Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour charbon

(449 résultats)
Il y a 23 jours

AEG présente 3 outils Brushless dans sa gamme SUBCOMPACT : une ponceuse excentrique 125 mm, une ponceuse vibrante ¼ et une scie à ruban.

La galaxie SUBCOMPACT est composée de 15 outils* ultra compacts et toujours plus performants !  Les outils de la gamme SUBCOMPACT intègrent la toute dernière technologie en matière de moteur Brushless (sans charbons) compact pour offrir des performances maximales associées à une taille réduite exceptionnelle. Grâce à la compacité unique de ce moteur, les dimensions […]
Il y a 32 jours

La Chine annonce que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépasse pour la première fois le thermique

La Chine a annoncé vendredi 25 avril que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépassait pour la première fois celle issue des installations thermiques, principalement générée par des centrales à charbon, grâce à une accélération des nouvelles installations cette année.
Il y a 132 jours

Nouveau : TRONÇONNEUSE SANS-FIL GKE 18V-40 BOSCH PROFESSIONAL – Un travail plus silencieux, sans émissions polluantes et sur simple pression d’un bouton

TRONÇONNEUSE SANS-FIL GKE 18V-40 BOSCH PROFESSIONAL Des coupes puissantes et une protection élevée de l’utilisateur  Puissant, le moteur sans charbon BITURBO garantit une grande longévité à la GKE 18V-40 Bosch Professional et des performances élevées pour réaliser les travaux difficiles : coupe de bois ou de poutres, élagage de branches épaisses, abattage d’arbres… Le carter […]
Il y a 161 jours

2024, année la plus chaude, est aussi celle d'une demande record de charbon

Mauvaise nouvelle pour le climat : la demande mondiale de charbon a atteint un nouveau record en 2024, année la plus chaude jamais enregistrée, et seul l'essor des énergies renouvelables devrait contribuer à la stabiliser jusqu'en 2027, a rapporté l'Agence internationale de l'énergie (AIE) mercredi 18 décembre.
Il y a 165 jours

En Bosnie, la transition énergétique se heurte au charbon

A 250 mètres sous terre, la poussière est épaisse et l'oxygène rare. La mine Mramor, en Bosnie, alimente en charbon la centrale de Tuzla, censée tourner jusqu'en 2050, quand ce pays pauvre chauffé au charbon devra avoir décarboné toute son énergie.
Il y a 188 jours

Intempéries : les salariés de la centrale à charbon de Cordemais bloquent son redémarrage

ÉNERGIE. Le site de Loire-Atlantique devait être ponctuellement relancé pour soulager le réseau électrique face à la vague de froid qui traverse la France en cette fin de semaine. Dénonçant la fermeture de la centrale annoncé par EDF et l'absence de garanties sur leur avenir, les salariés ont cependant empêché son redémarrage.
Il y a 261 jours

Pour la première fois, l’Australie a produit moins de 50% de son électricité à partir du charbon

La stratégie énergétique de "l'île-continent" consiste à éradiquer le charbon et à multiplier les projets renouvelables. Un choix qui...-International
Il y a 307 jours

L'électricité d'origine renouvelable pourrait dépasser le charbon dès 2025

ÉNERGIE. La production d'électricité renouvelable finira par doubler celle issue du charbon l'année prochaine, selon des estimations de l'Agence internationale de l'énergie. Dans le même temps, la demande électrique globale ne cesse de progresser, portée par l'Inde et la Chine.
Il y a 311 jours

La production d’électricité renouvelable devrait dépasser le charbon en 2025, selon l'AIE

La quantité d'électricité d'origine renouvelable produite à l'échelle mondiale devrait dépasser en 2025 pour la première fois celle issue du charbon, estime l'Agence internationale de l'énergie (AIE), qui observe aussi un bond de la demande électrique dans le monde.
Il y a 314 jours

Energies : en 2025, les renouvelables produiront plus d’électricité que le charbon

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) estime qu’à l’échelle mondiale, l’hydroélectricité, le solaire, l’éolien... devraient...-Energie
Il y a 317 jours

En Guadeloupe, la dernière centrale à charbon d'Outre-mer se convertit au 100 % biomasse

La centrale du Moule, la dernière centrale à charbon d'Outre-mer (Guadeloupe) va se convertir au 100 % biomasse d'ici à 2025, a annoncé mercredi Albioma, le producteur d'énergie renouvelable.
Il y a 348 jours

L'inquiétude monte encore pour les salariés de la centrale à charbon de Saint-Avold

Le contexte politique renforce encore l'inquiétude des salariés et élus syndicaux de la centrale à charbon Emile-Huchet de Saint-Avold (Moselle), dont l'avenir est en suspens, a indiqué à l'AFP Thomas About, délégué CFDT, à l'issue d'une réunion à Bercy.
Il y a 1 ans et 5 jours

Nouvelle boulonneuse 18V Biturbo Bosch Professional : Une puissance exceptionnelle pour des applications exigeantes et intensives

Bosch étend sa gamme d’outils BITURBO avec la nouvelle boulonneuse sans-fil GDS 18V-1600 HC Professional. De conception optimisée, le moteur sans charbon haute performance BITURBO Brushless, associé à la batterie ProCORE18V (8,0 Ah recommandée), permet de disposer d’une puissance élevée pour assurer des boulonnages exigeants et intensifs dans les secteurs […] L’article Nouvelle boulonneuse 18V Biturbo Bosch Professional : Une puissance exceptionnelle pour des applications exigeantes et intensives est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 49 jours

Des tenues estivales élégantes et modernes pour les ateliers et les entreprises industrielles

