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(41 résultats)
Il y a 20 jours

Le logement, levier de développement durable ou de « décivilisation » ?

La rigueur budgétaire pourrait bien affecter un secteur qui devrait être un moteur de transformation. Est-ce la bonne solution ? Chronique de l’intensité. Le logement est un poids lourd des politiques de développement durable. Gros impact économique, gros consommateur de ressources, tant pour la construction que pour la vie courante sur des dizaines d’années, et lieu […] L’article Le logement, levier de développement durable ou de « décivilisation » ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 88 jours

Ideal Standard : Avancées Significatives en Développement Durable

Ideal Standard : Avancées Significatives en Développement Durable andresudrie mer 06/03/2024 - 11:25 Ideal Standard International, acteur majeur dans le domaine des équipements sanitaires, a publié son rapport 2023 sur le développement durable, intitulé "Ensemble pour un meilleur avenir". Ce document met en exergue les avancées significatives réalisées par l'entreprise en matière de durabilité, affirmant son engagement envers l'amélioration continue des performances environnementales et sociales. Réalisations Clés de 2023 Parmi les succès notables de l'année, Ideal Standard a réduit ses émissions de CO2 de 5 514 tonnes, soit une diminution de 5%, éliminé 41,5 tonnes de plastique à usage unique dans l'emballage de ses produits, et publié 5 000 déclarations environnementales de produits (FDES), favorisant ainsi une transparence accrue pour les consommateurs. L'usine de Wittlich en Allemagne a atteint un jalon remarquable en parvenant à zéro émission de type 2 en 2023, grâce à l'utilisation exclusive d'électricité provenant de sources renouvelables, complétée par un parc solaire de plus de 3 000 panneaux photovoltaïques. Innovation et Engagement Éco-Responsable Le lancement du label EcoLogic par Ideal Standard symbolise une approche rigoureuse envers la durabilité, exigeant l'utilisation de matériaux durables dans la chaîne d'approvisionnement et la création de produits éco-efficaces. Un exemple marquant est la gamme de douches Alu+, sans matériaux nocifs comme le nickel, composée de 84 % d'aluminium recyclé et conçue pour minimiser la consommation d'eau sans compromettre l'expérience utilisateur. Progrès Sociaux et Certifications Sur le plan social, Ideal Standard a augmenté le recrutement des femmes en Europe de 7,5 % et a mis en œuvre un programme de vérification préalable de la chaîne d'approvisionnement, couvrant 80 % des dépenses directes du groupe. L'obtention de la certification ISO 45001 en santé et sécurité pour ses opérations au Royaume-Uni et en République tchèque vient couronner ces efforts, témoignant d'un engagement solide envers le bien-être des employés. Reconnaissance et Perspectives Futures L'année 2023 s'est conclue sur une note positive avec l'attribution d'une médaille d'argent par EcoVadis, plaçant Ideal Standard parmi les 25 % des entreprises les plus performantes évaluées par cette plateforme mondiale. Cette reconnaissance est une preuve supplémentaire de l'engagement d'Ideal Standard envers des pratiques commerciales durables et responsables. L'engagement d'Ideal Standard "Ensemble pour un meilleur avenir" se base sur des piliers fondamentaux visant à améliorer les vies, la planète, et les performances commerciales. En alignant ses actions avec les objectifs de développement durable de l'ONU, Ideal Standard pave la voie vers un avenir où l'innovation, la responsabilité sociale, et l'excellence environnementale convergent pour créer des environnements de vie sains et durables. Pour plus de détails sur ces initiatives, le rapport complet est accessible sur le site d'Ideal Standard. Jan Peter Tewes, PDG d’Ideal Standard International, a déclaré : «Nous avons eu un impact réel sur les objectifs que nous nous étions fixés en 2022. Je suis particulièrement fier que nous ayons continué à investir dans l’amélioration des processus de fabrication et le développement de produits de pointe dans un contexte de ralentissement économique. Ideal Standard a terminé l’année 2023 en se voyant décerner une médaille d’argent par EcoVadis - le plus grand fournisseur mondial d’évaluations sur le développement durable - ce qui place l’entreprise dans les 25 % les plus performants parmi plus de 85 000 sociétés évaluées dans le monde. EcoVadis a qualifié la performance environnementale de l’entreprise d’avancée». Fatima Mimouni, Responsable des questions RSE chez Ideal Standard, a ajouté : «Bien que nous soyons fiers de nos réalisations, nous savons qu’il reste encore beaucoup à faire et nous travaillons déjà à un certain nombre d’améliorations. Nos objectifs restent ambitieux, mais nous sommes convaincus qu’en favorisant une étroite collaboration avec nos partenaires et nos fournisseurs, nous pourrons relever les défis et avoir un impact significatif.» L’engagement primordial d’Ideal Standard - «Ensemble pour un meilleur avenir» - s’appuie sur trois piliers : pour de meilleures vies, pour une meilleure planète et pour de meilleures performances commerciales. Ces piliers sont également soulignés par l’engagement de la société envers les objectifs de développement durable des Nations Unies dans des domaines tels que l’eau potable et l’assainissement, l’égalité des sexes et l’action climatique. Catégorie : Équipements SanitairesSous-catégorie : Développement Durable Choisir la Marque® - Associer l'article IDEAL STANDARD Ensemble pour un Meilleur Avenir : Le Rapport de Progrès 2023 Ideal Standard International dévoile son rapport 2023 sur le développement durable, mettant en lumière ses progrès vers la durabilité. Partager
Il y a 1 ans et 88 jours

RAPPORT 2023 SUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE :IDEAL STANDARD FRANCHIT DES ÉTAPES MAJEURES

Ideal Standard International, fabricant de salles de bains de premier plan, annonce la publication de son dernier rapport sur le développement durable pour 2023, qui met en lumière les étapes importantes et les avancées réalisées par l’entreprise vers un avenir plus durable. Le rapport complet, intitulé Together for a better […] L’article RAPPORT 2023 SUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE :IDEAL STANDARD FRANCHIT DES ÉTAPES MAJEURES est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 102 jours

Le projet d’arrêté modifiant le DPE est en consultation jusqu’au 13 mars

La modification du DPE pour ne pas pénaliser les logements de petites surfaces est maintenant disponible. Trois documents sont téléchargeables https://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/consultation-publique-relative-a-l-arrete-a2981.html : une note de consultation, une calculette sous Excel pour recalculer les DPE déjà réalisés et le texte de 13 pages du projet d’arrêté. Très important relèvement du seuil des Classes DPE pour les […]
Il y a 1 ans et 172 jours

IDEAL STANDARD REÇOIT LA MÉDAILLE D’ARGENT D’ECOVADIS POUR SON ENGAGEMENT EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT DURABLE

Ideal Standard International – l’un des principaux fabricants mondiaux de solutions sanitaires de qualité pour les secteurs résidentiel, tertiaire et médical – s’est vu décerner une médaille d’argent par EcoVadis, en reconnaissance de son engagement continu en faveur du développement durable. EcoVadis, qui est le groupe le plus important et […] L’article IDEAL STANDARD REÇOIT LA MÉDAILLE D’ARGENT D’ECOVADIS POUR SON ENGAGEMENT EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT DURABLE est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 220 jours

Profils Systèmes investit toujours plus : dans ses outils de production, pour ses collaborateurs & partenaires comme en faveur du Développement Durable

Depuis plus de 35 ans, à Baillargues (34), Profils Systèmes conçoit des profilés aluminium et accessoires destinés à la fabrication de menuiseries innovantes pour le marché du bâtiment. Qu’il s’agisse de créer de grandes surfaces vitrées à hautes performances énergétiques (façades rideau, fenêtres, baies coulissantes, portes, vérandas, verrières intérieures…) ou […] L’article Profils Systèmes investit toujours plus : dans ses outils de production, pour ses collaborateurs & partenaires comme en faveur du Développement Durable est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 256 jours

Le Développement Durable selon Forbo Flooring

Le Développement Durable selon Forbo Flooring Être un partenaire de confiance pour des revêtements de sol entièrement circulaires 
 
 Fort du schilling mer 20/09/2023 - 14:59 En savoir plus sur Le Développement Durable selon Forbo Flooring Partager
Il y a 2 ans et 4 jours

Réglementation

Photo : ShutterStockFilière REP du bâtiment : pour une meilleure valorisation des déchets La filière à responsabilité élargie des producteurs (REP) a été étendue aux produits et matériaux de construction du bâtiment (PMCB) le 1er janvier 2023. Mise en place par l'État, elle vise à renforcer le maillage des points de collecte des déchets du bâtiment sur le territoire, améliorer la traçabilité des déchets ainsi qu'à développer le réemploi et le recyclage. Cette nouvelle obligation, exigée par la loi AGEC, doit permettre à tous les acteurs qui mettent à disposition des produits et matériaux de construction (fabricants, importateurs, distributeurs) de traiter leurs déchets au plus près des chantiers. La reprise de ces déchets est ensuite assurée et financée par un éco-organisme agréé par les pouvoirs publics, en échange du versement d'une écocontribution pour chaque produit mis sur le marché. Les quatre éco-organismes agréés vont ainsi avoir à structurer de nouvelles filières pour répondre à des objectifs ambitieux de développement du réemploi et du recyclage tout en encourageant l'éco-conception. Pour en savoir plus : Organisme Coordonnateur Agréé pour la filière Bâtiment Diagnostic PEMD : mise en place d'une plateforme numérique dédiée et d'une formation pour répondre à la montée en compétences des acteurs Suite à une évolution réglementaire introduite dans la loi AGEC, le diagnostic Produits, Equipements, Matériaux, Déchets (PEMD) remplace le diagnostic déchets à partir du 1er juillet 2023. Pierre angulaire d'une bonne stratégie de valorisation de la matière suite à une déconstruction ou une rénovation, le diagnostic a été longtemps déconsidéré. La mise en place du diagnostic PEMD vise à lui redonner ses lettres de noblesse et en faire le point de départ de la valorisation des ressources. Renforcement des exigences du diagnostic, focus réemploi et mise en visibilité des gisements sont maintenant au programme. Le nouveau diagnostic PEMD concerne les déconstructions, mais est également étendu aux réhabilitations significatives de plus de 1 000 m² ou concernant au moins un bâtiment abritant une activité agricole, industrielle ou commerciale associée à l'utilisation, au stockage, à la fabrication ou la distribution de substances dangereuses (article R. 4411-6 du code du travail). Il implique aussi un changement de regard sur les composants constituant un ouvrage existant : ils représentent dorénavant une somme de ressources, composée de produits, équipements ou matériaux dont on analyse le potentiel de réemployabilité, et de déchets pouvant être recyclés. Associée au dispositif, la plateforme PEMD, développée et gérée par le CSTB pour le compte des pouvoirs publics, s'adresse en premier lieu aux maîtres d'ouvrage afin de leur permettre de respecter leurs obligations réglementaires : transmettre le diagnostic PEMD, mettre en visibilité gratuitement les gisements PEM potentiellement réemployables et déchets valorisables, transmettre le récolement d'une opération de démolition ou de rénovation. La plateforme PEMD sera disponible à l'adresse suivante à partir du 1er juillet 2023 : plateformepemd.developpement-durable.gouv.fr. Par ailleurs, ce contexte favorise l'émergence d'un nouveau métier, celui de diagnostiqueur PEMD, dont les compétences ont été définies par décret. En partenariat avec le SEDDRe et le cabinet de conseil Recovering, le CSTB Formations a développé une formation certifiante qui délivre le titre professionnel de diagnostiqueur PEMD. En savoir plus : Formation certifiante : Devenir Diagnostiqueur PEMD (Produits, Equipements, Matériaux et Déchets) Solutions & Performances - Numéro 12 : « Économie circulaire » Le numéro 12 de Solutions & Performances est consacré à l'économie circulaire. PDF 4.44 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 254 jours

Diagnostics de performance énergétique : UFC-Que Choisir dénonce un grand n’importe quoi, encore et toujours

