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Résultats de recherche pour anglais

(552 résultats)
Il y a 61 jours

Jean Prouvé : de l’art du mobilier à l’architecture, un hommage exceptionnel

Un ouvrage d’exception vient de voir le jour : Jean Prouvé: From Furniture to Architecture – The Laurence and Patrick Seguin Collection. Publié par la Galerie Patrick Seguin, ce livre bilingue (anglais et français) est une véritable plongée dans l’univers du visionnaire Jean Prouvé, figure majeure du design et de l’architecture du XXe siècle. Une […] L’article Jean Prouvé : de l’art du mobilier à l’architecture, un hommage exceptionnel est apparu en premier sur Archi.
Il y a 196 jours

International Award for Wood Architecture : RAUM lauréat

Un jury international, composé d’éditeurs de cinq magazines spécialisés dans la construction bois, a désigné lauréat du International Award for Wood Architecture la piscine de Saint-Méen-le-Grand (Ill-et-Vilaine) conçue par l’agence RAUM. Voici la liste (en anglais) des projets présélectionnés : cinq pays participant à la compétition, elle comprend deux projets finlandais, deux projets suédois, deux projets français […] L’article International Award for Wood Architecture : RAUM lauréat est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 246 jours

Dans la campagne anglaise, un projet d'éoliennes en mer met les nerfs à vif

"On ne peut pas traiter les gens comme ça !" Le pittoresque village anglais de Friston est le théâtre d'une fronde contre un projet d'infrastructures d'énergie éolienne, dénoncé comme une "catastrophe" écologique et touristique.
Il y a 255 jours

Joubert Plywood déploie son nouveau site internet

Joubert Plywood, l’un des leaders européens du contreplaqué Okoumé et Peuplier, annonce le déploiement de son nouveau site internet : une vitrine digitale présentant toute l’expertise de l’industriel charentais qui affiche notamment une vocation internationale puisque ce site est disponible en Français, en Anglais et en Espagnol. Développé pour parfaitement […] L’article Joubert Plywood déploie son nouveau site internet est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 263 jours

Nice célèbre les 200 ans de sa promenade des Anglais qui longe la Méditerranée

La ville de Nice a célébré tout le week-end le bicentenaire de la célèbre avenue qui borde son littoral, la promenade des Anglais, en référence aux résidents britanniques qui furent à l'initiative de sa construction le long de la Méditerranée.
Il y a 298 jours

Le Royaume-Uni lance un plan radical de construction de logements

LOGEMENT. Face à la crise de la construction, le nouveau gouvernement anglais a annoncé le lancement d'un plan national pour relancer le secteur, qui s'appuie sur des objectifs contraignants.
Il y a 1 ans et 9 jours

Le Projet national FastCarb présente ses recommandations

Les recommandations du Projet national FastCarb (2017-2022), ainsi qu'une synthèse en anglais sont désormais disponibles sur le site du projet.
Il y a 1 ans et 10 jours

Une vieille chapelle anglaise convertie en une maison familiale confortable et élégante

Cette chapelle du début du 20e siècle a été réhabilitée par le Studio de conception Tuckey en habitat confortable et élégant dans le village de Devon, en Angleterre. [De l’architecte] Ce fut une fantastique opportunité de donner une nouvelle vie à des lieux pleins de caractère et de relier deux époques de design différentes. Parfois, la […]
Il y a 1 ans et 30 jours

L'Europe se dote de sa législation pour une industrie à émission nette zéro

Le Parlement européen a adopté la "loi sur l'industrie à émission nette zéro" (connue sous son acronyme anglais NZIA, pour Net zero...-Industrie
Il y a 1 ans et 45 jours

que va changer l ia dans les sites internet des industriels du batiment

on va eviter d enfoncer des portes ouvertes mais a l evidence l intelligence artificielle risque de bousculer beaucoup de choses dans les temps a venir tous ceux qui communiquent et les industriels du batiment en font partie vont devoir adapter leur communication aux nouveaux outils incroyables que leur offre l ia avec l expertise de l ia que nous avons chez gda voici la liste de tout ce qui nous est venu a l esprit dans l evolution des sites internet futurs attention quand on parle de futur au sujet de l ia c est demain matin avec la vitesse a laquelle avance cette technologie nul ne sait ce qu il adviendra meme d un site internet dans 2 ou 3 ans rappelons d abord ce qu est l ia generative l ia generative ou intelligence artificielle generative est un sous domaine de l intelligence artificielle qui se concentre sur la creation de nouveaux contenus ou donnees contrairement aux modeles d ia traditionnels qui se contentent d analyser et de classer les donnees existantes les modeles generatifs sont capables de produire de nouvelles informations a partir d un apprentissage sur des exemples donnes on va tout de suite lancer deux avertissements la responsabilite du contenu a partir du moment ou un contenu est publie sur votre site internet qu il ait ete produit par le pdg de la societe par un stagiaire ou par l ia la responsabilite juridique est la meme vous en etes responsable les usages de la recherche ne vont pas changer en huit jours cela fait deux decennies que l internaute tape des mots cles dans les barres de recherche il va falloir un petit moment encore avant qu il s habitue a parler directement a une entite numerique une fois cette introduction faite sur quels aspects d un site internet notamment celui d un fabricant de materiaux l ia va t elle bousculer les usages ou les habitudes 1 evidemment la creation de contenu pour avoir fait des dizaines de sites internet pour nous memes ou des centaines pour le compte de nos clients on sait que la ou le bat blesse c est souvent le temps necessaire a la creation des differents contenus l intelligence artificielle va vous faire gagner un temps fou dans cette creation la rappelons que la creation de contenu est tres facile en texte et en images et sans doute tres vite en video 2 l usage multilingue de votre site la encore l intelligence artificielle fait des progres phenomenaux dans la traduction qualitative des contenus rediges dans a peu pres n importe quelle langue la derniere version chat gpt 4o est excessivement bluffante a ce titre chez gda nous avons deja anticipe l integration du multilingue genere par ia dans notre cms consacre a la fabrication des sites internet et si avant vous vous posiez la question de faut il faire mon site en anglais en allemand en espagnol etc maintenant vous savez que vous pouvez demultiplier les langues assez facilement 3 la communication directe avec vos visiteurs depuis votre site internet jusqu a present lorsque vous proposiez un chat sur votre site il etait soit couple a un petit algorithme chatbot soit reellement rattache a un humain derriere un ordinateur desormais en connectant le chatbot a un outil type chatgpt il sera tres facile a votre site de discuter avec un interlocuteur en repondant a toutes ses questions aussi complexes soient elles des lors que vous l aurez connecte a votre base documentaire l api de l ia fera le reste quel produit choisir dans la gamme quelles sont les performances de tel produit tel produit a t il un a vis technique quel dtu est il lie a la pose de tel produit les questions sont multiples et l ia pourra y repondre evidemment toute cette communication aura en plus les avantages suivants un mail pourra etre genere automatiquement et couple a une logique automation la communication se fera dans n importe quelle langue il n y aura pas d interruption dans cette communication h24 7 7 4 la logique de referencement naturel va evoluer on sait deja aujourd hui que google va integrer sa nouvelle technologie ia gemini ex bard dans son moteur de recherche et que bing a deja integre chatgpt dans son moteur progressivement google et bing vont proposer des reponses faites par l ia aux requetes que l ont fait habituellement vos notre clavier ou notre micro de ce qu on a pu lire et c est logique a terme les moteurs finiront par choisir eux memes le type de reponse a donner la serp resultats des recherches incluant des liens ou l ia il faudra surveiller de tres pres cette evolution car elle risque d affaiblir la frequentation des sites web mais on y reviendra dans un article a part evidemment tout n est pas dit dans cet article nous n en sommes qu aux balbutiements des evolutions anticipees de l ia mais c est un debut deja interessant qui devrait vous permettre de vous familiariser avec cette fameuse intelligence artificielle qui n a pas fini de tout bouleverser a suivre tres vite gda 19 mai 2024
Il y a 1 ans et 77 jours

mini vid o 4 quels sont les avantages de la certification

La série de 4 mini-vidéos, crées par CEKAL pour valoriser la certification des vitrages, est disponible en français et en anglais sur YouTube. La vidéo 4 présente les atouts de la certification CEKAL.
Il y a 1 ans et 78 jours

mini vid o 3 quelle est la preuve de certification

La série de 4 mini-vidéos, crées par CEKAL pour valoriser la certification des vitrages, est disponible en français et en anglais sur YouTube. La vidéo 3 explicite quelle est la preuve de la certification.
Il y a 1 ans et 79 jours

mini vid o 1 certification cekal souriez c est certifi

La série de 4 mini-vidéos, crées par CEKAL pour valoriser la certification des vitrages, est disponible en français et en anglais sur YouTube.
Il y a 1 ans et 79 jours

mini vid o 2 quels sont les produits certifi s par cekal

La série de 4 mini-vidéos, crées par CEKAL pour valoriser la certification des vitrages, est disponible en français et en anglais sur YouTube. La vidéo 2e présente les types de produits certifiés CEKAL.
Il y a 1 ans et 116 jours

JMG Communications

JMG Communications jmgcom lun 29/01/2024 - 20:47 10, rue Bobillot75013 ParisFrance https://www.jmgcom.fr info@jmgcom.fr Une expertise pointue  L'approche de JMG Communications repose sur une communication trilingue (français, anglais, allemand) et une connaissance approfondie des secteurs d'intervention. L'agence, à taille humaine, privilégie la proximité avec ses clients et les journalistes. Jitka Mencl-Goudier, la fondatrice, apporte son expertise franco-allemande et ses compétences en journalisme et relations presse, acquises notamment à l’Institut Allemand de Relations Publiques (DIPR). Sa vision et son expérience dans des secteurs d'activités variés constituent le socle de l'expertise unique de l'agence. Des services complets et variés  JMG Communications offre une gamme complète de services en relations presse et relations publiques, y compris la création d'événements, l'organisation de voyages de presse, la rédaction et diffusion de communiqués, ainsi que le community management. L'agence propose ses services dans la conception de supports de communication et d'outils d'aide à la vente, pour venir renforcer la stratégie de communication de ses clients.  Ce qui distingue JMG Communications, c'est aussi son réseau international forgé au fil des années. Elle possède un carnet d'adresses ciblé et entretient des contacts personnalisés avec les journalistes de la presse professionnelle et grand public. L’agence étend son influence à l'étranger en mettant en place des programmes de Relations presse et Relations publiques en Belgique, en Suisse, en Allemagne et en Autriche, en collaboration avec des partenaires locaux. Des clients de renom  JMG Communications a collaboré avec des acteurs majeurs dans divers domaines, notamment l'hôtellerie, le tourisme, le bâtiment et l'industrie. Parmi ses références notables, on trouve The Leela Palaces, Hotels & Resorts, RIU Hotels & Resorts, Accor, et bien d'autres. Ces collaborations témoignent de la capacité de l'agence à s'adapter à différents secteurs et à répondre efficacement aux besoins de communication variés.   Catégorie métier : Communication et médias Sous-catégorie métier : Relations publiques et presse   Partager Goudier Jitka (+33) 1 43 22 47 05 JMG Communications est une agence franco-allemande de Relations Publiques et Relations Presse basée à Paris et spécialisée dans les secteurs du bâtiment, de l'industrie, de la maison, du tourisme et de l'hôtellerie. Une agence multilingue JMG Communications : une agence de relations presse et relations publiques innovante JMG Communications, fondée en 2003 par Jitka Mencl-Goudier est une agence franco-allemande de Relations Publiques et Relations Presse, basée à Paris. Elle se spécialise dans les secteurs variés comme le bâtiment, l'industrie, la maison, le tourisme et l'hôtellerie. Avec plus de 18 ans d'expérience, l'agence excelle dans l'élaboration de stratégies de communication ciblées, s'appuyant sur un réseau relationnel international solide et un carnet d'adresses précisément ciblé.
Il y a 1 ans et 170 jours

Isolation : Saint-Gobain cède l'une de ses activités à Soprema

ISOLATION. Le géant des matériaux de construction vient de conclure un accord avec Soprema pour la cession d'une part majoritaire de son activité d'isolation en PIR qui opère au Royaume-Uni. Saint-Gobain devrait à terme sortir entièrement du capital de la société anglaise.
Il y a 1 ans et 173 jours

Zéro artificialisation nette : quelles réalités entre les modèles européens, anglais, suisses et japonais ?

