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Résultats de recherche pour maisons-individuelles

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Il y a 20 jours

Sanifos 390 : de nouvelles solutions en stations de relevage des eaux pour maisons individuelles et logements collectifs

Revendiquant l’offre la plus large du marché, SFA innove encore en étoffant son éventail de solutions par le lancement des nouveaux modèles Sanifos 390, dévolus au relevage des eaux usées et des eaux pluviales en maisons individuelles et logements collectifs. Rappelons que les stations de relevage à enterrer SFA constituent […] L’article Sanifos 390 : de nouvelles solutions en stations de relevage des eaux pour maisons individuelles et logements collectifs est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 2 ans et 54 jours

Le constructeur de maisons individuelles Hexaom dans le rouge pour 2022 mais confiant

Dans un contexte particulièrement défavorable à l’immobilier neuf, le groupe Hexaom, numéro un en France de la construction de maisons individuelles, souffre d’une perte nette de 37,9 millions d'euros pour 2022.
Il y a 2 ans et 200 jours

Planète Bâtiment n°68 est disponible

Chers lecteurs, Le numéro 68 du magazine Planète Bâtiment est disponible. Voici le sommaire : P.06 : Actualités P.11 : Loi REP bâtiment : mise en place des outils P.16 : Décodage : Deux maisons individuelles certifiées Cradle to Cradle P.20 : Construtech club Startup innovation : Bâtiment bas carbone, les start-up se mobilisent P.23 : Dossier : RE 2020 : un (grand) pas vers la construction bas carbone P.33 : Cahier des solutions avec Batimédia P.40 : Pont thermiques : les rupteurs boostés par la réglementation P.44 : Protections solaires : le juste équilibre P.48 : Agence Qualité Construction (AQC) : Ventilation double flux en rénovation P.50 : Qualité de l’air et efficacité énergétique, l’inséparable duo P.52 : Maîtriser le COP pour réduire les consommations d’énergie P.55 : Biodiversité en ville, concevoir un ensemble cohérent P.58 : Abonnement Ces articles sont extraits de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Planète Bâtiment n°68 est disponible est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 200 jours

Deux maisons individuelles certifiées « Cradle to Cradle »

