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Il y a 2 ans et 99 jours

PLASTOR récompense les plus beaux chantiers en vitrification 2021

Comme chaque année, les professionnels du parquet, partenaires de Plastor, ont l’occasion de participer aux Trophées de la Vitrification. Cet évènement permet de distinguer des chantiers d’exception, en valorisant leur aspect technique et décoratif, mais également la qualité du travail et le savoir-faire des artisans participants. Les parquets des chantiers primés ont bénéficié d’une protection et des performances des produits et systèmes Plastor.Les lauréats primés pour cette 13ème édition sont :– 1er Prix : La mairie de Rosheim (67), réalisée par l’entreprise Seb le Parqueteur (67).– 2ème Prix : Le Café de la Tour à Ploërmel (56), réalisé par l’entreprise Essentiel Parquet (56).– 3ème Prix : L’école de Bischoffsheim (67), réalisée par l’entreprise Seb le Parqueteur (67). Plastor – Mairie de Rosheim 1er PRIX : MAIRIE DE ROSHEIM (67) – Entreprise Seb le Parqueteur (67) Sébastien Jariel – Dirigeant de l’entreprise« Après plus de 20 ans d’expérience dans la rénovation, le ponçage et la vitrification des parquets, en mars 2020 j’ai décidé de créer ma société Seb Le Parqueteur à Hersbach. Je prépare, pose, répare et rénove tous types de parquets, quelle que soit leur essence. J’interviens aussi bien chez les particuliers, les commerçants que dans des lieux collectifs. » « La mairie de Rosheim souhaitait réaliser des travaux de réhabilitation et de réaménagement. L’entreprise Menuiserie Hoffbeck et fils a répondu à l’appel d’offre et a été retenue pour participer au chantier. Le gérant de cette entreprise fait souvent appel à mes services et ce fut le cas pour ce chantier. J’ai travaillé en sous-traitance pour la rénovation du parquet en chêne à bâton rompu de la salle de réception et de la salle de mariage, d’une surface totale de 250 m2, ainsi que la salle du patrimoine de 30 m2 située au rez-de-chaussée.J’ai utilisé plusieurs grains pour les différentes phases de ponçage (40, 60, 80 et 120). Après avoir passé une couche de fond dur PRIM’SO Plastor, j’ai appliqué une première couche de vitrificateur PUR-T®3 DUO satiné incolore, conseillé par ma commerciale Plastor. J’ai procédé à un léger égrenage avant de passer la seconde couche.Je préfère cette finition car elle atténue les rayures et offre un aspect chaleureux au bois. De plus, ce vitrificateur en phase aqueuse est plus agréable à appliquer car il ne dégage pas d’odeur. Pour réaliser la finition, j’ai utilisé un rouleau de 50. Très pratique, il permet de gagner du temps sur de grandes surfaces. Je suis très satisfait du résultat obtenu.Avec Plastor, je suis sûr du résultat, je travaille avec eux depuis 2011. Je connais bien la qualité de leurs produits et les équipes Plastor sont à l’écoute et très réactives. Lorsque j’ai un doute, j’appelle sans hésiter ma commerciale ou le service technique. » Seb le Parqueteur134 Grande Rue – 67130 Hersbach – Tél : 06 42 00 69 09 – www.sebleparqueteur.fr Plastor – Café de la Tour à Ploërmel 2ème PRIX : CAFÉ DE LA TOUR À PLOËMEL (56) – Entreprise Essentiel Parquet (56)Christophe CHESNAIS – Dirigeant de l’entreprise« En 2019, j’ai créé mon entreprise Essentiel Parquet à Néant-sur-Yvel. Nous sommes spécialisés dans le ponçage et la rénovation de parquets, d’escaliers… pour les particuliers, les professionnels et les collectivités. » « Le propriétaire du restaurant Le Café de la Tour, situé au cœur du centre-ville de Ploërmel, a fait de nombreux travaux de rénovation et d’aménagement et c’est par le bouche-à-oreille qu’il a fait appel à nos services. Il souhaitait rénover le parquet en châtaignier présent au rez-de-chaussée et à l’étage, dans la salle de restauration, ce qui représentait 160 m2 de surface.Pour redonner une nouvelle jeunesse au parquet, j’ai entièrement poncé les surfaces avant d’appliquer une couche de fond dur PRIM’SO Plastor. J’ai ensuite passé 2 couches de vitrificateur PUR-T®3 DUO satiné incolore. Cette finition satinée permet de faire ressortir le veinage naturel du bois.Pendant ma formation au métier du bois, j’ai utilisé les produits Plastor. Lorsque j’ai lancé mon activité, j’ai donc continué à travailler avec la marque. Je connais bien les produits, leur qualité et le résultat que l’on peut obtenir. De plus, j’ai un très bon relationnel avec mon commercial. Il est toujours de très bons conseils et réactif pour répondre à mes besoins. Lorsque je passe une commande, elle est traitée dans les meilleurs délais. » ESSENTIEL PARQUET27 Grande Touche – 56430 Néant-sur-Yvel – Tél : 06 43 35 10 12 – www.e-parquet.fr Plastor – Ecole de Bischoffsheim 3ème PRIX : ÉCOLE DE BISCHOFFSHEIM (67) – Entreprise Seb le Parqueteur (67)Sébastien Jariel – Dirigeant de l’entreprise « L’école de Bischoffsheim a été récemment rénovée. Une extension a été créée pour relier les 2 bâtiments principaux. J’ai réalisé la pose et la vitrification du parquet sur chant en chêne dans 8 salles (4 salles dans chaque bâtiment).Le parquet était tout neuf. Les travaux ont été effectués en 2 phases avec une surface de 250 m2 puis une autre de 350 m2. Pendant la première phase, j’ai cohabité avec le carreleur et le peintre, également présents sur le chantier.Pour le parquet sur chant, les lames étaient assemblées et scotchées en format standard en usine. J’ai commencé par un ponçage très fort avec du grain 40 en diagonale pour enlever les désaffleurs des lames de parquet afin d’obtenir une surface lisse. Les ponçages suivants ont été réalisés dans le sens du bois avec du grain 60 et 80, puis les bords ont été faits avec du grain 80. J’ai utilisé du liant de rebouchage Plastor, mélangé à de la sciure de bois très fine obtenue lors du ponçage au grain 80, pour reboucher les imperfections et les interstices entre les lames. Un léger égrenage au grain 80 a été nécessaire avant l’application de la couche de fond dur Prim’So Plastor.Pour l’application de la première couche de vitrificateur PUR-T®3 DUO satinée incolore, j’ai utilisé un rouleau de 50, très pratique pour vitrifier de grandes surfaces et il fallait que le chantier avance vite.Entre 2 couches de vitrification, j’ai légèrement égrené la surface pour enlever les impuretés et les fibres de bois relevées. Je voulais une surface parfaitement propre. Ensuite, j’ai passé une seconde couche pour obtenir une surface lisse et une finition parfaite. » Seb le Parqueteur134 Grande Rue – 67130 Hersbach – Tél : 06 42 00 69 09 – www.sebleparqueteur.fr Les produits PLASTOR utilisés par les lauréats Liant de rebouchage Le liant de rebouchage est une résine synthétique à mélanger à la sciure de ponçage, la plus fine possible. Il est destiné au rebouchage des joints et des imperfections du bois. Il convient également pour le surfaçage des parquets en bois sur chant, bois de bout, parquets en lames ou en panneaux, quelle que soit l’essence. Il est compatible avec toutes les teintes et finitions de la gamme Plastor. Fond dur PRIM’SO Doté d’un haut pouvoir pénétrant qui lui permet de former une base d’accrochage idéale pour la finition, le fond dur universel PRIM’SO est compatible avec tous les vitrificateurs Plastor (en phase aqueuse et en phase solvant). Sa fonction bouche-pores neutralise les anti-oxydants pour assurer le parfait séchage de tous les vitrificateurs parquet.D’un grand confort d’utilisation, PRIM’SO sèche rapidement et est sans odeur gênante. Par ailleurs, il donne une légère couleur miel au parquet et convient pour tous types d’essences, aussi bien sur bois neufs que sur bois anciens. Vitrificateur PUR-T®3 DUO Le PUR-T®3 DUO Plastor est un vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour les pièces à fortes contraintes et lieux publics. Constitué d’un mélange 90/10, il est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important. Il permet de conserver la tonalité claire des bois lorsqu’il est utilisé directement sur bois brut. Il est parfaitement adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d’essences.Enfin, il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant.
Il y a 2 ans et 99 jours

Cylindre de porte, lequel choisir ?

Si vous souhaitez changer votre cylindre de porte et obtenir les meilleurs conseils pour trouver un produit de qualité et durable, vous êtes au bon endroit ! Dans cet article nous vous présenterons les différents types de cylindres sur le marché ainsi que leurs avantages respectifs. Nous vous conseillerons également sur le choix du cylindre approprié à vos besoins spécifiques. Quel cylindre pour sécuriser mon foyer ? Il existe différentes classifications pour les cylindres, toutefois la distinction la plus populaire est d’opposer cylindres mécaniques et cylindres électroniques. Les cylindres mécaniques Les cylindres mécaniques sont les plus courants, fonctionnant avec une clé classique tel qu’on le conçoit au quotidien. Parmi ces cylindres on retrouvera des produits certifiés A2P 1, 2 ou 3 étoiles tels que le cylindre RADIALIS par exemple. Cette certification permet d’identifier la résistance des cylindres face aux tentatives d’effraction (respectivement 5, 10 et 15 minutes). Néanmoins cela n’est valable qu’en combinaison avec la serrure et la gâche testées avec ledit cylindre. Alors comment se repérer dans le choix de son cylindre quand on veut uniquement changer ce dernier ? Pas de panique, certains éléments de protection vont vous permettre de choisir la plus haute sécurité pour votre lieu de vie. En effet, un premier type de protection repose sur une carte de propriété associée à votre cylindre afin de limiter les risques de reproduction illicite de vos clés. Vous aurez également des éléments de protection physiques avec des protections anti-casse, anti-crochetage ou encore une barre anti-perçage. Ces éléments vont ainsi vous assurer une plus haute sécurité pour votre porte d’entrée d’appartement ou de maison. Les cylindres électroniques L’alternative la plus connue aux cylindres mécaniques est l’usage de cylindre électroniques remplaçant les clés classiques par des badges, cartes ou applications mobiles auxquels on a accordé des droits d’accès. Pour le moment cette option reste principalement utilisée en entreprise en raison de leur coût élevé et de leurs spécificités.En effet, ils sont pratiques pour attribuer différents niveaux d’accès à des collaborateurs, activer ou désactiver instantanément un accès via une application, ou encore éviter les pertes de clés physiques dans le cas des applications pour smartphone. Pour un usage standard de sécurisation de votre domicile, nous vous recommanderons donc de rester sur un cylindre mécanique. Les marques reconnues Il existe un grand nombre de marques sur le marché de la sécurité préventive et de la serrurerie, alors comment s’y repérer ? Vous trouverez des marques avec des spécificités techniques, des appellations différentes … Cependant nous vous conseillons de rester sur les marques renommées telles qu’ABUS, ASSA ABLOY VACHETTE, BRICARD, ISEO, DORMAKABA ou encore TESA. Un cylindre oui mais s’il est fiable ! En fonction de vos besoins, vous avez donc un large choix pour protéger votre chez vous.Néanmoins, un cylindre mécanique de marque reconnue telle que celles citées précédemment, disposant de protections anti-casse, anti-perçage et anti-crochetage sera une très bonne option dans un grand nombre de cas.
Il y a 2 ans et 99 jours

Temponox, le nouveau système de tuyauterie en acier inoxydable de Viega

Le domaine d’application du système « Temponox » — chauffage/refroidissement — est reconnaissable au premier coup d’œil grâce aux deux lignes brunes sur les tuyaux, aux points correspondants et aux logos bien connus « eau non potable » sur les extrémités serties des raccords. Dans l’agitation quotidienne des chantiers, ces marquages évitent toute confusion avec les systèmes de tuyauterie en acier inoxydable de Viega pour l’installation d’eau potable.Une résistance à la corrosion exemplaireLa gamme « Temponox » de Viega est une excellente alternative pour les installations de chauffage et de refroidissement de qualité dans un milieu exigeant. Les tubes en acier inoxydable avec leurs raccords à sertir adaptés n’assurent pas seulement un aspect de haute qualité, mais garantissent également la longévité. Avec « Temponox », il n’y a aucun risque de corrosion, même lorsque l’humidité touche directement la surface du tube. Cette situation se produit souvent lorsque les raccords de radiateurs ne sont pas protégés correctement par le sol ou en raison de dommages accidentels lors de la construction. La protection contre la corrosion, exigée dans les installations de refroidissement, n’est donc plus nécessaire avec le système « Temponox ».Un système complet et attrayant « Temponox » se présente comme un système complet composé de tubes et de raccords dans des dimensions de 15 à 108 mm disponibles chez les grossistes spécialisés. De plus, le raccord à sertir a été testé par le TÜV Rheinland. Outre les éléments tels que les coudes, les pièces en T, les manchons, les raccords et les brides, tous les composants d’installation essentiels pour les systèmes de chauffage et de refroidissement sont disponibles. D’autres composants suivront rapidement. Les raccords à sertir sont équipés en usine de joints d’étanchéité en EPDM. Pour des exigences encore plus élevées, il est très facile de les remplacer par des joints en FKM. Ces derniers sont nécessaires pour les conduites de raccordement des capteurs tubulaires sous vide.Les raccords à sertir « Temponox » sont compatibles avec les machines à sertir Viega Pressgun 6 bien connues et leurs mâchoires correspondantes. Les artisans spécialisés peuvent donc utiliser leur outillage existant pour le système de tuyauterie en acier inoxydable de haute qualité.
Il y a 2 ans et 102 jours

Travailler mieux pour faire accepter de travailler plus longtemps ?

"Nous discutons avec les partenaires sociaux et nous travaillons aussi en lien avec les Français pour adapter la vie professionnelle aux conditions de l'époque", a assuré vendredi le porte-parole du gouvernement Olivier Véran sur franceinfo.Le gouvernement doit "faire en sorte que les conditions de travail, que l'organisation du travail en France s'améliorent", a abondé le ministre des Relations avec le Parlement Franck Riester sur France2.Et son collègue au Budget, Gabriel Attal, d'indiquer quelques jours plus tôt entendre les revendications des manifestants sur "la qualité de vie au travail".Le débat gauche-droite sur la "valeur travail" est revenu sur le devant de la scène depuis que l'écologiste Sandrine Rousseau a évoqué un "droit à la paresse". Des propos vertement balayés par le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin: ce dernier a dénoncé un "profond mépris de la valeur travail que défendent les ouvriers et les classes populaires"."Reconnaissance"Le patron de la CFDT Laurent Berger refuse de tomber dans le "piège" de M. Darmanin revenant à "dire qu'il y aurait d'un côté ceux qui pensent qu'il faut travailler (...) et puis les autres, les feignants".Il a regretté que la Première ministre Élisabeth Borne n'ait pas "parlé de travail" lors de son passage sur France2 jeudi.Or, avait-il expliqué lundi, "le travail a de la valeur ; aujourd'hui beaucoup dans le monde du travail souffrent d'un problème de reconnaissance" par "les salaires, les bonnes conditions de travail, la non altération physique et psychique du travail. Il aurait fallu commencer par ça".L'exécutif, qui peine à gagner "la bataille de l'opinion", surtout sur le report de l'âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans, allume donc un nouveau contre-feu: pression sur la SNCF et la RATP pour améliorer carrières et salaires, expérimentation de la semaine de 36 heures sur quatre jours à l'Ursaff de Picardie, mise en avant des négociations pour augmenter la rémunération des enseignants...Mais cela ne semble pas suffire. "Parmi ceux qui considèrent qu'ils effectuent un travail pénible - c'est quand même un tiers des salariés -, le taux d'adhésion à la réforme est à 12%" seulement, a relevé vendredi le politologue de l'Ifop Jérôme Fourquet sur BFMTV."Pack" travail"Quand vous avez plus d'une personne sur deux qui ne se sent pas bien dans son travail, forcément si vous lui dites +il va falloir travailler deux ans de plus+, c'est très brutal", a reconnu jeudi la députée Renaissance Stéphanie Rist, rapporteure du projet de loi retraites.Elle aurait d'ailleurs préféré que le gouvernement élabore "un pack entier sur le travail, avec des mesures qui permettent de rassurer". Il faut "s'attaquer" au nouveau rapport des Français au travail, a expliqué Mme Borne aux députés de la majorité, les enjoignant à faire "des propositions" dans le texte retraites ou celui, prévu au printemps, sur le plein-emploi.Le gouvernement a déjà déposé une série d'amendements adoucissant sa réforme pour certaines catégories, ou pour allonger dans le temps la possibilité de rachat de trimestres de cotisations au titre des années de stage ou d'études supérieures.Mais certains points pourraient ne pas s'intégrer dans le texte budgétaire choisi par l'exécutif pour faire passer sa réforme, comme la pénibilité et l'emploi des seniors.Dans l'immédiat, oppositions et majorité ont des propositions pour sanctionner davantage les entreprises récalcitrantes ou abaisser aux plus petites entreprises l'application rendue obligatoire de "l'index seniors", qui vise à décrire la politique de l'entreprise à l'égard des salariés plus âgés.Autant de dispositions qui pourraient être intégrées dans le projet de loi "plein emploi" du ministre du Travail Olivier Dussopt annoncé pour le printemps. Il prévoit notamment la transformation de Pôle emploi en France Travail ou un nouveau dispositif d'insertion des allocataires du RSA.
Il y a 2 ans et 102 jours

CERTIFICATION NF EN VUE POUR LA PORTE CYBÈLE EI60 DE MAF ATLANTIQUE

MAF Atlantique s’apprête à recevoir officiellement la certification NF, délivrée par l’AFNOR, pour sa porte va et vient coupe-feu en acier : Cybèle EI60. Seul industriel Français à obtenir le PV DAS et le PV feu sur ce type de porte, MAF Atlantique s’ouvre de nouvelles opportunités pour équiper les Établissements Recevant du Public (ERP), pour lesquels la norme NF est obligatoire sur les portes à grand trafic et avec accès PMR. La porte Cybèle EI60 est la dernière innovation de MAF Atlantique lancée en 2021. Cette porte va et vient vitrée motorisée 2 vantaux en acier coupe-feu (EI 60) peut mesurer jusqu’à 3 m de hauteur et 3,40 m en coupe-feu ½ heure (EI30). Elle répond au mode 2 des cahiers des charges pour les ERP, à savoir que sa position d’attente est généralement ouverte et qu’elle est équipée d’un système de retenue et d’un système de fermeture. La porte Cybèle EI60 se distingue aussi par une motorisation indépendante des vantaux (également certifiée). Elle répond à des critères de robustesse, de garantie du constructeur et de résistance au feu. La pérennité de la structure lui confère une bonne tenue dans le temps en adéquation au grand trafic et à la forte sollicitation.  Norme NF : tests réussis avec un essai coupe-feu du premier coup 12 mois de tests chez MAF Atlantique ont été nécessaires à l’obtention de la certification NF sur la porte Cybèle EI60. Chez le fabricant, la bonne anticipation de la part du bureau d’étude et la rigueur de fabrication par l’atelier ont permis à la porte Cybèle EI60 de passer les tests avec succès du premier coup : au niveau mécanique : PV DAS qui correspond au Dispositif Actionné de Sécurité. Sollicitée principalement sur les pivots, la porte répond parfaitement aux nombreuses actions d’ouverture et de fermeture maximale ; au niveau sécurité incendie : PV feu pour sa résistance au feu pendant 1 heure (60 mn = EI60). 1er industriel Français certifié NF sur une porte acier vitrée va et vient, motorisée résistante au feu Pour MAF Atlantique, l’obtention de la norme NF pour la porte Cybèle EI60, lui laisse entrevoir de belles perspectives pour équiper des établissements qui reçoivent de nombreux visiteurs et exigent aussi des accès PMR (hôtels, hôpitaux, établissements publics, aéroports, halls d’exposition…). La norme NF est obligatoire depuis 2004 dans les ERP pour les portes devant supporter un grand trafic de visiteurs. Elle n’est pas obligatoire pour les portes en mode 1. Elle l’est en revanche, pour les portes en mode 2, (généralement laissées ouvertes avec système de retenue et de fermeture) motorisées et résistantes au feu. MAF Atlantique devient ainsi le premier fabricant à proposer une porte acier vitrée va et vient, résistante au feu et motorisée certifiée NF. Retrouvez la vidéo des tests de la porte Cybèle EI60 par MAF Atlantique « La norme NF est une démarche volontaire de notre part. Son obtention pour la Cybèle EI60 nous ouvre des belles opportunités pour travailler en confiance avec nos clients sur des chantiers de construction ou de rénovation d’ERP.  En tant que fabricant Français, spécialisé dans les portes coupe-feu, nous sommes très attachés à la mise en conformité de nos produits avec les normes de sécurité et de technicité. Notre point fort est la motorisation et plus précisément la motorisation indépendante des vantaux. Être certifié NF a donc du sens pour nous et devient un gage de qualité de nos produits pour nos clients. »Guillaume Leborgne, Directeur de MAF Atlantique Porte Cybèle EI60 de MAF Atlantique – Équipe de la société Efectis devant la porte Cybèle mise en situation pour les tests.© MAF Atlantique Parmi ses spécificités, sans équivalent en France, la porte Cybèle EI60 se distingue par : – un PV DAS pour la version motorisée classique et pour la version motorisation indépendante des vantaux (accès PMR induit) ; – un PV Feu pour une résistance au feu pendant 60 mn (EI60) ; – une solution anti-pince doigts ; – les plus grandes dimensions du marché : 3 m de hauteur en EI60 et 3,40m en EI30 ; – des profilés assemblés par soudure par souci de solidité, de pérennité et d’esthétisme. La norme NF apporte les cautions suivantes : – Traçabilité : les caractéristiques de performance sont marquées sur la porte (sticker avec numéro de dossier de certification). – Qualité constante : la fabrication des portes est garantie par un système qualité contrôlé. – Information : le certificat ainsi que les notices techniques et de pose sont toujours fournis avec le produit. – Reconnaissance : le certificat est reconnu par les prescripteurs et contrôleurs techniques. À PROPOS DE MAF ATLANTIQUE Implantée depuis 18 ans à Guérande, en Loire-Atlantique, MAF Atlantique fabrique tous types de menuiseries – acier, bois et aluminium – vitrées prêtes à poser, avec une forte expertise dans le domaine des menuiseries coupe-feu. Dirigée par Guillaume Leborgne, l’entreprise dispose d’un bureau d’études intégré qui réalise des plans et des solutions uniques à chaque projet. Dotée d’outils industriels performants, MAF Atlantique fabrique avec précision des ouvrages de haute qualité. Destinées à la protection des personnes et des biens, les menuiseries produites par MAF Atlantique sont particulièrement adaptées aux établissements recevant du public (ERP). Filiale depuis 2015 du Groupe ACIEO (400 collaborateurs, 7 sociétés, 90 M€ de CA), MAF Atlantique possède la force d’un groupe industriel et la souplesse d’une PME. EN CHIFFRES : Créée en 2004 3 M€ de chiffre d’affaires en 2021et 3,5 M€ de prévisionnel en 2022. Outil de production de 1 500m2 Marquage NF disponible sur 18 références Membre de la French Fab Contact presse – Agence COM4 Sébastien CRUZ – scruz@com-4.fr Tél : 02 40 73 50 51 / 3 quai de Tourville – 44000 Nantes
Il y a 2 ans et 102 jours

