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Résultats de recherche pour logement-social

(33 résultats)
Il y a 226 jours

84e congrès Hlm : le soutien indéfectible de la Banque des Territoires au logement social

Au 84e congrès Hlm, à Montpellier, la Banque des Territoires réaffirme son engagement en faveur du logement social comme sa volonté d'accélérer la sortie de la crise du logement.
Il y a 260 jours

Le logement social partenaire de la RE2025 ?

Le congrès HLM se tiendra à Montpellier en septembre et, à un trimestre de la RE2025, accueillera des architectes, comme l’a annoncé sa présidente Emmanuelle Cosse au Forum Bois Construction en avril dernier.
Il y a 1 ans et 25 jours

Logement social

« Il faut sauver le soldat HLM ! » Partout en Europe, dans les principaux centres-villes, ...More about Cet article Logement social est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 1 ans et 153 jours

Logement social : 6 % de passoires thermiques en 2022

Début 2022, 300.000 logements sociaux étaient considérés comme des passoires thermiques par une étude de l'Agence nationale de contrôle du logement social (Ancols) publiée mardi.
Il y a 2 ans et 77 jours

ECCO DOM : consommation d'énergie, confort thermique et écogestes en logement social dans les DROM

ECCO DOM est un programme CEE (Certificats d'Economie d'Energie) mené par le CSTB et l'USHOM qui a pour objet la maîtrise des charges énergétiques, de la climatisation et du confort thermique en outre-mer. Dans le cadre de ce programme, l'étude menée par le CSTB a pour objectif, via notamment l'instrumentation de 200 logements, de constituer un observatoire et un laboratoire vivant (expérimentation d'écogestes) sur le parc résidentiel social dans les DROM (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte et La Réunion). La partie observatoire de cette étude met en exergue les niveaux de température et humidité relative mesurés dans ces logements ainsi que les résultats de leur évaluation selon différents indicateurs de confort et des croisements avec le ressenti de leurs occupants. Elle montre également une photographie récente et encore jamais réalisée à cette échelle des consommations annuelles globales d'électricité de ces logements ainsi que de leurs principaux équipements (froid alimentaire, climatiseur, chauffe-eau électrique...). En savoir plus : Téléchargez la synthèse Téléchargez le rapport complet
Il y a 3 ans et 41 jours

Logement social et neutralité carbone – Forum Bois Construction 2022

La RE 2020 est la voiture balai, c’est le strict minimum de ce qu’on peut faire aujourd’hui… Avec Antoine Pagnoux, architecte – ASP Architecture Cet article Logement social et neutralité carbone – Forum Bois Construction 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 138 jours

Impression 3D béton : “Home sweet home”

Icon s’est associé à Lennar pour imprimer en 3D béton un quartier entier aux Etats-Unis. [©Icon] Spécialiste de l’impression 3D béton, Icon voit les choses en grand. L’industriel américain s’est associé à Lennar pour imprimer un quartier entier aux Etats-Unis. C’est près de la ville d’Austin, au Texas, qu’une centaine de maisons seront construites. Ce projet devrait être inauguré dans le courant de l’année 2022. Il sera d’ailleurs le plus grand regroupement de maisons en béton imprimées en 3D au monde. Pour élaborer ce quartier, Icon et Lennar ont collaboré avec le cabinet d’architecture Bjarke Ingels Group. « La fabrication additive a le potentiel de révolutionner l’environnement bâti. A mesure qu’elle est adoptée par l’industrie à grande échelle, explique Martin Voelkle, architecte chez Bjarke Ingels Group. En nous associant à Icon et à Lennar, nous sommes en mesure de voir cette nouvelle technologie se déployer autour du public le plus large possible. » Une réponse aux enjeux de la construction La technologie d’impression 3D béton d’Icon permet de produire des maisons éco-énergétiques et plus rapidement qu’avec les méthodes de construction conventionnelle. Elle permet aussi de réduire le nombre de déchets et offre plus de liberté dans la conception des habitations. C’est pourquoi allier le béton et l’impression 3D se démocratise dans ce secteur. Lire aussi : Impression 3D béton pour le logement social En effet, cette technologie pourrait répondre à une problématique majeure : la crise du logement. « Icon existe en réponse à la crise mondiale du logement et pour mettre notre savoir au service du monde », déclare Jason Ballard, Pdg d’Icon. Et d’ajouter : « Les Etats-Unis sont confrontés à un déficit d’environ 5 M de nouveaux logements. Il y a donc un besoin profond d’augmenter rapidement l’offre, sans compromettre la qualité, la beauté ou la durabilité des bâtiments. C’est là, la force de notre technologie. »
Il y a 3 ans et 139 jours