Ariane Constructions achève, à Bordeaux, ses deux premières maisons individuelles référencées « Cradle to Cradle ». Pour être certifié, le projet a dû utiliser des matériaux recyclables, sains et sobres en carbone. Reportage. Rien ne distingue d’un chantier traditionnel ces deux maisons en construction au numéro 141 de la rue Jude, à Bordeaux (33) : un sol boueux, des blocs béton qui attendent leur enduit de finition, des ouvriers qui s’affairent, des matériaux de construction entreposés çà et là… Et pourtant, ce chantier est unique en son genre. Fin 2022, s’élèveront ici les deux premières maisons certifiées Cradle to Cradle (C2C) en France. Sur ce marché de la maison individuelle d’ordinaire si peu concerné par la cause environnementale, le constructeur Ariane Constructions (groupe Cina – Compa­gnie immobilière Nouvelle-­Aquitaine) se distingue : « L’idée était d’envoyer un signal qui soit déterminant pour ce marché. Lequel est parfois chahuté par les pouvoirs et politiques publics qui ne l’encouragent guère… Alors que s’exprime un réel désir de maison individuelle », note Philippe Petiot, président du directoire du groupe Cina. Le signal, c’est le C2C, présenté comme un bon compromis entre les attentes des Français et les exigences environnementales de la réglementation.   Passeports circulaires   La démarche « Cradle to Cradle », littéralement « du berceau au berceau », tire sa genèse de l’organisation du même nom. Cette dernière évalue les matériaux en fonction de leurs performances et selon des exigences scientifiques, dans cinq catégories de durabilité : réutilisation des matériaux, utilisation de matériaux sains, recours à des énergies renouvelables et à une gestion du carbone, gestion de l’eau, responsabilité sociétale. Après évaluation, une certification Cradle to Cradle Certified est délivrée en conséquence. « Le principal défi de cette démarche a été d’embarquer avec nous tout un panel d’industriels et les amener à faire certifier leurs produits, par exemple sur la non-toxicité des matériaux, leur réutilisation en fin de cycle de vie, leur bilan carbone, la consommation d’énergie (à la production et à l’usage, NDLR), etc. », détaille Pierre Philippe, directeur achats du groupe Cina. Dans cette optique, Ariane Constructions s’est associée au bureau d’études Upcyclea, spécialisé dans l’économie circulaire et dans la certification C2C. Sur la base d’audits, les produits des industriels sont ainsi évalués, de même leurs fournisseurs ou encore la traçabilité des matériaux. Upcyclea délivre ensuite un passeport établi selon les critères de la norme Cradle to Cradle. Passeport qui facilite le calcul de l’empreinte carbone des matériaux, leur degré de circularité et de non-toxicité. À noter, la certification C2C doit être renouvelée chaque année. Précision importante : « Tous les industriels (travaillant sur le chantier, NDLR) ne sont pas certifiés Cradle to Cradle. Mais tous ont dû remplir le passeport circulaire et communiquer sur leurs produits. Ensuite, nous avons sélectionné ceux qui étaient les mieux valorisés afin de ne pas pénaliser le projet, détaille Candie Serre, directrice d’Ariane Constructions. Un noyau dur de partenaires est certifié et nous disposons de toute une gamme d’entreprises, qui s’inscrit dans la démarche. » Concrètement, seuls cinq industriels sont certifiés Cradle to Cradle sur ce chantier : Actis pour les isolants minces Hybris, Tarkett pour les sols souples, Siniat pour les plaques de plâtre, Grohe pour l’équipement sanitaire et Schneider pour l’installation électrique. Selon Ariane, sur les soixante-quinze produits de construction utilisés pour réaliser ces deux logements, dix-sept d’entre eux sont considérés comme répondant aux exigences C2C sans pour autant être certifiés, et représentent à eux seuls 71 % de la masse de la maison. Lucien Brenet   Mathieu Lassalle, chargé d’affaires prescription Actis « Et la certification n’est pas non plus acquise pour toujours. » « Lorsque nous avons été sollicités par Ariane pour ce projet, nous n’étions pas certifiés Cradle to Cradle (C2C). Mais nous nous inscrivions déjà dans une démarche responsable, de la production de nos produits jusqu’à la pose, et nous étions engagés dans le processus de fabrication de l’Hybris. La certification était pour Actis une conséquence logique. Nous avons donc suivi de longues démarches, afin d’obtenir le passeport Upcyclea. Notamment plusieurs audits internes de nos fournisseurs pour s’assurer de la traçabilité de nos matériaux – Actis a lui-même été audité, NDLR. Et la certification n’est pas non plus acquise pour toujours. Nous devons donc rechercher une amélioration perpétuelle de nos process car, l’année prochaine, nous serons une nouvelle fois audités pour déterminer si nous pouvons conserver la certification C2C. » 1/ Recyclage et réduction de l’empreinte carbone Les deux logements C2C renferment plusieurs produits recyclables, conçus en partie à base de matériaux eux-mêmes recyclés. Ainsi, les isolants Hybris d’Actis, utilisés pour les murs et les rampants, renferment 15 à 20 % de polyéthylène recyclé. « À l’intérieur de l’usine, nous récupérons toutes les chutes de produits de fabrication et les réinjectons dans le processus pour les transformer en billes de polyéthylène qui deviendront plus tard des isolants », détaille Mathieu Lassalle, chargé d’affaires prescription chez Actis. Le produit, lui, est composé à partir de polyéthylène basse densité (PEBD), bien sûr recyclé. Bien que constitué de matière plastique, Hybris est donc recyclable à 100 % et à l’infini, assure l’industriel. Également issus du recyclage, le plâtre, à hauteur de 30 %, utilisé dans la fabrication des plaques Siniat, les plastiques (20 %) composant les entrevous (KP1). Ou encore les granulats (40 %) entrant dans la composition du béton des parpaings Airium (Lafarge Holcim). Chaque parpaing est ici rempli de mousse isolante recyclable, composée de 5 % de ciment et 95 % d’air. Dans sa recherche de matériaux plus vertueux, Ariane Constructions assure discuter avec Lafarge-Holcim sur la possible fourniture de bétons décarbonés à 70 %. À suivre. N’oublions pas les revêtements de façade Parexlanco, également recyclables et réinjectables. Les déchets de chantier sont récupérés, triés, puis réintroduits dans les circuits de production des industriels.Photo : Ariane Constructions    Le taux de CO2 du béton utilisé pour les fondations a été réduit de 20 %.Photo : Ariane Constructions 2/ Non-toxicité des matériaux Autre pilier de la démarche, l’innocuité des matériaux de construction. À base de produits naturels, la formule des peintures Unikalo qui sera appliquée en finition n’entraîne aucun rejet nocif ou toxique. Elle est labellisée NF environnement et attestée Zone Verte Excell. Autre exemple avec l’isolant Hybris (Actis), qui ne dégage ni COV ni particule nocive (formaldéhyde, phénol…) ou irritante. Et ce, pendant toute sa durée de vie. Le produit est d’ailleurs classé A+ pour la qualité de l’air intérieur (QAI), selon la norme NF EN ISO 16000. Tout aussi indispensable pour une bonne QAI, le système de ventilation simple flux Health Box 3.0 (Renson) est équipé d’un extracteur de CO2 dans les pièces de vie et d’un extracteur d’humidité dans les pièces techniques. Lesquels s’enclenchent lorsque les capteurs disséminés dans le logement détectent le moindre dépassement de seuils.  L’ensemble des produits et systèmes utilisés sont classé A+ ou A pour la qualité de l’air intérieur.Photo : Ariane Constructions  Les blocs béton intègrent la mousse minérale isolante Airium de Lafarge Holcim. Les parpaings sont mis en œuvre à joints minces. Atouts : facilité de pose, absence de ponts thermiques par les joints, réduction de matière et diminution de la consommation d’eau.Photo : Ariane Constructions  Le film réflecteur de l’isolant renvoie jusqu’à 95 % des rayonnements solaires vers l’extérieur en été, et permet au contraire de conserver, en hiver, la chaleur à l’intérieur.Photo : Ariane Constructions 3/ Réduire les consommations d’énergie Les logements ne sont pas autosuffisants. Mais selon les concepteurs, ils se situent entre la maison passive et un projet RE2020. Dans le cas présent, Ariane assure gagner de 5 à 6 °C en confort d’été par rapport à un chantier traditionnel. Et ce, grâce aux produits comme l’isolant Hybris (Actis) – « À lui seul, il fait gagner jusqu’à 2 °C de confort d’été », souligne le fabricant –, les plafonds rafraîchissants Plafino d’Innovert (Atlantic), les blocs béton Airium de Lafarge Holcim, la box domotique Somfy qui, équipée d’une horloge crépusculaire, gère automatiquement les ouvrants. Tous ces éléments permettent de réduire la climatisation en été et en chauffage l’hiver. La pompe à chaleur Alféa Extensa A.I R32 d’Atlantic est, quant à elle, dotée d’un régulateur de température Inverter. Ce dernier optimise la consommation de la PAC en adaptant son régime aux besoins. Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Deux maisons individuelles certifiées « Cradle to Cradle » est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 275 jours

RÉNOSTANDARD : des solutions intégrées et innovantes pour la rénovation des maisons individuelles

