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Résultats de recherche pour lorraine

(318 résultats)
Il y a 11 jours

La rénovation et mise en sécurité d’un pont – Pierre-la-Treiche en Lorraine

Le pont de Pierre-la-Treiche, indispensable au quotidien des habitants et des usagers, nécessitait une intervention urgente pour garantir sa pérennité et sa sécurité. Grâce à la mobilisation des élus locaux et à l’expertise des entreprises de travaux publics, cette rénovation a permis de moderniser l’ouvrage tout en respectant son patrimoine.
Il y a 213 jours

Moselle : inauguration de l’aile Est rénovée des sciences humaines et sociales, à Metz

Dans le département de la Moselle, l’université de Lorraine a inauguré l’aile rénovée des sciences humaines et sociales, un espace modernisé...-Vie du BTP
Il y a 224 jours

Lingenheld, c’est aussi de l’immobilier

Le groupe familial de travaux publics structure sa diversification dans l’aménagement et la promotion en Alsace et Lorraine. Il l’installe dans...-Immobilier
Il y a 356 jours

Lingenheld, un recycleur de déchets à part entière

La mise en chantier d’une importante unité de traitement de mâchefers en Lorraine fait entrer dans une nouvelle dimension le pôle...-Travaux publics
Il y a 1 ans et 34 jours

7e édition des rencontres européennes de l’architecture à Metz

Après une édition consacrée à la Pologne en 2023 à Strasbourg, les trois Maisons de l’architecture de la région Grand Est organisent les 3 et 4 mai prochains les rencontres de l’architecture européennes à Metz. Cette année, la Maison de l’architecture de Lorraine met en avant l’Irlande en y accueillant trois de ses architectes les plus prestigieux. Les rencontres se dérouleront à l’Arsenal de Metz, ancienne bâtiment militaire réhabilité en 1989 par Ricardo Bofill en auditorium...
Il y a 1 ans et 69 jours

Saint-Gobain PAM décroche une aide d'état de 3M€ pour son four électrique Thor

Dans le cadre d’un déplacement en Lorraine le 22 mars avec Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et Prisca Thévenot,...-Industrie
Il y a 1 ans et 76 jours

Retour un siècle en arrière dans la dernière tuilerie artisanale de Lorraine

En entrant dans le bâtiment, une impression de retour dans le temps : la tuilerie artisanale de Niderviller (Moselle), continue à produire avec des machines datant de 1928, et affiche un carnet de commandes bien fourni, dans une démarche de préservation du patrimoine.
Il y a 1 ans et 163 jours

Trois nouveaux commerciaux rejoignent Schenker Stores et EHRET pour les secteurs Habitat et Prescription

Respectivement entrés début octobre et début novembre, Fabrice Schmitt, Benoît Guyot et David Wasilewski viennent d’intégrer les forces commerciales de Schenker Stores et EHRET. Fabrice Schmitt, qui occupe le poste de Responsable Clientèle Habitat pour la marque Schenker Stores, couvre la région du Grand-Est, de l’Alsace-Lorraine à la Franche-Comté, ainsi […] L’article Trois nouveaux commerciaux rejoignent Schenker Stores et EHRET pour les secteurs Habitat et Prescription est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 315 jours

La future flèche de Notre-Dame de Paris poursuit son ascension en Lorraine

Un nouveau moment-clé "incroyable" dans l'histoire de la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris : ingénieurs, architectes et charpentiers ont assisté, jeudi 20 juillet à Briey (Meurthe-et-Moselle), à une répétition générale du montage du premier étage de sa fameuse flèche.
Il y a 2 ans et 78 jours

notre dame de paris le tabouret de la fl che bient t livr

Après avoir été monté à blanc en Lorraine, le tabouret de la flèche de Notre-Dame de Paris devrait être livré le 15 avril prochain, date anniversaire de l’incendie qui a ravagé la cathédrale il y a près de 4 ans, annonce l’établissement public en charge de la reconstruction du monument.
Il y a 2 ans et 262 jours

"On déterre un cadavre" : la centrale à charbon de Saint-Avold prépare son redémarrage

Le silence et la fraîcheur règnent encore au milieu de la lourde machinerie inaugurée en 1981. Seul résonne le bruit des travaux de réparation qui ont débuté cet été et se termineront fin septembre. Coût de l'opération : 10 millions d'euros. Quelque 200 salariés d'entreprises sous-traitantes ont été embauchés pour l'occasion, précise Camille Jaffrelo, porte-parole de GazelEnergie, propriétaire de la centrale."Une grande révision" des machines est indispensable pour "redémarrer en toute sécurité" et éviter tout incident technique cet hiver, explique Sylvain Mergen, chef de quart de 55 ans, depuis la salle des commandes.Lui devait partir à la retraite cette année et a accepté de revenir, comme 67 autres salariés "contents d'être là", selon cet ancien mineur employé de la centrale depuis 1997. Au total, 68 salariés sur les 69 que comptaient le site le 31 mars dernier sont revenus.A la retraite depuis ses 54 ans, Denis Maury, 60 ans, avait lui déjà accepté de reprendre son poste de rondier l'hiver dernier. De retour depuis fin août, il effectue des rondes régulières pour vérifier que la machine fonctionne sans problème.Main à la pocheS'il se sentait en capacité de reprendre son travail "après six ans de vacances". Il ne le cache pas, la généreuse prime de 5.800 euros bruts par mois proposée aux salariés pour l'hiver 2022/2023 a aussi pesé dans la balance."Pour inciter les gens à revenir, il faut mettre la main à la poche", confirme Camille Jaffrelo. "Nous avons augmenté les salaires et donné un certain nombre de primes qui doublent la rémunération de nos salariés.""C'est un partage du gâteau qui nous paraît équitable", salue Jean-Pierre Damm, élu au CSE de GazelEnergie et délégué syndical Force Ouvrière (FO). Selon le syndicaliste, les six prochains mois de fonctionnement de la centrale vont rapporter entre 150 et 200 millions d'euros à l'entreprise.Très émettrice de CO2, la centrale Emile-Huchet devait fermer ses portes définitivement fin mars. Mais le gouvernement en a décidé autrement cet été pour sécuriser l'approvisionnement du pays en électricité, compte tenu du conflit en Ukraine et des déboires rencontrés par le parc nucléaire d'EDF.Il n'y a qu'une seule autre centrale au charbon, à Cordemais (ouest), encore ouverte en France. Dans l'Hexagons plus de 67% de l'électricité produite est d'origine nucléaire, la part des combustibles fossiles étant en 2020 de 7,5% dont 0,3% de charbon et 6,9% de gaz.Dans la loi pour le pouvoir d'achat votée début août, le gouvernement a inclus une mesure permettant à GazelEnergie de réembaucher les salariés cet hiver. Plus de la moitié devaient partir à la retraite, et les plus jeunes devaient être reclassés au sein des nouveaux projets de l'entreprise. GazelEnergie prévoit entre autre de construire une chaudière biomasse à la place de la centrale à charbon."On sait qu'on pollue"Sylvain Krebs, 46 ans dont 22 ans passés à gérer le charbon à Emile-Huchet, doit rejoindre l'équipe qui travaillera pour cette future chaudière biomasse. Le charbon, or noir qui a fait vivre la Lorraine pendant près de deux siècles, il en a "fait le deuil".S'il se dit toutefois "content" de voir les hautes cheminées se rallumer une dernière fois, "on a déterré un cadavre", regrette-t-il."On sait qu'on pollue", dit-il en montrant les 210.000 tonnes de charbon stockées sur le site. Derrière lui, le ballet de camions venus livrer ne s'arrête pas et le monticule atteint déjà une quinzaine de mètres de haut, tâche noire au milieu de ce site industriel entouré d'éoliennes plantées à quelques kilomètres.Au total, il faudra plus de 500.000 tonnes de charbon pour faire tourner le site d'octobre à fin mars.A cause de la guerre en Ukraine et des réacteurs nucléaires à l'arrêt, Sylvain Krebs en est convaincu, la centrale a encore "deux années de fonctionnement" devant elle. Car lorsqu'elle tourne à pleine capacité, elle peut produire jusqu'à 600 Megawattheure, et est en mesure d'alimenter un tiers des foyers de la région Grand Est.
Il y a 2 ans et 330 jours

