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Il y a 3 ans et 137 jours

Interview de Rofaïda Lahrech, ingénieure chercheuse, directrice de projet au CSTB

Le CSTB a pour ambition d’imaginer la ville de demain en sécurisant la construction, la rénovation durable tout en améliorant la qualité de vie des occupants. Ici Rofaïda Lahrech expose le projet « Rénostandard » qui a pour objectif de faire émerger des offres de rénovation globale pour répondre aux enjeux de massification. Pour mettre en place le projet, différents outils ont été utilisés comme le diagnostic transverse permettant la collecte d’informations et permettant une amélioration du confort. Avec : Rofaïda Lahrech, Ingénieure chercheuse, directrice de projet – CSTB Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 137 jours

L’État passe de 254 à 400 millions d'euros son aide aux écoles de Marseille

"Nous avions d'ores et déjà inscrit 254 millions d'euros d'autorisations d'engagements dans le projet de loi de finance 2022, tout comme la garantie d'emprunts pour 650 millions d'euros", a rappelé le chef du gouvernement mardi matin, aux côtés du maire socialiste de Marseille, Benoît Payan, au second jour de sa visite dans la cité phocéenne pour le suivi de la mise en oeuvre du plan "Marseille en grand" annoncé par le président Macron le 2 septembre."Nous monterons par différents canaux jusqu'à 400 millions d'euros le soutien de l'Etat à ce plan, qu'il nous faut maintenant démarrer de manière énergique, rapide et visible pour les parents, les enfants, et les enseignants", a ajouté le Premier ministre. Selon les services de Matignon, ces aides supplémentaires seront versées via l'ANRU, l'agence nationale pour la rénovation urbaine, ou des dotations à la politique de la ville, notamment."400 millions d'euros c'est inédit", a réagi le maire de Marseille, en notant "l'engagement historique de l'Etat qui va mobiliser 400 millions d'euros de subventions et garantir plus de 650 millions d'euros d'emprunts sur les 800 millions d'euros que mobilisera la ville": "Je veux saluer la réponse, le défi que vient de relever l'Etat", a insisté Benoît Payan.M. Castex a fait cette annonce mardi matin à l'école Ahmed-Litim, cette école d'un quartier très populaire de la cité phocéenne anciennement appelée école Bugeaud, un officier français ayant exercé en Algérie, et tout récemment rebaptisée du nom d'un tirailleur algérien."Cela fait six ans que les enfants sont dans des préfabriqués ici", a précisé le maire de Marseille, lors de sa présentation de l'établissement au Premier ministre et au ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer: "Rien que dans ce quartier, trois écoles sont dans des préfabriqués, pour certaines depuis plus de dix ans", a-t-il expliqué.Le Premier ministre et le maire de Marseille ont également acté mardi la création d'une société publique locale d'aménagement d'intérêt national (SPLAI-N) détenue à parts égales par la ville et l'Etat, qui sera chargée de piloter ce programme de rénovation et de veiller à sa bonne exécution.Les services du Premier ministre ont précisé à l'AFP que ces aides n'étaient pas conditionnées à la participation des écoles concernées au projet d'"écoles laboratoires" annoncé par le chef de l'Etat dans son plan pour Marseille.Selon le Premier ministre, "les équipes pédagogiques de 58 écoles de Marseille ont déjà fait le choix de s'engager dans cette expérimentation pédagogique".
Il y a 3 ans et 137 jours

Castex s'engage à lancer les rénovations des petites lignes ferroviaires

"C'est du concret, c'est du réel!", s'est exclamé M. Castex devant la gare de Saint-Dié, avant le départ du train inaugural à travers les collines enneigées des Vosges.Le chef du gouvernement, qui a rappelé être "un grand amateur de trains et passionné de choses ferroviaires", a déploré les "décennies pendant lesquelles l'Etat (...) considérait que ces lignes de desserte du monde rural, ça coûtait très cher quand même".Et de rappeler que le sous-investissement a forcé les trains à ralentir, faisant fuir les passagers, etc.Le gouvernement entend participer avec les régions à la régénération de 9.200 km de petites lignes. "C'est un mouvement de grande ampleur. Nous le faisons partout parce que nous y croyons", a-t-il déclaré."Nous dépensons de l'argent dans le ferroviaire. C'est un investissement d'avenir", a-t-il insisté, promettant "un retour sur investissement" pour la collectivité.Il a aussi souligné la nécessité d'avoir "une politique globale" des infrastructures, estimant que la construction d'axes routiers pouvait aussi être parfois nécessaire.Longue de 49 km, la ligne à voie unique reliant Arques, près d'Epinal, à Saint-Dié était fermée depuis décembre 2018, pour des raisons de sécurité dues à son piètre état -- vétusté des voies et risque d'effondrement de deux tunnels.Cette fermeture avait mis le président Emmanuel Macron en colère, car il s'était engagé à la maintenir quelques mois plus tôt lors d'un déplacement à Saint-Dié.Sa réouverture est donc devenue un projet d'ampleur nationale, les 21 millions d'euros de travaux nécessaires étant pris en charge à 40% par l'Etat et 60% par la région Grand Est."Engagement pris, engagement tenu", a lancé Jean Castex.La ligne était fort peu utilisée et ultradéficitaire avant sa fermeture, pourtant les fréquences vont être renforcées, avec des liaisons directes jusqu'à Strasbourg.Elle va faire partie des liaisons ouvertes à la concurrence par le conseil régional, y compris pour l'infrastructure.Jean Castex a d'ailleurs indiqué dimanche qu'il donnait son feu vert à une expérimentation permettant au Grand Est de payer moins de péages à SNCF Réseau pour faire circuler ses TER, en échange d'investissements sur le réseau structurant et du passage de davantage de trains.
Il y a 3 ans et 137 jours

"Marseille en grand" : l'Etat confirme son engagement... et conditionne ses subventions

INVESTISSEMENT. Trois mois après la venue du président de la République, Jean Castex a annoncé que 400 millions d'euros seront apportés au plan de rénovation des écoles de Marseille, alors que seuls 254 millions ont été inscrits en loi de finances. Les subventions aux transports publics sont, elles, conditionnées au désenclavement des quartiers nord.
Il y a 3 ans et 137 jours

L'Etat passe de 254 à 400 M€ son aide aux écoles de Marseille

Le Premier ministre Jean Castex a annoncé mardi 14 décembre à Marseille l'augmentation de 254 à 400 millions d'euros la participation de l'Etat au plan de rénovation de 174 écoles vétustes de la seconde ville de France, plan évalué à 1,2 milliard d'euros au total.
Il y a 3 ans et 137 jours