Nouveau nom et nouvelle identité visuelle, le groupe QUINOA devient le groupe EOLIANCE 

Depuis 2010, le groupe QUINOA s’est construit par l’union de sociétés ayant des savoir-faire uniques dans les métiers de la ventilation et du traitement de l’air.Chacune des sociétés qui composent le groupe porte une marque forte et une offre de produits complémentaires, ce qui a permis au groupe QUINOA de s’imposer comme un acteur majeur sur le marché. Il propose aujourd’hui une large gamme de solutions : centrales de traitement de l’air (Hydronic), protection incendie, grilles et brise-soleil (Panol), VMC résidentielles et accessoires (Autogyre et Eoliance Habitat) et réseaux aérauliques (Sotis). Le groupe intervient sur l’ensemble des segments du marché : maisons individuelles, habitat collectif, bâtiments tertiaires et bâtiments industriels.  Fort de cette large expertise dans le domaine du traitement de l’air, le groupe change de nom et devient EOLIANCE. Cette nouvelle appellation du spécialiste de l’air intérieur est assortie d’une nouvelle baseline « Penser l’air autrement ». Une alliance de compétences pour apporter une offre globale de solutions La raison d’être du groupe EOLIANCE est de contribuer au confort et à la santé des occupants dans leurs lieux de vie, et d’améliorer la qualité de l’air des bâtiments tout en réduisant leur consommation d’énergie et leur empreinte carbone.  Stéphane Nicoli Président du groupe EOLIANCE « La mission que nous nous sommes donnée, depuis 3 ans, a été de construire des produits et des services innovants qui feront, demain, la différence sur le marché. Nous sommes une communauté d’entrepreneurs solidaires aux savoir-faire incontestables, une alliance de professionnels experts des métiers du traitement de l’air aussi bien en termes de conception, de fabrication, que de pose des produits. Notre nouveau nom, EOLIANCE, incarne parfaitement les valeurs et l’identité de notre groupe. Notre nouvelle base-line, “Penser l’air autrement“, exprime notre volonté d’innover et d’apporter à nos clients des solutions d’avant-garde.»Le nouveau nom, EOLIANCE, marque à la fois le métier du groupe positionné dans le domaine de la Qualité de l’Air Intérieur, mais aussi sa volonté de tisser des alliances solides avec l’ensemble de ses clients, les installateurs en génie climatique et la distribution grand public et professionnelle. Il incarne la dynamique dans laquelle le groupe est résolument engagé, celle d’un acteur de premier rang aux compétences uniques sur son marché et qui, à travers ses solutions, met tout en œuvre pour réduire les émissions de CO2 et les consommations électriques, et contribuer à faire du bâtiment un secteur exemplaire en matière d’économie d’énergie et de confort pour les occupants. Stéphane Nicoli « .Aujourd’hui est une étape importante dans la vie de notre groupe : un nouveau nom et de nouvelles offres pour porter plus haut nos ambitions, nos valeurs et le savoir-faire de nos équipes.» www.eoliance.com
Il y a 2 ans et 103 jours

Rencontre avec Norman Willemsen, PDG de Kebony

Batinfo : Pouvez-vous revenir sur l'histoire de KEBONY ?Norman Willemsen : Kebony est la première entreprise mondiale en matière de technologie de modification du bois respectueuse de l’environnement, reconnue comme leader mondial de la durabilité et l’une des entreprises technologiques les plus passionnantes, mettant en avant sur la scène internationale la mégatendance des matériaux de construction durables sur le marché mondial de la construction.Kebony a été fondée en 1997 en Norvège et a connu une croissance phénoménale au cours des deux dernières décennies pour devenir un producteur internationalement reconnu du meilleur bois durable entièrement modifié. Afin de répondre à la demande accrue, une deuxième usine a été ouverte en 2018 à Anvers, ce qui a permis à Kebony de doubler sa capacité de production annuelle de bois Kebony Clear et de se développer sur de nouveaux marchés mondiaux.Batinfo : Où en est KEBONY maintenant ?Norman Willemsen : Chez Kebony, nous utilisons notre technologie unique et brevetée de modification du bois pour produire un bois amélioré de qualité supérieure, qui est à la fois respectueux de l’environnement et rentable : un bois naturel fait pour durer. En transformant de manière permanente des essences de bois tendres comme le pin en bois Kebony dont les caractéristiques sont comparables, et dans certains cas supérieures, à celles des bois durs précieux, notre entreprise parvient à éviter la déforestation des bois durs tropicaux et à protéger des puits de carbone vitaux comme l’Amazonie.La communauté internationale reconnaît aujourd’hui la nécessité absolue de construire avec des matériaux durables et issus de sources durables. Dans de nombreuses régions du monde, il est indéniable que le secteur de la construction est très polluant et demeure peu durable, sachant que la chaîne de valeur, des matériaux aux opérations, est responsable de plus d’un tiers des émissions annuelles de gaz à effet de serre.Bientôt, il sera impératif pour tous les professionnels de l’environnement bâti d’atteindre les objectifs de durabilité. La réduction de la dépendance mondiale à l’égard des bois durs courants est au cœur de la mission de Kebony, et notre technologie innovante et brevetée de modification du bois nous permet de produire du bois à la fois écologique et rentable.Nous sommes fiers de pouvoir dire que le bois Kebony a été utilisé dans certains projets les plus ambitieux, les plus durables et les plus appréciés au monde, notamment le pavillon KREOD pour les Jeux olympiques de Londres, le restaurant de plage du Club des Palmiers à Saint-Tropez, le showroom de Tesla à Denver et, plus récemment, le réaménagement de l’emblématique centrale électrique de Battersea à Londres.En contribuant positivement à l’évolution naturelle et à la viabilité de l’utilisation du bois dans la construction, Kebony entend aborder le double problème de la déforestation et des émissions de carbone provenant des matériaux de construction standardisés. Kebony se distingue de ses concurrents par le fait que sa production de bois est respectueuse de l’environnement grâce à une technologie et à un processus d’imprégnation complexes et sophistiqués, ce qui lui a valu une réputation d’excellence de longue date.Batinfo : Quels sont les prochains projets pour Kebony ?Norman Willemsen : Cette année, le Global Cleantech 100 a accueilli Kebony dans son prestigieux « Hall of Fame » en reconnaissance de son engagement envers l’excellence technologique et la création d’un avenir durable. Le produit a également été reconnu par le Financial Times comme « Tech Champion » pour sa production durable et la préservation des forêts comme puits de carbone. Kebony est une entreprise mondiale, et les produits Kebony sont utilisés sur des projets dans plus de 100 pays. En tant que leader mondial de la production de bois durable, Kebony ouvre la voie à une construction respectueuse de l’environnement et ce, à une époque où elle est plus nécessaire que jamais. En Octobre 2021, Kebony a récolté 30 millions d’euros à l’occasion d’une levée de fonds menée par Jolt Capital et Lightrock, qui soutient nos ambitions futures et nous permettra de tirer parti de l’importante évolutivité opérationnelle pour poursuivre une croissance rentable. Nous visons maintenant des opportunités de croissance prometteuses, avec la nomination d'équipes de vente supplémentaires en Europe occidentale et centrale, au Moyen-Orient et aux États-Unis. Aujourd’hui, Kebony est vendu dans un grand nombre de pays et prévoit, d’ici 2030, d’être utilisé dans des projets de développement dans de nombreux pays à travers le monde, en raison du besoin croissant d’alternatives durables dans la construction et du fait que le bois durable devient la nouvelle norme.
Il y a 2 ans et 104 jours

Longévité du béton romain : Le secret dévoilé

Le célèbre Panthéon de Rome, qui possède le plus grand dôme en béton romain non armé du monde et qui a été inauguré en 128 après J.-C., est toujours intact. [©Architas/Wikipédia] Si on a l’impression que le béton est une invention moderne depuis l’industrialisation du ciment au cours du XIXe siècle, il est en réalité un “vieux” matériau de l’architecture. Plus de 2 000 ans après leur édification, certaines structures antiques sont d’ailleurs là pour attester de l’efficacité de ce matériau. Les anciens Romains étaient des maîtres de l’ingénierie, construisant de vastes réseaux de routes, d’aqueducs, de ports et de bâtiments massifs. Dont les vestiges ont survécu pendant deux millénaires. Nombre de ces structures ont été construites en béton. Le célèbre Panthéon de Rome, qui possède le plus grand dôme en béton non armé du monde. Et qui a été inauguré en 128 après J.-C., est toujours intact. Et certains aqueducs romains antiques fournissent encore de l’eau à Rome aujourd’hui. Mais quel est le secret de ce béton ? L’importance des clastes de chaux C’est grâce aux recherches d’une équipe du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et d’ingénieurs européens, que le secret de la longévité est enfin dévoilé. Les scientifiques ont analysé des fragments prélevés sur un mur d’enceinte antique de la ville de Privernum, en Italie, à l’aide de techniques d’imagerie perfectionnées (spectroscopie de rayons X à dispersion d’énergie). Les chercheurs ont ainsi pu établir une précision sur la composition du béton romain. Et se sont en particulier arrêtés sur des éclats de minéraux blancs appelés “clastes de chaux”. Jusqu’alors, les experts pensaient que leur présence était due à un mortier bâclé ou de mauvaise qualité. Les analyses spectroscopiques ont permis de comprendre que ces clastes de chaux étaient en carbonate de calcium. Des tests réalisés Un composé qui ne se forme qu’à des températures extrêmes. Cet élément leur a permis de déduire la différence majeure entre béton moderne et béton romain. Ce dernier, opus caementicium, était mélangé directement avec de la chaux vive, c’est-à-dire à de très hautes températures. Les chercheurs ont fait le test. Ils ont fabriqué un bloc de béton à base de pierre volcanique et de chaux vive, l’ont fissuré et ont fait couler de l’eau dessus. En deux semaines, les fissures étaient complètement cicatrisées et l’eau ne s’infiltrait plus, contrairement à ce qui se passerait avec du béton classique. Les résultats de l’étude ont été publiées dans le journal “Science Advances”, le 6 janvier 2023. Un article intitulé “Riddle solved: Why was Roman concrete so durable?” (Enigme résolue : pourquoi le béton romain était si solide ?), publié sur le site du MIT, résume les faits. Lire aussi : Panthéon de Rome : La plus somptueuse des coupoles en béton Dmat, la start-up italienne qui développe un béton “vert ” C’est en s’inspirant de la Rome antique que la start-up Dmat, fondée en 2021 à Udine (Nord-Est de l’Italie), s’apprête à commercialiser un “béton vert” à l’extraordinaire capacité auto-génératrice. Un produit qui devrait s’avérer révolutionnaire. Son marché représente actuellement environ 650 Md€ avec une production annuelle de 33 Mdt, soit 18 fois le poids de la production globale d’acier. Ce matériau ne peut aussi pas se soustraire aux défis du changement climatique, puisque la filière qui en est à l’origine cause 7 à 8 % des émissions mondiales de CO2. « La production de notre béton affiche une réduction nette des émissions de CO2 allant jusqu’à 20 % par rapport à un béton de référence, avec des performances identiques », conclut Nicolas Chanut, co-fondateur de Damt, avec Paolo Sabatini et Carlo Andrea Guatterini. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 104 jours

Clareo dévoile en exclusivité sa nouvelle gamme d'éclairage Design intégrant la marque Zambelis

Pour Olivier MASCHINO, Président de CLAREO : « C’est une véritable étape pour nous. Aujourd’hui CLAREO est un des acteurs les plus importants en France en éclairage fonctionnel avec 35 millions d'euros de chiffre d’affaires et souhaite se positionner également fortement sur les produits décoratifs et design. Suite à de nombreuses demandes de nos clients sur ce type d’éclairage, la marque Zambelis nous est apparue en parfaite adéquation avec notre offre produit et avec nos valeurs. Les produits Zambelis respectent les standards de qualité et d’innovation CLAREO, ainsi que les enjeux environnementaux. Avec ces points communs, la marque Zambelis s’est imposée de manière évidente et naturelle. Nous sommes fiers de proposer cette gamme DESIGN aussi complète qu’originale. Après seulement quelques jours de lancement, nous avons déjà eu d’excellents retours de nos clients, aussi bien installateurs qu’architectes. »La nouvelle gamme DESIGN de CLAREO c’est :1.400 références indispensables de l’éclairage décoratif : des suspensions, des downlights, des plafonniers, des appliques intérieures ou encore une large gamme pour l’éclairage extérieur.Des produits dans l’air du temps, modernes et très originaux pour répondre à tous les projets décoratifs et design.Des produits aux matériaux aussi variés que surprenants (verre, acier, plâtre, argile, bois) et aux couleurs originales (cuivre, dorée, terracotta, émeraude, etc.).Une gamme customisable sur demande, au gré des envies et des projets.90% des produits en stock en France et en Europe et à un excellent rapport qualité prix.Plus de 40% des produits fabriqués en Europe.Une partie des références livrées en 12h chez nos clientsDes produits pour tous types d’applications : hôtels, restaurants, magasins, bureaux, extérieur, etc.Zambelis en quelques motsCrée en 1967, Zambelis propose des luminaires à l'esthétique contemporaine et originale. Le succès de la marque repose sur des matériaux finement travaillés, une fabrication méticuleuse et un style qui mêle originalité et modernité.Son catalogue de 1.400 références est extrêmement large et propose des suspensions, des downlights, des plafonniers, des appliques intérieures, des dalles, des tubulaires ou encore des éclairages extérieur pour créer des projets décoratifs, qu'il soit classique ou contemporain.
Il y a 2 ans et 105 jours

Levée de boucliers pour défendre des immeubles très sixties menacés de démolition à Toulouse

Le "Grand d'Indy", barre massive de onze étages, se détache au dessus des arbres, non loin du lac de la Reynerie. L'immeuble, érigé en Y, abrite 243 logements sociaux et doit être détruit en 2023.Six autres bâtiments du quartier sont condamnés à disparaître pour laisser place à de plus petits, allant du pavillon individuel à l'immeuble collectif, suivant un plan soutenu par l'agence nationale de renouvellement urbain."Alors même qu'on manque de logements à Toulouse, c'est une aberration !", s'emporte Michel Retbi, architecte du collectif opposé au projet.Toulouse, quatrième ville de l'hexagone avec plus de 493.000 habitants, figure en zone immobilière tendue en raison d'une offre insuffisante.La démolition des ensembles bâtis par les architectes Candilis, Josic et Woods, inspirés de Le Corbusier, n'est plus défendable dans le contexte actuel de flambée des prix des matières premières et de crise climatique, selon le collectif."Démolir et reconstruire coûte trois fois plus cher que réhabiliter" et "le bilan carbone d'une démolition est le triple de ce que représente une réhabilitation", assure M. Retbi.La rénovation du quartier, à quinze minutes en métro du centre-ville, pourrait se mener sans démolition, martèlent-ils, plaidant pour un moratoire sur les destructions et un concours d'architecture pour imaginer le Mirail du futur.Logements spacieuxBaptisés des noms de compositeurs et de peintres (Le Tintoret, Messager, etc.), ces grands ensembles "font partie des rares bâtiments qui n'ont pas bougé après AZF", précise Gilbert Pedra, autre membre du collectif.L'explosion de l'usine d'engrais AZF en 2001 a fait 30 morts et détruit ou endommagé près de 30.000 édifices.Ceux du Mirail ont conservé "une structure saine", assure l'architecte, poursuivant dans un éclat de rire: "les logements de luxe en plein centre-ville de Toulouse sont moins bons que ça, et en espace et en qualité, et c'est un architecte qui vous le dit !"Les appartements, presque tous logements sociaux, vont du T2 au T6 et sont "super", sourit Jacques Rovaris, 79 ans, qui occupe depuis plus de 40 ans un T2 au cinquième étage du Grand d'Indy.Avec 66 m2, un séjour lumineux et un large balcon d'où il voit les Pyrénées par beau temps, le retraité se dit "heureux". Un relogement dans "un appartement bien, mais plus petit" lui a été proposé, mais il "ne demande pas à partir, juste à faire quelques petites améliorations"."On peut imaginer toutes sortes de réhabilitations", assure Michel Retbi. Un argument appuyé par la présidente du conseil national de l'ordre des architectes, Christine Leconte, et les architectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, lauréats du prix Pritzker 2021.Mauvaise imageCes bâtiments sont vus comme "des cages à lapin" et pâtissent d'une "mauvaise image", regrette Claire Martin, membre du collectif, regrettant l'"association faite entre la paupérisation du quartier et le bâti".Leur destruction s'inscrit dans la volonté politique de transformer le Mirail, miné par le trafic de drogue. Les autorités souhaitent créer de la mixité sociale en diminuant la part de logements sociaux au dessous de 50%.Si l'opération est onéreuse - le coût de la seule destruction est estimé à plus de 87 millions d'euros - Gaëtan Cognard, maire du quartier, assume ce choix: "les architectes pensent aux bâtiments, moi aux habitants"."Il s'agit de démolir maintenant pour nos générations futures", argue-t-il, estimant que les émissions de carbone d'une reconstruction aux normes actuelles seront compensées sur le long terme.Quant au manque de logements, "on ne va pas arrêter tous les chantiers de démolition, surtout quand" ils visent à "renouveler et améliorer le cadre de vie des habitants", estime-t-il.Un objectif auquel peine à croire Brigitte Touillet, 69 ans, habitante opposée au projet. Elle cite un autre secteur du Mirail où "ils ont construit des petits cubes partout"."On nous dit que cela a fait plus de mixité sociale, mais rien n'a changé. Quand on sort du métro, on peut toujours acheter toutes les herbes qu'on veut", raconte-t-elle, en allusion au trafic de drogue.
Il y a 2 ans et 105 jours

comment ameliorer sa qualite d air interieur avec panasonic

Avec Etherea, Panasonic pousse encore plus loin les notions de design, de performances, de connectivité et réinvente votre confort. Le nouvel Etherea intègre la dernière génération de la technologie nanoe™ X avec tous les avantages des radicaux hydroxyles. Avec des options de contrôle avancé, des performances élevées, un design élégant et des fonctions intelligentes, Etherea vous permet de faire de votre intérieur un lieu confortable, propre et agréable.
Il y a 2 ans et 105 jours

Panorama des stations de ski abandonnées en France : profil, histoire, reconversion

QUESTION : Peut-on dresser un panorama des domaines skiables fermés en France ?REPONSE : Les sites concernés sont principalement des micro-domaines skiables, à 90%, et pour le reste on observe, depuis le début des années 2000, quelques stades de neige et petites stations touristiques: par exemple Chambon-des-Neiges (Puy-de-Dôme) ou le Mas de la Barque (Lozère). Il y a des fermetures dans tous les massifs, les Vosges, le Jura, le Massif Central, les Pyrénées mais surtout dans les Alpes car c'est le plus grand massif et le plus peuplé.En France, 31% du stock total de domaines skiables ont fermé. Dans les massifs de moyenne montagne, c'est beaucoup plus, 60% dans le Massif Central, ça veut dire qu'il y a plus de sites qui ont périclité qu'il n'y en a encore d'actifs aujourd'hui.Ce chiffre peut paraître spectaculaire mais il est à remettre dans son contexte. Si on compare les longueurs de piste de ski fermées à l'étendue du domaine skiable français, on se rend compte que la France n'en a perdu que 2%, ce qui est vraiment très peu. Cela montre que 186 sites équivalent à 2% du domaine.Il y a eu une période d'engouement pour le ski à partir des années 50-60, il s'agissait de petits centres souvent créés par des collectifs de villageois, parfois par le curé, pour animer le territoire. Ces sites n'avaient pas de vocation de rentabilité ou de croissance.Q. A quoi attribuer ces fermetures ?R. Il y a parfois une confusion: on dit +les stations ferment parce qu'il n'y a plus de neige+. Non, elles ferment parce qu'elles ne sont pas rentables et c'est un choix de raison au final.C'est une combinaison de facteurs qui s'entrecroisent, qui évoluent aussi dans le temps: il y a aussi l'obsolescence des remontées mécaniques, avec des charges d'entretien énormes après 20-30 ans.Ce qu'on observe c'est que le cycle de vie de ces sites est de 30 ans. Il y a énormément de produits touristiques, notamment en montagne, qui ont vécu ce cycle et qu'on a complètement oubliés, par exemple le climatisme avec ses sanatoriums, le thermalisme; il y a aussi les téléphériques et funiculaires panoramiques, la moitié ont disparu en France.Ce sont les exploitants les plus performants qui perdurent et continuent dans le ski, les petits, qui étaient à la marge, étaient voués en fin de course à la fermeture.Q. Qu'est-ce qui est préférable, une reconversion ou un démontage ?R. Dans la grande majorité des cas, les sites sont redevenus des champs, des forêts, mais il arrive aussi que dans les sites plus importants, les collectivités prennent le problème à bras-le-corps et proposent une reconversion, par exemple dans les loisirs quatre saisons.Il y a aussi une autre frange, celle de l'économie résidentielle, assez liée à la périurbanisation, surtout près de Chambéry et Grenoble. Les hameaux de tourisme deviennent des habitats permanents et au final les stations ne deviennent pas +fantômes+ mais des petits villages de montagne où on vit extrêmement bien, avec un foncier assez bas.En fait, la fermeture créée des opportunités de manière implicite. Ces stations fermées qui se reconvertissent imaginent à quoi pourrait ressembler la montagne de demain.A Saint-Honoré 1500 (Isère), par exemple, il y a entre 50 et 100 habitants et une qualité de vie fabuleuse, une vue époustouflante sur le Vercors. Par ailleurs, il est toujours difficile de trancher si une fermeture est définitive ou temporaire. L'attachement pour le ski sur les territoires est énorme et il y a toujours des réticences sur le démontage. Le ski revêt un aspect sentimental, je dirais presque patrimonial.Pour ce qui est du démontage des remontées mécaniques inutilisées, la situation est assez bonne en France même si cela avance assez lentement (un ou deux démantèlements par an). Au Japon ou en Amérique du Nord, beaucoup de friches sont laissées en l'état et restent plusieurs dizaines d'années sans intervention.
Il y a 2 ans et 105 jours