EUROBOIS 2022 : une édition réussie

L’ensemble des exposants et partenaires sont unanimes vis-à-vis de la dynamique de cette édition d’Eurobois. L’affluence le confirme avec 22 883 professionnels présents durant les 4 jours et l’augmentation de la part du visitorat national entre 2020 et 2022, qui représentait 50% cette année, en hausse de 5 points par rapport à 2020. Les visiteurs étaient majoritairement composés de porteurs de projets, acheteurs et décideurs, venus visiter le salon avec des objectifs concrets (lancement de nouvelles activités, investissements en équipements, recherches de partenaires…). Le Top 5 des activités visiteurs les plus représentées sur le salon sont : la décoration et de l’agencement intérieur, la menuiserie, la charpente, la scierie – l’affûtage – le séchage et enfin les fabricants de matériel et machines diverses. Dans un contexte de forte croissance liée aux nouvelles réglementations et au soutien des pouvoirs publics, la filière bois peine à recruter. Et même si la situation tend à s’améliorer (+2% de recrutements depuis 2 ans), les efforts doivent être maintenus. Alors que plus de 70 000 projets de recrutement sont prévus à l’échelle nationale cette année, le campus Eurobois soulignait l’engagement du salon aux côtés des professionnels. Plus de 100 offres d’emploi ont ainsi été proposées sur le Mur de l’Emploi, dans différentes spécialisations et 15 organismes de formation étaient présents sur le Campus Eurobois pour présenter leurs formations initiales et continues : Centre de Formation Forestière (Saugues) Centre de formation professionnelle du Pays des Bleuets CFPF DE CHATEAUNEUF DU RHONE – Centre de Formation Forestière de Châteauneuf du Rhône CFPPA REINACH FORMATIONS (Savoie) Compagnons du devoir L’Ecole Technique du Bois (01) ENSTIB (Lorraine) EPLEFPA Roanne Chervé, Site du Lycée Nature et Forêt ESB (Nantes) FIBOIS (Lyon) FORMABOIS (Québec) GRETA CFA Lyon métropole Institut des Métiers Lycée Claude Mercier (03) Master Sciences du Bois Faculté des Sciences – Université de Montpellier … Pôle Emploi était également présent sur 2 journées afin d’informer les visiteurs sur les offres d’emploi disponibles dans la filière En plus des animations historiques du salon, comme l’atelier de Fabrication de Panneaux MOB, le Plateau Batijournal TV ou encore les nombreuses démos sur le salon, de nouvelles animations sont venues enrichir cette édition 2022. Eurobois donne dès à présent rendez-vous du 6 au 9 février 2024 pour sa prochaine édition.
Il y a 3 ans et 17 jours

La transformation de bureaux en logements, une solution qui peine à décoller

Boulevard Morland en plein coeur de la capitale (IVe arrondissement), l'immeuble massif des années 60 qui abritait la préfecture et des services municipaux a fait peau neuve.Pour en tirer -entre autres usages- quelque 200 logements (dont 40% de logements sociaux), il a fallu des travaux conséquents. "On n'a conservé que la structure en béton. On a refait les isolations, les faux plafonds...", détaille Julien Desenepart, directeur opérationnel chez le promoteur du projet, Emerige.Plusieurs autres chantiers emblématiques de transformation de bureaux ou de commerces en logements sont en cours dans la capitale, comme l'ancien siège des Hôpitaux de Paris (AP-HP) ou l'ancien magasin Tati Barbès.Paris en pointeCauses de ce succès : d'une part le développement du télétravail, qui fait baisser la demande pour les locaux de bureaux. Et d'autre part les normes environnementales.L'objectif "zéro artificialisation nette" (ZAN), inscrit dans la loi, tend à favoriser la réhabilitation des bâtiments ou des friches plutôt que d'accentuer l'étalement urbain.Le groupe Action Logement, co-géré par patronat et syndicats, a ainsi créé en 2020 une foncière de transformation immobilière (FTI), qui doit y dédier 1,5 milliard d'euros dans les prochaines années.Elle est par exemple chargée de créer 91 logements dans l'ancien siège de l'Urssaf Lorraine, un immeuble haussmannien en centre-ville de Metz."Dans cette volonté de limiter l'artificialisation des terres et l'empreinte carbone dans la construction, la reconquête de ces espaces vacants ou mal occupés est intéressante, notamment dans les zones denses", témoigne Kevin Maruszak, directeur général de la FTI.Selon une estimation du ministère du Logement, depuis 2013, quelque 5.300 logements autorisés par an étaient auparavant des bureaux. Soit environ 1,2% des permis de construire.Mais à Paris, ville très dense où le foncier est aussi rare que cher, ce chiffre dépasse les 12%."Il y a un gisement extrêmement important en Ile-de-France", se félicite Jean-Philippe Dugoin-Clément, vice-président (UDI) de la région francilienne, chargé de l'urbanisme."On estime qu'on va avoir 300.000 mètres carrés qui vont se libérer par an, avec un gisement antérieur qui était de 4 millions. Donc il y a une marge qui est absolument énorme", dit-il.Les promoteurs d'immeubles de bureaux, de leur côté, mettent en avant la "réversibilité" de leurs constructions, c'est-à-dire la possibilité de changer leur usage à l'avenir, comme pour la future Tour Triangle à Paris.D'importants obstacles surtout économiquesPour les propriétaires de bureaux, souvent de grandes entreprises gestionnaires d'actifs, il est plus intéressant, économiquement, de louer des bureaux que des logements. Et accepter leur transformation signifie souvent acter une perte de valeur."Un immeuble de bureaux qui fonctionne mal, son propriétaire va quand même le garder, jusqu'à ce qu'il arrive au point de rupture; et là, c'est la loi du marché qui s'impose", explique Hideki Kurata, dirigeant pour la France de la foncière résidentielle américaine Greystar.Les travaux peuvent également être onéreux. Les immeubles des années 1970-80, explique Kevin Maruszak, "sont des bâtiments très épais, qui peuvent aussi être pollués, notamment avec de l'amiante."Une tour aura aussi beaucoup d'espaces "aveugles", sans fenêtre, et donc difficiles à transformer en pièce à vivre sans perdre en surface.Les élus locaux peuvent aussi être réticents, car des logements rapporteront moins d'impôts locaux que des bureaux, et entraîneront un besoin en nouveaux services publics coûteux : écoles, crèches..."Il y a un intérêt +macro+ à le faire. Parce que coûts moindres, bilan énergétique moindre, crise du logement... Mais si on se place d'un point de vue local, il n'y a pas forcément d'intérêt économique, pour un maire, à le faire. Il peut même y avoir des inconvénients", confie Jean-Philippe Dugoin-Clément.Les pouvoirs publics ont aussi pris des mesures pour favoriser ces changements. La loi Elan de 2018 permet aux chantiers de transformation de bureaux en logements de déroger à certaines règles, notamment les quotas de logements sociaux.
Il y a 3 ans et 52 jours

Le secteur du béton prêt à l'emploi progresse de 10% en 2021 avec 40,5 millions de m3

Un retour aux valeurs enregistrées en 2019Le secteur du BPE voit ses niveaux de production se raffermir progressivement. Avec une hausse de 10 % (données CVS-CJO) enregistrée en 2021, la production de BPE atteint 40,5 millions de m3 sur l’année retrouvant des valeurs équivalentes à celles de 2019. Zoom sur les volumes de production en régions pour le quatrième trimestre 2021Alsace : 337.489 m3Aquitaine : 638.524 m3Auvergne : 220.115 m3Bourgogne : 227.971 m3Bretagne : 709.733 m3Centre : 331.856 m3Champagne Ardenne : 182.988 m3Franche Comté : 140.272 m3IDF : 1.363.746 m3Languedoc Roussillon : 559.058 m3Limousin : 83.165 m3Lorraine : 238.191 m3Midi Pyrénées : 572.138 m3Nord : 424.176 m3Normandie : 519.753 m3Pays de la Loire : 777.934 m3Picardie : 190.766 m3Poitou Charentes : 339.061 m3PACA-Corse : 938.780 m3Rhône Alpes : 1.179.494 m3La Réunion : 115.345 m3
Il y a 3 ans et 57 jours

