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Résultats de recherche pour corten

(57 résultats)
Il y a 148 jours

JK TECHNIC

Revêtement de façade en caillebotis JK Technic Osez le caillebotis pour l’habillage de façade pour un rendu résolument moderne. En acier, inox, aluminium, Corten, plusieurs matériaux sont à votre disposition. Grâce au thermolaquage, choisissez la nuance souhaitée parmi une large palette de couleurs. Spécialiste français du caillebotis depuis 1996, comptez sur nos professionnels expérimentés de […] L’article JK TECHNIC est apparu en premier sur Archi.
Il y a 1 ans et 16 jours

Renaissance de la Royale Belge par Caruso St John

Le bâtiment de la Royale Belge à Bruxelles restera une icône internationale de la corporate architecture des années 1960. La conception bénéficiant des avant-gardes constructives, matérielles et technologiques les plus pointues de l’époque caractérisée par sa structure apparente en béton, acier corten et ses vitrages réfléchissants Stopray Gold, a été totalement réhabilitée. Après avoir été […] L’article Renaissance de la Royale Belge par Caruso St John est apparu en premier sur Archi.
Il y a 1 ans et 265 jours

Académie des beaux-arts, les lauréats 2023 – 2024 en « Architecture et paysage »

L’Académie des beaux-arts et la Cité internationale des arts se sont associées en 2021 afin de créer trois programmes de résidences dans les disciplines « Arts visuels », « Chorégraphie » et « Architecture et paysage ». Découverte des deux lauréats du domaine « Architecture et paysage ». Les programmes Académie des beaux-arts x Cité […] L’article Académie des beaux-arts, les lauréats 2023 – 2024 en « Architecture et paysage » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 124 jours

Les panneaux muraux Kinewall Design de Kinedo

Les panneaux muraux Kinewall Design de Kinedo Un engouement qui ne se dément pas grâce à une panoplie exhaustive d’avantages, dont la rapidité et schilling jeu 09/02/2023 - 10:25 En savoir plus sur Les panneaux muraux Kinewall Design de Kinedo Partager
Il y a 2 ans et 287 jours

Kedry Prime de KE pour la terrasse du Club au Domaine des Ormes

Parmi les activités proposées figurent le mini-golf, le tir à l'arc, le ski nautique, un parcours aventure dans les arbres et des tyroliennes. (Travaux en cours : ouverture prévue en avril 2022)Vous pouvez également y aller le temps d’un repas pour faire une pause entre amis/famille dans une agréable atmosphère, grâce aux 3 bars et restaurants présents dont Le Club placé en face du parcours de golf.C’est pour développer la capacité d’accueil de ce restaurant chic & décontracté que KE est intervenu. En effet la terrasse extérieure était couverte par de simples tonnelles, qui ne permettaient pas l’exploitation de cette zone lors d’un temps moins favorable, fait d’averses ou de vent.Le besoin du propriétaire du domaine était donc de créer deux espaces distincts design et fonctionnels en toute saison.En remplacement de ces tonnelles, a été choisi d’installer 4 pergolas bioclimatiques Kedry Prime. Adossées au bâtiment et faisant une liaison parfaite entre intérieur et extérieur, les pergolas sont équipées d’éclairage LED dans les lames et les coulisses ainsi que de vitrage, pour offrir aux clients un confort parfait à tout moment tout en profitant de la vue sur le golf.Ainsi se sont créés deux espaces :Un premier, fait de 2 modules de pergolas, totalement fermé et protégé par un vitrage panoramique Line Glass pour un maximum de confort lors des repas.Un deuxième, plus ouvert, dans un esprit bar/café, fait de 3 modules et fermé par du vitrage uniquement sur le côté gauche.La couleur Corten (aspect rouille) a été choisie, se fondant le plus naturellement possible dans ce décor au charme ancien.Le choix s’est porté sur KE car le projet présenté était le seul à répondre à la complexité de la demande :Des structures robustes et designDes pergolas évolutives qui peuvent être complétées au fur et à mesureDes modules additionnables pour une couverture maximale avec un encombrement minimalUne installation qui garde une sensation d’être à l’extérieur tout en offrant le confort idéalUn projet avec une totale implication du propriétaire à dessiner le résultat finalLa possibilité de retravailler les structures pour un projet sur mesurePar la diversité de sa gamme et la modularité de ses produits, KE est le choix privilégié pour tous les établissements du monde des Cafés, Hotels et Restaurants.Les fiches techniques des produits installés sont disponibles sur demande.Localisation / client : Le Domaine des Ormes, 35120 Dol-de-BretagnePhotographe : Aphélie VangSuperficie couverte : 50m2 + 76m2Produits installés : 5 Kedry Prime couleur Corten avec fermeture latérale par vitrage panoramique coulissant Line Glass et installation d’une porte anti-panique.Kedry Prime Modules adossés sans limitation Rotation des lames jusqu'à 135° Résistance au vent et aux charges de neige avec des performances élevées Des capteurs et la domotique domestique peuvent être incorporés Possibilité de fermeture avec des stores techniques verticaux et des systèmes de baies vitrées coulissantesÉclairage avec bande led interne et externe.Détails
Il y a 3 ans et 131 jours

En l’île Rouge, sur l’Ile de Nantes, l’agence Forma6 comme chez elle

L’Île Rouge, un immeuble de bureaux (R+6) conçu à Nantes (Loire-Atlantique) par l’agence nantaise Forma6 tire son nom du métal déployé en acier Corten, référence au passé industriel du site, qui habille ses façades. Installé sur l’Ile de Nantes au cœur du quartier de la création, à quelques mètres de la nouvelle école d’architecture et […] L’article En l’île Rouge, sur l’Ile de Nantes, l’agence Forma6 comme chez elle est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 242 jours

Quatrième phase des travaux de restauration de la flèche de la cathédrale de Rouen

Alors que les trois premières étapes du chantier se sont achevées, l’échafaudage qui culminait jusqu’à présent à 85 mètres pourra atteindre 102 mètres de hauteur.La phase numéro 4 du chantier est lancéeCe chantier est un véritable challenge pour les équipes présentes sur place et qui s’attèlent au plus haut monument historique classé de France.Dans le cadre de cette nouvelle étape, l’ascenseur, donnant accès à l’échafaudage et mis en service jusqu’à aujourd’hui à 65 mètres, permettra désormais de monter à 85 mètres. Il est également prévu de déposer l’échafaudage de la phase 3 pour faire le montage simultané de la phase 4, en passant ainsi de 85 mètres à 102 mètres. Par ailleurs, comme à l’extérieur, l’échafaudage sera également implanté à l’intérieur à 85 mètres.Comme prévu depuis le début des travaux, l’échafaudage a été recouvert d’une bâche thermoformée dans l’objectif de protéger les plombages et permettre de travailler en toute sécurité pendant les intempéries. Une vraie prouesse technique, cet habillage devient nécessaire surtout à une telle altitude et dans une région comme la Normandie.Retour sur ce chantier d'envergure et sur les solutions techniques et sur-mesure de Tubesca-ComabiMonument emblématique du patrimoine français, la Cathédrale de Rouen fait l'objet de travaux de restauration depuis 2015 sur l'initiative de la DRAC de Haute-Normandie. Depuis 2016, les travaux se concentrent sur la flèche de l'édifice dans l'objectif de rénover les deux matériaux qui la composent : l'acier Corten® et la fonte. Pour rappel en 2016, TUBESCA-COMABI et Lanfry, entreprise de pierre de taille, ont répondu en groupement conjoint et solidaire et ont été retenues, pour la conception et l'installation d'un échafaudage de pied suspendu, en raison de leur expertise technique des monuments historiques et des chantiers hors norme.Pour la restauration de ce site atypique, à l'architecture complexe et asymétrique, la solution d'échafaudage retenue par TUBESCA-COMABI est le multidirectionnel M368 (en 8 positions). Il s'agit d'un produit 100% standard qui permet de répondre aux contraintes des formes géométriques et architecturales du bâtiment. Cependant, la solution d'assemblage sur-mesure fait toute la spécificité, la technicité et la particularité de ce chantier.Focus sur le multidirectionnel M368 de la flèche de la cathédrale de Rouen :échafaudage sur-mesure culminant à 152 mètres de haut (toutes phases cumulées).conçu pour supporter 500kg/m2 avec une charge mobile d’1,5 tonnes ; une résistance de 600kg/m2 sur les planchers.Pour en savoir plus : cliquez ici
Il y a 4 ans et 174 jours

Rénovation du cours Napoléon à Ajaccio en Corse du Sud

Le cours Napoléon est l'axe routier principal reliant la partie Est et Ouest d'Ajaccio. Pour la Ville, ce chantier a valeur de symbole, à plusieurs titres. Outre l'opportunité de moderniser et d'embellir la principale artère commerciale du centre-ville et d'améliorer le cadre de vie de ses habitants, sa rénovation s'inscrit dans le cadre du dispositif national « Action Cœur de Ville », outil en faveur de la redynamisation et de l'attractivité du centre-ville.« Ce projet a vu le jour grâce à une demande de financement de la Ville d'Ajaccio auprès de l'ex conseil général de la Corse-du-Sud. Cette démarche s'inscrit dans une réflexion plus large, autour de la problématique de l'interconnexion des quartiers, la réorganisation que l'on souhaite autour de la mobilité en centre-ville dans le cadre du Plan de Déplacement Urbain, l'étude de l'offre commerciale et culturelle ou encore la question du stationnement… Ce projet est une des étapes clé pour repositionner l'hyper-centre ajaccien » précise Stéphane Sbraggia, premier adjoint en charge du projet urbain et de la redynamisation du commerce et de l'artisanat.Ce chantier fait l'objet d'un permis d'aménager avec avis conforme de l'architecte des Bâtiment de France (ABF).Axe névralgique d'Ajaccio, le cours s'étend sur une distance de 875 mètres de linéaire allant de la place Abbatucci au carrefour du Diamant. Le secteur n'avait pas bénéficié de travaux de requalification depuis près de quarante ans. Avec le temps, il a accumulé des contraintes en matière de circulation et de stationnement et des problématiques de réseaux vieillissants.Les différentes études et diagnostics de terrain ont conduit la Ville à se positionner sur « un renouvellement de l'existant en matière de revêtement, d'éclairage public et de mobilier, mais aussi une meilleure adaptabilité du projet vis-à-vis de ses usages futurs » souligne la Direction Générale des Services Techniques.Parmi eux, la création d'une voix de bus dédiés aux véhicules de transport en commun à gabarit réduit et aux cyclos5 secteurs remarquables identifiésLes aménagements prévoient l'adaptation des voies de circulation, le réaménagement des trottoirs, un important plan de végétalisation (arbres, jardinières…) ainsi que le changement du mobilier urbain et la modernisation de l'éclairage public.Cinq zones bénéficieront d'un traitement particulier en raison de l'intérêt patrimonial qui a été relevé. Ainsi, il sera aménagé de nombreux plateaux traversants, dans le but d'améliorer la sécurité des piétons.Concertation et adaptabilité des travauxDès la phase de diagnostic, les grands principes d'aménagement ont été menés dans une concertation avec tous les acteurs impliqués, élus, directeurs, associations de commerçants, riverains etc… La première phase de ce grand chantier s'est achevée durant l'hiver 2019/2020, avec la réhabilitation de l'Église Saint-Roch. Le projet comprenait notamment sa mise en lumière et la restauration de sa façade, le renouvellement du revêtement de son parvis et la création d'un plateau piéton traversant et surélevé. Ce secteur préfigure de l'ensemble du programme une fois celui-ci achevé. Pour s'intégrer parfaitement au cadre patrimonial du quartier, c'est un dallage en granit beige qui a été privilégié, ainsi qu'un nouvel éclairage public LED aux décors floraux et d'inspiration « rétro », et des mobiliers urbains en pierre ou en acier Corten.La deuxième phase de l'opération concerne le parvis de la Préfecture et se concentre dans un premier temps sur la reprise du réseau pluvial souterrain. Elle se poursuivra d'ailleurs sur le secteur Lantivy et sur la zone remarquable Beverini/avenue Pascal Paoli. Le calendrier des travaux, traités par secteurs, est soumis à des adaptations conjoncturelles régulières, dans le but de limiter les conflits d'usage et l'impact sur le tissu commercial déjà particulièrement malmené.La municipalité envisage de mettre en place différents outils pour favoriser la concertation avec les usagers du Cours, comme la création d'une commission de proximité et la rédaction d'une charte mobilière et paysagère. « L'acceptabilité du projet est une des clés de sa réussite. Les outils de concertation sont là pour aider les usagers, la population et le citoyen plus largement à se l'approprier et à visualiser sous un nouvel angle la ville de demain. C'est aussi une opportunité de repenser les usages du domaine public avec les commerçants » poursuit l'élu.Un cours « plus végétal »Si le plan d'aménagement prévoit de préserver au maximum l'insertion paysagère actuelle la Ville souhaite vivement renforcer la présence du végétal sur cette artère principale.La place de l'arbre est au cœur des politiques environnementales d'aujourd'hui et l'espace urbain a vocation à évoluer dans ce sens. La requalification du cours Napoléon concernera donc également l'aspect végétal. Au total c'est près de 20% d'arbres en plus qui sont prévus sur le cours Napoléon, noblesse oblige. Les services finalisent un cahier des charges qui permettra de choisir, en tenant compte des contraintes d'usage appréhendées et de leur adaptation au changement climatique, les essences à planter, soit en plus des arbres existants, soit en remplacement de ceux qui, en raison de leur état de santé, ne pourront être conservés.Aussi, la parole des commerçants et des riverains sera prise en compte afin dans la définition de ce qui constituera leur nouveau cadre de vie.Indépendamment des arbres dits « d'alignement », des zones dédiées au végétal sont également envisagées là où l'espace public le permet, participant ainsi à la densification du tissu végétal et contribuant à la résorption des îlots de chaleur et à l'amélioration de la qualité de l'air.
Il y a 4 ans et 179 jours

