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Résultats de recherche pour logements-neufs

(13 résultats)
Il y a 2 ans et 79 jours

Immobilier neuf : La Normandie, n° 1 des recherches

Située dans le Gard, Uzès se classe n° 1 du Top 20 des villes les plus recherchées pour investir dans un logement. [©ACPresse] A l’heure à la crise du logement neuf, constat alarmant invoqué par la FFB, Valorissimo vient de réaliser une étude autour des tendances du marché de l’immobilier. Expert de l’habitat neuf, il met en relation promoteurs et prescripteurs à travers sa place de marché B2B. Ainsi, en termes de recherches de biens, l’année 2022 a été marquée par l’émergence de certaines régions. Et c’est en Normandie que la variation a été́ la plus importante, à + 66,8 % entre les semestres 1 et 2, en termes de recherches de biens neufs. Deuxième région sur ce podium, le Centre – Val de Loire, avec une augmentation de + 61,7 %. La Bretagne achève ce classement avec une variation de + 17,7 %. Quant aux zones qui connaissent historiquement les plus fortes recherches, elles restent ou connaissent une diminution : Ile-de-France (+ 6,66 %), Auvergne – Rhône-Alpes (- 5,49 %) et Provence – Alpes – Côte d’Azur (- 22,8 %). Lire aussi : Logements neufs : Une crise historique pour la FFB « Nous observons l’émergence de régions, telles que la Normandie, le Grand Est ou encore le Centre – Val de Loire, confirme Emma Leca, directrice générale de Valorissimo. Les investisseurs plébiscitent ces zones, en particulier pour leurs prix accessibles, autour de 200 000 € [pour un logement neuf moyen] et un potentiel de rendement intéressant. Cette tendance est liée au contexte actuel, avec une capacité de financement inférieure à celle de 2021. Nous pensons que cette tendance se poursuivra en 2023. » Si l’on prend les villes les plus attractives pour les investisseurs, Thonon-les-Bains (74) affiche 16 934 recherches en 2022. Elle est suivie par Cergy (95) et ses 10 335 recherches, et Bussy-Saint-Georges (77) avec 10 282 recherches. Uzès, ville la plus recherchée Valorissimo s’est ensuite intéressé à la variation du volume de recherches par ville, afin d’en ressortir un Top 20 [des villes ayant au moins 1 000 recherches par semestre]. La palme revient à Uzès (30), avec une augmentation de +168,8 % ! « Cette ville du Gard bénéficie d’une position géographique avantageuse, à 25 km de Nîmes, 40 km d’Avignon ou encore 80 km de Montpellier, détaille Emma Leca. Elle est intéressante pour investir dans une résidence secondaire. Et figure parmi les plus beaux villages de France… » Lire aussi : Les Français, leur logement et la rénovation énergétique Arrive en seconde position de ce classement, Honfleur, dans le Calvados (+ 88,9 %). Elle devance Narbonne (+ 74,7 %), ville située dans l’Aude. Les trois dernières villes du ce Top 20 sont Reims (51) à + 3,7 %, Strasbourg (67), à + 3,4 %) et, enfin, La Roche-sur-Yon (85) à + 2,05 % de hausse des recherches. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 80 jours

La chute des réservations de logements neufs s'accentue fin 2022

Les réservations de logements neufs par des particuliers ont continuellement baissé en 2022, selon les statistiques provisoires du ministère de la Transition écologique. Une chute qui s'accentue au dernier trimestre.
Il y a 2 ans et 111 jours

Les permis de construire de logements neufs chutent au 4e trimestre, 482.200 autorisations en 2022