Les métiers du bois : attractivité et formation

Arborescence est un projet entre l’interprofession Fibois Grand-Est et les huit maisons de l’emploi du Grand-Est pour développer les compétences et l’emploi des entreprises afin répondre au fort potentiel de la filière bois dans la région…   Avec Mélanie Collin, chargée de projet filière forêt-bois – Maison de l’emploi Grand Nancy et Pascal Triboulot, professeur à l’université de Lorraine, directeur honoraire de l’ENSTIB, Vice-Président de Fibois Grand Est
Il y a 3 ans et 57 jours

Toutes les vidéos du plateau TV Bati-Journal au Forum Bois Construction

Découvrez dès maintenant toutes les vidéos plateau TV du Forum Bois Construction 2022. Une animation organisée par Wood Surfer et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofessionnel Nationale France Bois Forêt. >> Découvrez toutes les vidéos sur notre chaîne Youtube   Au programme du jeudi 7 avril sur le plateau TV : Stratégies forêt bois de la Grande Région avec Claude Turmes, Ministre de l’Énergie et de l’Aménagement du territoire du Luxembourg et Jean Rottner, Président de la région Grand Est Atteindre zéro émission net avec Cécile Thévenin, directrice de la transition environnementale à Bouygues Bâtiment France Europe Les métiers du bois : attractivité et formation, avec Mélanie Collin, chargée de projet forêt-bois à la Maison de l’emploi Grand Nancy et Pascal Triboulot, professeur à l’université de Lorraine, directeur honoraire de l’ENSTIB et Vice-Président de Fibois Grand Est La neutralité carbone avec Thomas Martal, président de Stock CO2 et David Bruchon, directeur technique National et RSE de Icade Promotion Mise en œuvre de la RE 2020 avec Yves Hustache, co-gérant de Karibati et Rodrigue Leclech, responsable Pôle Construction de Pouget Consultants Densification biosourcée avec Adrien Henocq, architecte chez Belus et Henocq Architectes Construire en feuillus, avec Johann Maître, ingénieur bosi chez Timbatec et Simon Hippens, architecte chez Simon&Capucine Architectes Réhabilitation – Siège RTL avec Axel Schoenert, architecte chez Axel Schoenert Architectes Réhabilitation avec Sébastien Eymard, architecte associé chez Encore Heureux    
Il y a 3 ans et 60 jours

Un projet européen pour diminuer le bilan carbone du ciment

Diminuer d’environ 30% le bilan carbone du ciment est l’objectif du projet européen CO2REDRES. Il rassemble les universités de Lorraine (Institut Jean Lamour), du Luxembourg, de Liège, de Trèves et 14 partenaires industriels de la Grande Région.  Un projet éco-responsable  CO2REDRES (Traitement de ressources secondaires pour une réduction des émissions de CO2 dans l’industrie de […]
Il y a 3 ans et 60 jours

La certification RSE “Exemplarité” pour Eqiom Bétons

Eqiom Bétons reçoit le plus haut niveau du label RSE pour ses agences situées en Alsace, en Bourgogne, en Ile-de-France et au Nord-Pas-de-Calais. [Eqiom Bétons] L’Unicem récompense les bons élèves. Eqiom Bétons reçoit le plus haut niveau du label RSE pour ses agences situées en Alsace, en Bourgogne, en Ile-de-France et au Nord-Pas-de-Calais. L’union leur a ainsi délivré la certification “Exemplarité”, le plus haut niveau d’exigence du label. Cette distinction reconnaît la performance des initiatives sociales et environnementales du groupe. Quant aux agences de la Franche-Comté et de la Lorraine, elles conservent le même niveau d’excellence obtenu auparavant. L’attribution du label RSE s’est faite suite à une série d’audits externes dirigée par le Cérib sur chaque thématique de la charte du label (gouvernance, environnement, capital humain…). L’exemplarité RSE d’Eqiom Bétons Et il semble qu’Eqiom Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. « L’obtention de cette certification est une fierté pour Eqiom Bétons, déclare Anne-Lise Mignot, coordinatrice RSE et environnement Eqiom Bétons. Elle reconnaît notre engagement sociétal, l’implication de nos équipes. Mais aussi, la mutualisation de nos bonnes pratiques et la performance de notre politique RSE, appliquée depuis plusieurs années par l’ensemble de nos agences. Lire aussi : Christophe Bignolas, à la tête d’Eqiom Bétons Tous nos efforts portent leurs fruits et se voient aujourd’hui récompensés. Ce résultat motive et stimule tous nos collaborateurs qui s’investissent davantage chaque année pour le bien commun. » De plus, l’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être salué par le niveau “Maturité”. La prise en compte des remarques des évaluateurs, le partage des valeurs entre les agences et la mobilisation de tous les collaborateurs ont ainsi permis à Eqiom Bétons de remplir les conditions requises.
Il y a 3 ans et 67 jours

Un projet européen pour diminuer le bilan carbone du ciment

Un projet éco-responsable CO2REDRES (Traitement de ressources secondaires pour une réduction des émissions de CO2 dans l'industrie de la construction) est financé pour 2 ans par le programme européen Interreg Grande Région. Son objectif est de chercher à produire localement de nouveaux ciments et bétons à faible impact environnemental. La voie suivie est celle des argiles calcinées. Ces matières réactives peuvent être additionnées au ciment ou au béton, pour remplacer les laitiers de hauts fourneaux ou les cendres volantes de centrales à charbon, aujourd’hui quasi-disparus de la Grande Région.Ces argiles sont cuites à 750°C environ, température nettement inférieure aux 1450°C nécessaires pour obtenir le clinker, constituant de base du ciment. En dégageant beaucoup moins de CO2 par rapport à un ciment 100% clinker, les liants intégrant des argiles calcinées pourraient abaisser d’environ 30% le bilan carbone du ciment.Conserver et améliorer les propriétés du ciment Ces nouveaux liants, connus sous l’appellation LC3 (Limestone Calcined Clay Cement) font partie des thématiques d’étude de l’équipe Matériaux pour le Génie Civil de l’Institut Jean Lamour à Nancy (laboratoire du CNRS et de l’Université de Lorraine). 50% du clinker y est remplacé par des argiles calcinées et du calcaire.L’équipe a cherché à optimiser les proportions d’argiles calcinées (type métakaolin) et de fillers calcaires dans les mélanges. Ceci afin de conserver, voire d’améliorer, les propriétés du ciment frais et durci, les leviers étant notamment la finesse des produits et la nature des hydrates spécifiques formés.Quatre ressources argileuses prometteuses Une quarantaine d’échantillons issus de boues de lavage des granulats et de déblais divers ont été fournis par les partenaires du projet. Leur caractérisation a permis d’identifier 4 ressources argileuses prometteuses. Elles ont subi des essais de calcination afin de déterminer pour chacune d’elles les conditions optimales de leur cuisson. Des tests dédiés ont permis de comparer leur réactivité finale. Ces 4 argiles calcinées ainsi que 2 métakaolins de référence (commercialisés dans d’autres régions françaises) et 2 fillers calcaires ont été mélangés à 4 ciments produits par des cimentiers de la Grande Région, partenaires du projet.L’agencement de ces composants a été étudié au cas par cas, car des argiles calcinées de même réactivité peuvent impacter plus ou moins fortement la maniabilité des bétons, selon la nature des autres constituants présents.Leur structure en feuillets imbriqués forme en effet des «amas» poreux qui peuvent mobiliser beaucoup d’eau, en plus de celle nécessaire à la mise en œuvre du béton. Cette eau excédentaire altère alors la résistance mécanique et la durabilité du composite, réduisant ainsi l’effet d’une bonne réactivité. L’ajustement de la finesse et des proportions de chaque constituant, tant sur le plan expérimental que théorique, a permis de mieux comprendre le rôle respectif des paramètres impliqués.Bientôt des bétons témoins Des essais et des analyses réalisés sur pâtes de ciment et sur mortiers ont alors conduit à la sélection de 2 argiles calcinées avec lesquelles des bétons témoins seront prochainement fabriqués. Enfin, une analyse du cycle de vie doit évaluer l’impact environnemental du processus complet.L’ensemble des résultats obtenus devrait permettre d’offrir aux acteurs de la construction dans la Grande Région la possibilité de fabriquer des ciments bas carbone viables, contenant des argiles calcinées issues de ressources secondaires et locales.
Il y a 3 ans et 73 jours