Des tenues estivales élégantes et modernes pour les ateliers et les entreprises industrielles jmgcom mer 10/04/2024 - 12:30 Les collections estivales de vêtements de travail Mewa sont pensées pour répondre aux besoins variés des professionnels. Conçues avec le plus grand soin, les coupes proposent un style moderne, un confort optimal et une grande liberté de mouvement. Pantalons et vestes élégants, accessoires tendance, polos légers… : les vêtements de travail Mewa sont contemporains, fonctionnels et durables. Quatre collections de vêtements professionnels pour l’été Mewa propose toute une gamme de vêtements de travail légers pour l’été à travers ses collections Mewa Move, Mewa Dynamic Construct, Mewa Dynamic Industry et Mewa Peak. Celles-ci disposent d’un grand choix de basiques tels que des t-shirts, des polos et des chemises. Ces quatre collections se démarquent enfin par leur grande fonctionnalité : zones extensibles et renforcées, nombreuses poches pratiques pour les outils ou encore grande adaptabilité aux activités de plein air. Mewa Peak allie durabilité et confort professionnel Mewa Peak combine les propriétés de thermorégulation des vêtements de sport avec des textiles durables. La production d'un seul pantalon de travail en taille 50 utilise par exemple 18 bouteilles plastiques (PET) ainsi recyclées. Cette gamme de vêtements est équipée d’empiècements élastiques afin d’assurer un confort optimal, mais également de zones structurées pour une meilleure aération, notamment au niveau du dos. Mewa Peak dispose d’un avantage notable : sa technologie de régulation de la température corporelle. Les fibres hautement fonctionnelles du tissu contiennent des particules de charbon actif capables d’absorber ou de libérer l’humidité et la chaleur. La surface de la peau conserve alors constamment une température agréable. « Nos clients exigent aujourd’hui des vêtements professionnels élégants et durables, au plus près de leurs besoins et de leurs morphologies », explique Télesphore Loréal, directeur de Mewa France. « Mewa répond à cette demande en proposant par exemple des coupes spécialement conçues pour les femmes et en développant des collections au fil des tendances. Le secteur des vêtements outdoor joue un rôle important dans cette évolution ». La sécurité avant tout, même en pleine chaleur estivale Sur un chantier ou dans une usine, les équipements de protection individuelle (EPI) restent obligatoires, y compris en cas de fortes chaleurs estivales. Mewa propose des modèles à la fois sécuritaires et tendance. Le portail en ligne (https://buy4work.mewa.shop/fr/fr) propose également des articles tels que des chaussures de sécurité, des lunettes de soleil et des protections anti-UV. Le prestataire de services textiles propose une solution complète pour l’équipement des professionnels en toute saison. La gestion complète et durable de Mewa soulage les entreprises Les entreprises sont de plus en plus attentives à leur impact écologique et recherchent des prestataires de services qui partagent leurs valeurs de préservation des ressources. Chez Mewa, la durabilité est depuis toujours au cœur de son modèle d’entreprise. Prestataire de services textiles certifié, Mewa s’engage à fournir à ses clients des vêtements irréprochables sur le plan de l’hygiène. Le prestataire se veut aussi irréprochable sur la production et l’entretien, respectant les normes les plus élevées en matière d’économie d’énergie et de préservation de l’environnement. La gestion complète de Mewa soulage les entreprises d’une tâche chronophage. Le prestataire de services textiles prend en charge l’ensemble du processus. Les vêtements de travail sont mis à la disposition des clients, récupérés à des dates convenues, lavés selon des normes strictes et livrés à nouveau après un contrôle qualité minutieux. L’approvisionnement, le stockage, l’entretien, les ajustements de taille, le remplacement et la réparation font également partie de l’offre de gestion complète. Choisir la Marque® - Associer l'article MEWA Les vêtements de travail durables de Mewa en gestion complète Sous la canicule estivale, les professionnels apprécient les vêtements de travail qui allient protection, fraîcheur et confort. Est-il possible de combiner robustesse, style et durabilité pour des tenues d’été ? Le prestataire de services textiles Mewa a trouvé la solution. Des Tenues Estivales Innovantes pour le BTP Collections Diversifiées et Fonctionnalités Avancées MEWA présente quatre collections principales : Move, Dynamic Construct, Dynamic Industry et Peak. Chaque collection offre une variété de vêtements, incluant des pantalons légers, des vestes, des polos et des accessoires, tous caractérisés par leur confort, leur style moderne et leur grande liberté de mouvement. La particularité de ces tenues réside dans leur conception innovante, intégrant des zones extensibles, des poches pratiques et une adaptabilité exceptionnelle aux différentes conditions de travail extérieures. Engagement envers la Durabilité et la Sécurité MEWA Peak se distingue par son utilisation de matériaux recyclés, comme les bouteilles en plastique, dans la production de ses vêtements, affirmant ainsi l'engagement de l'entreprise envers la durabilité. En outre, ces tenues sont équipées de technologies avancées pour la thermorégulation, garantissant confort et fraîcheur. La sécurité, un enjeu crucial sur les chantiers et dans les ateliers, est assurée par des équipements de protection individuelle (EPI) à la fois sûrs et stylés, disponibles via le portail en ligne de MEWA. Solution Complète et Écologique de Gestion des Vêtements MEWA propose un service de gestion intégrale des vêtements de travail, soulageant les entreprises d'une gestion souvent complexe. Ce service comprend la fourniture, la collecte, le lavage et la livraison des tenues, assurant ainsi une qualité irréprochable tout en respectant des normes élevées de préservation de l'environnement et d'économie d'énergie. MEWA démontre ainsi sa capacité à innover dans le secteur des tenues professionnelles, en alliant mode, fonctionnalité et engagement écologique. Partager
Il y a 1 ans et 62 jours

Charbonnier/GCCO ouvre son 8ème point de vente Gedimat

Charbonnier/GCCO ouvre son 8ème point de vente Gedimat primavera mer 27/03/2024 - 14:04 Fort de 7 points de vente en Saône-et-Loire et dans le nord du Rhône, Charbonnier/GCCO, dirigé par Frédéric Charbonnier, vient d’ouvrir son 8ème magasin Gedimat à Génelard (71). Ce nouveau point de vente permet à Charbonnier/GCCO de conforter ses positions sur le département de Saône-et-Loire jusqu’au nord du Rhône avec un maillage qui s’étend sur 150 km depuis Autun jusqu’à Saint-Nizier-d’Azergues. Sur cette trajectoire, le groupe bénéficie désormais d’une implantation tous les 20-25 km. Situé sur un terrain de 9000 m2, dans une zone d’activité à fort passage à proximité de la N70, le Gedimat de Génelard dispose d’un couvert chaud de 400 m2 et d’un couvert froid de 1200 m2. Avec ses 10 cases à agrégats et son service livraison en camion grue ou 3,5 tonnes, le point de vente, dirigé par Guillaume Porterat, dispose de nombreux atouts pour répondre aux besoins en maçonnerie, isolation, couverture, TP, aménagement extérieur et bricolage des professionnels et des particuliers. Choisir la Marque® - Associer l'article GEDICOOP Un nouvel élan pour Gedimat à Génelard Découvrez le 8ème magasin Gedimat par Charbonnier/GCCO. Charbonnier/GCCO étend sa présence avec un nouveau point de vente Gedimat à Génelard, consolidant ainsi sa couverture en Saône-et-Loire et nord du Rhône. Charbonnier/GCCO, dirigé par Frédéric Charbonnier, marque une étape importante dans son expansion avec l'ouverture de son 8ème magasin Gedimat à Génelard, offrant un maillage renforcé en Saône-et-Loire et au nord du Rhône. Situé stratégiquement près de la N70, le nouveau point de vente optimise l'accessibilité et la disponibilité des matériaux de construction pour les professionnels et les particuliers. Avec un espace de vente étendu et diversifié, ainsi qu'un service de livraison flexible, Gedimat de Génelard se positionne comme un partenaire clé pour les besoins en construction et rénovation dans la région. Catégorie : Commerce de détailSous-catégorie : Ouverture de nouveaux magasins Partager
Il y a 1 ans et 77 jours

les panneaux photovolta ques une solution durable et rentable

Selon un rapport récent de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), les énergies renouvelables sont en passe de dépasser le charbon comme principale source de production mondiale d'électricité d'ici 2025. Parmi ces sources, l'énergie solaire produite par le panneau photovoltaïque se distingue particulièrement, représentant à elle seule les trois quarts des capacités renouvelables nouvellement installées dans le monde. Cette prédominance s'explique aisément par les nombreux avantages qu'elle offre.
Il y a 1 ans et 88 jours

La préfecture de Loire-Atlantique donne son aval à la reconversion de la centrale à charbon de Cordemais

La préfecture de Loire-Atlantique a autorisé la conversion de la centrale à charbon de Cordemais en usine de biomasse (black pellets), selon un arrêté publié jeudi 29 février sur son site.
Il y a 1 ans et 97 jours

Usine d'hydrogène à Saint-Avold : début de la concertation publique le 27 février

Ce projet de construction intervient dans le cadre de la reconversion de la centrale à charbon de la...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 106 jours

Une tour de la centrale électrique de Saint-Avold en Moselle dynamitée

La plus haute tour de la centrale Emile Huchet de Saint-Avold (Moselle) a été dynamitée dimanche 11 février au matin, une étape symbolique dans la conversion du site du charbon à l'hydrogène, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Il y a 1 ans et 108 jours

Phénix du bassin minier, Lens renaît des cendres du charbon

"Les regards ont changé": grâce à son musée du Louvre et à son club de football, Lens (Pas-de-Calais) a fait sa révolution en se démarquant d'autres villes moyennes frappées par l'opposition entre périphéries exclusivement commerciales et centres-villes déserts.
Il y a 1 ans et 112 jours