La Fabrique de la Cité, le think tank des transitions urbaines, a publié une étude comparative des politiques de sobriété foncière mises en place par l’Union européenne, l'Angleterre et la Suisse - deux pays en dehors de l’Union - et enfin le Japon, un modèle extra-européen complexe d'aménagement du territoire.
Il y a 1 ans et 214 jours

les seaux prb font peau neuve et int grent du plastique recycl

Désormais, les nouveaux seaux PRB vont être des seaux PCR, en anglais « Post-Consumer Recycled ». Cela signifie que le fabricant utilise du plastique provenant par exemple de bidons, de flacons, des seaux ayant déjà été commercialisés et utilisés puis le recycle pour créer de nouveaux seaux. Le travail de recyclage des seaux consiste dans un premier temps à trier cette matière puis à broyer une nouvelle fois le plastique pour créer de nouveaux seaux.
Il y a 1 ans et 233 jours

Deux pompes à chaleur très différentes sont en field test

Deux entreprises, l’anglais Futraheat et le français Equium, mettent au point des pompes à chaleur qui ont peu de rapport avec les technologies habituellement utilisées dans ces appareils.
Il y a 1 ans et 327 jours

À Fontainebleau, festival des Écoles d’art américaines

Le Festival des Écoles d’art américaines revient au château de Fontainebleau (Seine-et-Marne) pour une nouvelle édition et fête cette année, les 100 ans de l’École des Beaux-Arts. Jusqu’au 29 juillet 2023. Architecture et musique prennent place dans le château et le jardin Anglais. Au programme : conférences, visites guidées et promenades musicales rythment le mois […] L’article À Fontainebleau, festival des Écoles d’art américaines est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 338 jours

A Fontainebleau, Grandeur Nature, 18 artistes au jardin

Grandeur Nature, 18 artistes au jardin est un parcours d’art contemporain dans le jardin anglais du château de Fontainebleau (Seine-et-Marne). Jusqu’au 17 septembre 2023. Le château propose pour la première fois un parcours dédié à l’art contemporain dans le jardin Anglais. Imaginée en partenariat avec le musée de la Chasse et de la Nature et […] L’article A Fontainebleau, Grandeur Nature, 18 artistes au jardin est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 339 jours

Une péniche anglaise rénovée pour une vie minimaliste

Russ a toujours aimé vivre dans de petits espaces et a même passé cinq ans à travailler sur des bateaux de croisière. Il rêvait de la vie de péniche depuis environ une décennie lorsqu’il a finalement sauté le pas et a acheté son bateau pour y vivre et tenir son activité professionnelle. Tout à l’intérieur est […]
Il y a 1 ans et 359 jours

Biennale de Venise : un abri pour les déplacés signé Holcim et la fondation Norman Foster

EN IMAGES. La fondation créée par l'architecte anglais Norman Foster et le cimentier Holcim unissent leurs forces pour construire une maison pour les populations fragiles. Le projet intègre une gamme de solutions pour rendre l'édifice "sobre en carbone, économe en énergie et circulaire".
Il y a 1 ans et 360 jours

Intégration spectaculaire d’une maison de ville anglaise tout bois et son studio

Le cabinet d’architecture londonien ao-ft a récemment achevé son premier projet, la Spruce House and Studio dans une zone de conservation de Walthamstow à Londres (Grande Bretagne). Moderne et durable, la maison neuve et le studio de design indépendant reflètent l’engagement du cabinet d’architectes envers les techniques de construction et de fabrication respectueuses de l’environnement. […]
Il y a 2 ans et 47 jours

À Orléans, le CO’Met selon Populous

À l’entrée d’Orléans (Loiret), livré en 2022 pour la Métropole maître d’ouvrage, le CO’Met est un grand équipement public composé de trois bâtiments* dans la continuité du Zénith existant : un parc d’exposition, un Palais de congrès et une ‘Arena’ sportive. Découverte de l’Arena, signée de l’agence anglaise Populous, un ouvrage de 10 000 places destiné à […] L’article À Orléans, le CO’Met selon Populous est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 52 jours

La nouvelle Monographie Valode & Pistre, 40 ans de créations architecturales

Sous la plume de Philip Jodidio, l’ouvrage, entièrement en anglais, revient sur les réalisations qui ont marqué l’histoire d’une des plus belles agences internationales d’architecture, de ses projets fondateurs aux plus grands concours, en passant par l’Équerre d’Argent gagnée en 1992 pour le projet l’Oréal à Aulnay.
Il y a 2 ans et 53 jours

Valode & Pistre, Complete works : 1980 to Present

Facebook Twitter La nouvelle monographie Valode & Pistre retrace plus de 40 ans de créations architecturales dans le monde entier. Sous la plume de Philip Jodidio, l’ouvrage, entièrement en anglais, revient sur les réalisations qui ont marqué l’histoire d’une des plus belles agences internationales d’architecture, de ses projets fondateurs aux plus grands concours, en passant… Lire la suite Valode & Pistre, Complete works : 1980 to Present
Il y a 2 ans et 60 jours

Vinci utilise l’IA pour le projet de construction d’un hôpital à Bournemouth avec Buildots

Pour la première fois, le système de santé publique anglais utilise l’innovation et la technologie de l’IA pour construire un hôpital. L’University Hospitals Dorset (UHD) a annoncé que le nouvel hôpital Royal Bournemouth est le premier établissement hospitalier du Royaume-Uni à être construit à l’aide d’une technologie d’IA révolutionnaire, qui accroît l’efficacité et réduit les coûts.
Il y a 2 ans et 64 jours

VINCI utilise l’IA pour le projet de construction d’un hôpital à Bournemouth avec Buildots

Pour la première fois, le système de santé publique anglais utilise l’innovation et la technologie de l’IA pour construire un hôpital. L’University Hospitals Dorset (UHD) a annoncé que le nouvel hôpital Royal Bournemouth est le premier établissement hospitalier du Royaume-Uni à être construit à l’aide d’une technologie d’IA révolutionnaire, qui accroît l’efficacité et réduit les coûts. La technologie, Buildots, analyse automatiquement les données capturées sur le site… Lire la suite VINCI utilise l’IA pour le projet de construction d’un hôpital à Bournemouth avec Buildots
Il y a 2 ans et 91 jours

Retour sur le sommet annuel de l'innovation de Procore Technologies

Gestion efficace des effectifs avec Procore Gestion des Ressources : Avec Procore Workforce Management, les organisations peuvent numériser et standardiser la gestion de la main-d'œuvre - favorisant ainsi une meilleure planification des ressources, la productivité sur le terrain et les profits. Cette toute nouvelle solution vient répondre à la problématique liée au manque de main-d'œuvre, qui a considérablement exacerbé les défis tels que les retards de projets et les contraintes budgétaires et renforcé le besoin d’une gestion efficace de la main-d'œuvre pour protéger les résultats d'un projet de construction. « Nos collaborateurs chargés de la gestion des effectifs faisaient tout sur des feuilles de calcul. Et lors de moments cruciaux, comme la réalisation de prévisions de planification des effectifs pour les dirigeants, les formules ne marchaient plus. Ils étaient frustrés et cela créait un cauchemar informatique », a déclaré Burns, Vice-président de l'IT chez McCownGordon Construction, dont l'entreprise utilise Procore Workforce Management. « C'est passionnant d'entendre qu'ils utilisent maintenant le logiciel et qu'ils sont heureux de le faire. Pour nous, il apporte une tonne de valeur sous forme de gain de temps et de business intelligence. » Pratiques de gestion de l’information facilitées grâce à Procore Gestion de Documents (GED) : Nous avons passé beaucoup de temps à recueillir les commentaires de nos clients du monde entier et nous savons que la capacité à collaborer avec toutes les équipes où qu’elles soient et à gérer efficacement les documents est un véritable défi. Par conséquent, la gestion des documents de construction est un énorme domaine d'intérêt pour notre secteur. En effet, dans une étude mondiale récente de FMI Corp et Procore sur les avantages de la préconstruction, les personnes interrogées ont estimé que les retouches contribuent à 19% du coût total du projet, et que seulement 30% de cette somme est récupérable. Cela signifie que 70% des retouches sont absorbées par l'entrepreneur.Pour aider les clients à relever ce défi, nous avons travaillé avec l'industrie pour développer une solution qui fournit une source d’information unique, fiable, sécurisée et performante pour accéder, gérer et collaborer sur des documents depuis n'importe où dans le monde.La solution offre une expérience de balisage intégrée avec des flux de travail d'approbation personnalisés et des autorisations granulaires au niveau des fichiers, ce qui aide les clients à répondre aux exigences communes en matière d'environnement de données et aux normes de conformité ISO. Rapport FMI sur l'état de la préconstruction mondialeKristy McKnight, vice-présidente de la gestion des produits pour la préconstruction, a clôturé le sommet de l'innovation en partageant quelques points clés du nouveau rapport industriel de FMI Corp, sponsorisé par Procore, l'État de la Préconstruction Mondiale.Le rapport explore l'état actuel de la préconstruction et les caractéristiques de ceux qui la font bien. Les participants interrogés ont été invités à décrire les pratiques de préconstruction dans leurs organisations, les outils et les technologies, les expériences de projet et les résultats.McKnight a eu l'occasion de s'entretenir avec Jay Bowman, analyste de la recherche industrielle et expert en construction chez FMI Corp, afin d'approfondir certaines des principales conclusions du rapport : Plus de 75% des participants à l'enquête affirment avoir un processus formel de préconstruction. Cependant, la cohérence de la préconstruction souffre du fait que le processus est souvent déterminé par une personne. Les participants ont classé la capacité à tirer parti de la technologie comme l'aspect le moins difficile de la préconstruction. Les organisations qui réalisent une préconstruction "supérieure à la moyenne" sont plus susceptibles de faire état d'une rentabilité plus élevée, de moins de retards dans les projets et de moins de reprises que les organisations qui se situent en dessous de la moyenne.Pour en savoir plus sur la façon dont les entreprises peuvent améliorer la planification des ressources, la performance des équipes et la collaboration tout en maximisant la rentabilité, regardez l'intégralité du Sommet de l'innovation en anglais ici : www.procore.com/webinars/innovation-summit. Une version sous-titrée en français sera bientôt disponible.
Il y a 2 ans et 92 jours