Covivio s’engage pour la diminution de ses émissions de gaz à effet de serre

Pour Christophe Kullmann, Directeur Général, Covivio : « Le développement durable fait partie intégrante de l’ADN et de la stratégie de Covivio depuis plus de 10 ans et nos performances RSE sont largement saluées par les agences de notation extra-financière. Face à des enjeux environnementaux et climatiques toujours plus cruciaux, nous mettons en œuvre une trajectoire carbone ambitieuse, qui a pour objectif de faire de Covivio une référence en matière d’immobilier bas carbone. »Covivio a très tôt initié une démarche volontariste de réduction de son empreinte carbone. Dès 2018, une 1ère trajectoire, compatible avec le scénario 2°C de l’Accord de Paris, avait été approuvée par l’initiative Science Based Target (SBTi). A fin 2020, Covivio avait déjà diminué ses émissions de -20% par rapport à 2010. En avance sur ses objectifs, l’entreprise accélère sa transition et relève le niveau de ses ambitions pour atteindre -40% de réduction des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 (objectif précédemment fixé à -34%).Cet objectif, qui concerne l’ensemble des scopes 1, 2 et 3, couvre l’intégralité des activités de Covivio en Europe (bureaux, résidentiel, hôtels) et la totalité du cycle de vie des actifs : matériaux, construction, restructuration et exploitation. De surcroît, Covivio vise le Net Zero Carbon dès 2030 sur ses scopes 1 et 2.Pour Jean-Eric Fournier, Directeur du Développement Durable, Covivio : « Cette trajectoire carbone repose sur un plan d’actions pertinent intégrant l’ensemble des scopes : nous avons mis un point d’honneur à ce qu’elle englobe tous nos pays d’implantation et tous nos produits, et prenne en compte la partie construction et matériaux. Nous allons utiliser tous les leviers possibles afin de relever les défis que nous nous sommes fixés. »Comment atteindre ces objectifs ?Privilégier la rénovation et lutter contre l’étalement urbain : aujourd’hui, plus de 50% des nouvelles opérations de Covivio portent sur des restructurations d’immeubles existants, avec un objectif de « zéro artificialisation nette », voire de désartificialisation, pour favoriser la biodiversité, séquestrer du carbone, et lutter contre l’effet d’ilot de chaleur urbain (100% des nouveaux projets bureaux bénéficient d’espaces verts). En couplant la réutilisation du bâti, et l’économie circulaire, l’utilisation de matériaux durables et l’installation d’équipements performants pour une gestion efficiente des bâtiments, les émissions de gaz à effet de serre sont réduites sur tout le cycle de vie de l’actif.S’engager pour la construction bas-carbone à l’échelle européenne : Covivio a fait rédiger par le CSTB un cahier des charges ACV (Analyse du Cycle de Vie) qui permet de favoriser la démarche de construction bas carbone au sein du groupe, en s’appuyant sur l’expérience française de réalisations labellisées BBCA. L’immeuble Thaïs à Levallois-Perret a ainsi été le premier immeuble Covivio labelisé, dès 2017. Fiabiliser la mesure de l’empreinte carbone des opérations est une étape clé qui permettra d’atteindre la trajectoire 1,5°C.Se doter de nouveaux outils : deux outils développés en 2020 avec le concours du CSTB permettent de suivre les performances réelles du portefeuille par rapport à la trajectoire 2°C. Le premier porte sur la construction et la rénovation, sous la forme d’une « ACV Express » qui permet de mesurer les impacts du choix des matériaux et techniques constructives sur le bilan carbone d’une opération, en phase amont du projet. Le second couvre la phase exploitation et permet de calculer l’impact financier et carbone des actions d’efficacité énergétique conduites sur le portefeuille.Promouvoir le recours aux énergies renouvelables : Covivio installe des équipements adaptés sur les projets de développement (photovoltaïque, géothermie, etc.) et vise d’ici 2030 un approvisionnement en électricité renouvelable pour 100% de ses actifs tertiaires directement gérés (61% à fin 2020), en plus de sensibiliser ses locataires à cet enjeu pour les parties privatives.Avec une politique d’achats responsables déployée à partir de 2011 auprès de ses fournisseurs et une stratégie partenariale forte avec ses locataires, Covivio mobilise l’ensemble de la chaîne d’acteurs pour réussir, ensemble, la transition climatique.Enfin, en s’impliquant dans des initiatives telles que l’Alliance HQE-GBC, BBCA, SEKOYA ou le Hub des Prescripteurs bas carbone, Covivio renforce son expertise en matière de construction et de gestion bas carbone, lui permettant de conforter sa vision à 10 ans.Applications concrètes sur le développement de nos projetsStream Building – Paris 17ème :Un immeuble de 15 700 m² sur 8 étages avec bureaux, hôtel, commerces et un rooftop Un projet réversible conçu pour un écosystème constructif recyclable et durableUne architecture signée PCA-Stream et en co-promotion avec HinesoUn immeuble référence en matière d’innovations environnementale :Une construction bois/béton, qui optimise son empreinte carbone et soutient les filières économiques localesUn volume de bois de 3 500 m3 permettant de stocker environ 3 500 tonnes de CO2Un coût énergétique pour l’ensemble de son cycle de vie inférieur à tous les autres matériaux de construction : 2 fois inférieur au béton, 5 fois inférieur au ciment et 130 fois inférieur à l’acier500 m² de panneaux photovoltaïques en toiture, à haute efficacité, permettant de produire environ 60MWh d’électricité par anTerrasse et murs végétalisésLabels et certifications : BBCA, Effinergie+, HQE tertiaire Exceptionnel, BREEAM Excellent, CPEDD, E+C-Noème – Bordeaux Lac :Redéveloppement de l’ancien siège d’IBM en un quartier urbain de 45 000 m²Une mixité d’usages résidentiels répartie en 6 îlots aux modes d’habitats différents (700 logements) : résidence service seniors, résidence de coliving et logements familiauxPlus de 33 000 m² d’espaces paysagers : 60% d’espaces extérieurs et 40% en pleine terre > reconquête des espaces après déconstruction de l’existant et plantation de 240 arbresAmplification de la biodiversité : plantes indigènes, valorisation des déchets verts, compost, ruches…Un projet aux modes constructifs vertueux : béton décarbonné sur l’ensemble du quartier, constructions mixte bois, espaces extérieurs ou bardage en bois, construction en terre crueRéemploi des matériaux de la démolition dans les futures constructionsRecours à des matériaux biosourcés et géosourcés : isolant de façade en fibre de bois, cloisons intérieures du socle actif en brique de terre crue, façades en Mur à Ossature Bois…Matérialité en circuit court : cheminements collectifs en granit du Tarn, terrasses collectives en cale bordelaise, parvis des commerces en grès de Gascogne, terrasses privatives platelage bois, pin des LandesAu-delà de la trajectoire carbone, la stratégie RSE de Covivio dans son ensemble est reconnue par les principales agences de notation, accédez ici au dernier communiqué de presse.
Il y a 3 ans et 137 jours

Toulouse : l’écluse Saint-Pierre fera peau neuve

La rénovation de la maison éclusière de Saint-Pierre se poursuit. Celle-ci accueillera des spectacles à partir du mois de mars.
Il y a 3 ans et 137 jours

2022, l’année du rattrapage pour la FFB

La FFB a dressé un bilan mitigé de 2021 et annonce un niveau d’activité d’avant-crise pour 2022. En 2021, le volume d’activité dans le bâtiment reste inférieur de 5 % à son niveau de 2019. Le logement neuf ressort à – 5,8 %, malgré une petite hausse des ouvertures de chantier (+0,9 %) qui s’affichent à 390 000 unités. Le marché de l’amélioration-entretien résiste bien mieux, à -2,6 %, grâce à la rénovation énergétique du logement qui dépasse largement son niveau d’avant-crise, à +5,0 %, dopée par le redéploiement du dispositif MaPrimeRénov’. Malgré l’intensification des difficultés de recrutement, le secteur continue de créer massivement de l’emploi, aux environs de 60 000 postes sur l’ensemble de l’année 2021, soit +4,8 %. Des carnets de commandes très bien garnis, une perte de productivité liée à la crise sanitaire et aux difficultés d’approvisionnement en matériaux, mais aussi le remplacement de travailleurs étrangers rentrés dans leur pays d’origine lors de la phase aigüe de la pandémie expliquent une bonne part du hiatus activité-emploi. En 2022, l’activité bâtiment connaitra une hausse de 4,3 %, hors effet prix, permettant au secteur de quasiment renouer avec le niveau d’activité d’avant-crise (-0,9 %). Le logement neuf s’affichera à +7,3 %, grâce à la dynamique de l’individuel dont les permis et les ventes (en diffus) ont progressé d’environ 15 % entre 2019 et 2021. Au global, 398 000 logements seront commencés. Une baisse des autorisations de 7,8 % pèsera sur l’activité de 2023, en lien avec le surcoût de la RE2020, la transformation en règlementation des recommandations du Haut Conseil de stabilité financière et la mise en œuvre progressive du « zéro artificialisation nette ». L’amélioration-entretien retrouvera son niveau d’avant-crise, toujours portée par la rénovation énergétique mais également par l’impact en termes de travaux des volumes historiquement hauts de transactions de logements anciens observés depuis trois ans. Le bâtiment continuera donc de créer de l’emploi, à hauteur de 25 000 postes supplémentaires en 2022, sous réserve que les difficultés de recrutement s’atténuent. La difficulté à renouer avec une franche reprise, malgré des carnets de commandes bien garnis, s’explique aussi par la crise des matériaux, réalimentée par la crise de l’énergie depuis la rentrée de septembre 2021. La tendance à la hausse des prix des intrants du secteur, tout comme les difficultés d’approvisionnement pour certains matériaux et matériels, resteront d’actualité au moins jusqu’à la fin du premier semestre 2022.Les trésoreries des entreprises de bâtiment se trouveront donc à nouveau très fortement sollicitées et, plus structurellement, les marges en souffriront.
Il y a 3 ans et 138 jours

BePOSITIVE 2021 : le programme est connu !

BePOSITIVE 2021 va aborder thématiques phares : la massification de la rénovation énergétique, les réseaux de chaleur et de froid et la digitalisation de l’énergie. Cette nouvelle édition sera rythmée par de nombreux temps forts et moments d’échanges, parmi eux, la tenue du concours de l’innovation EnergieSprong et une exposition de solutions innovantes pour massifier les rénovations « zéro énergie garantie » et un cycle de conférences sur l’industrialisation de la construction et de la rénovation au service de la transition écologique, en lien avec le mouvement Hors Site. Le plateau TV Bati-Journal se tiendra durant les 3 jours du salon. Chaque jour, des tables rondes sur les grandes tendances et actualités des filières énergie et bâtiment seront organisées. Animées par Stéphane Miget, rédacteur en chef de Planète Bâtiment, ces émissions rassembleront les professionnels de la filière pour échanger et débattre sur les enjeux du secteur. Les thématiques du réemploi, de l’innovation, des matériaux biosourcés, de la mobilité ou encore de la sécurité sanitaire, entre autres, seront abordées.  https://www.bepositive-events.com/fr/les-ateliers-thematiques  
Il y a 3 ans et 138 jours

Précarité énergétique : le collectif Rénovons avance 10 propositions

Le collectif « Rénovons » s’invite dans la campagne présidentielle, avec 10 mesures « indissociables et indispensables » regroupées sous la bannière du « bouclier énergie ». La quarantaine d’associations et entreprises engagées pour la rénovation thermique du logement constate l’échec de 10 ans de politiques publiques : le nombre de personnes vivant en France en situation de précarité énergétique stagne à 12 millions.
Il y a 3 ans et 138 jours

Plastor :12ème édition Trophée de la Vitrification – Les plus beaux chantiers en vitrification parquet 2020