AEG Powertools

AEG Powertools Batipole mar 06/02/2024 - 15:38 Avec un héritage riche de plus d'un siècle, AEG a toujours été à l'avant-garde de l'innovation, offrant aux professionnels des outils performants et fiables. La marque a marqué l'histoire en lançant la première perceuse portative, révolutionnant ainsi le secteur de l'outillage et établissant un standard d'excellence et d'innovation. AEG Powertools, c'est avant tout une histoire de passion, de précision et de performance. La marque s'adresse aux artisans et aux professionnels exigeants, leur fournissant des outils conçus pour répondre aux défis les plus complexes. Chaque produit AEG est le fruit d'une recherche approfondie et d'un développement technologique avancé, visant à améliorer la productivité et la qualité du travail des professionnels. Solutions métier innovantes AEG Powertools ne se contente pas de fournir des outils ; elle propose des solutions complètes adaptées à divers métiers et applications. Voici quelques-unes des solutions métier clés offertes par AEG : Pour les charpentiers : une gamme sans fil PRO18V incluant rabots, scies et défonceuses, conçue pour la précision et la fiabilité Solutions de perçage et de démolition : des outils robustes et puissants pour les travaux les plus exigeants Travail du bois et du métal : des équipements spécialisés pour une finition parfaite et une grande durabilité Équipement de chantier : des solutions pratiques et efficaces pour améliorer l'efficacité sur le terrain Ces solutions sont le résultat d'une écoute attentive des besoins des professionnels et d'une volonté constante d'innover pour faciliter leur quotidien. Avancées technologiques AEG Powertools se distingue par son engagement envers l'innovation technologique. La marque a développé des technologies de pointe pour améliorer l'efficacité et la sécurité des outils électroportatifs : Batteries PROHD : des batteries haute performance conçues pour une durabilité et une puissance maximales, même dans les conditions les plus extrêmes La gamme PRO18V : une série d'outils sans fil offrant une flexibilité et une mobilité exceptionnelles, avec une compatibilité à travers toute la gamme Technologie Brushless : des moteurs sans charbons pour une efficacité accrue, une durée de vie prolongée de l'outil et moins d'entretien Ces innovations témoignent de l'engagement d'AEG à fournir des outils non seulement puissants mais aussi intelligents, capables de s'adapter aux besoins changeants des professionnels. Engagement envers la qualité et la durabilité AEG Powertools est synonyme de qualité et de durabilité. La marque s'engage à offrir des outils fiables et résistants, capables de supporter les rigueurs d'une utilisation professionnelle quotidienne. Cette promesse de qualité est soutenue par une garantie étendue, offrant une tranquillité d'esprit inégalée aux professionnels. Avec une garantie de 6 ans sur les outils et de 3 ans sur les batteries et chargeurs, AEG démontre sa confiance dans la durabilité et la performance de ses produits. AEG Powertools incarne l'excellence dans le domaine de l'outillage électroportatif. Avec un héritage riche, une gamme de solutions métier adaptées, des avancées technologiques significatives et un engagement indéfectible envers la qualité et la durabilité, AEG continue de définir les standards de l'industrie et de soutenir les professionnels dans leurs projets les plus ambitieux. Catégorie Métier : Construction et rénovationSous-catégorie Métier : Charpenterie et menuiserie 0164312436 contact@aeg-powertools.eu https://www.aeg-powertools.eu/fr-fr Titre de la page de marque (H1) AEG Powertools Actualités : Outils Professionnels depuis 1898 Depuis sa fondation en 1898, AEG Powertools s'est imposée comme une marque leader dans le domaine de l'outillage électroportatif. Partager Sous titre de l'article (H2) Un groupe fier de son héritage de pionnier
Il y a 1 ans et 129 jours

Du charbon au renouvelable, le magnat indien Adani au défi de la diversification de sa fortune

En plein désert, à la frontière avec le Pakistan, Gautam Adani construit le plus grand parc d'énergie renouvelable au monde. Un investissement sur l'avenir pour l'homme le plus riche d'Asie qui a largement construit sa fortune sur le charbon.
Il y a 1 ans et 136 jours

Moins de charbon et davantage d'éolien : l'Allemagne plus verte en 2023

Part des énergies renouvelables en hausse, émissions de CO2 au plus bas : l'Allemagne a connu une année 2023 plus verte, en raison du net recul du charbon mais aussi de la profonde crise que traverse son puissant secteur industriel.
Il y a 1 ans et 144 jours

Plus de la moitié de la production d'électricité en Allemagne était d'origine renouvelable en 2023

Les énergies renouvelables ont pour la première fois couvert plus de la moitié de la production d'électricité en Allemagne en 2023, alors que la part du charbon, en recul, représente encore un quart du bouquet énergétique, selon un bilan publié il y a quelques jours.
Il y a 1 ans et 200 jours

"Nouvelle vie" industrielle en Moselle, où le renouvelable remplace les houillères

La "plus grande" usine de panneaux solaires d'Europe ou encore la transformation d'une centrale à charbon en "écoplateforme" : le terreau industriel de la Moselle se renouvelle et veut devenir un territoire majeur d'accueil de la transition énergétique.
Il y a 1 ans et 238 jours

Pas d’interdiction des chaudières à gaz et triplement des pompes à chaleur, promet Macron

Le Président de la République a renoncé à interdire les chaudières à gaz mais souhaite augmenter la production de pompes à chaleur. Il souhaite aussi l’arrêt total de la production de charbon en France d’ici 2027.
Il y a 1 ans et 238 jours

Perforateurs sans-fil GBH 18V-28 C/CF Bosch Professional : Ergonomie, puissance et sécurité

Avec les nouveaux perforateurs sans-fil GBH 18V-28 C/CF Professional, Bosch continue d’étoffer sa gamme d’outils 18V. Conçus pour ceux qui souhaitent allier les performances du filaire et la liberté du sans-fil, ces perforateurs avec mandrin fixe (C) ou mandrin à changement rapide (CF) sont dotés d’un puissant moteur sans charbon.
Il y a 1 ans et 246 jours

Planification écologique : la France va sortir du charbon en 2027, annonce Macron

La France sortira du charbon d'ici à 2027, en convertissant ses deux dernières centrales, a déclaré dimanche 24 septembre le président Emmanuel Macron, qui en revanche ne souhaite pas interdire les chaudières à gaz dans le cadre de la planification écologique.
Il y a 1 ans et 253 jours

Rhône : une nouvelle résidence sociale à Charbonnières-les-Bains

À Charbonnières-les-Bains, dans le département du Rhône, Lyon Métropole Habitat a livré 23 logements sociaux situés chemin...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 257 jours

co ptz et pr t avance r novation le symbiote appelle les d mocratiser

Sur le forum Renodays, Sylvie Charbonnier, secrétaire générale du syndicat Symbiote, animait une conférence portant sur « la réforme des aides à la rénovation énergétique », axée autour de quatre axes : les aides publiques, l’accompagnement, les financements, et les fraudes.
Il y a 1 ans et 259 jours

Journal d’une jeune architecte – S’associer, pour le meilleur et pour le pire 

En cette fin d’été, c’est le retour à Paris, au travail. Franchement on n’était pas mal aussi dans ce monde un peu plus léger, sans ni factures, ni entreprises, ni maîtrise d’ouvrage. En fait non, après avoir bien profité, on se dit qu’il est temps de rentrer. Au charbon !  Arrivée à l’agence avant l’ouverture […] L’article Journal d’une jeune architecte – S’associer, pour le meilleur et pour le pire  est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 272 jours

Faisant fi de l'inflation, les énergies renouvelables n'ont jamais été aussi compétitives

FOCUS. Portées par la crise des combustibles fossiles et insensibles à l'inflation générale, l'écrasante majorité des capacités d'énergies renouvelables mises en service en 2022 l'ont été à un coût inférieur à celui de l'électricité produite par charbon ou gaz. En deux ans, les installations solaires en autoconsommation individuelle ont également plus que doublé en France.
Il y a 1 ans et 339 jours

Tout savoir le fonctionnement des systèmes de filtre à charbon actif industriels

Tout savoir le fonctionnement des systèmes de filtre à charbon actif industriels Le fonctionnement des systèmes de filtre à charbon actif repose sur ce principe d’adsorption. L’air Batipole dim 25/06/2023 - 11:34 En savoir plus sur Tout savoir le fonctionnement des systèmes de filtre à charbon actif industriels Partager
Il y a 1 ans et 354 jours

Le Vietnam ne construira plus de nouvelles centrales à charbon après 2030, selon son gouvernement

Le Vietnam prévoit de ne plus construire de centrales à charbon après 2030, selon un plan national, attendu de longue date, et publié il y a quelques jours par le gouvernement, critiqué pour la lenteur du processus de transition énergétique.
Il y a 2 ans et 47 jours

