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Résultats de recherche pour lampadaires

(51 résultats)
Il y a 1 ans et 47 jours

La Ville de Paris soumise à un jeu de massacre

La place de la Concorde avec son sol, ses fontaines, ses statues, ses guérites, ses balustrades, ses colonnes, ses lampadaires… a fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques, par arrêté du 23 mars 1937. Son histoire est singulière par le choix de sa localisation mais aussi par celui de l’architecte qui devait concevoir la Place Louis […] L’article La Ville de Paris soumise à un jeu de massacre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 128 jours

Pose de lampadaires solaires dans le village de Diogane dans le Siné Saloum au Sénégal

Cette mission s’inscrit dans l’action d’electriciens sans frontieres qui, en partenariat avec Enedis, vise à améliorer les conditions de vie des populations de deux villages isolés via l'accès à l'électricité.
Il y a 1 ans et 226 jours

Le Territoire de Belfort, petit, mais grand par la sobriété électrique

Tout est parti des lampadaires : à Belfort et ses environs, l'attention portée à mieux détecter les pannes d'éclairage public a enclenché un cercle vertueux, classant le département l'hiver dernier parmi les trois premiers où la consommation électrique résidentielle a le plus baissé.
Il y a 2 ans et 180 jours

Réouverture du Terminal 1 de Roissy, rénové et agrandi

Celle-ci "marque symboliquement la fin de la pandémie de Covid-19 pour les aéroports parisiens", a affirmé le PDG du Groupe ADP Augustin de Romanet. Ce bâtiment circulaire flanqué de sept satellites en étoile était fermé depuis mars 2020, au début de la crise sanitaire.Depuis, ADP et ses sous-traitants se sont employés à transformer ces installations pour les adapter aux clients et compagnies aériennes, dont les exigences sont très éloignées de celles de l'époque de l'entrée en service du T1, en 1974."Chaque satellite était devenu trop étroit" pour accueillir les fonctions de sûreté et d'embarquement, et en conséquence "l'expérience passager était fortement dégradée", a expliqué à l'AFP Edward Arkwright, numéro deux d'ADP, qui a porté ce projet depuis son lancement.La solution a consisté à intégrer les surfaces de trois satellites au sein d'un nouveau bâtiment de 36.000 m2, dont 5.600 m2 pour une salle d'embarquement, et 6.000 de surface commerciale.Les voyageurs en partance, après avoir quitté l'anneau central aux surfaces de béton brut caractéristiques, se rendront dans ce bâtiment par un tunnel ondulant sous une des pistes de l'aéroport, repris de l'un des anciens satellites.Ils accèderont à une grande salle d'inspection-filtrage aux équipements électroniques dernier cri, puis par un escalator à la salle d'embarquement proprement dite.Son décor de cuir, de laiton et de marbre, surplombé par de flamboyants lampadaires, s'inspire selon ADP des Années folles décrites par Ernest Hemingway dans "Paris est une fête".Cette transformation a fait l'objet de dialogues entre ADP et l'architecte du bâtiment original Paul Andreu, avant sa mort en 2018, a noté M. Arkwright, le but étant de rester dans sa continuité: "le Terminal 1, on y touche la main tremblante", a-t-il résumé.Hommage à la vision d'Andreu, la façade vitrée du nouveau bâtiment, baigné de lumière traversante, est décorée d'un imposant rappel en sérigraphie de la silhouette opaque du bâtiment originel, juste en face.ADP a investi 250 millions d'euros dans ce projet qui porte la capacité du T1 à 10,2 millions de passagers par an, contre 9 auparavant. Il accueillera des vols de 36 compagnies aériennes, dont Lufthansa, Emirates et United.
Il y a 2 ans et 184 jours

Agen développe le plus grand parc d'éclairage public solaire d'Europe

Le projet est officialisé mercredi par cette dernière au Salon des maires à Paris, avec l'entreprise Fonroche Lighting et l'Union des groupements d'achats publics (Ugap). L'agglomération agenaise, qui compte 19.000 points lumineux, investira 11 millions d'euros pour remplacer 7.000 candélabres obsolètes par 6.000 lampadaires à énergie solaire."Agen est la première agglomération à basculer aussi massivement sur le photovoltaïque", se réjouit Jean Dionis du Séjour, président de la collectivité qui regroupe plus de 100.000 habitants dans 44 communes. "L'investissement est lourd mais la rentabilité est rapide. On espère économiser entre 600.000 et 750.000 euros par an", ajoute l'élu.Le fournisseur des nouveaux lampadaires, Fonroche Lighting, est basé à Roquefort dans la proche banlieue agenaise. Leader mondial de l'éclairage public solaire, l'entreprise emploie environ 200 personnes dans le monde, dont 130 localement.Son chiffre d'affaires est estimé à 100 millions d'euros pour 2023, contre 60 millions en 2022, signe d'une forte expansion. Elle a décroché récemment des contrats avec le Sénégal pour équiper le pays avec des dizaines de milliers de lampadaires photovoltaïques autonomes, qui éclairent aussi des routes au Koweït, un quartier résidentiel au Québec ou des pistes de ski en Suisse.Pour le directeur général de Fonroche Lighting, Laurent Lubrano, le solaire est une solution d'avenir pour les collectivités qui consacrent "40 à 60%" de leur facture d'électricité à l'éclairage public, sur fond de flambée des prix. "Pour les collectivités aujourd'hui, le choix est le suivant: +Soit je paie très cher, soit j'éteins ou je baisse la lumière+. Il y a une troisième solution: investir dans l'éclairage solaire. Le soleil, c'est gratuit", affirme le dirigeant.Le prix d'un lampadaire solaire est 20 à 30% plus cher qu'un classique "mais il n'y a aucun coût supplémentaire, pas d'énergie payante, pas de tranchée, pas de câble, pas de réseau électrique et pas d'entretien réseau qui coûte très cher. Le retour sur investissement est immédiat. Il n'y a pas de maintenance avant 10 ans".Et d'assurer qu'il n'y a "pas besoin de beaucoup de soleil": "Nous avons par exemple équipé un échangeur autoroutier à Calais de 120 lampadaires qui fonctionnent tous les jours de l'année", souligne le directeur de Fonroche.
Il y a 2 ans et 255 jours

Trente ans après la crue meurtrière de 1992, Vaison-la-Romaine se souvient

Le 22 septembre 1992, après quelques heures de pluies intenses, l'Ouvèze, paisible rivière du Vaucluse, s'est transformée en un tumultueux torrent. Elle a emporté un camping et détruit 80 maisons, principalement dans un lotissement construit en zone inondable, charriant sur son passage des arbres, voitures et caravanes.Le bilan humain de ces inondations est un des plus lourds des 30 dernières années en France: plus de 40 morts.Fierté de cette ville de 6.000 habitants, le pont romain, submergé par une eau boueuse à 17 mètres de hauteur, a perdu ses parapets mais ne s'est pas écroulé."42 morts et 500 millions d'euros de dégâts matériels. Chacun se souvient des images de ces caravanes projetées sur le pont romain. Cette catastrophe parle à tout le monde. On voit bien que cela peut arriver", a rappelé lundi la préfète du Vaucluse, Violaine Demaret.Près du pont, elle a dévoilé un repère de la hauteur record de l'eau le jour du drame, une étape des commémorations organisées cette semaine, alors que le dérèglement du climat est devenu une préoccupation mondiale.Sous le soleil, des touristes arpentant les rues de la vieille ville regardent, incrédules, le filet d'eau serpentant sous le pont qui ne porte plus les stigmates de la catastrophe."On a tout perdu""Après l'inondation, j'ai eu comme objectif que plus personne ne s'aperçoive que la ville avait été sinistrée. Cela a pris cinq ans et coûté 120 millions de francs" (18 millions d'euros), a confié à l'AFP l'ancien maire, Claude Haut.Aujourd'hui, seule une plaque sur le pont romain, un monument à l'emplacement du lotissement détruit et l’œuvre d'un artiste représentant des petits menhirs comme autant de victimes, rappellent la catastrophe.Beaucoup de témoins âgés du drame sont morts depuis, certains ont quitté la ville mais pour ceux qui sont restés, la mémoire des faits reste vivace. Donya Ghzal avait sept ans en 1992. Elle était la dernière, avec son frère et sa sœur, à être restée dans l'école de la ville inondée."On a tout perdu", raconte-t-elle les larmes aux yeux. Sa mère, réfugiée sur le toit de leur maison, avait été évacuée par hélicoptère. "Elle n'avait rien physiquement mais son regard était vide, elle était sous le choc". Comme d'autres familles sans logement, elle a pu reconstruire une maison au Clos d'Ariston, surnommé "le lotissement des sinistrés", sur un terrain donné par la ville."Tout a commencé le matin avec une forte pluie. En fin de matinée, c'était déjà anormal. On n'y voyait pas à trois mètres. A midi, c'était la nuit noire. Les lampadaires étaient éclairés. En sortant de chez moi, j'ai entendu des cris et j'ai vu cette étendue d'eau, ce n'était plus une rivière mais un lac", s'est souvenu l'ex-maire Claude Haut qui, après le drame, a interdit toute construction dans le lit de l'Ouvèze."Le phénomène va se répéter""Aussi exceptionnel soit-il, le phénomène de Vaison-la-Romaine va se répéter. On ne sait pas où ni quand mais la dérive climatique va conduire à des évènements extrêmes de plus en plus nombreux et de plus en plus brutaux", prédit Stéphane Roos, directeur adjoint Sud-Est à Météo-France."Mais depuis 1992, des outils ont été mis en place qui permettent d'anticiper au mieux et surtout d'informer le grand public", rassure Yann Laborda du service de prévision des crues, évoquant les sites de vigilance (Apic, Vigicrues...) ou l'envoi de SMS d'alerte pour prévenir les habitants du déclenchement d'un plan de sauvegarde communal.Des capteurs ont également été installés sur des bouées en Méditerranée et sur les différents cours d'eau pour suivre les évolutions hydrologiques et prévoir au mieux crues et inondations."Mais il reste des points où l'anticipation reste courte. Cela se compte en heures. Un temps suffisant pour sauver des vies si les habitants" savent réagir, souligne Yann Laborda.L'Etat entend développer une culture du risque chez les citoyens: "Reporter ses déplacements, laisser ses enfants à l'école, monter à l'étage, ne pas utiliser sa voiture, s'éloigner des cours d'eau et rester informé", prône un dépliant visant à inculquer les bons réflexes.Chez les pompiers, des spécialisations inondations ont été développées. Ils sont 121 a en avoir bénéficié dans le Vaucluse où 90% des communes sont exposées à ce fléau.
Il y a 2 ans et 255 jours