Certifications RSE chez EQIOM

Les agences EQIOM Bétons d’Alsace, de Dijon, d’Île-de-France et du Nord Pas de Calais reçoivent la certification « Exemplarité », le niveau le plus élevé du label RSE décerné par l’UNICEM, tandis que les sites de Franche-Comté et de Lorraine conservent le même niveau d’excellence obtenu précédemment. Suite à une série d’audits externes, réalisée sur certains sites et dirigée par le CERIB sur chaque thématique de la charte (gouvernance, environnement, capital humain, ancrage territorial, relations avec les fournisseurs, clients et parties prenantes), EQIOM Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. L’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être également salué par le niveau « Maturité ».
Il y a 3 ans et 73 jours

Certifications RSE chez EQIOM

Les agences EQIOM Bétons d’Alsace, de Dijon, d’Île-de-France et du Nord Pas de Calais reçoivent la certification « Exemplarité », le niveau le plus élevé du label RSE décerné par l’UNICEM, tandis que les sites de Franche-Comté et de Lorraine conservent le même niveau d’excellence obtenu précédemment. Suite à une série d’audits externes, réalisée sur certains sites et dirigée par le CERIB sur chaque thématique de la charte (gouvernance, environnement, capital humain, ancrage territorial, relations avec les fournisseurs, clients et parties prenantes), EQIOM Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. L’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être également salué par le niveau « Maturité ». Cet article Certifications RSE chez EQIOM est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 86 jours

Erlus renforce son équipe commerciale en France

Erlus renforce davantage son équipe commerciale en France. Le fabricant allemand de tuiles en terre cuite et de conduits de fumée en céramique annonce l'arrivée de deux nouveaux collaborateurs. À la tête de l'équipe, Dominique Ginez, directeur commercial France depuis 2002 est toujours épaulé par Werner Haehnel, délégué commercial de la région Lorraine depuis 2006. Avec les arrivées de Cyrille Donna, délégué commercial de la région Alsace depuis novembre, et de Julia Amann, responsable service interne depuis le 1er février, Erlus entend donner une nouvelle impulsion à sa stratégie en France et dynamiser la reprise de son activité.
Il y a 3 ans et 102 jours

La poussière de silice dans tous ses états…

Le “Guide des actions de prévention pour les poussières de silice chez les maçons-finisseurs” [©OPPBTP] Le “Guide des actions de prévention pour les poussières de silice chez les maçons-finisseurs” a été rédigé par des membres du service de Santé au travail du BTP, des représentants d’entreprises et de partenaires institutionnels. Avant la rédaction de ce guide, une étude d’évaluation, a été réalisée à l’occasion des 35e journées nationales “Santé au travail dans le BTP”, en 2019. Résultant de cette analyse, le guide répond aux différentes problématiques soulevées, en termes de prévention et de sécurité. Ce document constitue une aide aux encadrants pour sensibiliser les maçons-finisseurs. Qu’est-ce que la poussière de silice ? On appelle silice la forme naturelle du dioxyde de silicium (SiO2). La silice entre dans la composition de nombreux minéraux et se trouve en abondance à l’état naturel dans les roches et les minéraux. A l’état libre, la silice existe sous deux formes : cristalline : quartz, cristobalite, tridymite…amorphe : terre diatomée (naturelle), gel de silice (artificiel), silice colloïdale (artificielle)… La forme cristalline est présente dans de nombreuses roches, telles que le granit, le sable… Ainsi, elle se retrouve dans les produits dérivés comme les bétons, les mortiers… Elle est essentiellement absorbée par voie respiratoire. Les particules de silice cristalline contenues dans les poussières inhalées se déposent dans la trachée, les bronches et les poumons. A forte dose, la poussière respirée peut provoquer des maladies respiratoires, comme des bronchites chroniques, une insuffisance respiratoire, voire un cancer, ou d’une tuberculose. Une étude en amont… L’étude d’évaluation des expositions aux poussières de silice cristalline chez les maçons-finisseurs réalisée, en 2019, a permis d’estimer les risques. Et cela afin, d’optimiser les moyens de prévention et de protection des travailleurs. Les résultats révèlent que 55 % des poussières de silice cristalline sont constituées uniquement de quartz. Pour 7 %, les poussières sont composées de quartz et de cristobalite. On constate aussi que 63 % des employés ne bénéficient d’aucune protection collective. Cependant, 88 % des salariés portent un appareil de protection respiratoire individuel. Preuve de la prise de conscience sur la problématique des poussières. Les maçons-finisseurs effectuent toutes les reprises sur les ouvrages existants, après bétonnage. Ils effectuent, entre autres, les premiers travaux de finition après gros œuvre, ainsi que les finitions les plus abouties. … Un guide en aval Dans les métiers du BTP, l’exposition à la silice concerne surtout les chantiers de rénovation ou de démolition. Les poussières de silice cristalline sont émises lors d’opérations courantes comme la découpe, le percement ou le décapage, sur des matériaux aussi répandus que le béton, les pierres siliceuses ou les céramiques. Il est possible d’anticiper ce risque, en adoptant des moyens de prévention adaptés aux chantiers : utiliser des dispositifs de brumisation, installer des systèmes d’aspiration sur vos outils, porter des EPI… Après évaluation des risques, le guide préconise des actions de prévention pour différentes situations de travail. Les mesures sont adaptées en fonction des chantiers et de la faisabilité technique. Pour une dizaine de situations, le guide dévoile des mesures d’ordres techniques, organisationnelles et humaines. Par ailleurs, il rappelle que le port d’EPI et l’utilisation de matériels permettent de limiter les risques. Le document met enfin en avant les obligations pour les travailleurs et pour les entreprises. Le dossier complet est à retrouver par ici 
Il y a 3 ans et 120 jours

Poces, entre formation académique et expérience terrain

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Stéphane Bertheaux Virgili, chef de projet au Poces : « Nous voulons aller plus loin et proposer des offres certifiantes ». [©ACPresse] La Meuse est avant tout un territoire ayant un important historique minier. Et c’est pour pérenniser cet héritage qu’est né, en 2017, le Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces), de la volonté des acteurs locaux, des grandes écoles de Lorraine et des industriels. « Le Poces est accompagné par le Groupement d’intérêt public ou Gip Objectif Meuse. Il bénéficie de l’éco-système  de l’Ecole des mines de Nancy et de l’Ecole nationale de géologie », explique Stéphane Bertheaux Virgili, chef de projet au Poces. Et de poursuivre : « Le projet du territoire était de développer un pôle de compétences pour répondre aux besoins de la profession en matière de formation ». L’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) s’inscrit aussi sur ce territoire et contribue au fonctionnement du Poces, via la mise à disposition de ses infrastructures. Des offres de formations certifiantes en préparation Ainsi, le Poces est avant tout une entité de formation, qui propose l’intervention d’enseignants chercheurs des écoles partenaires, en complément d’experts des milieux souterrains. La formation a lieu sur le site d’Ecurey en Meuse. Quant aux travaux pratiques, ils ont souvent lieu à 500 m sous terre, au cœur du laboratoire souterrain de l’Andra de Bure. Commune située à la limite des départements de la Meuse et de la Haute-Marne. « Beaucoup d’entreprises s’adressent à nous dans le but de faire évoluer les compétences de leur personnel. D’autant que nos formations sont qualifiantes, reprend Stéphane Bertheaux Virgili. Toutefois, nous voulons aller plus loin et proposer des offres certifiantes. » Le dossier est en cours d’instruction auprès de France Compétences. C’est dans le cadre de l’approche formation innovante qu’est né Virtual Poces. En effet, il est compliqué de réaliser des travaux pratiques sans risques en travaux souterrains. « Virtual Poces est le chaînon qui manquait entre la formation académique et l’expérience terrain. » L’outil a vocation à sensibiliser aux risques et à la sécurité des personnes intervenant en travaux souterrains. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 250 jours