L'éolien et le solaire ont assuré un "niveau record" de l'électricité mondiale en 2022

RENOUVELABLES. Les filières éolienne et solaire ont fourni 12% de la production électrique mondiale l'année dernière, un niveau record selon un groupe de réflexion consacré à l'énergie. Le charbon reste toutefois prédominant à l'échelle planétaire.
Il y a 2 ans et 57 jours

Climat, décarbonation : l'industrie au défi de son électrification

La chasse au CO2 dans l'industrie lourde revient à remplacer des fours à charbon par des fours électriques et à électrifier d'autres usines, ce qui place le gestionnaire du réseau électrique français RTE sous haute tension pour les années à venir.
Il y a 2 ans et 90 jours

La France et dix États de l'UE s'unissent pour défendre l'énergie nucléaire

"L'énergie nucléaire est l'un des nombreux outils permettant d'atteindre nos objectifs climatiques, de produire de l'électricité de base et de garantir la sécurité de l'approvisionnement", affirment ces pays dans une déclaration commune signée en marge d'une réunion des ministres européens de l'Energie à Stockholm.Les 11 Etats (France, Bulgarie, Croatie, République tchèque, Hongrie, Finlande, Pays-Bas, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Slovénie) s'accordent pour "soutenir de nouveaux projets" nucléaires, basés notamment "sur des technologies innovantes" ainsi que "l'exploitation des centrales existantes".Le texte prévoit des projets communs de formation, "des possibilités de coopération scientifique accrue" et le "déploiement coordonné des meilleures pratiques dans la sécurité".Le cabinet de la ministre française de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, avait affiché avant la réunion l'objectif de "créér une alliance du nucléaire (...) et d'envoyer un signal fort dans les différentes négociations européennes".Paris avait déjà remporté une victoire mi-février avec la proposition de la Commission européenne de considérer comme "vert" l'hydrogène produit à partir d'un mix électrique comportant du nucléaire, sous certaines conditions.Désormais, la France défend la prise en compte de cet "hydrogène bas carbone" dans un texte en discussions fixant pour chaque Etat européen des objectifs d'hydrogène renouvelable dans l'industrie ou les transports. Plusieurs Etats, dont l'Allemagne et l'Espagne, y sont totalement opposés. Dans le cadre d'une réforme du marché européen de l'électricité, la France préconise par ailleurs des contrats de longue durée à prix garanti, y compris au bénéfice de la production nucléaire, ce que refuse Berlin.Energie "stable""Le nucléaire représente 25% de notre production électrique européenne, émet moins de carbone que l'éolien et le photovoltaïque", avait martelé lundi Mme Pannier-Runacher, y voyant un outil "complémentaire" des renouvelables "pour atteindre la neutralité carbone" visée par l'UE en 2050. "Nous devons unir nos forces" pour innover et "développer de nouvelles installations", avait-elle plaidé."Etats-Unis, Royaume-Uni, Corée du Sud, Chine, Inde et même Japon envisagent le nucléaire comme moyen important de décarboner leur économie. Nous devons être sur un pied d'égalité", a-t-elle souligné.La Pologne, qui mise sur le nucléaire pour se désengager du charbon, et la République tchèque avaient salué dès lundi ce projet d'"alliance", même si ce terme n'a pas été retenu dans la déclaration finale."Les renouvelables peuvent s'avérer instables. Il faut une énergie stable et durable, faiblement carbonée: nous n'en connaissons qu'une, le nucléaire", a observé le ministre tchèque Jozef Sikela.Les onze pays signataires sont les mêmes qui soutenaient fin 2021 la reconnaissance du caractère "durable" du nucléaire, énergie n'émettant pas de CO2, dans la "taxonomie" européenne, une labellisation verte permettant de faciliter certains investissements. Ils avaient obtenu gain de cause dans le texte finalement adopté mi-2022, au grand dam des antinucléaires.La Suède, dont l'actuel gouvernement est pro-nucléaire, n'a pas signé la déclaration de mardi, étant contrainte à la neutralité durant les six mois de sa présidence du Conseil de l'UE. Elle s'est néanmoins montrée accommodante. "Nous respectons le fait que les Etats choisiront des solutions différentes pour leur transition, le but essentiel étant de se passer des énergies fossiles", a insisté la ministre Ebba Busch.L'initiative de la France intervient à l'heure où le modèle énergétique allemand, basé sur des importations de gaz bon marché, est mis à mal par la guerre en Ukraine et les efforts de l'UE pour réduire la dépendance aux énergies fossiles.L'hostilité de Berlin à l'atome est partagée notamment par l'Autriche et le Luxembourg."Pour gagner la course contre le changement climatique, nous devons être rapides. Les nouvelles centrales nucléaires, c'est 15 ans de construction, deux à trois fois plus cher que l'éolien et le solaire. C'est de l'idéologie, pas du pragmatisme", a déclaré lundi le ministre luxembourgeois Claude Turmes. "Il faut se concentrer sur les solutions disponibles, bon marché, sans effets indésirables, sans danger: les énergies renouvelables", a abondé la ministre autrichienne Leonore Gewessler.
Il y a 2 ans et 91 jours

La Chine a accéléré sur les centrales au charbon en 2022

Les capacités de production d'électricité à partir de charbon que le géant asiatique a commencé à construire en 2022 étaient six fois supérieures à celles du reste du monde, d'après ce rapport.Cette étude a été réalisée par le Centre for Research on Energy and Clean Air (CREA), un institut de recherche basé en Finlande, et l'ONG américaine Global Energy Monitor (GEM)."La Chine continue d'être l'exception par rapport à la tendance mondiale actuelle qui est au déclin de la construction de centrales au charbon", note Flora Champenois, analyste chez GEM."La vitesse à laquelle les projets ont progressé en 2022, de l'obtention des permis jusqu'à la construction, était hors norme", juge-t-elle.La Chine est, en valeur absolue, l'un des principaux émetteurs mondiaux de gaz à effet de serre à l'origine du changement climatique, comme le dioxyde de carbone (CO2).Le président Xi Jinping s'est engagé à ce que le pays atteigne le pic de ses émissions de CO2 entre 2026 et 2030 puis la "neutralité carbone" d'ici 2060.Ces promesses sont considérées essentielles pour maintenir la hausse de la température mondiale bien en dessous de deux degrés.Mais même si la Chine honore ses promesses, l'expansion actuelle des centrales électriques au charbon rendra le respect de ces engagements "plus compliqué et coûteux", note l'étude.Cercle vicieuxAu total, selon le rapport, 106 gigawatts (GW) de nouveaux projets ont été approuvés en 2022 - soit l'équivalent de deux grandes centrales au charbon par semaine.La Chine dépend du charbon pour près de 60% de son électricité.La plupart des nouveaux projets de centrales ont été approuvés par des provinces frappées au cours des deux dernières années par des pénuries d'électricité dues à des vagues de chaleur record.Un cercle vicieux, car l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre accélère le changement climatique et entraîne à son tour une augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes, selon la plupart des scientifiques.Le gros des approbations a débuté lorsque le gouvernement a annoncé en mai 2022 un investissement de 10 milliards de yuans (1,4 milliard d'euros) dans la production d'électricité à partir de charbon."C'est la même dynamique que celle observée lors du précédent boom, en 2015", déclare à l'AFP Lauri Myllyvirta, analyste du CREA. "Personne ne sait combien de temps les vannes resteront ouvertes, donc les collectivités locales se dépêchent de faire passer le maximum de projets possible."L'idée des autorités est que ces nouvelles centrales puissent servir d'appoint pour garantir un approvisionnement en électricité stable en cas de défaillance des énergies renouvelables."Idée fausse"Toutefois, face à l'augmentation de la demande en électricité en Chine, certaines provinces comme le Guangdong (sud) ou le Jiangsu (est), où les nouvelles centrales au charbon se multiplient, sont "à la traîne" en matière d'investissements dans les énergies propres, selon l'étude.Le géant asiatique a intensifié ses investissements ces dernières années dans les renouvelables (notamment le solaire, l'éolien, l'hydroélectrique) et les centrales nucléaires.Si cette croissance continue de s'accélérer et que la demande d'électricité se stabilise, "les ajouts massifs de nouvelles capacités de production au charbon ne signifient pas nécessairement que l'utilisation du charbon ou que les émissions de CO2 dans le secteur de l'électricité augmenteront", souligne ainsi le rapport.Les projets d'énergie renouvelable en Chine ont cependant des difficultés à obtenir un accès aux terrains nécessaires et dans certaines régions, le réseau ne peut absorber toute l'énergie produite, a déploré en février le chef de l'Association chinoise de l'industrie photovoltaïque.Toutefois, "la principale idée fausse que l'on peut avoir est que l'augmentation des renouvelables entraîne forcément un recul du charbon", déclare à l'AFP Li Shuo, un militant de Greenpeace Chine."C'est le cas dans le reste du monde, mais les besoins de la Chine en matière de sécurité énergétique (sont tels qu'ils) entraînent une croissance simultanée de l'éolien, du solaire et du charbon."
Il y a 2 ans et 111 jours