Logement social: pérennisation du dispositif SRU en vue avec des ajustements

Les députés ont donné un feu vert à une pérennisation du dispositif SRU qui oblige certaines communes à disposer d'un nombre minimum de logements sociaux, et voté des ajustements.
Il y a 3 ans et 184 jours

De plus en plus d’avantages pour le logement intermédiaire, de plus en plus de contraintes sur le logement social

Il ne s’agit pas de remettre en cause l’utilité du logement intermédiaire comme l’a rappelé à la tribune du congrès HLM Marcel Rogemont, président de la FOPH mais seulement de comparer les avantages des uns et des autres.Rappelons que le logement intermédiaire échappe à la RLS (réduction de loyer de solidarité qui pèse lourdement sur les bailleurs sociaux) et au contrôle de la surcompensation des aides d’État aux organismes HLM qui entraînera un prélèvement supplémentaire sur les bailleurs. En outre, il y a lieu de craindre l’éviction du logement social de certains territoires au bénéfice du LLI avec la suppression de la contrainte d’intégrer au moins 25% de LLS dans chaque ensemble immobilier comprenant des logements intermédiaires, amendement adopté par l’Assemblée nationale le 10 novembre 2021. Enfin, soulignons que les loyers du LLI sont deux fois supérieurs à ceux du PLUS.Le Gouvernement, par la voix du Premier ministre lors du congrès HLM, a annoncé vouloir transformer l’exonération de 20 ans de la TFPB à la charge des collectivités locales en crédit d’impôt équivalent à la charge de l’État. Alors même que l’État accepte de baisser ses rentrées fiscales pour dynamiser la production de logements intermédiaires, pourquoi refuse-t-il de baisser ses rentrées fiscales pour favoriser la construction de logements sociaux en revenant à une TVA à 5,5% sur le PLUS, voire le PLS, lorsque nous comptons plus de 2 millions de personnes en attente d’un logement HLM en France.« Pourquoi les aides de l’État au LLI sont-elles supérieures à celles du PLUS alors que les loyers y sont deux fois supérieurs ? Que doit-on en conclure sur la politique actuelle ? Le logement HLM est-il toujours une priorité ? Il est permis d’en douter fortement » s’interroge Marcel Rogemont, président de la Fédération des Offices Publics de l’Habitat.
Il y a 3 ans et 187 jours

Un chèque-inflation que l’architecte ne touchera pas

Dubois s’interroge sur la pertinence du logement social pour tous. Ethel Hazel, sa psy, tente de faire la part de ses émotions professionnelles et personnelles. L’inspecteur Nutello n’est, pour une fois, pas malheureux de décrypter le tueur à l’œuvre ; en plus il a un corps. *** « L’Unité d’Habitation crée un phénomène social productif dans […] L’article Un chèque-inflation que l’architecte ne touchera pas est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 304 jours

Logement social: le Sénat valide la prolongation de la loi SRU

Le Sénat à majorité de droite a validé dans le cadre du projet de loi décentralisation, la prolongation de la loi SRU obligeant certaines communes à disposer d'un nombre minimum de logements sociaux.
Il y a 3 ans et 307 jours

Le logement social biosourcé

Émission Bati-Journal.TV  Le logement social biosourcé – Haut-Bois, premier bâtiment labellisé passif de 9 niveaux en bois Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction,…Cet article Le logement social biosourcé est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 355 jours

Logement social au plus bas : cri d’alarme de l’Aorif

Les organismes franciliens du logement social, (Aorif), s’inquiètent du très faible niveau de logements sociaux agréés en Ile de France en 2020. Et craignent une accentuation de la crise du logement.
Il y a 4 ans et 66 jours

