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Résultats de recherche pour dematerialisation

(254 résultats)
Il y a 4 jours

Logiciel Onaya Négoce - Webinar Négoce - Dématérialisation des factures & conformité

La facturation électronique deviendra obligatoire à partir du 1er septembre 2026 pour toutes les entreprises assujetties à la TVA. Un changement structurant pour les négociants de matériaux, qui implique d’anticiper dès maintenant. Etes-vous prêt ?
Il y a 348 jours

PDP, OD, PPF : je suis perdu !

La réforme de la facture électronique fait apparaître 3 nouveaux acteurs : le Portail Public de Facturation, plateforme de l'état qui permet d'envoyer et de recevoir les factures électroniques ; l'Opérateur de Dématérialisation, solutions de facturation ou de comptabilité qui permettent d'émettre et de recevoir des factures électroniques ; la Plateforme de Dématérialisation Partenaire, plateforme privée qui permet d'envoyer et de recevoir les factures électroniques.
Il y a 1 ans et 38 jours

Le plan de Bercy pour simplifier la commande publique

Plateformes de dématérialisation, procédures de candidatures, contentieux : le gouvernement souhaite unifier le droit de la commande...-Réglementation
Il y a 1 ans et 107 jours

SCHÖCK

SCHÖCK schilling jeu 15/02/2024 - 15:09 Fondée en 1962, cette entreprise a toujours eu pour vocation de repousser les limites de la technologie pour offrir des solutions qui allient efficacité énergétique et performance structurelle. Aujourd'hui, Schöck est reconnue mondialement pour son expertise dans l'isolation thermique, la protection acoustique et les techniques d'armature avancées, marquant ainsi de son empreinte les chantiers internationaux. Schöck se projette dans l'avenir avec une vision claire : façonner la construction de demain. Cette vision s'ancre dans une culture d'entreprise fondée sur la fiabilité, l'innovation et le respect humain. Schöck s'engage à développer des solutions qui non seulement répondent aux exigences actuelles mais anticipent également les besoins futurs du secteur, en mettant l'accent sur la durabilité et la neutralité carbone. Des solutions innovantes Une gamme de produits révolutionnaires Isolation et support : Schöck révolutionne le secteur avec des solutions comme les rupteurs thermiques pour l'isolation par l'extérieur et l'intérieur, contribuant à l'amélioration significative de l'efficacité énergétique des bâtiments Acoustique : la gamme Schöck Tronsole® est conçue pour réduire drastiquement les bruits de choc dans les escaliers, améliorant ainsi le confort acoustique des occupants Armature anti-poinçonnement : les armatures Schöck Bole® offrent une solution optimale pour renforcer les dalles en béton, alliant économie et fiabilité Engagement envers la qualité et le service Schöck ne se contente pas de fournir des produits de haute qualité ; l'entreprise s'engage également à offrir un service exceptionnel. De l'assistance technique à l'accompagnement sur chantier, Schöck travaille main dans la main avec ses clients pour garantir la réussite de chaque projet. L'application Psi-Phone, par exemple, illustre cet engagement en fournissant un outil précieux pour les partenaires de Schöck, notamment les bureaux d'études thermiques et les architectes. Une culture d'entreprise unique Au cœur de Schöck, il y a une conviction profonde que le succès repose sur les relations humaines. Que ce soit avec ses clients, partenaires ou employés, Schöck prône le respect, l'ouverture d'esprit et la confiance. Cette approche humaine se reflète dans chaque interaction, renforçant l'engagement de l'entreprise envers l'excellence et la fiabilité. Schöck se positionne en leader de la dématérialisation et de la mondialisation dans le secteur de la construction, avec une attention particulière portée à la durabilité. L'entreprise s'efforce de développer des solutions innovantes qui répondent aux défis de demain, notamment en matière de construction neutre en carbone. Cette orientation stratégique souligne l'engagement de Schöck à contribuer à un avenir plus durable. Schöck incarne l'innovation, la qualité et l'engagement humain dans le secteur de la construction. Avec une histoire riche en réalisations et une vision tournée vers l'avenir, Schöck continue de façonner le monde de la construction, un projet après l'autre. Catégorie métier : Construction et bâtimentSous-Catégorie Métier : Ingénierie et innovation 03 88 20 92 28 contact-fr@schoeck.com https://www.schoeck.com/fr/home Titre de la page de marque (H1) Schöck : Actualités et innovations dans le secteur de la construction Schöck se distingue dans l'univers de la construction par son esprit pionnier et son engagement envers l'innovation. Partager Sous titre de l'article (H2) Révolutionner la construction : l'approche innovante de Schöck
Il y a 1 ans et 137 jours

La CPME détaille ses 80 propositions de simplification administrative pour les entreprises

Facilitation de l'accès aux aides, réduction du rôle du CSE, dématérialisation: la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) a détaillé lundi 15 janvier ses 80 propositions de simplification administrative.
Il y a 1 ans et 179 jours

Code des marchés publics, ah le joli temps des courses en sac…

Dans cette quête acharnée des caractéristiques biomimétiques ou darwiniennes des comportements urbains, venue l’ère de la dématérialisation, il est un domaine où les approches organiques sont complètement hors de compréhension voire impensables, c’est celui de l’obscur et tortueux code des marchés publics. À moins d’imaginer un ADN loufoque, saugrenu, et totalement chimérique, il est impossible […] L’article Code des marchés publics, ah le joli temps des courses en sac… est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 350 jours

La place digitale sur Sage Business Cloud Paie

Découvrez La place digitale, le nouveau service de dématérialisation et de distribution des bulletins de paie, directement accessible depuis Sage Business Cloud Paie.
Il y a 2 ans et 35 jours

Gedly, la solution pour une GED simple et efficace

Vous êtes artisan, commerçant, industriel ou encore promoteur immobilier ? Il existe des solutions de dématérialisation dimensionnées pour répondre aux besoins de vos métiers. Quelle que soit la taille de votre structure, gedly vous propose une solution ciblée et vous accompagne dans votre transformation digitale.
Il y a 2 ans et 93 jours

Dématérialisation des autorisations d'urbanisme : les collectivités en difficulté

PERMIS DE CONSTRUIRE. Un an après l'entrée en vigueur de l'instruction des demandes d'autorisation d'urbanisme par voie dématérialisée, les communes et intercommunalités font remonter, via un questionnaire, leurs nombreuses difficultés, provoquées, parfois, par l'État déconcentré lui-même.
Il y a 2 ans et 123 jours

Crise énergétique dans la construction : comment le secteur de la brique contribue à apporter des solutions

Celui-ci se doit pourtant de continuer d’évoluer et d’innover, notamment dans le cadre de la directive européenne EPBD*, qui instaure l’obligation pour tout bâtiment neuf construit à partir de 2021 d’être quasiment neutre d’un point de vue énergétique. Du point de vue des consommateurs, cette tendance est la même : 63% des Français souhaitent rénover leur habitat en 2023**. Le secteur doit donc répondre à cette demande, et ce d’une manière durable. Tout le monde sait que les briques sont cuites dans un four, ce qui nécessite évidemment beaucoup d’énergie. Une brique est fabriquée avec des matières premières naturelles (souvent recyclables), et si sa production ne produit pratiquement pas de déchets, elle rejette du CO2. Nous nous efforçons d’optimiser notre consommation d’énergie, par exemple en utilisant la chaleur résiduelle de la cuisson pour sécher également les briques. Mais il ne faut pas la minimaliser pour autant. Nous voulons contribuer à un présent et un avenir durables.La brique au régimeAlors, la brique va-t-elle bientôt entrer en hibernation à cause de la crise énergétique ? Une chose est d’ores et déjà claire : nous ne sommes pas (encore) prêts à abandonner la brique. Mais nous pouvons la mettre au régime. Nous fabriquons des briques minces depuis des années déjà. Aujourd’hui, les façades sont encore souvent recouvertes d’une couche de 10 cm de briques de parement. Cette époque est bientôt révolue. Car nous allons « dématérialiser » la brique. Nous évoluons vers une brique de 7 cm qui présente exactement les mêmes propriétés et avantages. Mais qui nécessite entre 20 et 25% de matières premières en moins - et donc moins d’énergie. Mieux encore, cette nouvelle brique est environ 10% moins chère. Nous produisons déjà des briques minces et nous nous apprêtons à en étendre la production à toutes nos usines. Une cure d’amaigrissement qui va plus loin Cela fait plusieurs années déjà que nous fabriquons des plaquettes de parement de 1,8 cm. Ces plaquettes de parement s’obtiennent en sciant des briques entières en plaquettes. Cependant, en 2017, Vandersanden a été le premier fabricant de briques à passer à la production de plaquettes de parement ECO directement formées dans des moules de 1,8 cm. Cela permettait d’économiser 70% de matières premières et 50% d’énergie par rapport à une brique traditionnelle. L’utilisation de briques plus minces et/ou de plaquettes de parement laisse en outre plus d’espace pour l’isolation dans vos murs.Et comme nous faisons le pari de la dématérialisation dans l’ensemble de nos activités, nous avons également mis les pavés au régime. Le nouveau standard de l’ensemble de la gamme produite sur notre site de Kessel est désormais de 6 cm au lieu de 6,7 cm. Cela représente une réduction de plus de 10%. Nous recherchons également en permanence des moyens de dématérialiser encore plus nos produits, par exemple en utilisant des pavés perforés. Cette solution permet une réduction du volume allant jusqu’à 40%. Ce pavé est particulièrement adapté aux parkings, aux jardins ou aux allées, possède une grande perméabilité à l’eau et son poids allégé facilite la pose.La dématérialisation permet de réduire la consommation de matériaux, et donc non seulement d’économiser de l’énergie et des matières premières, mais aussi de rendre les transports plus durables. Together to zeroIl est clair que le secteur de la brique, et par extension tout le secteur de la construction, est appelé à changer profondément. La brique plus mince ne constitue qu’une évolution parmi bien d’autres. Chez Vandersanden, nous ne réfléchissons pas en années, mais en générations, et nous avons pris le taureau par les cornes pour rendre le secteur de la brique plus durable. Notre objectif est clair : atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. Ce n’est d’ailleurs pas une ambition, c’est une promesse. Together to Zero est un but que nous entendons concrétiser.Mais nous ne pouvons pas rendre le secteur de la brique profondément durable seuls. Nous ne le voulons pas, d’ailleurs. Nous avons récemment lancé notre programme de développement durable Together to Zero, qui invite nos parties prenantes à relever ensemble le défi qui consiste à effacer entièrement l’empreinte carbone de notre exploitation et notre production à l’avenir. Fidèles à notre philosophie selon laquelle « le plus beau se construit ensemble », nous voulons donner à tous les acteurs de notre secteur la possibilité de rejoindre ce mouvement.Nous avons défini huit domaines pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 : dématérialisation, gestion de l’eau, faible consommation d’énergie sur les sites de production, automatisation intelligente, mobilité sans énergies fossiles, matériaux et applications circulaires, énergies renouvelables et produits à empreinte carbone faible ou nulle. Nous avons déjà de très nombreuses réalisations à notre actif dans ces huit domaines. Ainsi, nous utilisons des fours à briques peu énergivores, nous récupérons la chaleur résiduelle de la cuisson pour sécher les briques, nous possédons plus de 35 000 panneaux solaires et, depuis peu, notre propre éolienne. Et ce n’est pas tout, puisque notre flotte de véhicules (y compris les chariots élévateurs à fourche) va être entièrement électrifiée, tandis que nous déployons un service de reprise des palettes en bois et que nous n’utilisons que des emballages composés d’au moins 30% de matériaux recyclés. Nous sommes d’ailleurs loin d’être seuls pour cela. Nous collaborons en effet avec les communes pour déployer des solutions adaptées au climat, et unissons nos forces à des collègues/concurrents et des fédérations sectorielles pour la dématérialisation des briques. Mais nous ne nous voulons pas nous arrêter en si bon chemin. « Together to Zero » est un mouvement que nous voulons mener et une promesse que nous allons tenir. Nous sommes bien décidés à ne pas attendre et avons déjà bien progressé, et nous encourageons chacun à prendre le train en marche. Joignons nos efforts, en tant qu’industrie, en tant qu’entreprise et en tant que société. Tribune de Nathali Donatz, Group Marketing Director chez Vandersanden (Linkedin)*Energy performance of buidlings directive**Chiffre issu de l’étude SeLoger, dévoilée par le Journal du Dimanche
Il y a 2 ans et 212 jours

