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Il y a 1 ans et 41 jours

Quarco consolide son expertice bois

Quarco consolide son expertice bois com4 mer 10/04/2024 - 17:16 REPONDRE A TOUTES LES SOLLICITATIONS ET TOUTES LES CONFIGURATIONS DE CHANTIER Dirigé par Mickaël Briand depuis juin 2023 après l’avoir été par Philippe Grasset, ancien président d'Atlanbois qui a fait naître l'expertise bois au sein d'ABAK Ingénierie puis de QUARCO, le pôle bois QUARCO propose aux maîtres d'ouvrage, architectes, maîtres d’œuvre et promoteurs un socle de compétences sur lequel ils peuvent faire reposer leurs projets constructifs en toute confiance (traditionnel, structure lamellé collé, ossature bois, CLT...). « Notre rôle est de conseiller, de proposer, d'estimer et de concevoir des solutions bois en adéquation avec le besoin des donneurs d’ordre, quels qu’ils soient. Nous sommes à l'écoute de tous les clients qui souhaitent construire avec le bois, qu’ils soient rompus aux systèmes constructifs bois ou qu’ils les découvrent », résume Mickaël Briand. BUREAUX, BATIMENS PUBLICS, ETABLISSEMENTS SCOLAIRES, COMMERCES, HABITATIONS INDIVIDUELLES OU COLLECTIVES... De la charpente au plancher en passant par l’ossature : partout le bois est chez lui et partout il peut être mixé avec le métal ou le béton. « La force principale et la valeur ajoutée de l’offre QUARCO, c’est la mutualisation des compétences du collectif pour assurer la prise en charge de toutes les étapes du processus constructif, de la conception à la maîtrise d’œuvre et à l’exécution sur site. Ce qui différencie le pôle bois de QUARCO des bureaux d’études traditionnels, c’est cette capacité à envisager un projet bois ou un mix bois/béton/métal de l’amont à l’aval », insiste Mickaël Briand. La deuxième force du pôle bois de QUARCO, ce sont ses ressources -15 collaborateurs spécialisés en conception bois, issus des différentes structures du collectif- qui font de lui l’un des plus gros bureaux d’études français en termes d’effectif spécialisé dans le matériau bois. LES CHANTIERS BOIS CHEZ QUARCO : DEJA 20% DES ETUDES La montée en puissance de l’offre bois QUARCO doit beaucoup au lancement du Connecteur Bois-Béton, en 2023, innovation majeure low-tech, bas carbone et durable pour la construction mixte. Une solution technique imaginée par INNOVONS, l’incubateur de solutions de QUARCO, et la seule permettant d’associer plancher béton et MOB, CLT et structure en lamellé collé, tout en préservant l’équilibre économique des opérations immobilières. Grâce au CBB, construire des bâtiments mixtes (base béton et façades ossature bois) jusqu’à 3 niveaux superposés pour des murs à ossature bois (MOB) et jusqu’à 5 niveaux pour des murs en lamellé-collé poteaux/poutres ou structure CLT, y compris en zone sismique, a été rendu possible. Le CBB a donc ouvert le champ des possibles pour la construction bois par QUARCO. Le Connecteur Bois Béton système breveté « made in France » goujon métallique soudé sur platine d’ancrage L 10 cm x ht 5 cm x 3 mm d’épaisseur en base seule solution technique permettant d’associer plancher béton et ossatures bois verticales en façade (MOB, CLT ou structure bois en lamellé collé en poteaux/poutres) permet la construction de bâtiments mixtes (base béton et façades porteuse ossature bois) jusqu’à 3 niveaux superposés pour des murs à ossature bois (MOB) et jusqu’à 5 niveaux pour des murs en lamellé-collé poteaux/poutres ou structure CLT (cross laminated timber) posé en atelier lors de la fabrication des murs en ossature bois. Une fois sur le chantier, l’ensemble s’intègre dans le cycle du gros-œuvre, sans changer les habitudes des compagnons sur site temps de construction optimisé, la solution technique aboutie et garantie (stabilité, résistance, durabilité) pour tous types de constructions mixtes, habitation individuelle, habitation collective, équipement public, bâtiment tertiaire et réhabilitation LE PÔLE BOIS DE QUARCO : LA MAÎTRISE DE CHANTIERS SPECIFIQUES QUARCO se différencie par sa capacité à mixer les matériaux et à apporter des solutions à toutes les étapes de la construction. Récemment, le savoir-faire du collectif QUARCO s’est illustré à trois reprises avec : l’extension d’un bâtiment bureaux de l’Institut français du cheval et de l’équitation près de Saumur : construction à 100% réalisée en filière sèche sur une surface de 702 m2, la charpente du groupe scolaire de Villepinte d’une surface de 3500 m2 en structure mixte métal-bois, les six bâtiments du village olympique au sein de l’éco-quartier fluvial de l’Île Saint-Denis avec une structure mixte bois-béton. L’Îlôt ADAM, nouveau quartier République, à Nantes : focus sur un chantier mixte bois-béton d’envergure L’Îlot ADAM fait partie d’un programme immobilier de taille qui doit s’étaler sur 10 ans pour restructurer l’Île de Nantes. QUARCO s’est vu confier par Bouygues Immobilier la conception et la réalisation de cet îlot, dans le nouveau quartier République, à Nantes. La commande passée à l’agence ABAK Ingénierie membre du collectif comprend la réalisation des coursives périphériques en structure bois Douglas classe 3 naturel français sur une surface de façade développée de 1800 m2 sur 5 niveaux. L’aménagement des coursives nécessite à lui seul 120m3 de bois avec 450m2 de platelage bois. Chargé de l’étude et de la maîtrise d’œuvre bois, la valeur ajoutée de QUARCO a été sa contribution à l’obtention des certifications environnementales du bâtiment par le promoteur, le projet visant l’excellence environnementale et la réduction de l’empreinte carbone avec des logements labellisés BBCA Performance et E3C1. Fiche chantier : 223 places de parking mutualisées et foisonnées à l’échelle du Bloc A pour Nantes Métropole Gestion Équipements 2 immeubles de bureaux de 8 000 m2 39 logements du T2 au T5 bénéficiant chacun d’espaces extérieurs 800 m2 de commerces en pied d’immeubles Maître d'ouvrage : Linkcity Grand Ouest et Bouygues Immobilier Architectes : DATA Architectes et Atelier MIMA Entreprise générale : Bouygues Bâtiment Grand Ouest BET Bois : ABAK INGENIERIE Ent de charpente Bois : LCA CONSTRUCTION BOIS Livraison : 1er trimestre 2024 Dans la continuité de ce premier projet, QUARCO poursuivra avec l’Îlot B / Immeuble Bety La mission QUARCO : BET Structure Bois et béton + économie Le projet s’inscrit pleinement dans le nouveau quartier République à Nantes. Ces bâtiments se veulent résolument performant d’un point de vue environnemental en mixant les matériaux (Bois et Béton) pour atteindre un niveau de performance E3C2. La pluridisciplinarité des équipes QUARCO en structure et en économie de la construction a permis de proposer les solutions les plus adaptées au site et les plus efficientes pour le projet. Fiche chantier : 52 logements sociaux et 27 logements BRS répartis en 5 immeubles de différents gabarits de R+1 à R+7 SP : 5500 m2 de logements et RDC actifs Architectes : TICA et Palast Maitre d’ouvrage : NANTES Métropole HABITAT Entreprise générale : ANDRE BTP Démarrage travaux MAI 2024 Livraison fin 2025 Budget : 11 M€ Groupe scolaire Joséphine Baker La mission QUARCO : BET QUARCO : EXE PAC sur lot Bois Avec l’utilisation de matériaux biosourcés, la valorisation des déchets de chantier et une attention particulière à la performance énergétique (Niveau E4C2 -plus haut niveau du label E+C), ce chantier est une référence d’approche environnementale pour le collectif QUARCO. • Toitures 100 % utiles (photovoltaïque, végétalisation, utilisation par les enfants...). • Surface Mur à Ossature Bois 1 500 m2 avec isolant paille 220 mm • Surface totale : 3 800 m2 • Plancher bois solives : 1 500 m2 et Plancher CLT 1 400 m2 • Quantité bois en structure bois massif et lamellé collé : 320 m3 La mission QUARCO : BET QUARCO : EXE PAC sur lot Bois Avec l’utilisation de matériaux biosourcés, la valorisation des déchets de chantier et une attention particulière à la performance énergétique (Niveau E4C2 -plus haut niveau du label E+C), ce chantier est une référence d’approche environnementale pour le collectif QUARCO. • Toitures 100 % utiles (photovoltaïque, végétalisation, utilisation par les enfants...). • Surface Mur à Ossature Bois 1 500 m2 avec isolant paille 220 mm • Surface totale : 3 800 m2 • Plancher bois solives : 1 500 m2 et Plancher CLT 1 400 m2 • Quantité bois en structure bois massif et lamellé collé : 320 m3 Fiche chantier : 15 classes, salle polyvalente, restaurant scolaire et espaces extérieurs. Architecte : TRACKS (Moïse Boucherie & Jérémy Griffon) Maitre d’ouvrage : Ville de NANTES Client : Charpente CENOMANE Démarrage chantier printemps : 2024 Budget prévisionnel : 15,8 M€ LE COLLECTIF QUARCO 4 dirigeants associés : François-Xavier Guillard Président - Angélique Lyon Directrice technique -Julien Boudvillain Directeur Général et Responsable secteur nord - Christophe Deserce Responsable secteur sud 110 collaborateurs 15 agences en France métropolitaine 8,5 M€ de CA en 2023 5 métiers : ingénierie des structures multimatériaux, conception et réhabilitation de maisons individuelles, maîtrise d'oeuvre (économie de la construction et management des opérations), diagnostic, conseil et accompagnement à maîtrise d’ouvrage (AMO), INNOVONS incubateur interne, pôle R&D du collectif. Choisir la Marque® - Associer l'article QUARCO 28, 29, 30 mai à Nantes : Quarco au Carrefour International du Bois 2024 Le savoir-faire de QUARCO en matière de structures et de constructions mixtes (bois-béton ou bois-métal) est à ce jour reconnu. Le collectif créé en septembre dernier renforce son « pôle bois » en misant sur la synergie des compétences, symboles de la qualité et de la force de l’offre QUARCO sur tous les chantiers, des plus classiques aux plus spécifiques. Partager
Il y a 1 ans et 92 jours

Nouvelle table de découpe pour isolants biosourcés

EDMA complète sa gamme d’outil dédié au façadier avec sa nouvelle table de découpe pour isolants biosourcés. La nouvelle table de découpe pour isolants biosourcés EDMA est un excellent gabarit de coupe en aluminium stable et robuste. Elle est munie de 2 règles latérales à angle réglable ainsi que d’un chariot de coupe, coulissant sur un guide orientable et ajustable en profondeur.
Il y a 1 ans et 119 jours

Nouvelle table de découpe pour isolants biosourcés EDMA

Nouvelle table de découpe pour isolants biosourcés EDMA La nouvelle table de découpe pour isolants biosourcés EDMA est un excellent gabarit de coupe en primavera mar 23/01/2024 - 16:24 En savoir plus sur Nouvelle table de découpe pour isolants biosourcés EDMA Partager
Il y a 1 ans et 121 jours

Copieur de forme - Réf. : 262055 - Pliable et Facile à ajuster

Le copieur de forme permet de reporter et tracer rapidement l'emplacement d'un trou avant perçage. Localisateur 108 x 108 mm, comprenant 5 gabarits de différents diamètres. Il est indispensable aux artisans du second œuvre du bâtiment dans l'exercice de leur métier au quotidien.
Il y a 1 ans et 134 jours

Près de 3.300 m² de tablier en béton préfabriqué par Capremib pour les ponts routiers du Canal Seine-Nord Europe

Le Canal Seine-Nord Europe, grand projet d’aménagement du territoire alliant performance technique, respect de l’environnement et sécurité, va relier Compiègne dans l’Oise à Aubencheul-au-Bac dans le Nord d’ici 2030. Ce canal à grand gabarit de 107 km de long et 54 mètres de large est un maillon essentiel de la liaison fluviale Seine-Escaut qui connectera le réseau français aux 20.000 km de voies européennes.
Il y a 1 ans et 180 jours

Près de 3.300 m2 de tablier en béton préfabriqué par CAPREMIB pour les ponts routiers du Canal Seine-Nord Europe

Le Canal Seine-Nord Europe, grand projet d’aménagement du territoire alliant performance technique, respect de l’environnement et sécurité, va relier Compiègne dans l’Oise à Aubencheul-au-Bac dans le Nord d’ici 2030. Ce canal à grand gabarit de 107 km de long et 54 mètres de large est un maillon essentiel de la […] L’article Près de 3.300 m2 de tablier en béton préfabriqué par CAPREMIB pour les ponts routiers du Canal Seine-Nord Europe est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 340 jours

Sur l’Ile de Nantes, Lot BETY, selon TICA et Palast

Sur l’Ile de Nantes, l’agence nantaise TICA et l’agence parisienne Palast présentent le processus de conception de l’opération du lot BETY, qui fait partie du bloc B du quartier République. Il comprend 52 logements sociaux et 27 logements Bail Réel Solidaire (BRS), répartis en cinq immeubles de différents gabarits (de R+1 à R+7). Des enjeux […] L’article Sur l’Ile de Nantes, Lot BETY, selon TICA et Palast est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 88 jours

Des logements évolutifs et transformables signés AIR, livrés à Malakoff

Issu d’un travail de recherche poussé faisant la signature de l’agence, Styléa offre une nouvelle manière d’habiter et de concevoir son logement sur le court et long terme, au fil du temps et de l’évolution des besoins grâce à des appartements facilement transformables du studio au T5 duplex, favorisant en outre le lien intergénérationnel.La structure des logements traditionnels reste bien trop souvent figée sur un modèle des années 50, face à des modes de vies en constante et rapide évolution. Force est de constater que le logement doit désormais pouvoir s’adapter à chaque individualité et parcours, qu’il s’agisse de famille traditionnelle, monoparentale, recomposée, de personnes seules, d’étudiants ou de personne ayant besoin d’un accompagnement.La réflexion des architectes sur la conception de logements évolutifs devient alors primordiale. Pour répondre à un monde mouvant, AIR a conçu un immeuble changeant au gré du temps. Cet immeuble propose des logements capables d’accompagner ses occupants au fil de leur vie, avec ses grandes nouvelles et ses aléas.Un esthétisme ancré dans son environnementNiché dans une rue pavillonnaire de Malakoff, le design de Styléa s’inspire des maisons avoisinantes. L’immeuble garde des lignes épurées dans les angles et conserve le gabarit des maisons qui l’entourent. Aux étages supérieurs, des petites maisons surplombent le toit, comme pour communiquer avec les immeubles plus lointains. Des couleurs claires ont été choisies afin de se marier avec le ciel et offrir une vue apaisée.L’immeuble a été conçu de cette manière afin de lui conférer une double communication : d’une part avec son voisinage direct et les maisons alentours mais également avec les quartiers lointains plus en hauteur d’autre part.Des intérieurs modulables selon les parcours de vieDès la phase de réflexion, les logements ont été pensés pour pouvoir s’adapter aux besoins changeants de ses habitants. Leurs combinaisons permettent de moduler un T4 en T5 ou en T4 et studios, grâce à une répartition particulière des appartements dans les étages et le positionnement de murs ou escaliers fusibles aux endroits stratégiques.Les deux premiers étages de l’immeuble sont modulables verticalement. Un appartement deux pièces peut alors se connecter à un studio à l’étage par l’ajout d’une trémie d’escalier fusible pour devenir quatre pièces en duplex. Un deuxième studio peut être connecté à l’appartement pour en faire un grand cinq pièces de 118 m².Le dispositif de modularité s’applique également aux étages suivants, qui seront eux transformables horizontalement. Ainsi, deux appartements deux pièces se trouvant côte à côte peuvent devenir un quatre pièces traversant.D’autres dispositifs sont possibles, permettant aux logements de fusionner et de redevenir indépendants selon les besoins et envies.
Il y a 2 ans et 91 jours

Dans le tunnel sous la Manche, une route très privée pour les opérations de maintenance

Mais l'idée n'est pas d'aller d'un pays à l'autre. Cette route très privée permet essentiellement d'accéder aux opérations de maintenance du tunnel sous la Manche, pour continuer à faire passer les trains.On ne pénètre dans ce tunnel routier qu'après être passé dans un sas de décompression, ultrasécurisé. "On roule à gauche, mais on reste à l'heure française", décrit Rémi Dezoomer, superviseur travaux chez Eurotunnel (filiale du groupe Getlink), allumant ses feux de détresse et klaxonnant à l'approche d'un véhicule garé sur le bord.Les autos, sans plaque d'immatriculation, n'ont plus de rétroviseur à droite pour pouvoir se croiser sur cette route empruntant le tunnel de service de la "liaison fixe transmanche". "Avant, on avait des Clio qui passaient très bien. Maintenant, le gabarit des voitures est de plus en plus important, ça nous pose problème", précise M. Dezoomer.Les demi-tours sont compliqués. Et gare aux crevaisons à 100 m sous le niveau de la mer !Prudence, donc. La vitesse est de toute façon limitée, remarque M. Dezoomer : 50 km/h quand l'éclairage est éteint et 30 km/h quand il y a de la lumière, ce qui généralement veut dire qu'il y a des gens dans le coin.C'est quand il y a moins de passages de trains entre la France et l'Angleterre que la route est la plus fréquentée. On y croise les véhicules d'Eurotunnel et de ses sous-traitants, des remorques, les pompiers qui font leur ronde... Tout le monde est habillé en orange, casque blanc sur la tête, on ne voit aucune femme.Deux nuits par semaine, le week-end, Eurotunnel ferme --au moins partiellement-- l'un des deux tubes ferroviaires pour y faire des travaux de maintenance. La circulation des trains, elle, ne s'arrête jamais. Elle s'effectue pendant ce temps en alternance sur l'autre voie.Tous les 375 m dans le tunnel de service, des couloirs conduisent à de lourdes portes jaunes. Ouverture solennelle, déclenchée par le centre de contrôle, avec sonnerie et message sonore.Lumière mordoréeCes portes permettent d'accéder aux voies ferrées, situées juste à côté. En cas d'urgence pour évacuer les passagers des trains et, en l'espèce, pour accéder aux chantiers nocturnes."On a 66 chantiers, avec 160 personnes présentes", indique ce jour-là Jeffrey Guy, chef de projet. "C'est une nuit normale."Le gros des troupes --70 personnes-- est occupé à remplacer des rails, dans le cadre d'une grande opération de renouvellement total en trois ans. "Cette nuit, on a cinq heures dix pour remplacer 1,077 km de rails", explique Jean-Louis Merlin, responsable de l'opération chez Eurotunnel.Le ballet est bien réglé. Tandis que les soudeurs soudent, une cohorte d'ouvriers fixent une à une les attaches des rails sur les traverses. Au fond, la voûte du tunnel est illuminée par une lointaine machine. Précis et rapide, car les trains doivent à nouveau circuler dès l'aube."On en est à la quatrième campagne de remplacement des rails depuis l'origine" du tunnel ouvert en 1994, précise M. Merlin. Il faut dire qu'ils sont particulièrement sollicités par le fréquent passage de lourds convois, des trains de marchandises ou des navettes d'Eurotunnel qui transportent des camions, autocars ou voitures.Un peu plus loin, là où les deux tubes ferroviaires se rejoignent, on change les aiguillages d'un "crossover", un ensemble d'appareils permettant aux trains de passer d'une voie à l'autre.Le cadre est assez théâtral. Pendant que les ouvriers s'affairent, des petites lumières sur leur casque, une navette passe de l'autre côté.Il s'agit ailleurs d'injecter de la résine pour éviter les infiltrations, inévitables là où il n'y a pas de craie bleue dans le sous-sol. "L'eau et le 25.000 volts de la caténaire ne sont pas compatibles", pointe Rémi Dezoomer. A un autre endroit, une drôle de machine lave le tunnel, lançant des nuages de gouttelettes dans une lumière mordorée. Effet visuel garanti. La route sous la Manche a aussi son "spot" touristique: à la frontière franco-britannique marquée par deux petits panneaux, les murs sont couverts de graffitis de visiteurs.
Il y a 2 ans et 119 jours

