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Il y a 4 ans et 140 jours

Le gouvernement met en consultation le décret visant à interdire l'installation de nouvelles chaudières au fioul

Cette interdiction avait été décidée en Conseil de Défense écologique le 27 juillet dernier, faisant suite à une proposition de la Convention citoyenne pour le climat. Elle s'inscrit dans la stratégie visant, conformément à la programmation pluriannuelle de l'énergie, à sortir l'ensemble des bâtiments et des logements du chauffage au fioul d'ici 2028. En effet, le fioul est l'énergie de chauffage la plus polluante, elle est coûteuse pour les ménages qui l'utilisent et contribue donc à la précarité énergétique, et elle pèse négativement sur la balance commerciale du pays.Plus précisément, la mesure d'interdiction concernera les systèmes de chauffage utilisant à titre principal un combustible dont les émissions de CO² sont supérieures au seuil de 250 gCO²eq / kWh PCI, visant non seulement les chaudières fonctionnant au fioul mais aussi celles fonctionnant au charbon. Son entrée en vigueur est prévue au 1er juillet 2021 pour les bâtiments neufs et au 1er janvier 2022 pour les bâtiments existants. Elle concernera à la fois les bâtiments à usage d'habitation et les bâtiments à usage professionnel. Une dérogation sera prévue en cas d'impossibilité technique manifeste, par exemple si les contraintes d'encombrement ou les limites de propriété du bâtiment empêchent l'installation d'un système alternatif ou lorsque les réseaux existants (chauffage urbain, gaz ou électricité) ne permettent pas d'accueillir un autre type de chauffage. Par ailleurs, il restera possible d'entretenir et de réparer une chaudière au fioul existante, l'interdiction ne visant que l'installation de chaudières fioul neuves.En parallèle de cette mesure, le Gouvernement continuera à communiquer sur les alternatives au chauffage au fioul et sur les aides financières importantes mises en place ces dernières années pour inciter les propriétaires à remplacer les chaudières fioul et ne laisser personne sans solution.En remplacement du fioul, des solutions existent, plus écologiques et souvent moins coûteuses à l'usage, même en cas d'impossibilité de raccordement à un réseau de chaleur ou au gaz, notamment les pompes à chaleur (classiques, géothermiques ou même hybrides qui fonctionnent avec un appoint de fioul ou de gaz en cas de grand froid) ou encore les chaudières biomasse à granulés.Pour l'installation des différents équipements en remplacement d'une vieille chaudière au fioul, les propriétaires (particuliers et professionnels) peuvent bénéficier d'aides importantes, du « Coup de pouce chauffage » des certificats d'économies d'énergie (logements et bâtiments tertiaires), mais aussi, pour les particuliers, de MaPrimeRénov'. Par exemple, pour un ménage modeste, l'aide pour l'installation d'une pompe à chaleur coûtant de 12 000€ peut atteindre plus de 8 000€, rendant le coût d'acquisition inférieur à celui d'une chaudière fioul neuve.Le ministère de la Transition écologique a publié un document de communication à destination du grand public récapitulant ces informations.
Il y a 4 ans et 140 jours

Guerre des isolants minces : l'Autorité de la concurrence prononce un non-lieu

Saisie par le ministre de l’Economie et Actis de pratiques mises en œuvre dans le secteur de l’isolation thermique des bâtiments par le CSTB, Isover et le Syndicat National des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées (Filmm), l’Autorité considère que les pratiques d’échange d’informations et d’entente ne sont pas établies.
Il y a 4 ans et 140 jours

Engouement pour le prochain ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO

Le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO se tiendra du 21 au 24 septembre à Paris Porte de Versailles. Premier salon de la reprise pour le secteur, il est plus que jamais un rendez-vous incontournable pour les acteurs de la filière qui sont déjà 121 à s’être inscrits, dont 15 nouveaux exposants. Cette mobilisation traduit à la fois leurs attentes de se retrouver pour un événement convivial et leur souhait de montrer leur dynamisme et leur optimisme après une année 2020 difficile. Cette édition, inscrite sous la thématique de « La révolution positive du digitale » s’annonce donc comme la traduction concrète de l’innovation portée par les exposants à tous les niveaux. Depuis novembre 2020, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL est en ligne. Cette plateforme d’information et d’échanges est destinée à tous les professionnels de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie. Enrichie chaque mois grâce à la contribution des exposants, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL a pour ambition de partager les savoir-faire et de contribuer à l’appropriation et à la diffusion des innovations.
Il y a 4 ans et 141 jours

Des économistes proposent une refonte complète de la gouvernance de l'assurance-chômage

Alors que le gouvernement consulte actuellement les partenaires sociaux sur l'adaptation de sa réforme de 2019 à la crise, le CAE, instance qui conseille le Premier ministre, se projette au-delà et traite, dans cette note publiée mardi, de la gouvernance du système qui doit elle aussi en principe faire l'objet d'une discussion en 2021.Dans la ligne de mire des économistes Pierre Cahuc, Stéphane Carcillo et Camille Landais, la singularité de la France, "seul pays dont les règles de l'assurance chômage sont en principe fixées par les partenaires sociaux" au sein de l'Unédic.En principe seulement, car depuis 2018, c'est l'exécutif qui "a la main" par la lettre de cadrage de négociations imposée aux partenaires sociaux "qui n'ont plus qu'un rôle de façade", a souligné M. Cahuc lors d'une conférence de presse, comme l'a prouvé la réforme de 2019 adoptée par décret après l'échec d'une négociation très contrainte.Cette organisation spécifique de l'assurance-chômage "est inefficace, car elle ne permet pas de véritable coordination entre les paramètres de l'assurance-chômage et l'ensemble des prestations sociales, des prélèvements obligatoires et des politiques d'emploi" décidés par l'État.En outre, elle "ne permet pas de faire participer toutes les parties prenantes à une évolution de la couverture et du financement de l'assurance-chômage susceptible d'intégrer un ensemble plus large de professions et de secteurs", jugent-ils.Aussi suggèrent-ils la création d'un "Conseil de négociation", composé de représentants des salariés, des employeurs mais aussi des travailleurs indépendants et de l'État, qui serait chargé "d'élaborer les paramètres de l'assurance-chômage et l'organisation de l'accompagnement des demandeurs d'emploi".Se défendant de proposer une étatisation, ils estiment que le pouvoir au sein de ce conseil "pourrait être partagé de manière équilibrée grâce à des règles de décision reposant sur des votes".Ce conseil s'appuierait sur les travaux d'un Haut Conseil de l'assurance-chômage (HCA) qui, sur le modèle du Conseil d'orientation des retraites, serait chargé de "faire émerger une expertise partagée" sur les conséquences des paramètres de l'indemnisation et l'efficacité des mesures d'accompagnement des demandeurs d'emploi.En dépit des travaux de l'Unedic, M. Cahuc regrette "un manque d'information sur les effets des règles d'assurance chômage sur les comportements et trajectoires des individus".Par ailleurs, selon M. Carcillo, l'expertise de l'Unédic "ne fait pas consensus" au sein de l'État et "cela crée un problème de confiance", comme lors d'une polémique en 2019 entre le ministère du Travail et l'Unédic autour d'une note de Pôle emploi affirmant que certains demandeurs d'emploi, alternant contrats courts et chômage, pouvaient toucher plus que leur salaire moyen antérieur.Le Conseil de négociation élaborerait des propositions, débattues au Parlement dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale "afin d'assurer la cohérence de l'ensemble du système socio-fiscal".
Il y a 4 ans et 141 jours

L'Olympique Lyonnais va devenir producteur d'électricité "verte"

Ces installations, dont la surface cumulée équivaudra à celle de sept terrains de football, offriront une capacité de production de 10 mégawatts, correspondant à la consommation annuelle de 2.500 foyers, selon un communiqué publié vendredi par OL Groupe et ses partenaires Engie et Reservoir Sun."Dès la construction du stade, nous souhaitions privilégier les énergies propres et durables", a souligné le président d'OL Groupe Jean-Michel Aulas, en soulignant le "devoir d'exemplarité" en la matière de son entreprise.Le projet prévoit la couverture des parkings du Groupama Stadium par des ombrières solaires et l'installation de panneaux photovoltaïques sur le centre d'entraînement de l'OL, sur sa future "arena" ainsi que sur le prochain centre de formation de tennis poussé par Jo-Wilfried Tsonga et Thierry Ascione.
Il y a 4 ans et 141 jours

Le cabinet anglais Populous retenu pour la rénovation du stade de la Meinau à Strasbourg

"Populous est un cabinet anglais, c'est un acteur majeur connu dans le monde entier pour la réalisation de ses stades", a souligné l'ancien international français. "Nous sommes très fiers que la Meinau s'ajoute à ses réalisations. Elle va entrer dans une ère nouvelle mais elle restera la Meinau, un stade avec l'ambiance que vous connaissez. Le stade de demain avec l'ambiance d'aujourd'hui."Populous a notamment oeuvré sur les stades de Tottenham, d'Arsenal (Emirates Stadium), de Fulham, de Manchester City (Etihad Stadium) et a rénové Wembley. Il a également construit le Groupama Stadium de Lyon.Cette rénovation et extension de l'emblématique enceinte strasbourgeoise coûtera 100 millions d'euros, financés par l'Eurométropole (50 M EUR), la région (25 M EUR), la ville (12,5 M EUR) et le département (12,5 M EUR).Le club a pour sa part dépensé 10 M EUR pour d'importants travaux sur le centre d'entraînement de l'équipe professionnelle, et 15 M EUR pour son centre de formation.Fuselage d'Airbus A340Le Racing avait reçu 45 candidatures et cinq cabinets d'architectes avaient été retenus en début d'année passée comme finalistes. Populous a été choisi par un jury regroupant des membres du club et des collectivités.La maire de Strasbourg Jeanne Barseghian (EELV) a insisté sur la qualité du projet retenu, "sobre, exemplaire, dont nous pourrons collectivement être fiers".L'élue écologiste a souligné "l'exemplarité en matière environnementale" du projet, qui comprend "près de 1.000 m2 de panneaux solaires, le captage des eaux de pluie et la récupération des matériaux pour habiller la façade".L'un des architectes a ainsi précisé que parmi les matériaux de récupération, des morceaux de fuselage d'Airbus A340 seront utilisés en guise de "brise-soleil" sur la façade sud.François Clément, du cabinet Populous, a lui insisté sur la future proximité des spectateurs avec la pelouse, "à l'anglaise", et sur la fan zone, qui sera "une véritable place de village, avec des structures en bois et des espaces végétalisés".Pour le président de la région Grand Est, Jean Rottner (LR), cette annonce est "un signe économique fort". "On aurait pu se poser la question de savoir s'il fallait poursuivre ce projet, vu les circonstances, mais nous avons fait le choix de continuer, c'est important, cela montre qu'on a confiance"."Le Racing est l'ADN de l'Alsace", a-t-il poursuivi, notant qu'avec l'ambiance de la Meinau, la fan zone deviendra "la plus grande winstub (taverne alsacienne, ndlr) du monde: on y vient avant le match, on y reste après le match, c'est toute la convivialité de l'Alsace".La présidente de l'Eurométropole Pia Imbs (sans étiquette mais proche des écologistes) a quant à elle noté qu'elle veillerait "à ce qu'il n'y ait pas de dérapages budgétaires ou dans les délais de livraison".Les travaux doivent commencer mi-2022 pour une livraison de la nouvelle enceinte à l'été 2025.
Il y a 4 ans et 142 jours

Équipbaie-Métalexpo, une édition 2021 sous les meilleurs auspices

Ces entreprises, dont de nombreux leaders de la filière, expriment ainsi toute leur confiance et leur mobilisation pour faire de ce rendez-vous un moment unique et marquant.Des exposants qui répondent présentsLe salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO se tiendra du 21 au 24 septembre à Paris Porte de Versailles. Premier salon de la reprise pour le secteur, il est plus que jamais un rendez-vous incontournable pour les acteurs de la filière qui répondent d'ores et déjà présents. Cette mobilisation traduit à la fois leurs attentes de se retrouver pour un événement convivial et leur souhait de montrer leur dynamisme et leur optimisme après une année 2020 difficile. Cette édition, inscrite sous la thématique de « La révolution positive du digitale » s'annonce donc comme la traduction concrète de l'innovation portée par les exposants à tous les niveaux.Ils participent à l'édition 2021 d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPODe nombreux leaders sont inscrits et de nouveaux exposants font leur entrée pour cette édition 2021 :Menuiserie (48 exposants) : ATLANTEM, ATULAM, CAIB, CONCEPT ALU, DECEUNINCK, DRUTEX SA, ELCIA, FENETREA, France FERMETURE, GROUPE STELLA, K•LINE, LOREBAT, LOUINEAU, MEO, MILLET, OXXO, PASQUET MENUISERIES, PIERRET PORTES ET FENETRES, PROFILS SYSTEMES, QFORT, REHAU, ROMA, SFS, SOKO Vérandas & Pergolas, SWAO, TIR TECHNOLOGIES, VEKA, VERANDA …Nouveaux exposants : EXTOL, GROUPE OUVEO, LECHLER TECH.Fermetures (24 exposants) : ARMBLOCK, FAME, GROUPE MAINE, HORIZAL, ZILTEN …Nouveaux exposants : BEL'M, DOSTEBA GMBH, GENEFY ALUMINIUM CO LTD, WINLOCK.Smart Home, Smart Building et Digital (14 exposants) : DOOYA CO LTD, NICE, SOMFY…Nouveaux exposants : A-OK FRANCE, IDD-PARTSProtection solaire (14 exposants) : BRUSTOR, MARQUISES, SCREENLINE/DIVISION OF PELLINI SPA, VERANDA RIDEAU…Nouveaux exposants : BIOSSUN, LA VIUDA, WAREMA REINKHOFF SE.Services, équipements & organismes (5 exposants) : HERCULEPRO, OPTIMA SYSTEM…Nouveaux exposants : GROUPE POUEY INTERNATIONALMachines & outillage (12 exposants) : ELUMATEC, LOM, BEWAP, MECAL MACHINERY…Nouveaux exposants : MZR, ROTOX France.METALEXPO (4 exposants) : ETANCO, MEDIA SOFT-METALCAD, S.A.S BUGAL, WÜRTH FRANCE.En attendant le salon…Depuis le 17 novembre, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL est en ligne. Cette plateforme d'information et d'échanges est destinée à tous les professionnels de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie.Enrichie chaque mois grâce à la contribution des exposants, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL a pour ambition de partager les savoir-faire et de contribuer à l'appropriation et à la diffusion des innovations.Depuis son lancement, ce sont déjà 15 industriels qui se sont investis : AOK France, ATULAM, BEL'M, BOSCH France, CAIB, ELCIA, FRANCE FERMETURES, HERCULEPRO, K•LINE, GROUPE LORILLARD, MEO France, MILLET PORTES ET FENÊTRES, NICE France,SOMFY, ZILTEN. Les tables rondes ont de leur côté mobilisé les 5 partenaires d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO (Groupement ACTIBAIE, SNFA, UFME, UM, UMB et Union de la Métallerie) ainsi que Serrurerie PASME2, CADIOU, Menuiserie FRAME, Bâtiment CFA 35 et METAFER. Côté visiteurs, plus de 450 inscrits se sont connectés aux différents outils mis à leur disposition.ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021 à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1
Il y a 4 ans et 142 jours

Mise à jour du document d'information pour les travailleurs détachés

RÉGLEMENTATION. Dans un arrêté publié au Journal officiel de ce 12 janvier 2021, le ministère du Travail actualise le document d'information remis aux travailleurs détachés du BTP. Les employeurs ont l'obligation de le télécharger sur le site Internet de l'Union des caisses de France.
Il y a 4 ans et 142 jours

Les aides à l'embauche d'apprentis seront payées d'ici au 5 février, déclare Borne