SoPump vise l’international

Morad Houmir, fondateur et président de SoPump, sur son stand à Bauma [©ACPresse] Ils étaient aux anges, les petits jeunes de SoPump. Sélectionnés par les organisateurs de Bauma et invités à y exposer, parmi une cinquantaine de start-up venues du monde entier. « C’est l’occasion pour nous de nous faire connaître en dehors des frontières françaises et de nous ouvrir à l’international, explique Morad Houmir, fondateur et président de SoPump. Nous avons la volonté de nous développer sur certains marchés européens, pour commencer. » Au programme, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie. Ceci, en plus de la Belgique où la start-up est déjà présente. « Nous avons aussi été sollicités par les Canadiens… » En France, le logiciel de SoPump gère plus de 800 opérations de pompage de béton chaque jour et quelque 400 machines y sont connectées. « Cela représente environ 50 entreprises réparties entre la France et la Belgique. » Ainsi, SoPump facilite le travail des pompistes au quotidien, en particulier pour ce qui touche la facturation. Et plus largement, les tâches administratives, souvent très chronophages. En finir avec d’administratif La société de pompage-type cliente de SoPump est soit un créateur qui ne veut plus de papier et qui mise sur la dématérialisation. Ou alors l’entreprise à la tête de 6 à 8 machines, qui arrive à saturation, côté administratif. Le 3e profil est la société possédant plus de 40 pompes et qui passe plus de 10 j/mois à faire de l’administratif… SoPump espère beaucoup d’un développement à l’international. D’autant que le potentiel est immense et l’approche assez différente de la France. « Dans notre pays, on facture une mise à disposition et un volume pompé, mais sans contrainte de temps, explique Morad Houmir. Ailleurs, on facture un volume et une durée d’utilisation de la pompe. Résultat, dans certains pays, on arrive à 5 ou 6 pompages par jour, contre 2 en France… » Un exemple à suivre, peut-être pour accélérer le développement du pompage en France. Et optimiser l’utilisation du matériel mis à disposition des chantiers ?
Il y a 2 ans et 246 jours

Première mondiale : la signature électronique sécurisée, gratuite et accessible à tous

Aujourd’hui, avec la généralisation du télétravail et la transformation numérique de tous les pans de la société, la signature électronique s’est considérablement répandue et démocratisée. Mais de nombreuses personnes, entreprises et organisations n’ont toujours pas accès à un tel outil, souvent par manque d’information ou de moyens. Lex Community est justement né du désir de rendre la signature électronique accessible au plus grand nombre.Lex Community est un portail grand public destiné aux TPE, professions libérales et règlementées, indépendants, particuliers et associations qui ont besoin de signer et faire signer tout type de document (contrat, bail, devis, bon de commande, attestation, procès-verbal, état des lieux, etc.) avec tous les bénéfices de la dématérialisation à valeur probatoire : suppression des coûts d’impression et d’expédition, instantanéité d’Internet, sécurité technique, valeur juridique et conformité règlementaire.La plateforme de signature électronique Lex Community est entièrement gratuite. Pour l’utiliser, il suffit de créer un compte en renseignant vos prénom, nom et adresse de messagerie, ainsi qu'un mot de passe. Votre compte ne se clôture pas après 14 jours d’essai gratuit, et n’est pas transféré vers une version payante. Vous avez accès à votre compte en illimité. Et afin de respecter votre vie privée, aucune de vos informations ne sera utilisée à des fins marketing.FranceConnect, l’agrégateur d’identités numériques créé par l’Etat, a par ailleurs été intégré à Lex Community et permet de vérifier facilement l’identité du signataire. Ainsi, tout utilisateur possédant un compte impots.gouv.fr, Ameli, MSA (Mutualité Sociale Agricole), une identité numérique de La Poste ou Mobile Connect et Moi, aura la possibilité de s’authentifier et de signer les documents qui lui seront soumis sur Lex Community. La plateforme permet également au signataire de s’authentifier par mail ou SMS.Pour découvrir Lex Community et adopter la signature électronique, rendez-vous sur www.lex.community
Il y a 2 ans et 248 jours

Wayzz : De l’application à la suite logicielle

Wayzz vient de refondre Béton Sync’ en une suite logicielle s’articulant autour de six Solutions complètes. [©Wayzz] Cela fait plus de cinq années que Wayzz propose son offre de géolocalisation Béton Sync’. Aujourd’hui, l’éditeur la refond en profondeur pour la transformer en une suite logicielle s’articulant autour de six Solutions complètes. Ainsi, ce Béton Sync’ – que l’on pourrait baptiser 2.0 ou Nouvelle génération – reprend toutes les fonctionnalités de son aînée, principalement dispatchées dans les Solution Optimisation et Solution Dématérialisation. En parallèle, différents modules ou briques optionnels peuvent y être ajoutés selon les besoins. A l’image du module Planification, à intégrer dans Solution Optimisation Les quatre autres Solutions s’appellent Production, Client, Pompage et Affretés. Solution Production en est l’une des plus marquantes, car elle constitue une réponse inédite dans l’offre Wayzz. « Il s’agit de notre réponse aux besoins d’outils de pilotage pour centrales à béton, explique Jérôme Brage, président de Wayzz. Nous l’avons développée avec la société autrichienne Dörner. » Béton du Gard est la première entreprise de BPE à l’utiliser en France.  Solution Pompage est dédiée à la gestion des prestations de pompage gérées par l’entreprise de BPE dans le cadre de la fourniture du béton. Solution Client permet la mise à disposition des documents dématérialisés (bon de livraison, facture) au client final. Et lui ouvre aussi la porte au suivi de la toupie lui assurant la livraison de son béton. Enfin, Solution Affrétés donne accès aux locatiers travaillant avec un BPE aux principales fonctionnalités de Béton Sync’.    Bauma – Zone extérieure FS – Stand 904A/2 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 269 jours

Aventure à contre-temps en réseau dystopique

Depuis l’avènement de la dématérialisation si chère à l’administration, il appartient désormais aux architectes de vérifier sur les six cent cinquante sites qui les concernent si par hasard, des fois, il n’y aurait pas un document les concernant. Sinon c’est de leur faute ! Ubu roi du numérique. En cette rentrée, il semble nécessaire de recentrer […] L’article Aventure à contre-temps en réseau dystopique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 312 jours

Négoce de matériaux et transformation digitale : naissance de nouveaux enjeux

Le négoce des matériaux de construction est lui aussi concerné par cette tendance : 60% des décideurs de l’étude menée par DL Négoce cette année estiment que la transformation digitale contribue à fidéliser la clientèle et voit ses métiers évoluer selon la Commission paritaire nationale de l’Emploi et de la Formation professionnelle.[2]Le parcours client a connu ses dernières années une transformation sans égal, quel que soit le secteur de l’activité commerciale. Le client est de plus en plus informé, de plus en plus exigeant et ultra connecté. Par conséquent, de la vente à la logistique, en passant par la communication ou le marketing, une adaptation des entreprises est devenue indispensable pour répondre aux enjeux actuels.Une évolution des métiers face aux nouveaux usagesL’omnicanalité occupe une place prépondérante aujourd’hui, conduisant au constat suivant : les métiers de la force de vente et du commerce sont les premiers influencés par la digitalisation. Selon l’étude, ils sont parmi ceux les plus impactés (à hauteur de 80%). En effet, les vendeurs conseils et les commerciaux ont besoin d’accéder à tout type d’information pour être efficaces et offrir une expérience client individualisée. Qu’il soit question des réseaux sociaux et plus largement d’Internet pour valoriser l’offre de services du négoce ou suivre les actions de la concurrence; d’outils pour accéder à différentes informations pour, par exemple, établir des devis en temps réel, les équipes voient leurs fonctions évoluer et demander toujours plus d’agilité. Il en va de même pour les métiers de la chaîne logistique. 70% des décideurs interrogés lors de l’étude affirment que les métiers de la logistique et du dépôt ne sont pas épargnés par la transformation digitale (préparateur de commande, livreur et magasinier…). E-commerce, click and collect… Les clients, TPE et PME confondues, sont de plus en plus nombreux à acheter sur Internet. Parmi les artisans, 27% déclaraient l’année dernière y acheter du gros matériel, tandis qu’ils étaient 88% à se procurer des fournitures diverses.[3] Aussi, 84% des négoces interrogés dans le cadre de l’étude ont investi dans la supply chain pour avoir une gestion des stocks plus fine (une disponibilité au bon endroit et au bon moment) à l’aide d’un écosystème numérique facilitant la circulation et l’exploitation des informations, voire une certaine automatisation des plateformes au sein des parcs de matériaux.[4]Changement de paradigme, nouveaux défis RHSi les initiatives ont été nombreuses et variées en termes de digitalisation (la dématérialisation des factures arrive en tête avec 48%, suivent la vente en ligne des produits 38% et la mise en ligne d’informations sur la disponibilité des stocks avec 37%), cette accélération de la digitalisation dans les négoces doit toutefois être nuancée. Le secteur se retrouve en effet confronté à différentes difficultés. 41% des répondants à l’étude se disent en retard par rapport à leurs concurrents. Plusieurs freins ont été identifiés : tout d’abord le manque de ressources internes, difficulté phare rencontrée par 43% des négociants de matériaux. Actuellement, recruter et fidéliser devient de plus en plus ardu en raison d’une pénurie de talents liée à un marché du travail bouleversé par la crise COVID, avec un nombre d’emplois plus important qu’à l’accoutumée concernant certaines professions. « La forte concurrence crée un climat de recrutement “compliqué” pour 78% des répondants à l’étude »[5], alors qu’ils doivent investir dans les nouveaux métiers de la communication/marketing digital jusqu’alors inexistants dans l’univers du négoce et renforcer certains services pour accompagner cette mutation générale (RH, comptabilité…). Parallèlement, on observe de la part des dirigeants une volonté d’accompagner les personnels dans leur montée en compétences pour qu’ils puissent notamment gagner en autonomie et répondre aux enjeux de l’automatisation progressive des tâches.Malgré tout, le digital reste un levier de développement pour le secteur du négoce dont le chiffre d’affaires est en nette augmentation. Perçu comme un allié favorisant l’amélioration de l’expérience client et par voie de conséquence la performance business, il contribue à accroître le niveau de qualification des collaborateurs et la diversification des métiers. La vraie difficulté réside dans le fait d’avoir des ressources en interne suffisamment à l’aise avec les outils digitaux pour piloter les projets, mais aussi dans la conquête de nouveaux talents capables d’accompagner l’organisation dans sa transformation numérique.Tribune de Pascal Andries, Directeur de Général DL Négoce (LinkedIn).[1] Source : Comment tirer parti de la transformation numérique pour modifier la chaîne de valeur de l'entreprise ?[2] Source : https://www.dlnegoce.fr/digitalisation-quelle-influence-sur-les-metiers-dans-le-negoce-de-materiaux/[3] Source : E-commerce : approvisionnement pour artisans | Batiadvisor[4] Source : https://www.dlnegoce.fr/etat-des-lieux-perspectives-investissements-quelle-meteo-chez-les-negociants-de-materiaux/[5] Ibid.
Il y a 2 ans et 353 jours

Conjoncture du Bâtiment à début juin : l'activité tient encore, malgré la crise des matériaux

