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Résultats de recherche pour arabie saoudite

(217 résultats)
A l'instant

BIM : Nemetschek Group s’implante en Arabie saoudite

Nemetschek Group s’implante en Arabie saoudite afin de faire progresser la transformation numérique dans les secteurs de la construction et des médias.
A l'instant

Accidents du travail : faut-il boycotter le Mondial-2034 (football) en Arabie saoudite ?

L'organisation Human Rights Watch demande dans un rapport à ce que le Mondial-2034 de football, attribué en décembre à l'Arabie saoudite par la Fifa, ne soit pas organisé "sur le dos d'ouvriers morts".
Hier

Nemetschek Group débarque en Arabie Saoudite

IMPLANTATION. Le groupe Nemetschek, fournisseur de solutions logicielles pour les secteurs de l'AEC/O (architecture, ingénierie, construction et opérations), annonce son implantation en Arabie Saoudite.
Il y a 11 jours

En 2030, la Jeddah Tower, un gratte-ciel saoudien, dépassera les 1 km de hauteur

La construction de nouveaux gratte-ciels ralentit et se concentre en Asie et dans le Golfe Persique. Leur technologie est classique : structure béton et acier, avec des ascenseurs très spéciaux.
Il y a 126 jours

En Arabie saoudite, très grand stade King Salman, signé Populous

La Commission Royale pour la Ville de Riyad et le ministère des Sports ont dévoilé en novembre 2024 le Stade King Salman et le plan directeur, conçu par Populous, qui deviendra le plus grand stade d’Arabie saoudite et l’un des plus grands sites sportifs au monde. Surface : n.c. Coût : n.c. Communiqué. Le stade, dont la […] L’article En Arabie saoudite, très grand stade King Salman, signé Populous est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 161 jours

Zaha Hadid Architects livre une station de métro géométrique en Arabie Saoudite

EN IMAGES. Dans le Golfe Persique, une étonnante station de métro a vu le jour. Batiactu vous dévoile dans un diaporama ce nouvel édifice dessiné par l'agence Zaha Hadid Architects.
Il y a 163 jours

Des entreprises françaises dans l'énergie et le traitement des déchets signent plusieurs accords et contrats en Arabie saoudite

Le président Emmanuel Macron a martelé mardi 3 décembre que la France était un "partenaire fiable" pour accompagner la diversification économique de l'Arabie saoudite, largement dépendante du pétrole, lors d'une visite d'Etat à Riyad.
Il y a 339 jours

La bonne longueur, l’angoisse jamais apaisée des architectes ?

La longueur peut être exploitée et étirée en tant qu’élément architectural. Qui a la plus longue ? Chroniques d’Outre-Manche est allé voir. Le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane (MBS) avait un rêve. En 2021, il a dévoilé THE LINE (officiellement en majuscules), une ville de 170 km de long sans voiture, alimentée par l’énergie verte […] L’article La bonne longueur, l’angoisse jamais apaisée des architectes ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 340 jours

Hoffmann Green Cement Technologies va construire une usine en Arabie Saoudite

EN CHANTIER. Le fabricant vendéen de ciments sans clinker, Hoffmann Green Cement Technologies, annonce la pose de la première pierre d'une unité de production en Arabie Saoudite.
Il y a 340 jours

Hoffmann Green construit sa première usine en Arabie saoudite

Hoffmann Green Cement annonce le lancement de la construction de H-KSA 1, sa première unité en Arabie saoudite.
Il y a 1 ans et 23 jours

Le mégaprojet saoudien Neom courtise les investisseurs chinois

Les promoteurs du mégaprojet Neom, une cité futuriste dans le désert d'Arabie saoudite, ont achevé une tournée destinée aux investisseurs chinois, dévoilant ses grandes lignes mais sans répondre aux controverses.
Il y a 1 ans et 169 jours

L'Exposition universelle de 2030 se tiendra en Arabie saoudite

INTERNATIONAL. Après Dubaï en 2021 et Osaka en 2025, Riyad sera la prochaine ville à accueillir cet événement mondial. La victoire de l'Arabie saoudite s'inscrit dans la stratégie globale du pays de redorer son image.
Il y a 1 ans et 170 jours

Ryad, Busan ou Rome : l'Exposition universelle 2030 connaîtra mardi sa ville-hôte

Ryad, Busan ou Rome ? Arabie saoudite, Corée du Sud et Italie, qui disent toutes trois porter des projets verts, à forte valeur technologique, espèrent chacune se voir attribuer mardi 28 novembre l'Exposition universelle 2030, gage de prestige et de développement accéléré.
Il y a 1 ans et 170 jours

Lina Ghotmeh, désignée architecte du Musée d’Art Contemporain à AlUla

L’Agence française pour le développement d’AlUla – site patrimonial au nord-ouest de l’Arabie saoudite – vient de signer un partenariat entre le Centre Pompidou et la Commission Royale pour AlUla dans le cadre du développement d’un Musée d’Art Contemporain. L’architecte désignée pour la conception de ce Musée d’Art Contemporain d’AlUla est Lina Gotmeh, « choisie pour […] L’article Lina Ghotmeh, désignée architecte du Musée d’Art Contemporain à AlUla est apparu en premier sur Archi.
Il y a 1 ans et 185 jours

Chimie de la construction : Saint-Gobain boucle une acquisition en Arabie saoudite

Saint-Gobain a conclu un accord définitif en vue de l’acquisition d’Izomaks Industries LLC (Royaume d’Arabie saoudite), acteur de...-International
Il y a 1 ans et 185 jours

Saint-Gobain se densifie dans la chimie de construction

ACQUISITION. Le géant des matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce l'acquisition Izomaks, entreprise spécialisée dans les produits d'étanchéité (sols, toits) en Arabie saoudite.
Il y a 1 ans et 240 jours

Hoffmann Green s'exporte en Arabie Saoudite

L'industriel Hoffmann Green signe son premier contrat de licences en Arabie Saoudite avec le groupe Shurfah. Objectif : la décarbonation du secteur de la construction en Arabie Saoudite.
Il y a 1 ans et 252 jours

Premier contrat pour Hoffmann Green en Arabie saoudite

L'industriel vendéen Hoffmann Green et le groupe saoudien Shurfah ont signé un contrat exclusif de licences de 22 ans.
Il y a 1 ans et 254 jours

Ciments décarbonés : Hoffmann Green signe son premier contrat de licences en Arabie Saoudite

Le groupe saoudien Shurfah a signé avec l'industriel basé en Vendée, un contrat exclusif de licences de 22 ans pour bénéficier des...-International
Il y a 1 ans et 318 jours

Hoffmann Green se lance en Arabie saoudite

Hoffmann Green signe un accord avec le conglomérat Shurfah Holding, qui permettra la commercialisation de ses solutions en Arabie Saoudite.
Il y a 1 ans et 344 jours