Trente ans après la crue meurtrière de 1992, Vaison-la-Romaine se souvient

Le 22 septembre 1992, après quelques heures de pluies intenses, l'Ouvèze, paisible rivière du Vaucluse, s'est transformée en un tumultueux torrent. Elle a emporté un camping et détruit 80 maisons, principalement dans un lotissement construit en zone inondable, charriant sur son passage des arbres, voitures et caravanes.Le bilan humain de ces inondations est un des plus lourds des 30 dernières années en France: plus de 40 morts.Fierté de cette ville de 6.000 habitants, le pont romain, submergé par une eau boueuse à 17 mètres de hauteur, a perdu ses parapets mais ne s'est pas écroulé."42 morts et 500 millions d'euros de dégâts matériels. Chacun se souvient des images de ces caravanes projetées sur le pont romain. Cette catastrophe parle à tout le monde. On voit bien que cela peut arriver", a rappelé lundi la préfète du Vaucluse, Violaine Demaret.Près du pont, elle a dévoilé un repère de la hauteur record de l'eau le jour du drame, une étape des commémorations organisées cette semaine, alors que le dérèglement du climat est devenu une préoccupation mondiale.Sous le soleil, des touristes arpentant les rues de la vieille ville regardent, incrédules, le filet d'eau serpentant sous le pont qui ne porte plus les stigmates de la catastrophe."On a tout perdu""Après l'inondation, j'ai eu comme objectif que plus personne ne s'aperçoive que la ville avait été sinistrée. Cela a pris cinq ans et coûté 120 millions de francs" (18 millions d'euros), a confié à l'AFP l'ancien maire, Claude Haut.Aujourd'hui, seule une plaque sur le pont romain, un monument à l'emplacement du lotissement détruit et l’œuvre d'un artiste représentant des petits menhirs comme autant de victimes, rappellent la catastrophe.Beaucoup de témoins âgés du drame sont morts depuis, certains ont quitté la ville mais pour ceux qui sont restés, la mémoire des faits reste vivace. Donya Ghzal avait sept ans en 1992. Elle était la dernière, avec son frère et sa sœur, à être restée dans l'école de la ville inondée."On a tout perdu", raconte-t-elle les larmes aux yeux. Sa mère, réfugiée sur le toit de leur maison, avait été évacuée par hélicoptère. "Elle n'avait rien physiquement mais son regard était vide, elle était sous le choc". Comme d'autres familles sans logement, elle a pu reconstruire une maison au Clos d'Ariston, surnommé "le lotissement des sinistrés", sur un terrain donné par la ville."Tout a commencé le matin avec une forte pluie. En fin de matinée, c'était déjà anormal. On n'y voyait pas à trois mètres. A midi, c'était la nuit noire. Les lampadaires étaient éclairés. En sortant de chez moi, j'ai entendu des cris et j'ai vu cette étendue d'eau, ce n'était plus une rivière mais un lac", s'est souvenu l'ex-maire Claude Haut qui, après le drame, a interdit toute construction dans le lit de l'Ouvèze."Le phénomène va se répéter""Aussi exceptionnel soit-il, le phénomène de Vaison-la-Romaine va se répéter. On ne sait pas où ni quand mais la dérive climatique va conduire à des évènements extrêmes de plus en plus nombreux et de plus en plus brutaux", prédit Stéphane Roos, directeur adjoint Sud-Est à Météo-France."Mais depuis 1992, des outils ont été mis en place qui permettent d'anticiper au mieux et surtout d'informer le grand public", rassure Yann Laborda du service de prévision des crues, évoquant les sites de vigilance (Apic, Vigicrues...) ou l'envoi de SMS d'alerte pour prévenir les habitants du déclenchement d'un plan de sauvegarde communal.Des capteurs ont également été installés sur des bouées en Méditerranée et sur les différents cours d'eau pour suivre les évolutions hydrologiques et prévoir au mieux crues et inondations."Mais il reste des points où l'anticipation reste courte. Cela se compte en heures. Un temps suffisant pour sauver des vies si les habitants" savent réagir, souligne Yann Laborda.L'Etat entend développer une culture du risque chez les citoyens: "Reporter ses déplacements, laisser ses enfants à l'école, monter à l'étage, ne pas utiliser sa voiture, s'éloigner des cours d'eau et rester informé", prône un dépliant visant à inculquer les bons réflexes.Chez les pompiers, des spécialisations inondations ont été développées. Ils sont 121 a en avoir bénéficié dans le Vaucluse où 90% des communes sont exposées à ce fléau.
Il y a 3 ans et 58 jours

Fonroche Lighting éclaire le Sénégal

Leader des lampadaires solaires autonomes, l’entreprise Fonroche Lighting, basée en Lot-et-Garonne, vient de décrocher un contrat de fourniture et installation hors normes. Entretien avec le directeur général, Laurent Lubrano.
Il y a 3 ans et 93 jours

Le prolongement de la ligne 1 du métro agite l'est parisien

Par un bel après-midi de samedi, sous le cui-cui des rouges-gorges, quelque 200 manifestants déambulent pancartes en main dans les allées du bois de Vincennes pour se recueillir au pied de vieux chênes pédonculés. Leurs vénérables troncs sont ceints d'un ruban de crêpe noir, en signe de deuil.Car sous cette portion du bois devrait passer, à horizon 2035, une nouvelle section du métro.Les autorités souhaitent prolonger la ligne 1, qui aboutit actuellement au château de Vincennes, de 5 kilomètres et trois stations dans les banlieues orientales de Paris.Ces travaux nécessitent l'abattage d'arbres sur un petit segment du bois de Vincennes, à la lisière nord de ce poumon vert classé. Même si d'autres essences seront replantées ultérieurement, ce point cristallise l'opposition au projet, pour lequel l'enquête publique ouverte fin janvier s'achève mercredi 2 mars.Cette forêt, Cécile Toison en est familière. Au petit matin comme tard le soir, cette riveraine de Vincennes la traverse sur son vélo pour prendre ou quitter son service à l'hôpital.En chemin, "je croise le fameux renard, le fameux hérisson, le fameux écureuil. De quel droit aujourd'hui se permet-on encore d'avoir cette suprématie sur le monde animal ?" s'inquiète auprès l'AFP cette infirmière puéricultrice de 46 ans, venue manifester contre le chantier prévu.La pétition antitravaux a recueilli 65.000 signatures.Mais dans ce dossier, aucun des deux camps n'a le monopole de l'écologie.Du côté des défenseurs de l'extension de la plus ancienne ligne de métro de France, inaugurée en 1900, on rappelle qu'elle doit désenclaver plusieurs quartiers de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne et réduire ainsi le bilan carbone de leurs habitants.Moins de voituresSur les hauteurs de Montreuil, le quartier populaire de Bel Air-Grands Pêchers, marqué par un fort taux de chômage et un important programme de rénovation urbaine, bénéficiera ainsi de sa propre station. Celle-ci mettra la gare de Lyon à 15 minutes, contre 35 en moyenne avec les transports actuels.Le métro "permettrait d'une part de réduire l'usage de la voiture, et d'autre part plus de liberté pour les habitants de se déplacer, de travailler, d'étudier", pointe Haby Ka, conseillère municipale (PCF) de Montreuil et élue du quartier."Des gens nous disent +ils nous parlent du bois mais c'est juste un prétexte, ils ne veulent pas voir les banlieusards prendre la 1+", relate-t-elle, "c'est un peu un enjeu de lutte des classes."Envisagé depuis le milieu des années 1990, ce programme s'inscrit dans une tendance plus générale d'extension en petite couronne des lignes de métro qui se sont arrêtées pendant des décennies aux portes de la capitale.Signe des passions que suscite l'arrivée du métro, un soir de mi-février, des centaines de curieux convergent sur un gymnase de Fontenay-sous-Bois pour une réunion d'information.Le long des rues, des ballons jaune canari - couleur de la ligne 1 – sont accrochés aux panneaux et lampadaires, comme pour fêter un anniversaire.Des dizaines de personnes restent bloquées devant la salle par le service de sécurité. A l'intérieur, l'ambiance est électrique. On applaudit, on hue. "Pour ceux qui mènent un combat d'arrière-garde, il faut penser aux humains !" s'insurge un homme. "Déni de démocratie !" crie un militant pro-arbres.Le président de la commission d'enquête publique tente de calmer les esprits : "ce n'est pas un forum, on est entre gens responsables..."D'un coût annoncé de 1,5 milliard d'euros hors-taxes, le prolongement de la ligne 1 doit transporter 95.000 voyageurs par jour. Les travaux sont actuellement prévus pour être réalisés entre 2028 et 2035. Mais gare aux perturbations...
Il y a 3 ans et 151 jours

Le pilote ou driver, un élément déterminant pour optimiser le rendement des luminaires LED