L'Oréal va acheter de l'électricité photovoltaïque à EDF

"Ces contrats d'achat direct d'électricité d'origine renouvelable portent sur la fourniture pendant 15 ans de la totalité de la production de deux centrales solaires à construire et à exploiter par EDF Renouvelables", a indiqué le groupe EDF dans un communiqué.Ces contrats de fourniture d'électricité à long terme sont désignés par le terme anglais de "corporate PPA" (power purchase agreement).Ils permettront à L'Oréal de "bénéficier d'un prix d'achat maîtrisé sur le long terme", et ainsi d'éviter d'être exposé à la volatilité des prix.Prévues en Corrèze et dans les Vosges, et d'une puissance installée cumulée de 27 mégawatt-crête, ces deux centrales solaires produiront l'équivalent de 25% de la consommation d'électricité du Groupe L'Oréal en France, a précisé EDF.Leurs mises en service sont attendues respectivement d'ici au troisième trimestre 2024 pour la première et au second trimestre 2025 pour la seconde. "La production de nos deux futures centrales solaires viendra s'ajouter à celle d'un autre parc éolien en exploitation qui assure depuis deux ans déjà la fourniture d'électricité pour les sites de L'Oréal", a précisé Alexandre Levy, directeur des PPA en France chez EDF Renouvelables, cité dans le communiqué.Le partenariat est adossé à un contrat de fourniture qui prévoit que le volume d'électricité ferme produite sera cédé par Agregio, filiale d'EDF, au groupe L'Oréal.EDF renouvelle en outre le contrat de fourniture d'électricité du Groupe L'Oréal, en intégrant le volume d'électricité solaire ainsi qu'une couverture complémentaire avec de l'électricité d'origine renouvelable, pour les années 2024 et 2025.Cet engagement "s'inscrit dans la droite ligne de nos engagements pris dans le cadre du programme L'Oréal pour Le Futur afin de consommer durablement une énergie renouvelable pour l'ensemble de nos activités", a commenté Audrey Izard, Directrice achats indirects Groupe L'Oréal."La signature simultanée de ces contrats, de production, d'agrégation et de fourniture, pour construire ce PPA solaire, est une première pour le groupe EDF", selon Stanislas Landry, directeur grands comptes d'EDF.
Il y a 2 ans et 92 jours

Brutalisme et Modernisme en Pologne

[©Zupagrafika] Tour en forme de marteau, logements en panneaux préfabriqués, soucoupe volante cosmique, monolithes en béton brut… Ce sont quelques-unes des constructions de l’ère socialiste qui ont remodelé les paysages urbains polonais détruits pendant la Seconde Guerre mondiale. L’ouvrage bilingue (polonais et anglais) “Brutal Poland” permet d’explorer l’architecture moderniste et brutaliste érigée dans l’ancienne République populaire de Pologne. Mais aussi et surtout, de construire de manière ludique certains de ces édifices les plus emblématiques. En effet, la deuxième partie du livre contient neuf modèles réduits en papier pré-découpés et pré-pliés à assembler avec des instructions faciles à suivre. Tout ce dont vous avez besoin, c’est de la colle ! Richement illustré de photos et de textes informatifs, “Brutal Poland” fournit un aperçu précieux des bâtiments et de leur histoire. Editeur : ZupagrafikaAuteurs : David Navarro, Martyna Sobecka et Anna CymerPrix : 36 €TTC Retrouvez l’ouvrage sur le site de l’éditeur. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 98 jours

Le musée archéologique national d'Athènes va être entièrement rénové

Le résultat d'un concours international d'architecture a été annoncé en décembre afin d'augmenter la capacité du musée, vieux de 150 ans, qui attire plus d'un demi-million de visiteurs par an.Le projet du cabinet d'architecture anglais David Chipperfield Architects et de son partenaire grec Tombazis comprend la création de deux nouveaux niveaux de galeries souterraines et un jardin suspendu sur le toit, destinés à créer 20.000 mètres carrés d'espace supplémentaire.Bien qu'aucun calendrier n'ait été annoncé, la ministre de la Culture, Lina Mendoni, a déclaré que le musée serait "complètement" transformé en quatre ans. Inauguré en 1889, le musée abrite des antiquités parmi les plus précieuses de Grèce, notamment les fresques préhistoriques de Thira, les trésors en or de l'âge du bronze de Mycènes et le mécanisme d'Antikythera du IIe siècle avant J.-C., un dispositif considéré comme le plus ancien précurseur de l'ordinateur du monde."Ce musée possède l'une des collections les plus extraordinaires du monde", a déclaré David Chipperfield lors de la présentation du musée. Moins de 10% des dizaines de milliers de pièces de la collection sont actuellement exposés, a déclaré le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis. Il a précisé que le projet sera financé par des ressources nationales et européennes.
Il y a 2 ans et 99 jours

Les urbanistes et leur "ville du quart-d'heure", nouvelles cibles du complotisme post-Covid

Apparu en France en 2015, le principe de la "Ville du quart-d'heure" est simple: assurer la présence de tous les services essentiels, comme les magasins, les parcs ou les hôpitaux, à moins de 15 minutes de marche ou de vélo du domicile des citadins.Depuis la pandémie de Covid, le concept, imaginé par l'universitaire franco-colombien Carlos Moreno, s'est exporté avec succès dans le monde entier.Des villes comme Paris, Melbourne ou Copenhague s'en revendiquent pour justifier la réorganisation de certains quartiers, censés devenir plus agréables à vivre et moins dépendants de la voiture, mais aussi pour limiter la pollution et le réchauffement climatique.Mais, comme à l'époque des confinements sanitaires contre le Covid-19, le débat politique sur la pertinence de ces mesures s'est mué sur les réseaux sociaux en théories suspicieuses sur l'origine et les intentions réelles que cacherait cette vision.Sur TikTok, les premiers résultats de la recherche "Ville du quart-d'heure" présentent surtout des vidéos critiques, où l'on affirme notamment que les nouveaux plans de circulation ont pour but de limiter la liberté de mouvement des habitants qui à terme seront punis par des amendes s'ils sortent de leur quartier.Sur Twitter, en anglais, le hashtag #15minuteprisons est apparu en troisième position derrière #15minutecities et #15minutecity.Pour avoir imaginé le concept, Carlos Moreno, professeur à la Sorbonne, a lui-même été la cible de nombreuses insultes directes, a-t-il confié à l'AFP."Jamais il n'a été question de propositions restrictives, mais bien au contraire de développer des opportunités en plus: plus de choix, plus de services, plus d'envie d'évoluer dans son quartier, tout en ayant le choix d'aller où bon nous semble", se défend-il.Réorganisation des transportsDes extrapolations sur des décisions prises à Oxford, en Angleterre, ou à Edmonton, dans l'Etat canadien de l'Alberta, ont été récemment démystifiées par l'AFP. Mais les assertions ont refait surface dans diverses langues, notamment en anglais, en français et en portugais."Vous ne pouvez pas quitter une +Ville du quart-d'heure quand bon vous semble", assure un homme dans une vidéo sur le nouveau plan de circulation d'Edmonton, visionnée plus de 59.000 fois sur Facebook."Les murs de la ville, les restrictions, les zones, ne seront pas utilisés pour empêcher les gens d'entrer, ils seront utilisés pour enfermer tout le monde", poursuit-il.Une prophétie balayée par Sandeep Agrawal, urbaniste de l'Université de l'Alberta: "le dispositif vise à fournir de meilleures connexions avec le reste de la ville", par une amélioration des transports publics, a-t-il déclaré à l'AFP."Cette planification, c'est un processus continu, qui implique une consultation des citoyens aux différentes étapes de son élaboration", a-t-il ajouté.DéformationsÀ Oxford, des conseillers municipaux ont rapporté avoir été la cible d'injures en raison d'un projet visant à limiter, aux heures de pointe, la circulation des voitures sur les trajets de bus.Un article, qui assurait à tort que les résidents seraient "confinés dans leur quartier et devraient demander la permission de le quitter, tout cela pour soit-disant +sauver la planète+", a été largement relayé.Un porte-parole du conseil communal a démenti ces assertions auprès de l'AFP. Liam Walker, un élu conservateur de l'opposition, lui-même opposé à cette expérimentation, a lui aussi dénoncé sur Twitter des affirmations "totalement fausses"."Dans le cas d'Edmonton, de Canterbury ou d'Oxford, chacune de ces critiques est une déformation du concept par le prisme d'une vision extrémiste avec comme seuls +arguments+ des mensonges, manipulations, insultes", regrette Carlos Moreno.Son concept a séduit le groupe C40, qui rassemble des grandes villes luttant contre le réchauffement climatique, ainsi que les Nations unies ou encore le Forum économique mondial. Des cibles habituelles de nombreuses déformations virales, fréquemment vérifiées et corrigées par les médias.Le concept reste par ailleurs très débattu. Parmi ses détracteurs modérés, Jay Pitter, professeur d'urbanisme basé à Toronto (Canada), fait valoir que ce modèle européen ne peut pas être transposé aux villes nord-américaines. Et qu'il pourrait même aggraver les inégalités en accentuant la gentrification des centre-villes.
Il y a 2 ans et 108 jours