Au 2 janvier, l'Agence de services et de paiement (ASP) de l'Etat a reçu 350.000 demandes d'aide au recrutement - décidées cet été dans le plan +un jeune, une solution+ (5.000 euros pour un apprenti mineur, 8.000 pour un majeur) - dont "250.000 ont été validées et 105.000 payées", a précisé Mme Borne.Mais, "près de 57.000 dossiers validés sont aujourd'hui en attente d'un RIB et ne peuvent donc pas être payés", a-t-elle expliqué.Il y a donc un stock d'environ 90.000 dossiers validés et complets mais non payés (les 100.000 dossiers non validés étant encore en cours d'examen pour la plupart)."On a recruté 200 personnes de plus à l'ASP depuis la mi-novembre pour rattraper le retard d'ici à la fin de la première semaine de février", a-t-elle expliqué.Cela est notamment dû "au succès plus fort qu'envisagé de cette prime", a-t-elle ajouté, soulignant qu'en outre 250.000 des 350.000 demandes d'aides ont été déposées depuis la mi-novembre, donc sur "un rythme en accélération"."J'ai donné instruction à l'ASP de payer en priorité les TPE/PME, plus sensibles à la trésorerie", a-t-elle ajouté.Dans Le Parisien lundi, la CPME a jugé ce retard "fort dommageable" vu la situation financière des petites entreprises.Pour les entreprises de plus de 250 salariés, l'aide n'est réservée qu'aux entreprises ayant 5% de leurs effectifs en contrats d'apprentissage en 2021, ou en ayant au moins 3% avec une hausse de plus de 10% cette année.Alors que la crise faisait craindre une chute de l'apprentissage, la prime a soutenu les embauches: 440.000 contrats ont été signés mi-décembre, contre 353.000 en 2019 (368.000 en incluant le public).Par ailleurs, pour les aides à l'embauche d'un jeune de moins de 26 ans avec un contrat d'au moins trois mois, l'ASP a reçu 230.000 dossiers mais seulement 50.000 ont été validés et 6.000 payés."Beaucoup de dossiers n'étaient pas éligibles", a expliqué Mme Borne, que ce soit sur la date d'embauche (à partir du 1er août), la durée minimale du contrat, etc. En outre, le paiement (1.000 euros chaque trimestre du contrat pendant un an) n'intervient qu'à l'échéance du trimestre.L'aide à l'embauche de jeunes, qui devait s'arrêter fin janvier, a été prolongée jusque fin mars tout comme l'aide à l'apprentissage. Elle pourrait l'être plus longuement en fonction de l'évolution de la crise.Le ministère du Travail a également annoncé lundi le lancement d'une campagne de communication à destination des jeunes et des entreprises autour de sa plateforme "1jeune1solution.gouv.fr", qui recense les différents dispositifs d'emploi, de formation ou d'accompagnement.Selon le ministère, 60.000 offres d'emploi et d'alternance et 8.000 missions de service civique sont actuellement disponibles sur le site. Et 3.000 jeunes ont été rappelés par leur mission locale depuis le lancement de cette plateforme fin novembre.
Il y a 4 ans et 142 jours

Les baignoires Bette sont maintenant disponibles en noir mat

Dans les domaines de la mode, de la photographie et de l'architecture, le noir monochrome est souvent utilisé de manière ciblée comme une expression esthétique de style. Le noir accentue la structure et la silhouette, mais crée également une limpidité avec une touche dramatique. Ce même effet s'applique aussi à l'architecture de la salle de bains. Les tendances actuelles mettent en scène des éléments noir mat, comme des robinetteries, des vasques, des toilettes, ou encore des salles de bains entières. Bette propose désormais une variante de sa baignoire « Silhouette » avec ce coloris.La mention « Silhouette » regroupe différentes variantes de baignoires en îlot, encastrées ou en angle des gammes BetteLux et BetteStarlet. Avec leur corps sobre en acier titane vitrifié et les larges surfaces immaculées de leur tablier, ces baignoires renvoient un aspect graphique dans le concept global de la salle de bain. La surface noir mat, baptisée « Ebony », sublime davantage leur expressivité. Les baignoires revêtent ainsi un caractère monolithique, presque mystique.Mise en scène du noir mat dans la salle de bainsLe noir ne peut pas vraiment être qualifié de couleur. Le noir, c'est l'absence de lumière. L'œil perçoit seulement son reflet. En principe, il n'existe que deux possibilités pour mettre en scène une baignoire « Silhouette » en noir mat : soit au sein d'un ensemble ton sur ton, soit dans une ambiance scénographique noir et blanc. Dans une salle de bains aux tons noirs, les divers éléments s'effacent au profit de l'architecture intérieure et d'une structuration claire. La baignoire noir mat s'intègre alors dans le rendu général. En revanche, si elle est mise en scène dans une ambiance blanche, cette impression s'inverse : la salle de bains devient un théâtre, dont la baignoire en est l'acteur.Les multiples avantages de l'acier titane vitrifié s'expriment pleinement en noir mat. Ce matériau robuste pardonne les légères inattentions, comme une bougie qui coulerait accidentellement sur le rebord de la baignoire. Sa surface, dure comme du verre et exempte de porosité, ne laisse pas s'accrocher les bactéries et la saleté. Au quotidien, elle se révèle donc facile à nettoyer et à entretenir. Comme la vitrification résiste aux UV, Bette garantit l'élégance et la brillance de ce coloris noir mat au fil du temps.À propos de BetteBette est le spécialiste des éléments de salles de bains en acier titane vitrifié : baignoires, receveurs ultra-plats, receveurs de douche et vasques. L'entreprise familiale a été fondée en 1952 à Delbrück en Westphalie, et s'est spécialisée exclusivement dans les processus de transformation de l'acier et de l'émaillage. Le gérant est Thilo C. Pahl. Aujourd'hui, 385 collaborateurs sont employés au siège administratif et site de production à Delbrück. C'est exclusivement ici, et made in Germany, que plus de 600 modèles différents de baignoires, de receveurs et de vasques sont fabriqués, avec un choix de couleurs possibles pour les surfaces.La production Bette combine la haute technologie industrielle avec un travail artisanal sur mesure. Aujourd'hui, plus de la moitié des produits sont personnalisés selon les souhaits des clients. Les matières premières naturelles que sont le verre, l'eau et l'acier deviennent des produits haut de gamme que Bette propose dans une grande variété de formes, dimensions, sur mesure, avec des rebords relevés pour une pose sans silicone et dans des centaines de couleurs. La surface vitrifiée nommée BetteGlasur est synonyme d'une longue durée de vie et garantie 30 ans. L'ensemble de la gamme Bette est contrôlé conformément à la Déclaration Environnementale Produit (EPD) spécifique aux matériaux et à la gamme, selon la norme ISO14025. Les produits de salle de bains en acier titane vitrifié sont constitués des matières premières naturelles et intégralement recyclables.
Il y a 4 ans et 142 jours

Portrait de Julien Brisebourg, référent bois et biosourcés chez Bouygues Immobilier

Dans la série Les mousquetaires de l’ingénierie bois, voici Julien Brisebourg, 38 ans, charpentier de formation : il a rejoint le promoteur Bouygues Immobilier lors des travaux de l’immeuble Enjoy Green Office à Paris.
Il y a 4 ans et 142 jours

Bilan du colloque Build and Connect 2020

Véritable lieu d'échanges sur les tendances les plus prometteuses et de rencontres autour des meilleures technologies et pratiques destinées à l'ensemble des acteurs de la construction durable, le colloque international Build & Connect est co-organisé par le pôle de compétitivité Fibre Energivie et l'Université de Strasbourg depuis plusieurs années pour que chacun s'enrichisse de l'expérience des pionniers d'une grande région au cœur de l'Europe entre France, Allemagne, Benelux et Suisse, les co-organisateurs étant basés à Strasbourg.Tables rondes et retours d'expériences ont permis de faire émerger des problématiques liées à la construction durable et de réfléchir ensemble à des solutions communes.Financer la ville demain« Le renouvellement urbain et le zéro artificialisation net des sols devient un sujet majeur du secteur immobilier. Build & Connect a permis cette année de rassembler des personnalités reconnues et des expertises uniques au niveau européen sur les sujets de l'investissement immobilier responsable et innovant. La table ronde réunissait Novaxia, la Socfim (Groupe BPCE), Bitbond, et Green Soluce. Chacun de ces acteurs ouvre la voie dans son domaine : investissement immobilier, bancaire, crowdfunding, et accompagnement ESG de fonds de dette. Leur point commun ? ». Vincent Aurez, animateur de la table-ronde « Financer la ville du futur, les nouveaux modèles économiques »Lors de la première table ronde « Financer la ville du futur, les nouveaux modèles économiques » l'objectif était de mettre autour de la table banquier, acteur du crowdfunding et de la blockchain, et acteur de la finance durable pour imaginer les modèles de financements au service d'une ville plus durable et d'un renouvellement urbain bénéfique au plus grand nombre. Un enjeu clé au vu des impacts du secteur immobilier, qui représente en France un quart des émissions de gaz à effet de serre. Un certain nombre de questions ont ainsi été soulevées et débattues par les différents interlocuteurs telles que :Comment drainer les investissements vers des fonds responsables pour faire évoluer la ville vers la transition écologique et accompagner les nouveaux usages ?Quels modèles économiques et de financement cela suppose-t-il ?Des acteurs du financement de l'immobilier et de la ville de demain, ont livré leurs convictions de marché à travers des messages clés.Pour Socfim, le secteur de la construction est victime d'injonctions contradictoires qui s'imposent aux opérateurs immobiliers et les poussent à innover :Le souhait sociétal de créer des smart city VS une grande réticence au changement.Le besoin d'étendre le parc immobilier sans artificialiser des sols VS une densification mal perçues et les risques sanitaires qu'elle comporte.L'aspiration des Français pour plus de durabilité, des normes pour limiter les émissions de gaz à effet de serre mais un pouvoir d'achat limité des ménages qui ne leur permettent pas d'accéder à des produits immobiliers vertueux sur le plan de l'environnement.À ces problématiques, la société propose le renouvellement urbain et le recyclage des actifs existants.Green Soluce, acteur du conseil et de l'accompagnement dédié à l'accélération vers un modèle plus durable, inclusif et résilient, s'appuie sur les critères ESG :Les fonds de dette immobilière commencent à changer les règles du jeu du financement immobilier en prenant en compte les critères ESG (Les critères ESG sont fondamentaux pour évaluer la stratégie durable des entreprises).Les évaluations ESG reposent sur deux composantes clés : l'évaluation de l'emprunteur (à travers des dispositif interne et des questionnaires, et des covenants « verts » pour allier la performance environnementale à la performance financière) et l'évaluation au niveau des actifs (avec l'arrivée de la taxonomie européenne et les label, certifications).Les principaux prêteurs appliquent des techniques de souscription ESG distinctes, adaptées aux emprunteurs et aux garanties immobilières. Le suivi des indicateurs clés de performance ESG offre la possibilité d'améliorer considérablement les techniques de gestion des risques.Construire les bâtiments de demain« Nous devons intensifier les usages de chaque bâtiment, rassurer la filière construction et valoriser le fait qu'un bâtiment soit une véritable banque de matériaux réversible.» Morgan COLOMBERT, animatrice de la table ronde « construire le bâtiment de demain »Les intervenants de cette table de ronde ont travaillé sur différents axes :Le bas carboneLa sobriétéL'efficacitéLe stockage carboneCar le bâtiment de demain devra indéniablement prendre en compte les nouvelles technologies et pratiques permettant de réduire son emprunte carbone. Les matériaux bois et biosourcés permette d'avoir des solutions pour faire mieux qu'hier, mais nous avons encore des freins à lever en termes organisationnels, culturels, juridiques et de formation. Le principal point de vigilance est effectivement la formation des acteurs de la construction à la gestion des matériaux renouvelables afin que les capacités techniques existantes et à venir soient opérationnelles.Un nouveau modèle économique est à développer afin qu'il soit entièrement adapté à la construction durable. Dans ce cadre, il est nécessaire de rappeler le rôle à jouer par les collectivités en tant que donneurs d'ordre sur la construction et les projets des territoires.Revoir les sessions du colloque Build and Connect 2020 : Heures Salles Liens 8h45 B&C - Salle 1 - Plénière matin 08h45https://vimeo.com/483104212/5b2ccfd059 8h45 B&C - Traduction - Plénière 08h45https://vimeo.com/483117500 10h30 B&C - salle 2https://vimeo.com/483219986/cc7da45a07 10h30 B&C - Salle 3 - Le smart building et le smart gridhttps://vimeo.com/483096207/db00d269eb 10h30 B&C - Salle 4 - Financer la ville de demainhttps://vimeo.com/483097290/2a1aaa793b 10h30 B&C - Traduction https://vimeo.com/483119018 12h10 B&C - Salle 1 - Plénière https://vimeo.com/483105732/64b3dfefa9 12h10 B&C Traduction https://vimeo.com/483120742 12h50 B&C - Salle 1 - Plénière https://vimeo.com/483113215/6a8ff9f22d 13h30 Salle 2 Réemploihttps://vimeo.com/485403317 13h30 Salle 3 - Le numérique transforme les chantiers https://vimeo.com/485401373 13h30 Construire les bâtiments de demain : des nouvelles technologies et des pratiques à accélérerhttps://vimeo.com/485456511 13h30 B&C Traduction https://vimeo.com/483122124/c821db0f08 15h30 Salle 2 Construire autrement https://vimeo.com/485404501 15h30 Salle 3 - 15h 30 - Gestion patrimoniale, exploitation et IAhttps://vimeo.com/485402378 15h30 B&C Traduction - Gestion Patrimonialehttps://vimeo.com/483125107/b0fd639b00 15h30 Resilience du bati : comment construire et reconstruire en tenant compte de l'augmentation des risques naturels ?https://vimeo.com/483561710/65c4da7523 15h30 B&C Traduction - Résilience du batihttps://vimeo.com/483127774/d5f975bb16 17h20 B&C - Salle 1 - Plénière https://vimeo.com/483114427/cc798fab96
Il y a 4 ans et 142 jours

Muséon Arlaten à Arles par Tetrarc

  La réhabilitation de la bibliothèque Jean-Louis Barrault à Avignon par Jakob+MacFarlane, le stade de Jean Guervilly et BVL à Limoges, la transformation de la halle Sernam à Pau par ANMA, la rénovation du musée Rolin à Autun par l'Atelier Novembre, et l'ENSA de Toulouse revue par Pierre-Louis Faloci, autant de concours […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 142 jours

Le Groupe LBA vise une commercialisation de plus de 25% de matériaux dépolluants en 2025