En Arabie saoudite, le groupe Bouygues réalisera un projet hôtelier conçu par Jean Nouvel

INTERNATIONAL. Bouygues construction a signé un partenariat avec la commission royale pour Al Ula, afin de gérer la construction du resort et de l'International summit center de Sharaan, imaginé par l'architecte Jean Nouvel.
Il y a 2 ans et 87 jours

Lacaton & Vassal lauréats pour la Villa Hegra d’Arabie Saoudite

Le jury franco-saoudien présidé par Jean Nouvel a annoncé le 8 février dernier le lauréat parmi les cinq équipes du concours pour la Villa Hegra. Ce prochain lieu de culture et d’arts au Nord de l’Arabie Saoudite a pour ambition de se placer dans le club des pépinières d’artistes et de créateurs aux côtés de la Villa Médicis à Rome ou de la Casa de Velázquez de Madrid. Fruit d’une collaboration à visée culturelle entre la France et l’Arabie Saoudite, la Villa Hegra sera...
Il y a 2 ans et 100 jours

Béton[s] le Magazine 104

Daté janvier/février 2022 A LIRE DANS CETTE EDITION : EN COUVERTURE. Bétons et mixité de matériaux. TECHNIQUES & ARCHITECTURE. Chantier à l’international. Arabie saoudite. Une impression 3D béton sous 40 °C. ZOOM SUR. Les ponts thermiques dans le viseur. FONDAMENTAUX. Juridique. Responsabilité en cas de perte ou corruption des données immatérielles. BETON D’ANTAN. Henry Lossier. Un ingénieur suisse sorti de l’ombre. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 103 jours

Les Emirats s'apprêtent à démarrer l'une des plus grandes centrales solaires au monde

La centrale Al Dhafra "a commencé à produire ses premiers kilowattheures en fin d'année dernière et devrait être mise en service avant l'été", a affirmé à l'AFP Olivier Bordes, à la tête de l'entreprise pour le Moyen-Orient.Situé en plein désert, à 35 kilomètres au sud d'Abou Dhabi, le projet présenté comme "la plus grande centrale solaire à site unique au monde" est détenu à 60% par les compagnies publiques émiraties, TAQA et Masdar, le chinois Jinko Power Technologie et le français EDF se partageant les 40% restant.Les panneaux photovoltaïques, installés sur une surface totale de 20 kilomètres carrés --soit un cinquième de la superficie de Paris-- auront à terme la capacité de produire 2,1 gigawatts (GW) et pourront "proposer de l'énergie décarbonée à 160.000" foyers, a affirmé à l'AFP Olivier Bordes.En visite mardi sur le site, le ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire s'est félicité de la "coopération extrêmement étroite" entre la France et les Emirats arabes unis dans le domaine des énergies renouvelables.Le pays du Golfe, qui est l'un des plus grands exportateurs de pétrole au monde, accueillera fin novembre une conférence de l'ONU sur le climat, d'ores et déjà controversée.Le président de sa compagnie pétrolière nationale, désigné président de la COP28, Sultan Al Jaber, ne manque pas une occasion de souligner l'importance des hydrocarbures pour l'économie mondiale.Mais les Emirats investissent aussi massivement dans les énergies propres, avec l'ambition d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Selon un communiqué publié mardi par Masdar, l'entreprise émiratie d'énergies renouvelables, les projets franco-émiratis ont permis d'installer plus de 6,2 GW de capacité de production d'énergies propres aux Emirats et ailleurs dans le monde, pour un montant de plus de 6 milliards de dollars (5,5 milliards d'euros).Bruno Le Maire, qui s'est rendu aussi en Arabie saoudite et au Qatar, a dit vouloir "accompagner" les pays pétroliers de la région dans la voie de la "décarbonation", en développant des projets dans les énergies renouvelables, le nucléaire, notamment en Arabie saoudite, et l'hydrogène vert.
Il y a 2 ans et 103 jours

Arabie saoudite : Une impression 3D béton sous 40 °C

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. En Arabie saoudite, l’entreprise Dal Al Arkan a imprimé une villa de 345 m2 entre août et juillet 2022, sous une température extérieure de40° C. [©Cobod] En 2021, le coffreur Peri avait imprimé un immeuble de trois étages en Allemagne. Ce qui était un record pour l’époque, mais battu depuis par compagnie immobilière saoudienne Dar Al Arkan. A Shams Al Riyadh dans le Nord-Ouest de la capitale Ryhad, une construction de 9,90 m de haut a été imprimée in situ ! Cette villa de trois étages, d’une superficie de 345 m2, fait partie d’un projet de développement de 12 Mm2, porté par la Vision 2030 du pays. L’impression a été réalisée à l’aide de la solution développée par le Danois Cobod. La villa saoudienne s’appuie sur un premier étage de 130 m2, qui inclut un spacieux hall d’entrée et plusieurs pièces à vivre, ainsi qu’une cuisine et deux toilettes. Le deuxième étage compte trois chambres, deux salles de bains, un salon et un balcon. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 133 jours

