physiquement les deux tranches d'âge, mais permet aux enfants de prendre conscience des uns et des autres. Toute la façade intérieure est vitrée donnant sur les couloirs et le réfectoire. Chacune des cours bénéficie d'un préau porté par de fines colonnes de béton. La brique de la façade extérieure se retrouve sur la frise placée au-dessus des baies vitrées tout autour de la cour. Tank n'a pas cherché une exubérance de matériaux colorés, mais a favorisé pour ce projet des couleurs neutres tout en dessinant sur le sol de la cour des parcours et autres marelles pour les enfants. Autre geste généreux, les architectes ont installé un grand tableau en ardoise permettant à chaque enfant d'appliquer ses leçons d'écriture pour s'exprimer librement avec des craies. ÉTAT DU PROJETConcours 2013 lauréat - livré septembre 2015MAÎTRISE D'OUVRAGEVille de Clichy-sous-BoisBUDGET HT7 000 000 ¤CHEF DE PROJETGuillaume Anrys, Ophélie ChassinÉQUIPE TANKTanguy Soudan,Thomas Duhamel, Thomas HarbonnierBE ACOUSTIQUEABC decibelMANDATAIRENord France Construction FayatBEFayat Bâtiment Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignClub Awards 2016 dans la catégorie Enseignement / Petite enfance et élémentaire Pour en savoir plus, visitez le site de Tank architecture  

Porteuse du plan "Industries du bois" de la Nouvelle France Industrielle, l'association ADIVbois, tenait le 2 décembre sa première commission technique. Dans le même temps, l'EPA Bordeaux-Euratlantique présentait les 9 projets d'immeubles de 50 mètres en structure primaire bois, suite à la consultation lancée en juillet 2015.

CDE Global, spécialiste du lavage des matériaux, représenté en France par Lheureux & Cie, a annoncé la mise sur le marché de cribles primaires (type scalpeur) de série R. Ils ont été conçus pour optimiser l'alimentation des installations de lavage qu'ils fournissent et pour réduire les contraintes liées à la mobilisation permanente d'un opérateur chargé de l'alimentation de l'usine de traitement.

Le Festival des Architectures Vives, qui se déroule depuis 2006 à Montpellier et depuis 2013 à La Grande Motte clôt son appel à candidature le 4 décembre pour sa onzième édition qui aura lieu en juin 2016. Le FAV est organisé annuellement par l'association Champ Libre, présidée par les architectes montpelliérains Elodie Nourrigat et Jacques Brion. Ce Festival est un parcours architectural qui permet de (re)découvrir des sites emblématiques de ces deux villes de la Méditerranée en invitant le public à aller au contact de leur patrimoine par le biais d'installations. Le Festival des Architectures Vives de Montpellier #FAVMTP2016 propose un parcours au c"ur du centre historique piéton dans le prestigieux écrin qu'offrent les cours intérieures d'hôtels particuliers créant ainsi une ambiance intimiste entre le visiteur et l'architecture de la ville. A La Grande Motte, le Festival #FAVLGM2016 invite les jeunes architectes à poser un regard nouveau sur ce patrimoine architectural du 20ème siècle imaginé par l'architecte Jean Balladur, par le biais d'installation en bord de mer. Les jeunes équipes d'architectes participant chaque année au FAV sont invitées à expérimenter de nouveaux champs de conception en ancrant le contemporain dans le passé grâce à leurs installations éphémères. Cet événement, en accès libre et gratuit pour tous, ouvre ainsi un dialogue entre les époques. Loin de se présenter comme des "uvres d'art intouchables, les installations proposées par les artistes font pleinement partie de leur environnement et le public est invité à s'y mouvoir afin de faire vivre à travers elles l'espace architectural qu'elles occupent. L'appel à candidature pour le FAV 2016 se clôture le 4 décembre 2015. Pour l'édition 2016, 18 jeunes équipes d'architectes seront sélectionnées par le jury " 10 pour Montpellier et 8 pour La Grande Motte. Vous pouvez candidater sur cette page en remplissant le formulaire avant la date butoir. En 2015, l'événement a réuni plus de 15 000 visiteurs et s'était engagé à la sensibilisation en milieu scolaire, notamment dans l'enseignement primaire.   Le Festival des Architectures Vives se déroulera à Montpellier du 15 juin au 19 juin 2016, et à La Grande Motte du 18 juin au 26 juin 2016. Pour en savoir plus, visitez le site du Festival des Architectures Vives    Photographies : - Appel à candidature pour l'édition 2016- CAME COLLECTIVE - La Petite Motte, édition 2015 à La Grande Motte- TOMA - The Porthole, édition 2015 à La Grande Motte- FAKT - The CLoudscape, édition 2015 à Montpellier- Nicola Etienne Gobin &Benjamin Joudrier & Léa Girault & Chloé Morin - L'Anémograf', édition 2015 à Montpellier - Master d'architecture, Tohuku University, Senday, Japon - H. URANAMI & S. YAMADA & H. UEMATSU & - - T. HORIGUCHI & M. MOTOE - U-Chi-Wa, édition 2009 à Montpellier- BIANCO STUDIO - G.BURRAGATO & M.BURRAGATO - Chasseur d'ombre, édition 2010 à Montpellier- Margaux Rodot & Mickaël Martin & Benoit Tastet - Un Dixième de printemps, édition 2015 à Montpellier