Porté par son ambition de diminuer l’impact sur l’environnement, le Groupe LBA, leader français dans la sécurisation périmétrique (fermeture des sites pas barrières, herses et bornes), renforce son positionnement écoresponsable en sensibilisant sur la réduction de l’empreinte carbone dans le monde de l’industrie et la dépollution de l’air. L’entreprise vise ainsi une commercialisation de plus de 25 % de matériaux dépolluants brevetés pour 2025.Le Groupe LBA, en tant qu’industriel éco-responsable, s’engage depuis plus de 30 ans auprès de son écosystème, par des actions fortes : économie circulaire, circuits courts, « Made in France »,industrialisation raisonnée, etc.Depuis 2018, l’entreprise va plus loin et propose des gammes de bornes anti-terroristes, dépolluantes et innovantes pour répondre aux problématiques environnementales et préoccupations des Français, qui souffrent de la pollution en milieu urbain mais également d’insécurité. Le premier fabricant concepteur français de produits de sécurisation périmétrique a ainsi développé des solutions et concepts de nouveaux mobiliers urbains qui protègent et créent du bien-être dans la pratique de l’espace public.Aujourd’hui, le Groupe LBA vise plus loin et souhaite renforcer son utilisation de matériaux dépolluants brevetés et développer de nouveaux produits pour répondre aux enjeux environnementaux. L’entreprise a pour objectif de commercialiser 25 % plus de bornes dépolluantes d’ici à 2025. Avec, comme double défi : l’adoption d’une approche plus écologique pour répondre à de nouveaux besoins tout en conservant son cœur de métier, afin de conquérir des marchés en Europe et à l’international.« Nous développons des concepts bienveillants qui protègent les usagers de la pollution, garantissent la sécurité, tout en restant invisibles. Nous souhaitons réconcilier tous les besoins des concitoyens et construire de nouvelles offres sur-mesure, conjointement avec nos clients, et provoquer un changement important dans le monde du mobilier urbain que l’on peut désormais s’approprier, sans polluer. »,explique Hélène-Lorenzi Hardouin, directrice générale adjointe du Groupe LBA.Le CUbe, une borne fixe anti-véhicules bélier, à l’habillage design dépolluantCUbe est un obstacle anti-véhicule-bélier composé d'un habillage fonctionnel dissimulant une borne fixe crash testée. Cet habillage intelligent et connecté intègre plusieurs fonctionnalités: esthétique, éclairage ou encore capteurs. Les différents modèles de la gamme sont modulables pour créer des bancs, des attaches-vélos ou encore des bornes d'information. Son matériau novateur unique antibactérien dépolluant, assainit et élimine les produits chimiques pour contribuer à la santé des usagers.Mister FLow, un tourniquet piéton antibactérien qui s’adapte à la ville de demainMister FLow permet la sécurisation des sites pour les accès piétons en préservant une esthétique soignée et favorisant un contexte sanitaire sain. Personnalisable, il s'adapte aux demandes de tous : grille ajourée, structure acier ; mais permet aussi le maintien de meilleures conditions sanitaires avec des barreaux antibactériens, l'intégration de barreaux antibactériens ou un distributeur de gel hydroalcoolique. Mister FLow est le 1er tourniquet design intégré à la marque Security by Design, qui encourage l'appropriation des produits et leur adaptation à la ville de demain, soit par l'esthétique et/ou les fonctionnalités.Miss HYde, une borne fixe anti-véhicules bélier avec son habillage multifonction designMiss HYde est un mobilier urbain unique et breveté, permettant de sécuriser l'espace public sans le défigurer ou le saturer d'objets. La borne sécuritaire urbaine est cachée à l'intérieur pour ne laisser voir que les autres fonctions de l'habillage. Cet habillage intelligent et connecté intègre plusieurs fonctionnalités : esthétique, éclairage ou encore capteurs. Son matériau novateur unique antibactérien dépolluant, assainit et élimine les produits chimiques pour contribuer à la santé des usagers. Smart city, elle s'intègre idéalement dans les villes ou sur les sites privés et publics. Miss HYde rencontre l'architecture et la sécurité urbaine, tout en proposant une borne de sécurité dépolluante.
Il y a 4 ans et 142 jours

Les concours à suivre en 2021

  La réhabilitation de la bibliothèque Jean-Louis Barrault à Avignon par Jakob+MacFarlane, le stade de Jean Guervilly et BVL à Limoges, la transformation de la halle Sernam à Pau par ANMA, la rénovation du musée Rolin à Autun par l'Atelier Novembre, et l'ENSA de Toulouse revue par Pierre-Louis Faloci, autant de concours […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 143 jours

Des amendements à la RE2020 pourraient être votés ce mardi au Conseil de la construction

REGLEMENTATION. Ce mardi 12 janvier 2021 aura lieu une séance plénière importante du Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique, ayant trait à la réglementation environnementale 2020. En effet, d'après nos informations, plusieurs amendements au projet de texte proposé par l'administration pourraient y être votés.
Il y a 4 ans et 143 jours

MaPrimeRénov’ évolue et s'ouvre aux propriétaires occupants et syndics de copropriétés

Une aide accessible à tous, qui s'adapte à la situation de chacun et qui favorise les rénovations ambitieusesMaPrimeRénov' est destinée à encourager les ménages à réaliser des travaux de rénovation énergétique de leur logement. Le montant de l'aide est calculé en fonction des revenus des bénéficiaires, selon quatre catégories de revenus, et des gains énergétiques permis par les travaux.Grâce à France Relance, MaPrimeRénov' devient la principale aide de l'État à la rénovation énergétique. Elle est désormais ouverte à tous les propriétaires, quels que soient leurs revenus, qu'ils soient occupants ou bailleurs, ainsi qu'à tous les copropriétaires. Elle a pour objectif de financer la rénovation de 400 à 500.000 logements par an et bénéficie pour cela d'une enveloppe budgétaire supplémentaire de 2 milliards d'euros pour 2021 et 2022.Tous les propriétaires occupants et les copropriétaires peuvent désormais déposer leur demandeÀ compter du lundi 11 janvier, les propriétaires occupants nouvellement éligibles (ménages intermédiaires et supérieurs), ainsi que tous syndicats de copropriétaires, peuvent déposer leur dossier de demande d'aide sur maprimerenov.gouv.fr.Les propriétaires bailleurs pourront le faire à partir de juillet 2021.« MaPrimeRénov' a connu un grand succès en 2020 avec plus de 190.000 demandes d'aide déposées. Cette année, elle devient une aide encore plus simple et plus juste et donc plus efficace. A partir d'aujourd'hui, l'ensemble des propriétaires, bailleurs, occupants et copropriétaires peuvent bénéficier, quel que soit leur niveau de ressources, du soutien de l'Etat pour engager des travaux de rénovation écologique. C'est un grand pas en avant pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi améliorer le pouvoir d'achat et la qualité de vie au quotidien de millions de Françaises et de Français. Il s'agit là d'un engagement concret de l'État pour soutenir nos concitoyens dans cette indispensable transformation. »Barbara Pompili, Ministre de la Transition écologique« L'ouverture de MaPrimeRénov' à l'ensemble des Français est essentielle pour massifier la rénovation énergétique. Elle marque l'engagement sans précédent du gouvernement en faveur de la transition énergétique. Dans le cadre de France Relance, cette prime est essentielle pour aider les Français à améliorer le confort de leur logement, réduire leur facture énergétique ainsi que pour soutenir l'activité économique des artisans du bâtiment.»Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au logement« Il y a une forte attente de nos concitoyens pour réussir la massification de la rénovation des logements. L'éradication des passoires thermiques et la promotion des rénovations globales doit être une priorité : c'est le sens de l'engagement de l'Anah au quotidien. Cette nouvelle étape de MaPrimeRénov' est une excellente nouvelle pour encourager les Français à s'engager dans la rénovation énergétique de leur logement, en leur apportant une aide financière et un accompagnement simplifié. L'Anah sera au rendez-vous.»Thierry Repentin, Président de l'Anah
Il y a 4 ans et 143 jours

Scalian développe Simul'Aides pour l'Ademe, un simulateur d'aides pour les travaux de rénovation

Mandatée par l'ADEME, SCALIAN, entreprise française spécialiste de la transformation, dans les milieux de haute complexité, réalise l'application Simul'Aides. Déployée sur le site gouvernemental FAIRE, Simul'Aides permet à tous les particuliers de réaliser une estimation des aides financières dont ils peuvent bénéficier lors de travaux de rénovation. Le Ministère de la Transition Écologique contribue activement à la définition des évolutions de Simul'Aides en l'utilisant comme un des principaux outils en relais du dispositif d'accompagnement des ménages.Simul'Aides, l'outil d'estimation d'aides lors de travaux de rénovationEn 2015, l'ADEME (l'Agence de la transition écologique) lance un appel d'offres pour la création d'une application permettant d'estimer les aides auxquelles les particuliers peuvent prétendre lors de travaux de rénovation. L'ADEME souhaite pouvoir disposer d'un outil facilement paramétrable et évolutif qui permette de prendre en compte la législation actuelle et future, notamment les règles d'éligibilité et de cumul d'aides.« Simul'Aides est un projet complexe : l'application doit prendre en compte de nombreux paramètres, en assurant à la fois une maintenance et des mises à jour très régulières. En effet, les estimations d'aides pour les ayants droit évoluent très rapidement. Le moteur que nous avons conçu devait donc répondre à ce besoin d'évolutions permanentes mais aussi à la multiplicité des aides : catégories de travaux et origines des aides (nationales, régionales, départementales, …). », précise Gatien Mellion, chef de projet chez SCALIAN.Spécialisée dans les projets numériques d'envergure, SCALIAN remporte l'appel d'offres et commence alors à travailler sur le projet, baptisé Simul'Aides.Un projet régional déployé au niveau nationalInitialement créée pour la seule région Haute-Normandie, Simul'Aides a tant convaincu qu'elle a par la suite été déployée dans d'autres régions jusqu'à couvrir tout le territoire, y compris l'Outre-mer.C'est en 2020, sous l'impulsion d'Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée auprès de la Ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, qu'il a été décidé de déployer Simul'Aides sur le site gouvernemental Faire.fr afin de permettre à l'ensemble des citoyens de connaitre les aides auxquelles ils ont droit en cas de travaux de rénovation.« C'est tout un travail de refonte du site et d'ergonomie qui a été mené à l'automne par les équipes de SCALIAN. Créée en 2015 pour être utilisée à un niveau régional, l'application doit désormais supporter un afflux de connexions 20 fois plus important cette année et répondre à des attentes de design plus moderne. Ce projet nous donc a mis face à un véritable défi technique et ce, avec un calendrier très serré ! Un vrai challenge remporté grâce à l'organisation des équipes de SCALIAN en collaboration avec celles de l'ADEME et à leur fort investissement vis-à-vis de cette application dont la visibilité a été démultipliée. », complète Eric Foquet, Directeur de projet chez SCALIAN.Depuis le début de l'année 2020, 1 million de simulations ont été effectuées sur l'application. Plus de la moitié d'entre-elles a été effectuée à partir d'octobre 2020, avec la mise en place de la nouvelle aide MaPrimeRénov, ayant entrainé une très forte affluence sur le site.
Il y a 4 ans et 143 jours

SPIE France met l'innovation à l'honneur

Qu'il s'agisse de générer de nouvelles idées, d'améliorer les processus, d'enrichir les offres, de simplifier les modes opératoires ou de contribuer à une meilleure qualité de vie au travail, partout au sein de SPIE France, des idées se connectent et des talents se reconnaissent. L'innovation fait partie du quotidien des équipes. Cet état d'esprit fédère tous les collaborateurs, ceux des chantiers comme ceux des bureaux. Pour valoriser leurs initiatives et renforcer cette culture entrepreneuriale, SPIE France a lancé la première édition du concours Challenge Innovation & Bonnes pratiques en 2020. Sur les 60 expérimentations présentées par des collaborateurs, 28 ont été retenues pour concourir au Challenge SPIE France.9 ont été primées à l'issue d'un processus de sélection qui intégrait le vote des collaborateurs sur la plateforme d'innovation Sioux, ainsi que celui d'un jury multi-filiales composé des différentes directions et de la filière « Innovation » de SPIE France.Prix Bonne Pratique - Projet BAES (Blocs Autonomes d'Éclairage de Sécurité). Alain Herbin et Bruno Agostini de SPIE Nucléaire ont été récompensés pour une idée astucieuse et économique de maintenance des blocs autonomes d'éclairage de sécurité en environnement nucléaire amianté, procédé mis en œuvre auprès de l'un des clients de la filiale et déjà dupliqué sur d'autres applications.Prix « copier c'est gagner » - Projet RPA. Sébastien Bouillon et Julie Azzola, de la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire, sont venus en aide aux opérationnels de la maintenance dont le quotidien est parfois miné par la paperasserie et les rapports, et ont permis de supprimer les multiples saisies manuelles entre les GMAO[1] des contrats et les systèmes d'information des clients.Prix de la transformation digitale - Projet Hub Digital. Daniel Beaubouchez, Jean Pierre Viandaz et Vincent Dubearnes se sont distingués pour le projet qui permet de digitaliser formulaires et process et de fluidifier les échanges. Cette innovation bénéficie à l'ensemble des collaborateurs de SPIE CityNetworks et permet de mieux exploiter les données, au service de la sécurité des collaborateurs, des clients et de l'organisation globale. Prix de l'innovation pour la sécurité des personnes - Projet Sock Ball. Jean-Yves Saint-Dizier, Géraldine Durieux, et Gilles Frémiot, de SPIE CityNetworks, ont développé un système inédit pour la sécurité des travaux en hauteur. Prix de la confiance numérique – Projet ValuOty. Carole Bonnafous, Karine Engrand, Pascal Castagné et Laurent Maille, de SPIE ICS ont été primés pour ValuOty, une offre de services autour du data management et de la data science qui permet d'exploiter et de sécuriser les données pour en partager la valeur avec les métiers. ValuOty apporte aux clients des services industrialisés qui répondent aux enjeux de qualité de vie au travail, d'efficacité énergétique et de réduction des coûts de maintenance dans la ville, l'industrie et le bâtiment intelligent.Prix du collaborateur augmenté - Projet BIM et réalité mixte. Anna Truong de la division Tertiaire de SPIE Industrie & Tertiaire, a remporté le prix pour le projet qui vise à exporter les maquettes BIM des bureaux d'études, afin qu'elles servent mieux les équipes de chantier grâce à la réalité mixte. La démarche a été testée en 2020 sur plusieurs réalisations dans l'industrie pharmaceutique. Prix de l'optimisation des procédés du terrain - Projet Aqua. Guillaume Femenia de la division Tertiaire de SPIE Industrie & Tertiaire, est le lauréat pour sa solution dans le traitement des réseaux hydrauliques. Intégralement conçue en interne, cette solution économique et sécurisée a été évaluée, testée et approuvée lors des travaux réalisés sur des plateaux de bureaux de grande envergure.Prix du service prédictif - Projet maintenance prédictive industrielle. Jérôme Morisson et Alain Lagreze se sont distingués pour leur plateforme dédiée à l'Industrie 4.0. Cette plateforme combine procédés industriels, expertises et data, et a déjà fait ses preuves dans la maintenance prédictive de compresseurs à gaz.Prix de l'expérience client réinventée - Projet Green@work. Imane Benchenaa, Eric Lefèvre et Daniel Berger ont été primés pour leur prototype qui crée une passerelle entre les émotions et les données techniques, afin de piloter la qualité de vie au travail. Une innovation doublement récompensée puisqu'elle a également été distinguée lors de l'Innovation Day 2019, et qui vient enrichir la solution digitale SMART FM360°[2].[1]Gestion de maintenance assistée par ordinateur[2]Voir le communiqué de presse
Il y a 4 ans et 146 jours

Enquête après l'octroi douteux de 30 millions d'euros de prêts immobiliers par une agence bancaire de Strasbourg

L'enquête préliminaire a été ouverte à la suite de "nombreux crédits (...) accordés par la Caisse locale du Crédit Mutuel Strasbourg-Gutenberg à plusieurs dizaines de sociétés civiles créées par des membres de (...) familles d'origine étrangère, en vue de l'acquisition de biens immobiliers", indique dans un communiqué la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Nancy, confirmant des informations du quotidien régional Les Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA).L'enquête, confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Strasbourg, devra notamment déterminer "si de faux documents ou des manoeuvres frauduleuses ont été utilisées pour permettre l'octroi de ces prêts par l'établissement bancaire", ajoute la Jirs.Le Crédit Mutuel "a déposé plainte contre X au mois de novembre", a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'établissement mutualiste. Le groupe bancaire "ne fait pas d'autres commentaires en raison de l'enquête en cours".C'est lors d'une enquête interne à la banque que "des flux anormaux" ont été décelés, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.Selon cette même source, les prêts litigieux octroyés par l'agence s'élèvent à 30 millions d'euros.L'enquête interne a notamment permis de déterminer que plusieurs individus qui avaient obtenu des crédits étaient en réalité liés par "une communauté d'intérêts", évoquant un possible "réseau de blanchiment d'argent", selon cette même source.L'agence strasbourgeoise mise en cause aurait ainsi "accordé 80 crédits sur la base de documents frauduleux via un intermédiaire strasbourgeois", écrivent les DNA, journal par ailleurs détenu par le Crédit Mutuel.Tous les clients qui ont obtenu ces prêts venaient de ce "même porteur d'affaire", sorte de courtier qui apportait les dossiers de demandes de prêt "clé en main" et qui "avait contractualisé avec la caisse" mise en cause, a confirmé la source proche du dossier.L'enquête interne a ainsi mis en évidence que des ressortissants roumains d'une même famille "installés en France (...) auraient utilisé des faux documents pour monter" des dossiers de crédit portant "sur des projets immobiliers, notamment en région parisienne", écrivent encore les DNA, selon lesquelles des "poursuites disciplinaires" ont été diligentées "à l'encontre du directeur et des administrateurs de la caisse".La gouvernance de la caisse incriminée a depuis été entièrement "renouvelée", selon la source proche du dossier.
Il y a 4 ans et 146 jours