Issu du programme PROFEEL, RénoStandard a permis de développer et tester sur le terrain des méthodes et outils innovants destinés à accompagner et optimiser le développement de la rénovation globale pour des gammes de maisons individuelles « standardisées ». Accompagné par des experts du CSTB sur une dizaine de domaines techniques – procédés spéciaux d'isolation, structure, humidité, étanchéité, sécurité incendie, confort, carbone, etc. –, ce travail collectif a permis de faire émerger de nombreuses innovations, de l'échelle du composant à celle du bâtiment et de son usage. Le dispositif RénoStandard se poursuivra jusqu'en 2025 dans le cadre de PROFEEL 2, via le projet RESTORE. Lire la suite En savoir plus : Les 11 projets de référence RÉNOSTANDARD Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 354 jours

L’activité du bâtiment tient encore

Olivier Salleron, Président de la Fédération Française du Bâtiment, vient de tenir une conférence de presse durant laquelle, il a présenté les chiffres de la construction et de la rénovation, ainsi que la prévision d’une forte hausse des prix pour compenser celle des matériaux. Les mises en chantier de logements neufs se stabilisent sur quatre mois à fin avril 2022, la hausse de l’individuel (+8,3 %) compensant la chute du collectif (-6,1 %). Quant aux autorisations, sur la même période, elles s’envolent de 21,8 %, sous l’effet du traitement des dépôts massifs de permis en décembre 2021, par anticipation de la RE2020. Ce choc positif est arrivé à son terme dans l’individuel (chute de 8,1 % en avril 2022 par rapport à avril 2021), alors qu’il se poursuit encore dans le collectif (+32,0 %) en raison de délais d’instruction plus longs. Dans le non résidentiel neuf, les surfaces commencées se redressent nettement de 26,0 % sur quatre mois à fin avril 2022, grâce aux bâtiments industriels et assimilés (+67,8 %), ainsi qu’aux bâtiments administratifs (+25,1 %) et commerces (+19,0 %). Les surfaces autorisées progressent, quant à elles de 12,4 % sur la même période, portées par les commerces (+52,1 %), mais également par les bureaux (+17,3 %) et les bâtiments industriels et assimilés (+11,8 %). Elles se maintiennent pour autant encore bien en-deçà de leur niveau d’avant-crise (-11,8 %). Pour l’activité en amélioration-entretien, les résultats provisoires de l’enquête des Cerc sur le premier trimestre 2022 montrent une légère accélération, à +1,4 % par rapport au premier trimestre 2021. Toutefois, la rénovation énergétique semble marquer le pas, à +1,1 %, en revanche, ce segment ressort bien au-dessus de son niveau d’avant-crise (T1 2019), à +2,2 %. La croissance de l’emploi ralentit, avec 25 600 postes supplémentaires entre les premiers trimestres 2021 et 2022, dont 23 300 salariés. À l’horizon de l’été 2022, on relève quelques inquiétudes côté entreprises. Les perspectives d’activité se tassent en neuf comme en rénovation, malgré des carnets de commandes toujours bien garnis. Les chefs d’entreprise de plus de dix salariés interrogés par l’Insee en mai 2022 prévoient très majoritairement, et beaucoup plus que par le passé, une poursuite de la hausse de prix bâtiment. Ces hausses s’avèrent indispensables pour compenser les nouvelles augmentations, parfois vertigineuses, de coûts des matériaux, suite au déclenchement du conflit entre l’Ukraine et la Russie, comme le montrent les évolutions, entre décembre 2021 et avril 2022, des prix de production des aciers pour le bâtiment (+27,5 %), des demi-produits en aluminium (+23,9 %), des produits PVC (+13,9 %), ainsi que des demi-produits en cuivre ou alliage (+10,7 %). Il faut encore ajouter à cette liste les tuiles (+20,0 %), les produits céramiques (+13,1 %), plastiques (+9,6 %) et verriers (+8,3 %). Graphique : Ventes de maisons individuelles en secteur diffus – Source : CGI Bâtiment/Caron Marketing, Markemétron  
Il y a 3 ans et 79 jours

Suite à une enquête de la DGCCRF, le Pôle Habitat FFB demande plus de sanctions et de contrôles envers les "faux constructeurs"

55% des 285 établissements contrôlés ont fait l’objet de mesures pédagogiques, correctives ou répressives selon une enquête menée par la DGCCRF. Ce score, en très faible baisse depuis la précédente enquête de la DGCCRF, révèle une quantité non-négligeable d'entreprises et de maîtres d'ouvrages qui continuent les mauvaises pratiques malgré les sanctions et avertissements.Le Pôle Habitat FFB félicite les pouvoirs publics pour les actions déjà prises et qui permettent justement de mettre en avant les « faux constructeurs » mais demande aussi plus de contrôles et de sanctions. Cette demande est pour le Pôle Habitat FFB un moyen de séparer le grain de l'ivraie, les « vrais constructeurs » des « faux constructeurs », ces imposteurs mêmes qui mettent les ménages acquéreurs en danger en ne respectant pas les règles du CCMI, contrat pourtant créer pour être le plus protecteur pour le consommateur.Les fraudeurs, en s'affranchissant arbitrairement des règles du CCMI, empêchent par exemple les acquéreurs de distinguer avec précision les différents acteurs du marché en fonction des garanties qu'ils proposent.Le CCMI, un contrat strictement encadré par la loi pour protéger le consommateurChaque année le CCMI permet à des milliers de français de sécuriser leur projet immobilier via une garantie financière de livraison, d'une couverture d'assurances complètes contre les malfaçons (avec l'assurance « dommages-ouvrage »), d'un prix global convenu d'avance, d'un échéancier d'appels de fonds suivant l'avancement du projet et d'un délai d'exécution des travaux assorti de pénalités de retard pour les constructeurs.Pour Grégory Monod, président du Pôle Habitat FFB : « la concurrence déloyale que représentent les pseudo-constructeurs, qui mettent les acquéreurs en danger et nuisent à la réputation de toute une profession qui a fait le choix, il y a plus de 30 ans, d’exercer dans un cadre juridique exigeant, sécurisant et protecteur des consommateurs. Dans l’intérêt des clients, le Pôle Habitat FFB met à disposition de ses adhérents des formations, des guides, et surtout des contrats de construction de maison individuelle, y compris dématérialisés, strictement conformes à la législation et mis à jour selon les évolutions réglementaires. »
Il y a 3 ans et 140 jours

