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Résultats de recherche pour asphalte

(85 résultats)
Il y a 59 jours

Tribunal de Lille isolation inversée de toiture avec JACKODUR® EVO 300 et JACKODUR® KF 500

Tribunal de Lille isolation inversée de toiture avec JACKODUR® EVO 300 et JACKODUR® KF 500 Mise hors d’eau ultra-rapide, chantier simplifié et protection maximale des terrasses grâce à Nord Asphalte Le nouveau Palais de Justice de Lille, s’étendant sur six niveaux, est un projet d’envergure intégrant de vastes terrasses, à la fois paysagées et techniques. […]
Il y a 1 ans et 126 jours

SOPREMA

SOPREMA Batipole jeu 18/01/2024 - 12:00 En savoir plus sur SOPREMA Partager De l'Asphalte Naturel à la Révolution du Bâtiment L'histoire de SOPREMA commence en 1908, lorsqu'un visionnaire du nom de Charles GEISEN fonde la société. Sa quête ? Trouver un matériau qui allie imperméabilité, flexibilité et simplicité de pose. Il ne fallait pas moins que l'invention du Mammouth®, une membrane d'étanchéité bitumineuse, pour combler cette lacune. SOPREMA est ainsi née, et dès 1909, elle a étendu ses horizons avec sa première agence à Strasbourg.
Il y a 2 ans et 77 jours

Conexpo-Con/Agg

CONEXPO-CON/AGG est le plus grand salon professionnel de la construction, dédié aux machines, travaux, produits et services de construction. Le salon présente différentes catégories de produits pour les secteurs de l'asphalte, du béton, des matériaux de construction, des composants d'équipement, des engins et véhicules de chantier, ainsi que des solutions de transport, de bâtiment et de génie civil.
Il y a 2 ans et 86 jours

Cegeprim Ultra de Cegecol® : un nouveau primaire garnissant avant ragréage spécial supports difficiles et rénovation

CEGEPRIM ULTRA est destiné à la rénovation des sols intérieurs sur tous supports, même les plus difficiles : panneaux de bois, parquet à lames, peinture/résine, film de colle bitume, dalle semi-flexible, chape asphalte. Ce primaire a été spécialement conçu pour apporter une solution performante pour tous travaux de rénovation.Fort pouvoir garnissant : CEGEPRIM ULTRA permet le remplissage d’interstices entre lames de bois ainsi que le rebouchage ponctuel.Confort à l’application grâce à sa consistance ajustable : l’utilisateur adapte la consistance à l’application recherchée en jouant sur la quantité d’eau de gâchage. A très faible émission de C.O.V, son odeur est très faible pour une application sans gêne pour l’artisan. Gain de temps : facile d’application et à séchage rapide, il change de couleur en séchant permettant ainsi à l’utilisateur d’identifier visuellement quand procéder au ragréage. Longue conservation : monocomposant et doté d’une longue conservation après ouverture, CEGEPRIM ULTRA offre à l’artisan la flexibilité d’utiliser la quantité nécessaire au chantier et de limiter les pertes et déchets sur le chantier. Transport et manutention facilités : CEGEPRIM ULTRA est conditionné en sac de 15 kg avec poignée.Associé au CEGESOL F (ragréage autolissant fibré classé P3), CEGEPRIM ULTRA apporte une solution complète de rénovation sur support bois avant la pose de tous types de revêtement.Caractéristiques techniques Taux de gâchage : 3,3 L d’eau par sac de 15 kg (2,7 à 3,3 L pour remplissage d’interstices et rebouchage ponctuel) Consommation : env. 400 – 600 g/m2 selon la rugosité de la surface et l’outil Durée de vie en pot: env.30 min à +20°C Durée de séchage: 30 à 60 min Conservation et stockage : 12 mois Couleur : gris après mélange – marron après séchage
Il y a 2 ans et 112 jours

Les arbres pourraient réduire d'un tiers la mortalité liée aux canicules urbaines, selon une étude

Une modélisation a révélé que si la couverture végétale d'une ville pouvait atteindre les 30% de sa surface, contre une moyenne de 14,9% actuellement, cela permettrait de réduire la température de 0,4 degré celsius en moyenne pendant les canicules estivales, rapporte une étude publiée dans The Lancet.Sur les 6.700 décès prématurés attribués au réchauffement des températures dans 93 villes européennes en 2015, les résultats montrent qu'un tiers pourrait ainsi être évité.Cette étude est la première à prévoir, dans le contexte du réchauffement climatique dans les villes, le nombre de décès prématurés qui pourraient être évités par une couverture arborée supplémentaire, a souligné l'auteur principal, Tamara Iungman, chercheur à l'Institut de santé mondiale de Barcelone.Les températures dans les villes sont plus élevées que dans les banlieues ou les campagnes environnantes, en raison d'îlots de chaleur.Cette différence de température est principalement due à la suppression de la végétation, à l'évacuation de la chaleur des systèmes de climatisation, ainsi qu'à l'asphalte et aux matériaux de construction de couleur sombre qui absorbent et retiennent la chaleur."Nous savons déjà que les températures élevées dans les environnements urbains sont associées à des résultats négatifs pour la santé, tels que l'insuffisance cardiorespiratoire, l'augmentation des admissions à l'hôpital et des décès prématurés", a déclaré Mme Iungman dans un communiqué. "Notre objectif est d'informer les politiques et les décideurs locaux sur les avantages de l'intégration stratégique de l'infrastructure verte dans la planification urbaine afin de promouvoir des environnements urbains plus durables, résilients et sains."En raison du réchauffement climatique d'origine humaine, l'augmentation des températures dans les villes sera plus intense d'où la nécessité de plus en plus urgente pour les villes, de s'adapter pour améliorer les résultats en matière de santé.Déjà l'année dernière, l'Europe a connu l'été le plus chaud jamais enregistré et la deuxième année la plus chaude. Dans le monde entier, les vagues de chaleur atteignent des pics record et leur durée s'est allongée ces dernières décennies.Aujourd'hui, le froid cause encore plus de décès en Europe que la chaleur. Mais les prévisions basées sur les émissions actuelles révèlent que les maladies et les décès liés à la chaleur représenteront une charge plus importante pour les services de santé d'ici une décennie.
Il y a 2 ans et 148 jours

Dans la "capitale du vélo en hiver", la neige ne freine pas les cyclistes

"Je fais du vélo toute l'année. Je n'ai même pas de voiture", déclare Ari Karjalainen, rejoignant son vélo après avoir fait ses courses.En centre-ville, les ranges-vélos encombrés de deux-roues se couvrent de neige tandis que les habitants parcourent la ville emmitouflés sur leur vélo et laissant derrière eux des traînées de vapeur dans leur sillage quand ils respirent l'air froid."Il suffit d'être bien couvert", répond en plaisantant Mimmi Kähkönen, 22 ans, lorsqu'on lui demande comment elle fait pour faire du vélo par temps glacial.Pour beaucoup d'habitants de cette ville où pédaler été comme hiver est courant, même le terme de "vélo en hiver" sonne bizarre.Si beaucoup s'équipent de pneus d'hiver plus larges avec une meilleure adhérence et parfois munis de crampons d'acier, certains se contentent de la même paire de pneus toute l'année."On a l'habitude de l'hiver donc on ne considère pas cela comme un défi", déclare à l'AFP Harri Vaarala, un ingénieur routier de la ville d'Oulu."Autoroutes à vélos"Alors que cette ville côtière décompte en moyenne cinq mois de températures négatives et de neige dans l'année, un cinquième du total des trajets effectués à Oulu est fait à vélo.En hiver, ce chiffre tombe à 12%, selon les responsables municipaux.Ainsi, à l'école Metsokangas, 1.000 des 1.200 élèves se rendent à l'école à vélo tout au long de l'hiver, même si les températures descendent en dessous des -20°C.Ces dernières années, la ville a ouvert plusieurs "autoroutes à vélos", des routes de six mètres de large en asphalte rouge, qui s'ajoutent aux près de 1.000 kilomètres de pistes cyclables déjà existants.Selon M. Vaarala, la ville a pris "une claire décision de valeur" pour soutenir le vélo, donnant parfois la priorité aux cyclistes plutôt qu'aux automobilistes."Dans certains cas, nous avons déplacé les autoroutes pour intégrer une piste cyclable de bonne qualité", déclare l'ingénieur, qui explique que les pistes cyclables principales sont déneigées avec une priorité plus élevée que les routes empruntées par les voitures.Quand la ville a lancé un appel d'offre pour l'entretien hivernal, l'une des conditions était que les conducteurs de déneigeuses et leurs superviseurs parcourent à vélo le trajet qu'ils entretiennent."Cela leur permet de comprendre directement comment les différentes conditions météorologiques affectent le parcours à vélo", précise M. Vaarala.La ville a également recruté des "agents à vélo", qui rendent compte chaque semaine de l'état des pistes cyclables, ce qui a un effet direct sur les bonus alloués au sous-traitant.Afin d'empêcher la neige de recouvrir les panneaux de circulation, la ville d'Oulu expérimente également de nouvelles solution technologiques pour permettre des parcours à vélo plus sûrs.Dans certains endroits, les panneaux de circulations le long des pistes cyclables sont illuminés par dessus la neige à l'aide de projecteurs.
Il y a 2 ans et 239 jours

Cannes veut "réinventer" sa Croisette en rouge

"La Croisette réinvente sa légende, et s'attaquer à la Croisette, ce n'est pas rien, c'est un objectif d'intérêt général majeur parce que c'est la quintessence d'un certain esprit de la Côte d'Azur", a indiqué le maire LR David Lisnard, lors d'une conférence de presse vendredi 23 septembre."La baie est sublime mais elle n'était plus au niveau" tant pour le revêtement du sol, l'éclairage public, les bordures ou sous terre avec un réseau vieux de plus d'un siècle, a-t-il ajouté.L'équipe retenue est emmenée par l'Atelier d'urbanité Roland Castro, du nom de l'urbaniste et architecte français, mandataire de l'opération, et compte notamment en son sein le cabinet d'architecture norvégien Snohetta, auteur notamment de l'entrée du Mémorial du 11 septembre à New York ou du nouveau siège du groupe Le Monde à Paris.Ils devront rénover l'ensemble de la voirie et du mobilier urbain de ces 170.000 m2, avec le parti-pris fort d'une pierre rouge sur le sol, censée rappeler la couleur du tapis des marches du Palais des festivals et la roche du massif de l'Esterel voisin.Des touches de laiton viendront signaler les grands hôtels et les flux de circulation.La voirie, dont l'asphalte sera lui aussi rouge, réservera deux voies aux véhicules, avec une piste cyclable.Sur les trottoirs seront disposés des bancs en béton semblant sortir de terre avant d'y disparaître.Sur ces 2,6 km qui courent du Palais des festivals jusqu'au Palm Beach, sera aussi construit un "théâtre de la mer", face au soleil qui se couche derrière le massif de l'Esterel."C'est un projet sobre et élégant qui vise à sublimer la Croisette et à la rendre appropriable par tous", a résumé Gérald Heulluy, président de l'Atelier d'urbanité Roland Castro.La livraison de la première tranche est prévue pour 2025, selon la mairie.Le budget total, à la charge de la ville et de l'agglomération, est de 160 millions d'euros, comprenant une phase préliminaire sur les réseaux souterrains pour près de 40 millions d'euros."Il y a 150 ans, la Croisette n'existait pas, c'était des dunes et des marécages, ce n'est qu'au milieu du 19e siècle que les 27 copropriétaires des lieux ont tracé un chemin de cinq mètres de large avant que la Croisette elle-même n'apparaisse à la fin du 19e siècle", a rappelé M. Lisnard.Depuis 1960, elle n'avait bénéficié d'aucun aménagement majeur.Pour lui, il était "plus que temps" de rénover "la vitrine de Cannes, qui a le record d'enseignes de luxe devant l'avenue Montaigne à Paris et la 5e avenue à New-York", et dont il veut aussi garder le "côté populaire" avec les kiosques et les manèges pour enfants.
Il y a 2 ans et 239 jours

Cannes veut "réinventer" sa Croisette en rouge

"La Croisette réinvente sa légende, et s'attaquer à la Croisette, ce n'est pas rien, c'est un objectif d'intérêt général majeur parce que c'est la quintessence d'un certain esprit de la Côte d'Azur", a indiqué le maire LR David Lisnard, lors d'une conférence de presse vendredi 23 septembre."La baie est sublime mais elle n'était plus au niveau" tant pour le revêtement du sol, l'éclairage public, les bordures ou sous terre avec un réseau vieux de plus d'un siècle, a-t-il ajouté.L'équipe retenue est emmenée par l'Atelier d'urbanité Roland Castro, du nom de l'urbaniste et architecte français, mandataire de l'opération, et compte notamment en son sein le cabinet d'architecture norvégien Snohetta, auteur notamment de l'entrée du Mémorial du 11 septembre à New York ou du nouveau siège du groupe Le Monde à Paris.Ils devront rénover l'ensemble de la voirie et du mobilier urbain de ces 170.000 m2, avec le parti-pris fort d'une pierre rouge sur le sol, censée rappeler la couleur du tapis des marches du Palais des festivals et la roche du massif de l'Esterel voisin.Des touches de laiton viendront signaler les grands hôtels et les flux de circulation.La voirie, dont l'asphalte sera lui aussi rouge, réservera deux voies aux véhicules, avec une piste cyclable.Sur les trottoirs seront disposés des bancs en béton semblant sortir de terre avant d'y disparaître.Sur ces 2,6 km qui courent du Palais des festivals jusqu'au Palm Beach, sera aussi construit un "théâtre de la mer", face au soleil qui se couche derrière le massif de l'Esterel."C'est un projet sobre et élégant qui vise à sublimer la Croisette et à la rendre appropriable par tous", a résumé Gérald Heulluy, président de l'Atelier d'urbanité Roland Castro.La livraison de la première tranche est prévue pour 2025, selon la mairie.Le budget total, à la charge de la ville et de l'agglomération, est de 160 millions d'euros, comprenant une phase préliminaire sur les réseaux souterrains pour près de 40 millions d'euros."Il y a 150 ans, la Croisette n'existait pas, c'était des dunes et des marécages, ce n'est qu'au milieu du 19e siècle que les 27 copropriétaires des lieux ont tracé un chemin de cinq mètres de large avant que la Croisette elle-même n'apparaisse à la fin du 19e siècle", a rappelé M. Lisnard.Depuis 1960, elle n'avait bénéficié d'aucun aménagement majeur.Pour lui, il était "plus que temps" de rénover "la vitrine de Cannes, qui a le record d'enseignes de luxe devant l'avenue Montaigne à Paris et la 5e avenue à New-York", et dont il veut aussi garder le "côté populaire" avec les kiosques et les manèges pour enfants.
Il y a 2 ans et 259 jours

