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Résultats de recherche pour grenelle

(863 résultats)
Il y a 96 jours

Rénovation (énergétique) des bâtiments : vite, la saison 2 !

LE REGARD DE PHILIPPE PELLETIER. Est-il temps, dix-huit ans après le Grenelle de l'environnement, d'ouvrir la "saison 2" de la rénovation énergétique ? C'est la conviction de Philippe Pelletier, qui en détaille le scénario.
Il y a 249 jours

La CAPEB se réjouit de la nomination d’un nouveau gouvernement affichant une volonté d’agir pour le logement et lui donne rendez-vous à Batimat

La CAPEB se réjouit de la nomination d’un nouveau gouvernement qui fait du logement une priorité politique claire, illustrée par la nomination d’une ministre dédiée, de plein exercice. La confédération appele à ce que cette priorité se concrétise dans le cadre de l’organisation d’un Grenelle du Logement consacré à la construction et à la rénovation, qui permettra de réunir tous les acteurs et ministères concernés pour repenser notre modèle.
Il y a 251 jours

La CAPEB se réjouit de la nomination d’un nouveau gouvernement affichant une volonté d’agir pour le logement et lui donne rendez-vous à Batimat.

Paris, 24 septembre 2024 – La CAPEB se réjouit de la nomination d’un nouveau gouvernement qui fait du logement une priorité politique claire, illustrée par la nomination d’une ministre dédiée, de plein exercice. Nous appelons à ce que cette priorité se concrétise dans le cadre de l’organisation d’un Grenelle du Logement consacré à la construction […]
Il y a 269 jours

Les Artisans du Bâtiment appellent le nouveau Premier ministre à la tenue d’un Grenelle du logement sans délai

La CAPEB adresse ses félicitations à M. Michel Barnier pour sa nomination au poste de Premier ministre. Cette nomination intervient dans un contexte où les besoins et les défis du logement sont considérables. C’est pourquoi la CAPEB appelle le Premier ministre à considérer ce sujet comme une priorité et à le traiter sans délai avec l’ensemble de la filière et en recourant à tous les leviers à sa disposition.
Il y a 363 jours

Le 6 juin, sur le Pont de Grenelle à Paris (XVe), les Français n’auront rien oublié

Les Français ont toujours chéri et apprécié la tradition d’amitié et d’alliance entre la France et les États-Unis qui remonte la Guerre d’indépendance des États-Unis en 1778. L’association « Les Français n’oublieront jamais » rappelle les liens d’amitié qui unissent les Français et les Américains et invite les lecteurs de Chroniques à la commémoration parisienne du 80ème […] L’article Le 6 juin, sur le Pont de Grenelle à Paris (XVe), les Français n’auront rien oublié est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 75 jours

« Révéler l’intelligence constructive » selon Eléonore Givry architecte

Diplômée de l’école d’architecture de Paris-Belleville, Eléonore Givry est engagée dans de nombreux projets de transformation architecturale. Parmi eux la rénovation du bâtiment Orion signé Jean Prouvé, prochainement inauguré sur la dalle Beaugrenelle (Paris XVe) ou encore le projet MurMure (Paris XIe), reconversion d’un ancien transformateur électrique en un pôle des métiers du son. (« […] L’article « Révéler l’intelligence constructive » selon Eléonore Givry architecte est apparu en premier sur Archi.
Il y a 1 ans et 186 jours

L’Etat mobilise les entreprises pour la biodiversité

Le premier « Roquelaure Entreprises & biodiversité » s’ouvre ce 29 novembre. Référence au Grenelle qui a placé la nature au cœur de...-Biodiversité
Il y a 2 ans et 25 jours

Au Sénat, un parfum de Grenelle de l’environnement

L’audition de la Capeb, de la FFB et du CSCEE au Sénat semblait vouloir les bases d’une politique lancée il y a quinze...-Artisans
Il y a 2 ans et 128 jours

Boris Ravignon, nouveau président-directeur général de l’Ademe

Boris Ravignon a été nommé président-directeur de l’Ademe. [©DR] Le conseil des ministres annonce la nomination de Boris Ravignon au poste de président-directeur général de l’agence de la transition écologique (Ademe). « C’est fort de mon ancrage local, de ma connaissance des problématiques environnementales et de mon engagement pour la transition écologique de mon territoire que je prends aujourd’hui la tête de l’Ademe. Le rôle de l’Agence est essentiel pour mettre en place les solutions vers une société neutre en carbone et plus sobre. Je suis très fier et honoré de mettre mon énergie au service des chantiers engagés par l’Ademe pour accompagner toujours plus d’acteurs à relever le défi du climat et de la préservation des ressources », a déclaré Boris Ravignon lors de sa prise de fonction. Lire aussi : Isonat reçoit une subvention de l’Ademe Le parcours de Boris Ravignon Boris Ravignon, 47 ans, est diplômé de l’Essec en 1998 et de l’Ena en 2002. Il a commencé son parcours professionnel en tant qu’inspecteur des finances. Puis, a rejoint le ministre de l’Intérieur en 2005 comme conseiller technique dans l’étude et prospective. En 2008, Boris Ravignon a pris en charge le développement durable des transports et de l’aménagement du territoire. Et est intervenu au Grenelle de l’Environnement auprès du cabinet du président de la République. En 2014, investi dans la politique ardennaise, Boris Ravignon a été élu maire de Charleville-Mézière. Puis, président d’Ardenne Métropole. Il sera réélu en 2020. Par la suite, il a été nommé vice-président de la région Grand Est, où il s’occupait de l’économie de la commande publique et des fonds européens en juillet 2021. Il quittera son mandat début 2023 suite à sa nomination en tant que président-directeur général de l’Ademe. Kelly Joseph-Louisy Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 183 jours

"Plusieurs scénarios" évoqués pour repousser l'âge de départ à la retraite

Attendu au tournant, l'exécutif reste en retrait. Des onze organisations syndicales et patronales conviées en bilatérales depuis deux mois, seule l'U2P aura été reçue cette semaine par le cabinet d'Olivier Dussopt, pour aborder le très sensible sujet du "financement du système de retraite".Une réunion de deux heures durant laquelle "plusieurs scénarios d'âge et de durée de cotisation" ont été présentés, indique Jean-Christophe Repon, vice-président de la fédération des artisans, commerçants et travailleurs indépendants.Des "simulations sur des variables possibles", basées d'une part sur un report à 64 ou 65 ans de l'âge légal actuellement fixé à 62 ans, et d'autre part sur une durée de cotisation relevée à 43 ans (172 trimestres) d'ici 2035 - comme prévu à ce stade - ou plus tôt.Pas enthousiasmé par la "vision haute" des 65 ans qui lui "paraît difficilement acceptable", le responsable patronal ne cache pas sa préférence pour l'option intermédiaire des 64 ans avec une accélération du calendrier sur la durée de cotisation.A condition cependant de conserver le dispositif permettant déjà à ceux qui ont commencé leur carrière jeunes (avant 20 ans) de partir deux à quatre ans plus tôt. "S'il y a un maintien des +carrières longues+ qui protège nos artisans, on peut voir un recul à 64 ans", estime M. Repon.Quant au rythme du recul de l'âge légal, bien qu'Emmanuel Macron ait à plusieurs reprises évoqué une hausse de 4 mois par an - pour atteindre 64 ans en 2027 puis 65 ans en 2031 - le vice-président de l'U2P a trouvé "les arbitrages moins affinés" sur ce point. En revanche tous les scénarios partent d'une entrée en vigueur dès l'an prochain, pour les personnes nées en 1961, "la génération clé", dit-il."On peut discuter"Des pistes en partie confirmées par Elisabeth Borne dans un entretien au Parisien mis en ligne jeudi soir. La Première ministre y affirme en effet que "la réforme s'appliquera à partir de l'été 2023", en commençant par ceux nés "aux deuxième semestre 1961", et qu'un "report progressif" à "65 ans d'ici 2031" permettrait "de ramener le système à l'équilibre dans les dix ans".Mais "on peut discuter" d'un "autre chemin", assure-t-elle, tout en excluant d'emblée "de baisser le montant des retraites ou d'alourdir le coût du travail par des cotisations supplémentaires". La cheffe du gouvernement s'engage néanmoins à maintenir "l'âge d'annulation de la décote" à 67 ans comme aujourd'hui, ainsi que "le système des +carrières longues+" défendu aussi par les syndicats.Au-delà de ces annonces, aucun document de travail n'a pour l'heure été diffusé aux partenaires sociaux, contrairement aux deux premiers cycles de concertation. Un "support de discussion" a bien été "projeté, mais on ne nous l'a pas donné", précise M. Repon, observant que "c'est la première fois qu'on ne l'a pas".Contacté, le ministère du Travail assure qu'un document de ce type sera bien versé au débat, sans préciser quand. Un signe de la prudence de l'exécutif, alors que les dix autres bilatérales sont toutes regroupées les 7, 8 et 9 décembre, selon les négociateurs contactés par l'AFP.Ce calendrier permet d'enjamber deux écueils: l'intersyndicale du 5, au siège de la FSU, où la question d'une date de mobilisation en janvier sera sans doute évoquée, mais aussi les élections professionnelles dans la fonction publique, qui ont débuté jeudi et s'achèveront le 8.Une fois passés les rendez-vous avec les syndicats, la Première ministre Elisabeth Borne dévoilera ses arbitrages dans le courant de la deuxième semaine de décembre. Juste avant les vacances de Noël, période peu propice à la mobilisation des salariés.
Il y a 2 ans et 212 jours

Rénovation énergétique : "Un rendez-vous manqué depuis le Grenelle", D.Dubreuil (Cler)

ENTRETIEN. Explosion des prix de l'énergie, mise en place de boucliers tarifaires aux coûts faramineux : la situation actuelle fait ressortir tout l'intérêt des rénovations énergétiques performantes. Or, ces enjeux étaient identifiés depuis le Grenelle de l'environnement, comme le rappelle Danyel Dubreuil, du réseau pour la transition énergétique (Cler).
Il y a 2 ans et 234 jours