ITE-SHOP lance ses nouveaux accessoires faciles et ajustables pour des chantiers encore plus rapides

Afin de proposer des équipements toujours plus faciles et adaptés aux contraintes de chantier, ITE-Shop a entièrement conçu et développé ces nouvelles solutions qui viennent compléter le catalogue en ligne - www.ite-shop.com - et les accessoires exclusifs de la marque (ISODEPORT RT+ et ISODEPORT Volet). Soucieux d’améliorer et de faciliter la vie des artisans sur les chantiers, ITE-Shop ne cesse d’imaginer des outils et des accessoires plus malins et plus économiques. Grâce à ses accessoires universels, plus besoin de s’équiper de la même pièce en plusieurs dimensions, les pièces s’ajustent aux différentes configurations directement sur le chantier. Le site de vente en ligne français www.ite-shop.com propose un catalogue complet pour les travaux d’Isolation Thermique par l’Extérieur, de l’isolant à la quincaillerie, l’outillage, ou encore les équipements d’échafaudage.ISODEPORT GC : une seule équerre pour répondre à 100% des besoinsConçue pour le déport de garde-corps en tableau ou en façade, le déport de gonds de volets ou tout autre charge moyennes ou lourdes, l’équerre ISODEPORT GC est une équerre à rupture de ponts thermiques de 120 mm, fournie avec un talon de 20 mm empilable pour d’adapter aux dimensions standards des isolants en 120 et 140 mm. Pour les épaisseurs spéciales, il suffit d’emboîter d’autres talons si besoin ou de couper proprement le corps de l’équerre, marqué tous les 10 mm pour assurer une précision de travail.Fabriquée en Polyamide 6-6 avec 30% de fibre de verre, l’équerre ISODEPORT GC assure une résistance de charge jusqu’à 2.138 kg sur un point de fixation, soit la meilleure résistance du marché selon le rapport d’essais réalisés par le CSTB (Rapport d’essais n° DSSF 21-06582).Pour faciliter la pose, le kit comprend un gabarit de perçage autocollant et la visserie nécessaire (sous avis technique) pour tout support (plein ou creux).ISODEPORT BM70 et BM100 : des blocs de montage à haute densité ajustablesLes nouveaux blocs de montage ISODEPORT BM70 et BM100 sont fabriqués en polystyrène expansé haute densité à 150 kg/m3 pour supporter en toute sécurité les charges légères telles que les points lumineux, les boîtes aux lettres ou encore les colliers de descentes.Conçus et produits en France, ils s’ajustent à toutes les épaisseurs grâce à des traits demarquage tous les 10 mm (découpe au fil chaud ou à la scie à main). Les blocs ISODEPORT BM70 et BM100 viennent se fixer directement dans l’épaisseur de l’isolant en PSE, en laine de roche, en fibre de bois ou en liège. Pour répondre à tous les besoins, ITE-Shop propose deux formats de bloc :ISODEPORT BM70 : bloc circulaire de 70 mm de diamètre avec une résistance de charge jusqu’à 20 kg (force de compression Pa sur toute la surface de 0.65 kN). ISODEPORT BM100 : bloc carré de 100 x 100 mm avec une résistance de charge jusqu’à 25 kg (force de compression Pa sur toute la surface de 1.00 kN).
Il y a 2 ans et 158 jours

ITE-SHOP lance ses nouveaux accessoires : nouvelle équerre ISODEPORT GC et nouveaux blocs de montage à haute densité ajustables ISODEPORT

Le spécialiste français de l’Isolation Thermique par l’Extérieur complète sa gamme d’accessoires avec une nouvelle équerre pour déport de charge (garde-corps et charges moyennes/lourdes) ISODEPORT GC et les blocs de montage universels ISODEPORT BM70 et BM100. ISODEPORT GC : une seule équerre pour répondre à 100 % des besoins Conçue pour le déport de garde-corps en tableau ou en façade, le déport de gonds de volets ou tout autre charge moyennes ou lourdes, l’équerre ISODEPORT GC est une équerre à rupture de ponts thermiques de120 mm, fournie avec un talon de 20 mm empilable pour d’adapter aux dimensions standards des isolants en 120 et 140 mm. Pour les épaisseurs spéciales, il suffit d’emboîter d’autres talons si besoin ou de couper proprement le corps de l’équerre, marqué tous les 10 mm pour assurer une précision de travail. Fabriquée en Polyamide 6-6 avec 30 % de fibre de verre, l’équerre ISODEPORT GC assure une résistance de charge jusqu’à 2 138 kg sur un point de fixation, soit la meilleure résistance du marché selon le rapport d’essais réalisés par le CSTB (Rapport d’essais n° DSSF 21-06582). Pour faciliter la pose, le kit comprend un gabarit de perçage autocollant et la visserie nécessaire (sous avis technique) pour tout support (plein ou creux). ISODEPORT BM70 et BM100 : des blocs de montage à haute densité ajustables Les nouveaux blocs de montage ISODEPORT BM70 et BM100 sont fabriqués en polystyrène expansé haute densité à 150 kg/m3 pour supporter en toute sécurité les charges légères telles que les points lumineux, les boîtes aux lettres ou encore les colliers de descentes. Conçus et produits en France, ils s’ajustent à toutes les épaisseurs grâce à des traits de marquage tous les 10 mm (découpe au fil chaud ou à la scie à main). Les blocs ISODEPORT BM70 et BM100 viennent se fixer directement dans l’épaisseur de l’isolant en PSE, en laine de roche, en fibre de bois ou en liège. Pour répondre à tous les besoins, ITE-Shop propose deux formats de bloc : ISODEPORT BM70 : bloc circulaire de 70 mm de diamètre avec une résistance de charge jusqu’à 20 kg (force de compression Pa sur toute la surface de 0.65 kN). ISODEPORT BM100 : bloc carré de 100 x 100 mm avec une résistance de charge jusqu’à25 kg (force de compression Pa sur toute la surface de 1.00 kN).
Il y a 2 ans et 159 jours

Knauf renforce sa relation clients avec toujours plus de services et de digitalisation

En France, le Groupe est présent via sa filiale Knauf France depuis 1984, qui s’impose aujourd’hui comme le leader français du PSE (Polystyrène Expansé) pour le bâtiment mais également comme l’unique producteur tricolore de laine de bois.A travers son Offre Globale - plaques de plâtre, panneaux isolants en polystyrène expansé, polyuréthane, laine de bois et fibres biosourcées - Knauf répond à l’ensemble des besoins des acteurs du bâtiment pour l’aménagement intérieur et l’isolation des bâtiments.Point conjoncturel, bilan 2022 et perspectives 2023Après une année 2021 de reprise très soutenue, l’exercice 2022 a été marqué par la demande de travaux en aménagement intérieur, plâtrerie et isolation, même si ceux-ci ont quelque peu fléchi au cours du second trimestre.Si la croissance du marché de la plaque de plâtre, cloisons et doublages, a ralenti après une année 2021 exceptionnelle (+15%), Knauf y revendique pour sa part une année 2022 stable, en dépit des problèmes rencontrés suite à une cyber-attaque mondiale.Et Christine Muscat, Directeur Général Knauf de développer :« Notre volume d’affaires tricolore est en légère croissance pour l’ensemble de notre Offre Globale vs 2021. Les plafonds en laine de bois Knauf affichent également une belle performance, avec une progression de +5% des ventes. Il en est de même des isolants PSE Knauf pour les façades, qui revendiquent une progression de +10%. Le volume des autres solutions d’isolants Knauf est quant à lui stable par rapport à 2021 ».Et de conclure :« Outre notre Offre Globale, Knauf s’engage vers toujours plus de services et de digitalisation afin d’accompagner les acteurs du bâtiment dans l’évolution incontournable des modes constructifs face notamment aux défis de la RE2020 et de la décarbonation ».Concernant les perspectives générales 2023, une année sous le signe d’une forte inflation, elles s’annoncent plus difficiles que l’exercice 2022 dans le logement neuf malgré une tendance annuelle encore positive (mise en chantier de logements +2,1% dans le diffus, 12 mois glissants à la fin du T3 2021 - +8,9% en 2021).Un ralentissement s’avère donc inéluctable. Quant au non-résidentiel, après un redémarrage plus tardif, la tendance commence juste à fléchir (+5,7%). Si les carnets de commande demeurent importants, les prix de l’énergie notamment ont atteint des sommets inédits, diffusant la crise à tous les secteurs et entraînant une inflation record.Aussi, la construction neuve ne devrait pas produire de croissance et la rénovation, portée par l’efficacité énergétique, poursuivra certainement sa tendance 2022 à +3% pour devenir le secteur moteur du bâtiment.Knauf renforce ses équipes au service des maitres d’ouvrage et maitres d’œuvreKnauf s’engage toujours plus pour accompagner les acteurs du bâtiment dans l’évolution incontournable des modes constructifs afin de relever les défis de la RE2020 et de la décarbonation. Ainsi, 5 personnes dédiées viennent renforcer les actions de prescription déjà menées chez Knauf, pour répondre aux projets les plus ambitieux dès l’étape de conception. Sous la direction de Jean-Philippe Estner (architecte ENSAIS), Kamélia Halhali (Île-de-France Ouest / Ouest), Catherine Lillemann (Île-de-France Est / Nord), François Dassé (Sud-Ouest) Alain Boujemaaoui (Rhône-Alpes/Sud-Est) constituent la toute nouvelle équipe Prescription Knauf.Celle-ci aura pour mission d’assister efficacement tous les intervenants d’un projet dans toutes les phases d’études. Les chargés de prescription interviendront en amont, auprès des maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études et économistes, afin de leur proposer les solutions Knauf les mieux optimisées pour leurs projets. Ils seront les garants des prescriptions des systèmes d’aménagement intérieur, des gammes de plafonds acoustiques, mais aussi de l’Offre Globale Knauf. L’objectif est ainsi de répondre efficacement à toutes les sollicitations, mais aussi d’identifier les projets futurs pour lesquels les solutions Knauf sont particulièrement adaptées.De nouveaux services digitaux Knauf dédiés a la prescription et aux plaquistesDans cette logique d’accompagnement et de développement de services, Knauf étoffe son offre à destination des professionnels du bâtiment avec une nouvelle application dédiée aux architectes, bureaux d’études et économistes : Planner Suite Knauf. Cet outil constitue pour ces acteurs, un outil 3 en 1 de productivité ultime de la planification de leurs projets.Accessible comme application sur le web ou comme Plug-in BIM disponible pour Revit et ArchiCAD, Planner Suite Knauf leur permet de rechercher et insérer aisément les produits et systèmes Knauf adaptés à leurs projets d’aménagement intérieur, ainsi que toutes les spécifications pertinentes par une simple recherche ou via une configuration multicritères, avec importation possible dans la maquette BIM.En posant quelques questions simples, sa fonction de recherche donne un aperçu des produits et systèmes qui correspondent aux besoins spécifiques, comme la résistance au feu ou l’affaiblissement acoustique. Il prend également en compte d’autres facteurs, tels que la disponibilité régionale, pour garantir que seuls les produits et systèmes pertinents pour l’emplacement du projet sont recommandés - une donnée particulièrement utile pour les projets transfrontaliers. Planner Suite Knauf valide immédiatement les données relatives aux systèmes proposés avec une vérification en continu de la validité des systèmes sélectionnés, pour une maquette BIM toujours à jour.La version Plug-in BIM les alerte également s’ils utilisent des produits qui ne sont plus commercialisés et leur recommande, de manière proactive, les alternatives possibles.Planner Suite Knauf leur permettra également, dans sa prochaine version, un processus d’appel d’offres simplifié, en fournissant les textes de cahiers des charges à télécharger et est leur facilitera aussi la rédaction de leurs appels d’offres grâce au configurateur intégré (à l’aide de descriptifs types d’ouvrages). Cette nouvelle version quantifiera aussi les métrés de manière automatisée pour le DCE.Par ailleurs, Knauf s’inscrit, depuis octobre 2022, en partenaire de BiM Cloisons, une entreprise qui facilite le travail des professionnels plaquistes 2.0. Conçu par des plaquistes pour les plaquistes, BiM Cloisons.Knauf constitue en effet un outil de dernière génération permettant une mobilité sans précédent et un accès universel aux données et documents générés avec, à la clé, plus de réactivité, plus de précision et plus de productivité.Avec l’aide d’un configurateur à l’interface intuitive et au design novateur, BiM Cloisons.Knauf s’impose comme compagnon digital idéal et 360°, assurant notamment la préconisation des choix technico-économiques les plus pertinents en fonction des contraintes de chaque chantier, en comparant et variantant, en quelques clics, les ouvrages les mieux adaptés techniquement et économiquement.BiM Cloisons.Knauf offre un accès rapide à la base de données Knauf Aménagement Intérieur. Un panel qui concentre à ce jour les systèmes Knauf les plus couramment utilisés en cloisons et contre-cloisons, doublages collés et plafonds démontables et non démontables pour les logements, les ERP et le tertiaire. Notons que le périmètre est appelé à se compléter pour présenter l’intégralité des solutions Knauf en Aménagement Intérieur.BiM Cloisons.Knauf s’adapte à toutes les phases de chantier, BIM ou non. Il assure un démarrage rapide des projets Revit® sous gabarits BIM Cloisons, afin de générer rapidement les métrés, les devis, les dossiers techniques et plans de repérage. Il s’impose également comme véritable atout concurrentiel grâce aux vues 3D dotées d’un niveau de détail très élevé.Enfin, en automatisant les processus de gestion, en générant en un clic tous les documents de gestion indispensables, BiM Cloisons.Knauf assure également la maîtrise des budgets et des évolutions, grâce à une mise à jour instantanée de toutes les données, supprimant ainsi les tâches redondantes et les saisies inutiles.BiM Cloisons.Knauf est donc un outil complet et polyvalent qui facilite le travail des plaquistes 2.0.Knauf : une longue tradition du biosourcéL’usine Knauf Fibre, qui vient de fêter cette année son 100ème anniversaire, constitue l’incarnation parfaite d’une longue tradition du biosourcé. Site certifié chaîne de contrôle PEFC, elle est la seule unité industrielle française de production de laine de bois. En 2021, elle a réalisé quelque 2,5 millions de m2 de panneaux monolithes et composites dédiés à l’isolation en sous-face de dalles (gamme Knauf Fibra®) et à l’isolation acoustique des plafonds et murs (gamme Organic).Dans une démarche d’éco-conception, la R&D Knauf est parvenue à encore augmenter le pourcentage de matériaux biosourcés en optimisant la composition des produits et leur procédé de fabrication. Ces améliorations ont permis de réduire les impacts de réchauffement climatique (total équivalent CO2) pour l’ensemble du cycle de vie des produits. Les FDES des produits concernés ont ensuite été recalculées, mises à jour et revérifiées par une tierce partie. Elles sont disponibles sur knauf.fr et sur la base INIES, ce qui favorise leur utilisation pour la construction bas carbone, notamment la RE2020.Et Knauf va encore plus loin. Dans la même lignée, afin d’apporter toujours plus de garanties aux concepteurs de bâtiments, Knauf s’est récemment rapproché de Karibati, expert du bâtiment biosourcé, pour certifier les produits Organic et Knauf Fibra® éligibles au label « Produit Biosourcé - Filière Française ».Une labellisation qui permet d’ailleurs aux maîtres d’ouvrages de bénéficier de « points » ou de « crédits » supplémentaires dans le cadre de certifications environnementales de chantier type « LEED » ou « BREEAM », ou encore de valoriser la quantité de bois utilisée dans les certifications d’ouvrage, par exemple pour les projets de construction ou de rénovation labélisés « Bâtiment Biosourcé » ou « BBCA » (Bâtiment Bas Carbone).Les produits Knauf concernés* (panneaux mono-composants, 100% laine de bois, certains complexes isolants mixant laine de bois, PSE et/ou laine de roche) deviennent ainsi les seuls produits en France à justifier de cette labellisation Karibati dans leurs catégories respectives : Knauf Fibra® pour l’isolation des sous-faces de dalles des logements collectifs, bâtiments tertiaires et ERP, les dalles Organic pour les parements intérieurs acoustiques et décoratifs. Notons que ce certificat « Produit Biosourcé et Filière Française » peut être librement téléchargé sur knauf.fr et que cette labellisation positionne sans équivoque les gammes Organic et Knauf Fibra® sélectionnées comme des « solutions biosourcées » pouvant ainsi pleinement répondre aux référentiels d’éco-construction comme le « Guide des matériaux biosourcés et commande publique » d’avril 2020.ThermaSoft® natura !Avec le lancement de la nouvelle solution d’isolation intérieure Knauf ThermaSoft® natura en début d’année, Knauf confirmait sa volonté d’élargir ses propositions d’isolants biosourcés. Si la période de référencement s’est avérée particulièrement longue, les retours terrain sont très positifs de la part des installateurs concernant les qualités du produit. Depuis août, la montée en puissance est exponentielle et devrait atteindre 300 000 m² vendus en 2022.
Il y a 2 ans et 160 jours

Concevoir l'aménagement intérieur en toute simplicité avec les nouveaux configurateurs Rauvisio & Rauvolet

Configurateur Surfaces RAUVISIOAvec le configurateur de surfaces REHAU, il est possible d’assembler des façades sur mesure, avec plaquage laser selon les goûts des clients, en seulement 4 étapes : choisir le matériau et le décor / Saisir les dimensions / Sélectionner un partenaire commercial / Définir l’adresse de livraison.Exceptionnel, ce service propose de choisir entre plusieurs types de surfaces polymère : RAUVISIO brilliant SR, RAUVISIO noir, RAUVISIO crystal et RAUVISIO wave et des bandes de chant RAUKANTEX Pro (sans joint). Facile à utiliser, la bande de chant correspondante au panneau est automatiquement sélectionnée par le logiciel.Unique, le configurateur permet de visualiser l’image du décor sur la totalité de la façade. L’agencement des composants avec des décors tendances tels que le bois ou le marbre est alors possible. Le décor obtenu est régulier et ininterrompu sur les différents éléments de la façade. Pour faciliter la mise en œuvre, le configurateur propose l’option d’éléments livrés prépercés. Les gabarits de perçage des fabricants de ferrures sont enregistrés dans le logiciel et facilitent ainsi la planification du projet.Configurateur Rideaux d’armoire RAUVOLETInnovant, ce configurateur offre de multiples possibilités d’aménagement. Cuisines, salles de bains, bureaux… il est possible de configurer sur mesure les systèmes de rideaux d’armoire dans toute la maison. Horizontal ou vertical, tout est possible ! Personnalisable grâce à l’impression numérique, le client peut réaliser ses propres rideaux d’armoire avec ses images, photos ou logos et les intégrer ainsi à son intérieur.Comment ça marche ?Sélectionnez le type d’armoireEntrez les cotes intérieures de l’armoireSélectionnez le système de guidageSélectionnez la baguette poignéeSélectionnez le sens d’enroulement / le type de rideauSélectionnez la lame et son colorisSélectionnez les accessoiresLes avantages en brefPourquoi choisir un projet sur-mesure avec REHAU ? Pour créer un projet unique, clé en main et rapidement ! Tout au long du projet, REHAU accompagne le client : envoi rapide d’un échantillon du produit exact souhaité, création flexible du projet car la commande peut se faire dès une pièce seulement, la configuration à faire sur le portail REHAU se fait en très peu de clics, les panneaux et systèmes de rideaux d’armoire arrivent prêts à poser sous un délai plus court.Combinés, ces 2 configurateurs offrent donc la possibilité de créer son « package de solutions d’agencement » puisqu’ils proposent à la fois du rangement avec les systèmes de rideaux d’armoire, des façades décoratives et du plan de travail : il est désormais possible grâce à REHAU d’avoir une vraie harmonie du design sur tous les produits.Grâce à ses 2 configurateurs les agenceurs, décorateurs, architectes… gagneront du temps lors de la conception de leurs projets. REHAU présente dans ces 2 outils une gamme complète de systèmes de rangement, de plan de travail, de surfaces de meuble design et personnalisables pour satisfaire tous les goûts et envies de chacun.
Il y a 2 ans et 197 jours