ARTEPOT, fabricant de bacs à fleurs pour professionnels

ARTEPOT vient de lancer son nouveau site où toute sa gamme de bacs à fleurs et carrés de potager est disponible. Vous retrouverez les bacs des 3 grandes familles de matériaux innovants, parfaitement adaptés à un usage extérieur : La Fibre de Verre, l’Aluminium et l’Acier Corten. Les Bacs en Fibre de verre La Fibre de verre est la gamme phare de la marque Artepot. Très innovant, ce matériau est réputé pour ses nombreuses qualités : poids plume, résistance aux fortes chaleurs et au gel, matériau très stable qui ne bouge pas au contact de son environnement. Ces bacs résistent parfaitement à la charge, aux chocs et aux rayons UV. On retrouve la Fibre de verre dans les coques de bateau ou encore les casques de moto. C’est un matériau parfaitement adapté aux aménagements extérieurs. Les bacs en Fibre de Verre sont tous fabriqués à la main. Les parois mesurent 3mm d’épaisseur et sont doublées avec des plaques de polystyrène expansé de 3 cm.  Les angles des bacs sont également renforcés pour être encore plus résistants. Son aspect proche de l’aluminium en fait un matériau très en vogue pour son design contemporain. Les pots de fleurs en Fibre de verre sont déclinés dans 4 coloris : Blanc, Gris anthracite, Beige et Noir. Tous les produits ARTEPOT sont disponibles sur leur site : www.artepot.com Les fiches produits sont également téléchargeables. Les Bacs en Acier Corten L’Acier Corten est un matériau vivant qui change d’aspect au contact de son environnement. L’acier s’oxyde au bout de quelques semaines à quelques mois et obtient une couleur rouille à l’effet vintage qui plait beaucoup aux architectes d’extérieur. Il s’agit d’un matériau très utilisé pour agrémenter les jardins aux styles industriels. La couche d’oxydation en surface est ultra-résistante face à l’humidité, la chaleur, le gel (jusqu’à -20 degrés) et au poids. Cet alliage à base de fer va se recouvrir d’une épaisse couche de rouille apportant un effet vintage qui est de plus en plus demandé. Les bacs à fleurs en Acier Corten sont livrés sans oxydation, avec une couleur fer. Il est possible d’accélérer le processus d’oxydation avec un acide spécifique. Le fond des bacs en Corten est percé pour permettre l’évacuation des eaux des plantes. ARTEPOT propose également une gamme de carrés de portager en Acier Corten dans 3 formes : carré, rectangulaire et triangulaire. Les Bacs en Aluminium L’aluminium fleurit dans les extérieurs pour son design contemporain. Les lignes épurées des bacs en aluminium plaisent de plus en plus aux paysagistes. La légèreté de ce matériau et sa résistance aux attaques extérieures sont des avantages qui expliquent leur succès. Inaltérable, la durée de vie des bacs en aluminium est très longue. Aucun entretien n’est nécessaire. L’aluminium étant très malléable, ARTEPOT propose ces bacs dans 40 coloris. De nombreuses formes et tailles Pour s’adapter à tous les projets, ARTEPOT propose une large gamme de bacs dans différents formats et design. Pour les 3 matériaux, vous retrouverez des bacs carré, rectangulaire ou conique dans des tailles différentes : grande hauteur, de taille moyenne…. Les plus petits bacs ont une contenance d’environ 50L (environ 40x40x40 cm) et peuvent dépasser les 1300L de contenance (120x120x120 cm pour un bac carré).
Il y a 4 ans et 254 jours

A Château-Thébaud, le porte-vue d’Emmanuel Ritz est un belvédère

En juin 2020, l’architecte Emmanuel Ritz a livré sur la commune de Château-Thébaud (Loire-Atlantique) un étonnant belvédère. D’un coût total de 250 000€, l’ouvrage est vêtu d’un enrobé beige tandis que le mobilier et les garde-corps sont en acier Corten. Communiqué. Dressé au-dessus de la Maine, un affluent de la Sèvre Nantaise, ce nouveau belvédère […] L’article A Château-Thébaud, le porte-vue d’Emmanuel Ritz est un belvédère est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 299 jours

Batiik Studio : Chez Amélie, l’Atelier

Batiik Studio a métamorphosé l’ancien atelier d’un artiste peintre en un appartement lumineux pour Amélie du Chalard. Situé au 8 rue Clauzel (9ème arrondissement) dans le même bâtiment que sa galerie Amélie, Maison d’art, ce triplex fait la démonstration d’une surprenante économie de moyens et met à l’honneur les œuvres acquises par la collectionneuse. Pour son appartement parisien, la galeriste Amélie du Chalard a souhaité valoriser la lumière et préserver le volume de l’ancien atelier. En collaborant une nouvelle fois avec Batiik Studio – l’agence d'architecture d'intérieur et de design fondée par Rebecca Benichou en 2014 –, elle a ainsi imaginé un espace minimaliste qui fait la part belle à sa collection personnelle d’œuvres et d’objets d’art. L’appartement est vaste – 140 mètres carrés répartis sur deux niveaux –, et articulé autour d’une pièce à vivre principale où la hauteur sous plafond est de 9 mètres. Sous la mezzanine où sont disposées la chambre, la salle de bains et le dressing, la salle de séjour accueille trois chambres et une cuisine ouverte sur un immense salon. Doté d’une grande verrière, celui-ci est le cœur de l’habitation. Bien que l’espace soit sobre par son all-over de blanc, bois, acier corten et cannage rendent plus intimiste et chaleureux sans pour autant prendre le dessus sur les nombreuses œuvres exposées. Un triplex sophistiqué qui fait la part belle à l’art. Pour en savoir plus, visitez le site de Batiik Studio.Photographies : © Giaime MeloniLa Rédaction
Il y a 4 ans et 363 jours

A Lugrin, l’extension en Corten de l’école signée O-S est contextuelle

Ateliers O-S architectes (Vincent Baur, Guillaume Colboc, Gaël Le Nouëne) a livré en 2020 l’extension des équipements scolaires de Lugrin (Haute-Savoie). Quatre nouvelles classes élémentaires, dont un atelier d’art, un restaurant scolaire, locaux de services et l’aménagement des espaces extérieurs, soit 1 300 m² pour un coût des travaux de 1,6M€ HT… Autant d’éléments de […] L’article A Lugrin, l’extension en Corten de l’école signée O-S est contextuelle est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 9 jours

Un ruban de corten, en hommage aux carrières d'Alsace

Diplômés de l’Ensa Paris-Belleville et remarqués avec le préau de l’école Pierre-Corneille à Versailles, Grégoire Dumont et Olivier Legrand fondent leur agence en 2009, à Paris et Bordeaux. Soucieux de développer le recours aux matériaux biosourcés, les architectes Grégoire Dumont et Olivier Legrand […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 17 jours

Atelier Vens Vanbelle : Alex Guesthouse

Créée pour un producteur de cinéma belge, la « Guesthouse » imaginée par l’Atelier Vens Vanbelle est une extension à l’architecture remarquable, contrastant avec la maison principale de style français du propriétaire. Comprenant une chambre, une pièce à vivre et une salle de projection, l’ensemble atypique semble tout droit sorti d’un film steampunk. Alex voulait agrémenter son jardin situé à proximité de la Schelde d’une extension à son image : cinématographique et atypique. Accueillant de nombreux invités en sa demeure, ce propriétaire tenait à marquer l’esprit de ses convives en leur proposant un espace de vie agrémenté de quelques surprises. Avec sa forme inédite et son revêtement en acier corten, le bâti jouit d’un caractère abstrait, semblable à un sous-marin ou à une habitation tout droit sortie d’un ouvrage steampunk. Sur une surface de 150 mètres carrés, le projet de l’Atelier Vens Vanbelle est articulé autour d’un escalier en colimaçon desservant trois niveaux : : un rez-de-chaussée abritant la chambre et la pièce de vie surmonté par un belvédère agrémenté d’une douche extérieure et un sous-sol dissimulant une salle de projection. A chaque étage son ambiance. L’espace habitation est conçu comme une grotte de bois entièrement composée de bois lamellé et percée de deux fenêtres rondes, l’une donnant sur le jardin et l’autre sur la maison principale. Construite comme une expérience cinématographique, la maison d’hôte accueille une petite salle de projection aux rideaux rouges, enrichi d’un petit bar intimiste.De quoi s’échapper quelques instants de la réalité. Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier Vens VanbellePhotographies : Tim Van de VeldeZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 31 jours