Le gouvernement prêt à élargir le compte pénibilité dans la réforme des retraites

Le gouvernement a dévoilé ses premières "pistes de réflexion" à la CFTC, l'U2P et la CFDT, qui ont ouvert le bal des consultations bilatérales sur les thèmes de "l'emploi des seniors et la prévention de l'usure professionnelle".C'est justement sur ce second volet que l'exécutif a ouvert la porte à une revendication portée par plusieurs organisations de salariés, CFDT en tête. Le document, dont l'AFP a obtenu copie, envisage en effet d'"adapter le C2P pour mieux prendre en compte l'évolution des risques".Actuellement, les salariés exposés à certains risques (travail de nuit, bruit, températures extrêmes...) accumulent des points - 100 au maximum – qui sont le plus souvent utilisés pour partir en retraite plus tôt - 2 ans maximum. Le ministère a cependant évoqué la possibilité de "supprimer le plafond d'acquisition de points" et de permettre à ceux qui sont exposés à plusieurs risques simultanés d'"acquérir davantage de points".L'idée d'un nouveau "congé de reconversion" pour utiliser le C2P (qui peut aussi servir à payer une formation ou un passage à temps partiel) a également été abordée.Mais la CFDT attend encore "une forme de reprise des critères supprimés" de l'ex-compte pénibilité il y a cinq ans (port de charges lourdes, postures pénibles, vibrations mécaniques, agents chimiques dangereux), indique son négociateur Yvan Ricordeau.Sans "avancée majeure" sur ce point, le syndicat n'entend pas revoir le dispositif "carrières longues", qui permet un départ à 60, voire 58 ans pour ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans, et que le gouvernement propose de "moderniser", sans préciser ses intentions à ce stade."S'il s'agit d'affiner les critères tout en protégeant les artisans, ça nous convient", explique le vice-président de l'U2P, Jean-Christophe Repon, plus inquiet du risque de "stigmatiser certains métiers" à travers le compte pénibilité.Le ministère a paru "plus sur la ligne +mieux vaut prévenir que guérir+, ce qui nous va bien", retient la vice-présidente de la CFTC, Pascale Coton.
Il y a 3 ans et 36 jours

Nouvelle méthode de gouvernement : Roux de Bézieux méfiant sur un retour des "grands-messes"

"Oui, le président de la République a été très vertical (...) dans la manière dont il a exercé le pouvoir" et "on voit bien que ça ne peut pas marcher dans le contexte politique actuel. Par contre, moi je ne crois pas qu'il faille retomber dans les grands-messes, où on met tout le monde autour de la table pour parler de tous les sujets en même temps, avec des gens qui sont plus ou moins concernés, tout ça n'aboutissant à rien", a-t-il déclaré lors du "Club de l'économie", organisé par le journal Le Monde.Durant la campagne et après sa réélection, Emmanuel Macron a promis de mettre en place "une nouvelle méthode" de gouvernement, basée sur "une plus large concertation", en particulier pour ses chantiers prioritaires que sont l'école ou la santé, mais aussi sur la future réforme des retraites.Pour le président de la première organisation patronale, "il y a une autre méthode à inventer", qui soit "très segmentée autour de certains sujets", le logement par exemple, et ne réunissant que les acteurs "concernés". Ce n'est "pas la peine de faire ça à grand renfort de Grenelle, de trucs et de machins, qu'on adore en France mais qui ne fonctionnent pas", a-t-il insisté.
Il y a 3 ans et 129 jours

Évolution des filières de recyclage : quel avenir pour le service public de gestion des déchets ?

La plupart de ces mesures, dont AMORCE a souvent été à l’origine, vont dans le bon sens. Mais des arbitrages précipités et rarement concertés avec les collectivités en charge depuis des décennies de la gestion des déchets laissent craindre des résultats en trompe-l’œil.Certaines décisions risquent en effet d’entraîner des conséquences beaucoup moins positives pour l’avenir du service public, pour la fiscalité locale, et un fort risque de démobilisation des élus et des acteurs territoriaux trop souvent mis devant le fait accompli. Cette déstabilisation progressive du service public de gestion des déchets a connu un nouveau point d’orgue avec la décision récente de bouleverser la filière des emballages.100 % des échéances reportées sur les nouvelles filières de recyclage aux dépens des collectivités et des contribuables locauxEn cette rentrée 2022, AMORCE fait d’abord le constat amer que si l’augmentation massive de la taxe sur le stockage des déchets (TGAP) a été effective dès le début du mandat, sans un jour de retard en 2018, aucune des nouvelles filières de collectes sélectives (jouets, sport et loisirs, bricolage, jardinerie…) qui devaient justement permettre de réduire le stockage des déchets n’est opérationnelle au 1er janvier 2022 comme le prévoyait la loi Agec. Pendant 4 ans, la TGAP aura ainsi rapporté des centaines de millions d’euros au budget de l’État sur le dos des collectivités, y compris les plus vertueuses en matière de recyclage.Le constat est le même pour la filière de recyclage des emballages professionnels de la restauration qui devait initialement être mise en place au 1er janvier 2021 et qui a été reportée de deux ans. Pire encore, 12 ans après la loi Grenelle qui prévoyait déjà un dispositif financier pour gérer les déchets du bâtiment, la mise en place de la filière a de nouveau été reportée d’un an sous la pression des metteurs sur le marché à l’aube de la campagne présidentielle. Et ce, sans aucune concertation avec les collectivités locales concernées qui ont été mises devant le fait accompli. Ces reports successifs laissent des dizaines de milliers de tonnes de déchets à la charge des collectivités et des contribuables locaux.Des changements de règles du jeu pour la filière des emballages et d’autres filières existantes qui risquent de fragiliser lourdement l’organisation du service public de gestion des déchetsConcernant les filières déjà en fonctionnement (emballages, déchets électriques et électroniques, déchets dangereux …), AMORCE déplore une simplification dangereuse des cahiers des charges des éco-organismes, pourtant déjà en situation monopolistique. Les contrats avec les éco-organismes sont de plus en plus déséquilibrés et fragilisent l’action des collectivités. AMORCE déplore également l’affaiblissement de l’ambition initiale de la loi Agec sur les objectifs environnementaux, avec très peu de moyens supplémentaires de coercition pour l’État en cas de non-atteinte de ces objectifs, alors que ce dernier sait être beaucoup plus sévère avec les obligations des collectivités locales.Mais c'est surtout la décision récente de donner à l’éco-organisme le contrôle exclusif de la plupart des flux de déchets d’emballages en plastique, à l’exception des bouteilles et flacons, qui pose question sur les objectifs visés. Une décision prise sans véritable concertation, ni évaluation environnementale et économique, et sans garantie que cela améliore le recyclage des nouveaux plastiques que doivent désormais trier les Français. Ce faisant, les collectivités apparaissent à nouveau comme les variables d’ajustement des stratégies industrielles des metteurs sur le marché en quête de résine, alors qu’elles ont dû investir des centaines de millions d’euros d'argent public, payé par les contribuables, dans de nouveaux centres de tri aujourd’hui remis partiellement en cause. AMORCE dénonce enfin le développement souterrain des automates de consignation des bouteilles en plastique, dernier gisement de déchets qui pourrait encore être trié par les collectivités, le seul ayant de la valeur et faisant baisser le coût du service public des déchets. Le développement de ces automates sur le territoire entre contradiction complète avec l’accord établi avec le gouvernement dans la loi Agec sur le report de ces dispositifs face à l’opposition de nombreux acteurs.Un risque important de démobilisation des collectivités et des élus locauxLes collectivités locales, qui ont été jusqu’ici des acteurs majeurs de l’économie circulaire à l’échelle des territoires, se sentent de plus en plus otages des stratégies commerciales et industrielles nationales ou internationales qui sont très éloignées des préoccupations des citoyens et des enjeux environnementaux de long terme. Sans visibilité sur l’avenir, et impactés financièrement par des décisions ne prenant pas en compte le service public de première nécessité de gestion des déchets, les élus locaux sont de plus en plus nombreux à s’interroger sur leur motivation à s’engager dans les filières de recyclage et à signer les futurs contrats avec les éco-organismes.AMORCE appelle donc le gouvernement à un rééquilibrage des échanges et des décisions entre industriels et collectivités en matière de gestion des déchets, pour éviter la démobilisation, voire le retrait massif des collectivités de nombreuses filières de collecte sélective et de recyclage, dont elles sont la clé de voute. AMORCE présentera dans les prochaines semaines ses propositions en ce sens aux candidats à l’élection présidentielle.
Il y a 3 ans et 171 jours

France Color Diffusion: Le béton drainant coloré prêt à l’emploi

Installée en Auvergne Rhône-Alpes, la société France Color Diffusion, conceptrice et distributrice des produits Draincolor®, s’engage dans la démarche environnementale ! Avec notre béton drainant coloré prêt à l’emploi, nous choisissons de répondre aux exigences des enjeux sociétaux et environnementaux actuels.  L’installation d’un béton drainant comme revêtement de sol répond parfaitement aux exigences de la loi Grenelle 2. En effet, la loi autorise les collectivités territoriales qui le souhaitent à mettre en place des taxes pour chaque mètre carré en béton. L’objectif étant d’inciter les membres des communes à tendre vers un revêtement de sol plus écologique et naturel. Notre objectif ? Proposer chaque année des produits respectueux de l’environnement pour être toujours en constante évolution avec notre temps et la planète. Nous faisons de notre R&D notre force, afin de maîtriser tous les savoir-faire sur notre béton drainant coloré et pouvoir apporter conseils et formations sur nos produits pour une réussite totale des chantiers Draincolor®. Chaque année, notre béton drainant se retrouve au cœur de multiples tests, afin de toujours vous proposer des produits adaptés à vos besoins et faciles à mettre en œuvre. Nous accompagnons les usagers de Draincolor®, de la réception de leur sol à sa finition, et cela passe par la personnalisation de teintes, les kits outils, les vidéos tutoriels, les conseils ou encore les formations. L’année 2022 sera pour nous sous le signe du changement, car nous renouvelons notre charte graphique, plus moderne. N’attendez plus et participez à la protection de notre monde, en choisissant des revêtements de sols plus engageants
Il y a 3 ans et 215 jours

France Rénov : génie ou gabegie ?