Logement social: la loi SRU fonctionne malgré le peu de mixité constaté

La loi SRU imposant aux communes un taux de 20 ou 25% de logements sociaux a un "effet indéniable" sur la production mais n'a pas atteint ses objectifs de mixité sociale, a estimé la Cour des comptes 
Il y a 4 ans et 81 jours

Le logement social et la VEFA : deux outils indispensables dans la lutte contre la crise du logement

Cette étude intitulée « Construire Plus de logements sociaux grâce à la VEFA : une solution pragmatique à la Crise du Logement » permet de préciser la forme que prend la crise majeure du logement que subit la France depuis des décennies :La crise du logement, multiforme, est liée à la profonde mutation de la demande depuis 50 ans : développement de la décohabitation (baisse du nombre de personnes par foyers) qui a absorbé 60% de la construction, concentration des emplois et donc des besoins de logements sur certaines zones, recherche de davantage de confort qui attire la population vers certaines régions et des logements plus spacieux.L'offre de logement ne se développe pas assez vite pour s'adapter à la demande notamment dans les zones tendues.Les prix du logement (+ 114% de 2000 à 2019) s'élèvent plus vite que le revenu des ménages (+ 51 % de 2000 à 219).L'étude montre que pour faire face à ces crises : Le développement de l'habitat social est indispensable car il permet aux ménages modestes de faire face à la hausse des coûts avec des prix jusqu'à 3,7 fois inférieurs dans les zones tendues, mais le niveau de construction des HLM est insuffisant et pas assez concentré dans les zones avec la plus forte demande ;Le recours à la VEFA, parfois contesté par certains acteurs du logement, est un outil précieux pour construire des HLM en zone tendue et favoriser la mixité sociale. En 2019, 54% des logements sociaux ont été construits en VEFA, contre 3% seulement en 2007 .A terrain et coûts de construction identiques, la VEFA est plus compétitive que la maîtrise d'ouvrage directe, avec des prix de revient jusqu'à 6,1% inférieurs Le plafonnement des prix de la VEFA pratiqué par certaines collectivités est contre-productif et limite la part des logements sociaux dans les programmes.« Cette étude montre avec une rigueur impressionnante l'étendue et la gravité de la crise du logement que traverse la société française depuis des décennies. Elle montre aussi à quel point le logement social est indispensable pour répondre à l'étendue des besoins de la population de notre pays. Plus que jamais, la mobilisation pour le logement pour tous passe par l'utilisation de tous les outils disponibles et notamment la VEFA qui est un instrument souple et efficace pour développer des programmes de logements adaptés aux spécificités de chaque agglomération » déclare Hervé Legros, président du groupe ALILA.« Le succès de la VEFA sociale s'explique aisément : il s'agit du levier idéal pour construire plus, plus dense, aux meilleurs endroits, à coûts maîtrisés et avec plus de mixité »Nicolas Bouzou, directeur du cabinet AsterèsPrincipaux chiffresSynthèse de l'étude Les mutations de la société entrainent une crise multiforme du logementL’étude revient sur les mutations qui traversent la société depuis 50 ans et qui provoquent une évolution structurelle de la demande :Certains territoires attractifs, comme les métropoles dynamiques en termes d’emploi et leurs périphéries connaissent un accroissement de la demande et des besoins de logements neufs. A l’opposé, certains territoires se caractérisent par une baisse globale de la demande, entraînant une hausse du taux de logements vacants parmi le parc ancien.La hausse de la demande de logements est structurellement supérieure à celle de la population, notamment à cause du phénomène de décohabitation, c’est-à-dire la baisse du nombre moyen de personnes vivant sous le même toit (à cause du vieillissement, de la montée du célibat, des séparations), qui a absorbé 60% de la construction de logements depuis 1968.Les ménages recherchent un plus grand confort, cherchant à s’installer dans les régions de l’arc atlantique et méditerranéen, et ayant des exigences plus hautes en matière de qualité de logement, avec un développement de l’habitat individuel et la hausse des surfaces habitables. Or, plus que d’autres pays, la France se caractérise par la faible réaction de l’offre à la demande : lorsque celle-ci croît de 1,0%, le nombre de logements nouveaux n’augmente que de 0,36% (contre 2% aux États-Unis, et + de 1% en Suède), en raison notamment de la pénurie de foncier disponible dans les zones les plus tendues, et de la concurrence avec l’immobilier tertiaire ou les résidences secondaires. En conséquence, le prix de l’immobilier croit plus