Rencontre avec : Alexia Chevrollier

Après avoir obtenu son DNSEP à l'École Nationale Supérieure d'Art de Dijon (2012), l’artiste Alexia Chevrollier a étudié la philosophie à l’université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis (2014-16), puis l’esthétique à l'université Paris-Sorbonne (2016-18). Alexia Chevrollier mêle depuis pratique artistique et réflexions théoriques. Rencontre avec une jeune plasticienne qui « met en scène » les matières. Muuuz : Quand je vous ai rencontrée, j’ai découvert des peintures, des sculptures, des vidéos, des photographies, où il est toujours question de matières. Pouvez-vous nous parler un peu de votre pratique éclectique ?Alexia Chevrollier : Mon travail peut être défini par la notion de mouvement. Il n’est pas figé dans le temps ni dans une seule et même pratique. Je refuse de répondre à une technicité car je privilégie les matériaux. J’aime me définir comme une metteuse en scène de matières plutôt que comme une artiste plasticienne. Dans mes œuvres, je mets en scène les matières comme un metteur en scène dirige les corps. Je cherche toujours à révéler toutes les qualités des matériaux. Pour décrire votre processus de création, vous parlez d’une « déréalisation de la matière ». Qu’est-ce que cela signifie ? J’emploie l’expression « déréalisation de la matière » pour décrire mon travail autour de la rouille, qui est à la fois pictural et sculptural. Quand on est sculpteur, on utilise souvent des matériaux qui doivent être pérennes, car il y a une notion d’élévation et de construction. À partir de ce constat, je me suis demandée comment un matériau robuste comme le métal pouvait s’exprimer autrement, et j’ai choisi de déconstruire les propriétés mêmes de la matière en la rendant liquide. La « déréalisation de la matière » permet ainsi de détourner la robustesse première du métal. Comment sont nées vos peintures qui « déréalisent la matière » ? Mon désir de « déréaliser de la matière » vient de plusieurs cheminements de pensée. L’idée est d’abord d’inverser la qualité propre d’un matériau. Mais il y a aussi une part de hasard. Un jour, les jus d’oxyde de fer que je conservais dans des boîtes métalliques ont attaqué leurs contenants et se sont répandus sur le sol de mon atelier. J’ai alors pris des feuilles et des chutes de toile pour éponger le liquide. Les œuvres issues de cet événement fortuit sont à la fois métalliques et organiques. J’ai depuis développé cette pratique de peinture de rouille. Je me suis aussi inspirée des usines abandonnées. J’aime pouvoir imaginer les vies antérieures d’un lieu. Le métal est très présent dans les anciennes usines, des casiers aux tableaux électriques. Dans les usines en friche, on observe souvent des coulures de rouille qui évoquent le passage du temps. Mes peintures réalisées avec du jus de rouille sont des faux-semblants d’acier Corten, un acier auto-patiné utilisé par l’artiste Richard Serra dans ses sculptures, mais elles ne sont pas vraiment des peintures. Ce sont des œuvres de sculptrice plutôt que de peintre. Elles évoluent car elles s’oxydent en fonction de la teneur en oxygène et du taux d’humidité du lieu. Ces toiles réagissent constamment avec leur environnement, ce qui les rapproche encore une fois de la sculpture. À l’inverse, dans mon travail de jus de rouille sur toile libre, on s’éloigne des toiles de métal semblables à des plaques d’acier Corten. J’aime peindre ces toiles désincarnées par terre dans mon atelier. En les peignant au sol, je ne mets pas de distance entre mon corps et la toile. Une fois que la toile est sèche, je la mets en scène en la pendant au mur, ou en la plaçant sur des barres métalliques. J’aime inscrire le sol de mon atelier dans ma toile. L’atelier est le lieu caché de l’artiste, le support de toutes ses erreurs et de toutes ses réussites. Je laisse une empreinte, celle de mon atelier, mais aussi toutes celles des ouvriers et des artistes qui ont travaillé dans ce lieu avant moi. J’aime évoquer les histoires des espaces vécus dans mes peintures. Dans votre œuvre, l’artisan occupe une place centrale. Pouvez-vous nous expliquez votre démarche ? L’artisan occupe effectivement une place très importante dans mon œuvre. Je suis fascinée par les artisans. Je valorise la collaboration avec l’artisan car je refuse d’être commanditaire d’un savoir-faire. Je suis plus intéressée par la réaction de la matière que par le geste de l’artisan. Lorsque je travaille avec un artisan, je lui demande de sortir de son savoir-faire contrôlé en l’emmenant vers des positions d’inconfort. Je deviens alors « chorégraphe » de sa gestuelle. Que signifie pour vous ce travail collectif ? Ce travail collectif est très important pour moi. Je ne prétends pas apprendre un nouveau savoir-faire. J’ai envie d’être surprise et de rester assez naïve devant une matière. J’aime conduire l’artisan vers un terrain qu’il ne connaît pas, une situation qu’il ne maîtrise pas. J’ose espérer que mon intervention marque aussi les artisans. Quelle relation entretenez-vous avec les artisans avec lesquels vous collaborez ? Les considérez-vous comme des artistes ? L’artisan n’est pas à mon service. Nous sommes tous les deux au service de la matière. J’aime le hasard de la rencontre avec chaque artisan. Par exemple, quand j’ai commencé à travailler avec le maître verrier Stéphane Pelletier de l’Atelier Gamil, il y a tout de suite eu une complicité. J’ai d’ailleurs réalisé de nombreuses œuvres avec lui, notamment Souffle, Soulèvement, The Breath of fountain, Entropie et Lulu. Une relation de confiance doit exister entre l’artisan et moi pour que la collaboration soit possible. Tout l’enjeu de mon film Contre Taylor sur le travail d’un maître charbonnier est de montrer le passage de la construction à la déconstruction de la matière à travers le geste de l’artisan. Je pense que la différence entre l’artisan et l’artiste se cristallise autour de la sphère marchande. L’artiste est autant producteur que l’artisan, mais l’artiste est sans doute un mauvais artisan. L’artiste contemporain explore souvent différents médiums mais il ne les maîtrise pas forcément, tandis que l’artisan connaît et maîtrise très bien un seul savoir-faire. Certains artisans ont marqué durablement mon parcours. Pourquoi les matières vous fascinent-elles ? Les matières racontent des histoires. J’entretiens un relation très sincère avec elles. En 2017, j’ai réalisé Condition (structure), une sculpture éphémère constituée d’une structure en bois de charpente sur laquelle était posée une petite sculpture en terre crue. Je joue ici sur l’équilibre entre la robustesse des éléments en bois et la petite sculpture en terre cuite, mais je m’intéresse surtout aux histoires de ces matériaux. Les fragments de charpente utilisés dans mon œuvre avaient été récupérés par une architecte dans une veille maison pour construire un escalier. L’architecte m’a prêté ces fragments de bois le temps de mon exposition personnelle « La fabrique des possibles. Paysages crus » à la Chapelle du Carmel de Chalon-sur-Saône en 2017. En mettant en scène ces morceaux de bois, je dialogue avec les matières. Certaines de vos œuvres sont immersives, d’autres s’inscrivent dans l’espace. Que souhaitez-vous provoquer chez le regardeur ? Je cherche toujours à parler au regardeur. Dans ma dernière exposition personnelle « À force égale » au CRAC de Champigny-sur-Marne en 2019, j’ai choisi de créer un jeu entre extérieur et intérieur pour intégrer le visiteur à l’espace. Je prends toujours en compte le corps du spectateur. L’œuvre fonctionne en elle-même, mais le spectateur a son importance dans la logique de l’œuvre. Avec le temps, mes sculptures et mes peintures évoluent. Si le visiteur vient se confronter plusieurs fois à mes œuvres, il peut découvrir les transformations visibles de mes travaux, des « inframouvements » perceptibles dans le temps. Le regardeur se situe au centre de ma pratique. Dans mes œuvres, je viens contrarier la vitesse et le rendement qui nous sont imposés par la société capitaliste en confrontant le spectateur au rythme de la matière. Je l’invite en effet à se questionner. Tant mieux si le spectateur s’ennuie devant mes œuvres car ce hors-temps lui permet d’accéder à un autre monde. Aujourd’hui, prendre le temps est devenu un acte de résistance car chaque minute est rentabilisée.Dans un texte récent, vous racontez déjà l’impact du confinement sur votre travail. Pouvez-vous nous en parler ?La crise sanitaire actuelle causée par le Covid-19 m’a permis de mettre à l’épreuve ma pratique artistique. Avec ce printemps 2020, l’humanité est obligée de se mettre en pause, et peut alors choisir de se reconnecter à des activités essentielles. Durant le confinement, j’ai décidé de réfléchir sur la création post-confinement. Comment créer après la crise sanitaire ? Comment s’adapter à la situation actuelle ? J’ai imaginé un espace avec plusieurs œuvres, que les visiteurs peuvent caresser. Ce projet en devenir serait à la fois une invitation à recréer du lien et une invitation à produire une installation collective. Chaque visiteur pourrait venir modifier mes créations et introduire sa propre énergie. J’aimerais produire des œuvres interrelationnelles, et conférer ainsi à mon travail une dimension collective. Cette installation serait mon appel à sortir de l’individualité. Pour en savoir plus, visitez le site de l’artiste Alexia Chevrollier. Photographies : Portait, vues des expositions « À force égale » et« La fabrique des possibles. Paysages crus » © Nicolas Briet, Vue de l’atelier © Marie Docher, Extrait de la vidéo Contre Taylor, 2014-2017, film, 1h45 min © Alexia Chevrollier.Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 102 jours

Effet Corten par Philippon-Kalt pour la résidence Adoma

L’opération Adoma Péan/Masséna est une résidence sociale de 230 studios (4 427 m² SHAB) livrée en juin 2018 par l’agence Philippon – Kalt Architectes. La façade en tôle perforée, à l’effet Corten réalisé par Adapta Color, propose une interprétation résolument […] L’article Effet Corten par Philippon-Kalt pour la résidence Adoma est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 127 jours

LAN Architecture : Quartier de Semi-liberté et services pénitentiaires d'insertion des Hauts-de-Seine

La conception d’une prison n’est jamais chose facile. Plus qu’un simple ouvrage architectural, « c’est avant tout une question sociologique et politique », précisent les architectes de LAN, en charge de la construction d’un bâtiment à double usage : un quartier de Semi-liberté et les services pénitentiaires d'insertion des Hauts-de-Seine. Focus sur un ensemble aux multiples problématiques gérées avec brio. L’univers carcéral est un monde bien complexe pensé, bien souvent, en dehors de tout tissus urbain. Entre décentralisation et murs d’enceinte, tout est mis en œuvre pour exclure les prisons de la vie citoyenne. Les architectes de l’agence parisienne LAN partent alors de ce constat pour inscrire leur projet dans le 21ème siècle, avec les questions sociétales qui accompagne notre époque. Un seul mot d’ordre ici : « l’ambition d’estomper le sentiment d’hétérotopie entre la ville et l’enclos du pénitencier ». La première caractéristique de ce projet réside dans un regroupement inédit de deux programmes bien distincts rassemblés dans un ensemble en forme de L. Alors que le siège des services pénitentiaires d’insertion et de probation des Hauts-de-Seine (SPIP), installé dans le front bâti, permet de garantir un suivi des détenus, le quartier de semi-liberté (QSL), développé en cœur d’îlot, assure à des condamnés de jouir d’un régime particulier leur permettant de quitter la prison dans le but de s’investir dans un projet de réinsertion, prévenant ainsi les risques de récidive et facilitant leur sortie finale. Le projet s’inscrit dans une zone urbaine dense où cohabitent logements pavillonnaires, grands ensembles et bâtiments industriels. Depuis la rue, la construction apparaît comme un grand monolithe en acier corten à l’angle de deux rues, percé en façade Sud par l’entrée du Quartier de semi-liberté. Un espace de transition reliant intérieur et extérieur est quant à lui surplombé d’une structure en porte-à-faux. Le Quartier de semi-liberté s’illustre aussi par un playground coloré et un jardin planté visible des cellules et accessibles via le rez-de-chaussée. Placées à ce niveau, les salles communes – réfectoire, salle de musculation, médiathèque et laverie – s’ouvrent sur la promenade. Une conception neuve du milieu carcéral qui ouvre de nouvelles perspectives bienvenues. Pour en savoir plus, visitez le site de LAN architecture Photographies : Cyrille Weiner Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 159 jours

Reiulf Ramstad Arkitekter et Parenthèse Paysage : Chemin des Carrières

« Le Chemin des Carrières, la piste des carrières, est une dentelle ondulant dans le paysage, une invitation au voyage comme notre ambition derrière la reconquête du chemin de fer Rosheim-St Nabor en Alsace, France. » C’est en ces mots que décrivent les architectes du cabinet Reiulf Ramstad Arkitekter le Chemin des Carrières, parcours de 11 kilomètres poétique qui remet la nature au centre du paysage construit. Pour le projet du Chemin des Carrières, l’architecture se met au service du patrimoine ferré du site de Rosheim-St Nobor (67). Avec pour but de desservir les carrières de la région, le parcours s’adapte aux paysages vallonnés des collines sous-vosgiennes tout en racontant l’Histoire de cet ancien paysage ferroviaire. Un passé que l’on retrouve ici dans les matériaux et dans le chemin parcourut qui serpente le site vallonné ponctué de mobilier urbain. La conception même du projet s’inspire également de la double fonction des anciennes voies – à savoir industrielle et transport de voyageurs –, et propose également de faire côtoyer le fonctionnel à l’imaginaire du voyage en mettant en lumière des lieux particuliers. Ainsi, l’ensemble se divise en cinq chapitres rythmant la balade des usagers du Chemin des Carrières. Comme lorsque l’on prend un train, nous sommes ainsi libre de « descendre » à chaque arrêt, chacun racontant une histoire particulière. Le premier stop est celui de « Rosheim ». Symbole du passé, ce pavillon réalisé par des cercles entrelacés en acier corten est un labyrinthe jouant avec les vestiges de la voie ferrée encore visible ici. Agrémenté de bancs, cette étape est propice à la réflexion et à la contemplation.« Boersch » incarne le voyage au travers d’une grande place aménagée et ouverte sur l’eau. Constituée d’un tapis de rails insérés dans du béton balayé, la structure est ornée de deux structures en bois sous lesquels les voyageurs peuvent s’abriter.L’arrêt suivant offre une perspective d’exception sur le mont Saint Odile. Nommée « Leonardsau », cette étape est tournée vers le voyage comme source de découverte.Nous arrivons ensuite dans l’ancienne gare où « Ottrott » matérialise l’histoire du chemin de fer. L’aménagement demeure sobre pour laisser à voir les vestiges industriels tels que le pont balance, la grue ou la pompe et dans le but de mettre les rails en avant.Enfin, à « Saint-Nabor », la nature reprend ses droits et la voie disparaît dans les feuillage. Les architectes opèrent ici une intervention minime délimitant le jardin des carrières par des lames corten sortant du sol. Le parcours se termine sur une plateforme haute où un promontoire en corten est installé afin d’offrir aux promeneurs une vue dégagée sur le vallon de Rosheim et sur la plaine d’Alsace. De la poésie à l’état pur. Pour en savoir plus, visitez le site de Reiulf Ramstad Arkitekter et de Parenthèse Paysage Photographies : Florent Michel 11h45 Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 179 jours