A Vitry Chartier Dalix à la logistique

Zac des Ardoines à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), l’agence Chartier Dalix architectes (Frédéric Chartier et Pascale Dalix) œuvre pour Sogaris (maître d’ouvrage) à la réalisation d’un hôtel logistique de 35 000 m². Dès 2023, il devra relever le défi de minimiser les multiples nuisances dues à son gabarit et à son programme. Communiqué de l’opérateur. La réalisation de […] L’article A Vitry Chartier Dalix à la logistique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 210 jours

Nouveau copieur de forme multiangle pour carreleur EDMA

EDMA lance un nouveau copieur de forme multiangle : un outil indispensable pour faciliter la reprise précise d’informations d’un support à l’autre. Le nouveau copieur de forme multiangle pour carreleur EDMA simplifie la pose de carrelage. Il permet le report et le traçage fidèle et rapide de l’emplacement d’un trou avant perçage. Fonctionnel, il est muni de 6 segments coulissants de 175 mm en aluminium, gradués en cm et en inch repliables et faciles à ajuster grâce à des boutons en croix. Il peut s’adapter ainsi à différents types d’angles à transposer avant découpe. Son localisateur de 108 x 108 mm propose 5 gabarits de traçage de diamètres 25, 40, 45, 55 et 75 cm, donnant la possibilité dereproduire et tracer rapidement l’emplacement de n’importe quel trou sur des carreaux avant leur perçage. La combinaison des segments pour relever les angles et des gabarits pour reporter des trous font du copieur de forme multiangle EDMA un outil idéal pour effectuer des travaux de perçage lors de la pose de carrelage. À la fois précis, rapide et simple d’utilisation, le nouveau copieur de forme multiangle EDMA devient un incontournable dans la boite à outils des carreleurs soucieux de gagner du temps sur leurs chantiers.
Il y a 2 ans et 214 jours

Les Trophées Placo récompensent deux bâtiments historiques

La 17e éditions des Trophées Placo vient de couronner sept lauréats pour des chantiers d’exception. Parmi eux, deux chantiers concernent des bâtiments historiques. Reconstruction technique de l’hôtel de ville de la Rochelle, bâtiment classé En juin 2013, le monument historique classé de l’Hôtel de Ville de La Rochelle était partiellement détruit par un incendie, alors qu’il venait d’être restauré. Si le mobilier avait pu être sauvé, les salles d’apparat et certains salons étaient endommagés. La rénovation spectaculaire de ce bâti, au long cours, au cœur du centre historique, répond à un double objectif. À la fois la restauration des parties classées, et la restructuration des espaces contigus afin d’offrir un bâtiment plus accessible et plus fonctionnel tout en préservant ses caractéristiques patrimoniales si singulières. Une reconstruction de l’édifice comme à son origine, intégrant des nouveautés telles que la création d’un puits central et d’une nouvelle Salle du Conseil Municipal au dernier étage. Le chantier a été piloté par l’Architecte en Chef des Monuments Historiques, Philippe Villeneuve, qui dirige la reconstruction de Notre-Dame de Paris. Durant deux ans, des études préalables ont permis de finaliser les plans d’exécution avec les bâtiments historiques et d’exécuter ensuite le chantier en 18 mois. Le bâtiment a été entièrement bâché et l’approvisionnement, complexe, s’est opéré par une trappe de visite coulissante au centre de l’édifice pour dispatcher les matériaux. Cet ouvrage présente la particularité de ne jamais avoir été hors d’eau avant sa finalisation, avec la couverture de la trappe par une verrière. Tout un panel de solutions techniques a été déployé : l’ensemble des plafonds sont sur ossature Stil Prim® Tech, tous les couloirs et les coursives du hall en Rigitone® Activ’Air® 8-15-20 Super, les cloisons de distribution monoparement en Placoplatre® BA 18S et les doublages en Placoplatre® BA 25, tous de grande hauteur (12 m). Hôtel de Ville, La Rochelle (17) Maître d’ouvrage : Ville de La Rochelle Entreprise du Club Placo® : Douzille (22 salariés) Architecte : Philippe Villeneuve Dates de début et fin de chantier : septembre 2018 – février 2020 Photo : Raphaël Demaret Restauration du retable de l’église Saint-Vincent de Cabrières-d’Avignon Construite vers 1787, Saint-Vincent de Cabrières-d’Avignon a subi des dégradations importantes ayant endommagé les ornements intérieurs, les moulures et les décors en gypserie. L’Atelier Zambelli, labellisé Entreprise du Patrimoine Vivant, a été missionnée pour restaurer à l’identique le retable datant du XVIème siècle. Ce dernier se compose de sculptures en plâtre, en partie teintées par le biais d’une technique traditionnelle de stuc-marbre, qui consiste à mélanger le plâtre aux pigments naturels pour reproduire l’aspect du marbre. Un savoir-faire unique, détenu par quelques entreprises d’excellence, qu’il est essentiel de préserver. Ce type de chantier requiert une préparation minutieuse selon son état de conservation. Le projet a ainsi nécessité un travail préalable d’analyse et de compréhension de l’ouvrage à restaurer. Un travail de recherche a été effectué dans un ouvrage italien spécialisé afin d’identifier les teintes des pigments du type de marbre. Un relevé des ouvrages à reconstituer a été réalisé, des gabarits créés pour le travail in-situ, le plâtre Molda® 3 Normal mélangé aux pigments naturels, et les ouvrages restant en place consolidés. Les travaux ont ensuite consisté à « curer » les parties abîmées, à reconstituer des moulures et des sculptures en plâtre, puis à reboucher et à façonner les parties en stuc-marbre à l’aide du mélange réalisé au préalable. L’intervention s’est opérée progressivement du haut (6 m) vers le bas pour sécuriser la réalisation. Une restauration de qualité réalisée selon une technique traditionnelle, gage de longévité de l’ouvrage, et un savoir-faire exemplaire de l’entreprise au service de la sauvegarde du patrimoine. Église Saint-Vincent, Cabrières-d’Avignon (84) Maître d’ouvrage : Commune Cabrières-d’Avignon Entreprise du Club Placo® : Atelier Zambelli Patrick (1-3 salariés) Dates de début et fin de chantier : avril – juin 2020 Le Club Entreprises Placo® rassemble une communauté unie d’entreprises passionnées qui s’engagent pour porter et valoriser le savoir-faire de la filière. C’est en 1989 qu’il lançait ses Trophées Placo® qui restent uniques dans l’univers du bâtiment par leur pérennité, la qualité des ouvrages présentés et l’excellence des entreprises participantes. Ce concours bisannuel met à l’honneur l’expertise des entreprises et la noblesse des métiers du plâtre. Cette année, sept prix ont été décernés : Prix Innovation & Développement Durable : Fondation Luma, Arles (13). Entreprise du Club Placo® : Ile-de-France Plâtrerie Prix Non Résidentiel et Prix Presse : Pouponnière, Fleury-sur-Orne (14). Entreprise du Club Placo® : Orquin Prix Patrimoine et Monuments Historiques : Hôtel de Ville, La Rochelle (17). Entreprise du Club Placo® : Douzille Prix Résidentiel : Villa Guyvonney, Royan (17). Entreprise du Club Placo® : Mandon Fils Prix du Jury : Église Saint-Vincent, Cabrières-d’Avignon (84). Entreprise du Club Placo® : Atelier Zambelli Patrick Prix du Public : Maison individuelle, création d’un escalier sur voûte sarrasine. Entreprise du Club Placo® : SARL Bonnin Dugué
Il y a 2 ans et 250 jours

Entretien avec Pierre Knoché, DG France de Kiloutou

D’où vient Kiloutou ? Depuis quand l'entreprise existe-elle ?Pierre Knoché : Le groupe Kiloutou a été fondé en 1980 par Franky Mulliez avec la volonté de devenir la première chaîne française de location de petits matériels et outillage. Tout a commencé avec 3 agences dans le Nord, aujourd’hui elles sont 564 réparties en France, en Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et depuis peu au Danemark et au Portugal. Aujourd’hui la société s’est considérablement développée avec un élargissement de sa gamme sur le matériel de terrassement, d'élévation et de véhicules et l'extension à l'international. Le parc matériel compte actuellement 265.000 matériels.Quelle est la place de Kiloutou sur le marché ? Comment décririez-vous l’évolution du marché de la location de matériel ?Pierre Knoché : Kiloutou est actuellement le 3ème loueur de matériel européen et 95% des clients sont des professionnels (aussi bien les grands acteurs du BTP, que les artisans ou les industriels).L’évolution du marché de la location de matériel est désormais orientée vers la lutte contre le réchauffement climatique :On sait que 20% des émissions de CO2 d’un chantier sont liées au fonctionnement du matériels (Etude Carbone 4 pour la FNTP - périmètre France). De sa fabrication à sa fin de vie, en passant par son usage et sa maintenance, un matériel à motorisation électrique rechargée sur le réseau, à hydrogène vert ou biogaz, permet jusqu’à 60% de réduction des émissions de CO2 par rapport à un modèle thermique.Notre principale préoccupation est donc de pouvoir proposer des matériels plus respectueux de l’environnement et moins émetteurs de CO2, sans faire de compromis sur leur performance. Désormais nous devons composer avec un mix énergétique (électrique, hybride, H2 et les biocarburants qui ont chacun leurs limites). Ces nouvelles technologies manquent encore de maturité (manque d’infrastructures de recharge à proximité des chantiers par exemple), mais nous ne pouvons pas passer à côté étant donné les avantages qu’elles apportent : réduction des émissions de CO2 et de particules fines, mais également des nuisances sonores pour les riverains ou encore des vibrations pour les compagnons.Ces grandes évolutions supposent aussi que l’on accompagne nos équipiers : notre force commerciale, formée à analyser chaque chantier pour déterminer le parfait mix usage / performance ; et dans nos ateliers, nos équipes techniques qui seront garantes de la pérennité de cette flotte.Quelles innovations pensez-vous avoir apporté au secteur ?Pierre Knoché : Dès 2007, Kiloutou a formalisé une stratégie RSE d’ampleur et est devenu en 2012 le premier loueur à établir le bilan carbone de ses locations. En 2012 nous avons signé le Global Compact qui nous engage à aligner notre stratégie sur 10 principes touchant les droits de l’Homme, les normes du travail, l’environnement et la lutte contre la corruption.Plus récemment, en 2021, Kiloutou a lancé la gamme iMPAKT qui réunit plus de 3500 matériels électriques ou hybrides, tous recensés dans le Guide des Matériels alternatifs, qui permet aux clients de comparer chaque matériel avec son équivalent thermique et ainsi de rendre compte des économies de carburant réalisées et les émissions de CO2 et de bruit évitées.Par la même occasion, le Groupe a lancé la première édition des Rencontres du Matériel Durable (RMD), qui réunit fabricants, clients et fédérations professionnelles afin de débattre et d’imaginer les solutions des chantiers de demain. Parce qu’il est évident que pour atteindre nos objectifs de réduction des émissions carbone à tous, c’est ensemble que nous devons travailler.Grâce aux études commandées par Kiloutou aux cabinets Carbone 4 et Arthur D.Little, les participants ont pu peser les pour et les contres des diverses énergies alternatives et avoir un aperçu du mix énergétique projeté à 2030 suivant deux scénarios : l’un conservateur, l’autre plus agressif. Ils ont également débattu de plusieurs propositions qui seront faites au Gouvernement. Rendez-vous est déjà donné en février prochain pour la 4ème édition.Et parce que la RSE comprend évidemment l’environnement, mais aussi l’Humain, Kiloutou s’est doté depuis plusieurs années d’une gamme de matériel dédiés à la sécurité et l’ergonomie sur les chantiers nommée Kare. On y retrouve notamment l’ergosquelette - qui permet de soulager les épaules dans une posture bras hauts, le gabarit laser - qui crée une frontière invisible pour éviter l’intrusion sur des chantiers à risque, le gilet connecté - qui prévient le risque de heurt engin-piéton, et le bras 0 gravité - qui soutient le poids d’un outil (jusqu’à 15kg) sans altérer la dextérité de son utilisateur. Ces dispositifs sont imaginés et conçus par des entreprises partenaires et nous fournissons à nos clients tout le conseil et leur mise en place directement sur les sites et chantiers.Quelle est la direction stratégique de Kiloutou dans les années à venir ? Avez-vous notamment des projets en cours en termes de digitalisation ?Pierre Knoché : Kiloutou a lancé son premier site internet vitrine en 2000. Aujourd’hui, il permet d’obtenir un devis et de réserver son matériel en ligne. Il est agrémenté de tutos vidéos pour permettre aux utilisateurs d’être le plus autonome possible. L’objectif est aujourd’hui de le rendre toujours plus personnalisé pour le client et d’en faire un réel apporteur d’affaires pour nos agences.Dans les en-cours, nous finalisons actuellement des projets qui avaient été mis en stand-by durant la crise sanitaire, notamment Youse : un système de partage de matériels qui vise principalement les clients industriels. L’objectif est de leur permettre, à travers une interface digitale, de mettre à disposition l’ensemble des matériels détenus ou loués à leurs équipes et prestataires et d’organiser un système de réservation. Cela permet d’amortir l’investissement, de limiter le nombre de matériels (et les émissions qui les accompagnent) sur un seul et même site et de verrouiller la responsabilité de chaque utilisateur.Nous poursuivons également notre partenariat avec l’entreprise Apizee pour la visio-assistance. L’objectif est de faire intervenir nos techniciens à distance afin de répondre aux questions de fonctionnement ou pannes légères. Sans application à télécharger, il permet 80% de résolution en moins de 4h et économise les déplacements.
Il y a 2 ans et 284 jours

Mecalac présente une toute nouvelle gamme de chargeuses compactes

Une gamme de 6 machines pour répondre à tous les besoinsLa nouvelle gamme Mecalac MCL comprend 6 modèles, de 1,74 t à 2,85 t :4 modèles à flèche longue (standard), adaptés aux besoins du segment agricole. 2 modèles à flèche courte, particulièrement adaptés aux besoins du segment de la construction.MCL2 : Son petit gabarit et sa transmission à moteurs roues lui permet d’évoluer avec agilité sur tous les terrains. Plus petite machine de la gamme MCL mais dotée de performances maximales, elle possède toutes les caractéristiques des grandes. Son poste de conduite moderne et ergonomique, protégé par un canopy, est également disponible en version cabine.MCL4 : Elle offre un excellent compromis entre compacité et performances de levage. Avec son moteur de 18,4 kW, c’est aussi la machine idéale pour les parcs de location qui souhaitent une machine performante et durable. Son poids de transport réduit permet de transporter la machine sur une remorque routière.MCL6 : Le meilleur de la MCL4 mais avec encore plus de puissance, son moteur de 36 kW lui permet notamment d’atteindre des vitesses élevées sur route. Son haut débit hydraulique et sa rapidité d’exécution permettent d’augmenter considérablement la productivité sur les chantiers.MCL8 : Puissance, grande hauteur de déversement et capacité de levage sont les maitres mots qui ont guidées la conception de cette machine. Elle est à l’aise dans toutes les circonstances que ce soit pour charger, manutentionner ou entrainer des accessoires hydrauliques.MCL4+ / MCL6+ : Des versions bras courts pour répondre aux besoins particuliers des différentes applications notamment pour le secteur de la construction en offrant une charge de basculement accrue.Toutes les machines seront disponibles en 3 versions : canopy, canopy avec toit escamotable ou cabine.Équipements et options exclusifsLes nouvelles chargeuses MCL pourront être équipées des dernières technologies Mecalac en matière de confort et d’assistance à la conduite parmi lesquelles :M-Drive : transforme votre machine en un porte-outil, vous pouvez contrôler la vitesse de la machine à la pédale à un régime moteur donné (accélérateur manuel)Speed-control : redéfinissez à la demande la plage de vitesse utilisable via la pédale d’avancement. Un choix d’une vitesse réduite permettra par exemple de réaliser des travaux de grande précisionMyMecalac Connected Services : maximisez l’utilisation de vos machines grâce à des données optimisées et accessibles, des temps d’arrêt réduits et une meilleure gestion de la flotteDigicode de démarrage : un clavier permettant de mieux contrôler l’utilisation de la machineCette nouvelle ligne de produits renforce encore la position de Mecalac sur le marché des chargeuses et permet d’accélérer le développement des segments de clientèles tels que les secteurs agricoles, du paysagisme ou de la location.
Il y a 2 ans et 358 jours

Bétons des Monts du Lyonnais : Des procédures adaptées à la gestion de 29 centrales