Deux maisons individuelles Novabita construites avec le béton Vitaliss® et le bloc à bancher Vertical Bloc®

Cette réalisation Novabita, du Groupe Foncière des parcs, illustre l’engagement environnemental du promoteur immobilier qui conçoit et met en œuvre des solutions écoresponsables. Il favorise des matériaux de construction alliant performances et faible impact environnemental. En témoigne l’utilisation d’un béton de la nouvelle gamme bas carbone Vitaliss® d’Edycem. Avec son VitaScore A, ce béton offre une réduction de plus de 40% de CO2 comparé à un béton standard.Pour Philippe Fouquet, Directeur du département logement et travaux construction chez Foncière des parcs : « J’ai toujours été très sensible et attentif au développement de produits novateurs. Nous avons à cœur chez Novabita d’être moteur d’une démarche durable active. Cela est fondamental pour la planète, les futures générations mais également pour la pérennité de nos métiers et du mode constructif. Nous avons naturellement fait le choix du nouveau béton bas carbone Vitaliss® d’Edycem BPE pour ces deux maisons. Une innovation qui va dans le sens de notre volonté de réduire l’impact carbone de nos ouvrages. »Ce projet illustre également l’attachement d’Edycem, de Novabita et de Gaudin Maçonnerie pour l’ancrage territorial et le savoir-faire local.Coulage du Vitalis ® : « rien ne change pour l'artisan ! »Edycem a la volonté d’accompagner ses clients pour répondre à leurs enjeux environnementaux. Dans cette démarche, Edycem a développé la gamme Vitaliss®. Cet éventail de bétons bas carbone permet de réduire les émissions de C02 de 20 à plus de 50 % par rapport à une formulation traditionnelle, tout en présentant des propriétés de résistance et de pérennité équivalentes.Le chantier de ces deux maisons Novabita est mené par l’entreprise Gaudin Maçonnerie, installée dans la région depuis 1952. Au total, ce sont 34 m3 de béton bas carbone Vitaliss® Score A (- 41% de CO2) qui ont été coulés en dallage ainsi que dans les Vertical Bloc®.Pour Corentin Chaillou, co-gérant Gaudin Maçonnerie : « Gaudin Maçonnerie collabore depuis toujours avec Edycem que je connais moi-même depuis plus de 10 ans. J’ai donc vu passer plusieurs générations de bétons et je peux dire que le Vitaliss® est non seulement un produit d’avenir, notamment pour la RE2020, mais également une solution qui ne modifie pas le process de mise en œuvre pour l’entreprise. C’est un produit qui reste simple à travailler sur chantier. Nous l’avons approuvé sur les maisons de Challans, aucune différence avec un béton classique ! »100 % confort avec le Vertical Bloc®L’autre produit phare de ce chantier est le bloc à bancher Vertical Bloc® d’Edycem PPL.Pour Philippe Fouquet, Directeur du département logement et travaux construction chez Foncière des parcs : « Il s’agit d’une solution 100 % étanche, aux multiples avantages pour les maîtres d’œuvre et d’ouvrage. Nos clients gagnent en surface habitable grâce à leur faible épaisseur de 15 cm de voile, en confort thermique et en solidité. Côté chantier, l’organisation est optimisée, la mise en œuvre plus confortable et aisée : légèreté, montage à sec, fini la bétonnière bruyante, le stockage de sable et de gravier. Ce type de solutions est tout aussi important pour attirer les jeunes dans nos métiers. »Pour Corentin Chaillou, co-gérant Gaudin Maçonnerie : « Cela fait 6 ans que je pose du Vertical Bloc®. Le montage à sec permet une mise en œuvre ergonomique, un gain de temps, et réduit les gestes techniques. Les conditions de travail sont optimisées grâce à sa légèreté et à la suppression des coupes. »
Il y a 3 ans et 165 jours

Gestionnaire d’eau de pluie pour maisons individuelles Pack’eau Box

FonctionLe gestionnaire permet l’optimisation de l’utilisation de l’eau de pluie stockée grâce à la commutation entre les 2 réseaux d’eau (eau potable et eau de pluie).ApplicationPour alimenter la chasse d’eau des toilettesCompositionRéservoir de 20 litres en polyéthylènePompe auto-amorçanteBoîtier automate intégréÉlectrovanne 3 voiesPrincipe de fonctionnementLe gestionnaire est alimenté depuis la cuve de récupération d’eau de pluie et par le réseau d’eau potable (1). L’électrovanne assure le basculement d’une source d’alimentation à l’autre.En cas de manque d’eau dans la cuve de stockage, l’électrovanne 3 voies, commandée par le flotteur, bascule sur l’alimentation en eau potable (2).Nota : En cas d’utilisation pour l’arrosage, se référer à la notice technique
Il y a 3 ans et 171 jours

Tristes campagnes ? Touches de lumières dans un sombre tableau

La culture populaire voit dans la maison individuelle une occasion de se rapprocher de la nature. Pourquoi ne pas lui donner raison ? Chronique de l’intensité dans les campagnes. Le paradoxe est que l’agriculture dite intensive ne l’est pas. Elle produit beaucoup, mais le bilan doit intégrer les intrants et comptabiliser les autres valeurs que […] L’article Tristes campagnes ? Touches de lumières dans un sombre tableau est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 240 jours