Mettre en lumière le savoir-faire, la qualité du travail réalisé et les méthodes utilisées par les parqueteurs, tel est l’objectif des Trophées de la Vitrification Plastor. À travers cette récompense, Plastor distingue, parmi les chantiers réalisés en cours d’année, les plus remarquables en termes de finition à la fois sur le plan technique et décoratif. Cette 12ème édition permet de valoriser le savoirfaire de ces professionnels et la qualité du travail accompli avec les produits Plastor. Les lauréats récompensés pour cette 12ème édition sont : -1er Prix : Les lodges du Zoo de la Flèche (72), réalisés par l’Entreprise Yannick Barrault (72). – 2ème Prix : Le gymnase de Saint-Éloi à Poitiers (86), réalisé par l’Entreprise Les Sens du Bois (50). – 3ème Prix ex-aequo : L’Auberge du Vieux Château (29), réalisée par l’Entreprise Potin Patrice (29), -3ème Prix ex-aequo : La salle de spectacle de Vic-sur-Seille (57), réalisée par l’Entreprise Les créations d’Olivier (57). 1ER PRIX : Les lodges du Zoo de la Flèche (72) Entreprise Yannick Barrault (72) Yannick BARRAULT Gérant de l’entreprise  « J’ai travaillé dans une entreprise avant de créer ma société à Villaines-sous-Malicorne en novembre 2015. Je prends en charge aussi bien la pose que le ponçage et la vitrification en restauration, les réparations de lames cassées… En somme, tout ce qui concerne le parquet. La plupart de mes chantiers s’effectue dans des résidences de particuliers mais j’oeuvre parfois pour des communes. Je m’adapte à tout type de configuration. Le Zoo de la Flèche cherchait un parqueteur avec une préférence pour une entreprise locale. Nous avons entamé une collaboration qui se poursuit aujourd’hui. Je suis intervenu dans une dizaine d’hébergements situés dans le zoo et loués à la nuit. Ces lodges offrent une vue imprenable sur les animaux du zoo. Leur surface varie entre 20- 30 et 60-70 m2. Il peut s’agir de pose comme de rénovation et les chantiers durent de deux à 3 semaines. La cohabitation avec les autres corps de métier s’est toujours très bien passée. J’ai principalement posé du sapin et rénové du contrecollé chêne dans tous les types de pièces : chambres, espaces salle à manger, cuisine, salon, parfois salle de bains. J’ai utilisé l’huile AQUANAT® effet brut de Plastor après la pose pour parfaire l’aspect et la longévité du parquet.J’ai principalement posé du sapin et rénové du contrecollé chêne dans tous les types de pièces : chambres, espaces salle à manger, cuisine, salon, parfois salle de bains. J’ai utilisé l’huile AQUANAT® effet brut de Plastor après la pose pour parfaire l’aspect et la longévité du parquet. Il y a 2 ans et demi environ, un commercial de chez Plastor m’a approché. Comme la communication était excellente, j’ai voulu essayer. L’échange a été si fructueux que je suis devenu fidèle à Plastor. Au fil du temps, on se connaît mieux et les produits me donnent entière satisfaction. » 2ÈME PRIX : Le Gymnase Saint-Eloi Poitiers (86) Entreprise Les Sens du Bois (50) Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT Gérants de l’entreprise « La société Les Sens du Bois existe depuis 2009. Nous sommes deux gérants, trois salariés et nous réalisons exclusivement des rénovations de parquet. Nous intervenons sur des chantiers parfois très petits chez des particuliers comme sur d’immenses surfaces, ce qui fut le cas pour le téléphérique de Brest (3 500 m2). Au début, nous travaillions beaucoup en sous-traitance pour d’autres corps d’état mais aujourd’hui, de plus en plus, on nous contacte directement. Nous avons obtenu le chantier du gymnase Saint-Eloi en répondant à un appel d’offre de la ville de Poitiers pour une rénovation de ses parquets sportifs. Les travaux ont duré deux semaines en juillet 2020, pendant les congés des scolaires et des clubs. Les 5 membres de l’équipe étaient mobilisés. On n’a absolument pas eu à cohabiter avec d’autres corps de métier, car il s’agissait uniquement de restaurer le plateau sportif, soit 1 265 m2 d’un parquet Junckers en hêtre 2 frises. C’est un bois assez dur déjà densifié. Pour le ravoir, il faut l’attaquer assez fort aux grains 24 ou 36. Visuellement, l’ensemble semblait assez propre mais des zones de grisaillement commençaient à apparaître et certaines lames nécessitaient des réparations. En sous-couche, nous avons utilisé un PRIM’SO (primaire sans odeur) puis deux couches de PUR-T® Sport satin Plastor. Les tracés au sol ont constitué la spécificité de ce chantier, avec notamment un logo dont la forme était très délicate à réaliser. Cette pièce majeure au centre du parquet nous a pris 4 jours de travail car il fallait une coulure sèche, puis mettre le second pochoir pour la seconde coulure et ainsi de suite. Cette nouveauté nous a permis de découvrir les peintures de traçage Plastor qui semblent avoir une très bonne tenue. Nous avons également dû respecter les normes anti-glissance et choisir des vernis adaptés aux salles de sport. Nous travaillons avec Plastor depuis 2009 et en sommes très contents pour l’instant. » 3ÈME PRIX EX-AEQUO : L’Auberge Le Vieux Château à La Roche-Maurice (29) Entreprise Potin Patrice (29) Patrice POTIN Gérant de l’entreprise Partenaire Plastor depuis de nombreuses années Patrice POTIN, gérant de la société spécialisée dans la rénovation et la vitrification de parquets, a utilisé les produits Plastor pour réaliser les finitions de ce projet. «J’ai exercé mon métier durant 8 ans dans une entreprise avant de lancer mon affaire en 1998. J’effectue seul des travaux de pose et de ponçage de parquet bois, principalement en rénovation et chez des particuliers, même s’il peut m’arriver d’oeuvrer dans des espaces administratifs ou des salles de sport. Ce chantier de rénovation m’a été proposé par le maître d’oeuvre. L’Auberge du Vieux Château se trouve dans le village de La Roche-Maurice, au pied d’un château en ruine, près de Landernau, dans le Finistère nord. Les propriétaires voulaient refaire entièrement leur salle de restauration : plafond, murs, fenêtres, tout en gardant le parquet existant. Je suis donc passé le premier pour protéger le sol des dégâts éventuels liés à l’intervention des autres corps de métier. Quelques semaines plus tard, j’ai effectué la rénovation du parquet à proprement parler. L’ensemble des travaux a duré entre 4 et 5 semaines. L’Auberge a rouvert en mars 2020 et a dû fermer à cause de la Covid-19 deux jours plus tard seulement. La rénovation concernait une salle de réception avec un parquet en chêne sur 200 m2. Pour une salle de restaurant qui accueillait aussi des thés dansants depuis plusieurs décennies, il y avait étonnamment peu de rayures mais le bois avaitété décoloré par la lumière du soleil et de la lune. Mon intervention a pris une bonne semaine au cours de laquelle il a fallu aménager le temps et l’espace car certains corps de métier terminaient des finitions. Sur une surface aussi vaste, il faut veiller à limiter les reprises en calculant bien les temps de séchage. J’ai poncé l’ensemble plusieurs fois à la machine (50,80 puis 100), utilisé la sous-couche PRIM’SO et enfin appliqué le vitrificateur PUR-T®3 DUO Plastor. Plastor m’a toujours accompagné, y compris chez mon employeur avant la création de mon entreprise. J’apprécie aussi bien la qualité des produits que les relations avec les conseillers, toujours disponibles, à l’écoute et sympathiques. » 3ÈME PRIX EX-AEQUO : La salle de spectacle de Vic-sur-Seille (57) Entreprise Les créations d’Olivier (57) Lukas OLIVIER Gérant de l’entreprise « J’ai travaillé avec mon père pendant 15 ans. Lorsqu’il a cessé son activité, il y a 7 ans, j’ai repris l’entreprise et embauché un salarié. Nous sommes donc deux à effectuer toutes les opérations sur mesure concernant le bois massif : entretien, pose, rénovation. Nous intervenons plutôt sur des chantiers privés, si bien que la salle de spectacle de Vic-sur-Seille est une exception. On m’a invité à répondre à un appel d’offres que j’ai remporté. Il s’agissait de coursives en hêtre sur une surface de 240 m2 : une circulation de 40 m2 à l’étage et deux fois 100 m2 (25 x 4 de large) dont les parquets existants étaient très abîmés. Ce projet comportait deux contraintes majeures : il a fallu composer avec des maçons qui travaillaient la pierre ainsi que des peintres, et le chantier était très peu chauffé ce qui a donné lieu à quelques soucis de dilatation, d’autant que les travaux se sont déroulés tout le mois de janvier. Nous avons commencé par un ponçage très fort avec un grain à 40 et une fois que le parquet a été propre, nous sommes montés petit à petit jusqu’aux finitions au grain 120.  Nous avons utilisé le colmateur de fond de Plastor puis vitrifié avec deux couches de vernis PUR-T®3 DUO adapté aux forts passages. Ce vernis est idéal pour les salles de spectacles à trafic intensif et pour les essences très dures comme le hêtre. Au préalable, j’avais demandé conseil à un expert Plastor en décrivant précisément le projet. Nous avons toujours travaillé avec Plastor, depuis au moins 30 ans : les produits sont impeccables, nos relations avec les conseillers ont toujours été au top et le service technique est super. »
Il y a 3 ans et 138 jours

Rénovation de l'IUT de Lannion (22)

50 ans après sa construction, la rénovation du bâtiment visait deux objectifs : moderniser l’ensemble en lui conférant une esthétique en accord avec les standards contemporains, mais aussi et surtout, assurer une isolation optimale à l’édifice. Le cahier des charges comportait de nombreuses problématiques : recouvrir une façade amiantée, trouver une solution pour améliorer l’étanchéité à l’air et intervenir en site occupé.Pour répondre à ces difficultés, la solution Myral s’est naturellement imposée chez les maîtres d’œuvre, qui ont été séduits par l’ensemble des atouts du panneau M32 : qualité thermique, pertinence des finitions, facilité de pose… En outre, pour ce chantier, les panneaux de bardage de Myral ont été associés au système de pare-vapeur Doerken, une solution innovante pour améliorer l’étanchéité à l’air du bâtiment, défaillante jusqu’alors.Informations chantierPrésentationNom du projet : IUT de LannionDate de construction : 1970Type de bâtiment : Bâtiment universitaireNature des travaux : RéhabilitationLocalisation : Lannion – Côtes-d’Armor (22)Date de travaux : Mai 2019Surface de façades : 5 000 m²SolutionsSolution mise en œuvre : Bardage non ventiléTexture(s) et coloris : M32 lisse RAL 9010 & 7015 + Vision Inox MiroirFinitions : LisseÉquipe projetCommercial Myral en charge du projet : Ludovic GAUDINMaitre d’ouvrage : Université Rennes 1Maitre d’ouvrage délégué : Lannion Trégor CommunautéArchitecte : M. Arnaud BIANNIC - SARL LAAB FAUQUERT ARCHITECTESBureau d’étude : QSB - LannionEntreprise : QUEMARD COUVERTURE BARDAGE FACADE / M. Pierre HIBLO (PDG)
Il y a 3 ans et 141 jours