Les pilotes de LED utilisent des techniques à découpage de tension et à modulation de largeur d’impulsions. Les dispositifs abaisseurs de tension fournissent le niveau de tension nécessaire à l’éclairage des LED reliées en série. Ces dispositifs disposent d’une self mémoire de courant ; en hachant la tension d’entrée on obtient la tension voulue pour l’activation des LED.Les LED nécessitent une alimentation capable de convertir le courant alternatif en tension continue, de réguler le courant traversant la LED pendant le fonctionnement et de protéger les LED des fluctuations de tension de ligne, telles que le ballast utilisé pour une lampe fluorescente. Les pilotes de LED peuvent être des types à tension constante ou des types à courant constant. Avec l'utilisation de ces pilotes électroniques, une variété de fonctions supplémentaires peut être intégrées dans le luminaire, l'intégration de tous les composants électroniques est une tendance contre l'utilisation decomposants discrets pour simplifier l'application. Les pilotes dotés d'une capacité de gradation peuvent modifier le flux lumineux sur toute la plage de 100 % à 5 à 10 %. Les pilotes dimmables peuvent tamiser les LED en réduisant le courant direct (réduction de courant constant CCR), par modulation de largeur d'impulsion (PWM) via une commande numérique ou par des méthodes plus sophistiquées comme DALI. La plupart des pilotes de gradation fonctionnent en utilisant la méthode PWM. Avec cette méthode, la fréquence peut atteindre quelques centaines de Hz à kHz, de sorte que la lumière LED semble être continue sans scintillement. L'électronique sensible du pilote est directement exposée aux effets de l'environnement, ce luminaire doit résister à tout moment. Il est donc important de connaître tous les facteurs qui peuvent influencer la fiabilité.Les exigences critiques pour les pilotes de LED sont en partie liées aux performances, en partie à la fiabilité :Attentes liées au rendement :Haute efficacité - Critique pour les économies d'énergieFonction de gradation - Améliore considérablement la fonction d'économie d'énergieAutres caractéristiques électriques (PFC, THD, Ripple)Attentes liées à la fiabilité :Haute fiabilité - Fondamentale pour minimiser les coûts de maintenanceLongue durée de vie - Compatible avec la durée de vie prévue des LEDMesure de la performanceLe pilote LED joue un rôle crucial dans le contrôle des performances de l'ensemble de l'appareil d'éclairage. La diversité des pilotes disponibles rend difficile le choix de la bonne solution, notamment en raison du fait que les fabricants fournissent des informations techniques de qualité différente. Les pilotes qui semblent parfaitement adaptés à première vue peuvent fonctionner de manière complètement différente dans des conditions particulières, donc sans connaître le comportement exact dans toutes les circonstances, il est difficile de comparer les produits. Pour pouvoir poser les bonnes questions au fabricant, il faut savoir comment spécifier les disques avec plus de précision pour obtenir les bonnes performances.Fiabilité : Durée de vie (LifeSpan) versus MTBFPar définition, la fiabilité est une probabilité que le produit remplisse la fonction attendue dans certaines conditions de fonctionnement pendant une période définie. La fiabilité est dépend du fonctionnement, des conditions et du temps attendus. Les exigences critiques pour les performances des pilotes LED sont le rendement élevé pour fournir suffisamment d'économies d'énergie, la fiabilité pour minimiser les coûts de maintenance, la longue durée de vie mesurable avec la durée de vie des puces LED et la fonction de gradation pour des économies d'énergie et de durée de vie supplémentaires. Habituellement, la fiabilité est quantifiée avec le MTBF, mais une compréhension correcte du MTBF est indispensable. En théorie, l'hypothèse selon laquelle un MTBF plus élevé signifie une fiabilité plus élevée est vraie, mais il n'y a pas de proportionnalité directe entre les deux nombres.Le temps moyen entre les pannes (MTBF) représente l'approximation statistique des heures cumulées pendant lesquelles un certain nombre d'unités doivent fonctionner avant qu'une panne puisse être attendue. Il ne représente pas la durée de vie prévue d'une unité donnée.La durée de vie d'un produit indique combien de temps un produit devrait survivre dans des conditions de fonctionnement normales.Si cette durée de vie est de 50 000 heures, la fiabilité des différentes solutions de pilotes MTBF peut être calculée :Il est bien visible que l'augmentation de 400 % ou du MTBF n'entraîne qu'une augmentation de 30 % de la fiabilité avec les mêmes attentes de durée de vie.Au début de la période de service, les défauts de production peuvent entraîner de défaillances précoces élevées, Le nombre de pannes commence à diminuer considérablement par la suite. L'intégrité de la conception, les tests de résistance et l'assurance qualité adéquate ont tendance à diminuer le nombre de défaillances précoces. Au cours de la période de vie utile, les défaillances se produisent dans un ordre aléatoire, mais le taux de défaillance est presque constant. C'est la période entre le début d'utilisation de l'appareil et le début de la phase d'usure. Ceci est déterminé par l'espérance de vie des composants utilisés dans l'assemblage de l'unité.Au fur et à mesure que les composants commencent à se dégrader, des problèmes surviennent à des taux croissants, principalement causés par la panne des composants électroniques soumis au vieillissement, aux contraintes électriques et thermiques. C'est la période où le MTBF calculé ne s'applique plus. Le MTBF n'est applicable que pendant la durée de vie normale du produit. Il peut arriver qu'un appareil avec 10 ans de MTBF s'use en 3 ans, personne ne peut prédire l'usure des composants de manière fiable. En général, les fabricants de composants de qualité ainsi que d'alimentations visent à avoir une durée de vie utile dépassant la durée de vie de conception.Mesures de fiabilitéTempérature de fonctionnementLa température à laquelle le pilote fonctionne affecte fortement sa durée de vie, c'est pourquoi une gestion efficace de la température est un point clé de la conception du luminaire.Habituellement, la température maximale du boîtier Tcmax est la limite pour donner une durée de vie garantie au pilote LED. Même s'il y a une protection thermique intégrée, elle est déclenchée bien au-delà de cette limite, par conséquent la durée de vie attendue du pilote chute considérablement, à moins que le concepteur du luminaire n'installe une protection de température externe.Condensateurs électrolytiques et autres composants critiquesLe composant le plus faible avec l'espérance de vie la plus courte détermine la durée de vie de l'ensemble du produit. Pour les alimentations, les condensateurs électrolytiques ont généralement la durée de vie la plus courte, de sorte que la durée de vie du pilote de LED AC/DC est normalement déterminée par la durée de vie des condensateurs en aluminium utilisés. Des capuchons longue durée doivent être utilisés pour assurer une longue durée de vie des pilotes de LED. Étant donné que la durée de vie des capuchons en aluminium double pour chaque diminution de 10 °C de la température de fonctionnement (règle d'Arrhenius), il est essentiel de minimiser la température de fonctionnement des condensateurs électrolytiques. Malgré ce fait, les taux de défaillance des pilotes de LED sont dominés par les dispositifs à semi-conducteurs, qui comprennent les principaux MOSFET, diodes, circuits intégrés de commande et optocoupleurs. En raison des règles de conception appliquées, les condensateurs en aluminium ne contribuent aujourd'hui qu'à une petite partie des taux de défaillance des pilotes, qui dépendent largement de la température de fonctionnement. En règle générale, le taux de défaillance d'un pilote de LED augmente de 25 à 40 % pour chaque augmentation de 10 °C de la température du boîtier.EfficacitéComme écrit précédemment, l'efficacité a un impact énorme sur la durée de vie. Moins l'auto- échauffement se produit dans le conducteur en raison des pertes thermiques, les composants sont moins soumis à des contraintes thermiques. La durée de vie typique d'un pilote de 150 W est augmentée d'environ 2,5 fois à mesure que l'efficacité du pilote passe de 85 % à 93 %.Le MTBF calculé d'un driver de 150 W augmente d'environ 90 % à mesure que l'efficacité du driver passe de 85 % à 94 %.Les soudures de jonctionLa fiabilité des soudures peut causer des problèmes en raison du cycle de température, qui provoque une dilatation thermique différente des matériaux à souder, donc un risque de fissures dans la soudure de jonction. Les contraintes mécaniques peuvent également provenir de l'utilisation de composants lourds ou de vibrations.Résumé des actions pour maximiser la fiabilité :Sélectionnez des composants de qualité, en particulier les principaux dispositifs à semi-conducteursRéduire la température de fonctionnement en améliorant l'efficacitéFournir suffisamment de marges de conception à tous les composantsSuivre des procédures de conception strictesConsidérations financièresEn plus de fournir des performances et une fiabilité élevée, les attentes financières doivent également être prises en compte et des fonctionnalités techniques supplémentaires doivent être impliquées ici.Le fait de pouvoir utiliser des pilotes connectés au même disjoncteur permet de réaliser des économies sur les coûts d'installation. Le nombre de pilotes LED est limité par des disjoncteurs à courant de déclenchement. Si tous les pilotes ont un courant d'appel optimisé, plusieurs peuvent être connectés en même temps sans problème au démarrage.Lors du démarrage d'un système d'éclairage à LED, un fort courant transitoire initial peut être maintenu, qui peut être plusieurs fois supérieur au courant nominal en fonctionnement normal.Typiquement, ces courants d'appel durent moins de 10 ms mais ils peuvent néanmoins déclencher le disjoncteur. Le courant d'appel est causé par la charge des condensateurs dans les alimentations des pilotes de LED ou parce que le flux magnétique ne s'est pas encore accumulé dans le transformateur de l'alimentation. La sélection de pilotes à régulation d’appels de charges est un moyen rentable, en particulier pour les solutions de modernisation simplifiant le câblage.ConclusionPour sélectionner le meilleur pilote LED en termes de durée de vie, de fiabilité, de performance et d'aspects financiers, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Il est difficile de comparer les spécifications des pilotes entre les fabricants, et il n'est pas conseillé de baser la décision sur le coût d'achat pur, car cela élimine trop de facteurs de décision, qui peuvent avoir un rôle important sur les performances réelles. Nous espérons qu'en clarifiant les facteurs ci-dessus, le concepteur aura une meilleure chance de faire une sélection exacte. MeanWell, Philips, Inventronics, Osram, Turful, Sosen, Moso… proposent une vaste gamme de pilotes LED intérieurs et extérieurs. Comme la plupart des applications d'éclairage LED sont justifiées sur la base d'économies d'énergie et de coûts de maintenance réduits, nous nous concentrons en conséquence sur la fourniture de produits à haute efficacité et longue durée de vie. Ces marque leader proposent des Pilotes LED avec un rendement jusqu'à 95 %, un facteur de puissance jusqu'à 0,99, une protection robuste contre la foudre et des niveaux d'étanchéité IP67. Ces produits sont conformes aux réglementations de sécurité mondiales et aux normes de compatibilité électromagnétique et disposent d'une protection contre les surtensions, les surintensités et les surchauffes. Ils sont largement utilisés pour les lampadaires LED, les éclairages de tunnel et l'éclairages d’atelier, locaux industriels, chantiers, zones de stockages, parking, aire de loisirs, terrain de sport et stades.Les drivers de la gamme NOVETI des série SFL, HFL, XFL utilisent des condensateurs électrolytiques spéciaux à longue durée de vie spécifiés sur une durée de vie « LS » de 50 000 heures de -40°à +85°C. La régulation de sortie de courant à faible ondulation crée une lumière stable sans scintillement et une gradation en douceur pour les modèles équipés d’une option dimable 1-10V . La conception thermique autorégulée permet une garantie jusqu’à 5 ans.Le pilote LED représente 80% de la fiabilité d’un luminaire LED. Au-dessous d’une certaine qualité il ne peut plus offrir au luminaire l’uniformité, le rendement et une fiabilité optimum.
Il y a 3 ans et 241 jours