RénoStandard, des solutions de rénovation globale optimisées pour les maisons individuelles

Pour faciliter la rénovation globale de maisons individuelles en secteur diffus, le CSTB pilote le projet grâce à des solutions standardisées. « Les maisons individuelles standardisées peuvent être réhabilitées grâce à une offre de solutions globale » : c'est la conviction des porteurs de RénoStandard, l'un des neuf projets développés dans le cadre du programme PROFEEL, qui vise à développer et accompagner l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 246 jours

Les solutions Rector en Maisons Individuelles pour des planchers RE 2020

Spécialiste de la fabrication d’éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, RECTOR s’engage aux côtés de ses clients dans la réduction de l’impact environnemental en proposant, dès à présent, des solutions pensées pour répondre aux exigences de la RE2020. Ces dernières seront présentées sur le stand de RECTOR au salon ARTIBAT qui se tiendra à Rennes du 13 au 15 octobre 2021.Des solutions concrètes pour répondre aux principaux enjeux de la RE2020 en maisons individuellesPartenaire privilégié des Cmistes (Constructeurs de Maisons Individuelles) et leader sur ce marché depuis près de 70 ans, Rector propose la gamme la plus complète de solutions préfabriquées innovantes et optimisées, du soubassement aux toitures terrasse.Grâce à la pertinence de ses systèmes préfabriqués, Rector répond d’ores et déjà aux trois principaux enjeux de la RE2020 :Isolation et traitement des ponts thermiques pour chaque niveau de la maisonAvec sa gamme de planchers Equatio avec entrevous isolants (vide sanitaire, sous-sol, étage, toitures terrasses) associée à ses Box de rupteurs de ponts thermiques et leurs accessoires, Rector est l’un des seuls industriels à être capable de traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100% intégrée.Pour le vide sanitaire, Rector propose des combinaisons (planchers Equatio VS et entrevous isolants Rectosten) pour être au plus juste du PSI conforme à la réglementation RE2020, quelle que soit la zone climatique. Le département Recherche et Développement Rector a ainsi revu l’ensemble des calculs pour ajuster les performances des planchers aux nouvelles exigences de Bbio et proposer une gamme élargie d’entrevous à languette allant de l’up 40 à l’up 11.Les systèmes de planchers bas et à étage Rector avec isolation intégrée sont à privilégier par rapport à ceux avec isolation rapportée. En effet, en plus du gain de temps et de surface, ce type d’isolation permet l’application d’un revêtement directement sur la table de compression ou encore l’intégration d’un plancher chauffant/rafraîchissant directement sans chape.«Parce que nous avons pris en compte toutes les zones climatiques de France lors de nos études, nous sommes en capacité d’apporter des solutions pertinentes et standardisées, et d’accompagner tous nos clients lors de leur mise en œuvre pour des maisons conformes. Grâce à l’ajustement de nos solutions calculées au juste psi, l’atteinte des performances thermiques des planchers selon les seuils envisagés de la RE2020 est beaucoup plus simple», explique Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique.Maîtrise du bilan carboneNécessitant moins de béton pour leur fabrication et moins de transport pour les livrer sur les chantiers, les planchers préfabriqués Rector sont naturellement plus sobres en matière et bénéficient d’un impact environnemental réduit. Ils sont, en plus, dotés d’une durée de vie quasi-illimitée.Pour obtenir un bon bilan carbone, un plancher constitué de poutrelles précontraintes et d’hourdis Rector est une solution optimisée comparée à d’autres solutions telles que le dallage porté ou la dalle sur terre-plein.Enfin, Rector commercialise une gamme d’entrevous légers, en plastique 100% recyclé, en bois, pour le vide sanitaire ou les planchers en étage dont les formulations ont été pensées pour réduire l’impact carbone sur les chantiers. « Nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers : Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier », ajoute Côme Lesage.Au-delà de la composition de ses produits, Rector met au cœur de sa démarche l’économie circulaire, l’optimisation des transports, la gestion des ressources et des déchets en usine comme sur les chantiers de ses clients.Enfin, toutes les solutions de planchers préfabriqués Rector font l’objet de Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour assurer aux constructeurs et bureaux d’étude la qualité et les performances de systèmes.Prise en compte du confort d’étéRector lance une nouvelle gamme de plancher Equatio® chauffant rafraîchissant, issue de son partenariat avec Rehau.Tout en préservant l’inertie thermique du plancher, ce système, intégré dans la dalle, permet aux constructeurs de maisons individuelles d’offrir le confort à leurs clients, été comme hiver, tout en répondant à la RE2020.Avec l’ensemble de toutes ces solutions durables de planchers préfabriqués Rector, les professionnels de la maison individuelle ont l’assurance de faire le choix de la performance à coûts maîtrisés et de la conformité à la nouvelle réglementation.Pour en savoir consultez la page Rector sur Batinfo ou le site internet.
Il y a 3 ans et 340 jours