Le chantier de rénovation de la déchetterie de Romagnat entre dans sa deuxième phase

La seconde phase des travaux de réhabilitation de la déchetterie de Romagnat s’échelonnera sur trois mois.
Il y a 3 ans et 141 jours

Ecquevilly : la restauration de l’église Saint-Martin est achevée

L’église Saint-Martin d’Ecquevilly a fait peau neuve. Le chantier de rénovation de cet édifice religieux a été inauguré le 20 novembre 2021.
Il y a 3 ans et 141 jours

Conflans-Sainte-Honorine : l’école Chennevières a été rénovée

Le groupe scolaire Chennevières a fait l’objet d’un chantier de rénovation pendant 15 mois, qui avait commencé à l’été 2020.
Il y a 3 ans et 141 jours

Champigny-sur-Marne : rénovation urbaine du quartier du Bois-l’Abbé

Dans le Val-de-Marne, la rénovation urbaine du quartier du Bois-l’Abbé se poursuit.
Il y a 3 ans et 141 jours

Oullins : un vaste plan de transformation pour l’hôpital Lyon Sud

Le projet de rénovation de l’hôpital Lyon Sud se poursuit et devrait prendre fin en 2023.
Il y a 3 ans et 141 jours

Puy-de-Dôme : chantier de rénovation sur la RD 15

De Volvic à Châtel-Guyon, en passant par Enval, la RD 15 est en cours de rénovation.
Il y a 3 ans et 141 jours

Rénovation de maison : dans quels cas les travaux d’isolation thermique sont-ils obligatoires?

Avec le temps, les performances thermiques de notre maison s’amoindrissent. À cet effet, elle présente de plus en plus de difficulté à se réchauffer. On assiste alors à une instabilité et à une irrégularité de la température à l’intérieur de la bâtisse. Une telle situation peut toutefois devenir gênante, car elle nuit au confort des habitants. Il est donc nécessaire de retravailler l’isolation de la demeure, surtout si des travaux de rénovation sont en cours. Mais dans quels cas les travaux d’isolation thermiques sont-ils incontournables ? Les réponses dans l’article. Rénovation de maison : les travaux d’isolation thermique sont-ils toujours impératifs ? Actuellement, la rénovation énergétique obligatoire est au centre d’un grand débat. En plus d’optimiser le confort à l’intérieur de la maison, les travaux d’isolation thermique ont également une finalité écologique. C’est pourquoi la RT 2012 (règlementation thermique 2012) a fait de ces travaux une obligation s’imposant aux propriétaires. Celle-ci cherche avant tout à éradiquer les mauvaises performances énergétiques des immeubles. Le décret n° 2017-919 du 9 mai 2019 (modifiant les articles R.131-28-7 et R.131-28-9 du Code de la construction et de l’habitation) rappelle cette obligation. Depuis ce décret, les propriétaires ou bailleurs sont obligés d’entreprendre des travaux d’isolation thermique au cours des gros travaux de rénovation de maison. Quel est l’intérêt de travailler l’isolation de sa demeure au cours de sa rénovation ? Les travaux d’isolation sont avantageux sur différents plans. D’une part, ils permettent de réduire la consommation énergétique du foyer. Comme on utilise moins les équipements de chauffage à l’issue de leur réalisation, on réalise des économies sur les factures en électricité. D’autre part, ils font profiter aux habitants d’un confort optimal. L’atmosphère à l’intérieur de la maison sera agréable, car la température sera stable et régulière malgré l’alternance des saisons. Enfin, la rénovation énergétique poursuit un but écologique. L’utilisation abusive des équipements de chauffage occasionne en effet un gaspillage d’énergie. D’ailleurs, ils émettent une quantité considérable de CO2. En effectuant des travaux d’isolation thermique, nous y recourons donc moins. Cependant, pour une isolation efficace, il est conseillé de faire appel à une entreprise de rénovation de maison pour les travaux. Par quels moyens peut-on augmenter les performances énergétiques d’un logement ? Pour restreindre au maximum les déperditions énergétiques, il est crucial d’en connaitre les sources. Pour cela, il faudra entamer un diagnostic approfondi de l’habitation. En effet, plusieurs facteurs sont à l’origine d’une isolation défaillante. C’est le cas du mauvais état de la toiture et de la façade ainsi que de la dégradation des isolants. Il faut en outre identifier les lieux où il y a des ponts thermiques. Les entreprises de rénovation de maison se servent de différentes méthodes pour améliorer les performances thermiques d’un logement. À côté de la mise en place de nouveaux isolants au niveau du toit, elles équipent également les fenêtres d’un double vitrage et changent les dormants, c’est-à-dire la partie insérée dans le mur. Pour isoler le toit et la façade, les spécialistes du domaine optent soit pour l’isolation thermique par l’intérieur (ITI), soit pour l’isolation thermique par l’extérieur (ITE). En bref, les travaux d’isolation thermique sont obligatoires du moment qu’on entame de lourds travaux de rénovation de maison. Leur réalisation répond avant tout à un but écologique. D’ailleurs, la réduction de la consommation énergétique des foyers fait partie des programmes de l’État. À cet effet, il octroie une aide financière à tous les propriétaires ou bailleurs qui décident d’entreprendre des travaux de rénovation énergétique. Pour bénéficier de cette aide, il faut néanmoins recourir à une entreprise de rénovation de maison RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) pour les travaux.
Il y a 3 ans et 142 jours

Superbe rénovation et transformation d’une maison de Long Island (USA)

La rénovation de cette maison est l’œuvre des architectes de Neil Logan Architect. Elle est située dans la petite ville d’East Hampton aux États-Unis et se distingue par un toit en bardeaux assez audacieux. Achevée en 1978, la maison Gruss de Norman Jaffe est un exemple représentatif du « style Zeus » qu’il s’est lui-même attribué. Faisant référence […]
Il y a 3 ans et 142 jours

Le bâtiment espère retrouver en 2022 son niveau d'activité d'avant-crise

Pour la FFB le contexte est incertain en raison des multiples inconnues crées par la pandémie de Covid-19 mais quelques hypothèses fortes permettent d'espérer un quasi retour à la normale pour 2022. Ainsi, un sursaut de 4,3% de l'activité est attendu pour 2022 mais la Fédération Française du Bâtiment prévoit malgré tout une baisse de 0,9% par rapport à 2019.La FFB s'attend également à une progression inégale selon les secteurs, avec par exemple le logement neuf qui devrait connaître une augmentation de 7,3% dans la mesure où les permis de construire délivrés et les ventes "ont progressé de 15% entre 2019 et 2021", lui faisant même dépasser son niveau d'avant-crise.À l'inverse, le secteur du bâtiment risque de voir baisser le nombre d'autorisations décernées de 9,1% dans le logement individuel et de 6,7% dans le collectif.Pour expliquer cette baisse, la FFB met en avant le surcoût important de nombreuses matières premières telles que les matières plastiques et leurs dérivés, certains produits métalliques mais aussi le béton, pouvant afficher jusqu'à 15% d'augmentation. En cause, la hausse du prix de l'énergie augmentant par extension le prix de production et de transport des matériaux.La fédération s'inquiète aussi de l'application au 1er janvier 2022 de la RE2020 (réglementation environnementale des bâtiments neufs) qui va engendrer des surcoûts de 5 à 10% du prix de la construction dans l'individuel.Concernant le logement collectif, la FFB met en avant la difficulté d'obtention des permis de construire dans les zones denses de la part des mairies mais également les résultats des mises en ventes et ventes d'appartements en 2021 en net recul par rapport à la même période en 2019.L'une des gagnantes serait en revanche la filière Amélioration-Rénovation qui, grâce à MaPrimeRénov', devrait atteindre les +2,7%.Enfin, pour assurer la reprise du bâtiment, la FFB demande au gouvernement :le versement immédiat des créances de carry-back,de régler la panne du neuf en zone tendue notamment avec des propositions Rebsamen,la majoration du Pinel à partir de 2023 pour les logements qui respecteraient les critères extra réglementaires promus par la ministre en charge du logement,une aide pour compenser les effets négatifs de la RE2020 et de l'objectif ZAN (Zéro Artificialisation Nette).Le secteur estime malgré tout pouvoir continuer à créer de l'emploi en 2022 avec 25.000 nouveaux postes.
Il y a 3 ans et 142 jours

Hellio contribue à financer la 1ère rénovation énergétique biosourcée européenne de performance passive