Sur l'année 2022, 482.200 nouveaux logements ont été autorisés, soit un peu plus qu'avant la crise sanitaire. Le nombre de permis de construire avait atteint un pic en août, à 522.800.Ce pic n'est pas révélateur d'une frénésie dans la construction, mais fait suite à un afflux de demandes de permis fin 2021, avant l'entrée en vigueur d'une réglementation environnementale (RE2020) plus ambitieuse pour la construction neuve.L'instruction de ces demandes au cours de l'année explique le gonflement des chiffres.Le nombre élevé d'autorisations pendant l'été vient aussi du fait que les communes avaient jusqu'en août pour délivrer les permis de construire des logements éligibles à une aide à la construction durable dans le cadre du plan de relance. "Comme nous le craignions, la demande de logements des particuliers faiblit", a commenté dans un communiqué la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), l'expliquant notamment par les difficultés d'accès au crédit pour les particuliers."La chute des permis de construire au 4e trimestre 2022 n'augure rien de bon pour l'avenir: le secteur de l'immobilier neuf est actuellement durement éprouvé, alors que les ménages ont toujours besoin de se loger", a ajouté le président de la FPI, Pascal Boulanger.Les mises en chantier, dont l'évolution s'est depuis la mi-2021 déconnectée de celle des permis de construire, se sont établies à 376.200 au cours de l'année, soit moins qu'en 2021 ou qu'avant la pandémie.Mais le ministère, qui prévient que ses statistiques en la matière "comportent une part d'incertitude non négligeable", a enregistré un frémissement en décembre.
Il y a 2 ans et 184 jours

Le recul des ventes dans l'immobilier neuf se poursuit au troisième trimestre confirmant les craintes du secteur

Comme le craignait le Pôle habitat de la Fédération Française du Bâtiment au mois d'octobre dernier, le recul des ventes dans l'immobilier neuf se poursuit. Au troisième trimestre 2022, 20.400 logements neufs ont été réservés par des particuliers (étape préalable au contrat de vente, ndlr), soit 16,8% de moins qu'au troisième trimestre 2021, année de "rattrapage" après les confinements de 2020.La baisse de réservations est plus marquée pour les maisons individuelles (-26,4%) que pour les appartements collectifs (-16,2%).Les mises en vente de logements neufs destinés à des particuliers, au nombre de 21.400 pour le troisième trimestre 2022, poursuivent également leur recul avec 9,8% de moins qu'au troisième trimestre 2021.Le prix moyen des appartements neufs vendus continue en revanche d'augmenter, avec une hausse de 6,4% et un prix moyen de 4.700 euros le m2. Il augmente plus légèrement (+1,7%) pour les maisons, vendues en moyenne 340.500 euros.Un total de 17,5% des réservations se sont terminées par une annulation de la part des acquéreurs, une part en baisse de 1,5%, note le ministère. Les évolutions de la demande et de l'offre de logements neufs sont contrastées selon les régions. Les zones les plus rurales connaissent une forte progression du nombre de nouveaux logements commercialisés (+87,7% par rapport au troisième trimestre 2021), pour le deuxième trimestre consécutif, même s'il s'agit de faibles volumes, le marché étant concentré sur les zones tendues et les grandes agglomérations.Dans les zones tendues, qui regroupent Paris, une grande partie de l'Île-de-France, la Côte d'Azur et la zone frontalière avec la Suisse, les mises en vente et les réservations sont en revanche en nette baisse, de même que dans les villes de plus de 250.000 habitants.A noter que seule la région Centre-Val de Loire enregistre une hausse de 17,7% à la fois des réservations et des mises en vente. Cela s'explique notamment par la commercialisation de plusieurs programmes immobiliers de plus de 100 logements au 3e trimestre.
Il y a 2 ans et 211 jours

Par mimétisme : 209 logements neufs et réhabilités à Bordeaux, par Philippe Prost

    En attribuant le prix Pritzker 2022 à l'architecte burkinabé Francis Kéré, vingt ans après l'Australien Glenn Murcutt, le jury a de nouveau distingué une œuvre singulière croisant ressources locales et produits industriels courants, qui met à l'honneur les matériaux de construction […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 247 jours

Malgré une récession prévue pour toute l'Europe, la FFB se veut rassurante sur l'avenir du BTP