En Autriche, un pionnier du "retour à la terre" pour construire durable

Dans sa commune de Schlins, au coeur d'une région du Vorarlberg portée depuis longtemps sur l'habitat écologique, l'ancien céramiste est passé à la vitesse supérieure en construisant une usine unique en Europe, destinée à produire des murs en pisé préfabriqués."Devant l'enjeu écologique et le problème de l'énergie, il commence à y avoir une grande demande pour ce matériau. Mon espoir est qu'avec cette crise, de plus en plus d'entreprises décident de construire en terre," dit ce géant à la tignasse toute blanche.Car la production de béton c'est près de 8% des émissions mondiales de C02, quand l'empreinte carbone de la terre crue tient surtout à son transport. Ses défenseurs vantent ses propriétés hygrométriques, acoustiques. Et au moment de la démolition, la terre retourne à la terre, sans questionnement sur les déchets.Martin Rauch affiche déjà de spectaculaires créations: en Suisse, la Maison des herbes de l'entreprise Ricola, une maison de vacances, le centre de visite d'une station ornithologique, ou en Autriche les bureaux d'une imprimerie. Avant cela, il avait d'abord fait sa maison, une construction aux lignes contemporaines et grandes baies vitrées, comme une démonstration, un "manifeste".En ce jour pluvieux, la maison accrochée sur une pente de Schlins revêt des tons bistrés, fondue dans le paysage près des chalets traditionnels. De légers débords en lignes horizontales protègent les murs de la pluie.Pour l'atelier, les murs extérieurs incluent des morceaux de terracotta chargés de freiner pluie et érosion, une technique empruntée aux constructions anciennes de l'Arabie saoudite. Le tout tient sans problème depuis 1994, souligne-t-il.Alors que ce savoir-faire a reculé en Europe, cela fait 30 ans qu'il teste, pour déterminer la bonne terre, le degré d'humidité approprié pour la travailler, et ainsi proposer murs intérieurs, extérieurs, enduits...Dans sa région, l'entreprise a réalisé les sols d'une école maternelle, d'un cabinet d'architectes...Chez l'architecte Georg Bechter, l'effet est bluffant: pour un oeil non averti, le sol ressemble à du béton ciré, avec en plus le détail visuel des petits cailloux.Battue au pilon pneumatique, la terre - 15 cm d'épaisseur posée sur une structure de bois - a été prise sur place, lors d'une création de cave. Avec cependant une contrainte: il faut poncer le sol, puis cirer, chaque année.Terre et clientèles localesMais avec son usine, Martin Rauch veut aller plus loin, pour "répondre à des projets de grande envergure".L'endroit est, bien sûr, doté d'un mur en terre, selon lui aujourd'hui le plus long d'Europe (67 m).En son coeur se trouve une machine destinée à pilonner la terre pour la compacter dans un vaste coffrage permettant de produire des murs longs de 40 mètres. Les blocs, une fois séchés à l'usine et découpés, peuvent ensuite partir pour être assemblés à destination.Pour les machines, l'équipe a dû inventer, emprunter à différents secteurs. Le patron met lui-même la main à la pâte, râtissant la terre ce jour-là. L'industrialisation attendra.La terre, elle, vient des alentours, chantiers de construction et autres excavations, explique Sami Akkach, architecte et collaborateur de M. Rauch: "elle doit contenir de l'argile, et du gravier, anguleux plutôt que rond pour bien accrocher".Dans le même esprit écolo, l'entreprise n'accepte que des projets peu éloignés."Nous n'avons pas envie de monter en échelle", explique Martin Rauch: "nous souhaitons plutôt que la terre monte en échelle. Aujourd'hui nous avons quasiment un monopole, alors qu'il faudrait une usine comme celle-ci tous les 200 km!""Le problème est qu'il n'y a pas assez d'artisans, et qu'on a encore trop peur de ce matériau naturel. Il faut travailler là-dessus, encourager la formation, la qualité de l'architecture et la recherche-développement", dit-il, allusion à la récurrente question du risque d'érosion.Oui, les premières années, un peu de poussière d'argile peut partir, répond l'entreprise, mais "les structures en terre dureront des siècles si elles sont faites correctement".
Il y a 2 ans et 169 jours

Neom, un rail de poudre aux yeux dans le désert ?

Durant l’été 2022, l’Arabie Saoudite a présenté Neom, ville nouvelle conçue pour neuf millions d’habitants, un projet fondé sur un discours écologique volontariste. Pour autant, l’idée même fait grincer des dents les écologistes occidentaux toujours prompts à dénoncer le ‘greenwashing’ des autres. Alors écologique ou non, Neom ? Voyons. Neom, tel est son nom, se veut […] L’article Neom, un rail de poudre aux yeux dans le désert ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 183 jours

La ville linéaire, de l’utopie sociale à la mort des opposants

Depuis cet été a ressurgi une vieille utopie urbaine, la ville linéaire. Si celle-ci évoque le projet d’Arturo Soria, elle devient de la part de l’Arabie saoudite un objet de lobby pour l’obtention des jeux d’hiver asiatiques de 2029 ; toute opposition à ce projet entraînant une peine de mort. Il est étrange de voir réapparaître […] L’article La ville linéaire, de l’utopie sociale à la mort des opposants est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 207 jours

Le Qatar, géant du gaz, annonce deux nouveaux grands projets de centrales solaires

Ces nouvelles centrales, à Mesaieed Industrial City (Sud) et Ras Laffan Industrial City (Nord), porteront la production photovoltaïque de l'émirat à 1,675 gigawatts (GW) d'ici fin 2024, a précisé la compagnie nationale Qatar Energy.Leur construction sera supervisée par le conglomérat sud-coréen Samsung, pour un investissement initial de plus de 600 millions de dollars (600 millions d'euros).Mesaieed et Ras Laffan sont des lieux clés pour la production de gaz naturel au Qatar, en pleine expansion.La première centrale solaire de très grande envergure du pays (800 mégawatts), Al Kharsaa, à l'ouest de Doha, a commencé à alimenter le réseau national en juillet, selon des sources du secteur. Elle devrait être pleinement opérationnelle avant le début de la Coupe du monde de football le 20 novembre.D'après les organisateurs du tournoi, qui promettent qu'il s'agira du premier Mondial à atteindre la neutralité carbone, cette centrale alimentera les huit stades en électricité.Sur les deux millions de cellules photovoltaïques d'Al Kharsaa, le sable et la poussière du désert sont nettoyés chaque jour par des robots. Qatar Energy a fait savoir que le même système serait utilisé dans les deux nouvelles fermes.Le ministre de l'Energie Saad Sherida al-Kaabi a salué une étape majeure dans les efforts de l'Etat du Golfe pour "accroître le recours aux énergies renouvelables à haut rendement".Le Qatar, qui entend produire 5 GW d'énergie solaire d'ici 2035, est en retard sur ses voisins du Golfe. L'Arabie saoudite a annoncé cette année son intention d'augmenter sa production à plus de 5 GW d'ici 2030 et des centrales solaires existent aux Émirats arabes unis depuis près d'une décennie.
Il y a 2 ans et 209 jours

Le Qatar inaugure sa première centrale solaire avec TotalEnergies

Située à Al Kharsaah, à l'ouest de Doha, cette ferme solaire de plus 1,8 million de panneaux solaires s'étend sur 10 km2, ce qui en fait l'une "des plus grandes de la région", selon le ministre de l'Energie et président de Qatar Energy, Saad Sherida al-Kaabi.D'une capacité de 800 mégawatts, le projet lancé en 2016 et opérationnel depuis juin vise à couvrir 10% de la consommation du pays en électricité.D'après les organisateurs du Mondial-2022 au Qatar, qui promettent un tournoi neutre en carbone, la centrale alimentera les stades en électricité. Lors d'une conférence de presse, M. Al-Kaabi a toutefois indiqué ne pas disposer d'information sur ce point.Outre TotalEnergies (19,6%), l'entreprise japonaise Marubeni (20,4%) est partenaire de la centrale d'Al Kharsaah.Le géant gazier et pétrolier français a par ailleurs signé cette année deux importants contrats avec le Qatar pour le développement du plus grand champ de gaz naturel au monde, le North Field."Le fait que TotalEnergies soit devenu récemment le premier partenaire international du Qatar est un signe fort", a commenté le PDG Patrick Pouyanné, interrogé par l'AFP."C'est le résultat de beaucoup de travail depuis plusieurs années, mais je pense que ça tombe bien au moment où la question de la sécurité d'approvisionnement de l'Europe se pose à nous tous", a-t-il ajouté."On dirait que c'est la seule entreprise qui travaille au Qatar!", s'est pour sa part amusé Al-Kaabi. "Nous avons la même mentalité: être à la pointe de la technologie, essayer d'aller dans des zones d'exploration reculées et aussi vers les énergies renouvelables", a-t-il expliqué."Je pense que notre partenariat va encore se solidifier mais ça ne veut pas dire qu'on n'a pas d'autres partenaires très importants et, bientôt, vous nous verrez signer avec d'autres", a glissé le ministre, alors que le pays doit encore dévoiler le nom d'autres entreprises étrangères engagées sur le North Field.Le Qatar, qui vise une capacité de 5 gigawatts d'énergie solaire d'ici 2035, a annoncé fin août deux autres grands projets de centrales photovoltaïques devant lui permettre de plus que doubler sa production d'ici deux ans.La ferme solaire d'Al Kharsaah, elle, devrait être "étendue" d'ici 2035, a précisé le ministre.L'émirat est toutefois en retard sur ses voisins du Golfe. L'Arabie saoudite a annoncé cette année son intention de dépasser le seuil des 5 GW d'ici 2030, et des centrales solaires existent aux Emirats arabes unis depuis près d'une décennie.
Il y a 2 ans et 212 jours