Une étanchéité liquide autoprotégée pour toitures et balcons sans solvant et sans odeur avec la résine LA RESINE SOUPLETHANE 5 ATE DE KEMICA COATINGS

La résine SOUPLETHANE 5 ATE est un revêtement classé A+*, destinée à répondre aux exigences règlementaires appliquées aux toitures et balcons. Applicable à froid, elle s’utilise en neuf et en réhabilitation sur tous types de support : béton, acier, bois, bitume, asphalte, résines en place. SOUPLETHANE 5 ATE assure une ETANCHEITE CONTINUE, SANS JOINTS, sur […]
Il y a 2 ans et 269 jours

Le vieux Buenos Aires se fait un lifting, mais le cœur inquiète

Dans la rue Humberto 1er, à quelques encablures de l'emblématique Place de Mai, l'asphalte a sauté. Agenouillés, des ouvriers remettent un à un, près d'un siècle plus tard, des pavés dans les rues du "Casco historico", centre historique de la capitale.Voies cyclables, plantations d'arbres, bus détournés, restaurations XXL, telles celle de l'immeuble Art nouveau Otto Wulf (1914) jadis légation de l'Empire austro-hongrois : d'ici mi-2023, 67.000 m2 du centre porteño seront retouchés par le "Plan Casco" dans lequel la ville va investir 2,2 milliards de pesos (17 millions d'euros).L'objectif est double : "restaurer un des quartiers les plus historiques, au patrimoine important", et "réinventer la vie dans l'hypercentre", explique Felipe Miguel, chef de cabinet de la municipalité (centre-droit) de la capitale de 3 millions d'habitants.Ironiquement, il y a une dizaine d'années, une municipalité du même bord, alors gérée par le futur chef de l'Etat Mauricio Macri (2015-2019), recouvrait d'asphalte les pavés de plusieurs quartiers (environ 3.400 des 30.000 rues de Buenos Aires sont pavées), ulcérant des associations de riverains.On invoquait alors une nuisance sonore moindre, des pneus épargnés, l'écoulement des eaux de pluie... "Il y a des quartiers qui ont changé et où prime la mobilité, d'autres plus typiques qu'il faut préserver", justifie Felipe Miguel.Le Covid en plusCar le patrimoine est de nouveau l'avenir. Comme tout ce qui pourrait doper un centre-ville, à la fois quartier d'affaires et de tourisme, que le souffle de vie a quitté pendant la pandémie et un confinement parmi les plus longs du monde."La pandémie est venue aggraver un problème déjà en cours, inexorable : la perte d'habitants du centre, à la population +flottante+, sur-utilisé le jour, sous-utilisé la nuit", explique Silvia Farje, architecte et experte en patrimoine, ex-ministre de la Culture de la ville.Un centre, poursuit-elle, où une population vieillissante ne peut plus entretenir des immeubles centenaires, où cette dernière n'est pas remplacée par des jeunes, peu enclins à vivre dans un quartier régulièrement paralysé par des manifestations sociales, déserté la nuit, dans des bâtiments dépourvus du confort numérique qu'ils ont appris à goûter en télétravail en périphérie.L'idée de rédemption par les vieilles pierres a quelque chose d'ironique, pour une capitale qui dans son histoire n'a pas toujours eu les égards dûs à ses vieilles pierres. N'hésitant pas, par exemple, à raser une partie du Cabildo, bâtiment iconique de 1751, pour percer en 1894 l'Avenida de Mayo, avenue cossue copie conforme d'un grand boulevard parisien. La référence d'alors.Risque du "parc à thème"L'"âge d'or" de l'Argentine (de 1880 aux années 1930) et ses vagues d'immigrants européens, ont valu à la capitale un rare patchwork d'influences, du style colonial à l'Art déco, de l'italianisant néo-renaissance au rationalisme..."Une accumulation éclectique plus qu'un style. Un vrai palimpseste", résume Patricio Cabrera, dirigeant de l'association de sauvegarde du patrimoine Basta de Demoler (Stop aux démolitions).Mais sur l'Avenida de Mayo, les "A vendre" ou "A louer" fleurissent aux fenêtres. Selon M. Miguel, 60% des occupants du coeur de Buenos Aires travaillaient dans des bureaux avant la pandémie, un chiffre qui a dégringolé à 20%. Beaucoup ne reviendront pas. Des rideaux de commerces, privés de clients, sont baissés pour de bon.D'où l'espoir de faire revivre un "centre à usage mixte", entre professionnels, touristes, habitants, jeunes si possible. Depuis 2021, les aides au crédit et incitations fiscales se multiplient pour qui veut habiter l'hypercentre, ouvrir un commerce ou transformer des bureaux en habitations. Un chantier-défi "qui prendra des années", reconnaît M. Miguel.A court terme, les 2,1 millions de visiteurs étrangers annuels de Buenos Aires (chiffre pré-Covid) sont une cible de choix. Mais aussi un risque, entre "touristification" et "gentrification" du centre historique, "comme cela s'est passé dans beaucoup de capitales du monde", souligne l'ONG Observatorio de la Ciudad.Et si Basta de Demoler salue "la conscience nouvelle du patrimoine, qui voit revenir des pavés, chose impensable il y a 40 ans", l'association met en garde contre le risque de "sacrifier l'essence à l'esthétique" et "devenir un parc touristique à thème".
Il y a 2 ans et 295 jours

Husqvarna Constructions France présente sa nouvelle gamme de préparation de surface de sols

Grâce à l’intégration de l’offre Blastrac et HTC sous la marque Husqvarna, Husqvarna Construction France propose, aujourd’hui, la plus large gamme d’équipements pour la préparation de surface en s’appuyant sur le meilleur savoir-faire du marché. Cette triple expertise technique, associée à de nombreux services, permet à Husqvarna Construction France de répondre aux besoins des professionnels quels que soient les marchés (décontamination, sols industriels, sols décoratifs, routes et aéroports...).Avec sa nouvelle gamme élargie de machines et équipements dédiée à la rénovation, à la préparation et au polissage de surface des sols en béton, Husqvarna Construction France offre une réponse adaptée à toutes les demandes.Des rectifieuses pour niveler les sols irréguliers et enlever les revêtements mincesDe différentes tailles, la large gamme de ponceuses/ rectifieuses mono-disque d’Husqvarna Construction France (BG 250, BGS 250, PG 280, PG 400, HTC 270 EG et BB 700) convient aux supports en béton, pierre, asphalte et matériaux souples. Elles utilisent des disques à rotation horizontale pour effectuer une multitude de tâches, de la texturation légère pour ouvrir les pores de la surface à l’élimination des peintures et des revêtements.Compactes, faciles à transporter et à manœuvrer, elles sont idéales pour des chantiers de petite et grande taille.Véritable référence dans le désamiantage, la ponceuse mono- disque BG 250 est dotée d’un faible niveau de vibrations (moins de 2,5 m/s2) pour un confort idéal d’utilisation. Equipée d’un système d’entraînement spécial pour une répartition optimale de la charge, elle dispose aussi d’un système de captation à la source pour une extraction optimisée des poussières. Husqvarna Construction France propose, en option, différents disques de ponçage de diamètre 250 mm pour des applications spécifiques.Des surfaceuses pour le ponçage et le polissage de grandes surfacesLa préparation, le ponçage et le polissage des sols en béton, ainsi que la réparation et le polissage du terrazzo et d’autres pierres naturelles, constituent des tâches exigeantes. Que ce soient pour les sols industriels et décoratifs ou pour les marchés de la décontamination (retrait d’amiante ou de peinture au plomb) et de la démolition, la large gamme de surfaceuses à trois têtes, de différentes tailles, d’Husqvarna Construction France garantit des résultats parfaits, reconnus des professionnels.Elles sont, pour certaines, équipées de trois plateaux porte- outils, ce qui permet à la tête de ponçage de suivre en douceur les irrégularités des sols.Conçue pour réaliser la finition de surfaces horizontales de grandes dimensions, la surfaceuse à trois têtes BMG 780RC est télécommandée. Elle est équipée en standard d’un variateur de vitesse. La poignée de direction réglable (4 positions) comprend un panneau de commande indiquant toutes les informations pertinentes (Ampères, Volt, ...). Elle possède un pack batterie 24 V et deux moteurs électriques intégrés pour un déplacement autonome sur le chantier.Des raboteuses pour niveler les grandes surfaces ou enlever des revêtements épaisPour la mise à niveau de surfaces inégales en béton, asphalte et pierre ou pour enlever d’anciens revêtements épais, la gamme est composée de 8 raboteuses de différentes tailles dont une scieuse rainureuse électrique, première machine télécommandée du marché. Le principe de fonctionnement des raboteuses est simple : l’utilisation d’un tambour rotatif sur lequel une variété de différents outils (molettes, fraises) sont fixés sur des axes. Situé à l’intérieur du châssis, le tambour génère, une fois la machine en marche, une force centrifuge qui «projette l’outil sur la surface à traiter induisant ainsi une action coupante mécanique. Manuelles ou télécommandées, toutes les raboteuses Husqvarna Construction France sont équipées d’un système de réglage précis de la profondeur de rainurage.La BMP 335 est une nouvelle fraiseuse électrique à usage intensif. Elle est parfaitement adaptée aux besoins de rabotage les plus exigeants. Son poids élevé (430 kg sans le tambour) lui permet de générer une meilleure efficacité de travail. Grâce à un système d’entraînement électrique, elle évite à l’opérateur d’avoir un contact permanent avec la poignée, ce qui la rend facilement manœuvrable. De plus, le carter du tambour, cerné de joints anti-poussière, est monté dans le châssis par des silent blocs pour réduire le niveau de vibration (3,1 m/s2).Des décolleuses de sol pour l’enlèvement de revêtements posés ou collésHusqvarna Construction France propose une gamme complète de 4 machines, dont 3 modèles totalement électriques (BS 75, BS 110, BSM 150) et 1 avec batterie (BMS 220ADB), ainsi que des outils de curage pour la dépose des revêtements de sol collés et souples (linoléum, moquette, dalles vinyle, carrelage, parquet, revêtement bitumineux, ...). De la petite mais puissante décolleuse à pied à l’unité autoportée à usage intensif, il existe une solution Husqvarna pour répondre à tous les besoins des locaux commerciaux, industriels ou privés. Toutes les lames Husqvarna sont fabriquées à partir de matériaux et de composants de la meilleure qualité pour assurer une durée de vie et des performances optimales aux décolleuses.La décolleuse de sol BMS 150 autoportée est parfaitement adaptée aux chantiers de taille moyenne à importante. Totalement électrique, elle est dotée d’un câble d’alimentation auto-rétractable de 25 mètres et dispose d’un bras porte-câble rotatif. Facile à manœuvrer grâce à un joystick de contrôle à portée de main, un réglage de l’angle de la lame et des pneus non marquants, elle est en plus très compacte.Des chantiers propres et sûrsAfin de garantir un chantier propre et réduire l’exposition des opérateurs à d’éventuelles substances nocives telles que la silice cristalline, toutes les machines dédiées à la préparation de surface des sols peuvent être raccordées à un aspirateur Husqvarna qui capte la poussière à la source.Des services associésPartenaire de confiance des professionnels de la préparation de surface des sols, Husqvarna Construction France met à leur disposition, en complément de sa gamme élargie d’équipements, une série de services destinés à faciliter leur quotidien :Husqvarna Fleet ServicesTM, système de connectivité embarquée qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine : temps d’utilisation, suivi entretien, ... autant d’indicateurs permettant de gérer facilement et à distance la maintenance de l’appareil.Upcare, contrat d’entretien à prix fixe.TotalCare, combine les solutions Husqvarna Fleet Service et Upcare avec une solution de financement Husqvarna Financial Services pour être certain de travailler en toute tranquillité.Grâce à ses centres services Husqvarna et son réseau de partenaires distributeurs réparateurs agréés sur l’ensemble du territoire national, Husqvarna Construction France assure, en plus, la mise en service, l’assistance technique et la maintenance.Avec cette nouvelle offre étendue dédiée à la préparation de surface des sols qui inclut également des solutions pour le grenaillage, Husqvarna Construction France entre dans une nouvelle dimension en proposant la plus large gamme de solutions et services et le meilleur savoir-faire du secteur.
Il y a 2 ans et 338 jours

Préparation de surface des sols : Husqvarna Constructions France entre dans une nouvelle dimension