Lancement d'un projet d'habitat participatif en hyper centre de Lorient

Au cœur d’un quartier en plein renouvellement urbain, le programme « Le Contrepoint » accueillera environ 60 logements, dont 50 en Accession Coopérative éligibles au dispositif d’habitat participatif et 10 en Bail Réel Solidaire (BRS). Le groupe d’habitants est en cours de construction* pour imaginer la future résidence. Les éventuels intéressés peuvent contacter les équipes imoja pour obtenir des renseignements et rejoindre le projet.L’habitat participatif, ou co-construire son habitatComposée, à terme, d’environ 60 logements dont 50 éligibles à l’habitat participatif, la résidence « Le Contrepoint » est née de la volonté d’associer les futurs habitants à la conception de leur lieu de vie. imoja, en lien avec l’atelier d’architecture TLPA, propose une démarche de co-conception des habitations.« Dans la limite de l’occupation de ces espaces et volumes prédéfinis, nous dessinerons chaque logements avec ses futurs habitants. Nous les rencontrons en rendez-vous individuel, durant deux heures environ, pour le découpage/dessin de leur logement. » explique Tristan la Prairie, architecte urbaniste. « Moins de 25% des français vivent au sein d’une famille de 4 personnes avec parents et enfants, les typologies habituelles ne reflètent donc pas vraiment la diversité des habitants. Cette méthode va permettre aux acquéreurs de dimensionner leur logement librement, là où la méthode habituelle prédéfinit des typologies aux surfaces standardisées (un T2 fait 45m2, un T3 65, et un T4 85…) ». Les futurs voisins pourront aussi imaginer ensemble les espaces communs qui leur ressemblent, par le biais de rendez-vous trimestriels (visites de chantier, ateliers participatifs), organisés jusqu’à la fin des travaux.Une construction certifiée HQE**Côté architecture, l’atelier TLPA a imaginé la résidence comme un village vertical, sur 6 niveaux. L’architecte souhaite laisser la part belle au bois, par un choix de système constructif novateur composé d’un bardage et d’une structure bois. L’accès aux logements se fera par des coursives extérieures, conférant indépendance et intimité à chaque appartement. Des maisons en bois et en paille seront érigées sur le toit et viendront couronner la résidence. Un lieu de vie entièrement tourné vers un cœur d’îlot accessible à tous, qui laissera place à la végétation, agrémenté de cheminements piétons. Labellisée Haute Qualité Environnementale, la résidence bénéficiera d’un niveau de performance énergétique supérieur à la règlementation « RE2020 » (niveau visé : E3C2) et du niveau 1 du label bâtiment biosourcé (isolation thermique de qualité, panneaux photovoltaïques, chaufferie collective au bois plus économe…).Permettre l’accession à la propriété au plus grand nombre« imoja est très investie dans sa mission d’utilité sociale, en défendant l’idée que chacun, quels que soient ses revenus, peut prétendre à son « premier chez soi ». L’accession à la propriété s’intègre pleinement dans cette mission » souligne Franck Gauthier, directeur territorial Aiguillon du Morbihan. « Le Contrepoint » propose une soixantaine de logements intégralement destinés à de la résidence principale, en Accession Coopérative et en Bail Réel Solidaire (BRS), des dispositifs d’aide à l’achat, adressés à des ménages sous conditions de ressources.L’Accession Coopérative est un dispositif d’accession à la propriété destiné aux foyers respectant certains plafonds de ressources. Ce dispositif permet de bénéficier d’un prix de vente encadré (avec une TVA à 20 %), ainsi que des garanties complémentaires des coopératives pour sécuriser l’achat.Le Bail Réel Solidaire a pour objectif de faciliter l’accession à la propriété pour tous, afin de permettre au plus grand nombre de devenir propriétaire. L’acquéreur est propriétaire de son logement et verse une redevance mensuelle à un Organisme Foncier Solidaire (OFS) pour la partie foncière (le terrain) sur lequel la résidence est construite.* Vous êtes intéressé par ce projet d’habitat participatif ? Contactez Mathilde Jego, conseillère commerciale imoja, pour obtenir des renseignements et rejoindre le projet : par téléphone au 02 56 37 71 06. Sur rendez-vous, imoja à lorient - 52B cours de Chazelles** Haute Qualité Environnementale
Il y a 2 ans et 106 jours

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Il y a 2 ans et 106 jours

Schöck lance une saga vidéo à destination du grand public

Le deuxième volet de la sage vidéo de Schöck se consacre aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. [©Schöck] Fervent défenseur de l’homogénéité de l’enveloppe des bâtiments, Schöck met son expertise au service du plus grand nombre. Ceci, à travers une série de vidéos, ludiques et didactiques. Une saga vidéo découpée en 4 saisons et 16 épisodes, en cours de diffusion cette automne sur sa chaîne YouTube. « Il s’agit là-encore pour Schöck d’insuffler une véritable dynamique, afin que les constructions d’aujourd’hui ne soient pas les rénovations de demain », peut-on lire dans le communiqué de la marque. En effet, à l’heure des premières constructions RE 2020 et alors que les prix de l’énergie connaissent une hausse record. Il s’avère primordial de s’interroger sur la manière la plus efficace de s’assurer un habitat confortable, économique et pérenne. Tel est le pitch de la deuxième saison des vidéos lancées par Schöck. Avec trois nouveaux opus : “La grande évasion énergétique”, “Etat des lieux, première partie : ça va chauffer !”, “Etat des lieux, seconde partie : un combat inégal”. Lire aussi : Schöck France obtient une Fdes pour l’ensemble de la gamme Rutherma En direction des locataires et des propriétaires Dans les premiers épisodes, Schöck expliquait en quoi une enveloppe de bâtiment homogène constituait la garantie d’un choix gagnant pour toute la vie du logement. Tant pour le propriétaire que pour l’occupant. La saison 2, elle, détaille les impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Pour Schöck, il s’agit d’insuffler une véritable dynamique en direction des locataires ou des propriétaires. Si la première saison scénarisait notamment la prédilection hexagonale pour l’ITI et donnait le rôle principal aux passoires thermique. Le deuxième volet se consacre aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Il s’adresse toujours aux particuliers désireux d’acquérir un logement. Tout en sensibilisant aussi associations de consommateurs, organismes en conseil immobilier, fédérations, institutionnels comme politiques … 14 % du budget des Français S’appuyant sur le Livre Blanc réalisé par le groupe de travail sur la qualité de l’enveloppe (GTQE) du Pôle Fibres-Energivie, en 2018, Schöck rappelle que les dépenses en chauffage représentent 14 % du budget des Français. Or, augmenter le chauffage pour pallier la sensation de froid se révèle tout à fait inutile, si le logement concerné est mal isolé. C’est autant d’argent évaporé que d’énergie s’échappant par les ponts thermiques non traités. Il suffit de comparer la durée de vie de l’enveloppe d’un bâtiment (10 à 20 ans) à celle des équipements (5 à 10 ans). Ainsi que leur maintenance réciproque (décennale versus annuelle) pour comprendre l’intérêt évident d’agir en premier lieu sur la qualité de cette enveloppe. En particulier, par le traitement systématique des ponts thermiques. A la clef : économies d’énergie, réduction de la facture de chauffage, augmentation du pouvoir d’achat des ménages, gain en confort et valorisation du bien immobilier. Découvrez les épisodes de la saison 1  et de la saison 2 sur la chaîne YouTube Schöck France.  Schöck clôture sa saga vidéo par deux dernières saisons des plus captivantes Après avoir mis en exergue les travers (ou limites) de la construction des logements en France et les impacts économiques d’une enveloppe non homogène, ce sont aux conséquences sanitaires que Schöck dédie sa saison 3. Quant à la saison 4, elle explicite, sans concession, les failles de la RT 2012 et les ambitions insuffisantes de l’actuelle réglementation thermique. Et toujours en synopsis : la volonté d’insuffler une prise de conscience collective pour un choix de logements économes, sains et durables afin que les constructions neuves ne soient pas les rénovations de demain. Au rang des remèdes efficaces. Les rupteurs de ponts thermiques linéiques entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon en ITI, de même que le traitement des ponts thermiques des balcons en ITE. La saison 4 Enfin, les 4 épisodes de la saison 4 , auxquels se greffent un épilogue , donnent les rôles principaux à la RT 2012 et la RE 2020, mais à l’opposé des héros que ces réglementations souhaiteraient incarner.   En effet, soulignant la prédilection hexagonale pour l’ITI et non l’ITE, pourtant seule garante d’une enveloppe parfaitement homogène, Schöck renvoie à la réglementation française qui stipule que seule une partie des ponts thermiques doit être traitée pour être conforme (environ 50 %). Pour un bâtiment de logements collectifs par exemple, il suffit donc de traiter en moyenne 50 % des ponts thermiques avec des rupteurs sur chaque plancher intermédiaire, ou bien traiter les ponts thermiques des premiers étages, mais pas des derniers étages du bâtiment (ou vice et versa). Seule la moyenne compte ! Ainsi, malgré sa conformité à la RT 2012 ou désormais à la RE 2020, une construction neuve peut comporter d’importantes fuites d’énergie au regard de ponts thermiques subsistant entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon. Constat décevant à l’heure où il faudrait en fait privilégier un traitement complet des ponts thermiques en ITI ou ITE. D’autant que si les coûts de construction représentent 28 %, ceux de financement 15 % et les charges foncières 11 %, la maintenance et l’utilisation grèvent à elles-seules près de la moitié du budget (46 %). D’où l’intérêt de mettre encore l’accent sur la qualité de l’enveloppe pour diminuer le coût d’exploitation du bâtiment porté par les futurs occupants du logement ou le gestionnaire du patrimoine. En signant cette série de 16 vidéos ludiques et didactiques, Schöck a donc sensibilisé le plus grand nombre à l’importance d’une enveloppe homogène du bâti pour réaliser des économies d’énergie, augmenter le pouvoir d’achat des ménages, garantir le confort des occupants ainsi que valoriser son patrimoine immobilier. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 110 jours

12ème édition du Carrefour des Partenaires : FRANCE MATÉRIAUX dévoile sa feuille de route 2023

Point de rencontres et de négociations entre adhérents et partenaires industriels du groupement national, la 12ème édition du Carrefour des Partenaires, organisée à Lille les 18 et 19 janvier 2023, a été l’occasion pour FRANCE MATÉRIAUX de dévoiler ses nouveaux services et axes stratégiques pour continuer à accompagner, fédérer et développer son réseau de négociants indépendants. Ces deux journées d’échanges ont également permis à Eric Petitdemange, Directeur Général, de mettre en avant la résilience de ses adhérents et les atouts du modèle du groupement face à la conjoncture économique actuelle. FRANCE MATÉRIAUX, LA FORCE DE L’INDÉPENDANCE POUR RELEVER LES DÉFISLors de la plénière ouvrant le Carrefour des Partenaires, Eric Petitdemange a tenu à souligner « la formidable résilience des adhérents de France Matériaux qui ont su s’adapter, intégrer et réagir aux coups de boutoirs dûs aux difficultés d’approvisionnement, aux pics d’activités,… tout au long de l’année 2022. Ceci a démontré que le format du négoce indépendant à taille humaine constitue un vrai atout pour relever les défis d’aujourd’hui et construire demain, ensemble ». 2023 : UN NOUVEAU PANEL D’OUTILS AU SERVICE DE LA PERFORMANCEFace à la situation économique tendue, la 12ème édition du Carrefour des Partenaires a été l’occasion pour FRANCE MATÉRIAUX de présenter ses nouveaux outils digitaux et services physiques pour accompagner ses adhérents dans leur développement. Parmi eux : la base logistique, lancée l’an dernier, totalement opérationnelle avec une gamme de produits plus large en stock : intégration de menuiseries, d’accessoires, de produits pour le sol,… l’élargissement de l’offre produits LES ÉLÉMENTAIRES avec notamment des accessoires de couverture et des produits pour le gros oeuvre, confortant la démarche initiée en 2022 avec la gamme sol ; un plan d’actions commerciales riche composé de trois opérations phares rythmant l’année ; le Bureau de la Performance Energétique, cette structure accompagnant les adhérents et leurs clients à se positionner sur le marché de la rénovation énergétique, renforce ses missions avec de nouvelles formations et outils plus performants pour gérer les dossiers d’aide financière. En complément des solutions pour satisfaire le marché de la rénovation énergétique, une nouvelle offre en matière de photovoltaïque. En apportant de la valeur ajoutée à la toiture, celles-ci permettront aux adhérents, déjà bien implantés sur ce marché, de disposer d’une offre complète pour les chantiers de leurs clients couvreurs ; des dispositifs pour accompagner les adhérents à intégrer la REP ainsi que les nouvelles réglementations en vigueur ; des outils de gestion pour améliorer la compétitivité des entreprises et limiter le risque de défaillance client. LES TROPHÉES FRANCE MATÉRIAUX 2023 POUR RÉCOMPENSER LES PARTENAIRES INDUSTRIELS…Parce que la coopération entre distributeurs et industriels est essentielle face aux enjeux économiques et environnementaux actuels, le groupement FRANCE MATÉRIAUX a souhaité récompenser trois de ses partenaires fabricants de matériaux en fonction de 3 critères : SOPREMA pour la Dynamique de l’Offre ISOLAVA pour la Qualité de Service FISCHER pour la Qualité de la Relation Commerciale … ET DES ADHÉRENTS MIS EN LUMIÈREAutre nouveauté de cette édition du Carrefour des Partenaires, la mise en avant des négoces de matériaux indépendants adhérents de FRANCE MATÉRIAUX pour leurs actions en faveur de : la transformation d’enseigne et le passage sous les nouvelles couleurs de FRANCE MATÉRIAUX selon la charte graphique de 2021 : la société LOUIS GARNIER (43) la dynamique commerciale sur les points de vente et sur les réseaux sociaux : la société SMB (38) et le Libre Service le plus dynamique mis en place par le négoce LEDESMA (83) En croissance, rappelons que FRANCE MATÉRIAUX regroupe, aujourd’hui, 156 adhérents et 243 points de vente sur l’ensemble du territoire français. Pour fédérer et créer une dynamique de groupe, FRANCE MATÉRIAUX organise, depuis fin 2022, un parcours d’intégration au sein de son siège à Chambéry, pour ses nouveaux adhérents. Pas moins de douze nouveaux adhérents ont ainsi rejoint le groupement en 2022. https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 2 ans et 110 jours

LP Promotion obtient le droit d’usage de la marque NF Habitat HQE pour l’ensemble de ses constructions neuves

Cette démarche témoigne des engagements du Groupe à livrer des logements de haute qualité et à faible impact environnemental, mais également un accompagnement qualitatif proposée aux clients.NF Habitat HQE : une nouvelle certification, gage de confianceDélivrée par l’organisme CERQUAL, la certification NF Habitat HQE est une référence dans le secteur du logement et de l’immobilier. Elle assure aux partenaires institutionnels, propriétaires et futurs locataires, des logements mêlant bien-être des usagers (moins de nuisances sonores, économie, fonctionnalités, air sain, luminosité haute sécurité...) et éco-responsabilité grâce à un impact environnemental maîtrisé. Cette certification n’étant pas obligatoire, LP Promotion marque une étape décisive en tant qu’acteur engagé, avec des exigences techniques qui vont plus loin que les réglementations déjà en vigueur.Afin de déployer la démarche qualité liée au référentiel NF Habitat HQE, un référent interne a été désigné au sein du Groupe. Aussi, des formations seront menées pour accompagner le développement de la certification dans l’entreprise.LP Promotion récompensé pour une démarche de qualité déjà établieDepuis plusieurs années, le Groupe LP Promotion poursuit sa transformation sous l’angle de la RSE qui englobe des réalités aussi diverses que l’éthique, la construction bas carbone, la qualité d’usage et le bien-être au travail. En 2022, un audit de renouvellement est venu appuyer cette évolution et le Groupe s’est vu remettre le label « Engagé RSE » ISO 26 000 niveau Confirmé par l’AFNOR.Soucieux de livrer des projets éco-responsables qui assurent le bien-être des usagers, LP Promotion s’engage désormais à certifier 25% de ses projets NF Habitat HQE (Haute Qualité Environnemental), quand 100% de ses opérations seront éligibles à la certification NF Habitat.La feuille de route du Groupe est ambitieuse pour 2023 : économie circulaire, réhabilitation, construction hors site, obtention du droit d’usage de la marque NF Habitat sur l’applicatif Rénovation.
Il y a 2 ans et 111 jours