Accessibilité et design par KAWNEER

L’accès au logement est un enjeu sociétal majeur. Le décret n°2015-1770 et l’arrêté du 24 décembre 2015 relatifs à l’accessibilité des personnes handicapées aux bâtiments d’habitation collectifs et aux maisons individuelles neuves construites pour être louées ont modifié le code de la construction et de l’habitation et actualisé les obligations réglementaires en matière d’accessibilité. KAWNEER, créateur de systèmes architecturaux en aluminium, étudie et développe depuis des décennies des menuiseries facilitant la mobilité et intégrant qualité, garantie et rigueur technique ; le tout sans renoncer au design. KAWNEER met à la disposition des architectes, des constructeurs et des concepteurs toute une gamme de coulissants, portes et portes-fenêtres, pour créer des espaces, publics ou privés, accessibles. COULISSANT A LEVAGE MEGATREND, L’ACCESSIBILITÉ EN VERSION XXL Parmi les récentes innovations développées par KAWNEER pour favoriser l’accessibilité, MEGATREND est un coulissant à levage pour baies de grandes dimensions. Pour s’adapter aux architectures contemporaines exigeant des baies aux ouvertures généreuses dans l’habitat et le non résidentiel, les vantaux du coulissant MEGATREND, avec une envergure pouvant atteindre jusqu’à 18 mètres de long, et ce, malgré des profilés aux vues d’aluminium extrêmement réduites (entre 74 et 100 mm maxi), peuvent recevoir les vitrages les plus performants et atteindre jusqu’à 3 m de haut et 3 m de large. Équipé d’un seuil PMR encastrable, le coulissant MEGATREND facilite l’accès aux personnes à mobilité réduite. COULISSANTS KASTING ET KASTING SPECI’AL K, EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE ET DESIGN Dernier né de la collection KASTING, le coulissant KASTING SPECI’AL K offre un parfait équilibre entre performances thermiques et économiques. Adapté aux constructions neuves et à la rénovation, en logements collectifs et en maisons individuelles, KASTING SPECI’AL K affiche des profilés aux lignes droites, avec des vues d’aluminium les plus fines du marché et un seuil PMR de 20 mm pour favoriser l’accessibilité. Ce modèle présente également de hautes performances acoustiques. Proposé en 2, 3 ou 4 vantaux, KASTING SPECI’AL K est disponible en différentes couleurs, textures et en bicoloration pour s’adapter à tous les projets. PORTE GRAND TRAFIC K190, L’AISANCE ABSOLUE Fabriquées sur-mesure, les portes grand trafic K190 sont destinées à l’équipement des passages à forte fréquentation des Etablissements Recevant du Public, en neuf comme en rénovation. Grâce à l’épaisseur de leurs profilés en aluminium jusqu’à 3,1 mm, elles offrent aux maîtres d’ouvrage une solidité à toute épreuve. Légères, stables et résistantes, elles autorisent de larges ouvertures et peuvent intégrer tout type de remplissage jusqu’à 46 mm d’épaisseur afin d’obtenir des performances thermiques élevées. Le seuil plat des portes K190 de Kawneer répond aux normes exigées en matière d’accessibilité aux personnes à mobilité réduite (PMR). La porte K190 est disponible en plusieurs modèles : traditionnelle en 1 ou 2 vantaux, simple ou double action traditionnelle anti pince doigts en 1 ou 2 vantaux, simple ou double action avec contrôle d’accès en 1 ou 2 vantaux simple action avec contrôle d’accès et anti pince doigts en 1 ou 2 vantaux, simple action avec ou sans seuil réduit Aux lignes droites et tendues, les profilés en aluminium des portes K190 autorisent la composition d’ensembles au design soigné et contemporain. Les portes K190 de Kawneer bénéficient de la garantie à vie de l’assemblage des ouvrants. Pour mettre en valeur le design de ses menuiseries aluminium, Kawneer propose un large choix de teintes et finitions (effets sablés, métallisés, grainés, anodisés, ou encore effet bois) pour soutenir la liberté de création des maîtres d’œuvre et des architectes. Les teintes exclusives Kawneer contribuent à donner une signature toujours plus affirmée à tous les projets : Oxyde natif® aux reflets naturels incomparables, Rouille natif® finition type acier corten et Zinc natif®, à l’aspect naturel et élégant. Avec toutes ces solutions proposées par Kawneer, les architectes et maîtres d’ouvrage ont l’assurance de rendre les bâtiments d’aujourd’hui et de demain accessibles à tous.
Il y a 5 ans et 183 jours

FORESTIA / FELIX CLERCX – Le Groupe FORESTIA accélère sa croissance à l’international avec l’acquisition de la société néerlandaise Felix Clercx B.V et de sa filiale allemande, réalisée avec le soutien de Bpifrance et NCI

Le Groupe FORESTIA fondé et dirigé par Nicolas Tant, réalise l’acquisition de 100% de la société Felix Clercx B.V à Helmond (Pays Bas) et de sa filiale située à Dortmund (Allemagne) spécialisée dans l’importation de bois tropicaux, thermo-traité et composite. Bpifrance et NCI, qui étaient rentrés au capital de Forestia en mai 2019, ont réaffirmé leur soutien au groupe en réinvestissant à cette occasion, afin d’accompagner le financement de cette opération de croissance externe structurante pour la société. FORESTIA conçoit, fabrique et commercialise des solutions d’aménagement extérieur en bois bruts et bois composite : bardage, terrasse et clôtures ainsi que des accessoires de pose à sa marque mais aussi des produits d’aménagement et de décoration du jardin destinés aux paysagistes, tels des bacs en acier corten ou fibre de verre, éclairage, garde-corps. Ces produits sont commercialisés auprès de négociants spécialisés par Fiberdeck® ou directement à la clientèle finale (professionnels et particuliers) par l’intermédiaire de sites web (So Garden, Decklinea et Direct-Abris). Fondée il y a 15 ans, Forestia a connu une croissance organique forte et régulière et s’est imposé comme l’une des références sur le marché français des produits d’aménagement extérieur. Avec cette nouvelle opération de croissance externe, Forestia poursuit son objectif de développement international et complète son offre en matière de bois haute qualité. Le groupe double ainsi de taille et prévoit de réaliser un chiffre d’affaires consolidé avoisinant les 50 millions d’euros en 2019. Nicolas Tant maintient par ailleurs ses objectifs de croissance en France et à l’export, en axant son développement sur des produits innovants et d’une qualité irréprochable, notamment sa nouvelle gamme de bardage WEO en bois composite co-extrudé garantie 20 ans sans décoloration. Nicolas Tant, Dirigeant de Forestia, déclare : « L’acquisition de Felix Clercx va nous permettre d’accélérer notre croissance en Europe en nous ouvrant de nouveaux marchés à forts potentiels. Felix Clercx, est une entreprise avec qui nous avions noué des liens commerciaux de plus en plus étroits ces dernières années. Cette importante acquisition a pu se dérouler en pleine confiance avec une stratégie partagée par son dirigeant Peter Derckx pour construire un avenir commun. Felix Clercx partage nos valeurs, notamment de développement durable avec une forte proportion de bois certifié FSC dans sa gamme. Cette société dispose d’une plateforme logistique de 40 000 m2 très performante et d’une clientèle diffuse bien répartie sur l’Allemagne et le Bénélux. » Peter Derckx, Dirigeant de Felix Clercx B.V., ajoute : « En 2012, après avoir pris la direction générale à la suite de Jean-Marie Clercx j’ai pu développer l’entreprise, notamment sur le marché allemand avec une qualité de service qui nous caractérise. N’ayant pas de succession au sein de la famille après 3 générations, nous avons décidé, d’un commun accord avec la famille Clercx de chercher un repreneur courant d’année 2018. Nos bons ratios financiers ont suscité beaucoup d’intérêts de la part de plusieurs sociétés néerlandaises mais Forestia® s’est avéré être pour nous le « candidat idéal » : la même vision stratégique, pas de chevauchement de clientèle et de plus une gamme de produits extrêmement innovante et complémentaire de notre assortiment actuel. Nos clients apprécieront tout particulièrement les dernières nouveautés en matière de bardage en bois composite co-extrudé. Je continuerai à donner des orientations à cette belle entreprise dans les années à venir en jouant les synergies avec le nouveau propriétaire Forestia®. Nous envisageons l’avenir avec encore plus de confiance et nous maintiendrons notre slogan : « Wood for generations ». Jean-Yves Duriez, Directeur d’investissement chez Bpifrance Investissement, conclut : « Nous avions participé en mai 2019 avec NCI à l’ouverture du capital de Forestia, afin de soutenir cette entreprise familiale dans son développement rapide, porté par une croissance organique robuste, générée par de nouveaux produits de qualité, durables et répondant aux attentes des consommateurs. Nous sommes heureux aujourd’hui de l’accompagner dans cette nouvelle étape de son développement, au travers de cette opération de croissance externe structurante, qui va lui permettre de doubler de taille et de s’implanter sur de nouveaux marchés, aux Pays-Bas et en Allemagne ».   Intervenants Investisseurs financiers :  –    Bpifrance Investissement : Jean-Yves Duriez, directeur d’investissement, Pierre de Miscault, Vincent Stievenard, directeur interrégional –    NCI : Anne-Cécile Guitton, Directrice Associée, Anaëlle Meilard Conseil juridique Forestia : –    Cabinet Théret : Anne-Sophie Leriche, Edouard Théret. –    Pellicaan Advocaten : Juriaan Maccow, Sanne de Graaff, Anita van Nielen Conseil juridique Felix Clercx : Eno Schets, Audit financier : Cabinet Mazars : Bas van Ouden, Eddy Bertelli, Sylvia van Beukering Audit Juridique, fiscal et social : Cabinet Mazars / Pellicaan : Juriaan Maccow, Sanne de Graaff Dette senior : Banque Populaire du Nord (Martin Descamps), HSBC, CIC Nord-Ouest, Bpifrance Financement A propos de FORESTIA Forestia® est une société spécialisée dans le développement de produits d’aménagement extérieur, qu’elle commercialise via une distribution multicanal BtoB et BtoC à travers ses filiales : Amenabois, So Garden et Fiberdeck. Spécialistes des produits en bois massifs à l’origine, la société a développé un savoir-faire dans les bois composites de haute qualité avec des applications plus durable en revêtements extérieurs, ainsi qu’une gamme d’accessoires innovants pour simplifier l’installation de ses produits sous ses propres marques. Bureau d’étude à l’origine, Forestia, attache une grande importance à la mise au point de produits de haute qualité, pour un usage durable et respectueux de l’environnement. A propos de FELIX CLERCX Felix Clercx, fondé en 1891 à Helmond (Pays Bas) est une entreprise familiale qui s’est développée à travers 3 générations dans l’importation et la distribution de bois exotique puis  de produits manufacturés pour le jardin et la construction. En provenance principalement d’Indonésie et d’Afrique, les bois sélectionnés sont à plus de 30% certifiés FSC. L’introduction de bois composite et de bois thermo-chauffés dans sa gamme est récente avec une volonté de diversification de ses approvisionnements. La plateforme de stockage s’étend sur 40 000 m2 avec une évolution du service de préparation au détail pour répondre aux nouvelles attentes de ses clients.  A propos de Bpifrance Les investissements en fonds propres de Bpifrance sont réalisés par Bpifrance Investissement. Bpifrance finance les entreprises françaises – à chaque étape de leur développement – en crédit, en garantie et en fonds propres. Bpifrance les accompagne dans leurs projets d’innovation et à l’international. Bpifrance assure aussi, désormais leur activité export à travers une large gamme de produits. Conseil, université, mise en réseau et programme d’accélération à destination des startups, des PME et des ETI font également partie de l’offre proposée aux entrepreneurs. Grâce à Bpifrance et ses 48 implantations régionales, les entrepreneurs bénéficient d’un interlocuteur proche, unique et efficace pour les accompagner à faire face à leurs défis. A propos de NCI Acteur majeur du capital investissement implanté à Rouen, Paris et Lille, NCI investit des compétences et des fonds propres dans des projets de création, de développement et de transmission minoritaire ou majoritaire d’entreprises régionales. Doté d’un accélérateur, et d’une équipe d’experts, NCI accompagne les entrepreneurs dans « leurs projets de création de valeur ». Avec 220M€ sous gestion – confiés par des investisseurs institutionnels publics et privés, NCI concilie finance et développement économique sur son territoire.
Il y a 6 ans et 287 jours