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine La qualité d’accès aux zones de chantier est indispensable à des livraisons en sécurité. [©BML] L’histoire de BML commence en 1960, avec la création de la société des Transports Ville, qui gère à l’origine du fret agricole. Les dirigeants créent, en 1969, Bétons de Monts du Lyonnais, avec une première centrale de BPE à Saint-Martin-en-Haut, à mi-chemin de Lyon et de Saint-Etienne. Aujourd’hui, BML compte 29 unités de production présentes dans toute l’Auvergne – Rhône-Alpes, réparties sur les départements de l’Ain, de l’Allier, du Cantal, de la Haute-Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône et des deux Savoie. Ces unités, très automatisées, emploient jusqu’à 3 opérateurs par centrale, auxquels il faut ajouter un responsable commercial. Les mesures de prévention se situent à trois niveaux : sur les sites des centrales, en phase de transport et lors de la livraison sur chantier. Les contraintes sont spécifiques à chaque situation et nécessitent des procédures adaptées. Pauline Mollo, responsable sécurité/environnement, précise : « Chaque salarié a son histoire, ses différentes expériences professionnelles. Mais globalement, chacun, avec plus ou moins de facilité, finit par s’adapter et respecter les différentes mesures de prévention et de sécurité que nous avons mises en place ». Gérer la prévention sur les sites de centrales Les risques se situent à plusieurs niveaux sur les sites de centrales de BPE. Le plus important reste la chute de plain-pied. En effet, les zones de travail et de déplacement sont souvent glissantes, du fait de la présence permanente d’eau liée à la fabrication du béton, aux opérations de rinçage et de nettoyage. Ces chutes de plain-pied sont souvent liées à une certaine précipitation des opérateurs, qui ne prennent pas assez en compte les conseils de prudence, sur les zones horizontales comme dans les escaliers. Les marches et revêtements anti-dérapants ne suffisent pas toujours. Ce qui impose des actions régulières de sensibilisation, ainsi que des procédures d’information pour les nouveaux arrivants dans l’entreprise. Ces procédures sont déclinées dans le livret d’accueil. Elles sont aussi rappelées dans le contrat qui lie le salarié à BML. La transmission de ces informations est assurée par le responsable hiérarchique direct. A droite, Pauline Mollo, responsable sécurité et environnement, et à gauche Stéphane Mazenod, responsable des transports. [©BML] Si l’ensemble de ces actions a permis de maintenir dans la durée un niveau de sécurité élevé, les dirigeants de BML ont dû renforcer les contrôles à la sortie de la période Covid et rapprocher l’espacement des “piqûres de rappel”. La raison est liée à une surcharge de travail engendrée par une forte reprise et par une pression accrue de la part des entreprises clientes. Une telle situation pousse le personnel à être moins vigilant et à accorder moins d’importance à la sécurité. La prévention sur les sites de centrales concerne aussi les chauffeurs, que l’on sensibilise sur les déplacements à pied. Tout nouvel arrivant reçoit un package complet de vêtements de travail et d’EPI. Le port de vêtements réfléchissants et de chaussures hautes est obligatoire. Les montées et descentes des camions doivent respecter 3 points d’appui. Le port des EPI doit être adapté aux tâches à exécuter. Par exemple, le port de lunettes et de bouchons auditifs lors du nettoyage à l’intérieur et à extérieur des toupies. Affiché dans chaque site et matérialisé au sol, un plan de circulation permet d’éviter toute co-activité entre les camions et le personnel à pied. Gérer le risque routier Stéphane Mazenod, responsable des transports, explique l’enjeu de la gestion du risque routier : « BML dispose de 170 toupies qui effectuent chacune en moyenne 25 000 km/an, soit plus de 4 Mkm/an pour l’ensemble de la flotte ». La direction sensibilise les chauffeurs, mais aussi les commerciaux, tout aussi concernés par ce sujet. Dès 2014, BML a anticipé la réglementation concernant les risques liés aux angles morts, avec des séances régulières de formation, d’information dans le magazine du groupe et/ou dans la feuille de paie. L’expérience montrant que les documents joints aux feuilles de paie étaient généralement bien lus. Dans les centrales, les zones de travail et de déplacement sont souvent glissantes et sources de chutes de plain-pied. [©BML] Des sensibilisations régulières sont aussi dispensées vis-à-vis de l’alcool et des drogues. L’usage du téléphone portable est interdit en l’absence de connexion Bluetooth, et surtout interdit en phase de manœuvres. Devant évoluer dans des régions au climat hivernal potentiellement difficile, certains camions sont équipés de pneus contact. Par ailleurs, les formations concernent le respect du code de la route, particulièrement sous l’angle des “interdictions poids lourds”, qui peuvent poser problème lorsqu’il faut approvisionner des chantiers situés dans des sites plus ou moins contraints. Les chauffeurs, qui livrent dans un périmètre de 20 à 30 km autour d’une centrale, connaissent bien leur territoire et peuvent être amenés à outrepasser la réglementation, pour donner satisfaction à leur client. Là encore, les commerciaux ont un rôle à jouer en amont, afin de vérifier la cohérence du parcours, en fonction du lieu de destination, mais surtout vis-à-vis de l’accès du chantier. Enfin, tant au niveau des centrales que des chantiers, le personnel est sensibilisé en cas d’incident ou d’accident, à réagir avec calme, en respectant une procédure “anti-panique”, avec des numéros d’urgence à leur disposition dans le livret d’accueil. Gérer la prévention sur les chantiers Pour le conducteur d’une toupie, la livraison sur chantier représente la phase la plus “à risques”, en termes de prévention, car il arrive dans un environnement nouveau, qui n’est pas toujours adapté au gabarit et au poids du camion. Là aussi, le rôle du commercial est primordial, c’est à lui que revient de vérifier avec son client la validité de l’accès. Soit par une vérification sur place, soit en s’appuyant sur les déclarations du client… qui n’a pas toujours, tout en étant de bonne foi, conscience des contraintes de manœuvre et de poids d’une toupie en charge… Vis-à-vis du risque électrique, tous les chauffeurs de véhicules pompes à béton ou tapis sont titulaires d’une AIPR. [©BML] En cas de situation critique, chaque chauffeur peut faire valoir son droit de retrait. Une situation critique peut être liée à la fragilité de l’accès, au devers, à l’impossibilité de manœuvrer en sécurité… L’usage fréquent d’une pompe à béton implique aussi que tous les chauffeurs conduisant ces engins soient titulaires d’une AIPR (Autorisation d’intervention à proximité des réseaux), vis-à-vis du risque électrique. « Nous devons convaincre les chauffeurs que le droit de retrait n’est pas un échec, mais un choix de sécurité, explique Stéphane Mazenod. Et Pauline Mollo, de préciser : « Certains peuvent être tentés d’assurer une livraison dans des conditions inappropriées, afin de satisfaire le client. Et nous devons absolument éviter cette configuration, qui peut mener jusqu’au renversement de la toupie ». Les chauffeurs ne sont jamais en grand déplacement. Pour leur pause de mi-journée, ils disposent d’une indemnité qui leur permet d’assurer un repas normal. Ou peuvent bénéficier des installations des centrales, lorsqu’ils se trouvent sur le site d’une unité à l’heure du déjeuner. Chaque centrale est pourvue d’un réfectoire et de sanitaires. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 11 jours

La mise au gabarit européen de l'Oise déclarée d'utilité publique

FLUVIAL. Le projet Mageo, mené par Voies navigables de France, a été déclaré d'utilité publique. Une étape clé pour les travaux de grande ampleur qu'il nécessitera, et au-delà pour la liaison Seine-Escaut et le canal Seine-Nord Europe.
Il y a 3 ans et 19 jours

La mise au gabarit européen de l'Oise entre Compiègne et Creil déclarée d'utilité publique

Le projet MAGEO (42 km depuis le pont SNCF de Compiègne jusqu’à l’écluse de Creil) a pour objectif d’aménager la rivière Oise pour permettre le passage de bateaux au gabarit européen Vb (4 400 tonnes, 180 mètres de long et 11,40 mètres de large). Le coût du projet est évalué à 341,8 millions d’euros TTC.
Il y a 3 ans et 25 jours

A Rennes, accueillir plus d'habitants est un exercice d'équilibriste

"C'est pas New York ici!", "Non à la tour infernale !". A l'entrée de Rennes, une dizaine de banderoles accrochées aux façades de petites maisons expriment l'exaspération d'habitants face à l'arrivée d'une tour de 17 étages."Accueillir des gens, on n'a rien contre, ce qui nous dérange c'est la hauteur, on n'est plus dans le raisonnable", s'inquiète Benjamin Hubert, membre du collectif "L'Enchanteur désenchanté".Plus à l'est, un autre collectif, "Voir le ciel à Rennes", tente lui de "faire descendre" un projet d'immeuble de 15 étages. "On construit ce qu'on veut où on veut sans concertation, comme dans les années 1960. Les gens sont effarés par tant de béton, avec des maisons qui tombent comme des petits pains", s'emporte Philippe, riverain.Certains se plaignent aussi des embouteillages. "Je ne reconnais plus la ville à taille humaine où je suis née. Il n'y a plus de fluidité dans les transports, et les tensions montent entre les habitants", juge Françoise, 44 ans, membre du collectif Coudurr (collectif uni pour une densification urbaine rennaise raisonnée). Il réclame une pause des projets "défigurant les quartiers" et un débat public sur la "croissance folle de la métropole".Selon l'Insee, la métropole rennaise connaît une "forte croissance démographique" depuis 30 ans, et devrait compter 100.000 habitants supplémentaires en 2040. Face à ces prévisions et aux 22.000 demandes de logement social en attente, la métropole envisage 30.000 nouveaux logements d'ici 2028."La vraie question n'est pas de dire +il nous faut 30.000 logements+ mais de savoir jusqu'où on peut densifier une ville sans la rendre impossible à vivre", interroge Jean-Pierre Renault, président de l'association "Les amis du patrimoine rennais".Traumatisme"Rennes c'est aussi la vie de ses quartiers au tissu pavillonnaire important, où règne une certaine nonchalance. Or quand la ville se construit sur elle-même à toute vitesse, on peut faire des erreurs et ne pas toujours respecter l'harmonie avec l'environnement", poursuit cet architecte, qui craint une "monotonie des gabarits d'immeubles" et une "perte de repères" des habitants.Selon Alain Bénesteau, directeur de l'Audiar, l'agence d'urbanisme de Rennes, l'agglomération rennaise reste deux fois moins dense que sa cousine nantaise. "Le phénomène de décohabitation, avec les séparations et le départ d'étudiants du domicile parental, mais aussi le vieillissement de la population, font qu'on a besoin de davantage de logements à population égale", explique-t-il.A cela s'ajoutent une démographie dynamique et un solde migratoire positif dû à l'attractivité de la ville, qui conjugue faible taux de chômage et proximité avec le littoral et Paris grâce au TGV."Sur 5.000 nouveaux habitants annuels, 2.800 sont issus du solde naturel", martèle Marc Hervé, premier adjoint PS à l'urbanisme, rappelant que la densification concerne "une surface marginale, mais très visible car sur les grands axes"."Ce sont d'abord les Rennais qu'il faut loger, car les Franciliens ne représentent que 10% des transactions immobilières", assure l'élu. Il reconnaît que le développement à la verticale de la ville "peut constituer un traumatisme".Afin d'améliorer la concertation, une charte incite désormais les promoteurs à informer la population avant le dépôt du permis de construire."On essaye de satisfaire une partie des revendications", assure Marc Hervé.Face à la hausse des prix de l'immobilier à Rennes - +11% en un an dans l'ancien - pas question toutefois d'arrêter de construire. "Il faut que tout le monde puisse trouver un logement, notamment les bas revenus, car on a besoin de tous les métiers", prévient Jean-Yves Chapuis, ancien adjoint à l'urbanisme.Pour Ana Sohier, ex-élue UDB (Union démocratique bretonne, autonomistes) au patrimoine, "il faut réinterroger le concept des métropoles". "On concentre, puis on se plaint de la densification. Aujourd'hui la question se pose de mieux répartir l'activité économique pour mieux répartir les habitants", argumente-t-elle.
Il y a 3 ans et 51 jours

Référence Chantier : Le Porzo

Un peu d’histoire… Le canal de Nantes à Brest est un canal à petit gabarit qui relie les villes de Nantes et de Brest et emprunte les vallées de l'Erdre, de l’Isac, de l’Oust, du Blavet, du Doré, du Kergoat, de l’Hyères et de l’Aulne ; ces rivières sont reliées par trois canaux de jonction franchissant des lignes de partage des eaux. Sa construction remonte à la première moitié du XIXe siècle et sa longueur totale est de 364 km. D’abord construit pour désenclaver le Centre-Bretagne et faciliter l’activité économique et industrielle, il a laissé aujourd’hui place aux pêcheurs, promeneurs et sportifs. Gabares et chalands disparus, le canal n’ouvre plus ses écluses qu’aux amateurs de canoës ou kayaks, aux plaisanciers sur voiliers, vedettes et autres bateaux motorisés, l'outil industriel et commercial s'étant mué en axe touristique. A partir de Pontivy pour se rendre à Nantes, les plaisanciers doivent utiliser un canal devenu artificiel. Le bief de partage n’étant plus alimenté par l’étang, en 1995 la Région Bretagne a dû construire une station de pompage au bord du blavet de la ville de Porzo pour récupérer l’eau du blavet et alimenter le bief de partage.Focus Cycle de l’eau – Approche « Preferred SOLUTION Partner »Être porteur de solution pour ses clients permet à Wilo France de se différencier, d’apporter une valeur ajoutée et une approche globale en tant que partenaire de transfert des fluides. Ainsi, l’approche globale « Preferred SOLUTION Partner » a permis aux équipes de Wilo France, avec le concours de leurs collègues de la Division Services pour toutes les prestations de services, de remporter un appel d’offre public pour le transfert d’eau du canal de Nantes à Brest avec une application de surpression dans un ouvrage en position horizontale et d’installer deux pompes de forage Wilo-EMU 24’’. La première pompe a été installée en 2020, la seconde en fin d’année 2021.Pour Ludovic Audic, Chargé de missions Génie Mécanique et Automatique Région Bretagne : « Les fournisseurs de pompes avec un tel débit aujourd’hui sont rares. Les pompes qui ont été fournies par la société Wilo, sont des pompes capables de pompés jusqu’à 750m3/h. »
Il y a 3 ans et 53 jours

Aco Showerdrain S+ : la solution idéale pour une douche à l’italienne raffinée en toute simplicité

Purement élégant« ACO Showerdrain S+, c’est une autre façon de concevoir le caniveau de douche. En effet, c’est son profilé haute qualité en inox AISI 304 et finition brossée, qui sublime la salle de bains avec élégance » précise Joëlle TSHIBANGU, Chef de Marché Marketing Building Drainage.En effet, ACO Showerdrain S+ se distingue par son design novateur et discret. La finesse du profilé et son esthétique pure séduisent dès le premier regard. Sa surface en acier inoxydable ultra moderne et intemporelle, se marie à merveille avec les salles de bains épurées.L’élégance de ce caniveau impressionne aussi grâce sa finition brossée et électropolie qui lui donne un éclat particulier et une grande durabilité.Deux design de grilles, aux lignes épurées, viennent subtilement habiller le profilé de caniveau et lui confèrent encore plus de raffinement.La couverture Stripe se distingue par ses fentes galbées qui vont charmer tous ceux qui recherchent un côté cosy et chaleureux, son débit d’écoulement s’élève à 36 l/min.Avec son design minimaliste, la couverture Plate s’invite dans les salles de bains à la décoration plus classique et insuffle une ambiance toute en sobriété. Une fente de 7 mm de largeur et de 13 mm de longueur favorise le ruissellement de l’eau en toute fluidité (débit d’écoulement : 30 l/min).Étonnamment simple à installerPlus facile à installer et à nettoyer, ACO Showerdrain S+ se révèle l’allié confort pour les poseurs.Un emballage pratique pour une pose en deux tempsL’emballage est composé de deux colis avec tous les éléments nécessaires pour installer le caniveau en deux temps. La boîte avec le profilé de caniveau contient également la grille, le filtre à cheveux et la rehausse ajustable. Une seconde boîte comprend le boîtier siphon, la cloche siphoïde et la protection de chantier.Le plombier installe le corps de l’avaloir, puis le carreleur réalise les finitions de la douche et positionne le profilé du caniveau avec la couverture pour une parfaite intégration avec le design du carrelage.Des pieds ajustables pour un réglage aisé de la hauteurUn kit de fixation est prévu il comprend notamment 3 pieds sécables qui facilitent la mise à niveau et l’ancrage dans le sol du boitier siphon et assurent un gain de temps pour l’installateur. ACO Showerdrain S+ s’accorde à tous les types de carrelage notamment la pierre naturelle. En effet pour les sols d’une hauteur supérieure à 10 mm, une rehausse ajustable sur chantier est fournie avec le profilé de caniveau (hauteur ajustable de 12 à 35 mm).Une natte d’étanchéité fiable collée en usineAvec une douche à l’italienne, l’écoulement de l’eau et l’étanchéité doivent être parfaites sous peine d’inonder toute la salle de bain. ACO Showerdrain S+ est proposé avec une natte d’étanchéité pré-montée en usine sur le boîtier siphon en PVC DN 50. Elle garantit un raccordement parfaitement étanche du caniveau à la douche italienne et offre plus de flexibilité à l’installateur.Protection de chantier astucieuseLe boîtier siphon est livré avec une protection sur laquelle apparait des points de centrage, cette même protection de chantier fait office de gabarit de positionnement afin d’aligner et installer aisément le caniveau de façon centrale ou directement contre la cloison du mur.Une solution modulaire pour un nettoyage aisé et une hygiène parfaiteACO ShowerDrain+ se révèle très facile d’entretien. Les différents composants sont démontables pour un nettoyage tout en confort.La cuve à triple pente intégrée en acier inoxydable et en pleine matière favorise un drainage optimal de l’eau vers la grille, sa finition électropolie donne un effet perlant élégant et réduit l’apparition de tâches d’eau séchées.Plus besoin d’outillages supplémentaires, grâce à l’ingénieux système « Tip & Flip », une simple pression du doigt suffit pour retirer la grille et accéder au filtre à cheveux pour une bonne évacuation après chaque utilisation.Pratique, la cloche siphoïde située à l’intérieur du boîtier siphon, est extractible en un tour de main et démontable en deux parties grâce à deux poignées.ACO Showerdrain S+, c’est l’assurance d’une hygiène irréprochable.Autres points forts du caniveau ACO Showerdrain S+4 longueurs sont proposées - 800 mm, 900 mm, 1 000 mm et 1 200 mm.Les longueurs 1 000 mm et 1 200 mm sont particulièrement recommandées dans le cadre d’installation pour les personnes à mobilité réduite.Afin de bloquer la remontée d’odeurs indésirables, deux tailles de gardes d’eau sont disponibles : 50 mm pour les douches normées (conformément à la norme EN 1253) et 30 mm pour la rénovation basse hauteur.La surface extra-plate et anti-dérapante du profilé de caniveau permet de marcher pieds nus en toute sécurité (classe de charge K3).« Une attention particulière fut accordée à la conception du caniveau. ACO Showerdrain S+ est une solution intelligente qui offre une grande flexibilité lors de l’installation, il permet de répondre à toutes les configurations et s’adapte à tous les types de carrelage grâce à la rehausse ajustable. Il a été conçu en tenant compte de toutes les phases de mise en oeuvre, de sorte que le processus est sûr et simple du début à la fin ». Stéphane Savary, Coordinateur Technique ACO France.
Il y a 3 ans et 86 jours

Investissement record pour le fluvial : VNF investira près de 345 millions d’euros en 2022