L’activité tient encorePar ailleurs, les entreprises résistent pour l’heure. Alors que le remboursement des PGE a commencé, le nombre de défaillances sur les quatre premiers mois de 2022, bien qu’il se redresse, s’avère encore 40% inférieur à celui relevé sur les quatre premiers mois de 2019, soit avant la crise sanitaire.Le PIB et ses composantes - © FFB d'après l'INSEEEn conséquence, l’emploi continue de progresser dans le secteur, de plus de 8 000 postes sur le premier trimestre 2022. Depuis le premier confinement du printemps 2020, le secteur n’a jamais cessé de créer de l’emploi et affiche 86 600 postes de plus, soit une hausse de près de 7%, près de deux points de pourcentage de plus que l’ensemble de l’économie. Cela explique pour partie les difficultés de recrutement, toujours particulièrement fortes dans le bâtiment. Malgré cela, les perspectives d’embauches à l’horizon de l’été restent assez bien orientées.Taux d’inflation en France - © FFB d'après l'INSEEMais une crise des matériaux toujours d’actualité…Le contexte s’avère toutefois difficile, avec une crise des matériaux qui ne trouve pas de terme. Selon les données Insee, entre novembre 2021, début de la crise de l’énergie, et avril 2022, les prix des aciers pour la construction et des demi-produits en aluminium ont encore progressé de 27%, ceux des tuiles de 20%, ceux des produits PVC de 16%, ceux des produits céramiques de 12%, ceux des demi-produits en cuivre des produits verriers ou plastiques de près de 10%, etc. Taux de chômage - © FFB d'après l'INSEEPlus globalement, malgré une quasi-stabilité du coût horaire du travail et sous l’effet d’une progression moyenne de 6% du coût des matériaux mis en œuvre, l’index BT01 calculé par l’Insee, qui résume l’ensemble des coûts d’une entreprise moyenne du bâtiment, s’affiche à +3% sur les trois premiers mois de 2022, après plus de +5% sur l’ensemble de 2021.Taux et durées des crédits immobiliers accordés aux particuliers - © FFB d'après l'INSEELes litanies de hausses qui se succèdent depuis la fin 2020 fragilisent évidemment les entreprises de bâtiment. Et de fait, au premier trimestre 2022, une claire dégradation de la marge opérationnelle de la construction se lit dans les comptes trimestriels de la Nation publiés par l’Insee. Ce constat confirme que, la solidarité de filière appelée de ses vœux par la FFB depuis deux ans doit impérativement devenir réalité, à la fois par de la tempérance sur les prix des matériaux et par l’insertion systématique de clauses de variations de prix.Perspectives de mises en chantier exprimées par les promoteurs - © FFB d'après l'INSEE… Et des craintes sur l’activité en 2023Le marché de l’amélioration-entretien, qui représente environ 54% du chiffre d’affaires du bâtiment, accélère un peu en début d’année. De fait, l’activité progresse de 1,4% en volume par rapport au premier trimestre 2021, après +1,1% au trimestre précédent. Toutefois, la suite de l’année devrait encore bénéficier de la dynamique de MaPrimeRénov’, qui ne se dément pas, avec 207 000 primes accordées sur les quatre premiers mois de 2022, soit +19% sur un an. Il faut toutefois signaler que la dégradation du marché des CEE et l’instabilité de l’aide brident l’activité. Ventes de maisons individuelles en secteur diffus - © FFB d'après l'INSEELe non résidentiel neuf constitue la bonne nouvelle du moment. En glissement annuel sur quatre mois à fin avril 2022, les surfaces commencées et autorisées s’y redressent de 26% et 12%. Pour autant, ces évolutions positives maintiennent encore le segment bien en-deçà des niveaux d’avant-crise sanitaire. Évolutions régionales (en %, en glissement annuel) des ventes de logements neufs - © FFB d'après l'INSEEEn revanche, l’inquiétude se renforce sur le logement neuf à moyen terme. Plusieurs acteurs –dont la FFB– ont déjà signalé à de nombreuses reprises sa très probable chute à l’horizon de la fin 2022. Les chiffres récents confirment ce risque, notamment avec la fin du choc positif créé par l’anticipation de la RE2020 en maison individuelle. De fait, sur ce segment, les permis abandonnent 8% en avril 2022 par rapport à avril 2021, en droite ligne de l’effondrement des ventes constaté depuis le début de l’année. Les mises en chantier suivront dans les prochains mois. Quant au collectif, les ventes de logements continuent de plonger et la situation ne s’améliore que transitoirement du côté des permis, sous l’effet de l’anticipation de la RE2020 là encore.Glissement annuel sur douze mois à fin avril 2022 des mises en chantieret autorisations de logements (en %) - © FFB d'après l'INSEEDe la nécessité d’accompagner un secteur qui porte l’économieIl n’est pas trop tard pour redresser la barre et assurer la visibilité nécessaire au secteur. C’est d’ailleurs indispensable puisque le bâtiment s’avère aujourd’hui l’un des rares secteurs à tirer l’économie et, plus encore, l’emploi pérenne en France, tout en répondant à des réels besoins. Évolutions (en volume) de l’activité d’amélioration-entretien - © FFB d'après l'INSEEDans un contexte de bouleversement économique mondial, il importe de protéger cet atout maitre, d’autant qu’on ne réussira pas l’indispensable transition écologique sans artisans et entreprises de bâtiment présents sur tout le territoire.Les Assises du BTP annoncées par Bruno Le Maire et souhaitées rapidement après les législatives tombent donc à point nommé. Elles permettront d’aborder tous les sujets de préoccupations évoqués précédemment.Évolutions (en volume) de l’activité de rénovation énergétique - © FFB d'après l'INSEEIl faudra revenir sur la solidarité de filière, y compris à son amont (industriels et distributeurs), et sur l’indexation des prix des marchés, modalités de financement comprises. Le sujet de l’accompagnement de la trésorerie des entreprises sera aussi abordé, avec des questions tournant autour de l’allongement du remboursement des PGE, des avances sur marché, etc.Il conviendra encore de réfléchir au financement de la RE2020 et à l’indexation des aides (PTZ, MaPrimeRénov’, CEE, …) dans un contexte à nouveau inflationniste. Ce contexte renforce d’ailleurs notre demande de mise en place d’un mécanisme d’amortissement généralisé en faveur du l’investissement locatif privé en lieu et place des dispositifs fiscaux dérogatoires.Carnets de commandes des entreprises de bâtiment - © FFB d'après l'INSEENous y porterons également notre demande de tempérance législative et règlementaire pour éviter l’accumulation trop rapide des surcoûts associés, mais non financés (RE2020, ZAN, REP, suppression de l’accès au GNR, conséquence de la SFEC…). La FFB militera d’ailleurs pour une simplification tous azimuts permettant de gagner en fluidité et de lever les blocages dans la construction neuve, d’abord en généralisant effectivement la dématérialisation du dépôt et de l’instruction des permis, mais aussi en étudiant sérieusement la piste du permis déclaratif ou en encadrant les processus dilatoires de pré-instruction des permis, etc.Il conviendra aussi d’y aborder la transition écologique et digitale, de bien mesurer ce qu’elle implique comme transformation du secteur en termes de marchés, d’emploi, de formation, de structures d’entreprise et d’organisation de la filière à l’horizon 2050.Ces Assises constituent donc bien un chantier de début de quinquennat. Il doit permettre de mieux répondre aux menaces immédiates qui pèsent sur le bâtiment, mais aussi, dans un monde qui connait de grands bouleversements, de préparer l’avenir du secteur au service de nos concitoyens et de notre économie. Vaste et enthousiasmant programme !
Il y a 3 ans et 34 jours

Ubiwan lance Ubispot*2, son nouveau capteur LTE-M

Aujourd’hui l’entreprise s’appuie sur une équipe de 20 collaborateurs qui accompagnent au quotidien 400 clients dans les secteurs du BTP, de l’industrie et de la maintenance. C’est pour maintenir cette relation privilégiée et pérenne avec eux et répondre à l’évolution de leurs besoins qu’Ubiwan a su faire preuve de réactivité en plaçant la gestion des données géographiques et l’innovation au cœur de sa stratégie de développement, avec le lancement d’ Ubispot*2, son premier capteur LTE-M. Dans ce contexte porteur, Ubiwan adresse un marché de 100 millions d'équipements et vise les 10M€ de CA d’ici 5 ans (vs 1,7M en 2020).La gestion de la mobilité au service des entreprisesSalariés nomades, matériels qui se déplacent et tâches déportées hors de l’entreprise : aujourd’hui, plus de 450.000 entreprises et administrations voient tout ou partie de leur activité s’exercer en dehors de bureaux ou de sites de production.Techniciens, réparateurs, livreurs, artisans, professionnels du TP et bien sûr transport : la gestion de la mobilité est aujourd’hui un enjeu clé pour ces professionnels… et leurs managers. Une solution de géolocalisation et de gestion de flotte répond avant tout aux besoins d’une entreprise qui vise à optimiser le pilotage de son activité hors de ses murs et à en dégager des bénéfices économiques et sociaux profitables à tous au sein de l’entreprise, de la TPE au grand groupe. Ubiwan s’appuie sur la géolocalisation en temps réel pour permettre à ses clients d’obtenir des données fiables sur les localisations et usages de leurs biens et ainsi optimiser l’activité globale de l’entreprise. Le déploiement d’un suivi de flotte se traduit par la présence d’un capteur GPS (Ubispot) branché ou apposé sur les équipements nomades (véhicules, matériels, engins) que l’on souhaite analyser pour, in fine, améliorer leurs performances.Paramétrés pour connecter l’ensemble d’une flotte (voitures, utilitaires, camions, poids-lourds, engins, matériels, containers, bennes etc.) à la plateforme Ubiwan Connect, les capteurs permettent l’accès à une profondeur d’analyse très élaborée. Jusqu’à 250 types de données différentes sont remontées par capteurs : localisation sur une carte interactive, vitesse moyenne du véhicule, déplacements, activités du moteur (arrêt, fonctionnement), comportement du véhicule (freinages, accélérations), inclinaison, etc. Outre la géolocalisation, le déploiement d’une solution de gestion de flotte influe sur la productivité (optimisation des plannings, dématérialisation des feuilles de route, affectation des missions via smartphone), la réduction des coûts d’entretiens des véhicules (utilisation raisonnée, baisse du taux de panne) ou encore la réduction de son empreinte carbone (optimisation des parcours).Mettre en place une solution de géolocalisation de flotte de véhicules implique d’obtenir et manipuler des données qui peuvent être sensibles. Raison pour laquelle cette démarche est soumise à la Réglementation européenne de protection des données personnelles (RGPD). D’un point de vue légal, celle-ci doit être justifiée par les impératifs de l’entreprise, et être acceptée par les collaborateurs. Ubiwan propose à cet effet un manuel destiné aux conducteurs pour encadrer l’utilisation des capteurs (mode privé, géolocalisation désactivée, temps personnel, etc.) afin d’assurer une utilisation respectueuse de l’outil.Ubispot*2, le nouveau capteur LTE-MChez Ubiwan, 50% des effectifs sont dédiés à la R&D. Une stratégie gagnante qui avait déjà permis à l’équipe de concevoir le premier capteur IOT bi-mode autonome 5 ans, primé au Salon Intermat de 2018. L’entreprise signe sa singularité par sa capacité à innover et à proposer des solutions adaptées aux mutations du marché, en témoigne le développement d’Ubispot*2, son nouveau capteur LTE-M.Tout terrain, ce nouveau capteur vient renforcer la gamme de capteurs autonomes et ne nécessite pas de branchement externe. Cette balise GPS permet de géolocaliser les équipements en étant simplement posée, accrochée ou vissée à son support en toute autonomie pendant 3 ans. 1 fois par jour, Ubispot*2 remonte les informations clés pour visualiser en un clic la situation de ses équipements.Extension de la technologie 4G, le LTE-M (Long-Term Evolution for Machines) combine une faible consommation énergétique et une couverture cellulaire étendue. En intégrant le réseau LTE-M, Ubiwan fait le choix d’un réseau fiable et pérenne. Le LTE-M ouvre également la voie à de nouveaux usages, en offrant une connexion performante, même à 100 km/h. Contrairement aux technologies LPWAN (Low-Power Wide Area Network), LTE-M assure la garantie d’acheminement des données et assure continuellement une capacité bidirectionnelle des données.De plus, cette technologie présente l’intérêt d’être accessible au niveau international, avec les mêmes exigences de qualité et de sécurité que tous les réseaux cellulaires et de parfaitement s’adapter au marché des objets connectés (IoT).Fiable et adaptée, tant sur le plan économique que technique, la technologie LTE-M utilisée pour Ubispot*2 offre la synergie d’une solution de géolocalisation optimale et d’une consommation énergétique réduite, idéale pour répondre aux enjeux des acteurs de l’Industrie, du BTP ou de la location.Pour David Babin, CEO Ubiwan : “Notre expertise IOT et notre maîtrise combinée des capteurs et des réseaux nous a permis d'intégrer le réseau LTE-M dans un contexte où le marché des réseaux connaît des évolutions majeures. En 2016, alors que nous étions ambassadeurs de la LORA Lalliance nous prévoyions l’avènement des réseaux LTEM et Narrowband IOT comme vecteurs d’adoption massifs de l’IOT. Notre politique R&D et notre cycle de qualification nous permettent aujourd'hui de considérer LTE-M comme mature et de proposer une solution à la fois innovante, pertinente et robuste pour nos clients. Notre vocation sera toujours d’intégrer les technologies qui représentent l’équilibre technique et économique.”
Il y a 3 ans et 36 jours

A l'approche des législatives, le bâtiment adresse 85 propositions aux candidats pour une « France, terre de bâtisseurs »

Ce document couvre tous les champs législatifs qui impactent le quotidien des entreprises : urbanisme, fiscalité, droit du travail, développement des compétences, marchés, etc…Ces propositions s’articulent autour de 16 priorités : Soutenir l’accession à la propriétéConcilier le « zéro artificialisation nette » (ZAN) des sols et les besoins de développement des territoiresTenir compte des contrats d’apprentissage déjà en cours dans l’entreprise au titre de l’insertionInstaurer le permis déclaratif en lotissement et en zone d’aménagement concertéGénéraliser la dématérialisation de l’instruction des demandes d’autorisation d’urbanismeAutoriser la publicité sur les bâches de chantier pour financer la rénovationLimiter la durée de l’activité en microentrepriseLutter contre le dumping social et le travail illégalLever les freins au recrutementDécourager la permittence des intérimairesInstaurer un moratoire sur les « zones à faibles émissions mobilité » et accompagner les entreprisesAlléger la charge fiscale pour les TPELimiter la sous-traitance dans les marchés de travauxModifier les règles sur les variations de prixCompenser les surcoûts liés à la RE2020Encourager davantage la rénovation globalePour Olivier Salleron, président de la FFB : « Toutes les mesures fléchées vers le bâtiment depuis 5 ans, ont connu une traduction positive en termes d'emploi, de relance de la croissance, d'innovation et de hausse du pouvoir d'achat pour des centaines de milliers de français. Ces nouvelles propositions ont toutes un seul et même objectif : rappeler que la France est d'abord et avant tout une terre de bâtisseurs. C'est ce qui lui donne sa puissance, son identité, son équilibre territorial ! »Téléchargez les 85 propositions de la FFB en cliquant ici (PDF 6,3 MB).
Il y a 3 ans et 42 jours