Le logement neuf sort de l’ornière

La FFB vient de publier sa note de conjoncture pour fin juin 2021 : par rapport au premier quadrimestre 2019 pour éviter l’effet de base lié au confinement du printemps 2020, les mises en chantier et permis s’affichent à +4,2 % et +1,0 %. Toutefois, l’individuel constitue le seul moteur de cette amélioration, respectivement avec +4,7 % et +15,4 % sur deux ans, et même +17,3 % pour les ventes en diffus. En revanche, le collectif peine toujours. Même si les ouvertures de chantier ressortent à +3,9 % sur deux ans, les permis chutent de 10,0 %, les ventes et mises en vente des promoteurs de 3,9 % et 9,4 %. À noter qu’il s’agit exclusivement d’une crise du collectif en zones A et B1 : la densification souhaitée peine clairement à trouver sa concrétisation. Quant au non résidentiel neuf, il continue de souffrir. Par rapport au premier quadrimestre 2019, les surfaces commencées et autorisées s’effondrent respectivement de 16,0 % et 21,6 %. Tous les segments, sans exception, participent de cette chute. L’amélioration-entretien, qui représente 58 % de l’activité 2020 du bâtiment, s’en sort mieux. Hors effet prix, le chiffre d’affaires reste encore 2,0% en-deçà de son niveau du premier trimestre 2019, mais la rénovation énergétique, portée par le logement, le dépasse légèrement, à +1,3 %. Et les perspectives de printemps demeurent bien orientées dans la plupart des régions. Au global, l’activité ressort en ligne avec nos prévisions, aux environs de +11 % sur un an, mais -5 % par rapport au début 2019.   Graphique : Ventes de maisons individuelles en secteur diffus – Source : CGI Bâtiment/Caron Marketing, Markemétron
Il y a 4 ans et 185 jours

L'OPPBTP s'associe au Pôle Habitat FFB pour améliorer la prévention sur les chantiers de construction de maisons individuelles

Conscients que la prévention des risques professionnels constitue un levier de performance globale des entreprises, les partenaires poursuivent désormais au niveau de chaque région le travail initié au plan national, grâce à des conventions destinées à mettre en place des actions concrètes.La prévention des risques, un enjeu multiple pour les constructeurs de maisons individuellesAvec 173.565 mises en chantiers en 2019, la construction de maisons individuelles représente à elle seule 42 % des chantiers de construction de logements neufs.Des progrès incontestables dans la prévention des accidents du travail et l’amélioration des conditions de travail ont été réalisés au cours des dernières décennies sur les chantiers de BTP, entraînant une baisse significative de la sinistralité. Pour autant, l’indice de gravité des accidents du travail sur les chantiers de construction de maisons individuelles reste supérieur à celui du BTP (43,2 pour 1.000, contre 34 pour 1.000). Cela s’explique notamment par la nature de leurs opérations, la typologie des entreprises impliquées, souvent de petite taille, ainsi que la gestion de la coactivité sur ces chantiers dont le maître d’ouvrage est souvent un particulier.Pourtant, l’implication des constructeurs de maisons individuelles dans une démarche de prévention des risques professionnels permet de faire évoluer favorablement les conditions de travail sur les chantiers, de lutter efficacement contre les accidents et les maladies professionnelles et par voie de conséquence, d’accroître la performance globale de ces opérations au bénéfice de chacun des opérateurs impliqués. La mise en place d’une telle démarche permet par ailleurs de renforcer une image positive du savoir-faire des constructeurs de maisons individuelles, que ce soit vis-à-vis de leurs clients, de leurs entreprises sous-traitantes ou de leurs collaborateurs.Un guide pragmatique pour servir de socle national en prévention à toute la professionEn accord avec ces constats, les constructeurs de maisons individuelles adhérents au Pôle Habitat FFB, la Cnam et l’OPPBTP, soutenus par la FFB et la Fédération des SCOP BTP, ont élaboré un Guide de bonnes pratiques en prévention des risques professionnels dédié à la construction de maisons individuelles. Celui-ci apporte un éclairage pratique et des conseils simples pour traiter prioritairement les risques de chutes, les questions d’hygiène, les troubles musculosquelettiques et la coactivité.Elaboré dans le cadre spécifique du maître d’ouvrage particulier qui construit pour son usage personnel en relation avec un constructeur de maisons individuelles, il représente une base commune solide de bonnes pratiques afin d’aider les constructeurs de maisons individuelles et leurs entreprises sous-traitantes à progresser en prévention tout en répondant à leurs obligations en matière de prévention des risques.Ainsi, le guide détaille les différentes phases d’une opération de construction de maison individuelle, revient sur la mission de la coordination SPS et les documents supports qui lui sont utiles et donne des exemples de solutions opérationnelles et faciles à mettre en œuvre sur les chantiers.Poursuivre le déploiement des actions au plus près des territoires grâce à des conventions de partenariat régionalesAlors que le Guide vient tout juste d’être édité, la mobilisation des partenaires se poursuit grâce à un plan d’action en régions. En effet, le Pôle Habitat FFB, l’OPPBTP, la FFB, la Fédération des SCOP BTP et la Cnam encouragent désormais leurs réseaux respectifs à se rapprocher pour s’approprier et déployer les bonnes pratiques de façon concrète sur les chantiers.Pour cela, les partenaires vont dans les prochaines semaines mettre en place des conventions opérationnelles signées, animées et pilotées par leurs représentations locales et les engageant à définir un plan d’action adapté aux ambitions, aux ressources et au niveau de maturité de chacun sur la question de la prévention.Chaque plan d’action s’articulera autour de trois objectifs communs :Mettre en œuvre les bonnes pratiques en favorisant l’engagement des constructeurs de maisons individuelles et de leurs sous-traitants. Cela passe en premier lieu par une large diffusion du guide, tant auprès des 1.040 adhérents de Pôle Habitat FFB qu’auprès du plus grand nombre de constructeurs de maisons individuelles, d’entreprises et de salariés du BTP intervenants sur ces opérations, ainsi que par la mise en place d’actions locales permettant de présenter les thèmes de prévention abordés dans ce guideDévelopper la culture prévention de l’ensemble des acteurs d’une opération deconstruction de maisons individuelles. Les partenaires pourront mettre en place diverses actions de formation, d’information et de conseil pour améliorer les pratiques relatives à l’évaluation des risques et développer une approche positive de la prévention au sein des opérations de constructionMesurer les apports en prévention des actions réalisées, auprès de chaque cible ousur chaque thème traité. Des visites de chantier pourront être organisées afin d’évaluer les bénéfices obtenus par la mise en place des pratiques, à l’aide d’un outil de diagnostic conçu spécifiquement à cet effetLe Guide de bonnes pratiques en prévention des risques professionnels dédié à la construction de maisons individuelles est disponible ici.
Il y a 5 ans et 70 jours