Cet investissement sans précédent est rendu possible grâce à l'augmentation de la dotation consacrée au fluvial dans le budget de l'Etat[1] et aux co-financements des projets fluviaux par les collectivités territoriales ou encore l'Union Européenne.Pour Thierry Guimbaud, Directeur Général de VNF, « nos capacités d'investissement records s'inscrivent directement dans le cadre du COP que nous avons signé l'an passé avec l'Etat et qui vise à faire du fluvial un pilier de la transition écologique. D'ici 2030, ce sont plus de 3 milliards d'euros qui sont envisagés d'être consacrés au réseau VNF sur la durée du contrat. Régénération, modernisation, développement, sécurisation des ouvrages, nous investissons partout où nous sommes présents pour mener à bien l'ensemble de nos missions de service public. Le fluvial est à la fois un écosystème vertueux offrant une réelle capacité de report modal pour une logistique plus sobre et plus sûre, une infrastructure au service de la cohésion et du développement durable des territoires, et il constitue enfin une réserve de plus en plus précieuse d'eau et de biodiversité ».Un investissement record pour VNF en 2022 grâce au plan de relanceVNF dispose pour 2022 d'un budget d'investissement qui atteint près de 345 millions d'euros pour fiabiliser, moderniser et développer ses infrastructures et renforcer le rôle du fluvial. En effet, après des décennies de sous investissements en faveur du réseau fluvial, VNF enregistre ces dernières années une hausse significative de ses crédits. Pour rappel, ils étaient de 170M€ en 2019. Sur la durée du contrat entre l'établissement et l'Etat les capacités d'investissements du fluvial seront de 300 millions d'euros en moyenne par an.Entre 2021 et 2023, l'établissement bénéficie d'une dotation de 175 millions d'euros dans le cadre du plan de relance de l'économie. Concrètement, ce budget complémentaire, permet d'accélérer la réalisation d'environ 100 projets de maintenance et de modernisation du réseau portés par l'établissement.C'est par exemple le cas du chantier en cours de confortement des berges du Canal du Centre sur plusieurs centaines de mètres à Ecuisses en Saône et Loire. C'est également le cas de l'écluse de Nourriguier qui connecte le port de plaisance de Beaucaire au Canal du Rhône à Sète et dont les travaux de réhabilitation d'un montant de 3 millions d'euros financés au plan de relance vont permettre la réouverture du secteur à la navigation d'ici l'été.D'importants travaux de régénération et de modernisation sur l'ensemble du réseauL'établissement consacre la grande majorité (trois quart) de son budget d'investissement à la régénération de ses infrastructures sur l'ensemble de son réseau.Cela se traduit par de nombreuses opérations de maintenance et d'entretien sur ses digues classées, ses écluses sur le petit comme sur le grand gabarit, ou encore ses barrages sur l'ensemble du réseau.Le réseau géré par VNF se caractérise par son étendue (6700km) mais aussi par un nombre élevé d'ouvrages (4000). Ce patrimoine comprend à la fois des ouvrages robustes mais très anciens, construits au XIXe siècle, notamment sur le réseau à petit gabarit et des ouvrages des années 1960-70 le plus souvent sur le grand gabarit dont les équipements industriels présentent des signes de vieillissement qu'il convient de régénérer.L'établissement porte en parallèle un ambitieux programme pluriannuel de modernisation du réseau intégrant la rénovation des infrastructures et l'intégration du numérique dans les modes de travail qui permettront une gestion du réseau plus moderne, un service plus réactif et performant et des conditions de travail plus sûres pour les personnels.Sur le grand gabarit, la commande et le contrôle des ouvrages (écluses et barrages) sont progressivement centralisées – c'est ce qu'on appelle la télé-conduite. Sur le petit gabarit, le réseau va être automatisé pour rendre l'offre plus attractive, donner plus de souplesse quant aux horaires de navigation et faciliter l'exploitation.A titre d'exemple, l'établissement engage cette année :le rehaussement du Pont de Carnon sur le canal du Rhône à Sète pour un montant de 2,3 millions d'euros ;le remplacement du barrage à aiguilles au Wacken à Stasbourg sur l'Ill canalisée pour un montant de 3,6 millions d'euros ;la reconstruction du barrage en rivière de Batardeau à Auxerre pour un montant global de 5 millions d'euros ;la restauration de la tête du tunnel-canal de Saint-Albin en Haute-Saône pour 7 millions d'euros ;la régénération des écluses de Gambsheim pour un montant global de 38 millions d'euros, avec le soutien financier de l'Europe.Et poursuit :la modernisation des barrages et le remplacement des portes des écluses sur la Moselle canalisée, pour un budget global de plus de 50 millions d'euros ;la mise en place de la téléconduite du réseau grand gabarit du Nord et du Pas-de-Calais pour un montant global de 36 millions d'euros.S'agissant de la gestion hydraulique, VNF poursuit ses investissements pour améliorer la supervision des niveaux d'eau afin de mieux anticiper la gestion quantitative et optimiser la ressource en eau pour assurer un meilleur partage de ses usages. Ainsi, VNF engagera 7 millions d'euros sur le Canal des deux mers pour la mise en place de capteurs de supervision des niveaux d'eau, la mécanisation et la télégestion des ouvrages hydrauliques d'ici 2025.VNF poursuit également les actions relatives à la sécurité des ouvrages hydrauliques avec environ 10 millions d'euros qui seront engagés cette année. A titre d'exemple, on notera le lancement des travaux de réfection du barrage réservoir de Bouzey alimentant le canal des Vosges à proximité d'Epinal.Seine Escaut, un investissement d'avenir pour les territoires européensComme en 2021, l'année sera ainsi marquée par une série de réalisations majeures visant à favoriser le développement de la logistique fluviale et notamment sur la partie française de la liaison européenne Seine Escaut, qui connectera à grand gabarit le bassin de la Seine avec le réseau fluvial de l'Europe du Nord, et favorisera le développement économique des territoires.En effet, l'axe Seine-Escaut, comprend la réalisation du Canal Seine Nord de 107km, pilotée par la Société du Canal Seine Nord, mais aussi la mise au grand gabarit de l'ensemble des canaux existants de l'axe logistique de la Seine à l'Escaut, soit 1000 km. VNF est maître d'ouvrage de toutes les autres parties françaises de l'axe. Ainsi, en 2022, ce sont de nouveau plus de 70M€ qui seront engagés notamment pour :Poursuivre : l'opération de remise en navigation du canal de Condé-Pommeroeul dans les Hauts de France ;les opérations de recalibrage de la Lys ;les opérations de recalibrage de La Deûle ;les travaux de modernisation des écluses de Méricourt ;la restauration de l'écluse de Denain (59) ;le chantier de modernisation pour un montant de 39 millions d'euros du barrage de Poses dans l'Eure, où plus de 6 millions de tonnes de marchandises et près de 10 000 bateaux transitent chaque année.Et lancer de nouveaux chantiers liés à la mise au gabarit de cet axe géostratégique, comme : l'allongement de l'écluse de Quesnoy-sur-Deûle (59), pour un budget global de 33 millions d'euros jusqu'en 2026 ;la rénovation des écluses de Bougival (78), représentant un budget de 7,2 million d'euros ;la réfection de la digue de Croissy-sur-Seine (78) pour plus de 10 millions d'euros ;la reconstruction du barrage de Beaulieu (10) pour un montant de 15,8 millions d'euros.VNF, avec l'appui de l'Europe et de la Région Hauts de France, aura ainsi investi près de 300 millions d'euros sur la période 2014-2022 pour le développement et la modernisation des 735 km de son réseau au sein de la liaison Seine-Escaut.[1] via l’Agence de financement des infrastructures de Transports de France – AFITF
Il y a 3 ans et 101 jours

Feu vert du Sénat à la prolongation de la Compagnie nationale du Rhône (CNR)

La proposition de loi portée par Patrick Mignola (MoDem), soutenue par le gouvernement, a déjà été validée à l'unanimité en première lecture par l'Assemblée nationale. Députés et sénateurs vont maintenant tenter de s'accorder sur un texte commun en vue d'une adoption définitive avant la fin du mois.Créée en 1933, la CNR s'est vu confier la concession du Rhône l'année suivante avec trois missions: la production d'hydroélectricité, la navigation fluviale et l'irrigation agricole.La concession de la CNR (1.400 salariés environ) arrive à échéance au 31 décembre 2023. Elle représente 27.000 hectares, répartis sur 3 régions et 11 départements. Elle inclut notamment 19 ouvrages hydroélectriques, 14 écluses à grand gabarit et 22 sites industriels et portuaires."Cette concession centenaire est devenue un formidable outil de transition écologique", a vanté la ministre chargée du Logement Emmanuelle Wargon. "Aujourd'hui c'est le premier producteur en France d'énergie exclusivement renouvelable, et ce avec un mix varié qui tire partie de l'énergie de l'eau, bien sûr, mais aussi du vent et du soleil".Le rapporteur centriste Patrick Chauvet a salué "un opérateur exemplaire pour la conciliation des activités économiques avec les enjeux environnementaux, l'implication des collectivités publiques aux côtés d'entreprises privées, et la complémentarité des missions énergétiques avec celles agricoles ou fluviales". La CNR "produit 25% de notre hydroélectricité", a-t-il souligné.Le Sénat a adopté une série d'amendements "qui ne modifient pas substantiellement l'équilibre général de la proposition de loi", selon le rapporteur.Sur le volet transition énergétique, les sénateurs suggèrent de favoriser "l'hydrogène renouvelable et bas-carbone" et "le photovoltaïque innovant".Ils ont également veillé à "mieux associer les collectivités territoriales" et "soutenir les professionnels agricoles"."Nous aurions aimé renforcer un peu plus la mission de préservation de la biodiversité", a déclaré l'écologiste Thomas Dossus.Une concertation s'est engagée dès 2016 entre l'Etat et la Commission européenne pour s'assurer qu'une prolongation de cette concession ne contreviendrait pas au régime des aides d'État, ou à celui des commandes publiques.
Il y a 3 ans et 102 jours

Perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil Biturbo : les premiers outils dotés du système électronique de détection d’angle

Leur moteur haute performance sans charbon combiné à la batterie ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah), offre un rendement très élevé. Avec un couple maximal de 150 Nm et jusqu’à 2 200 tours par minute, les deux outils garantissent une progression de travail rapide dans de multiples matériaux, notamment le bois, le métal et la maçonnerie.La fonction « Electronic Angle Detection » (EAD), une première sur le marchéGrâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique...Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant.L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précisGrâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique...Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant.L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précis.Une protection élevée de l’utilisateurPour une utilisation plus sûre, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO Bosch se caractérisent également par une protection élevée de l’utilisateur grâce au KickBack Control. Si l’outil se coince ou tourne brusquement sur son axe de perçage, le capteur intégré coupe le moteur en une fraction de seconde. Elle évite les risques de blessures. Si le KickBack Control n’est pas nécessaire pour certaines applications, par exemple lors du perçage avec une scie cloche, les utilisateurs peuvent activer et désactiver la fonction selon leurs travaux de vissage ou de perçage.Des outils robustes et ergonomiquesD’une grande fiabilité et d’une grande robustesse, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO sont dotées d’un mandrin métallique et d’un mécanisme d’engrenage tout en métal, ce qui accroît la longévité des machines. Leur design compact et ergonomique leur confère une bonne prise en main. Une poignée supplémentaire garantit aux artisans de toujours avoir leur outil sous contrôle. Elle peut être verrouillée dans 36 positions pour une flexibilité maximale.Les perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil BITURBO Brushless Bosch fonctionnent de manière optimale avec les batteries ProCORE18V haute performance de 5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah. Elles sont compatibles avec les anciens outils électroportatifs et chargeurs de même catégorie de voltage.
Il y a 3 ans et 121 jours

Les députés pour prolonger la concession de la Compagnie nationale du Rhône (CNR)

La proposition de loi portée par Patrick Mignola (MoDem), soutenue par le gouvernement et déjà approuvée à l'unanimité en commission, a été validée par l'ensemble des 65 votants. Elle doit maintenant être examinée au Sénat.La secrétaire d'État auprès de la ministre de la Transition écologique Bérangère Abba a salué "l'idée visionnaire" qui, en 1934, a conduit à confier à la CNR l'aménagement du fleuve matière hydraulique, de navigation ou d'irrigation notamment.Les barrages qui jalonnent le 3ème cours d'eau le plus long de France contribuent à près d'un quart de la production d'électricité d'origine hydraulique du pays, et les réalisations de la CNR en matière d'éolien et de photovoltaïque en font un acteur important en matière de transition énergétique, a-t-elle souligné."Au moment où les débats sur l'éventuelle ouverture à la concurrence des barrages en France suscitent régulièrement l'inquiétude, cette avancée législative ouvre une voie concrète pour requalifier la production d'énergie comme bien stratégique national, au titre des missions d'intérêt général auxquelles elle contribue", fait valoir M. Mignola.La mise à l'abri de la CNR de la concurrence au moins jusqu'en 2041, en particulier concernant ses installations d'hydroélectricité, a été saluée de toutes parts dans l'hémicycle du Palais Bourbon.Mathilde Panot (LFI), s'est félicitée de voir "la majorité abandonner ses ardeurs libérales" et André Chassaigne (PCF) a salué "l'approche guidée par l'intérêt général" de la CNR.A droite, Virginie Duby-Muller (LR) a émis la crainte que la prolongation jusqu'en 2041 de la concession ne "repousse le problème" avec la Commission européenne, et a appelé à "sanctuariser la production hydroélectrique française".La concession de la CNR (1.400 salariés environ) représente 27.000 hectares, répartis sur 3 régions et 11 départements. Elle inclut des notamment 19 ouvrages hydroélectriques, 14 écluses à grand gabarit et 22 sites industriels et portuaires."L'histoire particulière" de la CNR, un "joyau", et son mode de gestion intégrée du fleuve justifient la prolongation "sans mise en concurrence" de cette concession, qui arrive à échéance au 31 décembre 2023, a estimé M. Mignola.Une concertation s'est engagée dès 2016 entre l'Etat et la Commission européenne pour s'assurer qu'une prolongation de cette concession ne contreviendrait pas au régime des aides d'État, ou à celui des commandes publiques.L'exposé des motifs indique à ce propos que les services bruxellois ont, en octobre 2020, confirmé que "le projet ne nécessitait pas de notification à la Commission européenne au titre des aides d'État".
Il y a 3 ans et 124 jours

Tutoriel de montage adaptateur tout entraxe AX'O

L'adaptateur tout entraxe AX'O vous permet de compenser les entraxes de 55 à 130mm et de poser une robinetterie à entraxe 150mm. Universel, un seul produit vous permet de couvrir l’ensemble des entraxes et d'optimiser votre stock ! Visser les platines de réglage sur chaque sortieIntégrer le gabarit de poseVisser les 8 vis pour verrouiller entraxePlacer la plaque décor sur les platinesVisser les rondelles pour fixer la plaque décor L'installation est terminée, vous pouvez désormais installer n'importe quelle robinetterie entr'axe 150mm.
Il y a 3 ans et 131 jours

Brise-soleil orientable tout métal esthétique

Le brise-soleil orientable tout métal GM200 de Schenker Stores allie toutes les propriétés éprouvées d’un store tout métal à une technicité de pointe. Il est doté d’un mécanisme de guidage unique avec une chaîne et un système de pantographe. L’ensemble est conçu de manière à ce que le store puisse être verrouillé dans n’importe quelle position. La chaîne de relevage ne nécessite pas d’entretien. Elle est également disponible en acier inoxydable et avec des supports de lames spécialement traités pour des conditions environnementales agressives. L’atout majeur du BSO tout métal est l’apparence du tablier qui n’est affectée ni par la bande échelle, ni par la bande de relevage. L’entraînement est intégré de manière invisible dans les coulisses latérales, ce qui assure un obscurcissement maximal et une isolation thermique optimale. Le GM200 peut être doté de lames profilées (ép. 0,6 mm) ou de lames extrudées (ép. 1,2 mm) d’une largeur de 92 mm. Deux formes de lamelles sont proposées (ronde ou angulaire). Chaque lame est équipée d’un joint PVC (pour les lames profilées) ou d’une brosse (pour les lames extrudées) faisant office de lèvre d’insonorisation. Le gabarit des lames a été développé pour optimiser la réflexion de la chaleur vers l’extérieur et la transmission de la lumière naturelle à l’intérieur. La fonction “position de travail” permet de garder les lames ouvertes lors de la descente des stores. Il est très résistant au vent (classe 7). Grâce à son système de verrouillage contre la remontée, il satisfait également à des exigences accrues de protection contre l’intrusion. Cet article Brise-soleil orientable tout métal esthétique est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 172 jours

BOSCH PROFESSIONAL – Nouvelles perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil Biturbo : Les premiers outils dotés du système électronique de détection d’angle

Une progression de travail ultra rapide Bosch lance sur le marché les premières perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil BITURBO : la GSR 18V-150 C Professional et la GSB 18V-150 C Professional. Leur moteur haute performance sans charbon combiné à la batterie ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah), offre un rendement très élevé. Avec un couple maximal de 150 Nm et jusqu’à 2 200 tours par minute, les deux outils garantissent une progression de travail rapide dans de multiples matériaux, notamment le bois, le métal et la maçonnerie. Dans les applications de vissage doux, leur couple est de 84 Nm, soit 15 % de plus que le meilleur modèle du marché. Puissantes, avec la batterie ProCore18V de 8,0 Ah, ils peuvent ainsi visser jusqu’à 12 vis mesurant 12 x 400 mm dans du bois tendre, une performance inégalée jusqu’à présent.   La fonction « Electronic Angle Detection » (EAD), une première sur le marché La GSR 18V-150 C Professional et la GSB 18V-150 C Professional BITURBO Bosch sont parfaitement adaptées à la construction de maisons bois, de toits, de charpentes et toutes les applications nécessitant de grands diamètres de vissage et de perçage. Grâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique… Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée  les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant. L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Pour activer la fonction EAD, l’utilisateur choisit une valeur d’inclinaison puis place l’outil sur la pente jusqu’à ce que la valeur soit enregistrée. Une LED intégrée à l’arrière de l’outil s’allume en vert dès que l’angle réglé est atteint. Si l’angle est plus bas ou plus élevé de plus de ±3 degrés, la LED s’allume en jaune afin d’ajuster en conséquence. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précis.   Une protection élevée de l’utilisateur Pour une utilisation plus sûre, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO Bosch se caractérisent également par une protection élevée de l’utilisateur grâce au KickBack Control. Si l’outil se coince ou tourne brusquement sur son axe de perçage, le capteur intégré coupe le moteur en une fraction de seconde. Elle évite les risques de blessures. Si le KickBack Control n’est pas nécessaire pour certaines applications, par exemple lors du perçage avec une scie cloche, les utisateurs peuvent activer et désactiver la fonction selon leurs travaux de vissage ou de perçage.   Des outils robustes et ergonomiques D’une grande fiabilité et d’une grande robustesse, les  les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO sont dotées d’un mandrin métallique et d’un mécanisme d’engrenage tout en métal, ce qui accroît la longévité des machines. Leur design compact et ergonomique leur confère une bonne prise en main. Une poignée supplémentaire garantit aux artisans de toujours avoir leur outil sous contrôle. Elle peut être verrouillée dans 36 positions pour une flexibilité maximale. Les perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil Biturbo Brushless Bosch fonctionnent de manière optimale avec les batteries ProCORE18V haute performance de 5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah. Elles sont compatibles avec les anciens outils électroportatifs et chargeurs de même catégorie de voltage.   Prix de vente conseillés : GSR 18V-150 C en L-Boxx : à partir de 309 € H.T (version solo) GSB 18V-150 C en L-Boxx : à partir de 309 € H.T (version solo) Points de vente : Négoces en matériaux, Fournitures industrielles
Il y a 3 ans et 179 jours

Vendenheim : une plateforme logistique internationale en activité pour Hager Group

Inauguration de la plateforme de Vendenheim mardi 23 novembre 2021 Pour soutenir ses ambitions de croissance en Europe et se rapprocher de ses clients à travers le monde, Hager Group fait évoluer son modèle logistique à grande échelle. La nouvelle plateforme logistique de 27 500m² à Vendenheim (67) assure désormais la livraison des commandes vers l’export et réapprovisionne les autres entrepôts européens du groupe. Deux ans après le début de sa construction (2019), la plus grande plateforme du groupe industriel voit désormais son activité se développer progressivement. Dès le mois de mai 2021 l’activité avait démarré avec la mise en place d’un nouveau WMS (Warehouse Management System) et le lancement de l’activité manuelle pour les produits hors gabarit. Aujourd’hui, la seconde et dernière phase de démarrage correspond à la mise en activité du système automatisé de préparation de commandes. « Nous passons concrètement d’une configuration ‘proche de l’usine’ à une logique ‘proche du client’ avec l’accélération des flux pour répondre au plus vite, souvent dans les 24h, à nos clients. Nous transformons notre modèle logistique qui sera pleinement opérationnel d’ici la fin de l’année 2023. » explique Ralph Fürderer, Chief Technical Officer, membre du directoire de Hager Group et supervisant la construction du réseau logistique. Cet entrepôt permet de stocker des produits multi références des différentes marques du groupe. Alliant travail automatisé pour les produits modulaires (disjoncteurs, interrupteurs, …) et travail manuel pour les produits hors gabarit (goulottes, grandes armoires, …) le bâtiment intègre des technologies dernier cri. Un shuttle (ou système automatisé de préparation de commande) permet de préparer des cartons complets sans intervention humaine en parallèle d’une préparation de commandes au détail via des stations ergonomiques. A l’occasion du lancement officiel de l’activité du nouvel entrepôt en présence des élus et acteurs économiques locaux le mardi 23 novembre 2021, Daniel Hager, Président du directoire de Hager Group, complète « Depuis plus de 60 ans, nous nous développons et nous investissons en Alsace, au coeur de l’Europe. Cet investissement de 40 millions d’euros fait partie d’une stratégie de développement globale au service de notre avenir mais aussi de nos clients ». Cet investissement en Alsace sera suivi par d’autres, toujours dans la logistique, en France et en Allemagne. Ces deux nouveaux centres de distribution locaux assureront la distribution pour les deux plus grands marchés du groupe ainsi que pour l’Autriche et les Pays-Bas. Ils seront également approvisionnés par la plateforme logistique de Vendenheim. Chiffres clés plateforme logistique de Vendenheim : • 27 500m² donc 1 500m² de bureaux • 100 salariés sur site • 1 000 points de livraison à travers le monde • 60 camions/jour • 30 quais • 900 à 1 000 palettes expédiées quotidiennement • Un million de lignes de commandes par an • 30 000 références stockées
Il y a 3 ans et 269 jours