La bonne préparation de surfaces des sols en béton est essentielle à la réussite d’un projet et à l’application ultérieure d’un revêtement. En fonction de l’état de surface souhaité et du revêtement à poser, il existe plusieurs méthodes – ponçage, grenaillage, fraisage, rabotage – nécessitant l’utilisation de différentes machines. Grâce à l’intégration de l’offre Blastrac et HTC sous la marque Husqvarna, Husqvarna Construction France propose, aujourd’hui, la plus large gamme d’équipements pour la préparation de surface en s’appuyant sur le meilleur savoir-faire du marché. Cette triple expertise technique, associée à de nombreux services, permet à Husqvarna Construction France de répondre aux besoins des professionnels quels que soient les marchés (décontamination, sols industriels, sols décoratifs, routes et aéroports…). Avec sa nouvelle gamme élargie de machines et équipements dédiée à la rénovation, à la préparation et au polissage de surface des sols en béton, Husqvarna Construction France offre une réponse adaptée à toutes les demandes. Des rectifieuses pour niveler les sols irréguliers et enlever les revêtements minces De différentes tailles, la large gamme de ponceuses/ rectifieuses mono-disque d’Husqvarna Construction France (BG 250, BGS 250, PG 280, PG 400, HTC 270 EG et BB 700) convient aux supports en béton, pierre, asphalte et matériaux souples. Elles utilisent des disques à rotation horizontale pour effectuer une multitude de tâches, de la texturation légère pour ouvrir les pores de la surface à l’élimination des peintures et des revêtements. Compactes, faciles à transporter et à manœuvrer, elles sont idéales pour des chantiers de petite et grande taille. Véritable référence dans le désamiantage, la ponceuse mono- disque BG 250 est dotée d’un faible niveau de vibrations (moins de 2,5 m/s2) pour un confort idéal d’utilisation. Equipée d’un système d’entraînement spécial pour une répartition optimale de la charge, elle dispose aussi d’un système de captation à la source pour une extraction optimisée des poussières. Husqvarna Construction France propose, en option, différents disques de ponçage de diamètre 250 mm pour des applications spécifiques. Des surfaceuses pour le ponçage et le polissage de grandes surfaces La préparation, le ponçage et le polissage des sols en béton, ainsi que la réparation et le polissage du terrazzo et d’autres pierres naturelles, constituent des tâches exigeantes. Que ce soient pour les sols industriels et décoratifs ou pour les marchés de la décontamination (retrait d’amiante ou de peinture au plomb) et de la démolition, la large gamme de surfaceuses à trois têtes, de différentes tailles, d’Husqvarna Construction France garantit des résultats parfaits, reconnus des professionnels. Elles sont, pour certaines, équipées de trois plateaux porte- outils, ce qui permet à la tête de ponçage de suivre en douceur les irrégularités des sols. Conçue pour réaliser la finition de surfaces horizontales de grandes dimensions, la surfaceuse à trois têtes BMG 780RC est télécommandée. Elle est équipée en standard d’un variateur de vitesse. La poignée de direction réglable (4 positions) comprend un panneau de commande indiquant toutes les informations pertinentes (Ampères, Volt, …). Elle possède un pack batterie 24 V et deux moteurs électriques intégrés pour un déplacement autonome sur le chantier. Des raboteuses pour niveler les grandes surfaces ou enlever des revêtements épais Pour la mise à niveau de surfaces inégales en béton, asphalte et pierre ou pour enlever d’anciens revêtements épais, la gamme est composée de 8 raboteuses de différentes tailles dont une scieuse rainureuse électrique, première machine télécommandée du marché. Le principe de fonctionnement des raboteuses est simple : l’utilisation d’un tambour rotatif sur lequel une variété de différents outils (molettes, fraises) sont fixés sur des axes. Situé à l’intérieur du châssis, le tambour génère, une fois la machine en marche, une force centrifuge qui «projette l’outil sur la surface à traiter induisant ainsi une action coupante mécanique. Manuelles ou télécommandées, toutes les raboteuses Husqvarna Construction France sont équipées d’un système de réglage précis de la profondeur de rainurage. La BMP 335 est une nouvelle fraiseuse électrique à usage intensif. Elle est parfaitement adaptée aux besoins de rabotage les plus exigeants. Son poids élevé (430 kg sans le tambour) lui permet de générer une meilleure efficacité de travail. Grâce à un système d’entraînement électrique, elle évite à l’opérateur d’avoir un contact permanent avec la poignée, ce qui la rend facilement manœuvrable. De plus, le carter du tambour, cerné de joints anti-poussière, est monté dans le châssis par des silent blocs pour réduire le niveau de vibration (3,1 m/s2). Des décolleuses de sol pour l’enlèvement de revêtements posés ou collés Husqvarna Construction France propose une gamme complète de 4 machines, dont 3 modèles totalement électriques (BS 75, BS 110, BSM 150) et 1 avec batterie (BMS 220ADB), ainsi que des outils de curage pour la dépose des revêtements de sol collés et souples (linoléum, moquette, dalles vinyle, carrelage, parquet, revêtement bitumineux, …). De la petite mais puissante décolleuse à pied à l’unité autoportée à usage intensif, il existe une solution Husqvarna pour répondre à tous les besoins des locaux commerciaux, industriels ou privés. Toutes les lames Husqvarna sont fabriquées à partir de matériaux et de composants de la meilleure qualité pour assurer une durée de vie et des performances optimales aux décolleuses. La décolleuse de sol BMS 150 autoportée est parfaitement adaptée aux chantiers de taille moyenne à importante. Totalement électrique, elle est dotée d’un câble d’alimentation auto-rétractable de 25 mètres et dispose d’un bras porte-câble rotatif. Facile à manœuvrer grâce à un joystick de contrôle à portée de main, un réglage de l’angle de la lame et des pneus non marquants, elle est en plus très compacte. Des chantiers propres et sûrs Afin de garantir un chantier propre et réduire l’exposition des opérateurs à d’éventuelles substances nocives telles que la silice cristalline, toutes les machines dédiées à la préparation de surface des sols peuvent être raccordées à un aspirateur Husqvarna qui capte la poussière à la source. Des services associés Partenaire de confiance des professionnels de la préparation de surface des sols, Husqvarna Construction France met à leur disposition, en complément de sa gamme élargie d’équipements, une série de services destinés à faciliter leur quotidien : • Husqvarna Fleet ServicesTM, système de connectivité embarquée qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine : temps d’utilisation, suivi entretien, … autant d’indicateurs permettant de gérer facilement et à distance la maintenance de l’appareil. • Upcare, contrat d’entretien à prix fixe. • TotalCare, combine les solutions Husqvarna Fleet Service et Upcare avec une solution de financement Husqvarna Financial Services pour être certain de travailler en toute tranquillité. Grâce à ses centres services Husqvarna et son réseau de partenaires distributeurs réparateurs agréés sur l’ensemble du territoire national, Husqvarna Construction France assure, en plus, la mise en service, l’assistance technique et la maintenance. Avec cette nouvelle offre étendue dédiée à la préparation de surface des sols qui inclut également des solutions pour le grenaillage, Husqvarna Construction France entre dans une nouvelle dimension en proposant la plus large gamme de solutions et services et le meilleur savoir-faire du secteur. http://www.husqvarnacp.com/fr
Il y a 2 ans et 358 jours

Guide de choix chevillage et scellement chimique de Würth France

Le guide de choix chevillage et scellement chimique sur l’eshop de Würth France permet au client de trouver rapidement la cheville adaptée à son projet. Il lui suffit de renseigner quelques caractéristiques pour trouver les chevilles qui répondent le mieux à son besoin.Des chevilles adaptées à tous les supportsWürth France a mis au point une gamme de chevillage complète permettant une fixation idéale quel que soit le support de travail :Béton Béton cellulaireBrique pleine ou creuseParpaing creuxPlaque de plâtre AsphaltePanneau isolantChoisir sa chevilleTrois types de chevilles sont proposées :Métallique : disponibles en plusieurs versions avec différents niveaux de résistance, les chevilles métalliques offrent des performances élevées.Plastique : chevilles polyvalentes, elles sont idéales pour les charges légères à moyennes dans tous les matériaux qu’ils soient pleins ou creux.Chimique : le scellement chimique offre les performances les plus élevées, idéal pour tous les cas particuliers et notamment en rénovation.Homologation et résistance à la corrosionPour affiner la recherche, il suffit au client de renseigner deux indications :Homologation : indispensable dans toutes situations où la rupture de la fixation pourrait entrainer un risque pour la vie humaine. La gamme Würth offre toutes les garanties indispensables grâce aux Évaluations Techniques Européennes (ETA)Résistance à la corrosion : nécessaire pour garantir la durée de vie des fixations dans les applications en extérieur ou en zone humide intérieure.Filtrer sa sélectionUne fois les produits correspondant à la demande du client affichés, il a la possibilité de filtrer la sélection en fonction de différents critères : charge légère, haute performance, etc.
Il y a 3 ans et 115 jours

Urbanisme sauvage et érosion à Kinshasa : quand la rue devient ravin

Dans la commune populaire et déshéritée de Mont-Ngafula, construite sur les hauteurs, cette érosion spectaculaire a remplacé une rue asphaltée par un gouffre d'au moins 15 mètres de profondeur.En haut de la falaise, de grosses canalisations d'eau, hors d'usage, sont suspendues dans le vide. Pour traverser ce qui fut la rue séparant Ngansele du quartier voisin de Ngalasi, les riverains se fraient tant bien que mal un chemin à l'intérieur de ce ravin au sable mouvant.L'érosion a coupé net l'avenue de l'Université dans son tronçon qui relie l'université de Kinshasa (Unikin) à Kimwenza-mission, agglomération abritant plusieurs établissements scolaires et l'une des plus grandes bibliothèques d'Afrique centrale, tenue par les Jésuites.Veuve et mère de sept enfants, Espérance Tsimba, 57 ans, a vu sa boutique engloutie un jour de pluie. "J'ai perdu mon business. Depuis, il m'est difficile de scolariser" mes enfants, dit-elle, en réclamant "la construction de caniveaux" pour canaliser les eaux.Pour tenter de protéger leur domicile, les riverains construisent des digues en empilant des sacs remplis de sable, dans l'espoir de ralentir l'éboulement.Au fond de la vallée, cinq hommes placent également des sacs de sable censés dévier la trajectoire des eaux de pluie, tandis qu'en aval, à une centaine de mètres, à la surface, un véhicule de chantier aplanit et égalise le sable sur la chaussée. L'engin appartient à une entreprise chinoise, dont les responsables congolais sur le terrain ne souhaitent pas parler à la presse.L'érosion a commencé il y a environ six ans. "Ce n'est pas la première fois que des travaux de réhabilitation de la route sont lancés. Cela s'est fait à plusieurs reprises, mais sans jamais aboutir", déclare à l'AFP Sylvain Nsumbu, directeur d'une école primaire menacée par l'érosion.Retour des pluiesCe nouveau démarrage des travaux intervient après des manifestations organisées pour interpeller les autorités, racontent les riverains. "Nous avons fait des marches jusqu'à bloquer la route nationale 1 qui traverse notre commune", explique Magloire Kangondi."Nous demandons cette fois-ci que ça aille jusqu'au bout", implore Sylvain Nsumbu, qui a vu le mur de clôture de son école tomber dans le ravin et dit vivre avec "un danger permanent" depuis.Ici, "c'est la cour, les enfants y jouent pendant la recréation. Avant que l'érosion n'arrive, nous avions un portail ici, la clôture était là, il y avait même des mamans qui vendaient juste devant", dit-il en montrant le vide, là où se trouvait l'entrée de cet établissement de 170 enfants.Cette situation "nous fait très mal, nous avons aussi une école maternelle où les tout petits ont 4 ans, 5 ans, et doivent traverser ce ravin", ajoute-t-il, la mort dans l'âme. "Cette année, il y a même des parents qui ont préféré ne pas envoyer leurs enfants à l'école", ajoute M. Nsumbu.Il faut une vraie "urbanisation", plaide-t-il.Kinshasa, troisième ville la plus peuplée d'Afrique, avec quelque 12 millions d'habitants, a vu sa population doubler en 20 ans. La ville s'est étendue de manière souvent anarchique, des quartiers ont poussé sans viabilisation correcte, notamment sur les collines de la périphérie.Dans le quartier de Ngansele, un groupe de jeunes, réunis autour de Christel Bulembi, qui se présente comme un acteur de développement et leader communautaire, sensibilise pour une gestion responsable des "eaux de pluie sur un terrain fragile", combinaison expliquant selon lui l'ampleur de l'érosion.Spécialiste en gestion de l'environnement, M. Bulembi, né dans ce quartier, appelle les habitants à construire dans chaque parcelle au moins un puits de rétention des eaux de pluie, afin de minimiser les dégâts causés par les ruissellements sur la chaussée.Il estime cependant que "l'État congolais, garant de la chose publique, doit prendre ses responsabilités en urbanisant le quartier". "Et la population va accompagner les efforts du gouvernement", assure-t-il.En attendant, avec le retour des pluies, les habitants disent craindre le pire. En novembre 2019, une quarantaine de personnes avaient trouvé la mort à Kinshasa, victimes de pluies diluviennes qui avaient provoqué inondations et glissements de terrains. Mont-Ngafula avait été l'une des communes les plus touchées.
Il y a 3 ans et 154 jours

Étanchéité d’une toiture plate : comment la garantir?

