Résultats de recherche pour production

Spécialiste de la menuiserie bois, Atulam semble bien déterminé à accélérer son développement ! 5 millions d'euros vont en effet être investis dans les 3 années à venir afin d'atteindre plusieurs objectifs ambitieux. Entre autres, l'industriel compte accroître sa capacité de production pour pouvoir fabriquer 80 fenêtres par jour à horizon 2019, et jusqu'à 100 équipements deux ans plus tard. Précisions.

L'union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) a abaissé ses prévisions de production pour 2018, notamment pour des raisons conjoncturelles.

L'été dernier, l'atelier AZC de Grégoire Zündel et Irina Cristea livrait sa toute dernière réalisation : un immeuble de bureaux évolutifs dans le 18e arrondissement de Paris. Abritant des locaux de petite et moyenne taille, le projet affiche une ambition claire : attirer les jeunes entrepreneurs et ainsi participer au renouveau du quartier. Ce n'est plus une nouveauté : l'on ne travaille aujourd'hui plus comme hier. Certaines start-up ont besoin de bureaux comme d'ateliers sur place pour gérer et peaufiner leur production ; les services tels qu'un restaurant, un gymnase ou encore une salle de conférence sont devenus indispensables, permettant aux jeunes entrepreneurs " qui préfèrent souvent évoluer avec leurs pairs " de partager, de discuter, lors d'événements formels comme informels ; enfin, les terrasses et autres patios sont devenus des extensions du bureau à part entière... Autant de mutations que les architectes doivent désormais prendre en compte pour la conception d'un édifice à vocation tertiaire, auxquelles s'ajoute la nécessité d'anticiper un éventuel changement de destination, car les bureaux d'aujourd'hui seront peut-être les logements de demain. Tous ces impératifs n'ont pas échappé à Grégoire Zündel et Irina Cristea, fondateurs de l'agence AZC, missionnés par la régie immobilière de la ville de Paris (RIVP) pour concevoir l'Hôtel d'Entreprises Binet. Localisée dans le 18e arrondissement de Paris et imaginée dans le cadre d'un grand projet de rénovation urbaine (CPRU), cette réalisation " s'inscrit dans un ambitieux dessein de développement, qui s'attaque au remodelage des voiries et au renforcement des continuités urbaines avec la commune de Saint-Ouen, détaillent les architectes, en diversifiant l'offre du quartier en termes de logements, bureaux, hôtels et écoles ". Concrètement, le cahier des charges impliquait la conception de petits et moyen locaux " compris entre 50 et 150 mètres carrés et dont le loyer serait plus abordable ", auxquels s'ajoutent une salle de conférence, une cafétéria, une salle polyvalente, divers espaces communs, ainsi que des places de stationnement. Pour abriter l'ensemble de ces fonctionnalités, l'équipe de Grégoire Zündel et Irina Cristea propose un édifice de béton, paré de brique pleine émaillée et de verre, construit selon un plan en L. L'ensemble s'élève sur sept étages " articulés en leur centre par de petits halls en double hauteur propices à la convivialité " disposés en escalier pour permettre la création de terrasses, " conçues comme des espaces de travail, avec des aménagements paysagers qualitatifs ", précisent les associés. De l'extérieur comme de l'intérieur, la structure en poteaux-poutres est particulièrement visible. Formant une sorte de quadrillage en 3 dimensions, elle rythme les façades comme les plateaux de bureaux, à la manière d'un canevas sur lequel maîtres d'"uvre comme preneurs n'ont plus qu'à broder. Ainsi, les architectes ont mis à profit cette trame pour proposer " de grandes baies par lesquelles la lumière pénètre à volonté ". Pour les futurs occupants, elle permet " le remodelage des plateaux selon les nécessités ". Dernier avantage enfin : être assez souple pour anticiper de possibles changements d'usages. À ce propos, Grégoire Zündel et Irina Cristea, de conclure : " Le bâtiment peut aujourd'hui accueillir du tertiaire ou de l'artisanat, mais pourrait demain recevoir du logement tout en gardant son identité et sa cohérence... " Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et d'AZC. Photographies : Sergio Grazia