rapidement que le revenu des ménages.L’habitat social, qui constitue une réponse pertinente a cette crise, éprouve des difficultés a ajuster son offre en zone tendueLe mouvement de l’habitat social constitue une réponse pertinente à la crise du logement et à la hausse des prix qu’elle entraîne. Il permet aux ménages modestes de se loger pour des prix jusqu’à 3,7 fois inférieurs au prix de marché dans les zones tendues, mais aussi d’accéder à la propriété grâce aux 13 000 cessions par an.Mais les nouveaux logements sociaux sont trop peu construits là où se situent les besoins :53% des mises en service de logements sociaux neufs se trouvent dans les zones tendues, alors que 73% de la demande s’y concentre. En conséquence, les délais d’attente s’allongent et les ménages les plus modestes sont exclus des zones les plus recherchées.Face à cette difficulté, la VEFA est un levier efficace pour construire plus vite et favoriser la mixité socialeLa VEFA (Vente par des promoteurs privés de logements en l’état futur d’achèvement) est désormais le principal mode de production d’habitat social, puisqu’en2019, ce mode de maîtrise d’ouvrage représente 54% des constructions, contre 3% seulement en 2007.La VEFA HLMcentrée sur le logement social, permet de construire plus rapidement, grâce à des procédures plus légères. Les économies réalisées permettent d’acquérir des terrains plus recherchés et plus chers.En parallèle, les promoteurs privés peuvent développer du logement social au sein de grands projets d’aménagement comportant à la fois commerces et équipements, logements libres et logements sociaux.C’est le principe de la VEFA diffuse, qui apparaît comme le meilleur outil pour permettre aux collectivités locales d’atteindre l’objectif de mixité sociale fixé par la loi, Solidarité et renouvellement urbain (SRU) qui impose un taux minimal de 25% de logements sociaux. Hors charge foncière, le cout de revient de la VEFA est moins élevé que celui de la maitrise d’ouvrage directeEn moyenne nationale, les prix de la VEFA sont supérieurs à ceux de la MOD (Maîtrise d’Ouvrage Directe) mais cela s’explique uniquement par le coût du foncier. Les promoteurs privés construisent dans des régions et des endroits plus recherchés, avec un foncier plus cher pour maximiser le bénéfice de la vente. A l’inverse, les bailleurs sociaux privilégient des terrains moins onéreux, le plus souvent cédés par des collectivités locales ou des établissements publicsA terrain et coût de construction identiques, la VEFA est plus compétitive que la maîtrise d’ouvrage directe, avec des prix de revient inférieurs de 3,6% à 6,1% selon les zones. Cette différence de prix s’explique par deux facteurs principaux : Les conditions de financement, plus favorables pour les promoteurs privés puisque leurs projets sont rapidement amortis car destinés à la vente à un tiers dès la construction ;les procédures réglementaires que suit la MOD qui affectent les coûts et la rapidité d’exécution (un concours d’architecte prend ainsi 6 à 8 mois).La différence de coût entre VEFA et MOD permet au promoteur d’appliquer sa marge commerciale en conséquence, sans pour autant devenir plus cher que les bailleurs sociaux. Le plafonnement des prix de la VEFA HLM risque de conduire a la baisse de l’offre socialeL’étude montre également que la pratique par les collectivités de prix plafonds de la VEFA HLM, dans l’espoir de diminuer les prix du marché, risque d’aboutir à une diminution du volume de l’offre sociale.En effet, les promoteurs qui subissent ce plafonnement ne sont pas responsables de l’évolution de la hausse des prix du marché : les coûts du terrain, du bâti, et des prix de vente du libre s’imposent à eux. Les prix fonciers connaissent une hausse constante, même en cas de ralentissement de la conjoncture.Leur niveau de marge ne peut que faiblement être révisé à la baisse puisque les banques refusent d’accorder leur financement à des projets qui ne seraient pas assez rentables. La seule conséquence rationnelle d’un plafonnement des prix de la VEFA HLM serait une diminution de la proportion des logements sociaux que les promoteurs pourraient construire dans le cadre d’un projet mixte.Le modèle théorique construit par Asterès chiffre l’hypothèse de diminution de la proportion de logements sociaux pour un projet donné.En appliquant ce modèle à un échantillon de huit collectivités territoriales situées en zone tendue et qui ont effectivement imposé des prix plafonds inférieurs de 55% en moyenne à ceux du libre, Asterès chiffre à 27 points la baisse de proportion envisageable du nombre de logements sociaux (de 50 à 23%), pour des programmes comportant initialement autant de libre que de social.
Il y a 4 ans et 116 jours