À Montreuil, les associés de l'agence archi5 ont décidé de construire leurs propres logements au c"ur d'une longue aventure en autopromotion. À l'origine, c'est un terrain en vente à coté des bureaux de l'agence qui a entrainé le projet. Au c"ur d'un environnement urbain hétérogène le projet a pris place. Habillé d'une peau en inox, le bâtiment cohabite avec des maisons de ville avec jardin et des immeubles en R 7. Sa façade abstraite reflète son environnement et participe à l'intégration du projet sur le site. Un jeu composé par les blocs de menuiseries forme des boîtes saillantes de couleur anthracite, l'ombre créée joue avec reflets. Le bâtiment adopte la couleur du temps, et change d'aspect au rythme de la journée. Les façades sont totalement calepinées en fonction des mesures de tôles, ainsi les modules de fenêtre s'insèrent de manière régulière et précise. Les tôles sont posées sur une ossature primaire et fixées par des vis apparentes en inox. Un joint creux de 5 mm est ménagé entre chaque tôle. Les couvertines sont elles aussi en inox. Lieu : Montreuil 93 Programme : Construction de 12 logements BBC, de 2 locaux d'activité et d'un parking Surface : 656 m² SDP " 610 m² SHAB Coût travaux : 1 990 000 TTC Calendrier : livraison avril 2014 Maitre d'ouvrage : privé Architectes : archi5 Bureau d'étude : Facea Photographies : Sergio Grazia Pour en savoir plus, visitez le site de archi5

Le spécialiste du lavage des matériaux, CDE Global, a annoncé le lancement des cribles primaires de série R qui ont été conçus pour optimiser l'alimentation des installations de lavage clé en main qu'il fournit et pour réduire les contraintes liées à la mobilisation permanente d'un opérateur chargé de l'alimentation de l'usine de traitement.

La Carrière des Roches Bleues (CRB), appartenant au groupe Eiffage Travaux Publics, est basée à proximité de Béziers, dans l'Hérault. Ce site d'extraction à la production annuelle moyenne de 750 000 tonnes présente quelques particularités, comme sa certification ISO 50001 et son utilisation d'un groupe mobile de concassage primaire de 90 tonnes unique en France.

Microsfera est une collection de moquette en dalles innovante et écologique conçue par Interface. Les dalles de moquette Microsfera ont une faible teneur en carbone : seulement 3 kg de carbone rejeté au m² (de l'extraction des matières premières à la production). Pour comparer, une dalle de moquette traditionnelle émet, en moyenne, l'équivalent de 12 kg de CO2 au m2. Microsfera s'attaque ainsi à la fibre et la couche primaire en latex. Pour y parvenir, Interface a combiné la structure Microtuft et son processus de fusion modulaire : la fibre en construction Microtuft fusionnée directement sur la sous-couche, élimine le besoin d'une couche de latex, tout en assurant à Microsfera la même performance sur la durée et les mêmes qualités que les dalles traditionnelles, destinées aux espaces à fort passage.Microsfera contribue également à améliorer la qualité de l'air intérieur, avec des émissions minimes de COV inférieures aux limites imposées par les législations française et allemande sur la qualité de l'air ambiant.La gamme de couleurs est un nuancier de gris à caractère industriel marqué, des bleus très actuels ainsi qu'une nuance cuivrée pour un aspect brut. Ce produit est sélectionné pour les Muuuz International Awards 2015 : pour le soutenir, cliquez ici !  Pour en savoir plus, visitez le site de Interface