Photovoltaïque : le best of des fake news les plus répandues

De nombreux décideurs n’avaient pas vu venir ces progrès et, dans les débats actuels, on constate qu’ils sont encore nombreux à ne pas avoir pris en compte les données réelles du photovoltaïque d’aujourd’hui : on entend encore de nombreux arguments qui n’ont plus lieu d’être au sujet de cette énergie. Il est temps de distinguer le vrai du faux !Au sujet de la fabricationLes modules PV utiliseraient des terres raresFauxLes modules PV utilisés aujourd’hui ne contiennent pas de terres rares. Le composant principal est le silicium : il sert à faire les cellules PV, qui sont prise en sandwich entre 2 plaques de verre. (Le verre est aussi fait avec du silicium !)Mais NB : aucune terre rare dans le photovoltaïque !Il y aurait bientôt pénurie de siliciumFauxLe silicium, le 2ème atome le plus présent sur terre (juste après l’oxygène), et facile d’accès (partout dans la croûte terrestre).Il n’y a pas de pénurie de silicium et il n’y en aura pas. Il n’y a pas de pénurie de matière première. Parfois, en raison de la forte croissance de la demande, il y a des demandes supérieures à la capacité des usines qui purifient le silicium. Cela est temporaire et résolu par l’augmentation de capacité de ces usines.La rareté des matériaux n’est donc pas un frein pour le déploiement du PV à grande échelle.En fait s’il y devait y avoir un point de vigilance ce serait sur l’argent, utilisé comme conducteur entre les cellules… on pourrait avoir à le remplacer par un autre conducteur, si le marché PV continue son ultra croissance.Au sujet de son intérêt économiqueC’est cher et non compétitif Ce n’est plus vrai du tout.C’était vrai il y a 10 ans et encore plus il y a 20 ans. Le prix des panneaux était si élevé que le prix de revient de l’électricité solaire n’était pas compétitif face au réseau électrique. Le photovoltaïque étaient donc utilisé là où il n’y avait pas d’accès possible au réseau (par exemple les réémetteurs en montage.)Mais en 20 ans cela a changé de manière extraordinaire ! En 20 ans le prix des panneaux a été divisé par 100 !Cela a été réussi grâce aux pays qui ont compris, il y a 20 ans, qu’il y avait un énorme potentiel de baisse de prix, à condition de faire grossir les volumes fabriqués.D’abord le Japon, puis l’Allemagne, la Chine, les Etat Unis ont bien identifié ce potentiel : Ils ont subventionné le photovoltaïque pour faire grossir le marché et ainsi faire baisser les prix.Et cela a porté ses fruits :De 2012 à 2022, les prix du PV ont été divisés par 10 (et ils avaient déjà été divisés par 10 dans la décennie précédente. Les prix des panneaux PV ont donc été divisés par 100 en 20 ans !D’autres évolutions ont rendu l’électricité solaire compétitive :Le rendement qui était de 10% dans les années 1970, est de 24% aujourd’hui et se rapprochera des 30% sous peu…La durée de vie est passée de 10 ans dans les années 80, à plus de 40 ans aujourd’hui. Les garanties des constructeurs sont de 30 ou 35 ans, avec moins de ½ % de perte de puissance par an ! Dans 35 ans, un panneau acheté aujourd’hui fonctionnera encore et aura plus de 82% de la Puissance initiale ! Quel autre produit industriel à une telle durée de vie et une telle garantie ?Les onduleurs (qui transforment le courant continue des panneaux en courant alternatif qui peut être injecté dans le réseau électrique ont gagné en rendement, et baissé en prix)Le métier d’exploitation de centrale PV c’est fortement professionnalisé en 20 ans.En conséquence de tous ces progrès, le prix de l’électricité PV a diminué de manière spectaculaire. Le solaire PV est maintenant compétitif par rapport aux autres sources d’énergie électriquel’électricité solaire coûte entre 5 centimes le kWh (50€/MWh) (pour une grande centrale au sol) et 16 centimes kWh (160€/MWh) pour une petite installation en toiture.Le nucléaire des centrales de dernière génération est de plus de 10 centimes/kWh (100€/MWh)L’électricité solaire est donc désormais compétitive, y compris par rapport au nucléaire.Et ce n’est pas fini, la baisse des coûts du solaire va continuer.On dit que cela coûte une fortune en subvention et demande beaucoup d’aides publiquesCe n’est plus vrai du toutDévelopper les énergies renouvelables a coûté de l’argent public, le temps d’aider le marché à décoller, jusqu’à ce que cette énergie soit compétitive.Aujourd’hui les solaire est compétitif ! D’ailleurs, Aujourd’hui, ce sont les énergies renouvelables qui apportent des recettes à l’Etat et non l’inverse.Les montants sont très importants : la CRE (Commission de Régulation de l’Energie) indique, que, dans les conditions actuelles toutes les filières d’énergies renouvelables en métropole continentale représenteront des recettes pour le budget de l’Etat, pour une contribution cumulée, de plus de 30 Md€ au titre de 2022 et 2023 Les filières contributives sont, par ordre d’importance : l’éolien terrestre, le photovoltaïque à hauteur, l’hydroélectricité et le biométhane.Fin 2024, les EnR auront rapporté plus à l’Etat qu’elles n’ont coûté depuis qu’elles sont soutenues !Le PV ne rapporterait rien aux communes ?FauxLa production d’électricité photovoltaïque est soumise à l’IFER, qui est un impôt prélevé au profit des collectivités territoriales. Une partie de cet IFER est reversée directement aux communes sur lesquelles sont installées les centrales photovoltaïques.Ordre de grandeur : une installation au sol de 20MW apporte plus de 60 000 € / an aux collectivité locales (Département et communauté de communes) dont au moins 20% directement à la Commune.Un parc PV sur une commune permet de baisser les impôts locaux ou de financer des projets locaux, sans solliciter les contribuables !Le photovoltaïque ne produit pas par temps couvert et en hiver. En France, ça ne produirait presque pasFauxUn panneau produit plus en été par beau temps qu’en hivers pas temps nuageux, c’est une évidence.Cependant, un panneau PV produit bien de l’électricité toute l’année. Pour preuve : les réémetteurs de télécom en haute montagne sont alimentés par des panneaux solaires, toute l’année. Ils fonctionnement été comme hivers.La quantité d’énergie produite sur l’année est importante.En France, en moyenne 1kWc (soit 5m²) environ 1300 kWh/an (1,3 MWh/an), soit un peu plus de la moitié de la consommation électrique moyenne d’un français (2200 kWh/an).En France, bien que l’on ne soit qu’au début, en 2021, le solaire PV a déjà fourni 3% de l’énergie électrique consommée en France (contre 2,8 % en 2020), (3% = 14,3TWh)Les panneaux solaires ne fonctionneraient que s’ils sont exactement orientés plein SudFauxUn panneau produit le maximum annuel s’il est orienté plein sud. Mais il ne perd que quelques % s’il est orienté sud-est ou sud-ouest. Aujourd’hui les panneaux sont bifaciaux, cela signifie de même la face arrière produit : si elle est orientée vers le sol, est fait de l’électricité grâce à la luminosité réfléchie sur le sol, que l’on appelle l’albédo. L’orientation et l’inclinaison des panneaux est une question d’optimisation de la production, mais on a une véritable souplesse d’installation.Au sujet de la pertinence environnementaleUne installation PV fournit-elle plus d’énergie que ce qui a été consommé pour sa fabrication ?Oui ! Beaucoup beaucoup plus !En France, un système PV utilisant des modules en silicium monocristallin fournit l’énergie qui a été nécessaire pour sa fabrication est de moins de 2 ans depuis des années. Il est même passé en dessous de 1 an avec les dernières générations de panneaux, qui utilisent de moins en moins de matière, pour une puissance de plus en plus forte). Or un panneau dure plus de 40 ans. Un panneau fournit donc 40x plus d’énergie qu’il n’en consomme lors de sa fabrication. Ce ratio est donc excellent et place le photovoltaïque parmi les meilleures énergies.Un panneau PV pollue et ne se recycle pas ?Faux et archi fauxEn masse, près de 95 % d’un module en fin de vie est valorisé. La filière est parfaitement organisée.Aujourd’hui on récupère le silicium (du verre et des cellules) pour en refaire du verre. Le cadre en aluminium (un autre matériau qui se recycle très bien). Le métal argent qui est utilisé pour les connexions électriques. Il ne reste que 5% de matière non recyclée, mais l’amélioration continue.Le recyclage est bien organisé : l’éco-organisme SOREN, se charge de collecter les panneaux usagés, et de les recycler. Faire recycler un panneau ne coûte rien à son propriétaire, quelle que soit la marque et l’origine du panneau, car une éco participation a été payée initialement pour financer la collecte, le tri et le recyclage.La France est l’un de premier opérateur européen de cette activité de recyclage.Bref un panneau solaire se recycle très bien et la filière est bien organisée.Un système PV émettrait beaucoup de CO2FauxLe solaire est l’une des sources d’électricité très faiblement émettrice de CO2 !Une installation PV (sur toiture à base de panneaux en silicium monocristallin) émet en moyenne30 gCO2eq/kWh. (Ce, en intégrant tout le cycle de vie, y compris si le panneau vient de Chine)C’est 16 à 33 x moins que les énergies fossiles. (Les centrales à énergie fossiles (à gaz, charbon ou fioul) émettent 500 à 1000 gCO2eq/kWh.)C’est 8 x moins que la moyenne des énergie électriques du réseau européen (les émissions moyennes du système électrique européen étaient de 231 gCO2eq/kWh en 2020 soit 8 x plus.Non seulement le PV émet peu de CO2, mais, avec la prolongation de la durée de vie d’un panneau, et la perspective de fabrication de panneaux en Europe, les progrès techniques de fabrication font que ce ratio pourra encore s’améliorer en descendant jusqu’à ce ratio pourra encore s’améliorer en tombant à 15g puis 10 CO2eq/kWh !Bref : le photovoltaïque est l’une des meilleures solutions pour produire de l’électricité décarbonéeUne installation PV au sol dégraderait les solsFaux !Les producteurs d’installation PV, à partir de panneaux installés au sol s’engagent à tout démonter à la fin du projet (dans 30 ou 40 ans) s’il n’est pas reconduit pour une nouvelle période (ce qui sera souvent fait en plaçant une nouvelle génération de panneaux). C’est assez simple car les supports sont généralement fixés sur des pieux battus ou vissés dans le sol (sans le moindre béton).NB : soulignons que toute grande installation PV au sol fait l’objet d’une étude d’impact environnemental préalablement à l’obtention de son permis de construire !Le photovoltaïque au sol c’est visuellement hideuxTout est relatif !Ce n’est certes pas invisible, mais c’est souvent très discret : de nombreuses personnes roulent chaque matin à côté d’un champs PV (au sol le long d’une autoroute, sans le savoir, car des haies installées à la périphérie cachent bien le site. En tous cas, ce n’est pas en hauteur, cela ne fait pas de bruit… l’impact visuel est souvent très limité.En tous cas c’est moins visible qu’une centrale au charbon, qu’une centrale nucléaire, etc, etc.NB l’étude d’impact prend en compte l’impact visuel lors de la conception du projet.Au sujet de l'exploitation des centralesLes panneaux solaires, demandent beaucoup l’entretienFauxParmi tous les moyens de production d’électricité, le photovoltaïque est celui qui demande le moins d’entretien : pas de mécanique, aucune pièce en mouvement, pas de carburant à apporter… etc. C’est bien pour cela que nos satellites sont tous électrifiés par panneaux solaires (il n’est pas nécessaire d’envoyer un “astronaute de maintenance” tous les mois !) Mais aussi les balises en mer, les réémetteurs télécom en haute montagne, les refuges alpins, etc. Partout où il est difficile d’envoyer un technicien de maintenance, le photovoltaïque a été choisi avant tout pour sa simplicité d’entretien.C’est aussi cette simplicité qui explique que les panneaux aient une garantie de 35 ans.Cependant, dans une installation PV il y a aussi des onduleurs électroniques. Ils ont en général une durée de vie de 10 à 15 ans. Ils sont généralement contrôlés à distance et remplacés lorsque nécessaire….En bref de l’entretien oui, mais beaucoup moins que les autres moyens de production d’électricité.Un panneau solaire, c’est fragile ?FauxC’est plus solide qu’une fenêtre de toit. C’est équivalent à un pare-brise d’automobile… et plus solide que des tuiles.Bref, ce n’est pas incassable, mais ce n’est pas fragile.Au sujet de la vision à l’échelle nationale, à moyen termeLa France est en retard sur ses objectifsC’est vrai, malheureusementLa programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit 20 GW installés en 2023 et entre 35 et 44 GW en 2028. En septembre 2021, 13,2GW étaient raccordés, soit 66% de l’objectif 2023. La Fr est le seul pays de l’UE en retard sur ses engagements. Le rattrapage du retard coûtera 500M€ au Gvt français (et donc au contribuable).La France annonce qu’elle veut accélérer et changer d’échelle et développer plus de « fermes solaires ».Une ferme solaire, c’est du photovoltaïque sur une ferme agricole ?NonCette expression vient d’une traduction littérale de l’anglais « photovoltaïc farm ». Un ferme photovoltaïque est tout simplement une installation de panneaux photovoltaïques, au sol, sur un grand terrain, pour produire de l’électricité. En bon français on devrait dire une « centrale photovoltaïque ».Développer plus de fermes solaires, c’est développer plus d’installations de grande surface…A ce sujet, on dit que les surfaces nécessaires seraient hallucinantesFauxAyons les ordres de grandeur en tête :La France à l’ambition de multiplier par 10 la puissance PV installée d’ici 2050 (annonce rappelée par le Pdt lors de son discours à Belfort en 2022. Multiplier le parc installé par 10 revient à atteindre 100 à 130 GW installés en 2050.=> la production sera alors de 160 TWh/an, soit 25% de la conso totale d’élec (qui sera de 640 Twh/an)Quelle surface faudra-t-il ?Si la moitié est installé sur des toitures, des parkings, l’autre moitié devra être installée au sol (c’est nécessaire pour atteindre l’objectif et pour produire une énergie très compétitive).Il faudrait donc installer 65 GW au sol ? Cela demanderait environ 60 000 ha = soit seulement 0,2% de la SAU, soit 2 millièmes des terres agricoles (* : La SAU totale de la France est de 29 millions d’ha). Et on ferait cela en 22 ans (d’aujourd’hui à 2055), il faudrait donc trouver 2 700 ha/an (60 000 / 22 = env 2727)Pour avoir un point de repère : C’est 10x fois moins que les terres que l’on affecte chaque année à la construction de maisons (27 000 ha par an en moyenne sur 2006-2016)Non la production d’une part importante de notre électricité par énergie solaire ne demande pas des surfaces hallucinantes. Nous n’aurons pas de choix cornélien à faire entre souveraineté énergétique et souveraineté alimentaire !Donc la France a raison de vouloir accélérer !Les énergies renouvelables seraient un risque pour la stabilité du réseau ?FauxPour l’instant on fait de l’ordre de 3% du mix électrique en PV. L’objectif est de monter à 25% d’ici à 2050. Cela ne fera ne fera pas courir de risque sur la stabilité du réseau.Et c’est RTE qui le dit : RTE est le gestionnaire du réseau de transport d’électricité, changé notamment d’assurer la stabilité du réseau à moyen et long terme.Par ailleurs, RTE souligne aussi, qu’il est indispensable d’accélérer le développement des énergies renouvelables pour répondre à la croissance de la demande d’électricité en France (quelle que soit la part qui serait produite par le nucléaire.)Pour aller au-delà de 25%, après 2050, il faudra sans doute continuer d’améliorer nos solutions de flexibilité et de stockage. Des travaux sont déjà en cours, mais il n’y a aucune raison de ne pas accélérer jusqu’en 2050.Les panneaux solaires sont fabriqués en ChineC’est vrai… tout comme votre téléphone portable !C’est vrai et c’est regrettable : avant moratoire des projets industriels étaient en préparation. Les tergiversations françaises les ont fait renoncer… Lorsque nous nous sommes arrêté les Chinois ont accéléré. Ils ont eu raison.Heureusement, ce n’est pas inéluctable : des projets de Giga Usines de production de panneaux solaires en France sont de nouveau à l’étude.C’est économiquement tout à fait possible, car le surcoût d’une main d’œuvre européenne (par rapport à la main d’œuvre chinoise) est compensé par la réduction des coûts de transport.Et on a toutes les compétences pour réussir une industrie PV en FranceUne R&D de haut niveau à l’INESDes champions des semi-conducteur (STM),Des champions de la conversion d’énergie (Schneider)Des industriels du Verre Saint-GobainDe grande compétence en ingénierie industrielle.Plusieurs projets de construction d’usine en France et en Europe sont en cours.Mais alors le PV contribue-t-il à notre indépendance énergétique ?Oui !Il faut bien distinguer l’usine et le carburant !Lorsqu’un panneau est installé, (d’où qu’il vienne) il va produire de l’électricité, là où il est installé, pendant 40 ans, sans que l’on n’ait rien à importer (ni gaz, niche charbon, ni uranium...)Le « carburant » est le rayonnement solaire. Aucun pays ne peut ne couper ce robinet-là. Donc même avec des panneaux importés, le solaire contribue à notre indépendance.Et ce sera encore plus vrai, encore plus satisfaisant, lorsque nous produirons les panneaux en France…Donc oui le PV contribue à notre indépendance énergétique.Ajoutons queLe PV peut se mettre en œuvre très vite si on le souhaite, au cœur des territoiresLe PV contribue aussi la baisse des prix de l’électricité donc au pouvoir d’achat des consommateurs et à la compétitivité de notre économie,Le PV contribue à la décarbonation de notre énergieLe PV peut apporter des services utiles au monde agricoleLe PV contribuera certainement à la réindustrialisation de la FranceIl est urgent d’évacuer les arguments faux ou surannés et les polémiques stériles.Le photovoltaïque est l’une de plus belle raison d’être optimistes face aux défis actuels : Il faut que nous nous y engagions de manière unie, avec enthousiasme…Tribune de Stéphane Maureau, Directeur Général – CEO de UNITe (LinkedIn).
Il y a 2 ans et 142 jours