Sika cherche un acheteur pour les adjuvants de MBCC

Sika annonce vouloir revendre une partie de l’activité “adjuvants” de MBCC. [©MBCC] Thomas Hasler, Pdg du groupe Sika, l’a confirmé. L’acquisition de MBCC constitue un véritable attrait stratégique. Ceci, au point de revoir à la hausse les prévisions de croissance pour 2022. Ainsi, Sika s’attend à ce que les ventes en devises locales augmentent de plus de 15 %, avec une hausse surproportionnelle de l’Ebit. Toutefois, le chimiste suisse vient de lancer un processus de recherche d’un acheteur potentiel pour une partie de l’activité “adjuvants” de MBCC. Disons, pour les zones géographiques pour lesquelles Sika n’a pas reçu une approbation inconditionnelle des autorités. Des pays comme le Canada, les Etats-Unis, l’Espagne ou la France en feraient partie… MBCC s’inscrit bien dans la stratégie de Sika A contrario, les choses semblent actés dans la plupart des autres juridictions. A l’image de la Chine, du Japon, de la Thaïlande, du Brésil, de l’Afrique du Sud, de l’Arabie saoudite ou de la Turquie. Sika confirme donc bien l’adéquation stratégique de l’acquisition de MBCC, qui augmente considérablement la valeur du groupe. Tout en permettant des synergies annuelles de l’ordre de 160 à 180 M de CHF (165 à 185 M€).
Il y a 2 ans et 251 jours

"Biens mal acquis" : Rifaat al-Assad définitivement condamné en France

La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de l'ancien vice-président syrien, aujourd'hui âgé de 85 ans, rendant définitive la peine d'emprisonnement et la confiscation des biens prononcées à Paris en première instance le 17 juin 2020, puis en appel le 9 septembre 2021.Rifaat al-Assad a été reconnu coupable de blanchiment en bande organisée de fonds publics syriens et de blanchiment de fraude fiscale aggravée entre 1996 et 2016. Il a en outre été condamné pour le travail dissimulé d'employés de maison.La présidente de l'association Sherpa, dont la plainte a entraîné l'ouverture de l'instruction en 2014, a salué une "décision historique"."Quand nous avons initié cette procédure il y a presque 10 ans, le scepticisme, y compris des magistrats, était grand. La preuve est faite que plus de 30 ans après des détournements massifs d'argent public, leurs bénéficiaires, les blanchisseurs, ne sont plus à l'abri", s'est félicité Me William Bourdon, président fondateur de l'ONG."Nous ne pouvons que déplorer cette décision qui nous apparaît totalement injuste et incompréhensible", ont réagi une partie de l'équipe de défense, Me Jacqueline Laffont, Pierre Cornut-Gentille, Benjamin Grundler et Julien Visconti."Monsieur al-Assad continuera à mener toute action visant à rétablir la vérité au sujet de l'origine parfaitement licite de son patrimoine en saisissant notamment la Cour européenne des droits de l'Homme", ont-ils déclaré.Ancien pilier du régime de Damas, Rifaat al-Assad a été le chef des forces d'élite de la sécurité intérieure, les Brigades de défense, qui ont notamment réprimé dans le sang une insurrection islamiste en 1982 dans la ville de Hama. Cela lui a valu un surnom, "le boucher de Hama". En 1984, il a quitté la Syrie après un coup d'État manqué contre son frère, Hafez al-Assad, rejoignant la Suisse puis la France, où il se présentait depuis comme un opposant au régime. A l'automne 2021, l'octogénaire est retourné en Syrie après 37 ans d'exil, a annoncé un média progouvernemental.Restitution des avoirsRifaat al-Assad n'a pas assisté à ses deux procès, sa défense invoquant de graves problèmes de santé. Ses avocats ont soutenu que sa fortune provenait de dons d'Abdallah, prince héritier puis roi d'Arabie saoudite, et non des caisses de l'État syrien.La justice française a au contraire estimé qu'il existait suffisamment d'éléments pour conclure qu'il avait bien reçu 300 millions de dollars de la part de son frère au moment de son départ en 1984, dans le cadre d'un "exil négocié".Décoré de la Légion d'honneur en France en 1986 pour "services rendus", Rifaat al-Assad est menacé d'un procès en Espagne pour des soupçons bien plus vastes concernant un patrimoine évalué à 600 millions d'euros.Il est par ailleurs poursuivi en Suisse pour des crimes de guerre commis dans les années 1980.Dans ce dossier, deux hôtels particuliers, des dizaines d'appartements dans les quartiers cossus de la capitale, un domaine avec château et haras, des bureaux et une propriété à Londres ont, entre autres, été saisis. Après la décision de mercredi, leur valeur devrait théoriquement être rendue à la Syrie dans le cadre du nouveau mécanisme de restitution des avoirs frauduleusement acquis par des dirigeants étrangers, adopté par le Parlement en 2021.Transparency international, qui avait elle aussi porté plainte en 2014, s'est félicitée dans un communiqué "de cette condamnation définitive qui ouvre le chapitre de la restitution à la population syrienne".Cette restitution, un défi de taille dans le contexte actuel du pays, pourrait être la première réalisée par la France, selon l'ONG, avant celle des biens confisqués à Teodorin Obiang.Dans la première affaire de "biens mal acquis" jugée dans l'Hexagone, le fils aîné du président de la Guinée équatoriale a été définitivement condamné en juillet 2021 à trois ans de prison avec sursis et 30 millions d'euros d'amende, pour un patrimoine estimé à 150 millions d'euros.
Il y a 2 ans et 254 jours

"Biens mal acquis" : décision mercredi 7 septembre en cassation pour Rifaat al-Assad