Ouverture d'une collecte de dons pour la restauration du mobilier Pierre Paulin du Palais d'Iéna

Chef d'œuvre architectural construit par l'architecte Auguste Perret en 1937 à l'occasion de l'exposition universelle, le Palais d'Iéna abrite le CESE depuis plus de soixante ans.Afin de le réhabiliter et de préserver son patrimoine architectural et mobilier, le CESE s'est doté le 10 décembre dernier d'un outil innovant avec la création du Fonds de dotation Co-construire. Ce fonds a pour objet la réalisation et le financement d'actions d'intérêt général à caractère culturel et scientifique visant la restauration, la préservation et la modernisation du Palais d'Iéna et de son mobilier. Aujourd'hui, le travail doit se poursuivre avec la rénovation des espaces intérieurs et notamment de la salle hypostyle qui a subi les outrages du temps.Pour meubler cette salle, le Palais d'Iéna a bénéficié dans les années 80 d'une importante commande publique du Ministère de la Culture à Pierre Paulin dont le travail s'harmonise avec la vision de l'architecte Auguste Perret. Ces œuvres, qui font partie des collections du Mobilier national, sont aujourd'hui considérées comme des pièces majeures du design du XXe siècle. Elles ont été conçues en concertation avec le Mobilier national et son Atelier de Recherche et de Création (ARC). Soutien des métiers d'art et de la création depuis le XVIIème siècle, le Mobilier national a pour mission première l'ameublement des palais de la République, qui constituent une vitrine de prestige pour valoriser la richesse de ses collections et l'excellence des savoir-faire des métiers d'art français.Ce mobilier a aujourd'hui besoin d'une restauration d'ampleur qui sera conduite sous le contrôle du Mobilier national : les éléments clés d'une série de 8 salons s'intégrant dans la salle hypostyle, soit 64 fauteuils, 32 lampadaires et 8 tapis retrouveront leur état d'origine.C'est pourquoi le CESE, d'abord avec le soutien de la Fondation du patrimoine et ensuite en partenariat avec le Mobilier national, annonce l'ouverture d'une collecte de dons en ligne en vue de la restauration du mobilier Paulin, auquel chaque citoyen qui le souhaite pourra participer au financement de la restauration grâce à des dons déductibles fiscalement : https://www.fondation-patrimoine.org/77811Jean Grosset, Président du Fonds Co-Construire, déclare « Devenir mécène du fonds Co-Construire dans le cadre juridique légal du mécénat, c'est participer à la restauration du mobilier signé par le designer Pierre Paulin pour le Palais d'Iéna. C'est aussi soutenir l'action d'une assemblée représentative de l'ensemble des Français favorisant dialogues et compromis. »Hervé Lemoine, Directeur du Mobilier national, déclare : « Je me réjouis que cet ensemble de mobilier ayant subi les outrages du temps puisse, aujourd'hui, bénéficier d'une vaste opération de restauration et de rénovation, en lien constant avec l'expertise des ateliers et manufactures du Mobilier national. »
Il y a 3 ans et 309 jours

Idées pour choisir ses lampes quand on décore sa maison

Bien choisir ses lampes est une étape cruciale dans l’aménagement de son chez-soi. Cette démarche assure en effet un éclairage optimal et offre un confort visuel de son intérieur. Pour se sentir à l’aise sur le long terme et cela, grâce à l’éclairage de la maison, il est fondamental de choisir des lampes design et performantes. Mais comment choisir des lampes de qualité ? Choisir le type de luminosité Avant de jeter votre dévolu sur une quelconque lampe, assurez-vous d’avoir trouvé le type d’éclairage idéal. Ce paramètre est essentiel car il met en exergue l’aspect de votre intérieur. D’ailleurs, il reflète le type d’ambiance ou d’animation existant dans votre ménage. Comprenez toutefois qu’il existe trois sortes d’éclairages dans le domaine du design d’intérieur. L’éclairage décoratif Si vous êtes du genre coquet et que vous souhaitez étaler les éléments architecturaux de votre nid douillet, nous vous recommandons ce type d’illumination. En soulignant les lignes ainsi que les objets architecturaux, il dégage l’élégance ainsi que le charme d’une pièce. Par ailleurs l’ambiance qu’il procure en illuminant chaque rayon de votre pièce est semblable à celle d’une salle de divertissement. Les modèles de lampes créant un tel effet sont souvent les lampadaires. Ainsi si vous aimez l’originalité et mettre votre créativité en épitaphe, pourquoi ne pas opter pour cette variante d’éclairage? L’éclairage direct Ce type d’éclairage consiste à projeter de la lumière vive et homogène sur une surface précise. Ce mécanisme aide alors à obtenir un éclairage uniforme et enlève toutes les zones d’ombres. En bref, la zone d’implantation sera totalement illuminée. Dans ce sens, ce type d’éclairage convient aux lieux de travail ainsi que les établissements estudiantins. Par ailleurs, elle conviendra aux personnes en télétravail et donc travaillant chez eux. L’éclairage indirect Ne vous est-il jamais arrivé de fantasmer sur l’éclairage des grandes surfaces ou bien des magasins renommés? Sachez qu’il vous est possible de reproduire cette luminosité chez vous. Il vous suffit  d’orienter les lampes vers une surface réfléchissante et plane comme les verres ou bien les miroirs. En outre, ce type d’éclairage est très prisé car il a ce don spécial d’adoucir l’aspect de sa pièce d’implantation et de le convertir en un véritable havre de paix. Opter pour le type de lampe adéquat Le choix du type de lampes incombe du type pièce à éclairer.  Comprenez toutefois qu’il existe trois formes principales de lampes: les lampes fluorescentes, les lampes halogènes et lampes LED. Le choix entre de ces variantes dépendra alors de la zone d’instalation. Pour ce qui est du modèle de lampe à installer, le site lampesenligne dispose d’une large collection selon l’ambiance existante chez vous et l’architecture de l’habitat. La salle de bain La salle de bain est l’un des lieux les plus intimes d’une maison. Elle doit alors dégager une sensation de calme et de bien-être, continuellement. Pour inviter la tranquillité à rejoindre cet endroit, le consommateur devra opter pour une lampe avec une luminosité harmonieuse comme les LED. D’ailleurs, ces ampoules proposent un excellent rapport prix-qualité du fait qu’elles soient écologiques, économiques et très performantes. La cuisine La cuisine est un endroit très animé de par les vas-et-viens qui s’y produisent fréquemment. Étant le centre d’activité d’une maison, chacun de ses recoins se doit d’être optimalement éclairé. Ainsi, aucun des objets ne doit être mis à l’ombre. Cela facilite dans ce sens le repérage d’un outil en cas d’une éventuelle utilisation. Ainsi, nous vous recommandons des ampoules fluorescentes compactes pour une luminosité uniforme. La chambre à coucher A l’égale de la salle de bain, la chambre à coucher est un lieu intime. Il devra également être illuminé par une lampe spéciale et en mesure d’apporter la douceur et l’apaisement dans l’endroit. Comme conseil d’expert, nous vous conseillons vivement d’alterner entre les lampes LED et les ampoules fluorescentes. Vous obtiendrez alors une luminosité originale doublée d’une ambiance tranquille.  
Il y a 4 ans et 45 jours

La cité du Fleuve, le rêve immobilier d'une élite qui prend l'eau à Kinshasa en République démocratique du Congo

Les promoteurs de la Cité du fleuve promettaient à son lancement il y a dix ans un "havre de paix" à l'écart du chaos urbain de la capitale de la République démocratique du Congo, la plus grande ville d'Afrique francophone avec une population estimée à au moins 10 millions d'habitants.Prévus pour être construits sur 25 km2 sur des terrains gagnés sur le fleuve Congo, les maisons et petits immeubles desservis par des allées coquettes avec lampadaires devaient être une sorte de petit "Dubaï de Kinshasa", affirmait une vidéo promotionnelle de 2015, parlant de la "plus belle cité d'Afrique".Stars de la rumba, banquiers, hommes d'affaires, politiciens affairistes: des nouveaux riches ont investi dans des appartements et des villas, à l'écart du quartier populaire de Kingabwa.Mégapole en croissance constante, Kinshasa offre un paysage immobilier hyper-contrasté, à la mesure des gigantesques écarts de revenus entre la majorité de la population et une poignée de nantis.Des millions de familles y survivent dans des logements exigus exposés aux inondations, aux coupures d'eau et d'électricité, mal desservis par des routes défoncées.Mais dans le même temps, des tours d'habitation de plus de 20 étages, des résidences de grand standing, sortent de terre dans le quartier résidentiel de la Gombe, au bord du fleuve, avec des vues saisissantes sur Brazzaville.La cité du Fleuve, qui a été à l'avant-garde de cette poussée de fièvre immobilière haut de gamme il y a dix ans, a été initiée par Mukwa investments, une société domiciliée dans le paradis fiscal des Bermudes, ayant pour gérant le français Robert Choudury.Au sens propre, le projet bâti a très vite pris l'eau, avec des inondations régulières en saison des pluies, comme en décembre 2020.En ce début d'année 2021, une dizaine de constructions inachevées sont entourées d'herbes folles sur ce terrain marécageux et des crapauds barbotent dans des piscines remplies à l'eau de pluie, a constaté l'AFP."Rien ne va"Sur le site, des poubelles débordent, pour le plus grand bonheur des mouettes.Dans certains appartements, les traces d'humidité sont visibles avec des moisissures sur les murs et plafond.Les complaintes des habitants sont à l'unisson: "rien ne va ici, même l'eau qui coule dans les robinets est impropre à la consommation", "l'électricité coûte le double du tarif de la Snel (société nationale d'électricité)", "je n'en peux plus"...Le président du syndic des propriétaires, Serge Kasanda, déplore la dépréciation des biens: "les loyers qui coûtaient 2.500 dollars sont aujourd'hui à 1.000 dollars et même moins".L'homme d'affaires congolais de 56 ans dénonce des retards de livraison: "J'ai acheté un appartement à 185.000 dollars en novembre 2018 qui devrait m'être livré trois mois après, mais jusqu'à à ce jour cela ne m'a pas encore été livré".Le syndic a envoyé un "mémo" au président de la République en février pour dénoncer l'eau impropre à la consommation, les problème d'évacuation des ordures...en estimant qu'il fallait 50 millions de dollars pour rembourser les dettes, réhabiliter le site et les bâtiments et aménager de nouveaux espaces par remblaiement.Les propriétaires ont demandé l'arrestation du gérant français Robert Choudury, qu'ils accusent de tous leurs maux.Joint par l'AFP en Afrique du Sud, Robert Choudury accuse en retour les Congolais d'être de mauvais payeurs.Au bout de 10 ans, sur un total de 450 appartements, "seuls 15% des clients ont payé la totalité tout de suite dans les semaines qui ont suivi la signature du contrat. 65% des gens ont payé en six ans au lieu de deux ans (comme convenu), et 20% de gens n'ont jamais fini de payer", se défend M. Choudury."J'ai perdu quatre millions de dollars en dix ans" pour couvrir la fourniture électrique, ajoute l'homme d'affaires français, accusant "des généraux et des ministres qui refusent de payer".Il reconnait qu'il existe "30 appartements non livrés. Mais 18 sont en cours de finition".L'homme d'affaires affirme avoir "signé un accord avec des partenaires chinois" pour reprendre le projet de la cité du Fleuve sans plus de détails. Et annonce un projet similaire à la cité du Fleuve à Lubumbashi, capitale économique du pays dans le sud-est.
Il y a 4 ans et 204 jours

Coupure de courant électrique, que faire ?