Élisabeth Borne temporise sur le départ à la retraite à 65 ans avant les dernières consultations

Une réforme impossible ? "Les Anglais ont l'Irlande, les Américains les armes. Nous, on a les retraites", glissait récemment à l'AFP, fataliste, Edouard Philippe. L'ancien Premier ministre a lui-même essuyé des manifestations contre son projet à points, finalement abandonné pour cause de Covid.Une majorité de Français s'oppose à cette réforme, dans le contexte inflammable d'un pouvoir d'achat rogné par l'inflation. Mais Emmanuel Macron reste déterminé: "cette année sera celle d'une réforme des retraites" appliquée "dès la fin de l'été", a-t-il martelé samedi lors de ses vœux aux Français.Le report de sa présentation du 15 décembre au 10 janvier a permis à la cheffe du gouvernement d'entendre à nouveau, avant Noël, les groupes politiques puis, cette semaine, les partenaires sociaux, avant la présentation en conseil des ministres le 23 janvier.Or l'ensemble des syndicats et l'essentiel des oppositions contestent le projet de l'exécutif de reporter progressivement l'âge de départ de 62 à 65 ans, ou à 64 ans avec un allongement de la durée de cotisation.La Première ministre a semblé tempérer mardi la position du gouvernement sur la mesure d'âge. "On a porté les 65 ans" mais "ce n'est pas un totem", a déclaré Elisabeth Borne sur franceinfo, ajoutant étudier "d'autres solutions qui permettent d'atteindre notre objectif", à savoir "l'équilibre du système de retraite à l'horizon 2030".La réforme tiendra compte "des carrières longues, des carrières hachées, de la difficulté de certaines tâches", elle permettra "d'équilibrer le financement" du système et "d'améliorer la retraite minimale", avait fait valoir Emmanuel Macron.Français défavorablesL'exécutif espère au moins, grâce aux mesures sur la pénibilité, une "absence d'opposition frontale" de la CFDT, souligne un conseiller. Mais quelque 54% des Français sont défavorables à cette réforme, selon un sondage Harris-Interactive réalisé fin décembre et publié lundi. "Il n'y a que les retraités, les 65 ans et plus, qui se déclarent favorables", note Frédéric Dabi, directeur de l'institut Ifop.Elisabeth Borne espère néanmoins rallier Les Républicains, favorables à un report de l'âge. Elle doit à cet effet échanger leur président Eric Ciotti, ainsi qu'avec les chefs de groupes à l'Assemblée Olivier Marleix et au Sénat Bruno Retailleau.Sans LR, le gouvernement, qui ne dispose que d'une majorité relative, serait obligé d'utiliser l'article 49.3 de la Constitution, qui permet l'adoption d'un texte sans vote.Pour la première fois depuis 12 ans et la réforme Woerth (qui avait relevé l'âge légal de 60 à 62 ans) tous les syndicats sont prêts à se mobiliser ensemble contre la réforme annoncée. Y compris la CFDT, sur une ligne plus ferme depuis son dernier congrès. Toute "mesure d'âge" sera une "ligne rouge", a redit son patron Laurent Berger dans la Dépêche du Midi, qui plaide pour un relèvement de dix points du taux d'emploi des seniors pour combler le déficit.
Il y a 2 ans et 143 jours