Le logement social au rapport : caillou ou pavé dans la mare ?

Le 15 janvier 2021, le haut fonctionnaire Pierre-René Lemas a remis à Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, et Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, un rapport pour une fois non volumineux intitulé Rapport sur la qualité des logements sociaux. Quel constat pour le logement social ? Quelles « idées force » ? Pourquoi Roselyne Bachelot est-elle si enthousiaste ? Réponses […] L’article Le logement social au rapport : caillou ou pavé dans la mare ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 159 jours

Logement social: E. Wargon veut durcir les sanctions pour les communes récalcitrantes

E. Wargon veut durcir les sanctions pour les communes ne respectant pas les règles concernant le logement social, en substituant le préfet au maire dans l'attribution des permis de construire.
Il y a 4 ans et 159 jours

Logement social: un plaidoyer du gouvernement pour plus de mixité

Emmanuelle Wargon et une cinquantaine de parlementaires plaident en faveur d'une révision des obligations des collectivités territoriales en matière de logement social et pour une plus grande mixité.
Il y a 4 ans et 159 jours

Des maires de la Côte d'Azur dénoncent des pénalités arbitraires pour non-respect des quotas de logements sociaux

"Nous dénonçons une injustice, un arbitraire car nos communes se retrouvent carencées au titre de la loi SRU (Solidarité et renouvellement urbains)", a déploré David Lisnard, maire LR de Cannes au cours d'une conférence de presse avec ses voisins du Cannet, Mandelieu-La Napoule et Villeneuve-Loubet.Chacune de ces quatre communes se voit contrainte, en application de la loi SRU, de verser, selon les cas, des pénalités comprises entre 1 et 1,8 million d'euros par an, et ce chaque année pendant trois ans.Depuis 2000, la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains impose aux communes de plus de 3.500 habitants (1.500 en Ile-de-France) de disposer d'ici à 2025 de 20% de logements sociaux, un taux relevé à 25% en 2014, excepté pour certaines communes qui justifient d'une situation locale particulière.Le taux de logement social à Cannes est de 17%, mais "raisonner en valeur absolue en niant le fait que nous avons eu des inondations et que nous ne voulons pas bétonner est totalement arbitraire", selon M. Lisnard, alors que la ville est pénalisée pour ne pas avoir atteint les objectifs fixés.Le maire qui reproche à l'Etat de "déjuger les représentants locaux qui tiennent compte de la réalité du territoire" a indiqué vouloir "attaquer au tribunal administratif" cet arrêté de carence "inique"."Du jour au lendemain, des territoires déjà urbanisés de manière très dense comme la Côte d'Azur se retrouvent avec l'obligation de produire des milliers de logements, et si on ne le fait pas, on est sanctionné", a dénoncé Sébastien Leroy, maire LR de Mandelieu-La Napoule.Il a décidé lui aussi de contester en justice les pénalités imposées à sa commune."Aujourd'hui, un responsable gouvernemental a donné l'ordre à ses services, huit semaines après les intempéries de la Vésubie, un an après les intempéries de 2019 et cinq ans après celles de 2015, d'ignorer ouvertement un message d'alerte de ses propres services sur le risque inondation (...) afin de pouvoir appliquer la doctrine politique de l'Etat", a martelé M. Leroy.Lionnel Luca, maire LR de Villeneuve-Loubet, a annoncé vouloir faire un recours gracieux auprès du préfet avant d'engager d'autres actions, dénonçant "une course à l'échalote" qui conduit à la "bétonnisation".
Il y a 4 ans et 246 jours