Raymond Camus : Pape de la préfabrication lourde

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Raymond Camus présente à Vienne ses procédés de préfabrication. Il tient entre se mains la photo de la cité Barhen construite pour les houillères du bassin de Lorraine. [©Archives Michel Camus] Après des études au lycée du Havre, Raymond Camus (1911-1980) est élève de l’Ecole centrale des arts et manufactures, dont il sort diplômé en 1933. Sa vie professionnelle débute dans l’entreprise paternelle. Il y aura l’occasion de participer à l’Exposition universelle de 1937. De 1938 à 1942, il est ingénieur aux usines Citroën, chargé de trouver des solutions aux problèmes de logements des ouvriers. Au lendemain de la guerre, alors qu’il a acquis depuis 1942 une solide expérience dans l’entreprise de travaux publics Bancel & Choiset, ses idées se précisent. Mesurant « l’abîme » qui sépare l’industrie automobile du monde du bâtiment, il envisage dès cette époque, d’« adapter à la construction d’immeubles, les principes de la fabrication industrielle, ou en d’autres termes, faire des maisons comme on fabrique des automobiles ». Un brevet intitulé “Procédé de construction” Construction de 948 logements à Sarrebruck, en Allemagne, selon les procédés Camus de préfabrication lourde (de mars à octobre 1963). [©Archives de Forbach] Raymond Camus part alors du constat que la préfabrication par petits éléments en vogue à l’époque est loin de donner les résultats attendus. Il met alors au point un procédé de construction utilisant de grands panneaux porteurs préfabriqués en béton. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le secteur du bâtiment connaît en France un bouleversement sans précédent. Les besoins immenses de la Reconstruction, puis de la construction massive de grands ensembles de logements sont l’occasion de moderniser le secteur. Lorsqu’en juin 1948, l’ingénieur dépose son brevet intitulé “Procédé de construction”, cela va révolutionner la manière de concevoir les bâtiments. Trois avantages essentiels sont mis en avant par l’inventeur. A savoir, la réduction au minimum des joints d’assemblage grâce à la taille importante des éléments. Puis, l’économie d’une ossature édifiée habituellement à l’avance. Et enfin, une fabrication complète en usine garantissant une exécution optimale au point d’incorporer l’ensemble des équipements. Le recours à ce type d’éléments n’est pas une nouveauté, puisque dès 1910 l’état major américain avait employé, pour la construction de ses casernes, de grands panneaux de béton selon le procédé Aiken. Dans l’entre-deux-guerres, on utilise des procédés similaires pour la construction de cités d’habitation, comme au Betondorp, près d’Amsterdam (Dick Greiner, architecte) ou dans le cadre du Neue Frankfurt (Ernst May, architecte), en Allemagne.  L’ilôt N17 du quartier havrais du Perrey Un transport de panneaux Camus, préfabriqués à Marienau (57), passe le poste frontière franco-allemande de la Brême d’Or. [©Archives de Forbach] Un an à peine après le dépôt de la demande de brevet, le procédé Camus reçoit l’agrément provisoire du ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (MRU) par décision n° 319 du 22 juin 1949. Et la société d’exploitation Raymond Camus & Cie est créée. Quelque 42 brevets seront déposés par Raymond Camus, pour la plupart signés de son seul nom et portant presque tous sur la fabrication ou la manipulation de panneaux préfabriqués à base de béton armé. Dès 1950, des usines sont créées pour la mise en œuvre de ce procédé.  Construction d’un immeuble de la cité des Champs-Barets au Havre (76), grâce au procédé ETM. [©Archives de Centrale Histoire]Immeuble en construction au Havre (76), les ouvriers sont en train de coffrer un poteau d’angle de l’ossature. [©Archives de Centrale Histoire]Chantier du Shape Village, situé à Saint-Germain-en-Laye (78). [©Archives de Centrale Histoire] En 1951, un premier immeuble est bâti au Havre, dans le quartier du Perrey, îlot N17. Plusieurs dizaines de pays mettent en œuvre le système Camus : Allemagne de l’Ouest, Algérie, Autriche, Belgique, Espagne… Mention spéciale pour l’URSS qui produisit sous licence dans 300 usines ! Dans les années 1970 toutefois, la préfabrication lourde connaît un déclin. Mais au total, le système Camus compte, en 1977, plus de 350 000 logements réalisés dans 20 pays différents. Lire aussi : – “Raymond Camus et l’avènement de la préfabrication lourde en France : vers un nouveau paradigme structurel”, Centraliens n° 625, Avril-mai 2013.“La préfabrication lourde en URSS : Concepts techniques et dispositifs architecturaux”,Natalya Solopova, Editions Dom Publishers, 2021. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 275 jours

Restauration de l’abbaye Notre-Dame d’Ourscamp

Située dans la commune de Chiry-Ourscamp dans l’Oise à l’emplacement d’un ancien oratoire fondé par Saint-Éloi en 641, l’abbaye Notre-Dame d’Ourscamp est une ancienne abbaye cistercienne classée au titre des Monuments Historiques. Dans le cadre du Plan de Relance, elle va bénéficier d’une enveloppe de 910 930 euros pour la réhabilitation de l’aile de Lorraine qui avait subi d’importants dommages suite aux bombardements de la guerre de 1914/1918. D’une durée prévisionnelle de 30 mois, les travaux sont sous la maîtrise d’Ouvrage de la Congrégation des serviteurs de Jésus et Marie et la maîtrise d’œuvre d’Alice Capron-Valat, architecte du patrimoine. Ils consistent à mettre en place un échafaudage, restaurer des façades, créer des menuiseries ainsi qu’à restaurer la couverture et des aménagements intérieurs. La date prévisionnelle de démarrage des travaux est fixée à septembre 2021.     Photo : Fifistorien, Wikimedia  
Il y a 3 ans et 289 jours

L'héritage architectural portugais de Goa tend à disparaître après 60 ans dans le giron indien

Les maisons délabrées et la domination culturelle croissante de Bollywood préfigurent l'effacement de l'histoire coloniale de Goa et l'oubli de cette langue portugaise qui autrefois permettait d'accéder à un statut social élevé et de se rapprocher du pouvoir.Lorraine Alberto qui enseigne le portugais à l'université de Goa, constate que les jeunes de l'Etat sont de moins en moins nombreux à suivre ses cours.La plupart de ses étudiants viennent désormais d'autres régions de l'Inde."Mes propres enfants ne le parlent pas du tout", déclare à l'AFP l'enseignante indienne de 46 ans. "Ils ne voient simplement pas l'intérêt de l'apprendre".Quand l'Inde s'est émancipée de l'empire britannique en 1947, les habitants de Goa avaient alors été nombreux à réclamer en parallèle la fin de la présence portugaise. Et lorsque les troupes indiennes ont pris l'Etat en 1961 pour l'intégrer au reste du pays, les témoins furent surpris par la métamorphose aussitôt survenue. Elle fut totale."Ce fut très étrange (...) tout a changé si vite", se souvient Honorato Velho, directeur d'école à la retraite. Cet homme de 78 ans vivait dans le voisinage du grand-père d'Antonio Costa, l'actuel Premier ministre portugais, et se souvient avec émotion de son enfance bercée par les influences européennes mêlées aux spécificités locales."Capsules de notre culture""Ma femme et moi parlons encore portugais par habitude, mais jamais avec nos enfants", confie à l'AFP M. Velho. Dans tout l'État, les maisons coloniales portugaises tombent en ruine, beaucoup sont démolies pour laisser place à des immeubles d'habitation. La disparition progressive des terrasses couvertes typiques et des fenêtres en nacre, pour adoucir la réverbération du soleil, n'est pas seulement une perte pour le patrimoine architectural, selon l'écrivaine Heta Pandit, experte de l'architecture de Goa qui milite pour sa préservation."Ces maisons sont des témoignages de l'histoire de Goa, ce sont des capsules de notre culture", assure-t-elle. Seule une petite poignée de bâtisses sélectionnées va pouvoir être sauvée de la destruction et du développement, ajoute Mme Pandit.Enfant de Goa, Sonia Shirsat, à 40 ans, est aujourd'hui une grande voix du fado, chant mélancolique traditionnel portugais rythmé à la guitare, apparu au début du XIXe siècle et classé par l'Unesco au patrimoine culturel immatériel.A l'occasion d'un concert en plein air dans un village côtier de Goa, devant quelques dizaines de spectateurs, la chanteuse prend le temps d'expliquer la signification de chaque titre de son récital, sachant qu'une grande part de l'audience ne comprend pas ou peu le portugais.Elle-même, à l'adolescence, refusait d'apprendre le portugais et pourtant, elle oeuvre désormais à perpétuer le fado à Goa et invite les nouvelles générations à marcher sur ses traces.
Il y a 3 ans et 295 jours