Dormir dans un labyrinthe de Dédale... Situé dans le comté de Pingle, en Chine, l'hôtel The Other Place, récemment aménagé par les architectes chinois de Studio 10 propose des chambres aux esthétiques fortes et variées, parmi lesquelles The Maze, une suite sur le thème du rêve fourmillant d'escaliers impossibles. Si les escaliers sans fin et les couleurs pastel de la chambre The Maze, située dans les murs de l'hôtel The Other Place, ne sont pas sans rappeler l'"uvre de Lewis Carroll, l'agencement de cette suite un peu particulière doit en fait son origine aux "uvres du néerlandais Maurits Cornelis Escher, devenu célèbre pour ses lithographies mêlant illusions d'optique et architecture de l'impossible. Une production elle-même influencée par le mathématicien Roger Penrose, ami de l'artiste et créateur du triangle qui porte son nom, un objet parfaitement représentable en 2D mais inconcevable dans notre réalité physique. Résultat, la chambre signée Studio 10 est composée d'une multitude de marches, dont certaines sont littéralement à l'envers quand d'autres ne mènent nulle part. Le volume n'en paraît que plus grand " car sans fin " et a pour ambition d'évoquer le monde onirique, lui-même embrouillamini de pensées, idées et autres sensations. Histoire de brouiller davantage les pistes, le projet fait la part belle au rétroéclairage tandis que la quincaillerie est réduite à son minimum. Parfait pour un voyage version Inception... Pour en savoir plus visiter le site de Studio 10  Photographies : Chao Zhang

Installé à la Courneuve, dans une ancienne friche industrielle, le site fiduciaire de la Banque de France imaginé par l'agence Jean-Paul Viguier et Associés a été inauguré à la rentrée dernière. Une réalisation mêlant construction neuve et réhabilitation, caractérisée par un effort destiné à allier sécurité et ouverture sur le quartier. Explications. C'est en 1898 que Babcock & Wilcox, société américaine spécialisée dans la fabrique de chaudières industrielles, s'installe à La Courneuve, en Seine-Saint-Denis. Rapidement, la firme devient leader dans son domaine, faisant construire hangars, usines et autre halles pour répondre à ses besoins de production. Mais avec l'essor du nucléaire dans les années 1960, Babcock & Wilcox perd en vitesse, si bien que le site est peu à peu abandonné au cours du dernier quart du XXe siècle, jusqu'à être complètement déserté. C'est ici, " sur cette friche en bord de l'A86 ", que la Banque de France demande en 2014 à l'agence Jean-Paul Viguier et Associés de concevoir son nouveau site fiduciaire. L'objectif : réhabiliter deux anciens bâtiments de l'usine métallurgique en bureaux, et construire un nouvel édifice dans lequel doivent être traités, " dès l'ouverture, plus d'un milliards de billets, soit un quart du volume national ", expliquent les architectes. Une mission déjà ardue, à laquelle s'ajoute, en plus, une petite subtilité : en effet, le projet s'inscrit dans " une volonté de préserver le patrimoine emblématique des anciennes halles industrielles ". Un moyen de redynamiser le quartier dans le cadre du Grand Paris. Or, comment un bâtiment ultra-sécurisé pourrait-il contribuer au rayonnement nouveau d'un secteur ? En concevant un " coffre-fort " qui n'aurait pas l'air replié sur lui-même mais au contraire ouvert sur son environnement. Oui, mais comment ? À ces questions, les architectes de l'agence Jean-Paul Viguier et Associés répondent par une réalisation " composée de la juxtaposition de plusieurs volumes cubiques ". Celle-ci accueille " le contrôle automatisé à très haute cadence des billets avec une destruction automatique des billets usagés et la mise à l'écart des coupures douteuses. Le stockage des valeurs est lui assuré dans une "serre" haute de 26 mètres ", comme le détaillent les concepteurs. Bien qu'ils privilégient la sobriété, les architectes évitent le piège de la construction-forteresse en travaillant dans la mesure du possible la question des ouvertures. Ainsi, " la façade en céramique blanche déploie un jeu de motifs en creux et alternés qui en adoucit le caractère défensif et crée une vibration en fonction de l'ensoleillement ", tandis qu'un patio percé au centre du volume permet au personnel de prendre l'air pendant les pauses. Une construction phare complétée par la réhabilitation de deux halles " l'une en béton, l'autre en brique " situées à l'entrée du site et qui appartenaient autrefois à la firme Babcock & Wilcox. " Rénovés dans le respect de leur singularité ", ces deux volumes qui abritent les bureaux sont également destinés à l'accueil du public. Un bon moyen d'offrir la transparence nécessaire au site fiduciaire pour son intégration dans la vie du quartier. Pour en savoir plus, visitez le site de Jean-Paul Viguier et Associés  Photographies : Takuji Shimmura

Dans une tribune publiée le 27 novembre dernier, Clara Trévisiol, co-fondatrice de la startup Monabee, estime que l'objectif de 32% de production d'énergies renouvelables d'ici 2030 contre 20% semble " difficilement atteignable si des décisions ne sont pas prises immédiatement ". Revenant sur l'autoconsommation, elle pointe les freins à son développement et notamment le " manque d'audace politique face à un réel potentiel ". Tous les détails.