La plus haute juridiction de l'ordre judiciaire français dira vers 14H00 si elle fait droit aux arguments soulevés par le frère cadet de l'ancien président syrien (1971-2000) Hafez al-Assad, ou si elle rejette son pourvoi, ce qui rendrait alors la peine définitive.Rifaat al-Assad, ancien vice-président de Syrie aujourd'hui âgé de 85 ans, a été reconnu coupable en appel, le 9 septembre 2021, de blanchiment en bande organisée de fonds publics syriens entre 1996 et 2016, se voyant infliger quatre ans d'emprisonnement, comme en première instance.La cour d'appel de Paris l'a en outre condamné pour blanchiment de fraude fiscale aggravée et pour le travail dissimulé d'employés de maison, ordonnant la confiscation de l'ensemble de ses biens immobiliers frauduleusement acquis.Lors des deux procès, auxquels Rifaat al-Assad n'a pas assisté pour des raisons de santé, sa défense a soutenu que sa fortune provenait de dons d'Abdallah, prince héritier puis roi d'Arabie saoudite, et non des caisses de l'État syrien.Il s'agit de la deuxième affaire de "biens mal acquis" jugée en France, après celle de Teodorin Obiang, le fils aîné du président de la Guinée équatoriale, définitivement condamné en juillet 2021 à trois ans de prison avec sursis et 30 millions d'euros d'amende.Empire immobilierRifaat al-Assad fut le chef des forces d'élite de la sécurité intérieure, les Brigades de défense, qui avaient notamment réprimé dans le sang une insurrection islamiste en 1982 dans la ville de Hama.L'octogénaire est retourné en Syrie à l'automne après plus de trois décennies d'exil, avait annoncé un média progouvernemental.En 1984, Rifaat al-Assad avait en effet quitté la Syrie après un coup d'État manqué contre son frère, Hafez al-Assad, rejoignant la Suisse puis la France.Lui qui n'avait aucune fortune personnelle en Syrie avait alors bâti un empire immobilier en Europe, principalement en Espagne mais aussi en France et en Grande-Bretagne.Après des plaintes des associations Transparency international et Sherpa, la justice française avait ouvert une enquête en 2014 : deux hôtels particuliers, des dizaines d'appartements dans les quartiers cossus de la capitale et des bureaux ont notamment été saisis.Compte tenu de son âge et de son état de santé, il est dans tous les cas improbable que Rifaat al-Assad soit un jour placé en détention en France.Si la Cour de cassation rejetait le pourvoi, ses biens saisis seraient en revanche définitivement confisqués.La Syrie pourrait alors faire partie des premiers pays susceptibles de bénéficier du nouveau mécanisme de restitution des avoirs frauduleusement acquis par des dirigeants étrangers, adopté par la Parlement en 2021.Haras près de ParisDécoré de la Légion d'honneur en France en 1986 pour "services rendus", Rifaat al-Assad est menacé d'un procès en Espagne pour des soupçons bien plus vastes de "biens mal acquis" concernant quelque 500 propriétés.Il est par ailleurs poursuivi en Suisse pour des crimes de guerre commis dans les années 1980.Parmi les propriétés gelées dans cette affaire figurent un domaine d'une quarantaine d'hectares avec château et haras, situé à Bessancourt (Val d'Oise), près de Paris, à l'orée d'une forêt.Près de 80 Syriens, anciens employés de Rifaat al-Assad, y vivent toujours, jusqu'à récemment sans eau ni électricité, les factures n'étant plus payées par ce dernier."Si la confiscation des biens est définitive, l'État va se tourner vers nous et avec la ville de Taverny nous allons proposer un projet de lieu dédié à la forêt", a expliqué à l'AFP Jean-Christophe Poulet, maire de Bessancourt."Ceux qui vivent sur le domaine ont obtenu des compteurs électriques mais cela reste précaire, nous allons proposer des solutions de relogement", a-t-il ajouté, promettant de "travailler le plus humainement possible".
Il y a 2 ans et 260 jours

Retour à Al Ula, le calme du désert avant la cohue touristique

« J’ai découvert l’Arabie Saoudite il y a plus de trente ans. J’ai eu la chance de découvrir le site d’Al Ula en octobre 2021* et d’y retourner en juillet 2022. Seul sur tous les chantiers, en basse saison estivale à haute température, j’ai compris le potentiel touristique et symbolique de ce lieu merveilleux ». Carnet de […] L’article Retour à Al Ula, le calme du désert avant la cohue touristique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 292 jours

Le prince héritier saoudien dévoile les plans de sa mégapole futuriste NEOM

Appelés "The Line", les deux immenses gratte-ciels parallèles de 500 mètres de haut formeront le centre de la ville sur la mer Rouge, projet phare de plusieurs centaines de milliards de dollars de Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto du royaume, qui cherche à diversifier l'économie du pays pétrolier.Avec ses taxis volants et robots domestiques, NEOM a fait beaucoup parler d'elle depuis sa première annonce en 2017, même si des architectes et des économistes ont mis en doute sa faisabilité.Au départ, NEOM a été présentée comme une "Silicon Valley" régionale, un centre de la biotechnologie et du numérique s'étendant sur 26.500 kilomètres carrés.Mais lors de la présentation lundi soir de "The Line", le prince a esquissé une vision encore plus ambitieuse, décrivant une ville utopique sans voitures, la plus vivable "sur toute la planète".L'idée est de repenser la vie urbaine sur une surface de seulement 34 kilomètres carrés pour répondre aux "crises de l'habitabilité et de l'environnement", a-t-il ajouté, suscitant une nouvelle fois le scepticisme chez certains."Le concept a tellement évolué depuis sa conception initiale qu'il est parfois difficile de déterminer sa direction", commente Robert Mogielnicki de l'Arab Gulf States Institute à Washington.Boom démographiqueLes autorités ont évoqué dans le passé le chiffre d'un million d'habitants à NEOM.Le prince héritier a désormais fixé la barre à 1,2 million d'habitants d'ici 2030 et neuf millions à l'horizon 2045, en misant sur un boom démographique nécessaire, selon lui, pour faire de l'Arabie saoudite une puissance économique capable de rivaliser dans tous les secteurs.A l'échelle nationale, l'objectif est d'atteindre 100 millions d'habitants en 2040, "près de 30 millions de Saoudiens et 70 millions ou plus d'étrangers", contre environ 34 millions d'habitants aujourd'hui, a déclaré Mohammed ben Salmane."C'est l'intérêt principal de la construction de NEOM : augmenter la capacité (démographique, ndlr) de l'Arabie saoudite (...). Et puisque nous le faisons à partir de zéro, pourquoi copier les villes normales ?".D'une largeur de 200 mètres seulement, "The Line" doit répondre à l'étalement urbain incontrôlé et nuisible à l'environnement, en superposant maisons, écoles et parcs, selon le modèle de "l'urbanisme à gravité zéro". Les résidents auront accès à "tous leurs besoins quotidiens" en cinq minutes à pied, ainsi qu'à d'autres facilités comme des pistes de ski en plein air et "un train à grande vitesse avec un trajet de bout en bout (de la ville) de 20 minutes", selon le communiqué de presse publié lundi.NEOM devrait aussi être régie par sa propre loi, en cours d'élaboration, mais les responsables saoudiens ont d'ores et déjà affirmé qu'ils n'avaient pas l'intention de lever l'interdiction de l'alcool imposée dans le royaume conservateur.Trouver des fondsAutre défi pour NEOM : respecter les promesses en matière de protection de l'environnement du pays qui s'est engagé -sans convaincre les défenseurs de l'environnement- à atteindre la neutralité carbone d'ici 2060. Selon une vidéo promotionnelle publiée lundi, le site sera totalement alimenté par des énergies renouvelables et présentera "un microclimat tempéré toute l'année avec une ventilation naturelle".NEOM est bien positionnée pour bénéficier de l'énergie solaire et éolienne, et la ville devrait accueillir la plus grande usine d'hydrogène vert du monde, note Torbjorn Soltvedt, du cabinet de conseil Verisk Maplecroft. "Mais la faisabilité de NEOM dans son ensemble n'est pas claire étant donnée l'ampleur et le coût sans précédent du projet".Le coût de la "première phase", qui s'étend jusqu'en 2030, est évalué à 1.200 milliards de riyals saoudiens (environ 319 milliards de dollars), selon le prince Mohammed.Outre les subventions gouvernementales, les fonds devraient provenir du secteur privé et de l'introduction en bourse de NEOM prévue en 2024.Le financement reste un défi potentiel, même si le contexte actuel, marqué par la flambée des prix du pétrole, est plus favorable pour le royaume que durant la pandémie de Covid-19.Par ailleurs, "le financement n'est qu'une partie de l'équation", souligne Robert Mogielnicki."La demande est plus difficile à acheter, surtout quand on demande aux gens de participer à une expérience sur la vie et le travail dans le futur."
Il y a 2 ans et 297 jours