Air Énergie, entreprise spécialisée dans la mise en œuvre d'enveloppes thermiques « basse énergie » située en Alsace, vient d'achever les travaux de rénovation globale d'une maison des années 70 située à Sentheim (68) à l'isolation quasi inexistante et à la consommation excessive de fioul : isolation de la toiture, isolation des planchers bas, isolation des murs extérieurs, fenêtres, installation d'un chauffe-eau thermodynamique et d'une ventilation double-flux. La maison sera chauffée au bois avec un poêle et consommera en moyenne une bûche par jour. Le tout est réalisé uniquement avec des matériaux recyclables à faible impact carbone et énergétique, permettant ainsi à l'opération d'être compensée en moins de 2 ans d'économies d'énergie.Cette rénovation fait figure d'exemple puisqu'elle a permis de passer de l'étiquette G à A et d'atteindre ainsi la performance passive, validée par le label Minergie P.Sur le plan du financement, Air Énergie a collaboré avec son partenaire Hellio, spécialiste de la rénovation globale dans le dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), qui s'est chargé d'obtenir l'aide Coup de pouce Rénovation performante. Les propriétaires ont également bénéficié de l'aide publique MaPrimeRénov'.Résultats : un gain en confort de vie, une économie d'énergie garantie de 91%, soit 4 530 € de dépenses énergétiques économisées par an, et une valorisation patrimoniale de +32% !« Ce chantier démontre l'efficacité de la rénovation globale, qui est LA solution pour réduire drastiquement sa facture énergie, augmenter son confort et sa résilience face à la hausse des prix de l'énergie. Cela vient couronner 2 ans de travail de nos équipes dans l'incubation de ces programmes. Attention cependant, l'instabilité des aides financières aujourd'hui, et notamment des Certificats d'Économies d'Énergie, met en péril la dynamique voulue par le gouvernement lui-même. Sans les entreprises de travaux et une incitation financière suffisante, nous n'atteindrons pas les objectifs de rénovation globale imposés par la loi et l'urgence climatique ! », souligne Christophe Casta, Chef de projet rénovation globale Hellio pour le résidentiel.Une maison des années 70 classée G passoire thermiqueAvant travaux, cette maison de Sentheim affichait une étiquette G, la plus défavorable, aussi bien en termes énergétique que d'émissions de gaz, faisant d'elle une passoire thermique.L'audit énergétique va révéler que le principal poste de déperditions thermiques est l'isolation (murs : 48% , toit : 18% et planchers 13%).Pour orchestrer la rénovation de leur maison, les propriétaires décident de faire appel à l'expertise d'Air Énergie, à la fois bureau d'ingénierie (Air Énergie Développement) et entreprise de travaux (Air Énergie Artisan), qui conçoit et pilote des rénovations énergétiques à haut niveau de performance : en moyenne 2 à 3 fois plus efficace que le neuf et que la norme RT 2012. Depuis 2014, Air Énergie a accompagné une centaine de clients particuliers dans leur projet de rénovation énergétique globale.L'entreprise est également fortement engagée dans une démarche environnementale qui vise à montrer qu'il est possible de s'affranchir d'une dépendance énergétique et du coût qui en résulte, tout en améliorant son confort dans le plus grand respect écologique. « La démarche d'Air Énergie consiste à travailler en priorité l'étanchéité à l'air et l'enveloppe isolante du bâtiment, sans nécessairement installer des radiateurs ou un plancher chauffant. Une bûche par jour doit pouvoir suffire à chauffer l'ensemble de la maison, de façon homogène », explique Dominique Rudler, gérant de Air Énergie.Pour la première fois en Union Européenne, la rénovation énergétique d'une maison ancienne va permettre d'atteindre la norme passive la plus exigeante en termes d'éco-habitation pour la zone climatique : le label suisse Minergie P.7 postes de travaux pour devenir une maison passive certifiée classée AL'autre marque de fabrique d'Air Énergie est d'avoir recours uniquement à des matériaux recyclables à faible impact carbone et énergétique pour l'isolation. Le but est d'atteindre plusieurs objectifs, dont la performance énergétique bien sûr, mais également l'autonomie, le retour sur investissement, la qualité de l'air, le respect architectural et la pérennité du bâtiment.Sur ce chantier, Air Energie a également assuré le pilotage du projet de bout en bout avec des artisans partenaires de son réseau pour la réalisation des différents types de travaux :L'isolation de la toiture par l'extérieur avec 400 mm de ouate de cellulose insufflée (R= 9.5 m².K/W),L'isolation en sous-face du plancher bas avec 200 mm de coton recyclé (R = 5.1 m².K/W),L'isolation des murs par l'extérieur sous enduit avec 260 mm d'isolant en ouate de cellulose, 40 mm de fibre de bois et un enduit de finition crépis (R = 5.1 m².K/W),Le remplacement des menuiseries par des fenêtres à triple vitrage (Uw =0.67 W/m².K – Sw = 0.55)L'installation d'un chauffe-eau thermodynamique qui permet de récupérer les calories provenant de l'extérieur pour préchauffer l'eau (ETAS = 130% – COP = 3.1),Enfin, l'installation d'un système de ventilation double flux pour un confort thermique et une qualité de l'air améliorés.Les heureux propriétaires de la maison de Sentheim profitent de l'autonomie énergétique, après seulement 2 mois et demi de travaux pendant lesquels ils sont restés chez eux (de septembre à novembre 2021). La rénovation de leur maison leur permet en outre de diviser par 10 l'impact écologique de leur logement.Près d'un tiers du coût de la rénovation globale financé grâce aux aides à la rénovation énergétiqueSur le plan du financement, Air Énergie a fait appel à son partenaire Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, avec lequel il collabore régulièrement : 11 chantiers sont actuellement en cours.Pour la rénovation de la maison de Sentheim, le spécialiste de la rénovation globale dans le dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie s'est chargé d'obtenir l'ensemble des aides CEE, d'un montant de 30.300 €.Depuis octobre 2020, et l'apparition des bonifications Coup de pouce Rénovation performante, Hellio est signataire de la charte et référencé comme acteur de confiance par le ministère de la Transition écologique.Hellio a également accompagné Air Énergie dans l'établissement de l'audit énergétique, afin de s'assurer de la conformité du dossier, selon les critères de la réglementation.Le couple de propriétaires (ménage violet) a aussi bénéficié de l'aide publique MaPrimeRénov' Rénovation globale, d'un montant de 7.000 €, avec en plus les bonus sortie de passoire et BBC, de 1.000 € chacun.Les aides à la rénovation énergétique ont ainsi permis de financer près d'1/3 de la rénovation globale, pour un coût total du chantier d'environ 120.000 € (soit environ 600 € / m²).Cette rénovation a donc coûté trois fois moins cher que du neuf, sans compter la plus-value patrimoniale estimée à 32% (100.000 € pour le secteur géographique) et l'économie de dépenses énergétiques de 4.530 € par an !
Il y a 3 ans et 143 jours

Décès de l'architecte Gérard Grandval, créateur des "Choux" de Créteil

Une cérémonie sera organisée le 9 décembre au crématorium du cimetière du Père Lachaise à Paris, a précisé la famille dans un message publié lundi sur le compte Instagram de l'architecte.Né en 1930, Gérard Grandval se voit chargé en 1968 de concevoir un nouveau quartier dans le cadre de la rénovation de la ville de Créteil, préfecture du tout jeune département du Val-de-Marne, qui venait d'être créé dans le sud-est de Paris.De ce vent de modernité naissent alors les "Choux", dix tours imposantes et arrondies construites au début des années 1970 en face du palais de justice.Bien connu des habitants val-de-marnais, ce grand ensemble se distingue des autres barres d'immeubles construites à l'époque par sa forme bombée et ses balcons imposants en forme de pétale, conçus pour protéger les habitants des regards extérieurs et du vent, et qui valent au quartier du Palais son surnom, en raison de leur ressemblance avec un chou-fleur.Outre ce grand ensemble de Créteil, Gérard Grandval, diplômé de l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts puis promu Chevalier des arts et des lettres, a notamment travaillé sur le centre d'exposition de la mode au Louvre à Paris, le siège de la société Bob Ore international à Montréal et sur celui de la Société de transports aéronautiques (STA) à Alger.
Il y a 3 ans et 143 jours

Rénovation du Groupe scolaire Bellevue à Polisot (10)

Construit en 1977, l’établissement scolaire commençait à accuser le poids des années… Il était donc temps que ce lieu de vie et de savoir fasse peau neuve ! Afin d’offrir un cadre d’apprentissage idéal pour les quelques 120 écoliers qui foulent ses bancs, la municipalité a lancé début-2019 de grands travaux de rénovation thermique et esthétique.Grâce à la solution d’ITE Myral M32 posée en vêtage 82 mm sur mousse PIR, les 1 600 m2 de façades de l’école primaire auboise sont désormais parfaitement isolés, garantissant aux élèves et au corps enseignant un confort thermique idéal tout au long de l’année.Esthétiquement parlant, les parements « Gris Anthracite » (RAL 7016) et « Blanc Pur » (RAL 9010) issus de la gamme Purs Mats offrent un contraste fort qui tranche habilement avec les piliers multicolores supportant le préau. Telle l’encre noire couchée sur le papier, ces teintes aussi franches qu’éclatantes confèrent à l’ensemble une silhouette élégante et une allure graphique du plus bel effet.Dorénavant bien isolée, mise aux dernières normes environnementales pour les économies d’énergie mais aussi revalorisée sur le plan esthétique, l’école primaire Bellevue est définitivement entrée dans le XXI ème siècle ! Les travaux s'étant achevés durant l'été 2019, les jeunes écoliers ont pu prendre possession de leur établissement entièrement rénové dès la rentrée des classes de septembre... Une belle surprise pour ces enfants qui étaient tous ravis de leur nouvelle école !Informations chantier Présentation Nom du projet : Groupe scolaire Bellevue Date de construction : 1977 Type de bâtiment : ERP (école élémentaire) Nature des travaux : Rénovation énergétique Localisation : Hameau de Bellevue, Polisot (Aube – 10) Date de travaux : janvier à septembre 2019 Surface de façades : 1 600 m² Solutions Solution mise en œuvre : Vêtage 82 mm Mousse PIR + Parement M32 Texture(s) et coloris : Gamme Purs Mats : RAL 7016 (Gris Anthracite) + RAL 9010 (Blanc Pur) Finitions : Lisse Équipe projet Commercial Myral en charge du projet : Pierre GUERRERO Maître d’ouvrage : Mairie de Polisot Architecte : SCP PREAUX-DETHOU à BAR-SUR-SEINE (10) – Olivier PREAUX / Murielle DETHOU Entreprise : LAMBLIN DÉCORS ET FINITIONS à BRÉVIANDES (10)
Il y a 3 ans et 143 jours