Les marchés immobiliers français : bilan et perspectives

Knight Frank dresse le bilan des marchés en 2022 et livre quelques perspectives pour 2023.Bureaux en Ile-de-France : reprise à deux vitessesHausse de 16% de la demande placéeL’année 2022 s’est achevée sur une note positive avec 616.000 m² de bureaux loués ou vendus aux utilisateurs au 4e trimestre soit une hausse de 26% par rapport au trimestre précédent.Pour Guillaume Raquillet, directeur de l’agence Bureaux chez Knight Frank France : «Ce volume porte à 2,19 millions les m² de bureaux commercialisés en 2022, un résultat supérieur de 16% à celui de 2021 et très proche de la moyenne décennale. Au nombre de 62 en 2022 contre 56 en 2021 et 22 en 2020, les prises à bail de bureaux de plus de 5.000 m² ont directement contribué à la belle performance du marché francilien. Représentant un volume de près de 710.000 m², soit une hausse de 25% sur un an, celles-ci jouent toutefois un rôle moins déterminant qu’avant le déclenchement de la crise sanitaire, confirmant l’impact sur la consommation de surfaces de bureaux du télétravail et des politiques de rationalisation immobilière des entreprises. »En 2022, la surface moyenne des prises à bail supérieures à 5.000 m² s’est ainsi réduite de 13% par rapport à celle des transactions signées lors des dix années précédant l’épidémie de Covid-19.Paris QCA impressionnePour Guillaume Raquillet : « Alors que l’activité locative tarde à se redresser dans plusieurs secteurs d’Ile-de-France, l’attractivité du quartier central des affaires n’a presque jamais été aussi élevée. 462.000 m² y ont ainsi été commercialisés en 2022, soit 6% de moins seulement que le record historique de 2006 ! »Signe fort d’attractivité, le QCA a également bénéficié de la demande d’entreprises installées en périphérie qui, déménageant dans la capitale, compensent le niveau plus élevé des coûts immobiliers par la réduction parfois drastique des surfaces prises à bail.Enfin, si la demande de bureaux des entreprises de la Tech s’est nettement essoufflée au 2nd semestre, Paris a continué de bénéficier de la demande des opérateurs de coworking.2022 a également été une bonne année pour l’immobilier d’enseignement. Ainsi, portés par la hausse constante des effectifs, les écoles de commerce et les grands groupes privés ont poursuivi leur expansion en Ile-de-France avec 5 opérations de plus de 5.000 m² recensées dans la région dont 4 dans le Croissant Ouest et à La Défense.Regain d’activité dans l’OuestA l’Ouest, Neuilly-Levallois est l’un des marchés qui a le mieux résisté à la crise sanitaire. En 2022, ce dernier a même réalisé l’une de ses meilleures performances, avec 152.000 m² de bureaux placés soit une hausse de 39% par rapport à la moyenne décennale. La Défense tire également son épingle du jeu. 208.000 m² de bureaux y ont été commercialisés en 2022 dont une part significative émanant d’entreprises originaires d’autres pôles tertiaires, comme l’Ouest avec ARKEMA (auparavant installée à Colombes) ou le QCA.Pour Guillaume Raquillet : « Paris et certains secteurs tertiaires de l’Ouest ont su capter la demande d’utilisateurs prêts à changer de secteur géographique. Dans le reste de la région, les reports d’entreprises ont été beaucoup plus rares, et la demande placée constituée très majoritairement, voire exclusivement, de mouvements d’utilisateurs endogènes. »2023, année du sursaut en 1ère couronne ?Leur capacité d’attraction encore limitée et le nombre restreint de grandes transactions (10 en 2022 contre 14 en moyenne chaque année entre 2010 et 2019) expliquent la performance médiocre des secteurs de 1ère couronne, en particulier du Sud et de l’Est dont les volumes placés en 2022 ont été inférieurs de 17 et 39% à la moyenne décennale. Le bilan est bien plus honorable dans le Nord avec 170.000 m² pris à bail.L’année qui vient de débuter pourrait-elle inverser la tendance et remettre la 1ère couronne sous les feux des projecteurs ?Pour Guillaume Raquillet : « En période de crise économique, l’immobilier constitue un levier efficace de réduction des coûts, que les entreprises n’hésitent pas à actionner en optant pour les bureaux offrant le meilleur rapport qualité-prix. Alors que de fortes turbulences économiques sont attendues en 2023, les marchés de 1ère couronne pourraient donc bénéficier d’un regain d’intérêt en raison de leurs très nombreuses opportunités de bureaux neufs, parfaitement connectés aux nouvelles lignes du métro du Grand Paris et aux loyers compétitifs. »L’offre immédiate historiquement élevéeA la fin du 4e trimestre 2022, l’offre immédiate totalise 4,3 millions de m² en Ile-de-France, soit une hausse de 6% sur un an et un volume historiquement élevé. Le dynamisme de l’activité locative constaté dans certains secteurs tertiaires n’a donc pas compensé l’importance des libérations de surfaces et des livraisons.Pour Guillaume Raquillet : « En 2021, 1,2 million de m² de bureaux avaient été livrés en Ile-de-France, volume quasi record gonflé par les livraisons initialement prévues en 2020 mais reportées en raison du premier confinement. En 2022, les livraisons ont diminué mais sont restées importantes, totalisant 900.400 m² dont 50% n’ont pas encore été pris à bail et qui entreront donc directement en concurrence avec les immeubles à livrer en 2023. »Le taux de vacance est désormais de 7,7% contre 7,3% il y a un an et 5% avant le déclenchement de la crise sanitaire.Part importante des projets incertainsSi l’année 2023 sera bien moins offreuse que 2022 avec « seulement » 770.000 m² de bureaux neufs-restructurés à livrer (dont 70% encore disponibles), le répit ne sera que de courte durée puisque le cumul des opérations attendues en 2024 et 2025 pourrait s’élever à 2,6 millions de m². Toutefois, ce volume est constitué pour moitié de projets non encore lancés, dont un certain nombre devraient être décalés, redimensionnés ou tout simplement annulés dans les secteurs tertiaires souffrant d’une vacance déjà élevée. C’est le cas de la 1ère Couronne Nord et de la 1ère Couronne Sud qui, en cumulant projets en chantier et à lancer, totalisent près d’un million de m² à livrer d’ici la fin de 2025 dont 83 % sont encore disponibles.Transformations de bureaux : des débouchés variésL’année écoulée a confirmé l’essor des changements d’usages, avec un nombre certes limité mais croissant d’opérations, dans certaines communes des Hauts-de-Seine notamment, et une hausse de la taille moyenne des surfaces de bureaux transformées.Pour Guillaume Raquillet : « Si l’on parle plus fréquemment de transformations de bureaux, les débouchés sont plus variés que les seuls logements, incluant résidences gérées et hôtellerie, locaux d’enseignement et sites de logistique urbaine pour lesquels les besoins sont élevés et l’intérêt des investisseurs de plus en plus marqué. »Commerces en France : entre expansion et rationalisationMenaces sur la consommationEn 2023, la consommation des ménages devrait stagner sous l’effet d’une inflation toujours élevée et de la détérioration de la situation économique. Le recul du pouvoir d’achat, la dégradation du marché de l’emploi et le projet de réforme des retraites devraient en outre accentuer les risques sociaux.Pour Antoine Salmon, Directeur du département Commerces locatif chez Knight Frank France : « Les tensions inflationnistes pourraient s’atténuer au fil des mois et l’activité économique repartir à la hausse en 2024 et 2025. D’ici là, les Français auront tendance à arbitrer leurs dépenses au profit de biens essentiels tels que l’énergie et les produits alimentaires. »La baisse du pouvoir d’achat et la migration des consommateurs vers le discount favorisent depuis quelques années l’expansion des enseignes à bas prix : entre 2019 et 2022, le nombre cumulé de magasins de six grandes enseignes discount (ACTION, STOKOMANI, CENTRAKOR, GIFI, B&M ET NORMAL) est ainsi passé de 1.540 à un peu plus de 2.000 en France, soit une hausse de 33% sur la période.Pour Antoine Salmon : « Les enseignes discount ne sont pas les seules à se développer. Les plans d’expansion restent dynamiques dans d’autres domaines, celui de la restauration en particulier : sur quelque 170 projets significatifs de développement recensés par Knight Frank en 2022, près d’un tiers concernent la restauration, portée par le succès de la restauration rapide et du modèle de la franchise. »Entre expansion et rationalisationParmi les secteurs dynamiques, mentionnons également celui des mobilités, qui bénéficiera en 2023 de l’extension des aides nationales à l’achat d’un vélo, du médical ou encore du sport et des loisirs. En revanche, le quick commerce, très actif en 2021, a stoppé son développement. Le nombre d’ouvertures de dark stores s’est fortement réduit : sur les quelque 220 locaux existants en France à fin 2022, une quarantaine seulement ont ouvert en 2022 dont la quasi-totalité au 1er semestre.S’il reste très exposé aux arbitrages des ménages, le secteur de l’habillement conserve quant à lui une place centrale sur le marché immobilier des commerces. Quelques grandes enseignes affichent par exemple de solides ambitions, telles PRIMARK ou MANGO.Le secteur de la mode reste toutefois chahuté, et a d’ailleurs connu en 2022, avec la disparition de CAMAIEU, la liquidation la plus importante recensée depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Jusqu’à présent, les défaillances ont été relativement limitées. Pour autant, certaines des enseignes ayant fait l’objet d’une reprise restent fragiles.Pour Antoine Salmon : « En 2023, l’impact sur le marché des commerces des diverses charges pesant sur les enseignes sera important. Celles-ci fragiliseront certains acteurs et pousseront les enseignes, dont une très large majorité ne bénéficient pas du plafonnement de l’ILC, à renégocier davantage leurs coûts immobiliers. Plus généralement, les prochains mois verront une accélération des opérations de rationalisation, ce qui se traduira sans doute par un accroissement du nombre de fermetures liées à la volonté des enseignes de réduire la voilure en se délestant des magasins les moins performants. »Le magasin conserve un rôle centralPour Antoine Salmon : « Le magasin conserve une place centrale dans les stratégies de distribution. Toutefois, face à l’alourdissement des charges et à la hausse de la part des ventes en ligne, la tendance au « moins mais mieux » gagne en importance, incitant certaines enseignes à concentrer leurs investissements sur un nombre plus réduit de magasins, plus adaptés aux nouvelles attentes des consommateurs et à la phygitalisation du commerce. »Dans ce contexte, le rôle des flagships reste déterminant. Dans un environnement de marché de plus en plus globalisé et concurrentiel, le magasin est en effet un levier essentiel de fidélisation, de connaissance client et de différenciation, qui permet en outre de proposer une offre allant bien au-delà de la seule vente de produits.Grandes manœuvres dans le centre de ParisPour Antoine Salmon : « En 2022, 38 ouvertures de boutiques de luxe ont été recensées dans la capitale, soit cinq de plus qu’en 2021 et neuf de plus qu’en 2020. Des projets emblématiques ont notamment été inaugurés à l’exemple de celui de Cartier au 13 rue de la Paix, de Dior au 30-32 avenue Montaigne ou encore de Chanel au 21 rue du Faubourg Saint-Honoré. Cette tendance se prolongera en 2023 et 2024, à l’exemple des ouvertures attendues de SAINT LAURENT avenue des Champs-Elysées et avenue Montaigne, ou de GUCCI et ALEXANDER MCQUEEN rue Saint-Honoré. »La hausse du nombre d’arrivées de nouvelles enseignes étrangères témoigne également de l’attractivité du marché parisien. Sur les 44 recensées en France en 2022, 30 se sont implantées dans la capitale contre 26 l’année précédente, dans des secteurs variés comme les nouvelles mobilités, la décoration, la beauté, la restauration et surtout l’habillement (BROWNIE, ARKET, STUSSY, MACKAGE, GANNI, etc.).Pour Antoine Salmon : « La solidité du marché parisien des commerces est également illustrée par l’évolution de la vacance commerciale. Entre la fin de 2021 et la fin de 2022, le taux de vacance moyen des 12 grands axes analysés par Knight Frank a perdu près de deux points, les baisses les plus significatives concernant la rue du Faubourg Saint-Honoré et la rue Saint-Honoré, la rue des Francs Bourgeois, le boulevard Saint-Michel et la rue de Rivoli. »Ce constat positif peut néanmoins être nuancé : lors des six derniers mois, la vacance commerciale s’est en effet stabilisée (- 0,5 point) et reste parfois élevée, comme sur l’avenue de l’Opéra ou le boulevard Saint-Michel.Ensembles commerciaux : la fin confirmée des grands projetsPour Antoine Salmon : « Tous formats confondus, un peu moins de 350.000 m² de nouveaux ensembles commerciaux ont été livrés en 2022 en France, soit une baisse de 37% sur un an et de 42% par rapport à la moyenne des cinq années précédant la crise sanitaire. Constitué de 60% de créations ex nihilo, le volume des nouveaux m² ouverts en 2022 est même inférieur de 14% au point bas de 2020, qui avait vu le report de plusieurs projets en raison du déclenchement de l’épidémie de Covid-19. »Si les ouvertures de centres commerciaux ont légèrement progressé sur un an, les volumes de nouveaux retail parks ont quant à eux reculé de 41% par rapport à 2021.Pour Antoine Salmon : « L’année 2022 semble marquer un nouveau jalon dans l’histoire du commerce de périphérie. Comme pour d’autres d’actifs, l’urgence écologique et l’évolution des modes de vie imposent ainsi de transformer le parc immobilier, même si tous les sites ne sont pas mutables en raison de contraintes parfois importantes. »Investissement en immobilier d’entreprise : le marché attend sa correctionDécrochage brutal au 4e trimestrePour Antoine Grignon, Directeur du département Investissement chez Knight Frank France : « Les sommes engagées sur le marché français ont totalisé 25,4 milliards d’euros en 2022, soit un volume inférieur de 4% à celui de 2021 et très proche de la moyenne décennale. »Toutefois, après avoir progressé lors de chacun des trois premiers trimestres de 2022, les volumes ont brutalement décroché en fin d’année avec 5,1 milliards d’euros investis dans l’Hexagone au 4e trimestre, soit une baisse de 54% par rapport à la même période en 2021.Le recul de l’activité est particulièrement évident sur le segment des grandes opérations. Ainsi, sur les 65 transactions supérieures à 100 millions d’euros actées en France en 2022, seules 13 l’ont été au 4e trimestre 2022 pour un volume de 2 milliards d’euros. 24 avaient été comptabilisées au 4e trimestre 2021 pour un volume presque trois fois plus important. Fait inhabituel, seule une minorité des grandes transactions de la fin de 2022 ont été signées en Ile-de-France. Par ailleurs, si l’activité y a également ralenti au 4e trimestre, la province a mieux résisté en 2022 avec un peu moins de 10 milliards d’euros investis, volume quasi stable sur un an. Bureaux : moins bonne performance depuis 2013Les bureaux ont rassemblé 13,6 milliards d’euros en 2022 contre 16,2 milliards un an auparavant. Il s’agit aussi de leur moins bonne performance depuis 2013. Alors qu’ils rassemblaient en moyenne 67% de l’ensemble des volumes investis sur le marché français de l’investissement d’entreprise depuis dix ans, leur part est tombée à 54% l’an passé.Sur les 10,6 milliards d’euros investis sur le marché des bureaux d’Ile-de-France en 2022 (- 17% sur un an), c’est dans les secteurs périphériques que la chute a été la plus forte. C’est le cas en 1ère couronne, où les sommes engagées l’an passé atteignent un peu moins d’1,5 milliard d’euros, volume inférieur de 56% à celui de 2021 et de 39% à la moyenne décennale.La solidité du marché parisien tranche avec l’essoufflement constaté dans la plupart des secteurs de périphérie. Paris accroît ainsi sa part dans les volumes investis, comptant pour près de 60% des sommes engagées en bureaux en Ile-de-France en 2022 contre 45% en moyenne depuis dix ans. Dans le quartier central des affaires, les volumes investis ont été supérieurs de 8% à ceux de 2021.Enfin, après un 3e trimestre peu animé, l’année 2022 s’est achevée sur une note positive pour le marché des bureaux en région. Les volumes y sont repartis à la hausse au 4e trimestre grâce à la finalisation de plusieurs transactions significatives, à Lyon notamment. Sur l’ensemble de 2022, un peu plus de trois milliards d’euros ont été investis sur les marchés tertiaires régionaux, soit une baisse de 16% sur un an.Troisième meilleure année de l’histoire pour les commercesPour Antoine Grignon : « 5,7 milliards d’euros ont été investis sur le marché français des commerces en 2022, soit une hausse de 16% par rapport à la moyenne décennale et la troisième meilleure performance de son histoire après 2014 et 2019. Ce résultat tient à un nombre élevé de grandes transactions, 16 supérieures à 100 millions d’euros ayant été recensées en France en 2022 contre quatre seulement en 2021. »Tous les formats commerciaux ont contribué au très beau résultat de 2022. Pour les parcs d’activités commerciales, l’année écoulée a même été historique, avec 1,5 milliard d’euros investis soit une hausse de 78% par rapport à la moyenne décennale.Pour Antoine Grignon : « Les parcs d’activités commerciales continueront de bénéficier en 2023 de leur positionnement « triple A » : Attractivité des rendements pour des investisseurs chahutés par la nouvelle donne financière, Attractivité des coûts d’occupation pour des enseignes accélérant la rationalisation de leur immobilier afin de préserver leur rentabilité, et enfin Attractivité des prix pour des consommateurs au pouvoir d’achat rogné par l’inflation. »Les centres commerciaux rassemblent quant à eux 1,3 milliard d’euros, montant élevé encore gonflé au 4e trimestre par la cession d’un portefeuille de galeries pour un peu plus de 100 millions d’euros et la vente à MRM par ALTAREA des centres de Flins-sur-Seine dans les Yvelines et d’Ollioules dans le Var.Enfin, la fin d’année a été plus terne pour les rues commerçantes. Ce segment de marché a tout de même rassemblé 2,1 milliards d’euros en 2022, soit 38% des volumes investis en commerces en France contre 44% en moyenne depuis dix ans. 2023 s’annonce déjà comme une bonne année, plusieurs transactions majeures étant notamment attendues sur quelques-uns des axes les plus prestigieux de la capitale.Industriel : une baisse à relativiserEn 2022, le marché des locaux industriels n’a pas suivi la tendance positive du marché des commerces. Avec près de 6 milliards d’euros l’an passé, les sommes engagées sur le marché de l’immobilier industriel ont ainsi diminué de 14% par rapport à 2021. La baisse doit néanmoins être relativisée : le résultat de 2022 est le deuxième meilleur de l’histoire et dépasse de 79% la moyenne décennale.Comme en 2021, la logistique a joué un rôle moteur l’an passé, illustré au 4e trimestre par la cession par RENAULT à ARGAN de sa plateforme de 153.000 m² de Fouchères dans l’Yonne, emblématique de l’intérêt pour les opérations de sale and leaseback. Malgré un tassement des ventes en ligne depuis la fin des mesures de restriction sanitaire, l’importance du ecommerce continue par ailleurs de soutenir l’intérêt des investisseurs pour les actifs dédiés à la livraison du dernier kilomètre. En 2022, l’engouement des investisseurs pour les data centers s’est également accentué et perdurera en 2023 compte tenu des besoins croissants en matière de stockage de données.Quelles perspectives pour 2023 ?« Depuis la fin du 2e trimestre, une correction des taux de rendement prime a certes été actée, avec une compression de 25 à 50 points de base pour les bureaux et les commerces parisiens les mieux situés, et de 100 points de base pour les meilleurs entrepôts logistiques. Or, l’activité ne retrouvera réellement de la fluidité qu’à la condition d’un ajustement encore plus franc des valeurs et d’une reconstitution de la prime de risque immobilière » indique Antoine Grignon. Le contexte financier, économique et géopolitique demeurant très incertain, il est difficile de prévoir quand pourrait survenir cette reprise. Mais si les conditions de marché devenaient plus favorables au 2nd semestre 2023, ceci ne se traduirait sans doute pas dans le total des volumes investis avant 2024 compte tenu de la sélectivité accrue des investisseurs et de l’allongement des durées de négociation. Par ailleurs, « lorsqu’elle adviendra, la reprise sera sans doute très inégale, bénéficiant en premier lieu aux classes d’actifs ayant subi la décompression la plus marquée, à ceux répondant aux stratégies de diversification des investisseurs ainsi qu’aux biens les plus adaptés à la demande des utilisateurs et performants sur le plan environnemental » conclut Antoine Grignon.
Il y a 2 ans et 111 jours

Respect de l’environnement, RE 2020 : les menuiseries acier ont des arguments !

Chez Descasystem, l’engagement en faveur de l’environnement n’est pas récent avec un matériau, l’acier, parfaitement en phase avec ces évolutions réglementaires. D’ailleurs, la nouvelle réglementation RE 2020 n’implique pas de bouleversement pour les menuiseries acier Jansen. Descasystem dispose et disposait déjà, en tant que distributeur, des produits compatibles avec ces nouvelles exigences.Pour Laurent Milano, chef des ventes : « l’essentiel est là, les produits existent et cette RE 2020 est une belle opportunité. Elle permet de mettre encore plus en évidence notre savoir-faire en tant que gammiste de produits techniques dans un milieu spécifique qu’est celui de la menuiserie. »Avec un bilan carbone réputé plus neutre, avec cette nouvelle réglementation, les architectes s’orienteront sans doute encore davantage vers l’acier et ses qualités intrinsèques.L’acier de Descasystem répond à la RE 2020Pour le moment, la RE 2020 est destinée à s’appliquer à la construction de bâtiments neufs, elle impactera bientôt les chantiers de rénovations sur lesquels Descasystem est déjà présent. Les menuiseries acier du fabriquant Jansen sont d’ores et déjà armés pour répondre aux exigences de la nouvelle réglementation énergétique.Une isolation thermique renforcée : L’acier des menuiseries Jansen est d’abord un champion de l’isolation thermique. Ainsi, les solutions de la gamme Janisol, Janisol Arte en séries fines ou Janisol HI (Haute Isolation) répondent parfaitement à la réglementation thermique. Les coefficients d’isolation thermique de l’acier sont beaucoup plus performants que ceux de l’aluminium.Une durabilité inégalée : Avant de parler du recyclage de l’acier, Olivier Audigue, Responsable de la Prescription, aime « mettre l’accent sur le fait que l’acier a une durée de vie beaucoup plus longue que les autres matériaux. Avec des portes de bâtiments publics en aluminium, par exemple, on assiste à une détérioration beaucoup plus précoce. Il est alors nécessaire de changer l’équipement. Les portes en acier ont une longévité beaucoup plus importante. On peut également les redresser, les repeindre si cela est nécessaire ». La durabilité de l’acier est bien supérieure à la garantie décennale associée aux menuiseries Jansen.Un matériau 100% recyclable : Les produits acier de la marque Jansen sont dans tous les cas des produits totalement recyclables. Les filières de recyclage de l’acier existent depuis plusieurs dizaines d’années, elles sont très structurées alors que pour l’aluminium, les filières de recyclage sont beaucoup plus récentes. Par ailleurs, l’avantage de l’acier est qu’il peut être recyclé indéfiniment à destination d’autres applications sans changement de caractéristiques mécaniques. En France et en Europe, ce sont 62% des aciers qui sont ainsi recyclés.Une empreinte carbone réduite : Si l’acier dispose d’une empreinte carbone plus faible que celle de l’aluminium, c’est lié d’abord à ses conditions de production. L’acier est beaucoup moins énergivore. Pour Laurent Milano, responsable des ventes Descasystem Jansen, « l’acier est très intéressant, parce que la production est réalisée à l’aide de fours électriques à partir de ferrailles recyclées. On ne se retrouve pas avec des systèmes de coulées impliquant l’utilisation de coke et une forte pollution ». Ensuite, pour produire 1 tonne d’acier, il ne faut qu’1 tonne de fer. En revanche, il ne faut pas moins de 4 tonnes de bauxite pour obtenir 2 tonnes d’alumine, desquelles on extrait 1 tonne l’aluminium. Enfin, quand il faut l’équivalent de 9 mois de consommation d’une personne pour produire l’acier, il en faut 12, soit 30% de plus pour l’aluminium. Pour fabriquer une tonne d’aluminium, il faut aussi 125 millions de litres d’eau, alors qu’il n’en faut pas pour fabriquer l’acier. Il est aussi important d’avoir à l’esprit que la RE 2020 pousses à envisager le bâtiment dans sa globalité. Il faut désormais penser le bâtiment dans son ensemble pour appréhender son empreinte carbone. Avec ses solutions, Descasystem permet aux architectes et aux économistes de ne pas alourdir l’ensemble en termes d’impact écologique. Il est possible de concevoir un bâtiment avec des menuiseries acier qui soit vertueux et qui réponde aux normes actuelles.L’association de parties vitrées plus importantes puisque l’acier bénéficie aussi d’une inertie bien supérieure à celle de l’aluminium, ce qui permet d’offrir des menuiseries beaucoup plus fines et plus grandes, qui consomment donc beaucoup moins de matière. C’est alors aussi la possibilité d’avoir des parties vitrées de plus en plus importantes pour pouvoir bénéficier de la chaleur du rayonnement solaire à l’intérieur de la maison. C’est ce qu’explique Laurent Milano : « L’acier permet de réaliser des profils beaucoup plus fins qu’avec l’aluminium. On peut alors y associer des vitrages plus grands et de laisser rentrer plus de lumière. Nous aurons ainsi des systèmes avec 60 mm de masse-vue alors que l’aluminium sera peut-être à 100 mm. Cela joue sur le clair de vitrage plus important avec l’acier. C’est l’une des orientations de la réglementation RE 2020 ».Que change la RE 2020 pour les menuiseries acier Jansen ?La nouvelle réglementation a finalement peu impacté Descasystem. Les produits existent mais il a été nécessaire d’indiquer plus clairement leur compatibilité avec la RE2020. Lorsque la gamme Janisol a été créée, il y a 30 ans, on ne se posait pas la question du coefficient de transmission thermique. Aujourd’hui, il est indispensable de le justifier pour répondre par exemple à un CCTP (Cahier des clauses techniques particulières). Jansen a donc complètement actualisé sa documentation.Quant aux fiches FDES des produits Jansen, elles ont déjà été rédigées et seront prochainement réactualisées et disponibles pour l’ensemble des acteurs du marché : architectes, économistes de la construction, métalliers…etc. Pour Ludovic Loew, « en prenant en considération l’intégralité du cycle de vie de l’acier, de l’extraction jusqu’au recyclage, dans ces fiches FDES, le matériau présente un bilan carbone nettement inférieur à ses concurrents ».Une démarche ancienne qui fait partie de l’ADN de JansenIl est important, pour Laurent Milano, de rappeler que « Jansen était le premier, il y a plus de 30 ans, à développer un système à rupture de ponts thermiques en acier ». Le berceau de Jansen, c’est la Suisse, un pays très exigeant en matière environnementale. C’est pourquoi l’industriel a toujours été très attentif à la réduction de l’impact écologique de la production de ses profils acier. Un bâtiment de production lui-même est à 0 émission carbone, autosuffisant en termes de consommation d’énergie.Le marché allemand, leader à l’époque, était également très impactant avec une avance sur les aspects réglementaire et écologique. Outre-rhin, il y avait déjà une forte demande pour ses produits acier à rupture de ponts thermiques.Et depuis, l’acier n’a pas cessé d’améliorer ses performances. La dernière évolution importante pour Olivier Audigue, c’est la création de la gamme Janisol HI (high isolation) : « c’est une gamme à très forte isolation thermique, très présente sur le nord de l’Europe et qui se développe de plus en plus en France. C’est la parfaite démonstration de cette évolution de nos profils acier avec un coefficient de transmission thermique de seulement 0,8 W/m²K, inférieur à celui du double vitrage ».Ainsi, selon Laurent Milano, « sur une typologie de menuiserie qui existait il y a 30 ans et celle d’aujourd’hui, on passe d’un coefficient de transmission thermique de 2,7 W/m²K à 1,3 aujourd’hui ». La qualité du matériau reste assez semblable, ce sont les coquilles en acier et les rupteurs de ponts thermiques qui ont évolué. Quant au vitrage associé aux menuiseries, il a lui aussi très largement amélioré ses performances.Une production localeIntérêt majeur également, d’un point de vue environnemental, des menuiseries acier, c’est le caractère local de leur production. Olivier Audigue aime rappeler que « les produits Jansen sont généralement fabriqués par des artisans locaux alors que l’aluminium est lié à de la préfabrication avec des camions qui parcourent la France ou qui viennent de l’étranger. Avec l’acier, on reste encore très artisanal et très local. On ne fait pas circuler les produits sur des milliers de kilomètres à travers l’Europe ». Les profils en acier viennent de Suisse, ils sont ensuite stockés à Lyon avant d’être envoyées aux métalliers qui travaillent localement.Les menuiseries Jansen prêtes à accueillir la nouvelle tendance du triple vitrage !La RE 2020, en recherchant des valeurs de l’ordre de 0,8 W/m²K, tend à imposer de plus en plus la solution du triple vitrage. Pour augmenter les performances du vitrage, on passe de plus en plus souvent par l’augmentation de son épaisseur. Or, les gammes Janisol sont parfaitement adaptées pour intégrer ce type de solution. L’acier offre en effet, selon Laurent Milano, les caractéristiques nécessaires : « Pour rentrer ces vitrages dans les menuiseries, il est indispensable d’avoir des profils de plus en plus profonds. Pour ces produits verriers, nous proposons avec Jansen en termes de cadre des solutions présentant des coefficients de transmission thermique pertinents ». La gamme Janisol HI notamment a été précisément conçue pour intégrer ce triple vitrage.
Il y a 2 ans et 112 jours

Qu’est-ce qu’un objet BIM de qualité ?

