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Résultats de recherche pour maroc

(531 résultats)
Il y a moins d'une heure

Londres renonce à un méga-projet d'énergie verte acheminée depuis le Maroc

Le gouvernement britannique, souhaitant privilégier les projets nationaux, a annoncé jeudi 26 juin qu'il renonçait à un méga-projet destiné à acheminer au Royaume-Uni de l'énergie solaire et éolienne produite au Maroc, via 4.000 km de câbles sous-marin, afin d'alimenter 7 millions de foyer en électricité.
Il y a 42 jours

Au Maroc, le roi inaugure une plateforme pour renforcer la réponse aux catastrophes naturelles

Le roi du Maroc, Mohammed VI, a posé mercredi 7 mai dans la région de Rabat la première pierre d'une plateforme comprenant des entrepôts de réserves de première nécessité, destinée à permettre un déploiement rapide des secours en cas de catastrophe naturelle ou industrielle.
Il y a 48 jours

le maroc se renforce pour mieux repondre aux catastrophes naturelles

Le Maroc lance une plateforme logistique près de Rabat pour mieux réagir face aux catastrophes naturelles ou industrielles. Un projet royal d’envergure.
Il y a 172 jours

NGE diversifie un peu plus ses activités sur le sol marocain

INTERNATIONAL. Présent de longue date au Maroc autour des infrastructures routières notamment, le groupe NGE a remporté un important contrat fin 2024 qui lui permet de déployer une autre de ses expertises.
Il y a 202 jours

NGE nomme une nouvelle directrice générale pour sa filiale au Maroc

NOMINATION. NGE a désigné une nouvelle directrice générale de sa filiale Avanzit Technologies Maroc, spécialiste des activités de télécoms et de signalisation ferroviaire.
Il y a 242 jours

TotalEnergies signe un projet pour développer la production d'hydrogène vert au Maroc

TotalEnergies a signé un "contrat préliminaire de réservation du foncier" avec le Maroc afin de développer un projet de production d'hydrogène vert, selon un communiqué du géant pétrolier diffusé mardi 29 octobre.
Il y a 253 jours

Quatre petites Citroën électriques partent traverser l'Afrique

Une expédition de quatre petites Citroën électriques, indépendante de la marque, est partie mercredi 16 octobre de Paris avec pour but de traverser l'Afrique du Maroc à l'Afrique du Sud, a constaté un journaliste de l'AFP.
Il y a 271 jours

Loire-Atlantique : réaménagement des rives de l’estuaire sur l’île du Petit Maroc, à Saint-Nazaire

La municipalité de Saint-Nazaire, dans le département de la Loire-Atlantique, projette de réaménager les rives de l’estuaire, sur l’île du...-Vie du BTP
Il y a 274 jours

Lente reconstruction au Maroc, un an après le séisme

La reconstruction au Maroc un an jour pour jour dimanche 8 septembre après le séisme qui a frappé la région du Haut-Atlas, près de Marrakech, est lente, seul un millier de familles ayant achevé la reconstruction de leurs logements, d'après les autorités.
Il y a 274 jours

À Casablanca, Grand Stade Hassan II, signé Oualalou + Choi et Populous

Le Grand stade Hassan II à Casablanca (Maroc), avec ses 115 000 places, devrait être le plus grand stade de football du monde, un projet conçu par l’agence parisienne Oualalou + Choi (Tarik Oualalou, Linna Choi) et POPULOUS, agence internationale spécialisée dans la conception d’équipements sportifs. Surface : n.c. Budget : n.c. Communiqué. La conception de ce nouveau […] L’article À Casablanca, Grand Stade Hassan II, signé Oualalou + Choi et Populous est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 281 jours

Au Maroc, la violence du séisme "hante" toujours les rescapés du Haut-Atlas

"J'entends encore les cris de mon petit-fils sous les décombres". Un an après le puissant séisme ayant frappé le sud du Maroc, Kebira Aït Bellaïd ne parvient pas à faire le deuil de sa fille et ses trois petits-enfants.
Il y a 310 jours

Découvrez les images du futur plus grand stade de football du monde

INTERNATIONAL. Les dernières perspectives du futur plus grand stade de football du monde viennent d'être dévoilées par les deux agences d'architecture chargées de ce projet. Oualalou + Choi et Populous se sont inspirées de la culture marocaine pour concevoir l'équipement sportif.
Il y a 312 jours

Des Français construiront-ils le plus grand stade du monde ?

L’enceinte de 115 000 places sera érigée près de Casablanca, au Maroc. Avec un investissement d’au moins 500 M€, il attise la...-Vie du BTP
Il y a 312 jours

Le Club Med Marrakech s'agrandit avec un nouvel espace

ARCHITECTURE. L'agence d'architecture française D.L.2.A signe le projet d'extension de ce centre de vacances au Maroc. Zoom sur cette opération.
Il y a 328 jours

Au Maroc, Egis et ses partenaires à pleine vitesse sur un grand projet ferroviaire

CONTRAT. Egis, Systra et Novec ont annoncé le 2 août 2024 avoir obtenu un marché d'assistance à maîtrise d'ouvrage sur la ligne à grande vitesse Kenitra-Marrakech. Une occasion de plus pour démontrer leur savoir-faire ferroviaire alors que le Maroc s'engage dans un grand plan de rénovation et d'extension de son réseau.
Il y a 1 ans et 3 jours

Clipso - Insideko Maroc : Projet FMI Banque

Le plus grand projet de toile tendue jamais réalisé au Maroc et en Afrique, 30.000 m2 de toile tendue de marque CLIPSO posés en 70 jours.
Il y a 1 ans et 18 jours

Bouygues va construire un hôpital universitaire à Rabat pour près de 450 millions d'euros

La société Bymaro, filiale marocaine de Bouygues Construction, va construire un hôpital universitaire international à Rabat, qui sera livré en septembre 2025, pour un montant de près de 450 millions d'euros, selon un communiqué publié il y a quelques jours.
Il y a 1 ans et 38 jours

bouygues construction va construire un h pital universitaire international rabat

La société Bymaro, filiale marocaine de Bouygues Construction, a annoncé la construction d’un hôpital universitaire international à Rabat.
Il y a 1 ans et 38 jours

Bouygues obtient la construction d'un hôpital universitaire au Maroc

PROJET. Bouygues Construction a été sélectionné pour réaliser le futur hôpital universitaire Mohammed VI de Rabat. Un projet de près de 450 millions d'euros, pour une livraison attendue en septembre 2025.
Il y a 1 ans et 77 jours

Casablanca, un concentré d'architecture "avant-gardiste" à préserver

Le rythme effréné de Casablanca ne laisse "pas le temps de vraiment apprécier" la ville, réalise Mehdi Ksikes, touriste d'un jour, en redécouvrant le centre de la capitale économique marocaine, considéré comme un concentré architectural unique d'influences marocaines et européennes d'Art déco.
Il y a 1 ans et 124 jours

Au Maroc, extension du lycée français de Rabat par COCO Architecture

L’agence COCO Architecture a livré en 2022 l’extension en site occupé du lycée français de Rabat (Maroc), projet lauréat du palmarès du concours AFEX 2023. Univers bioclimatique ? Découverte en vidéo. À l’étroit dans des locaux anciens, répartis sur deux emprises de part et d’autre d’une avenue, le lycée français de Rabat a lancé ce vaste […] L’article Au Maroc, extension du lycée français de Rabat par COCO Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 142 jours