Une coupure de courant peut être provoquée et individuelle, dont le dysfonctionnement dans le logement est la principale cause. Une coupure peut également être généralisée. Il y va dans l’intérêt de chacun de connaitre la cause d’une panne, afin d’adopter les bons gestes pour remettre en route l’électricité. Quelles sont les causes de la coupure de courant ? Il est indispensable de connaitre la nature de la panne d’électricité. Voici quelques conseils afin de vous aider à mieux éclairer sur les motifs. Coupure de courant généralisée Une coupure de courant généralisée est souvent engendrée par des intempéries ou des travaux réalisés sur le réseau de distribution. Pour déterminer s’il s’agit d’une panne généralisée, voici les bons gestes à adopter : Vérifier l’état du disjoncteur est le premier réflexe à adopter en cas de coupure de courant. Si ce dernier est en état de marche, c’est qu’il s’agisse d’une panne généralisée. En revanche, si l’appareil indique « arrêt », c’est que la panne est individuelle. Vérifier l’éclairage public, si les lampadaires de la rue ne fonctionnent plus, c’est qu’il est possible que la panne soit généralisée. Contacter les voisins, pour savoir si oui ou non, l’électricité est également coupée chez eux. Une coupure de courant individuelle Les causes d’une coupure individuelle sont nombreuses : Une facture impayée. Il faut savoir que si vous recevez un avis de paiement venant de votre fournisseur d’électricité, vous avez 14 jours pour le payer. Au-delà de ce délai, et que la facture n’est pas réglée, le fournisseur vous fait parvenir un courrier vous proposant un échéancier ou une prolongation supplémentaire pour que vous puissiez rembourser vos dettes. Si vous êtes dans ce cas, l’idéal est de contacter le plus rapidement possible votre fournisseur. A défaut, l’entreprise enverra à vos frais un technicien pour la coupure de courant ou la réduction de la puissance électrique. Cette intervention coûte dans les 50 euros et sera ajoutée aux dettes. Une puissance électrique trop faible. La puissance électrique du compteur est déterminante pour la quantité d’électricité, à utiliser dans votre logement. Lorsque vous branchez trop d’appareils et qu’ils fonctionnent en même temps, cela entraine une surcharge. Cette situation entraine pourtant la mise en marche du disjoncteur qui va couper l’électricité. Pour pallier ce problème, il vous suffit de relancer cet appareil ou remplacer le fusible endommagé. Si le cas se présente souvent, vous devez revoir votre puissance électrique, pour qu’elle puisse correspondre à vos habitudes de consommation. Omission de souscrire à une nouvelle offre pour un déménagement. En effet, pour un déménagement, il est impératif de contacter votre fournisseur d’électricité en vue d’un nouveau contrat. Notons que votre offre d’électricité n’est plus valable une fois que vous changez de domicile. En outre, s’il s’agit d’un bien neuf, celui-ci n’est pas encore accordé à l’électricité. En contactant votre fournisseur d’électricité, il pourra vous envoyer un technicien sur place pour réaliser les démarches de raccordement nécessaires. Un souci de raccordement. Si la panne d’électricité n’est pas causée par les précédentes situations, c’est qu’il s’agit d’un souci au niveau du raccordement. Pour cela, il faudra contacter votre fournisseur d’électricité ou un technicien pour qu’il intervienne dans les meilleurs délais. Souvent, le souci peut concerner les fils de raccordement. Si c’est le cas, mieux vaut s’adresser à des professionnels comme un artisan du cuivre pour disposer de la qualité de fil. Un immeuble peut également être touché par une panne d’électricité. C’est au gestionnaire de l’immeuble de contacter un électricien afin de trouver une solution dans les plus brefs délais.
Il y a 4 ans et 350 jours

L’avenir des Champs-Elysées

L’idée de végétaliser l’avenue des Champs-Elysées est celle qui émerge le plus fortement. [©PCA-Stream] Pendant la période de confinement, alors que les espaces culturels étaient fermés, le Pavillon de l’Arsenal et l’agence d’architectes PCA-Stream ont lancé la version virtuelle de l’exposition “Champs-Elysées : Histoire et Perspectives” L’occasion de revenir sur l’histoire, mais aussi sur l’avenir de “la plus belle avenue du Monde”. Le public ayant été invité à réinventer les “Champs”. En effet, particularité de l’évènement, cette visite immersive était aussi participative. Parents et enfants pouvaient, depuis leur canapé, se promener sur les Champs-Elysées du futur et en devenir les co-constructeurs. Plus de 2 000 propositions et 450 000 votes Le Comité Champs-Elysées et Make.org dévoilent aujourd’hui les résultats de cette consultation citoyenne. Cette dernière s’est déroulée du 14 février au 4 juin 2020. Soit avant, pendant et après le confinement. Et peut se lire en filigrane comme une synthèse des attentes des Franciliens pour “la ville d’après”. Avec près de 100 000 participants, il s’agit de la plus vaste consultation jamais réalisée dans le cadre d’un projet de réaménagement urbain. Les citoyens étaient invités à répondre à une question simple : “Qu’aimeriez-vous changer pour améliorer les Champs-Elysées ?” Parmi les 2 000 propositions, 6 grandes idées ont été plébiscitées. Les 6 idées par ordre d’importance Idée 1 – Végétaliser l’avenue est le concept, qui émerge le plus. Il s’agit de “verdir” l’artère, avec des plantations d’arbres, arbustes ou l’installation de parcs.  Idée 2 – Créer une véritable promenade piétonne des Tuileries jusqu’à l’arc de Triomphe, en facilitant la traversée des piétons (notamment de la place de la Concorde). Idée 3 – Le meilleur partage de l’espace public entre les différentes mobilités apparaît comme une priorité pour les citoyens.  Idée 4 – Les citoyens plébiscitent la promotion d’une offre de commerce plus authentique et plus française. Valorisant davantage le savoir-faire, la gastronomie et l’art de vivre français. Ceci, plutôt que des grandes chaînes internationales perçues comme aseptisées et peu différenciantes.  Idée 5 – Préserver ou revaloriser les éléments patrimoniaux de l’avenue comme les lampadaires, les colonnes Morris, les façades haussmaniennes, les pavés et les jardins historiques.  Idée 6 – Enfin, les citoyens plaident pour préserver la sécurité et la tranquillité de l’avenue. D’une part, en intensifiant la lutte contre les pickpockets et les sollicitations non-désirées. D’autre part, en renforçant les efforts en matière de propreté. M. C.
Il y a 4 ans et 350 jours

Plus de verdure, de piétons et de commerces de proximité pour les Champs-Élysées

Au total, 96.702 personnes (Parisiens, Franciliens ou autres) ont participé à cette consultation citoyenne lancée du 14 février au 4 juin, à l'initiative du Comité des Champs-Élysées, structure qui regroupe tous les grands acteurs de l'avenue.Les participants, invités à répondre à la question "Qu'aimeriez-vous changer pour améliorer les Champs-Élysées ?", ont formulé "plus de 2.000 propositions", et produit "450.000 votes", qui ont permis de faire remonter "huit idées prioritaires", note le Comité des Champs-Élysées, qui y voit "une synthèse des attentes des Franciliens pour +la ville d'après+".Parmi ces idées prioritaires, les participants ont d'abord plébiscité l'idée de verdir l'avenue avec des plantations d'arbres et arbustes ou l'installation de parcs, mais aussi de développer la pleine terre et les sols poreux afin de favoriser l'écoulement des eaux et la constitution d'îlots de fraîcheur.Ils réclament ensuite de "créer une véritable promenade piétonne des Tuileries jusqu'à l'Arc de Triomphe, en facilitant la traversée des piétons, en multipliant les points d'eau, les toilettes publiques, les bancs et les endroits pour faire une halte gratuite".Ils souhaitent également un "meilleur partage de l'espace public entre les différentes mobilités", avec le développement des vélos mais "sur des pistes délimitées et bien séparées des automobiles et des espaces piétons (idem pour les trottinettes)", et "une réduction de l'espace réservée à l'automobile", sans pour autant souhaiter une piétonnisation intégrale des Champs-Élysées.Autres propositions plébiscitées, la présence sur l'avenue de commerces de proximité et valorisant "le savoir-faire, la gastronomie et l'art de vivre français plutôt que des grandes chaînes internationales", la valorisation et la préservation "des éléments patrimoniaux de l'avenue comme les lampadaires, les colonnes Morris, les façades haussmaniennes, les pavés et les jardins historiques", et le maintien des sites historiques de culture (musées, cinémas et théâtres).Enfin, les participants à l'enquête plaident pour "la sécurité et la tranquillité de l'avenue", en "intensifiant la lutte contre les pickpockets et les sollicitations non-désirées", et "en renforçant les efforts en matière de propreté".Les conclusions de la consultation seront remises à l'ensemble des candidats à l'élection municipale.Cette consultation citoyenne accompagnait l'exposition "Champs-Élysées histoire & perspectives", présentant un projet de réaménagement urbain de l'avenue par l'architecte Philippe Chiambaretta, prolongée exceptionnellement jusqu'au 6 septembre à cause de l'épidémie de coronavirus.
Il y a 5 ans et 250 jours