Alors que la pertinence du DPE est plus que jamais indispensable compte tenu des conséquences d’une qualification du logement en tant que passoire thermique, l’UFC-Que Choisir, sur la base de l’analyse de 34 diagnostics réalisés dans 7 maisons situées dans différentes régions de France (1), demande au Gouvernement de revoir de fond en comble le processus de certification des professionnels du diagnostic, et que l’opposabilité du DPE soit étendue aux recommandations en matière de travaux à mener.Jusqu'à 3 classes d'écart pour un même bienAlors qu’un consommateur souhaitant réaliser un DPE de son logement dans le cadre d’une vente ou de la location d’un bien pourrait logiquement considérer que le choix du diagnostiqueur n’affectera pas sa classification, la réalité du terrain met en évidence de stupéfiants écarts. En effet, parmi les 7 maisons qui ont fait l’objet de nombreux diagnostics (entre 4 et 5 chacune), 6 d’entre elles ne se sont pas vues reconnaître la même classe énergétique, avec même une maison pour laquelle la classe attribuée va de B à E alors qu’elle est basse consommation !Cette situation pourrait prêter à sourire si la détermination de la classe du DPE n’emportait pas de conséquences si importantes sur la valorisation du bien immobilier, ou encore sur l’estimation de consommation d’énergie et donc des factures, qui pour une maison va même du simple au plus du double (+226%). Pire, avec l’interdiction de vendre ou louer des biens immobiliers énergivores qui interviendra, progressivement, à partir de l’année prochaine pour les plus énergivores, les conséquences d’un classement erroné s’avéreront encore plus préjudiciables.Des recommandations de travaux d'économies farfeluesLa réglementation impose aux diagnostiqueurs de faire figurer sur le DPE des recommandations sur des travaux permettant d’améliorer l’efficacité énergétique des logements ou de limiter les émissions de gaz à effets de serre. Or, certains conseils sont tout simplement ahurissants : un installateur a ainsi recommandé la pose d’un chauffe-eau solaire alors que la maison en disposait déjà. De même, les estimations de travaux jugés essentiels pour une même maison varient d’un peu plus de 3.000 euros à 10 fois plus pour un autre diagnostiqueur.Comment s’étonner de cette situation alors même que les professionnels du diagnostic sont incapables de tous s’accorder sur la principale source de déperdition de chaleur des logements ? Effectivement, pour un même bien, le DPE d’un diagnostiqueur indique que les murs pèsent pour 49% dans la déperdition de chaleur du logement, quand celui de l’un de ses concurrents indique qu’ils ne pèsent que pour 19%.Les pouvoirs publics continuent de cautionner ces professionnelsLes professionnels contactés sont tous présents sur un site gouvernemental (2) recensant les diagnostiqueurs certifiés. Autrement dit, les pouvoirs publics qui cautionnent cette situation ont une lourde responsabilité sur le sentiment légitime de défiance existant à l’égard des DPE.La nouvelle enquête d'UFC-Que Choisir révèle que la certification n’est en rien un gage de qualité, ce qui démontre un défaut du cadre de certification mais aussi dans les contrôles de qualité des prestations réalisées par les diagnostiqueurs.Il convient de souligner que la discordance a pu être rencontrée aussi bien en ayant recours à des réseaux qu’à des indépendants… Les consommateurs sont donc aujourd’hui largement démunis pour prendre attache en toute confiance avec un diagnostiqueur.Attachée à faire du DPE un outil éclairant utilement les propriétaires sur les travaux à entreprendre, et assurant aux futurs acquéreurs ou locataires de disposer d’une information fiable sur la performance énergétique du bien immobilier, l’UFC-Que Choisir demande :De rendre opposable aux diagnostiqueurs les allégations du DPE sur les travaux recommandésDe revoir en profondeur le système de certification pour assurer aux consommateurs que le recours à un professionnel certifié est réellement gage de qualité. Notes (1) Résultats complets de l’enquête disponibles dans le numéro 617 d’octobre du magazine Que Choisir, actuellement en kiosques. (2) http://diagnostiqueurs.din.developpement-durable.gouv.fr/index.action
Il y a 2 ans et 262 jours

L'Autorité de la concurrence nomme une responsable du développement durable

L'Autorité de la concurrence a annoncé le 7 septembre la création d'un poste de responsable de son réseau d'experts en développement durable, confié à la juriste Elise Provost.
Il y a 2 ans et 309 jours

Immobilier neuf : les permis de construire en net repli au deuxième trimestre

Ce chiffre reste toutefois bien supérieur (+11,2%) à la moyenne des douze mois précédant la crise sanitaire, entre mars 2019 à février 2020, a relevé le ministère.La forte hausse du premier trimestre avait fait suite à un nombre "exceptionnel" de dépôts de demandes de permis en décembre 2021, avant l'entrée en vigueur d'une règlementation environnementale (RE2020) plus contraignante, qui a pour objectif de limiter les émissions de gaz à effet de serre de la construction neuve.Cet effet "est dépassé depuis fin mars pour les logements individuels purs, mais s'est prolongé au cours de ce trimestre pour les logements collectifs ou en résidence et les logements individuels groupés", précise le ministère. Au deuxième trimestre, le nombre de logements mis en chantier a aussi diminué (-5%), après un recul "plus modéré" au premier trimestre (-0,6%), estime le ministère de la Transition.Entre juillet 2021 et juin 2022, 508.700 logements ont été autorisés à la construction, soit 67.900 de plus qu'au cours des douze mois précédents (+15,4%).Sur la même période, 387.700 logements ont été mis en chantier, soit 1.200 de plus (+0,3%) que lors de l'année précédente.Les autorisations à la construction de locaux non résidentiels ont de leur côté augmenté au deuxième trimestre (+8,6%) par rapport au même trimestre un an plus tôt, ainsi que par rapport aux douze mois précédents (+10,4%).Construction de logements, résultats à fin juin 2022Construction de locaux, résultats à fin juin 2022
Il y a 2 ans et 339 jours

La construction de logements et de locaux se maintient à la hausse

Le niveau très élevé des autorisations des derniers mois provient du nombre exceptionnel de demandes de permis déposées en décembre 2021, probablement en lien avec l’entrée en vigueur de la réglementation environnementale (RE) 2020 au 1ᵉʳ janvier 2022. Un phénomène similaire s’était produit en 2013 au moment de l’application de la réglementation thermique (RT) 2012. Le nombre de logements autorisés au cours des trois derniers mois est nettement supérieur (+16,2%) à la moyenne des douze mois précédant la crise sanitaire (mars 2019 à février 2020).Au cours des trois derniers mois, on estime que les logements commencés sont restés stables (+0,0%), après avoir diminué de 3,2% lors des trois mois précédents, en données CVS-CJO. De mars à mai 2022, on estime que les mises en chantier de logements ont été légèrement supérieures (+0,5%) à leur moyenne des douze mois précédant le premier confinement.De juin 2021 à mai 2022, 502.800 logements ont été autorisés à la construction, soit 70.900 de plus qu’au cours des 12 mois précédents (+16,4%). Dans le même temps, on estime que 388.300 logements ont été mis en chantier, soit 2.000 de plus (+0,5%) que lors des 12 mois précédents (juin 2020 à mai 2021). Si on prend comme point de comparaison les 12 mois précédant la crise sanitaire (mars 2019 à février 2020), les nombres de logements autorisés et commencés au cours des 12 derniers mois sont supérieurs de respectivement 9,5% et 1,4%.Logements autorisésDe juin 2021 à mai 2022, 502.800 logements ont été autorisés à la construction, soit 70.900 de plus qu’au cours des 12 mois précédents (+16,4%).Les autorisations de logements individuels groupés (+28,1%) ont connu une forte progression. Les logements collectifs ordinaires (+15,5%), individuels purs (+15,0%) et en résidence (+11,3%) ont également augmenté.Logements mis en chantierAu cours des douze derniers mois, on estime que 388.300 logements ont été mis en chantier, soit 2.000 de plus (+0,5%) que lors des 12 mois précédents (juin 2020 à mai 2021).Les logements individuels purs (+ 11,4 %) auraient connu une forte progression. Les logements individuels groupés (+0,5%) auraient légèrement augmenté. Les logements collectifs ordinaires (-4,4%) et les logements en résidence (-8,6%) auraient décliné.Construction de logements, résultats à fin mai 2022Construction de locaux, résultats à fin mai 2022
Il y a 2 ans et 358 jours

Les plus gros consommateurs d'énergie très peu incités à l'efficacité énergétique

Le dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), principale aide financière des travaux d'économies d'énergie tant pour les particuliers que les professionnels, doit permettre à la France d'atteindre près de la moitié de ses objectifs européens. Mais il est largement sous-exploité par ces secteurs.Dès lors, l'augmentation significative du volume d'obligation des CEE, tant en CEE classiques qu'en CEE précarité, semble indispensable pour inciter les secteurs consommateurs d'énergie et émetteurs de CO2 à lancer des travaux d'économies d'énergie, atteindre les objectifs nationaux et européens et consolider les filières professionnelles dont la France a besoin. Le coût de cette mesure sur les prix de l'énergie serait limité. Calculs et éclairage du groupe Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie et pionnier du dispositif des CEE depuis 2008.« Il est évident que la non rehausse du marché des CEE, ce dispositif d'aide privée qui pèse plus de 5 milliards d'euros annuels, en baisse de 25 % sur 12 mois, a aujourd'hui des répercussions sociales, économiques et environnementales majeures. Sa résolution doit être un des dossiers prioritaires de la Première ministre chargée de la planification écologique. L'atteinte de nos objectifs nationaux et européens, avec près de 40 % d'économies d'énergie à réaliser d'ici 2030, en dépend ! », soutient Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio.Le transport, l'industrie, le tertiaire et l'agriculture plus gros consommateurs d'énergie devant le secteur résidentiel Selon le dernier bilan énergétique de la France en 2021 publié en avril 2022, la consommation d'énergie primaire de la France en 2021 est en hausse de 7,7 % (2 769 TWh).De son côté, la consommation finale d'énergie s'établit à 1 778 TWh en 2021, dont 1 627 TWh à usage énergétique. Cette dernière a augmenté de 9,1 % et revient à son niveau de 2019.Dans le détail, la consommation d'énergie du transport s'élève approximativement à 511 TWh, soit près de 32 % du total. En parallèle, celle de l'industrie s'élève à 312 TWh, soit près de 20 %. À cela s'ajoute la consommation des bâtiments tertiaires estimée à 275 TWh, soit 17 %, et celle de l'agriculture et de la pêche autour de 50 TWh, soit 3 %.En somme, les secteurs industriels et commerciaux représentent près de 72 % de la consommation totale ! Parallèlement, les émissions de CO2 liées à l'énergie rebondissent de 8,5 % sans retrouver leur niveau de 2019, les secteurs énoncés précédemment étant responsables de près de 90 % du total.Une sous-exploitation des CEE par ces secteurs aggravée par un marché en crise Paradoxalement pour ces secteurs industriels et commerciaux, le dispositif des CEE, instrument principal de la politique énergétique en matière d'incitation aux travaux d'efficacité énergétique et de réduction des consommations d'énergie, ne représente en moyenne que 33 % des CEE délivrés depuis le 1er janvier 2022, avec le même ordre de grandeur sur les quatre dernières années. Le secteur qui profite des 67% restants est le résidentiel, représentant 28 % de la consommation d'énergie.De plus, l'actualité du marché des CEE n'est pas incitatrice à l'efficacité énergétique : le cours accuse une baisse des incitations financières de l'ordre de 30 % sur ces deux dernières années causée par la surproduction des CEE par rapport à des obligations [2] devenues insuffisamment ambitieuses.En effet, la production de CEE bat tous les records (avec des moyennes de 83 TWhc de délivrances CEE et 72 TWhc de dépôts CEE sur le début d'année 2022) pour une obligation de volume pour la 5ème période critiquée pour être mal calibrée (43 TWhc en comptant la surproduction de la 4ème période estimée à 450 TWhc, 52 TWhc par mois hors surproduction).Cette situation du marché des CEE provoque de lourdes conséquences, tant sur le plan économique, social qu'environnemental : Une baisse des aides et une augmentation des restes à charge financiers pour les travaux d'efficacité énergétique pour les particuliers et les entreprises, dans un contexte inédit d'explosion des prix de l'énergie. Plusieurs sociétés décalent, annulent ou n'envisagent simplement pas de lancer leurs projets d'efficacité énergétique en raison de la faible incitation actuelle des CEE. Une confiance rompue dans le dispositif par les utilisateurs finaux qui se retrouvent avec un reste à charge doublé ou triplé par rapport à il y a quelques mois et ne peuvent plus lancer leurs travaux.Un manque d'ambition qui se traduira par la non atteinte des objectifs français et européens en matière de baisse des consommations énergétiques alors que l'objectif 2020 a été atteint sur le fil grâce, ou à cause, du contexte sanitaire de 2020. À rappeler également que la révision de la directive efficacité énergétique devrait être actée d'ici la fin d'année, avec une augmentation probable de l'objectif 2030 actuel de 32,5% à 36%-39%.Doubler l'obligation du volume des CEE de la 5ème période pour atteindre les objectifsÀ ce titre, étant donné une moyenne mensuelle actuelle de 83 TWhc de délivrance de CEE et 450 TWhc de stocks de CEE, il est projeté une obligation CEE totale pour la 5ème période de 4 500 TWhc, soit un quasi doublement de l'objectif actuel.Avec la probable augmentation de 11 % de l'objectif européen, aujourd'hui à 32,5 % d'économies d'énergie [3] à réaliser d'ici 2030, l'obligation potentielle pourrait même s'élever à plus de 5 000 TWhc si la volonté politique était d'utiliser le dispositif pour atteindre l'objectif européen et national.Plusieurs acteurs de la filière ont émis une recommandation similaire de doublement voire de triplement des aides financières dédiées aux économies d'énergie [4], de même que la Convention Citoyenne pour le Climat [5] a proposé de quadrupler l'objectif (3 à 4 fois), ce qui porterait l'obligation à plus de 6 000 TWhc.Pour rappel, les forfaits des fiches d'opérations standardisées sont révisés régulièrement à la baisse, compte tenu de la réévaluation des références du parc et du marché pour mieux refléter l'économie d'énergie réelle : le montant d'incitations financières versées par opération sera donc limité.Si l'on souhaite atteindre l'objectif des 700 000 travaux de rénovation annoncés par le Président lors de sa campagne de réélection, une rehausse de l'obligation du volume des CEE est indispensable afin d'augmenter considérablement les incitations financières.Cette rehausse nécessaire aura pour première incidence de diminuer fortement les restes à charge et ainsi encourager les consommateurs et les acteurs de la filière à réaliser des travaux d'économies d'énergie.Au-delà du volume d'obligation additionnel conséquent, Hellio insiste sur l'importance d'augmenter à la fois l'obligation classique et l'obligation précarité. En effet, une rehausse de l'obligation précarité permettra de lutter contre la précarité énergétique mais ne stimulera pas les travaux d'efficacité énergétique dans les secteurs cités précédemment, notamment à cause de la fongibilité des CEE précarité (un CEE précarité peut remplir l'obligation classique), et laissera donc de côté les secteurs industriels et commerciaux.[1] https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/bilan-energetique-de-la-france-en-2021-donnees-provisoires-0 [2] emmy.fr ; Prix emmy spot CL Avril 2020 : 8,46 ; Prix emmy sport CL Avril 2022 : 5,93 ; Baisse de 29,9 % [3] https://www.consilium.europa.eu/fr/policies/green-deal/fit-for-55-the-eu-plan-for-a-green-transition/ [4] https://www.fedene.fr/wp-content/uploads/sites/2/2014/09/20171003-PROPOSITIONS-BD.pdf [5] https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/pdf/rf/ccc-rapport-final-seloger.pdf
Il y a 3 ans et 24 jours