Depuis le Grenelle de l’environnement en 2009, les  plans pour la rénovation énergétique se sont succédés, à grand renfort de communication, accompagnés d’un astucieux plan marketing. Mais au final, pour quel résultat ? Savez-vous combien de plans pour la rénovation du logement ont été proposés depuis l’arrivée de la présidence de M. Macron ? 3 , en 2017, 2018 et […]
Il y a 3 ans et 324 jours

Sto au Forum Bois Construction du 15 au 17 juillet 2021 au Grand Palais Ephémère

Durant 3 jours, Sto aura le plaisir de présenter son offre complète de solutions d'isolation thermique par l'extérieur, avec enduit sur isolant et façade ventilée, spécialement dédiée à la construction bois sur son stand HB 22. La force de Sto ? Disposer d'une palette variée de finitions esthétiques, tout en répondant à tous les critères techniques (grande hauteur, sécurité incendie, etc.) grâce à ses systèmes StoTherm et StoVentec sous avis techniques. Informations pratiquesHorairesJeudi 15 juillet : 13h30 - 19hVendredi 16 juillet : 8h - 20hSamedi 17 juillet : 8h - 20hAccèsGrand Palais Éphémère - avenue Pierre Loti, 75007 ParisRERLigne C : Champs de Mars – Tour EiffelMétrosLigne 8 : Ecole MilitaireLignes 6 et 10 : La Motte Piquet GrenelleBusLignes 28, 69, 82, 92ParkingsIndigo Joffre Ecole Militaire, 2 place Joffre, 75007 ParisOnepark.fr parking public Parc Saint Dominique, 133 rue Saint Dominique, 75007 ParisParking ONG Go Castorama Grenelle, 15 boulevard de Grenelle, 75015 ParisUn certificat sanitaire sera demandé à l'entrée du Forum : une preuve de vaccination complète, d'une guérison du Covid ou d'un test récent négatif de moins de 72h (antigénique ou RT-PCR).Photo du projet en une de l'article :Ecole Chevalier de Saint-George au Blanc Mesnil (93)Maître d'ouvrage : Ville du Blanc-MesnilGroupement de conception-réalisation : A5A Architectes et OBM Entreprise GénéraleSolution utilisée : système de bardage ventilé StoVentec SCM sur construction à ossature bois (COB) avec finition en revêtements collés StoBrick 360, pierre naturelle StoFossil Bavaria couleur crème et surface sablée et Bavaria Nussbraun, StoDéco ProfilCrédit photo : Manuel Panaget
Il y a 3 ans et 340 jours

En quoi consiste la RSE ?

Nombre d’entreprises souhaitent déployer une stratégie RSE (Responsabilité sociale / sociétale des entreprises) pour répondre à différents enjeux sociaux et environnementaux… L’objectif étant de chercher à avoir un impact positif sur la société et de respecter l’environnement tout en étant économiquement viable. Il s’agit d’une démarche totalement volontaire de la part des entreprises. Qu’est-ce que la Responsabilité Sociétale des Entreprises ?   « La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie comme l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. »  Qui est concerné ?  Toutes les entreprises, peu importe leur taille ou encore le secteur d’activité, peuvent déployer une stratégie RSE.  Cependant, les entreprises cotées sont soumises à certaines obligations, comme pour la déclaration de performance extra-financière (ou reporting ESG), pour publier les informations sur leurs impacts environnementaux et sociaux. A savoir, les fournisseurs de ces grandes entreprises sont donc également incités à déployer une stratégie RSE pour répondre aux obligations des grandes entreprises.  Depuis 2019, la loi PACTE oblige toutes les entreprises françaises à prendre en compte les différents enjeux environnementaux et sociaux dans leur gestion quotidienne. Il s’agit d’un minimum légal intégrant une dimension RSE pour les entreprises. Cette loi relative à la croissance et à la transformation des entreprises introduit la création du statut d’entreprise à mission. Elle permet à une entreprise de préciser sa raison d’être avec un ou plusieurs objectifs sociaux et environnementaux que la société souhaite poursuivre. Ainsi, la RSE va certainement devenir un sujet de plus en plus important pour toutes les entreprises et une exigence de la part de leurs clients et partenaires.  Pourquoi mettre en œuvre une politique RSE ?   Opportunité ou contrainte ? La mise en œuvre d’une politique RSE permettra à l’entreprise de collecter, mesurer et analyser l’impact de ses activités.  Bénéfices :   Des achats plus responsables. De nos jours, le consommateur final est de plus en plus attentif à la provenance de ses produits.  C’est pourquoi il est important pour les entreprises de saisir cette opportunité pour répondre aux nouveaux comportements.  Une meilleure image de l’entreprise : la mise en place d’une stratégie RSE bénéficiera à l’image de l’entreprise auprès des différentes parties prenantes. Comme cité précédemment, les consommateurs souhaitent une transparence totale sur leurs produits. Plus l’entreprise est responsable, respectueuse de l’environnement et transparente, plus elle sera attractive aux yeux des clients.  Une organisation efficiente : la qualité de vie des salariés est primordiale et fait partie intégrale dans la stratégie RSE. Investir sur des personnes avec un management ouvert permettra de pousser votre entreprise vers le haut.  Réponse aux obligations réglementaires : l’objectif de la direction RSE est également de répondre aux défis réglementaires comme la loi Grenelle (Bilan des émissions de Gaz à Effet de Serre BEGES, la loi ELAN avec le décret tertiaire, le décret BACS, l’obligation de reporting ESG extra-financier…)  Une maitrise des risques : en collectant les données de consommation de votre entreprise, vous pourrez identifier les dysfonctionnements dans l’entreprises et donc maîtriser les risques afin de réduire les dépenses inutiles.  Des économies énergétiques et financières : en maîtrisant les risques, en collectant les différentes données pour réduire les consommations, l’entreprise pourra donc réaliser des économies énergétiques. Comment déployer sa stratégie RSE dans l’entreprise ?  Avant de vous lancer dans une démarche RSE, il est important de vous poser sur les différentes étapes à mettre en place et définir votre plan d’action.   Réaliser un état des lieux : réalisez un état des lieux actuel de votre entreprise pour identifier les différents points d’amélioration possible. Discutez avec les différentes parties prenantes (fournisseurs, salariés, investisseurs, clients…) pour prendre en compte leurs besoins et attentes. Collectez toutes vos données de consommation afin d’identifier les gisements d’économies d’énergie et les points les plus consommateurs.  Mettre en place un plan d’actions : maintenant que vous connaissez les différentes attentes, besoins, axes d’amélioration, vous pouvez établir votre stratégie RSE et définir votre plan d’actions. Déployez un dispositif de pilotage et d’indicateurs de résultats, développez les compétences internes, intégrez la RSE dans votre organisation à tous les niveaux de responsabilité et construisez vos indicateur RSE au niveau économique, social et environnemental.  Analyse des résultats : après le déploiement de votre stratégie, analysez les résultats. Les attentes de vos parties prenantes sont-elles comblées ? Qu’en est-il de votre impact environnemental ? Avez-vous amélioré la performance énergétique de votre entreprise ?   Valoriser et communiquer sur votre stratégie RSE : mettez en place vos reportings RSE pour valoriser votre stratégie et communiquez auprès du grand public sur vos efforts afin d’améliorer votre image et montrer que vous souhaitez être le plus transparent possible. Comment Green Systèmes vous aide dans votre stratégie RSE ?  Chez Green Systèmes, nous avons développé un logiciel permettant la collecte des données de consommation (eau gaz, électricité…) le suivi et le pilotage. Ce logiciel entre totalement dans une démarche RSE.  Il vous aidera à :  Centraliser vos données de consommations au sein d’un seul logiciel pour un ou plusieurs bâtiments afin d’avoir une vue d’ensemble.  Analyser vos consommations afin d’identifier les gisements d’économies d’énergie de votre bâtiment.  Être alerté(e) en cas de dysfonctionnement dans le bâtiment afin de prendre le problème à temps et éviter les dépenses.  Construire vos indicateurs de performance énergétique pour votre stratégie RSE.  Nous accompagnons également les professionnels à répondre au différentes opportunités réglementaires (ISO 50001, décret tertiaire).  Concernant le décret tertiaire, nous vous aidons à centraliser l’ensemble de vos données pour définir votre année de référence, définir également quel objectif choisir entre l’objectif relatif ou absolu, envoyer de manière automatique vos données de consommation annuelles auprès de la plateforme l’ADEME et mettre en place un plan d’action d’amélioration de votre performance énergétique.  N’hésitez pas à nous contacter pour échanger directement avec nos équipes sur votre stratégie RSE. 
Il y a 3 ans et 346 jours

"Il y a un mouvement irréversible vers le mesurage de la qualité des travaux", A. Maugard

ENTRETIEN. Après trois mandats de quatre ans à la présidence de Qualibat, Alain Maugard a passé la main. Du Grenelle de l'environnement au label RE2020, retour sur douze années d'évolutions du secteur du bâtiment.
Il y a 4 ans et 31 jours