Les lauréats des Grands prix SIMI 2022

Le palmarès 2022 a distingué 7 lauréats saluant des réalisations d’exception qui, chacune à sa manière, contribuent à « Faire de demain le plus bel endroit à vivre ».Grand prix SIMI 2022 immeuble de bureaux neuf – de 10.000 m2 :SIÈGE SOCIAL BLABLACAR PARIS (75011), présenté par 6EME SENS IMMOBILIERLe bureau, nouveau lieu de vie et d’échanges.Situé au cœur de 11e arrondissement de Paris, cet immeuble de 5000 m2 possède des qualités architecturales rares dans la capitale. Il réunit sur 8 niveaux des espaces de vie haut de gamme, une luminosité forte des bureaux, un auditorium de 175 places, un espace fitness, 8 cafétérias-tisaneries, de nombreux espaces extérieurs dont un rooftop végétalisé de 492 m2 doté d’un potager offrant une vue à 360° sur les toits de Paris...Ce véritable “Village» BlaBlaCar sert de point d’ancrage aux 500 employés de la société basés en France. Réalisé par 6e Sens Immobilier en collaboration avec le Studio Vincent Eschalier, ce nouveau bâtiment a été pensé d’abord comme un lieu de rencontres, où se mêlent espaces de travail partagés et espaces de vie. « Nous avons anticipé le changement d’usage du bureau, devenant un lieu de vie et d’échange, acteur de la cohésion sociale”, raconte Muriel Havas, Directrice de l’Environnement de Travail de BlaBlaCar.Bâtiment éco-responsable au cœur de Paris, s’inscrivant dans la démarche environnementale de BlaBlaCar, ce lieu aspire à être un modèle d’immeubles de bureaux aux usages responsables. Sa construction a respecté les critères énergétiques et environnementaux les plus exigeants et a obtenu les labels de performance environnementale BREEAM International “Very Good” et Wiresdscore Silver. Par ailleurs, “BlaBlaCar a imprimé dans la conception de son siège une intention de responsabilité, d’efficience, de bien- être et de bon sens”, souligne Damien Bertuli, DG associé de 6e Sens Immobilier.Pour conforter la politique de télétravail souple et ouverte à tous mise en œuvre par BlaBlacar, le « BlaBlaNomad », ce bâtiment a été conçu comme un lieu de rencontres entre les équipes « à même de renforcer la renforcer le lien humain, si fondamental à leur cohésion et à leur performance. » analyse Nicolas Brusson, cofondateur et CEO de BlaBlaCar. Pari réussi !Grand prix SIMI 2022 immeuble de bureaux neuf + de 10.000 m2 :SO POP SAINT-OUEN (93), présenté par COVIVIOUn projet en perpétuelle évolution.Avec ses 32.000 m² de bureaux et ses 4.000 m² d’espaces extérieurs, So Pop se construit, s’améliore, grandit au rythme de ceux qui y vivent, en intégrant l’ensemble des dimensions spatiales, sociales et culturelles.Dans le quartier de la Porte de Saint-Ouen et de la Porte Pouchet, cet immeuble tout en courbes et en larges volumes, dessiné par LBBA architecture, devient l’un des signaux d’un quartier en plein renouveau où tout s’invente et se réinvente - les Docks, l’espace 1789, le MOB Hôtel, le Conseil Général d’Île-de-France, les mobilités avec l’arrivée de la ligne 14, etc.Avec So Pop les technologies servent de ressources essentielles. En effet, la data produite in situ grâce à plus de 1.000 capteurs intelligents permet de monitorer l’immeuble. Ses services et ses surfaces privatives évoluent en fonction des données, des besoins et des habitudes. C’est dans un échange interactif avec les occupants que la métamorphose s’organise.Tel un musée, les larges surfaces murales blanches et noires du hall et de la galerie accueillent différentes expositions inspirantes et surprenantes. Le système d’assises Tribu, spécialement pensé et dessiné pour So Pop, se module pour former des ensembles cohérents et fonctionnels.Côté restauration, la palette est large grâce aux différentes offres : restaurant, cafeteria, click & collect... Côté ambiance, le restaurant principal, qui se transforme en espace de travail en dehors du déjeuner, s’inspire des marchés parisiens et audonniens et séduit par sa convivialité. Côté saveurs, des chefs et restaurateurs locaux invitent à la découverte de recettes traditionnelles mais aussi d’encas les plus exotiques.So Pop est le premier immeuble Covivio livré postCOVID. Il est une opportunité pour Covivio de marquer la transition entre l’avant et l’après : proposer un bâtiment prenant en compte les aspirations de changement de notre société avec un environnement professionnel (vraiment) évolutif et ajustable.Grand prix SIMI 2022 immeuble rénové ou réaménagement particulièrement innovantMETAL 57 BOULOGNE – BILLANCOURT (92), présenté par BNP PARIBAS REAL ESTATEUn immeuble de bureaux ouvert au public.« Metal 57 », c’est d’abord l’histoire du sauvetage, de la réinvention et de la métamorphose d’un bâtiment industriel en immeuble tertiaire.Livrée en 1984, la construction d’origine, « 57 Metal », avait été conçue pour être un atelier des usines Renault. Elle servit à du travail de modelage et de fonderie avant de se métamorphoser, au début des années 2000, en espace d’accueil de grands événements de communication de Renault suite au transfert du site de Boulogne-Billancourt à Saint Quentin. Puis désaffecté et menacé de se dégrader, l’édifice fut acquis en 2010 par un investisseur immobilier anglais décidé à faire table rase du passé pour construire une tour à la place...Pour sauver ce bâtiment emblématique conçu par l’architecte Claude Vasconi, Grand Prix National d’architecture, BNP Paribas Real Estate et l’architecte Dominique Perrault imaginèrent, en accord avec les ayant-droits de Claude Vasconi, un projet immobilier tourné vers le futur tout en préservant son histoire.Le choix fut fait de :Réhabiliter 50% du bâtiment d’origine (dont les sheds et la façade forteresse)Y intégrer un immeuble neuf en R+8 et rooftopFaire des 37.000 m2 du nouvel ensemble un site tertiaire : Fier de son passé comme le rappelle l’architecture, la structure, les volumes intérieurs et plusieurs caractéristiques de la décoration de l’immeuble réhabilitéRSE (3 certifications, 5 labels, agriculture urbaine, mobilités douces...)Multi-locataires (6 entreprises pour une utilisation à 100%)Equipé de grands plateaux de bureaux équipés en flex-offices avec 80% d’espaces collaboratifsDoté de nombreux services rassemblés autour d’une grande rue intérieureOuvert sur la ville et aux riverains (ERP 1ère catégorie)Cette porosité extérieure est une des grandes originalités de « Metal 57 » qui est une opération pilote d’ouverture d’un immeuble de bureaux au public. Ce qui va dans le sens d’une ville plus économe de ses ressources qui mutualise ses espaces et ses équipements. Habitants de Boulogne-Billancourt comme salariés des entreprises utilisatrices ou riveraines peuvent emprunter la rue intérieure qui dessert l’immeuble et autour de laquelle s’organisent de nombreux services.« Metal 57 » se veut ainsi un immeuble de destination pour se rencontrer, sociabiliser, trouver de nombreux services et bien sûr travailler.Grand prix SIMI 2022 immobilier logistiqueV.PARK COMPANS COMPANS (77), présenté par VIRTUO INDUSTRIAL PROPERTYRéalisation d’une messagerie bas-carbone de 15.273m² pour Colis Privé.Ce centre de tri et de distribution de colis d’une surface de 15.273 m² (dont 960 m² de bureaux) s’étend sur un terrain de 49.105 m² appartenant à Aéroports de Paris (ADP). Il a été conçu par le cabinet d’architecture Aeco tandis que la maîtrise d’œuvre confiée à CLC Ingénierie.La messagerie double-face dispose d’une halle de tri de 14.200 m², de 88 portes à quai et a été développée avec le soutien de l’aménageur ADP. Réalisé pour le compte de Colis Privé, spécialiste des livraisons de colis B2C à domicile et en point relais, il illustre désormais la démarche zéro émission nette de Virtuo, sur le périmètre de la construction de l’immeuble. Lancé en septembre 2021, ce projet pilote a ainsi concentré toutes les innovations et les réflexions du V.Lab de Virtuo, un laboratoire créé tout spécialement pour répondre à l’objectif de neutralité carbone des bâtiments développés par l’entreprise.Le projet du V. PARK COMPANS est né :D’un besoin : celui de Colis Privé (le client) de disposer d’une plateforme moderne et durable pour assurer sa croissance ;D’une attente forte : celle d’ADP en sa qualité d’aménageur éco-responsable qui souhaitait attribuer les terrains à un promoteur engagé dans une vraie démarche environnementale ;D’une exigence : celle de la Mairie de Compans d’accueillir sur son territoire un immeuble exemplaire, qui puisse servir de référence à de futurs promoteurs,D’une conviction : celle d’Argan (en sa qualité d’investisseur engagé) ;D’une volonté : celle de Virtuo (en sa qualité de porteur de projet) de s’inscrire dans une démarche innovante.C’est ainsi qu’un consensus a été trouvé, toutes les parties prenantes unies, autour d’un même projet et objectif, à la recherche de l’excellence... Virtuo a accompagné son client, son investisseur, ses partenaires, en étant à la hauteur de leurs attentes.Preuve en est, le V.PARK COMPANS n’est pas un bâtiment comme les autres. En effet, l’enjeu n’était pas de construire l’immeuble le plus imposant, ni le plus haut mais de pousser le curseur sur le volet de l’éco-responsabilité et celui de la recherche d’économie d’énergie, qui sont les vrais enjeux de demain. Virtuo a, par ses actions, réduit l’impact carbone du projet de 30% et initié une action complémentaire pour restaurer l’impact environnemental de son bâtiment. Il vise aujourd’hui à obtenir le Label BiodiverCity et la certification Breeam Excellent.Grand prix SIMI 2022 immobilier mixteL’ODYSSEE LES ULIS (91), présenté par SIVUn immeuble techtiaire, acteur du renouvellement économique du territoire.Conscient des enjeux sociétaux et notamment de la demande croissante des filières scientifiques sur le territoire de Paris-Saclay, SIV (Société foncière d’investissement du groupe Mercator) acquiert, fin 2020, l’Odyssée, un immeuble de bureaux de plus de 3.300m2 sur 3 niveaux aux Ulis, pour accueillir des laboratoires et start-ups scientifiques.Son challenge : Répondre aux besoins très spécifiques de la filière scientifique, tout en garantissant une sobriété énergétique Redéfinir les espaces : laboratoire, bureau, technique, privatif ou partagé, afin de créer un environnement collaboratif, innovant et dynamique Rénover l’immeuble en moins de six mois pour les premières livraisonsSon idéologie : Préservation des ressources et de l’environnement Performance technologique et innovation Développement de l’écosystème scientifique Collaboration étroite avec l’agglomération Paris-SaclayDans le cadre d’une démarche environnementale, SIV a pris le parti de rénover plutôt que détruire pour reconstruire. Son programme s’est articulé autour des principes de l’immobilier bas-carbone, à savoir un maximum de réemploi dans les matériaux, le choix de mobiliers recyclés ou encore le don d’équipements non utilisés.L’Odyssée accueille aujourd’hui 4 laboratoires sur plus de 80% de l’immeuble et joue un rôle d’acteur du renouvellement économique du territoire salé par l’agglomération de Paris Saclay. Il sera bientôt rejoint par un second programme sur la même parcelle : l’Iliade, développé par SIV en 2023.Grand prix SIMI 2022 immobilier mixteMORLAND MIXITE CAPITALE PARIS ( 75004), présenté par EMERIGELe prototype de la ville de demain.En plein cœur de Paris, la réhabilitation de l’ancienne cité administrative de la préfecture de la Seine incarne le prototype de la ville de demain : mixte, vertueuse, désirable. C’est là le site le plus ambitieux de l’Appel à projets urbains innovants « Réinventer Paris » lancé en novembre 2014 par la Ville de Paris auprès des promoteurs, investisseurs, concepteurs du monde entier et remporté par Emerige.Conçue par une équipe de grands talents français et internationaux composée de David Chipperfield Architects Berlin, CALQ, Michel Desvigne et Studio Other Spaces, Ólafur Elíasson et Sebastian Behmann, l’œuvre architecturale issue du patrimoine historique est aujourd’hui un modèle durable de la ville du futur rassemblant, en un maillage complexe et innovant, onze programmes différents : des bureaux, un marché alimentaire, une crèche associative, une piscine, un spa et un fitness, un hôtel 5 étoiles de 162 chambres, une auberge de jeunesse de 404 lits, des commerces, des restaurants, un bar, des logements sociaux et privés, de l’agriculture urbaine, une galerie d’art. Plus de 43.000 m² dédiés à une mixité fonctionnelle et sociale ou la promesse d’espaces de vie ouverts à tous, Parisiens et visiteurs de Paris.La dimension environnementale y est pionnière, enrichie par la présence d’agriculture urbaine et de forêts miniatures. Morland Mixité Capitale est emblématique de cette vaste reconfiguration des villes appelant chaque citoyen à participer à l’expérimentation de nouvelles manières de vivre ensemble.Grand prix SIMI 2022 coup de cœur du juryLE 1 SAINT THOMAS PARIS 75007, présenté par SOGELYM DIXENCELe nouveau site du campus parisien de Sciences Po.Situé en cœur d’îlot dans l’un des quartiers les plus renommés de Paris, Saint Germain des Prés, ce projet vise à regrouper dans l’ancien Hôtel de l’Artillerie plusieurs unités d’enseignement et de recherche de Sciences Po jusqu’alors disséminés.La préoccupation principale de l’équipe architecturale – Wilmotte & associés, Moreau Kusunoki et Pierre Bortolussi, architecte en chef des Monuments Historiques – a consisté à désenclaver la parcelle, à connecter les 3 cours existantes par un axe de circulation majeur et à relier ce nouveau bâtiment au 13 rue de l’Université, autre propriété de l’école. Ceci afin de proposer aux étudiants un grand site unique et unifié de 20.000 m2 aux articulations fluides tout en préservant la majesté des bâtiments à haute valeur patrimoniale. Pour ce faire, une large poutre horizontale de 4.300 m2 a été construite, véritable socle contemporain sur lequel repose le bâti ancien, fédérateur et garant de l’unité du lieu.Le lieu comprend trois beaux jardins paysagés par l’agence Mugo, un amphithéâtre de plein air pour favoriser les rencontres et accueillir les événements.La réalisation de ce campus a mis en avant le savoir-faire ancestral de nombreux métiers d’art (pas moins de 70 entreprises sont intervenues) notamment dans le domaine de la pierre, de la charpente et de l’architecture. Mêlant patrimoine, nature et innovation au cœur de la ville historique, cette réalisation exceptionnelle du nouveau campus de Sciences Po pose les jalons d’une nouvelle typologie de campus urbain pour le XXe siècle.Un jury d’experts présidé par :BERNARD MICHEL président du conseil d’administration de VIPARIS, le jury est composé de directeurs immobiliers de grandes entreprises françaises :GILLES ALLARD Président d’honneur de l’Association des Directeurs ImmobiliersJÉROME ARNAUD Directeur Immobilier groupe ALSTOMSABINE BRUNEL Directeur de l’Immobilier AXA FranceSOLANGE DARBES – PICCA Directrice de l’immobilier et des services généraux BANQUE DE FRANCEVALÉRIE FOURTHIES Directrice de l’Immobilier VEOLIA ENVIRONNEMENTFRÉDÉRIC GOUPIL DE BOUILLE Directeur exécutif SNCF IMMOBILIER Président de l’Association des Directeurs ImmobiliersADRIEN RAFFIN Real Estate Manager DOCTOLIBDIANE DE SARNEZ Directeur Immobilier – NAVAL GROUPMARIE-ALBA TERNISIEN Head of Corporate Real Estate STELLANTISEDDIE TURCON Directeur Immobilier Groupe VEEPEE
Il y a 2 ans et 163 jours

nouveau focus on zinc 19 un voyage inspirant a travers le monde pour decouvrir la richesse des projets en zinc vmzinc r