Réalisation d’un radier thermique

Exiba France a édité le document “Aide au dimensionnement de la structure béton d’un radier thermique avec du polystyrène extrudé”. [©Exiba/Dow] En France, contrairement aux pays d’Europe du Nord, l’isolation thermique des radiers n’est pas très courante. Afin d’accompagner le développement de cette pratique, l’association Exiba France a édité le document “Aide au dimensionnement de la structure béton d’un radier thermique avec du polystyrène extrudé”. En effet, avec la future RE 2020, le radier thermique (radier en béton combiné à un isolant haute performance technique et mécanique) révèle son intérêt. Et ce, en constituant un bon complément et une continuité à une isolation thermique par l’extérieur, en supprimant les ponts thermiques. Mais aussi, en renforçant l’efficacité énergétique des bâtiments, et permet d’atteindre les objectifs de la RT 2012 et de la maison passive et à énergie positive. Pour Exiba France, seuls les isolants en mousse de polystyrène extrudé sont aujourd’hui indiqués dans la réalisation d’un radier thermique. Sa capacité de charge, son insensibilité à l’humidité et sa résistance à la compression à long terme en font une bonne solution. L’aide au dimensionnement conçu par Exiba met à plat le domaine d’application, les références normatives ou encore des définitions… Elle regroupe les procédés et référentiels existants dans différents pays européens. Car en effet, les radiers thermiques ne font l’objet d’aucune règle de conception et de mise en œuvre en France. Pour rappel, l’association Exiba promeut les isolants en mousse de polystyrène extrudé sur le marché français de la construction. Elle regroupe Jackon Insulation, Ravago Building Solutions, Soprema et Ursa.
Il y a 5 ans et 98 jours

Le marché de la maison en 2019

Au total, 125 600 ventes ont été constatées l’année dernière. [©ACPresse] Le syndicat des constructeurs et aménageurs, LCA-FFB dresse son bilan pour l’année écoulée. Après une baisse de 11 % enregistrée en 2018, le marché de la maison neuve en secteur diffus remonte de 5 % en 2019. Pour l’entité, les taux avantageux de crédits immobiliers ont joué en faveur des acheteurs. Au total, 125 600 ventes ont été constatées l’année dernière. Une tendance légèrement en dessous de la moyenne annuelle de long terme (126 400) et très inférieure aux chiffres de 2016 et 2017 (134 000). En revanche, la part de marché des constructeurs de maisons individuelles dans le secteur diffus continue de progresser et atteint aujourd’hui les 65 %. Du côté du segment de l’individuel groupé, il ne pèse plus que 5 % de l’ensemble des ventes de promotion immobilière. Le marché décline de – 9,7 % en 2018 et – 8,9 % en 2019. Le LCA-FFB ne mise pas sur une amélioration, puisqu’il estime une chute des ventes de 27,8 %, en 2019. Les réservations du logement collectif ont augmenté de 0,7 % (120 940 unités), après un recul de – 0,3 % en 2018. Alors que les mises en vente subissent un repli : – 12,1 %. Un nouveau chapitre à ouvrir selon le FCA-FFB Pour le syndicat, l’année 2020 devrait au mieux offrir une stabilité au marché de la maison individuelle en secteur diffus. Il estime à 125 000, le nombre de ventes. Boosté et en même temps ralenti par le maintien du PTZ neuf en zone B2 et C et les incertitudes du Haut Conseil de la stabilité financière (HCSF) en matière de resserrement des conditions d’octroi des crédits immobiliers. Mais aussi, du fait des conséquences locales de l’objectif Zéro artificialisation nette (Zan) impulsé par le gouvernement. « Nous ne construisons toujours pas assez de logements pour satisfaire l’ensemble des besoins et rendre l’offre plus abordable, explique Grégory Monod, président de LCA-FFB. Et les perspectives des prochains mois ne paraissent pas être de nature à créer les conditions du choc d’offre tant attendu. Certes, nous avons heureusement, su convaincre les parlementaires de maintenir un prêt à taux zéro sur l’ensemble des territoires. Mais, de nombreuses menaces pèsent sur nos marchés, nos clients, nos entreprises et les emplois du secteur. Telles que les risques de resserrement de l’accès au crédit pour les ménages les plus modestes, surcoûts liés à la prochaine réglementation environnementale, réductions drastiques d’ouvertures de nouvelles zones constructibles au nom de la lutte contre l’artificialisation des sols, freins et réticences à la densification… Pour LCA-FBB, un nouvel acte en faveur d’une politique de logement de long terme, qui concilie attentes et besoins des Français, dynamiques des territoires et enjeux environnementaux, doit être écrit ! »
Il y a 5 ans et 262 jours