Karinne Bidaud, première femme franchisée de FHV, traverse la crise sanitaire

Portrait de Karinne Bidaud, première femme franchisée de FHVDe formation commerciale, Karinne a travaillé pendant de longues années dans le commerce, en grande distribution puis dans le secteur de l’animalerie. Elle a toujours été attirée par les métiers du bâtiment, un secteur qui ne compte que 12,4% de femmes selon les chiffres de 2019 de la Fédération Française du Bâtiment.Élue à la CCI et membre d’une association de chefs d’entreprise, Karinne décide de se lancer. Pour elle, le choix de la ventilation, un métier peu connu, s’est imposé comme une évidence : « Au cours de ma carrière, j'ai été amenée à réfléchir sur la démarche RSE des entreprises, sur leur impact écologique, sur le bien-être au travail et sur les problématiques liées aux économies d’énergie ».Séduite par le professionnalisme de l’enseigne et les valeurs de son fondateur, Karine se forme au siège de FHV et ouvre l’agence de Niort en 2020.Une agence de proximité dynamiqueTenace, organisée et enthousiaste, Karinne a mis les bouchées doubles pour démarrer son activité en pleine crise sanitaire. Elle s’est entourée d’opérateurs pouvant intervenir seuls ou en binôme dans les Deux-Sèvres et la Vienne.L’agence compte déjà de nombreux clients : des restaurateurs, industriels, collectivités, syndics de copropriété, petites et grandes entreprises de tous secteurs d’activité. Ainsi que des particuliers, qui font de plus en plus appel à FHV pour purifier leur air intérieur. L’agence FHV de Niort est située au 451, avenue de Paris.La surveillance de la qualité d’air intérieur : focus sur les nouveaux services de FHVEn 2013, les ministères de l’Environnement et de la Santé ont lancé le Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur. FHV accompagne les ERP dans l’application de ce plan qui vise à améliorer la qualité de l’air dans les espaces clos avec ses nouveaux services de surveillance de la qualité de l’air intérieur.Les agences de France Hygiène Ventilation ont ainsi mis en place un service d’accompagnement en trois étapes :Évaluation des moyens d’aération. Le technicien FHV vérifie les installations de ventilation naturelle et mécanique en prenant en compte la date de construction du bâtiment, les travaux de rénovation effectués et les caractéristiques des ouvrants.Remise d’un rapport détaillé. Après la visite, l’intervenant remet un rapport détaillé au chef d’établissement, en lui expliquant les diverses données recueillies et ses observations. Il présente ensuite une série d’actions à mettre en place pour mettre l’établissement en conformité avec la loi Grenelle II. Ces actions peuvent être, par exemple, l’application de gestes quotidiens, le remplacement des produits d’entretien ou le nettoyage complet des systèmes de VMC.Formation au guide pratique et aux fiches d’autodiagnostic. FHV met à la disposition de ses clients un guide et des fiches qui facilitent l’application du Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur. Pour orienter ses clients, FHV propose un accompagnement sur mesure à l’utilisation de ces documents essentiels.Les équipes de FHV peuvent en outre effectuer un suivi personnalisé grâce à des capteurs connectés, développés par FHV, qui mesurent le taux de pollution dans l’air intérieur de l’établissement. Une fois le mois d’audit écoulé, elles remettent un rapport détaillé et proposent des conseils et des solutions pour améliorer la qualité de l’air.La purification de l’air intérieur, une priorité sanitaireLes équipes de FHV assurent également un service d’assainissement de l’air intérieur qui participe activement à l’élimination des composés organiques volatils, bactéries, germes, moisissures, odeurs et particules.FHV propose des purificateurs d’air nouvelle génération ultra-performants qui purifient naturellement l’air ambiant et évitent la propagation de micro-organisme. Les agences offrent un service clé en main qui comprend la mise en service de l’appareil et sa maintenance tout au long de l’année.
Il y a 4 ans et 36 jours

Représentativité patronale : la Capeb interpelle la ministre du Travail

Conviée à l’assemblée générale annuelle de la Capeb, qui s’est tenue le 22 avril, Elisabeth Borne, ministre du Travail, a pointé le blocage « fâcheux » du dialogue social qui sévit depuis trois ans dans le bâtiment. L’organisation professionnelle a plaidé, auprès de la locataire de la rue de Grenelle, pour une modification des règles sur le droit d’opposition dans le cadre de la validation des accords collectifs.
Il y a 4 ans et 37 jours

Les villes du troisième type d’Alexis Paoli

Des façades entre ombre et lumière, des éclairages artificiels donnent une ambiance cinématographique, de péplum à l’occasion, aux visions d’Alexis Paoli. Le photographe le sait, la ville, fût-elle nouvelle, n’est jamais qu’une promesse. Chronique-Photos Quand l’architecture ouvre les portes de l’imaginaire. De la Défense à Cergy, de Beaugrenelle à Guyancourt, d’Ivry à Noisy, des cités […] L’article Les villes du troisième type d’Alexis Paoli est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 50 jours

Réaménagement du rez-de chaussée de la Tour Cristal à Paris

Dans cette nouvelle configuration de l'espace d'accueil, largement ouvert et qui gagne en luminosité, Agent M propose deux gestes architecturaux qui apportent une identité esthétique forte. Le premier, un très bel ouvrage de ferronnerie, avec l'escalier à double révolution autoportante et d'un seul tenant. La deuxième pièce maitresse étant le bas-relief lumineux, une large fresque réalisée tout en staff, qui revisite ici le concept du lustre dans un hall d'accueil.Le lustre sous forme de bas-relief lumineux est réalisé à partir de différentes lames de staff juxtaposées les unes aux autres. Les différentes lames sont individuellement moulées en plusieurs pièces et rejointées sur place lors de la mise en place finale.Un dispositif électrique complexe est installé à l'arrière des plaques pour une diffusion uniforme de la lumière. Ce bas-relief de 15 m de long par 3m de haut, grand fond lumineux en arrière-plan de la façade, sera visible de l'autre côté de la seine.Le rez-de-chaussée est complété par la création d'un espace en mezzanine et de différents espaces de bureaux, vitrés et isolés, conçus et équipés selon une approche envisageant différentes postures de travail.Le projet concernant la modernisation et la remise au standard de la Tour Cristal, bâtiment emblématique des années 90 sur les quais de Grenelle, est traité à la fois par le rebranding architectural et une nouvelle identité visuelle. La conception du logo pour cet immeuble de bureau haut de gamme, rebaptisé Cristal Paris, s'inspire de la forme architecturale de la Tour, monolithe à facettes qui devient le monogramme de la nouvelle identité.La trame graphique est déclinée à plusieurs niveaux et ces éléments se retrouvent aussi dans différents détails de l'architecture intérieure du bâtiment. On retrouve ces détails dans le calepinage du sol en pierre marbrière, ou sur la trame des parois en verre de la nouvelle façade. La colorimétrie se décline sur le minéral, le cristallin et le cuivre, harmonisée à l'ensemble des supports, dont l'application smartphone dédiée à la réservation de services et accès aux différents espaces. Un mur numérique au centre du hall d'entrée présente les différents services et occupants de la Tour.
Il y a 4 ans et 50 jours

Réaménagement du rez-de chaussée de la Tour Cristal

Dans cette nouvelle configuration de l'espace d'accueil, largement ouvert et qui gagne en luminosité, Agent M propose deux gestes architecturaux qui apportent une identité esthétique forte. Le premier, un très bel ouvrage de ferronnerie, avec l'escalier à double révolution autoportante et d'un seul tenant. La deuxième pièce maitresse étant le bas-relief lumineux, une large fresque réalisée tout en staff, qui revisite ici le concept du lustre dans un hall d'accueil.Le lustre sous forme de bas-relief lumineux est réalisé à partir de différentes lames de staff juxtaposées les unes aux autres. Les différentes lames sont individuellement moulées en plusieurs pièces et rejointées sur place lors de la mise en place finale.Un dispositif électrique complexe est installé à l'arrière des plaques pour une diffusion uniforme de la lumière. Ce bas-relief de 15 m de long par 3m de haut, grand fond lumineux en arrière-plan de la façade, sera visible de l'autre côté de la seine.Le rez-de-chaussée est complété par la création d'un espace en mezzanine et de différents espaces de bureaux, vitrés et isolés, conçus et équipés selon une approche envisageant différentes postures de travail.Le projet concernant la modernisation et la remise au standard de la Tour Cristal, bâtiment emblématique des années 90 sur les quais de Grenelle, est traité à la fois par le rebranding architectural et une nouvelle identité visuelle. La conception du logo pour cet immeuble de bureau haut de gamme, rebaptisé Cristal Paris, s'inspire de la forme architecturale de la Tour, monolithe à facettes qui devient le monogramme de la nouvelle identité.La trame graphique est déclinée à plusieurs niveaux et ces éléments se retrouvent aussi dans différents détails de l'architecture intérieure du bâtiment. On retrouve ces détails dans le calepinage du sol en pierre marbrière, ou sur la trame des parois en verre de la nouvelle façade. La colorimétrie se décline sur le minéral, le cristallin et le cuivre, harmonisée à l'ensemble des supports, dont l'application smartphone dédiée à la réservation de services et accès aux différents espaces. Un mur numérique au centre du hall d'entrée présente les différents services et occupants de la Tour.
Il y a 4 ans et 74 jours

AFJ Architectes « chérit le matériau béton »