Bpifrance accompagne la transmission et le développement du groupe de construction bois Socopa

Créé en 1967, le Groupe Socopa est un acteur historique de la construction à ossature bois aussi bien sur les marchés des maisons individuelles que des immeubles résidentiels et bâtiments publics et tertiaires.Socopa construit près de 175 maisons par an (principalement en bois) à travers plusieurs marques en France (Maisons Socopa et Maisons Oxeo) et au Luxembourg (Tradilux et Maisons Georges Beaumont). Socopa développe également une très forte activité de construction d’immeubles à ossature bois auprès de promoteurs ou d’aménageurs pour de l’habitat groupé, des résidences, des bureaux ou des établissements recevant du public.Afin d’apporter une réponse rapide aux nouveaux enjeux sociétaux et règlementaires (demande d’habitat plus respectueux de l’environnement, mise en place de la Réglementation Environnementale 2020 et de la réduction de l’impact carbone dans la construction), le groupe vient également d’investir plus de 1 millions d’euros pour moderniser son site de production de Vagney, permettant d’améliorer les conditions de travail et d’accroître sa capacité de production. Grâce à son expérience et à ses nouveaux outils industriels, le Groupe a ainsi la capacité d’apporter une réponse concrète aux enjeux de la construction hors site et bas carbone.Cette opération de transmission permet à Pierre Castien et aux managers du Groupe de se renforcer au capital de la société, aux côtés du Fonds Bois et Eco-Matériaux de Bpifrance et du Groupe ILP. A cette occasion, le fonds Développement & Partenariat présent depuis 2013 cède ses parts.Pierre Castien, Président du Groupe Socopa : « Je me réjouis de cette nouvelle phase de l’aventure entrepreneuriale du groupe. Avec la présence de nouveaux partenaires financiers impliqués tant dans le développement de la filière que le développement régional, le groupe peut aborder sereinement les années charnières qui s’annoncent pour la construction hors site et bas carbone. »Vanessa Giraud, Directrice du Fonds Bois et Eco-Matériaux chez Bpifrance : « Nous nous réjouissons que le Fonds Bois & Eco-Matériaux puisse accompagner la transmission managériale et le développement du Groupe Socopa, groupe emblématique de la construction à ossature bois en France. Cette opération permettra d’assurer la pérennité d’un acteur clé de la filière. » Maxime Liegeois, Chargé d’affaires au sein du Groupe ILP : « La région Grand Est, au travers du Groupe ILP, se réjouit d’accompagner Pierre Castien et ses cadres dans la croissance de Socopa aux côtés du Fonds Bois & Eco-Matériaux. Cet investissement s’inscrit totalement dans la stratégie et les objectifs du groupe ILP qui, en participant à cette opération, permet à Socopa de maintenir son centre de décision dans les Vosges tout en renforçant l’actionnariat salariés dans l’entreprise. »Intervenants :Management : Pierre CastienCédants : Développement et PartenariatInvestisseurs :Bpifrance Investissement (Vanessa Giraud, Pierre-Eddy Sastre, Sophie Perette, Yassine Rochd, Thibaut Cambuzat)Groupe ILP (Benoît Voinot, Maxime Liegeois)Conseils Investisseurs :Conseil et Due Diligence Juridique, Sociale et Fiscale : Lexicube (Thibault Ricome)Due Diligence financière : Odéris (Aurélien Vion, Nicolas Boucher)Conseils Société :Conseil Juridique : Lamartine (Stéphane Rodriguez, Victoire Bertin)Banques :Banque CIC EstBanque Populaire Alsace Lorraine Champagne
Il y a 3 ans et 296 jours

Semin investit en Lorraine et en Pologne

Le spécialiste lorrain des colles et enduits annonce une nouvelle ligne de conditionnement et poursuit son développement à l’étranger.
Il y a 3 ans et 333 jours

Réalisation d'un éco quartier avec des logements à haute performance énergétique à Lunéville

Le 15 avril dernier, les premiers habitants de l’éco quartier Libération, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), emménageaient dans leur logement. Entre l’avenue de la Libération et l’allée des Lilas, sur un peu plus d’un hectare, une ancienne pépinière a laissé la place à un programme de construction neuve de 31 logements à haute qualité environnementale conduit par l’Office Public de l’Habitat (OPH) de Lunéville à Baccarat.Énergie positiveCe nouvel espace d’habitat social alliant urbanisme durable et performance énergétique combine habitat individuel et collectif tout en favorisant une forte mixité sociale. Il compte vingt maisons individuelles et un immeuble abritant onze appartements.« La performance énergétique est notre cheval de bataille, souligne Adrien Kremer, chargé d’opérations à l’OPH. Lorsque nous avons lancé le concours de conception-réalisation, notre cahier des charges imposait une consommation d’énergie inférieure de 20 % aux exigences de la réglementation en vigueur RT 2012. En option, nous envisagions une cibleRT2012 -50 %. Nous avons eu l’opportunité de répondre à l’appel à projetE+C- pour des bâtiments à énergie positive et faible empreinte carbone répondant à la future réglementation environnementale RE 2020. Le bâtiment collectif est labellisé avec un niveau E3C1. »Pour assurer la maîtrise des charges locatives, le bailleur social vise aussi la pérennité des performances. Celle-ci passe par l’utilisation de matériaux durables, recyclables et réutilisables. Adrien Kremer rejette tout gadget sophistiqué et favorise les solutions simples ayant fait leurs preuves, comme l’isolation thermique par l’extérieur (ITE) pour une enveloppe de bâtiment pérenne et performante.Haute isolationL’ITE est la solution retenue pour assurer une haute isolation à l’immeuble collectif par l’équipe lauréate du dialogue compétitif, conduite par Eiffage Construction Lorraine. Pour abriter les onze logements, les architectes de l’agence Bagard & Luron et le bureau d’études Huguet conçoivent un bâtiment R+2 constitué de deux ailes encadrant les circulations verticales.« Cette partie centrale n’étant pas chauffée, les deux ailes nord et sud sont traitées comme des bâtiments séparés dotés chacun de leur enveloppe », décrit Jérôme Guillaumond, l’architecte de l’agence en charge de l’opération. Les deux parallélépipèdes construits en blocs de béton, simples et compacts, sans décrochements autres que les dalles de balcons, sont enveloppés d’une ITE sous enduit. Les façades sont animées par un jeu de contrastes entre des corps de bâtiments blancs et des pignons gris foncé.Label E+CCette conception simple du bâtiment et de son enveloppe s’avère très efficace, comme le confirme l’étude thermique réalisée par le bureau d’études Huguet. En effet le coefficient Bbio (besoin bioclimatique conventionnel), qui mesure la performance thermique du bâtiment indépendamment des systèmes énergétiques mis en œuvre, est ici très favorable. Il est de 45,3 pour l’aile nord et 38,6 pour l’aile sud, soit respectivement 46,1 % et 54 % de moins que le Bbio maximum fixé par laRT 2012 (84) pour tous les bâtiments neufs.Autre exigence de la réglementation thermique RT 2012, la consommation d’énergie primaire conventionnelle est limitée à 76,1 kWh/m2.an pour l’aile nord et 77,9 kWh/m2.an pour l’aile sud. Or, elle n’atteint respectivement que23,7 kWh/m2.an (soit - 68,9 %) et 27,2 (soit - 65,1 %) pour les deux parties du bâtiment dotées de chaudières à gaz.Pour compléter ces excellents résultats, une quarantaine de mètres carrés de panneaux solaires posés sur le toit de l’immeuble fournissent suffisamment d’électricité pour offrir au bâtiment un bilan énergétique positif : il produit plus d’énergie qu’il en consomme. L’objectif du label E+C- est ainsi atteint avec un niveau E3C1.Des produits de qualité bien mis en œuvreL’application de l’ITE sur les façades de l’immeuble a été confiée à la société Enduiest. Depuis une trentaine d’années, cette entreprise familiale réalise des chantiers de ravalement et d’ITE en Lorraine et en Champagne. Recruté il y a deux ans et demi pour développer l’activité dans les bâtiments neufs, le chargé d’affaires Sébastien Piernot a suivi le chantier du quartier Libération de Lunéville depuis le chiffrage jusqu’à la réception. L’ITE prescrite sur cette opération est le StoTherm Vario 1. « Nous sommes très vigilants quant au choix des produits employés et la gamme Sto offre une solution complète permettant de répondre qualitativement à ce type d’opération. Mais un produit de qualité doit aussi être bien mis en œuvre.Pour cela le site internet de Sto est une aide appréciable, il permet de consulter les différents carnets de détails, les guides d’applications, etc…Toutefois, lorsqu’il y a une interrogation technique nous sollicitons l’avis du conseiller technique Sto, pour cette opération nous avons eu recours à lui deux fois, ce dernier a été très réactif et nous a apporté les solutions. »Système d’ITE hydrauliqueLes panneaux de polystyrène expansé Sto-Panneau PS 15 SE de 200 mm d’épaisseur sont d’abord collés sur les 650 m2 de façade en blocs de béton au moyen de Sto-Mortier Colle B. Puis est appliqué le sous-enduit minceStoLevell Uni armé d’un treillis Sto-Fibre de verre standard. Ce sous-enduit est obtenu en mélangeant une poudre à base de liant hydraulique avec de l’eau. « Le StoTherm Vario 1 est un système d’ITE que nous connaissons bien puisque l’entreprise Enduiest l’utilise sur 80 % de ses chantiers d’isolation thermique par l’extérieur. Habitués au gâchage de produits en poudre, nos compagnons enduiseurs apprécient le sous-enduit hydraulique livré en sacs », précise Sébastien Piernot.Afin de protéger des chocs les parties basses de l’immeuble, l’entreprise aposé sur toute la hauteur du rez-de-chaussée un treillis d’armature complémentaire renforcé en fibre de verre, le Sto-Fibre de Verre Blindaget. Cette armature est marouflée dans l’enduit StoLevell Uni avant une deuxième passe armée du treillis Sto-Fibre de verre standard.Couleurs contrastéesLa finition est enfin assurée par un enduit organique taloché prêt à l’emploi à base de résine acrylique Stolit K 1.5. Blanc sur les trois quarts de la façade, l’enduit est teinté d’un gris soutenu sur trois murs. Afin d’éviter l’absorption de chaleur qui pourrait réduire la durabilité du système en provoquant des fissures ou des déformations, cet enduit foncé est doté de la technologie X-black développée par Sto.Il ne reste plus aujourd’hui qu’à terminer l’aménagement du parc pour favoriser les rencontres entre les habitants et mettre en valeur les nouveaux bâtiments.
Il y a 4 ans et 134 jours