Réseau Lorenove

Réseau Lorenove dmarp jeu 08/02/2024 - 12:25 Ce rendez-vous inoubliable s'est caractérisé par un mélange de sessions stratégiques, d'activités de team building et de réunions plénières. Les experts du Groupe Lorillard ont partagé leur savoir-faire, offrant un examen détaillé des initiatives de 2023, soulignant à la fois les succès et les leçons apprises. L'événement a également tourné son regard vers l'avenir, avec la présentation de projets ambitieux pour 2024, incarnant une vision commune axée sur l'innovation, la qualité et le dévouement à l'excellence. Traditionnelle dans son essence, la convention a créé un cadre idéal pour le partage d'idées, le renforcement des relations et l'inspiration partagée. Dans un cadre alliant tradition et modernité, Marrakech a servi de toile de fond à cette rencontre enrichissante, permettant aux participants de mêler travail et loisirs, et de renforcer leur cohésion d'équipe. UN BILAN PROSPÈRE L’examen par Pierre Lorillard, Directeur Général Délégué au Commerce, au Marketing et à la Communication, des résultats de l’année 2023 pour le Groupe Lorillard et ses différentes entitésLORENOV a révélé de belles évolutions dans un contexte économique moins favorable que celui de l’année précédente, et montre un réseau qui garde le cap. Thierry Luce, Président du Groupe Lorillard, a quant à lui annoncé les investissements industriels programmés pour les années à venir. Il est également revenu sur le projet ouVERTure, en détaillant les principaux axes de travail pour atteindre les objectifs de diminution des gaz à effet de serre et de diminution des consommations d’énergie. La réunion plénière a aussi été l’occasion pour Olivier Vincent, nouveau Directeur Général Groupe, de présenter son parcours et sa vision. Il a par ailleurs profité de la Convention pour faire connaissance avec les membres du réseau, découvrir les valeurs de la marque, et s’immerger dans l’esprit Lorenove. DES PROJETS AMBITIEUX Le bilan de l’année 2023 pour le Groupe et les diverses entités Lorenove, les grandes lignes de la stratégie du Groupe Lorillard pour les cinq prochaines années, et les plans ambitieux en matière de communication – et notamment les différents projets qui seront menés autour de la notoriété et de la captation de leads – ont été au cœur des discussions lors d’une réunion majeure. En ce qui concerne la communication, les projets pour l’année à venir, détaillés par Marylène Mitrecey, Marc-Antoine Pierre et Marion Macchi, sont nombreux : 5 moments forts qui se traduiront par des campagnes promotionnelles soutenues par un dispositif complet de leviers traditionnels et digitaux, une stratégie digitale incluant le référencement payant et naturel ainsi que les réseaux sociaux, et un plan de communication omnicanal pour promouvoir le positionnement S’ouvrir au Monde de la marque. Plusieurs solutions d’accompagnement du réseau sur les sujets de communication ont également été présentées : collaboration avec des agences partenaires, déploiement d’un outil pour optimiser la visibilité locale, et mise en place d’un process complet pour la collecte, la modération et la promotion des avis clients. Concernant le marketing, Damien Boucher a réalisé une revue approfondie du programme prévu pour 2024, ainsi que des nouvelles ressources marketing disponibles pour le réseau. Cela inclut notamment les référentiels techniques et divers outils destinés à faciliter la vente. Mais également, la nouvelle gamme mixte bois-alu baptisée Fusia, annoncée spécifiquement pour le marché des particuliers et qui sera commercialisée à l’automne. Une évolution de l’offre Lorenove va concerner certains accessoires et options, avec pour objectifs de simplifier tout en enrichissant l’offre, adaptée aux divers coloris de menuiseries disponibles. Cette évolution vise à répondre aux attentes des clients en matière de fonctionnalités et d’esthétique, englobant des éléments tels que les poignées, les habillages, les entrées d’air, etc. Enfin, la mise en place d’Ateliers Produits a été annoncée, visant à impliquer activement les concessionnaires dans les réflexions marketing. L’attention s’est ensuite portée sur la supply chain. Delphine Piquard a mis en lumière les développements logistiques en cours pour faciliter la distribution et le stockage des menuiseries dans les points de vente, tout en soulignant l’engagement envers la réduction de l’empreinte carbone. Puis Nathalie Careaux et son équipe tête de réseau ont présenté les résultats de l’audit technique, détaillé le programme de formations pour l’année 2024, fait le point sur la Responsabilité Élargie des Producteurs (REP) et dévoilé la stratégie de développement du réseau. Fort des succès récents en matière de croissance, Lorenove envisage de persévérer dans les actions déjà engagées : déploiement d’une communication très ciblée pour toucher les profils de candidats recherchés, poursuite du partenariat avec l’expert de la franchise Progressium, mise en avant des réussites de concessionnaires déjà intégrés dans le réseau, et qui y développe leur activité par l’ouverture d’un point de vente relais ou l’emménagement dans un showroom plus spacieux, etc. S’appuyer sur la notoriété et l’image positive des implantations locales du Groupe contribuera également au développement du réseau. L’objectif fixé est l’ouverture de 5 à 10 nouvelles concessions par an au cours des cinq prochaines années. Le calendrier des rendez-vous pour 2024 a également été dévoilé lors de cette présentation. Du côté des Agences intégrées, le Directeur – Aurélien Carteret – a dressé un bilan des résultats de l’année 2023, présenté l’organisation humaine et fonctionnelle, un élément clé du succès du modèle des agences intégrées, et dévoilé les ambitions pour l’année 2024. Pour finir, c’est Emmanuel de Rodellec – Responsable du Service Clients qui a mis en lumière les aspects spécifiques de l’organisation actuelle du service, l’évolution des commandes reçues, la présentation des prochaines améliorations du configurateur de commandes, et la nouvelle organisation de la cellule Service Après-Vente (SAV) visant à accroître encore davantage sa réactivité. Nathalie Careaux, Directrice Réseau Lorenove Concessions. ©Lorenove. Somme toute, un programme riche et complet, agrémenté de nombreux témoignages de concessionnaires qui ont animé et nourri les échanges tout au long de ces réunions particulièrement interactives. De manière plus légère, des activités de découverte de la Médina, comprenant une visite guidée du Palais de Bahia, des souks, de la place Jemaa El Fna et du jardin Majorelle, ainsi que des activités incentives par équipe (réalisation de 3 quêtes dans les souks pour découvrir de manière originale le plus grand marché oriental traditionnel d’Afrique), ont offert à tous l’occasion de se divertir collectivement. Aurélien Carteret, Directeur Réseau Lorenove Agences. ©Lorenove.   LES TROPHÉES DE LA PERFORMANCE La clôture de la convention a été marquée par une cérémonie de remise des Trophées de la Performance lors d’une soirée exceptionnelle dans le désert d’Agafay. L’événement s’est déroulé dans une ambiance conviviale, débutant par un apéritif chaleureux autour d’un feu de camp. La soirée s’est poursuivie avec un dîner authentiquement marocain, servi sous une tente ornée de décors berbères, et a été animée par des artistes locaux offrant des performances musicales, des chants et des danses traditionnelles. Au palmarès, le Trophée du Meilleur Chiffre d’Affaires 2023 pour les Concessions a été décerné à Grégoire David de FENETRES ET FERMETURES DU CENTRE. Mario Rodrigues de l’Agence PARIS OUEST s’est vu attribuer le Trophée du Meilleur Chiffre d’Affaires Facturé 2023 et celui du Meilleur Chiffre d’Affaires Commercial 2023 pour les Agences. Sabine Auber de la MIROITERIE ELBEUVIENNE a remporté le Trophée de la Meilleure Progression des Achats de Menuiseries Lorenove 2023, tandis que Kevin Gueudin de FENETRES ET FERMETURES DE L’ESSONNE a été distingué avec le Trophée de la Meilleure Opération Commerciale 2023. Jérôme Guenancia de FERMETURES DE L’OISE a été honoré du Trophée de l’Opération de Communication 2023 la Plus Remarquable, Mickael Dos Santos de CREATION FERMETURES a reçu le Trophée du Meilleur Plan de Communication Multicanal 2023, et enfin, Nicolas Goursky d’ACTIBAIE CONCEPT s’est vu décerner le Trophée de la Smartitude 2023. La convention annuelle, ancrée dans la tradition du réseau Lorenove, a pleinement atteint ses objectifs. Bien au-delà d’une simple réunion professionnelle, elle a reflété la vision partagée et l’engagement collectif en faveur de l’évolution positive de la marque. Cette rencontre a renforcé les liens au sein de la communauté, stimulé la collaboration et l’échange de bonnes pratiques entre les membres. Elle a insufflé une énergie nouvelle en ce début d’année, mis en lumière les succès accomplis, et créé des moments conviviaux qui ont consolidé l’esprit de réseau au sein de Lorenove. Choisir la Marque® - Associer l'article LORENOVE La convention des concessionnaires Lorenove, une plongée dans les avancées 2023 et les objectifs 2024 La convention annuelle des concessionnaires Lorenove s'est tenue au Club Med Marrakech La Palmeraie, marquant un moment clé pour célébrer les succès de 2023 et tracer les lignes directrices pour 2024. Du 17 au 22 janvier, Lorenove a réuni ses concessionnaires, chefs d'agence, et responsables travaux pour une convention mémorable à Marrakech, axée sur les avancées de 2023 et les objectifs ambitieux pour 2024. L'événement a été l'occasion de partager des sessions stratégiques, des activités de team building, et des réunions plénières, sous l'expertise du Groupe Lorillard. Les participants ont exploré les initiatives réussies de l'année passée, tout en se projetant vers l'avenir avec des projets novateurs en communication, marketing, et développement de produits, tels que la nouvelle gamme mixte bois-alu Fusia. Les discussions ont également porté sur l'amélioration de la supply chain et l'engagement environnemental à travers le projet ouVERTure. La convention a renforcé la cohésion d'équipe et a mis en avant les plans de croissance du réseau Lorenove, incluant l'ouverture de nouvelles concessions et l'optimisation des agences intégrées. Catégorie Métier Catégorie Principale : Menuiseries et Fermetures Sous-catégorie : Stratégies de Croissance et Innovation Produit Partager
Il y a 1 ans et 238 jours