Le terme BIM a commencé à envahir le monde de la construction il y a quelques années. À ses débuts, le BIM était synonyme d’une bibliothèque de symboles 3D, et un objet BIM la modélisation numérique d’une climatisation, une fenêtre ou un bloc béton. Très vite, la data est entrée dans le jeu en faisant du BIM un catalyseur d’informations et de propriétés. Cette méthodologie transforme en profondeur la façon dont s’envisage la construction aujourd’hui.  Implémenter le Building Information Modeling apporte de nombreux bénéfices aux acteurs du BTP. À condition, néanmoins, d’avoir recours à des objets BIM de qualité et fonctionnels. Les architectes, bureaux d’études et entreprises de la construction ont tout à y gagner. L’objet BIM de qualité fait le lien entre tous les acteurs  La promesse du BIM est de faciliter la collaboration de l’ensemble des acteurs autour d’un projet de construction de façon centralisée. La première qualité d’un objet BIM est donc d’utiliser un langage commun entre les différents intervenants du projet. Notamment entre les architectes, les ingénieurs, les constructeurs et les gestionnaires de bâtiments. Un objet BIM de qualité permet alors une meilleure collaboration entre les différents intervenants du projet. En ayant accès à des informations précises et à jour, tous les acteurs d’un projet commun peuvent travailler de manière plus efficace. Architectes et ingénieurs, venez tester nos objets BIM de qualité lors de notre prochain webinaire ! Aussi, pour être lisibles par tous, les propriétés de l’objet BIM doivent être structurées de façon standardisée selon des formats compatibles avec les logiciels de chaque intervenant. C’est le principal défi des fabricants et la condition pour que leurs objets soient qualitatifs. Réduction des coûts, amélioration de l’efficacité et de la qualité des projets Optimisation des coûts L’objet BIM de qualité et fonctionnel comporte l’ensemble des informations relatives à un produit de la construction. Celles-ci sont ensuite distribuées à toute la chaîne de valeur intervenant sur la maquette numérique. À savoir le modèle 3D pour architecte ou les informations thermiques pour le thermicien ou électrique pour l’électricien. Ces informations précises et à jour permettent à tous ces acteurs d’éviter les erreurs coûteuses. En effet, un objet BIM fonctionnel permet de simuler les différents aspects du projet et de détecter les problèmes potentiels avant la construction. Cela permet de réduire les coûts en minimisant les défauts et les retards. De plus, en ayant accès à des informations détaillées sur les matériaux, les équipements et les systèmes utilisés dans le projet, les professionnels de la construction peuvent mieux planifier la maintenance à long terme et éviter les pannes coûteuses. Meilleure qualité de l’ouvrage En utilisant des outils BIM pour la conception, les architectes, bureaux d’études et constructeurs peuvent améliorer la qualité de l’ouvrage. Mais comment ? Tout d’abord, il est important de s’assurer du respect des spécifications et des normes. Retrouvez le détail sur les différentes normes et règles de construction dans cet article par BatiAdvisor. Ensuite, il est également intéressant d’optimise la circulation de l’air et l’éclairage naturel. Mais encore, de planifier de manière plus efficace l’utilisation de l’espace. Découvrez la suite dans notre article de blog complet ! Vous souhaitez transformer votre catalogue produits en objets BIM, ou accéder gratuitement à des objets BIM de qualité et fonctionnels? Que vous soyez fabricant, architecte ou un bureau d’études, notre équipe chez BIM&CO vous accompagne avec plaisir dans cette démarche.
Il y a 2 ans et 112 jours

Le groupe Rector Lesage obtient le label Engagé RSE de l’AFNOR

Cette distinction crédibilise et récompense l’engagement fort du groupe dans sa démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises, commencée depuis 2021, sous l’impulsion de la nouvelle génération d’actionnaires et de la Direction.Sous l’impulsion actionnariale, la direction du groupe a créé fin 2020 un Comité de Pilotage RSE lui confiant notamment la mission de définir les 4 piliers fondateurs de la démarche RSE du groupe :décarboner les produits et les activités,limiter son impact sur l’environnement et préserver la biodiversité,assurer la sécurité et le bien-être au travail,maintenir son ancrage territorial.Afin de mieux la structurer et la crédibiliser, Rector a créé une Direction RSE et a décidé de s’engager dans le processus de labellisation « Engagé RSE de l’AFNOR » qui repose sur la norme ISO 26000, norme en vigueur en matière de RSE.Pour préparer l’audit de labellisation de l’AFNOR en juin 2022, Rector Lesage s’est fait accompagner par le CERIB pour constituer l’ensemble documentaire et rédiger son premier rapport RSE.« Label Engagé RSE » de l’AFNOR, une évaluation du niveau d’avancement de Rector sur tous ses axes RSELe « label Engagé RSE » de l’AFNOR est structuré en 5 indicateurs de moyens (vision et gouvernance, mise en oeuvre, RH, modes de production et ancrage territorial) et 3 indicateurs de résultats (environnementaux, économiques et sociaux). Au travers de chacun d’eux, les 4 axes de la démarche RSE de Rector ont été explorés et évalués au siège du groupe et sur 3 sites de production (Mulhouse, Couëron et Ravel) en incluant des interviews auprès d’une trentaine de salariés et des parties prenantes externes (fournisseurs, clients, actionnaires, …).Des initiatives concrètes pour faire de la RSE un projet d’entrepriseLa stratégie RSE de Rector se déploie sur la base d’une démarche d’amélioration continue. Elle implique aussi un vaste programme d’appropriation de celle-ci et des objectifs qui en découlent auprès des managers puis des collaborateurs.Les actions déjà entreprises par le groupe sur les 4 axes de la démarche ont permis d’atteindre le niveau confirmé du Label Engagé RSE de l’AFNOR. Parmi celles-ci, citons :Décarboner les produits et les activités Axe prioritaire de la stratégie RSE du groupe, il vise à mettre sur le marché des gammes de produits moins carbonés, à développer et promouvoir des modes constructifs plus vertueux et à réduire les émissions de CO2 directement liées à ses activités.La priorité de Rector a donc été de réduire l’empreinte carbone des bétons en substituant les clinckers par des laitiers de haut fourneau, en utilisant de l’acier recyclé à la place d’acier primaire et en optimisant l’énergie en phase de production. C’est ainsi que Rector a développé sa gamme de prédalles et prémurs RSOFT Bas Carbone. Un autre axe de réflexion a consisté à concevoir une solution de plancher qui permet plus de sobriété à l’échelle du bâtiment et donc une réduction de l’indice carbone du bâti par surface de plancher. Le système plancher dalle Caméléo, qui permet de s’affranchir de mètres linéaires de murs porteurs et de poutres tout en favorisant l’intégration de façades légères tels que des panneaux de façade bois , en est le parfait exemple. Offrant plus de modularité, cette solution permettra par ailleurs une modification d’usage du bâtiment plus facile et plus sobre après sa première phase de vie.Concernant ses activités, Rector a lancé un vaste programme de rénovation des systèmes de régulation énergétique de ses étuves. En permettant le contrôle en temps réel de la performance de chaque résistance et de chaque zone de chauffe de l’équipement de production, il est possible de mieux contrôler l’efficience électrique de celui-ci. Rector a ainsi constaté une réduction pouvant atteindre jusqu’à 50% des puissances nominales sur les étuves des sites concernés. En parallèle, le groupe projette l’installation de 80 000 m2 de panneaux photovoltaïques sur 5 de ses sites de production qui permettront de couvrir près de 90% de ses consommations électriques sans augmenter les surfaces imperméables.Limiter son impact sur l’environnement et préserver la biodiversitéUn levier d’action pour améliorer la performance environnementale de son activité est de s’approvisionner autant que possible en matériaux recyclés (vs matières vierges) réduisant ainsi la pression sur la ressource naturelle. A titre d’exemple, 100% des entrevous en plastique et 90% des aciers passifs utilisés dans la fabrication des bétons armés sont d’origine recyclée, tout comme 100% des emballages carton des Box.Au-delà des bassins de décantation dont 100% des sites Rector français sont équipés, l’entreprise a défini une politique « eau » ambitieuse visant notamment à réduire les consommations d’eau et la production d’effluents. Dans ce cadre, ce sont d’ores et déjà 86% des sites qui recyclent les eaux de lavage des machines à béton.Assurer la sécurité et le bien-être au travailEn plus des actions déjà engagées depuis plus de deux ans, Rector a mis en place trois jours de télétravail par semaine pour les postes télétravaillables et sur la base du volontariat. Pour les salariés qui ne peuvent pas en bénéficier, un jour de congés supplémentaire leur est alloué en compensation. En parallèle, Rector a poursuivi ses actions pour réduire la pénibilité des taches des opérateurs (réduction de moitié du poids de certains outils permettant de vérifier la qualité du béton, par exemple).Maintenir son ancrage territorialOutre ses sites industriels implantés au plus proche de ses fournisseurs de granulats et de ciment favorisant les circuits courts, Rector mène des actions de mécénat participant à l’attractivité du territoire. Ainsi, Rector vient de signer une convention avec le Centre national de Réadaptation de Mulhouse qui permet à des personnes ayant subi un accident de se former à un nouveau métier. Parmi les formations proposées, une est dédiée à l’apprentissage de logiciels utilisés par les Bureaux d’Etudes de Rector qui accueillera des stagiaires.« L’obtention du label Engagé RSE de l’AFNOR au niveau confirmé n’est pas une fin en soi. Rector agit avec humilité et détermination. Nous ne comptons et ne devons pas nous arrêter là » conclut Cécile Roland, nouvelle Directrice RSE de Rector.Reflet de la volonté du groupe de placer la RSE au coeur de sa stratégie, Cécile Roland est arrivée en Février 2022 pour structurer et formaliser la politique RSE de l’entreprise jusqu’à sa mise en oeuvre opérationnelle. Cette démarche vise à rendre l’entreprise plus durable et responsable tout en se préparant à répondre aux enjeux de la nouvelle directive CSRD. Celle-ci rendra obligatoire, à horizon 2030, pour toutes les entreprises - à l’exception des micro-entreprises - le déploiement d’une stratégie RSE et la déclaration de leur performance en la matière.
Il y a 2 ans et 112 jours

Création d'une carte D : la CDI FNAIM lance une plate-forme d'échanges ouverte à tous les diagnostiqueurs

Car si « la filière souhaite rétablir la confiance, elle doit travailler sur la concrétisation d'un cadre réglementaire permettant de garantir les compétences et le savoir-faire du diagnostiqueur. » indique Yannick Ainouche, Président de la CDI FNAIM.Il poursuit : « Nous souhaitons avancer vite, aussi, la CDI FNAIM va lancer début janvier une plateforme collaborative qui sera accessible à tous les diagnostiqueurs. Lieu d'échanges, elle aura vocation à concrétiser ensemble les contours de la carte D et à réfléchir à ce que nous voulons faire de notre filière dans l'intérêt général. Chacun pourra s'exprimer, et nous nous assurerons de porter l'ensemble de la parole des diagnostiqueurs à l'attention du ministre. »Une carte D co-construite avec l'ensemble de la professionDès le 9 janvier, la CDI FNAIM mettra en ligne une plateforme participative accessible à tous les diagnostiqueurs de France. L'objectif est simple : mener collectivement une réflexion démocratique avec un appel à contributions afin de construire les contours de la carte D et ses implications.Plusieurs sujets très concrets seront lancés de manière hebdomadaire afin que chacun puisse apporter ses idées.Par exemple :Quelles seront les garanties proposées par cette carte professionnelle, pour les particuliers comme pour les professionnels ?Quels seront les prérequis pour obtenir la carte D ?Comment fonctionnera l'autorité indépendantes qui délivrera la carte D ?Quelles seront les règles à respecter et les sanctions en cas de manquement au règlement ?Etc.Les sujets seront proposés sous la forme de conversation ouverte où chacun pourra exposer son point de vue. L'objectif est ainsi de créer un consensus pour permettre d'intégrer l'avis des diagnostiqueurs dans la création de la carte D.La CDI FNAIM souhaite également inclure à ce projet le règlement des prestations des diagnostiqueurs à la vente, c'est-à-dire chez le notaire, comme pour les agents immobiliers, avec une base tarifaire qui serait un pourcentage sur le prix de vente. Les diagnostiqueurs n'auront ainsi plus à gérer de longs processus de recouvrement de leurs factures, qui sont légion dans cette profession. Une question qui sera aussi débattue sur la plateforme.Rappel des propositions portées par la CDI FNAIMEncadrement des tarifs du DPE avec l'instauration d'un prix plancher en dessous duquel le DPE ne pourrait être vendu afin d'éviter la casse des prix qui entraîne inévitablement une détérioration de la qualité.Un règlement chez le notaire au moment de la vente (si le client n'a toujours pas payé) pour éviter les impayés qui gangrènent la professionUn système de certification davantage adapté à la filière pour les petites et les grandes entreprises : que les entrepreneurs du diagnostic aient désormais le choix entre la certification d'entreprise et la certification de personne.La création d'une véritable branche professionnelle, avec la création d'une carte « D » délivrée par une autorité indépendante
Il y a 2 ans et 112 jours

Strasbourg acquiert un dessin médiéval de la cathédrale, "une œuvre inestimable"

D'une qualité incroyable pour un croquis datant de 1419 environ, ce dessin d'une taille de 2,05 mètres de long par 54 centimètres de large est attribué à celui qui était alors l'architecte de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg, Johannes Hültz."C'est le premier dessin connu représentant la flèche de la cathédrale de Strasbourg... qui est somme toute très différent de la flèche telle qu'elle a finalement été édifiée", affirme Paul Lang, directeur des musées de Strasbourg. "C'est une grande fierté d'avoir pu acquérir cette œuvre classée +trésor national+", souligne Anne Mistler, adjointe aux Arts et à la Culture de la ville. "C'est un dessin d'une extrême importance, une œuvre inestimable. On voit l'élaboration de plus en plus précise du dessin d'architecture à cette époque, la finesse du détail, la précision."Ce dessin a été acheté 1,75 million d'euros, grâce notamment à l'important mécénat du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (1,2 million), avec également des financements de la Société des amis de la cathédrale de Strasbourg (250.000 euros), du ministère de la Culture (200.000 euros) et de la ville (100.000 euros). Plus de trois ans de démarches et de négociations acharnées ont été nécessaires pour l'acquérir."La cathédrale de Strasbourg était l'édifice le plus haut de la chrétienté médiévale, et elle le restera jusqu'au XIXe siècle", indique Paul Lang. "C'est une grande émotion, et un soulagement aussi de pouvoir faire entrer cette œuvre dans nos collections, que nous ayons pu la retenir malgré l'appétit notamment d'un grand musée nord-américain".Francis Limon, vice-président de la Société des amis de la cathédrale, a ainsi rappelé que des plans de la cathédrale de Rouen étaient partis à l'étranger il y a quelques années, les musées français n'ayant pas été en mesure de s'aligner sur le prix demandé.Ce plan figurait initialement dans les collections de la fondation de l’œuvre Notre-Dame à Strasbourg, qui conserve depuis sept siècles des dessins d'architecture médiévaux liés au chantier de la cathédrale, mais il avait disparu à la période révolutionnaire.Le précédent propriétaire l'avait racheté en 1994 sur le marché de l'art parisien.Il sera présenté au public du 21 janvier au 23 avril au Musée de l’œuvre Notre-Dame.Pour des raisons de conservation, le dessin, présenté à l'abri d'une vitrine dans une pièce à température constante, sous une lumière tamisée, ne sera visible que les samedis et les dimanches. La salle d'interprétation des dessins adjacente est quant à elle accessible pendant les horaires d'ouverture normaux du musée.
Il y a 2 ans et 113 jours

Comment l’innovation technologique va-t-elle transformer l’immobilier ?

Les innovations technologiques submergent nos façons de vivre, de travailler, de consommer… Cependant, dans notre monde d’aujourd’hui, déstabilisé, en rupture, dans lequel les ressources s’amenuisent et qui nous oblige à tout repenser, ces innovations suffisent-elles, dans leur rythme et dans leur forme, à transformer notre industrie en pleine transition, face aux urgences climatiques et de décarbonation ? Doit-on faire le choix de la technologie ou de la frugalité ? Comment la technologie transforme-t-elle positivement la société, la Ville, l’immobilier, ses acteurs et leurs métiers ? Comment peut-elle être source d’inspiration ?Immobilier et Climat, choisir entre frugalité et innovation technologique ?Dans un contexte où la COP 27 vient de se s’achever, que les derniers rapports du GIEC nous rappellent clairement les impacts du changement climatique, nous soumettent des solutions, et où un plan national de sobriété énergétique a été publié par le gouvernement, nous devons nous interroger sur les leviers possibles afin que le secteur du bâtiment réduise ses émissions de gaz à effet de serre ainsi que sur la pertinence de ses leviers.L’industrie bâtimentaire pèse aujourd’hui 40% dans l’émission de CO2. Cette émission englobe en réalité toute la chaîne qui va du foncier jusqu’à la création et ensuite l’utilisation d’un bâtiment. En plus, nous pouvons y ajouter 20% de gaz à effet de serre pour tout ce qui touche aux déplacements, et c’est particulièrement le cas pour ce qui est des territoires et leur conception. « Est-ce qu’un territoire peut être frugal ? Non, car il n’agit pas seul, mais les habitants agissent. Il faut donc pouvoir réfléchir à une meilleure utilisation des matériaux, et de tout ce qui est à notre disposition » explique Matthias Navarro, CEO Redman. « La frugalité est donc un raisonnement sur une consommation modérée et réfléchie des ressources, et non une réduction de nos consommations parce que cela fait mal à nos finances » selon Arnaud Bekaert, Directeur Général Promotion Ile de France, Filiales, UrbanEra et Immobilier Commercial - Bouygues Immobilier.D’un autre côté, lorsque nous regardons l’histoire et la technologie au niveau global, celle-ci représente seulement 1% de l’impact carbone. Mais ce 1% a créé des transformations majeures dans d’autres secteurs. Elle permet aujourd’hui de faire beaucoup plus vite, de faire moins mais mieux.« La technologie nous fait agir en temps réel, 24/24, de prendre en compte les données météorologiques par exemple…La vraie question que l’on peut se poser est pourquoi la mise en place de ces innovations ne se fait-elle pas plus rapidement dans le secteur de l’immobilier ? » questionne Khadija Nadi, CEO DeltaQ. La crainte première est celle de l’obsolescence rapide de tout ce qui est hi-tech. Les objets connectés seraient mis au rebut plus rapidement, engendrant ainsi une accélération du sujet de l’impact climatique. Cela doit donc forcément amener un changement des mentalités. Aujourd’hui 85% des bâtiments existants seront encore debout en 2050. Et des solutions attendues pour 2030 sont déjà mises en oeuvre aujourd’hui au sein des Villes et des ruralités comme le changement des usages par exemple.« Au-delà du débat, ce combat se gagne et se perd ensemble. Ce qui est important c’est de comprendre que les enjeux ont changé, nous tendons vers un Temps que personne ne connait, vers une adaptation que personne n’a jamais faite, vers un modèle qui n’existe pas encore. Il faut donc travailler ensemble, main dans la main, et être ouvert d’esprit pour attaquer ce problème. » Philippe Le Fort, Director T&I – Head of Ambio Patrizia SE.La technologie aujourd’hui, une source d’inspiration pour l’immobilier ?Si la période du Covid a accéléré la transformation des usages que nous vivons aujourd’hui (le télétravail, la ville du quart d’heure), ces changements s’appliquent de fait au marché de l’immobilier. Les changements d’usages et de modèles viennent, en effet, de la demande et non plus de l’offre. Les habitudes de vie et de travail ont changé. Mais l’immobilier est souvent perçu comme étant lent à l’adoption de la technologie.Il y a beaucoup de choses qui ont changé dans la tech depuis 20 ans, avec notamment deux grands phénomènes clés qui ont transformés les industries : la convergence entre l’accès à la technologie avec le déploiement du smartphone (60 % de personnes en possède un aujourd’hui) et la démocratisation de la puissance de calcul à faible coût par le cloud. « Une capacité de calcul et de traitement qui était réservée à l’armée il y a à peine dix ans est devenue accessible à tout un chacun » explique Philippe Vimard, COO / CTO Doctolib.Dans l’hôtellerie par exemple, l’ère du digital a poussé le parc hôtelier et les hôteliers à améliorer leur qualité de service de façon significative et qualitative. « Finalement le Web 2.0 d’il y a quinze ans a challengé les hôteliers en leur apportant un accès direct au client, et en parallèle, en apportant au client un impact direct aussi sur le produit dans lequel il consomme. » énonce Alexandra Goguet, Senior Director Development France & Benelux Marriott International.Pour autant, les lignes vont devoir bouger. Les usagers cherchent davantage de services, de solutions, d’idées facilitant leur quotidien, afin de mieux habiter la ville et la consommer « utile ». « La technologie a un défi auquel elle doit composer : le capital humain et le capital planète/environnement. Toute technologie doit être pensée en ne perdant pas de vue l’aspect social, sociétal et planétaire. » détaille Stéphanie Zolesio Roux, Directrice Générale Executive, Casino Immobilier. La réalité aujourd’hui, c’est qu’il y a des technologies bien établies, qui existent, qui peuvent être déployées immédiatement dans les entreprises afin de faire une différence. Pour collecter de la donnée, créer une fondation, créer les produits de demain, de l’optimisation interne. « Si nous regardons ce qui s’est produit dans les autres industries, la technologie va venir disrupter l’immobilier, c’est une certitude. » explique Philippe Vimard. « Quand on manipule des actifs physiques, il est tentant de croire qu’on est assez immunisé face à la technologie. Mais je pense qu’on ne fera pas la transition environnementale, on ne réussira pas à attirer les talents de demain s’il n’y a pas de modernisation de la technologie. » conclut Robin Rivaton, CEO Stonal.Lorsque le Steering Committee de ULI France a réfléchi il y a quelques mois sur le thème de cette conférence, un accord a assez vite été trouvé, non sans débat sur le sujet de la technologie. La raison ? L’industrie immobilière tarde à intégrer les avancées technologiques alors que ces dernières ouvrent des possibilités incalculables sur l’avenir. « Nous avons des progrès à faire dans ce domaine. Alors oui la technologie c’est compliqué, ce n’est pas notre métier. Mais ne l’oublions pas, c’est aussi une vague que nous n’arrêterons pas. Nous devons être dans l’anticipation en stockant par exemple de la data pour un usage de demain. » résume Sébastien Chemouny, président ULI France et Head of France Allianz Real Estate.
Il y a 2 ans et 113 jours