Leslie Laroche, nouvelle secrétaire générale des Canalisateurs

Précédemment chargée de projets au sein des Canalisateurs, elle maîtrise déjà l'ensemble des expertises qui font la force de ses entreprises dans les domaines de l'eau et de l'assainissement, du gaz et des fluides divers et de la réhabilitation des réseaux. En charge des commissions Économie et Formation depuis 2015, elle a aussi travaillé sur de nombreux projets de communication, mobilisant des acteurs et des compétences multiples.Un parcours résolument dédié à la responsabilité environnementaleFemme de conviction, engagée pour la protection de l'environnement, Leslie Laroche est titulaire d'un Master 2 en Économie et Gestion de l'Environnement, avec une expertise dans les domaines de l'économie des ressources naturelles, les politiques publiques environnementales, l'aménagement du territoire et le développement économique.Leslie Laroche a débuté sa carrière à l'ADEME lors d'un stage en 2013 en qualité de chargée de mission Rénovation Énergétique et travaillé en particulier sur la rénovation énergétique du parc de logement privé en Midi-Pyrénées. Elle a ensuite occupé le poste de chargée d'études économiques au sein de la CERC (Cellule Economique Régionale de la Construction) Nouvelle-Aquitaine et produit des études et publications sur des thématiques liées à la construction (conjoncture, perspectives d'activité, emploi-formation, développement durable, …).
Il y a 4 ans et 146 jours

Le Groupe DUCERF recrute

Le Groupe DUCERF prévoyait pour 2020 entre 10 et 15% de développement de son activité, dans le contexte difficile actuel, elle enregistre une légère baisse par rapport à l’année dernière. Un résultat obtenu grâce aux efforts du groupe pour maintenir un niveau d’activité satisfaisant. Le fabriquant industriel spécialisé dans la transformation des bois feuillus a su être réactif dès le début de la crise. L’ensemble du personnel administratif a continué son activité en télétravail, et la production a pu reprendre dans des conditions sanitaires optimales après seulement deux semaines d’arrêt. Cette continuité dans l’offre et les services a été bénéfique, le Groupe a presque rattrapé son retard au deuxième semestre. Par ailleurs, la stratégie adoptée depuis quelques années sur la diversification des marchés notamment à l’export a porté ses fruits. Si l’an dernier, les plus belles progressions étaient sur la France, ces derniers mois les pays du grand export comme la Chine, l’Inde, le Vietnam ou encore la Malaisie, ont été de belles cartes à jouer. Le Groupe accélère le développement de ses ressources humaines et envisage de recruter 15 nouveaux collaborateurs (des opérateurs polyvalents, déligneurs, rogneurs, ou scieurs de grumes). Pour soutenir ces ambitions, l’industriel étoffe son équipe administrative avec la création d’un poste de Responsable des Ressources Humaines. Il aura pour missions d’animer les campagnes de recrutement, d’accompagner la mise en place de formations et d’encourager l’organisation de l’entreprise autour d’équipes projet. L’entreprise souhaite encourager des méthodes de travail qui allient pluridisciplinarité, coopération et diversification des tâches. En cohérence avec ses valeurs familiales, le Groupe DUCERF place le bien-être et l’épanouissement de ses salariés au cœur de ses préoccupations.
Il y a 4 ans et 146 jours

Jacques Bouillot, nouveau président de l’ESB

Jacques Bouillot, Directeur Filière sèche & solutions bas carbone chez Eiffage Construction succède à Jean-Luc Ansel, à la tête du Conseil d’Administration de l’école d’ingénieurs ESB à Nantes, depuis 2017. Tout d’abord membre du Conseil d’Administration, Jacques Bouillot a rejoint le Bureau de l’ESB en 2017 en tant que Vice-Président chargé de la formation. Titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’Ecole spéciale des Travaux Publics, du Bâtiment & de l’Industrie (1986), d’un Master en sciences économique et commerciale de l’ESSEC (1988) et d’un Master en Développement Durable de l’Université Paris Dauphine (2008), il cultive son appétence pour les enjeux climatiques tout au long d’une carrière orientée vers l’industrie et la construction. Directeur Filière sèche & solutions bas carbone chez Eiffage Construction, il est à l’origine de la structuration du service bois qui permet aujourd’hui à l’entreprise de se positionner sur des projets tels que Jean Jouzel (La Rochelle), la Tour Hyperion (Bordeaux), la tour Sensations (Strasbourg) ou le Village des athlètes, en vue des JO 2024 (Seine-Saint-Denis). Convaincu du potentiel du bois et des matériaux biosourcés dans la construction bas carbone, il est membre actif de la commission feu d’ADIVbois, l’association pour le Développement des Immeubles à Vivre en bois, à laquelle il apporte sa vision de l’entrepreneuriat général.
Il y a 4 ans et 147 jours

New York a perdu 70.000 habitants et 34 milliards de dollars de revenus

Depuis le début de la pandémie, des milliers de ménages aisés se sont installés en banlieue de New York, voire beaucoup plus loin, jusque dans le Vermont ou la Pennsylvanie.Selon le cabinet de recueil et d'analyses de données liées à la mobilité Unacast, environ 3,5 millions de personnes se sont installées dans la métropole new-yorkaise, quand 3,57 millions en sont partis entre le 1er janvier et le 7 décembre.Ces chiffres s'appuient sur des données recueillies sur des smartphones avec le consentement de leurs propriétaires. Une fois récoltées, les informations sont agrégées et anonymisées.L'analyse des données fait apparaître que si le revenu agrégé des 3,5 millions de personnes qui se sont installées dans la région depuis le début de l'année était de 264 milliards de dollars, celui des 3,57 millions d'habitants qui en sont partis était, lui, de 298 milliards.Cela représente une différence de 34 milliards de dollars en net, qui montre que le revenu moyen des partants (83.473 dollars par an) était bien supérieur à celui des arrivants (75.428)."Les nouveaux résidents gagnent considérablement moins que ceux qui sont partis", analysent les auteurs de l'étude. "Cela signifie qu'ils peuvent se permettre moins en termes de prêts immobiliers, de loyers, de restaurants ou de commerces."Selon des chiffres publiés par le site d'annonces immobilières Streeteasy, les loyers à Manhattan ont baissé de 7,8% au troisième trimestre par rapport à la même période de l'année précédente.Le loyer médian (la moitié au-dessus, la moitié en dessous) s'est établi à 2.990 dollars, le niveau le plus bas depuis 2011.
Il y a 4 ans et 147 jours

Kalissia Air®, un nouvel épurateur d’air et de surface utile dans la lutte contre les virus.

Le contexte sanitaire que nous traversons nous fait prendre conscience de l’importance de la qualité de l’air dans les espaces de vie. France Air, en tant qu’acteur majeur du traitement de l’air, enrichit son offre et propose aujourd’hui Kalissia Air®. Cet épurateur d’air et de surface utilise la technologie de l’ionisation bipolaire également appelée plasma froid. Le plasma froid est une technique de décontamination sans produit chimique. Le plasma est un gaz électriquement énergisé où les molécules se décomposent pour produire des électrons libres, des ions négatifs et positifs. Ce procédé permet la libération d’ions positifs et négatifs qui vont se propager dans l’air ambiant pour neutraliser des agents pathogènes, dont les virus. C’est une technologie éprouvée depuis 10 ans en stérilisation de blocs hospitaliers, notamment aux USA. Elle est totalement inoffensive sur l’homme, et peut donc être utilisée en présence humaine, 24h/24.   Pour plus d’information, cattoire@cattoire.com
Il y a 4 ans et 147 jours

Un ancien site de bureaux reconverti en espace résidentiel harmonieux et arboré

Surprenant de modernité, l’ensemble immobilier parvient à convertir avec élégance un ancien site de bureaux en un espace résidentiel harmonieux et arboré. L’INATTENDU sort de terre là où, autrefois, se dressait le site administratif de la Société Alsacienne de Supermarché qui a intégré le groupe Auchan depuis une vingtaine d’années.Aujourd’hui, sa filiale immobilière Ceetrus s’associe avec Bouygues Immobilier dans ce projet de transformation d’envergure. Résolument novateur, le projet s’inscrit dans une perspective de cohabitation et d’ouverture sur le quartier. Le résultat place véritablement le citoyen au centre d’un lieu de vie mixte, alliant dynamisme urbain et cadre verdoyant.« Rebâtir » la ville de demainÉrigé en lieu et place d’une friche inoccupée, le programme résidentiel L’INATTENDU participe à la mutation du paysage urbain strasbourgeois. Ce site autrefois gris et austère fait aujourd'hui place à une zone d’habitation agréablement végétalisée.Répondant à une demande croissante en logements à proximité du centre-ville de Strasbourg, cette nouvelle réalisation contribue à relancer l’attractivité du quartier de Koenigshoffen. Nichée entre le quartier Saint-Joseph et le Schnockeloch, pourvu de nombreux points d’attractions, l’ouvrage séduit également par ses tarifs accessibles à partir de 3.300€ le m2.Koenigshoffen, un contraste méconnuDynamisme urbain d’un quartier strasbourgeoisSituée aux portes Ouest de Strasbourg, la co-réalisation de BOUYGUES IMMOBILIER et CEETRUS promet une vie urbaine simplifiée et pleine de praticité.Le complexe résidentiel, idéalement desservi, encourage les mobilités douces :Par l’arrêt Comtes situé sur la récente extension du tramway (ligne F), permettant une liaison vers le centre de l’Eurométropole en moins de 10 minutes.Par des lignes de bus.Par une voie cyclable directement accessible.La proximité avec la route des Romains, véritable artère commerçante, ouvre à toute commodité. Accessibles à pied depuis la résidence, les enseignes du secteur répondent à bon nombre des besoins du quotidien : santé, services, alimentation.De même, pour les déplacements vers les écoles, collèges et équipements sportifs, le véhicule devient superflu !Un cadre de vie empreint de natureImplantée en 2ème rideau de la route des Romains, la copropriété est à l'abri de l’animation de l’axe routier. Afin de préserver davantage la tranquillité des résidents, aucune circulation des véhicules au sein du complexe immobilier n’est possible. Un grand parc est au cœur de l’opération. L’INATTENDU, bulle de quiétude, jouit ainsi d’un cadre bucolique bordant un agréable cours d’eau : le Muhlbach.Si l’héritage de l’histoire romaine de Koenigshoffen y est connu, le charme de Saint-Joseph et les maisons à colombages du Schnockeloch confèrent une authentique singularité à ce secteur en plein renouveau.L’atout méconnu du lieu reste son ouverture sur des espaces naturels. La proximité avec le parc du Niederholz, situé à 10 minutes du programme, invite aux pique-niques en famille... D’autres nombreuses possibilités de flâneries s’offrent aux futurs acquéreurs : se promener au bord du canal de la Bruche, sillonner les itinéraires cyclables, fréquenter les paisibles bassins de pêche ou arpenter au grand air les espaces boisés.L’INATTENDU urbainComposé de 3 bâtiments de standing, ce nouvel ensemble, signé BOUYGUES IMMOBILIER et CEETRUS, affiche un caractère contemporain souligné par un travail d’architecture harmonieux. De manière à encourager les déplacements doux, chaque immeuble est pourvu d’un local vélo pratique et sécurisé. Les stationnements seront dissimulés en sous-sol ou aux pourtours des bâtiments.Du 2 au 5 pièces, chaque logement est personnalisable. La large gamme de prestations intérieures (sols, carrelages, mobilier de cuisine et de salle de bain...) permettant à chaque acquéreur de créer le cocon qui lui ressemble.Balcons, terrasses ou jardins privatifs prolongent agréablement les espaces de vie. Pour davantage de confort, des celliers agrémentent certains lots. De grands appartements sont disponibles aux derniers niveaux, ils ont été conçus comme de véritables maisons de villes.L’omniprésence inattendue du végétalLe complexe urbain L’INATTENDU se dessine au cœur de 9.700 m2 d’espaces verts, soit plus de la moitié de la surface de terrain sur lequel se réalise cette opération.Tandis que les abords directs de la résidence ont été soigneusement dessinés, la nature alentour a été magnifiquement préservée.Car c’est bien le vert qui prédomine dans cette ambiance luxuriante. Il est omniprésent partout où le regard se pose :Dans les agréables jardins privatifs de la façade sud, accessibles depuis les logements en rez-de-chausséeDans les 1700 m2 d'îlots privatifs permettant aux propriétaires de s’adonner, par exemple, aux joies du jardinage pour accompagner les néophytes, des animations et de l’initiation aux bonnes pratiques sont envisagéesDans le parc public de 3.000m2 réalisé par la municipalité de StrasbourgDans la zone boisée déjà existante menant aux berges naturelles du Muhlbach à l’extrémité de la résidence qui reste un espace réservé aux résidentsDans la ligne d’arbres le long du cours d’eau, qui, dans le respect des engagements de BOUYGUES IMMOBILIER et CEETRUS au profit de la biodiversité, est préservée autant que possible et étoffée.Avec L’INATTENDU, les co-promoteurs insufflent une dynamique nouvelle qui place le futur acquéreur au centre. Le projet, qui ne s’ouvre pas seulement sur la nature, propose aussi un cadre de vie propice aux partages entre voisins. Les espaces communs, parc public et jardins, concourent à la cohabitation entre habitants de la résidence et du quartier. Une réalisation résolument humaine !Caractéristiques techniques :3 Bâtiments collectifs R+4 à R+5Du 2 au 5 pièces avec espace extérieur selon les lots170 appartements en accession libre89 logements répartis entre du logement locatif aidé d’intégration, du locatif à usage social et du locatif Intermédiaire Livraison : 2nd semestre 2023Architecte : OSLO Architecture
Il y a 4 ans et 147 jours