Le chantier de rénovation de l’église Saint-Sulpice d’Ossé s’étalera jusqu’en 2023

Les travaux engagés au sein de l’église Saint-Sulpice d’Ossé sont estimés à 100 k€.
Il y a 3 ans et 143 jours

Lame de bardage de 175 mm

La lame de bardage Atmosphère 175 s’appuie sur la même technologie que la lame claire-voie, elle est plus large (175mm). Ce modèle est en phase avec les tendances de rénovation actuelles et peut être utilisé comme revêtement de finition pour dissimuler une isolation des murs par l’extérieur. Avec son aspect bardage fermé, elle a un recouvrement masquant complètement le clip en vue de face. Le parement est brossé pour un toucher naturel et un rendu mat. Plusieurs nuances de couleurs sont proposées avec toute une gamme d’accessoires coordonnés et optimisés qui favorise l’habillage rapide et facile de la façade.  
Il y a 3 ans et 144 jours

PRO Croissance Verte : le référencement à destination des professionnels du bâtiment

Croissance Verte met en relation les particuliers, les entreprises et les collectivités avec des professionnels du bâtiment dans les Pays de la Loire. Sa mission est de garantir aux bénéficiaires une qualité servicielle, une proximité et une sécurisation des prestations de rénovation énergétique. Elle souhaite faciliter et sécuriser les mises en relation. Elle permet aux professionnels de se voir proposer des demandes de prestations qualifiées grâce à un accompagnement du bénéficiaire réalisé en amont, notamment via l’audit énergétique, de réaliser des chantiers auprès de clients situés dans le secteur géographique qu’ils souhaitent, de se voir faciliter le quotidien grâce à un espace sécurisé donnant accès à une boîte à outils regroupant des modèles de devis et factures ainsi que des synthèses des différentes aides financières, et à un logiciel d’avancement de chantier, d’améliorer la réalisation des différentes démarches administratives, du devis à la facture. Pour accroître le nombre de professionnels de la rénovation énergétique qualifié RGE en Pays de la Loire, elle développera, un accompagnement des professionnels dans le montage et le suivi de la qualification RGE. Pour marquer son lancement la première année est gratuite pour toutes inscriptions avant le 31 décembre 2021. Voir aussi :  l’intervention de Dominique Mariani, Directeur Général de Croissance Verte, interrogé par Stéphane Miget, sur Artibat 2021  
Il y a 3 ans et 144 jours

Comment entretenir, préserver et protéger sa charpente en bois?

La charpente constitue l’une des pièces maitresses de la construction. En effet, c’est sur cette structure que reposent tous les éléments qui composent la toiture. Il est donc essentiel de veiller à sa solidité. À la différence de la charpente en métal ou en béton, la charpente en bois est souvent sujette à l’attaque des insectes. Elle se dégrade également lorsque la toiture souffre d’infiltrations d’eau. Pour garantir son bon état et sa durabilité dans le temps, il faut donc l’entretenir. Comment s’y prendre ? C’est ce que nous allons voir dans cet article. Quelles sont les principales menaces qui pèsent sur la charpente en bois ? Les menaces potentielles vont dépendre de l’essence du bois utilisé pour construire la charpente. Généralement, les pièces les plus importantes de cet élément sont faites en pin sylvestre, en peuplier, en sapin Douglas, en épicéa et en orme. Quant aux chevrons et aux clivages, ils sont réalisés en sapin, en châtaignier ou en peuplier. En outre, les spécificités de la région dans laquelle la maison est située ont une influence considérable sur ces menaces. Dans tous les cas, les charpentes en bois sont exposées à deux grands types de menaces, à savoir : Les insectes xylophages Ces ravageurs se nourrissent du bois. Ils creusent également des galeries dans la charpente afin d’y déposer leurs larves. En l’occurrence, il s’agit des termites, des vrillettes, des capricornes et des lyctus. Les petits trous et les sciures sur la charpente marquent leur présence. Pour les éradiquer, il est conseillé de faire appel à un couvreur charpentier expérimenté. L’humidité L’humidité sur la charpente provient des infiltrations d’eau au niveau de la toiture. Celles-ci résultent généralement du mauvais état des tuiles. Il est à noter que l’humidité entraine le ramollissement et le pourrissement du bois de la charpente. Elle est aussi responsable du développement des champignons lignivores, surtout si les combles ne sont pas suffisamment ventilés. Quelles solutions adopter pour préserver et protéger la charpente en bois ? Pour mettre fin aux maux dont souffre la charpente en bois, il est nécessaire de diagnostiquer son état général. Pour cela, il est conseillé de faire appel à un couvreur charpentier. Ce diagnostic ne permet pas uniquement de mesurer l’ampleur des dégâts. Il permet surtout de définir les solutions à adopter pour éradiquer les problèmes de la charpente. En fonction de leur nature, le professionnel mettra en œuvre : Un traitement préventif Il est destiné aux nouvelles charpentes en bois et à celles qui sont âgées de cinq ans au moins. Comme son nom l’indique, ce traitement permet de prévenir les dégâts que pourraient causer les insectes xylophages et l’humidité. Pour mieux protéger la charpente, il est donc recommandé de le renouveler tous les cinq ans. Un traitement curatif Il concerne les charpentes en bois qui subissent déjà les dégâts des insectes ravageurs et de l’humidité. Il s’agit d’un traitement à base d’insecticide que l’on pulvérise ou que l’on injecte dans le bois à travers les trous réalisés par les insectes xylophages afin de les éradiquer. Selon l’ampleur des dégâts, il faudra procéder au remplacement des pièces endommagées de la charpente. Pour cela, le recours aux services d’un professionnel est incontournable.
Il y a 3 ans et 144 jours

L'avis d'un artisan Point.P sur les dalles et lames Alpha Vinyl de chez Quickstep

Raphael, un artisan partenaire Point.P CAEN (14), vous présente sa réalisation de sol avec la gamme ALPHA VINYL de chez Quickstep.Si vous recherchez un sol qui offre un aspect élégant et pratique en abondance, Alpha Vinyl est une offre difficile à refuser. Son noyau ultra-robuste et sa couche supérieure unique protègent contre les taches, les rayures et les impacts, tandis que son système d’encliquetage innovant garantit un sol en vinyle très résistant à l’eau. Et ce n’est pas tout ; Alpha Vinyl est parfaitement adapté aux rénovations et peut être installé sur pratiquement toutes les surfaces, régulières ou irrégulières.
Il y a 3 ans et 144 jours

La Fédération Cinov appelle le gouvernement à reporter la mise en place de son projet d'audit réglementaire