La première réunion plénière de la Feuille de route de décarbonation de la chaine de valeur du cycle de vie du bâtiment se tiendra le 13 mai

Le CSTB et Plan Bâtiment Durable ont été missionnés, aux côtés de la Direction générale de l'Aménagement, du Logement et de la Nature, pour organiser, piloter et animer la démarche d'élaboration de la Feuille de route de décarbonation de la chaine de valeur du cycle de vie du bâtiment, dont ils co-présideront le Comité de Pilotage. La feuille de route de décarbonation de la chaine de valeur du cycle de vie du bâtiment L'atteinte des objectifs climatiques aux échéances 2030 et 2050 va conduire à une accélération des actions à mener par tous les acteurs, publics comme privés, pour enclencher la décarbonation de notre économie. En particulier, elle entraînera des besoins d'investissement sans précédent. Pour relever ces défis d'une ampleur inédite, l'article 301 de la loi Climat et Résilience adoptée en août 2021, prévoit l'élaboration de feuilles de route de décarbonation pour les secteurs les plus émetteurs (transports, bâtiments, agriculture, etc.), dans la continuité des travaux pionniers déjà réalisés par certains comités stratégiques de filière pour la décarbonation de l'industrie. Un évènement de lancement de la démarche, organisé par le ministère de la Transition écologique et le ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance s'est tenu le 18 février dernier, réunissant les principales filières économiques les plus émettrices et les représentants des collectivités territoriales. La feuille de route de la chaîne de valeur du cycle de vie du bâtiment, dont les travaux d'élaboration ont débuté à la fin du mois d'avril, vise la réduction de toutes les émissions de carbone sur le cycle de vie du bâtiment, c'est-à-dire à la fois les émissions induites par la construction de bâtiments neufs (y compris les impacts environnementaux de la fabrication des composants du bâtiment et de leur transport) et celles associées à la gestion et exploitation ou encore à la déconstruction de bâtiments. Cette feuille de route cible également les réductions d'émission permises par la rénovation du parc existant. La démarche d'élaboration de cette chaîne de valeur sera organisée, pilotée et animée par le CSTB et le Plan Bâtiment Durable, aux côtés de la Direction générale de l'Aménagement, du Logement et de la Nature, qui co-présideront le Comité de Pilotage de la feuille de route. Les travaux seront organisés selon quatre groupes de travail thématiques qui seront encadrés par des acteurs de la filière, désignés par les co-présidents : GT 1 : Composants des ouvrages GT 2 : Construction neuve GT 3 : Rénovation du parc existant GT 4 : Exploitation et usage du bâtiment dans son environnement Élaborée par les représentants des acteurs économiques de la Construction et co-construite avec les pouvoirs publics, cette feuille de route s'inscrit comme une première étape d'une démarche de longue haleine devant engager l'adaptation de la chaîne de valeur du cycle de vie du bâtiment pour la mettre sur la voie de la neutralité carbone. Elle permettra d'une part d'identifier les leviers à même de réduire les émissions de gaz à effet de serre et les freins éventuels à surmonter pour les déployer, et d'autre part d'esquisser ce que pourrait être un chemin de décarbonation accompagnés de plans d'actions à mener par chacune des parties pour atteindre les objectifs de baisse des émissions de gaz à effet de serre de la chaine de valeur aux horizons 2030 et 2050. La feuille de route devra être établie avant le 1er janvier 2023 ; elle contribuera à alimenter l'élaboration de la future Stratégie française sur l'énergie et le climat (SFEC) ainsi que les dispositifs d'accompagnement de la transition écologique, tels que le plan France 2030. Réunion plénière : La première réunion plénière de la feuille de route de décarbonation du cycle de vie du bâtiment, dont les travaux d'élaboration se dérouleront tout au long de l'année se tiendra le vendredi 13 mai de 15h à 17h30 à Paris-La Défense (Tour Séquoia, Auditorium R2) ainsi qu'en visioconférence. Cette réunion : rappellera l'ambition climatique de la France et un état des lieux des réflexions déjà existantes sur la décarbonation de la chaîne de valeur du bâtiment ; précisera la démarche d'élaboration de la feuille de route de décarbonation du cycle de vie du bâtiment, la gouvernance, le calendrier et les différents groupes de travail qui seront mis en place ; organisera un temps d'échange avec les participants. Tous les acteurs souhaitant s'informer et participer à ces travaux ambitieux pour la décarbonation de notre économie sont invités à s'inscrire à cet évènement avant le mercredi 11 mai. En savoir plus : Inscrivez-vous Le communiqué de presse de l'évènement de lancement de la démarche des feuilles de route de décarbonation des différents secteurs de l'économie Julie Lodewyckx, julie.lodewyckx@developpement-durable.gouv.fr Patrick Morand, patrick.morand@cstb.fr Louis Orta, louis.orta@developpement-durable.gouv.fr
Il y a 3 ans et 93 jours

Le guide pratique développement durable "Isolation thermique extérieure par enduit sur isolant PSE" du CSTB est disponible

Une explication détaillée et illustrée d’une des techniques d’ITE les plus répandues en FranceCe guide illustre la conception et la mise en œuvre des systèmes d’ITE :Quels sont les critères de choix et les supports admissibles ?Comment mettre en œuvre les composants (isolant, sous-enduit, finitions, etc.) Comment traiter les points singuliers ?Comment gérer l’entretien, la rénovation et la réfection des dégradations ?L’isolation thermique par l’extérieur (ITE) est réalisable sur les bâtiments neufs comme sur les bâtiments existants. Elle permet de traiter une grande partie des ponts thermiques linéiques, notamment ceux localisés aux jonctions façade-plancher intermédiaire et façade-refends. Elle contribue également à l’amélioration de l’inertie thermique du bâtiment.Cette nouvelle édition met en avant les évolutions dans le domaine des composants et met l’accent sur les critères de choix.Les modifications les plus importantes par rapport à la 1re édition sont les suivantes :prise en compte des nouveaux textes qui régissent les ETICSévolution du contexte réglementaire, notamment la sécurité incendie (arrêtés d'août 2019) et la RE2020 (qui remplacera à terme la RT 2012).Ce guide a été rédigé et mis à jour par Bertrand RUOT, ingénieur spécialiste de l’ITE.
Il y a 3 ans et 106 jours

Les produits Rockwool vendus en 2021 permettront d'économiser la consommation d'énergie de plus d'un million de foyers

Avec la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs RE2020 qui se met progressivement en place et le plan FranceRénov’ lancé par les pouvoirs publics qui souhaitent accélérer la rénovation énergétique, le verdissement de l’économie doit franchir un nouveau cap. Une ambition à laquelle le groupe ROCKWOOL contribue pleinement comme le montre le Rapport sur le Développement Durable 2021 qui décrit en détail la contribution des produits de l’entreprise à la concrétisation des objectifs environnementaux.Jens Birgersson, PDG de ROCKWOOL commente : « Les bâtiments sont responsables de 28 % des émissions mondiales de CO2 et ne serait-ce que dans l’Union Européenne, environ 75 % d’entre eux sont inefficaces sur le plan énergétique. Nos produits jouent donc un rôle clé dans la lutte contre le changement climatique en réduisant la consommation d'énergie dans les bâtiments. L’isolation vendue en 2021 continuera ainsi à réduire la consommation énergétique annuelle de plus d'un million de foyers, et ce pendant toute la durée de vie de l'isolation ».Entreprendre des rénovations profondes pour de meilleures économies d’énergiePour obtenir un impact significatif, les rénovations doivent être qualifiées de « profondes » c'est-à-dire permettant de réaliser des économies d'énergie d'au moins 60%, et les matériaux utilisés doivent être sains, résistants au feu et circulaires. C’est le cas de la laine de roche, matériau naturel issu du basalte, une ressource géologique quasi inépuisable, recyclable à l’infini et résistant au feu plus que n’importe quelle autre solution d’isolation.A propos de rénovations profondes chez ROCKWOOL, Jens Birgersson explique : « En 2021, nous avons bien progressé vers notre objectif d'efficacité énergétique dans nos propres locaux. Nous avons achevé la rénovation de cinq bâtiments supplémentaires, dont notre siège à Gladbeck, en Allemagne, où nous avons réussi à réduire la consommation d'énergie de 83 %. Ce que nous souhaitons prouver, c'est qu'il est possible de rénover des bâtiments existants jusqu'à atteindre les normes d'efficacité énergétique des bâtiments neufs ».Toujours en 2021, ROCKWOOL a pris des mesures importantes pour atteindre son objectif de décarbonation visant à réduire d'un tiers ses émissions absolues globales de gaz à effet de serre d'ici 2034. Des objectifs tous vérifiés et validés dans le cadre du projet Science Based Targets initiative (SBTi).Jens Birgersson déclare : « En 2021, nous avons converti trois lignes de production qui utilisent désormais la technologie de fusion et des sources d’énergie à faible intensité de carbone. Nous avons également annoncé les plans pour construire et convertir des lignes supplémentaires à faible émission de carbone. Les effets de réduction des émissions de ces postes et d’autres investissements prévus au cours des prochaines années nous aideront à atteindre nos ambitions de décarbonation ».Le Groupe ROCKWOOL en avance sur ses objectifsEn 2021, ROCKWOOL a atteint quatre de ses objectifs intermédiaires de développement durable avant l'échéance de 2022.L'un de ces objectifs concerne l'offre de valorisation des déchets de ROCKWOOL, Rockcycle. Ce service facilite la reprise des produits en laine de roche ROCKWOOL des chantiers de construction ou de démolition et garantit que le matériau est réutilisé ou recyclé. Ainsi, Rockcycle permet de relever le défi de réduction des déchets de construction qui représentent plus d'un tiers de tous les déchets solides dans le monde. Rockcycle opère désormais dans 17 pays, par rapport à l'objectif intermédiaire de 15 pays, avec un objectif à 2030 d'opérer dans 30 pays.En 2021, la part de ROCKWOOL dans les ventes nettes associées aux activités éligibles à la taxonomie a atteint 85%, soulignant ainsi la contribution positive de l'entreprise au développement durable en EuropeLa laine de roche utilisée dans la serriculture (culture sous serre des végétaux) en 2021 a permis aux producteurs d'utiliser 53% d'eau en moins et de produire 76% de rendement en plus par rapport aux solutions traditionnelles en solToujours en 2021, ROCKWOOL a été l'une des premières entreprises à évaluer ses produits selon la norme pilote Cradle to Cradle certifiée version 4.0. Les solutions acoustiques en laine de roche utilisée ont ainsi notamment permis d’améliorer les conditions d'apprentissage pour 1,7 million d'étudiants en 2021.Sur l’ensemble des sites ROCKWOOL dans le monde, de nombreux autres investissements sont d’ores et déjà prévus pour poursuivre la décarbonation des opérations du groupe et contribuer ainsi aux Objectifs de développement durable des Nations Unies (ODD) à l’horizon 2050.Consultez le Rapport Développement Durable 2021 de ROCKWOOL à cette adresse.
Il y a 3 ans et 115 jours

Concertation autour de Mon Accompagnateur Rénov’

L’article 164 de la loi Climat et Résilience prévoit la mise en place d’un accompagnement obligatoire à partir du 1er janvier 2023 pour les ménages souhaitant bénéficier de certaines aides à la rénovation énergétique de l’ANAH. Un projet de décret détermine le contenu de cet accompagnement, avec pour objectif de traiter les difficultés rencontrées par les ménages. Sont ainsi intégrées des missions de nature technique, administrative et financière afin d’éliminer toutes les barrières potentielles. En plus de prestations techniques liées à la rénovation énergétique du logement, le texte intègre la possibilité de prestations sociales de lutte contre l’indécence, l’habitat indigne, l’insalubrité et la perte d’autonomie pour un service d’accompagnement complet élargi aux enjeux globaux de l’habitat. Le texte précise également les caractéristiques des rénovations concernées. Le décret prévoit de mettre en œuvre un système d’agrément pour les opérateurs chargés de réaliser une mission d’accompagnement. L’agrément sera ouvert aux acteurs publics réalisant déjà des missions de conseils en rénovation énergétique auprès des ménages (Espaces Conseil France Rénov’ et opérateurs Anah). Les acteurs privés pourront également entrer dans le dispositif afin de garantir un nombre d’accompagnateurs suffisant, sous réserve de respecter certaines conditions d’indépendance vis-à-vis des activités d’exécution d’ouvrage. Une procédure d’instruction des demandes d’agrément visera à s’assurer que les opérateurs chargés de cette mission répondent aux conditions de compétences, de probité et d’indépendance fixées dans le texte. Cette procédure de vérification pourra être complétée d’opérations de contrôle en vue de s’assurer des engagements et obligations qui s’imposent aux accompagnateurs, voire d’une procédure de retrait de l’agrément en cas de manquement grave ou répété constatés. La procédure est simplifiée pour certains acteurs qui disposent déjà de garanties d’indépendance du fait de leur statut, notamment pour les collectivités territoriales. http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/decret_accompagnement_obligatoire_v9.pdf  
Il y a 3 ans et 116 jours