Il existe principalement deux formes de toiture. D’une part, il y a la toiture en pente et ; d’autre part, la toiture plate. La première permet facilement à l’eau de pluie de s’écouler vers les gouttières. En revanche, l’humidité a tendance à stagner sur la seconde. En raison de sa faible inclinaison, l’évacuation des eaux de pluie ne se fait pas de façon optimale sur un toit plat. Pour éviter qu’elles s’infiltrent, il est primordial d’assurer son étanchéité. Mais de quelle manière ? Nous allons justement en parler dans les lignes suivantes. En quoi est-il crucial d’avoir une toiture plate parfaitement étanche ? Également connues sous l’appellation « toitures-terrasses », les toitures plates sont très répandues en zones urbaines et en zones industrielles. En dessous de celles-ci existe souvent un espace qui peut éventuellement être habitable. Mais peu importe sa destination (ex. : stockage, garage, pièce chauffée, etc.), les infiltrations d’eau par la toiture sont à éviter. Cela passe par un système d’étanchéité efficace. Rappelons que l’humidité occasionne : Des dommages au niveau de la toiture et des éléments la composant (ex. : charpente, isolants, revêtement) ; Des dégâts des eaux au sein de l’habitat ; Des problèmes d’humidité sans fin débouchant sur le développement des moisissures sur les murs et la dégradation de leur revêtement, des traces sur le plafond et des mauvaises odeurs à l’intérieur de la maison Ce sont des signes qui témoignent de l’infiltration d’eau par la toiture. De ce fait, ils ne doivent pas être négligés. Faire appel à une entreprise d’étanchéité de toiture comme sur ce site : https://www.entreprise-etancheite-83.fr/ est donc la chose à faire. Comment faire l’étanchéité d’une toiture plate ? Pour garantir l’étanchéité d’une toiture plate, il est nécessaire qu’elle soit suffisamment inclinée. C’est cette inclinaison qui permettra l’écoulement des eaux de pluie vers les gouttières. Toutefois, on peut faire l’étanchéité d’une telle toiture en mettant en place le bon isolant. À ce titre, on peut citer : L’asphalte ; Les produits bitumés ; Les films multicouches qui se présentent soit sous la forme de feuilles de bitume armées soit sous la forme de bitume coulé. Ici encore, le recours aux services d’une entreprise d’étanchéité de toiture est recommandé. Un professionnel saura mieux vous guider quant aux choix de vos isolants. Il est d’ailleurs le mieux qualifié pour les installer. Quelques solutions pour réaliser l’étanchéité de la toiture plate À côté des trois systèmes d’étanchéité cités ci-dessus, les spécialistes du domaine peuvent proposer d’autres alternatives. En l’occurrence, il y a : La membrane d’étanchéité bitumeuse Des feuilles ou des rouleaux de bitume sont posés sur la surface du toit. Cette opération nécessite l’usage d’un appareil à flamme comme le chalumeau. Il existe cependant des modèles qui ne requièrent pas l’utilisation d’un tel outil. En l’espèce, une colle spéciale sera utilisée pour fixer les feuilles bitumeuses sur les zones concernées. La membrane d’étanchéité photovoltaïque De nos jours, on peut acheter des membranes qui intègrent des modules photovoltaïques souples ou des plots. Ce qui rend possible la mise en place de modules photovoltaïques rigides. On peut également recourir à des plots que l’on installe directement sur l’étanchéité, et ce sans qu’on ait besoin d’utiliser un traitement spécifique. Si de cette façon on génère de l’énergie solaire, il est à noter que ce système présente une faille. Comme les panneaux ne sont pas fixés sur la toiture, cela peut poser problème en cas de vent violent. La bâche EPDM Il s’agit d’un élastomère résistant et étanche. Il est produit en usine par la vulcanisation des lés EPDM. Un robot spécifique assure par la suite son pressage pour qu’il soit parfaitement étanche et inaltérable. Le système d’étanchéité liquide  ou SEL C’est la solution à adopter pour étanchéifier les zones difficiles d’accès. Ce produit est fait à base de résine. La même matière est utilisée pour la fabrication des membranes continues à épaisseur régulière.
Il y a 3 ans et 181 jours

Decorus, la solution 100% naturelle de Biocinov pour éradiquer les dépôts verts sur les toitures et terrasses

Dédiée aux solutions naturelles pour les professionnels, l’entreprise Biocinov s’est penchée sur cette problématique et ajoute à sa gamme la solution DECORUS pour les bâtiments professionnels ainsi que les habitations.DECORUS permet de traiter de manière choc et durable les surfaces dures pour éliminer les dépôts verts ainsi que les algues. À base d’acide nonanoïque, substance active d’origine végétale, la formule agit par contact, entraînant le dessèchement de la végétation ciblée. Les premiers effets sont visibles en quelques heures et la protection longue durée contre les algues est d’environ 6 mois.Côté supports, il est adapté à la plupart des matériaux de construction : asphalte, acier, zinc, aluminium, bois extérieur, plastique, ciment, brique, béton. Pour le zinc, l’aluminium, l’inox, l’acier et le verre, une fine couche blanche peut persister après l’application mais elle disparaîtra avec les pluies successives. Pour le cuivre, l’application va accélérer son oxydation.S’utilise au pulvérisateur, dilué à de l’eauJusqu’à 556 m² de surface traitée avec 1LÉconomique et utilisable toute l’année (sauf en période de gel)Compter 2 applications par an
Il y a 3 ans et 210 jours

Nouvelles découpeuses polyvalentes d’Husqvarna

Les nouvelles découpeuses polyvalentes K 770 et K 970 d’Husqvarna Construction France améliorent la sécurité de l’opérateur lors de la découpe de matériaux (blocs béton, briques, asphalte, tuyaux, murs, …). [©Husqvarna Construction France] Les nouvelles découpeuses polyvalentes K 770 et K 970 d’Husqvarna Construction France sont équipées de la technologie SmartGuard. Elles réduisent la probabilité d’accidents ou de blessures graves en cas de rebond. Puissantes, elles sont dotées de fonctionnalités qui garantissent une efficacité et des performances optimales. Grâce à un carter de protection de disque qui assure un fonctionnement continu et un système de freinage intégré, elles améliorent la sécurité de l’opérateur lors de la découpe de matériaux (blocs béton, briques, asphalte, tuyaux, murs, …). En effet, en cas de rebond, le sur-carter se déploie et protège l’utilisateur. La conception du carter a été pensée pour améliorer la technique de coupe, en incitant l’utilisateur à commencer à travailler par la partie basse du disque. Légères, avec un bon rapport poids/puissance (10 kg/3,7kW et 11,9 kg/4,8 kW), elles sont aussi dotées d’un système anti-vibration. Ainsi que du système semi-automatique SmartTension, qui minimise le risque de sous et sur-tension de la courroie. D’une profondeur de coupe de 125 mm au maximum, les découpeuses K 770 et K 970 sont adaptées à tout type d’applications, y compris dans les espaces confinés. Elles sont compatibles avec tous les disques diamantés Husqvarna de 350 mm de diamètre.
Il y a 3 ans et 223 jours

Les découpeuses k770 et k970 d’husqvarna construction france, une sécurité pour l’opérateur sur chantier

Afin de fournir aux utilisateurs la meilleure et la plus sûre expérience de découpe de matériaux durs et abrasifs (blocs béton, murs, …), Husqvarna Construction France lance les nouvelles découpeuses polyvalentes K 770 et K 970. Equipées de la technologie SmartGuard, elles réduisent la probabilité d’accidents ou de blessures graves en cas de rebond. Puissantes, elles sont dotées, en plus, de fonctionnalités qui garantissent une efficacité et des performances optimales. Pour un fonctionnement encore plus sûr Grâce à un carter de protection de disque qui assure un fonctionnement continu et un système de freinage intégré, les découpeuses K 770 et K 970 SmartGuard améliorent la sécurité de l’opérateur lors de la découpe de matériaux (blocs, briques, asphalte, tuyaux, murs, …). En effet, en cas de rebond, le sur-carter se déploie et protège l’utilisateur. La conception du carter a été spécialement pensée pour améliorer la technique de coupe en incitant l’utilisateur à commencer à travailler par la partie basse du disque. En plus de réduire le risque de rebond, elle permet une inspection visuelle et facile de l’état du SmartGuard pour garantir son bon fonctionnement. D’une profondeur de coupe de 125 mm maximum, les découpeuses K 770 (https://bit.ly/HCF_K770) et K 970 (https://bit.ly/HCF_K970) SmartGuard sont adaptées à tout type d’applications y compris dans les espaces confinés. Démarrage aisé, manipulation confortable et fiabilité Légères, compactes et puissantes avec un remarquable rapport poids/puissance (10 kg/3.7 K.w et 11,9 kg/4.8 K.w selon le modèle), les découpeuses K 770 et K 970 SmartGuard offrent un démarrage facile et fiable. Dotées d’un système anti-vibration sur l’ensemble de la machine, elles contribuent à réduire la fatigue, à optimiser le confort et la productivité. A l’image de la célèbre découpeuse K 770, les modèles K 770 et K 970 SmartGuard bénéficient du système semi-automatique SmartTensionTM qui minimise le risque de sous et sur-tension de la courroie. Celui-ci assure également une transmission optimale de la puissance, ainsi qu’une usure minimale et une durée de vie maximale de la courroie. Les découpeuses K 770 et K 970 SmartGuard sont compatibles avec tous les disques diamantés Husqvarna Construction France de 350 mm de diamètre. http://www.husqvarnacp.com/fr
Il y a 3 ans et 230 jours

Entre climat et densité, les villes de plus en plus menacées par les chaleurs extrêmes

"En Afrique et en Asie du Sud, où vivent déjà des centaines de millions de pauvres en milieu urbain (...) sans investissements suffisants, sans intervention humanitaire et sans soutien des gouvernements, la chaleur extrême peut limiter de manière décisive la capacité des populations pauvres à réaliser les gains économiques associés à l'urbanisation", écrivent les auteurs de l'étude, parue dans la revue "Proceedings of the National Academy of Sciences".En cause, les "îlots de chaleur" dus à la densité des villes, où le béton, l'asphalte et la moindre végétation tendent à enfermer la chaleur.Pour parvenir à leurs résultats, les chercheurs ont étudié plus de 13.000 villes, en fixant un seuil de chaleur extrême à 30°C en température au thermomètre-globe mouillé ("Wet Bulb Globe Temperature"), un indice qui prend en compte la chaleur et l'humidité.A partir de ce seuil, "même les personnes les plus saines ont du mal à rester longtemps à l'extérieur, et les personnes en mauvaise santé peuvent tomber très malades ou même mourir", explique l'Institut de la Terre de l'université de Columbia (New York), associé à l'étude.Sur 13.115 villes étudiées, le nombre de personnes/jours (le nombre de personnes concernées multiplié par le nombre de jours) est passé de 40 milliards en 1983 à 119 milliards en 2016, calculent les scientifiques des universités de Californie Santa Barbara, Minnesota Twin Cities, Arizona et Columbia.Parmi les villes les plus touchées figure Dacca, la capitale du Bangladesh, qui a connu une augmentation de 575 millions de personnes-jours de chaleur extrême pendant la période étudiée (1983-2016), une exposition accrue due à 80% à l'explosion de sa population (de quatre à 22 millions), selon l'Institut de la Terre.En 2016, 1,7 milliard de personnes ont été exposées à ces températures plus d'un jour par an, ajoute cet institut.La majorité des villes concernées sont "concentrées dans les basses latitudes", notamment en Asie du Sud (Inde, Pakistan, Bangladesh) et en Afrique subsaharienne (Nigeria), "mais couvrent une large gamme de climats", écrivent les auteurs de l'étude.
Il y a 3 ans et 236 jours

Kemica Coatings présente Souplethane 5 ATE, une étanchéité liquide autoprotégée sans solvant et sans odeur pour les toitures et balcons

KEMICA COATINGS conçoit et fabrique des résines de haute performance, bio sourcées et non toxiques pour l’homme et l’environnement. Sans solvant, sans odeur, sans bisphénol A, les substances nocives ont été supprimées au profit de ressources naturelles et renouvelables. La résine SOUPLETHANE 5 ATE est un revêtement classé A+*, destinée à répondre aux exigences règlementaires appliquées aux toitures et balcons. Applicable à froid, elle s’utilise en neuf et en réhabilitation sur tous types de support : béton, acier, bois, bitume, asphalte, résines en place. SOUPLETHANE 5 ATE assure une étanchéité continue, sans joint, sur les toitures-terrasses, balcons, loggias, coursives et gradins à usage privatif ou public. UNE RÉSINE CERTIFIÉE Les certifications du CSTB assurent la qualité technique de la résine SOUPLETHANE 5 ATE pour traiter à la fois l’étanchéité et l’anticorrosion des toitures et terrasses, lui attribuant ainsi des valeurs de sécurité et de durabilité : en tant que système d’étanchéité liquide confirmé avec le D.T.A. N° 5.2/18-2615_V1 destiné aux toitures inaccessibles et accessibles, avec extension aux DROM, en tant que système d’étanchéité liquide auto-protégée confirmé avec l’Avis Technique N°12/15-1704, en tant que revêtement de sol testé selon les normes européennes et UPEC : RSET-09-26013839, en tant que revêtement non inflammable avec son classement européen de tenue au feu Bfl – s1, en tant que revêtement biosourcé avec son agrément environnemental HQE*. &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE ET UN ENTRETIEN SIMPLISSIMES SOUPLETHANE 5 ATE est une résine polyurée-uréthane à deux composants (polyol et isocyanate) sans solvant et sans odeur. Ces composants sont des élastomères destinés à générer des membranes et joints élastomériques à très hautes résistances mécaniques, thermiques et chimiques. Son application est possible à des conditions climatiques extrêmes (température de –10°C à 50°C, humidité relative HR < 90%). Appliquée sur tous supports en neuf et en rénovation : béton, bois, isolants, métal, asphalte, membrane bitumineuse, PVC, elle va pallier les problèmes d‘étanchéité en résistant à la fissuration, aux écarts de température et aux agressions chimiques de l’atmosphère. Exempte de retrait, elle garantit l’étanchéité après polymérisation de la résine et ponte toutes les fissurations (tenue à la fissuration de 3 mm). SOUPLETHANE 5 ATE peut être appliquée aussi bien en étanchéité accessible (balcons, terrasses) qu’en étanchéité non accessible (terrasses sur toits, terrasses-parkings). Comme pour toute mise en œuvre d’étanchéité, une préparation des surfaces sera indispensable après dépose de l’ancienne membrane d’étanchéité avec la pose d’un primaire mono-composant sans solvant PU AQUEUX sur béton sec ou humide qui assure une adhérence au béton supérieure à 3,8 MPa – 150 g/m². L’application se fait manuellement au rouleau après mélange des 2 composants de la résine: 3/1 en volume : épaisseur du système : 1,2 à 1,5 mm Facile d’entretien et de réparation, la surface revêtue de SOUPLETHANE 5 ATE peut être de plus rendue antidérapante par projection de silice fine sur le film liquide, apportant un facteur supplémentaire de sécurité pour toute intervention humaine ultérieure. Elle est également directement applicable sur les résines de sol existantes (époxy, polyuréthane). Des finitions sont préconisées d’une part pour traiter l’anti-dérapance et d’autre part pour garantir la stabilité aux UV. &nbsp; &nbsp; La terrasse peut être praticable 24 heures après l’application. L’aspect lisse, neutre mais surtout antiadhérent du revêtement SOUPLETHANE 5 ATE facilite son entretien. Et, la facilité d’entretien n’amoindrit pas sa durabilité qui peut ainsi dépasser une trentaine d’années, tout en conservant ses performances. &nbsp; CERTIFICATIONS DTA pour l’étanchéité liquide de toitures « SOUPLETHANE 5 ATE ». Formulé pour la France et les DROM, et destiné aux toitures inaccessibles et accessibles, le SOUPLETHANE 5 ATE se pose sur béton, métal et bois (CSTB). Avis Technique 1215/1704 – V1 du CSTB. Classé A+ : Etiquetage réglementaire des émissions de COV et conformité au protocole AgBB (2012) – rapport CSTB. Tests revêtement de sol selon normes européennes et UPEC : RSET-09-26013839. Tests réaction au feu : SOUPLETHANE 5 : Bfl – s1. Partager la publication « Kemica Coatings présente Souplethane 5 ATE, une étanchéité liquide autoprotégée sans solvant et sans odeur pour les toitures et balcons. »
Il y a 3 ans et 264 jours