Un nouveau chantier au Bénin pour Fonroche Lighting

Après avoir remporté l’appel d’offres lancé par le gouvernement béninois pour la fourniture, l’installation et la maintenance de 15 000 lampadaires solaires, cette entreprise française leader sur ce secteur a démarré le chantier le 26 septembre. Il renforce la présence du groupe en Afrique.
Il y a 5 ans et 259 jours

Patrice Gardera : Marsan

Le tour des bonnes tables parisienne semble interminable ! Et pourtant, s'ajoutant à une liste déjà bien longue, le Marsan d'Hélène Darroze sort du lot. Un temple de la gastronomie qui prend place dans un écrin épuré signé Patrice Gardera. Bois chaleureux, palette sobre et mobilier contemporain invitent les gourmets de la capitale à vivre une expérience culinaire et architecturale aux accents de sud-ouest. Le célèbre 4 rue d'Assas (6ème arrondissement) d'Hélène Darroze se relooke aux couleurs de son sud-ouest natal. Rebaptisé Marsan, le nouveau fief de la cheffe étoilée est signé Patrice Gardera qui imagine ici un lieu à la sobriété élégante et au décor résolument contemporain. À la tête d'une agence située entre Paris et Biarritz (64), qui de mieux placé qu'un enfant du pays pour comprendre les attentes d'Hélène Darroze ? « C'est une femme simple, (...) très enracinée dans son pays, qui est aussi le mien. Pour autant, nous ne voulions pas tomber dans l'ambiance régionaliste ! Et encore moins dans la déco à la mode. » Patrice Gardera, architecte Ainsi, plutôt que de se lancer dans un décor de Férias, le maître d'ouvrage mise sur des matériaux naturels et un travail de la lumière marqué, déclinant les différents aspects des Landes. Au rez-de-chaussée, ce sont les grandes forêts de la région qui sont mises à l'honneur. Grands chênes lièges en guise de papiers peints, table familiale de six mètres de long et suspension lumineuse évoquant des branchages composent ce premier espace à l'atmosphère intime et tamisée.Au premier étage, la salle du restaurant gastronomique prend son envol et invite les convives à manger dans un des rares nuages peuplant le ciel dégagé du sud de la France. Organisé autour d'un comptoir à la silhouette organique revêtu de bois et de marbre, la salle propose un ensemble de tables rondes cernées de chaises confortables à l'assise en cuir crème. Rehaussant une moquette grise neutre, de nombreux éléments en laiton sont disséminés ci et là, prenant la forme de colonnes épurées ou de lampadaires délicats. Un régal pour les yeux et les papilles ! Pour en savoir plus, visitez le site de Patrice Gardera Photographies : Maxime Sicard et Jean-Marc Palisse
Il y a 5 ans et 281 jours

Humbert & Poyet x The Invisible collection : What's up

Les architectes Humbert & Poyet dévoilent What's up, leur première série de mobilier pour la plateforme de vente en ligne The Invisible Collection. Un ensemble de fauteuils, de luminaires et de tables aux accents Art Déco qui ne laisse pas de marbre. Après avoir rhabillé une flopée d'adresses gourmandes et d'hôtels dans la capitale – Le Beef Bar Paris, ou encore le Hoxton Paris – Emil Humbert et Christophe Poyet font leur entrée dans l'univers du design avec brio en signant What's up, une série d'assises, de tables et d'objets déco. Leur volonté ? Dépoussiérer le style des années 1930 en y apportant une touche de modernité. Présentée dans l'espace feutré du showroom londonien du site The Invisible Collection – proposant une kyrielle de créations des plus grands noms du design – la série du duo franco-monégasque irradie d'élégance et de sophistication. Attaché à l'excellence des matériaux nobles, c'est dans les carrières italiennes qu'ils ont sélectionné les blocs de marbre constituant les tables basses, lampes à poser, et vides poches travaillés artisanalement afin de révéler toutes les nuances de leur aspect veiné. On imagine sans peine l'imposante Table Appoline au plateau de laiton poli dans une scène tirée du Gatsby de Francis Scott Fitzgerald, tout comme les appliques et les lampadaires en albâtre brillant de mille feux sur lesquelles reposent des ampoules en verre sablé. Deux modèles de fauteuils enveloppants, l'un paré de lin et de coton blanc, l'autre de velours bleu viennent compléter l'ensemble. So chic ! Pour en savoir plus, visitez le site de Humbert et Poyet  Photographies : DR  
Il y a 5 ans et 323 jours

Entre Cours & Jardins : Fête des plantes et de l’art du jardin

Le 28 et 29 septembre 2019 aura lieu le nouvelle d' »Entre Cours et Jardins » à la Cité Plantagenêt à le Mans. La thématique de cette année est : Les suspensions. Il s’agira de mettre en valeur des potences, des enseignes et des lampadaires par du végétal suspendu. Il y aura près de 130 horticulteurs, de pépiniéristes, de fleuristes et d’artisans décorateurs de jardins venus de la France entière pour faire découvrir leurs produits et leurs créations. 20 « Jardins secrets » seront ouverts pour l’occasion et vous pourrez vous balader au milieu de ruelles pavées et d’escaliers fleuris. Les décorations florales à ne pas manquer : Escalier des Ponts-Neufs Escalier des Pans Escalier du Jet-d’Eau Escalier de la Grande Poterne Porche royal de la cathédrale De multiples activités seront présentées comme : Démonstrations d’art floral par les Fleuristes de la Sarthe, le samedi et dimanche Une visite guidée de l’exposition « Des fleurs pour Bérengère », le 29 septembre à 11h une visite guidée, du jardin des plantes aux jardins de la cité lors du pique-nique familial «Entre parcs et jardins», le samedi et dimanche à 10h Un concert acoustique de Louis Sclavis, le samedi de 15h à 16h30 « Les Automnales du Mans », concert du Paris Mozart Orchestra, le dimanche à 18h Et bien d’autres encore. Des activités spéciales pour les enfants seront aussi proposées et en accès libre au jardin des enfants. Site de l’évènement : Entre Cours et Jardins
Il y a 6 ans et 186 jours

Les lampadaires se muent en bornes de recharge

Bouygues Energies & Services transforme les lampadaires en bornes de recharge pour véhicules électriques et réseaux multi-usages.
Il y a 6 ans et 347 jours

Deesawat : Green Lamp

" Changer la lumière artificielle en lumière naturelle ", tel était le mantra du designer thaïlandais Jirachai Tangkijngamwong qui réalise pour l'entreprise Deesawat une série de luminaires en bois agrémentés de verdure. Un petit bout de jardin au sein même de votre salon. Si aujourd'hui, notre vie quotidienne est largement éclairée de façon artificielle, les concepteurs de Green Lamp tentent tout de même d'apporter un peu de nature dans l'espace domestique. Réalisés à base d'un matériau naturel, le teck, les dispositifs lumineux sont disponibles en suspension (d'une hauteur de 57,5 centimètres) ou en deux modèles de lampadaires, l'un au pied métallique mesurant 160 centimètres de hauteur ; l'autre à 135 centimètres, entièrement en bois. Chacune des lampes est conçue sur le même modèle : un abat-jour conique doté d'un éclairage LED diffusant sa lumière dans un bac végétalisé. Il s'agit donc ici de reproduire la douceur de la réflexion du soleil sur le feuillage, par le biais d'un dispositif fabriqué par la main de l'homme et adaptable aux intérieurs les plus sombres. Afin de pousser la recherche de confort encore plus loin, Jirachai Tangkijngamwong intègre un hautparleur Bluetooth dans une version haut de gamme du produit, élargissant ainsi ses fonctions. Une réalisation qui améliore sans effort notre bien-être et remet fièrement un soupçon de verdure au c"ur d'un dispositif qui en est souvent éloigné. Plus d'informations sur le site de Deesawat À propos de Deesawat Crée en Thaïlande en 1972, l'entreprise Deesawat tente d'agir les modes de vie domestique en y intégrant des éléments de plein air. Spécialiste des créations en bois, la firme allie dans ses créations esthétiques contemporaines et millimétrées et fonctionnalité. Deesawat est lauréat des MIAW 2018 dans la catégorie Eclairages / Luminaire végétalisé.Plus d'informations sur le site des MIAW Le choix de la rédaction Green Lamp a su charmer la rédaction de Muuuz de par sa noble intention d'améliorer notre quotidien et son design élégant et contemporain. C'est donc en toute logique qu'elle le récompense du Muuuz Internationnal Award 2018 dans la catégorie Eclairages / Luminaire végétalisé.
Il y a 7 ans et 5 jours

Visite : Serge Mouille éditions

Depuis plus d'un demi-siècle, les luminaires de Serge Mouille peuplent magazines de décoration, showrooms de design et autres intérieurs branchés. Mainte fois imitées, mais jamais égalées, les fameuses " formes noires ", dessinées entre 1952 et 1962 par le créateur français, continuent de fasciner. Bienvenue à Château-Thierry (02), dans l'usine où les lampes du maître sont fabriquées. Si Serge Mouille (1922-1988) est mondialement connu pour ses luminaires, le créateur se voyait pour sa part comme un professeur ; un professeur de créations métal de l'école Nationale Supérieure des Arts Appliqués de Paris, dite Olivier de Serres. L'Histoire ne retient pourtant que les séries noires de celui qui était orfèvre à l'origine, bien que celles-ci n'aient occupé qu'une dizaine d'années de sa vie. Un succès planétaire plus improbable encore, puisqu'il est issu d'une commande imprévue, passée par Jacques Adnet, directeur de la Compagnie des Arts Français, qui lui demande en 1951 de réaliser un lampadaire à trois bras. L'artisan était devenu artiste. " J'ai chez moi un très beau lampadaire de Serge Mouille. J'ai été séduit car ce créateur avait le sens de l'emploi du métal, du tube d'acier, avec lequel il réalisait des luminaires d'une finesse extrême dont les silhouettes confinaient au graphisme. " Jean Prouvé, designer industriel Les pièces, fabriquées à l'origine dans la maison de Serge Mouille, dans l'Aisne, le sont dorénavant non loin de là, à Château-Thierry, dans des ateliers de 600 mètres carrés. Chaque année ce sont entre 1 700 à 1 800 lampes qui sortent du lieu avant d'être commercialisées dans le monde entier " à titre d'exemple, l'iconique lampe Pipistrello de Gae Aulenti est produite à 3 000 exemplaires par an par la marque Martinelli Luce, rien que pour la France. Ici 17 employés, dont un des anciens élèves de Serge Mouille, continuent donc de donner vie aux lampes à poser, lampadaires, appliques, suspensions, colonnes lumineuses et autres torchères, inspirées de seins, yeux, mollusques, araignées et escargots. Sous leurs mains expertes tubes en acier, plaques en aluminium et rotules en laiton sont assemblées, soudées, poncées, vérifiées, etc. Car, les 35 modèles originaux édités à Château-Thierry, n'ont quasiment pas changé depuis leur création, seules quelques petites adaptations ont été réalisées : l'angle de rotation de la rotule a été réduit à 270 degrés pour des raisons normatives. Les éditions Serge Mouille, créées en 1999 à l'initiative de l'industriel Claude Delpiroux et de la veuve du concepteur, Gin Mouille, dans le but de perpétuer l'"uvre du maître, s'autorisent également à raccourcir un bras qui serait par exemple trop long, si nécessaire. En somme, une aventure qui, malgré la disparition de Serge Mouille, n'est pas prête de s'arrêter. Pour en savoir plus, visitez le site de Serge Mouille éditions Photographies : DR
Il y a 7 ans et 181 jours