Dans ce contexte difficile, trois observations font tout de même ressortir du positif pour l'avenir du secteur : alors que la crise des matériaux et de l'énergie sévit encore, le BTP résiste toujours,les carnets de commande restent fournis et l'année 2022 semble globalement faite,les besoins à moyen et long terme s'avèrent globalement porteurs pour le bâtiment.L'activité : un bilan contrastéConcernant le logement neuf, les tendances se confirment et le rebond dû à l'entrée en vigueur de la RE2020 et de la réglementation du HCSF laisse progressivement place à une chute à l'amont de la filière.Bien qu'une remontée des mises en chantier soit encore possible d'ici la fin de l'année avec une hausse des permis d'environ 14%, en glissement annuel sur sept mois à fin juillet 2022, ces permis chuteront inévitablement avec l'effondrement des ventes de plus de 26% dans l'individuel diffus et de près de 15% dans la promotion immobilière, sur le premier semestre 2022 rapporté au même semestre de 2021. Les deux prochaines années s'annoncent « périlleuses » pour le logement neuf selon la FFB.À quelques jours du dévoilement du PLF, la FFB tient à rappeler l´importance de préserver la capacité d'investissement des acteurs-clés du logement. Notamment aux bailleurs sociaux, et en particulier à Action Logement. Le groupe paritaire joue un rôle majeur au service des salariés, des entreprises et des territoires. Déséquilibrer son modèle financier par des ponctions financières constituerait un risque supplémentaire dans cette crise du logement en devenir.La situation semble inverse pour le non résidentiel où, après deux années de marasme, 2022 ressort mieux orientée. De fait, les surfaces commencées et autorisées s’affichent en progressions respectives de près de 18% et 7% en glissement annuel sur sept mois à fin juillet 2022.Enfin, l’activité en amélioration-entretien continue de croître, bien que sa dynamique déçoive un peu, sans doute pénalisée par un marché des CEE encalminé depuis le début de l’année. La tendance ressort proche de +2% pour l’ensemble, comme pour la rénovation énergétique. Mais il faut aussi souligner que ce segment progresse régulièrement depuis la sortie de la crise sanitaire. En cumul depuis la fin du premier trimestre 2020, hors effet prix, l’amélioration-entretien s’affiche en hausse de 6,5% et la rénovation énergétique du logement de 12,4%.L’ensemble de ces éléments, y compris les révisions à la baisse des scénarios macro-économiques, conduisent à réévaluer un peu les prévisions de la FFB pour 2022. La croissance de l’activité s’établirait à +3,8% en volume, contre +4,3% prévu début décembre 2021, principalement du fait de la moindre progression de l’amélioration-entretien.Cela signifie aussi qu’à ce jour, l’élan pris avant d’entrer dans 2023 se révélera moindre qu’espéré, alors même que les attentes relatives au secteur se renforcent, compte tenu de la guerre énergétique toujours d’actualité.Emploi : un ralentissement inquiétantAu-delà du blocage des permis de construire, l’un des principaux facteurs expliquant ce tassement réside dans l’emploi, qui peine à suivre. Certes, par rapport à la fin du premier trimestre 2020, le secteur a créé près de 80.000 postes salariés et intérimaires, auxquels il faut ajouter 17.000 artisans non salariés, soit 97.000 personnes de plus. Toutefois, ce chiffre plafonne depuis la fin 2021.Sans doute la dégradation des perspectives globales joue-t-elle un rôle dans cette stabilisation à haut niveau. Mais surtout, les difficultés de recrutement perdurent ; elles se renforcent même chez les plus de dix salariés, pour atteindre des proportions historiques : plus de quatre entreprises sur cinq déclarent en souffrir.L’emploi constitue donc un goulet d’étranglement du secteur, alors que le vivier de compétences disponibles se trouve aujourd’hui à l’étiage.La guerre de l'énergie relance la crise des matériauxLe troisième facteur de blocage, aussi important que les précédents, réside toujours dans la crise des matériaux, relancée par la guerre de l’énergie. L’hystérie sur les marchés du gaz et de l’électricité a douché tous les espoirs d’accalmie et les perspectives s’assombrissent. De fait, les fermetures de chaines de productions semblent se multiplier depuis août : produits aluminium, zinc, acier, tuiles et produits verriers, … les difficultés d’approvisionnement et les craintes de pénuries réapparaissent, sans même évoquer l’impact sur les prix de ces matériaux.Globalement, sous l’effet de ces hausses, les coûts des entreprises de bâtiment ont déjà progressé de 12% entre la fin 2020 et juin 2022, selon l’index BT01 de l’Insee. Ce n’est pourtant pas fini, d’autant que l’inflation générale pèse sur les coûts de main d’œuvre. Et cela explique que les trésoreries se tendent, alors qu’il faut ajouter à ces chocs le début du remboursement des PGE.Les assises du BTP très attenduesLes Assises du BTP doivent permettre de répondre à cette situation, en faisant notamment appel à la solidarité de filière et à la solidarité nationale.La FFB a formulé nombre de propositions lors des réunions préparatoires. Par exemple, pour les marchés publics, la simplification des conditions d’obtention d’avenants visant à compenser la hausse des matériaux sans remise en cause du marché, la pérennisation du plafond à 100.000 € pour traiter de gré à gré, le relèvement du taux d’avance minimal. D’autres suggestions relatives à la transition écologique ont également été formulées, notamment l’indexation des aides, le relèvement des obligations d'économie d'énergie pour la cinquième période des CEE ou la mise en œuvre effective de l’éco-contribution REP neuf mois après publication des tarifs, toujours inconnus à ce jour.La FFB demande donc avec force que la plénière des Assises du 22 septembre prochain soit considérée comme une nouvelle étape vers la constitution d’un véritable Conseil national de la construction et non comme une fin. De fait, les crises qui se succèdent depuis 2020 illustrent clairement le besoin d’une meilleure coordination au sein de la filière et d’une meilleure concertation avec le gouvernement.
Il y a 3 ans et 86 jours