Adeline Mourlevat prend la tête du Service Référencement Industriels d’Elcia

Adeline, vous venez d’être nommée Responsable du Service Référencement, mais vous êtes chez ELCIA depuis plus de cinq ans maintenant. Pouvez-vous revenir sur votre parcours ?« J’ai rejoint ELCIA en 2017, à la sortie de mes études à l’INSA de Lyon où j’ai été diplômée en Génie des matériaux. J’ai intégré le Service Référencement dans lequel j’ai occupé le poste d’Ingénieur Projets pendant deux ans. En 2019, j’ai sauté sur l’opportunité de devenir Ingénieure Commerciale afin d’accompagner nos commerciaux Industrie sur la partie technique. J’ai appris l’avant-vente, le commerce et le suivi clients. J’ai ensuite rejoint le Service Clients Industrie qui a été créé en 2021, en tant que Chef de projets clients : j’accompagnais nos partenaires industriels dans la mise en production de leurs projets EDI ou encore MyPricer. J’ai pu y développer mes compétences sur l’accompagnement, le suivi des projets, le conseil clients. J’ouvre aujourd’hui une nouvelle page de mon aventure chez ELCIA en devenant Responsable du Service Référencement. »Vous prenez la Direction du Service Référencement, qui est l’un des Services historiques d’ELCIA. Pouvez-vous nous le présenter ?« Le Service Référencement est l’un des piliers d’ELCIA ! C’est lui qui a référencé et qui est en charge du maintien à jour des 1 750 Bibliothèques de tarifs de nos 600 Industriels partenaires dans le Configurateur ELCIA. Ce Service est le garant de la fiabilité de nos Bibliothèques référencées ! C’est son travail qui fait que nos clients artisans, installateurs et revendeurs peuvent réaliser des devis justes, avec des prix à jour et qu’au final le produit chiffré soit fabricable. Pour cela, le Service Référencement travaille en toute confiance avec les équipes de nos partenaires industriels. Il faut comprendre leurs produits, leurs options et leurs règles métier, pour ensuite les paramétrer dans nos outils.Nous mettons donc un point d’honneur à ce que chaque membre du Service soit un véritable expert métier, qui parle le même langage que les industriels. Chaque nouvel arrivant suit une formation de plusieurs mois, sur nos outils internes, mais aussi sur le métier de nos partenaires, le secteur de la Menuiserie, son vocabulaire.Le Service Référencement est aujourd’hui composé de 19 Ingénieurs et 3 Techniciens, dont une partie sur notre site de Tarbes, notamment pour la gestion des projets transversaux avec ISIA. Depuis quelques années, nous avons organisé le Service en nous inspirant des étapes qui existent dans l’Industrie : études et estimations, planification, qualité et production. »Quelles seront vos missions sur ce nouveau poste ?Je prends la tête du Service Référencement avec deux grands objectifs ! Face aux variations de prix actuelles, nous devons garantir au marché que les mises à jour de nos 1 750 Bibliothèques de prix référencées soient livrées à la bonne date. C’est un vrai challenge ! Deuxième objectif : accompagner les industriels pour que la configuration de leurs produits soit plus riche et permette à leurs clients de passer commande en EDI. La dématérialisation des commandes facilite leur quotidien et évite à leurs équipes de perdre du temps à rappeler l’installateur parce qu’il manque des informations.Cela passe par le management du Service, le suivi de son activité et du respect de ses objectifs. Je veille au bon déroulement des projets de Référencement, j’accompagne les membres de l’équipe, les aide, les conseille. J’ai été Ingénieur Projets pendant deux ans, c’est indispensable pour comprendre le fonctionnement du Service. Je m’assure aussi de leur bienêtre dans le Service et de leur montée en compétences, que ce soit techniquement ou en gestion de projets. Je vais être épaulée par Jonathan Farge, qui fait partie du Service Référencement depuis 17 années. Nous allons former un véritable binôme.La stratégie d’amélioration continue du Service sera également au coeur de mes missions. Les besoins de nos partenaires industriels évoluent, les solutions ELCIA aussi. Il doit en être de même pour nos outils internes !Enfin, mon rôle est aussi d’échanger avec les autres services d’ELCIA. Par exemple, avec le Service Produit pour leur faire part des besoins techniques qui nous sont remontés par les industriels ou encore avec le Service Clients Industrie pour répondre de manière efficace aux problématiques de nos partenaires.Pour terminer, quel plus souhaitez-vous apporter ?Mes différentes missions chez ELCIA me permettent d’avoir aujourd’hui une vision à 360° de l’Industrie : technique, commerce, accompagnement. Cette vision globale, je l’ai aussi en interne. J’ai côtoyé plusieurs Services, je connais les besoins de chaque équipe. Je souhaite m’appuyer sur cette expérience pour fluidifier les relations entre les différents Services ELCIA : ce sont nos partenaires qui en sortiront gagnants !J’ai aussi à coeur d’apporter un regard neuf sur l’organisation du Service Référencement. Pouvoir réorganiser certains aspects de la vie de l’équipe, toujours dans ce souci d’amélioration continue, pour toujours plus d’efficacité et de qualité.Chez ELCIA, des femmes manageuses et heureuses !Girl Power ! Avec la nomination d’Adeline MOURLEVAT sur un poste de management, une barre symbolique vient d’être franchie : 58% des collaborateurs d’ELCIA sont désormais managés par des femmes !Alors que le ratio hommes/femmes chez ELCIA est de 68% contre 32%, la majorité des collaborateurs sont managés par des femmes en totale réussite sur leur poste d’encadrement. Pour Stéphanie ROBIN, DRH du Groupe : « Même si le monde de l’édition logicielle reste un secteur encore difficile à féminiser, chez ELCIA, nous travaillons à plus de parité. C’est un chiffre clé pour l’entreprise, il souligne le fait que les femmes accèdent à des postes d’encadrement et de direction autant que leurs collègues masculins »Manageuses et heureuses ! Pour célébrer la Journée des droits des femmes, ChooseMyCompany (à l’origine notamment du Label HappyAtWork), a publié le WomenTop40, son classement des 40 meilleures entreprises de 100 à 500 salariés où les femmes sont les plus heureuses et engagées. ELCIA se classe à la 23ème place, sur plus de 678 entreprises dans la catégorie. Une vraie fierté !
Il y a 3 ans et 64 jours

Gard : Premier automate de production Wayzz chez Béton du Gard

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine La centrale de Salindres de Béton du Gard a été équipée de l’automate de production du béton signé Wayzz. [©Wayzz] Un an et demi de préparation… Et le voici qui prend vie. Wayzz a installé sur la centrale Béton du Gard de Salindres, son premier automate de production du béton. « Nous proposions une solution pour la dématérialisation et la gestion de la logistique du béton, explique Jérôme Braga, Pdg de l’entreprise. Ce qui permettait à nos clients de bénéficier du suivi dynamique du statut des toupies, de la gestion du temps d’attente et de la digitalisation des bons de livraison. En incluant désormais dans notre offre l’option de gestion de la centrale, nous permettons la prise de commandes, la production automatisée et la pré-facturation. » Les possibilités d’accompagnement de Wayzz touchent ainsi un spectre allant de la commande du BPE à sa livraison sur chantier. « En plus, gérer les données de production nous permet de dynamiser et d’optimiser notre solution. » Wayzz s’appuie sur un partenariat exclusif pour la France avec l’Autrichien Dörner pour fournir cette solution. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Occitanie Béton du Gard est donc la première entreprise de BPE à bénéficier de cette nouvelle solution. Sur la centrale de Salindres, une semaine d’arrêt a été nécessaire pour réaliser la transition. Ceci, début mars. « Nous avons pris notre temps pour réussir cette première. En changeant notamment tous les capteurs. Mais dans un process normal, nous avons prévu de réaliser les transitions en 1 à 3 j. » Si ce sont les équipes de Wayzz qui ont œuvré à l’ensemble des tâches sur cette opération, Wayzz cherche des partenaires locaux pour le câblage de ses prochaines installations. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 97 jours

Achat immobilier : quand de faux notaires détournent des dizaines de milliers d'euros

Contrairement à ce qu'elle croyait, le RIB que Corinne a transmis mi-janvier à sa banquière ne venait pas de l'assistante de son notaire, malgré l'entête et la signature, mais de pirates informatiques qui avaient eu accès à sa boîte mail.En prenant connaissance de tous les échanges liés à cette transaction immobilière, à savoir l'achat d'une résidence secondaire, les escrocs ont pu parfaire leur usurpation d'identité et l'ont rendue plus crédible."Quand vous consultez le mail sur votre téléphone, vous ne voyez que le nom de la personne", et pas l'adresse, se justifie Corinne, cadre dans une entreprise du CAC 40 et qui se dit "plutôt méfiante" en général."Si je reçois quelque chose que je n'attends pas, je ne clique pas", dit-elle. Sauf que cette fois-ci, elle attendait bien un mail en provenance de son notaire...Corinne a réussi à récupérer environ 100.000 euros, mais elle est aujourd'hui "folle de rage", notamment envers sa banque, avec qui elle est en situation de précontentieux. Elle a par ailleurs porté plainte contre X.Selon elle, sa banquière n'a pas fait les vérifications adéquates : outre l'adresse de l'expéditeur, suspecte, qui apparaissait noir sur blanc dans le mail transféré, la conseillère ne s'est pas rendu compte que le destinataire du virement n'était pas enregistré à la Caisse des dépôts et consignations (CDC), comme cela était pourtant indiqué sur le faux RIB."Il faut vraiment que les conseillers financiers soient formés, parce qu'un notaire n'aura jamais un compte" ailleurs qu'à la CDC, explique une notaire des Hauts-de-Seine souhaitant préserver son anonymat. Selon elle, "au moindre doute, la banque devra effectuer un contre-appel (appel de vérification), procédé utilisé par les notaires eux-mêmes auprès des clients".Dans un courriel envoyé à sa banque, Corinne dénonce l'attitude de celle-ci : "Je suis contrainte par la banque de passer par la conseillère en agence pour mes virements les plus sensibles alors que le niveau d'authentification et de contrôle du destinataire est plus faible que lorsque je réalise moi-même un virement selon mon habitude par l'interface web".Connexions... de Côte d'IvoirePour Sébastien Dupond, patron de Cyber4U, une entreprise de cybersécurité qui accompagne les petites et moyennes entreprises et qui a décidé d'assister Corinne bénévolement, les responsabilités sont partagées entre plusieurs acteurs.Outre la banque qui n'a apparemment pas effectué les vérifications minimales avant de transférer plus de 160.000 euros, l'expert accuse l'opérateur de messagerie de n'avoir jamais averti Corinne de connexions suspectes sur son compte depuis la Côte d'Ivoire. La victime ne s'en est en effet rendu compte qu'après l'arnaque, en allant vérifier elle-même son historique de connexion.Enfin, dernier responsable, selon M. Dupond, l'office de notariat, qui envoie les RIB directement aux clients, sans passer par un système sécurisé."Les préconisations de la profession sont effectivement d'envoyer les RIB via une plateforme sécurisée, effectuer des contre-appels, alerter les clients", explique une notaire.Difficile de savoir précisément le nombre de victimes concernées par ce genre d'arnaques, mais selon une estimation obtenue par l'AFP dans le milieu notarial, cela pourrait représenter quelques dizaines de personnes depuis l'été dernier.Dans certains cas, ce serait le notaire qui se serait fait pirater sa boîte mail, les escrocs l'utilisant pour demander les fonds, en joignant un faux RIB.Dans une alerte publiée fin 2021 sur son site internet, l'association de consommateurs UFC-Que Choisir cite le cas d'un particulier ayant perdu 50.000 euros et celui d'un couple s'étant fait dérober 30.000 euros."Sur la totalité des actes, cela ne représente presque rien, mais ce sont des situations qui sont la plupart du temps problématiques pour les clients", reconnaît le Conseil supérieur du notariat.Dématérialisation et cybersécuritéSi le premier confinement a considérablement ralenti l'activité du secteur immobilier, le rattrapage qui a suivi, combiné à la persistance de contraintes sanitaires, ont accru les risques de fraudes."Les clients et les professionnels de tous les secteurs, dans le contexte de dématérialisation accélérée qui est un corollaire de la crise sanitaire, sont exposés à des risques croissants de cybersécurité", constate le Conseil supérieur du notariat, qui a noté une recrudescence ces derniers mois."Nous recevons de nos instances professionnelles régulièrement des mails nous invitant à être encore plus vigilants que nous ne l'avons été", confirme un notaire exerçant en Seine-Saint-Denis et qui explique qu'avec la crise sanitaire, les RIB qui étaient auparavant remis en mains propres sont dorénavant envoyés par mail.Si le phénomène n'est pas nouveau, la France n'est pas non plus le seul pays touché : en 2018, l'AFP évoquait déjà de nombreuses victimes de telles arnaques recensées aux Etats-Unis.A la Banque de France, "on demande aux établissements de faire des campagnes d'informations régulières de leur clientèle professionnelle, et ça vaut pour les notaires, afin de rappeler tous les enjeux associés à la sécurité des identifiants", explique Julien Lasalle, responsable du service de surveillance des moyens scripturaux à la Banque de France. "Un changement d'identité bancaire d'un bénéficiaire, ce n'est pas une opération anodine", ajoute-t-il.Face au nombre d'arnaques en hausse, la caisse d'Ile-de-France du Crédit Agricole a décidé d'alerter ses clients, par mail ou par SMS, et affirme avoir mis en place "une procédure pour sécuriser les virements supérieurs à 100.000 euros demandés à distance".Parmi les mesures conseillées : le contre-appel. Même en cas de mail et de RIB qui semblent conformes, il est plus que conseillé de contacter directement l'office notarial avant de procéder au virement.
Il y a 3 ans et 100 jours