Jérôme Nérot, nommé Directeur Commercial & Marketing du CSTB

Jérôme Nérot, une double expertise commerciale & marketing, développée dans le secteur de la constructionTitulaire d'un Master II en marketing international (ISEC Paris) et d'un Executive MBA (EDHEC Business School), Jérôme Nérot démarre sa carrière dans le domaine du management commercial en 1996, dans une filiale du groupe Total.En 2000, il poursuit son parcours dans le secteur de la construction et devient contrôleur de gestion chez Leroy-Merlin. Par la suite, il renforce son expertise dans les domaines de la stratégie commerciale, du marketing et de l'accompagnement des organisations en phase de transformation, au sein de différentes structures :Le Ministère du Travail, de 2004 à 2007 - Consultant en conduite du changement.Wilo Group, fabricant européen de pompes et circulateurs pour les secteurs du bâtiment, de l'eau et de l'industrie, de 2008 à 2017 - Successivement Responsable des Grands Comptes et de l'équipe statistiques, puis Sales Manager.Lahyer France, spécialiste des systèmes d'échafaudages, de 2017 à 2020 - Directeur Commercial & Marketing France.Jérôme Nérot maitrise ainsi l'ensemble des fonctions marketing & commerciales fondamentales dans le développement des organisations, et connait parfaitement les marchés et enjeux du BTP.C'est dans ce contexte qu'il rejoint aujourd'hui le CSTB, prenant la responsabilité de la Direction Commerciale & Marketing, sous la responsabilité de son Président, Etienne Crépon.Il devient par ailleurs membre du Comité Exécutif du CSTB.« La double expertise de Jérôme Nérot dans les domaines complémentaires de la stratégie commerciale et du marketing, associée à sa parfaite connaissance de l'écosystème de la construction, constituent des atouts-clés pour optimiser les services développés par le CSTB et répondre aux besoins actuels et futurs de nos clients et du marché en constante évolution. »Étienne Crépon, Président du CSTBUne Direction Commerciale & Marketing en appui au déploiement du projet d'entreprise du CSTBLieu d'expertise et d'écoute, le CSTB, qui anticipe les bâtiments, quartiers et villes de demain, place ses clients et partenaires, acteurs publics ou privés, grands groupes ou TPE/PME, au cœur de toutes ses actions et orientations.Cet engagement fort, gage de qualité de services et de réponses opérationnelles novatrices aux attentes du marché, constitue le fil conducteur du projet d'entreprise qui formalise la dynamique d'évolution et de modernisation du CSTB.Pour accompagner son déploiement, le CSTB renforce son organisation avec une Direction Commerciale & Marketing dédiée, intégrant l'actuelle Direction Marketing. Pilotée par Jérôme Nérot, cette Direction aura pour mission de proposer aux acteurs, clients et partenaires une offre simplifiée et accessible, dans une logique de pluridisciplinarité.Organisée autour de 5 activités-clés (recherche et expertise, évaluation, essais, certification et diffusion des connaissances), couvrant l'ensemble des composantes de la construction, à l'échelle des matériaux et procédés, du bâtiment et de la ville, s'appuyant sur des compétences multiples et des équipements de pointe, cette offre est aujourd'hui inégalée en France.L'enjeu, pour la Direction Commerciale & Marketing, est de permettre aux acteurs d'appréhender plus facilement cette diversité de services et de prestations proposés. Pour ce faire, elle agira à la fois :En amont pour analyser et comprendre les évolutions du marché de la construction, aujourd'hui et demain ;En aval pour définir des offres en phase avec ces évolutions, répondant aux grands enjeux et tendances du secteur, en lien avec les transitions environnementale, énergétique et numérique.Elle travaillera en synergie avec toutes les Directions opérationnelles et s'appuiera sur l'ensemble des compétences complémentaires portées par les équipes du CSTB.« Le CSTB est un acteur incontournable de la construction, avec des expertises et des savoir-faire techniques reconnus. Intégrer ses équipes, structurer et déployer la stratégie et le plan d'actions commercial et marketing qui vont contribuer à renforcer la place centrale du client, au cœur de tous les projets et orientations, est particulièrement enthousiasmant. »Jérôme Nérot, Directeur Commercial & Marketing du CSTB
Il y a 4 ans et 147 jours

Nouveau panneau d'isolation thermo-acoustique IKO Enertherm Chape TG

Sa nouvelle solution innovante thermo-acoustique, IKO ENERTHERM CHAPE TG, fabriquée en France (Combronde, 63), illustre cette démarche. Dédiée à l’isolation des sols des logements collectifs, copropriétés, combles aménagés et immeubles de bureaux, en neuf comme en rénovation, elle se distingue par sa double performance : un taux d’affaiblissement acoustique de 20 dB(A) associé à un lambda de 22... tout en finesse !Créer un cocon de bien-être dans les intérieursTalons qui claquent en rentrant du travail ou dans les couloirs de l’entreprise, déplacements de meubles pour ouvrir un clic-clac, réunions en plénière et déplacements de chaises, objets qui tombent... sont autant de bruits de chocs qui peuvent perturber le voisinage à tout moment de la journée.IKO ENERTHERM CHAPE TG affiche un taux d’affaiblissement acoustique de 20 dB pour les épaisseurs à partir de 54 mm, validé par le Rapport d’Essai FCBA (404/20/50) : la meilleure performance pour les panneaux en polyuréthane sans sous-couche acoustique.Ce taux peut atteindre 22 et 23 dB, respectivement avec l’intégration d’une sous-couche de type ASSOURCHAPE 20 ou TRAMICHAPE ECO PRO, pour les projets les plus exigeants.En version 54 mm, sa résistance thermique est de 2,45 m².K/W (certifiée ACERMI n°17/103/1296). Elle peut atteindre 6,45 m².K/W avec un panneau de 140 mm d’épaisseur pour les bâtiments de type HQE. Idéal en rez-de-chaussée pour se constituer un rempart thermique contre un parking souterrain non chauffé ou un vide-sanitaire.Une mise en œuvre facilitée et rapideCe panneau constitue un gage d’économies et de confort dans la mise en œuvre pour les carreleurs et chapistes. Selon les besoins du chantier, il se décline en 13 épaisseurs, de 25 à 140 mm. S’installant sous chape, dalle flottante ou dallage, il est compatible avec tous les planchers chauffants-rafraîchissants, hydrauliques et électriques (sous Avis Technique). Sa légèreté (densité +/- 32 kg/m³) et ses dimensions pratiques (1.200 x 1.000 mm) simplifient les manipulations. Exempt de sous-couche, il se pose rapidement. Le quadrillage rouge et noir 100 x 100 mm facilite le découpage ainsi que le positionnement des tubes. Son parement kraft-aluminium sur les deux faces, étanche au gaz et résistant à l’humidité, s’adapte à toutes les chapes du marché (DTU 26.2/52.10 ou sous Avis Technique). En rénovation, sa faible épaisseur est optimale tout particulièrement en cas de faible hauteur du seuil de porte.Caractéristiques techniquesPanneau d’isolation avec une âme en mousse rigide de polyisocyanurate 100 % sans CFC, HCFC ou HFCDensité : ± 32 kg/m³Résistance à la compression avec une déformation de 10% : ≥ 150 kPa (15 tonnes/m²)Résistance critique à la compression : Rcs > 90 kPa, dsmini : 1,10 % et dsmaxi : 2 %Module d'élasticité : Es : 3,5 MPaApplication pour le sol : SC1 a2 Ch (de 30 à 105 mm), SC1 a3 Ch (de 110 à 140 mm)Résistance à la diffusion de vapeur : mousse PIR : μ = 60 parement - Kraft-Alu : μ > 100.000
Il y a 4 ans et 148 jours

Val-d’Oise : la transformation urbaine du quartier Dame Blanche Nord à Garges-Lès-Gonesse continue

Garges-Lès-Gonesse : l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine inscrit le quartier Dame Blanche Nord dans son nouveau programme de renouvellement urbain.
Il y a 4 ans et 148 jours

Jérôme Nérot, nommé directeur Commercial et Marketing du CSTB

Photo : Raphaël DautignyDans ce cadre, il sera notamment chargé d'accompagner le déploiement du projet d'entreprise, dans une dynamique de réseau fédérant l'ensemble des équipes autour d'un objectif commun : renforcer la place centrale des clients et partenaires au cœur de tous les projets et orientations du CSTB. Après avoir débuté sa carrière au sein du Groupe Total, Jérôme Nérot la poursuit dans le secteur de la construction en devenant contrôleur de gestion chez Leroy-Merlin. Par la suite, il renforce son expertise dans les domaines de la stratégie commerciale, du marketing et de l'accompagnement des organisations en phase de transformation, au sein de différentes structures, publiques et privées. Il maitrise ainsi l'ensemble des fonctions marketing & commerciales fondamentales dans le développement des organisations, et connait parfaitement les marchés et enjeux du BTP. C'est dans ce contexte qu'il rejoint le CSTB, prenant la tête de la Direction Commerciale & Marketing, sous la responsabilité de son Président, Etienne Crépon. Il devient par ailleurs membre du Comité Exécutif du CSTB. L'enjeu pour la Direction Commerciale & Marketing, est notamment de permettre aux acteurs d'appréhender plus facilement la diversité de services et de prestations proposés par le CSTB. Elle travaillera en synergie avec toutes les Directions opérationnelles et s'appuiera sur l'ensemble des compétences complémentaires portées par les équipes du CSTB. Le CSTB est un acteur incontournable de la construction, avec des expertises et des savoir-faire techniques reconnus. Intégrer ses équipes, structurer et déployer la stratégie et le plan d'actions commercial et marketing qui vont contribuer à renforcer la place centrale du client, au cœur de tous les projets et orientations, est particulièrement enthousiasmant. Jérôme Nérot, Directeur Commercial & Marketing du CSTB En savoir plus : Communiqué de presse janvier 2021
Il y a 4 ans et 148 jours

Le 3ème Challenge Start-ups Construction Tech® dévoile ses lauréats

Les membres du jury, qui se sont exceptionnellement réunis de manière virtuelle, ont sélectionné 5 lauréats. Et pour la première fois, 3 mentions spéciales ont été décernées. Les start-ups retenues l'ont été pour la qualité de leurs solutions et pour la réelle valeur ajoutée qu'elles apportent au secteur. À noter que parmi ces lauréats et mentions spéciales, Rebartek AS est originaire de Norvège et Weavair du Canada.Pour cette nouvelle édition, les membres du jury ont tenu à saluer « la mobilisation des start-ups qui ont présenté des dossiers de qualité et des solutions très concrètes. ». Ils ont aussi noté la présence de plus en plus importante de solutions prenant en compte les préoccupations environnementales.Prochaine étape : webinaire le 15 janvier 2021 de 9h00 à 11H00Les tendances des candidatures au 3ème Challenge Start-ups Construction Tech seront décryptées.Les 5 lauréats et les 3 mentions spéciales pitcheront leur solution.Le jury annoncera le Grand Lauréat du 3ème Challenge Start-ups Construction Tech®Pour vous y inscrire : cliquez iciLes lauréatsART & FACT INNOVATION (Catégorie : Impression 3D)Art & Fact Innovation conçoit des pylônes destinés à accueillir les opérateurs de téléphonie mobile, en impression 3D en béton ultra haute performance. Ces derniers sont désignés et architecturaux, et s'intègrent aux paysages. Ils sont personnalisables et adaptables, et bénéficient d'une empreinte carbone plus faible que les mâts traditionnels. Ils peuvent être végétalisés ou peints.Les partenaires de Art & Fact Innovation sont des structures spécialistes dans leur domaine : Ingénierie : Lamoureux et Ricciotti / Impression 3D : XtreeE / Montage : FreyssinetFondateur : Denis WEHRLÉAnnée de création : 2018Site internet : artetfact.euKEYCLIC(Catégorie : Smart Building)Keyclic est une plateforme collaborative qui simplifie la gestion d'incidents au quotidien. 100 % digitale cette plateforme permet de gérer les services post livraison d'un programme immobilier répondant à 3 enjeux majeurs de ces périodes :La clarté et la simplicité des demandesL'efficacité dans le traitementLa satisfaction des clientsFondateurs : Baptiste YVENAT et Julien BOYÉAnnée de création : 2014Site internet : keyclic.comPANGA(Catégorie : Smart City)Actuellement, la plupart des données sont envoyées et traitées dans le Cloud, avant d'être renvoyées et utilisées à leur point de départ : c'est ce qu'on appelle le Cloud Computing. Panga est convaincu que l'avenir de l'IoT passe par l'Edge Computing : traiter la donnée là où elle est produite. Panga développe une solution pour Smart Building et Smart City basée sur une architecture réseau locale unifiée pour les bâtiments et les quartiers, construite sur des systèmes distribués, sécurisés et résilients (Grid & Edge computing) afin de délivrer des services aux usagers.Fondateur : Patrick SIMONAnnée de création : 2015Site internet : panga.frQARNOT BUILDINGS(Catégorie : Énergie renouvelable)Qarnot a été fondé il y a près de dix ans autour d'une idée écologique et de bon sens : valoriser la chaleur perdue des serveurs informatiques pour chauffer des bâtiments, dans une logique d'économie circulaire numérique : la chaleur, déchet des uns dans l'informatique devient la ressource précieuse des autres dans le bâtiment. Ainsi, Qarnot a créé des datacenters à placer directement dans les bâtiments, sous forme de radiateurs (pour chauffer les pièces) et de chaudières (pour chauffer l'eau) pour chauffer écologiquement grâce à la chaleur dégagée par le calcul informatique. Dans cette logique d'écologie et d'économie, Qarnot a aussi développé un logiciel de gestion énergétique pour le bâtiment.Fondateurs : Paul BENOIT et Miroslav SVIEZENYAnnée de création : 2010Site internet : qarnot.comREBARTEK AS(Catégorie : Robotique)Rebartek est une startup qui conçoit et préfabrique des barres d'armatures automatiques. Rebartek est spécialisé dans le domaine de la robotique. La solution est construite en deux temps : premièrement, un robot permet de construire la structure des barres d'armatures, qui est ensuite installée sur le chantier. À défaut d'assembler chaque barre à la main, le robot peut-lui-même les assembler et construire « l'armature ». Cette solution permet de gagner en temps et en main d'œuvre. La deuxième partie de la solution est un logiciel automatisé. Cela permet de personnaliser complètement les plans des structures des « armatures » et de donner les instructions au robot. Grâce à ce logiciel automatisé, Rebartek économise 20 % des matériaux.Fondateur : Max TROMMERAnnée de création : 2018Site internet : rebartek.comMentions spécialesBIOXEGYmention spéciale « Green tech »Le bio mimétisme est une approche R&D / R&I inédite qui consiste à s'inspirer de l'ingéniosité des mécanismes du vivant. Bioxegy est un bureau d'études et d'ingénierie spécialiste du bio mimétisme. Il intervient auprès de grands groupes, ETI et PME, tous secteurs confondus, en France et en Europe.Fondateurs : Sidney ROSTAN et Simon de MYTTENAEREAnnée de création : 2018Site internet : bioxegy.comCUEILLETTE URBAINEmention spéciale « Agriculture urbaine »Cueillette Urbaine propose la vente et l'exploitation de fermes urbaines productives et écologiques clés en main, l'installation de potagers participatifs en entreprise et l'animation d'ateliers sur la sensibilisation à l'écologie et la cuisine de saison.Fondateurs : Paul ROUSSELIN et Pierre-Frédéric BOUVETAnnée de création : 2016Site internet : cueilletteurbaine.comWEAVAIRmention spéciale « Qualité de l'air »La solution de Weavair est un dispositif de capteurs intelligents, ainsi qu'un logiciel de prédiction pour les systèmes de distribution de l'air permettant de réduire le risque de transmission des maladies et participer à la baisse des coûts.Fondateur : Natalia MYKHAYLOVAAnnée de création : 2018Site internet : weavair.comProchaines étapes :15 janvier 2021 : Pitch des lauréats et élection du Grand Lauréat ;Mise en ligne de tous les candidats dans l'Annuaire Digital Construction Tech® ;3 au 6 octobre 2022 : Présence du Grand Lauréat sur le secteur Construction Tech® à BATIMAT.Le Jury du Challenge Start-ups Construction Tech®Stéphanie Bigeon-Bienvenu : Directrice de la communication et du digital, OPPBTP (l’Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics) ;Solène Bordenave : Senior consultant, Impulse Partners ;Delphine Eyraud-Galant : Déléguée Smart Up Bâtiments, Gimélec;Emilie Garcia : Responsable financement innovation, BPI France ;Emmanuel Natchitz : Directeur du développement, ESITC Paris ;Franck Le Nuellec : Directeur marketing, développement et innovation stratégique, CCCA-BTP ;Guillaume Sever : Responsable suivi des participations, BPI France ;Ara Shahnazaryan : Conseiller en stratégie et transformation numérique, S.H. Conseil ;Thomas Volpi : Directeur, Houzz ;Bénédicte Winter : Senior Manager Energy, Building & Environmental Technologies, GTAI (Germany Trade & Invest).
Il y a 4 ans et 148 jours