Oualalou + Choi : Built / Unbuilt / Unbuildable

La galerie d’architecture à Paris présente l’exposition Built / Unbuilt / Unbuildable proposée par l’agence Oualalou + Choi (Linna Choi, Tarik Oualalou). Jusqu’au 2 décembre 2023. L’installation présentée est une méditation sur les fonctions de l’architecture et sur son rapport au réel. Elle interroge ses constructions et sa constructibilité. Cette collection de 100 projets que […] L’article Oualalou + Choi : Built / Unbuilt / Unbuildable est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 242 jours

Construire durable ou construire durable… telle est la question !

Le 8 septembre 2023, un important séisme a ravagé la région de Marrakech au Maroc, causant des dégâts qualifiés d’extrêmes. Se pose alors la question des réparations et de la reconstruction avec une interrogation sous-jacente : vaut-il mieux reconstruire de façon durable au sens environnemental ou durable au sens de la résistance aux tremblements de terre ? […] L’article Construire durable ou construire durable… telle est la question ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 245 jours

Face aux risques de séisme, le Portugal et l'Espagne entre crainte et prévention

Le récent tremblement de terre au Maroc a ravivé les craintes d'un grand séisme dans la péninsule ibérique, une région à risque qui cherche à se prémunir contre une catastrophe de l'ampleur de celle qui a frappé Lisbonne en 1755.
Il y a 1 ans et 259 jours

Au Maroc, reconstruire après le séisme sans tomber dans le "piège" du béton

Reconstruire sans bétonner les villages. C'est l'un des enjeux de la réhabilitation des "douars" montagneux décimés par le puissant séisme qui a frappé le Maroc il y a un mois, pour allier durabilité et respect de l'architecture traditionnelle.
Il y a 1 ans et 270 jours

Après la catastrophe au Maroc, la « Paper Log House » de Shigeru Ban Architects ?

L’architecte japonais Shigeru Ban a offert son assistance et, avec la « Paper Log House », lancé un projet au Maroc pour venir en aide aux victimes du tremblement de terre dévastateur survenu à Al Haouz au début du mois de septembre 2023. Le projet est dirigé par le Réseau des Architectes Volontaires (VAN), créé […] L’article Après la catastrophe au Maroc, la « Paper Log House » de Shigeru Ban Architects ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 275 jours

Séisme au Maroc : "Nous devons utiliser les matériaux avec intelligence" (S. Naji)

INTERVIEW. L'architecte DPLG et anthropologue marocaine Salima Naji, spécialiste d'architecture vernaculaire, revient sur la catastrophe qui a touché le Maroc en septembre 2023. Dans un entretien pour Batiactu, elle explique les systèmes constructifs mis en oeuvre dans le pays et dessine des solutions pour le reconstruire.
Il y a 1 ans et 291 jours

Séisme au Maroc : "des centaines de millions d'euros nécessaires à la reconstruction"

CATASTROPHE. Le cofondateur de la fondation Architectes de l'urgence a été interrogé par des confrères sur la reconstruction du Maroc suite au séisme survenu vendredi dernier.
Il y a 1 ans et 292 jours

Au Maroc, la vieille ville de Marrakech meurtrie par le séisme

"C'est du solide ça!", tape de sa main ridée Fatima Sanoussi sur les murs de sa maison. La sienne a résisté au séisme de vendredi soir, des dizaines d'autres non, et les dégâts sont importants dans la ville marocaine de Marrakech au riche patrimoine architectural.
Il y a 2 ans et 129 jours

Dans le ksar Ait Ben Haddou, village fortifié des Imazighen

Voyager est une remise en cause permanente : que se passe-t-il ailleurs au moment présent ? L’ailleurs est une découverte, une exploration et un apprentissage constant de cultures, de géographies et de climats. En témoignent au Maroc les Ksour Imazighen. Chronique de l’architecte Jean-Pierre Heim. Je considère mon métier d’architecte comme une étude anthropologique où l’architecture depuis […] L’article Dans le ksar Ait Ben Haddou, village fortifié des Imazighen est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 147 jours