Le tunnelier Gaïa du chantier de construction de la centrale hydroélectrique CNR de la Sarenne (Isère) est baptisé

En raison d’une situation géographique complexe pour accéder au puit d’entrée située sur le village de La-Garde-en-Oisans, le tunnelier est arrivé en plusieurs pièces distinctes sur plusieurs jours du mois de juillet.Trois semaines ont été nécessaires à son assemblage avant d’entrer en fonction mi-aout.L’emploi du tunnelier Gaïa intervient dans le cadre d’un chantier de 36 mois relatif à la réalisation par CNR d’un nouvel aménagement hydroélectrique sur la rivière de la Sarenne, situé au milieu des montagnes iséroises. Il s’agit d’un tunnelier à roche dur, long de 170 m et de 4m20 de diamètre, équipé de gripper et de ski pour faciliter son avancement dans une pente à 23%.Une livraison en plusieurs phases due à un environnement contraintSon acheminement a nécessité plusieurs semaines d’organisation compte-tenu des contraintes d’accès du bourg de La Garde-en-Oisans, et s’est opéré sur plusieurs dates par convoi exceptionnel, équipé de 4 essieux directionnels pour s’assurer d’une bonne tenue de route :Le corps du tunnelier est arrivé jusqu’à la zone tampon de la base vie de Spie batignolles génie civil depuis l’Italie. Celui-ci a été déchargé le 16 juillet dernier à l’aide d’une grue de 200 tonnes.Le 19 juillet, les équipes ont réceptionné sur le chantier la grue mobile de 200 tonnes. Elle permettra d’assembler les pièces constituant l’avant du tunnelier. Au cours de la même journée, le corps du tunnelier a été acheminé jusqu’au chantier de La Garde, soit un colis de 63 tonnes sur une longueur de 12 m.Le 20 juillet, les équipes ont fait grimper deux grippers du Bourg-d’Oisans jusqu’à la plateforme de la Garde, pour un poids de 24 tonnes sur 4 m de long.Le 21 juillet, un convoi exceptionnel a transporté le convoyeur (13 m de longueur) et du matériel jusque sur la plateforme.Le 22 juillet, la roue de coupe du tunnelier, de 25 tonnes, est arrivée sur le chantier de façon quelque peu originale pour conserver un gabarit routier quasi classique. Celle-ci était tenue sur l’intégralité de sa longueur sur un attelage métallique, de façon semi-verticale. Au cours de la semaine 29, les pièces constituant l’avant du tunnelier sont arrivées en plusieurs colis directement jusqu’au site d’assemblage.Les équipes assemblent la première partie du tunnelier, à l’aide de la grue de 200 tonnes, correspondant à 110 mètres linéaires, qui sera ensuite lancée en galerie pour débuter le creusement en mode dégradé. Cette première étape devrait s’étendre sur 3 semaines (semaines 33 à 35). Lorsque le tunnelier aura atteint 80 ml, les équipes rajouteront les 7 dernières remorques et le convoyeur tunnel. L’assemblage nécessitera 3 autres semaines.Le creusement du tunnelier correspond au marché du lot 2 (sur les deux lots pilotés par Spie batignolles génie civil). Il évoluera sur un tracé de 2.3 km avec une pente de 23 %, depuis une galerie de 70 ml préalablement réalisée à l’explosif par les équipes de Spie batignolles génie civil.En fonction des caractéristiques de la roche, le soutènement sera adapté avec simple ou double boulonnage. Des voussoirs radier d’1m20 de diamètre seront positionnées au fur et à mesure de l’avancement du tunnelier. En raison de la présence de zones amiantifères, le tunnelier a été adapté pour garantir la sécurité des équipes (cabine de décontamination, etc). Les équipes de Spie batignolles génie civil ont prévu de faire fonctionner le tunnelier en condition amiante dès les premiers mètres creusés, pour s’assurer que les mesures de sécurité mises en place soient bien respectées. Fin de creusement prévue en avril 2022, sur la commune d’Huez.Un nouvel aménagement hydroélectrique pour accélérer la transition énergétique des territoiresCNR a lancé en mars 2021 le chantier de construction de la centrale hydroélectrique de la Sarenne (Isère), qui alimentera dès 2024 en électricité renouvelable l’équivalent de la consommation électrique de 16.000 habitants. La chute d’eau naturelle constituée par la cascade de la Sarenne représente un site de choix pour cet aménagement hydroélectrique dit de « haute chute » (735 m) et d’une puissance installée de 11 MW. Cet aménagement porte une attention particulière au respect de la biodiversité et à la prise en compte d’un environnement montagnard sensible.Il s’inscrit pleinement dans la stratégie de développement des activités hydroélectriques de CNR au-delà du fleuve Rhône, et représente, pour l’Isère, un nouvel actif de production d’énergie verte pour accélérer la transition énergétique du territoire.
Il y a 3 ans et 305 jours

Passage au Sénat : avancées et dangers de la Loi Climat pour le patrimoine

Après le vote en première lecture du projet de loi climat par l’Assemblée nationale et par le Sénat, sept associations et fondations de défense du patrimoine reconnues d’utilité publique font le point sur des dispositions votées par le Sénat dans 5 domaines.  Les dispositions approuvées par l’Assemblée nationale interdisant la destruction des seuils des moulins à eau ont fait l’objet d’un vote conforme du Sénat et sont donc acquises. Les associations se félicitent de ce coup d’arrêt donné aux atteintes portées à un élément important du patrimoine rural français.  En matière d’énergie éolienne, le Sénat crée la possibilité d’un veto de la commune devant accueillir un projet d’implantation. Cette disposition a notamment le mérite de permettre enfin aux habitants d’être informés en amont du dépôt d’un projet. Elle doit donc être saluée, encouragée et améliorée. En effet, le délai de 15 jours pour rendre cet avis ne permet pas l’organisation d’une analyse des projets ni d’un débat approfondi. De plus, les projets en cause concernent également les communautés de communes (EPCI), non visées par cette disposition. La déclinaison d’une Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) déraisonnable (6 500 nouvelles éoliennes terrestres à l’horizon 2028) en quotas régionaux n’a pas été amendée par le Sénat alors que sa simple « prise en compte » dans les documents d’urbanisme (dont les SRADDET) aurait été préférable à la « compatibilité » exigée par le texte de loi (voir ici). Les associations condamnent ce dispositif qui veut permettre d’imposer de manière abrupte des objectifs intenables. Dans le domaine de l’isolation thermique des bâtiments, les associations regrettent que la nécessité impérieuse de distinguer le bâti ancien d’avant 1948 de celui, moderne, d’après cette date, ne soit pas expressément rappelée et déclinée dans l’ensemble du texte. Elles s’inquiètent en particulier qu’aucune mention ne soit faite sur la spécificité des compétences et garanties requises pour l’établissement du diagnostic global sur cette catégorie à part du bâti qui constitue l’essentiel du patrimoine français. Les associations soulignent les conséquences de nouvelles mesures densificatrices (dérogations aux règles de gabarit notamment) pour les villes anciennes et s’étonnent que le recyclage du bâti vacant ne soit pas privilégié par une véritable politique d’aménagement du territoire. En matière de publicité extérieure, le Sénat fait de la compétence du préfet le principe mais donne la possibilité aux communes de l’en dessaisir « sans condition » même lorsqu’elles ne sont pas dotées d’un règlement local de publicité (RLP). Il confirme de surcroît la suppression du pouvoir de substitution reconnu aux préfets lorsque les communes compétentes sont inactives. Une France « mosaïque » sans politique nationale des paysages est ainsi encouragée. Les associations : La Demeure Historique – Maisons Paysannes De France – Patrimoine Environnement – Rempart –  Sauvegarde De L’art Français – Sites & Monuments – Vmf
Il y a 4 ans et 52 jours

Mise au gabarit européen de l’Oise entre Creil et Compiègne : enquête publique jusqu’au 29 avril 2021

Des séances de consultation publique sont en cours dans les communes concernées par le projet de Mise au gabarit européen de l’Oise (Mageo) entre Creil et Compiègne. Elles seront clôturées le 29 avril prochain.
Il y a 4 ans et 80 jours

Felix Clercx et Fiberdeck donnent naissance à… Felix Distribution

Il y a plus d’un an, le groupe français Forestia, principalement connu pour sa filiale de bois composite Fiberdeck a repris l’importateur de bois tropicaux néerlandais Felix Clercx, fondé en 1891. Malgré la pandémie de Coronavirus, l’année écoulée s’est avérée très fructueuse et les sociétés Felix Clercx (BV & Gmbh) et Fiberdeck (SAS) implantées aux Pays-Bas, en Allemagne et en France ont décidé d’unir leurs activités pour donner naissance à Felix Distribution. – Fiberdeck, spécialiste des bois composites co-extrudés à très longue durée de vie propose une gamme complète qui comprend des lames de terrasse, des clôtures et du bardage. – Felix Clercx, avec sa marque FelixWood®, apporte son savoir-faire unique et reconnu en matière d’importation de bois tropicaux et feuillus de qualité avec une certification de gestion durable. Felix Distribution devient le spécialiste des produits d’aménagement extérieur en bois et bois composite qu’il distribue en Europe avec ses marques : Fiberdeck® (bois composite), FelixWood® (bois exotique), Cobrafastner® (fixation & structure terrasse) et Owlialights® (éclairage terrasse). D’autres marques exclusives selon chaque pays complètent l’assortiment : Fiberon®, Newtechwood® (bois composite), Moso® (thermo-bambou) et Bfix® (fixation terrasse). « L’UNIFICATION DES GAMMES OFFRE À NOTRE CLIENTÈLE EUROPÉENNE UN PLUS LARGE CHOIX DE PRODUITS ATTRACTIFS ET BIOSOURCÉS. » Les valeurs des deux entreprises se reflètent également dans cette nouvelle entité. Chez Felix Distribution, l’humain est au centre de tous les projets. La qualité des relations avec ses différents partenaires, employés, clients, fournisseurs et prestataires est la priorité. Les efforts sont concentrés sur la satisfaction de leurs besoins en développant des services adaptés FELIX DITRIBUTION ASSURE UNE QUALITÉ DE SERVICE À TRAVERS TOUTE L’EUROPE Les synergies entre les plateformes logistiques de Helmond (NL) et Lille (FR) permettent d’améliorer la réactivité de livraison et d’offrir davantage de produits avec une préparation de commandes à la pièce. UN NOUVEAU SITE … Pour améliorer la communication, un nouveau site internet www.felixdistribution.com avec une plateforme BtoB facilite les échanges de données et d’informations avec les clients et partenaires. Cette plateforme BtoB s’est enrichie de nouvelles fonctionnalités comme une banque d’images multimarques, des fiches techniques, ainsi que des configurateurs de terrasses et de clôtures 3D : fr.mydeckplanner.com et fr.myfenceplanner.com. RENDRE LES PRODUITS PLUS ABORDABLES AVEC UN CONSEIL PERTINENT, MAIS AUSSI SIMPLIFIER LA RELATION CLIENT, TEL EST L’OBJECTIF. Notre planète a des ressources limitées. Felix Distribution a délibérément fait le choix de commercialiser des nouveaux produits pratiques, fonctionnels et à longue durée de vie, mais surtout respectueux de l’environnement. 100% des bois sont d’origine légales, et plus de 50% des volumes sont déjà certifiés FSC®. Tout est mis en œuvre pour proposer d’ici 5 ans 100% de bois certifiés. L’entreprise est exemplaire au Pays-Bas dans l’application de la législation EUTR et en tant que membre de l’association FSC® Tous les bois composites sont fabriqués avec 95% de matières plastiques recyclées. Sur l’année qui vient de s’écouler cela représente 6 500 tonnes de déchets plastiques qui ont été transformés en produits très durables. Tous les déchets de bois entrant dans la fabrication des lames composites sont certifiés FSC®. L’utilisation de polyéthylène recyclés d’origine européenne dans les bois composite permet de réduire de plus de 50% les émissions de CO2 par rapport à l’utilisation de plastique vierge. C’est une première étape dans la démarche de réduction de l’empreinte carbone du groupe. Évitons le gaspillage, en utilisant des produits éco-conçus, à longue durée de vie et respectueux de notre environnement. Felix Distribution : DES PRODUITS « SMART » ET UN COMMERCE ÉQUITABLE POUR L’HOMME ET L’ENVIRONNEMENT. FELIX WOOD Felix Clercx, fondée en 1891 à Helmond (Pays Bas) est une entreprise familiale qui a développé son savoir-faire à travers 3 générations dans l’importation et la distribution de bois exotiques. L’entreprise a été rachetée par le groupe Forestia en décembre 2019. La marque FelixWood® a été créée en 1992. Elle est reconnue dans l’univers des bois de jardin haut de gamme (terrasse et clôture). En provenance principalement d’Indonésie et d’Afrique, les bois tropicaux sélectionnés sont déjà à plus de 50% certifiés FSC® et 100% d’origine légale. Felixwood® propose aussi un bois feuillus européen : le Robinier (naturellement imputrescible) et une gamme de bois thermo-chauffés pour offrir une alternative aux bois exotiques. Les bois thermo-chauffés sont très stables et durables sans traitement chimique. Les bois FelixWood® sont sélectionnés selon un cahier des charges très strict avec un contrôle permanent de ses partenaires pour s’assurer d’une qualité homogène. www.felixwood.com FIBERDECK Fiberdeck® a été créée à Lille (France) en 2006 dans le but de développer des produits en bois composite pour l’aménagement extérieur. Les lames de terrasse, de bardage et de clôture distribuées par Fiberdeck® ont été développées à partir des dernières technologies de co-extrusion. La co-extrusion consiste à appliquer un film de protection de polyéthylène à la surface des lames. Cette technologie révolutionne le marché du bois composite. Elle permet de régler les problèmes récurrents de taches et de décoloration des lames composite de première génération. Avec un retour d’expérience de près de 10 ans, Fiberdeck garantie ses produits sur une durée de 20 ans en utilisation résidentielle et 10 ans en utilisation commerciale contre toute décoloration. Lancée en 2019, la première lame de bardage à claire-voie co-extrudée WEO est certifiée par le CSTB (Centre Scientifique Technique du Bâtiment- Paris) avec un ATEx (Avis Technique Expérimental). Une lame a l’aspect résolument moderne sans aucun entretien, avec une couleur d’origine garantie pendant 20 ans. Les produits Fiberdeck® sont simples à entretenir et durent très longtemps. Ils sont fabriqués à partir de 95% de déchets recyclés et n’utilisent pas de résines polymères vierges. Le bois, qui représente 60% du volume des produits provient de déchets (sciures) d’industrie du meuble. Il est certifié FSC. Réalisée à partir de déchets recyclés, la matière produite est 100% recyclable et ne libère aucun produit toxique. Les bois composite Fiberdeck® offrent ainsi une alternative séduisante par rapport à d’autres matériaux moins durables et moins simple à entretenir. www.fiberdeck.com COBRAFASTENER Les produits Cobrafastener® ont été mis au point pour faciliter la mise en œuvre des terrasses en bois et bois composite et augmenter la durée de vie de leur structure. Le dernier produit mis au point est le clip Cobra Hybrid. Il s’agit d’un clip universel qui permet de fixer les lames de terrasse en bois composite. Ce clip bi-matière est constitué d’une plaque en inox crantée et d’une vis pré-équipée dans le clip. Il permet un gain de temps à la pose de 30% par rapport à d’autres clips. Il s’ajuste à la rainure de la lame. Sa vis est compatible pour être utilisée sur des lambourdes en bois exotique ou aluminium. Cobrafastener®, est aussi une gamme de cales, plots réglables Nivo, d’un concept de structure aluminium Structural et des ancres de fondation. La gamme est complétée par des outils comme le redresseur de lame de terrasse, un gabarit de pose, des forêts, permettant de faciliter la mise en œuvre. Avec les produits Cobrafestener® la pose des terrasses en bois devient plus facile et plus durable. www.cobrafastener.com
Il y a 4 ans et 81 jours

Yoonseux Architectes : Groupe scolaire Élisabeth Badinter

L’agence d’architecture Yoonseux Architectes, fondée par le duo franco-coréen Kyunglan Yoon et Philippe Seux, vient de livrer le Groupe Scolaire Élisabeth Badinter, une intervention qui attire l’attention et contribue au renouveau de friches industrielles d’Asnières-sur-Seine (92). Implanté dans la ZAC Asnières - Bords de Seine sur d'anciens sites industriels, dans le secteur des Grésillons, le Groupe scolaire Élisabeth Badinter est bâtiment formant un socle surélevé signé B. Ropa (2013). À la demande de la Ville d’Asnières-sur-Seine, les architectes ont surélevé l’édifice, afin de mettre en évidence l’environnement bâti, le gabarit des lignes de toitures et l’architecture de l’établissement.La surélévation se développe en strates horizontales, qui s’accumulent verticalement et se décalent à chaque niveau vers l’Est. Les dix classes, l’atelier, la bibliothèque centre documentaire et les locaux annexes s’étagent désormais en terrasses successives du premier au troisième niveau. Le projet se déploie en trois strates horizontales : une bande de classes maternelles (R+1), une bande de classes élémentaires (R+2), ainsi qu’un un atelier lumineux et ouvert se prolongeant sur une terrasse extérieure (R+3). Subtilement conçue, la surélévation laisse un recul important à l’Ouest, et crée ainsi un front horizontal de constructions en balcon les unes sur les autres. Destiné à accompagner le renouveau du quartier des Grésillons, la surélévation du Groupe scolaire Élisabeth Badinter se démarque par la simplicité de ses volumes, le vocabulaire sophistiqué de ses façades et l’usage singulier de ses matériaux, ainsi que par ses espaces modulables. Le volume de l'atelier et l'échelle des volumes soulevés, par exemple, confèrent au projet sa forte identité. Volume flottant au-dessus du socle initial, la nouvelle architecture de l’établissement multiplie les expérimentations. Les matériaux, choisis selon la typologie des espaces, définissent à la fois le système fonctionnel et la contemporanéité de l’architecture, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur de l’équipement. La palissade de béton percée et l’enveloppe en cuivre prennent des couleurs changeantes, tandis que les classes, très lumineuses, s’habillent de bois clair. Avec ce beau projet de surélévation, l’agence Yoonseux Architectes propose un équipement scolaire contemporain, chaleureux et ouvert, adapté aux nouvelles pratiques pédagogiques. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Yoonseux Architectes. Visuels : © Yoonseux ArchitectesLa rédaction
Il y a 4 ans et 85 jours

Voies navigables de France annonce un investissement de 300 millions d'euros pour développer le trafic fluvial

"La capacité de financement des investissements de VNF est portée à 300 millions d'euros pour 2021, mais aussi 2022, accélérant l'augmentation du programme d'investissement de ces dernières années", indique dans un communiqué l'établissement public qui gère la majeure partie du réseau fluvial français et bénéficie de crédits issus du plan de relance gouvernemental.Le budget dédié aux investissements était de 170 millions d'euros en 2019 et de près de 220 millions en 2020, précise VNF.Le principal exploitant du trafic fluvial note que 2020 a été "marquée par une série de réalisations majeures pour l'établissement, visant à favoriser le développement de la logistique fluviale".Une grosse partie du budget a été engagée "sur la partie française de la liaison européenne Seine Escaut, qui connectera à grand gabarit le bassin de la Seine avec le réseau fluvial de l'Europe du Nord, et favorisera le développement économique des territoires". En jeu en particulier: des modernisations d'écluses et de barrages.Cette année, "de nouveaux projets vont être lancés (...) pour continuer à soutenir le développement et la régénération du réseau fluvial" : rénovation d'écluses, reconstruction ou confortement de barrages..."Il est important de rappeler que ce mode de transport bas carbone concourt directement, de par ses très fortes capacités de chargement, à lutter contre le réchauffement climatique, qui est un objectif plus que prioritaire", souligne le directeur général de VNF Thierry Guimbaud, cité dans le communiqué.
Il y a 4 ans et 94 jours