Photovoltaïque : le best of des fake news les plus répandues

De nombreux décideurs n’avaient pas vu venir ces progrès et, dans les débats actuels, on constate qu’ils sont encore nombreux à ne pas avoir pris en compte les données réelles du photovoltaïque d’aujourd’hui : on entend encore de nombreux arguments qui n’ont plus lieu d’être au sujet de cette énergie. Il est temps de distinguer le vrai du faux !Au sujet de la fabricationLes modules PV utiliseraient des terres raresFauxLes modules PV utilisés aujourd’hui ne contiennent pas de terres rares. Le composant principal est le silicium : il sert à faire les cellules PV, qui sont prise en sandwich entre 2 plaques de verre. (Le verre est aussi fait avec du silicium !)Mais NB : aucune terre rare dans le photovoltaïque !Il y aurait bientôt pénurie de siliciumFauxLe silicium, le 2ème atome le plus présent sur terre (juste après l’oxygène), et facile d’accès (partout dans la croûte terrestre).Il n’y a pas de pénurie de silicium et il n’y en aura pas. Il n’y a pas de pénurie de matière première. Parfois, en raison de la forte croissance de la demande, il y a des demandes supérieures à la capacité des usines qui purifient le silicium. Cela est temporaire et résolu par l’augmentation de capacité de ces usines.La rareté des matériaux n’est donc pas un frein pour le déploiement du PV à grande échelle.En fait s’il y devait y avoir un point de vigilance ce serait sur l’argent, utilisé comme conducteur entre les cellules… on pourrait avoir à le remplacer par un autre conducteur, si le marché PV continue son ultra croissance.Au sujet de son intérêt économiqueC’est cher et non compétitif Ce n’est plus vrai du tout.C’était vrai il y a 10 ans et encore plus il y a 20 ans. Le prix des panneaux était si élevé que le prix de revient de l’électricité solaire n’était pas compétitif face au réseau électrique. Le photovoltaïque étaient donc utilisé là où il n’y avait pas d’accès possible au réseau (par exemple les réémetteurs en montage.)Mais en 20 ans cela a changé de manière extraordinaire ! En 20 ans le prix des panneaux a été divisé par 100 !Cela a été réussi grâce aux pays qui ont compris, il y a 20 ans, qu’il y avait un énorme potentiel de baisse de prix, à condition de faire grossir les volumes fabriqués.D’abord le Japon, puis l’Allemagne, la Chine, les Etat Unis ont bien identifié ce potentiel : Ils ont subventionné le photovoltaïque pour faire grossir le marché et ainsi faire baisser les prix.Et cela a porté ses fruits :De 2012 à 2022, les prix du PV ont été divisés par 10 (et ils avaient déjà été divisés par 10 dans la décennie précédente. Les prix des panneaux PV ont donc été divisés par 100 en 20 ans !D’autres évolutions ont rendu l’électricité solaire compétitive :Le rendement qui était de 10% dans les années 1970, est de 24% aujourd’hui et se rapprochera des 30% sous peu…La durée de vie est passée de 10 ans dans les années 80, à plus de 40 ans aujourd’hui. Les garanties des constructeurs sont de 30 ou 35 ans, avec moins de ½ % de perte de puissance par an ! Dans 35 ans, un panneau acheté aujourd’hui fonctionnera encore et aura plus de 82% de la Puissance initiale ! Quel autre produit industriel à une telle durée de vie et une telle garantie ?Les onduleurs (qui transforment le courant continue des panneaux en courant alternatif qui peut être injecté dans le réseau électrique ont gagné en rendement, et baissé en prix)Le métier d’exploitation de centrale PV c’est fortement professionnalisé en 20 ans.En conséquence de tous ces progrès, le prix de l’électricité PV a diminué de manière spectaculaire. Le solaire PV est maintenant compétitif par rapport aux autres sources d’énergie électriquel’électricité solaire coûte entre 5 centimes le kWh (50€/MWh) (pour une grande centrale au sol) et 16 centimes kWh (160€/MWh) pour une petite installation en toiture.Le nucléaire des centrales de dernière génération est de plus de 10 centimes/kWh (100€/MWh)L’électricité solaire est donc désormais compétitive, y compris par rapport au nucléaire.Et ce n’est pas fini, la baisse des coûts du solaire va continuer.On dit que cela coûte une fortune en subvention et demande beaucoup d’aides publiquesCe n’est plus vrai du toutDévelopper les énergies renouvelables a coûté de l’argent public, le temps d’aider le marché à décoller, jusqu’à ce que cette énergie soit compétitive.Aujourd’hui les solaire est compétitif ! D’ailleurs, Aujourd’hui, ce sont les énergies renouvelables qui apportent des recettes à l’Etat et non l’inverse.Les montants sont très importants : la CRE (Commission de Régulation de l’Energie) indique, que, dans les conditions actuelles toutes les filières d’énergies renouvelables en métropole continentale représenteront des recettes pour le budget de l’Etat, pour une contribution cumulée, de plus de 30 Md€ au titre de 2022 et 2023 Les filières contributives sont, par ordre d’importance : l’éolien terrestre, le photovoltaïque à hauteur, l’hydroélectricité et le biométhane.Fin 2024, les EnR auront rapporté plus à l’Etat qu’elles n’ont coûté depuis qu’elles sont soutenues !Le PV ne rapporterait rien aux communes ?FauxLa production d’électricité photovoltaïque est soumise à l’IFER, qui est un impôt prélevé au profit des collectivités territoriales. Une partie de cet IFER est reversée directement aux communes sur lesquelles sont installées les centrales photovoltaïques.Ordre de grandeur : une installation au sol de 20MW apporte plus de 60 000 € / an aux collectivité locales (Département et communauté de communes) dont au moins 20% directement à la Commune.Un parc PV sur une commune permet de baisser les impôts locaux ou de financer des projets locaux, sans solliciter les contribuables !Le photovoltaïque ne produit pas par temps couvert et en hiver. En France, ça ne produirait presque pasFauxUn panneau produit plus en été par beau temps qu’en hivers pas temps nuageux, c’est une évidence.Cependant, un panneau PV produit bien de l’électricité toute l’année. Pour preuve : les réémetteurs de télécom en haute montagne sont alimentés par des panneaux solaires, toute l’année. Ils fonctionnement été comme hivers.La quantité d’énergie produite sur l’année est importante.En France, en moyenne 1kWc (soit 5m²) environ 1300 kWh/an (1,3 MWh/an), soit un peu plus de la moitié de la consommation électrique moyenne d’un français (2200 kWh/an).En France, bien que l’on ne soit qu’au début, en 2021, le solaire PV a déjà fourni 3% de l’énergie électrique consommée en France (contre 2,8 % en 2020), (3% = 14,3TWh)Les panneaux solaires ne fonctionneraient que s’ils sont exactement orientés plein SudFauxUn panneau produit le maximum annuel s’il est orienté plein sud. Mais il ne perd que quelques % s’il est orienté sud-est ou sud-ouest. Aujourd’hui les panneaux sont bifaciaux, cela signifie de même la face arrière produit : si elle est orientée vers le sol, est fait de l’électricité grâce à la luminosité réfléchie sur le sol, que l’on appelle l’albédo. L’orientation et l’inclinaison des panneaux est une question d’optimisation de la production, mais on a une véritable souplesse d’installation.Au sujet de la pertinence environnementaleUne installation PV fournit-elle plus d’énergie que ce qui a été consommé pour sa fabrication ?Oui ! Beaucoup beaucoup plus !En France, un système PV utilisant des modules en silicium monocristallin fournit l’énergie qui a été nécessaire pour sa fabrication est de moins de 2 ans depuis des années. Il est même passé en dessous de 1 an avec les dernières générations de panneaux, qui utilisent de moins en moins de matière, pour une puissance de plus en plus forte). Or un panneau dure plus de 40 ans. Un panneau fournit donc 40x plus d’énergie qu’il n’en consomme lors de sa fabrication. Ce ratio est donc excellent et place le photovoltaïque parmi les meilleures énergies.Un panneau PV pollue et ne se recycle pas ?Faux et archi fauxEn masse, près de 95 % d’un module en fin de vie est valorisé. La filière est parfaitement organisée.Aujourd’hui on récupère le silicium (du verre et des cellules) pour en refaire du verre. Le cadre en aluminium (un autre matériau qui se recycle très bien). Le métal argent qui est utilisé pour les connexions électriques. Il ne reste que 5% de matière non recyclée, mais l’amélioration continue.Le recyclage est bien organisé : l’éco-organisme SOREN, se charge de collecter les panneaux usagés, et de les recycler. Faire recycler un panneau ne coûte rien à son propriétaire, quelle que soit la marque et l’origine du panneau, car une éco participation a été payée initialement pour financer la collecte, le tri et le recyclage.La France est l’un de premier opérateur européen de cette activité de recyclage.Bref un panneau solaire se recycle très bien et la filière est bien organisée.Un système PV émettrait beaucoup de CO2FauxLe solaire est l’une des sources d’électricité très faiblement émettrice de CO2 !Une installation PV (sur toiture à base de panneaux en silicium monocristallin) émet en moyenne30 gCO2eq/kWh. (Ce, en intégrant tout le cycle