L’École polytechnique publie son Plan climat et met le développement durable au cœur de ses missions et de son campus

La publication du Plan climat de l’École polytechnique accentue son engagement pour contribuer à bâtir un monde plus soutenable. Elle affirme son ambition d’intégrer pleinement la transition écologique dans l’ensemble de ses missions de formation, de recherche, d’innovation et dans le fonctionnement de son campus. Résultat d’un processus large et participatif qui a impliqué les équipes académiques, les étudiants, les personnels et les partenaires de l’École, ce Plan climat fixe 10 objectifs réalisables à 5 ans, regroupés en 3 piliers - former et engager, développer et innover, et réduire et responsabiliser – pour transformer en profondeur les comportements et contribuer à l’avènement d’une prospérité responsable et soutenable. Le Plan climat de l’École polytechnique s’inscrit dans le prolongement des engagements forts en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique pris par l’École lors du colloque international « Réflexions : Chercher, former et agir pour le développement durable », organisé en juin 2019, dans le cadre de son 225e anniversaire. L’École a ainsi publié en 2020 un premier bilan carbone du campus, permettant d’établir un diagnostic et de définir des trajectoires de réduction de ses émissions pour parvenir à la neutralité carbone à l’horizon 2050.Elle a ancré cette nouvelle étape de la transition écologique au sein de l’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris), qui lui a permis d’unir ses forces à celles de quatre autres Écoles d’Ingénieur prestigieuses : l’ENSTA Paris, l’ENSAE Paris, Telecom Paris et Telecom SudParis. Dans ce cadre, elle a poursuivi le déploiement de ses modules de formations développement durable et des actions de recherche du centre interdisciplinaire d’IP Paris, Energy4Climate (E4C). Depuis sa création, l’École polytechnique n’a cessé d’accompagner et de façonner les transformations économiques, techniques et sociétales qui se sont succédées et qui ont permis des avancées au bénéfice du plus grand nombre. L’engagement de l’École en faveur d’un développement soutenable entre en résonance avec sa mission originelle de promotion de la science dans la formation, la recherche et l’innovation au plus haut niveau et au service du bien commun. Complexes et globaux, les défis environnementaux doivent être abordés avec humilité, agilité, vision de long terme et dans le cadre d’une approche pluridisciplinaire que l’École porte depuis ses origines.Les 10 objectifs du Plan climat à cinq ans :Intégrer des heures de formations appliquées sur les enjeux de durabilité dans 100% des parcours professionnalisantsTripler le nombre d’heures de formation obligatoire sur les enjeux de soutenabilité pour l’ensemble des formationFormer nos collaborateurs et leur permettre d’appliquer la transition écologique au quotidienCréer un campus démonstrateur de la transition, s’appuyant sur ses communautés de recherche et d’innovationIntégrer le développement durable comme paradigme dans 100% des projets de recherche structurantsAlimenter un fonds climat permettant de soutenir des actions de transition au sein de l’ÉcoleRéaliser annuellement une cartographie de la recherche à l’échelle IP Paris portant sur les enjeux environnementaux et de son impactDiminuer de 20% les émissions de gaz à effet de serre par usager du campus sur le poste énergieAssurer 50% des commandes sous critères d’achats responsablesSanctuariser un cœur de campus dédié aux modes de déplacements doux
Il y a 3 ans et 134 jours

Le Cerema poursuit le déploiement de la règlementation environnementale (RE2020) dans les territoires

Le Cerema a apporté pour l’élaboration de la nouvelle réglementation thermique « RE2020 », un appui technique aux services du ministère de la Transition écologique : expertise pour les mesures de performance réelle des bâtiments, détection et analyse de non-conformités et analyse du cycle de vie des bâtiments (ACV). Le Cerema avait auparavant accompagné l’expérimentation Energie Positive et Réduction Carbone E+/C-, qui a préfiguré la RE2020 notamment sur le volet de l’ACV. Nos missions auprès des acteurs des territoires et des professionnels du bâtimentAujourd’hui, la mission de service public du Cerema se poursuit pour déployer la nouvelle règlementation et accompagner tous les acteurs publics et privés avec :La formation des professionnels et des maîtres d’ouvrages à la RE2020 ;L’animation des territoires avec des webinaires dédiés et des conférences techniques territoriales ;L’élaboration de guides de décryptage et de fiches d’application ;La réalisation de Fiches de Données Environnementales et Sanitaires (FDES) pour quantifier l’impact environnemental de chaque produit ;L’évaluation des logiciels RE 2020 sur le volet Analyse du Cycle de Vie ;Le décryptage de l’analyse de cycle de vie dynamique et son lien avec les matériaux biosourcés ;L’encadrement de la filière des professionnels habilités à vérifier sur le terrain le respect des exigences de la réglementation.Avec ses 26 implantations partout en métropole et dans les Outre-mer, le Cerema développe des projets au plus proche des besoins et du contexte des territoires. Il organise régulièrement des conférences techniques territoriales pour accompagner les collectivités et les services de l’État. Focus sur l’action du Cerema en région Bourgogne-Franche-ComtéLe Cerema est présent en région Bourgogne-Franche-Comté par son agence d’Autun qui a développé une expertise de pointe sur plusieurs volets de la RE2020 :Les méthodologies de calcul de la performance des bâtiments : avec des contributions à de nombreux groupes d’expertises pour définir la méthodologie de calcul de la performance des bâtiments, les indicateurs et les seuils réglementaires à retenir dans la RE2020.L’étanchéité à l’air des parois des bâtiments neufs : l’agence d’Autun dispose de matériels de mesure uniques en France et d’une expertise historique mobilisés pour l’élaboration de la RE2020. Cette agence du Cerema accompagne aussi les maîtres d’ouvrages publics dans les territoires afin d’assurer la meilleure performance énergétique et environnementale possible de leurs bâtiments. C’est le cas notamment au collège Dorgelès à Longvic au Sud de Dijon où le Conseil départemental de la Côte d’Or réhabilite un collège par le biais d’une déconstruction – reconstruction en site occupé. L’assistance du Cerema à ce projet a débuté dès 2016 pour finaliser le programme du projet et se poursuivra deux ans après la livraison pour vérifier que le bâtiment tient ses promesses.Pour rappel, la RE2020 a pour objectifs de :Réduire les émissions de gaz à effet de serre des bâtiments, en prenant en compte tout le cycle de vie du bâtiment, de sa conception à sa fin de vie ;Améliorer le confort d’été dès la conception pour éviter le recourt à la climatisation ;Faire baisser la facture énergétique en améliorant les performances des bâtiments neufs.
Il y a 3 ans et 183 jours

Neuf villes supplémentaires encadrent les loyers en Seine-Saint-Denis

Pour les baux signés à partir du 1er décembre, les villes de Bagnolet, Bobigny, Bondy, le Pré-Saint-Gervais, les Lilas, Montreuil, Noisy-le-Sec, Pantin et Romainville plafonnent les loyers des locations meublées et non-meublées, afin de "mettre fin à une hausse trop importante des loyers sur le territoire", a indiqué Est-Ensemble, territoire où vivent plus de 418.000 personnes.Pour Est-Ensemble : "En 2017, le loyer moyen sur le marché privé du territoire d'Est-Ensemble atteignait par exemple 16,50 EUR par mètre carré hors charges, soit plus que celui de grandes métropoles (13 EUR par mètre carré à Nice, 10 à 11 EUR à Rennes, Toulouse, Lyon ou Lille).""Après plus de deux ans de mobilisation, il s'agit d'une très bonne nouvelle pour toutes celles et ceux qui, face à la hausse continue des loyers, ont de plus en plus de mal à se loger", s'est félicité l'établissement public.Les différents projets d'aménagement en banlieue parisienne - dont le Grand Paris Express et les infrastructures liées aux JO-2024 - entraînent une pression accrue sur le parc immobilier et une augmentation des loyers dans le privé.L'encadrement des loyers interdit aux propriétaires de demander aux locataires un montant supérieur à une somme donnée, celle-ci variant selon les quartiers en fonction de l'état du marché. Il s'applique dans des zones de plus de 50.000 habitants "où il existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements".Prévu par la loi Elan de 2018, le plafonnement des loyers ne concernait, jusqu'au 1er juin, que Paris et Lille.Il a été étendu à cette date à neuf villes de Seine-Saint-Denis situées au nord de Paris et regroupées dans l'établissement public Plaine Commune. Depuis septembre, les métropoles de Bordeaux, Montpellier et Lyon appliquent également cette mesure.Une carte interactive permet de connaître le loyer de référence d'un logement, en fonction notamment de son ancienneté et de son emplacement.
Il y a 3 ans et 183 jours

Master Builders Solutions : Bien plus qu’une ventre de fibres

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. Maxime Julliot, chef de marché préfabrication, et Basma Zouhny, ingénieure produits fibres de MBCC France. [©MBCC France] La fibre est un sujet de forte actualité chez Master Builders Solutions… Qu’en est-il exactement ?  Maxime Julliot : Aujourd’hui, les fibres s’inscrivent sur un marché porteur. Elles constituent des solutions permettant la substitution de tout ou partie des armatures conventionnelles. Et, à l’heure des discours autour de l’empreinte carbone du béton, il ne faut pas oublier celle de l’armature, qui oscille entre 500 et 1 800 kg de CO2/t d’acier produit1, là où le ciment est à environ 700 kg de CO2/t… En introduisant des fibres en lieu et place des aciers, on modifie le bilan carbone de l’élément fini. Certes, le polypropylène – matière première de certaines fibres synthétiques – génère 2 300 kg de CO2/t, mais on introduit que quelques kilogrammes de fibres, contre plusieurs dizaines d’acier…  Dans ce contexte, que développe MBS France exactement ? M. J. :Depuis quelque temps déjà, nous proposons les fibres macro-synthétiques MasterFiber. Ceci, en plus de nos microfibres. Pour aller plus loin, le groupe a choisi de proposer une offre de services autour de ces produits.  En France, ce dispositif est en place depuis le début de l’année, piloté par Basma Zouhny, ingénieure produits fibres et par moi-même. Sur le terrain, c’est la force de vente MBS France qui assure le lien avec les entreprises.  Plusieurs éléments composent notre offre. Le premier est l’accompagnement de nos clients par la fourniture de notes de calculs. Pour cela, nous travaillons avec un bureau d’études partenaire. Un choix primordial, car l’entreprise bénéficie ainsi d’une assurance. Sans compter la garantie de résultat. Bien entendu, l’offre peut être modulée, en fonction de la demande : remplacement de seulement une partie des armatures, de la totalité… Ensuite, nous l’accompagnons dans la concrétisation du projet en proposant des solutions de formulation, si besoin. Mais aussi une assistance technique et/ou en organisant des rendez-vous pour sensibiliser les bureaux de contrôle, qui n’ont pas forcément une connaissance fine de l’utilisation des fibres dans les bétons. Nous avançons pas à pas avec eux et assurons ainsi un suivi complet.  Vous avez parlé de plusieurs offres… Basma Zouhny :En plus des notes de calculs et du suivi sur chantiers, nous avons mis en place D-Carbon, un outil d’évaluation du bilan carbone des bétons. Un module consacré aux renforcements y est intégré. On peut ainsi comparer un béton armé classique à une variante fibrée. Il s’agit d’un logiciel interne de MBS, accessible via notre force de vente. C’est une façon d’aller plus loin dans notre démarche fibre et bas carbone, tout en proposant un accompagnement supplémentaire d’aide à la décision pour nos clients. Tous les éléments en béton armé sont-ils concernés ?  B. Z. :Il n’est pas possible, aujourd’hui, de remplacer les armatures dans la totalité des éléments fabriqués en béton… Notre travail ne concerne donc, pour le moment, qu’une partie des solutions du marché, comme certains cadres en béton, les murs en “L” ou en “T”, ou encore les panneaux d’habillage de façade. Nous travaillons aussi sur des dalles ou des radiers pour le bâtiment.  Propos recueillis par Frédéric Gluzicki 1Source : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 185 jours

Chez Gensler, à Paris, on a le développement durable bien compris

Chacun sait déjà qu’en cette période électorale, surtout pour la mère des élections, le local et le circuit court, à défaut de politique, font vœux de toute part. Pour l’architecture aussi. Finie l’architecture internationale et la planète tartinée de la même pâte infâme de Los Angeles à Bombay à Moscou à Aubervilliers. Non, qu’on se […] L’article Chez Gensler, à Paris, on a le développement durable bien compris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 238 jours