AIA Life Designers : Salle à tracer

Réaliser ses locaux : une gageure pour une agence d'architecture. Alors quoi ? Construire neuf ? Réhabiliter, au risque que la patte de l'ancien prenne le dessus sur le projet ? Ou à l'opposé, réussir une délicate rénovation où le cachet de l'existant n'empêcherait pas les nouveaux occupants d'y apposer leur touche ? C'est ce tour de force que l'agence AIA Life Designers a réalisé dans ses locaux nantais livrés en 2017. Si édifier pour autrui ne tient pas de la sinécure, construire pour soi peut paradoxalement se révéler être un exercice encore plus complexe, surtout pour une agence d'architecture, qui se trouve alors en proie à une certaine schizophrénie : portant à la fois la casquette de maître d'"uvre et de maître d'ouvrage. L'an passé, le studio international AIA Life Designers, fondé en 1975, et plus connue sous son ancien nom AIA Associés, s'est plié avec succès à ce difficile exercice. Un dossier (presque) comme un autre pour lui, qui revêt cependant la dimension supplémentaire de porte étendard. Première étape pour AIA : trouver les locaux d'un nouveau pied-à-terre capable d'accueillir plus de 200 employés. Les associés de l'agence, jusqu'alors basée dans la banlieue de la Cité des Ducs de Bretagne, ont eu un coup de c"ur pour les anciens chantiers Dubigeon datant des années 1920, situés en bord de Loire, dans l'ancienne commune de Chantenay aujourd'hui intégrée à la ville. Un choix qui s'est révélé plus onéreux que celui de la construction neuve, mais que les intéressés ne regrettent pas, comme le livre Pascal Fourrier, membre fondateur d'AIA. Il faut dire que ce hangar de 65 mètres par 13 installé perpendiculairement au cours d'eau est chargé d'histoire. C'est en effet ici, dans la vaste salle à tracer de 800 mètres carrés installée au deuxième étage du monument classé au Patrimoine nantais, que les gabarits des coques des navires était tracés à l'échelle 1, à même le sol au moyen de cales en laiton. " On l'appelle la salle des prieurs car les apprentis travaillaient ici à genoux ", raconte Pascal Fourrier. Un passé dont le plancher en sapin conserve les stigmates, que les architectes ont souhaité encapsuler sous une dalle sèche et ponctuellement vitrée " une solution prise de concert avec l'Architecte des bâtiments de France. Ce monument industriel de trois niveaux, abandonné depuis 1969, était dans un état de dégradation avancé, qui a nécessité 9 mois de démolition et de curetage de l'ossature béton " fortement dégradée et pauvre en ferraillage ", qui a dû être frettée à grand renfort d'acier. Certaines croix de contreventement ont par ailleurs due être supprimées car elles rigidifiaient excessivement l'édifice. Une fois renforcée, les alvéoles de ce squelette ont été remplies au moyen de panneaux OSB et d'isolant bois ou Metis.Le vaste volume d'origine a ensuite été étendu de 16 mètres au nord, côté rue, dans la continuité du gabarit existant. L'extension, largement vitrée, comprend un c"ur technique avec ascenseurs et sanitaires, ainsi qu'un hall d'entrée en triple-hauteur interrompue par un volume suspendu en acier Corten contenant quatre salles de réunion. Dans un souci de cohérence architecturale, partie neuve en charpente bois et ancienne ont été recouvertes d'une enveloppe unitaire en zinc, à joints debout en toiture, qui se prolonge en lames de bardage en pignon sud et en cassettes côté extension. Un projet unifié, en somme. Avec cette extension/réhabilitation, AIA Life Designers a su marquer l'édifice de son sceau, tout en valorisant son histoire. Pour en savoir plus, visitez le site de AIA Life Designers Photographies : G. Satre photographe
Il y a 6 ans et 287 jours

AIA Life Designers : Salle à tracer

Réaliser ses locaux : une gageure pour une agence d'architecture. Alors quoi ? Construire neuf ? Réhabiliter, au risque que la patte de l'ancien prenne le dessus sur le projet ? Ou à l'opposé, réussir une délicate rénovation où le cachet de l'existant n'empêcherait pas les nouveaux occupants d'y apposer leur touche ? C'est ce tour de force que l'agence AIA Life Designers a réalisé dans ses locaux nantais livrés en 2017. Si édifier pour autrui ne tient pas de la sinécure, construire pour soi peut paradoxalement se révéler être un exercice encore plus complexe, surtout pour une agence d'architecture, qui se trouve alors en proie à une certaine schizophrénie : portant à la fois la casquette de maître d'"uvre et de maître d'ouvrage. L'an passé, le studio international AIA Life Designers, fondé en 1975, et plus connue sous son ancien nom AIA Associés, s'est plié avec succès à ce difficile exercice. Un dossier (presque) comme un autre pour lui, qui revêt cependant la dimension supplémentaire de porte étendard. Première étape pour AIA : trouver les locaux d'un nouveau pied-à-terre capable d'accueillir plus de 200 employés. Les membres de l'agence, jusqu'alors basée dans la banlieue de la Cité des Ducs de Bretagne, ont eu un coup de c"ur pour les anciens chantiers Dubigeon datant des années 1920, situés en bord de Loire, dans l'ancienne commune de Chantenay aujourd'hui intégrée à la ville. " La Salle à tracer est un reliquat du passé industriel et naval du quartier de Chantenay à Nantes. Ce témoignage isolé ne doit sa survie qu'au sein entêtement de son propriétaire [Jacque Fétis, Président de la société SECODI, ndlr] à vouloir préserver ce morceau d'histoire ", comme le livre Pascal Fourrier, associé d'AIA. Un choix qui s'est révélé plus onéreux que celui de la construction neuve, mais que les intéressés ne regrettent pas. Il faut dire que ce hangar de 65 mètres par 13 installé perpendiculairement au cours d'eau est chargé d'histoire. C'est en effet ici, dans la vaste salle à tracer de 800 mètres carrés installée au deuxième étage du monument classé au patrimoine nantais au titre du PLU, que les gabarits des coques des navires était tracés à l'échelle 1, à même le sol au moyen de cales en laiton. " On l'appelle la salle des prieurs car les apprentis travaillaient ici à genoux ", raconte Pascal Fourrier. Un passé dont le plancher en sapin conserve les stigmates, que les architectes ont souhaité encapsuler sous une dalle sèche et ponctuellement vitrée " une solution prise de concert avec l'Architecte des bâtiments de France. Ce monument industriel de trois niveaux, abandonné depuis 1969, était dans un état de dégradation avancé, qui a nécessité 9 mois de démolition et de curetage de l'ossature béton " fortement dégradée et pauvre en ferraillage ", qui a dû être frettée à grand renfort d'acier. Certaines croix de contreventement ont par ailleurs due être supprimées car elles rigidifiaient excessivement l'édifice. Une fois renforcée, les alvéoles de ce squelette ont été remplies au moyen de panneaux OSB et d'isolant bois ou Metisse®.Le vaste volume d'origine a ensuite été étendu de 16 mètres au nord, côté rue, dans la continuité du gabarit existant. L'extension, largement vitrée, comprend un c"ur technique avec ascenseurs et sanitaires, ainsi qu'un hall d'entrée en triple-hauteur interrompue par un volume suspendu en acier Corten® contenant quatre salles de réunion. Dans un souci de cohérence architecturale, partie neuve en charpente bois et ancienne ont été recouvertes d'une enveloppe robuste et unitaire en VMZinc Quartz, à joints debout en toiture, qui se prolonge en lames de bardage en pignon sud et en cassettes côté extension. En somme, un projet unifié, dans lequel les concepteurs ont installé des salles de réunion et de larges espaces à l'organisation flexible " notamment par le recours à un mobilier sur roulette. Avec cette extension/réhabilitation, AIA Life Designers a su marquer l'édifice de son sceau, tout en valorisant son histoire. Pour en savoir plus, visitez le site de AIA Life Designers Photographies : G. Satre photographe
Il y a 6 ans et 329 jours

La flèche de la cathédrale de Rouen s'enveloppe d'un échafaudage géant

PATRIMOINE. Culminant à plus de 150 mètres de hauteur, la flèche de la cathédrale de Rouen (Seine-Maritime) est tout simplement le plus haut monument historique de France. Pour rénover cette partie effilée de l'édifice, composée de pierres de taille et de Corten-fonte dont les peintures sont au plomb, c'est un véritable espace de travail clos, suspendu à plus de 80 mètres, qu'il a fallu concevoir. Visite guidée avec Jean-Baptiste Spinicci (Tubesca-Comabi) et Jean-Baptiste Mathieu (Lanfry).
Il y a 6 ans et 358 jours