de vie, y compris si le panneau vient de Chine)C’est 16 à 33 x moins que les énergies fossiles. (Les centrales à énergie fossiles (à gaz, charbon ou fioul) émettent 500 à 1000 gCO2eq/kWh.)C’est 8 x moins que la moyenne des énergie électriques du réseau européen (les émissions moyennes du système électrique européen étaient de 231 gCO2eq/kWh en 2020 soit 8 x plus.Non seulement le PV émet peu de CO2, mais, avec la prolongation de la durée de vie d’un panneau, et la perspective de fabrication de panneaux en Europe, les progrès techniques de fabrication font que ce ratio pourra encore s’améliorer en descendant jusqu’à ce ratio pourra encore s’améliorer en tombant à 15g puis 10 CO2eq/kWh !Bref : le photovoltaïque est l’une des meilleures solutions pour produire de l’électricité décarbonéeUne installation PV au sol dégraderait les solsFaux !Les producteurs d’installation PV, à partir de panneaux installés au sol s’engagent à tout démonter à la fin du projet (dans 30 ou 40 ans) s’il n’est pas reconduit pour une nouvelle période (ce qui sera souvent fait en plaçant une nouvelle génération de panneaux). C’est assez simple car les supports sont généralement fixés sur des pieux battus ou vissés dans le sol (sans le moindre béton).NB : soulignons que toute grande installation PV au sol fait l’objet d’une étude d’impact environnemental préalablement à l’obtention de son permis de construire !Le photovoltaïque au sol c’est visuellement hideuxTout est relatif !Ce n’est certes pas invisible, mais c’est souvent très discret : de nombreuses personnes roulent chaque matin à côté d’un champs PV (au sol le long d’une autoroute, sans le savoir, car des haies installées à la périphérie cachent bien le site. En tous cas, ce n’est pas en hauteur, cela ne fait pas de bruit… l’impact visuel est souvent très limité.En tous cas c’est moins visible qu’une centrale au charbon, qu’une centrale nucléaire, etc, etc.NB l’étude d’impact prend en compte l’impact visuel lors de la conception du projet.Au sujet de l'exploitation des centralesLes panneaux solaires, demandent beaucoup l’entretienFauxParmi tous les moyens de production d’électricité, le photovoltaïque est celui qui demande le moins d’entretien : pas de mécanique, aucune pièce en mouvement, pas de carburant à apporter… etc. C’est bien pour cela que nos satellites sont tous électrifiés par panneaux solaires (il n’est pas nécessaire d’envoyer un “astronaute de maintenance” tous les mois !) Mais aussi les balises en mer, les réémetteurs télécom en haute montagne, les refuges alpins, etc. Partout où il est difficile d’envoyer un technicien de maintenance, le photovoltaïque a été choisi avant tout pour sa simplicité d’entretien.C’est aussi cette simplicité qui explique que les panneaux aient une garantie de 35 ans.Cependant, dans une installation PV il y a aussi des onduleurs électroniques. Ils ont en général une durée de vie de 10 à 15 ans. Ils sont généralement contrôlés à distance et remplacés lorsque nécessaire….En bref de l’entretien oui, mais beaucoup moins que les autres moyens de production d’électricité.Un panneau solaire, c’est fragile ?FauxC’est plus solide qu’une fenêtre de toit. C’est équivalent à un pare-brise d’automobile… et plus solide que des tuiles.Bref, ce n’est pas incassable, mais ce n’est pas fragile.Au sujet de la vision à l’échelle nationale, à moyen termeLa France est en retard sur ses objectifsC’est vrai, malheureusementLa programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit 20 GW installés en 2023 et entre 35 et 44 GW en 2028. En septembre 2021, 13,2GW étaient raccordés, soit 66% de l’objectif 2023. La Fr est le seul pays de l’UE en retard sur ses engagements. Le rattrapage du retard coûtera 500M€ au Gvt français (et donc au contribuable).La France annonce qu’elle veut accélérer et changer d’échelle et développer plus de « fermes solaires ».Une ferme solaire, c’est du photovoltaïque sur une ferme agricole ?NonCette expression vient d’une traduction littérale de l’anglais « photovoltaïc farm ». Un ferme photovoltaïque est tout simplement une installation de panneaux photovoltaïques, au sol, sur un grand terrain, pour produire de l’électricité. En bon français on devrait dire une « centrale photovoltaïque ».Développer plus de fermes solaires, c’est développer plus d’installations de grande surface…A ce sujet, on dit que les surfaces nécessaires seraient hallucinantesFauxAyons les ordres de grandeur en tête :La France à l’ambition de multiplier par 10 la puissance PV installée d’ici 2050 (annonce rappelée par le Pdt lors de son discours à Belfort en 2022. Multiplier le parc installé par 10 revient à atteindre 100 à 130 GW installés en 2050.=> la production sera alors de 160 TWh/an, soit 25% de la conso totale d’élec (qui sera de 640 Twh/an)Quelle surface faudra-t-il ?Si la moitié est installé sur des toitures, des parkings, l’autre moitié devra être installée au sol (c’est nécessaire pour atteindre l’objectif et pour produire une énergie très compétitive).Il faudrait donc installer 65 GW au sol ? Cela demanderait environ 60 000 ha = soit seulement 0,2% de la SAU, soit 2 millièmes des terres agricoles (* : La SAU totale de la France est de 29 millions d’ha). Et on ferait cela en 22 ans (d’aujourd’hui à 2055), il faudrait donc trouver 2 700 ha/an (60 000 / 22 = env 2727)Pour avoir un point de repère : C’est 10x fois moins que les terres que l’on affecte chaque année à la construction de maisons (27 000 ha par an en moyenne sur 2006-2016)Non la production d’une part importante de notre électricité par énergie solaire ne demande pas des surfaces hallucinantes. Nous n’aurons pas de choix cornélien à faire entre souveraineté énergétique et souveraineté alimentaire !Donc la France a raison de vouloir accélérer !Les énergies renouvelables seraient un risque pour la stabilité du réseau ?FauxPour l’instant on fait de l’ordre de 3% du mix électrique en PV. L’objectif est de monter à 25% d’ici à 2050. Cela ne fera ne fera pas courir de risque sur la stabilité du réseau.Et c’est RTE qui le dit : RTE est le gestionnaire du réseau de transport d’électricité, changé notamment d’assurer la stabilité du réseau à moyen et long terme.Par ailleurs, RTE souligne aussi, qu’il est indispensable d’accélérer le développement des énergies renouvelables pour répondre à la croissance de la demande d’électricité en France (quelle que soit la part qui serait produite par le nucléaire.)Pour aller au-delà de 25%, après 2050, il faudra sans doute continuer d’améliorer nos solutions de flexibilité et de stockage. Des travaux sont déjà en cours, mais il n’y a aucune raison de ne pas accélérer jusqu’en 2050.Les panneaux solaires sont fabriqués en ChineC’est vrai… tout comme votre téléphone portable !C’est vrai et c’est regrettable : avant moratoire des projets industriels étaient en préparation. Les tergiversations françaises les ont fait renoncer… Lorsque nous nous sommes arrêté les Chinois ont accéléré. Ils ont eu raison.Heureusement, ce n’est pas inéluctable : des projets de Giga Usines de production de panneaux solaires en France sont de nouveau à l’étude.C’est économiquement tout à fait possible, car le surcoût d’une main d’œuvre européenne (par rapport à la main d’œuvre chinoise) est compensé par la réduction des coûts de transport.Et on a toutes les compétences pour réussir une industrie PV en FranceUne R&D de haut niveau à l’INESDes champions des semi-conducteur (STM),Des champions de la conversion d’énergie (Schneider)Des industriels du Verre Saint-GobainDe grande compétence en ingénierie industrielle.Plusieurs projets de construction d’usine en France et en Europe sont en cours.Mais alors le PV contribue-t-il à notre indépendance énergétique ?Oui !Il faut bien distinguer l’usine et le carburant !Lorsqu’un panneau est installé, (d’où qu’il vienne) il va produire de l’électricité, là où il est installé, pendant 40 ans, sans que l’on n’ait rien à importer (ni gaz, niche charbon, ni uranium...)Le « carburant » est le rayonnement solaire. Aucun pays ne peut ne couper ce robinet-là. Donc même avec des panneaux importés, le solaire contribue à notre indépendance.Et ce sera encore plus vrai, encore plus satisfaisant, lorsque nous produirons les panneaux en France…Donc oui le PV contribue à notre indépendance énergétique.Ajoutons queLe PV peut se mettre en œuvre très vite si on le souhaite, au cœur des territoiresLe PV contribue aussi la baisse des prix de l’électricité donc au pouvoir d’achat des consommateurs et à la compétitivité de notre économie,Le PV contribue à la décarbonation de notre énergieLe PV peut apporter des services utiles au monde agricoleLe PV contribuera certainement à la réindustrialisation de la FranceIl est urgent d’évacuer les arguments faux ou surannés et les polémiques stériles.Le photovoltaïque est l’une de plus belle raison d’être optimistes face aux défis actuels : Il faut que nous nous y engagions de manière unie, avec enthousiasme…Tribune de Stéphane Maureau, Directeur Général – CEO de UNITe (LinkedIn).
Il y a 2 ans et 116 jours