Abbaye d’Ourscamp : 910 k€ pour la rénovation de l’aile de Lorraine

Une enveloppe de 910 k€ est allouée à l’abbaye d’Ourscamp dans le cadre du plan de relance de l’État. Les travaux devraient débuter dès la fin de l’année.
Il y a 4 ans et 136 jours

Trois nominations chez Sateco

De gauche à droite : Frédéric Quillévéré, directeur technique, Patrick Micheneau, nouveau directeur du développement international, et Guillaume Duvillers, chargé d’affaires pour le Sud Ouest chez Sateco. [©Sateco] Afin d’accompagner au mieux les nouvelles ambitions commerciales et techniques de Sateco, la direction s’entoure de nouvelles compétences. Ainsi, Patrick Micheneau, déjà directeur général adjoint, prend en charge le développement international. Quant à Frédéric Quillévéré, il intègre Sateco en tant que directeur industriel. Enfin, Guillaume Duvillers est le nouveau chargé d’affaires pour la région Paca. Patrick Micheneau, mission à l’international aussi A 47 ans, Patrick Micheneau est l’actuel directeur général adjoint de Sateco. Il vient d’être nommé au développement international. Il est désormais missionné pour assurer le management des grands projets export. De plus, il assurera aussi le déploiement de la filiale HK Services, en Suisse. Et sera l’interlocuteur privilégié des majors du BTP à l’International. « Après avoir suivi des études d’ingénieur en génie des systèmes industriels, il débute sa carrière en 1999 chez Avo Industrie (groupe Carbone Lorraine) comme chef de projet. Puis, devient responsable des achats. En 2002, il intègre le groupe Heuliez comme responsable méthodes montage. Ensuite, il dirige le pôle “Unité de production montage”, puis celui “d’Ingénierie”. Poste qu’il occupe jusqu’à son départ en 2007. Et Patrick Micheneau, de conclure : « Au sein des services techniques de Sateco, j’ai occupé le poste de directeur technique depuis 2009, puis le poste de directeur général adjoint à fin 2018. Développement des nouveaux produits et mise en place de nouveaux outils de production, ce sont mes compétences tant au sein de Sateco que durant mon passé professionnel. A 47 ans, fort de mes expériences précédentes, créer et déployer un pôle international est un vrai challenge. Challenge motivant et plein de sens pour la promotion du savoir-faire Sateco au-delà de nos frontières ». Un nouveau directeur technique Nouvel entrant chez Sateco, Frédéric Quillévéré (53 ans) devient le nouveau directeur industriel. Il a pour mission d’optimiser le bureau d’études, le développement des produits, les devis techniques et la recherche & développement. Ceci, avec la supervision de la direction de production pour les deux usines du groupe (Mirebeau – 86 et Maillé – 86). Ainsi, il privilégiera l’innovation, en fiabilisant les flux opérationnels pour plus de qualité. «  Exigence, travail en équipe et bonne humeur sont les éléments essentiels pour participer à la poursuite du développement de Sateco », insiste Frédéric Quillévéré. Diplômé des Arts et Métiers, c’est chez PSA qu’il débute sa carrière. De 1989 à 2000, il y occupe un poste de responsable de production. Puis, de responsable méthodes, avant d’intégrer la société Heuliez. Ceci, en tant que directeur industriel jusqu’en 2006. Il a ensuite dirigé une société de chaudronnerie dans le domaine agro-alimentaire. Un nouvel ambassadeur de l’expertise Sateco en région Guillaume Duvillers, 45 ans, est le nouveau chargé d’affaires pour le secteur méditerranéen. Ainsi, il supervisera les départements 04/05/07/13/26/30/83/84. « Je vais assurer le suivi de la distribution des produits Sateco. A savoir les banches et les accessoires, le matériel de sécurité… dans l’ensemble de la région Paca »,indique Guillaume Duvillers. Diplômé du bâtiment (BTS), il a débuté sa carrière, en 1996, chez Eiffage comme chef de chantier. Puis, le même poste chez Nord France (groupe Fayat). En 2014, il  intègre Nord Coffrage comme chargé d’affaires.
Il y a 4 ans et 200 jours

Ouverture d'une enquête préliminaire sur le projet de tour "Emblème" à Nancy

"A la suite de signalements de la délégation lorraine d'Anticor, une enquête préliminaire est ouverte afin de vérifier la régularité des aspects financiers de cette complexe opération immobilière", a déclaré à l'AFP François Perain, confirmant une information du quotidien L'Est Républicain.L''enquête a été confiée au SRPJ de Nancy.Ce projet de tour, qui mêle des logements et des bureaux à proximité immédiate de la gare de Nancy, est porté par le groupe Nouvel Habitat.La section d'Anticor en Meurthe-et-Moselle a effectué des signalements auprès des autorités locales sur ce projet, et notamment sur l'achat par la région Grand Est de 1.359 mètres carrés, quand le permis de construire initial n'en prévoit que 652. "Le permis de construire ne correspond pas à l'achat effectué par la région", a déclaré à l'AFP Claude Marcel, administrateur de la section locale d'Anticor.Un permis de construire modificatif avait été déposé par le promoteur et signé par la mairie de Nancy le lendemain de la défaite électorale de l'ancien maire (MR) Laurent Hénart, avant son remplacement par le socialiste Mathieu Klein, selon L'Est Républicain. Mais ce permis de construire modificatif fait l'objet d'un contentieux entre la nouvelle équipe municipale et le porteur du projet.L'administrateur d'Anticor affirme également que la région a déjà versé "2,2 millions d'euros pour ces bureaux qui n'existent que sur papier, et les paie plus de 40% au-dessus du prix du marché, alors même qu'il existe plein de locaux vides dans la région de Nancy".De son côté, la région Grand Est explique que cette acquisition doit permettre "l'installation pérenne" de la "maison de la Région" à Nancy, "afin de répondre aux attentes des partenaires avec plus de proximité".Selon elle, ce projet permettra de "réduire ses dépenses locatives de fonctionnement d'environ 4 millions d'euros sur 20 ans". Elle souligne que les agents de la région travaillant à Nancy sont actuellement répartis dans "trois espaces distincts de bureaux".Elle estime par ailleurs que le prix d'acquisition, à 2.700 euros le mètres carré, est "conforme aux prix du marché", et précise qu'il a été diminué de 5,44% au cours de négociations avec le promoteur.
Il y a 4 ans et 216 jours