L'Unafo alerte sur la baisse des créations des résidences sociales en 2019

La production des résidences sociales stagneLes chiffres publiés montrent que la production de logements en résidences sociales stagne depuis 5 ans. Leur production recule même en 2019 de 4,1% avec 6.264 logements agréés, dont 4.630 concernent les travailleurs migrants et les jeunes. Ainsi, ce ne sont que 1.600 logements en résidences sociales qui ont été produits pour d'autres publics.Les FTM représentent la moitié de la productionLe Plan de Traitement des Foyers de Travailleurs Migrants (PTFTM) reste en effet une part très importante des logements agréés en résidences sociales, puisqu'avec 3 189 logements (en diminution de 4,3% par rapport à 2018), ils représentent presque la moitié de la production. Mais ces chiffres sont à relativiser dans la mesure où la transformation de FTM en logements individuels n'est pas une offre nouvelle mais s'accompagne, de fait, d'une diminution du nombre de logements offerts. Le logement jeune représente moins de 25% de la productionMalgré les besoins importants, les dispositifs « jeunes » arrivent en deuxième position avec 1.466 logements agrées au niveau national, soit un peu moins d'un quart des nouveaux agréments. L'objectif présidentiel de construire 80.000 logements pour les étudiants et jeunes actifs ne pourra pas être tenu, sans une nouvelle relance indispensable dans un contexte de précarité accrue des jeunes.L'objectif de 10.000 logements en pension de famille ne sera pas atteint, malgré une haussePar ailleurs, les agréments de logements en pensions de famille/résidences accueil progressent de 10,3% avec 1 141 pour les pensions de famille et 252 en résidences accueil (pour les personnes en situation de handicaps psychiques). Même en augmentation, ces chiffres ne permettront pas d'atteindre les objectifs du plan Logement d'Abord, de 10 000 nouveaux logements pendant la mandature, et notamment pour ce qui est d'une proportion d'un tiers des logements en résidence accueil.Les autres enseignements : rééquilibrage du PLAI adaptéConcernant le produit spécifique PLAI Adapté, on notera un rééquilibrage de la répartition entre logement ordinaire (48%) et résidence sociale/pension de famille (52%), dans un contexte global de poursuite du développement de l'offre avec 1.213 logements agréés en 2019 (+28,4%).Enfin le plan de financement moyen d'un logement PLAI en dispositif collectif évolue peu en 2019 : le coût au logement est stable, à près de 80.000 € et son financement fait appel pour 30% à des subventions (Etat et Collectivité Locales), pour 62% à des prêts et pour 8% aux fonds propres du porteur de projets, chiffres quasi identiques à 2018.Des chiffres à l'appui des demandes de l'Unafo S'appuyant sur ces données chiffrées, l'Unafo rappelle ses demandes, notamment la nécessité :d'accélérer le plan de traitement des foyers de travailleurs migrants en dégageant les moyens financiers nécessaires ; de définir une véritable stratégie de développement des résidences sociales, en-dehors de l'effet du traitement des foyers de travailleurs migrants ;de revaloriser fortement l'enveloppe de 100 millions d'euros prévue dans le plan de relance dédiée aux personnes en situation de précarité qui prévoit notamment une accélération du PTFTM et la création de résidences sociales. Le document complet est téléchargeable ici.
Il y a 4 ans et 319 jours

Le logement social, outil de résilience des territoires

Pour que le logement social devienne un moteur de la reprise économique, il doit retrouver sa vocation d’utilité publique en se distinguant nettement de l’offre privée. Voici avec quels outils c’est possible. Tribune (2nde partie*). Comment le logement social peut-il être un moteur de la reprise économique ? Le logement social doit retrouver sa vocation […] L’article Le logement social, outil de résilience des territoires est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 326 jours

Le logement social acteur de la relance économique ?