La cité administrative d'Amiens : une nouvelle référence de construction bas carbone pour Bouygues Bâtiment Grand Ouest

Après le projet de réhabilitation de la Cité administrative de Rouen, le groupement mené par Bouygues Bâtiment Grand Ouest a remporté la construction d'une nouvelle Cité Administrative, celle d'Amiens. Ce Marché Public Global de Performance d'un montant total d'environ 46,5 M€ est un projet exemplaire de 20 000 m² répartis sur 3 bâtiments qui allie qualité énergétique, environnementale, fonctionnelle et d'usage. La future Cité intégrée à la ZAC Gare-La Vallée accueillera 1100 agents à l'automne 2023.La Cité Administrative d'Amiens est l'une des 4 cités administratives françaises qui font l'objet d'une construction neuve. Implantée au coeur d'Amiens, la future Cité, dite du XXIème siècle, va intégrer le nouveau quartier de La Vallée aussi nommé « Gare La Vallée », un projet urbain qui s'étend sur 170 hectares entre les voies ferrées de la gare d'Amiens et les berges de la Somme. Il a été validé dans le contrat de développement territorial de l'Amiénois et vise à moderniser les services publics et à assurer l'attractivité du territoire. Le Groupement de conception – réalisation – exploitation - maintenance, mené par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, compte 9 sociétés cotraitantes aux expertises complémentaires, contribuant ainsi à la dynamique économique du territoire picard. Après 9 mois et demi de conception, les travaux ont démarré en octobre 2021 et s'achèveront à l'automne 2023.Un projet de construction bas carboneLa future Cité a été pensée pour être exemplaire en termes de construction durable, c'est-à-dire à la fois peu consommatrice d'énergie en phase d'exploitation, tout en garantissant le confort des agents et du public. Elle vise la labellisation Passivhaus, un niveau 3 Bâtiment biosourcé et un niveau bas carbone E2C1.Pour atteindre ces objectifs, le projet repose sur plusieurs axes forts :Une conception bioclimatique qui favorise les économies d'énergie, permet de réduire les dépenses de chauffage et de climatisation tout en améliorant le cadre de vie. Ainsi les volumes ont été pensés pour favoriser la lumière naturelle et bénéficier des apports solaires. De plus, la gestion de l'énergie sera optimale grâce au raccordement au réseau de chaleur urbain et au futur réseau de froid urbain ;Des solutions constructives préfabriquées en filières sèches : le projet intègre du bois à hauteur de 95 dm3/m2 de plancher avec notamment la mise en oeuvre de 9500m² de planchers bois CLT (Cross Laminated Timber), soit au total 1700m3 de bois pour les planchers. Ce projet est l'un des chantiers bois majeurs de Bouygues Bâtiment France, et les équipes chantier Bouygues Bâtiment Grand Ouest qui en assurent la pose bénéficient de l'accompagnement de WeWood, le pôle d'expertise en construction bois de Bouygues Bâtiment France.Une enveloppe thermique très performante (laine de roche de 220 mm d'épaisseur pour les façades, isolant polyuréthane en toiture terrasse, fibrastyrène pour le parking, isolation performante des longrines et dalles portées…) et des menuiseries mixtes bois/alu dotées de triple-vitrage.La mise en œuvre de matériaux naturels comme, par exemple, les revêtements de sol Marmoleum ou la peinture Algo à base d'algues.Un projet misant sur le confort et le bien-être des agents et du publicD'une superficie totale de 20000 m2, les 3 bâtiments accueilleront 18 services administratifs, soit 1 100 agents, un restaurant inter-administratif de 900 m2 ainsi qu'une crèche de 15 berceaux avec un jardin attenant. Les flux seront bien identifiés pour optimiser l'accueil du public et l'environnement de travail des agents.L'architecture des 3 bâtiments se veut flexible, avec des aménagements intérieurs modulables : la structure en poteaux poutres et les cloisons amovibles ont ainsi été pensées pour permettre une flexibilité des espaces de travail.Elle repose en outre sur le concept de biophilie, c'est-à-dire l'intégration du vivant dans l'environnement bâti, ce qui se traduit par une valorisation du bois dans les espaces de travail, la végétalisation des passerelles de liaison entre bâtiments et des espaces extérieurs, etc.Enfin, le projet s'intègrera harmonieusement dans le quartier grâce à une large partie des façades des bâtiments revêtues de tuiles émaillées.Ce matériau fait écho, de manière contemporaine, à la brique omniprésente à Amiens. Ces tuiles sont produites localement, en Picardie, à Saint-Germer-de-Fly, par la société EDILIANS. Les 7000 m² de façades en bardage tuiles émaillées seront intégralement réalisés en part propre, par les équipes polyvalentes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest.
Il y a 2 ans et 113 jours

 NOUVEAU SMP-300 GRIFFON –  Revêtement élastique étanche à l’eau et à l’air, basé sur une technologie SMP innovante.

Expert des systèmes d’assemblage, de collage et d’étanchéité dédiés aux professionnels, Griffon lance le nouveau SMP-300 : un revêtement souple bénéficiant d’une élasticité permanente supérieure à 250% grâce à une technologie exclusive. Étanche à l’eau et à l’air, ce nouveau revêtement peut être appliqué sur des surfaces humides, ce qui permet aux professionnels de poursuivre les travaux quelles que soient les conditions météorologiques et augmenter ainsi leur productivité sur les chantiers. Doté d’une excellente adhérence sur la plupart des matériaux, le nouveau revêtement SMP-300 Griffon s’applique sans primaire pour réaliser de multiples travaux d’étanchéité, de protection et de réparation des toitures, des cloisons, des murs, des sols, des cadres de portes ou de fenêtres, des fissures… Il convient également pour l’étanchéité sous carrelage dans les pièces humides et les piscines. Résistant aux intempéries, aux UV, au chlore et à l’eau salée, il se nivelle automatiquement, ne se contracte pas et peut être enduit et peint. Des constructions étanches à l’air et à l’eau Bénéficiant des dernières avancées techniques Griffon, le SMP-300 se caractérise par de hautes qualités d’usage qui faciliteront la réalisation de l’étanchéité de tous types de matériaux : le béton, le métal, la pierre, le bois, le bitume, le zinc, le PVC et l’EPDM. 100 % résistant à l’eau, à l’air, aux intempéries et aux UV, ce revêtement polyvalent auto-lissant, qui ne se contracte pas, assure l’étanchéité et la protection totale des surfaces verticales et horizontales, en extérieur comme en intérieur. Simple d’application Exempt de bitume, d’isocyanates et de solvants, le revêtement SMP-300 Griffon est sûr et prêt à l’emploi. Il s’applique directement sur la surface au pinceau, au rouleau ou au pistolet*. Seau, pot, cartouche ou éco-poche, plusieurs conditionnements sont proposés pour s’adapter aux besoins spécifiques de chaque chantier. Sa mise en œuvre facile et rapide (temps de prise 60 minutes, résistant à une pluie légère après 30 minutes, totalement résistant à l’eau après 12 heures) en fait une solution de chantier extrêmement compétitive. Testé et certifié La qualité du SMP-300 Griffon a été testée conformément aux normes européennes EN 1026 (perméabilité à l’air des fenêtres et des portes), EN 1027 (étanchéité à l’eau des fenêtres et des bloc-portes) et EN 12114 (perméabilité à l’air des composants ou des parois de bâtiments). Le SMP-300 Griffon s’est vu attribuer la classe premium EMICODE® EC-1 Plus certifiant ses très faibles émissions de COV. https://www.griffonfrance.fr/fr
Il y a 2 ans et 116 jours

Les aides à la rénovation énergétique boostées en 2023

Quel est l'impact de cette évolution pour les particuliers ? Quels sont les travaux à réaliser en 2023 et lesquels bénéficient d’aides de l’Etat ? Préservation du Patrimoine Energie fait un point de la situation à date.Des aides renforcées en 2023, particulièrement pour les travaux de rénovation globaleDans un contexte où l’énergie est plus que jamais un enjeu majeur et une préoccupation pour les Français, il n’a jamais été aussi important d’avoir des logements performants. Les travaux de rénovation énergétique sont une réponse forte à cet enjeu et pour réduire l’empreinte carbone des logements.Dès le 1er février 2023, les montants des travaux finançables via MaPrimeRénov’ seront revalorisés pour tenir compte de la hausse des prix et favoriser les rénovations globales. Les plafonds seront ainsi revalorisés de 30.000 € à 35.000 €.Cette évolution des aides a pour objectif d’encourager les particuliers à mener leurs projets de rénovation globale mais l’enveloppe budgétaire allouée est encore faible face à l’enjeu de la transition énergétique.Au-delà du dispositif MaPrimeRénov’, la prime CEE (Certificats d’Economie d’Energie) aussi appelée Prime énergie devrait augmenter au bénéfice des particuliers cette année.Pour Sébastien Vernay, Directeur Général de Préservation du Patrimoine Energie : « Au regard de l’augmentation de l’obligation, et du retard constaté sur l’année 2022, le marché des CEE devrait retrouver sa dynamique en 2023. Ainsi, les aides pour les particuliers devraient augmenter et nous pouvons espérer voir se multiplier les initiatives comme celles de la prime Coup de Boost Fioul qui valorise le Coup de Pouce Chauffage déjà mis en place. »Ce qui change en janvier 2023 :Les propriétaires-bailleurs qui engagent des travaux de rénovation énergétique permettant de sortir leur bien des classes G, F et E, bénéficient d’un avantage fiscal et peuvent ainsi déduire le coût de leurs travaux de rénovation énergétique de leurs revenus. Pour encourager les travaux, ce déficit foncier a doublé, passant de 10.700€ à 21.400€.A compter du 1er janvier 2023, les logements de France métropolitaine dont la consommation annuelle d’énergie finale dépasse 450 KWH/m² habitables sont interdits à la location. Cela concerne 90.000 logements en France qui sont interdits à la location.Préservation du Patrimoine Energie, partenaire pour la rénovation énergétiqueSi 9 Français sur 10 disent avoir l’envie de réaliser des travaux de rénovation[1], nombreux sont ceux qui ne passent pas à l’action à cause de l’investissement nécessaire mais également à cause de la complexité du marché et la multiplicité des acteurs lors d’un parcours de rénovation. Pour répondre à cette préoccupation, Préservation du Patrimoine a créé sa filiale énergie. Du diagnostic énergétique aux démarches administratives en passant par l’éligibilité aux aides financières, les particuliers sont accompagnés de A à Z et ce avec un seul et unique interlocuteur, expert de la rénovation énergétique, également en charge et garant du suivi des travaux jusqu’à la fin du projet.L’activité Énergie de Préservation du Patrimoine intervient sur tous les travaux de rénovation visant à réaliser des économies d’énergies chez les particuliers, notamment via le photovoltaïque (panneaux solaires) et l’aérothermie (pompes à chaleur). En 2022, Préservation du Patrimoine a ainsi permis à ses clients de réaliser des économies de plus de 1.889.000€ sur leur facture annuelle (soit 850€ d’économies annuelles en moyenne par foyer et par an) et les travaux réalisés ont permis d’éviter plus de 18.000 tonnes d’émissions de CO2.Pour Sébastien Vernay : « Nous avons constaté que les particuliers rencontrent des difficultés lorsqu’ils souhaitent réaliser des travaux. A qui s’adresser ? Comment bénéficier des aides ? Comment s’assurer de la qualité des travaux ? Ça peut être un vrai défi de se lancer dans des travaux. Nous avons lancé notre offre pour répondre à ces questions. Nous conseillons les particuliers sur les travaux à réaliser, nous nous occupons également pour eux des tâches administratives nécessaires pour recevoir les aides. Les chantiers de rénovation énergétique réalisés par Préservation du Patrimoine ont ainsi bénéficié de 426.400 € de primes (via MaPrimeRénov’ et primes CEE) que nous avons reversées aux particuliers. Après la pose de nos produits, nous assurons également un suivi sur les performances des installations. »
Il y a 2 ans et 116 jours

Deep Collection de Rehau, l'élégance du coloris mat au sein de la cuisine

Dans ce contexte, REHAU, en tant que marque établie dans l'industrie du meuble et synonyme de solutions bien pensées, qualitatives et fonctionnelles, présente Deep Collection, la nouvelle gamme de coloris RAUVISIO crystal. Une collection qui ajoute un effet de profondeur élégant à l’aspect verre des surfaces RAUVISIO: l'aspect métallique subtile offre une ambiance chatoyante. Cette nouvelle collection Deep apporte une nouvelle dimension de profondeur aux finitions de surface mates.Grâce à la gamme innovante Deep Collection, inspirée des profondeurs de l'océan, le stratifié RAUVISIO crystal offre de nouvelles possibilités en matière de décoration intérieure. La vaste gamme de couleurs disponibles offre aux designers et aux décorateurs d'intérieur des possibilités uniques pour la conception de meubles et d'intérieurs, ainsi que pour réinventer des surfaces unies en y ajoutant un élément original et de qualité. Que vous recherchiez un contraste saisissant ou une élégance discrète en combinaison avec d'autres surfaces, RAUVISIO crystal Deep s'intègre parfaitement aux autres éléments de la pièce.La collection intemporelle comprend sept teintes uniques qui se combinent parfaitement entre elles ainsi qu’avec les autres produits REHAU, et même avec des matériaux naturels comme le bois ou la pierre. La philosophie de l’harmonie du design, qui est présente dans toutes les collections REHAU, est appliquée de manière cohérente lors de tous les lancements de produits. RAUVISIO crystal Deep est disponible comme solution d'espace de rangement sous forme de rideaux d’armoire RAUVOLET crystal-line avec une quantité minimale de commande. Les bandes de chant constituent un autre élément de la collection assortie. Il y a plus de 50 ans, REHAU a développé RAUKANTEX, une solution qui a fait de l'entreprise un partenaire de confiance dans l'industrie du meuble. Avec ses finitions zéro joint, RAUKANTEX pro transforme les panneaux en composants parfaitement intégrés, tant sur le plan de l'apparence que de la fonctionnalité. RAUKANTEX est disponible pour toutes les couleurs et tous les formats de panneaux RAUVISIO crystal Deep pour un aspect harmonieux et uniforme avec des effets de profondeur captivants.En termes de traitement, le RAUVISIO crystal combine l'aspect classique et polyvalent du verre avec les propriétés exceptionnelles du stratifié en polymère, tant dans sa mise en oeuvre que dans son application et son utilisation quotidiennes. La collection RAUVISIO crystal Deep peut être travaillée avec les outils de menuiserie classiques utilisés pour le travail du bois, ce qui signifie une liberté absolue pour les architectes d'intérieur. Dans l'utilisation quotidienne, ce matériau innovant se distingue également par sa grande durabilité : non seulement il est facile à nettoyer, mais il est également extrêmement résistant aux cassures et aux rayures.Afin d'offrir rapidité, fiabilité et qualité, REHAU met en outre à la disposition de ses utilisateurs une série de services et d'outils innovants tels que le configurateur de surface, qui leur permet de commander des panneaux personnalisés avec les bords déjà plaqués en bandes de chant assorties. Il est également possible, avec une quantité minimale de commande, d'adapter les surfaces RAUVISIO crystal aux spécifications individuelles sur la base des couleurs RAL en brillant ou en mate.Dans l'ensemble, REHAU, en tant que spécialiste de la transformation des polymères et fournisseur de composants pour l'industrie du meuble, s'est imposé comme le partenaire le plus compétitif du marché grâce à ses solutions de conception innovantes et de haute qualité qui offrent également des performances élevées.
Il y a 2 ans et 117 jours

Maud Tarnot, nouvelle directrice du développement durable d’Holcim France

Maud Tarnot est la nouvelle directrice du développement durable nouvellement créé d’Holcim France. [©Holcim] Holcim France vient de nommer Maud Tarnot au poste de directrice du développement durable nouvellement créé. Et ce, depuis le 1er décembre 2022. Maud Tarnot est directement rattachée à François Petry, Pdg d’Holcim France. Et travaille en étroite relation avec Magali Anderson, directrice du développement durable et de l’innovation Groupe. En s’appuyant sur le plan stratégique 2025 “Accelerating Green Growth1”, elle aura pour principales missions l’élaboration et le pilotage de la stratégie d’impact carbone du groupe en France. Mais aussi le déploiement du plan d’actions au plus près des territoires. Et enfin, le suivi de la performance ESG2, en engageant l’ensemble des collaborateurs. Le parcours de Maud Tarnot L’action de Maud Tarnot s’articulera autour de quatre grandes priorités. La première prend en compte la réduction des émissions de CO2 et l’adaptation au dérèglement climatique. La seconde comprend la protection de l’environnement, notamment de la biodiversité. La troisième, le développement de l’économie circulaire. Et la dernière, le renforcement d’un dialogue continu avec les parties prenantes et la concertation à l’échelle territoriale. Lire aussi : Holcim Go Circular prêt pour l’Ocean Race  Maud Tarnot  est titulaire d’un double master en affaires européennes de la London South Bank University et de l’Ecole de Management Léonard de Vinci. Elle est aussi diplômée de CentraleSupelec, où elle a obtenu un certificat de direction de l’entreprise durable. Elle est aussi titulaire d’une maîtrise de philosophie. Elle a débuté sa carrière au secrétariat général des affaires européennes (SGAE), au sein des services du Premier ministre. Elle a exercé les fonctions de responsable des affaires institutionnelles à l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de constructions (Unicem). Et a été secrétaire générale de l’Union nationale des exploitants du déchet (Uned) entre 2010 et 2016. Enfin, elle a rejoint Lafarge France en 2016 en qualité de responsable de la RSE et des affaires publiques. 1Accélérer la croissance verte.2Les critères ESG sont tout ce qui concerne les enjeux sociaux et environnementaux (dialogue social, emploi des personnes handicapées, formation des salariés, rémunération…). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 118 jours

Wardan Londres, un programme résidentiel au sommet

Dominant le quartier financier prestigieux de l’Isle of Dogs sur le quai de Canary Wharf de Londres, le programme Wardian, s’ancre toute en transparence. Le complexe construit par EcoWorld Ballymore se compose de deux tours résidentielles de 50 et de 55 étages qui abritent au total 768 logements, ce qui en fait l’un des programmes les plus haut de Grande Bretagne. Immédiatement reconnaissables à leurs balcons généreux et à leurs profils élancés, les deux tours sont situées au-dessus d'un podium, qui abrite un grand hall, des installations communes, des commerces, une salle de cinéma et un café au bord de l'eau. Le complexe a été habillé de façades vitrées de haute technicité signées WICONA, participant directement au confort thermique et acoustique des usagers. Pour répondre aux besoins particuliers des immeubles de grande hauteur soumis à une forte exposition (vent, pluie) WICONA a développé pour ce projet la fenêtre à translation WICSLIDE 150 « Pull and Slide », depuis commercialisée en gamme. Une première mise en œuvre spectaculaire.Inspiré par l’explorateur Dr Nathaniel Bagshaw WardWardian London a été inspiré par le grand explorateur et innovateur Dr Nathaniel Bagshaw Ward, responsable de la création du Wardian Case, utilisé pour transporter des plantes autour du monde à l'apogée de l'Empire britannique.Le projet s’inspire de la botanique et de l’idée des serres portables tout en considérant la durabilité comme un autre facteur clé. La gestion des apports solaires et la volonté d’éviter le recours à la climatisation ont été des principes majeurs dans la philosophie de conception du Wardian. Par conséquent, en plus d'aménager des jardins sur le toit avec des arbres matures pour tempérer l'air entrant, la conception des tours fait un usage impressionnant de mesures passives pour protéger les espaces de vie contre les apports solaires. « Les jardins de toit du Wardian rafraîchissent l’air entrant tout en offrant à chaque logement un grand espace ombragé. La végétalisation contribue également à la qualité de l'air et créer un environnement relaxant et convivial » explique un porte-parole de Glenn Howells Architects. Ouverture maximale et confort optimal Sur ce chantier titanesque, pas moins par 3 525 m2 de façade WICONA, ayant nécessité la création de plus de 50 profilés aluminium, ont été mises en œuvre par le façadier tchèque Sipral. L’entreprise s’est en effet vue charger de la fourniture et la pose des consoles de support en acier et des structures aluminium de balcon d’une longueur de trois mètres à une balustrade entièrement vitrée, mais surtout par l’enveloppe complexe du bâtiment composée de portes des balcons, des fenêtres à translation WICSLIDE 150 PS, angles vitrés et fenêtres (WICLINE) donnant sur toute la hauteur de l’étage et permettant d’avoir une quantité suffisante de la lumière naturelle aux habitants de chaque appartement. Les parties opaques de la façade et des faux plafonds sont revêtues en tôles d’aluminium. Enjeux acoustiques relevésLa proximité avec la ligne de métro et l’aéroport de Londres City a obligé à une attention particulière sur l’isolation acoustique. Ainsi, les systèmes de fenêtres et de portes WICONA assurent une réduction sonore de 35 dB ou de 41 dB, obtenue à la fois par le soin apporté aux détails des châssis et par l’utilisation de verre acoustique. La majorité des fenêtres, y compris les éléments de balustrade peints en arrière, affichent une valeur de 1,0 W/m2K.
Il y a 2 ans et 118 jours