SPIE France dynamise sa politique RH au bénéfice de ses collaborateurs

La démarche concerne la valorisation des évolutions de carrière dans un groupe ambitieux et en pleine transformation. Chaque collaborateur a les moyens de construire sa trajectoire et de se projeter au sein des différentes filiales de SPIE France. Tous ont désormais une vision globale de leur fonction, ils visualisent précisément les compétences attendues et évaluent mieux celles qu’ils doivent développer et comment le faire.Lancée en février 2019, cette démarche permet d’optimiser la gestion des compétences, de préparer les évolutions professionnelles et organisationnelles. Marqueur de la transformation de SPIE France, le projet s’est tout d’abord constitué sur un socle de 5 communautés professionnelles : Offres et actions commerciales – Management de Centres de profits / Gestion des affaires et projets – Chantiers Opérations (travaux, maintenance et management de chantiers) – Etudes – Experts.L’ensemble de ces communautés représente 10 filières et 62 fonctions. 80% des métiers opérationnels de SPIE France ont été étudiés et ont donné lieu à la réalisation d’un référentiel commun.Chaque fonction a fait l’objet d’une présentation en 5 parties créant un référentiel commun pour la description de la fonction, les compétences transverses et métiers nécessaires, les perspectives d’évolution au sein de chaque filière, les passerelles inter-métiers au sein de chaque filiale et de SPIE France et les parcours de formation.Les objectifs de la démarche sont les suivants :Mettre en adéquation les ressources humaines d’aujourd’hui et les besoins en compétences de demain en lien avec le plan stratégique de SPIE France et de ses filialesRendre plus lisibles les métiers et les évolutions possibles au sein des filiales et des filières de SPIE FranceOptimiser le recrutement des équipes opérationnelles et managérialesRendre les collaborateurs les acteurs de leur évolution en leur permettant d’évaluer les opportunités qui leur sont offertesCartographier les compétences attendues pour chaque fonction, tracer la progression pour chacune d’entre ellePromouvoir la mobilité interne entre les filiales et les filièresLe référentiel des fonctions et des compétences désormais déployé pour les 62 fonctions opérationnelles, en cours de réalisation pour 45 fonctions supports, est accessible via le Système d'Information Ressources Humaines (SIRH) pour l’ensemble des collaborateurs et managers. Tous disposent d’un socle commun particulièrement utile lors des entretiens annuels d’évaluation, des entretiens professionnels ou de l’intégration des nouveaux collaborateurs.Pour construire ce dispositif, SPIE France a choisi le mode collaboratif et s’est inscrit dès le début des travaux dans une démarche très opérationnelle en appui sur 13 ateliers, chacun composé d’un sponsor membre d’une filiale, d’un pilote RH et de 4 à 5 opérationnels issus de différents métiers et filiales. Au total, une centaine de collaborateurs ont conduit un diagnostic pertinent des métiers et des compétences.Les responsables des ateliers se sont régulièrement réunis pour partager les avancées de leurs travaux et formaliser leurs contributions respectives. Les résultats ont été recueillis et synthétisés dans le « book GDC » présenté aux dirigeants de SPIE France, à l’occasion d’un séminaire de direction.Ce livrable est destiné aux collaborateurs, aux managers, aux futurs candidats et aux représentants de la filière RH. Il est aussi utilisé en externe par les futurs candidats et les ambassadeurs Ecoles pour mieux maîtriser les métiers des filiales et promouvoir les besoins en compétences au sein des 34 écoles partenaires de SPIE France.« L’implication des opérationnels dans la démarche a été déterminante. L’adhésion a dépassé nos attentes et a permis une contribution collective d’une grande utilité pour qualifier les compétences et explorer de manière très concrète le périmètre de chacune des fonctions », indique Patricia Léné, responsable développement ressources humaines et diversité chez SPIE France et chef de projet GDC. « L’ensemble de cette démarche valorise la mobilité interne des collaborateurs au niveau national ou au sein d’un même bassin d’emploi. Le contexte économique actuel, très complexe, qui nécessite une grande agilité a révélé l’efficacité de la démarche qui nous a permis d’accompagner les collaborateurs et de répondre rapidement aux enjeux d’adaptation des compétences aux besoins du marché », conclut Olga Martin-Jarousse, directrice des ressources humaines de SPIE France.
Il y a 4 ans et 149 jours

Pour certains salariés le télétravail n'est plus tenable

"Cinq jours sur cinq, c'est plus tenable!", tant physiquement, avec "des douleurs qui arrivent de partout" faute d'exercice, que psychologiquement, rapporte à l'AFP Claude (prénom modifié), salariée chez EDF dans la région lyonnaise. "J'ai l'impression d'être au bord de la dépression alors que j'ai jamais été comme ça. Je suis chez moi, je me mets à pleurer devant mon ordinateur", confie cette femme de 51 ans.Depuis la fin octobre, le protocole sanitaire en entreprise impose le télétravail comme une règle, précisant qu'il doit être "porté à 100% pour les salariés qui peuvent effectuer l'ensemble de leurs tâches à distance".A compter de jeudi, ce protocole sera adapté pour permettre aux salariés qui en éprouvent le besoin de revenir sur site, avec l'accord de leur employeur, une journée par semaine, la ministre du Travail Elisabeth Borne y voyant "un enjeu de santé publique", alors que beaucoup souffrent d'isolement.C'est le cas de Claude qui affirme qu'elle "ne peut pas continuer à vivre comme ça", n'ayant "plus aucune vie". "On prend l'image à l'heure actuelle d'un prisonnier: on a le droit de sortie, mais on vit la même vie que le prisonnier tout seul dans sa pièce", dit-elle, plaidant pour qu'on "laisse le choix" à ceux qui veulent retourner au bureau.Si le télétravail, que beaucoup ont découvert avec le Covid, a fait des adeptes, le 100% fait beaucoup moins recette: selon un sondage Ifop publié début décembre et portant sur les salariés de Paris et sa petite couronne, ils ne sont que 8% à vouloir travailler exclusivement à distance."Je me marche dessus""Je n'aime pas travailler chez moi", confirme à l'AFP Romain Berger, 28 ans, employé d'un groupe de communication parisien qui a pu revenir un peu sur site comme Claude entre les deux confinements. "Chez moi je me repose et on travaille au bureau", "je n'aime pas trop mélanger les deux", dit-il.Pour ce salarié qui aimerait bien revenir plus qu'un jour par semaine, ce sentiment est "renforcé" par le fait qu'il vit dans un petit espace de 15 m2: "Je me marche un peu dessus", dit-il."A la maison on n'a que des problèmes, on n'a pas les bons côtés du boulot, les côtés où on rigole, on parle de tout et de rien", rapporte de son côté James. "Du coup, le soir, ça monte, ça monte, ça monte (...), il n'y a pas de soupape de décompression", ajoute ce quadragénaire actif dans l'horlogerie.Sophie (prénom modifié), dans un bureau d'études en région lyonnaise, met aussi en avant le manque d'interactions sociales. "On a toujours à gagner à échanger avec nos collègues", constate la jeune femme de 33 ans, pour qui il y avait "plus de légèreté à travailler à plusieurs", à faire ses pauses ensemble. Elle compte "sauter sur l'occasion" d'un assouplissement car "on se perd un peu" dans ce mode de travail.En apprentissage dans le marketing-communication dans une compagnie d'assurance en Île-de-France, Alexandre, 25 ans, à distance depuis novembre, a aussi "hâte" de retourner sur site. "J'ai pu constater que je ralentissais en compréhension et en formation, ça m'énerve un peu", dit le jeune homme, tout en se disant conscient que le télétravail est "un mal pour un bien" face à l'épidémie.Après le premier assouplissement attendu, Mme Borne avait fait état d'"un deuxième jalon au 20 janvier", consistant à laisser la main aux partenaires sociaux, qui viennent de conclure un accord national, "pour définir dans le dialogue social un nombre minimal de jours de travail". Mais la ministre a laissé entendre lundi soir aux partenaires sociaux que cette échéance serait repoussée, en raison de la situation sanitaire.Un numéro vert (0800.13.00.00) a aussi été lancé mi-novembre pour accompagner les salariés qui vivent difficilement la situation.
Il y a 4 ans et 149 jours

Plan de relance : l'Etat propulse l'emploi dans le BTP au sommet des chartes

En présence de Bruno Le Maire, Elisabeth Borne, Emmanuelle Wargon et Alain Griset, les fédérations professionnelles du secteur du bâtiment et des travaux publics ont signé des chartes d'engagement pour l’emploi et la formation professionnelle.
Il y a 4 ans et 149 jours

« Objectifs bas carbone » pour les participants du CementLab

Afin de nourrir et amplifier cette démarche fédérative, des rencontres sont, en effet, régulièrement organisées. Les start-up viennent y présenter leur solution auprès des différents acteurs de la chaîne de construction au sens large : du chercheur à l'entreprise générale, en passant par l'architecte, le bureau d'études, l'industriel producteur de matériaux, les constructeurs et promoteurs, etc. Le workshop du 15 décembre a d'ailleurs connu un grand succès, avec la participation d'environ 130 personnes. Suite aux interventions de qualité de la première partie du CementLab, les participants ont sollicité en nombre les start-up, afin d'échanger avec eux, dans un second temps, dans les coffee-rooms privées.Le bas carbone, un engagement de l'industrie cimentièreL'industrie cimentière est engagée depuis des décennies dans une démarche d'écologie industrielle : gestion raisonnée de la ressource, économie circulaire, nouvelles technologies, recherche et développement. Pour réduire son empreinte carbone, l'industrie cimentière travaille sur deux axes d'optimisation : les ciments à basse empreinte carbone, ainsi que les technologies de rupture pour capter le CO², dans le process. La cimenterie du futur sera une industrie qui non seulement captera les émissions de carbone, mais produira ses matériaux à partir de déchets.Des start-up innovantes qui œuvrent dans un objectif de réduction de l'empreinte carboneL'industrie cimentière, engagée dans des démarches qui s'inscrivent dans le cadre de la transition écologique, soutient toute initiative visant à réduire l'empreinte carbone du secteur. Dans ce cadre, 3 start-up ont pu ainsi venir exposer les solutions qu'elles proposent :Néolithe : Néolithe développe une technologie de transformation des déchets ménagers et industriels non-recyclables en granulats minéraux utilisables dans le BTP (notamment dans les routes et les bétons). Leur procédé permet l'économie de 80% des émissions de CO² traditionnellement liées au traitement des déchets. Openergy : Plateforme de simulation énergétique du bâtiment en exploitation, introduisant un suivi systématique des résultats.CloudCycle : Solution digitale d'harmonisation entre l'offre et la demande de béton réduisant les coûts et les émissions de CO².Des témoignages d'experts et spécialistesOutre les pitchs des start-up, Sekoya, la plateforme carbone & climat d'Eiffage, entièrement dédiée aux matériaux et procédés bas carbone, a fait l'objet d'une présentation.Sekoya a pour rôle d'identifier et de mettre en valeur les solutions des entreprises les plus innovantes, favorisant ainsi l'émergence de la ville et des infrastructures durables. Cette plateforme soutient le déploiement des solutions bas carbone, afin de lutter contre le dérèglement climatique, pour participer à l'amélioration de la qualité de vie des habitants. Les solutions auditées par Sekoya sont proposées dans le cadre d'appels d'offres.En complément de ce témoignage, le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) est venue présenter ses missions : garantir la qualité et la sécurité des bâtiments, et son positionnement sur le bas carbone. Le CSTB rassemble des compétences pluridisciplinaires pour développer et partager les connaissances scientifiques et techniques déterminantes. Il accompagne les acteurs dans le cycle de l'innovation de l'idée au marché et dans la transformation du monde du bâtiment en lien avec les transitions environnementale, énergétique et numérique.Les liens des replay : Intervention Eiffage/Sekoya : https://www.youtube.com/watch?v=ljLinbCkOMMIntervention Néolithe : https://www.youtube.com/watch?v=c0qKgBh6NeoIntervention Cloudcycle : https://www.youtube.com/watch?v=eB0C408rQWIIntervention Openergy : https://www.youtube.com/watch?v=HXB0hFU_q4YLe CementLab en 5 points :Un laboratoire d'idées dédié au ciment et à son usage, et plus largement à tous les acteurs de la construction (cimentiers, carriers, producteurs de béton, constructeurs, promoteurs, architectes, bureaux d'études et d'ingénierie, économistes, etc.).Comprendre et analyser les enjeux de la transition numérique et écologique pour adapter l'offre et les bonnes pratiques nécessaires aux impératifs du marché.Favoriser une dynamique d'échanges et de rencontres entre industriels, start-up et chercheurs pour encourager le transfert de technologie et l'innovation dans une démarche de développement durable et d'économie circulaire.Saisir les opportunités de solutions convergentes et les unir pour passer de l'idée à la réalisation concrète sur le terrain.Une démarche initiée par le SFIC (Syndicat français de l'industrie cimentière) et pérennisée par des rencontres régulières ainsi qu'une plateforme dédiée : https://cementlab.infociments.fr.
Il y a 4 ans et 150 jours

Résultats de la 17ème édition des Pyramides d'Or de la FPI

Entièrement rénovées en 2016, sous l'impulsion d'Alexandra François-Cuxac, Présidente de la FPI, les Pyramides sont centrées sur les sujets essentiels de la Fédération : innovation, qualité, performances techniques, esthétique, responsabilité dans la conduite des opérations, relation-client et émergence de nouveaux talents. Cette année le concours était présidé par Jean-Louis Borloo, ancien Ministre d'Etat. La cérémonie nationale de remise de prix de la 17ème édition du concours s'est tenue le 16 décembre 2020, en Web Live TV et a été ouverte par Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au Logement.« En se portant candidat au concours le plus exigeant du secteur, les promoteurs immobiliers adhérents de la FPI ont témoigné de leur engagement à mettre leurs méthodes et programmes en cohérence avec les transformations sociétales, numériques et environnementales, les mutations des usages et les attentes de leurs clients. Face à un contexte exceptionnel, nous avons tout fait pour maintenir ce concours, dans les régions et au niveau national, envers et contre tout...Nous avons pu nous appuyer sur nos partenaires fidèles, sponsors de chacun des prix, nos chambres régionales et nos adhérents. »Alexandra François-Cuxac, Présidente de la FPI FranceLa Pyramide d'Or - Grand prix national - parrainé par SOCFIMLe lauréat est : « Asnières SO HO » de COGEDIM et COFFIM à AsnièresArchitecte : Yann FranconiePrix de l'immobilier d'entreprise - parrainé par SMABTPLe lauréat est : « MA.AT » de DEMATHIEU-BARD à ArcachonArchitecte : Laurent Portejoie – atelier d'architecture King Kong FivePrix de l'innovation industrielle - parrainé par le Groupement des Industriels de la Prescription (GIP)Le lauréat est : « Brazza – Les volumes capables » de EDEN PROMOTION à BordeauxArchitecte : Michel Hardoin- Atelier 6 ArchitecturePrix de la mixité urbaine - parrainé par Chevreuse CourtageLe lauréat est : « L'Etoffe » de NACARAT et NODI à Villeneuve d'AscqArchitecte : De Alzua ArchitectesPrix de la conduite responsable des opérations - parrainé par ApaveLe lauréat est : « Novadiem » de BOUYGUES IMMOBILIER à ToulouseArchitecte : Cobe ArchitecturePrix du bâtiment bas-carbone – parrainé par EDFLe lauréat est : « Origine » du Groupe CISN à Saint-NazaireArchitecte : Asa GimbertPrix des premières réalisations - parrainé par les Banques PopulairesLe lauréat est : « L'Eveil » de NEOPROMOTION à Castelnau-le-LezArchitecte : IPC Laurent BesnierPrix du grand public - parrainé par GRDFElection du lauréat en direct lors de l'émission en Web Live TV. Les participants de la cérémonie de remise de prix ont voté, en direct, parmi les 3 programmes suivants, sélectionnés par le jury national des Pyramides d'Or : « Paris Kyoto Babylone » de BOUYGUES IMMOBILIER, à Aix-les-Bains, architecte Chambre et Vibert « Le Bird » de KIC au Touquet, maître d'œuvre Projex Ingénierie « Lucinia », LE CREDIT AGRICOLE IMMOBILIER à Couëron, maître d'œuvre : Huca Architectes.Le lauréat est : « Le Bird » de KIC au Touquet,Maître d'œuvre : Projex IngénieriePrix BIM & Data – parrainé par SOCOTECLe lauréat est : « Les Terrasses de Jade » de LP Promotion à ToulouseArchitecte : Taillandier architectes Associés
Il y a 4 ans et 150 jours