VMZINC® dévoile la 19ème édition de son magazine Focus on Zinc. Édité à 25000 exemplaires, en français et en anglais, il est distribué dans une trentaine de pays. Une version est également consultable en ligne et téléchargeable sur le site vmzinc (onglet documentation).
Il y a 2 ans et 168 jours

Les énergies renouvelables plaisent aux entreprises

La dernière annonce est venue jeudi de Renault, qui a signé avec le producteur français Voltalia un contrat sur 15 ans pour une puissance de 350 mégawatts (MW) d'électricité solaire.Des panneaux photovoltaïques installés sur les sites de Voltalia doivent lui permettre de couvrir d'ici 2027 jusqu'à 50% de la consommation électrique du constructeur."Il s'agit d'un engagement inédit en France en termes de puissance", a précisé Voltalia, très familier de ces contrats de fourniture d'électricité à long terme, souvent désignés par le terme anglais de "corporate PPA" (power purchase agreement) car venus des Etats-Unis.Jeudi encore, Engie a annoncé un contrat d'achat de 100 MW pendant 12 ans avec Google au Royaume-Uni, à partir du projet éolien offshore de Moray West au large de l'Ecosse.Si solaire et éolien dominent, on voit apparaître des contrats sur le biogaz, et la géothermie (contrat inédit - "Heat Purchase Agreement", HPA - entre Renault et Engie pour verdir la chaleur pour l'usine de Douai). On en parle aussi pour l'hydrogène.Ces contractualisations en direct ne constituent toujours qu'une mince partie du volume vendu. Mais elles sont une petite révolution car il s'agit de ne plus acheter aux fournisseurs habituels comme EDF.Dans la course actuelle à la neutralité carbone, basculer sur des énergies bas carbone est souvent l'étape la plus facile pour les entreprises. Les géants du numérique américains dans les années 2010 ont été pionniers de ces PPA, pour tenter de verdir la forte consommation de leurs centres de données."Tendance de fond"Depuis, l'Europe rattrape son retard, notamment le nord du continent mais aussi l'Espagne, profitant de la spectaculaire chute des coûts des technologies renouvelables."En France, le marché a démarré plus lentement qu'ailleurs, car le pays bénéficiait d'un approvisionnement électrique plutôt compétitif et décarboné" avec sa forte portion de centrales nucléaires amorties depuis longtemps, souligne Alexis Gazzo, associé chez EY."Mais depuis quelques mois il y a un fort regain d'intérêt", avec la flambée des prix de l'électricité, dit-il, évoquant "un changement culturel dans les divisions Achats d'énergie des entreprises et une réflexion nouvelle sur le risque".Le mouvement en France a commencé en 2018 avec des précurseurs comme Aéroports de Paris et la SNCF, qui cette année-là lançait un appel d'offres pour sécuriser sur 20 ans 20% de sa consommation renouvelable.Avec la crise actuelle, Voltalia, leader des PPA en France et plus actif encore au Royaume-Uni, constate un boom de la demande des entreprises, où le sujet énergie remonte désormais jusqu'aux conseils d'administration.Pour son directeur général, Sébastien Clerc, les producteurs de renouvelables eux-mêmes s'y retrouvent: "l'inconvénient de la plupart des appels d'offres publics en France est que l'essentiel du prix de vente n'est pas indexé sur l'inflation. Avec les corporate PPA on négocie librement la structure du tarif, de privé à privé, et intégrer l'inflation est protecteur pour les deux parties", dit-il à l'AFP.En France, une part de la gauche rejette ces contrats, qui reviennent pour elle à privatiser une part de la production. Mais des collectivités expriment leur intérêt, et l'Etat vient d'annoncer un "fonds de garantie" pour faciliter ces accords en couvrant le risque de défaut des industriels.Les PPA forment "une tendance de long terme", dit Nicolas Goldberg, chez Colombus Consulting, pour qui "cette crise laissera des traces: on voit que si on ne sécurise pas une part des approvisionnements, si on ne diversifie pas, avec une vision à long terme, on s'expose"."Les entreprises sont demandeuses car les énergies renouvelables tirent les prix de marché à la baisse", souligne l'analyste. Et pour lui, ces PPA sont "une bonne chose, car cela aide aussi la société à comprendre un peu mieux les énergies renouvelables".
Il y a 2 ans et 168 jours

Sogelink repositionne son offre autour d'une nouvelle identité visuelle

Avec un nouveau logo, une offre simplifiée et un nouveau site vitrine, le leader européen de la Construction Tech a souhaité́ renforcer son positionnement autour des besoins de ses clients, sur l'ensemble des processus de construction avec une promesse : « Make Construction Simple ».Créé en 2000, Sogelink a considérablement accéléré son développement ces dix dernières années avec une stratégie d'acquisitions ciblées et une croissance organique soutenue. En effet, depuis 2012, ce sont près d'une dizaine d'entreprises qui ont rejoint le groupe et presque autant de nouvelles solutions qui ont vu le jour pour répondre aux enjeux des acteurs du BTP.Leader sur l'ensemble de ses marchés, grâce à des solutions de référence telles que DICT.fr, Covadis ou encore Mensura - le groupe se développe en affirmant son expertise. Cette année, Sogelink s'est d'ailleurs hissé à la 21ème place du Truffle1001, classement des éditeurs de logiciels français, récompensant ainsi la stratégie menée par le groupe ces dernières années.C'est aujourd'hui sous un nom unique « Sogelink » et avec une offre adaptée aux besoins de ses clients à chaque étape d'un projet de construction, que le groupe franchit une nouvelle étape. Un seul nom pour le groupe et une nouvelle identité visuelleAprès plusieurs mois de travail, Sogelink dévoile sa transformation. Le groupe a opté pour un univers et des formes sobres et modernes, s'inscrivant dans les codes actuels de la Construction Tech. Il s'agit aussi pour Sogelink de réunir ses différentes entités (Sogelink, Geomedia, Geomensura, Bloc in Bloc, ILTR) sous une seule et même bannière.Pour Fatima Berral, CEO de Sogelink : « Nous voulions un logo simple et accessible mais pouvant suggérer bien plus qu'il n'en paraît, comme les solutions proposées par le groupe. Notre logo peut ainsi avoir différentes lectures. Certains retrouveront le « S » de Sogelink, d'autres verront les codes hexagonaux de Geomedia et Geomensura2 ou encore des cubes sur différents plans, en référence à nos solutions 3D et BIM. Ce logo fait finalement écho aux différentes facettes de notre groupe. Quant à la baseline « Make Construction Simple », elle vient désormais affirmer la promesse que nous faisons à nos clients depuis plus de 20 ans : simplifier leur quotidien, au bureau et sur le terrain avec des solutions logicielles innovantes, intuitives et connectées s'appuyant sur le meilleur de la donnée et de l'intelligence géographique. Le choix de l'anglais est naturel dans un contexte de développement du groupe à l'international. »Une offre répondant aux enjeux des acteurs du BTP à chaque étape du processus de constructionUne des motivations de ce rebranding est la volonté de Sogelink de simplifier l'offre et l'expérience client. Avec un site unique www.sogelink.com et une offre consolidée, le groupe adresse aussi bien les bureaux d'études, entreprises de travaux publics, géomètres, topographes, collectivités, que les exploitants de réseaux ou encore les bailleurs sociaux, établissements de santé et entreprises de désamiantage.Pour Fatima Berral : « Nous avons un portefeuille produit très riche, résultant de notre travail en R&D mais également de nos acquisitions stratégiques. Il est donc essentiel pour nous d'apporter à nos clients davantage de lisibilité sur l'accompagnement que Sogelink peut leur proposer à chaque étape de leur projet. »Les offres de Sogelink ont en effet été pensées pour couvrir les besoins des différents acteurs du secteur de la construction autour des études de projets (VRD, ingénierie, gaz, électricité, télécommunications), des déclarations de travaux (DT3, DICT4), des travaux topographiques, de la gestion du domaine public, du risque amiante, de l'exploitation des réseaux mais aussi de l'expertise de la propriété foncière ou encore du suivi des diagnostics immobiliers.Les clients historiques du groupe seront bien sûr en terrain connu car toutes les solutions phares de Sogelink comme DICT.fr, Covadis, Mensura, Amiante360, GeogexFR CAD, Littéralis, Land2Map sont bien sûr présentes à l'appel.Fort de plus de 37.000 clients, 220.000 utilisateurs et un chiffre d'affaires consolidé de 130 millions d'euros, Sogelink se positionne aujourd'hui comme le nouveau leader européen de la Construction Tech. Le groupe compte atteindre les 220 millions d'euros de chiffre d'affaires à horizon 2025 en faisant notamment levier sur ses récentes acquisitions, Locatiqs et Focus Software, respectivement aux Pays-Bas et en Norvège.
Il y a 2 ans et 183 jours

Le granulé de bois, un cylindre dans l'air du temps et dans sa "bulle"