La commission des finances à l'Assemblée Nationale se penche sur le chèque énergie

Créé dans le but de remplacer les tarifs sociaux de l'énergie, le chèque énergie vise à lutter contre les effets de la précarité énergétique en offrant aux ménages modestes une aide au paiement de leurs factures d'énergie. Dans le rapport publié ce jour, la Cour des comptes dresse un ensemble de constats qui lui paraissent justifier la conduite d'une réflexion sur la nature réelle du dispositif : en ce sens, elle relève notamment que le seul critère retenu par les pouvoirs publics - le niveau de vie des membres des ménages - rend son ciblage peu performant. En outre, le fait que le chèque puisse financer tout type d'énergie va à l'encontre des objectifs climatiques de la France, puisqu'il aboutit à subventionner pareillement l'usage d'énergies carbonées et décarbonées. Au-delà d'une évolution paramétrique du chèque énergie et du renforcement de sa cohérence, la Cour propose trois scénarios possibles, en fonction d'une clarification des objectifs poursuivis. Le dispositif existant pourrait être simplifié et amélioré pour maintenir sa vocation sociale et le rendre plus accessible Dans le dispositif actuel, les tranches de revenus formant le barème du chèque ne prennent pas en compte l'évolution pluriannuelle du niveau des salaires en France, ce qui entraîne un risque de diminution mécanique du nombre de ménages relevant des premières tranches (et recevant un chèque de montant plus élevé). Par ailleurs, le taux d'usage (80 %) semble atteindre un plafond, malgré les efforts de promotion des pouvoirs publics et de leurs partenaires. La Cour relève également que les informations relatives aux bénéficiaires demeurent lacunaires, qu'il s'agisse de leurs caractéristiques sociodémographiques, des autres aides sociales qu'ils perçoivent, de leurs consommations énergétiques ou de l'usage qu'ils font du chèque énergie. Enfin, la possibilité d'utiliser le chèque énergie pour financer des travaux de rénovation énergétique n'a pas eu le succès escompté, avec moins de 900 bénéficiaires par campagne.L'ASP gère correctement le dispositif mais doit s'engager plus activement à dégager des économies de gestion Sous le pilotage du ministère de la transition écologique, la gestion du dispositif est assurée par l'Agence de services et de paiement (ASP), qui assure directement une partie de sa mise en œuvre opérationnelle. Alors que le nombre de bénéficiaires a considérablement augmenté depuis la création du chèque énergie, la Cour souligne que l'ASP a su s'adapter aux multiples changements en développant de nouveaux outils et services (dématérialisation, pré-affectation, etc.), et en renforçant l'assistance aux utilisateurs. S'agissant de la gestion budgétaire, elle a, en revanche, été moins satisfaisante lors des premières années d'existence du chèque énergie. La stabilisation du dispositif devrait permettre de dégager des économies supérieures à celles constatées actuellement.Le choix d'un critère simple pour son attribution a pour effet un ciblage imprécis des bénéficiaires Si le dispositif actuel fonctionne correctement, sa cohérence vis-à-vis de ses objectifs poursuivis soulève des interrogations. En retenant comme critère de mesure de la précarité énergétique le taux d'effort (la part des revenus consacrés aux dépenses énergétiques domestiques), il apparaît qu'environ 25 % des ménages en situation de précarité énergétique ne reçoivent pas le chèque énergie. En sens inverse, environ la moitié des ménages qui le reçoivent ne remplissent pas les conditions pour être considérés comme étant en situation de précarité énergétique. En outre, son montant est trop faible pour permettre de lutter efficacement contre cette précarité, et relègue sa fonction à celle d'une aide sociale de soutien au pouvoir d'achat des ménages disposant du niveau de vie le plus faible. La décision du Gouvernement, en septembre 2021, d'attribuer à tous ses bénéficiaires un chèque uniforme exceptionnel de 100 € renforce cette tendance. Enfin, le fait que le chèque puisse financer tout type d'énergie (carbonées et décarbonées) va à l'encontre des objectifs climatiques de la France.La clarification des objectifs pourrait guider la refondation de ce dispositif Pour la Cour, ces constats pourraient justifier d'engager une réflexion sur la nature réelle du chèque énergie afin de renforcer sa cohérence. Dans cette optique, elle propose au législateur de choisir entre les trois scénarios suivants : rendre cette aide libre d'emploi par les ménages, accompagner le maintien du dispositif actuel d'une hausse de la taxation du carbone, ou cibler les seuls ménages en situation de précarité énergétique - ce qui permettrait d'augmenter le montant de l'aide à coût global constant.
Il y a 3 ans et 167 jours

Autorisations d'urbanisme : l'Ordre des architectes obtient une modification du Cerfa

DEMATERIALISATION. A quelques semaines de l'entrée en vigueur de la dématérialisation des autorisations d'urbanisme, l'Ordre des architectes est monté au créneau pour demander une modification du formulaire Cerfa, dont la version finale lui avait été communiquée cette semaine.
Il y a 3 ans et 178 jours

2021, année « Portes Ouvertes » pour le contrôle d'accès à distance

Autrefois prioritairement destinés à protéger les zones très sensibles, les solutions de contrôles d'accès se sont aujourd'hui imposées plus que jamais dans les bâtiments publics et privés, notamment pour maximiser la protection des biens et des personnes. Et la pandémie n'a fait qu'accélérer leur implémentation dans les établissements recevant du public (ERP).L'essor du contrôle d'accès soutenu par le réseau sans filDepuis quelques années, les solutions de contrôle d'accès connaissent une nette accélération. Cette croissance s'explique notamment par les avancées technologiques et la transition vers un système de réseau sans fil. Ainsi, selon MarketsandMarkets, le marché mondial du contrôle d'accès devrait atteindre les 12,8 milliards de dollars d'ici 2025. En effet, de plus en plus de secteurs - la santé, l'éducation, le tertiaire et bien d'autres...- s'équipent des systèmes utilisant des technologies avec ou sans contact. Ils ont un besoin important de sécurisation et donc de solutions adaptées avec une gestion plus dynamique, plus souple et surtout plus sécurisée. D'autre part, la pandémie, qui a marqué un tournant dans l'accélération de la transformation numérique et qui a mis sur le devant de la scène le télétravail, a aussi incité le secteur tertiaire à s'équiper avec des solutions sans fil permettant la maîtrise des accès à distance. Pour contrôler ces accès en temps réel, les entreprises recourent davantage aux solutions fonctionnant sur un réseau online. Ainsi, il est possible d'octroyer et de gérer les droits d'accès en un clic et en temps réel. C'est pourquoi la vente des solutions sans fil grimpe en flèche et que l'utilisation du smartphone comme identifiant devient de plus en plus courant. En effet, le développement de nouvelles technologies telles que le Bluetooth basse consommation (BLE Low Energy), la 5G ou encore le Wi-Fi 6 favorisent la digitalisation des systèmes d'accès et répond au besoin de connectivité des collectivités, hôpitaux et autres secteurs. La sécurité au cœur de la décision Le marché du contrôle d'accès en France a le vent en poupe. Selon une étude IHS, il devrait atteindre 176,5 millions d'euros en 2022. Si ces solutions ont autant de succès c'est que les entreprises ressentent le besoin de se sécuriser. En effet, ces dernières souhaitent davantage se protéger contre de potentielles intrusions, des personnes malveillantes voulant s'introduire dans une zone interdite, ou dans le cas du secteur médical, minimiser le risque sanitaire et empêcher toute contamination. Dorénavant, par une simple installation d'un lecteur limitant les accès aux ayants-droits, il est possible de garantir efficacement la sécurité des zones réservées qu'à certain nombre de personnes. Selon les besoins et les objectifs, les solutions de contrôle d'accès offre le vaste champ des possibles. La possibilité de protéger seulement quelques portes avec la mise en place d'un réseau offline autonome, ou d'équiper la totalité d'un ou plusieurs sites d'un réseau online et de gérer le tout depuis un poste centralisé à distance. C'est aussi principalement en matière de sécurité que le système sans fil apporte ses avantages. En effet, il donne la possibilité de mettre à jour les droits d'accès instantanément mais aussi de mettre à jour les logiciels, ce qui permet de garder un niveau de sécurité optimal.Le besoin en contrôle d'accès s'accélère à l'ère post Covid-19 L'épidémie de la Covid a énormément joué sur l'intérêt que les établissements portent sur ce type de solutions, notamment les organismes de santé qui ont pris conscience de l'importance des outils digitaux, tels serrures électroniques, pour garantir les accès tout en respectant les mesures barrières. En effet, un bon nombre d'entreprises ont accéléré le changement de pratiques et se sont tournées vers des solutions sans fil dans leur choix du système de contrôle d'accès. Par ailleurs, le délai de décisions de ces dernières est relativement de plus en plus court. Il y a encore peu de temps, les entreprises mettaient plusieurs années à faire un choix quant à la mise en place de ce type de solutions. Désormais, seulement quelques mois leur suffisent pour évaluer les fonctionnalités d'un système de contrôle d'accès avant de se décider de l'implémenter.Cet engouement pour les cylindres numériques et la dématérialisation des accès s'inscrit aussi dans une tendance de durabilité. Le temps où il fallait réimprimer les cartes d'accès est bien révolu ! Octroyer les accès et les mettre à jour par un simple passage de badge sur un lecteur mural est gage de réduction de coûts et de gain de temps.Tribune de Jean-Philippe Vuylsteke, Président de SimonsVoss Technologies France (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 189 jours

Numérisation des démarches d'urbanisme : l'État veut accompagner, pas remplacer

URBANISME. Le ministère du Logement vient de détailler la mise en place du programme de dématérialisation des demandes d'autorisation d'urbanisme, institué par la loi Elan, et qui concerne en premier lieu le dépôt des permis de construire en ligne. Si l'État ne se substituera pas aux services instructeurs des collectivités, il veut néanmoins simplifier et accélérer les démarches grâce à ce "hub logistique".
Il y a 3 ans et 217 jours

Dématérialisation des procédures d'urbanisme : Rennes Métropole est prête

PROCEDURES. Le Congrès des architectes, organisé par l'Unsfa, a été l'occasion, pour la Ville de Rennes, qui l'accueille dans son couvent des Jacobins, d'exposer le fonctionnement de son service d'instruction des demandes d'urbanisme, au regard de l'obligation de dématérialiser les procédures à partir de 2022.
Il y a 3 ans et 225 jours

Le numérique séduit de plus en plus de TPE-PME... sauf dans la construction

DÉMATÉRIALISATION. Une part croissante de chefs d'entreprises juge que les technologies numériques apportent un réel bénéfice à leur activité. Mais dans le bâtiment et les travaux publics, ces outils apparaissent comme étant très peu adaptés à la réalité quotidienne.
Il y a 3 ans et 233 jours

Les notaires lancent un service d'information téléphonique

"C'est un service d'information de premier niveau, ce n'est pas un service de conseil et selon la complexité de la question on pourra orienter vers le bon interlocuteur", a expliqué le Conseil supérieur du notariat à l'AFP.Le service téléphonique, accessible au 0892 011 012 et payant à hauteur de 80 centimes par minute, est assuré par huit juristes basés à Paris."Chaque année, 20 millions de Français franchissent les portes d'une étude notariale, Notaires Info vient renforcer ce lien et compléter le maillage territorial", selon le Conseil supérieur du notariat.Autofinancée par le CSN, la démarche s'inscrit dans le cadre de la première "Convention d'objectifs du notariat" passée avec l'Etat et qui s'étend jusqu'au 31 décembre 2024.Parmi les engagements pris dans le cadre de la convention, figurent notamment la préservation du maillage territorial et la dématérialisation du service public notarial.
Il y a 3 ans et 258 jours

Comment réussir nos transitions et réhabiliter l'acte de loger ?