Les bénéfices d’une acquisition immobilière

Dans le cadre de ses activités, tout le monde voudrait se développer. Le but est bien entendu la maximisation des gains. Il existe plusieurs activités rentables, toutefois le domaine de l’immobilier compte parmi les meilleures. C’est pourquoi il est intéressant d’acquérir un bien immobilier. Par ailleurs, l’assistance préalable d’une agence immobilière est recommandée. Pourquoi devenir propriétaire d’un bien immobilier ? Devenir propriétaire d’un bien immobilier confère beaucoup d’avantages. Déjà, pour celui qui cherche un logement pour y habiter, en devenant propriétaire, il n’aura pas à supporter le loyer. Ce sera un investissement utile et durable. Pour ceux qui ont déjà un chez-soi, mais qui veulent placer leur argent, c’est une très bonne perspective. En effet, une maison peut-être revendue pour faire des bénéfices. Bien entendu, pour revendre plus cher, il faut avoir effectué des rafraîchissements. A part cela, la mise en location est une source de revenus sûre. Faire louer un bien immobilier est très bénéfique. C’est une source d’argent assurée et sécurisée. Un contrat de bail doit se faire entre le propriétaire et le locataire pour que l’accord soit valable. Cette expression de volonté formalisée sur papier est une garantie pour le propriétaire que les loyers seront bien payés. À défaut, il pourra les réclamer grâce à l’existence du contrat. Pour le locataire, le contrat sur papier est une source de droit. En effet, il aura le droit au renouvellement de contrat de son contrat de bail et ne pourra être évincé du logement que pour des raisons valables. Cependant, il faut distinguer le bail civil du bail commercial. Les revenus dépendent de l’accord entre les parties, mais les droits nés des deux différents types de contrat ne sont pas les mêmes. Faut-il se faire assister par une agence immobilière ? Dans le cadre d’une acquisition d’un bien immobilier, il faut toujours avoir recours à des conseils de professionnels. Évidemment, il ne sert à rien d’aller chercher loin. Celui qui est bien en règle et qui se trouve à proximité de l’endroit où l’on souhaite investir fera l’affaire. À titre d’exemple, si l’on cherche un bien immobilier à Metz, il faut faire appel à une agence immobilière Metz. Elle sera la mieux placée pour jouer le rôle d’intermédiaire entre l’acheteur et le vendeur d’un bien immeuble dans cette ville. Les services d’une agence immobilière ne doivent pas être négligés. Certes, on peut se débrouiller soi-même lorsqu’on cherche une maison à acheter ou à louer, mais il faut prendre en compte que négocier le prix n’est pas toujours facile. Pour les propriétaires qui veulent vendre ou mettre en location leur bien immeuble, dénicher les meilleurs clients n’est pas à la portée de tous. Par ailleurs, une agence immobilière peut également conseiller quant aux procédures administratives les plus complexes. C’est par exemple le cas des informations sur tous les documents qu’il faut vérifier et ensuite la procédure à suivre pour achever à bien une vente immobilière. Lorsqu’on achète un bien immobilier, avant de passer un contrat, il faut par exemple vérifier si le bien n’est pas hypothéqué et s’il n’a pas déjà fait l’objet d’une première vente.
Il y a 4 ans et 150 jours

2021 : la transition entre CITE et MaPrimeRénov’ continue

La loi de finances pour 2021 a été publiée au Journal officiel du 30 décembre 2020. Parmi ses 271 articles, certains concernent l’amélioration énergétique des bâtiments, la transformation du CITE vers MaPrimeRénov’. Transformation du Crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) (LF 2021 : art. 53 / CGI : art. 200 quater) Dans la continuité de la loi de finances pour 2020 qui a organisé une refonte du Crédit d’impôt pour la transition énergétique, des dispositions transitoires sont prévues jusqu’à l’extinction du CITE et son remplacement par MaPrimeRénov’. Les contribuables qui justifient de l’acceptation d’un devis et du versement d’un acompte en 2018 et dont les travaux sont payés en 2020 peuvent bénéficier du CITE dans les conditions applicables avant 2020. Ces dispositions transitoires s’appliquant déjà aux contribuables qui justifient de l’acceptation d’un devis et du versement d’un acompte en 2019 et dont les travaux sont payés en 2020. Le texte comporte également des mesures transitoires permettant le bénéfice du CITE dans sa version en vigueur en 2020, pour les dépenses payées en 2021 pour lesquelles le contribuable peut justifier de l’acceptation d’un devis et du paiement d’un acompte en 2019 ou en 2020. Dans ces deux cas, le contribuable ne peut pas cumuler, pour les mêmes dépenses, le CITE et MaPrimeRénov’. MaPrimeRénov’ : ajustement du dispositif (LF 2021 : art. 241 / Loi du 28.11.19 de finances pour 2020) Dans le cadre du plan de relance, le Gouvernement avait annoncé l’ouverture de MaPrimeRénov’ aux propriétaires-occupants aux revenus supérieurs, aux propriétaires-bailleurs et aux syndicats de copropriétaire. Les conditions de cet élargissement seront précisées par décret début janvier 2021. À noter que le régime MaPrimeRénov’ Copropriétés a quant à lui été défini par la délibération n° 2020-54 du Conseil d’administration de l’Anah du 2 décembre 2020 et publiée au bulletin officiel du 19 décembre 2020. Concernant les propriétaires aux revenus supérieurs, il est prévu qu’ils ne soient éligibles à la prime que pour certaines catégories de travaux et de dépenses financées, avec un barème différent des autres catégories de ménages. Aussi, l’article 15 de la loi de finances pour 2020 est modifié pour préciser que, jusqu’au 31 décembre 2022, par dérogation, la prime peut être distribuée sans conditions de ressources, selon la nature des travaux et les dépenses financées. Le plan de relance prévoit également que les ménages nouvellement éligibles à MaPrimeRénov’ à partir du 1er janvier 2021 puissent débuter leurs travaux dès le 1er octobre 2020. L’article 15 de la loi de finances pour 2020 est ainsi complété de manière à ce que l’attribution de la prime soit rétroactive au 1er octobre 2020. Cette rétroactivité est exprimée de la façon suivante : « entre le 1er janvier et le 31 décembre 2021, le bénéficiaire peut déposer une demande de prime après avoir commencé ses travaux ou prestations, sous réserve que ceux-ci soient justifiés par un devis réalisé entre le 1er octobre et le 31 décembre 2020, qu’ils aient été commencés au cours de cette même période, et que le bénéficiaire ne soit pas éligible à la prime (dans sa version antérieure) à la date de démarrage des travaux ou prestations ». Par ailleurs, pour éviter des cumuls entre MaPrimeRénov’ et le CITE pour les propriétaires occupants, entre le 1er octobre et le 31 décembre 2020, une disposition est prévue pour autoriser l’Anah à transmettre systématiquement à l’administration fiscale les informations dont elle dispose sur les bénéficiaires de MaPrimeRénov’. Dans la réalisation de cette communication, l’Anah ne peut pas se voir opposer l’obligation au secret professionnel. Enfin, un seuil en dessous duquel MaPrimeRénov’ ne sera pas versée car le montant serait trop faible au regard des coûts d’instruction, est instauré. Parallèlement, il est prévu la création d’un second seuil en deçà duquel l’Anah peut renoncer à recouvrer les sommes indûment perçues. Le montant de ces deux seuils sera précisé par arrêté conjoint des ministres chargés du Logement, de l’Énergie et du Budget.   Source : Anil  
Il y a 4 ans et 154 jours

Trois CFA sur quatre ont augmenté leur nombre d'apprentis en 2020

Cette hausse, plus forte chez ceux relevant du supérieur, est attribuée à la fois à la réforme de l'apprentissage de 2018, qui a libéralisé l'ouverture de centres, mais aussi au plan de relance de l'apprentissage décidé cet été avec le versement d'une prime aux employeurs (5.000 euros pour un apprenti mineur, 8.000 euros pour un majeur).Cette hausse est cohérente avec les indications du gouvernement qui a fait état de plus de 420.000 contrats d'apprentissage signés cette année, contre 368.000 l'année dernière.Par ailleurs, alors que le financement a été réformé, 46% des CFA estiment qu'ils seront à l'équilibre cette année, 22% en excédent budgétaire et 19% en déficit.Le financement des CFA repose depuis cette année sur une prise en charge de chaque contrat d'apprentissage: à chaque fois qu'un jeune en signe un, le centre perçoit une somme - appelée "coût contrat" - censée couvrir ses frais pédagogiques, selon un barème national par diplôme établi par France Compétences.Par ailleurs, 85% des CFA répondants ont fait évoluer leurs modalités pédagogiques à la rentrée 2020, principalement par la mise en place de formation en distanciel. Et plus de la moitié (54%) ont ouvert de nouvelles sections de formations, dont un quart de niveau Bac+2.Cette enquête a été réalisée en octobre auprès de 600 des 1.330 CFA enregistrés par l'Education nationale.
Il y a 4 ans et 155 jours

Le calcaire, ennemi des canalisations

On dit qu’une eau est dure lorsque sa concentration en calcaire est importante. S’il n’est pas dangereux pour la santé, le calcaire peut causer des dégâts au niveau des canalisations. Avec le temps, la présence de calcaire peut fortement endommager la tuyauterie et les canalisations. Comment limiter les dégâts ? Eau pure, eau dure : le rôle de l’adoucisseur d’eau Une eau dure est la conséquence d’un taux de calcaire élevé. Son titre hydrotimétrique (TH), qui sert à mesurer la quantité de magnésium et de calcium, est supérieur à 150 milligrammes. La concentration en calcaire dans l’eau diffère d’une région à une autre. Elle est plutôt élevée du côté des Alpes et dans le Nord. Ainsi, renseignez vous sur la dureté de l’eau dans la zone d’habitation de vos clients afin de leur proposer l’adoucisseur la plus adapté à leur utilisation. Avant de vous installer dans une région en tant qu’artisan, renseignez-vous sur la dureté de l’eau du robinet. Vous pourrez ainsi prendre vos dispositions et éventuellement installer un adoucisseur d’eau chez vos clients en suivant ce lien afin d’obtenir une eau pure à votre domicile. Une eau dure n’est pas dangereuse pour la santé, mais est inconfortable au quotidien. Le calcium et le magnésium sont des éléments que nous pouvons retrouver dans les aliments que nous consommons habituellement. Elle permet de prévenir notamment les maladies cardiovasculaires. Le seul souci qu’on pourra constater est qu’elle a tendance à assécher la peau. Mais c’est au niveau des canalisations que le calcaire pose le plus de problèmes. Le calcaire : quelles conséquences sur les canalisations ? L’eau calcaire est à l’origine des dépôts calcaires aussi appelés tartre. Ceux-ci se forment lorsque l’eau chauffe ou s’évapore. Plus ils s’accumulent, plus les canalisations s’obstruent. Le débit de l’eau s’en verra alors réduit ou l’eau aura du mal à sortir des tuyaux. Le tartre a des conséquences négatives sur les machines puisqu’il va augmenter leur consommation en énergie. Sur le long terme, il peut réduire leur durée de vie et les endommager. Un chauffe-eau entartré, par exemple, mettra plus de temps à chauffer l’eau. Il va sans dire que la facture d’énergie risque d’être plutôt salée. Pour la machine à laver, en raison des dysfonctionnements causés par le tartre, vous utiliserez davantage de poudre à lessiver. Le calcaire diminue en effet l’action des produits d’entretien, ce qui conduit à augmenter la dose nécessaire. Enfin, l’utilisation d’une eau dure au quotidien est néfaste pour l’environnement. D’abord parce que les résidus des produits utilisés pour le détartrage se retrouvent dans les eaux usées. Ensuite, les appareils électroniques endommagés par le tartre qui finissent dans les déchetteries ne cessent d’augmenter. Un adoucisseur d’eau pour éviter les dépôts de calcaire Pour éviter d’engager de grosses dépenses, il faut diminuer au maximum la formation de tartre dans les canalisations. Pour ce faire, il faut contrôler la dureté de l’eau. Le meilleur moyen d’y parvenir est d’avoir recours à un adoucisseur d’eau. Comme son nom l’indique, ce dispositif réduit le TH de l’eau, donc la rend plus douce. Sa concentration en calcaire sera ainsi amoindrie et les dépôts seront moins importants. Pour limiter les dégâts, adoptez également les bons gestes. L’entretien régulier des canalisations est conseillé. L’utilisation de produits chimiques très corrosifs est le moyen le plus rapide et le plus efficace. Ceux-ci ne sont toutefois pas éco-responsables. Vous pourrez toujours vous diriger vers des produits plus naturels et respectueux de l’environnement. On pourra citer à ce titre le vinaigre blanc, le bicarbonate de soude ou encore le jus de citron.
Il y a 4 ans et 156 jours

Delta Dore crée le pole Smart IoT Solutions, une nouvelle étape dans l’interopérabilité au profit de la smart home