Les prix ont doublé en un an et restent élevés alors même que la demande a chuté cet automne. "On est dans une bulle, ça va finir par redescendre", estime Eric Vial, directeur général de Propellet, l'association nationale du chauffage aux granulés de bois ("pellet" en anglais).La douceur de l'automne et la reconstitution progressive des stocks ont déjà fait baisser la pression.Dans l'arrière pays niçois, Philippe B., 67 ans, trouve enfin des sacs de 15 kg de granulés "à 8,99 euros": "C'est mieux qu'il y a quelques semaines où c'était 14,99 euros, mais on est encore au double de l'année dernière".Faudra-t-il importer ?Le granulé est un sous-produit de la première transformation du bois : lorsqu'un tronc arrive en scierie, environ 50% est transformé en bois d’œuvre ou en emballage bois et les 50% restants sont des chutes (copeaux) et de la sciure.Considérés comme une énergie renouvelable par l'Union européenne, les granulés sont de petits cylindres de sciure de résineux compressée, vantés par le secteur comme "un combustible homogène et dense", au très faible taux d'humidité (inférieur à 10%), ce qui "lui confère un haut pouvoir calorifique et permet aux appareils de chauffage d'avoir un excellent rendement".La demande ne cesse de progresser. Selon Frédéric Plan, directeur général de la Fédération française des combustibles, carburants et chauffage (FF3C), "les besoins annuels en granulés sont passés d'1,8 million de tonnes en 2020-21, à 2 millions en 2021-22 et sont estimés à environ 2,4 millions cette année".Il estime la capacité de production française à quelque 2 millions de tonnes : "il faudra donc peut-être importer 400.000 tonnes. Tout dépendra de la rigueur de l'hiver".Stockage préventifAujourd'hui, 1,7 million de foyers français se chauffent au granulé (des poêles à 90%), selon Eric Vial. A comparer aux 2,8 millions se chauffant au fioul.La demande a flambé à partir du printemps, conséquence de l'anxiété de consommateurs face à la guerre en Ukraine et à l'explosion des coûts du gaz et de l'électricité. Les poêles à granulés, qui étaient souvent un chauffage d'appoint, ont été allumés plus tôt ou ressortis des placards.Le nombre d'installations de chaudières avait augmenté de 120% entre 2020 et 2021, rappelle Eric Vial, ce qui a contribué à "une augmentation globale de la consommation de granulés de 10 à 15%". Et aussi un "changement de comportement des acheteurs" qui "ont voulu dès le mois de mars être livrés pour toute leur consommation annuelle".Carine Pechavy, qui dirige l'entreprise familiale du même nom installée depuis plus de cent ans dans le Lot-et-Garonne, et livre dans toute la région du Sud-Ouest, a dû refuser de nouveaux clients et restreindre ses livraisons."Certains clients voulaient 3 à 4 tonnes alors qu'ils consomment annuellement une tonne, on leur a donné 1 à 1,5 tonne", explique-t-elle.Prix doublé"Les granulés sont passés de 350 euros la tonne l'an dernier à entre 700 et 900 euros au début de l'automne", selon Frédéric Plan de FF3C.La ruée du printemps a certes contribué à la hausse des prix, mais la filière était déjà en tension, selon Hervé Dumanoir, entrepreneur dans la Somme.Sa société Flandre Energies a vu ses ventes de granulés "doubler en cinq ans" et "l'offre baisser" après la crise sanitaire, "parce que les scieries ont ralenti leur activité: moins de bois d'oeuvre, c'est moins de chutes pour faire des pellets"."On partait avec des stocks bas quand la guerre en Ukraine a débuté. Et la Russie et l'Ukraine fournissaient entre 10 et 15% des importations européennes de granulés", ajoute-t-il.La folie est telle qu'elle a nourri les arnaques, au point que les professionnels recommandent de ne payer qu'à la livraison des granulés.
Il y a 2 ans et 184 jours

Sami lève 4 millions d’euros avec plus de 250 investisseurs pour accélérer la transition bas-carbone des entreprises

● +400 entreprises utilisent la plateforme Sami pour mesurer et réduire leur bilan carbone ● 272 investisseurs ont rejoint l’aventure Sami pour accélérer le développement ● La startup ouvre sa plateforme à l’ensemble des consultants carbone ● Sami se lance sur le marché belge et anglais début 2023 Retour sur une levée de fonds pas […]
Il y a 2 ans et 191 jours

Au théâtre, Ralph Fiennes joue Robert Moses, le "baron Haussmann" de New York

Surnommé parfois le "baron Haussmann" new-yorkais pour avoir transformé la "ville-monde" comme le préfet du Second Empire l'avait fait pour Paris, le "maître bâtisseur" Robert Moses (1888-1981) reste omniprésent dans la plus grande ville des Etats-Unis.Ponts, tunnels, parcs, stades, grands ensembles de logements et d'équipements sociaux, aménagement de banlieues, autoroutes urbaines: il a laissé son empreinte sur des dizaines de réalisations architecturales et urbanistiques à New York et dans ses banlieues est et nord de Long Island, Rockland et Westchester.New York - incroyable mosaïque culturelle et socio-économique de neuf millions d'âmes - entretient un souvenir ambivalent de cet architecte urbaniste jamais élu et qui a tenté une seule fois dans les années 1930 d'être gouverneur, sous l'étiquette du parti républicain.Toutes les facettes de New YorkToutes les facettes de Robert Moses, et donc du New York des années 1920 aux années 1970, sont explorées dans la pièce "Straight Line Crazy" qui triomphe cet automne au centre culturel The Shed, dans l'ouest de Manhattan. Dans le rôle-titre: Ralph Fiennes, deux fois nommé aux Oscars et star mondiale pour "La Liste de Schindler", "Le Patient anglais", les séries de films "Harry Potter" et "James Bond", mais aussi "Hamlet" au théâtre à Broadway.Avec l'étendue, la force de son jeu et son caractère parfois inquiétant, le Britannique de 59 ans campe un Moses qui cajole les politiciens, trompe ses adversaires et affiche son ambition démesurée pour imposer sa vision de la ville."Diriger" et ne pas suivre"Notre boulot, c'est de diriger, pas de suivre", lance sur scène Fiennes/Moses, convaincu que "les gens ne savent pas ce qu'ils veulent tant qu'ils ne l'ont pas".Ecrite par le Britannique David Hare, la pièce "Straight Line Crazy" avait d'abord été montée et jouée à Londres.Elle dissèque la carrière de ce fonctionnaire bâtisseur, professionnel de l'urbanisme respecté mais controversé et qui a marqué la municipalité pendant 40 ans.Impossible de citer tous ses ouvrages d'art et constructions dans cette ville à la géographie si particulière, baignée par l'Atlantique: Moses est derrière les célèbres ponts Triborough (rebaptisé Robert F. Kennedy, RFK), Throgs Neck, Whitestone ou Verrazano qui relient les cinq arrondissements de New York.Il est aussi l'architecte -- au prix de nombre de destructions de quartiers dans le Bronx notamment -- d'immeubles de dizaines de milliers de logements sociaux, d'autoroutes et voies rapides en pleine ville, aujourd'hui en piteux état et sources de pollutions atmosphérique et sonore.Siège de l'ONUNew York lui doit aussi le siège monumental de l'ONU à Manhattan, au bord de l'East River, et l'impressionnant lieu culturel Lincoln Center. Mais la statue de Robert Moses a commencé à se fissurer dans les années 1960 avec l'abandon de deux projets d'autoroutes à Manhattan.En 1974, un journaliste, Robert Caro, dénonce dans une biographie de Robert Moses son règne impérial et autocratique sur New York et sa folie des grandeurs. "The Power Broker: Robert Moses and The Fall of New York" remporte un prix Pulitzer.Il dépeint un homme sans foi ni loi, avec ses alliés comme avec ses ennemis, dictatorial et corrompu. Robert Caro décrypte une machine à orienter les fonds publics vers les élites aisées blanches des banlieues au détriment des minorités noires pauvres de quartiers de Manhattan, de Queens et du Bronx.Moses a aussi imposé la voiture contre les transports publics, selon son biographe."Caro pensait que le pouvoir avait corrompu Moses et qu'il en était en quelque sorte devenu fou", a expliqué lors d'un débat après une représentation l'auteur David Hare.Pour Dan Doctoroff, ancien adjoint municipal pour le développement économique et membre du centre culturel The Shed, Moses doit servir d'exemple aux décideurs des villes d'aujourd'hui: "Il a fait des choses magnifiques et des choses terribles. Mais au bout du compte, son mépris pour les gens ordinaires a terni son héritage pour toujours".
Il y a 2 ans et 235 jours

La demande en granulés de bois explose entrainant la flambée des prix

"C'est une denrée rare", plaisante cet homme de 47 ans qui a équipé sa maison d'un poêle à granulés il y a plusieurs années, en complément du chauffage électrique.Chez Bois Rosa, une entreprise distribuant bois de chauffage et granulés située à une vingtaine de kilomètres de Lyon, le ballet incessant de voitures, coffre ouvert pour collecter les précieux granulés combustibles, a poussé le gérant à limiter les ventes directes."Quand les clients viennent de loin, on va jusqu'à 15 sacs", précise le patron, Stéphane Rosa, qui réalise "99% de (ses) ventes" auprès de particuliers. Son carnet de commandes est plein, avec trois mois de délai de livraison, contre deux à trois semaines d'habitude.La tendance est générale, certains fournisseurs ne répondent plus au téléphone. Un message pré-enregistré demande(d')adresser (une) demande par écrit" via un formulaire accessible en ligne.L'Auvergne-Rhône-Alpes est pourtant la première région productrice de billes de bois en France, un mode de chauffage en plein essor."C'est la panique engendrée par la guerre en Ukraine qui a fait peur sur toutes les énergies", explique Eric Vial, délégué général de Propellet, l'association nationale du chauffage au granulé de bois - "pellet" en anglais.La demande actuelle, deux à six fois supérieure à 2021, est selon lui "en inadéquation avec le besoin", alors que la consommation n'aurait dû augmenter que de 12 à 13% cette année selon les projections de Propellet."C'est irrationnel: il faut que les gens réfléchissent et ne paniquent pas" poursuit le délégué général en dénonçant un "sur-achat" motivé par "la peur de manquer".En même temps, avec la hausse conjuguée du carburant, de l'électricité et du plastique utilisé pour emballer les palettes de granulés, les prix ont doublé. Un sac de 15 kilos se vend désormais autour de dix euros.Malgré la "surchauffe du marché", le délégué général de Propellet se veut rassurant: "si les consommateurs arrêtent de de se ruer sur les granulés et achètent uniquement le strict minimum, ils font baisser la demande et naturellement le prix va baisser."En attendant, il faut composer avec les restrictions.Stéphane Chicot utilise "une à deux tonnes" de granulés pour se chauffer chaque hiver. Et pour lui, se contenter de "10 sacs, c'est un peu une blague". Pierre Liotard, 66 ans, lui, est venu chez Bois Rosa chercher quelques sacs pour sa fille habitant en Bourgogne, où selon lui, les pellets sont "introuvables" alors que "le froid arrive.""Prix exorbitants"Selon Propellet, en 2021, 1,5 million de foyers français étaient équipés de poêles ou de chaudières à granulés.Longs de quelques centimètres, ces petits cylindres de sciure de résineux compressée sont considérés comme une énergie renouvelable par l'Union Européenne, malgré l'opposition des défenseurs de l'environnement.Les ventes d'appareils à granulés, poêles et chaudières, ont respectivement augmenté de 43,2% et 119,6% en France l'année dernière selon l'Observatoire des énergies renouvelables - une hausse dopée par diverses subventions à l'achat pouvant aller jusqu'à plusieurs milliers d'euros.Les poêles, destinés principalement au chauffage d'appoint, représentent plus de 90% des appareils à granulés, les chaudières, plus volumineuses et reliées au réseau d'eau chaude, sont plus rares.Si la production domestique permet de couvrir "environ 85% des besoins" avec du bois français, la hausse de la demande force la branche à importer "à des prix exorbitants", principalement de Belgique, selon le représentant de Propellet.Comme d'autres distributeurs, M. Rosa rechigne à importer ses granulés."C'est plus logique d'être à côté, ne serait-ce que pour un coût (écologique) ou de transport", selon lui.La demande actuelle aiguise les appétits et "les arnaques en ligne se multiplient" pour les ventes de bois et de chauffage, selon une alerte de la banque CIC à ses clients. De faux sites marchands affichent ainsi des prix attractifs mais ne livrent pas les commandes payées d'avance.