Jeroen Peters : Spatial Interactions

Si pour beaucoup, l'architecture brutaliste n'évoque qu'une massivité écrasante, pour le photographe hollandais Jeroens Peters c'est tout l'inverse. Sa série " toujours en cours ", Spatial Interactions, témoigne en effet de sa fascination pour le courant dans un ensemble de captations toujours plus poétiques et aériennes, qui dépeignent les constructions de manière presque surréaliste, voire abstraite. Après avoir débuté sa vie professionnelle en tant qu'architecte, Jeroen Peters réalise que sa passion pour la discipline ne se concrétisera pas par le biais de la conception mais bien par la photographie. Pour cela, il se lance dans des études à la Dutch Photo Academy d'Apeldoorn (Pays-Bas), de laquelle il sort diplômé en 2012. Caractérisées un cadrage très serré, ses prises de vue extraient les bâtiments de leur contexte pour n'en retenir que les formes pures, plus proches des tableaux minimalistes d'Ad Reinhardt ou de Frank Stella que des édifices qui peuplent nos boulevards. " J'aime abstraire les formes urbaines [...] en mettant l'accent sur la structure. De cette façon, le sujet, ou une partie de celui-ci, attire toute l'attention et le spectateur n'est pas distrait par des arbres, lampadaires, voitures, etc. " Jeroen Peters, photographe Une façon de travailler qui comporte bien des contraintes. Pour parvenir à un résultat léché et poli, l'artiste ne peut exercer que lors de journées très ensoleillées, le ciel bleu constituant l'élément fédérateur de chacune de ses "uvres. C'est ainsi qu'il a saisi un grand nombre d'ouvrages en Espagne, où la forte luminosité offre des ombres affirmées et des contours presque irréels. Une série toujours en cours d'alimentation qui saura faire évoluer toute une vision sur le brutalisme. Pour en savoir plus, visitez le site de Jeroen Peters Photographies : Spatial Interactions
Il y a 8 ans et 13 jours

Studio Nendo : Invisible Outlines

Sous la direction d'Oki Sato, le studio nippon nendo s'impose petit à petit comme un des grands noms du design, avec des créations aussi poétiques que délicates. Pour l'exposition " Invisible Outlines " présentée au Grand-Hornu (Belgique), le collectif s'intéresse aux contours des objets et à leurs diverses manipulations, en traitant notamment du rapport entre ombre et lumière. " Nendo " signifie " pâte à modeler " en japonais ; un terme qui colle parfaitement au travail de ses artistes, dont les "uvres sont perçues différemment en fonction du point de vue et de l'environnement dans lequel elles se trouvent. Pour le directeur artistique et fondateur du studio, Oki Sato, la perspective change ainsi la vision des objets du quotidien. Si on cesse de s'intéresser à la fonction de ces choses, et que l'on observe leur forme, leurs courbes, la projection de leur ombre, ces dernières se transforment sous nos yeux et deviennent plus esthétiques que pratiques. Les réalisations de nendo sont également une ode à la culture nippone : en plus de leurs lignes épurées et raffinées, elles sont très inspirées du monde du manga. Si la plupart pensent que ces créations monochromes s'inscrivent dans une démarche zen, ce sont en réalité les bandes-dessinées asiatiques en noir et blanc qui sont à l'origine de ce choix. " Invisible Outlines " est articulée autour de 12 catégories visant toutes à pousser les contours dans leurs derniers retranchements, à l'aide de différents procédés, sensibles, ludiques ou humoristiques : soustraction, connexion, toucher, saillie, limites, flexibilité & mouvement, flou, twist, superposition, enveloppe, métamorphose et contour. Le spectateur évolue dans de multiples salles du Grand-Hornu, avec un thème musical spécialement composé pour l'évènement et qui se décline selon l'endroit où le spectateur se trouve. En termes de contenu, on retrouve des collaborations d'exception, notamment avec la créatrice de mode Jil Sanders ou le fabricant de verre Glas Italia ;  et Jellyfish vase, installation aquatique de vases en silicone présentée au Salone del Mobile de Milan, ou Hanabi (littéralement " fleurs de feu "), lampadaires qui éclosent lorsqu'on allume la lumière. Le travail du créateur japonais se veut accessible, et se situe à mille lieux des travaux parfois alambiqués ou sur-référencés de certains de ses confrères. Pour Oki Sato, le design doit apporter du piment à la vie de chacun. et faire sourire " comme lorsque le studio reproduit des emballages d'allumettes ou de bonbons en impression 3D. Il doit faire apprécier cette discipline à tout le monde. " Je ne pense pas que le design doive être perçu comme quelque chose de trop spécial (...) ou réservé à une "élite" de designers ou de spécialistes, mais devrait être accessible à tous. Je pense que quiconque ayant un regard différent sur les objets du quotidien est déjà un designer. Dans cette exposition, j'ai essayé de guider les gens vers cette perception particulière en leur délivrant des mots-clés permettant d'apprécier un peu plus la vie de tous les jours. Invisible Outlines n'est pas une exposition de design, c'est un évènement permettant d'aimer sa vie quotidienne au moins autant que les occasions plus extraordinaires qui la ponctue. " Oki Sato Les "uvres raffinées du studio contrastent avec l'ancien site minier au style industriel et brut du Grand-Hornu pour un résultat mélangeant les genres avec succès. L'exposition " Invisible Outlines " se tiendra jusqu'au 1er octobre 2017 au Grand-Hornu (Belgique). Photographies : Takumi Ota Pour en savoir plus, visitez le site du studio nendo
Il y a 8 ans et 24 jours

Biasol : N° 19

La ville de Melbourne (Australie) accueille un nouveau restaurant, le N° 19, dans un décor d'épicerie fine aux inspirations méditerranéennes des années 1950 : pour le plus grand plaisir des adeptes de cuisine végétarienne et d'architecture d'intérieur. Placée en plein centre-ville de Melbourne, la discrète façade du N° 19 camoufle une brasserie-café de 190 mètres carrés de surface et de 4,50 mètres de hauteur sous plafond au design épuré et aux teintes pastel et béton, ponctué de barres métalliques blanches et dorées. Un lieu tout en longueur qui se répartit en trois zones spacieuses, de l'entrée jusqu'aux cuisines disposées au fond de ce vaste espace. La première partie du restaurant comprend ainsi une trentaine de places assises composée de chaises en bois et d'une longue banquette gris et bleu canard parcourant le mur. Un coloris que l'on retrouve en face de cette dernière, sur le mur et le sol en carrelage peint main, qui habille le bar. La seconde partie du N° 19, plus loin dans la salle, se compose d'un autre ensemble d'une vingtaine de places assises, sans banquette cette fois, donnant sur une cuisine ouverte, créant une certaine intimité entre le chef et ses clients qui peuvent déguster leur plat tout en regardant ceux en cours de confection. Une certaine chaleur s'en dégage, renforcée par les appliques murales dorées aux faux airs de brasseries parisiennes, que l'on retrouve par ailleurs sous forme de lampadaires et de lampes sur le comptoir et qui complètent la grande quantité de lumière naturelle apportée par les fenêtres de toit. Le couple de propriétaire, Domenic et Diana Caruso, a réalisé ce qu'il avait toujours imaginé pour son restaurant : un endroit sophistiqué, mais accueillant. Une dégustation enivrante aussi bien pour les papilles que pour les pupilles donc. Photographies : Ari Hatzis Pour en savoir plus, visitez le site de Biasol
Il y a 8 ans et 24 jours

Biasol : N° 19

La ville de Melbourne (Australie) accueille un nouveau restaurant, le N° 19, dans un décor d'épicerie fine aux inspirations méditerranéennes des années 1950 : pour le plus grand plaisir des adeptes de cuisine végétarienne et d'architecture d'intérieur. Placée en plein centre-ville de Melbourne, la discrète façade du N° 19 camoufle une brasserie-café de 190 mètres carrés de surface et de 4,50 mètres de hauteur sous plafond au design épuré et aux teintes pastel et béton, ponctué de barres métalliques blanches et dorées. Un lieu tout en longueur qui se répartit en trois zones spacieuses, de l'entrée jusqu'aux cuisines disposées au fond de ce vaste espace. La première partie du restaurant comprend ainsi une trentaine de places assises composée de chaises en bois et d'une longue banquette gris et bleu canard parcourant le mur. Un coloris que l'on retrouve en face de cette dernière, sur le mur et le sol en carrelage peint main, qui habille le bar. La seconde partie du N° 19, plus loin dans la salle, se compose d'un autre ensemble d'une vingtaine de places assises, sans banquette cette fois, donnant sur une cuisine ouverte, créant une certaine intimité entre le chef et ses clients qui peuvent déguster leur plat tout en regardant ceux en cours de confection. Une certaine chaleur s'en dégage, renforcée par les appliques murales dorées aux faux airs de brasseries parisiennes, que l'on retrouve par ailleurs sous forme de lampadaires et de lampes sur le comptoir et qui complètent la grande quantité de lumière naturelle apportée par les fenêtres de toit. Le couple de propriétaire, Domenic et Diana Caruso, a réalisé ce qu'il avait toujours imaginé pour son restaurant : un endroit sophistiqué, mais accueillant. Une dégustation enivrante aussi bien pour les papilles que pour les pupilles donc. Photographies : Ari Hatzis Pour en savoir plus, visitez le site de Biasol
Il y a 8 ans et 163 jours

13 lampadaires solaires installés sur le cimetière de Saint-Claude en Guadeloupe

La mairie de Saint-Claude s'est dotée d'un éclairage solaire sur la 1ère tranche du nouveau cimetière. Ce sont donc 13 candélabres autonomes fonctionnant à l'énergie solaire qui permettent d'éclairer les allées et le parking du cimetière.
Il y a 8 ans et 259 jours

Véhicules électriques : et si vous utilisiez l'éclairage public pour recharger ?