Les maisons saoudiennes se mettent aux tendances architecturales

Mais en 2020, en plein confinement, ce Saoudien de 52 ans a décidé de donner un coup de jeune à sa demeure : un patio donnant sur la rue, des murs en travertin gris et des fleurs dans le jardin."Nous avions deux choix : construire une nouvelle maison ou rénover l'ancienne", confie ce responsable des ressources humaines, en faisant visiter sa maison."Nous avons fait un pas vers l'amélioration de notre mode de vie", se réjouit-il.Ce père de famille a également égayé son jardin avec une piscine, un hamac et des amandiers importés de Thaïlande : un nouveau lieu de détente pour sa femme et ses sept enfants."Maintenant, il y a une utilisation optimale de l'espace", se félicite M. Madini.Selon des architectes et ingénieurs locaux, ces nouvelles tendances sont devenues l'archétype des projets de rénovation et de construction en cours à Ryad, avec des Saoudiens en quête de maisons chaleureuses plutôt qu'imposantes."Grand impact social"Dans un contexte de réformes sociales ces dernières années, l'Arabie saoudite a ainsi connu une "ouverture architecturale", constate Abdallah al-Jasser, propriétaire de l'agence de design qui s'est occupée de la maison de M. Madini."Les gens sont plus ouverts au changement et aux tendances", observe M. Jasser, ajoutant qu'ils y sont d'autant plus incités que l'achat de terres pour construire de nouvelles maisons est devenu très coûteux à Ryad.A l'image du pays, l'architecture de la capitale reste très austère avec pour seule fantaisie de minuscules fenêtres triangulaires typiques du Najd, la région centrale du royaume.La petite taille de ces fenêtres s'explique par le besoin de s'isoler du soleil, dans un pays où les températures tournent autour des 40 degrés Celsius une grande partie de l'année.Ces petites fenêtres offrent également "une plus grande intimité aux familles", ajoute Ali al-Luhidan, un architecte saoudien.Mais selon lui, et d'autres défenseurs d'une architecture plus moderne, ces espaces de vie mal éclairés et mal ventilés ont eu "un grand impact social" en contribuant à "une culture de fermeture sur soi".En 2018, les autorités ont rendu obligatoire, pour les nouveaux bâtiments, la présence de fenêtres plus grandes, en partie au nom de la santé publique, le soleil étant jugé essentiel au bon fonctionnement de l'organisme.De plus en plus de salons disposent ainsi de "baies vitrées donnant sur l'extérieur", se réjouit M. Luhidan : "tout est ouvert et c'est une nouvelle culture en Arabie saoudite"."Sans restriction"D'autres évolutions viennent aussi avec l'assouplissement des normes sociales promu par le jeune prince héritier Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto qui, depuis cinq ans, tient son royaume d'une main de fer.Auparavant, la plupart des maisons comportaient des entrées et salons séparés pour les hommes et les femmes. Alors que la mixité se banalise dans les lieux publics, les villas n'abritent qu'une seule salle de réception pour optimiser l'espace, observe l'architecte M. Luhaidan.Et les nouvelles tendances ne se limitent pas qu'aux quartiers résidentiels, les grands centres commerciaux et d'autres espaces publics s'y mettent aussi.L'une des principales causes du changement : la fin, depuis 2019, de l'obligation de la ségrégation sexuelle, qui imposait aux restaurants d'avoir des entrées et espaces strictement séparés entre les familles et les hommes seuls."Les anciens designs répondaient à une culture de la séparation et de la ségrégation", explique Mohammed Abdelmoneim, chargé du design professionnel au sein d'une société de développement immobilier. Pour lui, la réforme a provoqué un "changement radical".Le Riyadh Front, un complexe commercial et gastronomique haut de gamme doté de fontaines et d'une promenade bordée d'arbres, rassemble ainsi des clients de tous âges, hommes et femmes, surtout après le coucher du soleil."Ces espaces ouverts connaissent un grand succès", assure M. Abdelmoneim, car "les gens y communiquent tous entre eux sans aucune restriction".
Il y a 2 ans et 309 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 343 jours

Indemnisation en Arabie saoudite d'habitants délogés pour un projet urbain controversé