Des sols perméables chez O2D Environnement pour contrer le phénomène des îlots de chaleur urbains

Depuis 2004, O2D ENVIRONNEMENT® accompagne les projets de parkings, de voies d’accès et d’aires de vie perméables. Le concept et la formulation des solutions O2D® comportent des avantages environnementaux intrinsèques : infiltration naturelle des eaux pluviales sans ruissellement, système de sol « ouvert » rétablissant les échanges air-eau-sol, apport de matière organique et d’un couvert végétal pour certains de ses produits.L’étude menée par O2D ENVIRONNEMENT®:Avec la volonté d’optimiser ses solutions, O2D ENVIRONNEMENT® a lancé en 2017 le projet de recherche et développement ACTIV-S¹ et a mis en œuvre une plateforme expérimentale de parking perméable. Celle-ci a permis d’évaluer plusieurs axes de recherche, contribuant ainsi à l’alimentation des connaissances scientifiques sur les sols urbains. Ce projet a été mené en collaboration avec deux laboratoires. Le Laboratoire de Génie Civil et géo-Environnement (LGCgE), Junia Hauts-de-France et le Laboratoire d’Analyse Microbiologique des Sols (LAMS).Le comportement thermique des systèmes de sols perméables O2D® a fait l’objet de différentes analyses, en comparaison avec un revêtement en enrobé classique ainsi qu’à un espace de pleine terre enherbé. Et ses analyses prouvent la performance climatique des solutions perméables au regard de la lutte contre la formation d’îlot de chaleur urbain. Ces nouveaux sols urbains représentent une opportunité d’adaptation de la ville au changement climatique et à l’érosion de la vie dans les sols, en réduisant l’impact de l’aménagement de nombreuses surfaces traditionnellement minéralisées.¹ Projet subventionné par l’ADEME dans le cadre de l’initiative IPME 2016 Eau & Milieux Aquatiques et labellisé par le pôlede compétitivité HYDREOS.Des résultats éloquents :L’étude du comportement thermique sur les différents sols urbains a rapidement amené à différencier les périodes diurne et nocturne. Les cycles journaliers de stockage-déstockage de l’énergie solaire par les systèmes de sol ont bien été identifiés et se sont révélés particulièrement différenciants. Parmi les systèmes de sols étudiés, l’étude permet de distinguer trois types de performances climatiques au regard de la lutte contre la formation d’îlots de chaleur urbains :Comportement thermique défavorable : le sol enrobéComportement thermique favorable : Système O2D GREEN® et Système O2D MULCH®Comportement thermique modéré : Système O2D PAVE®Cette étude confirme le rôle de réservoir de chaleur que joue la fondation (transfert de chaleur vers les couches sous-jacentes et cycle de stockage-déstockage décalés dans le temps par rapport à celui de la surface). Un matériau de fondation “fermé” stocke davantage la chaleur qu’un matériau concassé permettant une certaine porosité. L’étude du comportement thermique après un épisode pluvieux a mis en évidence l'importance de la capacité de rétention en eau des systèmes. Les systèmes organiques sont impactés durablement par la captation d’eau et jouent un rôle de régulateur thermique grâce au phénomène d’évaporation. La surface des sols joue un rôle de capteur d’énergie solaire et d’accumulation de chaleur en journée. L’étude a révélé que la perméabilisation des sols contribue au refroidissement de ceux-ci, en permettant la circulation de l’air entre les différentes couches du sol.Des solutions innovantes et durables :En réponse aux besoins mécaniques et pratiques, des matériaux imperméables comme l’enrobé, le béton et l’asphalte étaient traditionnellement mis en œuvre sur les parkings, voiries et parvis. Après deux décennies de retours d’expériences et d'optimisation, les solutions alternatives comme les revêtements de sols perméables et végétalisés ont prouvé leurs performances techniques et leur efficacité en termes d’usages et de bénéfices environnementaux.L’étude du comportement thermique des technosols perméables permet d’attester de leurs performances climatiques dans un contexte de lutte contre la formation d’îlots de chaleur urbains. La perméabilité et la présence de matière organique, voire de végétation, semblent être la combinaison idéale pour lutter contre l’échauffement de l’air ambiant en zone urbaine. Cela confirme certaines recommandations pour l’adaptation de la ville au changement climatique, allant dans le sens du retour de l’eau et du végétal dans les espaces publics.Les solutions de sols urbains innovants d’O2D ENVIRONNEMENT® remplissent des objectifs environnementaux multiples au sein des villes : gestion des eaux pluviales par infiltration, adaptation au changement climatique, retour de la biodiversité dans les sols, végétalisation de surface.
Il y a 3 ans et 308 jours

Lyon lance une expérimentation grandeur réelle d'un an pour lutter contre les îlots de chaleur urbains

Expérimentation de peinture anti-chaleurL'objectif de cette expérimentation d'une durée d'un an est de mesurer les effets de l'application de cette peinture sur la température de la voirie. Avec la hausse des températures, les îlots de chaleur urbains sont de plus en plus mal ressentis par les habitants de l'agglomération.Depuis un an, la collectivité et sa nouvelle majorité ont mis en œuvre plusieurs actions pour lutter contre un phénomène qui ne fait que s'amplifier depuis plusieurs années.a La végétalisation des espaces publics ainsi que la désimperméabilisation des sols pour favoriser l'infiltration des eaux pluviales, font partie de ces actions.Il n'est toutefois pas toujours possible de végétaliser à cause de présence de réseaux ou de parcs de stationnement souterrains. La Métropole de Lyon a donc décidé de lancer cette expérimentation grandeur réelle de mise en place, sur trottoir, d'une peinture anti-chaleur.Cette initiative revient à Sonia Turmel, agent du service voirie de la Métropole dans le 7e arrondissement de Lyon. Dans le cadre de son mémoire de fin d'études d'ingénieur travaux au Cnam portant sur les revêtements de voirie innovants, elle a proposé de tester les qualités d'une peinture « anti-chaleur » sur un revêtement de voirie existant, en termes d'isolation thermique, de glissance et de tenue aux sollicitations urbaines.Le produit qui va être expérimenté est appelé « Climat'road » par l'entreprise Agilis qui le commercialise. Il est présenté comme capable de réduire les températures de surface d'au moins 10°C en période de forte chaleur et de participer ainsi à la réduction des îlots de chaleur urbains (ICU).Cette peinture recouvrante permet de baisser les températures des sols, notamment le soir, au moment où les voiries et les bâtiments restituent toute la chaleur accumulée pendant la journée.À l'origine, ces peintures ont été mises au point dans l'aérospatiale pour revêtir des éléments constitutifs des fusées et éviter leur montée en température lors de la pénétration dans l'atmosphère. Ce type de produit est aujourd'hui utilisé dans le secteur du bâtiment pour isoler les toitures, les toits ou les terrasses.En France, cette peinture est actuellement en test à Paris (13e) sur une surface de 20m². L'agglomération lyonnaise offre une possibilité d'expérimentation cinq fois plus importante ainsi qu'une possibilité d'expérimentation supplémentaire avec un climat aux contrastes de températures et d'humidité plus marqués qu'en Île-de-France.Climat'ROAD est une peinture à l'eau sans solvant dont la particularité est d'intégrer des billes de céramique. Ces billes de céramique sont constituées de vide, créant ainsi une isolation de la surface traitée. C'est ce vide qui empêche le stockage des calories et permet donc de diminuer la chaleur.Climat'ROAD est appliqué par pulvérisation au pistolet en couches fines de 0,5 mm.L'application de produit pour « accrocher » au sol n'est pas nécessaire et la peinture peut donc être appliquée directement sur le trottoir ou l'espace choisi. Sa mise en oeuvre est possible sur les zones dans lesquelles la fréquentation est élevée, les trottoirs ou les parkings et ce, quel que soit le type de revêtement (béton, asphalte, enrobé…). Le coût de l'application de cette peinture est de moins de 20€/m².Le lieu de l’expérimentation (rue Bechevelin, Lyon 7e)Il a été choisi pour plusieurs raisons :Le trottoir qui sera recouvert est situé entre deux lieux en cours de requalification : aux abords du groupe scolaire Gibert Dru (rue Saint-Michel) et près de la Place Bullard qui sera prochainement végétalisée. Cette situation de proximité géographique permettra de mesurer l'efficacité du produit comparativement aux aménagements plus lourds et à la végétalisation.Ce trottoir est très passant et il est exposé au sud-est en centre urbain dense et centre historique. Il est situé à proximité d'une terrasse, d'une école et au pied d'une résidence étudiante. Il est donc très sollicité et subit de nombreuses salissures. La résistance de cette peinture et son nettoiement seront testés en conditions réelles pendant cette année d'expérimentation. Pour éviter l'éblouissement, il sera appliqué dans une couleur ocre, proche du béton désactivé.Parallèlement à cette expérimentation grandeur nature, une planche test sera installée en extérieur au sein du laboratoire voirie de la Métropole. D'une surface de 0,25 m², elle permettra l'installation de capteurs fixes en surface, dans l'épaisseur de la peinture et sous la peinture, c'est-à-dire entre l'asphalte et la peinture. Ces capteurs seront reliés à un central qui permettra de suivre l'évolution du produit 24h/24h.Au-delà des données recueillies sur la planche test, un suivi régulier de l'expérimentation sera mis en œuvre pour vérifier l'impact de ce revêtement sur la température de surface du trottoir et sur son rayonnement. Ce suivi durera un an – le temps de l'expérimentation – et permettra de mesurer les résultats sur les quatre saisons en particulier :l'évolution de la glissance de la surfaceles températures de surface lors des journées chaudes et caniculaires, et des journées froides lors des épisodes de gell'évolution de l'indice albédo (indice de réfléchissement des rayons du soleil) au cours du tempsle constat visuel de la résistance aux usages de l'espace urbain (nettoyage, chewing-gum, cigarettes, liquides sucrés, alcools…) et au nettoyage par balayeuses mécaniquesle ressenti des riverains à l'aide de sondages façon « micro-trottoir »Les actions de la Métropole pour réduire les îlots de chaleur urbainsLes îlots de chaleur contribuent à l'exposition des populations urbaines à des chaleurs plus élevées. Ils ont été montrés responsables d'une surmortalité en période de canicule. Les personnes les plus affectées par les ilots de chaleur sont les personnes vulnérables, notamment les personnes de plus de 75 ans, les personnes souffrant de pathologies chroniques ou aigües et les enfants de moins de 5 ans.Les épisodes caniculaires vont devenir plus fréquents et plus intenses du fait du réchauffement climatique. La Métropole entend conduire une politique ambitieuse à deux niveaux :1. La réduction à court terme du phénomène des ilots de chaleur avec :La végétalisation des espaces urbainsUne place plus importante donnée à l'eauL'utilisation de matériaux urbains qui emmagasinent moins la chaleur2. À long terme, la réduction de l'émission de gaz à effet de serre responsable du réchauffement climatique avec :La limitation de la place de la voiture dans l'espace urbain avec l'extension de de la Zone à faible émission (ZFE) aux véhicules particuliersL'isolation des bâtiments avec un accompagnement renforcé pour aider les particuliers dans leur rénovation énergétique (ECORENO'V)La mise en place d'une stratégie d'achat responsable prenant en considération les émissions de gaz à effet de serreLa végétalisation des menus dans les cantines de nos collègesLes actions en coursAu cours de cette mandature, la Métropole conduit des actions de végétalisation des centres urbains et de conservation des arbres d'alignement. L'idée est de développer les espaces végétalisés dans tous les collèges de la Métropole et dans les espaces urbains de façon plus générale.Cette végétalisation du territoire a commencé avec la création de forêts urbaines, la plantation d'arbres d'essences différentes adaptables au réchauffement climatique et des études lancées pour permettre la désimperméabilisation des sols.Déjà deux forêts urbaines ont été créées sur le territoire de la Métropole :à Saint-Priest sur deux hectares entre le parc technologique de la porte des Alpes et l'aéroport de Bron. 2 000 arbres, 600 arbustes et une prairie fleurie y ont été plantés.L'arboretum de Sathonay-Camp situé à l'extrémité de la ZAC Castellane comprend 107 arbres plantés dans un bassin d'infiltration enherbé.Dans le même temps, 46 arbres ont été plantés dans la darse de Confluence, 19 arbres d'alignement d'essences différentes quai Sarrail à Lyon (6e) et la collectivité a voté une enveloppe de 1,5 millions € pour la végétalisation de 2 collèges métropolitains.Le plan Canopée est renforcé avec des plantations qui ne se concentreront plus uniquement sur les arbres d'alignement mais intègreront les différentes strates végétales : arbres, arbustes de grande et moyenne taille et plantations herbacées à l'image de ce qui vient d'être fait quai Sarrail. Ceci permettra d'accroître l'apport de fraîcheur, de créer des refuges de biodiversité et d'améliorer la qualité paysagère des rues et des espaces publics.Afin de créer des îlots de fraicheur, la collectivité recoure aux techniques alternatives pour la gestion des eaux pluviales avec la création de noues et de bassin d'infiltration. Ces actions seront amplifiées durant le mandat avec l'ambition de désimperméabiliser 400 ha, quatre fois plus qu'au cours du mandat précédent pour favoriser l'infiltration des eaux pluviales et par conséquent le maintien de l'humidité dans les sols.Le projet « Life artisan » en est un exemple. Les travaux de création de 20 fosses d'infiltration autour d'arbres en milieu urbain dense débutent dès cet automne.De façon complémentaire, la Métropole porte une attention particulière au choix des matériaux et des revêtements dans l'espace urbain afin d'éviter le recours à des matériaux qui accumulent la chaleur au cours de la journée à l'exemple de l'expérimentation qui débute rue Bechevelin.
Il y a 3 ans et 340 jours