Deux ouvriers sans-papiers morts sur un chantier : délibéré le 4 avril

Le 8 juin 2019, les deux victimes, Kamel Benstaali, 34 ans, et Omar Azzouz, 29 ans, travaillaient à la réhabilitation de la cité La Source à Epinay-sur-Seine, un chantier de 478 logements dont le bailleur est Plaine Commune Habitat.Recrutés peu de temps avant le drame, ils s'employaient à la rénovation thermique, depuis l'extérieur, du 18e étage d'un bâtiment lorsque la nacelle sur laquelle ils se trouvaient s'est détachée. Aucun des deux n'était formé pour effectuer des travaux en hauteur.Sept hommes âgés de 37 à 61 ans et trois entreprises du BTP sont jugés depuis lundi à Bobigny notamment pour homicide involontaire et travail dissimulé.Une grande majorité des avocats des prévenus ont plaidé jeudi la relaxe.Ils encourent jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende. La procureure de Bobigny Alix Bukulin avait réclamé mercredi une peine de deux ans avec sursis et 5.000 euros d'amende à l'encontre du gérant de la société SRI et son chef de chantier qui avaient embauché les deux victimes. Pour l'expert qui devait vérifier la conformité de l'installation de la nacelle, une peine de dix-huit mois de prison avec sursis dont huit mois ferme a été demandée."Il a reconnu ne pas avoir réalisé l'essai statique" de la nacelle, a déclaré son avocate Me Juliette Lévy-Bissonnet mais "il savait que ce contrôle n'avait pas de grande utilité", a ajouté son conseil."Un essai statique effectué à deux mètres n'aurait pas permis d'identifier des malfaçons au 18e étage", affirme son avocate.Un rapport d'expertise a pointé "un défaut d'ancrage" de la plateforme.L'entreprise Isore Bâtiment qui avait remporté le marché de réhabilitation d'une partie de la cité pour sept millions d'euros et les deux entreprises sous-traitantes ont rejeté la faute sur la société SRI "agrée pour travailler dans un chantier", a affirmé un avocat de la défense.Spécialisée dans l'isolation thermique, la société SRI a été liquidée et son gérant est en fuite en Egypte.Les victimes vivaient en France depuis trois ans. Kamel Benstaali, de nationalité algérienne devait se marier prochainement. Quelques jours avant le drame, "il travaillait sur les marchés", avait confié Me Jean-Philippe Feldman, l'avocat des deux familles des victimes. Omar Azzouz, de nationalité marocaine, était lui plaquiste.Les deux ouvriers "n'étaient pas déclarés le jour des faits mais deux jours après leur mort", avait précisé la procureure de Bobigny.
Il y a 2 ans et 168 jours

Nouvelle boutique % Arabica signée ciguë au Maroc

En 2022, l’agence montreuilloise ciguë a livré pour la chaine japonaise % Arabica, le nouveau café de la marque installé au cœur de Marackech (Maroc). 100 m² de raffinement où se mêlent des influences de chaque continent. Communiqué. Après une première adresse à Dumbo New York, c’est sur la nouvelle avenue M des quartiers chics […] L’article Nouvelle boutique % Arabica signée ciguë au Maroc est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 169 jours

A Rabat, l’art du Bénin d’hier à aujourd’hui

Dans le prolongement de l’exposition présentée au Palais de la Marina à Cotonou (Bénin) en février 2022, « Art du Bénin d’hier et d’aujourd’hui : de la Restitution à la Révélation. Volet contemporain » investit le musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain de Rabat (Maroc). Jusqu’au 15 mai 2023. L’exposition s’inscrit dans la dynamique […] L’article A Rabat, l’art du Bénin d’hier à aujourd’hui est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 197 jours

NGE se fait une place sur le marché du très haut débit marocain

ACQUISITION. Le groupe NGE a racheté l'entreprise Avanzit Technologie Maroc, lui permettant d'étoffer sa palette de métier dans un pays où il est déjà bien implanté.
Il y a 2 ans et 198 jours

Fibre optique : NGE augmente le débit au Maroc

Avec l’acquisition de l’entreprise Avanzit Technologie Maroc, NGE étoffe son offre au Maroc, son implantation internationale historique,...-Entreprises
Il y a 2 ans et 209 jours

Au Maghreb, des centaines de jours de soleil, mais un gros retard à rattraper dans l'exploitation de cette énergie

Face à un développement poussif des énergies renouvelables, la flambée des prix des hydrocarbures qui a suivi l'invasion russe de l'Ukraine a provoqué une prise de conscience, selon les experts."La pression extrême sur le gaz naturel, en particulier en Europe, a changé la logique pour ce type d'investissements", souligne auprès de l'AFP le professeur Michael Tanchum, un expert en énergie.Or, "l'Algérie, la Tunisie et le Maroc disposent d'abondantes ressources en énergies solaire et éolienne", rappelle-t-il.Omar Bey, un dirigeant de Qair, un producteur d'énergie renouvelable fondé en France, espère que son prototype de centrale flottante de 200 KW, la première de la zone Moyen-Orient et Afrique du nord, stimulera des projets plus ambitieux.La Tunisie, aux ressources en hydrocarbures très limitées, "n'a pas d'autre choix que miser sur les renouvelables", souligne-t-il.L'avantage d'une centrale flottante est de permettre un refroidissement naturel des panneaux, qui les rend plus efficaces, tout en réduisant l'évaporation et cela, sans accaparer de terres cultivables ou constructibles, explique-t-il.Ensoleillée des milliers d'heures par an, la Tunisie a le potentiel de produire pour ses propres besoins et d'exporter vers l'Europe située à quelques centaines de kilomètres.Mais aujourd'hui, seuls 2,8% de son électricité sont tirés des renouvelables, contre un objectif de 35% d'ici à 2030."Paralysie politique"Le professeur Tanchum, chercheur non résident au Middle East Institute, explique ce retard par une "paralysie politique", avec une dizaine de gouvernements qui se sont succédé depuis la révolution qui a renversé le dictateur Ben Ali en 2011.Le pays est en outre très endetté ce qui mine le financement de grands programmes.Sans compter les obstacles juridiques et administratifs : les panneaux importés "restent parfois bloqués pendant un mois, un mois et demi à la douane. Il faut des lois plus flexibles, tout le processus doit être accéléré", plaide Ali Kanzari, président de l'Union des entreprises solaires.M. Bey évoque pour sa part des "malentendus" avec des syndicalistes qui, redoutant une privatisation du groupe public Steg, ont retardé le raccordement de centrales photovoltaïques.Une centrale de 10 MW, construite il y a plus de deux ans à Tataouine (sud) pour alimenter 10.000 foyers, a ainsi été mise en route en octobre seulement."Aujourd'hui, tous ces problèmes sont derrière nous", assure M. Bey.Pour l'heure, toutefois, "seul le Maroc a émergé comme un leader" dans la région, pointe M. Tanchum. Le Royaume qui a décidé en 2009 d'investir massivement dans les renouvelables pour les hisser à 52% de son mix énergétique d'ici à 2030, produit déjà un cinquième de son électricité à partir de cette ressource. Au total, 111 projets sont "terminés ou en cours de développement", selon le ministère de l'Energie.L'un des programmes phare est "X-links" combinant solaire et éolien, capable de générer plus de 10 gigawatts et de les expédier en Grande-Bretagne grâce à 3.800 kilomètres de câbles sous-marins, pour y alimenter 7 millions de foyers en 2030.La Tunisie s'est lancée dans un projet plus modeste : en octobre, elle a déposé une demande d'aide européenne pour un câble de 200 kilomètres la reliant à l'Italie, un projet de 800 millions d'euros, à horizon 2027."Si le câble était déjà en place, avec 4 ou 5 gigawatts provenant de centrales solaires dans le désert, on vendrait de l'électricité à l'Europe et on engrangerait déjà d'importants revenus", regrette M. Kanzari.L'Algérie voisine, consciente d'un possible épuisement de ses ressources, s'est fixé, elle aussi, l'ambitieux objectif d'installer 15.000 MW d'énergie solaire d'ici à 2035, dont un méga-projet de 1 GW (Solar 1000) qui entrera en service fin 2023 ou début 2024.Pour le moment, le pays n'en est qu'aux balbutiements avec 3% de son électricité provenant du solaire.Malgré des assouplissements législatifs, "des obstacles persistent pour les investissements étrangers, dont la fameuse bureaucratie algérienne", souligne Intissar Fakir, analyste au Middle East Institute.En outre, note-t-elle, même si les exportations de gaz génèrent des milliards de dollars, Alger va devoir les "injecter dans la modernisation d'infrastructures vieillissantes dans les hydrocarbures plutôt que dans les renouvelables".
Il y a 2 ans et 212 jours