Alors que cette disposition s’appliquera à compter du 1er janvier 2022 en ce qui concerne les passoires thermiques (F et G), la Fédération Cinov prend note de la volonté des pouvoirs publics de créer un « audit réglementaire », réalisable par les diagnostiqueurs, en complément des audits énergétiques préexistants, réalisés auparavant par les seuls bureaux d’études. Elle alerte cependant sur les nombreux risques que cette nouvelle prestation comporte, au premier rang desquels la dévalorisation des compétences des bureaux d’études et des architectes.Un projet qui discrédite les compétences des bureaux d’études…Pour rappel, à l’heure actuelle, la phase préalable à la rénovation des logements est orchestrée par deux corps professionnels bien distincts. D’une part, les diagnostiqueurs chargés de classer chaque bien selon son degré de consommation énergétique (classé de A à G) en établissant le diagnostic de performance énergétique (DPE). D’autre part, les bureaux d’études et architectes chargés de réaliser les audits énergétiques estimant le coût réel des travaux pour les logements énergivores détectés.Avec son projet d’« audit règlementaire », l’Etat entend accélérer l’éradication des passoires thermiques en décloisonnant les deux systèmes : à l’avenir, les diagnostiqueurs – qui s’occupaient auparavant exclusivement des DPE – pourront procéder à l’équivalent des audits énergétiques. Or, cette décision n’est pas sans risques, en premier lieu pour les bureaux d’études, architectes et ingénieurs thermiciens, qui sont actuellement les seuls professionnels autorisés à délivrer ces documents.Cette décision suscite l’incompréhension des bureaux d’études et architectes, qui considèrent que les qualifications liées aux audits énergétiques – OPQIBI et QUALIBAT notamment – ont prouvé leur valeur ces dernières années. Ainsi, le projet d’« audit réglementaire » concurrence et dévalorise indéniablement les outils préexistants, pourtant synonymes de savoir-faire et d’expertises spécifiques. Par ailleurs, le coût plus attractif qui sera sans doute proposé aux ménages par les diagnostiqueurs pour cette nouvelle prestation participera de fait à déprécier les expertises en place.… et qui s’opère au détriment des ménages.Outre la dévalorisation des compétences des bureaux d’études et architectes, Cinov regrette que cette nouvelle qualification repose sur un référentiel peu qualitatif dont les contours soulèvent de nombreuses interrogations, créent une confusion pour les vendeurs et acquéreurs et engendrent un risque de sinistralité très important.Si l’audit règlementaire proposé se veut par la sémantique équivalent à l’audit énergétique actuellement en place, il n’en reste pas moins foncièrement différent. Là où l’audit énergétique repose sur des référentiels précis établis par l’ADEME en concertation avec les différents acteurs de la profession, l’audit réglementaire serait quant à lui basé sur les seules données récoltées lors du DPE – une méthode moins précise en ce qui concerne l’identification et la valorisation des pistes d’économies d’énergie.Par ailleurs, ce nouvel audit réglementaire ne serait pas utilisable par les ménages pour l’obtention de MaPrimeRénov’ ou des Certificats d’Economie d’Energie dans le cadre de la rénovation globale, leviers pourtant essentiels à la rénovation massive. Les futurs acquéreurs se verront donc contraints de réaliser un nouvel audit incitatif afin de pouvoir bénéficier des aides à la rénovation, cette fois réalisé par les architectes et thermiciens qualifiés. Un double coût, au détriment desdits ménages étant donné qu’il est fort probable que des différences apparaîtront tant sur les préconisations de l’audit que sur les estimations financières des travaux.Frédéric Lafage, Président de la Fédération Cinov, met d’ailleurs en garde : «Dans la mesure où cet audit réglementaire sera opposable, nous nous interrogeons sur les modalités de prise en charge des écarts financiers entre celui-ci et l’audit énergétique, le risque étant que la différence soit endossée à terme par les collectivités.»Cinov appelle au report du projetA la veille de la mise en place effective de cette loi, la Fédération Cinov réitère son engagement en faveur d’une rénovation massive du parc résidentiel et concède que l’objectif annoncé de 100 000 audits par an reste difficile à atteindre en l’état. Néanmoins, l’audit énergétique actuel constitue un maillon essentiel du processus de rénovation des bâtiments, dont la qualité, la fiabilité et la clarté sont essentiels pour atteindre l’objectif susmentionné.Par ailleurs, Cinov alerte le gouvernement face à l’impossibilité de former convenablement un nombre d’opérateurs suffisants d’ici le 1er janvier 2022 – sauf à dégrader fortement la qualité des audits qui auront inévitablement une valeur et une légitimité moindres.Pour Frédéric Lafage, Président de la Fédération Cinov : « Nous regrettons aujourd’hui que cette concertation aboutisse à un nouveau dispositif qui dégrade la qualité de la prestation d’audit. Elle crée une inégalité entre les professions et les qualifications des auditeurs et trouble le message auprès des propriétaires, au détriment de l’objectif initial de massification des opérations de rénovation. »Face à ce constat, la Fédération Cinov appelle a minima le gouvernement à renommer cette nouvelle prestation dans le but d’éviter toute confusion entre les deux types d’audits. Elle l’enjoint également à reporter ce projet afin de satisfaire l’ensemble des parties prenantes. En effet, le calendrier de mise en application semble pour l’heure trop ambitieux dans la mesure où les solutions logicielles ne sont pas achevées et qu’à ce jour les référentiels de qualification ne sont pas suffisamment aboutis.
Il y a 3 ans et 144 jours

Les résultats du 24e challenge de l’habitat innovant : des projets étonnants et audacieux !

Le 24e challenge de l’habitat innovant a révélé les solutions audacieuses proposées par les adhérents du Pôle Habitat sur ses différents marchés (individuel, collectif, rénovation, aménagement et promotion).
Il y a 3 ans et 144 jours

EnergieSprong choisit BePOSITIVE

Pour sa deuxième édition le concours EnergieSprong aura lieu au salon BePOSITIVE. Ce temps fort de la massification de la rénovation énergétique durera 3 jours et rassemblera 20 groupements d’entreprises en compétition dans 3 catégories. Il sera accompagné d’un cycle de conférences sur l’industrialisation de la construction et de la rénovation au service de la transition écologique, en lien avec le mouvement hors site. Après une première saison en 2020 qui a permis de développer de premières solutions hors-site indispensables à la massification des rénovations (façades isolantes, toitures isolantes avec production d’énergie, modules de production et pilotage énergétique), cette deuxième saison se concentre sur 3 types de solutions essentielles à explorer pour optimiser les rénovations à énergie zéro, qu’il s’agisse de logements ou de bâtiments éducatifs. 3 catégories pour concourir : le développement de solutions complètes de rénovation intégrées pour les maisons individuelles, le développement de solutions permettant aux occupants de logements collectifs d’optimiser leurs habitudes de consommation énergétique, le développement de solutions de façades isolées intégrées améliorant l’efficacité énergétique des bâtiments éducatifs et les conditions de travail des élèves. Différents temps forts viendront rythmer et compléter le concours. L’ensemble des groupements présenteront sur le salon leurs prototypes et maquettes qui seront exposés sur un espace dédié de plus de 600 m2. L’ensemble des partenaires du concours seront présents sur le salon dans une zone qui leur sera dédiée.
Il y a 3 ans et 144 jours

Herblay-sur-Seine : plusieurs rues vont être rénovées

Quelques travaux de rénovation seront terminés durant ce mois de décembre 2021.
Il y a 3 ans et 144 jours

Alfortville : réhabilitation du centre commercial du Grand Ensemble

La requalification du centre commercial constitue la dernière étape du projet de rénovation urbaine du quartier du Grand Ensemble.
Il y a 3 ans et 145 jours

Pourquoi faire appel à une entreprise de peinture?

Les travaux de peinture de maison ne sont pas des tâches aisées. Ils requièrent des techniques bien définies et des connaissances profondes de certains supports. L’accrochage de la peinture exige de la compétence dans ce domaine et la qualité de la finition dépend grandement de l’expérience du peintre. Peindre constitue alors un travail pointilleux qui exige des techniques particulières. Faudra-t-il solliciter l’aide d’une entreprise spécialisée dans ce domaine ? Pourquoi engager une entreprise de peinture pour votre maison? La maison se diffère des mobiliers. La surface à peindre est large et le moindre défaut sur la peinture devient très visible. Pour un travail fluide et de qualité irréprochable, mieux vaut confier la peinture de votre maison à une entreprise compétente dans ce domaine. La peinture sur une grande surface nécessite des techniques d’application précises et une préparation au préalable du support. L’entreprise de peinture peut alors garantir une finition de très bonne qualité grâce à ses compétences. L’entreprise de peinture comme sur ce site : https://www.entreprise-peinture-82.fr/  possède tous les équipements pour donner un résultat uniforme. Les outils performants et professionnels ne s’arrêtent pas sur un simple pinceau, mais s’étendent à des rouleaux et de différentes tailles de pinceau. L’entreprise dispose également des échelles, des échafaudages ou des escabeaux pour les zones hautes. Elle possède tous les équipements de protections du peintre et procède à la protection de son environnement de travail : barricade du chantier, protection du sol et des mobiliers pour éviter les tâches, etc. Vous bénéficiez également des conseils et propositions pour vos choix de couleurs avec une entreprise de peinture. Elle vous donnera une palette de déclinaison de couleur pour mieux commander la composition de peinture qui s’accordera à votre maison. Elle peut vous conseiller également sur les peintures qui s’accordent à votre style : rustique, scandinave, industriel, etc. Quels critères privilégier pour trouver une bonne entreprise de peinture? Demandez des recommandations ou avis auprès des autres personnes : amis, proches, voisins ou internautes pour trouver une entreprise à qui vous pouvez confier les travaux. Présélectionnez d’abord celles qui vous convainquent le plus par leur statut et leurs anciennes réalisations. Demandez ensuite aux professionnels de visiter tour à tour le chantier avant d’envoyer leurs offres de soumissions. Posez-leur les questions techniques sur la préparation de votre mur avant la peinture : remplissage, ponçage, traitement de porosité, etc. Demandez également les techniques de peinture qu’ils suivront pendant les travaux, ainsi que les systèmes mis en place pour la gestion de la sécurité. Déterminez clairement votre attente. Définissez dès le départ l’étendue de votre projet et le rendu du résultat voulu. La couleur se décline sous une multitude de nuances, pour que l’entreprise comprenne nettement votre demande, montrez-lui une photo qui décrit votre demande plutôt que de dire vaguement la couleur. À la fin, vous pouvez déduire rapidement l’entreprise qui semble être le plus compétent dans le domaine. Prenez en considération ses années d’expérience, car l’expérience enrichit grandement le savoir-faire et l’agilité des peintres dans leur opération. Comparez les devis après pour choisir ce qui semble le plus convaincant en rapport de qualité/prix.
Il y a 3 ans et 145 jours

Feu vert à la surélévation de la Tour Montparnasse

JUSTICE. Le tribunal administratif a définitivement validé le permis de construire de rénovation-surélévation de la Tour Montparnasse, à Paris. Un projet qui s'inscrit dans celui de la rénovation de tout le quartier qui l'entoure.
Il y a 3 ans et 145 jours

Transition écologique : malgré les efforts, le taux de rénovation "reste lent"

POLITIQUE ÉNERGÉTIQUE. Dans son rapport consacré à la politique énergétique - et donc climatique - de la France, l'Agence internationale de l'énergie salue les mesures mises en place depuis cinq ans mais appelle aussi l'Hexagone à la vigilance. Les chantiers de rénovation énergétique sont toujours insuffisants, le développement des énergies renouvelables encore trop lent, et le parc nucléaire doit être renforcé.
Il y a 3 ans et 146 jours

Les aides à la rénovation énergétique en 2022

Chaque année voit revenir le Beaujolais nouveau, les citrouilles d’Halloween, le calendrier des pompiers et, depuis 2013 : la nouvelle version des aides à la rénovation énergétique de l’habitat, également connues sous les initiales PREH, avec un P comme Plan ! Guichet unique et accompagnateur privilégié, les nouveautés annoncées 2022 pointe son nez, la nouvelle […]
Il y a 3 ans et 148 jours

Principes permaculturels pour cette rénovation d’une petite maison en pierres de schiste aux portes de la Bretagne # BGT 019

Joris et sa femme ont fait le choix en 2019 de s’évader de l’ambiance urbaine de Nantes pour vivre pleinement leur vie à la campagne et tendre vers plus d’autonomie. Ils ont rénové une petite grange au nord de la Loire Atlantique selon les principes de la permaculture.  Nous avions rencontré Joris Danthon dans le cadre […]
Il y a 3 ans et 148 jours

Covid19 : bientôt de nouvelles restrictions ?