À très court terme, l'un des enjeux majeurs consiste à transformer l'essai de la Réglementation Environnementale 2020, qui a fait l'objet d'un compromis positif entre ambition et faisabilité technique. La réforme reste considérable et va se traduire par des surcoûts conséquents et durables, du fait du rehaussement triennal des exigences. C'est pourquoi le Pôle Habitat FFB demande un accompagnement financier des ménages, notamment les plus modestes, et un accompagnement de la filière sur la durée en regard de la transformation profonde qu'induit la RE2020 sur les manières de construire.Dans un monde où la digitalisation a bouleversé les usages et les process de travail des acteurs, le Pôle Habitat FFB attend de la dématérialisation des autorisations d'urbanisme qu'elle permette de gagner concrètement en fluidité et en rapidité d'instruction. Sur la relation clients, le Contrat de Construction de Maison Individuelle digital, dont une version 100% dématérialisée a été mise à disposition des adhérents du Pôle Habitat FFB au cœur du confinement du printemps 2020, a déjà séduit près de 23 000 ménages et démontre la pertinence du développement de solutions numériques sur l'ensemble de la chaîne de valeur de la filière.Enfin, avec l'intégration du métier de Rénovateur global, le Pôle Habitat FFB évolue pour accompagner le développement d'une activité au cœur des politiques publiques du logement, déjà exercée par 13 % de ses adhérents, en valorisant des approches d'ensemblier de l'acte de rénover, lisibles et sécurisantes pour les ménages.Côté conjoncture, l'année 2021 s'avère contrastée pour les différents segments du logement neuf. Porté par des conditions de crédit toujours très favorables et surtout par un désir réaffirmé des ménages de jouir d'un cadre de vie plus spacieux et plus proche de la nature, le marché de la maison neuve poursuit sa dynamique : +24% sur un an à fin juillet 2021 en secteur diffus, soit près de 140 000 ventes. En revanche, l'aménagement foncier et surtout le logement collectif continuent de souffrir. Entre 2017 et 2021, plus de 50 000 logements collectifs autorisés auront été perdus, avec une chute limitée aux seules zones réputées tendues depuis 2 ans.Cette tendance préoccupe d'autant plus que la machine à surenchères semble s'emballer une nouvelle fois au détriment du logement neuf abordable.Ainsi, le Pôle Habitat FFB émet de vives réserves quant à la proposition du rapport Girometti-Leclercq sur la qualité du logement qui consisterait à introduire un critère de surface minimum pour bénéficier, à horizon 2023, des conditions du Pinel actuel.Il en est de même de la proposition de stimuler la généralisation de chartes locales, sans s'assurer de garantir aux porteurs de projets l'équilibre de leurs opérations, via des contreparties fixées à due proportion des exigences et performances souhaitées.Enfin, appliqué sans nuance, le « Zéro Artificialisation Nette », tel que poursuivi par la loi Climat et Résilience, bloquera toute forme d'extension urbaine et alimentera encore davantage la crise du logement (besoins insatisfaits et hausse exponentielle des prix), d'autant que les projets de densification peinent à trouver leur public. Le Pôle Habitat FFB plaide ainsi pour une définition claire et opérationnelle de l'artificialisation des sols et l'introduction d'un degré de liberté d'appréciation locale, en lien avec les élus locaux.Pour Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB, « à force d'accuser la construction neuve de "bétonner et d'artificialiser l'espace", de "détruire la biodiversité", en quelque sorte d'accroître le dérèglement climatique, un courant de pensée anti-construction s'est diffusé, à tel point qu'une grue est devenue suspecte et un panneau de chantier une menace ! Conscients de notre empreinte durable sur les territoires et de notre responsabilité d'anticiper, nous avons pourtant démontré depuis des années notre capacité à construire plus sobre, plus performant et plus durable. L'impératif environnemental, que chacun d'entre nous partage, ne doit pas faire oublier que se loger est un besoin aussi élémentaire et vital que s'alimenter ou respirer. Construire pour loger les ménages reste un puissant vecteur de progrès, de cohésion sociale et territoriale. »
Il y a 3 ans et 289 jours

Comment Colas Bâtiment a accéléré la réhabilitation du Théâtre de la Ville de Paris avec Wizzcad ?

Afin de répondre au mieux aux besoins de ce projet qui nécessitait de lourds travaux de rénovation, Colas Bâtiment a choisi la solution WIZZCAD. Cet outil apporté une meilleure collaboration entre les différents acteurs et un suivi des différentes opérations organisé et optimal.Qu’est-ce que la solution WIZZCAD ?Plateforme collaborative, WIZZCAD est une solution qui contribue à la digitalisation du secteur du BTP dans les différentes phases d’un projet : conception, maintenance, réhabilitation, démolition.Avec cette solution intuitive, les entreprises peuvent piloter en toute simplicité leurs opérations à partir d’une maquette numérique (BIM) et optimiser le suivi de leur chantier en ayant accès à tous les documents (GED) et données nécessaires, que cela soit pour l’exploitation ou la maintenance.Ainsi, WIZZCAD permet de :Économiser 4 heures par jour ;Digitaliser 100 % de vos projets ;Réduire de 25 % vos coûts ;Assurer 60 % de défauts en moins.Comment WIZZCAD a aidé Colas Bâtiment dans son projet de réhabilitation ?Pour son projet de réhabilitation, Colas Bâtiment a utilisé la GED (Gestion Electronique des Documents). Ce support informatique de dématérialisation des documents a ainsi aidé les différents acteurs du projet à gérer de façon simple et rapide les plans et le suivi des visas. Olivier de Palluel, conducteur de travaux principal chez Colas Bâtiment, explique dans une interview que pour un chantier d’une telle ampleur, les acteurs étaient nombreux. La GED a de ce fait permis à chacun de déposer ses plans et de voir ceux des autres de façon digitalisée.L’utilisation des tablettes pour le suivi des opérations proposé par WIZZCAD a également permis à la société de réaliser des auto-contrôles bien précis, de façon plus régulière. Elle a ainsi pu éviter les erreurs de fin de chantier et a donc une nouvelle fois gagné du temps.
Il y a 3 ans et 315 jours

Sondage exclusif Alila et Elabe « Les élus et la construction de logements en France »

Les points clés de l'étude :86% des élus considèrent qu'il y a une crise du logement en France, cette conviction est encore plus forte parmi les élus de communes de plus de 10.000 habitants (90%), parmi ceux de l'Île-de-France (90%) et parmi les élus de gauche (91%) ;61% des élus considèrent que le logement fait partie des enjeux majeurs de leur commune/intercommunalité derrière la santé, l'éducation et l'attractivité économique ;Un élu sur deux dresse un constat de carence concernant les logements sociaux : 47% considèrent qu'il n'y a pas assez de logements dans leur ville et 52% déplorent une insuffisance de logements sociaux ;Enfin, 73% des élus considèrent qu'une simplification des démarches permettrait d'augmenter la construction de logements sociaux, et 71% d'entre eux considèrent qu'assouplir le dispositif d'enveloppe des prêts pour faciliter les agréments aurait également un effet bénéfique sur la construction de logements sociaux.Les élus déplorent un manque de construction de logementsLes élus considèrent que la construction est une réponse efficace à la crise du logement et constitue un outil majeur de cohésion sociale. En effet, 59 % des élus sont convaincus que « la construction de logements sociaux permettrait de résoudre la crise du logement ».D'ici la fin de leurs mandats en 2026, 89% des élus interrogés ont l'intention d'autoriser la construction de logements sur leur commune, et 79% prévoient d'y autoriser la construction de logements sociaux. Dans le détail, les élus des communes de moins de 5.000 habitants ambitionnent de construire en moyenne 145 logements (dont 72 logements sociaux), quand les édiles des communes de plus de 30.000 habitants envisagent de construire en moyenne 2.173 logements (dont 662 logements sociaux).La construction de logement au service de l'attractivité économique et vecteur de cohésion socialePour les élus interrogés, la construction de logements contribue à l'attractivité du territoire et à la cohésion sociale : 97% considèrent que le logement est « un élément important de l'attractivité » et 96% considèrent que c'est « un facteur essentiel d'intégration et de cohésion sociale. ». Les élus considèrent que le logement pèse lourdement sur le pouvoir d'achat des administrés (88%) et l'argument de la création d'emploi induite par le secteur est également largement partagé.Visiblement confiants dans la prise de conscience écologique et dans le développement des bonnes pratiques en matière de construction, la quasi-totalité des élus (96%) estime « qu'en faisant différemment, on peut construire des logements neufs tout en respectant l'environnement ».Les moyens d'augmenter la construction de logementsC'est le manque de foncier disponible (cité par 36% des élus) et le manque de moyens pour financer les infrastructures publiques (13%) qui sont cités comme premiers freins à la construction.Pour augmenter la construction de logements sociaux, les élus préconisent :La simplification des démarches (73%) ;L'assouplissement du dispositif d'enveloppes de prêts pour faciliter les agréments (71%), surtout en Ile-de-France (83%) ;La réduction des délais d'obtention des agréments (68%) ;Des dispositifs d'incitation financière pour les communes qui bâtissent (65%) ;La dématérialisation des procédures d'instruction des permis de construire (36%).Hervé Legros, PDG d’ALILA, déclare : « Je remercie les élus qui ont accepté de partager avec nous leurs constats sur la construction de logements en France. Leurs observations correspondent en tout point à celles que nous pouvons dresser dans les communes et les intercommunalités avec lesquelles nous travaillons. Alors que le logement devrait être un bien de première nécessité accessible au plus grand nombre, il pèse lourdement sur le pouvoir d'achat des Français. Les élus comme ALILA, les bailleurs sociaux comme les associations, tous partagent le même constat : le déficit de logements, y compris de logements sociaux, est criant.Nos élus font des propositions pour résoudre la crise du logement que nous partageons. Mettons-les en place, faisons de la construction un des leviers de la reprise économique, et construisons les logements essentiels à la cohésion sociale dont de nombreuses communes ont grand besoin. »Bernard Sananès, Président d’ELABE, ajoute : « Longtemps présentés, dans le débat public, comme hostiles au logement social, les maires interrogés témoignent ici d’intentions claires : ils construiront des logements sociaux au cours de leur mandat. En bonne place parmi les enjeux prioritaires pour leur commune, le logement pèse en effet lourdement sur le pouvoir d’achat de leurs administrés. Réponse efficace à la crise du logement, la construction constitue à leurs yeux un levier d’attractivité économique, d’emploi et de cohésion sociale. Si la décision de construire se heurte, selon eux, au manque de foncier et de moyens disponibles, surtout en zone dense, des solutions existent : faire sauter le verrou de la complexité administrative et inciter financièrement les communes bâtisseuses. Enfin, opposer logement et environnement apparaît comme une bataille d’arrière-garde pour des élus convaincus qu’on peut construire des logements neufs tout en respectant l’environnement ».
Il y a 3 ans et 322 jours

"Le solde des entreprises RGE a tendance à se stabiliser", Gérard Senior (Qualibat)

ENTRETIEN. Gérard Senior, nouveau président de Qualibat, détaille auprès de Batiactu ses priorités pour son mandat : services aux entreprises, dématérialisation, lutte contre l'éco-délinquance...
Il y a 3 ans et 346 jours

Bim, dématérialisation, impression 3D : où en sont les professionnels du BTP ?

ETUDE. Le cabinet Fed Construction a réalisé une étude auprès de professionnels du BTP pour savoir leur niveau de maturité en matière de nouvelles technologies (imagerie 3D, logiciels de dématérialisation, Bim...). Découvrez les principaux résultats.
Il y a 3 ans et 350 jours

Une enquête annuelle interroge les professionnels du BTP sur leur perception des innovations et des nouvelles technologies du secteur

Spécialisé dans les recrutements temporaires et permanents des métiers du bâtiment et des travaux publics, le cabinet Fed Construction dédie son enquête emploi annuelle à l'innovation.140 professionnels dans le domaine de la maîtrise d'œuvre et des travaux ont confié leur perception à Fed Construction entre janvier et mars 2021. Ils abordent à la fois leur connaissance des nouvelles technologies liées au secteur et leurs regards sur leur utilisation actuelle et future. La majorité d'entre-eux (84%) considèrent que le secteur du BTP est innovant.À l'occasion de cette étude, on apprend aussi que les professionnels du BTP se montrent plutôt sereins quant à l'avenir du secteur : près d'un interrogé sur deux (42%) estime que le secteur saura rebondir à la suite de la COVID-19 et restera dans une dynamique positive.67% des répondants pratiquent le travail à distance Au centre de l'actualité depuis le début de la crise du COVID-19, le télétravail et la dématérialisation des postes de travail sont cités par une majorité de répondants lorsque leur est posée la question de l'utilisation de ces innovations.67% indiquent pratiquer le home-office (lorsque leur poste le leur permet) et/ou disposer d'un poste de travail mobile et disponible partout45% ont recours aux technologies liées à l'automatisation et à la dématérialisation des démarches administratives sur les chantiers, 41% disent utiliser régulièrement les technologies de BIMParmi les innovations, les professionnels du BTP identifient les outils d'imagerie et de visualisation graphique, ainsi que les technologies liées à la dématérialisation et à la mobilité des postes de travail et des démarches administratives.Contre toute attente, la robotisation et les technologies d'intelligence artificielle, dont on parle beaucoup dans l'actualité ne sont citées qu'à 17%.La crise accélère les innovationsPrès de 2/3 des répondants (59%) estiment que la crise va accélérer le développement de nouvelles technologies ou démocratiser certaines innovations déjà présentes dans le quotidien des sites de construction.Quant aux innovations qu'ils voient se démocratiser dans les 5 ans, les réponses sont plutôt homogènes et toutes les innovations sont concernées. Toutefois, les innovations liées au télétravail et à la dématérialisation des postes de travail sont en tête (65%).Fait intéressant, les équipements de chantier intelligents et/ou connectés utilisés au quotidien seulement par 14% des répondants, sont voués à se développer pour plus de la moitié des répondants (54%).Ces innovations très diverses telles que les exosquelettes ou les casques connectés représentant pour eux les types de technologies qui vont le plus se normaliser par rapport à aujourd'hui. Tout comme les technologies d'intelligence artificielle, citées à 23%. Des professionnels sereins face aux innovations futuresCe qu'attendent les professionnels de ces innovations est avant tout l'amélioration des conditions de travail sur les chantiers, la baisse de la pénibilité des tâches des ouvriers puis une meilleure conception des projets.L'arrivée de nouvelles technologies ou la démocratisation d'innovations déjà existantes dans le secteur sont vues comme étant une opportunité.Près des deux-tiers (63% ) se sentent prêts à évoluer professionnellement dans leur métier grâce à ces innovations22% restent mitigés en s'interrogeant sur l'impact de ces innovations sur leur travail
Il y a 3 ans et 352 jours