Sophie Doré : Les pieds dans le béton

Sophie Doré sillonne le Grand-Est avec son nouveau Arocs 3240 8×4 d’une puissance de 290 kW/396 ch [©Mercedes-Benz Trucks France] Sophie Doré travaille sur toute la région du Grand-Est, ainsi que sur une partie de la Bourgogne. Son rôle ? Ravitailler les chantiers avec l’aide de ses camions, tous carrossés en toupie à béton, dont le Arocs 3240 8×4 d’une puissance de 290 kW/396 ch. Passionnée par son métier, elle y a été bercée dès son enfance. « Les camions ? Je suis née dedans ! J’ai commencé comme assistante de mon père qui avait une entreprise de terrassement. » Tel père, telle fille : quand il a pris sa retraite, elle n’a pas hésité à reprendre le flambeau. A la tête des Terrassements de Champagne, maintenant spécialisé dans le béton, Sophie Doré exerce sa fonction depuis 10 ans, pour le plus grand bonheur des compagnons sur les chantiers. « Sur les chantiers, les gens sont contents de me voir : je suis pour eux un rayon de soleil ! ».  A la conquête du Grand-Est Le quotidien de la jeune femme n’est pourtant pas de tout repos. En effet, son métier se divise en 2 parties. D’un côté, elle ravitaille les chantiers avec ses camions, avec 4 chauffeurs sous sa direction. Qu’elle sait remplacer lorsqu’ils ne sont pas disponibles. D’un autre, Sophie Doré gère les contrats de ses clients. Clients qui ont d’ailleurs augmenté avec la campagne de communication de Mercedes-Benz Trucks France. Lire aussi : Haute-Saône : Une année de développement durable pour LD Contrôles « Mettre en avant Sophie Doré lui a fait gagner en visibilité, explique Olivier Amélineau, responsable presse et relations publiques de Mercedes-Benz France. Nos publications sur les réseaux sociaux lui ont permis de récupérer une belle liste de contacts. » La marque a voulu mettre en lumière les femmes dans un milieu où les hommes sont plus nombreux. Elle propose des formations gratuites pour montrer les spécificités de ses véhicules. Ainsi, Sophie Doré sillonne les routes de France, à la conquête du Grand-Est.
Il y a 3 ans et 247 jours

Parution guide pratique développement durable CSTB "Poêles et inserts à granulés"

Le guide « Poêles et inserts à granulés » permet d'orienter le choix du type d'appareil et d'installation en fonction des usages attendus tout en garantissant un bon fonctionnement. Il décrit les étapes essentielles à connaître pour réaliser des installations respectant les normes et les règles essentielles de sécurité selon les NF DTU et les Avis Techniques.Le guide insiste sur les outils et les règles fondamentales :dimensionnement thermique et aéraulique de l'installation en application de la norme EN 13384-1 et du NF DTU 24.1 ;choix des matériaux et caractéristiques (résistance à la température, résistance aux condensats, étanchéité, distance aux matériaux combustibles) selon le NF DTU 24.1 ;conditions de raccordement en air frais et sur le conduit de fumée.Ce guide apporte également un éclairage sur le combustible (spécifications, normes de référence et stockage) ainsi que sur les bonnes pratiques de conduite des appareils et d'entretien par l'utilisateur et les professionnels.Auteur(s)Guide entièrement rédigé par Olivier Grelier, consultant en installation de chauffage au bois domestique et en normalisation et Olivier Pichot, expert et formateur auprès des installateurs et industriels du chauffage au bois. Tous deux ont participé aux travaux de normalisation pour les appareils et les conduits de fumée.Sommaire▪ Conception de l'installation ▪ Définition et choix du générateur ▪ Alimentation en air frais ▪ Définition et choix du conduit de fumée ▪ Dimensionnement du système ▪ Combustible ▪ Mise en œuvre ▪ Entretien-maintenance ▪ Qualité de l'air ▪ Annexes ▪ Glossaire ▪ Réglementation, normes et autres documents de référence ▪ IndexCollection Guide Pratique développement durablePublic viséS'adresse à tous les professionnels du chauffage et de la cheminée : maître d'ouvrage, architecte, BET, bureau de contrôle, entreprise, installateur, etc. Il peut également orienter les choix des particuliers dans un projet de construction ou de rénovation.Points fortsDécrit les étapes essentielles d'installation et les règles de sécurité garantissant leur bon fonctionnement. Apporte également un éclairage sur le combustible ainsi que sur les bonnes pratiques de conduite des appareils et d'entretien par l'utilisateur et les professionnels.Pas de réelle concurrence : un seul autre titre dédié aux bricoleurs existe sur le sujet. Nos auteurs sont des experts ayant participé aux travaux de normalisation et s'adressent aussi bien aux professionnels qu'aux particuliers.Ouvrage très complet qui apporte toutes les préconisations nécessaires et qui s'appuie sur le NF DTU 24.1 et sur les Avis Techniques.Caractéristiques :NouveautéÉdition : 1reISBN : 978-2-86891-720-1Format : 16 x 24 cmNbre pages : 100 (provisoire)Prix : 23 €Reliure / Couleur : Broché, QuadriParution : Septembre 2021
Il y a 3 ans et 255 jours

L’Unicem Entreprises Engagées se mobilise pour la RSE

A l’occasion de l’assemblée générale, Louis Natter, président de l’association UNICEM entreprises engagées, présente sa charte d’engagement pour la RSE. [©Unicem] L’Unicem Entreprises Engagées (UEE) se mobilise pour encourager et accompagner les entreprises à respecter les règles du développement durable dans leurs activités. L’union s’est focalisée en grande partie sur l’aide aux PME avec plusieurs méthodes. Aujourd’hui, plus de 350 entreprises et 1 600 sites y sont affiliés. Parmi lesquelles, une trentaine de sociétés en France propose des opérations de sensibilisation au Label RSE pour les non-adhérentes. Lire aussi : Le groupe Kingspan dévoile sa stratégie de développement durable De plus, l’UEE met en place une grille d’auto-diagnostics pour situer et identifier les axes de progression de l’entreprise. L’union organisent aussi des webinaires comme “La RSE, levier de performance et de rentabilité” et “Valoriser la RSE dans ses relations commerciales” pour les PME. En parallèle, les sociétés adhérentes bénéficient d’un programme de formation sur les mêmes thématiques. Un guide sur la valorisation de ces pratiques sera aussi disponible en fin d’année pour les aider dans la démarche. En route vers la reconnaissance  L’UEE a fait évoluer la dénomination des démarches pour faciliter l’appropriation des entreprises. Lire aussi : Formation : BMS Académie voit le jour La Charte environnement est donc devenue Cap Environnement et la Charte RSE se nomme Label RSE. De ce fait, l’objectif de l’union, dirigée par Louis Natter, est d’obtenir la reconnaissance du Label. Il explique, « L’Unicem Entreprises Engagées a participé à l’expérimentation nationale sur les labels sectoriels RSE lancée en mai 2018. Nous attendons maintenant une reconnaissance de l’Etat de ce label, qui participera à la reconnaissance de notre filière. »
Il y a 3 ans et 347 jours

Alexandra David, Présidente de la commission « Environnement et Développement Durable » de la FDMC

Succédant à Jean-Marie Lane, Alexandra David, 43 ans, a été nommée au poste de Présidente de la commission « Environnement et Développement Durable » de la Fédération des Distributeurs de…Cet article Alexandra David, Présidente de la commission « Environnement et Développement Durable » de la FDMC est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 15 jours

Près de 2,1 millions de logements ont bénéficié d'une aide publique à la rénovation énergétique en 2019

Ces rénovations "auraient permis une réduction de 1,6% de la consommation d'énergie conventionnelle du parc", est-il indiqué.Créé en septembre 2019 et piloté par le Commissariat général au développement durable (CGDD), l'Observatoire national de la rénovation énergétique (ONRE) a pour mission "d'améliorer la connaissance de la dynamique de rénovation de l'ensemble des bâtiments résidentiels et tertiaires".Se basant notamment sur des données relatives aux travaux de rénovation énergétique menés dans les maisons individuelles et aux principales aides à la rénovation, l'Observatoire estime avoir "dressé le panorama des rénovations énergétiques en France le plus complet jusqu'à présent, même s'il n'intègre pas les rénovations en habitat collectif n'ayant bénéficié d'aucune aide financière, faute de données disponibles à ce jour"."En 2019, ce sont ainsi près de 2,1 millions de logements (soit 7% du parc) qui ont fait l'objet d'une rénovation aidée par l'une des trois principales aides publiques à la rénovation - certificats d'économie d'énergie, Programme Habiter mieux Sérénité, crédit d'impôt à la transition énergétique", détaille l'Observatoire.Il tient à préciser qu'"un volume significatif de travaux est par ailleurs réalisé sans aide publique".Pour télécharger le rapport de l'ONRE : cliquez ici
Il y a 4 ans et 55 jours

Loyers plafonnés dans neuf villes de Seine-Saint-Denis au 1er juin

S'inscrivant dans le cadre de la loi Elan de 2018, cet arrêté de la préfecture de la région d'Île-de-France définit les modalités de l'encadrement des loyers qui s'appliquera à titre expérimental sur le territoire de Plaine commune, qui en avait fait la demande.Cet établissement public territorial regroupe neuf villes du nord de Paris (Aubervilliers, Épinay-sur-Seine, L'Île-Saint-Denis, La Courneuve, Pierrefitte-sur-Seine, Saint-Denis, Saint-Ouen-sur-Seine, Stains, Villetaneuse), soit une agglomération où vivent près de 430.000 personnes."L'accélération des mutations urbaines et le renforcement de l'attractivité du territoire de Plaine Commune (...) pourraient contribuer à alimenter des tensions inflationnistes sur les loyers du territoire", ont indiqué dans un communiqué les préfectures d'Île-de-France, de Seine-Saint-Denis et Plaine Commune, qui citent notamment les jeux Olympiques de 2024 et le Grand Paris Express.Le plafonnement s'appliquera à partir du 1er juin pour les nouveaux emménagements, les renouvellements de baux et les baux mobilité.Une carte interactive permet de connaître le loyer de référence d'un logement, en fonction notamment de son ancienneté et de son emplacement.Une marge de manoeuvre de 20% à la hausse et de 30% à la baisse par rapport au loyer de référence est autorisée.À fin 2020, seules Paris et Lille bénéficiaient d'un tel encadrement des loyers. Mais plusieurs métropoles - notamment Bordeaux, Lyon et Montpellier - et intercommunalités franciliennes ont déposé en fin d'année dernière leur candidature pour rejoindre le dispositif.
Il y a 4 ans et 70 jours

Lancement du Grand Prix National de l'Ingénierie 2021

Il s'agit également de valoriser ainsi la valeur ajoutée de la prestation intellectuelle d'ingénierie, notamment en termes de recherche et développement et innovation, ainsi que son impact économique et social.Ce concours est lancé par les ministères de la Transition écologique, de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, de l'Économie, des Finances et de la Relance, en partenariat avec Syntec-lngénierie et en association avec le groupe Le Moniteur.La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 31 mai 2021 avant midi.Le projet récompensé sera au stade du concept, en cours de réalisation ou achevé.Les candidatures seront appréciées au regard des critères suivants:l'inventivité, la technologie ou l'innovation déployée;la pluridisciplinarité de l'équipe et sa capacité d'intégration des outils, des méthodes et des compétences ;l'apport spécifique de la fonction ingénierie à la faisabilité technico-économique du projet;l'intégration des composantes du développement durable dans l'ingénierie du projet.Au vu de la crise inédite que nous traversons, liée à la pandémie de Covid-19, le jury portera une attention toute particulière aux projets qui participent aux objectifs du plan de relance et permettent, notamment, des économies d'énergie, de moindres émissions de gaz à effet de serre et la transition vers une économie bas-carbone, circulaire et durable.Le vice-président du CGEDD assurera la présidence du jury. Le règlement du concours 2021 est disponible sur : syntec-ingenierie.fr et cgedd.developpement-durable.gouv.fr
Il y a 4 ans et 72 jours

Le Groupe Rockwool dévoile les résultats de son rapport développement durable pour l’année 2020