Le logement neuf résiste grâce à l’ouverture du crédit immobilier

« En 2019, la bonne surprise est venue des établissements de crédit  » a indiqué le président de la FFB, Jacques Chanut, lors de la présentation de la conjoncture de ce trimestre. Depuis le début de l’année, les ventes en individuel diffus se redressent progressivement sous l’effet de la détente du marché du crédit, notamment en faveur des ménages modestes évincés du marché suite à la dégradation de l’environnement institutionnel en 2018. D’après les données du Markemétron, en glissement annuel sur sept mois à fin juillet 2019, la hausse se lit à +4,7 %, après un recul de 11,2 % en 2018. On constate même une vive accélération de la progression sur trois mois, avec +11,3 %. Pour ce qui concerne les ventes des promoteurs, elles continuent de résister à -0,7 % en glissement annuel sur le premier semestre 2019, malgré une baisse de 3,3 % sur le seul deuxième trimestre 2019. Quant aux mises en vente, elles s’effondrent de 22,1 % au premier semestre 2019 par rapport au premier semestre 2018. Le mouvement se tasse, à -14,8 % en glissement annuel sur trois mois à fin juin 2019, et continuerait à ralentir sur la fin 2019 selon les enquêtes d’opinion de l’Insee dans la promotion immobilière. De fait, les perspectives de mises en chantier s’y redressent progressivement grâce à l’accession. D’ailleurs, la proportion de promoteurs désirant mettre à l’étude de nouveaux programmes immobiliers renoue avec de hauts niveaux (64,9 % à fin juillet 2019, contre 60,2 % à fin avril 2019 et 57,7 % à fin janvier 2019). Graphique : Ventes de maisons individuelles en secteur diffus. Source : CGI Bâtiment/Caron Marketing, Markemétron
Il y a 5 ans et 325 jours

Appel à manifestation d'intérêt Programme CEE PROFEEL RénoStandard

Recherche de terrains d'expérimentations et modèles de maisons individuelles standardisées Le CSTB, en partenariat avec l'Agence Nationale de l'Habitat (ANAH) et URBANIS, sont porteurs du projet RénoStandard, développé dans le cadre du programme PROFEEL, qui vise à développer l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. PROFEEL est le fruit d'une mobilisation de 16 organisations professionnelles du bâtiment, qui se sont rassemblées pour contribuer collectivement à la réussite du Plan de Rénovation Énergétique des bâtiments, lancé par le gouvernement. Le projet RénoStandard : Démultiplier les prises de décisions sur la typologie des maisons individuelles standardisées Le projet RénoStandard vise à développer, concevoir et engager le déploiement de solutions « types » de réhabilitation, optimisées pour quelques gammes de maisons standardisées, notamment au sein du parc résidentiel privé. Ces solutions seront adaptées aux spécificités des logements à rénover. Par l'adjectif “standardisé”, il s'agit de logements pour lesquels il existe une forme de réplicabilité de la construction, du potentiel de transformation et des solutions de réhabilitation. L'amélioration de la performance énergétique et environnementale est clairement ciblée. Ces composantes sont cependant et évidemment à intégrer dans le cadre d'une approche globale, transverse de la réhabilitation et possiblement du développement d'une forme de préfabrication, d'où l'intérêt aussi pour la réplicabilité. Les acteurs concernés RénoStandard s'adresse à l'ensemble des professionnels au contact des particuliers dans le cadre du marché de la rénovation énergétique : aux opérateurs qui portent des offres de rénovation ou d'accompagnement à la rénovation, aux collectivités et aux acteurs des services publics qui œuvrent pour la rénovation des maisons individuelles, mais aussi, aux prescripteurs, aux assistants à maitrise d'ouvrage et aux maitres d'œuvre. Les résultats attendus Concevoir et déployer – pour quelques gammes de maisons individuelles standardisées – des solutions types de réhabilitation optimisées, possiblement dans une perspective de préfabrication. Construire l'adaptation des solutions types aux enjeux spécifiques des logements à réhabiliter et des attentes des occupants et des projets portés par les particuliers : offrir une « certaine gamme de sur-mesure » à partir de solutions « prêt-à-porter », à l'aide d'un diagnostic transverse du logement et d'outils d'aide à la décision (notamment numériques) ; Développer une approche transversale/multicritère du diagnostic et de la définition de solutions de réhabilitation énergétique. Évaluer les performances effectives des ouvrages. Initier le déploiement territorial de cette offre de réhabilitation énergétique, à partir de solutions types optimisées, sur le résidentiel diffus. Les conditions de l'AMI Le projet s'appuie sur deux Appels à Manifestation d'Intérêts (AMI) successifs : Juillet 2019 / AMI n°1 : Identification de maisons individuelles “standardisées” Attentes Nous recherchons des terrains d'expérimentations, chacun proposant un modèle type de maisons individuelles standardisées. Ces maisons d'un même modèle peuvent être regroupées à l'échelle d'un même quartier ou distribuées à une plus grande échelle territoriale. Les résultats du présent AMI n°1 constitueront la base de l'AMI n°2 : pour chacun des modèles de maisons individuelles standardisées qui aura été sélectionné, au moins une solution globale de réhabilitation énergétique sera conçue par un groupement, possiblement dans une perspective d'industrialisation, de préfabrication. Septembre 2019 / AMI n°2 : Solutions de réhabilitation globale et perspectives de pré-industrialisation, préfabrication Attentes Ce second AMI visera ainsi à identifier et accompagner plusieurs groupements, incluant potentiellement les types d'acteurs suivants : entreprises de pose, bureaux d'études, architectes, industriels, maîtrise d'œuvre, centres de R&D, conseiller territoriaux, entreprises de coordination d'acteurs, CMistes impliqués fortement dans la rénovation, etc. Ces groupements pourront bénéficier d'un accompagnement technique et financier de la part des équipes compétentes du CSTB et de ses partenaires. @CMIstes, industriels, architectes, bureaux d'études, entreprises spécialisées, conseillers territoriaux, cette démarche vous permet de proposer des maisons existantes « standardisées » pour lesquelles vous cherchez déjà à définir ou expérimenter des solutions de rénovation. Pour déposer votre candidature : Consulter le cadrage complet de l'AMI > Cadrage de l'AMI Compléter le formulaire > Formulaire de candidature Envoyer votre dossier complet avant le 31/08/2019 > à l'adresse suivante : renostandard_AMI1@cstb.fr Pour en savoir plus : Le projet RÉNOvation globale et amélioration énergétique de maisons individuelles STANDARDisées - Fiche Le programme Profeel – site Internet