L'été dernier, l'atelier AZC de Grégoire Zündel et Irina Cristea livrait sa toute dernière réalisation : un immeuble de bureaux évolutifs dans le 18e arrondissement de Paris. Abritant des locaux de petite et moyenne taille, le projet affiche une ambition claire : attirer les jeunes entrepreneurs et ainsi participer au renouveau du quartier. Ce n'est plus une nouveauté : l'on ne travaille aujourd'hui plus comme hier. Certaines start-up ont besoin de bureaux comme d'ateliers sur place pour gérer et peaufiner leur production ; les services tels qu'un restaurant, un gymnase ou encore une salle de conférence sont devenus indispensables, permettant aux jeunes entrepreneurs " qui préfèrent souvent évoluer avec leurs pairs " de partager, de discuter, lors d'événements formels comme informels ; enfin, les terrasses et autres patios sont devenus des extensions du bureau à part entière... Autant de mutations que les architectes doivent désormais prendre en compte pour la conception d'un édifice à vocation tertiaire, auxquelles s'ajoute la nécessité d'anticiper un éventuel changement de destination, car les bureaux d'aujourd'hui seront peut-être les logements de demain. Tous ces impératifs n'ont pas échappé à Grégoire Zündel et Irina Cristea, fondateurs de l'agence AZC, missionnés par la régie immobilière de la ville de Paris (RIVP) pour concevoir l'Hôtel d'Entreprises Binet. Localisée dans le 18e arrondissement de Paris et imaginée dans le cadre d'un grand projet de rénovation urbaine (CPRU), cette réalisation " s'inscrit dans un ambitieux dessein de développement, qui s'attaque au remodelage des voiries et au renforcement des continuités urbaines avec la commune de Saint-Ouen, détaillent les architectes, en diversifiant l'offre du quartier en termes de logements, bureaux, hôtels et écoles ". Concrètement, le cahier des charges impliquait la conception de petits et moyen locaux " compris entre 50 et 150 mètres carrés et dont le loyer serait plus abordable ", auxquels s'ajoutent une salle de conférence, une cafétéria, une salle polyvalente, divers espaces communs, ainsi que des places de stationnement. Pour abriter l'ensemble de ces fonctionnalités, l'équipe de Grégoire Zündel et Irina Cristea propose un édifice de béton, paré de brique pleine émaillée et de verre, construit selon un plan en L. L'ensemble s'élève sur sept étages " articulés en leur centre par de petits halls en double hauteur propices à la convivialité " disposés en escalier pour permettre la création de terrasses, " conçues comme des espaces de travail, avec des aménagements paysagers qualitatifs ", précisent les associés. De l'extérieur comme de l'intérieur, la structure en poteaux-poutres est particulièrement visible. Formant une sorte de quadrillage en 3 dimensions, elle rythme les façades comme les plateaux de bureaux, à la manière d'un canevas sur lequel maîtres d'"uvre comme preneurs n'ont plus qu'à broder. Ainsi, les architectes ont mis à profit cette trame pour proposer " de grandes baies par lesquelles la lumière pénètre à volonté ". Pour les futurs occupants, elle permet " le remodelage des plateaux selon les nécessités ". Dernier avantage enfin : être assez souple pour anticiper de possibles changements d'usages. À ce propos, Grégoire Zündel et Irina Cristea, de conclure : " Le bâtiment peut aujourd'hui accueillir du tertiaire ou de l'artisanat, mais pourrait demain recevoir du logement tout en gardant son identité et sa cohérence... " Pour en savoir plus, visitez le site de AZC  Photographies : Sergio Grazia

Les 60 ans de LiuGong coïncident avec le cap des 400 000 chargeuses sorties des lignes de production du constructeur chinois.