BENCHMARK by Kingspan : Dri-Design

" Il ne faut jamais se fier à sa première impression. " Pourtant, les façades ventilées dotées des cassettes de revêtement Dri-Design signées BENCHMARK by Kingspan suffisent à elles seules à marquer les esprits. Un système constructif déclinable en plusieurs couleurs, finitions et dimensions offrant une grande liberté de rendu aux maîtres d'"uvre en quête d'originalité et de raffinement. Dri-Design est un système de cassette innovant, conçu par la filiale BENCHMARK Système de Façade & Toiture haut de gamme, à l'origine des modules Dri-Design. Un produit qui se démarque de la concurrence par sa facilité d'installation, même sur les bâtiments les plus complexes, mais aussi par son faible temps de pause (jusqu'à deux fois plus rapide !). Les cassettes peuvent être montées directement contre un mur ou avec une cavité ventilée " y compris en angle ", comme les panneaux Karrier QuadCore également développés par la marque. Elles sont fixées sur une ossature secondaire dont la section des montants métalliques " qui peuvent être espacés de 2 mètres ", reprend la forme d'un oméga. Ces derniers sont disposés en simple ou en double réseau, en fonction du sens de pose du panneau sandwich isolant qu'il habille. Outre ses propriétés techniques indéniables, le revêtement offre un design élégant, sans joints, décliné en plusieurs séries. La première, Dri-Design Flat, propose des cassettes verticales facilement assemblables, ne nécessitant aucun jointure " type mastic, butyl, ou EPDM. Une application et un entretien facilités, qui expliquent leur choix par l'agence américaine William Rawn Associates pour recouvrir les façades du Bicknell Family Center de l'Université de l'état de Pittsburg (USA) réalisé en 2017. Dri-Design Tapered, deuxième type proposé par BENCHMARK by Kingspan, permet d'orienter les éléments dans toutes les directions, offrant ainsi un grand nombre de possibilités d'assemblage, pour un rendu visuel dynamique. Une liberté qui a su convaincre Continuum Architects + Planners SC, les concepteurs du Central Fleet de Milwaukee (USA), tout comme l'absence de joints plats ou d'étanchéité. Le troisième modèle, Dri-Design Shadow, permet encore plus de créativité puisqu'il joue sur les volumes, la profondeur et les contrastes en variant la hauteur des cassettes. Un aspect texturé que l'on retrouve sur la façade du Parc Aquatique Regent Park de Toronto (Canda) imaginé par le cabinet local MacLennan Jaunkalns Miller Architects. Enfin, Dri-Design Perforé permet, grâce à un mode de fabrication assisté par ordinateur, de réaliser tout type de motifs ou de fresques en jouant sur l'emplacement et la densité de perforations. Le Centre Medicale St. Joe Franciscan de Washington (USA) conçu par Perkins + Will est un bel exemple des possibilités qu'offre ce procédé. Chacune de ces quatre gammes aux dimensions variables existe en aluminium, cuivre, acier corten ou inoxydable, zinc, granit céramique et laminé à haute pression. Les dimensions maximales conseillées sont de 1 520 x 760 millimètres et 3 050 x 610 millimètres en versions horizontales ; 610 x 1 820 millimètres à la verticale, et 1 220 x 1 220 en format carré. Un panel étonnant qui s'adapte à toutes les envies. De plus, ces éléments sont entièrement recyclables et résistants au feu. Un parement unique à la hauteur de la créativité des architectes qui l'emploient. Plus d'informations sur le site de Kingspan À propos de Kingspan Créé dans les années 1960 en Irlande, le groupe Kingspan est rapidement devenu l'un des leaders mondiaux de l'isolation haute performance et des solutions d'enveloppe de bâtiment. Kingspan se divise en cinq branches : Panneaux Sandwich Isolant, Isolation, Faux Planchers, Environnemental et Light & Air, couvrant ainsi la totalité des besoins de son domaine. Dri-Design est lauréat des MIAW 2018 dans la catégorie Matériaux et revêtements / Cassette métallique.Plus d'informations sur le site des MIAW. Le choix de la rédaction L'adaptabilité et le design épuré du système de cassettes Dri-Design a su faire de lui l'un des coups de c"ur de la rédaction et, surtout, l'un des lauréats des Muuuz International Awards 2017.
Il y a 7 ans et 29 jours

PRO URBA : Collection design de mobilier urbain

Éditeur, distributeur et installateur de jeux, d'équipements sportifs, de sols et de mobilier urbain, Pro Urba est un aménageur global d'espaces personnalisés. Pour l'édition 2018 de Materials & Light, le fabricant de mobilier City Design est mis à l'honneur Précurseur de tendances depuis 40 ans, Pro Urba est un acteur essentiel du marché du jeu et du mobilier urbain, ayant largement participé à son évolution en apportant des idées, des produits et des innovations disruptives. Vecteurs de lien social, les espaces urbains sont des lieux essentiels dans la ville d'aujourd'hui, au même titre que les espaces sportifs ou les aires de jeux. Grâce à sa large gamme de mobiliers, Pro Urba aide à aménager des espaces de vie et de partage, adaptés au lieu et à chaque contexte : profiter du soleil, surveiller ses enfants, se retrouver entre amis ou pique-niquer ensemble...Pour répondre plus spécifiquement aux attentes de ses clients et prescripteurs, Pro Urba est doté d'un bureau d'études interne, exercé à proposer une réflexion globale à partir d'une simple idée ou d'un fil conducteur : ce pôle " design & création " aide à la conception de l'univers souhaité et fournit, pour sa réalisation, des rendus détaillés et personnalisés : CAO, DAO et conception 3D.En outre, des équipes fiables et expérimentées, présentes sur toute la France, assurent un service de proximité efficace. À travers ce maillage, Pro Urba diffuse son savoir-faire et son expertise technique, garantissant qualité, sécurité et réactivité. Toujours à l'affût des tendances, Pro Urba aime se réinventer en permanence. Ses gammes de produits sont sélectionnées selon des critères de pertinence et d'originalité pour permettre de créer des lieux uniques et attractifs. Adaptés à leur environnement et à l'évolution des modes de vie, ces produits innovants et qualitatifs, sont respectueux des préoccupations écologiques.Les sols de sécurité amortissants sont également des produits essentiels dans le cadre d'un aménagement global. Ils sont même, désormais, devenus des éléments de jeux autant que des éléments de sécurité indispensables. De toutes les couleurs, en relief ou à motifs, en gazon synthétique pour une meilleure intégration paysagère composés de copeaux de bois naturel pour un aspect champêtre, interactifs, animés de sons ou de flux lumineux... Pro Urba propose des solutions techniques multiples et esthétiques, pour que ce support allie récréatif, décoratif et sécurité. Chaque partenaire est ainsi choisi selon des critères d'originalité, ainsi que sur ses spécificités et son savoir-faire. Cette année, Pro Urba a choisi de présenter le fabricant de mobilier City Design.Ce fabricant italien est une marque historique dans le secteur du mobilier urbain. Le design exclusif de ses produits est inspiré par la nécessité d'allier exigences techniques et concordance avec l'environnement urbain. Les lignes de bancs et banquettes, tables, corbeilles, supports pour vélos, jardinières, fontaines.... sont destinées aux espaces publics et privés, collectivités et particuliers, pour des espaces couverts ou découverts. Des créations " spéciales ", sur-mesure, peuvent également être réalisées pour des projets de mobiliers urbains spécifiques où technicité et design sont indissociables. À PROPOS DE PRO URBAPro Urba maîtrise les marchés des jeux, équipements sportifs, sols et du mobilier urbain. Tous ses partenaires bois sont certifiés FSC et PEFC. La plupart des partenaires utilisant de l'inox sont certifiés ISO 14001, 9001 et 26000. D'un point de vue sécurité, tous les équipements sont conformes aux normes EN1176 (équipements d'aires de jeux), EN1177 (sols d'aires de jeux) et 99 610 (mobilier urbain). Pour assurer une qualité d'installation optimale, ses équipes sont constituées de techniciens qualifiés et régulièrement formés. Grâce à son rapprochement en 2011 avec la société Divers Cité, Pro Urba a étoffé sa gamme de produits et propose un service de proximité partout en France pour réaliser des aménagements uniques, de qualité et pérennes. Pour en savoir plus, visitez le site de Pro Urba Photographies/Illustrations :01-02) " Flow ", structure en acier galvanisé peint, assise en lattes de bois exotique. Existe en deux modèles. Design : Tilman Latz © AlexisToureau03) " Division ", poubelle à la structure en tôle d'acier galvanisé et thermolaqué avec récipient et option cendrier. L. 328 x l. 328 x H. 938 mm. Design : Mattia Li Pomi04) " Fola ", banc en tôle d'acier galvanisé et thermolaqué et assise en lattes de bois exotique ou mélèze, fixées sur une structure en acier. L. 1750 x l. 474 x H. 776 mm. Design : Massimo Tasca05) " Sein ", borne avec éclairage avec bande à LED en option. L. 405 x l. 404 x H. 436. Design : A. Tasca + Mattia Li Pomi06) " Duo ", collection de jardinières en tôle d'acier thermolaqué ou acier corten ou acier inoxydable, modulaire, avec pieds réglables. Design: Massimo Tasca
Il y a 7 ans et 62 jours

SPC Technocons : Résidence 54

Fissurée, délabrée, vétuste... Autant d'adjectifs qui pouvaient définir cette demeure de Bangkok (Thaïlande) datant des années 1980. C'était sans compter sur l'intervention de l'agence SPC Technocons qui offre une seconde vie à cette maison de ville, tout en utilisant l'histoire de ses murs . Le résultat ? Une villa contemporaine au style industriel affirmé pleine de surprises. Si elle semblait tomber en ruine, la structure en béton de cette demeure a tout de même été conservée par les architectes " mais renforcée ", et complétée en partie avant une clôture ajourée métallique qui lui confère toute son identité. Ce grillage voué à accueillir de la végétation constitue aussi un moyen de connecter l'habitation de 200 mètres carrés à l'extérieur. Ce lien avec la nature justifie également l'installation de nombreuses baies vitrées et surtout d'une large fenêtre rotative au premier étage. Un simple coup de manivelle et le salon se prolonge en terrasse ! Une façon d'adoucir le parti pris esthétique manufacturier de ce trois pièces de trois niveaux en acier, béton et brique. Si au rez-de-chaussée on ne retrouve qu'un simple espace de stationnement de deux places, le premier niveau " accessible grâce à une originale porte en acier Corten ", est quant à lui dédié à l'unique pièce de vie. L'espace salon témoigne de la vie passée de la maison grâce à un mur de plâtre partiellement dénudé qui laisse apparaître les briques rouges originelles. Au centre de la pièce, un mince escalier escamotable, toujours en acier Corten, mène à l'étage nuit avec palier pouvant servir de chambre d'appoint et une grande suite parentale de 45 mètres carrés. Un esprit loft new-yorkais en plein c"ur de la Thaïlande. Pour en savoir plus, visitez le site de SPC Technocons Photographies : Sitthisak Namkham
Il y a 7 ans et 112 jours

Sean Scully : San Cristóbal

Conçu en 1964 par l'architecte Luis Barragán, la villa Cuadra San Cristóbal (Mexique) est l'une des merveilles du mouvement moderniste présentes sur ce territoire. C'est entre ces murs aux couleurs vives que l'Irlandais Sean Scully expose jusqu'au 24 mars ses toiles et sculptures à l'expression chromatique tout aussi marquée que la demeure. Deux pratiques artistiques différentes qui semblaient être faites pour être réunies. Lors d'un premier voyage dans le berceau de la civilisation maya en 1983, Sean Scully est frappé par les nuances colorées des édifices et les lignes de composition de l'architecture vernaculaire. En découlera un ensemble d'aquarelles intégrées par la suite à sa série Wall of Light " achevée à la fin des années 1990 ", qui définira le style pictural de l'artiste, où alternent rayures et barres verticales et horizontales. Une région du monde qu'il affectionne tout particulièrement, où il n'exposera pourtant jamais. Un temps désormais révolu puisque, depuis le 5 février dernier, il présente ses "uvres au sein d'un des lieux artistiques emblématiques du XXe siècle : la Cuadra San Cristóbal, à Mexico. Écuries de l'ensemble de Los Cubles " comprenant également la demeure de la famille Egerstrom et la Fontaine des Amoureux ", l'édification de Luis Barragán combine avec brio expérimentations architecturales moderniste et symboliste. Caractérisé par de grandes parois en pierre peinte en rose vif, le site semble avoir été conçu pour accueillir la production du plasticien en son sein. " Sean a exposé des centaines de fois sur des murs blancs, des sols en béton, éclairés par des lumières crues. Quand on travaille avec un si grand artiste, il y a de la place pour être plus nuancé et faire des installations comme ça. " Oscar Humphries, commissaire de l'exposition Un mariage idéal enfin concrétisé et qui coïncide avec la 15e édition de Zona Maco, principale foire d'art contemporain mexicaine. L'occasion de découvrir quinze tableaux en aluminium et cuivre ainsi que trois statues en Corten ® et en acier peint dialoguant naturellement avec le lieu, de par leurs formes et leurs partis-pris esthétiques. Si les peintures sont installées dans les écuries et contrastent admirablement avec leur décor équestre authentique, les sculptures, quant à elles, prennent place dans la cour. Reflétant la linéarité du lieu, ces dernières s'amusent du jeu de vides et de pleins imaginé par l'architecte et complètent l'ensemble. Une exhibition solaire qui, grâce au dialogue entre architecture et art plastique, apparaît comme l'unification idéale des deux pratiques. Exposition " Sean Scully : San Cristobal ", jusqu'au 5 mars 2018 à Los Cubles, Mexico (Mexique) Pour en savoir plus, visitez le site de Sean Scully Photographies : DR
Il y a 7 ans et 206 jours