L'Etat "prêt" à la dématérialisation des autorisations d'urbanisme

PERMIS. Dans la perspective de la dématérialisation de l'instructions des demandes de permis de construire et autres autorisations d'urbanisme, qui doit être effective sur tout le territoire au 1er janvier prochain, l'Etat est désormais en ordre de marche. Les communes peuvent bénéficier d'aides à la dématérialisation dans le cadre du plan de relance.
Il y a 3 ans et 364 jours

Les Fabricants de Menuiseries dressent le bilan de l’année écoulée et préparent l'avenir

L’occasion de faire un bilan de l’année exceptionnelle écoulée et de mettre en perspective ses projets. La valorisation de la fenêtre de qualité fabriquée en France, le recyclage et le développement durable restant des enjeux au sein de l’UFME, des actions seront déployées autour de ces axes forts.Une année dense qui a vu aboutir de nouveaux projetsAprès l’arrêt brutal des productions début 2020 dû à la covid-19, puis une reprise en « stop and go » pendant quelques mois, les carnets de commandes se sont à nouveau remplis dès juin 2020. La situation s’est par la suite compliquée avec les problèmes d’approvisionnement en matières premières, engendrant notamment des hausses tarifaires. Durant cette année très dense, l’UFME a accompagné ses adhérents au quotidien. En témoignent par exemple l’achat groupé de masques, le décryptage des protocoles sanitaires et leur adaptation aux métiers tout en poursuivant les objectifs fixés avant la pandémie :le lancement de la troisième phase de sa campagne de communication dédiée à la fenêtre PVC,la participation active dans l’élaboration des futures réglementations environnementales,l’amplification de la visibilité de la Charte UFME pour le recyclage des menuiseries,la mise en place d’un prochain CQP menuisier industriel,la gestion du label qualité QualiPVC Fenêtres,la valorisation de l’efficacité de la fenêtre dans la performance thermique du bâtiment.« La mobilisation massive de la filière, le dynamisme du bâtiment placé comme un secteur de poids et l’habitat devenu une valeur refuge où les performances des menuiseries ont un rôle essentiel à jouer, nous rendent optimistes pour l’avenir. L’UFME est reconnue comme un organisme professionnel inscrit dans une dynamique constante, tournée vers l’avenir. Nous poursuivons nos missions autour de deux piliers qui nous sont chers. Tout d’abord l’environnement. Nous lançons une marque dédiée à notre Charte pour le recyclage des menuiseries : FERVAM, Filière Engagée pour le Recyclage et la VAlorisation des Menuiseries. La mise en exergue de l’efficacité réelle des fenêtres dans la performance thermique des bâtiments reste au coeur de notre démarche. La fenêtre française possède tous les atouts essentiels pour atteindre les objectifs environnementaux. Autre mission, la revalorisation de la fenêtre française de qualité. Nous mettons en marche la troisième phase de notre campagne de communication destinée aux particuliers et ouvrons un groupe de travail dédié à la défense de la fenêtre PVC vers un public institutionnel. Nous allons collaborer activement aux campagnes sur les fenêtres bois financées par le CODIFAB. ». Bruno CADUDAL, Président de l’UFMEDe nouvelles ambitions pour les trois CommissionsCommission TechniqueLa préparation des échéances règlementaires de 2022 (RE2020 et loi AGEC) a été l’une des priorités ces derniers mois, au même titre que l’accompagnement des entreprises dans la dématérialisation des échanges de données. L’UFME finalise les études en cours, notamment avec la Filière Parois Vitrées, Volet carbone, pour parfaire sa compréhension des impacts futurs de la RE2020. Elle participera également à la mise en place du futur éco-organisme de la REP Bâtiment.« Plus que jamais, notre profession a besoin de développer le sourcing de matières premières issues du recyclage pour répondre aux enjeux environnementaux et travailler son indépendance vis-à-vis des matières premières vierges. ». Hugues DE FORGES, Président de la Commission TechniqueCommission Social et FormationParmi les missions menées, la mise en place d’un nouveau CQP Menuisier industriel Fabrication de fenêtres et de portes, essentiel à l’heure où le métier a fortement évolué. Après une phase d’expérimentation menée avec des salariés d'entreprises adhérentes volontaires pour monter en compétence, la première promotion s’est vue attribuer le CQP fin 2020. Ce dernier devrait être inscrit au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles) d’ici fin 2021.« Nous avons pour projet de structurer le réseau d'organismes de formation agréés en capacité de former à ce CQP. Un kit pour les candidats trop éloignés des centres par exemple, va également être élaboré. Nous souhaitons susciter des vocations et faire grandir le nombre de nos collaborateurs passionnés, pour contribuer à la pérennité de nos entreprises et de la fabrication française. ». Jean-Marc COMBES, Président de la Commission Social et FormationCommission CommunicationUne campagne de communication nationale a renforcé l’image de la fenêtre PVC vers le ménage français au travers d’une campagne pluri médias : presse, radio et surtout digital. Au total, le site choisirmafenetre.fr comptabilise 400 000 visites depuis le début de la campagne. En parallèle, le site ufme.fr dédié aux professionnels et prescripteurs, a été redynamisé.« Un Guide de la Fenêtre PVC va bientôt voir le jour pour accompagner les particuliers dans leur choix. C’est l’aboutissement d’un travail collectif dont nous sommes fiers. Nous allons également poursuivre la valorisation de la certification NF Fenêtre, et du label QualiPVC Fenêtre dont la gestion vient de nous être confiée. ». Patrick SAGE, Président de la Commission Communication
Il y a 3 ans et 364 jours

Elcia donne rendez-vous aux professionnels du secteur Menuiserie, Store, Fermeture autour de deux Forums digitaux

Le Forum ELCIA Digital pour les Industriels – 15 juin de 9h à 12hAu coeur de cette matinée d'échanges : les sociétés CADIOU, SCHENKER STORES et SOPROFEN prendront la parole pour partager des cas concrets. De quoi inspirer l'ensemble des participants.Le programme de la matinée :9h00 – 10h00 : présentation des nouveautés produits du Groupe ELCIA10h – 10h30 : Témoignage de CADIOU - Katell GAIFFAS (Responsable Marketing et communication)Sujet : « Le configurateur 3D : une nouvelle expérience pour vous connecter à vos clients particuliers »CADIOU s'appuie sur deux configurateurs 3D BatiTrade portails et garde-corps « KOSTUM BY CADIOU » pour offrir une expérience unique à ses clients sur son site10h45 – 11h15 : Témoignage de SCHENKER STORES - Christelle Bertard (Directrice Commerciale France et Benelux)Sujet : « outil de chiffrage en ligne : rendez vos clients autonomes et gagnez en efficacité commerciale »SCHENKER STORES a déployé MyPricer, la solution de chiffrage 100% web : retour sur la mise en place et les bénéfices.11h30 – 12h : Témoignage de SOPROFEN - Renaud PFALZGRAF (Directeur Marketing et Communication)Sujet : « Espace Pro / extranet : une opportunité pour développer de nouveaux services auprès de vos clients professionnels »SOPROFEN a mis en place la dématérialisation des commandes et le Configurateur de vente ELCIA dans leur portail « e.SoPro » »Pour s'inscrire au Forum ELCIA Digital ➡ https://bit.ly/3eAtXEALe Forum ProDevis Digital pour les Revendeurs/Installateurs – 17 juin de 9h à 12hDurant cette matinée, 4 tops utilisateurs de ProDevis s'exprimeront pour partager leurs retours d'expérience sur des problématiques clés de leur activité. Enjeu, freins, solution et bénéfices : de quoi profiter de bonnes pratiques et astuces à répliquer dans son activité.Le programme de la matinée :9h15 – 9h45 : Témoignage de BERGER FERMETURES ET MENUISERIES – Frédéric BERGERSujet : « Le suivi client de A à Z : toutes vos affaires centralisées et à jour accessibles à toutes les personnes de votre entreprise »10h00 – 10h30 : Témoignage VPM 12 - Julien VIDALSujet : « Comment j'ai augmenté mes ventes grâce à la 3D ? accessible depuis ProDevis via les configurateurs BatiTrade, la 3D révolutionne toute l'expérience client. »10h45 – 11h15 : Témoignage de TECHNI CONFORT – Boris SCIANDRASujet : « La gestion de la pose : ProDevis, un outil indispensable pour bien chiffrer la pose de ses chantiers et analyser sa marge »11h30 – 12h : Témoignage de BAIES & STORES- Franck ESTAVILSujet : « Je gère mes commandes en 1 clic, et vous ? plus simple, plus rapide, moins d'erreurs : optimisez votre passage de commande avec ProDevis.»Pour s'inscrire au Forum ProDevis ➡ https://bit.ly/3f07PlU
Il y a 4 ans et 0 jours

Les professionnels redoutent un été de "chaos" dans les aéroports

Les autorités se veulent pourtant rassurantes, jugeant improbables des scènes de voyageurs agglutinés dans des coursives en attendant la vérification de leurs documents, un cauchemar pour les agoraphobes, maniaques des microbes et autres angoissés du voyage aérien.Jusqu'ici, malgré les progrès des campagnes de vaccination et le reflux des contaminations dans la plupart des pays européens, les mesures de contrôle strictes instaurées pour tenter de juguler la pandémie restent en place, à commencer par les certificats sanitaires.8 heures dans l'aéroport?Conséquence, le temps passé par les voyageurs dans les aéroports (enregistrement, sécurité, contrôle aux frontières, douane et récupération des bagages) a doublé entre 2019 et 2021, passant d'1h30 à 3h00 en moyenne "alors que les volumes de voyageurs ne représentent qu'environ 30% de ceux d'avant le Covid-19", a affirmé la semaine dernière l'Association internationale du transport aérien (Iata).L'organisation, qui défend les intérêts des compagnies, a agité le spectre de temps de passage totaux portés à 5 heures et trente minutes si la fréquentation revient à 75% des niveaux de 2019 et "si les processus ne s'améliorent pas". A 100%, ils seraient... de 8 heures.Une estimation a priori peu probable toutefois, puisque la branche européenne du Conseil international des aéroports (ACI Europe) prévoit 125 millions de voyageurs aériens en août, soit 48% du niveau du même mois de 2019.L'Organisation européenne pour la sécurité de la navigation aérienne (Eurocontrol), de son côté, prédit entre 46% et 69% du trafic aérien de 2019 en août, selon l'évolution de la crise sanitaire, avec un niveau médian à 57%.Les risques d'engorgement sont censés être atténués grâce au certificat numérique Covid, qui doit être instauré pour les déplacements au sein de l'UE cet été.Mais le transport aérien redoute une harmonisation imparfaite. Déjà, observe un professionnel du secteur, les mesures supplémentaires de sécurité sanitaire "ont effacé des années de progrès" en matière de gestion des flux, obtenus grâce à la dématérialisation des billets, aux enregistrements en ligne ou aux systèmes automatisés de contrôle de l'identité.Pif et PafDepuis le début de la pandémie, les identités sont systématiquement vérifiées à l'arrivée, en France par la Police aux frontières (Paf), même pour les passagers de l'espace Schengen, et les sas automatiques ont été fermés.Les gestionnaires d'aéroports font le maximum pour fluidifier les cheminements de leurs clients, en particulier aux "Points d'inspection filtrage" (Pif) qui détectent objets et liquides potentiellement dangereux. Mais le contrôle aux frontières reste une mission régalienne."Ce qui est en haut de ma pile de préoccupations, c'est la discussion avec le ministère de l'Intérieur pour éviter que cet été ne soit une apocalypse de temps d'attente pour les passagers", a affirmé le 18 mai le PDG du gestionnaire des aéroports parisiens ADP, Augustin de Romanet.Les vérifications de certificats de tests, de formulaires de localisation de passagers, de documents de quarantaine "varient selon les points de départ et d'arrivée, sur la base de règles qui sont encore largement différentes et instables dans toute l'Europe", s'est alarmée lundi ACI Europe, qui fédère 500 aéroports du continent."Le niveau d'incertitude et de complexité pour planifier un redémarrage reste hallucinant", a prévenu son directeur général Olivier Jankovec, pour qui "chaque jour qui passe rend plus réelle la perspective de voir les voyageurs subir un chaos de grande ampleur"."Il va y avoir des allègements sur certains types de mesures (...) C'est le sens du passe sanitaire européen, qui va permettre de voyager et de supprimer toute la phase de contrôle sanitaire sur les trois quarts des vols", rassure une source aéroportuaire française sous couvert d'anonymat."Vu le volume de passagers, qui n'est pas énorme, et qu'il n'y a pas beaucoup d'aérogares ouverts, ça ne devrait pas poser problème (de gérer les flux, NDLR)", poursuit cette source, selon laquelle "ADP et les compagnies tirent la sonnette d'alarme pour mettre la pression sur l'État français (afin) qu'il allège les mesures sanitaires", l'enjeu étant aussi "économique" face à la concurrence des autres aéroports européens.
Il y a 4 ans et 19 jours