Le ministre de l'Ecologie a annoncé qu'un objectif de 40% de la production électrique nationale issue de renouvelable à l'horizon 2030 sera inscrit dans la prochaine programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE)

L'exposition Géométries Sud du Mexique à la Terre de Feu sera présentée du 14 octobre au 24février 2018 à la Fondation Cartier, située dans le 14 e arrondissement de Paris. Au cours de cettesaison hivernale, installations, poteries et autres toiles vont ainsi illustrer l'omniprésence de lagéométrie dans la création artistique en Amérique Latine. Avec cette exposition conçue par les commissaires Hervé Chandès, Alexis Fabry et Marie Perennes, laFondation Cartier braque ses projecteurs sur l'Amérique Latine et plus particulièrement sur la géométrie,leitmotiv de la production artistique locale. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'architecture n'estpas en reste ! Véritable joyau du corpus présenté, un Salón de eventos éphémère conçu par le bolivienFreddy Mamini. Avec cette réalisation et ses autres "uvres racontées par le biais de photographies,l'architecte traduit sa culture et ses symboles Aymara " la minorité amérindienne la plus importante de laBolivie. Également exposée, une réalisation du duo paraguayen formé par Solano Benìtez et Gloria Cabral,lesquels s'intéressent particulièrement à l'association entre motifs géométriques, matériaux et culturelocale. Conçue spécialement pour l'événement, 6 x 8 est une structure monumentale construite à partir demorceaux de briques et de béton, dont les motifs triangulaires répétés semblent tenir en équilibre commepar magie malgré le poids des matériaux, une illusion accentuée par l'apparition, aléatoire mais étudiée,d'ombres et de lumière. A l'étage inférieur, paysages urbains et architectures sont enfin mis à l'honneur par le prisme de laphotographie, à travers des clichés signés Facundo de Zuviría, Armando Salas Portugal, ou encore AnnaMariani. Un voyage qui vous mènera du Mexique à la Terre de Feu en passant par le Brésil et leParaguay, au moyen d'éclatantes photos colorées, graphiques et symboliques. Attention au décollage ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Fondation Cartier Crédits : 1) Freddy Mamani © Tatewaki Nio2) © Thibaut Voisin3) © Facundo de Zuviría4) © Pablo López Luz5) © Anna Mariani6) © Salas Portugal

La filiale française de BDR Thermea group, acteur international du marché du chauffage et de l'eau chaude sanitaire, annonce le développement de son siège social historique à Mertzwiller, en Alsace. Face aux conditions défavorables pour les chaudières au fioul, réaffirmées par le gouvernement, l'objectif du site est désormais d'investir dans la production de pompes à chaleur. Le groupe espère à terme être reconnu comme " la référence sur le marché confort thermique en France ".

Le chauffagiste BDR Thermea (marque De Dietrich) va investir 50 millions d'euros et créer environ 100 emplois en trois ans dans son usine de Mertzwiller (Bas-Rhin) pour développer sa production de pompes à chaleur.

Le site industriel d'Outreau Technologie vient de retrouver ses lettres de noblesse avec l'inauguration d'une nouvelle fonderie dédiée à la production de c"urs d'aiguillage pré-durcis par explosion.

Sika a ouvert un nouveau siège social dans la région de Lima en implantant une usine moderne destinée à la production d'adjuvants pour béton, de mortiers et de membranes acryliques liquides appliquées (LAM).

Lors du salon Pollutec, Blard, spécialiste de la conception et la production d'éléments de regards en béton étanches pour les réseaux d'assainissement, dévoilera deux innovations : un élément de fond Euro 1000 et une bouche d'engouffrement Delta.

Pour répondre à une croissance annoncée pour 2019, Magna Tyres Group s'apprête à doubler la capacité de production de son usine de Hardenberg (Pays-Bas) avant la fin de l'année.

Spécialisé dans les équipements de production, stockage et distribution d'hydrogène, McPhy prévoit d'installer à Sorigny (37), pour la communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre, sa 15e station hydrogène. .

LafargeHolcim a signé ce 12 novembre un accord visant à céder ses activités en Indonésie au groupe Semen Indonesia. Cette opération, évaluée à 917 millions de dollars, s'inscrit dans la stratégie du spécialiste des matériaux de construction qui espère ainsi " accélérer son désendettement ". La société indonésienne, quant à elle, pourra considérablement accroître sa capacité de production de ciment.

Le manufacturier BKT vient de valider la construction d'un 6e site de production - un investissement de 100 M$ - sur le territoire américain.

Implantée en 1968 à Sermaises, dans le Loiret (45), l'usine historique de production de Chryso fête ses 50 ans d'existence.

La Carrière Eiffage des Grands Caous entame aujourd'hui une nouvelle page de son histoire avec une logique d'exploitation et de production industrielle tournée vers l'économie circulaire et le développement durable.