A Saint-Paul-de-Vence, la fondation Maeght s'agrandit en respectant l'existant

Destiné à offrir de nouvelles surfaces d'exposition pour présenter un fonds permanent riche de quelque 13.000 œuvres, ce chantier va entraîner la fermeture des lieux jusqu'à l'été prochain et se terminera à l'été suivant, en 2024, pour les 60 ans de la célèbre fondation d'art moderne.Pour respecter le bâtiment d'origine, une construction de l'architecte Josep Lluis Sert considéré comme une icône de l'architecture moderniste, le maître d’œuvre italien a travaillé davantage par soustraction que par addition, en creusant une nouvelle galerie sous la cour centrale du bâtiment."L'idée m'est venue en voyant des photos d'Aimé Maeght (NDLR: le créateur de la fondation) en short, surveillant les travaux en 1964 depuis un remblai. Je me suis dit que l'extension était là, dans ce remblai", raconte Silvio d'Ascia, établi en France depuis trente ans et à qui l'on doit la gare TGV de Kenitra au Maroc ou le futur écoquartier Viotte à Besançon.Ce remblai pioché dans la cour centrale sera, dans un souci de recyclage, utilisé pour produire le béton de l'extension du bâtiment, qui accueille chaque année 130.000 visiteurs.Au passage, des éléments ajoutés au fil des années, murs ou occultations, vont être retirés, pour redonner le rythme initial de la déambulation, ponctuée par des meurtrières de lumière. Une promenade extérieure va également être aménagée autour du bâtiment.Au total, la fondation Maeght gagnera ainsi 60% de surface d'exposition, pour atteindre 1.350 mètres carrés."Nos visiteurs qui viennent pour voir Miró, Braque, Chagall ou Giacometti nous reprochaient souvent de ne pas montrer suffisamment nos collections. La nouvelle salle servira à cela, mais aussi à des concerts ou des spectacles de danse quand il pleut", a expliqué Isabelle Maeght, la fille d'André Maeght, 92 ans, et la petite-fille d'Aimé et Marguerite Maeght, ces galeristes parisiens qui avaient eu l'idée de cette "fondation pour les artistes" dans les années 60.Le coût total de ces travaux avoisinera les 4 millions d'euros, financés par les pouvoirs publics, la famille Maeght elle-même et des mécènes comme le groupe Dassault.La fondation ouvrira dans sa nouvelle configuration à l'été 2024 avec une exposition consacrée à Matisse et Bonnard. Un moment important selon Isabelle Maeght, car "ce sont eux qui ont mis le pied à l'étrier à mes parents", a-t-elle souligné.
Il y a 2 ans et 213 jours

A Tanger, le Rif, ce n’est pas du cinéma

Le cinéma de Kaboul*, en Afghanistan, était encore en travaux quand a été lancé le projet de rénovation du cinéma Rif, à Tanger, au Maroc. Il s’agissait cette fois de travailler dans un large imaginaire urbain avec la formidable artiste Yto Barrada, très engagée par ses dimensions historico-poétiques d’une ville où, comme à New-York ou […] L’article A Tanger, le Rif, ce n’est pas du cinéma est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 221 jours

COP27 : La France salue des avancées mais regrette un manque d'ambition face à l'urgence climatique