ZW France annonce la sortie d'ARCHLine 2021

Dans cette version 2021, vous découvrirez de nombreuses nouveautés qui contribuent à accélérer et à améliorer le flux de travail de conception et de documentation.Les principales nouveautés :1. Fonction Pousser/Tirer: La fonction Pousser/Tirer, bien connue des utilisateurs de logiciels de conception 3D est désormais intégrée afin de vous donner toujours plus de possibilité et de fluidité dans la modélisation de vos modèles 3D. Utilisez cet outil pour créer des solides en 3D à partir de contours en 2D et transformez vos solides en bâtiment paramétrique en un clic !2. Références externes IFC, RVT, DWG, PDF… : Cette fonctionnalité permet de lier des fichiers IFC, RVT, DWG, PDF au sein du projet. L'utilisation de Xref est la meilleure option pour visualiser du contenu externe à des fins de coordination.Le fichier IFC, RVT, DWG, PDF est automatiquement mis à jour lorsque vous ouvrez le projet et peut être mis à jour à tout moment. De plus, le modèle importé est traité comme une unité. Le modèle est affiché en 2D / 3D et les données BIM associées peuvent être visualisées.3. Nouvelles classifications IFC :La classification IFC est un outil universel pour communiquer des informations BIM dans un format standardisé. Le système de classification permet aux différentes parties d'avoir une compréhension commune de tous les éléments. Divers systèmes de classification des informations sur les bâtiments sont utilisés au niveau international, (OmniClass - Etats-Unis, Uniclass 2015 - Royaume-Uni). En outre, vous pouvez classer les éléments en fonction de n'importe quelle norme nationale. ARCHLine.XP est prêt à intégrer toute sorte de matrice et convention BIM au format Excel. Il est également possible de gérer les normes industrielles et les bases de données personnalisées, afin de partager des données de la classification IFC avec tout le monde, même s'ils utilisent des logiciels différents.4. Calepinage intégré dans les styles : Une nouvelle fonctionnalité vous permet d'intégrer un style de calepinage complexe à un style de mur existant. Vous pouvez créer des systèmes de fixation et des structures complexes et les intégrer à des motifs de calepinage.5. Gabarits Métier : Un gabarit de projet est un environnement de départ pour un nouveau projet.Le gabarit contient les paramètres personnalisés par défaut pour le projet et détermine les unités de mesure par défaut, les styles, les calques, la structure des niveaux et du bâtiment et les mises en plans. Si le gabarit par défaut n'est pas tout à fait adapté à votre méthode de travail, vous pouvez le modifier selon vos propres besoins et l'enregistrer comme gabarit personnalisé. L'utilisateur peut créer ou enrichir ses propres gabarits.Plus de détails et d'informations, vidéos & tutoriels PDF sur : www.archline.fr
Il y a 4 ans et 134 jours

Nouvelle gamme de pompes à chaleur Heiwa Pro Essentiel ZEN dédiée au petit tertiaire

Ces performances énergétiques sont dans la continuité des valeurs durables et responsables que défend la marque pour ses pompes à chaleur. Pour accompagner au mieux les professionnels dans leur quotidien, la gamme HEIWA PRO se compose de 3 solutions de chauffage et climatisation à hautes performances avec une fiabilité maximale et qui s’adaptent à toutes les configurations d’espaces.Une gamme entièrement modulable et facile à poser pour l’installateurPour une plus grande flexibilité, les 3 produits de la gamme sont entièrement modulables et compatibles avec une seule gamme de groupes extérieurs. HEIWA a engagé une véritable démarche de recherche et développement sur leur design pour les rendre extrêmement compacts et faciles à transporter pour les installateurs.Pour une plus grande facilité d’installation, la configuration des produits est adaptée aux grandes surfaces, avec une longueur de liaison entre l’unité extérieure et l’unité intérieure qui peut aller jusqu’à 75 m, une longueur idéale pour les petits commerces par exemple.Des pompes à chaleur adaptées aux spécificités du petit tertiaireAfin de répondre aux spécificités du petit tertiaire qui nécessitent des produits endurants et fiables, les solutions de la gamme HEIWA Pro Essentiel ZEN sont toutes équipées du compresseur le plus avancé de la gamme HEIWA. Elles proposent un excellent indice SEER jusqu’à 6,8 en mode froid et peuvent être utilisées sur une large plage de fonctionnement : entre -20° et +48° en mode froid et de -20° à +24° en mode chaud. Très modulable selon la configuration des bureaux ou des locaux commerciaux, la nouvelle gamme HEIWA PRO permet de connecter jusqu’à 4 unités intérieures de la même puissance à l’unité extérieure. Pour simplifier la gestion des locaux commerciaux ou des espaces de travail au quotidien, il est possible de relier l’ensemble des unités intérieures à une gestion technique du bâtiment centralisée type GTB (gestion technique des bâtiments) grâce à la passerelle Modbus en option.Grâce à un contrôleur central à écran tactile associé à la passerelle Modbus il est possible de contrôler entièrement jusqu’à 36 unités intérieures de la gamme Heiwa PRO. Les produits ont été pensés pour faciliter leur maintenance. Les gainables et les cassettes sont équipés d’une pompe de relevage pour faciliter l’évacuation des condensats et permettre plus de souplesse lors de l’installation. Sa hauteur de refoulement jusqu’à 1m assure une grande flexibilité de positionnement dans l’installation. Les codes erreurs s’affichent aussi directement sur l’écran de l’unité intérieure (ou sur la télécommande filaire) ce qui facilite les interventions des installateurs.Du confort pour les usagers des bureaux et des locaux commerciauxLa gamme HEIWA Pro offre de multiples options pour le confort des usagés, parfaitement adaptées aux espaces collectifs. Les produits HEIWA peuvent être 100% connectés pour faciliter leur usage. Autonomes, ils disposent d’un mode automatique qui génère la bascule entre le mode chaud et le mode froid selon la température de consigne (entre 16° et 30°). Les usagers ou les vendeurs, par exemple, n’ont donc plus à se soucier de régler la température intérieure pour le confort de leurs clients ou de leurs collaborateurs. Par ailleurs, grâce à la fonction « SetBack » l’administrateur peut définir une plage de température minimum et maximum ainsi que le mode souhaité (froid ou chaud). Si les usagers le souhaitent, ils peuvent aussi utiliser la fonction verrouillage sur un mode et une température unique. Pour gagner du temps, toute la programmation initialement installée est conservée dans le cas d’une coupure de courant grâce à la fonction redémarrage automatique. Pour plus de facilité dans le contrôle de l’installation, l’ensemble de la gamme peut être connecté au réseau wifi.Les solutions HEIWA sont très adaptées au rythme et à l’usage des locaux commerciaux ou des bureaux. Elles sont équipées d’un mode absence longue durée, idéal pour faire des économies d’énergies lors des périodes de congés ou de fermetures annuelles. Alors que nombreux espaces commerciaux sont dépourvus de fenêtre, et qu’elles peuvent parfois être inaccessibles dans les bureaux, il est peut être compliqué d’aérer. La fonctionnalité « Air Neuf » renouvelle l’air d’une pièce en cas de mauvaises odeurs ou d’un besoin de ventilation. Pour un maximum de confort à destination des clients ou des collaborateurs, la fonction « silence » permet aux systèmes HEIWA de se faire discrets.Le gainable Heiwa PRO Essentiel ZenLe système gainable permet de chauffer efficacement l’intérieur de son entreprise en toute discrétion et en préservant le design des espaces. De 5kW à 12,1kW, la nouvelle gamme gainable Heiwa PRO Essentiel Zen offre un large choix de puissances. Afin de pouvoir s’adapter parfaitement aux différents usages des locaux, la marque Heiwa a développé son propre Zoning sur la solution gainable. L’usager peut alors contrôler la température de manière indépendante dans chaque zone, et jusqu’à 6 zones, grâce à un thermostat radio ou filaire. Chaque composant du zoning HEIWA (plénum de soufflage, plénum de reprise, passerelle de communication et centrale de contrôle zoning) a été étudié pour s’adapter sur mesure aux différentes unités intérieures. L’ensemble du Zoning est entièrement pré- monté et la configuration est extrêmement simple.Le gainable HEIWA Essentiel Zen PRO peut se décliner en deux autres modèles. Le gainable Essentiel Zen 5 Kw SLIM est idéal pour les faux plafonds, les combles ou les encadrements réduits. Son design optimisé permet de réduire le niveau sonore et d’améliorer le rendement du système. Le gainable Essentiel Zen Haute Pression est quant à lui destiné aux espaces plus grands qui nécessitent plus de pression. Un kit d’accessoires d’isolation est inclus lors de l’achat d’un système gainable de la gamme Heiwa PRO quel que soit le modèle.La cassette Heiwa PRO Essentiel ZenLa gamme cassette Heiwa PRO Essentiel Zen permet de répondre aux principaux besoins des espaces commerciaux avec un design élégant et un confort maximal. Sa pose est un véritable gain de temps pour l’installateur grâce à son carton d’emballage conçu pour servir de gabarit. Les capots d’angles escamotables situés aux 4 coins de la façade, permettent d’ajuster facilement la hauteur de l’unité par les trappes d’accès, et ce, même après avoir installé la grille. Pour optimiser le confort des utilisateurs, l’orientation de chaque volet peut être pilotée indépendamment à l’aide de la télécommande filaire.Le plafonnier Heiwa PRO Essentiel ZenLa technologie et l’efficacité au service des gros volumes et des grands espaces du petit tertiaire. Les angles des volets du plafonnier Heiwa PRO Essentiel Zen permettent un balayage spécifique en mode froid comme en mode chaud et améliorent le confort de l’habitat.
Il y a 4 ans et 143 jours

Que peut-on faire avec une défonceuse ?

La défonceuse, voilà un outil encore peu connu par les amateurs, mais très utilisé par les professionnels. Malgré son nom, cet appareil est pourtant polyvalent et permet de réaliser de nombreux travaux. La défonceuse est un outil électroportatif que l’on utilise en menuiserie ou en ébénisterie. De quoi s’agit-il exactement ? Comment l’utiliser ? Le fonctionnement de la défonceuse Que vous soyez un amateur ou un professionnel du bricolage, vous avez déjà sûrement entendu parler de la défonceuse. Si ce n’est pas le cas, la défonceuse n’est autre qu’une fraiseuse portative. Elle est généralement composée d’un moteur, de deux poignées, d’une fraise et de deux colonnes. Vous trouverez ensuite les boutons de marche/arrêt, de réglage de vitesse ou encore de réglage de la profondeur. Son moteur peut réaliser près de 30 000 tours par minute. La fraise est maintenue par une grosse pince. Celle-ci s’active une fois que le moteur est allumé et travaille selon les profondeurs voulues. Sa position est réglable à l’aide d’une butée et d’un ressort. Un levier permettra de soulever la fraise à la fin du travail. Il s’agit d’un outil polyvalent à l’origine utilisé manuellement. Aujourd’hui, la plupart des défonceuses comme celles proposées par J2F Solutions sont dotées d’une commande électronique et servent à encastrer les ferrures et les serrures. À cela s’ajoutent des variateurs de vitesse et des manches plongeants. Selon le modèle choisi, elle permet de réaliser des travaux de haute précision, notamment de miniature et de modélisme. En plus des gros meubles, la défonceuse facilite aussi la création d’instruments à cordes ou de jeux en bois. Elle permet même de créer des bijoux ainsi que des décorations murales. Quels travaux peut-on réaliser avec une défonceuse ? La défonceuse permet de réaliser des bords sophistiqués ou de créer différents types de dessin et d’illustration sur le bois. Elle sert également à raboter le bois pour garantir une finition impeccable. Elle est très pratique dans les ateliers de menuiserie, d’ébénisterie et de lutherie. L’encastrement de ferrures et de serrures L’encastrement avec une défonceuse se fait rapidement, elle réalise un travail propre et précis vous permettant de placer les ferrures et les serrures avec précision. L’affûtage des bords d’une pièce en bois Façonner les arêtes et des angles sont des travaux inhérents au métier de menuisier. Ils permettent de donner davantage d’esthétique à la réalisation. Si auparavant on le faisait manuellement, désormais, l’utilisation d’une défonceuse facilite grandement la tâche. Les finitions sont beaucoup plus nettes et le travail des rainages et des feuillures est plus précis. La découpe des dadoes Pour soutenir solidement les étagères en bois, on utilise ce qu’on appelle les dadoes. Il s’agit d’une sorte de canal permettant à deux pièces en bois de s’emboîter l’une dans l’autre. Un dado est découpé dans le sens du grain du bois pour garantir leur solidité. Avec la défonceuse, vous avez la possibilité de réaliser une rainure parfaite, selon les gabarits qui conviennent. Le marquage incrusté En plus des travaux techniques, la défonceuse permet de réaliser des décorations, notamment le marquage par incrustation. Avec cette méthode vous pourrez incruster des éléments décoratifs, en bois ou autre matière, dans votre pièce de bois. L’utilisation de la défonceuse aide à réaliser des profondeurs précises pour les objets incrustés. La réalisation de joints queue d’aronde Les joints en queue d’aronde sont typiques des menuiseries modernes. Ils permettent aux dadoes de tenir quelle que soit la taille et le poids du meuble. Il s’agit d’une douille en bois qui sert de vis ou de clou. La défonceuse aide à la réalisation de queues d’aronde transversales ou coulissantes selon les besoins. Comment garantir le bon fonctionnement de la défonceuse ? La première étape consiste à fixer la fraise, en l’insérant dans le mandarin. Un interrupteur bloque le plateau pour éviter les accidents. Vous n’aurez donc pas à gérer l’appareil pendant que vous insérez la fraise. Vous devez ensuite régler la profondeur de la coupe avec la tige de butée. Le réglage doit se faire manuellement à l’aide d’une molette. Attention, l’outil doit être hors tension durant cette étape. Ce n’est qu’après que vous pouvez le mettre en marche. Quelles sont les conditions d’utilisation d’une défonceuse ? Pour plus de sécurité, le montage d’une défonceuse doit se faire hors tension. Une fois mise en marche, elle tourne à grande vitesse. Cela peut provoquer un accident. L’appareil doit être le plus ergonomique possible pour garantir la sécurité et le confort d’utilisation. Il est plus facile de travailler avec un appareil léger et facile à manier. Changez également la fraise régulièrement pour garantir la qualité de vos travaux et la durée de vie de votre défonceuse. La manipulation de la machine est plutôt destinée au professionnel, mais avec les bonnes précautions, un particulier pourra s’en sortir. Choix d’une défonceuse : sur quels critères se baser ? Pour garantir son efficacité et sa longévité, le choix d’une défonceuse ne doit pas se faire à la hâte. Les critères de base dépendent surtout de vos besoins et de l’ampleur des travaux à réaliser. Vous aurez donc à définir la puissance de l’appareil. Une défonceuse de 1 000 W permet de réaliser des travaux de finitions de qualité. Pour les grands travaux, vous devez monter à 1 200 W. Assurez-vous aussi de la praticité de la machine, notamment au niveau de sa vitesse et de sa profondeur de coupe. Une butée assez profonde est indispensable pour apporter de la précision dans l’usinage du bois. Avec un variateur de vitesse, vous pouvez réaliser un travail de finition parfait. Vous pouvez en effet travailler facilement en fonction de la nature du bois. Il est également important de vérifier le diamètre et la taille de la porte-fraise. Généralement, ceux-ci varient de 6,8 mm à 12 mm. L’idéal c’est d’avoir plusieurs formats de porte-fraise. La défonceuse parfaite est celle qui permet l’utilisation de plusieurs accessoires, notamment ceux de sécurité. Il est préférable qu’elle ait un adapteur pour aspirateur pour gagner du temps et pour travailler confortablement. Et le plus important, votre machine doit avoir une prise en main facile. Elle ne doit être ni trop lourde ni trop légère. Elle doit être facile à manipuler qu’elle soit portative ou fixée sur un plan de travail. Le plus important c’est de toujours vous baser sur vos besoins pour garantir le choix parfait.
Il y a 4 ans et 152 jours

Rénovation du cours Napoléon à Ajaccio en Corse du Sud

Le cours Napoléon est l'axe routier principal reliant la partie Est et Ouest d'Ajaccio. Pour la Ville, ce chantier a valeur de symbole, à plusieurs titres. Outre l'opportunité de moderniser et d'embellir la principale artère commerciale du centre-ville et d'améliorer le cadre de vie de ses habitants, sa rénovation s'inscrit dans le cadre du dispositif national « Action Cœur de Ville », outil en faveur de la redynamisation et de l'attractivité du centre-ville.« Ce projet a vu le jour grâce à une demande de financement de la Ville d'Ajaccio auprès de l'ex conseil général de la Corse-du-Sud. Cette démarche s'inscrit dans une réflexion plus large, autour de la problématique de l'interconnexion des quartiers, la réorganisation que l'on souhaite autour de la mobilité en centre-ville dans le cadre du Plan de Déplacement Urbain, l'étude de l'offre commerciale et culturelle ou encore la question du stationnement… Ce projet est une des étapes clé pour repositionner l'hyper-centre ajaccien » précise Stéphane Sbraggia, premier adjoint en charge du projet urbain et de la redynamisation du commerce et de l'artisanat.Ce chantier fait l'objet d'un permis d'aménager avec avis conforme de l'architecte des Bâtiment de France (ABF).Axe névralgique d'Ajaccio, le cours s'étend sur une distance de 875 mètres de linéaire allant de la place Abbatucci au carrefour du Diamant. Le secteur n'avait pas bénéficié de travaux de requalification depuis près de quarante ans. Avec le temps, il a accumulé des contraintes en matière de circulation et de stationnement et des problématiques de réseaux vieillissants.Les différentes études et diagnostics de terrain ont conduit la Ville à se positionner sur « un renouvellement de l'existant en matière de revêtement, d'éclairage public et de mobilier, mais aussi une meilleure adaptabilité du projet vis-à-vis de ses usages futurs » souligne la Direction Générale des Services Techniques.Parmi eux, la création d'une voix de bus dédiés aux véhicules de transport en commun à gabarit réduit et aux cyclos5 secteurs remarquables identifiésLes aménagements prévoient l'adaptation des voies de circulation, le réaménagement des trottoirs, un important plan de végétalisation (arbres, jardinières…) ainsi que le changement du mobilier urbain et la modernisation de l'éclairage public.Cinq zones bénéficieront d'un traitement particulier en raison de l'intérêt patrimonial qui a été relevé. Ainsi, il sera aménagé de nombreux plateaux traversants, dans le but d'améliorer la sécurité des piétons.Concertation et adaptabilité des travauxDès la phase de diagnostic, les grands principes d'aménagement ont été menés dans une concertation avec tous les acteurs impliqués, élus, directeurs, associations de commerçants, riverains etc… La première phase de ce grand chantier s'est achevée durant l'hiver 2019/2020, avec la réhabilitation de l'Église Saint-Roch. Le projet comprenait notamment sa mise en lumière et la restauration de sa façade, le renouvellement du revêtement de son parvis et la création d'un plateau piéton traversant et surélevé. Ce secteur préfigure de l'ensemble du programme une fois celui-ci achevé. Pour s'intégrer parfaitement au cadre patrimonial du quartier, c'est un dallage en granit beige qui a été privilégié, ainsi qu'un nouvel éclairage public LED aux décors floraux et d'inspiration « rétro », et des mobiliers urbains en pierre ou en acier Corten.La deuxième phase de l'opération concerne le parvis de la Préfecture et se concentre dans un premier temps sur la reprise du réseau pluvial souterrain. Elle se poursuivra d'ailleurs sur le secteur Lantivy et sur la zone remarquable Beverini/avenue Pascal Paoli. Le calendrier des travaux, traités par secteurs, est soumis à des adaptations conjoncturelles régulières, dans le but de limiter les conflits d'usage et l'impact sur le tissu commercial déjà particulièrement malmené.La municipalité envisage de mettre en place différents outils pour favoriser la concertation avec les usagers du Cours, comme la création d'une commission de proximité et la rédaction d'une charte mobilière et paysagère. « L'acceptabilité du projet est une des clés de sa réussite. Les outils de concertation sont là pour aider les usagers, la population et le citoyen plus largement à se l'approprier et à visualiser sous un nouvel angle la ville de demain. C'est aussi une opportunité de repenser les usages du domaine public avec les commerçants » poursuit l'élu.Un cours « plus végétal »Si le plan d'aménagement prévoit de préserver au maximum l'insertion paysagère actuelle la Ville souhaite vivement renforcer la présence du végétal sur cette artère principale.La place de l'arbre est au cœur des politiques environnementales d'aujourd'hui et l'espace urbain a vocation à évoluer dans ce sens. La requalification du cours Napoléon concernera donc également l'aspect végétal. Au total c'est près de 20% d'arbres en plus qui sont prévus sur le cours Napoléon, noblesse oblige. Les services finalisent un cahier des charges qui permettra de choisir, en tenant compte des contraintes d'usage appréhendées et de leur adaptation au changement climatique, les essences à planter, soit en plus des arbres existants, soit en remplacement de ceux qui, en raison de leur état de santé, ne pourront être conservés.Aussi, la parole des commerçants et des riverains sera prise en compte afin dans la définition de ce qui constituera leur nouveau cadre de vie.Indépendamment des arbres dits « d'alignement », des zones dédiées au végétal sont également envisagées là où l'espace public le permet, participant ainsi à la densification du tissu végétal et contribuant à la résorption des îlots de chaleur et à l'amélioration de la qualité de l'air.
Il y a 4 ans et 156 jours