Pour que le logement social devienne un moteur de la reprise économique, il doit retrouver sa vocation d’utilité publique en se distinguant nettement de l’offre privée. Tribune (1ère partie). Avant de constater la situation actuelle et d’envisager des pistes de réforme du logement social, il semble pertinent de prendre un peu de recul et de […] L’article Le logement social acteur de la relance économique ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 73 jours

ELAN de mauvais ALUR pour le logement social

  La privatisation du logement social est devenue un mode de production massif de rentabilité. Il suffit de quelques calculs et de s’en remettre à la Loi. Explications d’arrière-cuisine. Chacun se souvient des combats menés contre la loi ELAN « […] L’article ELAN de mauvais ALUR pour le logement social est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 79 jours

La Caisse des Dépôts, mécène de l’architecture

Nouveau paysage agricole La foux (CTE). [©Joris Masafont] Pour la 5eannée consécutive, la Caisse des Dépôts a lancé un appel à candidatures “pour la recherche en architecture et paysage”, ouvert aux doctorants, aux enseignants-chercheurs et aux professionnels. Les candidats ont jusqu’au 29 mars 2020 pour déposer leur dossier. « Par cette initiative, la Caisse des Dépôts souhaite renforcer la prise en compte par les professionnels de l’architecture et du paysage des enjeux environnementaux et sociaux auxquels nos territoires doivent faire face », peut-on lire dans un communiqué de presse. En mai 2020, un jury de sélection pluridisciplinaire distinguera 10 projets de recherche, qui s’inscriront dans trois champs thématiques : les équilibres climatiques et écologiques, la transformation territoriale et la cohésion sociale. Les candidats devront prendre la mesure des préoccupations d’intérêt général, impliquant les territoires. Ainsi que réfléchir à la façon, dont l’architecture et le paysage peuvent concourir à la définition de nouveaux modèles de société. Pour déposer un dossier et disposer de toutes les informations sur l’appel à candidatures : Suivre ce lien.
Il y a 5 ans et 115 jours

PACA: efforts insuffisants pour le logement social et sanctions à venir

Les efforts pour le logement social "ne sont pas encore suffisants" en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, a regretté le préfet, Pierre Dartout, qui appliquera la loi prévoyant des sanctions.
Il y a 5 ans et 151 jours

La forme des algues comme modèle

assins, espaces bien-être… L’Aquaparc complète l’offre sportive de la communauté d’agglomération de la région nazairienne et de l’estuaire (Carene). [©Eiffage]Des poteaux en BSI d’Eiffage entourent les bassins du centre aquatique. [©Eiffage] La communauté d’agglomération de la région nazairienne et de l’estuaire (Carene) dispose d’un tout nouveau centre aquatique. Baptisé Aquaparc, cet équipement complète l’offre sportive de la région. Pour ce projet, l’agence Coste Architectures a dessiné un bâtiment tout en légèreté, en transparence et en luminosité. Pour encadrer les 2 000 m3 d’eau du centre, les architectes ont imaginé différents types de poteaux. Certains d’entre eux, en nombre réduit, ont été choisis pour supporter la couverture. Les 3 toitures des bassins sont ainsi portées par un maillage de 40 poteaux structurels réalisés en BSI (marque de béton fibré à ultra hautes performances d’Eiffage). Dans ce cas à fibres métalliques. Rappelant la forme des algues, ces poteaux hauts de 3 à 10 m ont tous le même diamètre structurel (35 cm) et sont parfois précontraints. D’autres éléments rythment la baie vitrée le long de la halle des bassins. Ces poteaux en BSI, cette fois-ci à fibres synthétiques, sont très fins et évoquent aussi la souplesse laminaire. Repères– Maître de l’ouvrage : Carene Saint-Nazaire Agglomération– Architecte : Agence Coste Architectures– Prestation de Via Pontis (Eiffage) : Fourniture des poteaux et laminaires en BSI blanc, gris clair et anthracite
Il y a 5 ans et 197 jours

BATIMAT 2019 – Rénovation : le logement social en première ligne

Défi Rénovation en partenariat avec Atrium Le plus important gisement d’économies d’énergie et de gaz à effet de serre est dans la rénovation des bâtiments existants. On le sait depuis le Grenelle de l’environnement. Mais dix ans après, c’est encore LE défi à relever. Patrimoine, massification, industrialisation, rénovation basse énergie et bas carbone, rénovation des HLM et copropriétés… Le tour d’horizon sera complet. Sujet : Rénovation : le logement social en première ligne  Intervenants : Alexandre Govoroff, Architecte Gérant – A&B Architectes
Il y a 5 ans et 199 jours