Si l’accord de la COP27 n’est pas à la hauteur des ambitions que portaient la France et l’Union européenne, il préserve toutefois l’essentiel : il rappelle l’objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C et appelle les pays à des efforts supplémentaires dès 2023. Réaffirmer cet objectif était essentiel, dans un contexte mondial de crise climatique et énergétique.Grâce à la France et à l’Union européenne qui ont porté une position exigeante et volontariste durant des négociations difficiles, la COP27 enregistre plusieurs avancées majeures :Pertes et préjudicesA la demande de la France et de l’Union européenne, l’accord répond aux attentes des pays les plus vulnérables, avec une décision forte : la création de nouveaux outils de financement sur les pertes et préjudices, qui ne se réduisent pas à un fonds, mais comprend une mosaïque de solutions concrètes qui ont vocation à répondre aux besoins des pays les plus vulnérables impactés par des événements climatiques. L’accord prévoit ainsi la mobilisation de la Banque mondiale et du FMI, ainsi que des banques de développement. Il recommande la mise en oeuvre de financements innovants auxquels tous les pays peuvent contribuer. Plus largement, la France promeut la refonte en profondeur du système financier international sur cet enjeu des pertes et dommages.Les discussions ont été conclusives sur le réseau de Santiago, l’une des priorités de la France et de l’Union européenne pour cette COP27. Le texte agréé a permis d’opérationnaliser ce réseau, créé lors de la COP25 à Madrid afin de catalyser l’assistance technique pour éviter, réduire et faire face aux pertes et préjudices.Le G7 et le V20 ont lancé un bouclier global contre les risques climatiques pour améliorer la protection financière des pays les plus touchés. La France prévoit de soutenir le bouclier global par une contribution de 20 millions d’euros en 2023, aux côtés de l’Allemagne et d’autres contributeurs membres du G7 et de l’Union européenne.AdaptationLes financements français sur l’adaptation représentent 2,2 milliards d’euros en 2021, soit 10% des financements mondiaux.Plusieurs pays, dont la France, ont annoncé une contribution financière supplémentaire au fonds d’adaptation. La France versera 10 millions d’euros supplémentaires pour 2022-2023. Lancé en 2007 pour aider les pays en développement les plus vulnérables aux changements climatiques, le fonds d'adaptation présente l’avantage d’une gouvernance plus favorable aux pays en développement et leur permet un accès simplifié aux ressources financières.Atténuation des émissionsUn groupe varié de pays ambitieux développés - dont la France et l’UE - et en développement ont marqué leur volonté d’inscrire dans la décision de couverture de la COP l’appel à réduire la consommation de combustibles fossiles. Cette proposition n’a pu faire l’objet d’un consensus. De la même manière, l’UE avec de nombreux pays ont appelé à atteindre le pic des émissions globales avant 2025 conformément aux recommandations du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), mais n’ont pu obtenir le consensus.Les Parties ont établi un Programme de travail sur l’atténuation pour maintenir atteignable l'objectif de 1,5°C de réchauffement climatique. Mandatée par la COP26, cette série de dialogues ouverts aux Parties et aux acteurs non-étatiques visera à rehausser l’ambition et la mise en œuvre. Ce format permettra aux experts d’échanger sur des questions transversales fondées sur les travaux du GIEC.La France s’est également engagée dans plusieurs coalitions pour accélérer la lutte contre le changement climatique :Réserves vitales de carbone et de biodiversitéÀ l’initiative du président de la République, et en coopération avec les États-Unis et la Chine, un événement One Planet consacré aux réserves vitales de carbone et de biodiversité s’est tenu le 7 novembre à la COP27. Ces espaces, comme les forêts anciennes, les tourbières ou les mangroves, sont à la fois des stocks naturels de carbone et des espaces riches en biodiversité. Pour les préserver, les dirigeants internationaux ont annoncé leur volonté de travailler ensemble à la constitution de Partenariats pour la conservation positive (Positive Conservation Partnerships – PCP). La tenue d’un sommet One Planet sur les enjeux forestiers à Libreville (Gabon) en mars 2023 a également été annoncée.Fonds marinsLe 7 novembre, le président de la République a annoncé que la France soutenait l’interdiction de toute exploitation des grands fonds marins et qu’elle entendait porter cette position dans les enceintes internationales. La France rejoint ainsi les pays (Allemagne, Espagne, Nouvelle-Zélande, Panama, Costa Rica, Chili, États insulaires du Pacifique…) souhaitant un moratoire de précaution sur l’exploitation des fonds océaniques.Energies fossilesLa France, qui accompagne, déjà les pays émergents dans une «transition climatique juste», a rappelé le 7 novembre qu’elle mobilisera 1 milliard d’euros pour aider l’Afrique du Sud à sortir du charbon. Un partenariat avec l’Indonésie et les membres du G7 a été finalisé à Sharm el-Sheikh et signé au G20 à Bali. D’autres partenairaits ont en préparation, avec le Vietnam, le Sénégal et l’Inde.BâtimentsLors de la COP26 à Glasgow, le Royaume-Uni avait lancé le « Breakthrough Agenda », initiative soutenue par la France et visant à décarboner les principaux secteurs émetteurs (acier, électricité, hydrogène, transport routier et agriculture). Le secteur du bâtiment, qui représente 37% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, ne figurait pas dans cet agenda. Afin de créer un nouvel élan entre gouvernements, la France et le Maroc ont lancé le jeudi 17 novembre un appel à la création d’un « Buildings Breakthrough ». Plus de 30 pays ont exprimé leur intérêt pour cette coopération intergouvernementale renforcée, qui fixe l’objectif de zéro émission d’ici 2030 pour le secteur du bâtiment.Par ailleurs, la France a rejoint quatre des initiatives lancées par la présidence égyptienne de la COP27 : l'initiative FAST (Food and Agriculture for Sustainable Transformation Initiative), destinée à renforcer la place et le rôle de l'agriculture dans la lutte contre le changement climatique, SURGe (Sustainable Urban Resilience for the next Generation), qui a vocation à réduire l'impact climatique des villes et améliorer leur résilience, CRSP (Climate Responses for Sustaining Peace), visant à garantir des réponses climatiques intégrées pour un développement durable et ENACT (Enhancing Nature-based Solutions for Climate Transformation), sur les Solutions fondées sur la Nature.Pour Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique : « L’accord de la COP27 n’est pas aussi ambitieux que nous, Français et Européens, l’aurions souhaité. En particulier, aucune avancée n’a été obtenue sur la nécessité de faire des efforts supplémentaires de réduction des gaz à effet de serre et sur la sortie des énergies fossiles. C’est une vraie déception. Sur ces deux points durs, nos appels à aller plus loin n’ont pas été entendus. Cependant, cet accord préserve l’essentiel : l’objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C. Par ailleurs, à la demande de la France et de l’Union européenne, il répond aux attentes des pays les plus vulnérables avec une avancée forte : la création de nouveaux outils de financement pour les pertes et dommages liées aux catastrophes climatiques. »
Il y a 2 ans et 233 jours

Oknoplast France fête ses 10 ans avec une croissance de plus de 30% entre 2020 et 2021

Le chiffre d’affaires France a lui aussi connu une progression remarquable avec plus de 30% de croissance, passant de 38 millions en 2020 à 50 millions d’euros en 2021 (estimation de 60 millions pour 2022).Aujourd’hui présidé par Mikołaj Placek, fils du fondateur du Groupe, OKNOPLAST a réussi à devenir une marque solide et reconnue, comptant parmi les leaders dans le domaine de la menuiserie en Europe. « Nous répondons aux besoins du marché et investissons beaucoup dans des outils de production à la pointe de l’inno-vation. Nous sommes actuellement dans le top 3 des fabricants de fenêtres PVC et nous souhaitons aller plus loin. Nous disposons du deuxième plus grand réseau de vente et nos clients français apprécient la qualité des produits OKNOPLAST et notamment le design moderne et la technologie supérieure de notre marque. » explique Mikołaj Placek.Acteur mondial, OKNOPLAST est présent dans 19 pays en Europe (Autriche, République Tchèque, France, Allemagne, Pologne, Slovaquie, Slovénie, Suisse, Italie, Scandinavie…) et poursuit sa politique d’internationalisation avec de nouvelles implantations en Suède, Belgique, États-Unis, Portugual, Espagne et au Maroc. Depuis ses 4 usines qui produisent plus de 1,5 million de fenêtres chaque année, le fabricant a équipé, sur les six dernières années, l’équivalent de la population d’une ville comme Barcelone.
Il y a 2 ans et 256 jours

La Grande Mosquée de Paris, monument parisien emblématique, célèbre son centenaire