Parallèlement, l’entreprise a atteint ou dépassé deux de ses six objectifs intermédiaires de développement durable avec deux ans d’avance sur le calendrier fixé.Alors que les gouvernements et la société sont toujours aux prises avec la pandémie de COVID-19, une reprise économique plus « verte » revêt une importance encore plus grande. Le Rapport sur le développement durable 2020 du Groupe ROCKWOOL décrit en détail la contribution des produits de l’entreprise à la concrétisation de cette ambition. Il comprend également des informations sur les améliorations d’ordre opérationnel qui ont été apportées et les progrès accomplis pour soutenir la réalisation des ODD.La réduction de la consommation d’énergie et de l’utilisation des ressources est essentielle pour maîtriser le défi du changement climatique mondial. Les produits ROCKWOOL jouent ici un rôle majeur. « La réduction de la consommation d’énergie et le recours aux énergies renouvelables sont les moyens les plus efficaces pour décarboner la société en termes économiques. C’est pourquoi nous maintenons que la meilleure approche est d’utiliser moins de ressources et de repenser le reste dans une optique verte », déclare le CEO du Groupe ROCKWOOL Jens Birgersson.Jens Birgersson ajoute : « Nous sommes fiers que S&P Global Trucost ait une nouvelle fois classé tous nos produits comme positifs au regard des ODD, soulignant ainsi leur impact positif sur la réalisation de ces objectifs. Le développement durable est au cœur de nos activités. Nous suivons une approche vérifiable et basée sur des données concrètes pour la documentation de nos efforts visant à maximiser l’impact positif de nos produits et réduire le plus possible l’impact négatif de nos opérations.»À noter que le cabinet S&P Global Trucost a évalué plus de 15 000 entreprises dans le monde et classe le Groupe ROCKWOOL dans le top 10 de celles qui proposent des produits à l’impact positif.Un autre chiffre indique l’impact environnemental positif de l’entreprise : le Groupe ROCKWOOL estime que 95 % de ses revenus issus des produits d’isolation sont conformes à la taxonomie européenne définie pour les activités apportant une contribution positive à la lutte contre le changement climatique et, ainsi, à un développement durable en Europe. Dans l’optique de poursuivre la réduction de son empreinte carbone, en décembre 2020, le Groupe ROCKWOOL s’est engagé à suivre un plan de décarbonation à long terme, avec des objectifs vérifiés et validés dans le cadre du projet Science Based Targets initiative (SBTi).À propos des efforts du Groupe ROCKWOOL visant à réduire son impact opérationnel, Jens Birgersson déclare, « Au cours de l’année 2020, nous avons continué à renforcer la circularité de nos activités en réalisant ou dépassant deux sur six de nos objectifs avec deux ans d’avance sur le calendrier fixé. La réalisation de deux autres objectifs est par ailleurs en bonne voie ».Jens Birgersson pour conclure : « En dépit des défis qui restent à relever par la communauté internationale, nous sommes optimistes pour l’avenir. Les solutions à de nombreux défis de la planète existent déjà, notamment dans la construction. Le Groupe ROCKWOOL souhaite continuer à apporter une contribution à la création de communautés plus durables, plus saines et plus sûres, ainsi qu’à la mise en place d’une économie plus circulaire. »Les principales performances du Groupe ROCKWOOL en matière de développement durable en 2020 Sur l’ensemble de leur durée d’utilisation, les produits d’isolation de bâtiments ROCKWOOL vendus en 2020 permettront d’économiser 100 fois le carbone émis et l’énergie consommée pendant leur production.En décembre 2020, le Groupe ROCKWOOL a annoncé des objectifs de décarbonation mondiaux ambitieux, vérifiés par le projet Science Based Targets initiative (SBTi). En voici les grandes lignes :Réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre de 38 % d’ici 2034 (par rapport à l’année de référence 2019)Réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre sur l’ensemble du cycle de vie hors usine de 20 % d’ici 2034 (par rapport à l’année de référence 2019)En 2020, le Groupe ROCKWOOL a atteint deux de ses six objectifs de développement durable avec deux ans d’avance sur le calendrier fixé. Ces deux objectifs sont la réduction des déchets de production mis en décharge de 40 % (chiffre atteint par le Groupe ROCKWOOL : 50 %) et l’amélioration de l’efficacité hydrique des usines de 10 %.
Il y a 4 ans et 91 jours

L'UFME accélère la mise en place du réseau de collecte et de démantèlement des fenêtres en fin de vie

Après avoir lancé en 2019 sa Charte d'engagement présentant les bonnes pratiques nécessaires à la collecte et à la maîtrise du traitement des déchets, elle intègre depuis octobre 2020 deux nouveaux chargés de mission environnement. Mathilde Crenn-Sutter (en charge des régions Ouest et Nord de la France) et Laurent Suet (en charge du Sud et de l'Est) renforcent ainsi le Groupe de Travail Environnement.Ils accompagnent les signataires de la Charte UFME dans l'atteinte de leurs engagements. Leurs premières missions visent à mettre en place des outils dédiés à la traçabilité et à la consolidation des volumes collectés et traités. Ces actions incluent des interventions sur le terrain auprès des acteurs de la Filière pour les aider à progresser quantitativement et qualitativement. La densification du réseau figure également parmi leurs priorités. En moins de quatre mois, plusieurs concrétisations ont déjà eu lieu : la liste des signataires volontaires est passée à 46, soit une augmentation de plus de 30%. Restant en veille sur les sujets environnementaux, leur mission est évolutive et s'adaptera aux futures révisions règlementaires et normatives.Créer et faire vivre une synergie entre les métiers et les régions : la clé de la réussiteDans un esprit collectif et collaboratif, Mathilde Crenn-Sutter et Laurent Suet se positionnent comme des facilitateurs dans l'identification et la mise en relation entre les différents maillons de la chaîne afin de préserver un circuit vertueux en boucle fermée.« L'enjeu principal repose sur la complémentarité des métiers concernés pour susciter une émulation. Nous sommes ouverts à tous les acteurs. Nous rencontrons des recycleurs, des entreprises spécialisées dans le vitrage, le PVC ou encore la quincaillerie, des points de collecte, des déchetteries, des communes et régions, afin de construire un maillage de l'ensemble du réseau sur tout le territoire. Une carte nationale est en cours d'élaboration et sera enrichie au quotidien pour identifier les points de collecte rapprochés. Ce réseau pérenne participera à l'augmentation des volumes de récupération. », s'accordent à l'unisson les deux chargés de mission.Regards croisés de signataires de la Charte UFMENelly Philipponnat, Directrice Bâtiment Durable Saint-Gobain Glass Bâtiment France« Le Groupe Saint-Gobain étant très impliqué dans les questions environnementales, et notamment celle de l'économie circulaire en matière de vitrage, notre adhésion à la Charte UFME était une évidence. C'est une démarche profonde, intelligente et pédagogique ancrée dans cet ADN dont nous partageons les valeurs. Au-delà de la signature, il est essentiel d'être présent dans la filière baie vitrée et de développer un recyclage complémentaire fenêtre et verre plat. Cela passe nécessairement par tout un travail de sensibilisation et de mobilisation des acteurs. La mise en relation est fondamentale pour faire connaître cette jeune filière dans chaque région auprès des lieux de collecte et de démantèlement. ».Yann de Bénazé, Président Profine France SAS« Profine a été l'un des premiers signataires de la Charte UFME. Le volet environnemental et recyclage fait historiquement partie de nos valeurs. En témoigne par exemple notre rôle précurseur de premier extrudeur gammiste à avoir inventé en 1994 le PVC stabilisé sans plomb. La valeur ajoutée de la filière animée par l'UFME réside dans l'impulsion qu'elle donne au recyclage des matières en fin de vie. L'enjeu est de taille, sa réussite repose sur la massification et la généralisation. La déconstruction des grands chantiers est lancée. Le défi sera donc d'élargir au maximum la collecte des matières en fin de vie jusqu'aux petits chantiers, sur l'ensemble du territoire. ».François Picart, Directeur Valorsol Environnement« Valorsol Environnement propose une traçabilité intégrale, du dépôt des déchets jusqu'à leur valorisation dans les filières certifiées. Nous avons développé plusieurs filières de valorisation des déchets qui peuvent bénéficier d'une seconde vie. Les menuiseries en font partie. Elles sont porteuses de matériaux à forte valeur, tels que le PVC, l'aluminium et le verre. Et c'est en cela aussi que leur recyclage s'avère compliqué. Il est indispensable de collecter les déchets entiers au plus près de la source afin de leur offrir la meilleure revalorisation grâce au travail de précision mené par les unités de démantèlement. La mise en relation entre les différents opérateurs constitue la grande force de la filière développée par l'UFME. ».Les dernières informations et la liste actualisée des signataires de la Charte sont disponibles à cette adresse. Dans la continuité du relooking de son site Internet, l'UFME mettra prochainement en ligne les fiches d'identité des signataires ainsi qu'une carte de France pour illustrer le maillage territorial. L'UFME travaille également sur une identité visuelle qui permettra aux signataires de rendre visible leur engagement.
Il y a 4 ans et 112 jours

Développement durable : comparer pour mieux avancer

Face à la nécessité d’une mobilisation mondiale en faveur du développement durable, le podcast “Nordic Talks” met en perspective... Cet article Développement durable : comparer pour mieux avancer est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 114 jours

Quel aspirateur choisir pour la poussière de chantier de rénovation ?

Accessoire quasi omniprésent dans les foyers occidentaux, l’aspirateur est toujours utile et s’avère être un compagnon très efficace pour nettoyer les surfaces extérieures et intérieures, ou même les textiles de la voiture. Si les modèles ordinaires, avec centrale ou en balai, avec ou sans sac, conviennent pour le ménage au quotidien, ils se montreront moins persuasifs pour aspirer les restes d’un chantier de rénovation. Si la plupart des gros débris se ramassent assez facilement, la poussière, elle, s’immisce partout et se montre tenace quand il s’agit de s’en débarrasser. La poussière, un danger invisible Qu’ils soient petits ou grands, les travaux dans la maison, que l’on perce, casse, ponce, scie, génèrent énormément de poussière. Et le nettoyage d’un chantier peut vite devenir un calvaire si vous n’êtes pas bien équipés. Heureusement, le monde est bien fait, peuplé de ses très nombreux ingénieurs, et il existe aujourd’hui de très nombreux aspirateurs dédiés à tous les types de déchets que peuvent générer des travaux : cendres, eau, gravats, plâtre, sciure… Mais c’est bel et bien la poussière qui nous intéresse aujourd’hui, car c’est souvent le résidu le plus difficile à faire disparaitre tant il est petit. Présente dans l’air et surtout sur les surfaces, la poussière peut irriter les poumons, voire pire, causer de graves lésions pulmonaires lorsqu’elle est présente en trop grande quantité. Identifier ses besoins Quoi qu’il arrive, il vaut mieux ôter un maximum de poussière avec une balayette et une pelle à main avant d’utiliser un aspirateur pour le faire durer le plus longtemps. Les particules de plâtre peuvent être si fines qu’elles abrègent la vie de tout engin aussi performant soit-il. Une heure de ponçage peut générer jusqu’à 3 kg de poussière ! Alors, pour s’en débarrasser efficacement au fur et à mesure d’un chantier de rénovation, mieux vaut s’équiper d’un aspirateur à poussière. Plus robuste et plus puissant que les modèles classiques, tel que le Rowenta Power XXL,  il devient vite indispensable pour nettoyer efficacement tous les résidus de travaux. Il en existe de nombreux modèles avec des caractéristiques assez différentes. Il convient donc dirae se pencher sur vos besoins ainsi que les critères les plus importants qui entreront en compte lors du choix de votre aspirateur. Quelle puissance me convient ? L’une des premières caractéristiques évidentes est sans nul doute la puissance de votre matériel. Celle-ci est déterminée par la consommation d’énergie, exprimée en Watts, et par la dépression, c’est-à-dire sa force d’absorption, exprimée en kPa (kilopascal). Plus votre aspirateur sera puissant, plus vite il nettoiera les surfaces sales. La consommation d’énergie peut aller de 1000 à 1800 Watts. La force d’absorption, elle, s’échelonne de 12 à 27 kPa. On peut distinguer trois situations différentes qui détermineront la puissance dont vous avez besoin : les petits travaux occasionnels, les travaux de bricolage réguliers (chaque week-end, par exemple), et les gros chantiers qui nécessitent un nettoyage à effectuer en permanence. Dans le premier cas, une puissance de 1 000 à 1 200 Watts et une capacité d’aspiration peut être limitée à environ 15 kPa suffiront. Pour des travaux hebdomadaires, mieux vaut tabler sur une puissance de 1400 Watts, couplée à une dépression d’au moins 19 kPa. Enfin, pour les gros chantiers, il faut pas hésiter à s’orienter vers des appareils puissants avec une consommation énergétique comprise entre 1600 et 1800 Watts, et dont la capacité d’absorption sera maximale (entre 23 et 27 kPa). Pas besoin d’une grosse capacité de cuve Selon le type de chantiers que vous avez, encore une fois, il vous faudra tenir compte de la capacité de la cuve, c’est-à-dire, la quantité maximale de débris que l’aspirateur peut ingurgiter. Elle peut être en plastique, plus léger mais moins résistant, ou en inox, plus lourd mais plus robuste. Néanmoins, dans le cas d’un seul aspirateur à poussières, il convient de ne pas s’encombrer avec une grosse cuve. En effet, la poussière ne prenant pas beaucoup de place, il suffit simplement d’une cuve d’une contenance d’environ 4 à 10 litres, comme le modèle SE 4001 de chez Kärcher. Petit, compact et surtout puissant, il peut représenter un compagnon efficace pour vos tâches de nettoyage. Pour aspirer la poussière, il est aussi indispensable d’utiliser un sac. Il en existe en carton, moins cher, mais moins efficaces que ceux en tissus, qui sont plus résistants aux déchirements et qui vont mieux filtrer les particules. Pensez justement à la taille et à la qualité du filtre lors de votre achat, car la surface filtrante a pour fonction de retenir saletés et particules de poussière et donc de protéger votre matériel. Pensez à la maniabilité Sur le marché, les capacités peuvent grimper jusque’à plus de 20 litres. Mais la maniabilité d’un aspirateur plus lourd et plus gros devient alors moins pratique pour le transport. Le confort d’utilisation est d’ailleurs l’une des caractéristiques à prendre en compte dans l’achat d’un aspirateur à poussière pour vos chantiers de rénovation. La taille et le nombre des roulettes peuvent par exemple entrer en compte dans la maniabilité. En effet, la centrale doit pouvoir rouler sans trop s’encombrer dans les éventuels obstacles, ni en collectant de la poussière dans les roulements. Aujourd’hui, il existe même des aspirateurs sans fil ressemblants à des balais. Comme le H.Koenig UPX18, par exemple, ils sont plus maniables mais moins puissants. Et ils n’ont, en général, pas la possibilité d’accueillir un sac dans leur cuve. Toutefois, ces aspirateurs-balais sont assez silencieux. Et le bruit émis par votre machine peut affecter le confort de travail. Alors pensez à regarder la puissance sonore, indiquée en décibel, au moment de votre choix d’aspirateur. Un bruit trop intense peut nuire à votre audition sur le long terme. Des petits accessoires pour se faciliter la tâche Aujourd’hui, la plupart des aspirateurs à poussière de chantier sont accompagnés, à l’achat, de multiples accessoires pouvant être utilisés dans de nombreuses situations. On peut notamment évoquer les suceurs, qui peuvent être à brosse, ou à fente, spécialement dédiés à la poussière. L’aspirateur peut être aussi équipé d’une soufflerie, qui, à l’instar d’un sèche-cheveux, dégage les poussières pour mieux les aspirer. Une prise synchro est également un accessoire intéressant si vous travailler beaucoup d’outillages. En effet, elle vous permet de connecter votre aspirateur à votre outil (une scie, une ponceuse…) pour récolter un maximum de poussières à la source. Enfin, une brosse rotative pourra aussi évacuer les poussières avant de les traiter.
Il y a 4 ans et 129 jours