Zurich : Les coopératives réinventent le logement social

La Cité de l’architecture & du patrimoine, dans la Galerie d’architecture moderne et contemporaine, présente Zurich : Les coopératives réinventent le logement social. Dynamique de réinvention ? Jusqu’au 19 janvier 2020. Zurich, la capitale économique de la Suisse, est devenue […] L’article Zurich : Les coopératives réinventent le logement social est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 312 jours

Action Logement, géant du logement social, révèle son bilan

L'un des principaux acteurs français du logement social, l'organisme paritaire Action Logement, a dévoilé un bilan de 83 milliards d'euros, pour ses premiers résultats en plus de soixante ans d'existence
Il y a 5 ans et 352 jours

XtreeE se déploie à l’échelle mondiale

XtreeE compte bien se positionner en un acteur majeur dans la croissance du marché de l’impression 3D. [©Plurial Novalia] La start-up XtreeE amorce sa stratégie de déploiement et annonce l’ouverture d’une nouvelle unité de production aux Emirats arabes unis. Depuis sa création en 2015, l’entreprise spécialisée dans l’impression béton 3D a bien évolué. Avec un site à Rungis, deux levées de fonds (1,1 M€ en 2017, puis 1 M€ en 2018) et l’entrée à son capital de Vinci Construction et de Shibumi International. Désormais, XtreeE part à la conquête du monde et compte déployer 50 unités d’impression 3D connectées à l’échelle internationale, d’ici 2025. Dont 2 installées en Asie, dans le courant de l’année. De plus, la start-up lancera la plate-forme “XtreeE printing as a service”, dès 2020, pour connecter ses clients à la communauté des concepteurs (architectes, designers et ingénieurs) et des imprimeurs 3D. Avec un marché estimé à 45 Md€ en 2027, XtreeE se prépare à répondre à cette attente.   Répondre au marché de l’impression béton 3D Créer pour apporter une nouvelle solution constructive plus performante, XtreeE participe à de nombreuses réalisations. Notamment avec les projets, Viliaprint [Lire notre article à ce sujet], Récif’lab (création de récifs artificiels) et St@tion4D [Lire BLM n°77, p. 25]. « L’ambition commune de l’équipe est avant tout environnementale, explique Alban Mallet, Dg d’XtreeE. Au moyen de ces innovations, il est en effet possible de construire mieux, et de concevoir des produits nouveaux, à même de répondre aux grands enjeux d’aujourd’hui et de demain. Si l’impression 3D permet, par la facilité avec laquelle elle est capable de fabriquer des formes à géométrie complexe, de réduire à la fois les coûts et l’impact global des procédés constructifs, elle rend aussi possibles des objets plutôt inattendus, au service de la biodiversité. » En effet, XtreeE affirme que ce procédé permettrait de réduire jusqu’à 70 % la consommation de ciment, dont la fabrication représente 8 % des émissions mondiales de CO2, selon Chatham House et WWF. L’article XtreeE se déploie à l’échelle mondiale est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 5 ans et 353 jours

C40 – Barreca & La Varra : Reinventing le logement social à Milan

Le projet INNESTO, conçu par l’agence milanaise Barreca & La Varra, est le premier projet de bâtiment social ‘Zéro Carbone’ en Italie. Lauréat de l’appel à projet international ‘Reinventing Cities’ (C40), il se veut le showroom des nouvelles stratégies de […] L’article C40 – Barreca & La Varra : Reinventing le logement social à Milan est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 6 ans et 9 jours

Lyon accueillera début juin un "festival" international du logement social

Un "festival international du logement social", accueillant des interventions de maires de grandes métropoles ainsi que des visites et des expositions, aura lieu du 4 au 8 juin à Lyon.
Il y a 6 ans et 58 jours

Logement social, le kaléidoscope d’Alain Sarfati à Paris

Au 7-9 rue Schoelcher, dans le XIVe arrondissement de Paris, Alain Sarfati a métamorphosé 4 000 m² de bureaux de l’ancien immeuble de la SAGEP (Société Anonyme de Gestion des Eaux de Paris) en un immeuble flambant neuf, livré en […] L’article Logement social, le kaléidoscope d’Alain Sarfati à Paris est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.