« Rude, avec empreintes, lisse… le béton est mis en avant dans notre travail », indique l’architecte Anne-Françoise Jumeau. [©Sergio Grazia] Depuis 24 ans, l’agence parisienne Anne-Françoise Jumeau Architectes (AFJA) met tout son savoir-faire au service d’une architecture intelligente et toujours en phase avec la réalité des contextes. Elle est particulièrement aguerrie aux projets riches et complexes. Chez elle, le matériau prend tout son sens. Son langage architectural tient pour beaucoup à une recherche constante d’optimisation des matériaux. En allant même jusqu’à la création de pièces uniques à partir des produits normalisés.  Le béton lisse se fait miroir à L’Atrium, sur le campus Pierre et Marie Curie, à Paris. [©Luc Boegly]Le béton est incrusté de lumières fluos à L’Autre Canal, à Nancy (54). [©Luc Boegly]Le béton brut s’anime d’empreintes aux motifs “camouflage” au Café Musiques, à Savigny-le-Temple (77). [©Nicolas Borel] Le béton mis en avant Ce processus de recherche se traduit dans l’attention portée aux états de surface des matériaux. « Rude, avec empreintes, lisse… le béton est mis en avant dans notre travail », indique Anne-Françoise Jumeau, architecte et fondatrice de l’agence éponyme. D’ailleurs, cette dernière vient de publier un petit fascicule dénommé “Matières”, richement illustré, qui revient sur le travail des matières poursuivi par AFJA. Ainsi, est décrit comment le béton brut s’anime d’empreintes aux motifs “camouflage” au Café Musiques, à Savigny-le-Temple (77). Ou d’une texture à la planchette, rehaussée par l’incrustation de tubes fluos sur variateur à L’Autre Canal, à Nancy (54). Ou encore comment le béton peut être anobli par un surfaçage très lisse, presque miroir, comme à L’Atrium, sur le campus Pierre et Marie Curie, à Paris. Par ailleurs, cette publication rend compte de la technicité d’un béton blanc auto-plaçant, qui a été exploitée pour la réalisation d’une façade d’une hauteur de 12 m, ponctuée d’une trame de contre-formes verticales, à la Médiathèque de Clamart (92). Enfin, l’agence met aussi en œuvre le bois. Notamment, à La Dynamo, à Pantin (93) ou dans 35 logements du boulevard de Grenelle, à Paris. Quant aux autres matériaux – la terre cuite -, ils n’en occupent pas une moindre place dans le travail de l’architecte. Une fois encore, l’adage “le bon matériau pour le bon usage” se vérifie… Anne-Françoise Jumeau, architecte et fondatrice de l’agence éponyme, vient de publier un petit fascicule dénommé “Matières”, richement illustré, qui revient sur le travail des matières poursuivi par AFJA. [©ACPresse] Le fascicule “Matières” est disponible sur demande à agence@afja-architecture.com Le fascicule “Matières” publié par Anne-Françoise Jumeau Architectes reflète le travail mené par l’agence ces dernières années. [©ACPresse]
Il y a 4 ans et 107 jours

Réinventer Paris 3, j’y pense, je baille et puis j’oublie

Parmi les initiatives pour résorber la crise de l’habitat, voici Réinventer Paris 3, qui « s’attaque » vaillamment aux bureaux vacants de la capitale pour les convertir en logements. Depuis le 9 février 2021 en effet, les propriétaires, concepteurs et architectes sont invités à « imaginer à quoi ressembleront les habitations de demain grâce aux locaux vides d’aujourd’hui ». […] L’article Réinventer Paris 3, j’y pense, je baille et puis j’oublie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 127 jours

RE2020 : vigilance des fabricants de systèmes intégrés de chauffage, rafraîchissement et sanitaires

« Il faut aller au bout des choses, sans arbitrer trop rapidement, pour apporter les bonnes réponses et agir pour le climat. Les surfaces chauffantes rafraîchissantes basses températures sont des solutions non polluantes, qui s'inscrivent d'ores et déjà dans des projets de bâtiment à neutralité carbone. Les adhérents de Cochebat s'inquiètent plus des effets d'annonce qui accompagnent la publication des textes et des modes de calculs de la RE 2020, qui mettent en exergue de faux arguments pour favoriser telle ou telle technologie… ainsi la possible disparition de la boucle à eau chaude, alors même que c'est l'une des solutions les plus vertueuses, qui répond aux enjeux du grenelle de l'environnement » indique Florent KIEFFER, Directeur Général de Thermacome et Président de Cochebat, le syndicat national des fabricants de composants et de systèmes intégrés de chauffage, rafraîchissement et sanitaire.Le Plancher Chauffant Rafraîchissant basse température : un atout pour la RE 2020La RE2020 prend en compte des émissions de gaz à effet de serre sur toute la durée de vie des bâtiments. Or, les solutions de plancher chauffant rafraîchissant basse température offrent un atout de poids : ce mode de chauffage par rayonnement permet d'obtenir le même confort thermique avec 1°C de moins en consigne. D'après l'Adème, un degré de moins au générateur équivaut à 7% d'économies d'énergie. « Cela s'explique par le fait que contrairement à d'autres systèmes chauffants ou rafraîchissants, la chaleur est diffusée par rayonnement. Elle est donc homogène dans toute la pièce, sans zone froide » poursuit-il.De plus, ces systèmes sont compatibles avec la régulation thermique pièce par pièce, et sur le plan sanitaire : sans mouvement d'air lié à la convection, il n'y a pas de déplacement de poussières et autres allergènes. Ainsi, ils ne dégradent pas la qualité de l'air.La marque Certitherm garantit l'adéquation des solutions avec la RE 2020« Les certificats Certitherm permettent de se prévaloir de la performance technique et environnementale du Plancher Chauffant Rafraîchissant Basse Température. C'est la garantie d'un bon résultat dans le temps. » explique Elisabeth CHARRIER, Déléguée Générale de Cochebat.En 2020, ce sont 85 systèmes de surfaces chauffantes rafraîchissantes qui sont admis à la marque CERTITHERM, majoritairement des systèmes de planchers chauffants rafraîchissants basse température (96,5%), mais aussi des systèmes de murs et plafonds chauffants-rafraîchissants.Une année 2020 en demi-teinte pour les professionnels de Cochebat et un regard confiant pour 2021L'année s'annonçait positive et a brutalement connu un frein avec le premier confinement en mars 2020. « D'après notre baromètre, les entreprises ont été quasi à l'arrêt, avec une faible activité logistique et très peu d'approvisionnements de chantiers. Les entreprises ont fait preuve de beaucoup d'agilité à la reprise et lors du second confinement, notamment pour organiser le maintien de l'activité avec des règles sanitaires strictes et des difficultés liées aux personnels touchés ou cas contacts. » note Elisabeth CHARRIER. « Il subsiste une incertitude pour 2021, avec un ralentissement des permis de construire que l'on ne sait pas encore mesurer. Cependant, nous restons confiants, car les entreprises ont continué à innover avec des solutions de moins en moins énergivores et de plus en plus régulées pour continuer à améliorer leurs offres » conclut Florent KIEFFER.
Il y a 4 ans et 139 jours

La précarité énergétique frappe 3,5 millions de ménages et devrait s'aggraver

En 2019, la "précarité énergétique" a affecté 11,9% des Français et 30% des plus pauvres, selon le bilan annuel.L'ONPE, qui fait l'exercice depuis 2011 et la loi Grenelle 2, combine plusieurs éléments dont le "taux d'effort énergétique" (la part des dépenses d'énergie dans le revenu du ménage, la précarité étant actée quand ce poste atteint 8%).Le résultat 2019 est un peu meilleur que celui de 2018 (12,1%) du fait de températures hivernales plutôt douces, "mais cela ne préjuge pas de la situation des plus pauvres", prévient l'observatoire.La baisse de la consommation d'énergie par habitation liée à l'amélioration des équipements de chauffage et performances de certains logements, se ressent. Mais la hausse du prix de l'énergie et la stagnation du pouvoir d'achat laissent entrevoir des années difficiles, notent ces experts, qui évoquent aussi la diminution des aides financières (chèques énergie notamment).Ils "s'inquiètent" de l'augmentation du nombre de ménages ayant souffert du froid l'hiver dernier, en particulier les 18-34 ans.Il faut "trouver des modes d'intervention plus adaptés à ces situations afin d'amortir cette crise économique et sanitaire qui fragilise d'abord les populations les plus précaires et risque de les faire basculer dans des situations de grande pauvreté", a appelé Arnaud Leroy, président de l'ONPE et de l'Ademe.Le nombre de ménages rencontrant des difficultés de paiement de l'énergie a augmenté, passant de 10% en 2013 à 18% en 2020, avec une hausse des interventions pour coupures, note aussi l'ONPE, qui cite le baromètre Info-Energie 2020 du Médiateur national de l'énergie.En 2019, 671.546 ménages ont vu l'intervention d'un fournisseur d'énergie pour cause d'impayés (+ 17% par rapport à 2018).Pour 2020 et 2021, les mesures de confinement ont eu des conséquences encore plus importantes pour les foyers en précarité énergétique, ajoute le bilan.La suspension de paiement des factures durant une trêve hivernale rallongée "laisse craindre une explosion des impayés et demandes d'aides aux services sociaux". Quant au confinement, il a favorisé la cohabitation contrainte dans des logements inconfortables, tandis que les travaux d'amélioration des logements étaient freinés.
Il y a 4 ans et 163 jours

Djebbari annonce des subventions pour les projets de transports publics

"Les AOM (autorités organisatrices de mobilité, ndlr) pourront y présenter leurs projets de TCSP (transport en commun en site propre, ndlr) qui seront réalisés au cours de ce nouveau mandat", a expliqué M. Djebbari à l'ouverture d'EuMo Expo, salon des transports publics organisé en version virtuelle pour cause de pandémie.Un "volet spécifique" concernera les pôles d'échanges multimodaux, "un sujet important", a relevé le ministre.Des "bonus" seront prévus pour "les opérations les plus remarquables" concernant la desserte de quartiers de la politique de la ville, l'amélioration de la qualité de l'air et "la mise en œuvre d'une politique d'urbanisme volontaire autour du projet de transport", a-t-il ajouté.Ce 4ème appel à projets, déjà évoqué par M. Djebbari en janvier, avant la crise sanitaire, est doté de 450 millions d'euros. Les collectivités intéressées ont jusqu'à fin avril 2021 pour soumettre leurs dossiers.Ce dispositif, prévu par le Grenelle de l'environnement, a déjà été utilisé trois fois, en 2009, 2011 et 2014. Il a permis d'aider la réalisation de nombreuses lignes de métros, tramways et bus à haut niveau de service (BHNS).Le plan de relance du gouvernement prévoit également 300 millions d'euros pour les projets de transports en commun en région, dont 200 millions pour les métros.
Il y a 4 ans et 219 jours