La filière du fioul domestique rappelle l'utilité du fioul dans le mix énergétique de chauffage

Cette expression publique se trouve confortée par la publication le 15 janvier 2021 d'un rapport rédigé par France Stratégie (instance gouvernementale de prévision rattaché au Premier Ministre) qui alerte sur la fragilité croissante des systèmes électriques en France et en Europe pour répondre aux pics de demande hivernaux et qui stigmatise les mauvais choix de mix énergétique de notre pays.Au cœur de l'hiver et à l'heure d'une stigmatisation organisée par les autorités publiques à l'endroit des utilisateurs de fioul domestique, la filière a décidé de prendre la parole pour souligner et rappeler le rôle du fioul dans l'équilibre énergétique de notre pays par le biais d'une annonce publicitaire pleine page qui paraitra le JDD le dimanche 24 janvier 2021.Cette prise de parole vise à mettre en exergue et à rappeler la fonction d'équilibre et d'intérêt collectif du fioul domestique, non seulement dans la gestion de notre consommation nationale d'énergie, mais aussi pour chacun des 10 millions de français (12 % des résidences principales), répartis essentiellement dans les territoires, au cœur des zones péri-urbaines et rurales et qui ne disposent pas nécessairement du niveau de pouvoir d'achat suffisant pour payer les factures d'électricité.En effet, cette annonce s'inscrit dans un contexte très alarmant de tensions sur l'énergie. Les vendredi 8 janvier, samedi 9 janvier et dimanche 10 janvier 2021, après une alerte nationale, il a été demandé aux français de réduire leur consommation d'électricité pour pouvoir faire face au surplus de demande. Au cours de ces journées et pour éviter un black-out énergétique, RTE, opérateur du réseau électrique français a été conduit à procéder à des importations significatives d'électricité d'Allemagne et à faire fonctionner à plein les centrales à charbon françaises massivement émettrices de CO2.Dans le même temps, les finances publiques et les contributions invisibles pesant sur les consommateurs subventionnent les installations de pompes à chaleur pour plus d'1 milliard d'euros par an avec pour conséquence une aggravation de la demande électrique en périodes froides. Pour sa part, France Stratégie rappelle dans son étude publiée le 15 janvier 2021 que la France est en situation de grande vulnérabilité en matière d'approvisionnement électrique et que les risques de « black-out » sont appelés à se multiplier. Pour l'organisme, les risques sont considérables : «… si les tendances actuelles se maintiennent, les seuls moyens pilotables ne seront pas en mesure de satisfaire toutes les demandes de pointe moyennes ...» ; puis de conclure : «Sans développement de flexibilités supplémentaires, notre pays devrait alors compter sur les importations, sachant qu'au niveau européen les marges sont également négatives, qu'il ne sera pas toujours possible de compter sur les importations pour boucler l'équilibre offre-demande, … ».L'information rappelle également, contrairement aux messages diffusés récemment par des entreprises de démarchage, qu'il n'y a aucune interdiction d'utilisation du fioul de chauffage ni en 2022, ni au-delà ; que l'entretien et la réparation des chaudières actuellement installées continueront d'être réalisés autant que nécessaire. Les utilisateurs de chaudières au fioul n'ont aucune raison d'en changer si ce n'est pour opter pour des chaudières plus performantes utilisant un combustible stockable.La filière rappelle aussi que les professionnels proposeront en 2022 un nouveau biocombustible liquide – le Biofioul - pour alimenter les nouvelles chaudières installées à partir de 2022. Pour les chaudières installées avant 2022, ce nouveau combustible, compatible avec la trajectoire de réduction des gaz à effet de serre, sera optionnel et conditionné à l'adaptation du bruleur de la chaudière. Cette substitution du fioul fossile par le Biofioul dans les chaudières installées avant 2022 pourra être favorisée par une fiscalité propre et incitative.Le Biofioul, composé d'énergie renouvelable issue de l'agriculture française, est une énergie liquide nouvelle, composée d'une part d'énergie renouvelable issue du colza français, dont la culture contribue non seulement à la souveraineté énergétique de la France mais également à sa souveraineté alimentaire par la production à parts égales d'huile et de protéines végétales qu'elle permet. Le Biofioul remplit l'ensemble des critères techniques et environnementaux nécessaire à la transition écologique. Dès 2022, le Biofioul disponible sera composé de 30% d'énergie végétale renouvelable (ester de colza). La proportion d'incorporation d'énergie renouvelable est dynamique et le taux d'incorporation de 50 % est en perspective de 2028.Enfin et contrairement aux allégations diverses et souvent volontairement trompeuses, l'énergie fioul domestique est compétitive pour le chauffage ainsi que l'indique la source officielle SOES (Service de l'observation et des statistiques) :Base de comparaison pour une maison individuelle (prix TTC pour 100 kWh PCI) – derniers relevés officiels :Granulés vrac : 6,06 € (sept/2020)Fioul : 7,61 € (déc./2020)Gaz réseau : 7,92 € (juin/2020)Électricité : 16,78 € (juin/2020)
Il y a 4 ans et 218 jours

Une ambitieuse stratégie industrielle du Groupe Bouyer Leroux basée sur les synergies entre les filiales et sur le développement durable & énergétique

Une croissance organique et par acquisitionsLe groupe Bouyer Leroux compte, aujourd'hui, 1500 collaborateurs dont 650 en Pays de la Loire. Il dispose de 26 sites industriels et réalise un chiffre d'affaires de 350 millions d'euros (clos fin septembre 2020). Le siège social est à la Séguinière (49) et le restera.Attaché à ses valeurs et ses origines coopératives (profil d'industriel long-termiste, transparence, client placé au cœur de la stratégie, qualité et innovation, droits et devoirs, respect, partage), il poursuit son développement par croissance organique et croissance externe.La fusion-absorption de Bouyer Leroux Structure (ex. Imérys Structure) dans la SCOP Bouyer Leroux a été votée à une quasi-unanimité par l'Assemblée Générale en février 2018, et elle a donné naissance à la 2ème plus importante SCOP industrielle de France. Comme prévu au moment du rachat, les 300 salariés de Bouyer Leroux Structure ont été intégrés à la SCOP Bouyer Leroux, par groupe de 100 sur 3 années. Le parcours sociétaire a été repensé à cette occasion.La dernière acquisition en 2019 a été Panaget (3 sites industriels), leader sur le marché français du parquet contrecollé en chêne, qui a permis au Groupe Bouyer Leroux de développer ses activités sur le marché de la rénovation et de la décoration des logements en France, et à l'export (principalement aux USA, en Angleterre et en Suisse).Un développement durable et équilibré par la diversification de ses activitésCes dernières années, le rythme soutenu d'acquisitions et le développement d'activités nouvelles a notamment répondu à l'objectif stratégique de développement durable et équilibré du Groupe (solutions permettant de construire et rénover un habitat éco-performant, diversification neuf/rénovation, collectif/maison individuelle, structure et équipement intérieur ou extérieur des logements). Il y a 7 ans, Bouyer Leroux réalisait 80% de son chiffre d'affaires dans la construction de logements neufs. Au terme de l'exercice clos le 30 septembre 2020, la part de la rénovation dans le chiffre d'affaires total du Groupe est égale à celle de la construction neuve.En complément des opportunités de croissance externe, Bouyer Leroux souhaite aussi développer des partenariats (investissement dans des start-up ou incubateurs, coopération industrielle, achat de licences de production) pour intégrer des nouveaux procédés de fabrication de produits éco-performants au sein de ses usines terre cuite, poursuivre le développement de la société Bouyer Leroux à l'origine du Groupe éponyme, et assurer ainsi la pérennité des sites et leurs emplois. Une cellule de Business Development et une fonction de business développer ont été créées pour réussir cet ambitieux projet.La stratégie du Groupe Bouyer LerouxLa stratégie du Groupe vise à atteindre une taille critique par une croissance équilibrée et durable, plus rapide et rentable que ses concurrents, par un management efficace des hommes et des projets, par une gestion exemplaire des ressources et un développement planifié de solutions innovantes, pour créer plus de valeur ajoutée pour les clients, les filiales du Groupe, les collaboratrices et collaborateurs, les sociétaires et ainsi garantir sa pérennité, son attractivité et son indépendance.Les objectifs stratégiques du Groupe sont d'intégrer pleinement la transition énergétique dans ses procédés de fabrication et de développer son offre de solutions éco-performantes pour la construction et la rénovation des logements en France et en Europe.Dans le cadre de cette stratégie, le Groupe Bouyer Leroux prévoit de réaliser à minima un grand projet structurant, de continuer à investir dans l'effacement de son empreinte carbone, et de porter la part de la rénovation à 60% de son chiffre d'affaires qui devrait atteindre 450 millions d'euros d'ici à 2025.Synergies intra-groupeSynergies logistiquesLe Groupe a mis en place la possibilité pour les filiales de gérer des stocks distants, hébergés par des sociétés sœurs, renforçant ainsi les maillages et la proximité avec les clients.Bouyer Leroux Terre cuite (BLTC) stocke sur le site Soprofen de Mertzwiller pour améliorer son service livraison sur l'Est.Synergies R&DPartage des savoir-faire/expertises, développement de solutions en commun.Partage de ressourcesL'ingénieure thermicienne BLTC fait aussi des calculs thermiques pour SPPF et Thébault.Développements communsLes jonctions menuiseries/gros œuvre sont un sujet d'importance. La collaboration SPPF/ BLTC a permis l'intégration d'une nouvelle joue aux coffres commercialisés par BLTC. D'autres projets sont en cours.Synergies industriellesAu sein des métiers/entre les métiers :Retour d'expériences de Panaget pour la mise en place de foyers biomasse chez BLTC.Partage d'une ressource autour de l'industrialisation/travaux neufs entre Thébault et BLTC.Synergies achatsOptimisation et sécurisation des approvisionnements.Meilleures conditions d'achats auprès des fournisseurs grâce aux effets de volumes : moteurs de volets roulants pour les sociétés SPPF, FLO et Soprofen.Synergies commercialesPrescriptions et ventes croisées entre les sociétés du Groupe.Mise en relation à l'occasion de la traditionnelle soirée des vœux qui se fait au niveau du Groupe depuis 2 ans.L'équipe de 15 chargés de prescription bio'bric va porter à partir de cet exercice les produits Panaget auprès des promoteurs et constructeurs de maisons individuelles.ProspectivesLe Groupe Bouyer Leroux a fait face à la crise sanitaire et déployé des dispositifs permettant d'offrir à ses salariés les meilleures conditions sanitaires tout en continuant de bien servir ses clients dans ce redémarrage de l'activité des chantiers, qui du mois de mai au mois de septembre, peut être qualifié de « violent ».Alors que le gouvernement vient de mettre en place un plan d'appel à projets autour de 200 M€ pour 2020, le Groupe va candidater pour ses projets futurs afin de renforcer voire d'accélérer encore son plan de transition énergétique. Toutes les démarches engagées aujourd'hui au niveau du Groupe sont transcrites dans la DPEF publiée annuellement.Fidèle à ses valeurs coopératives d'origine, à ses valeurs humaines et sa culture entrepreneuriale, à sa culture de qualité et d'innovation, le Groupe Bouyer Leroux envisage son avenir avec confiance et l'ambition réaffirmée d'être un acteur référent de l'habitat éco-performant, un industriel reconnu pour sa contribution au développement de l'emploi et de l'économie circulaire dans les territoires de France.
Il y a 4 ans et 248 jours