La commune de La Roche-sur-Yon, en Vendée, vient tout juste d'inaugurer ses nouvelles bornes de recharge de véhicules électriques, directement intégrées aux lampadaires de la ville. Une première en France, rendue possible grâce à Bouygues Energies & Services, filiale de Bouygues Construction. Tous les détails sur cette expérimentation unique en son genre.
Il y a 8 ans et 261 jours

Les petites communes ont aussi droit aux lampadaires connectés

Le constructeur Citylone commercialise un nouveau système de contrôle de l'éclairage public, la Smartlighting-box. Il entend donner accès aux collectivités de taille modeste au pilotage des lampadaires à distance.
Il y a 8 ans et 261 jours

Véhicules électriques : premier programme de recharge via le réseau d'éclairage public 

Intégrées aux lampadaires, les bornes Citycharge® permettent d'assurer la charge des véhicules électriques via le réseau d'éclairage public, pour compléter le maillage départemental. 
Il y a 8 ans et 321 jours

Illkirch met ses lampadaires sous le boisseau

Commune la plus importante au sud de Strasbourg, la ville d'Illkirch expérimente pour six mois l'extinction nocturne de son éclairage public.
Il y a 9 ans et 136 jours

Dome by Heatsail, le premier éclairage chauffant infrarouge pour jardins et terrasses

Élégante, design et intemporelle, la collection de lustres et lampadaires chauffants DOME by Heatsail réinvente l'esprit du confort et du luxeen outdoor.
Il y a 9 ans et 312 jours

Aux Pays-Bas, les lampadaires ont des yeux

Des lampadaires qui n'éclairent qu'à l'approche d'un piéton, d'un cycliste ou d'un véhicule: le système développé par la société néerlandaise Tvilight donne vie à l'éclairage public.
Il y a 10 ans et 128 jours

Des lampadaires solaires esthétiques et économiques

International Trade (I-Trade), le spécialiste des murs écologiques et des produits technologiques bio, lance une gamme de lampadaires solaires économiques et esthétiques.
Il y a 11 ans et 20 jours

MIAW 2014 : Catégorie Eclairage extérieur

Dans le cadre des MIAW 2014 (Muuuz International Awards), nous vous invitons à retrouver chaque jour les produits de l'architecture et du design les plus emblématiques et innovants lancés ces deux dernières années. Découvrez notre sélection d'Eclairage extérieur. 3 produits sont en lice dans cette catégorie : Typha d'IGUZZINI   Typha d'Iguzzini est un système de balisage lumineux imaginé par les designers Susana Jelen & Eduardo Leira. Trait de lumière, Typha est un système LED flexible et contemporain, inspiré du roseau, conçu pour les parcs, jardins et extérieurs résidentiels. Un appareil où la matière se confond avec la technologie et donne vie à de fascinantes interprétations lumineuses, ainsi qu'à des atmosphères nocturnes chargées d'émotion. >>Voter pour ce produit Shroom édité par SAINT LUC   Créé par Brigitta Ralston et Alexandre Bau, Shroom est une gamme de lampadaires d'extérieur dotée d'un système unique de détection de mouvement. Son design proche de la nature le rend parfaitement adapté à une utilisation urbaine comme à un usage particulier. Pour minimiser la pollution visuelle et favoriser les économies d'énergie, Shroom ne fonctionne qu'à 10% de son intensité lorsque personne n'est à proximité. Lorsqu'un visiteur s'approche, il augmente progressivement son intensité lumineuse pour éclairer la zone environnante.>>Voter pour ce produit Quid de LOMBARDO   Quid est un système d'éclairage LED conçu par le designer Italo Belussi pour l'éditeur italien Lombardo qui a pour caractéristique d'être entièrement personnalisable en terme d'habillage et de coloris, avec plus de 1000 combinaisons possibles. >>Voter pour ce produit Pour voter pour ces produits, rendez-vous dans la salle des votes dédiée à l'outdoor. 
Il y a 11 ans et 20 jours

MIAW 2014 : Catégorie Eclairage urbain

Dans le cadre des MIAW 2014 (Muuuz International Awards), nous vous invitons à retrouver chaque jour les produits de l'architecture et du design les plus emblématiques et innovants lancés ces deux dernières années. Découvrez notre sélection d'Eclairage urbain. 3 produits sont en lice dans cette catégorie : L'Anello d'IGUZZINI   Ce kiosque de lumière imaginé par le designer Marc Aurel était initialement destiné à l'aménagement urbain avec son volume adapté et sa forme circulaire. Sa surface propose un jeu de géométries : la structure du groupe optique est réalisée en fonte d'aluminium noir brillant avec un écran externe en méthacrylate transparent et des éléments décoratifs internes de forme pyramidale qui génèrent un effet optique particulier. >>Voter pour ce produit Ceramic de TECHNILUM   La gamme Ceramic est le résultat de la première collaboration entre le designer Marc Aurel et le fabricant Technilum. Innovation tant technique qu'esthétique, les lampadaires et bornes Ceramic associent des matériaux nobles et avant-gardistes, notamment la céramique technique utilisée pour l'habillage des éléments lumineux. Cette démarche répond aussi bien à des critères techniques exigeants qu'à la recherche de nouvelles voies esthétiques. >>Voter pour ce produit Slide par RAGNI   L'originalité de ce luminaire urbain et routier de forme trapézoïdale réside dans le concept de son orientation : parallèle à la route et non perpendiculaire. Son bras, d'abord tubulaire, part du mât vers la route mais prend un tournant inattendu pour former un coude. C'est cette cassure à 90° qui donne son originalité et son nom au Slide. >>Voter pour ce produit Pour voter pour ces produits, rendez-vous dans la salle des votes dédiée à l'outdoor. 
Il y a 11 ans et 48 jours

Place aux arbres bio-luminescents comme éclairage public

Le designer et architecte néerlandais Daan Roosegaarde a eu l\'idée de remplacer l\'éclairage public aux lampadaires par des arbres bioluminescents. Il s\'inspire de bactéries marines dont les
Il y a 11 ans et 171 jours

Crea-re Studio : Clips Lamps

Les designers Polonais de Crea-re Studio réalisent les "Clips Lamps", des luminaires qui recyclent des pinces-à-linge de hêtre pour les transformer en abats-jour. Sur des bases de métal, les designers viennent clipper des pinces à linges pour habiller la structure. Une fois allumés, ces luminaires deviennent foyers chaleureux qui projettent alentours un subtil jeu d'ombres et de lumières. Disponibles en lampes à poser, suspensions, ou lampadaires, les créations "Clips Lamps" se déclinent et étonnent par l'ingéniosité de leur conception.   Pour en savoir plus, visitez le site de Crea-re Studio. 
Il y a 11 ans et 331 jours

Violaine d'Harcourt : Série Lampione

La jeune designer française Violaine d'Harcourt nous présente sa dernière série de luminaires baptisée "Lampione". Lampe à poser ou lampadaires, la série se veut un mélange de matériaux nobles, de savoir faire artisanal et de la vision de la designer. Poétiques et élégants, ils réinterprètent le luminaire d'extérieur et l'adaptent dans des versions d'intérieur, d'où le nom de la série : "Lampione". Assemblés sans aucune fixation, ils se composent de verre soufflé, de poirier et frêne tournés, d'acier laqué, de plâtre moulé et de cuir. Les filaments de l'ampoule sont volontairement laissés apparents pour dialoguer avec la surface du verre coloré et ainsi créer de subtils jeux de lumière.   Pour en savoir plus, visitez le site de Violaine d'Harcourt et celui de son collectif "les cadets".  
Il y a 11 ans et 331 jours

David Closes : Parc à Manresa

L'architecte David Closes a reconfiguré un parc de taille modeste dans la ville de Manresa, en Catalogne. Situé dans un quartier dense, le parc manquait de verdure et ses dimensions peinaient à le rendre attractif pour les riverains. Pour créer des perspective et s'adapter au climat local, l'architecte a installé de nombreuses pergolas et tonnelles dans le parc. En singularisant l'intervention de ces structures métalliques, il trouble la perception du promeneur. Fragmenté par ces éléments, le parc devient un espace riche et complexe, où le cheminement du badaud est orchestré par l'architecture et la végétation. Les pergolas sont constituées de structures tubulaires en acier galvanisé recouvertes de treillis métallique, elles invitent les plantes à les coloniser. La nuit, ces constructions deviennent lampadaires et illuminent le parc d'une lueur douce et chaleureuse, tandis que les perspectives et les points de vue évoluent au fil des saisons.   Photographies : José Hevia Pour en savoir plus, visitez le site de David Closes.
Il y a 11 ans et 350 jours

Nice présente le premier " boulevard connecté "

Sur le boulevard Victor Hugo en plein centre-ville de Nice, 200 capteurs, installés en haut des lampadaires, dans la chaussée, sur des containers, permettent de
Il y a 12 ans et 9 jours

Skanska déploie des lampadaires écoénergétiques au Royaume-Uni

Dans le cadre d'un programme de modernisation de son éclairage public, le comté du Surrey au Royaume-Uni a confié à Skanska la charge de remplacer ses lampadaires existants par des lampadaires écoénergétiques. A ce jour, le groupe de BTP en a installé 60 000.
Il y a 12 ans et 112 jours

Candélabres de l'Opéra de Paris cherchent mécènes

L'opéra de Paris a lancé une opération de mécénat afin de financer les travaux de sa ceinture de lumière. Lampadaires, candélabres, cariatides ont donc besoin de dons de particuliers et...