Le président de la République devrait dévoiler à cette occasion une plaque marquant entre autres la "reconnaissance" de la République pour ses soldats musulmans, a-t-elle indiqué à l'AFP.Construite bien avant les grandes vagues d'immigration, la GMP est la première mosquée métropolitaine érigée à l'ère contemporaine.Il s'agit, pour "les autorités de l'époque", de "rendre un hommage très fort aux musulmans pour leur sacrifice pendant la Première Guerre mondiale", dit à l'AFP le recteur actuel, Chems-Eddine Hafiz.Quelque 70.000 soldats de l'armée française, de confession musulmane, sont morts durant la Première Guerre mondiale, selon une estimation du ministère de la Défense.En 1920, un projet de loi dont le rapporteur est Edouard Herriot, alors député, et qui prévoit un Institut musulman comportant notamment une mosquée, une bibliothèque, une salle de conférence, est voté au Parlement.Fait marquant: il comporte une subvention de "500.000 francs", 15 ans après la loi de 1905 de séparation des Eglises et de l'Etat. Cela a été permis grâce "à un montage juridique", via un enregistrement au tribunal religieux d'Alger, "alors département français, dans lequel la loi de 1905 ne s'appliquait pas", selon le recteur.Parallèlement, une souscription est lancée dans tout l'empire colonial pour que les musulmans participent à sa construction."Impérialismes européens"En mars 1922, l'orientation de la future salle de prière par rapport à La Mecque est décidée. Le 19 octobre de la même année a lieu l'inauguration solennelle des travaux du futur bâtiment, en présence du maréchal Hubert Lyautey, stratège militaire et figure emblématique de la colonisation française au Maroc, sur un terrain des Hôpitaux de Paris.Quatre ans seront ensuite nécessaires à son édification et la mosquée est officiellement inaugurée en 1926.Sa construction correspondait aussi à "des motifs géostratégiques, en pleine lutte entre impérialismes européens", souligne Dorra Mameri-Chaambi, chercheuse à l'EHESS, qui a consacré une thèse au rôle de la Grande Mosquée dans l'islam en France."Avec les accords Sykes-Picot de 1916, les puissances impériales souhaitaient dépecer l'Empire ottoman. La période était également propice à offrir des gages de sympathie aux sujets musulmans de l'Empire colonial français", et à "conforter la France dans son rôle de puissance musulmane d'Europe", dit-elle.Sadek Sellam, auteur de La France et ses musulmans (Fayard), insiste sur le fait que "plusieurs projets" de mosquées ou d'institutions musulmanes à Paris avaient émergé, notamment dans certains milieux islamophiles, "dès 1846 puis en 1895".Avec son style hispano-mauresque, ses jardins et patios à l'andalouse, ses zelliges et moucharabiehs et son minaret haut de 33 m, l'édifice religieux, flanqué dès l'origine d'un restaurant et d'un hammam, est devenu un bâtiment emblématique de la capitale.Proche du Quartier latin, entre vieux immeubles parisiens et Jardin des plantes, il est classé à l'inventaire des "monuments historiques" depuis 1983. Sa construction est en béton armé avec des matériaux décoratifs (tuiles vertes, faïences, mosaïques, fer forgé) provenant du Maghreb. "C'est clairement une architecture maghrébine" qui a été retenue, observe Mathieu Lours, historien de l'architecture.Pour autant, "avec l'utilisation de techniques modernes - le béton-", mais aussi "l'importance majeure donnée à la coupole", "la recherche d'un grand volume à l'intérieur comme ce que souhaitent les catholiques à la même époque (dans leurs églises), on se dit que c'est vraiment un édifice religieux des années 1920", dit-il.Pour quelques jours, la GMP présente une trentaine de panneaux mettant en avant plusieurs personnalités: le premier directeur de l'institut, Kaddour Ben Ghabrit, le maréchal Lyautey, Edouard Herriot, ou encore l'islamophile Paul Bourdarie, directeur de La Revue indigène, soutien du projet dès 1915.
Il y a 2 ans et 263 jours

Batimat : Une édition des plus réussie

Batimat 2022 était aussi placé sous le signe de la formation, accueillant pour cela beaucoup de jeunes. [©ACPresse] Jeudi 6 octobre, 19 h 00. Après 4 j intenses de salon, l’heure est au bilan. « C’est une édition plus que réussie », affirme Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. L’édition 2022 a connu une forte croissance de son affluence : + 15 % de visiteurs par rapport à 2019 et + 25 % pour les visiteurs nationaux. Le retour à la porte de Versailles a été salué par tous. Si certains visiteurs étrangers n’ont pas pu se déplacer, en raison du contexte sanitaire local notamment, des délégations marocaines, sénégalaises ou encore québécoises étaient bien présentes sur le salon. Un salon grandiose et étudiant La nouvelle version du Mondial du bâtiment sur 4 j était « un pari fou », commente Guillaume Loizeaud. Cela a donné lieu à un salon grandiose. Les visiteurs ont pu assister à plus de 400 conférences, avec un total de plus de 1 000 intervenants. Dans les halls 1 à 6 du Parc des expositions, le Mondial du Bâtiment a rassemblé plus de 1 700 exposants. L’homogénéité dans la taille des stands, respectée par le plus grand nombre et assumée par le salon, est une réussite. Les organisateurs ne prévoient donc pas de retour en arrière sur la question.   Le Mondial du Bâtiment a donné de l’importance à la formation. Ainsi, 400 apprenants des CFA d’Ile-de-France ont participé à l’évènement. Quelque 600 élèves de lycées professionnels ont aussi été invités. Certains d’entre eux ont eu l’occasion d’échanger avec Olivia Grégoire, la ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme… Un Batimat, avec l’accent bas carbone L’organisation en a fait une priorité : Batimat 2022 se devait d’être un modèle en matière de respect de l’environnement. Ainsi, tous les stands de 9 m2, 18 m2 et 36 m2 ont été éco-conçus. Ils sont durables et totalement réutilisables. Le salon s’est aussi engagé à communiquer son bilan carbone. Les jours qui suivent vont permettre de calculer l’impact CO2 des activités liées au salon. Le calcul prend en compte la logistique, côté exposants, mais aussi les déplacements des visiteurs. A l’issue du salon, Guillaume Loizeaud a affirmé sa volonté de faire du Mondial du Bâtiment un évènement neutre en carbone d’ici les prochaines éditions. Enfin, il a annoncé la tenue d’un nouvel événement dès l’année prochaine. Son nom : Renodays. Sa vocation : un rendez-vous professionnel dédié à la rénovation thermique des bâtiments. Biennal, celui-ci se tiendra, en alternance avec le Mondial du Bâtiment. Lire le dossier nouveautés Batimat 2022 – Béton ou Isolation
Il y a 2 ans et 266 jours