Capremib utilisera le ciment décarboné d’HGCT

De gauche à droite, Julien Blanchard, co-fondateur d’HGCT, David Guglielmetti, directeur du développement d’HGCT, et Clément Blanc, directeur général de Capremib. [©HGCT] Ciments et bétons décarbonés. Toute la filière “construction” se focalise sur ce sujet. Le préfabricant rémois Capremib n’y déroge pas. Et vient de signer un contrat exclusif de fourniture de ciments à faible empreinte carbone avec l’industriel Hoffmann Green Cement Technologies (HGCT). L’emploi de ce ciment décarboné devrait permettre à Capremib de diviser par quatre ses émissions de CO2. Ceci, dans le cadre particulier de la production d’écrans acoustiques en béton de bois. En effet, Capremib propose depuis de nombreuses années une large gamme d’écrans anti-bruits. Sur mesure et répondant aux bétons des architectes. Et dans ces dimensions pouvant atteindre 6 m x 4 m pour les éléments les plus grands.  Extension de l’utilisation du ciment bas carbone « Ce partenariat intervient après plusieurs mois d’essais techniques. Il permet, d’ores et déjà, à Capremib de produire des panneaux acoustiques bois-béton. Tout en réduisant leur impact carbone », résume Julien Blanchard et Davis Hoffamnn, co-fondateurs d’HGCT.  Peu à peu, et selon le rythme des chantiers, Capremib envisage d’étendre l’utilisation du ciment bas carbone à la fabrication de gradins, de poutres et de dalles. Cette fois-ci dans le cadre de bétons plus classiques, mais reformulés pour l’occasion. 
Il y a 4 ans et 347 jours

Rockwool dévoile son Rapport Développement Durable 2019

Des objectifs axés notamment sur la réduction des émissions de CO2, l'extension de son offre de recyclage à 11 pays et la diminution des déchets de production de 18% en 2019. S'il confirme ainsi la réduction de 4% de ses émissions de CO2 sur la production de ses produits par rapport à 2015, ROCKWOOL garde le cap des objectifs en matière de réductions des émissions de CO2 du groupe de 10% d'ici 2022 et de 20% d'ici 2030En plaçant les enjeux de développement durable au centre de sa politique, ROCKWOOL poursuit les efforts nécessaires à ses objectifs en se montrant toujours plus innovant et éco-responsable chaque année. Des objectifs déclinés également à travers une campagne de sensibilisation aux économies d'énergie et à l'efficacité énergétique auprès des professionnels et du grand public lancée en mai dernier.Décarboner ses opérations : plus qu'une ambition, une priorité pour ROCKWOOL« Nous mesurons l'impact de chacun de nos produits et de nos process autour des trois éléments de base de la durabilité : la lutte contre le changement climatique et la maîtrise des émissions de CO2, le développement de l'économie circulaire, le bien-être et la sécurité dans son logement. ROCKWOOL s'est engagé à respecter 10 des Objectifs de Développement Durable (ODD) mis en place par les Nations Unies. », explique Gaëtan Fouilhoux responsable Affaires Publiques ROCKWOOL France. En 2019, l'outil d'évaluation environnementale Trucost a estimé que 100% des produits ROCKWOOL étaient propices à la réalisation des ODD. Le Groupe évalue son avancement à travers ses propres indicateurs évaluant l'impact de ses produits sur les ODD concernés en termes de performance et d'avantages apportés.L'année 2019 s'est avéré très positive pour les mesures environnementales mises en place par ROCKWOOL, à commencer par ses émissions de carbone. En effet, l'isolation des bâtiments ROCKWOOL vendue en 2019 économisera, tout au long de sa durée de vie, 100 fois le carbone émis pendant sa production et permettra d'économiser près d'1 milliard de tonnes de CO2.Poursuivant les efforts de 2018, ROCKWOOL a encore fait baisser cette année l‘intensité des émissions de CO2 de sa production de 4% par rapport à 2015, année de référence. L'objectif du Groupe est toujours d'atteindre une réduction des émissions de CO2 de 10% d'ici 2022 et de 20% d'ici 2030. Au Danemark, berceau du Groupe et laboratoire de référence pour ces mesures, la réduction de ces émissions vise même les 70% à 2030.Adopter et promouvoir l'approche circulaire partout dans le mondeROCKWOOL continue d'exploiter au maximum la recyclabilité naturelle et quasi infinie de la laine de roche. En 2019, le groupe a ainsi réduit de 18% les déchets de production mis en décharge depuis 2015, grâce à des investissements dans le recyclage interne. Des recherches sont constamment menées pour accroître cet impact dans les années futures. ROCKWOOL a également étendu son offre de services de recyclage à 11 pays, au nombre de 10 en 2018, en intégrant la Suisse. Pour rappel, l'objectif est de porter ce nombre à 30 d'ici 2030. En France, ROCKCYCLE, la solution pour récupérer les déchets de chantier, continue de se déployer auprès des clients afin d'optimiser le recyclage sur les chantiers.Accentuer sa contribution à la réalisation des Objectifs mondiauxEn 2019, ROCKWOOL a décidé d'accentuer ses efforts en ajoutant un nouvel indicateur qui apporte une contribution particulière à l'ODD 8 : Travail décent et croissance économique, surveillant désormais les emplois et la valeur économique qu'ils génèrent directement ou indirectement, ainsi que la valeur économique de l'énergie économisée par ses produits. Les produits d'isolation ROCKWOOL vendus en 2019 devraient permettre aux clients de ROCKWOOL d'économiser environ 77 milliards d'euros en besoin énergétique.Préconisant depuis longtemps la rénovation des bâtiments comme solution climatique efficace, le Groupe ROCKWOOL soutient activement les objectifs du Pacte vert de la Commission européenne. En France, toujours en 2019, ROCKWOOL a aussi souligné son engagement de longue date en faveur des économies d'énergie en signant la charte FAIRE qui regroupe l'ensemble des acteurs publics et privés de la rénovation énergétique.« En tant que leader de l'isolation en laine de roche, ROCKWOOL entent ainsi maintenir le cap de sa contribution à la concrétisation des Objectifs mondiaux. », précise Gaëtan Fouilloux.
Il y a 5 ans et 58 jours

LD Contrôles étoffe son équipe parisienne

Abdelkader Mellal et Fabrice Lapié travaillent au développement de LD Contrôles Paris. [©LD Contrôles] Dans le cadre de son développement, le laboratoire LD Contrôles Paris se devait d’élever son niveau technique sur des bétons, de plus en plus exigeants avec le Grand Paris. « L’arrivée d’Abdelkader Mellal en tant que responsable technique va nous permettre d’étoffer notre staff parisien. Ce dernier est déjà composé de Steeve Berghman, responsable de laboratoire, et de François Simon, directeur d’agence », résume Fabrice Lapié, gérant de LD Contrôles. Abdelkader Mellal sera en charge de l’étude des CCTP, du développement et de la mise au point des formulations en laboratoire et sur site de production. Il assurera aussi l’assistance technique, la réalisation des essais courants et spécifiques dans le cadre de la certification NF BPE. Titulaire d’un master en physico-chimie de la matière et applications, Abdelkader Mellal a travaillé pendant 5 ans au sein du Service technique contrôle et qualité d’Unibéton (HeidelbergCement Group). Ceci, comme responsable de laboratoire région Ile-de-France. « Fort de ses expériences passées chez Chryso, Colas Gabon ou Unibéton, Abdelkader a développé une expertise dans la formulation de bétons techniques pour parois moulées longues rhéologies, de bétons auto-plaçants (Bap), de bétons à hautes performances (BHP), pour les chantiers du Grand Paris et divers ouvrages en Ile-de-France. » Ce qui permet à LD Contrôles d’étendre son expertise, étant lui-même présent sur les chantiers de la ligne 14, la ligne 15, sur le viaduc de Guerville (78), le pôle fiduciaire de la Banque de France à La Courneuve, ou encore la tour Duo, à Paris.
Il y a 5 ans et 336 jours

Knauf Insulation fête les 10 ans d’ECOSE® Technology au colloque Les Défis Bâtiment Santé

Précurseur de la laine minérale de verre avec liant à base végétale, Knauf Insulation célèbre cette année les 10 ans d’ECOSE® Technology. Brevetée à l’échelle mondiale, cette technologie d’isolation reste toujours innovante, même après une décennie de présence sur le marché. Preuve de la qualité d’ECOSE® Technology déclinée sur l’ensemble de sa gamme de laines minérales de verre, Knauf Insulation participe à la 7ème édition du colloque Les Défis Bâtiment Santé le 4 juillet prochain sur le thème : « Rénovation énergétique, la santé en plus ».   Un isolant labellisé aux nombreux avantages Fruit de 5 ans de recherches menées par Knauf Insulation, ECOSE® Technology est un liant à base végétale lancé sur le marché il y a 10 ans. Sans formaldéhyde ajouté, ni acrylique, ni composés phénoliques, cette innovation présente des atouts uniques, aussi bien pour les occupants d’un bâtiment que pour les professionnels (prescripteurs, poseurs…) :   • une qualité de l’air intérieur préservée grâce à la suppression de substances chimiques et une présence limitée de COV qui favorisent le bien-être des occupants. Classées A+, les laines minérales de verre de Knauf Insulation garantissent des émissions de formaldéhyde inférieures à 10 μg/m3,   • une contribution au respect de l’environnement grâce à une formulation à base de matières premières naturelles (haute teneur en verre recyclé, sable, liant à base d’amidon végétal). De plus, les laines minérales de verre sont 100% recyclables.   Autorisant la mise en œuvre des laines minérales de verre avec ECOSE® Technology dans tous les établissements (y compris ceux de l’enseignement dont la surveillance de la qualité de l’air est obligatoire), cette parfaite innocuité des matériaux employés a été démontrée par différents organismes indépendants :   • le laboratoire EXCELL dont les analyses attestent de la non présence de substances chimiques réputées polluantes, • Eurofins qui leur a décerné la médaille « Gold 3 for Indoor Air Comfort », • la certification EUCEB, délivrée par l’Union Européenne, qui garantit que les productions de laines minérales répondent aux conditions d’exonération de cancérogénicité.   L’ensemble des avantages d’ECOSE® Technology sont rappelés dans les récents supports de communication créés par Knauf Insulation à l’occasion de ce 10ème anniversaire : Guide de l’Isolation, campagnes de publicité, page web dédiée ou encore vidéo de présentation très didactique disponible sur le site www.knauf insulation.fr.   Toutes ces « raisons de faire confiance à l’original » permettent à Knauf Insulation d’intégrer la santé dans la rénovation énergétique des bâtiments, thème central du prochain colloque Les Défis Bâtiments Santé.   ECOSE® Technology face aux enjeux énergétiques Le secteur du bâtiment est engagé dans une mutation de très grande ampleur qui l’oblige à une qualité de réalisation fondée sur des règles de construction et de rénovation afin d’améliorer la performance énergétique des bâtiments.   Depuis 10 ans, avec ECOSE® Technology, Knauf Insulation répond aux différentes normes environnementales en vigueur et anticipe même celles à venir, notamment la future réglementation RE 2020. Les performances de ses isolants sont garanties par la certification délivrée par l’ACERMI.   Innovation exceptionnelle, la laine minérale de verre avec ECOSE® Technology s’inscrit naturellement dans le thème de la 7ème édition des Défis Bâtiments Santé : « Rénovation énergétique, la santé en plus ». Enjeu majeur du bâtiment de demain, la qualité de l’air est au cœur des préoccupations de Knauf Insulation depuis 10 ans. Nul doute que l’environnement continuera de lui dire merci dans la décennie à venir. http://www.knaufinsulation.fr
Il y a 5 ans et 362 jours

Collections VIVENDI d’Adapta Color, une réponse environnementale et durable

Les collections Adapta Vivendi et Adapta Vivendi SDS (à haute durabilité) d’Adapta Color sont spécialement conçues pour répondre aux spécifications exigées dans les projets architecturaux les plus exigeants. Tout l’éventail des effets chromatiques est disponible dans les catalogues Vivendi, A08, […] L’article Collections VIVENDI d’Adapta Color, une réponse environnementale et durable est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 6 ans et 30 jours

Sols argileux : un décret en consultation

Les mouvements de sol induits par le retrait gonflement des argiles touchent principalement les maisons individuelles et s’amplifient avec le changement climatique. Ils représentent 38 % des coûts d’indemnisation des catastrophes naturelles. Pour la période 1990-2013, cela représente 8,6 milliards d’euros d’indemnisation et des centaines de milliers de maisons. C’est également le premier poste d’indemnisation au titre de l’assurance dommage-ouvrage, pour les sinistres touchant les maisons individuelles. L’article 68 de la loi n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 portant évolution du logement, de l’aménagement et du numérique met en place un dispositif permettant de s’assurer que les règles de l’art soient bien mises en œuvre pour les maisons individuelles construites dans les zones exposées au phénomène de retrait gonflement des argiles. Ce dispositif est codifié aux articles L. 112-20 à L. 112-25. Il s’applique dans les zones exposées au phénomène de mouvement de terrain différentiel consécutif à la sécheresse et à la réhydratation des sols. Ces zones sont définies par un arrêté pris par les ministres chargés de la construction et de la prévention des risques majeurs, en application de l’article L. 112-20, selon des modalités déterminées par un décret en Conseil d’Etat, en application de l’article L. 112-25. L’arrêté définissant les zones exposées au phénomène est en consultation. http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/spip.php?page=forum&id_article=1942#mon_ancre