Carrojoint Premium de Cegecol® : un nouveau joint de carrelage esthétique et polyvalent

Pour répondre aux attentes des professionnels en quête d'un produit décoratif, à la fois performant sur le plan technique et confortable à l'application, CEGECOL® a développé CARROJOINT PREMIUM.Destiné aux carrelages des sols et des murs, en intérieur et extérieur, ce nouveau joint de carrelage polyvalent, coloré et design, offre également de nouveaux avantages :EsthétiqueSa finition ultra lisse et sa très fine granulométrie (0,3 mm) en font un joint esthétique et décoratif ;Décliné dans 17 couleurs tendance, du blanc, nude, caramel… au charbon, il s'assortit facilement aux carreaux utilisés et s'adapte parfaitement aux tons des pierres naturelles. Confortable a l'applicationSa texture fine et onctueuse le rend facile à appliquer ;Elle permet également un bon remplissage des joints allant de 1 à 10 mm (et de 1 à 5mm pour les pierres naturelles);Enfin, il se nettoie très facilement sur les carreaux sans creuser le joint.Hautement performantPolyvalent : CARROJOINT PREMIUM s'utilise sur sol et mur, aussi bien, en intérieur et extérieur ;Hydrofuge et résistant au gel, ce joint supporte également l'abrasion ;Joint flexible : il est adapté aux supports déformables, aux façades et aux sols chauffants ;Joint rapide : il sèche et se nettoie rapidement dès 15 min, la marche est possible après 3 h, ce qui permet une remise en service des locaux rapide.Caractéristiques pratiques de CARROJOINT PREMIUM Taux de gâchage : 1,4 à 1,45 litres par sac de 5kg Consommation : 0,3 à 3 kg/m2 Conditionnement : sac alu de 5kg, avec une visualisation de la couleur du joint sur l'emballage Conservation : 18 mois À très faible émission de C.O.V. (composés organiques volatils) : classée A+ et EC1PLUS Disponible en 17 coloris : blanc, coton, argent, cendre, ivoire, nude, caramel, travertin, dune, grège, châtaigne, chocolat, béton, platinium, ardoise, graphite, charbon.
Il y a 2 ans et 116 jours

Dans les corons de l'ex-bassin minier, la rénovation thermique "change la vie"