"Le président de la République a décidé de convoquer un nouveau Conseil de défense et de sécurité nationale sur la crise sanitaire pour voir s'il y a lieu de prendre des mesures complémentaires dès lundi en fin de matinée", a déclaré le Premier ministre, lors d'une visite à l'hôpital d'Angoulême."La cinquième vague de la pandémie est particulièrement forte" et "la situation est préoccupante", a relevé M. Castex, en citant des chiffres orientés à la hausse, dont une "progression de 60% des cas constatés en une semaine"."Nous restons extrêmement vigilants", a abondé le ministre de la Santé Olivier Véran, en s'appuyant sur les modélisations de l'Institut Pasteur qui promettent 3.000 malades du Covid en réanimation mi-décembre, contre près de 2.000 actuellement."Nous ne laisserons pas la pression monter trop haut" dans les hôpitaux, a souligné M. Véran, répondant à une question sur un possible retour des jauges dans les établissements recevant du public, à commencer par les cafés et restaurants.En attendant, M. Castex a renouvelé ses appels à la vaccination, en assurant que "personne ne sera laissé sans possibilité de faire son rappel avant l'échéance du 15 janvier", date à laquelle le pass sanitaire commencera à ne plus être valable pour les personnes n'ayant pas reçu d'injection complémentaire dans les temps impartis."Il y a toutes les doses qu'il faut", a insisté le chef du gouvernement, en ajoutant que "de nombreux créneaux de rendez-vous vont ouvrir dans les prochains jours".Depuis l'ouverture à tous les Français de plus de 12 ans de la dose de rappel jeudi dernier, "un total de 4,5 millions de rendez-vous ont été pris" s'est félicité M. Castex.Il a également relevé que le nombre de premières injections repartait à la hausse, alors que six millions de Français éligibles, dont 1,2 million de plus de 65 ans, n'ont toujours reçu aucune dose.Le Premier ministre effectuait d'ailleurs sa première sortie après dix jours d'isolement, ayant lui-même contracté le Covid la semaine dernière. "J'ai eu deux doses vaccinales, et ceci explique probablement le fait que je n'ai eu que des symptômes extrêmement légers", a-t-il fait valoir.Lors de sa visite, M. Castex a également détaillé l'enveloppe de près de 1,3 milliard d'euros allouée à la Nouvelle-Aquitaine, dans le plan national de 19 milliards d'euros d'investissements sur 10 ans du Ségur de la Santé. Au total, 158 établissements -hôpitaux comme EHPAD- bénéficieront d'une aide, qu'il s'agisse de rénovation, de nouveaux bâtiments ou de reprise de dette.Le plus gros bénéficiaire sera le centre hospitalier universitaire de Bordeaux, qui a entamé de vastes chantiers de modernisation et recevra 326 millions d'euros de l'Etat.Le service des urgences et la pharmacie de l'hôpital d'Angoulême toucheront six millions d'euros pour réhabiliter leurs locaux, dont la vétusté a été constatée jeudi par MM. Castex et Véran.Ces investissements, ce sont "une question de dignité d'accueil pour les malades, de conditions de travail pour le personnels, et d'efficience du dispositif hospitalier", a martelé M. Castex.
Il y a 3 ans et 148 jours

Les financements climat ont résisté à la crise, mais restent incertains pour la suite

Grâce à la relance post-Covid, ces financements devraient croître encore en 2021 et 2022, mais toujours insuffisamment pour permettre au pays de suivre sa feuille de route climat, laissant aussi la situation ouverte une fois le plan de relance épuisé, résume l'Institut de l'économie pour le climat (I4CE).En 2020, ménages, entreprises et administrations ont investi près de 45 milliards d'euros en faveur du climat, soit +10% par rapport à 2019. Cette progression contraste avec le recul global des investissements du pays l'an dernier (-7,8%, selon l'Insee).La hausse s'est surtout concentrée sur les voitures électriques et hybrides rechargeables, tandis que les investissements dans la rénovation énergétique des logements, le réseau ferroviaire, les transports en commun et les énergies renouvelables sont restés stables.Mais ces financements restent insuffisants par rapport aux objectifs de la Stratégie nationale bas-carbone de la France, qui vise à réduire les gaz à effet de serre et lutter contre le réchauffement.Il faudrait en effet au moins 13 à 15 milliards d'euros publics et privés supplémentaires chaque année jusqu'en 2023, et environ le double jusqu'en 2028, a calculé I4CE. Une estimation minimum, car nombre de secteurs comme l'agriculture, l'industrie ou le nucléaire ne sont pas couverts.En outre, la France devra revoir à la hausse ses ambitions de réduction de GES pour se conformer au nouvel objectif adopté mi-2021 par l'UE (-55% d'émissions en 2030 par rapport à leur niveau de 1990, contre -40% actuellement). Ce qui signifiera plus d'investissements nécessaires encore: environ deux fois plus, estiment les chercheurs d'I4CE.Les principaux financements climat du plan de relance prendront fin en 2022 : les pouvoirs publics doivent l'anticiper, "en élaborant dès maintenant une stratégie climat des finances publiques", appelle le think tank, qui veut aider les décideurs à intégrer le climat dans leurs décisions, et s'adresse aussi aux candidats à l'élection présidentielle.
Il y a 3 ans et 148 jours

Montataire : rénovation des murs de soutènement, de l’allée des Marroniers à la rue de Nogent

La première phase des travaux de reprise et de rénovation des murs de soutènement est en cours.
Il y a 3 ans et 148 jours

Construire sans artificialiser les sols, le nouveau dilemme des zones commerciales

Sur le principe, tout le monde ou presque est d'accord qu'il faut arrêter de remplacer champs et forêts par du béton. "D'un point de vue citoyen, on sait qu'il faut bien se calmer un peu", assure auprès de l'AFP Jean-Michel Pacaud, président du conseil de surveillance du promoteur JMP Expansion.Avec l'abandon de grands projets comme Europacity en banlieue parisienne ou Val Tolosa près de Toulouse, après de longs recours en justice, les promoteurs ont aussi bien compris que ce type d'installations risquait d'être mal accueilli par le public.Il n'empêche que la loi Climat est restée en travers de la gorge de nombreux professionnels de l'immobilier commercial. Pour atteindre son objectif de "zéro artificialisation nette d'ici 2050", elle a interdit la construction de nouveaux ensembles commerciaux de plus de 10.000 mètres carrés et soumis à une dérogation du préfet les constructions de plus de 3.000 mètres carrés.En pratique, il devient donc difficile de construire de nouveaux centres commerciaux sur des terres non-artificialisées.Est-ce vraiment si grave, dans un pays où la plupart des villes moyennes ont déjà au moins un centre commercial ?Pour les professionnels de l'immobilier commercial, la réponse est oui. D'abord parce que le marché des "retail parks", les espaces commerciaux à ciel ouvert, est en pleine expansion: c'est un modèle qui fonctionne bien en périphérie des villes. Mais surtout parce que jusqu'à présent, beaucoup de centres commerciaux finançaient leurs rénovations par des agrandissements: en mettant plus de magasins, on s'assurait d'une rentrée d'argent pour les travaux de modernisation du bâtiment existant.Construire sur des lieux déjà artificialisésPour continuer sur ce modèle, les promoteurs doivent se tourner vers d'autres solutions. Certains construisent par exemple sur leurs parkings. Mais supprimer le parking comprend un risque, estime Pierre Rochard, du cabinet Arthur Lloyd: celui de voir la fréquentation chuter.Une autre solution consiste à s'implanter sur des friches, à l'image par exemple du Shopping Promenade d'Arles: un centre commercial d'environ 20.000 mètres carrés ouvert en octobre 2019 et géré par Frey, qui s'est installé sur le site d'une ancienne usine de pâtes Lustucru."Sur les friches industrielles, il y a quand même une grosse problématique liée à la dépollution. Il y a plus de potentiel aujourd'hui sur la restructuration de zones commerciales", commente auprès de l'AFP Antoine Frey, PDG de la foncière du même nom, qui développe aussi un projet de ce type à Strasbourg.Avec l'étalement urbain, de nombreux centres commerciaux de périphérie ont notamment été rattrapés par la ville et peuvent être transformés en y ajoutant des logements collectifs, des bureaux ou des espaces de loisirs, qui permettent de financer le projet. Altarea construit par exemple un écoquartier à Bobigny, avec une trentaine de commerces, sur le site de l'ancien centre Bobigny 2, démoli cette année."Ce type de projet ne peut se faire que dans de grandes agglomérations", nuance Pierre Rochard.Car dans des zones moins denses, les habitants ne verront pas forcément l'intérêt à s'installer en périphérie dans des logements collectifs, alors que des maisons individuelles ou des logements plus proches des villes sont disponibles.Malgré ces solutions, un sentiment d'injustice demeure pour de nombreux professionnels de l'immobilier commercial qui estiment que les entrepôts d'e-commerce auraient aussi dû être visés par la loi.
Il y a 3 ans et 148 jours

« Sauvons nos monuments » : l'abri conique anti-aérien de Villenoy fait partie des neufs lauréats

Des travaux de rénovation sont nécessaires à l’abri conique anti-aérien de Villenoy. Ce dernier figure parmi les bénéficiaires du programme « Sauvons nos monuments ».