Sermib : « Des artisans plutôt que des industriels »

Stéphane Berthat est le gérant de Sermib depuis 2018. [©Sermib] Vous avez repris l’entreprise Sermib fin 2018, pouvez-vous nous en rappeler les spécialités ? Sermib signifie Société d’études et de réalisation de moules pour l’industrie du béton. Le nom est plutôt parlant. Nous réalisons ces moules en bois et en métal, et nous avons la capacité d’y incorporer des réservations ou des fonds de moule en élastomère. Pourquoi avoir choisi de racheter cette entreprise ? Le précédent gérant, qui en était le fondateur, avait largement mérité de partir à la retraite. De mon côté, j’avais toujours travaillé dans le bâtiment, pour plusieurs industriels de second œuvre. Je cherchais à racheter une entreprise et j’ai découvert cette société de douze personnes au savoir-faire incroyable. Lors de ma première visite dans les locaux, voir et toucher les moules terminés m’a convaincu, ils étaient d’une telle qualité. Depuis votre rachat, avez-vous modifié les structures de l’entreprise ? La grande force de l’entreprise, c’est son savoir-faire manuel humain. Je me suis surtout attaché à faire confiance aux salariés en place, à libérer leur énergie et leur envie de développer l’entreprise. Nous avons aussi investi dans l’outil industriel, surtout pour en améliorer la sécurité. L’idée était d’apporter à chacun les moyens de bien travailler. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 118 jours

Accompagner les chefs d'entreprise avec Batys Compétences

Batys Compétences représente un réseau national de 20 organismes de formation de qualité, certifiés Qualiopi répondant aux différents besoins des entreprises du secteur de la construction. Il s'agit ainsi d'amplifier une nouvelle offre de services et de produits pour répondre aux besoins de formation de tous les professionnels du bâtiment.De la formation réglementaire à la performance énergétique en passant par le lean management, les différents centres de formation, répartis sur l'ensemble du territoire, accompagnent les artisans et entrepreneurs pour développer leurs compétences et celles de leurs collaborateurs.Ce changement de nom s'accompagne d'un nouveau site Internet, ainsi que d'un nouveau logo :Pour Philippe PIANTONI, chef de file des IFRB au sein de la FFB : « Batys Compétences, c'est ajouter la force d'un réseau à la compétence de nos IFRB. Partenaire majeur de la profession, le réseau Batys Compétences accompagne les professionnels pour atteindre leurs objectifs, booster le développement de leurs compétences et celles de leurs collaborateurs, et ainsi maitriser les évolutions de nos métiers en lien avec les marchés et ceux à venir. »
Il y a 2 ans et 118 jours

Hydro rachète Hueck

Cette acquisition permettra à Hydro Extrusions d'affirmer sa position et sa présence en Europe. Cela renforcera également la position d'Hydro Building Systems et de ses marques TECHNAL, SAPA et WICONA en Allemagne et sur d'autres marchés européens, consolidant ainsi sa capacité à offrir des services de qualité à ses clients, grâce à une gamme de produits encore plus large.Forte de 60 ans d'expérience dans le domaine de l'ingénierie allemande, Hueck Systems opère principalement en Allemagne, qui représente le plus grand segment du marché européen des systèmes de construction. Elle est spécialisée dans la création de solutions pour fenêtres, portes et façades pour les secteurs du bâtiment et de la construction, et dispose d'une plate-forme de distribution sur son site principal, à Lüdenscheid. Outre l'Allemagne, Hueck Systems opère également en Autriche, en Suisse, au Danemark, aux Pays-Bas, en République Tchèque et au Royaume-Uni, mais aussi sur d'autres marchés grâce à de solides partenariats comme en France.Hydro Building Systems propose des solutions innovantes en aluminium durable pour les fenêtres, portes et façades en oeuvrant pour une économie circulaire. Ses marques TECHNAL, SAPA et WICONA développent et distribuent des systèmes de construction en aluminium pour tout type de bâtiment. Avec ses 3 200 collaborateurs, Hydro Building Systems vise à développer une approche pérenne avec de nouvelles solutions durables, contenant au moins 75% de matériaux recyclés et 95% de matériaux recyclables, réduisant ainsi l'impact des matériaux sur le cycle de vie d'un bâtiment.« Ensemble, formant une seule et même entreprise, Hueck et les marques d'Hydro Building Systems TECHNAL, SAPA et WICONA investiront sur la durabilité, l'implantation locale et l'expertise technique. Avec l'acquisition de Hueck, notre mission demeure la même : nous nous engageons pleinement à aider nos clients à saisir les nouvelles opportunités présentes sur le marché du bâtiment et de la construction. En disposant des meilleurs talents et en restant pleinement focalisés sur l'activité de nos clients et la qualité des produits que nous leur livrons, nous serons un partenaire indispensable pour la réalisation de leurs objectifs », explique Henri Gomez, Vice-président senior d'Hydro Building Systems.La finalisation de l'acquisition est soumise à l'approbation des autorités de concurrence allemande et autrichienne et est prévue pour la fin du premier trimestre 2023.
Il y a 2 ans et 119 jours

Soprofen dévoile les heureux gagnants de la 3ème édition de son concours photos

L’édition 2022 de la campagne photos organisée tous les ans par SOPROFEN a rendu son verdict fin décembre. Intitulée « soyez fiers de vos réalisations », cette opération a mis une nouvelle fois en évidence le savoir-faire de l’ensemble des clients du fabricant mais aussi la qualité de ses solutions de fermeture (volets roulants, portes de garage) et de protection solaire. Parmi la centaine de chantiers recensés en France et en Belgique, SOPROFEN a réalisé près de 25 reportages photos mettant en avant majoritairement les brise- soleil orientables, les screens, les portes de garage, les coffres extérieurs et volets traditionnels de la marque. A l’issue du concours, un tirage au sort a désigné les 10 plus belles réalisations dont les heureux gagnants ont reçu chacun l’un des nombreux cadeaux mis en jeu. Parmi eux, citons les trois premiers Grand Prix : – Transparence Conception basé à Limonest (69) pour une sublime villa contemporaine équipée de brise-soleil orientables, – Renov’Aktion situé à Bazet (65) en périphérie de Tarbes dans les Hautes-Pyrénées, pour l’installation de brise-soleil orientables dans une maison contemporaine, – Gangitech installé à Walcourt (Belgique) avec la mise œuvre très réussie, sur une vieille bâtisse, d’une porte de garage sectionnelle Carsec Pro grise. Rendez-vous est d’ores et déjà pris pour la prochaine édition qui se tiendra du 15 mars au 15 septembre 2023. Rappelons que les participants peuvent concourir dans les trois catégories (volets roulants, portes de garage, protections solaires) et déposer jusqu’à trois visuels par chantier qu’il s’agisse d’une maison individuelle, d’un habitat collectif ou d’un bâtiment tertiaire, en neuf comme en rénovation. Plus d’informations sur le site internet www.soprofen.fr/campagne-photo, spécialement créé pour l’occasion. www.soprofen.fr
Il y a 2 ans et 119 jours

2023, une année dense pour la filière du diagnostic immobilier

Pour Yannick Ainouche, Président de la Chambre des diagnostiqueurs immobiliers de la Fnaim : « Avec les évolutions réglementaires, les diagnostiqueurs sont devenus la pierre angulaire de la politique publique en matière de rénovation énergétique. Rien ne peut plus se faire sans eux : le DPE bien sûr, mais aussi l’Audit énergétique, DTG, PPT, Carnet de santé du logement, Accompagnateur Rénov… »Tour d’horizon des prochaines échéances réglementaires1er janvier 2023 : une nouvelle version pour le DPELe DPE évolue. Parmi les changements, l’apparition d’une information qui devient essentielle : la consommation en énergie finale dès la première page qui permettra de savoir si un logement peut être remis en location ou non. La nouvelle version du DPE est aussi davantage sécurisée pour éviter de futures modifications.On rappelle qu’à partir du 1er janvier, il devient également impossible d’utiliser un DPE produit avant 2018.1er janvier 2023 : l’état des risques à fournir dès la première visiteL’état des risques et pollutions (ERP) encore revu et corrigé. Changement climatique oblige, le document s’enrichit d’un nouveau risque, le recul du trait de côte. Ce n’est pas la seule nouveauté, désormais, dès la petite annonce immobilière, on trouvera une information sur les risques, et dès la première visite l’état des risques devra être remis au potentiel acquéreur/locataire.1er janvier 2023 : le carnet d’information du logementLe Carnet d’information du logement (Cil) est arrivé au 1er janvier. Ce carnet à remplir par le propriétaire (éventuellement le maître d’ouvrage) en cas de construction, de rénovation ou de vente, ne concerne que la performance énergétique et rien que la performance énergétique.1er janvier 2023 : haro sur les pires passoires énergétiquesLes pires passoires énergétiques, celles qui consomment plus de 450 kWh/m²/an en énergie finale, doivent disparaître. « Il ne faut pas s’attendre à une grande saignée dans les parcs locatif, car l’interdiction de location sur ces logements touche uniquement les nouveaux baux signés à partir du 1er janvier. On estime qu’au grand maximum, 150.000 à 200.000 logements sont concernés. » indique Yannick Ainouche, Président de la CDI Fnaim.1er janvier 2023 : le Plan pluriannuel de travauxLe Plan pluriannuel de travaux (PPT) offre de la visibilité aux copropriétaires sur les travaux à mener dans l’immeuble pour les dix ans à venir ; à la fois pour son entretien et sa sauvegarde, mais aussi pour sa rénovation. Ce PPT devient obligatoire en 2023 pour les copropriétés de plus de 200 lots et de plus de quinze ans. Les moyennes copropriétés (51 à 200 lots) et les petites copropriétés (50 lots maxi) sont respectivement concernées en 2024 et 2025.1er janvier 2023 : MonAccompagnateurRénov’ devient obligatoirePour aider, conseiller, aiguiller les ménages, l’État a lancé en 2022 MonAccompagnateurRénov’. A partir de 2023, le recours à cet accompagnateur devient obligatoire pour certains travaux financés sur les deniers publics. Dès janvier, les propriétaires qui se lancent dans une rénovation globale doivent faire appel à cet accompagnement dès que le montant des travaux dépasse 5.000 euros TTC. A partir de septembre, on ajoute les travaux de deux gestes ou plus bénéficiant des subsides de l’État dont le coût est supérieur à 5.000 euros TTC et qui font l’objet d’une demande d’aide avec un montant supérieur à 10.000 euros.1er février 2023 : MaPrimeRénov’ revue à la hausseLe gouvernement a annoncé, peu avant les fêtes, que les plafonds des travaux soutenus par la prime de transition énergétique seraient revus à la hausse. Parmi les autres changements de MaPrimeRénov’ attendus en 2023, l’exclusion des chaudières gaz dès janvier (même les plus performantes), et la possibilité de financer le reste à charge grâce à un éco-PTZ avec une procédure simplifiée.1er avril 2023 : L'audit énergétiqueObligatoire pour tous les logements F et G en monopropriété qui sont mis en vente, cet audit va beaucoup plus loin que le DPE avec plusieurs scénarios de travaux précis, des estimations de coûts, mais aussi des estimations de gains énergétiques…1er mai 2023 : La REP bâtimentL’économie circulaire gagne tous les déchets du bâtiment. Espérée d’abord pour janvier 2022, puis 2023, la REP (responsabilité élargie des producteurs) devrait finalement se mettre en place à partir du printemps. Plus de 40 millions de tonnes de déchets chaque année à collecter, trier et valoriser. Même les plus dangereux comme l’amiante.31 décembre 2023 : Dernier délai pour les DPE dans les grosses coprosLes copropriétés de plus de 200 lots ont jusqu’au 31 décembre pour réaliser leur DPE à l’immeuble puisque celui-ci est obligatoire dès le 1er janvier 2024. Peu importe le système de chauffage ou de refroidissement, tous les bâtiments avec un permis de construire déposé avant le 1er janvier 2013 sont ciblés. Les moyennes copros (de 51 à 200 lots) seront concernées en 2024 et enfin les plus petites (50 lots maximum), l’année suivante.Rappel des propositions portées par la CDI FNAIMEncadrement des tarifs du DPE avec l’instauration d’un prix plancher en dessous duquel le DPE ne pourrait être vendu afin d’éviter la casse des prix qui entraîne inévitablement une détérioration de la qualité.Un règlement chez le notaire au moment de la vente (si le client n’a toujours pas payé) pour éviter les impayés qui gangrènent la profession.Un système de certification davantage adapté à la filière pour les petites et les grandes entreprises : que les entrepreneurs du diagnostic aient désormais le choix entre la certification d’entreprise et la certification de personne.La création d’une véritable branche professionnelle, avec la création d’une carte « D » délivrée par une autorité indépendante.
Il y a 2 ans et 119 jours

Alexandre Bistes succède à Thierry Gouix en qualité de Directeur Strategic Unit Wicona France

Diplômé de l'École Supérieure de Commerce de Pau et d'un Mastère marketing et communication, Alexandre Bistes commence sa carrière en 1999, en pleine bulle Internet, en tant que chef de projet au sein de l'agence de publicité DDB Paris. Passionné par la technique, il se dirige vers la vente et rejoint en 2002 le groupe Acapela, société spécialisée dans les technologies vocales en Europe et aux Etats-Unis. En 2008, il intègre le groupe Hydro en qualité de Licensee Manager. Son rôle : gérer les relations avec les entreprises autorisées à représenter les différentes marques du groupe à l'international.En près de quinze ans, Alexandre Bistes a occupé de nombreuses fonctions de management, direction commerciale, marketing, développement dans le groupe, en France et à l'international. Il a notamment travaillé en Chine pour WICONA et connaît donc parfaitement les produits et leurs capacités techniques.La transition s'est déroulée en douceur pour les équipes et les clients. Thierry Gouix et Alexandre Bistes ont en effet travaillé de concert durant plusieurs mois sur les dossiers stratégiques et commerciaux. « Je suis très heureux de rejoindre les équipes WICONA et de poursuivre le travail initié par Thierry Gouix. Parmi les chantiers qui s'ouvrent à nous, la décarbonation. WICONA est une marque écoresponsable et engagée pour réduire notre propre empreinte carbone et proposer des solutions de construction durables et responsables. C'est un sujet sur lequel j'entends aller encore plus loin. Face à l'urgence climatique, la rénovation est un champ sur lequel nous pouvons agir pour réduire les consommations énergétiques et les émissions de GES au cours des prochaines décennies, tant sur le logement que le tertiaire. Nous allons notamment explorer comment optimiser la récupération des profilés aluminium sur les chantiers en déconstruction pour un réemploi tracé afin de créer une véritable boucle circulaire vertueuse. Je me réjouis de poursuivre les rencontres avec les clients et partenaires afin d'identifier ce que nous pouvons et devons encore améliorer. La proximité, l'expertise technique et le développement de solutions sur mesure pour les projets spéciaux constituent l'ADN de la marque. » - Alexandre Bistes, nouveau Directeur Strategic Unit WICONA FranceÉvolution organisationnelle et nomination d'un directeur commercial WICONA FranceLa nomination d'Alexandre Bistes s'accompagne d'évolutions organisationnelles et de recrutements pour plus de proximité avec les clients et partenaires.Ainsi, Vincent Bes, précédemment directeur des ventes régionales Ouest, est nommé directeur commercial WICONA France au 1er janvier 2023. Les deux directions des ventes régionales sont maintenues. La région Est reste quant à elle dirigée par Pascal Forest. Un recrutement est en cours pour remplacer Vincent Bes.
Il y a 2 ans et 120 jours

Fabricants, quelles clés pour une collaboration réussie dans vos projets?

Fabricant de la construction, un rôle central dans l’écosystème Fabricant, acteur clé des projets du BTP  En tant que fabricant de la construction, les architectes, ingénieurs et entreprises de la construction ont besoin de vos produits et de leurs données, pour réaliser des projets de qualité. Ils sont la base de tout projet de construction. Néanmoins, vous avez également besoin de ces acteurs pour qu’ils achètent vos produits et fassent tourner votre business. Vous l’aurez compris, la solution pour faciliter les tâches de chacun réside dans la collaboration.  Votre rôle à l’ère du numérique On le répète : collaborer est le maître mot dans la réussite des projets de tous les acteurs du BTP. Mais, à l’ère du numérique, comment s’y prendre ? Aujourd’hui, les méthodes pour parvenir à vos clients ne sont pas les mêmes qu’il y a quelques années. Alors, pour travailler “en son temps”, la transformation digitale de vos produits et l’usage du BIM sont une nécessité. Et bonne nouvelle, cette méthodologie assure une collaboration optimale avec les utilisateurs de vos produits.   En effet, les architectes, ingénieurs et constructeurs ont besoin de vos produits sous format digital. Pourquoi ? Car cela leur garantit des objets 3D qualitatifs, ainsi que des données sur chacun des produits. Qui dit besoin, dit offre. En proposant vos produits fabricants en format BIM, vous pourrez commercialiser vos produits sur le marché et faire entrer plus de business au sein de votre entreprise.  Qu’attendent de vous les utilisateurs de vos produits ?  Architectes, en quête d’objets BIM de qualité Saviez-vous que 90% des architectes souhaitent que les fabricants de la construction soient impliqués dans le processus de spécification de leurs projets ? Et que 88% d’entre eux considèrent cette collaboration comme indispensable à leur succès ? C’est ce que confirme une étude de l’AIA (American Institute of Architects) datée de 2021.  Les architectes utilisent de plus en plus le BIM afin d’accéder dès le début d’un projet aux informations clés pour mener à bien ces missions. Chaque maquette numérique d’un bâtiment peut contenir des centaines voire des milliers d’objets BIM. En ayant accès à vos objets fabricants déjà prêts en 3D de qualité et fonctionnels, les architectes vont gagner un temps considérable. Cela garantira également à l’architecte mais aussi à son client et au maître d’ouvrage, une visualisation du résultat final fidèle à la réalité.  Aussi, grâce à vos objets digitalisés qualitatifs, lorsque l’architecte devra choisir un fabricant de la construction pour son projet, il fera directement appel à vous. Un réel différenciant par rapport à la concurrence !  Ingénieurs, à l’affût de données fiables Dans un projet de construction, l’ingénieur joue un rôle clé dans la conception, l’installation et la maintenance d’un bâtiment. Il examine l’état, la faisabilité et l’efficacité énergétique des projets. Pour ne pas se perdre parmi la multitude d’informations que cela représente, l’ingénieur a également recours au BIM. Le “I” de BIM, à savoir l’information, lui est primordial car cela représente une source unique de données. Il faut comprendre qu’il est très difficile de choisir un produit sur un catalogue papier, en raison des contraintes réglementaires imposées sur les fiches techniques. Il vous appartient donc de les fournir en choisissant un canal de digitalisation plus approprié pour faciliter sa prise de décision.  Et comment vous assurez-vous que ces ingénieurs fassent appel à vous? En étant visibles ! C’est en ajoutant vos objets sur une plateforme publique telle que bimandco.com, que les ingénieurs voient tous vos produits et leurs données, et peuvent les télécharger gratuitement. Une solution qui bénéficie à tout le monde ! Alors, prêt à réussir votre collaboration pour vos projets de construction actuels et futurs? Notre équipe chez BIM&CO vous accompagne dans la digitalisation de vos produits, pour leur garantir une meilleure visibilité et vous faciliter la mise en lien avec les bonnes personnes. Découvrez la suite dans notre article de blog complet
Il y a 2 ans et 120 jours

La piscine publique en plein air de Garbsen se pare de 200 m² de bois Kebony Clear

La piscine en plein air est bordée de 11 000 m² d'espaces verts. Dans ce cadre de loisirs privilégié se trouvent également un terrain de beach-volley, une aire de jeux pour les enfants, une balançoire, un espace d'escalade de six mètres de haut et une vaste pelouse arborée.La piscine de 745 m² comporte six couloirs de nage, une zone pour les non-nageurs et un espace dédié aux tout-petits. Les parois en acier inoxydable reflètent le soleil et contribuent au chauffage de l'eau, lequel peut être complété avec l'énergie des capteurs solaires.Le bureau d'architectes Lohaus Carl Köhlmos, en charge du projet, a choisi le bois Kebony pour créer plusieurs daybeds et de grandes zones de repos. Développée en Norvège, la technologie pionnière de traitement du bois Kebony consiste à chauffer des résineux d'origine durable avec de l'alcool furfurylique, un produit d'origine agricole, modifiant ainsi le bois pour qu'il acquière les mêmes propriétés que les bois durs tropicaux, avec une empreinte carbone réduite.Respectueux de l'environnement, le bois Kebony nécessite un entretien minimal. Il résiste à une utilisation intensive ainsi qu'aux intempéries et développe une élégante patine gris argenté avec le temps. Toutes ces qualités en ont fait le choix évident pour cet espace de loisir modernisé, environné de nature et susceptible d'accueillir toutes sortes de publics.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier. La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical.Les deux sites de production Kebony sont situés à Skien, au sud d'Oslo et à Anvers, en Belgique. La marque dispose de bureaux de vente régionaux en Europe ainsi qu'aux États-Unis.
Il y a 2 ans et 123 jours

La CAPEB et Knauf Insulation renouvellent leur partenariat

Ce renouvellement de partenariat, signé par Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, via sa filiale Béranger Développement, et Yann Ditsch, Directeur Général de KNAUF INSULATION, s’inscrit dans la continuité de l’ambition commune partagée par les deux partenaires depuis désormais plus de 10 ans.La CAPEB et KNAUF INSULATION souhaite ainsi continuer de proposer aux artisans du bâtiment des solutions produits, systèmes et services de rénovation globale, dans les domaines d’expertise de KNAUF INSULATION : l’aménagement intérieur et l’isolation thermique de l’enveloppe des bâtiments. Le partenariat vise à accompagner les évolutions des marchés, en particulier la réponse aux attentes de confort dans l’habitat, la gestion des déchets de chantiers, l’amélioration des conditions de travail sur chantier et la formation.Dans le cadre de ce partenariat renouvelé, l’entreprise s’engage à promouvoir la marque ECO Artisan, ECO Rénovation ainsi que les modules de formation FEE BAT. Elle proposera également des argumentaires ou des outils permettant aux entreprises de démontrer à leurs propres clients les bénéfices des solutions proposées. De son côté, la CAPEB informera, au travers du réseau de la CAPEB, les entreprises artisanales du bâtiment, à propos de l’offre de KNAUF INSULATION, spécialement adaptée aux rénovations énergétiques de qualité. Enfin, des actions en faveur de la prévention des risques professionnels seront développées par la CAPEB et KNAUF INSULATION, en collaboration avec l’Institut de Recherche et d’Innovation sur la Santé et la Sécurité au Travail (IRIS-ST). Ces actions se traduiront par la diffusion des « Mémos santé-sécurité » réalisés par l’Institut et par la promotion d’actions en faveur de la prévention et de la sécurité.Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, déclare : « Nous sommes heureux de continuer notre partenariat avec KNAUF INSULATION. La rénovation énergétique est un enjeu majeur pour les décennies à venir et l’isolation l’un de ses piliers. C’est également une fierté de poursuivre nos engagements auprès de nos adhérents sur des sujets comme la sécurité et la santé au travail. La cohérence porte ses fruits. » Yann Ditsch, Directeur Général de KNAUF INSULATION, indique : « En cette période charnière pour le secteur du bâtiment, il est plus que nécessaire de continuer à accompagner les artisans de la CAPEB en matière d’offre commerciale, technique et de formation sur les sujets de la rénovation énergétique. Grâce à ce partenariat, nous sommes fiers de continuer à jouer un rôle central en matière d’action de prévention des risques et de santé au travail. »
Il y a 2 ans et 124 jours

Hello Watt répond à la CDI Fnaim : comparer DPE et consommation a-t-il un sens ?