Nouveau dispositif de formation pour les salariés dont les emplois sont menacés

Ce dispositif s'adresse à des salariés dont les emplois sont menacés et qui se positionnent sur une formation vers un métier porteur localement, a expliqué le ministère du Travail lors d'un point de presse téléphonique à l'issue de la conférence du dialogue social à Matignon.Le dispositif se veut territorialisé et doit se construire autour de plateformes de transition où se mettront en relation des entreprises ayant des salariés à reconvertir et des entreprises ayant des besoins de recrutement.Concrètement, la rémunération et la formation des salariés doit être prise en charge par l'État à hauteur de 40% pour les entreprises de plus de 1.000 salariés. Elle sera de 75% pour les entreprises de 300 salariés jusqu'à 1.000, tandis que pour les petites et moyennes entreprises ou les TPE, l'État prendra en charge 100% de la rémunération et de la formation des salariés, a indiqué le ministère.Le coût pour l'État est évalué à 500 millions d'euros dans le cadre du FNE formation (Fonds national pour l'emploi), des moyens déjà budgétés et qui pourront être ajustés à la hausse.Le ministère espère que le dispositif, dont les modalités de mise en œuvre restent à "affiner", pourra être pleinement opérationnel "avant la fin de l'année".Doivent s'y ajouter la modification de plusieurs dispositifs existants de reconversion professionnelle, comme les congés de mobilité et les congés de reclassement, afin de faciliter le passage d'un secteur touché par la crise à un secteur en tension.Le ministère a par ailleurs indiqué que le dispositif d'activité partielle longue durée (APLD) lancé en juillet avait "pris son envol", avec plus de 3.600 entreprises ayant signé un accord, représentant 200.000 emplois. Cinq accords de branche ont également été signés et une vingtaine sont en discussion.Ce dispositif autorise une réduction du temps de travail jusqu'à un maximum de 40% d'heures chômées sous condition d'un accord d'entreprise ou de branche, de 6 à 24 mois, validé par l'administration et comprenant des engagements sur l'emploi et la formation.La rue de Grenelle a toutefois fait état d'un "bémol" dans le contenu des accords en ce qui concerne les ambitions en matière de formation alors que la logique du dispositif est d'y consacrer le temps chômé, et a dit compter "mobiliser les entreprises".
Il y a 4 ans et 251 jours

Les perdants et les gagnants du budget 2021

Globalement, à 292,5 milliards d'euros, le plafond de dépenses des budgets ministériels va progresser l'an prochain de 2,5% par rapport à la loi de finance initiale de 2020 (c'est-à-dire hors mesures d'urgence instaurées dans les trois budgets rectificatifs votés depuis le début de la crise).Les gagnantsPremier poste du budget de l'Etat, l'enseignement scolaire voit son plafond de dépenses augmenter de 1,3 milliard (+2,5%) à 54,63 milliards d'euros. Le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a annoncé un "Grenelle des professeurs" pour revaloriser le salaire des enseignants grâce une enveloppe de 400 millions d'euros pour 2021.La progression est de seulement 320 millions (+1,1%) à 28,92 milliards pour l'enseignement supérieur et la recherche, tandis que la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR) promet d'injecter 25 milliards d'euros dans la recherche publique au cours des dix prochaines années.La mission "Écologie, développement et mobilités durables" gagne 550 millions d'euros à 25,84 milliards. L'Etat va notamment augmenter de 25% son soutien aux énergies renouvelables, qui passera ainsi à 6 milliards d'euros.Avec plus de 8 milliards d'euros, le ministère de la Justice verra son budget augmenter de 8% l'an prochain, "du jamais vu depuis 35 ans", a annoncé jeudi soir le Premier ministre Jean Castex. C'est plus que ce qui était prévu jusqu'ici, puisque selon un document préparatoire publié en juillet faisait état d'une hausse de 5,9% (soit 450 millions d'euros). Cette hausse permettra notamment de financer des recrutements supplémentaires, et la justice de proximité.L'Intérieur bénéficie d'une hausse de 1,23% de la mission "Sécurités", dans le cadre du recrutement de 10.000 policiers prévu sur le quinquennat. Pour 2020, ce ministère avait décroché le plus grand nombre de nouveaux postes, avec plus de 1.500 fonctionnaires en plus.Les crédits de la mission Défense augmentent de nouveau de 1,7 milliard d'euros en 2021, comme en 2020 (soit +4,5% sur un an), en ligne avec les engagements pris par l'État dans la loi de programmation militaire. Il s'agit pour l'essentiel de financer de nouveaux programmes d'armements, des investissements dans la défense spatiale ou encore la cybersécurité.La mission Travail et Emploi voit ses crédits augmenter de 430 millions d'euros, soit 1,9%, à 22,72 milliards, le gouvernement soulignant que "le soutien à l'activité et aux plus précaires sera un des axes prioritaires" pour 2021, année qui devrait être marquée par une forte hausse du nombre de chômeurs.L'aide publique au développement reçoit 700 millions supplémentaires, soit une coup de pouce de 17,7%, sur fond de fragilisation des économies des pays les moins avancés par la crise sanitaire.La culture, secteur particulièrement exposé à la crise sanitaire, affiche des crédits en hausse de 150 millions d'euros à 2,92 milliards (+5,03%).Les perdantsLe ministère des Comptes publics voit son budget une nouvelle fois réduit de 120 millions d'euros (-1,46%) à 8,11 milliards d'euros.La Cohésion des territoires, qui comprend les aides au logement, perd 60 millions d'euros à 16,49 milliards. La réforme du calcul des aides personnalisées au logement (APL) qui devait entrer en vigueur en 2020 est finalement programmée pour le 1er janvier 2021, mais elle ne devrait finalement permettre que peu d'économies à cause d'un nombre plus élevé de bénéficiaires.L'audiovisuel public devra faire avec 70 millions de moins qu'en 2020, alors que ses recettes publicitaires auront chuté de 15 à 20% cette année, selon le CSA.Le secrétariat d'Etat aux Anciens Combattants devra aussi se serrer la ceinture, avec 70 millions d'économies.Les subventions de l'Etat aux régimes spéciaux de retraite diminuent elles aussi de 70 millions d'euros, à 6,15 milliards.
Il y a 4 ans et 251 jours

Les ministères perdants et gagnants du budget 2021

Globalement, à 292,5 milliards d'euros, le plafond de dépenses des budgets ministériels va progresser l'an prochain de 2,5% par rapport à la loi de finance initiale de 2020 (c'est-à-dire hors mesures d'urgence instaurées dans les trois budgets rectificatifs votés depuis le début de la crise).Les gagnantsPremier poste du budget de l'Etat, l'enseignement scolaire voit son plafond de dépenses augmenter de 1,3 milliard (+2,5%) à 54,63 milliards d'euros. Le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a annoncé un "Grenelle des professeurs" pour revaloriser le salaire des enseignants grâce une enveloppe de 400 millions d'euros pour 2021.La progression est de seulement 320 millions (+1,1%) à 28,92 milliards pour l'enseignement supérieur et la recherche, tandis que la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR) promet d'injecter 25 milliards d'euros dans la recherche publique au cours des dix prochaines années.La mission "Écologie, développement et mobilités durables" gagne 550 millions d'euros à 25,84 milliards. L'Etat va notamment augmenter de 25% son soutien aux énergies renouvelables, qui passera ainsi à 6 milliards d'euros.Avec plus de 8 milliards d'euros, le ministère de la Justice verra son budget augmenter de 8% l'an prochain, "du jamais vu depuis 35 ans", a annoncé jeudi soir le Premier ministre Jean Castex. C'est plus que ce qui était prévu jusqu'ici, puisque selon un document préparatoire publié en juillet faisait état d'une hausse de 5,9% (soit 450 millions d'euros). Cette hausse permettra notamment de financer des recrutements supplémentaires, et la justice de proximité.L'Intérieur bénéficie d'une hausse de 1,23% de la mission "Sécurités", dans le cadre du recrutement de 10.000 policiers prévu sur le quinquennat. Pour 2020, ce ministère avait décroché le plus grand nombre de nouveaux postes, avec plus de 1.500 fonctionnaires en plus.Les crédits de la mission Défense augmentent de nouveau de 1,7 milliard d'euros en 2021, comme en 2020 (soit +4,5% sur un an), en ligne avec les engagements pris par l'État dans la loi de programmation militaire. Il s'agit pour l'essentiel de financer de nouveaux programmes d'armements, des investissements dans la défense spatiale ou encore la cybersécurité.La mission Travail et Emploi voit ses crédits augmenter de 430 millions d'euros, soit 1,9%, à 22,72 milliards, le gouvernement soulignant que "le soutien à l'activité et aux plus précaires sera un des axes prioritaires" pour 2021, année qui devrait être marquée par une forte hausse du nombre de chômeurs.L'aide publique au développement reçoit 700 millions supplémentaires, soit une coup de pouce de 17,7%, sur fond de fragilisation des économies des pays les moins avancés par la crise sanitaire.La culture, secteur particulièrement exposé à la crise sanitaire, affiche des crédits en hausse de 150 millions d'euros à 2,92 milliards (+5,03%).Les perdantsLe ministère des Comptes publics voit son budget une nouvelle fois réduit de 120 millions d'euros (-1,46%) à 8,11 milliards d'euros.La Cohésion des territoires, qui comprend les aides au logement, perd 60 millions d'euros à 16,49 milliards. La réforme du calcul des aides personnalisées au logement (APL) qui devait entrer en vigueur en 2020 est finalement programmée pour le 1er janvier 2021, mais elle ne devrait finalement permettre que peu d'économies à cause d'un nombre plus élevé de bénéficiaires.L'audiovisuel public devra faire avec 70 millions de moins qu'en 2020, alors que ses recettes publicitaires auront chuté de 15 à 20% cette année, selon le CSA.Le secrétariat d'Etat aux Anciens Combattants devra aussi se serrer la ceinture, avec 70 millions d'économies.Les subventions de l'Etat aux régimes spéciaux de retraite diminuent elles aussi de 70 millions d'euros, à 6,15 milliards.
Il y a 4 ans et 275 jours