Peu de ventes de logements neufs en zones tendues en 2021

La commercialisation de logements neufs en 2021 est restée inférieure à son niveau d'avant la pandémie, selon les chiffres du ministère du Logement le 15 février, avec un marché à la peine dans les zones tendues.
Il y a 3 ans et 170 jours

Le marché des logements neufs collectifs reste en berne

Le marché du logement neuf ne réussit toujours pas à surmonter les effets de la crise sanitaire notamment en raison de la baisse des permis de construire accordés, a rapporté la FPI.
Il y a 4 ans et 173 jours

Logements neufs : la promotion immobilière toujours en difficulté

Le marché du logement neuf, dont les ventes baissent depuis plusieurs années, a encore chuté au troisième trimestre, selon la fédération des promoteurs immobiliers.
Il y a 4 ans et 183 jours

Les achats de logements neufs marquent le pas

Au cours du troisième trimestre 2020, 24 300 logements ont été réservés en France métropolitaine, soit presque 3 200 de plus qu’au deuxième, lors du premier confinement. Ce niveau reste inférieur de 16 % à celui observé un an plus tôt. Les annulations de réservations progressent de 14,7 % par rapport au troisième trimestre 2019. La baisse des réservations est plus marquée dans le collectif (- 16,5 %) que dans l’individuel (- 9,2 %). Les achats de logements neufs marquent donc sérieusement le pas. Les mises en vente de logements ont fortement baissé entre fin 2019 et début 2020, et stagnent depuis à un niveau bas, proche de 20 000 logements par trimestre. Elles ont d’abord pâti de la mise en place du confinement à la fin du premier trimestre, puis ce dernier a très fortement limité la commercialisation de logements neufs au deuxième trimestre, alors que les variations saisonnières habituellement observées en font un pic d’activité immobilière. Le déconfinement ne semble pas encore avoir permis la reprise des mises en vente. Au troisième trimestre 2020, elles reculent donc fortement (- 24,4 %) par rapport au troisième trimestre 2019. Le repli est nettement plus marqué dans l’individuel (- 30,6 %) que dans le collectif (- 24,0 %). Source : Ministère de la Transition écologique, Service des données et études statistiques (SDES)  
Il y a 4 ans et 308 jours

La startup MeilleureCopro et Cerqual Qualitel Certification lancent la 1ère calculette de charges de copropriété pour les logements neufs