B. Architecture : Le 10 Grenelle

Réhabiliter un vieil immeuble des années 1950 en bureaux, tout en tenant compte d'un héritage historique fort ; telle était la mission confiée à l'agence B. Architecture, à l'origine de ce projet humblement baptisé " 10 rue Grenelle "... Avec son délicat habillage en acier perforé blanc, le 10 rue Grenelle, réhabilité en 2017 par l'agence B. Architecture, ne manque pas de laisser une impression de légèreté. Pourtant, ce résultat n'avait rien d'une évidence, car il s'agit d'un site difficile, tant par ses contraintes architecturales que par son passé. En effet, cet immeuble de grande hauteur, dessiné par le Français Pierre Dufau et construit au milieu du siècle dernier, présentait toutes " les caractéristiques de l'époque : faibles hauteurs sous plafond, problèmes de conforts thermiques... " racontent les maîtres d'"uvre. À ces obstacles s'ajoute enfin une histoire particulière, puisque c'est ici que se dressait autrefois le Vel d'Hiv... Prenant en compte toutes ses contraintes, les équipes de B. Architecture sont parvenues à rendre au lieu sa grandeur tout en respectant sa mémoire. " Des bâtiments existants, seule la structure principale a été conservée, expliquent-elles. L'ensemble est remanié, restructuré. " Aussi, le projet est-il complètement réorienté vers le Boulevard Grenelle, où se trouve désormais son entrée " autrefois située dans la petite rue Nélaton. Au centre de la parcelle, un pavillon d'accueil en verre, protégé par une enveloppe d'acier Corten®, séquence le trajet les visiteurs avant que ceux-ci ne rejoignent les deux ailes de la construction entièrement restructurée. Rue Nélaton enfin, le Jardin de la Mémoire remplace la simple plaque commémorative installée autrefois en hommage aux victimes de la rafle du Vel d'Hiv. Le 10 rue Grenelle, une réalisation sobre, élégante et immaculée, comme pour illuminer les pans les plus sombres de notre Histoire... Intitulé du projet : Le 10 GrenelleLieu : Paris (15e)Maîtrise d'ouvrage : AG2R La MondialeMaîtrise d'"uvre : B. ArchitectureSurface : 33 000 m2Montant des travaux : 90 000 000 ¤ HTCalendrier : Livraison juillet 2017 Photographies : DR Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Tertiaire " réhabilitation Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub et de B. Architecture 
Il y a 8 ans et 55 jours

La flèche de la cathédrale de Rouen s'enveloppe d'un échafaudage géant

PATRIMOINE. Culminant à plus de 150 mètres de hauteur, la flèche de la cathédrale de Rouen (Seine-Maritime) est tout simplement le plus haut monument historique de France. Pour rénover cette partie effilée de l'édifice, composée de pierres de taille et de Corten-fonte dont les peintures sont au plomb, c'est un véritable espace de travail clos, suspendu à plus de 80 mètres, qu'il a fallu concevoir. Visite guidée avec Jean-Baptiste Spinicci (Tubesca-Comabi) et Jean-Baptiste Mathieu (Lanfry).
Il y a 8 ans et 83 jours

Une maison d'architecte ton sur ton avec le paysage

Mêlant bois, pierre et acier corten, la maison imaginée par l'architecte Ramon Esteve arrive à totalement se fondre dans son environnement immédiat, celui des montagnes luxuriantes de Madrid. Plus qu'un simple décor, la nature joue un vrai rôle architectural dans le projet : elle habite littéralement le bâtiment. Découverte.
Il y a 8 ans et 124 jours

Emilio Marín + Juan Carlos López : CID

Au Chili, dans la région d'Antofagasta au milieu d'un désert réputé pour être le plus aride au monde, s'est implanté un centre d'interprétation destiné au tourisme s'intéressant à ce territoire singulier. L'architecture offerte à ce projet a été imaginée en réponse directe au paysage : ses multiples pentes, sa surface monochrome et texturée font référence aux reliefs voisins et aux teintes environnantes. Les architectes Emilio Marín et Juan Carlos López ont été invités à concevoir un bâtiment offrant une grille de lecture introductive aux amoureux ou curieux du désert. Le bâtiment devait évoquer les traits naturels, culturels et énergétiques de ce territoire fascinant. Sa volumétrie reflète les pentes des montagnes sculptant l'horizon, à une certaine distance du bâtiment l'illusion fonctionne. Le métal oxydé choisi pour constituer sa peau fait lui référence à la teinte des sols de la région : ocres, sable roux, et rouges. Dans le plan, six volumes interconnectés entourent un jardin planté. Ce dernier à l'abri du vent bénéficie également de plus d'ombre. À la manière d'une oasis, il démontre comment des écosystèmes "alternatifs" peuvent s'épanouir au sein d'environnements hostiles. Une flore locale y a été installée. "The project aims to extend the boundaries and expand the modern vision of the interplay between architecture and landscape, where the main characters are two elements in a relationship of opposites." Emilio Marín + Juan Carlos López Deux des volumes sont complètement opaques et contiennent des espaces pour accueillir des expositions et des événements. Tandis que les autres sont bordés de surfaces vitrées offrant une connexion visuelle et un cadrage direct avec le désert : une projection du spectateur en direction du paysage. Les façades et les toitures sont revêtus d'acier Corten. Le matériau confère au bâtiment une esthétique homogène qui accentue les pentes et les angles des volumes. Un jeu d'ombres et de lumière rythme également le bâtiment. Photographies : Felipe Fontecilla Pour en savoir plus, visitez le site d'Emilio Marín + Juan Carlos López  
Il y a 8 ans et 156 jours

Brenac+Gonzalez & Associés : RPA Yersin

De forme triangulaire, bordé par l'avenue de la porte d'Ivry et Charles Régaud, l'îlot Yersin accueille une structure d'hébergement pour personnes âgées, ainsi qu'un hôpital de jour pour malades d'Alzheimer. Pour le premier programme, l'accent a été mis sur la cohabitation entre les lieux de partage, de vie en communauté (salons généreux, salles à manger avec de larges terrasses, baies conséquentes), et les lieux de repli, d'intimité (chambres individuelles, avec des loggias recouvertes de bois et refermées par des panneaux vitrés, protections contre les nuisances de la cité).Le centre Alzheimer a été conçu, quant à lui, comme un centre d'accueil et d'hospitalité qui permet de briser l'isolement des familles et des malades. La structure des espaces est construite par de nombreux marquages sensitifs, par la couleur, les lumières, un parcours, un jardin thérapeutique qui sont autant de repères comme une ville en réduction.Depuis l'extérieur, le bâtiment est identifié par l'aspect brut de son " béton corten ", auto-plaçant. D'aspect très sculptural, il évoque un solide ciselé ; le volume est d'abord marqué par un socle massif posé à l'alignement des rues, puis sa géométrie varie, le bloc s'élève pour former le corps principal. Un déhanchement volumétrique retourne le bâtiment vers l'intérieur, facilitant ainsi l'intégration des proches HBM. À l'angle, son profil s'affine enfin pour renforcer son élancement et la monumentalité du carrefour. Cette composition s'achève à l'Ouest par de généreuses terrasses paysagées et un jardin suspendu. Intitulé du Projet : RPA Yersin - Résidence médicale et sociale et hôpital de jourLieu : ParisMaitrise d'ouvrage : Paris HabitatMaitrise d'"uvre : Brenac & Gonzalez & AssociésSurface : 3 500 m2Montant des travaux : 8 M¤ HTCalendrier : Livraison 2016 Photographies : Pierre L'Excellent, Sergio Grazia et Stephan Tuchila Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2017 dans la catégorie Santé Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de Brenac+Gonzalez & Associés
Il y a 8 ans et 260 jours

KELLER AG : Villa Sorrento

La villa Sorrento se trouve sur la côte méridionale de l'Australie, non loin de Melbourne. Sa situation très particulière permet l'union rare et sans aucune limite entre la maison, les paysages environnants, la plage et l'eau. La préoccupation principale du propriétaire était de conserver le mieux possible cette transition fluide. Grâce à un bien immobilier totalement rénové, le bureau d'architectes a trouvé l'équilibre idéal entre transparence et intimité, une symbiose parfaite entre la connexion avec nature et la sphère privée. Vers le bord de la route, ce domicile de vacances est protégé par un rideau naturel d'arbres indigènes. En direction de l'océan, la façade s'ouvre sans aucune limite, et utilise les fenêtres et portes coulissantes sans cadre minimal windows® de la société KELLER S.A. La villa n'a pas besoin de fioritures et se compose uniquement de trois matériaux de base : le béton, l'acier Corten et le verre qui, forment un ensemble cohérent. Les murs en béton massifs ainsi que l'utilisation généreuse de l'acier Corten défient sans problème les éléments et assurent toute l'année à leurs habitants, protection et intimité. Les profilés de châssis filigranes des fenêtres minimal windows® de la société KELLER S.A. sont, en opposition, réduits au strict minimum. Ils permettent d'apporter un maximum de transparence et de profiter sans aucune gêne du paysage environnant. En hiver, ils offrent le confort thermique nécessaire. En été et par beau temps, les grandes portes coulissantes permettent d'ouvrir aisément et généreusement toute la façade avant de la maison et de pouvoir profiter ainsi de la nature en toute décontraction au sein d'une loge bien protégée. Par ailleurs, l'architecture multicouche permet également de diviser la maison en plusieurs ailes d'habitation, sans gêner la sphère privée de chacune de ses subdivisions. La cuisine, la salle à manger et le salon se trouvent au premier étage de l'aile Ouest et offrent une vue imprenable sur la vaste étendue de sable. Le rez-de-chaussée est doté d'une grande pièce familiale. Dans l'aile Est se trouvent les chambres. Pour permettre à chaque habitant d'avoir son petit coin à soi, chacune des cinq chambres possède un dressing ainsi qu'une salle d'eau. Les deux ailes sont reliées par une grande entrée au rez-de-chaussée ainsi que par une galerie au premier étage. Les larges façades avant vitrées des deux ailes de la maison ont été décalées vers l'intérieur, dans la façade, de manière à protéger chaque pièce des regards des voisins. C'est ici qu'entre en jeu l'atout principal de la fenêtre coulissante sans châssis minimal windows® de la société KELLER S.A. Les profilés de châssis posés en filigranes s'intègrent sur tout le tour dans les murs, les plafonds et les sols. Avec ce type de pose, encore plus de lumière pénètre dans les pièces. Les deux ailes principales entourent également une piscine propre à la maison et forment une sorte de manteau protecteur, protégeant les habitants des regards involontaires des baigneurs et promeneurs sur la plage. La façade en acier Corten s'étend, sur un côté, sur toute la hauteur de la maison. La façade avant vitrée avec le système minimal windows® située à l'opposé en fait de même. Une autre façade avant vitrée forme une liaison entre les deux moitiés de maison. Les espaces habitables spacieux et lumineux, offrent un séjour agréable dans un lieu unique. La villa Sorrento met à profit son environnement et en retire le meilleur. En se focalisant sur l'essentiel, le projet invite la nature et le paysage au sein de ses murs. Architecte : Matyas ArchitectsPartenaire KELLER : THERMECO Pty. Ltd.Système prescrit : KELLER minimal windows® Photographies : Tatjana Plitt Photography Pour en savoir plus, visitez le site de KELLER AG  
Il y a 9 ans et 5 jours