La démolition de plusieurs quartiers ces derniers mois à Jeddah, dans le cadre d'un méga-projet urbain, avait suscité la colère des habitants expulsés qui avaient lancé une mobilisation rare dans la monarchie du Golfe."Le versement de la première tranche des indemnités pour les propriétés détruites a commencé", a rapporté dimanche soir l'agence SPA en évoquant une enveloppe d'un milliard de riyals (environ 249 millions d'euros) pour la première phase, sans préciser toutefois le nombre de bénéficiaires.Porté par le prince héritier Mohamed ben Salmane, le projet estimé à 20 milliards de dollars prévoit de réhabiliter une trentaine de quartiers dans lesquels vivaient près d'un demi-million de personnes, afin de moderniser cette ville touristique, située sur la mer Rouge.Selon les autorités, il s'agit de remplacer des "bidonvilles", décrits comme des foyers de criminalité, par des bâtiments neufs, comprenant notamment un stade et un opéra, et, à terme, 17.000 logements.Contestant le terme de "bidonvilles", les habitants dénoncent la destruction de quartiers populaires abritant une population mixte de Saoudiens et d'étrangers, originaires d'autres pays arabes ou d'Asie.Parmi ceux qui ont vu leur maisons rasées, plusieurs ont raconté à l'AFP en début d'année leurs craintes de ne pas être correctement indemnisés, en l'absence d'un processus transparent.Les biens ont été évalués par des "comités indépendants" représentant quatre agences gouvernementales, a indiqué SPA.Les travaux de démolition sont terminés dans vingt quartiers et s'achèveront dans les 12 autres d'ici mi-novembre, a-t-elle ajouté.L'Arabie saoudite cherche ces dernières années à sortir son économie de son extrême dépendance au pétrole, avec des méga-projets visant notamment à attirer les expatriés et les touristes, à l'image de Dubaï aux Emirats arabes unis.
Il y a 3 ans et 63 jours

L’architecte, son âme, les diables, la morale et la vie de palais

Comme il faut bien un avocat pour défendre les pires ordures, pourquoi tel autocrate fortuné n’aurait-il pas d’architecte dévoué ? Que les architectes eux-mêmes soient plus ou moins dénués de morale est une chose mais l’architecture, en elle-même, se doit-elle d’être morale ? Tiens, l’Arabie saoudite a exécuté en un seul jour 81 personnes pour des crimes […] L’article L’architecte, son âme, les diables, la morale et la vie de palais est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 111 jours

L’économie de l’hydrogène laisse entrevoir une nouvelle dynamique énergétique mondiale

La croissance rapide de l’économie mondiale de l’hydrogène pourrait apporter des changements géoéconomiques et géopolitiques importants en générant une vague d’interdépendances inédites, selon une nouvelle analyse de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA). D’après le rapport intitulé « Geopolitics of the Energy Transformation: The Hydrogen Factor », l’hydrogène serait en train de modifier la géographie du commerce de l’énergie et de régionaliser les relations énergétiques, comme en témoigne l’émergence de nouveaux centres d’influence géopolitique construits autour de la production et de l’utilisation de l’hydrogène, alors que le commerce traditionnel du pétrole et du gaz est en déclin.Sous l’effet de l’urgence climatique et des engagements des pays à réduire leurs émissions nettes à zéro, l’IRENA estime que l’hydrogène couvrira jusqu’à 12 % de la consommation mondiale d’énergie d’ici 2050. La croissance du commerce et des investissements ciblés sur un marché dominé par les combustibles fossiles et actuellement évalué à 174 milliards d’USD va probablement stimuler la compétitivité économique et modifier le panorama de la politique étrangère avec la conclusion d’accords bilatéraux très éloignés du type de relations qui caractérisaient le marché des hydrocarbures au XXe siècle.« L’hydrogène pourrait s’avérer être le chaînon manquant vers un avenir énergétique sans danger pour le climat », signale Francesco La Camera, directeur général de l’IRENA. « L’hydrogène profite clairement de la révolution des énergies renouvelables, l’hydrogène vert s’imposant comme le joker qui permettra d’atteindre la neutralité climatique sans compromettre la croissance industrielle et le développement social. Mais l’hydrogène n’est pas le nouveau pétrole. Et la transition ne consiste pas à changer de carburant mais à changer de système, d’où des perturbations politiques, techniques, environnementales et économiques. »« C’est l’hydrogène vert qui amènera toutes sortes de nouveaux participants sur le marché, diversifiera les itinéraires et les sources d’approvisionnements et entraînera une déconcentration du pouvoir vers une multitude d’acteurs. Avec la coopération internationale, le marché de l’hydrogène pourrait être plus démocratique et plus inclusif, et offrir de nouvelles perspectives aussi bien aux pays développés qu’aux pays en développement. »L’IRENA estime que plus de 30 % de l’hydrogène pourrait être dédié au commerce transfrontalier d’ici 2050, un pourcentage plus élevé que pour le gaz naturel aujourd’hui. Des pays qui ne sont pas des acteurs traditionnels du négoce d’énergie établissent des relations bilatérales autour de l’hydrogène. Alors que de plus en plus d’intervenants et de nouvelles classes d’importateurs et d’exportateurs nets émergent sur la scène mondiale, il est peu probable qu’on assiste à une militarisation et à une cartellisation du commerce de l’hydrogène, contrairement à ce qu’on observe avec l’influence géopolitique du pétrole et du gaz.Le commerce transfrontalier d’hydrogène est appelé à se développer considérablement. En effet, plus de 30 pays et régions prévoient déjà aujourd’hui une forte activité commerciale. Certains pays qui se projettent en tant que futurs importateurs, comme le Japon et l’Allemagne, misent déjà sur la diplomatie dans le domaine de l’hydrogène. Les exportateurs de combustibles fossiles considèrent de plus en plus l’hydrogène propre comme un moyen intéressant de diversifier leur économie. C’est le cas, par exemple, de l’Australie, d’Oman, de l’Arabie saoudite ou des Émirats arabes unis. Néanmoins, des stratégies de transition économique plus larges s’imposent car l’hydrogène ne compensera pas les pertes de revenus du pétrole et du gaz.Le potentiel technique de production d’hydrogène dépasse largement la demande mondiale estimée. Les pays les plus capables de produire de l’électricité renouvelable bon marché seront les mieux placés pour produire de l’hydrogène vert compétitif. Alors que certains pays comme le Chili, le Maroc ou la Namibie sont aujourd’hui des importateurs nets d’énergie, ils sont en passe de devenir des exportateurs d’hydrogène vert. Tirer parti du potentiel de régions comme l’Afrique, les Amériques, le Moyen-Orient et l’Océanie pourrait limiter le risque de concentration des exportations, mais de nombreux pays auront besoin de transferts de technologie, d’infrastructures et d’investissements à grande échelle.La géopolitique de l’hydrogène propre se déroulera probablement en différentes étapes. D’après le rapport, on assistera dans les années 2020 à une grande course au leadership technologique. Mais la demande ne devrait décoller qu’au milieu des années 2030. À ce moment-là, l’hydrogène vert concurrencera les coûts de l’hydrogène fossile à l’échelle mondiale, un phénomène annoncé encore plus tôt dans des pays comme la Chine, le Brésil et l’Inde. L’hydrogène vert était déjà abordable en Europe lors de la flambée des prix du gaz naturel en 2021. La remise à neuf des gazoducs devrait encore stimuler la demande et faciliter le commerce de l’hydrogène.Les pays dotés d’un vaste potentiel d’énergie renouvelable pourraient devenir des sites d’industrialisation verte et utiliser leur potentiel pour attirer des industries très énergivores. De plus, prendre part à la chaîne de valeur de l’hydrogène peut stimuler la compétitivité économique. La fabrication d’équipements comme les électrolyseurs et les piles à combustible, en particulier, pourrait stimuler l’activité. La Chine, le Japon et l’Europe ont déjà acquis une longueur d’avance dans la production, mais l’innovation transformera encore le paysage manufacturier actuel.L’hydrogène vert peut renforcer l’indépendance, la sécurité et la résilience énergétiques en réduisant la dépendance aux importations et la volatilité des prix et en renforçant la flexibilité du système énergétique. Cependant, les matières premières nécessaires à l’hydrogène et aux technologies renouvelables posent la question de la sécurité matérielle. Les pénuries et les fluctuations de prix pourraient se répercuter sur les chaînes d’approvisionnement en hydrogène et avoir une incidence négative sur les coûts et les revenus.Façonner les règles, les normes et la gouvernance de l’hydrogène pourrait conduire à une concurrence géopolitique ou ouvrir une nouvelle ère de coopération internationale renforcée. En particulier, aider les pays en développement à déployer des technologies de l’hydrogène vert et à développer les industries de l’hydrogène permettrait d’éviter d’accentuer encore les écarts en matière de décarbonisation au niveau mondial et favoriserait l’équité et l’inclusion en créant des chaînes de valeur locales, des industries vertes et des emplois dans les pays riches en énergies renouvelables.
Il y a 3 ans et 117 jours