Création de Canopée, laboratoire de recherche de “l’extrême”

Le 23 octobre 2020, le CNRS, l’université de Lorraine et Saint-Gobain ont créé, Canopée, un laboratoire de recherche. [©Saint-Gobain] Le 23 octobre 2020, le CNRS, l’université de Lorraine et Saint-Gobain ont créé un laboratoire de recherche. Ce dernier se nomme Canopée et est dédié à l’étude de matériaux et “systèmes” en conditions extrêmes de température. Objectif : diminuer l’empreinte carbone des procédés de fabrication à haute température. Pour relever ce défi, ce laboratoire “hors les murs” associera des experts en sciences des matériaux et en thermique. Créé pour 5 ans, Canopée a pour ambition de construire une meilleure compréhension des transferts thermiques. Ceci, depuis l’échelle du matériau jusqu’à celle de l’installation industrielle. Il développera des méthodes précises de mesure, en conditions extrêmes, des propriétés des matériaux et des grandeurs physiques caractérisant les procédés. Antoine Petit, président-directeur général du CNRS, souligne que « nos liens déjà forts et fructueux avec Saint-Gobain, de par l’existence de trois structures communes de recherche1, se renforcent avec ce nouveau rapprochement ». De son côté, Benoît Bazin, directeur général délégué de Saint-Gobain, affirme que « nous sommes très heureux de cette nouvelle collaboration avec le CNRS et l’université de Lorraine pour travailler à élaborer des matériaux plus performants. Tout en réduisant l’empreinte carbone de nos procédés industriels. C’est un enjeu essentiel qui s’inscrit dans l’engagement du groupe d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 ». 1 Trois UMR (unité mixte de recherche) :– 2 en France : à Aubervilliers,  créée en 1990 et à Cavaillon, créée en 2008 – et 1 au Japon, créée en 2014.
Il y a 4 ans et 223 jours

Qu'est-ce que le laboratoire Canopée auquel participe Saint-Gobain ?

RECHERCHE. Saint-Gobain associé au CNRS et à l'université de Lorraine lancent un laboratoire "hors les murs", baptisé Canopée. A quoi servira-t-il ? Réponse.
Il y a 4 ans et 235 jours

Le colloque annuel du CIBE se tiendra à distance

Les contraintes sanitaires actuelles, ont obligé le CIBE (Comité Interprofessionnel du Bois-Energie) à organiser son colloque annuel en visioconférence. Dans un contexte énergétique en transition, le bois-énergie collectif et industriel, au cœur de cette transition, donne rendez-vous, avec le soutien de l’ADEME et de la Région Hauts de France, le jeudi 5 novembre 2020 à distance. Le programme, ainsi que le nouveau bulletin d’inscription sont disponibles en ligne : https://cibe.fr/2020/06/12/colloque-2020-lille/ Interventions prévues de : ADEME, AILE, AMORCE, ATEE, CEDEN, Chaleur Bois Qualité + (CBQ+), Débat/Best énergies, Dalkia, Engie Énergie Services, FNCCR, France Chimie, IDDRI, INDDIGO, Kyotherm, LERMAB Université de Lorraine et la Région Hauts-de-France.  
Il y a 4 ans et 238 jours

Mano Mano se rapproche un peu plus des pros du Bâtiment avec son appli

E-COMMERCE. La marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano, s'est lancé à l'assaut des professionnels du bâtiment en 2019. Elle accélère aujourd'hui son développement avec la création d'une application dédiée, symbole de ses ambitions sur ce marché. Lorraine Valsasina, directrice de l'activité BtoB, nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 259 jours

Gazel envisage 230 suppressions de postes en France suite à la fermeture de ses centrales à charbon

"Il est envisagé de mettre un terme à l'activité de l'unité charbon de Gardanne-Meyreuil au terme de la phase d'information-consultation et de contrôle par l'autorité administrative", indique l'entreprise dans un communiqué.Cette unité de production électrique au charbon située à Gardanne (Bouches-du-Rhône), marquée par un long conflit social, n'a pas produit d'électricité depuis plus d'un an et demi."Sa remise en service nécessiterait de lourds investissements, que la décision d'une fermeture, au plus tard en 2022, ne rendent plus viables", souligne la direction.La France veut en effet fermer ses quatre dernières centrales à charbon d'ici à 2022, une promesse du président de la République Emmanuel Macron qui a été inscrite dans la récente loi énergie et climat. Cette façon de produire de l'électricité est en effet très polluante.En revanche, l'unité biomasse présente sur le même site de Gardanne serait "pérennisée" avec un "potentiel" de 45 à 70 emplois à terme.Gazel Energie, filiale du groupe tchèque EPH, possède également l'unité charbon Emile-Huchet, située à Saint-Avold (Moselle) en Lorraine."Son activité serait maintenue jusqu'en 2022, afin de répondre aux demandes du marché et du système électrique", indique la direction.Cette dernière évoque sur le site un "potentiel" de 80 emplois liés à des projets autour de la production de chaleur et vapeur renouvelables, de la production d'hydrogène vert et de e-méthanol, complétés par le développement de parcs photovoltaïques.Les services supports au siège de Colombes (Hauts-de-Seine) seraient également "adaptés" en conséquence des arrêts d'activité dans le charbon."Au total, le projet pourrait conduire à la suppression de 230 postes", indique Gazel, qui promet de "s'assurer que chaque salarié concerné trouve une solution professionnelle".L'entreprise "engagera prochainement une négociation avec les partenaires sociaux, pour définir les modalités d'un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) assorti d'une période ouverte au volontariat".
Il y a 5 ans et 86 jours

Tout Eqiom Bétons certifié Charte RSE

Le comité d’évaluation a validé le niveau « Exemplarité » pour l’agence Lorraine et celle de Franche-Comté.[©Eqiom] Eqiom Bétons se voit décerner 3 nouvelles certifications pour ses agences situées en Franche-Comté, en Lorraine et en région Ouest. La totalité de ses sites est désormais certifiée Charte RSE. Le Comité d’évaluation a validé le niveau « maturité » pour l’agence Ouest. [©Eqiom] En adhérant, dès 2017, à la Charte RSE de l’Unicem, Eqiom Bétons confirmait sa volonté de favoriser son action éthique et transparente pour contribuer au développement durable de la société. Ainsi, le Comité d’évaluation a validé le niveau “Exemplarité”, en décernant les notes de 81 sur 100 pour l’agence Lorraine. Et de 84 sur 100 pour l’agence Franche-Comté. De plus, il a validé le niveau “Maturité”, en décernant la note de 77 sur 100 pour l’agence Ouest. L’objectif pour Eqiom Bétons est de parvenir à atteindre le niveau “Exemplarité” dans plus de 80 % de ses agences avant 2025. Et de les y maintenir en suivant l’évolution des exigences.
Il y a 5 ans et 188 jours

Le hêtre veut s'enraciner

Lorraine -
Il y a 5 ans et 208 jours

Le bardage Bluetek composite illumine les façades des tours de l'usine Smart a Hambach (57)

L'usine smart à Hambach (Lorraine) est l'un des centres de production automobile les plus modernes, symbole de réussite de la coopération franco-allemande. Plus de 1,5 million de smart fortwo ont été produites à Hambach.