Quatre peines de prison ferme pour escroquerie dans la rénovation de l'habitat

Le gérant a également été condamné à une amende de 125.000 euros par le tribunal correctionnel du Mans, a indiqué à l'AFP son avocat, Me Jonathan Proust. Les saisies avoisinent elles deux millions de d'euros. "On se réserve le droit de faire appel dans ces prochains jours", a dit Me Proust, jugeant les montants "très élevés".Lors du procès, qui s'est déroulé début juillet, neuf personnes, gérants et commerciaux de plusieurs sociétés liées les unes aux autres, ont été jugées.Le ministère public avait estimé que certaines victimes avaient été "plumées" par les passages répétés des commerciaux, qui n'hésitaient pas à se faire passer pour des agents de l'État, agissant dans le cadre du Grenelle de l'environnement.Selon l'accusation, les commerciaux réalisaient des performances énergétiques arbitraires pour inciter les victimes à faire des travaux de mise aux normes de l'habitat: isolation, pose de VMC, changement de chauffe-eau, installation de gouttières...Et parfois ils n'hésitaient pas à se faire menaçants. "Il y a des commerciaux qui refusaient de sortir tant que la victime n'avait pas signé les documents", avait assuré le ministère public.Certains tiraient leurs arguments de l'accident de l'usine chimique de Lubrizol à Rouen ou de prétendues décisions européennes pour convaincre les personnes âgées de réaliser ces travaux. La moyenne d'âge des victimes est de plus de 76 ans.Le parquet avait requis cinq ans de prison, dont deux ans avec sursis probatoire, à l'encontre du gérant, âgé de 31 ans, et de son bras droit. Ce dernier a aussi été condamné à trois ans de prison dont deux avec sursis.Deux directeurs commerciaux ont aussi écopé de peines de prison dont une partie avec sursis probatoire. Quatre autres prévenus ont été condamnés à des peines avec sursis et la compagne d'un des dirigeants a elle été relaxée.
Il y a 4 ans et 310 jours

Dossier : 5 intérieurs lumineux

Des architectes travaillent sur la lumière, et mettent ainsi au cœur de leurs projets l’éclairage. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous propose de découvrir cinq intérieurs fonctionnels parfaitement éclairés. Giada Forte x Robert Vattilana : Forte ForteLa griffe italienne Forte Forte a investi la rue de Grenelle (7ème arrondissement) pour sa toute première adresse parisienne pensée par sa fondatrice Giada Forte ainsi que son compagnon, le directeur artistique Robert Vattilina. Une boutique de 100 mètres carrés aux allures de boudoir qui irradie de lumière. . Ivy Studio : Les Nettoyeurs White’sSitué dans le quartier de Boucherville à Montréal (Canada), cet écrin de marbre et de laiton cache en réalité une blanchisserie haut de gamme au décor inspiré des appartements parisiens des beaux quartiers. Caractérisé par une esthétique minimaliste et léchée, l'établissement rénové par Ivy Studio reprend les codes des logements haussmanniens typiques de la capitale française en y ajoutant une touche de sophistication contemporaine. . Collectif Weekends : Le MalroTerre du cool parisien, le quartier du Marais accueille un nouveau spot gastronomique aux impressionnants volumes. Nommée le Malro, en hommage à André Malraux, l'adresse propose une carte méditerranéenne dans un cadre d'inspiration californienne, chic et lumineux. . Miguel Ángel Aragones : Rombo IVBien souvent guidées par un désir d'esthétique intemporelle et d'épuration presque totale, les résidences minimalistes ont parfois tendance à tomber dans une uniformisation froide, redondante. Un constat fait par l'architecte mexicain Miguel Ángel Aragones qui tente, dans son pays d'origine, de conjuguer design moderniste et folie contemporaine à travers Rombo IV, une villa de 1 102 mètres carrées caractérisée par une grande mise en valeur de la lumière naturelle, le jour, et un éclairage complexe composé de néons bleus, oranges, violets, roses et rouges, la nuit. . Archiee : EN SpaLa douceur nippone n'a pas encore dévoilé tous ses secrets... La première boutique de cosmétique EN Spa est un havre de paix japonais en plein cœur de Paris. Le rez-de-chaussée est divisé en deux parties : l'entrée, qui se fait par la porte est de la boutique, est directement prolongée par un escalier rétroéclairé menant au sous-sol, tandis que l'espace dédié aux soins et aux conseils prend place à l'ouest. Les différents luminaires qui ponctuent les différentes pièces confère à la boutique la quiétude attendue par sa clientèle en quête de relaxation. La Rédaction
Il y a 5 ans et 7 jours

Le centre commercial Beaugrenelle à Paris autorisé par la justice à rouvrir

Le centre commercial de Beaugrenelle peut rouvrir ses portes, par décision de justice, malgré l'interdiction gouvernementale frappant les centres commerciaux de plus de 40.000 m2 de rouvrir.
Il y a 5 ans et 24 jours

Dossier : 5 restaurants atypiques parisiens

Déconfinement, jour 1 ! Pourtant, si l'on peut doucement commencer à sortir de chez soi, reprendre le court de sa vie semble encore être une illusion. Pour se préparer au lendemain ou s'échapper le temps d'un fantasme, Muuuz vous propose cette semaine un florilège de restaurants parisiens tous plus fous les uns que les autres, au sein desquels il fera bon de retrouver ses amis une fois le temps venu. Simon Porte Jacquemus : Restaurant OursinEn passe de prendre la capitale d'assaut, Simon Porte Jacquemus récidive après le succès de son premier établissement le Café Citron et ouvre une nouvelle adresse, toujours en association avec Caviar Kaspia : le Restaurant Oursin. Tout comme sa première enseigne, déjà auréolée de succès, Oursin prend place au sein des très chics Galeries Lafayettes Champs Elysée et invite les gourmets du 8ème arrondissement à voyager sous le soleil. . Delphine Sauvaget : Grand BeauPrenant place au 3ème étage des Galeries Lafayette Beaugrenelle (15ème arrondissement), le restaurant Grand Beau propose un retour aux sources des plus agréables dans un décor aux inspirations naturelles. Focus sur un havre de paix en pleine capitale signé Delphine Sauvaget. . Friedmann & Versace : RivieraLe studio français Friedmann & Versace, formé par les décoratrices Virginie Friedmann et Delphine Versace, imagine un décor aux accents méditerranéens pour le restaurant Riviera. Pour la nouvelle adresse parisienne des restaurateurs David et Lionel, le tandem féminin signe un intérieur estival aux allures de maison de vacances. De quoi prolonger l’été toute l’année. . Atelier Tsuyoshi Tane Architects : Restaurant MaisonManger au restaurant comme on dine à la maison ? Pari tenu pour les équipes de l’Atelier Tsuyoshi Tane Architects – ATTA – qui transforment un ancien entrepôt à vin du 11ème arrondissement de la capitale en une auberge conviviale où les clients se rassemblent autour d’une grande table dans un cadre champêtre et confortable. . Studio Parisien : Grand Café d’AthènesNouvelle adresse de Filakia, enseigne grecque située dans les 2ème et 5ème arrondissements, le Grand Café d'Athènes est une véritable invitation au voyage. Troquet aux murs olive et à la vaisselle typique dépareillée, ce nouveau temple de la gastronomie méditerranéenne est signé du Studio Parisien, à qui l'on doit également le restaurant Yoko (2ème arrondissement). . La Rédaction
Il y a 5 ans et 77 jours

Delphine Sauvaget : Grand Beau

Prenant place au 3ème étage des Galeries Lafayette Beaugrenelle (15ème arrondissement), le restaurant Grand Beau propose un retour aux sources des plus agréables dans un décor aux inspirations naturelles. Focus sur un havre de paix en pleine capitale signé Delphine Sauvaget. Exit les grandes chaines de restauration qui nous accueillent 10 minutes au beau milieu d’une séance de shopping éreintante. Au dernier niveau du centre commercial des Galeries Lafayette Beaugrenelle, c’est une table de maître qui nous attend, une « ode au plaisir responsable » qui prend place dans un cadre unique imaginé par l’architecte Delphine Sauvaget, où s’accordent bois, terre cuite et teintes chaleureuses. L’espace, baigné de lumière grâce à des baies vitrées panoramique, s’organise autour d’un bar circulaire en pisé aux rainures apparentes. Le restaurant propose une large table en bois ovales, ainsi qu’une multitude de petites tables rondes accueillant deux convives à chaque fois et un comptoir, le tout encadré par les Aranha chair de Branca Lisboa, chaises en bois à l’assise cannée élégante. L’ensemble prend place sur un sol en terrazzo. Une plateforme aux marches courbes accueille quant à elle des banquettes intimistes surplombées par des suspensions épurées. Le lieu idéal pour déguster une cuisine bistronomique naturelle. Pour en savoir plus, visitez le site de Delphine Sauvaget Photographies : DR Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 188 jours