Cet outil unique, pensé en étroite collaboration avec des promoteurs et plus d'une trentaine de prestataires de services (courtiers en assurance d'immeubles, fournisseurs d'énergie, ascensoristes, sociétés de nettoyage et d'entretien des espaces verts, etc.), est désormais accessible pour les promoteurs dans le cadre de la certification NF Habitat, pour les opérations situées en Ile-de-France, dans un premier temps.Une action concrète pour informer les promoteurs et leurs clients sur le coût de fonctionnement de la future résidence"Jusqu'à présent, les promoteurs n'avaient pas de moyen de connaître les charges futures, sauf à demander à un syndic partenaire qu'il réalise ce type d'estimation sur la base d'abaques ou de l'analyse de résidences similaires de proximité. L'estimation ainsi construite est extrêmement variable d'un programme à l'autre, en fonction des hypothèses prises par les syndics sur la qualité des prestations de service et sur les postes à y intégrer", explique Edouard-Jean Clouet, Président et cofondateur de MEILLEURECOPRO. De nombreux acquéreurs de logements neufs se sont trouvés en difficulté pour pouvoir faire face aux échéances de charges, car les estimations de charges ne prennent pas toujours en considération les spécificités de l'opération, telles que le tarif de l'eau de la ville, le coût du chauffage urbain de référence, des contrats de maintenance obligatoires comme celui de la toiture, etc.La calculette développée par les équipes de CERQUAL et de MEILLEURECOPRO pour la certification NF HABITAT apporte les innovations suivantes :des coûts basés sur des tarifs réels de prestataires : L'outil consulte la base des milliers de tarifs de prestataires négociés par MEILLEURECOPRO dans le cadre de son activité de courtier de services aux copropriétés.une constance dans les estimations de charges, d'un programme à l'autre : Les algorithmes de calcul sont adaptés à tout type d'opération, de petite comme de grande taille.un budget complet, reposant sur des niveaux de services très qualitatifs : L'évaluation prend en considération tous les postes constitutifs du futur budget de copropriété - eau, énergie, honoraires syndic, frais d'entretien et de maintenance, etc.-, et considère des prestations à même de répondre à l'exigence des futurs occupants : nettoyage pluri hebdomadaire des parties communes, compteurs en télérelève, dépannage des équipements 6 à 7J/7, assurance de charges impayées, protection des parties communes à la livraison, etc.Cet outil permet ainsi de conforter les promoteurs dans leur compréhension des charges à venir, et de rassurer les acquéreurs et leurs banques sur les charges futures auxquelles ils devront faire face.Selon Antoine Desbarrières, Président de CERQUAL Qualitel Certification, "cette calculette, qui répond à une demande de nos clients promoteurs et de leurs acquéreurs, nous permet d'objectiver le respect des exigences de la certification NF Habitat sur la maîtrise des charges de copropriétés neuves. C'est un préalable efficace pour sensibiliser le futur copropriétaire sur le sujet."Un outil reposant sur l'harmonisation des process de « pricing » des prestataires "Afin de créer un outil résolument innovant par son automatisation et par la fiabilité de ses estimations, nous avons très vite pris la voie de générer des chiffres reposant sur des tarifs réels de prestataires", précise Edouard-Jean Clouet."Pour se faire, nous avons conduit plusieurs dizaines d'ateliers de travail avec des prestataires pour comprendre leur façon de coter une prestation de service. Cet exercice, relativement simple sur des prestations d'assurance ou de fourniture d'énergie, s'avère nettement plus subtil dès que les prestations touchent l'intervention d'équipes sur la résidence. Chaque prestataire ayant une manière de coter différente, il a fallu définir avec eux le plus grand dénominateur commun pour écrire nos algorithmes, puis affiner l'exercice en introduisant des spécificités liées aux opérations ou aux prestataires" détaille François Massot, Directeur innovation et cofondateur chez MEILLEURECOPRO.Comment la calculatrice de charges de copropriété fonctionne-t-elle ? Dans les faits, le promoteur immobilier a la possibilité de se connecter via le portail client de CERQUAL Qualitel Certification à QUALICHARGES qui est une plateforme dédiée développée par MEILLEURECOPRO. Il suffit ensuite de renseigner des données d'opérations relatives au programme neuf, en se référant au permis de construire et à l'étude thermique.Dès le questionnaire complété, les données sont traitées par un algorithme qui interroge parallèlement les tarifs des prestataires et d'organismes institutionnels à disposition.Le budget généré est restitué au promoteur sous la forme d'une fiche programme, précisant le montant de charge au m²/an, ainsi que le détail des dépenses par poste de charges. Ce budget repose à ce stade sur une hypothèse de niveaux de services élevés. Ce niveau sera naturellement affiné et optimisé par les copropriétaires lors de leur première assemblée générale en fonction du choix qu'ils feront sur leurs prestataires de services.
Il y a 5 ans et 175 jours

Les ventes de logements neufs chez les promoteurs se stabilisent

Les ventes de logements neufs se sont stabilisées au troisième trimestre chez les promoteurs français après plus d'un an de baisse, a annoncé la fédération du secteur.
Il y a 6 ans et 46 jours

La construction de logements neufs replonge en février

Les permis de construire de logements, qui avaient atténué leur baisse en janvier après une année de repli en 2018 en France, ont replongé en février, les mises en chantier restant en net recul.