Pourquoi cette étude ?Dans sa mission de favoriser la transition énergétique des ménages, Hello Watt propose une application gratuite de suivi de sa consommation énergétique via les compteurs Linky pour l’électricité et Gazpar pour le gaz.Pour compléter son offre et suite à l’annonce des restrictions qui seraient appliquées aux passoires thermiques, Hello Watt a cherché à estimer le DPE des logements dont la consommation était connue.Cependant, contre toute attente l’équipe data a conclu que connaître la consommation d’un logement ne permettait pas d’estimer le DPE de façon fiable.Comment est calculé le DPE ?Suite à cette étude, de nombreux acteurs du diagnostic ont réagi avec plus ou moins de virulence, le principal reproche étant qu’on ne peut pas comparer directement DPE et consommation, car le DPE se fonde sur un usage standard du logement.La Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM) a publié un communiqué de presse en ce sens, et un article de diagnostiqueur-immobilier.fr rappelle à juste titre que le ministère de la transition énergétique indique : « cette estimation ne peut être comparée aux factures réelles des usagers ».Comme le résume bien l’article de infodiag en réaction à l'étude, dans le cadre du DPE-3CL 2021 qui est la méthode utilisée pour pour les diagnostics qu'y a étudié : « on s’intéresse uniquement aux performances du bâti et de ses équipements, peu importe qui occupe le bien. Qu’une personne vive dans son pavillon deux mois de l’année, ou qu’elle soit présente 365 jours /365, sept jours sur sept, 24h sur 24, peu importe, l’estimation reste la même. Le législateur en a voulu ainsi pour faciliter la comparaison entre les biens à l’achat ou la location. »Donc le DPE, même s’il est exprimé en kWh/an, ignore délibérément les facteurs pouvant influencer la consommation qui ne sont pas liés au bâtiment lui-même. Certains postes de dépense sont même totalement exclus comme la cuisine ou l’électroménager.Cela dégrade sa fiabilité en tant qu’indicateur de consommation, et en échange en fait un meilleur indicateur pour guider la rénovation des bâtiments.Alors comparer DPE et consommation a-t-il un sens?Suite à la publication de l’étude, certains acteurs se sont insurgés car comparer une consommation réelle et un DPE n’aurait aucun sens. Cependant, il s’agit là exactement de la méthode de « DPE sur facture » qui était utilisable jusqu’au 1er Juillet 2021.Alors certes la nouvelle méthode 3CL est censée être plus fiable et mieux représenter la qualité énergétique du bâtiment, mais Hello Watt défend qu’il est très pertinent de la comparer avec la consommation réelle aussi bien individuellement qu’en moyenne.Après tout, on rénove les logements dans le but de réduire leur consommation d’énergie avant tout plutôt que pour augmenter une note, et il y a d’autres moyens de réduire la consommation comme la sensibilisation des particuliers ou la mise en place d’outils de suivi de la consommation.À quoi s’attend-on en comparant DPE et consommation moyenne par classe ?Même si à l’échelle d’un unique logement les usages peuvent faire varier la consommation bien plus que l’efficacité énergétique du logement, en effectuant une moyenne sur un grand nombre de logements on s’attendrait à ce que ces variations s’annulent.Par exemple, la classe C regroupe les logements donc la consommation estimée (pour les usages pris en compte par le DPE) est entre 110 et 180 kWh/an/m² pour un usage standard.Si l’usage standard qui est pris en compte par la méthode 3CL est un comportement moyen réaliste, alors on s’attend à ce que la consommation moyenne d’un logement de classe C pour les usages pris en compte par le DPE soit d’environ 145 kWh, et on peut rajouter 50% pour les usages non pris en compte (électroménager, numérique… d’après l’ADEME, les usages pris en compte pour le DPE représentent en moyenne 66% de la consommation des logements) ce qui nous amène à 217 kWh/an.Pour la classe F on s’attend à une consommation moyenne de 375 kWh/an/m², soit 562 kWh/an/m² une fois tous les usages intégrés.Qu’observe-t-on en termes de consommation moyenne par classe DPE ?Dans l’étude présentée ici, 462 logements sont considérés, contre les 221 de l’étude initiale. En revanche, Hello Watt se limite aux classes C à F car les autres classes contiennent moins de 20 logements, ce qui pourrait fausser les moyennes.Hello Watt s’attendait à ce que les logements mieux classés en termes de DPE consomment moins, et c’est le cas, heureusement ! Le graphique ci-dessous montre que les logements mal notés consomment plus que les logements bien notés.En revanche, la tendance est finalement assez faible :Si on reprend les estimations d'Hello Watt, pour la classe C les 195 kWh/an/m² sont assez proches des 217 estimés.Par contre pour la classe F Hello Watt s’attendait à avoir une consommation de 562 kWh/an/m², et on en est très loin puisque les logements F ne consomment que 256 kWh/an/m² en moyenne.C’est encore plus flagrant si on considère la médiane :La moitié des logements classés C consomme plus de 195 kWh/an/m², et l’autre moitié moins.Et pour les logements labellisés F, la moitié consomme plus de 219 kWh/an/m² et la moitié moins.Autrement dit, presque la moitié des logements F consomment moins que la moitié des logements C !Que signifie cette différence importante entre moyenne et médiane pour la classe F ? La consommation moyenne de cette classe est tirée vers le haut par quelques rares logements très énergivores, mais la plupart des logements de cette classe a une consommation comparable aux logements des autres classes, ce que reflète la médiane.On voit que (dans les classes les plus courantes C à F) même en moyenne, les logements avec un DPE plus élevé ne consomment pas beaucoup plus que les logements avec un DPE plus faible.Pourquoi les logements moins bien notés ne consomment pas beaucoup plus ?Comme dit dans l’étude originale, une possibilité serait que le DPE soit mal conçu ou mal appliqué. Une autre hypothèse serait que les usages varient de façon à contrer l’impact de la performance énergétique du logement.Kézaco ? Par exemple, peut-être que les logements F ne consomment pas plus que les logements C parce qu’ils sacrifient leur confort pour chauffer moins. On rejoint là l’idée de précarité énergétique.Une autre formulation de cette dépendance entre isolation et usages est l’effet rebond, qui part du constat qu'après des travaux de rénovation, le confort augmente mais la consommation ne diminue pas autant qu’espéré.On voit donc que ces résultats ne sont pas nécessairement en contradiction avec l’intérêt des DPE ! Le DPE est un indicateur de la performance énergétique du logement, qui a un impact sur la consommation mais également sur le confort des habitants.Qu’observe-t-on en termes de dispersion ?En statistiques, on distingue les indicateurs de tendance centrale, comme la moyenne ou la médiane, et les indicateurs de dispersion comme la variance, l’écart-type ou l’écart interquartile.Là où les indicateurs de tendance centrale lissent les disparités pour indiquer des tendances, les indicateurs de dispersion permettent de quantifier la proximité des mesures.Le graphique suivant donne, pour chaque classe DPE, la consommation médiane mais aussi les premiers et troisièmes quartiles, et les 5ème et 95ème percentiles.On voit immédiatement que la différence de médiane entre les classes est insignifiante par rapport à la très grande variance au sein d’une même classe. Une explication possible est que les habitudes de consommation d’une personne à l’autre sont tellement grandes que finalement le DPE n’a que peu d’influence sur la consommation.On voit également que plus la classe DPE est mauvaise, plus l’incertitude est grande.Que peut-on dire à une personne qui aurait un DPE C ? On peut lui dire qu’elle a une chance sur deux que sa consommation soit comprise entre 137 et 234 kWh/an/m².Mais que dire à une personne qui aurait un DPE F ? Elle a une chance sur deux que sa consommation soit entre 107 et 387 kWh/an, ce qui est une fourchette énorme, et il reste tout de même une chance sur deux qu’elle soit hors de la fourchette !Autrement dit, un quart des logements F consomment moins de 107 kWh/an/m², ce qui est le seuil entre les classes B et C !Faut-il modifier le DPE pour qu’il reflète mieux la consommation ?On a établi la pertinence de comparer DPE et consommation, et on a établi que le DPE était un mauvais prédicteur de la consommation, aussi bien de façon absolue (le DPE est souvent éloigné de la consommation) qu’en moyenne (les logements mal classés ne consomment pas beaucoup plus que les logements bien classés).Quelles conclusions en tirer ? Jusqu’en 2021, Les DPE pouvaient utiliser la méthode sur facture qui par définition correspondait exactement à la consommation. Quelles seraient les conséquences d’un retour à la méthode sur facture ?Une des principales variables qui n’est pas prise en compte par le DPE est l’intermittence : une résidence secondaire mal isolée (par exemple un chalet de montagne) aura une consommation moyenne basse donc un très bon DPE sur facture, mais un mauvais DPE 3CL. Si on se fonde sur les DPE pour prioriser les rénovations énergétiques, cela signifie :En se basant sur le DPE 3CL, on rénove en priorité les logements mal isolés, peu importe qu’ils soient utilisés de façon saisonnière ou non.En se basant sur la consommation ou un DPE sur facture, on rénove en priorité les logements qui consomment le plus.Le choix entre ces alternatives est politique par nature, et il n’est présenté ici que de manière simplifiée et comme une expérience de pensée. Notamment le DPE est certes utilisé dans plusieurs domaines et notamment l’identification des passoires thermiques, mais les travaux de rénovation sont précédés d’un audit énergétique qui obéit à des règles différentes et est beaucoup plus précis.De nombreuses autres variables entrent en compte comme le confort des occupants, les possibilités de fraude, la qualité des DPE 3CL, les autres usages résidentiels de l’énergie comme le chauffage des piscines ou le rechargement des véhicules électriques.En conclusionHello Watt, par sa position, a la chance d’avoir accès simultanément aux données de consommation et DPE pour un grand nombre de logements, mais leur jeu de données peut comporter des biais difficiles à quantifier. Comme relevé par Libération, leur échantillon n’est pas représentatif de la population, par exemple il se compose uniquement de logements ayant réalisé un DPE récemment, et on peut supposer que les utilisateurs de l’application Hello Watt sont plus soucieux de leur consommation énergétique. Cette base de données contient peut-être également moins de résidences secondaires qu’attendu, ce qui pourrait biaiser les résultats.Même en supposant que cet échantillon n’est pas biaisé, le lien entre performance du logement et consommation est complexe, donc beaucoup de phénomènes pourraient expliquer la disparité entre DPE et consommation, aussi bien pour les logements individuels qu’en moyenne.Divers acteurs analysent chaque composante de cette chaîne, des propriétés des matériaux isolants à l’influence des rénovations sur le comportement (effet rebond) en passant par la répétabilité des diagnostics.Il est dans l’intérêt de notre planète et dans notre intérêt à tous, Hello Watt, particuliers, diagnostiqueurs et pouvoirs publics d’agir sur les variables qui sont à notre portée :Améliorer l’information aux usagers sur leur consommation réelle et futureInciter à améliorer le confort des logements et réduire leur consommationMaximiser la fiabilité des diagnosticsLutter contre la précarité énergétique
Il y a 2 ans et 124 jours

L’association des IFRB devient Batys Compétences

Le changement de nom s’accompagne d’un nouveau logo et d’un nouveau site Internet [©Batys Compétences] Depuis le 1er janvier 2023, l’association des Instituts de formation et de recherche du bâtiment (IFRB) est devenue Batys Compétences. Ce changement de nom s’accompagne d’un nouveau logo et d’un nouveau site Internet. Créée en 1960 sous l’égide de la FFB, cette association a vocation d’accompagner les chefs d’entreprise dans le développement des compétences de leurs entreprises. Un réseau de formation sur tout le territoire Désormais, Batys Compétences représente un réseau national de 20 organismes de formation de qualité, certifiés Qualiopi. Il s’agit pour lui d’amplifier une nouvelle offre de services et de produits. Ceci, pour répondre aux besoins de formation de tous les professionnels du bâtiment. De la formation réglementaire à la performance énergétique, en passant par le lean management1, les différents centres de formation accompagnent les artisans et entrepreneurs pour développer leurs compétences et celles de leurs collaborateurs. Lire aussi : FFB : Coup de froid sur le logement neuf « Batys Compétences, c’est ajouter la force d’un réseau à la compétence de nos IFRB. Partenaire majeur de la profession, le réseau Batys Compétences accompagne les professionnels pour atteindre leurs objectifs, booster le développement de leurs compétences et celles de leurs collaborateurs. Et ainsi maîtriser les évolutions de nos métiers en lien avec les marchés et ceux à venir », explique Philippe Piantoni, chef de file des IFRB au sein de la FFB. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux ! 1Le lean management est une méthode de gestion et d’organisation du travail qui vise à améliorer les performances d’une entreprise.
Il y a 2 ans et 124 jours

iBAT et Finalcad signent un partenariat stratégique pour améliorer le suivi du budget et des délais sur les chantiers

Une solution de digitalisation unique adaptée aux spécificités du secteur du BTP pour gagner du temps et optimiser le suivi des chantiersEn associant leur expertise respective, les deux éditeurs SaaS proposent aux secteurs du Bâtiment, de l’Énergie et des Infrastructures, une solution unique permettant de tirer le meilleur parti des feuilles de temps saisies sur le terrain pour contribuer à l’amélioration du suivi Qualité, Sécurité et Environnement des projets de construction.Les aléas et les points bloquants sont nombreux sur les chantiers et les demandes de travaux supplémentaires sont de plus en plus fréquentes. Avec Finalcad One, les professionnels du BTP disposent, à chaque étape de leurs travaux, d'une solution simple, ergonomique et opérationnelle pour suivre l'avancement de leur chantier, depuis un PC ou un terminal mobile, et faire face le plus efficacement possible aux aléas et aux imprévus.Une autre difficulté consiste à optimiser la planification des équipes et à réaliser le pointage des compagnons pour obtenir à la fois les éléments variables de paie et le bilan main d'œuvre du projet. Grâce à IBAT TEMPS, l’application de planification, pointage et gestion des équipes travaux proposée par IBAT, les conducteurs de travaux et chefs de chantier peuvent mieux maîtriser la planification des équipes, valider simplement le pointage des heures effectuées par poste et par chantier, et obtenir en temps réel le bilan main d’œuvre à jour. L’outil leur permet ainsi d’identifier en temps réel les dérives éventuelles sur les heures effectuées par rapport aux heures budgétisées. La solution IBAT TEMPS permet également d’obtenir les éléments variables de paie et de les rendre disponibles pour le service paie, voire de les intégrer directement dans le SI PAIE du Client.L'association des solutions des deux éditeurs, construites et enrichies en tenant compte du retour des utilisateurs, permettra d’être mieux adaptées aux spécificités du secteur du BTP, d’éviter la double administration des plateformes et des nombreuses ressaisies d’information et surtout de faire un pas de plus vers la digitalisation des processus chantier dans une optique « zéro papier ».Pour Pascal Laïk, CEO de Finalcad : « Sur les chantiers de nos clients, les feuilles d’heures papier ou Excel sont encore trop fréquemment utilisées. Elles font perdre énormément de temps, sont sources d'erreurs et d'imprécisions, voire de tensions. Nous avions donc vraiment à cœur d'aider nos clients sur le sujet en leur proposant une expérience digitale similaire à celle qu'ils connaissent déjà avec les solutions de Finalcad avec comme maître-mots facilité, flexibilité et gain de temps. En nous associant avec IBAT, nous permettons à nos clients de faciliter leurs relevés d'heures et de mieux maîtriser la productivité de leurs chantiers. Nous nous réjouissons de ce nouveau partenariat et des perspectives qu'il offre à nos clients et à nos deux entreprises. »Pour Mélanie Lehoux, fondatrice et CEO de IBAT : « Lorsque j’étais conductrice de travaux, je passais énormément de temps sur excel à piloter le bon avancement de mon chantier et mon bilan main d’oeuvre, plutôt que d’être sur le chantier avec mes équipes afin d’améliorer la sécurité, la qualité des travaux et d’assurer la satisfaction de mon client. Je rêvais d’une solution de digitalisation me permettant de gagner du temps. L’alliance de FINALCAD ONE et d’IBAT TEMPS permet d’offrir aux managers du chantier des fonctionnalités simples et intuitives leur faisant non seulement gagner en temps, mais aussi en sérénité. »
Il y a 2 ans et 124 jours

GEGGUS Fabricant depuis plus de 75 ans de Tapis d’entrée Prémium

Le made in Germany est LE gage de qualité par excellence de nos tapis grand trafic Premium. Constitués de profilés… Cet article GEGGUS Fabricant depuis plus de 75 ans de Tapis d’entrée Prémium est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 2 ans et 125 jours

La Thermoprédalle BA 0,45, pour une performance thermique en ITI optimale

Une solution adaptée La Thermoprédalle BA 0,45 est une solution éprouvée de plancher préfabriqué à rupteurs thermiques intégrés pour le traitement homogène et complet des ponts thermiques de la périphérie du bâtiment.Certifiée par un Avis Technique, elle garantit la performance thermique de tous les logements collectifs et bâtiments tertiaires tout en minimisant leur empreinte carbone, et ce pour toutes les zones sismiques de France métropolitaine.Un impact carbone réduitGrâce aux planchers Thermoprédalle BA 0,45 Rsoft bas carbone *, le bâtiment étudié et composé de logements R+3, d’une toiture-terrasse, de murs en béton, d’un doublage PSE de 120 mm ainsi qu’un traitement complet par Thermoprédalle BA 0,45 Rsoft en L9 avec balcons compris ; voit l’ensemble de son impact carbone (Ic Construction) réduit de près de 9% par rapport à la version en béton standard.Cette construction atteint d’ores et déjà le seuil carbone 2025 et répond à la RE2020.Le recours aux planchers de la gamme Rsoft offre une réduction carbone pouvant aller jusqu’à 40% comparativement à un plancher à prédalles classiques. De plus, en traitant l’ensemble des ponts thermiques périphériques à tous les niveaux de plancher, la Thermoprédalle BA 0,45 contribue à la réduction des consommations d’énergie et des émissions de carbone tout en améliorant la qualité de l’air intérieur des bâtiments.Elle dispose d’une FDES individuelle pour sa gamme de rupteurs thermiques créditée à 11,30 kg éq. CO2/ml.Une configuration conforme aux spécificités de votre chantierLa Thermoprédalle BA 0,45 s’adapte à toutes les configurations de bâtiment, avec ou sans balcon et ce quel que soit le sens de portée. Ce procédé exclusif associe des rupteurs thermiques discontinus et traversant sur la hauteur de la dalle à des nervures en béton armé munies de paniers d’armatures assurant le transfert des efforts verticaux et horizontaux. La Thermoprédalle BA 0,45 offre la possibilité de traiter les ponts thermiques des balcons en zone courante et d’angle. Les paniers d’armatures, qui assurent la résistance de la structure et facilitent la liaison plancher/balcon sont directement intégrés en usine. Les armatures des nervures sont spécifiquement dimensionnées pour les balcons.Ainsi, avec un traitement complet et homogène des ponts thermiques de tous les niveaux de planchers, des balcons et y compris d’angle, vous favorisez la réduction des consommations d’énergie tout en optimisant le Bbio du bâtiment.Une mise en œuvre aussi simple qu’une prédalle classiqueSérénité de pose et efficience sont garanties sur le chantier grâce à l’intégration des pains isolants et des paniers d’armatures en usine. Aucune manipulation des rupteurs n’est nécessaire sur le chantier : conformité au cahier des charges, coût et planning maîtrisés.* avec dalle de compression CEMIII