Un nouveau président pour la Filière Béton

François Petry est le nouveau président de la Filière Béton. [©La Filière Béton] François Petry a été élu à la présidence de la Filière Béton le 16 juin dernier. Il succède ainsi à Philippe Gruat. Ce dernier est devenu président de l’Association française des industries des produits de construction (AIMCC). Directeur général de LafargeHolcim et président du Syndicat national de l’industrie cimentière (Sfic), François Petry était déjà le vice-président de la Filière. Il possède ainsi une maîtrise totale des enjeux du secteur, en pleine mutation. « Conscient de l’ampleur des défis à venir, le nouveau président entend poursuivre les objectifs engagés de la Filière Béton »,indique l’association. Ceci, pour atteindre en 2050 l’objectif de neutralité carbone du secteur de la construction. Les objectifs du nouveau président de la Filière Béton François Petry souhaite accompagner la profession. Cette dernière planche sur les innovations qui devront s’inscrire dans la logique de la RE 2020. Et le nouveau président d’indiquer : « La Filière Béton est aujourd’hui très avancée dans son processus de décarbonation. Et travaille avec l’ensemble de la chaîne de valeur de la construction. Ceci, pour baisser encore plus l’empreinte carbone des ouvrages. Suite à des investissements très conséquents et à l’aboutissement des nombreux travaux de recherche sur les bétons bas carbone, des nouveaux matériaux apparaissent. Et contribuent à construire l’habitat de demain ». Le parcours du nouveau président de la Filière Béton Diplômé des Arts et Métiers Paris Tech et d’HEC, François Petry débute sa carrière au sein de l’entreprise Jean Lefebvre en 1991. Il rejoint ensuite Séché Environnement en 2000, comme directeur de filiales. Puis, il devient directeur général de l’activité Granulats chez Holcim France. Et par la suite, directeur de la filiale roumaine du groupe. En 2015, il est nommé directeur général d’Aggregates Industries UK, filiale de LafargeHolcim au Royaume-Uni, pour l’ensemble des activités ciments, granulats, bétons et asphalte. Depuis 2018, il occupe le poste de directeur général de LafargeHolcim France.
Il y a 3 ans et 340 jours

François Petry élu Président de la Filière Béton

Grâce à sa longue expérience dans le secteur et ses rôles actuels de président du SFIC (Syndicat National de l’Industrie Cimentière) et Directeur général de LafargeHolcim, François Petry possède une maitrise totale des enjeux de cette filière, en pleine mutation.Diplômé des Arts et Métiers Paris Tech et d’HEC, François Petry débute sa carrière au sein de l’entreprise Jean Lefebvre en 1991. Il rejoint ensuite Séché Environnement en 2000, au poste de directeur de filiales. 8 ans plus tard, il est nommé Directeur général de l’activité Granulats chez Holcim France. En 2013, toujours pour Holcim, il prend la direction de la filiale roumaine du Groupe. En 2015, il est nommé Directeur général d’Aggregates Industries UK, filiale du Groupe LafargeHolcim au Royaume-Unis, pour l’ensemble des activités ciments, granulats, bétons et asphalte. Il devient Directeur général de LafargeHolcim France en 2018, puis est élu à la Présidence du SFIC en 2020. Conscient de l’ampleur des défis à venir, le nouveau président entend poursuivre les engagements de la Filière Béton, en ordre de bataille pour atteindre en 2050 l’objectif très ambitieux de neutralité carbone du secteur de la construction. François Petry souhaite soutenir et accompagner l’ensemble de la profession qui travaille sur les innovations de demain qui s’inscrivent dans la logique de la RE2020.Il ajoute« La Filière Béton est aujourd’hui très avancée dans son processus de décarbonation et travaille avec l’ensemble de la chaine de valeur de la construction, pour baisser encore plus l’empreinte carbone des ouvrages. Suite à des investissements très conséquents et à l’aboutissement des nombreux travaux de recherche sur les bétons bas carbone, des nouveaux matériaux apparaissent et contribuent à construire l’habitat de demain. »
Il y a 4 ans et 74 jours

Comment entretenir une toiture-terrasse?

L’entretien de la toiture est une tâche que de nombreux propriétaires de maison omettent. En effet, il ne suffit pas de passer un coup d’aspirateur ou de balai pour la nettoyer. En raison de l’importance de son rôle, cet élément de la maison mérite une plus ample attention. En effet, le nettoyage du toit est une opération incontournable, et ce, qu’importe sa forme (pentu ou plat). Dans cet article, nous allons nous pencher sur l’entretien d’une toiture plate que l’on appelle également « toiture-terrasse ». Pourquoi entretenir sa toiture-terrasse ? Il faut rappeler que la toiture remplit une fonction protectrice. En effet, c’est la partie de la maison qui garantit son bon état et les autres éléments qui la composent (charpente, façade, fondation, etc.). En outre, la toiture peut être transformée en un espace de vie. C’est le cas de la toiture — terrasse. En général, on peut accéder à ce type de toit. Il est donc plus facile de l’entretenir. Encore faut-il utiliser le bon matériel pour obtenir un résultat impeccable. Au même titre que les autres sortes de toiture, la toiture-terrasse finit par être envahie par les mousses, les lichens et les algues à mesure que le temps passe. D’ailleurs, ces végétaux parasites ont tendance à se développer sur ce type de toit, et cela s’explique. À la différence de la toiture en pente, la forme plate de celle-ci favorise la stagnation des eaux de pluie du fait que leur évacuation s’opère difficilement. C’est une conséquence de la faible inclinaison de sa pente. Un toit humide est cependant un environnement favorable au développement et à la prolifération des champignons. Ces derniers n’affectent pas seulement le revêtement. Ils peuvent occasionner de sérieux problèmes d’infiltration d’eau. Il est donc primordial de les éradiquer pour que l’intégrité et la longévité de la toiture soient préservées. Pour cette tâche, vous pouvez vous adresser à une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-60.fr/. Comment procède-t-on à l’entretien d’une toiture-terrasse ? Comme vous l’aurez compris, il faut nettoyer la toiture-terrasse à un intervalle régulier. Pour assurer sa propreté, il faudra : Nettoyer la toiture plate Les travaux de nettoyage se matérialisent par le retrait des impuretés présentes à sa surface. C’est le cas des débris de végétaux, des poussières et des champignons. Pour la mise en œuvre de cette opération, on peut se servir d’une brosse dure ou d’un nettoyeur à haute pression. Appliquer un traitement hydrofuge Après l’avoir nettoyé, il est vivement conseillé de pulvériser un produit hydrofuge sur la surface du toit. Cette opération est avantageuse sur différents plans. Elle empêche la formation et la propagation des pollutions vertes (mousses, lichens, algues). L’hydrofuge rend également le support plus étanche et moins sensible à l’encrassement. Toutefois, nous vous recommandons de solliciter les conseils d’un couvreur professionnel afin de savoir quel type d’hydrofuge convient le mieux aux caractéristiques de votre toit. Régénérer la membrane d’étanchéité Quand la membrane d’étanchéité n’a pas été entretenue depuis longtemps, des boursouflures finissent par apparaitre et l’altérer. Dans ce cas, il faut envisager sa rénovation complète ou partielle. Cette opération implique la mise en place d’un revêtement spécial sur les zones concernées. Il peut s’agir d’une feuille bitumée ou de l’asphalte. Ici encore, nous vous incitons à requérir les conseils d’un expert en travaux de toiture. Ce professionnel peut vous diriger dans votre choix du revêtement. Il peut même s’occuper de son installation. Nettoyer les gouttières Pour empêcher les stagnations d’eau, il est crucial de débarrasser les gouttières des saletés qui se longent dans leurs parois. L’idéal est de ramasser à la main les déchets qui sont vulnérables de les obstruer. Quant aux parties difficilement accessibles, un nettoyeur à haute pression sera utilisé pour leur nettoyage.
Il y a 4 ans et 154 jours

Guide pour reussir la rénovation de la toiture

Il est vrai qu&rsquo;une nouvelle toiture n&rsquo;est pas si glamour qu&rsquo;un salon, une cuisine ou une salle de bain modernisée. Cependant, en s&rsquo;acharnant sur une vieille toiture, celle-ci pourra ne plus être étanche. Viennent alors les problèmes d&rsquo;infiltration d&rsquo;eau qui détruisent l&rsquo;intérieur de la maison, dont les belles pièces rénovées. N&rsquo;est-ce pas contrariant d&rsquo;avoir un intérieur abîmé ? Ne tardez plus alors à rénover votre toiture. Pour vous aider, suivez ce guide. Faire appel à un couvreur pour rénover la toiture Pour un travail bien effectué, il est conseillé d&rsquo;avoir recours aux services aux spécialistes en travaux de toiture à l’exemple de cet artisan que vous pouvez contacter sur  https://www.entreprise-toiture.fr/ . Parmi les couvreurs, certains ont des savoir-faire plus développés sur certains matériaux et types de structures. D&rsquo;autres sont plutôt spécialisés dans les structures d’isolation et de ventilation, les soffites, les gouttières. Compte tenu de cela, selon votre projet de rénovation de toiture, vous devez probablement travailler avec plusieurs couvreurs. Pour savoir avec qui vous allez collaborer, 3 critères sont à considérer. Premièrement, assurez-vous que l&rsquo;entrepreneur détient licences et permis RBQ. Deuxièmement, vérifiez qu&rsquo;il bénéficie d&rsquo;assurances valides. Et troisièmement, soyez sûr qu&rsquo;il dispose assez d&rsquo;expériences avec certains matériaux. Bien choisir les types de matériaux pour revêtir la toiture Il existe plusieurs types de matériaux pour revêtir la toiture. Toutefois, le métal, l&rsquo;ardoise ainsi que les bardeaux d&rsquo;asphalte sont les plus souvent utilisés. Pour bien choisir, il convient de déterminer d&rsquo;abord le rendu que vous souhaitez. Si vous voulez assurer la longévité du revêtement, vous pouvez opter pour la toiture en métal. Très résistante et très étanche, cette dernière est aussi un excellent choix pour une maison située dans une région au climat continental humide. Si vous souhaitez offrir de la noblesse et de l&rsquo;élégance à votre maison, il n&rsquo;y a rien de tel que la couverture en ardoise. Néanmoins, ce n&rsquo;est pas son seul atout esthétique. Comme le métal, l&rsquo;ardoise est aussi très résistante. En effet, il s&rsquo;agit également d&rsquo;une solution longue durée pour la toiture. Si vous avez un budget illimité, n&rsquo;hésitez pas à choisir l&rsquo;ardoise naturelle. Si non, il existe un revêtement en ardoise synthétique qui est disponible en différents couleurs et formats. Si vous cherchez une couverture de toit au meilleur rapport qualité-prix, les bardeaux d&rsquo;asphalte sont sans doute le matériau qu&rsquo;il vous faut. En effet, celui-ci est moins cher en comparaison avec les autres matériaux, pourtant avec une excellente performance. Notamment, il est polyvalent et disponible en différentes couleurs et styles. Il est léger, pourtant très résistant avec une espérance de vie de plusieurs décennies. Et dernière chose et non la moindre, il permet de réaliser des économies d&rsquo;énergies. Rénover les autres composantes de la toiture Rénover sa toiture ne signifie pas remplacer uniquement la couverture du toit. Cette tâche revient également à rénover les autres éléments du toit. Ils sont notamment : — la gouttière qui est essentielle pour mieux gérer l&rsquo;eau de pluie. — le soffite qui assure une bonne circulation de l&rsquo;air dans la maison. — le fascia qui bloque l&rsquo;humidité entre et la maison, le soffite et la gouttière. — la ventilation qui permet de maintenir la charpente. — l&rsquo;isolation thermique qui évite les variations de température. — le solin qui garantit l&rsquo;étanchéité du toit. — le larmier qui prévient les risques d&rsquo;infiltration d&rsquo;eau de pluie.
Il y a 4 ans et 196 jours

Les bonnes méthodes pour choisir le revêtement idéal pour sa toiture

Le revêtement de toiture est indispensable pour pouvoir protéger, isoler et orner un logement. Actuellement, il existe un grand nombre de types de couverture sur le marché. L’on se perd facilement dans le choix de revêtement. D’autant plus que chaque matériau dispose de ses avantages et inconvénients. Jusqu’à présent, il y a la toiture en bardeaux d’asphalte, le toit vert, le toit en tôle et en métal, le toit en membrane de gravier et d’asphalte… Par ailleurs, quelques facteurs doivent être mis en évidence pour pouvoir choisir le revêtement idéal pour son habitation. Les quelques points suivants pourront peut-être vous donner une idée avant de choisir celui qui s’adaptera à votre logement. Première étape : déterminer ses besoins Déterminer ses besoins s’avère être la première étape pour pouvoir suivre la bonne voie dans la quête de la meilleure couverture. Il est nécessaire de se demander si le projet consiste à changer le revêtement ou réaliser des réparations précises. Il est aussi indispensable de définir le budget à respecter pour la réalisation des travaux. S’informer sur les normes en vigueur de la municipalité est aussi obligatoire, car il est possible que la loi oblige aux propriétaires de maison d’utiliser des matériaux spécifiques comme revêtement de la toiture. Dans tous les cas, il est conseillé de faire appel à une entreprise de couverture comme https://www.toiture-charpente.be/ pour guider dans ce type de projet. D’autant plus que l’installation d’un revêtement est une opération à la fois délicate et dangereuse. Elle demande, notamment, un savoir-faire et une bonne expérience dans le domaine. Il dispose des connaissances en la matière. Il saura connaître le revêtement adapté à l’habitation et il pourra en même temps réaliser les travaux d’installation selon les règles de l’art. Deuxième étape : connaître les modèles de toit existant Généralement, il existe deux modèles de toit, entre autres, il s’agit des revêtements de toitures-terrasses ou toit plat et les revêtements de toitures en pente. Actuellement, les toits en pente sont les plus prisés. Ils ont l’avantage d’être faciles à entretenir. Cependant, il faudra les vérifier durant l’automne et le printemps. Ils doivent également être vérifiés durant les périodes de gel ou de dégel. En cas de tempête, la toiture en pente peut subir des dommages sachant qu’elle est plus sensible. Mais il reste toujours une solution à ce problème, notamment la mise en place d’une membrane autocollante ou d’un papier de catégorie 50 livres. Souvent, le toit plat est aujourd’hui prisé pour les triplex. Il existe encore deux types de couverture pour ce type de toit, notamment la couverture d’asphalte et de gravier ou la membrane élastomère. De par sa mise en place, il demande plus d’entretien. Toutefois, il peut durer jusqu’à environ 20 ans. C’est pour cette raison qu’il faudra l’inspecter très régulièrement afin d’assurer sa pérennité. Troisième étape : tenir compte des accessoires et de la quincaillerie Avant de choisir le revêtement idéal pour sa toiture, il est aussi important de penser aux accessoires et à la quincaillerie qui peuvent inclure les fenêtres de toit, les gouttières, les éléments de fixation, de sécurité et de ventilation, l’entourage de cheminée… Il est conseillé de considérer ces points pour assurer la finition optimale de la toiture et aussi pour offrir une meilleure étanchéité de celle-ci.
Il y a 5 ans et 4 jours