Dossier : 5 boutiques atypiques à Paris

Birkenstock, Forte Forte, EN Spa... Alors que commence la course aux cadeaux, la rédaction de Muuuz vous propose de découvrir les nouvelles boutiques les plus tendance de la capitale. De quoi vous inspirer à quelques semaines de Noël.   VINSON & Co : Showroom Birkenstock 1774De ringarde à ultra branchée, la marque allemande de sandales Birkenstock ouvre un showroom parisien dédié à l’exposition de ses dernières collaborations. Désormais inscrite dans l’air du temps, la firme germanique s’offre un intérieur contemporain imaginé par le studio britannique Vinson & Co. Situé dans un appartement parisien de la rue Saint Honoré (1er arrondissement), le Showroom Birkenstock 1774 s’installe dans un espace de 170 mètres carrés typiquement haussmannien, avec ses riches moulures, ses grands miroirs, ses cheminées en pierre et son parquet à chevrons au sol. Un espace lumineux au décor raffiné qui devient l’écrin tendance de ces chaussures confortables d’outre-Rhin. C’est le comble du chic. . Archiee : EN SpaDans le 6ème arrondissement de Paris, la marque EN Spa, spécialisé les soins de peau japonais, a ouvert sa première boutique dans un bâtiment du 18ème siècle. Les architectes du studio d'architecture Archiee, Yusuke Kinoshita et Daisuke Sekine, en charge de la conception de l'officine, conservent les riches éléments structurels du bâtiment d'époque, y ajoutant des cloisons et des séparations curvilignes pour répondre au mieux à l'identité de la marque. L'occasion pour les férus d'esthétique tokyoïte de se faire prodiguer divers soins, massages et conseils dans une échoppe de 150 mètres carrés répartis sur deux niveaux exposant également une centaine de produits accessibles à la vente. . Giada Forte x Robert Vattilana : Forte ForteLa griffe italienne Forte Forte a investi la rue de Grenelle (7ème arrondissement) pour sa toute première adresse parisienne pensée par sa fondatrice Giada Forte ainsi que son compagnon, et directeur artistique Robert Vattilina. Pièce maitresse de ces lieux, la cabine d'essayage tapissée de velours vert, se cache derrière des portes inspirées du Bauhaus à l'image des miroirs aux lignes géométriques posés non loin des délicats portants en laiton brossé qui viennent nous rappeler la vocation première de cette nouvelle adresse. Une boutique de 100 mètres carrés aux allures de boudoir qui irradie de beauté. . Agence Elodie Ricord : Désolée PapaBadass le tatouage ? Pas forcément ! La preuve au nouveau corner du Printemps Haussmann où les jeunes filles se rebellent dans un cadre pastel imaginé par l'architecte d'intérieur Elodie Ricord. « Désolée Papa » est un lieu aussi féminin et délicat que les œuvres corporelles qu'il propose. Véritable écrin de candeur, le salon s'adresse à un public à la féminité assumée dont les choix se porteront plutôt sur des lignes délicates et des réalisations discrètes plutôt que sur des ouvrages imposants à l'univers plus sombre. Un pas de plus vers la démocratisation du tatouage, enclenchée depuis maintenant plusieurs années. . Studio Briand & Berthereau : ICI LibrairieBaptisée ICI par ses propriétaires Anne-Laure Vial et Delphine Bouétard, cette librairie situé dans le 2ème arrondissement se devait de proposer un cadre d'exception. D'exception, mais pas ostentatoire. Une mission confiée aux architectes du Studio Briand & Berthereau. L’agence a en effet réhabilité un local qui abritait autrefois un magasin de vêtements. Une intervention dont les enjeux dépassent de loin la question architecturale, puisque le lieu sert désormais d'écrin pour une espèce en voie de disparition : une librairie indépendante. ICI n'est pas qu'une boutique ; c'est une expérience à la fois sensorielle et imaginaire, rythmée par l'odeur des pages des nouveaux livres et l'image des clients en trempant un biscuit dans une tasse de capuccino. La Rédaction
Il y a 5 ans et 208 jours

BATIMAT 2019 – Reconstruction de Notre-Dame : le défi du siècle

Défi Rénovation en partenariat avec Atrium Le plus important gisement d’économies d’énergie et de gaz à effet de serre est dans la rénovation des bâtiments existants. On le sait depuis le Grenelle de l’environnement. Mais dix ans après, c’est encore LE défi à relever. Patrimoine, massification, industrialisation, rénovation basse énergie et bas carbone, rénovation des HLM et copropriétés… Le tour d’horizon sera complet. Sujet : Reconstruction de Notre-Dame : le défi du siècle Intervenants : Marie-Amélie Tek, Architecte du Patrimoine – GFTK Architectes Benoit Dulion, Co-Dirigeant – Dulion Charpente
Il y a 5 ans et 209 jours

BATIMAT 2019 – Rénovation : le logement social en première ligne

Défi Rénovation en partenariat avec Atrium Le plus important gisement d’économies d’énergie et de gaz à effet de serre est dans la rénovation des bâtiments existants. On le sait depuis le Grenelle de l’environnement. Mais dix ans après, c’est encore LE défi à relever. Patrimoine, massification, industrialisation, rénovation basse énergie et bas carbone, rénovation des HLM et copropriétés… Le tour d’horizon sera complet. Sujet : Rénovation : le logement social en première ligne  Intervenants : Alexandre Govoroff, Architecte Gérant – A&B Architectes
Il y a 5 ans et 210 jours

BATIMAT 2019 – Rénovation basse énergie et bas carbone

Défi Rénovation en partenariat avec Atrium Le plus important gisement d’économies d’énergie et de gaz à effet de serre est dans la rénovation des bâtiments existants. On le sait depuis le Grenelle de l’environnement. Mais dix ans après, c’est encore LE défi à relever. Patrimoine, massification, industrialisation, rénovation basse énergie et bas carbone, rénovation des HLM et copropriétés… Le tour d’horizon sera complet. Sujet : Rénovation basse énergie et bas carbone Intervenants : Philippe Alluin, Fondateur – Reezome Charles Arquin, Associé, Responsable Rénovation – Pouget Consultants Laurent Raimbault, Architecte Gérant – SoléCité Scop d’Architecture
Il y a 5 ans et 211 jours

BATIMAT 2019 – Faut-il industrialiser la rénovation ? Pourquoi ? Comment ?

Défi Rénovation en partenariat avec Atrium Le plus important gisement d’économies d’énergie et de gaz à effet de serre est dans la rénovation des bâtiments existants. On le sait depuis le Grenelle de l’environnement. Mais dix ans après, c’est encore LE défi à relever. Patrimoine, massification, industrialisation, rénovation basse énergie et bas carbone, rénovation des HLM et copropriétés… Le tour d’horizon sera complet. Sujet : Faut-il industrialiser la rénovation ? Pourquoi ? Comment ? Intervenants : Jocelyn Gac, Directeur Pôle Energie et Environnement – Les Compagnons du Devoir Joël Menard, Président Directeur Général – Dom’Innov Sébastien Delpont, Directeur associé – Green Flex Benoît Grandemange, Directeur Général – Isore Bâtiment
Il y a 5 ans et 212 jours

BATIMAT 2019 – Patrimoine : rénovation thermique et énergétique sans désordre

Défi Rénovation en partenariat avec Atrium Le plus important gisement d’économies d’énergie et de gaz à effet de serre est dans la rénovation des bâtiments existants. On le sait depuis le Grenelle de l’environnement. Mais dix ans après, c’est encore LE défi à relever. Patrimoine, massification, industrialisation, rénovation basse énergie et bas carbone, rénovation des HLM et copropriétés… Le tour d’horizon sera complet. Sujet : Patrimoine : rénovation thermique et énergétique sans désordre Intervenants : Judicaël de la Soudière-Niault, Architecte du Patrimoine, Label Effinergie Patrimoine Martin Guer, Chef de projet – Agence Qualité Construction Andrés Litvak, Responsable construction Bâtiment – Sud-Ouest – Cerema
Il y a 5 ans et 230 jours

Bati-journal vous donne rendez-vous à Batimat 2019 pour une nouvelle édition du plateau Bati-Journal TV

Bati-journal vous donne rendez-vous à Batimat 2019 pour une nouvelle édition du plateau Bati-Journal TV Bati-journal.TV, la web TV de la construction, réunit une nouvelle fois les spécialistes du bâtiment sur son plateau, à l’occastion du Mondial du Bâtiment qui se tiendra du 04 au 08 novembre au parc des Expositions Paris-Nord-Villepinte. Retrouvez cinq thèmes principaux qui rythmeront cinq rendez-vous quotidien : La Matinale de la construction bois en partenariat avec Wood Surfer Industrialisation, préfabrication, valorisation des bois locaux, bois d’ingénierie (CLT), impact carbone, cadre de vie, confort et bien-être, ou encore Jeux Olympiques… La construction bois joue dans la cour des grands et se rapproche de la première marche du podium. Nous verrons qu’avec elle le mot innovation prend tout son sens. Défi Rénovation en partenariat avec Atrium Le plus important gisement d’économies d’énergie et de gaz à effet de serre est dans la rénovation des bâtiments existants. On le sait depuis le Grenelle de l’environnement. Mais dix ans après, c’est encore LE défi à relever. Patrimoine, massification, industrialisation, rénovation basse énergie et bas carbone, rénovation des HLM et copropriétés… Le tour d’horizon sera complet. BJTV, vos questions, nos réponses en partenariat avec Construction21 Inédit, tous les jours entre 13h30 et 14h, nos invités spécialistes répondront en direct et sans filet aux questions du public et des internautes sur un point d’actualité bâtiment et construction. Villes et constructions durables en partenariat avec Planète Bâtiment Ville, quartier, îlot ou bâtiment, l’éco-construction devrait être l’axe unique d’un développement durable. La conscience des enjeux est-elle au rendez-vous ? Serons-nous capables de protéger et de ramener la biodiversité en ville ? De produire un urbanisme durable et bas carbone ? Et l’économie circulaire dans tout ça ? Un avant-goût des questions que nous poserons à nos invités. Enveloppe performante en partenariat avec 5façades Esthétique et technique, l’enveloppe du bâtiment cristallise toutes les problématiques de la construction : architecture et design, confort d’usage (thermique, acoustique, apport et protection solaire…) et réglementation (feu, ventilation…). Nous verrons que les industriels, fortement représentés à Batimat, rivalisent pour offrir des produits et systèmes aptes à répondre à toutes ces attentes. NOUVEAUTÉS 2019 : une émission en interaction avec le public, en partenariat avec Construction21 – Vous ne pouvez venir assister à l’émission ? Posez-nous vos questions dès maintenant en cliquant ici  un nouveau plateau tv avec du mobilier conçu dans le cadre d’un concours de design avec l’École Supérieure du Bois et l’École de Design de Nantes Un événement organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt, en partenariat avec 5façades, Atrium, Construction211, Planète Bâtiment, Pour Moi C’est le Bois et Wood Surfer. Toutes les vidéos du plateau TV sont à retrouver dès le 04 novembre sur bati-journal.TV, franceboisforet.fr , batimat.com et les sites de nos partenaires.