Podcast #3 – Renforcer une structure par des matériaux composites

ACPresse – Renforcer une structure – Raconté par Yann Butillon ACPresse · Renforcer une structure par des matériaux composites à base de fibres de carbone Quelles sont les solutions permettant un renforcement structurel d’un ouvrage en béton ? Plusieurs raisons imposent de renforcer une structure en béton : impact accidentel ou incendie, erreur de conception ou de positionnement des armatures, mise en conformité d’un ouvrage existant ou encore changement de destination de l’ouvrage. Selon le type d’ouvrages, la nature de la dégradation, le moment de l’intervention ou l’accessibilité au chantier, les techniques de renforcement peuvent être différentes. On en dénombre six différentes. A un moment ou à un autre, un ouvrage aura besoin d’un entretien plus ou moins poussé, d’une réparation, voire d’un renforcement structurel. [©ACPresse] a – La projection d’un béton Projeter du béton sur une structure constitue la première solution de renforcement. Cette technique présente toutefois quelques inconvénients : elle est bruyante, émettrice de poussières et nécessite pas mal de manutention. Sans compter la création d’une surépaisseur et de poids sur la structure existante. La projection de béton constitue une des alternatives techniques, permettant une réparation et/ou un renforcement structurel. [©ACPresse] b – La précontrainte additionnelle par post-tension Cette technique est bien adaptée aux ouvrages de génie civil. Elle voit la mise en tension des câbles de précontrainte à l’extérieur de l’ouvrage. Son avantage est de permettre une importante reprise d’efforts. En bâtiment, sa mise en œuvre est beaucoup plus complexe, car elle impose des équipements lourds et un savoir-faire particulier. c – Le renforcement en sous-œuvre Il s’agit ici d’injecter en sous-sol un coulis ou un mortier qui, une fois durci, reprendra les efforts de l’ouvrage situé au-dessus. Bien maîtrisée et pérenne, cette technique reste limitée aux fondations, impose beaucoup de manutention, de produits et nécessite des équipements de mise en œuvre particuliers.    d – Le renforcement par plats métalliques Cette technologie consiste à coller et à cheviller des plats métalliques sur une structure en béton. La reprise d’efforts est importante et il y a peu d’immobilisation de l’ouvrage. Mais le métal est sensible à la corrosion. e – Le renforcement par profilés métalliques La mise en place de profilés métalliques demande de la manutention, du personnel et d’importantes étapes de chantier (engravures dans la structure existante pour scellement des poutres, mise en place de sabots…). On rapporte des épaisseurs supplémentaires qui peuvent être importantes et pas toujours compatibles avec des gabarits de passage imposés. Les profilés métalliques sont lourds et difficiles à manutentionner. Et peuvent être sensibles à la corrosion. f – Le renforcement par éléments composites Ces éléments de renfort sont constitués de fibres (de carbone, de verre ou d’aramide) maintenues dans une matrice (résine). Légers, les composites de renforcement se déclinent en plusieurs sous-familles et domaines d’emplois. Leur rôle est d’apporter une matière sans surépaisseur sur un ouvrage existant pour le renforcer et assurer ainsi une meilleure tenue, aussi bien à la flexion, qu’au cisaillement. Légers, les composites de renforcement se déclinent en plusieurs sous-familles et domaines d’emploi. [©Mapei] Quels sont les domaines d’emploi des composites de renforcement ? A vrai dire, les applications sont multiples. Cela va du renforcement de poutres, de trémies ou d’ouvertures, au chemisage de poteaux. L’application de composites de renforcement permet une augmentation de la résistance à la flexion, une réduction des effets du cisaillement ou une annulation du flambement. En effet, le manque de cadres dans une poutre aboutit à une hausse de l’effort de cisaillement. Idem avec le manque de cerces dans un poteau circulaire, qui peut induire du flambement. Quels sont les différents types de matériaux composites à base de fibres de carbone ? Et pour quels usages ? Il existe plusieurs types matériaux de renforcement à base de fibres de carbone, dont les principaux sont : les tissus, les lames et les mèches d’ancrage. Tous offrent un module d’élasticité élevé, les rendant aptes à reprendre des contraintes mécaniques importantes. Ces trois types sont proposés par Mapei, industriel qui nous a aidés à préparer le présent Béton Pratique. Les tissus s’appellent Mapewrap C Uni-Ax. Les lamelles sont baptisées Carboplate. Les mèches d’ancrage se nomment Mapewrap C Fiocco. a – Le tissu carbone Elément souple par définition, le tissu carbone permet d’enrober une surface pour en épouser au plus près la forme. C’est la solution idéale pour envelopper, par exemple, un poteau et une retombée de poutres. Le tissu impose l’utilisation d’un primaire d’imprégnation du support, puis d’une colle époxy spécifique. Collage de tissus carbone au niveau de la jonction entre deux poutres et un poteau. [©Mapei] b – La lamelle carbone Comme son leur nom l’indique, les lamelles carbone présentent une forme linéaire, plate et assez étroite. Elles se mettent en œuvre en sous-face de poutres ou de planchers par collage époxy. Elles peuvent se chevaucher pour former un quadrillage (cas des renforts d’ouverture). Il est aussi possible d’utiliser des lamelles en partie supérieure d’ouvrages. Dans ce cas, la création d’engravures est nécessaire pour intégrer et protéger les lamelles ainsi positionnées.   Renforcement de la sous-face d’une poutre de pont à l’aide de lamelles en carbone. [©Mapei] c – La mèche d’ancrage carbone La mèche se décompose en deux parties. D’un côté, le jonc (ensemble de fibres et de résine durcie maintenues dans une sorte de fourreau) et le fouet (ensemble de fibres libres non enduites). La partie “jonc” est à ancrer dans des trous pré-percés dans la structure à renforcer. Quant à la partie “fouet”, elle vient se positionner, par exemple, sur les retombées de poutres. Et éventuellement, sur des tissus carbone déjà en place pour assurer un parfait raccordement de l’ensemble. Mèches carbone et leur mise en œuvre. [©Mapei] Quelles sont les limites d’emploi et les précautions à prendre ? a – Que dit la réglementation ? A ce jour, les solutions de renforcement par matériaux composites à base de carbone ne bénéficient d’aucune uniformisation normative ou de certification. En France, les Avis techniques délivrés par le CSTB constituent les seuls documents certifiés et reconnus. Dans ce contexte, les industriels proposant ces solutions doivent former les bureaux d’études techniques et les entreprises applicatrices. b – Bon à savoir avant de commencer Le support à renforcer doit être sec. Il doit être poncé pour obtenir une surface propre et plane. Sa résistance à l’arrachement doit être d’au moins 1,5 MPa. Enfin, il faut s’assurer que l’ouvrage renforcé ne soit pas exposé de manière continue à une température supérieure de 45 °C de manière continue (ou à 58 °C de façon ponctuelle). En effet, les colles époxy sont sensibles à la chaleur, peuvent devenir visqueuses au-delà de ces températures, et perdre leur rôle mécanique au sein du composite. Dans le même ordre d’idées, une protection au feu est indispensable, si la vérification de la stabilité au feu de l’ouvrage le demande. Préparation du support à renforcer. Ici, l’opération de ponçage. [©ACPresse] Avec nos remerciements à Mapei pour l’aide technique apportée à la préparation de ce document.
Il y a 4 ans et 159 jours

LafargeHolcim : un nouveau four pour Martres-Tolosane

Avec nos remerciements à LafargeHolcim. Un mouchoir de poche. Ainsi peut être décrite l’emprise du chantier de construction du nouveau four de la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane, en Haute-Garonne (31). Conséquent, l’équipement doit s’insérer entre les deux fours existants, en service jusqu’à la fin des travaux, et un silo de stockage. « C’est une opération d’un montant de plus de 100 M€. Soit l’investissement le plus important réalisé par le groupe en France depuis 40 ans », souligne François Pétry, directeur général de LafargeHolcim France et Belgique. En fait, ces travaux s’inscrivent dans un plan global plus large de 300 M€ d’investissements sur l’ensemble des sites répartis sur le territoire national.  La nouvelle ligne de cuisson (four et tour de pré-chauffage) doit s’inscrire dans la zone comprise entre les fours en service et le silo en béton qu’on devine à gauche. [©ACPresse] A travers ce programme, LafargeHolcim cherche, en premier lieu, à pérenniser son unité de production, tout en l’inscrivant dans les préoccupations environnementales actuelles et futures. « Les anciens fours ont respectivement été mis en service en 1956 et en 1966 », rappelle Jean-Louis Sibioude, directeur de l’usine. Ils ont fait plus que leur temps. « Le nouveau four doit permettre de diminuer la consommation d’énergie électrique et thermique de la cimenterie de près de 20 %, donc son empreinte carbone. Ceci, en rendant possible la valorisation d’une part beaucoup plus importante des déchets. » En cours de construction, la future tour de pré-chauffage culminera à près de 100 m de haut. [©ACPresse] Le chantier de construction s’inscrit dans un véritable mouchoir de poche. [©ACPresse] Une haute technologie à basse émission de CO2 Dans sa future configuration, le site devrait tripler son taux d’utilisation de combustibles de substitution. Ici, l’industriel s’inscrit encore plus dans l’économie circulaire. En proposant un exutoire pour nombre de matériaux pouvant se substituer aux combustibles fossiles. « Grâce à ce nouveau dispositif, nous allons passer de 20 à 80 % de substitution », confirme Jean-Louis Sibioude. Un taux qui devrait être atteint à terme. C’est-à-dire dans les 12 à 18 mois après l’entrée en fonctionnement de la cimenterie “version 2020”.  Elément central de l’usine, le nouveau four dit “MK3” présente une longueur de 64 m pour 4,30 m de diamètre. Il s’agit d’un four dit de “haute technologie à basse émission de CO2”. Il est alimenté en énergie par une tuyère Pillard. Ce four remplacera les deux existants – qui seront démantelés -, pour offrir une capacité de production en hausse de 20 %. Ainsi, il sera en mesure de fabriquer environ 550 000 t de clinker par an. Soit plus de 770 000 t de ciments, contre 650 000 t aujourd’hui. Elément clef de l’investissement de 120 M€ destiné à moderniser l’ensemble de la ligne de production de la cimenterie, le montage du four s’est déroulé du 23 au 26 novembre dernier. Les 6 éléments (viroles) ont pu être assemblés grâce à d’importants moyens de levag. A savoir, trois grues mobiles de 250 t, 450 t et 500 t, ainsi qu’une grue à tour parmi les plus grandes en Europe (140 m). Opération de bétonnage de la superstructure de la tour de pré-chauffage. [ACPresse]L’ensemble des bétons représente un volume de l’ordre de 11 000 m3. [©ACPresse] Enfin une tour de pré-chauffage Mais la véritable nouveauté du site sera la tour de pré-chauffage. Culminant à près de 100 m de haut, elle abritera le dispositif de pré-calcination, conçu et fourni par CBM. Celui-ci verra se croiser les gaz chauds sortant du four et la farine crue qui donnera naissance au clinker. « La température dans la zone de pré-calcination oscille entre 300 °C en haut et 900 °C en entrée de four, détaille Jean-Louis Sibioude. Cette technologie assure environ 50 % de la cuisson de la farine. » Surtout, cette tour de pré-chauffage est le point d’entrée privilégié de l’essentiel des combustibles de substitution : pneus déchiquetés, combustibles solides de récupération (CSR) et autres copeaux de bois. « Il y a des discussions avec d’autres industriels locaux, cherchant des déchets à valoriser en combustibles », reprend François Pétry. Et Jean-Louis Sibioude, de compléter : « Tous les combustibles alternatifs proposés sont testés de manière très précise. Afin de connaître leur composition chimique, pour ne pas dégrader la qualité de notre clinker, donc des ciments produits ». En d’autres termes, LafargeHolcim – ni aucun cimentier d’ailleurs – ne brûle pas n’importe quoi dans ses fours… Ces massifs constituent les supports du futur four MK3 de la cimenterie de Martres-Tolosane. En arrière-plan, les deux fours actuels. [©ACPresse] Les segments du nouveau four attendent d’être installés et assemblés entre eux pour former un ensemble de 64 m de long pour 4,30 m de diamètre. [©ACPresse] Des pneumatiques entiers Un des points singuliers de la cimenterie de Martres-Tolosane est la mise en place d’une installation d’introduction de pneumatiques entiers, directement dans le four1. Cette approche permet d’éviter la phase préalable de déchiquetage. L’atelier a été mis en service en 2016, dans le cadre d’une précédente phase de travaux. Mais entrant dans le projet global de modernisation. Il a nécessité un investissement de 2,1 M€, dont 400 000 € financés par l’Ademe. Et a été construit sur mesure par ATS Walter. Pour assurer l’approvisionnement en pneumatiques, LafargeHolcim s’est rapproché d’un collecteur. Qui travaille avec des garagistes auprès desquels les pneumatiques sont récupérés. Celui-ci les trie et les lave avant de les livrer à la cimenterie. La collecte est opérée en local, dans le cadre de contrats pluriannuels avec engagement de fourniture des volumes minimaux. La capacité de traitement de l’atelier atteint 8 000 t/an de pneumatiques. Ce qui représente 15 % de l’apport thermique d’un des deux fours actuels de l’usine.  « Les pneumatiques n’ont pas d’impacts négatifs sur la qualité de la production, ni sur l’environnement de l’usine », rappelle Jean-Louis Sibioule. Bien au contraire, même. La fraction minérale, pour l’essentiel constituée de la trame en acier du pneumatique, assure l’apport en fer. Supprimant ainsi les besoins de compléments extérieurs. Ceci, en plus de l’apport énergétique… Assemblage de la partie inférieure du broyeur Loesche. [©ACPresse] Partie supérieure du broyeur, en cours de pré-assemblage. [©ACPresse] Pour la durée des travaux, l’atelier “pneumatiques” a été déplacé de l’autre côté des fours. [©ACPresse] Près de 11 000 m3 de béton Pour les besoins de la construction du nouveau four, l’atelier “pneumatiques” – du moins, la zone de stockage, de tri et de préparation – a été déplacé de l’autre côté des fours. En effet, la position initiale de cet atelier tombait au droit des massifs supports en béton du nouveau four. Outre la cuisson, les travaux de rénovation de la cimenterie de Martres-Tolosane se concentrent aussi sur le broyage amont. Qui permet l’obtention de la farine crue, et sur son acheminement en direction du pré-calcinateur. En aval, un nouveau refroidisseur IKN à grille pendulaire. Il vient se connecter sur le processus de fabrication et de stockage des ciments.  Le broyeur cru constitue le dernier élément imposant de la nouvelle ligne de production. De type vertical, il s’agit du modèle LM3000 2+2 de Loesche. Par rapport à l’ancienne installation, il devrait permettre de diviser par deux la consommation énergétique.  Bien que les équipements industriels occupent le devant de la scène, l’opération de transformation de l’usine n’en est pas moins consommatrice de béton. Ainsi, à l’image de Boccard, qui pilote le pré-assemblage des équipements, l’entreprise de BTP Eiffage Génie Civil assure la construction de la superstructure non métallique. Si les bétons restent classiques, ils représentent tout de même 11 000 m3, à mettre en regard des 4 000 t d’équipements et des 3 000 t de charpentes métalliques. « Des bétons fournis par LafargeHolcim, à partir d’une centrale à béton proche de l’usine », indique en conclusion Didier Michel, directeur du projet de modernisation pour LafargeHolcim.  Les deux fours originels de la cimenterie de Martres-Tolosane ont été mis en service en 1956 et en 1966. Ils seront démantelés après 2020. [©ACPresse] En jaune, toutes les parties conservées de l’usine. En gris et bleu, les parties nouvelles. [©LafargeHolcim] 1Lire CBPC 930, supplément de BLM n° 67, de novembre/décembre 2016. Un nouveau terminal ferroviaire Excentrée par rapport à l’actuelle zone de travaux de la cimenterie de Martres-Tolosane, une toute nouvelle unité de chargement de clinker est en service depuis quelques mois sur le site. Elle se substitue à un poste de chargement manuel (à l’aide d’une chargeuse sur pneumatiques). Cette installation permet à l’usine une expédition en direction de la station de broyage d’Angoulême, en Charente (16), distante de 400 km. Il s’agit de la seule partie de l’ex-cimenterie de La Couronne, qui soit restée en service, suite à l’arrêt de la production de clinker, du fait de la fermeture de sa carrière mitoyenne, dont le gisement était épuisé. Confiés à Chovet-DB2i (groupe Demathieu & Bard), les travaux ont nécessité un investissement de 4,4 M€. La pièce principale du dispositif est une trémie d’une capacité de 1 000 t, soit les deux tiers d’un train complet d’une vingtaine de wagons. De fait, cette trémie a un peu le rôle d’un stock-tampon. Elle présente un diamètre de 10 m, pour une hauteur utile (sans le cône) de 11 m. L’ensemble de la superstructure culmine à 24 m. Elle bénéficie de deux sorties : la principale, réservée au chargement des trains, et l’optionnelle, dédiée en remplissage de citernes sur semi-remorques. La reconfiguration de la zone a imposé de dévier la voie ferrée existante pour l’axer sous la trémie et, en même temps, répondre aux contraintes relatives au gabarit réglementaire des wagons. Afin de s’inscrire dans la charte environnementale du groupe LafargeHolcim, tout un système anti-poussière d’extraction, de transfert et de vidange du clinker dans les wagons a été mis au point par Chovet-DB2i. Grâce à cette nouvelle installation, le remplissage d’un wagon de 66 t se fait dorénavant en 10 mn et celui d’un train complet de 1 500 t, en 6 h. Grâce à sa nouvelle installation, la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane peut remplir de clinker un train complet de 1 500 t en 6 h.[©LafargeHolcim]