Architectes et urbanistes cherchent à concevoir la ville de rêve post-confinement

Architectes, urbanistes, maires, mouvements citoyens se mobilisaient depuis une dizaine d'années, sans être beaucoup écoutés, pour une ville où vivrait un "homo qualitus" respectueux de l'environnement dans des espaces dilatés.Ils se sentent désormais mieux épaulés par nombre de Français, qui ont pris goût au télétravail dans un environnement silencieux et vert.Le premier chantier qui semble le plus prometteur à engager est celui des périphéries urbaines.Dans les années 60 et 80, "on a massacré les entrées des villes avec des zones commerciales et artisanales aujourd'hui obsolètes. Des centaines de milliers d'hectares avaient été artificialisés, étanchéifiés, asphaltées", explique à l'AFP Denis Dessus, président du Conseil national de l'Ordre des architectes.Parking de supermarché reconverti en parc"Transformer un parking de grande surface rapidement en un parc avec des milliers d'arbres, et densifier autour est assez facile", observe Philippe Goncalves, président de l'Ordre des architectes d'Occitanie, et militant passionné d'écologie."Il faut entre 18 mois et 3 ans pour que des vers de terre reviennent", observe sa femme Leslie, également architecte."Ramener de la ville là-dedans, repaysager, y remettre du logement", c'est possible, confirme Denis Dessus qui remarque qu'"aux Etats-Unis ou en Chine, les centres commerciaux traditionnels sont à l'abandon".Cependant, pour dessiner la ville de demain, avertit-t-il, "il ne suffit pas de tartiner en vert". Il déplore le peu de moyens mis dans la planification urbaine, alors qu'"il faudrait des équipes pluridisciplinaires, d'architectes, paysagistes, écologistes".Un puissant levier économiqueAujourd'hui, les logements doivent être polyvalents et traversants, avec internet à haut débit, où on puisse vivre en famille, travailler et faire du sport.Le couple d'architectes écolos vante les "matériaux bio sourcés" ou "géo-sourcés" pour construire des bâtiments "écolomiques", "durables, "recyclables", voire "biodégradables". Recyclage, ventilation, mise aux normes.. La construction neuve ou la rénovation du bâti ancien, "qui n'est ni inscrit ni classé mais qui a un intérêt" constituent un "vrai levier économique, qui fera travailler le plâtrier et le peintre" dans le contexte de crise, note Denis Dessus. 5 à 6 millions de personnes sont mal logées en France, selon lui.Partout, le "même mouvement de fond" est perceptible, qu'il s'appelle "slow down", "slow cities", circuits courts, analyse la géographe Lise Bourdeau-Lepage, de l'Université Lyon 3. Poumons verts, réduction des émissions polluantes et des voitures, ilôts de fraîcheur... De Lyon à Paris, Lille, Strasbourg, Nantes, Rennes, ces dossiers sont des enjeux municipaux: pistes cyclables, aménagement des berges."Les gens se réapproprient leur espace public", observe la géographe: ainsi "on va enlever le bitume pour permettre aux gens de cultiver des petits carrés végétalisés sur le trottoir à Lyon".De même "on peut cultiver son petit pied d'arbre" par exemple dans le XIIIe arrondissement de Paris. "Cela peut être vu comme une privatisation de l'espace public par les populations plus aisées", mais c'est un phénomène positif.Ce qui se passe, c'est aussi, dit-elle, "une revanche du voisinage" et "du piéton qui avait été violemment éjecté par l'automobiliste": désormais "le quartier est pensé de manière qu'à une distance d'un quart d'heure de marche un ensemble de services et de biens soient disponibles"."Au niveau d'un quartier, illustre Leslie Goncalves, imaginons qu'on ait un petit jardin. La ville le récupère, le met en gouvernance partagée avec des habitants. Les légumes et fruits sont redonnés en partie à une association. On va être plus autonome alimentairement". Et on pourra produire du biogaz à partir des bio-déchets...Seconde vie pour les bourgs ?M. Dessus espère que les petites villes et bourgs, aux centres souvent très dégradés, vont retrouver une deuxième vie avec l'arrivée de citadins et d'entreprises.Pour cela, il faut régler la fracture numérique, cette "diagonale du vide" qui fait que des gens ne peuvent pas avoir le téléphone, et veiller au maintien des dessertes de trains.Pour Leslie Goncalves, l'alternative "ce n'est pas soit tout ville soit tout campagne". "Il faut un rééquilibrage" grâce notamment aux implantations des bureaux des entreprises.Ces "smart cities" du futur seront-elles forcément démocratiques: avec les moyens d'informations, recours aux drones, connaissance spatiale, "elles pourraient être aussi très sécuritaires", s'inquiète Lise Bourdeau-Lepage.
Il y a 5 ans et 13 jours

La membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM célèbre ses 40 ans

Ces atouts, conjugués à l'expertise de plus d'un siècle dans la technologie du caoutchouc du Groupe Bridgestone/Firestone, ont permis à Firestone Building Products de fournir plus de 1,5 milliard de m² de membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM aux quatre coins de la planète. En France, l'industriel s'appuie sur ses distributeurs agréés, pour commercialiser RubberGard™ EPDM. Il offre également des services de proximité, aux maîtres d'œuvre et d'ouvrage ainsi qu'aux étancheurs, du lancement du projet à sa livraison : formation, calculs techniques, assistance sur site lors de l'installation et inspection une fois les travaux achevés.« Lorsque l'expert en pneus, Firestone, a décidé d'entrer dans l'industrie de la toiture plate en 1980, le marché, dominé à l'époque par les produits en asphalte, avait commencé à évoluer. Les membranes monocouches synthétiques ont émergé avec le désir de construire des bâtiments à haute performance et à des coûts d'installation plus compétitifs. Aujourd'hui, on considère que le rôle de la toiture d'un bâtiment va bien au-delà de la protection du contenu et de ses occupants. Elle doit être facile à installer, respectueuse de l'environnement et efficace du point de vue énergétique. Autant de critères auxquels répond la membrane RubberGard™ EPDM. Les 30 millions de m² installés chaque année dans le monde en témoignent. », explique Steven Forger, Directeur Firestone Building Products France et Europe du Sud.Zoom sur l'un des premiers chantiers françaisFirestone Building Products a installé l'une de ses premières membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM en France en 1998, sur une charpente en lamellé collé. Situé à Montauban, ce bâtiment industriel a été racheté en 2011 par Doumerc Pneus International. « Les 11 000 m² de membranes ont été mis en œuvre il y a 22 ans et à ce jour il n'y a aucun changement d'aspect en partie courante. L'étanchéité est quasi comme neuve malgré une tempête de grêle violente survenue en 2015. Alors que nous avons dû remplacer les 99 lanterneaux endommagés durant cet orage, les membranes, elles, sont restées intactes. Pas de poinçonnement ni de fuite ! Malgré les fortes chaleurs que nous connaissons dans le Sud-Ouest, notamment ces dernières années, les membranes restent souples sans s'abîmer ou se fissurer. Aujourd'hui, un étancheur agréé Firestone Building Products doit simplement reprendre quelques patches au niveau des angles des lanterneaux. De petits travaux de maintenance normaux après plus de deux décennies de mise en service. », explique son dirigeant Patrick Doumerc.Les atouts de RubberGard™ EPDMLa membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM a réussi le test EMMA (Equatorial Mounted Mirrors Ageing) qui l'a soumise à une exposition de 2 000 000 Langleys, soit en moyenne 20 ans sous les rayons du soleil équatorial. Les essais réalisés par le Süddeutsche Kunststoff Zentrum (SKZ), institut de recherche allemand, démontrent également que les membranes en EPDM conservent une élasticité jusqu'à 150% même après 50 ans d'utilisation grâce à leur composition exempte de plastifiant. Cette souplesse permet de faire face aux fluctuations importantes de température et aux éventuels mouvements des bâtiments. RubberGard™ EPDM fait preuve d'une haute résistance à l'ozone, aux UV, aux micro-organismes et aux conditions météorologiques extrêmes telles que la grêle. Chimiquement inerte, elle ne libère aucune substance toxique, ce qui en fait la solution idéale pour la récupération des eaux pluviales.Universelle, cette solution se pose à froid sans aucune flamme sur tous les types de bâtiments (commerciaux, industriels, tertiaires et résidentiels collectifs), et ce, quel que soit le climat, des températures inférieures à zéro de la Russie au soleil du désert d'Arabie Saoudite. Elle est compatible avec l'installation de toitures végétalisées extensives et photovoltaïques. Légère (1,35 kg/m²), elle peut être mise en œuvre sur une étanchéité existante. Ses grandes nappes (de 30,5 m de long, et entre 3,05m et 9,15m de largeur) permettent de réduire le nombre de joints, assurant une installation rapide, aisée et fiable par une entreprise agréée Firestone Building Products. Les modifications futures du toit, telles que l'ajout de puits de lumière ou l'intégration d'extensions du bâtiment, peuvent être effectuées facilement tout en conservant les performances globales du système de toiture.
Il y a 5 ans et 111 jours

François Petry, nouveau président du Sfic

Le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) a élu François Petry à sa présidence. Il succède à Raoul de Parisot. [©Sfic] Le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) a élu François Petry à sa présidence. Il succède à Raoul de Parisot. «&nbsp;L&rsquo;industrie cimentière s&rsquo;inscrit dans les objectifs de réduction de l&#8217;empreinte carbone de la France. A l&rsquo;heure du Green Deal européen et du Pacte productif, notre industrie actionnera tous les leviers à sa disposition. En particulier, l&rsquo;économie circulaire et l&rsquo;innovation. C&rsquo;est dans un esprit de co-construction avec les pouvoirs publics. Mais aussi avec l&rsquo;ensemble de la chaîne de valeur de la construction et des territoires que nous pourrons collectivement relever le double défi&nbsp;: celui de la transition écologique et celui du dynamisme industriel local&nbsp;», précise François Petry, définissant les orientations qu’il entend donner au Sfic durant sa présidence. Parcours de François Petry Diplômé des Arts et Métiers Paris Tech et d’HEC, François Petry a débuté sa carrière dans l’entreprise Jean Lefebvre. En 2000, il intègre Séché Environnement au poste de directeur de filiales. Puis, il rejoint Holcim France où il est nommé directeur général de l’activité granulats. En 2013, toujours pour Holcim, il prend la direction de la filiale roumaine du groupe. Il part ensuite au Royaume-Uni, en 2015, comme directeur général d’Aggregates Industries UK, devenue filiale du groupe LafargeHolcim, pour l’ensemble des activités ciments, granulats, bétons et asphalte. En novembre 2018, François Petry est nommé directeur général de LafargeHolcim France.
Il y a 5 ans et 356 jours

Milwaukee étoffe sa gamme de marteaux démolisseurs filaires

Le nouveau marteau démolisseur Milwaukee K 1528 H développe une force de frappe de 39 J et une cadence de 1560 cps/mn. [©Milwaukee] Milwaukee étoffe sa gamme de marteaux démolisseurs filaires, avec trois nouveaux outils puissants et performants&nbsp;: K 1528 H, K 1530 H et K 1000 S. Ils sont destinés aux travaux de démolition dans le béton, la pierre, la brique ou l’asphalte. Les Milwaukee K 1528 H et K 1530 H sont deux nouveaux marteaux démolisseurs ultra performants dans la catégorie 15 kg. Ils développent une force de frappe de 39 J et une cadence de 1560 cps/mn, assurant ainsi une progression rapide dans les travaux de démolition de dalles de béton et de fondations. Leur design longiligne est idéal pour les travaux de démolition au sol et les burinages intenses. Le Milwaukee K 1000 S est un nouveau démolisseur SDS Max dans la catégorie 10 kg. Il est très proche des deux précédents modèles d’un point de vue ergonomique. Et est équipé d’un emmanchement SDS Max et d’une mécanique puissante, délivrant une force de frappe de 26 J et une cadence de 1 950 cps/mn pour une vitesse d’exécution du travail très rapide. Sa compacité est idéale pour les travaux de démolition verticale et les burinages intenses. Il est pourvu d’un variateur de vitesse électronique pour ajuster la cadence de frappe en fonction de la tâche à accomplir. Sa fonction Variolock rend possible l’orientation du burin sur 12 positions différentes pour trouver l’angle d’attaque optimal sur le matériau. L’article Milwaukee étoffe sa gamme de marteaux démolisseurs filaires est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 51 jours

Résine d’étanchéité pour toitures et terrasses

Kemica Coatings propose SOUPLETHANE 5 ATE, une résine très spécialisée qui assure une parfaite étanchéité des toitures-terrasses, toitures et chéneaux en fibres-ciment ou celle des dômes et chéneaux en béton. Elle s’applique en un film continu et sans joint, ce qui garantit une parfaite résistance à la fissuration (3 mm LCPC), aux écarts de température et aux agressions chimiques de l’atmosphère. Elle peut rendre la surface antidérapante par projection de silice fine sur le film liquide. Sa durée de vie est de 25 ans. Elle s’utilise sur tous supports (béton, bois, isolant, métal, asphalte, membrane bitumineuse, PVC) en neuf et en rénovation et s&rsquo;applique aussi sur des étanchéités existantes. Elle est garantie sans solvant et sans odeur, classée A++ en émission COV et conforme aux exigences HQE, LEED et BREAM. Elle bénéficie aussi d&rsquo;un DTA et d&rsquo;un ETE du CSTB.
Il y a 6 ans et 99 jours