MobilConcepts Metalco : Uluru

MobilConcepts Metalco présente Uluru, une collection d'assises modulaires au design ludique et innovant imaginé par Andrea Morgante et Shiro Studio.   La collection comprend différents modules aux formes organiques, dont les multiples combinaisons possibles permettent de créer des assises adaptées à tout type d'espace public, intérieur comme extérieur. A poser ou à sceller, les modules de la collection Uluru se composent de béton UHPC finition ALFA et d'un support en acier thermolaqué.   RENCONTRE AVEC ARNAUD AVEZOU, GERANT. Muuuz MobilConcepts revendique la volonté de participer au " un décor urbain " et de réconcilier la ville et ses habitants. Quel doivent être, selon vous, les principaux atouts du mobilier urbain ? Arnaud Avezou Le mobilier est un élément architectural essentiel, qui reste fortement visible dans un projet. Il doit être sélectionné en fonction de son adéquation avec le lieu tant dans son usage que dans son esthétique, ce que nous rendons possible pour les concepteurs grâces à notre vaste choix de matière (béton, acier, corten, bois...) et de design proposés. Le mobilier urbain va contribuer à un sentiment de bien-être des citoyens, et peut favoriser un lien social si celui-ci est correctement disposé.   Muuuz Depuis sa création, MobilConcepts est en partenariat exclusif avec Metalco, premier fabricant européen de mobilier urbain. Pouvez-vous évoquer cette collaboration ?   A.A. MobilConcepts a été fondée il y a maintenant 20 ans dans le but de représenter exclusivement Metalco en France. Notre collaboration est maintenant étendue sur les pays du Maghreb et le Luxembourg. Nous sommes très fiers de la pérennité de cette relation exclusive avec le plus grand fabricant européen de mobilier ; Metalco apporte un savoir-faire unique, une possibilité de travailler à la fois des produits standards et des produits spécifiques, et surtout une capacité d'innovation tant dans les matériaux retenus que dans les formes. MobilConcepts permet également à Metalco d'avoir une vision complète du marché francophone, et de bénéficier d'une équipe d'ingénierie projets hautement qualifiée.   Muuuz La collection Uluru présente un design particulièrement original, ludique et modulable. Pourquoi avez-vous choisi de collaborer avec le designer Andre Morgante du Shiro Studio ?   A. A. Metalco a décidé de lancer une gamme complète de mobilier en Béton Ultra haute performance afin de pouvoir proposer une gamme en béton avec des lignes beaucoup plus souples et des produits plus fins. Le Shiro Studio développait la même philosophie d'innovation que Metalco, la recherche de l'excellence, une volonté d'utiliser des matières organiques aux formes pures, la collaboration s'est donc faite tout naturellement jusqu'à la réalisation intégrale de la gamme.   Muuuz A quels types d'usage se destine la collection Uluru ?   A. A. La collection Uluru est à destination de l'ensemble du domaine public, aussi bien pour les communes que pour des lieux plus privatifs tels que des centres commerciaux ou des musées. Les différents modules qui composent la collection permettront aux concepteurs d'espaces de jouer en fonction du lieu à habiller.     La collection Uluru est lauréate des MIAW 2016 dans la catégorie Mobilier / Espace public. Pour en savoir plus consultez le site de MobilConcepts Metalco.  
Il y a 9 ans et 145 jours

Taillandier Architectes Associés : Résidence Yaoitcha

Le projet se compose d'un programme de six logements qui se développe sur une parcelle fine. Parcelle, issue du découpage en lanière à l'époque où de nombreux jardins potagers occupaient ce quartier de Toulouse. Taillandier Architectes Associés offre un plan intelligent qui a su contourner ces contraintes d'espaces. Le terrain du projet est long et étroit. Le site a aussi offert aux architectes une contrainte majeure, celle d'une hauteur de submersion de près de 4 mètres. Le rez-de-chaussée n'est donc utilisé que pour le parking des voitures. Deux blocs constituent et formalisent le projet, situés de part et d'autre de la parcelle, ils sont reliés par la circulation verticale complétée par quelques coursives. Ces dernières sont privatisées et deviennent de véritables espaces extérieurs attenants à chacun des logements. Seuls les pignons ont pu recevoir des ouvertures, du à la construction en limite de parcelle. Le plan des logements s'organise en fonction. L'espace étroit est divisé en deux tout au long de la longueur de l'appartement, et propose une partie dédiée au séjour et à la cuisine, puis une autre aux deux chambres et aux salles d'eau. Les architectes ont mis en "uvre un plan simple mais efficace, adapté à la parcelle et qui permet également une bonne densité de logement. La peau extérieure a été composée en acier corten qui a été décliné jusque sur les persiennes et brise-soleil qui occultent les ouvertures. L'utilisation d'une même matérialité pour l'ensemble du projet a été recherchée afin de souligner une lisibilité claire au bâtiment dans un contexte hétérogène. La teinte a également été reprise sur les murs mitoyens. Maitrise d'ouvrage : M. Vidjanagni Maitrise d'oeuvre : Taillandier architectes associés Schon : 560 m2 Coût : 1.7 M¤ Livraison : 2015 Photographies : Thomas Cecconi Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignClub Awards 2016 dans la catégorie Logement / Petits Collectifs Pour en savoir plus, visitez le site de Taillandier Architectes Associés  
Il y a 9 ans et 271 jours

Taillandier Architectes Associés : Résidence Yaoitcha

Le projet se compose d'un programme de six logements qui se développe sur une parcelle fine. Parcelle, issue du découpage en lanière à l'époque où de nombreux jardins potagers occupaient ce quartier de Toulouse. Taillandier Architectes Associés offre un plan intelligent qui a su contourner ces contraintes d'espaces. Le terrain du projet est long et étroit. Le site a aussi offert aux architectes une contrainte majeure, celle d'une hauteur de submersion de près de 4 mètres. Le rez-de-chaussée n'est donc utilisé que pour le parking des voitures. Deux blocs constituent et formalisent le projet, situés de part et d'autre de la parcelle, ils sont reliés par la circulation verticale complétée par quelques coursives. Ces dernières sont privatisées et deviennent de véritables espaces extérieurs attenants à chacun des logements. Seuls les pignons ont pu recevoir des ouvertures, du à la construction en limite de parcelle. Le plan des logements s'organise en fonction. L'espace étroit est divisé en deux tout au long de la longueur de l'appartement, et propose une partie dédiée au séjour et à la cuisine, puis une autre aux deux chambres et aux salles d'eau. Les architectes ont mis en "uvre un plan simple mais efficace, adapté à la parcelle et qui permet également une bonne densité de logement. La peau extérieure a été composée en acier corten qui a été décliné jusque sur les persiennes et brise-soleil qui occultent les ouvertures. L'utilisation d'une même matérialité pour l'ensemble du projet a été recherchée afin de souligner une lisibilité claire au bâtiment dans un contexte hétérogène. La teinte a également été reprise sur les murs mitoyens. Maitrise d'ouvrage : M. Vidjanagni Maitrise d'oeuvre : Taillandier architectes associés Schon : 560 m2 Coût : 1.7 M¤ Livraison : 2015 Photographies : Thomas Cecconi Pour en savoir plus, visitez le site de Taillandier Architectes Associés  
Il y a 10 ans et 38 jours

L'arbre kiosque en acier corten de Guillaume Durost

Guillaume Durost présente en avant première l'arbre kiosque à l'occasion du salon Jardins, Jardin aux Tuileries du 4 au 7 juin 2015.
Il y a 10 ans et 42 jours

Métafer, relève le défi de l'acier corten

Métafer société basé dans les Côtes d'Armor en Bretagne, est spécialisée dans la métallerie d'art en acier corten. Cet acier est souvent utilisé pour l'architecture extérieur, car d'une bonne résistance atmosphérique.
Il y a 10 ans et 54 jours

Pascali Semerdjian : Ani

  Les deux brésiliens Domingos Pascali et Sarkis Semerdjian ont dessiné une lampe d'architecte modulable sous plusieurs angles. Les deux architectes installés à São Paulo ont souhaité une lampe simple, amusante, et fonctionnelle ; associant une base en bois massif et une tige en acier arborescente. La tige en acier permet d'ajuster la position de la lumière en cinq positions différentes. La lampe "Ani" est disponible en bleu, rouge, jaune, vert et en corten. Sur ce projet les architectes précisent :"A simplicidade está na eliminação dos excessos. A sustentabilidade é a sua durabilidade. A peça não tem complexidade de ferragens, com necessidade de substituição de peças caras, sendo atemporal. A Ani também é divertida de se ter, possibilitando criar peças diferentes." Pour en savoir plus, visitez le site de Pascali Semerdjian
Il y a 10 ans et 68 jours

Un collège et un lycée à énergie positive remportés en Midi-Pyrénées par l'agence Cardete Huet

Les maîtrises d'oeuvre de la construction du collège de l'Isle Jourdain (Gers) et du nouveau lycée de Pibrac (Haute-Garonne) reviennent à l'agence d'architecture toulousaine, Cardete Huet. Le premier est un édifice bioclimatique, prévu pour accueillir 450 élèves à la rentrée 2017, alors que le second, un bâtiment à énergie géothermique, se caractérisera en 2016 par ses façades en acier Corten conçues pour marquer l'entrée de de ville de Pibrac.
Il y a 10 ans et 112 jours

Guy Hollaway Architects : Pobble House

Dans le Kent à l'est de l'Angleterre, l'agence Guy Hollaway architects signe "Pobble House", une habitation esseulée et singulière sur la côte. Une création qui se compose de trois volumétries simples chacune bardées d'un matériau spécifique, mélèze, acier Corten et ciment. Organisés autour d'un long couloir faisait la jonction entre les trois entités, les espaces de vie prolongent l'axe du phare à proximité tout en cadrant les vues sur le paysage préservé de cette région. L'extérieur est paradoxalement l'élément central de l'intérieur de l'habitation, son immense porte vitrée coulissante disparaissant entièrement dans un pan de mur lorsqu'elle est ouverte. Imaginée pour accueillir une famille, la maison a été pensée dans la durée avec ses différents matériaux qui se patineront pour s'intégrer harmonieusement et respectueusement dans les couleurs du paysage.   Pour en savoir plus, visitez le site de Guy Hollaway Architects. 
Il y a 10 ans et 112 jours

Guy Hollaway Architects : Pobble House

Dans le Kent à l'est de l'Angleterre, l'agence Guy Hollaway architects signe "Pobble House", une habitation esseulée et singulière sur la côte. Une création qui se compose de trois volumétries simples chacune bardées d'un matériau spécifique, mélèze, acier Corten et ciment. Organisés autour d'un long couloir faisait la jonction entre les trois entités, les espaces de vie prolongent l'axe du phare à proximité tout en cadrant les vues sur le paysage préservé de cette région. L'extérieur est paradoxalement l'élément central de l'intérieur de l'habitation, son immense porte vitrée coulissante disparaissant entièrement dans un pan de mur lorsqu'elle est ouverte. Imaginée pour accueillir une famille, la maison a été pensée dans la durée avec ses différents matériaux qui se patineront pour s'intégrer harmonieusement et respectueusement dans les couleurs du paysage.   Pour en savoir plus, visitez le site de Guy Hollaway Architects. 
Il y a 10 ans et 146 jours

Bacs et jardinières en CorTen So Garden, aspect rouillé dans l'air du temps

Jardins privés ou espaces verts sont des lieux de vie où l'aspect décoratif et le design ont pleinement leur place. Esprit classique ou contemporain, l'aménagement extérieur revêt plusieurs facettes pour s'adapter à tous les styles.
Il y a 10 ans et 364 jours

RCR Arquitectes : La cuisine

Dans le Tarn-et-Garonne, à Nègrepelisse, l'agence catalane RCR Arquitectes vient de réhabiliter le château de la ville. Une forteresse du XIIIe siècle qui accueille "La cuisine", un centre d'art et de design. En reprenant les plans du Moyen Âge, les architectes ont érigé deux corps de bâtiment de part et d'autre d'une grande cour. La structure adossée aux remparts est construite en verre et en acier corten, établissant un support solide et durable tout en permettant d'inviter la lumière et le paysage dans le château. Ce nouvel équipement se compose d'une salle d'exposition, d'un auditorium, d'une cuisine expérimentale, d'espaces pédagogiques, d'un centre de documentation, d'un atelier pour les artistes et les designers en résidence et enfin de bureaux. Cette création s'installe complètement de plein pied et permet de replacer au centre du projet la cour intérieur qui se livre au regard. Tous les éléments du programme peuvent établir une relation directe avec l'extérieur grâce aux façades percées de grandes baies vitrées et qui laissent déborder les activités du centre d'art vers l'extérieur. Un projet dans lequel le château à l'aspect austère et fortifié se mue en lieu lumineux et ouvert.   Photographies : © Yohann Gozard  Pour en savoir plus, visitez le site de RCR Arquitectes et celui de La cuisine.