Mondial du Bâtiment 2022 : une nouvelle formule couronnée de succès

Une mobilisation sans précédentOrganisé à Paris Expo Porte de Versailles, le nouveau Mondial du Bâtiment a enregistré une importante augmentation du nombre de ses visiteurs (+15%), marquée par une hausse des visiteurs français (+25%) venus de différentes régions.Top 5 des régions Françaises venues au Mondial du Bâtiment : Ile-de-France, Auvergne Rhône-Alpes, Hauts-de-France, Grand Est et Nouvelle Aquitaine.La présence de visiteurs internationaux était quant à elle en légère baisse (-15%). Néanmoins, le Mondial a de nouveau accueilli de nombreuses et fidèles représentations internationales telles que la Délégation marocaine, l'Ordre National des architectes du Bénin, l'Ordre National des ingénieurs du Cameroun, la Délégation sénégalaise, la Délégation algérienne, des Délégations tunisiennes (Chambre de Commerce et d'Industrie du Sud-Est, CCI de Sfax, CCI du Nord-Ouest, CCI du Centre), Délégation ivoirienne.Les organisateurs se réjouissent du climat d'affaires positif qui a régné durant les 4 jours de l'événement, grâce à la présence de nombreux décideurs et de visiteurs particulièrement qualifiés. Accueillis par 1720 exposants, tous les métiers du Bâtiment et de la construction étaient ainsi fortement représentés : Prescripteurs (20%), Installateurs (36%), Distributeurs (17%), Fabricants (14%), Organismes (13%).De l'avis général, tous les participants ont retrouvé ce qu'ils appréciaient sur les anciennes éditions parisiennes de BATIMAT, INTERCLIMA et IDÉOBAIN : une grande convivialité et une ambiance décrite par tous comme chaleureuse, renforcée par la possibilité de profiter de soirées organisées à Paris.La décarbonation du bâtiment placée au coeur des débatsSi le bâtiment est le premier secteur concerné pour atteindre les objectifs fixés par la Stratégie Nationale Bas Carbone, le Mondial du Bâtiment 2022 en a été assurément son lieu d'expression pour le secteur de la construction.Seul événement d'envergure internationale dédié au secteur, le Mondial du Bâtiment s'est imposé comme le rassemblement incontournable des décideurs et acteurs clés de la décarbonation du secteur.Grâce à de très nombreux temps forts et de multiples rencontres d'envergure, le sujet de la décarbonation a ainsi été placé au coeur des débats :Avant l'ouverture officielle du salon, le « Sustainable Builders 50 » a été inauguré, en présence de François Hollande. Ce « Think & Do-tank » a réuni plus de 50 décideurs, experts et personnalités guidés par la recherche de l'impact et de changements concrets afin d'atteindre les objectifs de réduction des émissions de 2030 et 2050.Mobilisés par les organisateurs du Mondial du Bâtiment, des représentants des pouvoirs publics ont pu rencontrer de nombreux chefs d'entreprise de l'industrie du bâtiment et échanger avec eux leur regard sur les enjeux de la transformation profonde de la filière : Olivier Klein, Ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé de la Ville et du Logement a inauguré le Mondial du Bâtiment ;A l'occasion de son discours lors de l'Assemblée Générale du Plan Bâtiment Durable, Christophe Béchu, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires a remis en perspective les grands éléments de la politique publique et démontré son attachement à la réussite de la transformation du secteur ;Olivia Grégoire, Ministre Déléguée chargée des PME, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme a pu échanger avec les futurs professionnels du bâtiment et les Compagnons du devoir, et souligner avec eux l'engagement de l'état auprès des petites et moyennes entreprises.Pour la première fois, le Mondial du Bâtiment a enregistré la visite de deux commissions parlementaires démontrant l'importance des enjeux de la transformation du secteur pour les territoires : la Commission parlementaire des affaires économiques, présidée par Guillaume Kasbarian et la Commission parlementaire du développement durable, présidée par Jean-Marc Zulesi.La transition énergétique de la France était tellement au coeur des débats de cette semaine, que le dernier jour du Mondial du Bâtiment, la Première Ministre Elisabeth Borne est venue au Parc des Expositions de la Porte de Versailles pour présenter le plan de sobriété de l'Etat en présence d'Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique.Un observatoire unique de l'avenir du secteurPour la première fois réunis ensemble à Paris, les salons BATIMAT, INTERCLIMA et IDÉOBAIN ont mobilisé 1720 exposants et enregistré le retour de plus de 140 leaders et 45% de nouveaux exposants.L'innovation, présente partout dans le Mondial du Bâtiment et portée par un remarquable cru des Awards de l'Innovation, aura été une nouvelle fois l'un des principaux marqueurs de l'édition, illustrant le dynamisme de la filière.Parallèlement, les nouveaux formats de conférences ont été plébiscités. D'une ampleur inédite, avec la présence de plus de 90 experts sociétaux tels que Cynthia Fleury, Jean-Marc Jancovici, Bernard Amsellem, Navi Radjou, Yamina Saheb…, les Batitalks ont enregistré un fort taux de participation. Ce programme d'analyses et de décryptages était enrichi par une grande diversité de conférences et rendez-vous organisés par les partenaires du salon. L'ensemble du dispositif a réuni au total plus de 1 000 intervenants avec 450 conférences.Les organisations professionnelles telles que la Fédération Française du Bâtiment et la Capeb se sont également mobilisées et ont fait part de leur satisfaction quant à la réussite de cette édition qui leur a permis de délivrer leurs messages sur tous les sujets liés aux enjeux économiques du secteur et l'évolution des métiers.Les jeunes a l'honneurLe recrutement des jeunes et la formation étaient deux sujets essentiels que le Mondial du Bâtiment entendait mettre à l'honneur. Force est de constater que l'objectif a été atteint.Une délégation de près de 400 apprenants des CFA d'Ile-de-France et près de 600 jeunes en formation du Lycée Raspail se sont rendus sur le salon à la découverte des innovations. Ils ont pu avoir un temps d'échange avec la Ministre Olivia Grégoire, partageant avec eux le dynamisme de la filière et des métiers du bâtiment.Le nouvel espace Job Connect d'INTERCLIMA a permis de faire connaître les métiers du génie climatique au cours de rencontres quotidiennes. Du côté d'IDÉOBAIN des séances de job datings entre formateurs, installateurs et concepteurs-vendeurs qui se sont tenues. Sur BATIMAT plusieurs animations ont eu lieu dont la finale du concours du Meilleur Artisan de France.Un salon exemplaireLe Mondial du Bâtiment ne pouvait pas mettre en avant le sujet de la décarbonation sans s'approprier lui-même le sujet et faire preuve d'exemplarité. Cette nouvelle édition s'est donc placée sous le signe de plus grande sobriété et une meilleure maîtrise des dépenses. Un grand nombre d'exposants ont ainsi fait le choix d'une stand éco-conçus de leur stand en cohérence avec la stratégie du Mondial.De leur côté, les organisateurs du salon se sont engagés à réaliser un bilan carbone prévisionnel en passant l'ensemble de l'activité au crible selon la méthode scientifique de l'ADEME : transport, énergie, alimentation, hôtel... grâce à l'expertise du cabinet ECOACT qui est spécialisé dans ce type de démarche.Deux prochains rendez-vous a noterD'ores et déjà, les organisateurs travaillent sur l'évolution du prochain Mondial du Bâtiment tenant compte des tendances qui émergeront rapidement et toucheront en profondeur la filière. Le rendez-vous est donc pris, du 30 septembre au 3 octobre 2024, à Paris Expo Porte de Versailles.Cependant, le thème de la rénovation énergétique ayant été un des principaux sujets abordés pendant le Mondial du Bâtiment, RX annonce le lancement de RenoDays, un nouveau rendez-vous dédié au sujet et organisé en 2023, les 3 et 4 octobre, toujours à Paris.Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment se réjouit de ce succès : « La proposition que nous avons faite aux exposants comme aux visiteurs les a indéniablement séduits. Le retour à la Porte de Versailles est évidemment un atout important. La réussite du salon tient aussi à sa parfaite adéquation avec un état d'esprit plus général qui tend à plus de sobriété et d'homogénéité. Au-delà, nous avons surtout réalisé, avec nos partenaires, un véritable travail de fond qui a permis de donner à la filière le leadership du thème de la décarbonation du bâtiment. Lancé il y a 2 ans, le pari est donc réussi. Au nom de la filière, je suis également fier de constater que le Mondial du Bâtiment est, en période post-Covid, le seul évènement européen ayant enregistré un tel succès avec une croissance à deux chiffres de son nombre de visiteurs. »