L'entreprise innovante BluePad continue de séduire de nouveaux clients malgré la crise

Créée en 2016, la Jeune Entreprise Innovante BluePad a pour ambition d'accompagner les acteurs du BTP dans leur transition numérique. Malgré les différents obstacles dressés par la crise sanitaire du coronavirus, l'entreprise a réussi à avancer et à maintenir le rythme soutenu de son développement.L'édition et la commercialisation de solutions Web et Mobile du pilotage de projets est au cœur de son activité et s'adapte aux besoins opérationnels de ses clients, quel que soit leur secteur : construction, exploitation, industrie, maintenance.Dans le contexte sanitaire que nous connaissons, l'outil BluePad représente donc un allié dans le suivi de chantiers à distance, assurant la dématérialisation et l'optimisation de nombreux process.Début 2021, cela représente :Une augmentation de 55% du nombre d'utilisateurs en 2020Une augmentation de 100% du nombre de clients en 2020« Nos clients ont pu maintenir leur activité ! » témoigne Loïc CUERONI, Président BluePad.Par ailleurs, pour BluePad, ce bilan positif se solde par :Le recrutement de nouveaux collaborateurs : deux développeurs informatiques rejoignent BluePad pour renforcer l'équipe et accompagner la croissance de l'entrepriseUne ouverture à l'international : BluePad a notamment signé sa 1ère commande sur l'Allemagne, pour accompagner le déploiement de réseaux de Fibre Optique. L'entreprise est actuellement en négociation avec d'autres pays d'Europe, grâce à la diversité de son équipe, où le français, l'anglais, l'espagnol et le russe sont parlés couramment.300K€ d'investissements supplémentaires en R&D mobilisés sur fonds propres sans nécessité de recours à des capitaux risqueurs.En parallèle, BluePad a été sélectionné par le Club Metz Technopôle pour représenter les jeunes entreprises innovantes dans son opération « Plus fort après la crise ». Ce programme a permis aux collaborateurs volontaires de revenir sur les événements et de s'exprimer sur leur vécu. Accompagnée par un expert du club, l'entreprise a pu analyser sa gestion de crise et mettre en place de nouvelles politiques internes.« Nous restons solidaires auprès de l'ensemble des acteurs du monde de la construction qui ont traversé et traverse encore cette crise. Nous souhaitons que cette nouvelle année puisse à tous nous permettre d'avancer plus sereinement et de travailler ensemble pour la bonne santé de notre secteur. »
Il y a 4 ans et 29 jours

Dématérialisation des autorisations d’urbanisme : des aides de l’Etat pour se lancer tout de suite

La dématérialisation de l’application du droit des sols est obligatoire à compter du 1er janvier 2022. L’Etat aide financièrement les Collectivités Territoriales qui veulent se lancer dès maintenant.
Il y a 4 ans et 40 jours

Dématérialisation des procédures d'urbanisme : une aide distribuée aux collectivités

MARCHES PUBLICS. Une aide financière va être versée aux collectivités s'engageant en avance dans la démarche de dématérialisation des procédures d'urbanisme.
Il y a 4 ans et 50 jours

Wayzz : La numérisation de l’industrie du BPE se densifie

Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine 4- Les capteurs Wayzz permettent notamment de géolocaliser les toupies et d’identifier les ajouts d’eau. [©Wayzz] Wayzz évolue sur le marché des services numériques aux entreprises, à commencer par la supervision des flottes de toupies. Pouvez-vous nous en retracer la genèse ? Sandrine Issartel :Spécialisé dans les métiers du béton, Wayzz a été lancé en 2015. L’entité est rattachée à MWSC, sa maison-mère née en 2013. Nous intervenons sur toutes les problématiques liées à la remontée d’information du terrain, spécifiquement dans le domaine du transport. Avec Wayzz Béton Sync, nous proposons une solution IoT ou Internet des objets, destinée au domaine du béton. C’est là notre force : proposer une solution répondant aux besoins spécifiques de ce métier. La dématérialisation des bons de livraison et la supervision des flottes ont aujourd’hui un marché établi. Comment densifiez-vous votre offre de service ?  AlanEtrillard :Aujourd’hui, nous sommes capables de proposer aux industriels du BPE d’avoir une remontée d’information en temps réel, grâce à ces capteurs placés sur les toupies. Et suivies depuis leur sortie de la centrale, jusqu’à leur retour. Temps de trajet, d’attente, de vidange – et depuis peu, les ajouts d’eau -, tout est recueilli en direct. Ces informations sont ensuite “digérées” et dispatchées dans des modules que nous avons définis. Ce qui permet à chaque acteur du BPE de disposer de données essentielles pour la bonne supervision de ses livraisons. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? 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Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 58 jours

Lancement d'Artizen, un outil archi-simple de gestion de l'administratif au service des artisans du bâtiment

Naissance de l’idéeArtizen est né d’une expérience banale. Foucauld avait une fenêtre à changer dans son appartement. L’artisan a parfaitement effectué les travaux prévus mais tout l’à-côté (l’administratif) a été laborieux. Il y a eu des incompréhensions dans la prise de rendez-vous, des difficultés dans la transmission des factures et un contretemps sur le paiement. Concrètement la réparation a pris une journée mais les échanges ont pris plusieurs mois jusqu’au paiement de la facture. Construction d’ArtizenSuite à cette expérience, Foucauld a décidé de passer du temps avec des artisans pour comprendre comment ils travaillaient, très vite rejoint par François. Le duo a alors passé du temps devant les magasins de fournitures de chantier puis en discutant simplement avec des artisans dans la rue devant leurs camionnettes. Ils ont aussi partagé un questionnaire envoyé à plus de 50 plombiers et électriciens et ont constitué un petit groupe de travail pour s’assurer de bien comprendre toutes les subtilités du métier et de l’organisation. C’est après plus de 6 mois d’échanges, d’écoute et d’observations qu'ils ont commencé à concevoir Artizen. Tout au long de la conception, ils n'ont cessé d’interagir avec des artisans, et en particulier le petit groupe de travail formé, pour s’assurer de répondre exactement à leurs besoins. Ces artisans, apportaient la connaissance du terrain et le duo la connaissance de l’organisation. Ils ont ensuite retranscrit fidèlement toutes ces discussions dans l’outil Artizen.Ce lien avec le terrain et avec les artisans est essentiel dans ce projet car il est la source de tout le développement. Il ne se passe pas un jour sans discussion avec un ou plusieurs artisans.Les trois constats d'ArtizenArtizen répond à trois constats simples :L’administratif, ce n’est pas le métier des artisans, ils ont l’impression de perdre du temps, c’est compliqué et ça ne rapporte pas d’argent ;Les artisans ont la pression de leurs clients, du législateur et de leur expert-comptable pour dématérialiser la gestion de leurs factures (encore plus durant cette période de covid) ;Les logiciels disponibles sur le marché sont complets, sophistiqués mais complexes à l’utilisation pour une population largement non technophile.Les fonctionnalités :Agenda avec toutes les informations du client et les raccourcis de contact et GPS. Stockage et échanges de photos du chantier ;Editeur devis et factures avec catalogue de tâches préenregistrés et envoi du document au client par SMS. Possibilité d’extraire les factures et envoi automatique au comptable ;Suivi de paiement avec possibilité de donner un statut payé ou non payé à la facture et d’extraire un rapport sur l’état de paiement des factures.Les six promesses d’ArtizenArtizen fait 6 promesses aux artisans :Vous réduirez le temps consacré à la gestion de l’administratif pour vous concentrer sur vos interventionsQuand vous rentrez chez vous, vous profitez de votre famille et de vos amis, plus besoin de rallumer l’ordinateurVous réduisez drastiquement vos impayés grâce à un suivi des paiements simple et rigoureuxVous êtes en conformité avec la loi et les règles comptables. Vous anticipez l’obligation de dématérialisation des factures qui arriventVous gagnez du temps dans vos échanges avec votre comptable grâce à l’envoi automatique des documentsVous améliorez votre image de marque auprès de vos clientsDifférence entre Artizen et les autres solutionsL’ADN d’Artizen se résume en un mot : simplicité.Un seul objectif : rendre simple les tâches qui semblent compliquées et peu intéressantes pour les artisans.Ainsi, Artizen n’est pas un logiciel parmi tant d’autres à plusieurs titres :Il est tout d’abord simple : toute personne non technophile sait s’en servir en 3 minutesIl est efficace et va droit au butIl est complet car il regroupe un agenda, un éditeur de devis et factures, un catalogue de prestations, un outil de suivi des paiements, un extracteur de facture, un système d’envoi des documents aux clients et au comptableCe positionnement clair et simple est un choix fondateur d’Artizen qui est l’exact contraire de la plupart des concurrents. La majorité des acteurs du marché offrent aux artisans des solutions très sophistiquées, très poussées techniquement, avec de multiples fonctionnalités mais extrêmement complexes et lourdes à l’utilisation. Artizen fait le pari inverse : lancer une solution archi simple pour que tous les artisans y accèdent facilement.Utilisation :Artizen propose une période d’essai gratuite pour tester les différentes fonctionnalités sans pression.Pour cela, il suffit de créer son espace en deux étapes :Renseigner une adresse mail et d’un mot de passeRenseigner un SIREN afin de pouvoir obtenir toutes les informations légales obligatoires sur les facturesA la fin de votre période d’essai, c’est-à-dire le premier jour du mois suivant votre inscription, Artizen vous proposera deux formules d’abonnement avec des prix transparents et fixes sans aucune surprise :Une formule d’abonnement annuel sur 12 mois de 35€ HT / moisUne formule d’abonnement mensuel sans engagement de 50€ HT / moisLe tarif est fixe sans aucun frais de mise à jour ou autre et avec un accès illimité au service client qui sera heureux de guider les artisans dans leurs premiers pas.
Il y a 4 ans et 68 jours

Partenariat direction générale des finances publiques et ordre des géomètres-experts : la digitalisation en renfort du service public

Le but ? Faciliter l'accès aux données foncières et cadastrales au bénéfice de l'ensemble des usagers, particuliers, services de l'Etat, collectivités territoriales ou encore professionnels, et digitaliser l'ensemble des processus pour rendre le service public plus efficient.Chaque jour, les géomètres-experts sont amenés à produire des données foncières dans le cadre de la conduite de leurs missions. Si l'ensemble de ces actes fonciers sont publiés sur le portail Géofoncier depuis 2010, on estime néanmoins que 13 millions de ces documents - indispensables à la conduite d'opérations d'aménagement ou à la construction de logements - sont aujourd'hui stockés dans les archives des services du cadastre.La signature de cette convention passée entre la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP) et l'Ordre des géomètres-experts (OGE) vise à digitaliser le stock de ces documents mais aussi leur production et répond ainsi à un triple objectif :La numérisation de la documentation (DMPC, croquis fonciers et minutes de remembrement) stockée et archivée dans les services du cadastre depuis 1956 et son financement par l'Ordre des géomètres-experts.La dématérialisation totale de la procédure de production des flux nouveaux de DMPC jusqu'à la signature électronique, qui a été expérimentée avec succès dans plusieurs directions départementales des finances publiques et qui a été proposée aux géomètres-experts pendant la période de confinement.Et la mise en œuvre d'un contrôle allégé en partenariat (CAP) des travaux de vérification des documents d'arpentage assurés par les services du cadastre.L'ensemble des documents cadastraux produits depuis plus d'un demi-siècle seront, dans les 5 prochaines années, numérisés puis versés sur le portail Géofoncier afin de les rendre accessibles gratuitement au public.Le Fonds Européen de Développement Régional a été sollicité pour financer une partie du projet puisqu'il s'inscrit dans une démarche de transition écologique et digitale qui concoure directement à l'intérêt général. Seule obligation pour la profession ? Garantir aux citoyens qu'ils auront librement accès à la base de données du portail Géofoncier.Cette opération de grande ampleur, couplée à la mise en œuvre d'un contrôle allégé en partenariat (CAP) des travaux de vérification des documents d'arpentage permettra également de simplifier le travail de vérification des documents d'arpentage qu'assure l'administration fiscale.Le Président du Conseil supérieur de l'OGE, Vincent Saint-Aubin, s'est dit « très honoré de cette convention qui fera du géomètre-expert et du portail Géofoncier des acteurs majeurs de la Blockchain du foncier ». « Ce travail de digitalisation relève de la mission de service public de notre Ordre et s'inscrit dans une véritable dynamique partenariale public/privé. », a conclu Vincent Saint-Aubin.