Le pavillon high tech de l'Arabie Saoudite domine le paysage de l'Expo universelle 2020

INTERNATIONAL. L'Exposition universelle 2020, tenue à Dubaï, offre un panel de projets architecturaux ambitieux. Le pavillon Arabie Saoudite a relevé ce défi en offrant aux visiteurs un espace connecté et interactif, que Batiactu a pu visiter.
Il y a 3 ans et 119 jours

Kingspan rejoint l’équipe Mercedes-AMG Petronas Formule 1 comme partenaire officiel

Kingspan pilotera le nouveau groupe de travail sur le développement durable pour l’équipe Mercedes. La mission de ce groupe de travail sera de rassembler l’expertise de divers domaines pour contribuer à atteindre l’objectif de l’équipe : réduire les émissions de CO2 dans le sport automobile grâce à de nouvelles approches et technologies. Toto Wolff, directeur d'équipe et PDG de l'équipe de Formule 1 Mercedes-AMG PETRONAS : « Nous sommes ravis d'accueillir Kingspan dans notre équipe à la fois en tant que partenaire et en tant que président de notre nouveau groupe de travail sur le développement durable. Trouver une entreprise dont les ambitions sont de proposer des solutions durables qui visent à réduire les émissions de carbone dans leur industrie correspond exactement à notre vision et représente une réelle opportunité pour les deux partenaires. Nous faisons de réels progrès dans la transformation de notre entreprise pour qu'elle fonctionne de manière plus durable. La capacité de partager l'expertise, les ressources et l'inspiration avec Kingspan via notre nouveau groupe de travail sur la durabilité contribuera véritablement à accélérer le changement et la sensibilisation au sein de notre équipe et, espérons-le, de notre sport. »Basé en Irlande, Kingspan est l’un des acteurs mondiaux en matière de solutions d'isolation et d'enveloppe du bâtiment pour des bâtiments à haute performance énergétique et à faible émission de carbone. Après avoir lancé son premier programme de développement durable (Net Zero Energy) en 2011, le groupe poursuit le déploiement de son plan d’action climatique « Planet Passionate », qui s'appuie sur des objectifs scientifiques d’envergure alignés sur le scénario de 1,5 degré du GIEC. Kingspan vise la neutralité carbone d'ici 2030, avec notamment une politique d’achat et d’approvisionnement responsable pour réduire l’empreinte carbone de ses activités (optimisation de la chaine logistique avec la mise en place de circuits courts et recours aux énergies renouvelables).De son côté, l'équipe Mercedes-AMG Petronas F1 s'est fixé pour objectif de réduire de 50% les émissions de CO2 dans ses opérations d'ici 2022 et travaille sur des objectifs ambitieux pour atteindre la neutralité carbone. L'usine de châssis de haute technologie de l'équipe à Brackley, au Royaume-Uni, utilise déjà des énergies renouvelables pour alimenter toutes ses opérations, tandis que son centre technologique de Brixworth dans le Northamptonshire produit plus de la moitié de son électricité à l'aide de panneaux solaires et d'une usine CCHP sur site.Cet engagement fait écho aux produits, systèmes et technologies de Kingspan qui répondent aux défis critiques de l'environnement bâti, notamment l'amélioration de l'efficacité énergétique, la réduction du carbone incorporé, l’économie circulaire et la préservation des ressources naturelles en particulier l’eau.Les produits Kingspan ont été utilisés pour aider à créer des bâtiments haute performance dans le monde entier pour la société mère de l'équipe, Mercedes-Benz.Gene Murtagh, PDG de Kingspan Group : « Deux des grands défis de notre époque sont la décarbonisation des transports et la décarbonation de l'environnement bâti. Kingspan et l'équipe de Formule 1 Mercedes AMG Petronas partagent la même détermination à relever ces défis grâce à la technologie, l'innovation et le travail d'équipe. Je suis ravi de transmettre ce message à un public de 500 millions de fans de Formule Un. »La haute performance, la durabilité, le travail d'équipe et l’innovation sont les thèmes clés de ce nouveau partenariat. Le logo Kingspan sera présent sur les voitures de l’équipe lors du Grand Prix d'Arabie Saoudite, alors que Lewis Hamilton se bat pour le championnat des pilotes et que Mercedes-AMG Petronas vise le prix des constructeurs.
Il y a 3 ans et 154 jours

Bouygues décroche un contrat d'1 Md $ pour un méga-parc d'attractions en Arabie Saoudite

Bouygues Bâtiment International et la compagnie saoudienne Almabani General Contractors ont signé avec la Qiddiya Investment Company (QIC) un contrat pour la construction de Six Flags, un parc de 32 ha près de la capitale saoudienne Riyad.
Il y a 3 ans et 168 jours

Voyage à Al Ula, ancienne cité interdite bientôt ouverte aux touristes

Il a fallu trente ans à l’architecte Jean-Pierre Heim pour avoir l’autorisation d’aller se perdre à Al Ula dans le désert d’Hegra, en Arabie saoudite. Visite intimiste d’un site métaphysique avant que les touristes ne s’y pressent bientôt. Voyager est un art. Carnet de dessins. Ce voyage je le prépare depuis trente ans ! En […] L’article Voyage à Al Ula, ancienne cité interdite bientôt ouverte aux touristes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.