Colas cède Smac, spécialiste de l'étanchéité

Colas, filiale de Bouygues spécialisée dans les travaux routiers et ferroviaires, a annoncé ce jeudi 14 février avoir cédé la Société civile des Mines de bitume et d'Asphalte du Centre (Smac), spécialiste des travaux d'étanchéité, à une filiale d'OpenGate Capital, un fonds d'investissement basé en Californie. Cette transaction s'inscrit dans la stratégie de Colas, qui souhaite se recentrer sur les infrastructures de transport et les matériaux.
Il y a 6 ans et 130 jours

HENSE : Ragusa Sun

Qu'elles soient sur des terrains de sport ou dans des cours urbaines, les fresques au sol sont deplus en plus fréquentes. Preuve en soi, les élèves d'un lycée en Sicile prennent désormais leurs pauses dans un espace extérieur coloré signé HENSE, un street-artiste américain. Les teintes ocres de la ville de Ragusa subissent un choc éclatant ! Alex Brass de son vrai nom est artiste originaire d'Atlanta (Etats Unis) qui a en effet agrémenté la cour d'un établissement scolaire d'une fresque abstraite de 14 x 45 mètres réalisée à la peinture acrylique sur asphalte. Réalisée dans le cadre du Festiwall, évènement annuel qui transforme la commune sicilienne en centre d'art urbain, cette "uvre s'insère à l'extérieur d'un ensemble de bâtiments en L aux couleurs ternes. L'oeuvre, baptisée Ragusa Sun, est conçue pour être une composition vue de haut. Le choix des couleurs vives contraste avec la pierre de l'école, dynamisant ainsi le lieu. A la manière d'un Miró contemporain, la composition alterne les formes géométriques dans un ensemble harmonieux. " Nous avons utilisé des couleurs qui contrastaient avec l'architecture existante et nous étions très conscients de l'espace et de l'échelle dans lesquels nous travaillions. " Alex Brass, artiste Hense est un habitué des installations de ce genre puisqu'il a également réalisé un passage à Perth (Australie), la façade d'un bâtiment à Atlanta ou encore une "uvre à Lima (Pérou). Si la fresque a été conçue lors d'un festival à durée limitée, elle sera cependant pérenne, égaillant ainsi les récréations des élèves qui l'investiront avec plaisir. Comme quoi, un peu de couleurs de fait jamais de mal ! Pour en savoir plus, visitez le site de HENSE Photographies : Piero Sabatino
Il y a 6 ans et 200 jours

Dynapac dévoile le nouveau mini-finisseur F80W

D'une envergure de 80 cm de large, le F80W est le tout dernier mini-finisseur de Dynapac, conçu pour les environnements étroits et les travaux paysagers aussi bien avec pavage en asphalte que sur un lit de sable.
Il y a 6 ans et 236 jours

Redonner des couleurs à l'asphalte

Pour protéger durablement l'asphalte et lui redonner son aspect d'origine noir foncé, Techniseal propose une gamme complète de produits ProSéries qui vont du Nettoyant-Dégraissant, à l'Apprêt à taches d'huile en passant par le Protecteur HP au fini époxy.
Il y a 6 ans et 246 jours

Paris verdit ses cours d'école pour lutter contre le réchauffement climatique

Une fontaine où boivent les enfants, des arbres en pleine terre, un revêtement drainant à la place de l'asphalte noir dans la cour: l'école maternelle Daumesnil fait partie des trois établissements pilotes à Paris rénovés pour s'adapter au réchauffement climatique et aux canicules à venir.
Il y a 6 ans et 262 jours

Arthur Hoffner : Le cours de l'eau

À tous les amoureux de design : rendez-vous jusqu'au 30 septembre à la Villa Noailles de Hyères (83), demeure moderniste s'il en est, aujourd'hui devenue un centre d'art. Dans ce lieu situé depuis ses origines à l'avant-garde de l'art par ses commanditaires et mécènes Charles et Marie-Laure de Noailles, venez découvrir les fontaines du jeune designer Arthur Hoffner exposées à l'occasion du festival de la Design Parade 2018. Un hommage aux passionnés d'art qu'étaient les Noailles. Et dire que la Villa Noailles, édifiée entre 1924 et 1934 par l'architecte Robert Mallet-Stevens, n'était plus qu'une ruine lorsque, à la fin des années 1980, cette belle endormie de 1 800 mètres carrés retrouve enfin sa splendeur passée grâce à de longs travaux de restauration, avant d'être classée au Monument historique puis de devenir un centre d'art et une résidence d'artistes.Entre ces murs blancs avec une vue à couper le souffle sur la Méditerranée, des personnalités telles que Jean Cocteau, André Gide, Pablo Picasso, Salvador Dalí, Luis Buñuel se sont ainsi succédées. L'on imagine alors aisément l'animation qui régnait en ces lieux. Un joyeux bordel et une effervescence créatrice qui semblent encore vibrer dans ces vastes pièces fonctionnalistes et à l'orée de ses jardins cubistes. Un terrain de jeu rêvé pour ces hôtes de choix et les propriétaires de la demeure, le Vicomte de Noailles et sa femme Marie-Laure, riche héritière du cru. Mais voilà, la séparation du couple, suivie du décès de l'iconique maîtresse des lieux en 1970, signent la fin de plusieurs décennies d'émulation intellectuelle et artistique, aux allures de happenings longue durée.Heureusement, grâce au rachat de la maison par la Municipalité et à l'investissement de passionnés, la ruine retrouve son vaste d'antan et son âme d'enfant. Dans la lignée instaurée par les Noailles : place à la jeune création, donc ! Elle accueille ainsi le Festival international des arts et de la mode à partir de 1986, puis un prix photo à partir de 1997, et enfin la Design Parade en 2006, sous la houlette et l'"il rieur de l'enfant du pays : Jean-Pierre Blanc, directeur de l'institution.Fidèle à son histoire et à sa réputation de dénicheur de talents, cet édifice-paquebot accueille depuis le 28 juin la 13e édition de la Design Parade, festival international de design dirigé par Jean-Pierre Blanc et présidé par Pascale Mussard " fondatrice de Petit h, atelier-laboratoire de la marque Hermès. Quatre jours durant lesquels le public et un jury d'experts emmené par le designer Philippe Malouin, ont pu prendre le pouls de la création de demain. Au premier niveau de cette maison d'anthologie : zoom sur les réalisations du vainqueur du Prix du public et de la Ville de Hyères 2017, Arthur Hoffner, et ses fontaines iconoclastes issues d'assemblages de matériaux que la bienséance nous empêcherait presque d'imaginer ensemble, et pourtant !En somme, un retour aux sources pour Arthur Hoffner, ici sur la terre des Noailles qui avait honoré son travail un an auparavant. Dans un espace en L, l'exposition " Le cours de l'eau " nous présente sur des estrades un univers onirique où flottent entonnoirs, tuyaux en plastique ou métal, scie et adhésif ; où matières nobles et ordinaires se mêlent sur fond rose et blanc. Une réécriture décomplexée, un brin malicieuse, voire ironique, de la figure millénaire de la fontaine, qui a inspiré de nombreuses légendes à travers les siècles. " On aimerait découvrir un mythe des passages avec une source légendaire, écrit Walter Benjamin [dans l'ouvrage Paris, capitale du XIXe siècle], une source d'asphalte qui jaillirait au c"ur de Paris. Les brasseries, où la bière coule à flots, tirent leur existence de ce mythe des fontaines ", cite alors l'artiste. Ses associations culotées sont si abouties que la Villa vient de faire l'acquisition de l'une de ses pièces " mêlant bois, marbre, PVC et corde ", qui trône dorénavant dans l'une des cours de la demeure.Finalement, une manière de faire perdurer la légende ! " Le cours de l'eau ", Arthur Hoffner, Villa Noailles, Hyères (83), jusqu'au 30 septembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de la Design Parade Hyères Photographies : Lothaire Hucki © villa Noailles, 2018
Il y a 6 ans et 262 jours

Arthur Hoffner : Le cours de l'eau

À tous les amoureux de design : rendez-vous jusqu'au 30 septembre à la Villa Noailles de Hyères (83), demeure moderniste s'il en est, aujourd'hui devenue un centre d'art. Dans ce lieu situé depuis ses origines à l'avant-garde de l'art par ses commanditaires et mécènes Charles et Marie-Laure de Noailles, venez découvrir les fontaines du jeune designer Arthur Hoffner exposées à l'occasion du festival de la Design Parade 2018. Un hommage aux passionnés d'art qu'étaient les Noailles. Et dire que la Villa Noailles, édifiée entre 1924 et 1934 par l'architecte Robert Mallet-Stevens, n'était plus qu'une ruine lorsque, à la fin des années 1980, cette belle endormie de 1 800 mètres carrés retrouve enfin sa splendeur passée grâce à de longs travaux de restauration, avant d'être classée au Monument historique puis de devenir un centre d'art et une résidence d'artistes.Entre ces murs blancs avec une vue à couper le souffle sur la Méditerranée, des personnalités telles que Jean Cocteau, André Gide, Pablo Picasso, Salvador Dalí, Luis Buñuel se sont ainsi succédées. L'on imagine alors aisément l'animation qui régnait en ces lieux. Un joyeux bordel et une effervescence créatrice qui semblent encore vibrer dans ces vastes pièces fonctionnalistes et à l'orée de ses jardins cubistes. Un terrain de jeu rêvé pour ces hôtes de choix et les propriétaires de la demeure, le Vicomte de Noailles et sa femme Marie-Laure, riche héritière du cru. Mais voilà, la séparation du couple, suivie du décès de l'iconique maîtresse des lieux en 1970, signent la fin de plusieurs décennies d'émulation intellectuelle et artistique, aux allures de happenings longue durée.Heureusement, grâce au rachat de la maison par la Municipalité et à l'investissement de passionnés, la ruine retrouve son vaste d'antan et son âme d'enfant. Dans la lignée instaurée par les Noailles : place à la jeune création, donc ! Elle accueille ainsi le Festival international des arts et de la mode à partir de 1986, puis un prix photo à partir de 1997, et enfin la Design Parade en 2006, sous la houlette et l'"il rieur de l'enfant du pays : Jean-Pierre Blanc, directeur de l'institution.Fidèle à son histoire et à sa réputation de dénicheur de talents, cet édifice-paquebot accueille depuis le 28 juin la 13e édition de la Design Parade, festival international de design dirigé par Jean-Pierre Blanc et présidé par Pascale Mussard " fondatrice de Petit h, atelier-laboratoire de la marque Hermès. Quatre jours durant lesquels le public et un jury d'experts emmené par le designer Philippe Malouin, ont pu prendre le pouls de la création de demain. Au premier niveau de cette maison d'anthologie : zoom sur les réalisations du vainqueur du Prix du public et de la Ville de Hyères 2017, Arthur Hoffner, et ses fontaines iconoclastes issues d'assemblages de matériaux que la bienséance nous empêcherait presque d'imaginer ensemble, et pourtant !En somme, un retour aux sources pour Arthur Hoffner, ici sur la terre des Noailles qui avait honoré son travail un an auparavant. Dans un espace en L, l'exposition " Le cours de l'eau " nous présente sur des estrades un univers onirique où flottent entonnoirs, tuyaux en plastique ou métal, scie et adhésif ; où matières nobles et ordinaires se mêlent sur fond rose et blanc. Une réécriture décomplexée, un brin malicieuse, voire ironique, de la figure millénaire de la fontaine, qui a inspiré de nombreuses légendes à travers les siècles. " On aimerait découvrir un mythe des passages avec une source légendaire, écrit Walter Benjamin [dans l'ouvrage Paris, capitale du XIXe siècle], une source d'asphalte qui jaillirait au c"ur de Paris. Les brasseries, où la bière coule à flots, tirent leur existence de ce mythe des fontaines ", cite alors l'artiste. Ses associations culotées sont si abouties que la Villa vient de faire l'acquisition de l'une de ses pièces " mêlant bois, marbre, PVC et corde ", qui trône dorénavant dans l'une des cours de la demeure.Finalement, une manière de faire perdurer la légende ! " Le cours de l'eau ", Arthur Hoffner, Villa Noailles, Hyères (83), jusqu'au 30 septembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de la Design Parade Hyères Photographies : Lothaire Hucki © villa Noailles, 2018
Il y a 7 ans et 172 jours

Après la route solaire, voilà la chaussée lumineuse

MOBILITE. Colas continue d'innover dans le domaine des revêtements routiers en dévoilant son concept "Flowell" de signalisation lumineuse dynamique intégrée à la chaussée. Extrapolé des travaux menés sur la route solaire, le procédé vient en surimposition de l'asphalte. Détails.
Il y a 7 ans et 319 jours

Etats-Unis : Cemex cède Pacific Northwest Materials Business à Cadman Materials, Inc.

Cemex, entreprise de matériaux de construction, a récemment annoncé que l'une de ses filiales américaines venait tout juste de céder Pacific Northwest Materials Business, spécialiste des granulats, de l'asphalte et du béton prêt à l'emploi. Cadman Materials, Inc., filiale du groupe HeidelbergCement, a ainsi acquis la société pour environ 150 millions de dollars. Les détails de l'opération.
Il y a 7 ans et 336 jours

Il faut impérativement préparer Paris et nos villes aux prochaines canicules

Végétaliser, "désasphalter", préserver l'eau... sont autant d'impératifs urgents pour préparer Paris à des épisodes caniculaires qui vont croître avec le dérèglement du climat, explique Sébastien Maire, responsable résilience à la mairie de Paris chargé d'étudier la capacité des villes à limiter les effets des catastrophes et à retrouver un fonctionnement normal.
Il y a 7 ans et 353 jours

CLowN, un asphalte qui se joue du bruit et des îlots de chaleur

La Ville de Paris va tester des formulations d'enrobés routiers innovants destinés à lutter à la fois contre la pollution sonore et le phénomène des îlots de chaleur. Trois axes de circulation seront choisis dans la capitale pour étudier l'efficacité de ces asphaltes mis en place avec le concours de Bruitparif et des sociétés Colas et Eurovia. Détails.