Fort d’un savoir-faire reconnu et de l’écosystème le plus large pour le pilotage des équipements de la maison, Delta Dore passe à la vitesse supérieure. Le groupe structure l’ensemble de ses activités IoT et Smart Home en créant l’entité Smart IoT Solutions. A destination de tous les professionnels de l’habitat, ce nouveau pôle est composé de trois piliers : « Your IoT », « Your services » et « Your interface ». L’objectif ? Accompagner les industriels à chaque étape de la transformation digitale de leurs offres de produits & services pour les logements, de la création, à l’exploitation, en passant par la conception. Delta Dore entend ainsi conforter son expertise et être moteur dans les prochaines grandes étapes de l’écosystème IoT.Avec 38 milliards d’objets connectés à internet dans le monde en 2020 (+ 285% par rapport à 2015 – source : IDC), l’univers IoT fait partie du quotidien, et particulièrement pour la maison qui ne cesse d’évoluer au fil des années. A titre d’exemple, les appareils d’équipement de la maison représentent à eux seuls 57 % des ventes d’objets connectésen 2020.Cette multitude d’équipements et d’écosystèmes soulève un point : comment garantir uneexpérience simple et intuitive autour de la smart home ?Une question qui impacte autant les industriels (concevoir des équipements pilotables à distance) que les utilisateurs finaux (interagir de manière fluide sur une interface unique donnant accès à un grand nombre de solutions).« L'avenir de la maison intelligente nécessitera l'interopérabilité et la collaboration de nombreux écosystèmes, et plus largement une unification de l'expérience utilisateur. Notre ambition est de concevoir des solutions améliorant le confort de chacun, sécurisant l’habitat et participant à la transition énergétique. Nous entendons renforcer nos collaborations avec nos clients et partenaires technologiques. Nous voulons accompagner nos clients industriels dans l’évolution de leurs offres, par exemple en les aidant sur des aspects tels que la connectivité. Cela implique également l’interopérabilité de nos offres avec celles d’autres acteurs du marché, y compris de nosconcurrents » explique Stéphane Lemerle, Directeur du pôle Smart IoT Solutions.Delta Dore, le partenaire de choix dans la transformation digitale de l’habitatAvec une expertise de 50 ans dans la fabrication de solutions et dans la conception de produits en marque blanche, Delta Dore a su s’imposer sur le segment de la smart home avec près de 250 000 box domotique Tydom vendues.2020 : un nouvel ancrage dans l’Internet des objets et la transformation digitale de l’habitatLes attentes des clients et partenaires, l’évolution des usages, combinées à la force de l’écosystème smart home Delta Dore le plus large du marché, a naturellement amené la marque à structurer son expertise avec la création du pôle Smart IoT Solutions.L’équipe est composée de divers profils : ingénieur, architecte IoT, UX designer, chef de projets dédiés, développeur travaillant en mode agile. Sa mission est d’accompagner dans la transformation digitale de leurs offres les gestionnaires immobiliers, les fournisseurs de services d'énergie, les fabricants d'équipements, les constructeurs de maisons, les sociétés de maintenance, les agrégateurs d'énergie, les fournisseurs de services…Smart IoT Solutions : une activité pensée pour chaque étape de la Smart Home« Smart IoT Solutions se met au service de nos clients, leur apportant une expertise et des solutions qui leur permettent d’accélérer tout en conservant l’entière propriété de leurs données et la primauté de leurs contacts clients. Smart IoT Solutions aide à créer de la valeur, pas à en prendre », développe Stéphane Lemerle.Le groupe applique une stratégie claire et sur-mesure au service des professionnels avec comme objectif principal : créer de la valeur auprès de leurs clients.Au travers de trois offres complémentaires, Delta Dore propose ainsi un accompagnement unique sur le marché, allant de la conception de devices, à la proposition de nouveaux services et jusqu’à la création des interfaces.Your IoT : des solutions pour entrer ou évoluer dans le monde de l’IoT, via la création ou laréutilisation de devices, et connecter et piloter facilement ses équipements (connecteurs,box domotiques et digitalisées, modules, logiciels...) via une plateforme IoTYour services : une offre de services accessible via la plateforme IoT de Delta Dore pourapporter une valeur ajoutée aux fonctions à destination des utilisateurs.Your Interface : réalisation d’interfaces et applications smartphones sur-mesure pour unemeilleure expérience client (possibilité de pilotage via des assistants vocaux, large gammede télécommandes et switches connectés...)> ELM LEBLANC : offrir de nouveau services grâce à l’intégration de protocole radioLe système Optibox permet aux bailleurs sociaux et entreprises de maintenance de piloter et superviser, à distance, un parc de chaudières. Il permet aussi de proposer aux utilisateurs finaux, de nouveaux services comme le suivi des consommations.« Notre projet était un challenge technique qui a été relevé grâce à l’expertise radio des équipes Delta Dore et à leur savoir-faire industriel. Nos clients sont satisfaits du service innovant que nous leur apportons. ». Marc Trela, Directeur marketing produits.> SWAO : des fenêtres connectées alliant confort et sécuritéL’objectif était de développer un capteur pour permettre aux clients de connaître l’état(ouvert/fermé/en aération) de leur fenêtre afin de sécuriser leur habitat et réaliser des économies d’énergies.Un capteur qui peut aussi être couplé au système d’alarme pour faire une protection périmétrique et à la gestion du chauffage pour le couper en cas d’ouverture des fenêtres.« Le capteur I-SECURE® s’inscrit dans une démarche « origine France », Delta Dore était donc le partenaire idéal avec ses experts et sa production basée en Bretagne. Notre projet continue d’évoluer grâce aux retours terrain et à l'interactivité avec les équipes qui nous accompagnent au long cours. » Nicolas Robin, Directeur technique fenêtres.> WELL’COM : volets, portes de garage et stores connectés avec l’écosystème TydomLes volets, portes de garage, stores extérieurs ou intérieurs équipés de moteurs Well’com peuvent être pilotés à distance, réagir en fonction d’un scenario prédéfini ou même être contrôlés à la voix. Grâce à une compatibilité totale avec la Smart Home Delta Dore, Well’com permet ainsi aux utilisateurs de sécuriser leur maison, gagner en confort et contribuer à une meilleure performance thermique de leur habitat en hiver comme en été.« Conscients des enjeux qui s’ouvrent pour une maison plus confortable, plus sûre et plus performante, nous avons développé des produits permettant de bénéficier de tous les avantages qu’offre la Smart Home en intégrant nos produits dans l’application Tydom et en nous appuyant sur l’expertise globale de Delta Dore. » Pascal Ischoffen, Responsable de projets Well’com.> ARISTON THERMO s’intègre au logement connecté by Delta DorePour répondre au marché en pleine expansion du logement connecté, le groupe a souhaitérendre les solutions Ariston et Chaffoteaux compatibles avec l’écosystème Delta Dore.« Grâce au développement d'une passerelle nos clients peuvent piloter nos chaudières et pompes à chaleur depuis une interface Delta Dore. Le mode de fonctionnement local permet la régulation modulante et multizone du générateur depuis un boitier d’ambiance Delta Dore ainsi que le relevé de consommations RT2012. En mode connecté, il est également possible de gérer son confort thermique à distance depuis l’Application Smartphone Tydom. » Benjamin d'Erceville, Chef de produit connectivité.La prochaine étape ?Début 2021, Delta Dore ouvre son portail développeurs, un nouveau pas vers l’ouverture avec la mise à disposition des API facilitant ainsi l’intégration des équipements et des services de la Smart Home.
Il y a 4 ans et 157 jours

Paris lance des initiatives contre le réchauffement climatique

"Nous sommes convaincus que c'est par l'action très concrète, à l'échelle locale qu'on fait bouger et qu'on trouve des solutions pour réduire l'élévation de la température", a plaidé vendredi la maire PS de Paris Anne Hidalgo, au cours d'un forum sur le climat à Paris.Il faut porter de "nouvelles propositions" pour "la préservation de notre planète" et répondre ainsi à "l'espoir de la jeunesse", a poursuivi l'édile en clôture du forum, convaincue que "c'est un nouvel élan qu'il faut donner à l'Accord de Paris".Ainsi, la Ville de Paris va lancer son GIEC, "une instance scientifique qui va regrouper experts en sciences sociales et chercheurs indépendants, de très haut niveau. Jean Jouzel [climatologue français et proche d'Anne Hidalgo] participera à sa création et à la définition de sa composition", a annoncé à l'AFP l'adjoint EELV chargé du Plan Climat, Dan Lert, évoquant un "GIEC Paris" inspiré, à l'échelle de la capitale, du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat mis en place à l'initiative de l'ONU.Cette instance, qui pourra être saisie "par les élus, les associations, les citoyens", "permettra d'éclairer les décisions de la Ville de Paris", a précisé M. Lert."Quels sont les quartiers de la capitale qui sont les plus impactés par le réchauffement climatique?", "quelles sont les rues à végétaliser en priorité?", "quels sont les quartiers où on doit accélérer la transition parce qu'il n'y a pas assez d'espaces verts, qu'il y a des noeuds routiers?", sont autant de questions auxquelles le GIEC devra répondre."A Paris, entre 2004 et 2018, nos émissions de gaz à effet de serre ont baissé de 25%. Désormais, notre défi, c'est l'accélération des politiques de transition écologique. On doit réussir en dix ans ce qu'on a fait en quinze ans", rappelle Dan Lert.Autre nouveauté: sur le modèle de La Rochelle, Paris va créer son "opérateur de compensation carbone". Concrètement, "je suis Parisien et demain je dois prendre l'avion. Je pourrai grâce à cet opérateur de la Ville compenser les émissions causées par mon voyage en finançant des projets bas-carbone à Paris ou dans le bassin parisien", suggère un cadre de la mairie.Des volets aux fenêtresCes annonces surviennent à la veille du cinquième anniversaire de l'Accord de Paris, dans lequel les pays s'engageaient à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C, si possible 1,5°C.Or "la France a un retard net sur sa trajectoire: en 2019, la température moyenne du globe est déjà à +1°C et à Paris, elle est à +2,2 par rapport à 1880. Il faut accélérer!", insiste l'élu.Ainsi, l'Hôtel de Ville a décidé de mettre en place une nouvelle "stratégie d'adaptation" face aux événements climatiques extrêmes, comme les vagues de chaleur, en assurant une "végétalisation" de la ville, "la réouverture d'un tronçon de la Bièvre (un ruisseau enterré il y a plus d'un siècle) au cours du mandat", en multipliant "les parcours ombragés" dans les rues, en mettant "en place une centaine de fontaines à boire dès l'an prochain" ou encore en proposant un plan pour poser des volets aux fenêtres des logements.En outre, "nous allons lancer un plan solaire avec installation de panneaux sur nos bâtiments publics (écoles, collèges, équipement sportifs et stades)", ajoute Dan Lert.Annoncée il y a plusieurs mois, l'Académie du climat (lieu de formation, de rencontres entre les associations, d'ateliers...) ouvrira ses portes "en septembre dans la mairie du IVe arrondissement et accueillera des jeunes de 9 à 25 ans", a indiqué l'adjoint à l'Education Patrick Bloche.
Il y a 4 ans et 157 jours

Rockcomble Evolution et Rockcommerce remportent deux prix des Trophées du Négoce

Lors de la 13ème édition des Trophées du Négoce qui s’est déroulée le 15 décembre à Paris, Rockcomble Evolution a été lauréat de la catégorie Performance thermique. Cette distinction récompense la politique d’innovation de ROCKWOOL et sa solution d’isolation en laine de roche pour faciliter l’isolation des combles aménagés, augmenter le confort de pose et améliorer les performances thermiques et acoustiques. Rockcommerce, a quant à lui été primé dans la catégorie « Services aux négoces/clients ». Lancé en juin dernier, ce service digital sur mesure permet de faciliter la gestion de l’ensemble des services proposés par ROCKWOOL à ses clients.Organisé par Le Moniteur Events, ce concours récompense les meilleures initiatives et innovations de la distribution dans le secteur du bâtiment. Matthieu BIENS, directeur marketing et développement produit de ROCKWOOL,déclare : « Ces deux trophées sont très importants à nos yeux. C’est la reconnaissance de notre transformation digitale avec Rockcommerce et de notre démarche d’innovation continue avec Rockcomble Evolution. Ce sont 2 piliers essentiels de notre stratégie qui sont récompensés ici. »Rockcomble Evolution est commercialisé depuis le mois de juillet 2019. Dans la lignée de Rockplus Premium, ce produit « premium » permet un gain de temps pendant l’installation et un gain de place intérieure une fois installé. C’est une innovation 100 % laine de roche avec un système breveté monocouche et une suspente RC EVO ; un seul panneau pour bénéficier du crédit d’impôt R=6 (m². K/W).Les caractéristiques à retenir de Rockcomble Evolution sont les suivantes :Rapide à installerDoux au toucher et facile à poserAssure un grand confort thermique été et hiver (λ33)Et un confort acoustiquePour Matthieu Biens, « Rockcomble Evolution, c’est toute notre démarche d’innovation continue en 1 système. On trouve dans ce produit aussi bien les bénéfices de nos derniers investissements technologiques à Saint Eloy les Mines avec une laine plus douce et avec de meilleures performances thermiques, que l’approche client avec un système innovant breveté et développé avec notre partenaire SPP PAI pour les suspentes. Le résultat : un gain de temps lors de la pose pour les artisans et pour le particulier une isolation sans compromis – sécurité incendie, confort d’été, acoustique, durabilité et recyclabilité. » Ce produit avait déjà gagné le prix du « produit innovant » au concours Sageret 2020.Rockcommerce, accessible via ordinateur, tablette ou smartphone, est avant tout une plateforme simple et intuitive permettant d’harmoniser et d’optimiser la réalisation des démarches, le tout de manière autonome. Développée et conçue spécialement pour simplifier le quotidien des clients et des commerciaux de ROCKWOOL, la plateforme digitale offre une toute nouvelle expérience en matière d’approvisionnement.En quelques clics, il est désormais possible de consulter l’ensemble des fiches produits, de passer une commande de manière simplifiée, 7 jours sur 7 et 24h sur 24, d’effectuer un tracking en temps réel sur ses livraisons mais aussi de visualiser et d’archiver ses factures. La plateforme propose également de trier les commandes par critères, les modifier ou même les annuler. Elle est accessible sur shop.rockwool.com« Nos métiers, les besoins de nos clients et nos interactions sont voués à évoluer et nous devrons utiliser tous les outils digitaux à notre disposition pour que nos clients bénéficient d’un service exemplaire et à la pointe de la technologie. C’est ce que nous avons voulu avec Rockcommerce : un service multi plateforme, smartphone, tablette ou ordinateur avec une multitude de services dont la prise de commande mais aussi le suivi des commandes et la géolocalisation. », explique Matthieu Biens.
Il y a 4 ans et 161 jours

Enedis et le GIMELEC signent une convention de partenariat

Tous deux mobilisés sur les enjeux des mutations du système électrique, la numérisation des métiers de l’électricité et des réseaux, la nécessité d’une transition vers l’éco-conception et les stratégies bas-carbone, Enedis et le GIMELEC se réunissent autour d’intérêts communs visant à accélérer la transition écologique et faire rayonner davantage la filière électrique française.Une convention ambitieuse pour anticiper au mieux les défis industrielsSignée pour 3 ans, la convention qui unit Enedis et le GIMELEC est centrée sur 4 engagements réciproques. L’accord vise à favoriser les projets et collaborations entre le GIMELEC et Enedis dans différents domaines techniques touchant à la sécurité, l’éco-conception et à la résilience des réseaux, la flexibilité des systèmes électriques ou encore tous les sujets qui progressivement inscrivent les réseaux de distribution dans la quatrième révolution industrielle. Les deux parties s’engagent également à s’informer mutuellement des évolutions et opportunités qu’ouvre la transition écologique en vue de susciter et d’accompagner les transformations industrielles majeures de la filière au service des clients. Cette convention permettra au GIMELEC de mieux faire connaitre à ses membres qui sont des fournisseurs d’Enedis les engagements de l’entreprise en matière d’achats responsables et de démarche RSE, engagements en lien avec le label Relation Fournisseurs et Achats Responsables qui reconnait à Enedis sa capacité d’écoute et d’accompagnement des entreprises partenaires et son engagement pour l’environnement.Une volonté commune d’agir en faveur des enjeux de la filièreEnedis et le GIMELEC s’engagent également à aborder ensemble les questions de développement à moyen et long terme de la filière électrique française. Enedis ambitionne d’ici 2035 d’investir 69 milliards d’euros pour accompagner la transition écologique dans les territoires et entend s’appuyer sur les entreprises partenaires qui œuvrent à ses côtés pour mener à bien les transformations nécessaires. Les grands enjeux des réseaux électriques que sont l’intégration de toujours plusd’énergies renouvelables au réseau, le développement de la mobilité électrique et le développement de l’autoconsommation individuelle et collective requièrent l’engagement de l’ensemble des acteurs de la filière.Marianne Laigneau, Présidente du Directoire d’Enedis, a déclaré : « La signature de cette convention avec le GIMELEC, notre partenaire, marque une étape importante, de surcroît dans une année qui nous a vu traverser une crise sanitaire inédite, dans laquelle la mobilisation de nos partenaires a été essentielle à la poursuite de nos activités. Je tiens à remercier les entreprises réunies au sein du GIMELEC avec lesquelles les équipes Enedis travaillent au quotidien. La convention que nous signons aujourd’hui s’inscrit dans la droite ligne de notre Projet Industriel et Humain qui vise à apporter un service public du 21e siècle à tous les Français en vue d’accompagner la transition écologique dans nos territoires ».Christel Heydemann, Présidente du GIMELEC, a déclaré : « La collaboration avec ENEDIS est une priorité pour la filière électro numérique. Nous nous réjouissons donc de la signature de cette convention, en continuité de la qualité de notre relation historique, encore renforcée durant la crise sanitaire. La prise en compte par Enedis des enjeux de la filière a été déterminante pour assurer à nos entreprises de pouvoir traverser cette période difficile en limitant les dommages. Ce partenariat est important pour préparer collectivement la transition énergétique et écologique, en tirant le meilleur parti de nos nouvelles technologies et des principes d’économie circulaire. »