Une brume glacée baigne Bully-les-Mines, commune du Pas-de-Calais entourée de terrils. Attablée dans sa cuisine, Sylviane Niebojewski, 60 ans, caresse du regard sa vieille maison de mineurs, depuis peu "remise à neuf".Habitante de la cité "depuis toujours", elle y a connu les corons "sans salle de bains, ni chauffage central", longtemps chauffés au charbon. Puis ce pavillon autrefois "difficile à chauffer"."On avait un tout petit radiateur dans la cuisine, rien dans la salle de bains, un immense couloir glacé. L'hiver on était gelés, même en poussant le chauffage à 22-23°C. J'allumais aussi un poêle à pétrole", se remémore-t-elle. Depuis 2021, et la réhabilitation menée par le bailleur Maisons et Cités, "avec le thermostat à 19°C, on a chaud, notre consommation de gaz a baissé de 40%", se réjouit-elle.Cela représente "une économie de 50 euros mensuels, vraiment bienvenue", pour un couple aux ressources d'environ 1.100 euros, permettant de "partir un peu plus en vacances" ou s'offrir quelques loisirs.Le chantier l'a contrainte à déménager six mois dans une maison voisine, comme la majorité des locataires de cette cité centenaire, rénovée dans le cadre de l'engagement pour le renouveau du bassin minier (ERBM).Passoires thermiquesInitiée en 2017, cette politique prévoit la rénovation de 23.000 passoires thermiques sur dix ans, accompagnée d'une "requalification" de l'espace public, et d'actions pour l'emploi. Elle vise à réparer ce territoire d'1,2 million d'habitants, aux taux de pauvreté record et corons vétustes, même si partiellement classés au patrimoine mondial de l'Unesco.Estimée à 2 milliards d'euros, la réhabilitation thermique est financée par deux bailleurs sociaux, largement subventionnés, notamment par l'Etat (100 millions), la Région (30 millions) ou les intercommunalités (70-80 millions)."Nous emmenons des maisons classées E, F, G, vers une étiquette C ou BBC (bâtiment basse consommation)", résume Jean-François Campion, directeur général de Maisons et cités, gestionnaire de 90% des logements.Chaque logement est "refait du sol au plafond": les murs, curés, sont garnis d'un isolant de 12 cm, les revêtements, portes et fenêtres remplacés, des cloisons abattues. Le loyer "peut légèrement évoluer", d'une vingtaine d'euros pour un loyer de 400.L'ERBM a permis de doubler le rythme des rénovations, "prioriser les cités les plus fragiles", et "aller plus loin sur le bouquet de travaux", salue Marie Cornillon, directrice générale adjointe du second bailleur, SIA Habitat.Un projet précurseur: la loi "Climat et Résilience", votée en 2021, interdira de louer des logements classés G dès 2025, et F en 2028. En France, 5,2 millions de résidences principales étaient en 2022 des "passoires énergétiques", selon l'Observatoire national de la rénovation énergétique. Le parc social reste le mieux loti: 9,5 % d'étiquettes F/G, contre 18,8% pour le privé."Urgence à agir"Dans l'ex-bassin minier, à mi-parcours, fin 2022, environ 7.000 logements miniers étaient réhabilités, et plus de la moitié des chantiers lancés, selon plusieurs sources.Bailleurs et élus reconnaissent un "léger retard", lié à la crise sanitaire ou aux "tensions" sur les métiers de la construction.Mais "les engagements seront tenus", promet le préfet des Hauts-de-France, Georges-François Leclerc, qui pointe "l'urgence à agir", pour "soutenir" les ménages, "maintenir" ce patrimoine unique, et "répondre aux enjeux écologiques".De Béthune à Valenciennes, les habitants interrogés par l'AFP saluent majoritairement le travail mené. Comme Claudie Trifi, 58 ans, heureuse d'être débarrassée de ses vieux châssis abîmés, ou de sa toiture nue, "sans rien entre le plafond et les tuiles".C'est "beaucoup plus confortable, économe, moderne", se réjouit aussi Christelle Cauvez, 49 ans, fille de mineurs.Partout, des façades vermillon éclatantes et jardinets clôturés tranchent avec les briques fanées des maisons voisines.Ceux qui attendent leur tour sont souvent impatients. "Rénover? Il serait temps! L'été, on vit dans un four. L'hiver, je dors en pull", lâche à Lens Emilia Lequien, 41 ans. Elle craint "l'explosion des prix" du gaz, elle qui "y laisse déjà 2.500 euros" annuels."Amortisseur"Avec l'isolement par l'intérieur, imposé par le classement Unesco, "c'est plus petit, les meubles ne rentrent plus", regrette toutefois, dans une rue voisine, Micheline Fruchart, 75 ans.Quelques rares habitants déplorent eux des "malfaçons", essentiellement dans les premières cités rénovées. Président d'un collectif d'habitants à Hornaing, Jacky Saraïs a du "se battre" avec habitants et élus, pour faire réparer les défauts d'une cinquantaine de logements."On a essuyé les plâtres", mais les problèmes sont "quasiment résolus", tranche le maire Frédéric Delannoy, président de la communauté de communes du coeur d'Ostrevent.En s'attaquant "vite et fort" aux cités les "plus dégradées, reléguées", cette politique lutte contre "le sentiment d'abandon" éprouvé localement, salue son homologue de la porte du Hainaut, Aymeric Robin.Même si, avec la crise énergétique, "le gain de pouvoir d'achat attendu se transforme en amortisseur".Béton de chanvre, laine de bois: les bailleurs ont aussi "expérimenté" des matériaux biosourcés. Mais seulement sur une "fraction" des volumes. Un regret pour M. Robin: "on aurait pu aller plus loin" trouver des "process innovants, écologiques" et "duplicables rapidement".
Il y a 2 ans et 118 jours

Cem’In’Eu vise les 400 000 t en 2023

Le nouveau wagon utilisé par Cem’In’Eu. [©Cem’In’Eu] En ce début 2023, Cem’In’Eu entre dans sa cinquième année d’activité, avec les ouvertures intervenues successivement d’Aliénor Ciments (Tonneins – 47) en 2018 et de Rhône Ciments (Portes-lès-Valence – 26) en 2021. L’industriel compte plus de 300 clients livrés et 330 000 t de ciment ont été produites en 2022. Le développement du groupe est soutenu par la rapide croissance de Rhône Ciments, permettant de répondre aux besoins des clients du quart Sud-Est de la France. En 2023, Cem’In’Eu vise un objectif de 400 000 t de ciment commercialisées. Lire aussi : Rhône Ciments monte en puissance « L’année 2022 a été exigeante pour nos clients et nos équipes, déclare Fabien Charbonnel, directeur général Cem’In’Eu. En interne, malgré un contexte difficile, la mobilisation et la réactivité de chacun nous a permis de respecter notre plan de marche et d’atteindre nos objectifs de production. L’année 2023 sera riche de nouveaux challenges et, en particulier, la commercialisation prochaine de ciments bas carbone à base de pouzzolane locale. Nous avons à cœur de contribuer toujours plus à la décarbonation de l’industrie du bâtiment. » De 50 000 t à 150 000 t en 18 mois pour Rhône Ciments Depuis le début de cette aventure industrielle, Cem’In’Eu s’appuie sur une politique d’innovation en matière de process et de logistique. Mais aussi de portefeuille produits, alliée à une démarche de certification et de normalisation bien anticipée. Autant d’éléments qui ont permis de dépasser l’objectif des 300 000 t pour atteindre 330 000 t vendues. Cas particulier sur le marché du ciment, Cem’In’Eu réalise de très bonnes performances de ventes en sac, grâce à une offre inédite en France de ciment en sac étanche, en polyéthylène recyclé et recyclable. Lire aussi : Cem’In’Eu : Un nouveau sac en polyéthylène Le groupe Cem’In’Eu compte aujourd’hui un effectif total de 80 salariés et continue à recruter sur l’ensemble de ses sites pour accompagner sa croissance. En parallèle, le développement de Rhône Ciments s’est illustré par un triplement de la production, passant en 18 mois de 50 000 t à 150 000 t. Cet excellent démarrage s’explique par l’anticipation des calendriers de normalisation : tous les ciments produits par le site ayant été certifiés NF en mars et avril 2022. Le développement du site de Portes-lès-Valence engendre des besoins en recrutement non encore pourvus à 100 %… Une ambition à 400 000 t pour 2023 Les capacités de stockage de la base logistique Cem’in’Log sur le port de Sète (34) sont passées de 25 000 t à 60 000 t en 2022. Cette base de réception des livraisons maritimes de clinker expédie ensuite la matière première par rail vers les deux sites de production de Tonneins et de Portes-lès-Valence. Et s’inscrit ainsi dans la stratégie de logistique bas carbone de Cem’In’Eu. En parallèle, en fin d’année 2022, l’introduction des Innowagons a permis d’augmenter la charge utile des trains de + 21 % et donc de réduire les GES de 13 %. Le choix du transport ferroviaire permet d’éviter près de 12 000 trajets en camions chaque année. Donc d’émettre trois fois moins de GES qu’un dispositif routier, soit une économie d’environ 5 000 t eq.CO2/an. Lire aussi : Cem’In’Eu : Nouveaux wagons Enfin, Cem’In’Eu confirme ses ambitions de développement pour le prochain exercice avec un objectif de production de 400 000 t de ciment. Pour ce faire, le groupe poursuit la montée en puissance du site Rhône Ciments, en particulier grâce au renforcement des équipes de production. Son modèle de production agile lui permettra de se renforcer sur le marché des ciments bas carbone à base de pouzzolane, avec des lancements produits à venir au cours de l’année. Le chantier d’agrandissement et d’amélioration de l’unité industrielle de Rhône Ciments est en cours et la ligne sera opérationnelle en mars 2023. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 130 jours

Le chanvre peut-il être une ressource pour le granulé des poêles ?

Dans cette période d’ignorance générale sur comment se chauffer sans charbon, sans gaz naturel et sans dérégler la ressource forestière, l’aubaine d’une nouvelle ressource renouvelable comme le chanvre se répand. Cette approche est venue, encore une fois des USA, (pays de l’invention du poêle à granulés de bois, voir l’article précédent) et du Canada précisément […]